#et dit à son mari :
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Une femme constate que le robinet de salle de bain fuit, elle dit à son mari: -Chéri, le robinet salle de bain fuit, tu penses à le changer Le mari lui répond: -Pas ce soir, je suis fatigué et puis d'ailleurs je ne suis pas plombier ! Le lendemain la femme refait la remarque à son mari: -Chéri, le robinet fuit, tu y pense -Pas aujourd'hui et je t'ai déjà dit que je ne suis pas plombier! Le surlendemain le femme constate que rien n'est fait et elle redit à son mari: -Chéri, tu pense au robinet? -Oui oui demain promis! Le soir l'homme rentre chez lui et constate que le robinet ne fuit plus, il demande à sa femme: -Tu as fais réparer le robinet? -Oui le voisin me l'a changer! -Ahhh oui? et en échange de quoi? -Il voulait soit un gâteau soit une gâterie! -Et tu lui as fait quoi? -Une gâterie -Tu ne pouvais pas lui faire un gâteau!!! -Non! Je ne suis pas pâtissière !
#Une femme constate que le robinet de salle de bain fuit#elle dit à son mari:#-Chéri#le robinet salle de bain fuit#tu penses à le changer#Le mari lui répond:#-Pas ce soir#je suis fatigué et puis d'ailleurs je ne suis pas plombier !#Le lendemain la femme refait la remarque à son mari:#le robinet fuit#tu y pense#-Pas aujourd'hui et je t'ai déjà dit que je ne suis pas plombier!#tu pense au robinet?#-Oui oui demain promis!#il demande à sa femme:#-Tu as fais réparer le robinet?#-Oui le voisin me l'a changer!#-Ahhh oui? et en échange de quoi?#-Il voulait soit un gâteau soit une gâterie!#-Et tu lui as fait quoi?#-Une gâterie#-Tu ne pouvais pas lui faire un gâteau!!!#-Non! Je ne suis pas pâtissière !
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Et boum
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 17 août
Thème : Marécage/dur à cuire
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Tu sais à quel point c’est dur de faire un feu, dans un marécage ?
Oui, ici, TOUT est humide. En permanence. Tu veux sécher ton bois pour le feu ? Il te faut du feu. Plus de feu que le bois que tu arriveras à sécher un jour. Oui, c’est un putain d’enfer.
Sans les flammes. Du coup.
Donc voilà, faire un feu c’est DUR, ultra-dur. Il te fait un chaudron en métal pour mettre le feu lui-même. Une pâte très spéciale dont la composition est aussi un enfer dans le chaudron. Et un briquet. Non, un feu follet ne fera pas l’affaire. Un briquet, lui aussi bien protégé.
Et maintenant que tu as ton feu, comment tu comptes la cuire, ta viande ? En la mettant dessus pour qu’elle grille tranquillement ? Tu parles. Il y a rien de plus dur à cuire que la viande de dragon des marais. Tu pourrais y passer des HEURES, et je te le promets, ton feu, il va pas durer des heures. Ou alors quoi, au bouillon ? En comptant sur l’eau pour attendrir ta viande ? Et ben bon courage. Tous les moustiques vont trouver qu’elle sent drôlement bon, ta tambouille, et une fois rameutés ils ne vont pas tarder à se dire que derrière ta croûte de vase séchée, toi aussi tu sens la chair fraiche après toi. Ils vont te dévorer vivant, c’est moi qui te le dit.
Non, non, le seul moyen, l’UNIQUE moyen de manger du dragon des marais, c’est la chasse au miroir. Tu t’avances doucement derrière un grand miroir. Le dragon, il se voit de dedans. Il se dit « oh putain, un autre dragon sur mon territoire ! » parce que c’est pas fut-fut, les dragons des marais, on va pas se mentir. Alors là il se met à gonfler, histoire d’impressionner l’autre. Et là il voit que dans le miroir, l’autre dragon se met à gonfler aussi ! Genre c’est un intrus et il essaye de l’impressionner ! Alors il va se gonfler encore plus ! Tu sais que les dragons se gonflent avec leur propre gaz. Et au bout d’un moment, à force de vouloir être plus gros que lui-même… ET BOUM ! Il va exploser.
Et là j’aime autant te dire, dragon des marais grillé par l’explosion de son propre gaz, il va être impeccable. Délicieux ! Et ça sera nettement moins fatiguant.
Crois-moi, quand on veut manger une viande aussi dure à cuire, il faut en avoir dans le ciboulot.
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#30jourspourécrire#30 jours pour écrire#17 août#marécage#dur à cuire#c’est en quelque sorte une fanfic du Disque-monde#en tout cas j’ai piqué leurs dragons des marais et le coup du miroir#mais on est bien d’accord qu’il ne faut pas faire ça#en tout cas pas à porté de dame Sybil Ramkin#et de son commissaire de mari#autrement dit nulle part sur le disque#pauvre bête#en même temps je trouve le principe beaucoup trop drôle pour ne pas l’exploiter#j’assume pas totalement#mais comment est-ce possible ?#me voilà encore à jour !#formidable#french#french writer#écriture
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Vincent renzi x reader! Him reading you a French novel in bed whilst you lay your head on his lap and he strokes your hair!
ABSOLUTELY oh my god... sorry for the bad french btw, I'm still not adept at it :'D. Short and sweet, hope you like it<33
(Fragments used come from "Les Misérables" by Victor Hugo)
CW: pet names, fluff
Vincent Renzi x gn!reader
wc: 380
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"Une heure après, quand elle fut rentrée dans sa chambre, elle pleura. C’était, nous l’avons dit, son premier amour." He continued reading trying his best to capture the mood of the book. He was lazily tracing the patterns of your scalp, soothing you.
"Elle s’était donnée à ce Tholomyès comme à un mari, et la pauvre fille avait un enfant." You were incredibly content with the state of things as they were. You could swear Vincent was stealing looks at your relaxed form but you were never quite sure because he never broke his focused demeanour.
Still stroking your head, he was appreaciating your presence. "Il y avait, dans le premier quart de ce siècle, à Montfermeil, près de Paris, une façon de gargote qui n’existe plus aujourd’hui." An idea popped into his head. "Oh combien il l’aimait, c’était comme si son cœur était sur le point de sauter de sa poitrine à tout moment..." he trailed off looking for a reaction from you.
You were trying to percieve the words that came from him, fairly certain they weren't part of the book he was reading. When you realised their meaning your face got hot. "Oh- Vincent...".
"Oui ma douceur?" He said playfully, brushing your hair out of your face. "Tu es la personne la plus magnifique que j’ai jamais connue, tu sais?"
You rose from your comfortable position and put your hand on his chest. "I don't think that's in the book Vincent." He put his hand over yours and asked. "Do you feel my heart my sweet?" You nodded bashfully. "You should know that it beats only for you."
Your cheeks were getting hotter by the minute. "I didn't take you for the poetic type." You jested. He feigned offence, putting his hand to his forehead which earned a laugh from you. "Ah, my love doubts my poetic nature. I shall never create sweet poetry with them again..."
"I never said that!" You chuckled and he grabbed your waist and situated you in his lap, giving you an opportunity to bury your face in the crook of his neck. You inhaled his sweet scent as he kept reading. "Cette gargote était tenue par des gens appelés Thénardier, mari et femme. Elle était située dans la ruelle du Boulanger."
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masterlist
#swann arlaud#x reader#vincent renzi#anatomy of a fall#vincent renzi x reader#vincent renzi x gn!reader#fluff
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Ph. La bouquiniste
"Un jour qu'il était ivre dans ma chambre, nous nous sommes mis à nous battre comme deux hommes. il ne m'épargnait aucun coup bas. Nous étions allongés par terre, nous contorsionnant dans toutes sortes de poses. Il m'avait plaquée au sol, avec mes jambes accrochées à son cou, puis sur le lit, avec la tête qui touchait presque par terre. J'ai cru que mon dos allait se briser. J'aimais sa force et son poids sur moi. je pouvais sentir son odeur lorsqu'il se pressait contre moi. Nous étions hors d'haleine. Je me cognai la tête contre le pied d'une chaise. La bagarre avait duré longtemps. " Avec mon mari, j'avais toujours eu honte de ma taille et de ma force. Cet homme, au contraire, s'en servait et s'en amusait. Je me sentais libre. Il me dit : "Tu ressembles à une tigresse. J'aime ça."
P.85
Anaïs Nin "Les petits oiseaux - Erotica 2 " Ed. Stock
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"Chère Gisèle Pelicot, vous êtes entrée dans nos vies comme au tribunal d’Avignon, par la grande porte. [...] Le jour de l’ouverture du procès de vos violeurs a aussi été celui de l’officialisation de votre divorce. [Une meute] vous attend dans la salle d’audience : celle des 50 hommes qui sont jugés pour viol en réunion. Il y en aurait des dizaines d’autres qu’on n’a pas pu identifier. Vous faites face. Rien ne vous préparait à être dans cette salle d’audience. Un des accusés est arrivé en retard parce que, dit-il, il devait accompagner son fils à l’école pour la rentrée. Je me suis demandé qui avait accompagné vos petits-enfants, qui faisaient, eux aussi, leur rentrée scolaire. Je sais que vous avez pensé à eux à ce moment précis.
Réalité difficile à accepter
Vous les voyez tous pour la première fois sauf ce voisin que vous croisiez parfois dans la vie d’avant, celle qui ne reviendra jamais, celle de la maison du Vaucluse et de l’ignorance préservée. Vous les regardez. Ils regardent leurs pieds. Ils n’avaient jamais vu vos yeux, Jean, Didier, Jean-Luc, Romain, Redouan, Cédric, Grégory, Karim, Jean-Marc, Philippe, Quentin, Nicolas, Vincent, Patrick, Paul et les autres… On ploie sous la longueur de la liste et la banalité des profils. Les trois quarts d’entre eux ne reconnaissent pas les viols, comme tous ceux qui font les gros titres de l’actualité, les PPDA, Nicolas Hulot, Salim Berrada, Gérard Miller, Olivier Duhamel, Benoît Jacquot, Jacques Doillon, Gérard Depardieu…
Leurs arguments sont toujours les mêmes. Ils font tourner l’infect disque rayé du mensonge complaisant. Ils n’ont pas compris ce qu’ils faisaient. Ils sont sûrs d’être, eux aussi, des types bien, pas des monstres, même quand on leur montre les vidéos des crimes. Ils sont pompier, journaliste, étudiant, chauffeur routier, gardien de prison, infirmier, retraité, conseiller municipal, nos amis, nos amants, nos pères, nos frères. Une réalité difficile à accepter.
Un seul s’est adressé à vous pour vous présenter des excuses. Leur défense est un échantillon chimiquement pur de la violence patriarcale et des masques derrière lesquels elle s’abrite pour prospérer. « Le patriarcat est dans la maison ce que le fascisme est dans le monde », écrivait Virginia Woolf dans Trois guinées (1938).
Certains évoquent le poncif éculé de la pulsion, d’autres la frustration sexuelle due à l’absence prolongée d’une compagne officielle. Il y a celui qui trouve « bizarre » d’avoir fait ça. On trouve aussi des traces de « libertinage incompris ». Il y a celui qui ose l’ahurissant « viol involontaire ».
« Consentement par délégation »
Puisque vous étiez comateuse, il est difficile de prétendre que vous étiez partante. Difficile, mais quelques-uns tentent quand même le « j’ai pu croire qu’elle faisait semblant de dormir ». Les plus audacieux essayent le « consentement par délégation » ; le mari était d’accord, « il fait ce qu’il veut avec sa femme ». Une femme est soumise à son compagnon. L’ordre immémorial de la hiérarchie masculine est respecté.
Ce qui est certain, c’est qu’ils ont tous bandé à l’idée de pénétrer un corps inerte. Le viol et l’ordinaire de la sexualité semblent avoir beaucoup de points communs dans leur esprit. Ils ont bien le droit. Ils ont le pouvoir de le faire. Ils n’allaient pas passer à côté d’un viol gratuit près de chez eux. Ils ont été biberonnés à la haine des femmes, au mépris qui s’excite de l’impuissance de l’autre. Le sexisme féroce transpire de leur discours. La pornographie violente dont certains collectionnaient les images les plus répugnantes y est sans doute pour quelque chose. La domination absolue les a fait jouir. Ils ne voient pas le problème. Même au tribunal. Même devant vous.
Ils font ce que font la plupart des hommes accusés : ils se victimisent et rajoutent une couche de mépris sur celle qu’ils ont déjà humiliée. Ils sont tombés dans un traquenard. On les a piégés. Vous êtes restée là, à les écouter sans ciller, droite sur le ring. Vous décrivez désormais votre vie comme un combat de boxe. Le combat est déloyal. L’adversaire a les armes du terrorisme patriarcal. Que vous soyez à terre ou debout, cassée ou le poing levé, votre droiture fait craqueler la carapace d’impunité qui les a longtemps protégés.
Ce n’est pas seulement vous, Gisèle, qu’ils ont traitée comme une chose. Ils nous disent, à toutes, notre insignifiance. Votre force nous rend la nôtre. Merci pour ce cadeau immense.
Hélène Devynck, journaliste et autrice d’Impunité, (Seuil, 2022)"
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Vu le dernier chapitre de Wakfu la grande vague, je me demande ce que dit Amalia sur Aurora, sur le fait qu'elle est ignorante de leurs coutumes, ne révèle pas en soi une forme d'hypocrisie ? Alors avant que vous venez m'incendier, laissez moi m'expliquer ! Quand elle a dû gérer le conflit entre le peuple Sadida et celui des éliatropes. Elle s'est mise du côté des Eliatrope malgré que tout comme Aurora, ils sont tout aussi ignorants de leurs coutumes. Bien que les Eliatropes sont un peu plus justifiés car ce sont des enfants venant d'un autre monde.
Mais pour le peuple Sadida, c'est un changement un peu trop brusque. Il ne s'est écoulé environ un an si je me trompe pas. C'est trop peu pour s'adapter avec un peuple qui vient d'arriver et l'autre qui a vécu depuis leur naissance ! Le peuple Sadida a l'impression que leurs voix ne sont pas entendu par leur reine. Et même si Yugo a son mot à dire, ça ne ferait qu'empirer les choses. Ils n'avaient pas la patience ni l'écoute envers le peuple Eliatrope ! Alors pourquoi ce serait différent avec le roi des éliatropes ? Et même si il est le mari d'Amalia, ça ne jouera pas non plus à sa faveur. D'ailleurs, il serait même possible que son peuple l'accuse de favoritisme envers les éliatropes. Ce qui pourrait très vite dégénérer et les Osamodas en profiteraient pour favoriser Aurora pour la prise du pouvoir !
Pour en revenir à Amalia, je trouve cette phrase intéressante car suite au choc d'apprendre la "grossesse" d'Aurora ainsi que le conflit entre les Sadida et les éliatropes. Elle n'arrive pas à réfléchir correctement ! En tant que reine, elle se sent impuissante, ne sachant plus quoi faire. Elle est censé les guider, les écouter, veiller sur eux mais n'arrive pas à trouver la solution qui pourrait contenter tout le monde. Pensant que "moralement" c'est ce qu'Armand aurait voulu or ce dernier avant de mourir, lui a confié le royaume. Montrant qu'il a justement confiance en elle pour endosser ce rôle et de permettre à leur royaume de prospérer !
Honnêtement si Armand avait survécu, je pense qu'il serait tiraillé. Car si la grossesse est vrai, alors au fond il aurait voulu ramener Aurora et son "enfant" auprès de lui mais de l'autre, il ne veut pas trahir sa soeur. Mais si elle est fausse, il serait toujours autant tiraillé mais serait du côté de sa soeur. Bien qu'il aura des regrets concernant Aurora. Car ouais même si ce couple n'était pas l'idéal non plus, je leur accorde que leur amour l'un pour l'autre était sincère ! Et d'une certaine manière, le fait qu'Aurora veuille reprendre le trône même si par les manigances de son père, c'est aussi pour récupérer la seule chose qui reste de son bien aimé ! Après ça n'excuse pas le comportement d'Aurora ni ses actes. Mais son amour pour Armand donne un côté sympathique au personnage.
Given the last chapter of Wakfu the great wave, I wonder if what Amalia says about Aurora, about her being ignorant of their customs, doesn't in itself reveal a form of hypocrisy? So wait before you come bashing me, let me explain! When she had to deal with the conflict between the Sadida people and the eliatropes. She sided with the Eliatropes despite the fact that, like Aurora, they are equally ignorant of their customs. Although the Eliatropes are a little more justified, as they are children from another world.
But for the Sadida people, the change is a little too abrupt. It's only been about a year, if I'm not mistaken. That's not enough time to adapt to one people who've just arrived and the other who've lived since they were born! The Sadida people have the impression that their voices aren't being heard by their queen. And even if Yugo had his word to say, it would only make things worse. They didn't have the patience or the willingness to listen to the Eliatrope people! So why should it be any different with the King of the Eliatropes? And even if he was Amalia's husband, that wouldn't work in his favor either. In fact, it's even possible that his people will accuse her of favoritism towards the eliatropes. This could very quickly degenerate, and the Osamodas would take advantage of the situation to favor Aurora's claim to the throne!
As for Amalia, I find this sentence interesting because it follows the shock of learning of Aurora's “pregnancy” and the conflict between the Sadida and the eliatropes. She can't think straight! As queen, she feels powerless, not knowing what to do. She's supposed to guide them, listen to them, watch over them, but she can't find a solution that will make everyone content. Thinking that “morally” this is what Armand would have wanted, he entrusted her with the kingdom before he died. Showing that he trusts her to carry out this role and allow their kingdom to prosper!
Honestly, if Armand had survived, I think he'd be torn. Because if the pregnancy is true, then deep down he would have wanted to bring Aurora and her “child” back to him, but on the other hand, he doesn't want to betray his sister. But if it's false, he'd still be torn, but he'd be on his sister's side. Although he will have regrets about Aurora. Because yeah even if this couple wasn't ideal either, I'll grant them that their love for each other was sincere! And in a way, the fact that Aurora wants to take back the throne, even if through her father's shenanigans, is also to recover the only thing left of her beloved! This doesn't excuse Aurora's behavior or her actions. But her love for Armand gives her character a sympathetic side.
#wakfu#wakfu the great wave#wakfu the great wave spoilers#amalia sheran sharm#wakfu aurora#yugo#armand sheran sharm
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mais tellement
les persos féminins manquent cruellement, et un certain nombre d'entre elles semblent ne pas avoir de pouvoirs/on sait pas leur pouvoir
Megan, Miss Moore, Héléna, la meuf dans la saison 3 que je me souviens pas du nom mais c'est judith vdf, toutes semblent ne pas avoir de pouvoirs. Claudine et Jane ont un pouvoir, mais Jane on l'apprend que dans les comics, et Claudine c'est en lisant les comics qu'on sait qu'elle a un pouvoir mais c'est pas très clair.
Alors elles ont pas besoin de pouvoirs pour avoir une importance au plot et être cool, mais dans une série de super-héros, c'est quand même assez sad que les seuls pouvoirs confirmés sont des blagues, des background characters, Eshana, et Mary. (bon certes le pouvoir de Jennifer c'est très bien pour montrer qu'à ce point les problèmes de couple avec John vont plus profondément que d'être de deux mondes différents, mais c'est jamais réutilisé par la suite et est ridicule, donc joke power)
Toujours sur le remplissage du wiki Hero Corp. Je m'attèle à des barres de navigation pour mettre à la fin de chaque page (comme ça se fait sur la plupart des wiki) et....
*bruits de criquets*
Il y a quand même très peu de personnages féminins... Et j'ai inclus Ongle Attack et Chevaline qu'on ne voit qu'une fois pendant 5 secondes. Alors qu'il n'y a pas forcément encore tous les personnages masculins.
Je trouve ça toujours très dommage, surtout sur une série de super-héros qui cassait beaucoup de trucs (des persos qui ressemblent pas à des top modèles, des gros, des vieux etc...) ç'aurait quand même été super d'avoir un peu plus de persos féminins et notamment des super-héroines avec des pouvoirs physiques. Une bonne grosse bucheronne de la campagne avec un pouvoir qui permet d'aller se taper la gueule avec des gonzs, ça aurait été une super addition quand même. Entre autres.
#et c'est rendu encore pire par le fait que simon ne sait pas gérer ses persos secondaires quand ils ne sont plus utiles#donc il les butte ou agit comme si ils n'existent pas#cd qui rend le destin de ces persos féminins assez nul#le sacrifice de Mary à la fin c'est très cool mais pas le meilleur des choix qand ton cast féminin est si limité#là y a que héléna et claudine qui ont des good endings le reste?#bah écoute miss moore est pas là donc de manière peu étonnante elle et klaus ça a pas duré#megan son deuxième mari est un super vilain in hiding qui l'avait maintenue prisonnière sans trol de remords#et son premier mari aux dernières nouvelles est toujours en train de perdre les pédales#(simon PLEASE dit moi ce qu'est devenu ethan)#jennifer? bah écoute son petit copain qui la traitait déjà bien mieux que john et qu'elle a pas mal risqué pour sauver l'a larguée#parce que son père QU'ELLE A RENIÉ ET LITTÉRALEMENT TENU UNE CAMPAGNE ÉLECTORALE CONTRE lui a brûlé le visage#son dernier shot dans la série elle est toute triste et misérable parce que la oauvre elle a genre. tout perdu.#ET PUIS VOILÀ AU REVOIR JENNIFER C'ÉTAIT SYMPA JENNIFER#(anyway post canon c'est une scénariste de films féministes à grand succès qui a pleins de girlfrifnds voilà j'ai décidé.)#brefouille simon mon chou merci pour la série j'adore mtn donne moi les droits pour que je fixe tes merdes <3
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En ce temps-là, Marie regarde le bulletin scolaire de son fils Jésus. MATH 3/20 : multiplie les pains à volonté, mais ne sait toujours pas faire une division! CHIMIE 2/20 : transforme l'eau en vin et incite ses petits camarades à consommer de l'alcool! SPORT 0/20 : Ne sait toujours pas nager et marche sur l'eau pour amuser la galerie! Marie fixe son fils droit dans les yeux et lui dit : - Avec un bulletin comme ça, mon garçon, tu peux faire une croix sur tes vacances de Pâques!
#En ce temps-là#Marie regarde le bulletin scolaire de son fils Jésus.#MATH 3/20 : multiplie les pains à volonté#mais ne sait toujours pas faire une division!#Marie fixe son fils droit dans les yeux et lui dit :#- Avec un bulletin comme ça#mon garçon#tu peux faire une croix sur tes vacances de Pâques!
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⚜ Le Cabinet Noir | Episode III, N°4 | Francesim, Versailles, 17 Thermidor An 230
On his return to Francesim, the young emperor spent time with his family in the gardens of Versailles. After reporting all the gossip from the Europesim summit and the political news, the subject of Louis Simparte comes up for discussion. An uneasy relationship develops between Napoleon V and his sister, which their mother Marie-Joséphine struggles to defuse. Hortense is curious to meet her grandfather, despite all the bad things she hears about him.
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⚜ Traduction française
A son retour en Francesim, le jeune empereur passe du temps avec sa famille dans les jardins de Versailles. Après avoir rapporté tous les potins du sommet d'Europesim et de l'actualité politique, le sujet de Louis Simparte tombe dans la discussion. Un malaise se crée entre Napoléon V et sa soeur, que leur mère Marie-Joséphine peine à désamorcer. Hortense est curieuse de rencontrer son grand-père, malgré tout le mal qu'elle entend de lui.
(Hortense) Devrions-nous vraiment juste... ignorer notre grand-père ? On ne peut pas haïr quelqu'un qu'on a jamais rencontré, Louis. Il faut qu'on s'en fasse une idée avant ton couronnement.
(Louis) Par pitié Maman, explique-lui.
(Hortense) Louis ! (Marie) Je suis d'accord avec ta soeur.
(Marie) Je ne peux pas vous empêcher de rencontrer votre grand-père, peu importe mes opinions. (Louis) Quelles sont-elles ?
(Marie) Je te l'ai dit, je suis d'accord avec ta soeur. (Napoléon) Mais-
(Hortense) J'aimerais le rencontrer, juste pour voir ce qu'il a à nous dire.
(Marie) Ce n'est que nos opinions Louis, parlons d'autre chose. (Louis) Bonne idée...
(Marie) Vous grandissez si vite, je suis fière de vous. (Hortense) Oh, Maman... Merci, nous sommes fiers de toi aussi.
(Hortense) Louis va devenir le plus grand souverain de tous les temps. (Napoléon) Tu me flattes, maintenant. (Hortense) Je suis sérieuse.
(Hortense) Le plus grand monarque dans le plus beau palais du monde (Napoléon) C'est vrai, je devrais faire de Versailles ma résidence officielle
#simparte#ts4#ts4 royal#royal simblr#sims 4 royal#sim : louis#sims 4 fr#sims 4#ts4 royalty#sims 4 royalty#sim : hortense#sim : marie joséphine#le cabinet noir#episode iii#sims 4 royal family#ts4 royal simblr#ts4 royal family#ts4 royals#royal sims#ts4 simblr#ts4 story
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Candaulisme
Scène de vie d’un candaulisme ordinaire...
Un soir, au retour d’un apéritif d’entreprise improvisé, ma femme ayant préféré rentrer à la maison pour ne pas me laisser seul (même si lorsqu’elle m’a appelé au téléphone pour me prévenir je lui ai laissé comme d’habitude la décision d’accompagner ses amis ou pas) , vint me rejoindre dans la pièce bureau de notre maison.
« Hello, chéri » m’adressa-t-elle en venant me gratifier d’un baiser rapide sur les lèvres « Tout va bien ? Ta journée ? »
« Oui, et toi ? Tu aurais pu rester tu sais...je travaille à mon prochain livre...Je t’ai préparé le repas...Tu trouveras tout de prêt dans la cuisine... »
« Merci Chéri me glissa-telle à l’oreille tout en m’embrassant à nouveau et en se collant contre moi... »
« Oh...toi... ! lui fis-je remarquer...toi, tu as quelque chose à me raconter...§ Je te connais tellement...Viens... »
En m’embrassant, elle s’était effectivement appuyée assez significativement contre moi ...Son odeur...Sa chaleur...Ses adorables seins qui pointaient au travers de son chemisier un peu plus ouvert qu’à son départ au matin...
« Hummm me fit-elle en minaudant...Euh, oui enfin, pas grand-chose...mais il faut que je te dise... A l’apéro ce soir, à la guinguette à côté de notre boite, il y avait pas mal de monde et on a un peu dansé. »
Ma femme adorait danser et j’adorais la voir danser ou savoir qu’elle avait été heureuse en dansant...Elle était belle et dansait réellement avec grâce et légèreté...ce qui ne manquait pas d’attirer plus encore les regards sur son corps entretenu.
Ce faisant, alors qu’elle continuait à embrasser mes lèvres avec une réelle et non feinte gourmandise, me bécotant, je passais ma main sous sa courte jupe du vendredi, une habitude du "vendredi tout est permis" chez elle, se permettant ainsi de ne rien porter en dessous...Elle était alors si sexy...Elle avait aussi ce soir là ajouté une de mes cravates sur son chemisier pour un effet « woorking-girl » libérée qui lui allait particulièrement bien...
« Oh...toi...C’est bien chaud et bien humide tout ça », lui dis-je en parcourant sa chatte aux lèvres déjà accueillantes et entrouvertes...
« Hummmm...Toi, tu as été coquine ce soir...Coquine... ? Très coquine... ? Raconte-moi !»
Elle s’assit ainsi sur moi en faisant tourner mon fauteuil pivotant...
« En fait, rien de prévu mais après un Mojito et quelques danses avec les collègues, un jeune homme s’est approché de moi et m’a fait du gringue...Imagines-toi qu’il est voisin...Il vient d’arriver dans la boite d’à côté et m’a dit qu’il m’avait souvent vue arriver le matin, que j’étais toujours super habillée et souriante...Il arrivait tôt car débutant et s’installait à une fenêtre de leur espace café en attendant l’arrivée des autres ... On a alors discuté, il m’a proposé un autre verre et on a fait quelques danses car il y avait une série de rock et tu sais que je ne sais pas résister à cette danse... Il danse d’ailleurs très bien pour un jeune d’une autre génération de musiques...D’un pas à l’autre , on a ri, on a discuté et à la fin de la série de danses, il m’a prise par l’épaule pour qu’on discute un peu à l’écart...Là, et j’ai réellement aimé ;, il ne m’a pas caché son attirance, qu’il aimerait me revoir, m’a donné son téléphone...Il est bien bâti comme j’aime, car joueur d’une équipe de rugby du village d’à côté...Son sourire était trop craquant et aussi un peu sa timidité...Il rougissait mais était tellement sincère que s’en était touchant...J’ai craqué... ! Je l’ai embrassé...Il n’en revenait pas... et surtout il m’a indiqué ma bague...Je l’ai rassuré en lui disant qu’il ne risquait rien et que j’avais le plus incroyable et merveilleux des maris qui me laissait totalement libre...Il n’en revenait réellement pas, enchaînant les « Mais... ? » incrédules...Aussi, je lui indiquais de rester là quelques instants , le temps que je t’appelle...Je t’ai appelé et ai décidé de te rejoindre, aussi , en retournant vers lui et en saluant les collègues de bureau, je l’ai pris par la main et entrainé sur le parking...Il faisait déjà nuit et ne lâchant pas sa main, je me suis appuyée sur ma voiture pour l’embrasser de nouveau et lui indiquer que nous ne serions pas sans nous revoir … ».
Pendant que ma femme me racontait son histoire, elle avait aussi remonté sa courte jupe sur ses merveilleuses fesses et se frottait sur mon sexe qui ne cessait de grandir au travers de l’étoffe de mon pantalon...
Je bandais comme un fou...
J’ouvrais adroitement ma braguette pour qu’elle s’empale sur mon dard à son zénith et rapidement elle « dansait » sur ma bite tout en continuant son adorable récit d’adorable salope qu’elle avait su être et plus encore à cet instant, qu'elle était...
Je crois que c’est elle qui me baisait pour être honnête...
Elle se déchainait et je réussi à attraper la cravate, sa cravate, ma cravate pour la tenir comme en laisse ou avec un guide et suivre le rythme qu’elle voulait comme un cow-boy suit le rythme de son cheval déchaîné tout en tentant d’en garder la maîtrise... !
Elle continua en me décrivant comment elle l’avait sucé entre les deux voitures, au risque de se faire voir par ses collègues qui ne devaient pas tarder à quitter l’établissement festif...
Elle me narrât en détail la queue de ce nouvel amant, son poids, sa forme, sa puissance, sa liqueur, son abondance et surtout le plaisir qu’elle avait pris à le sucer sauvagement sur le parking, le garçon toujours aussi incrédule de la bonne étoile de cette soirée...
Elle m’expliqua aussi combien il lui fut difficile d’arrêter sa main pendant le trajet du retour vers la maison et combien son esprit naviguait entre la queue de ce jeune homme et la mienne, impatiente de se faire démonter...
« Chéri...On sort ce soir ! J’ai trop envie...Je suis impatiente de toi, d’autres, des autres et de lundi... Je crois que pendant un moment je vais avoir le sourire en allant au boulot le matin... ! »
Telle était ma femme...
Tel était notre façon de vivre...
Sa façon d’être et de vivre notre Candaulisme...
La soirée était loin, très loin d’être achevée...
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🍒 LA POSITION D'ANDROMAQUE (en grec ancien Ἀνδρομάχη / Andromákhê, de ἀνήρ / anêr, « homme », et μάχη / máchê, « combat », d'où « celle qui combat les hommes » )
Hâvre de bien-être intérieur -dans l'intime de son sens- ou la Femme a le total contrôle à défaut de l'homme (normalement allongé), campé sous Elle, points de friction, frottement clitoridien, d'avant en arrière ou circulairement...
il est dit que c''est ainsi qu'Andromaque Héroïne de la Guerre de Troie, connaissait bibliquement son Epoux mais autant le dire sans préambule, c'est ainsi qu'elle aimait d'abondance et pratiquait l'acte de chair & d'amour en chevauchant à son seul gré & rythme Hector son Illustre Mari.
- A tel point que le nom d'Andromaque a été donné dans tout l'Occident à cette posture amoureuse
Divya Bliss
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PS : Le Célèbre Ouvrage KAMA SUTRA ou les Aphorismes du Désir datant du VIè et VIIème siècle appelle cette Connexion Amoureuse "la Jument (Vadavaka)" : Yeehaw...
ART ELISE COLLETSORAVITO
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L'expression "pervers narcissique" n'existe pas en psychanalyse, c’est un raccourci "psychologisant" qui prête à confusion et à accusation précipitée.
La "perversion narcissique" apparaît pour la premier fois sous la plume de Paul-Claude Racamier en 1986 dans Entre agonie psychique, déni psychotique et perversion narcissique, puis en 1987 dans La Perversion narcissique, puis en 1992 dans Génie des origines.
Elle a été popularisée dans les années 1990 par deux auteurs : Marie-France Hirigoyen et Alberto Eiguer. Puis, d'autres ouvrages ont repris le flambeau.
Malgré un écho populaire important, ce concept — qui n’en est pas un pour cause de laxisme lexical — reste marginal et limité à la littérature francophone, en partie pour la bonne raison que toute perversion est un trouble du narcissisme.
Les maladies n'étant jamais définies à travers une personnification, il ne peut y avoir aucune définition médicale directe du "pervers narcissique", pas plus que de l'autiste ou du psychotique.
Seule une définition de la perversion est envisageable ; à ne pas confondre avec la perversité, telle personne choisissant d'utiliser des stratégies perverses dans ses relations avec les autres…
Petit rappel sur la notion de perversion en psychanalyse
Par la structure de langage incorporé, le sujet se relie à son (lot de) savoir inconscient selon trois modalités logiques: la névrose à partir d'une position "je ne veux pas savoir", la psychose "je ne peux pas savoir" et la perversion "je sais bien, mais quand même (...je sais dénier ce savoir).
Le fonctionnement de la perversion peut se saisir à partir de la formule du fantasme $<>a.
Dans sa stratégie, le pervers s'identifie à l'objet a (voix ou regard) pour se faire l'instrument de la jouissance de l'Autre et lui faire supporter sa propre division ($) à laquelle il apporte ainsi un démenti.
L'autre du pervers, sa partenaire, incarnant alors, à son corps défendant, l'être-sujet du pervers ($), dont il dément la division en lui attribuant, par un leurre, le Phallus (qui est l'instrument d'une jouissance supposée sans entrave).
Autrement dit la partenaire du pervers est élevée à la position du grand Autre non-barré.
Mais s'étant laissée prendre au jeu du pervers, elle se trouve assujettie à son caprice qui peut à tout moment lui retirer ce Phallus qu'il lui a attribué.
Le pervers avait initié ce procédé enfant, en s'identifiant à sa mère et en faisant d'elle une "mère-phallique" (dans son fantasme, cela ne signifiant pas qu'elle le soit réellement) lorsque, pendant ses absences, il allait dans son armoire humer ses vêtements, essayer ses affaires les plus intimes, imaginant ainsi connaître ses jouissances ; et c'est cette fixation qui l'a conduit à la perversion.
La partenaire du pervers vient ainsi se substituer à "La Femme qui n'existe pas" de ses fantasmes.
Le sujet pervers, faisant subir à sa partenaire ses caprices, se fait "maître" et "éducateur" pour elle, convaincu qu'il lui apprend tout ce qu'elle ignorait, sa jouissance et son désir.
Évidemment le leurre n'est pas tenable longtemps, la victime qui ne comprend rien à l'affaire d'autant plus qu'elle peut être terrorisée et jugée par son tortionnaire comme n'étant pas à la hauteur - cela se produit au moment où, sur le point de révéler que c'est lui qui est en cause, dans un dernier sursaut pour ne pas être obligé de reconnaître sa propre impuissance, il va rejeter celle-ci comme un déchet...
Pour recommencer avec une autre.
La perversion est en définitive une tentative désespérée de vouloir codifier la transgression de la Loi.
Autrement dit escamoter le Réel de la castration.
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L'auto stoppeur
Lors d'un week end ou nous avions 3 heures de route, nous avons croisé un auto stoppeur sur le bord de la route.
Le pouce bien en l'air, 25 ans, le gros sac a dos, les cheveux aux vent, le short multi poches, la chemise ouverte, le débardeur blanc.
Nous le faisons monter a l'arrière, et commençons à discuter de tout, de rien.
Il nous dit partir rejoindre des amis et que nous sommes fort sympathiques de l'emmener.
Pour l'occasion de notre weekend, j'avais mis une jupe assez volante et un débardeur près du corps. Il faisait chaud.
Mon mari a fait dévier la conversation, en demandant à notre invité, s'il avait une petite amie, si cela faisait longtemps qu'il était parti, s'il avait été pris en auto stop par denombreuses personnes, si parfois cela avait dévié....
Nous avons vite compris que notre nouvel ami n'était pas contre un peu d'action.
Mon mari lui a donc demandé de glisser sur le siège derrière lui afin de pouvoir me regarder a sa guise.
Il m'a fait ouvrir mes cuisses et enlever mon string.
Tout en conduisant (vive les voitures automatiques), mon mari a commencé à me caresser la peau de mes cuisses.
Il faisait chaud, très chaud...
Il a alors demandé à notre invité de se mettre sur le siège derrière moi et lui a donné feu vert pour me peloter autant qu'il le souhaitait sans restriction....
J'ai vite senti ses mains se promener le long de mes seins, glissant sous mon débardeur afin de les soupeser, de les pincer, faisant rouler mes tétons entre ses doigts.
Elles ont continué leur chemin vers ma jupe, et il n'a pas fallut longtemps a ce jeune homme pour trouver l'entrée.
Il a senti mon excitation, l'humidité de mon antre et y a très vite glissé ses doigts.
Il se les aient léchés puis en a fait de même avec ma bouche.
Une main sur un sein, l'autre sur mon clitoris, il a commencé sa stimulation, tout cela sous le regard de mon mari qui faisait courir sa main sur ma cuisse.
Il n'a pas fallut longtemps pour que mes cris remplissent l'habitacle de la voiture.
Mon mari a arrêté la voiture sur le bas côté, m'a embrassé goulûment puis m'a dit de passer a l'arrière pour remercier notre auto stoppeur le temps de finir la route. Il ne restait que 15 minutes pour le faire venir avec ma bouche.
Au vue du niveau d'excitation, vous pouvez imaginer qu'il n'a pas fallut 15 minutes a notre ami pour venir entre ma bouche sur son sexe et mes mains sur ses boules...
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Automne 1928 - Champs-les-Sims
2/5
Et bien sur, c'est sans compter sur sa faiblesse physique grandissante, mais assez attendue chez une dame de son âge qui a battu le record de longévité de la commune avec une confortable avance. Elle m'a même délégué tout ce qui tient à la gestion du foyer. En apprenant la nouvelle, Oncle Adelphe s'est immédiatement affolé, et je peux comprendre pourquoi. De toute sa vie, il n'a jamais vu Eugénie Le Bris céder du terrain à qui que ce soit sur ce sujet. Et mon oncle va sur ses cinquante-trois ans.
J'avoue avoir été complètement dépassée sur le sujet. Tous ces sujets n'ont jamais été abordés par l'école puis par mon précepteur, si ce n'est le volet comptable. Encore moins par mon oncle d'ailleurs. J'ai du m'en remettre à Mademoiselle Laroche et Ange, qui s'est avéré un excellent gestionnaire.
Transcription :
Aurore « Madame, j’ai quelques questions à vous poser si vous avez un peu de temps. »
Arsinoé « J’ai un peu de temps pour moi, je vous en prie. »
Aurore « C’est à propos de la cuisine Madame. Ah et aussi de la literie. »
Arsinoé « La literie ? »
Aurore « Dois-je la changer une fois la semaine ou deux ? Et à quelle heure dois-je faire les lits le matin ? Et en ce qui concerne la cuisine, avez-vous des exigences sur les menus ? Cela me fait penser que l’épicerie a de nouveaux fournisseurs pour le sucre, Monsieur Norel a décidé de planter presque 200 ares de betteraves pour produire au local. Voulez-vous qu’on fasse importer... »
Arsinoé « Attendez une seconde ! Je croyais que la plupart de ces questions étaient réglées par Madame Le Bris depuis un moment. »
Aurore « C’est que Madame est de plus en plus souvent alitée, et elle en a eu assez hier que je vienne lui poser des questions sur le fonctionnement de la maison alors qu’elle avait besoin de repos. Alors elle a dit que tout devra passer par vous et votre mari désormais. »
Marc-Antoine « Tu entends ça Noé ? Te voici enfin maîtresse en ta maison ! »
Aurore « Alors je dois tout voir avec vous Madame. »
Marc-Antoine « Si ça peut vous décharger, je peux émettre quelques recommandations qui... »
Aurore « Je demandais à Madame. Il s’agit de sa maison. »
Arsinoé « Je ne connais pas beaucoup de choses en économie domestique… Enfin, sur le volet financier ce ne sera pas un problème, mais pour le reste… »
Aurore « Puis-je proposer quelques idées à Madame ? »
Arsinoé « Oh oui, s’il vous plaît ! »
Aurore « Je propose de changer les draps une fois par semaine, pour me laisser davantage de temps de lessive que je pourrai consacrer au ménage. Par ailleurs, je propose que le changement se fasse le dimanche, je pourrai ainsi ouvrir les pièces pendant que vous êtes à la messe. Jusqu’à présent, les draps étaient changés trop souvent si voulez mon avis. »
Arsinoé « Vous connaissez ces affaires mieux que moi. Disons que sur le chapitre du fonctionnement et de l’ergonomie, je vous laisse les mains libres. Mais rapportez moi le volume de vos tâches hebdomadaires tout de même. »
Aurore « Et la cuisine ? Il n’y a rien à changer sur le fonctionnement, mais l’équipement est assez vieillot. Et qu’en est-il des menus ? »
Arsinoé « Je verrai pour installer des appareils récents le mois prochain. Et qu’y a t-il par rapport aux menus ? »
Aurore « Souhaitez-vous des changements ? Quand je suis arrivée, votre mère a spécifié qu’elle voulait une cuisine traditionnelle, mis à part pour les crêpes préférées de votre père. »
Marc-Antoine « Oh oui par pitié, un peu de nouveauté ! Je ne sais pas, mais j’aimerais essayer des choses qui vont un peu au-delà des frontières du département. Ou alors, soyons fous, de l’autre côté de nos fronti��res régionales ! »
Arsinoé « Rien de spécifique ne me vient. Dans tous les cas, veillez à ne pas changer les habitudes alimentaires de ma grand-mère. »
Aurore « Bien entendu Madame. »
Arsinoé « En ce qui concerne les menus, mon mari aura peut-être davantage d’idées. Il vit à Paris une partie du temps et saura nous dire ce qui est à la mode dans les cafés et les restaurants. »
Marc-Antoine « Je vis à Paris aussi ! Et j’ai justement quelques suggestions ! »
Arsinoé « Sachez aussi que les suggestions de mon frère ne sont pas à appliquer séance tenante. »
Marc-Antoine « Je t’entends tu sais ? »
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Probablement l'un des meilleurs sketchs jamais écrits. Une dame quitte une soirée où elle était invitée après avoir certifié à la maîtresse de maison que ce fut un moment formidable, et l'instant d'après, une fois dans la voiture avec son mari, elle se met à dire pis que pendre de cette soirée écoulée. Eh bien TOUS les gens à qui j'ai fait écouter ce sketch ont dit "c'est exactement ainsi que parle ma mère à chaque retour d'invitation". Ce degré d'hypocrisie est peut-être un signe des temps avec une portée plus large qui sait…
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Dans une maison, il y a un couple qui sont dans leur chambre, et l'épouse va bientôt mourir. Elle est allongée sur le lit, et avant qu'elle meure, elle dit à son mari : -J'ai besoin de te confesser quelque chose de sérieux... Le mari répond : -Il n'y a rien à confesser, tout va bien... La femme : -Non ! J'ai besoin de mourir en paix ! Je dois vraiment te confesser quelque chose de sérieux ! Voila, j'ai baisé avec ton frère, ton meilleur pote, le pote de ton meilleur pote et avec ton père ! -Oui je sais tout cela chérie... C'est pour cela que je t'ai empoisonné. Maintenant, ferme les yeux.
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