#et dit à son mari :
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lilias42 · 2 months ago
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13 : s'adonner à leur passe-temps favori
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Lorenz observe son ancêtre, le Brave de la Terre Mettius Gloucester Paenitens dit les Mains Fertiles, exercer son métier : potier.
Nouveau jour, nouvelle paire d'ancêtre et de descendant avec Lorenz qui rencontre son ancêtre Paenitens, qui n'est pas pas exactement comme il l'imaginait.
Paenitens est un homme très calme, très silencieux et consciencieux qui aime par dessus tout travailler tranquillement seul dans son atelier sans qu'on vienne le déranger, tout en étant très fier de son travail qui est également sa passion (sa relation avec sa sorcellerie a une base... compliquée). Il n'y a pas grand-chose qu'il déteste plus que quelqu'un qui viendrait le voir en lui demandant "mais pourquoi tu n'utilises pas tes pouvoirs pour faire tes pots plus vite et plus ?" car, il considère que c'est bâclé le travail et que ces céramiques faites sans efforts n'ont aucune valeur. S'il vous refile une céramique fait comme ça, c'est qu'il veut vous voir dégager de son atelier, s'il ne vous a pas déjà fait dégager en déplaçant la terre sous vos pieds. Il peut être gentil et il aide son village sans souci en rendant les terres plus fertiles mais, il est juste pas très sociable et aime sa tranquillité, même si sa langue se délie assez facilement pour parler métier et technique. C'est ce qui lui a permis de se lier d'amitié avec Indech (il est l'un des deux seuls Braves à avoir rencontré un nabatéen avant la guerre dans ma fanon), ils pouvaient passer beaucoup de temps à travailler ensemble et ils ont fini par devenir amis avec le temps.
Alors, je vous laisse imaginer le contraste décapant avec Lorenz quand ils se rencontrent !
Si de visage (pour la moitié de visage qui reste à Paenitens), ils se ressemblent beaucoup tous les deux, Lorenz est aussi flamboyant, fanfaron et très fier de son rang que Paenitens discret, taiseux et modeste. Il est également très étonné de sa relative pauvret�� : les légendes autour de Gloucester ont gardé le fait qu'il soit potier de base, il est même reconnu pour ça et être un excellent peintre, même si c'est assez peu évoqué pour surtout se concentrer sur sa sorcellerie qui a rendu les sols de Gloucester extrêmement fertiles, et Lorenz s'imaginait plus quelqu'un ayant un atelier avec plusieurs petites mains, et lui ne s'occuperait que de la peinture des pièces les plus prestigieuse. Alors se retrouver avec un homme habillé très simplement qui fait tout lui-même dans son coin et qu'il n'a pas d'employé à part une aide chez lui, et qui se définit lui-même comme étant d'abord un potier, un membre de son peuple puis un sorcier... voilà quoi, d'un côté, il est extrêmement fier d'avoir un ancêtre aussi talentueux mais de l'autre, il ne s'attendait clairement pas à ça.
Autre point qui l'étonne, c'est son handicap très lourd. Paenitens boite vraiment, même avec sa canne (qu'il a fait tenir à Lorenz pour éviter qu'elle ne tombe tout le temps), marche difficilement, et a beaucoup de mal à utiliser le côté droit de son corps, qu'il cache constamment sous ses très longs cheveux de sorciers (la coiffure de Lorenz après l'ellipse viendrait également des représentations de son ancêtre qu'il imite).
En fait, ce qui a rendu infirme Paenitens - Ultor à ce moment-là, littéralement "le vengeur" -, c'est qu'il n'a pas suivi les règles de la sorcellerie dont la règle fondamentale est que le sorcier doit toujours payé le prix de sa sorcellerie lui-même, règle qu'il n'a pas suivi lorsqu'un jour, ivre de colère et de vengeance contre "la créature de feu" et trouvant qu'il ne progressait pas assez vite, il a tenté d'utiliser une petite partie de l'énergie vitale d'un animal pour se renforcer lui-même. Dès qu'il a essayé, sa sorcellerie s'est complètement retourné contre lui et au lieu d'ajouter une fierté, elle s'est mise à dévorer son côté droit. Si Kelon (l'ancêtre de Claude, d'une cité voisine, même si c'est deux peuples différents) ne l'avait pas senti et arrivé aussi vite grâce à ses ailes, Paenitens serait mort à cause de sa transgression. En punition, tout son côté droit est à découvert avec quelques morceaux de muscle qui reste mais, c'est surtout un squelette de métal (qui vient d'une fierté pour le coup, ça a renforcé son corps) qui n'a plus beaucoup de force, d'où le fait qu'il est beaucoup de mal à se mouvoir et a besoin d'aide dans sa vie quotidienne (c'est vieux mais, il ressemble au dernier dessin dessin sous la coupe - attention, horreur corporel -). La sorcellerie, c'est dangereux, il faut respecter les règles sinon, elle ne vous ratera pas, ce qu'il a appris à ses dépends.
Il ne vivait que pour sa vengeance à ce moment-là, il voulait se venger de la "créature de feu" qui avait chassé son peuple de sa ville (même s'il oublie assez vite que si elle a fait ça, c'est parce que son peuple a lui a capturé et asservi tous les hommes de son peuple à elle en son absence - car ils ne l'avaient pas écouté mais ça, c'est une histoire pour plus tard - et qu'elle ne les a pas asservis, elle les a "juste" chassés étant donné qu'une fois vaincu après un coup pareil et vu qu'ils cherchent à s'installer, on met à mort les têtes pensantes et on réduit en esclavage tous les autres afin d'avoir de la main d'oeuvre docile, et au lieu de leur voler tout ce qu'ils avaient, elle les a laissés partir avec une grosse partie de leur bétail et de la nourriture pour éviter qu'ils meurent de faim et grand mécontentement de son propre peuple à elle, elle a pris un sacré risque et a surement dû imposer sa décision aux siens au lieu de la voter) et reprendre ses terres mais là, d'un, il se retrouve lourdement handicapé en pouvant à peine marcher correctement, de deux, ses pouvoirs vont nettement moins bien se développer qu'ils ne le devraient après une telle transgression, et pour finir, Kelon lui dit clairement qu'il ne pourra jamais vaincre sa "créature de feu", elle le fera juste fondre avant et elle est bien trop forte pour lui, tout en lui expliquant que dans sa cité, normalement, quand on s'installe quelque part, s'il y a déjà un autre peuple qui habite-là, on le réduit en esclavage une fois vaincu mais, pas l'esclavage antique classique où vous avez un espoir de vous faire libérer, non, là, y a quasi aucun espoir d'être affranchi un jour, on leur inculque bien qu'ils sont inférieurs et juste des serviteurs avec tout un tas de mesure humiliantes et coercitives et pour faire taire ceux qui se plaignent trop fort ou qui ont un caractère trop fort, il y a la cryptie à la fin de l'agoge (entrainement des enfants de citoyens) des meilleurs élèves, où ils doivent tuer des hilotes sans se faire prendre.
Kelon connait très bien cette "créature de feu" alors, il sait qu'elle est contre l'esclavage et encore plus qu'on traite les hilotes de cette manière et que dans la situation où ils étaient tous, ça devait la meilleure des solutions : les chasser en les laissant en vie avec de quoi survivre pendant un moment, et en empêchant les hommes de sa cité ne les poursuivre pour les asservir. On est chez des grecs pour ces deux-là, c'est très dur d'imaginer qu'on puisse avoir des relations d'égal à égal (c'est quand même eux qui ont inventé le concept d'hégémon qui domine tous les autres et est au sommet tout en profitant bien au passage) alors que deux peuples aussi différents puissent se mélanger, même si Kelon et "la créature" peuvent y penser en se disant "on peut peut-être cohabiter sans s'entretuer tout le temps, même si c'est très difficile" sans que l'un puisse asservir l'autre ou l'écraser, c'est quasi impossible pour leurs contemporains, les cités grecques se battaient entre elles pour des arbres coupés au mauvais endroit quand même.
Même eux, on leur dit que dans le futur, des peuples très différents à leur époque vont se retrouver dans le même pays et que leur continent va être divisé en trois territoires dirigés par de grandes familles de manière héréditaire, ce serait limite lunaire (moins pour elle mais quand même, elle trouverait ça profondément stupide de laisser autant de pouvoir à un seul roi sans un deuxième pour qu'ils s'entretuent tous les deux pour avoir la primauté sur l'autre, et sans les éphores pour les réguler et les calmer quand ils font n'importe quoi, et beaucoup plus pour Kelon qui vit dans une démocratie), surtout que les grecs sont très jaloux de leur indépendance. C'est même assez général cette manière de pensée que "on peut se supporter de loin mais, faire des alliances entre peuples très différents les uns des autres, on va pas pousser, on se connait tous assez peu et on est en concurrence pour le territoire, sauf peut-être des alliances militaires pour dégager un voisin un peu trop agressif et encore, c'est vraiment de circonstance et ça ne dure pas" alors, ça ne vient pas tout seul l'idée de cohabitation entre deux peuples, encore plus entre un qui est de culture grec / spartiate et un de culture bien plus celte et gauloise pour celui de Paenitens (c'est par exemple le cas pour Simplex, Pertinax et Laeta, respectivement ancêtre des Blaiddyd, Fraldarius et Dominic qui sont extrêmement proches, ils ont passé des années comme conservi, des compagnons d'esclavage, ont survécu à la servitude ensemble, sont devenus des sorciers ensembles et même mené une révolution qui abolira l'esclavage dans le peuple de Simplex ensemble mais, ils ne se diront jamais "amis" de leur vie jusqu'à la veille de leur mort car, ils savent qu'il y a toujours un risque que leurs peuples entrent en guerre les uns contre les autres et qu'ils ne veulent pas les trahir, même si ça les déchirerait de s'affronter les uns les autres). Ce qui maintient un semblant de paix entre les cités, c'est souvent qu'il y a des sorciers dans l'une des deux et pas dans l'autre, ce qui impose rapidement un rapport de force et qu'en général, les sorciers sont assez sages pour éviter d'utiliser leurs pouvoirs à la guerre histoire de ne pas faire trop de dégâts, même si c'est un équilibre fragile, et quand Némésis passe, puis les adrestiens passent en interdisant la sorcellerie en les pensant complices de Némésis et des agarthans (et tombant dans le piège de ces derniers au passage visant à brûler tout ce qui les a remplacé à la surface, que ce soit les créations de Sothis ou ses "enfants adoptifs"), ça rabat toutes les cartes avec des peuples qui profitent que le sorcier d'à côté meurt à force de ne pas pouvoir s'entrainer pour venir les terres du voisin plus petits et crée un chaos monumental. Enfin bref, revenons à l'histoire de Paenitens quand Kelon lui explique qu'il ne pourra sans doute jamais vaincre son ennemie et que lui-même se rend compte qu'il ne pourra surement pas faire le voyage.
En plus de tout ça, c'est sans compter qu'il va bientôt avoir une nouvelle arrivante dans leur coin : Daphnel, Brave des Vents surnommée par son peuple (d'origine duscurienne, là où Kelon arrive d'Almyra et est de culture grec pour un équivalent dans notre monde, et celui de Paenitens est descendu de Sreng en quête de meilleures terres et poussé par d'autre peuple, et il est d'inspiration gauloise... oui, ça va être compliqué pour s'entendre, surtout qu'aucun des peuples des trois ne parlent la même langue ou une langue proche pour ne pas arranger les choses) "la Bourrasque enragée" quand elle le retrouvera à cause de son tempérament de feu et plutôt sanguin, également bien remontée contre le peuple de Paenitens après que ce dernier ait souvent attaqué son peuple à elle pour capturer des gens et les réduire en esclavage, elle compris, ce qui a poussé son peuple à quitter leurs terres pour arriver sur les futurs terres de Daphnel - et en ayant plus beaucoup de nourriture à emporter vu qu'ils se faisaient piller tout le temps -, et elle adore cette "créature de feu" qui la libérer de sa cage d'esclave et élevée donc, elle ne le laissera pas trop s'approcher ou passer par ses terres. Comment dire qu'au début et pendant un bon moment, c'est compliqué.
Quand ils se rencontrent ces deux-là et qu'ils finissent par apprendre comme ils peuvent la langue de l'autre pour se comprendre un minimum (même si c'est surtout Paenitens qui doit se mettre au grec vu que c'est la langue maternelle de Kelon et que Daphnel le parle couramment aussi, même si c'est un dialecte différent du sien), elle ne lui fera aucun cadeau, encore plus en voyant bien qu'il a utilisé de la magie interdite, et lui mettra bien la tête au fond du plat pour lui rappeler que ouais, niveau esclavagisme et traitement des esclaves, ils étaient particulièrement horribles, même pour l'époque, et les traitaient aussi comme des animaux, ce qui a poussé son peuple à elle à se barrer à force d'être harcelé et pillé, et sa "créature de feu" a eu des problèmes quand elle les a laissé filer ainsi avec de la nourriture vu que normalement, les vivres, tu les gardes jalousement pour toi, et parce que les siens ont trouvé qu'elle s'était comportée en tyran pour avoir décidé pour tout le monde sans consulter personne. Sous le règne du peuple de Paenitens, Daphnel a quand même fini elle-même dans une cage sans nourriture pendant des jours car elle se débattait trop et qu'elle aurait surement fini tuer à cause de ses tentatives de fuite, tant pis si on gaspille la marchandise, on en récupérera toujours d'autres chez les voisins ! Ils ont surtout goutté à leur propre médecine ce jour-là (en légèrement moins pire vu qu'elle les a laissés partir avec une partie de leur réserve), et étrangement, quand on se retrouve de l'autre côté de la barrière, c'est nettement moins confortable. Pour Daphnel, même si elle est d'accord sur le fait que ce soit horrible de se faire chasser de sa maison ainsi - son propre peuple a subi la même chose quand même alors, elle sait à quel point c'est horrible -, au final, ils n'ont fait que subir ce qu'ils ont fait subir aux autres, et c'est pas elle qui va les plaindre pour s'être pris les conséquences de leurs actes en pleine figure, et ils ont évité le pire vu qu'ils auraient pu être tous asservis jusqu'au dernier pour devenir des hilotes.
Alors, après un long moment à réfléchir alors qu'il panse ses blessures et tout ça, même si c'est dur car c'est à quoi il a consacré sa vie pendant tout ce temps, il décide de laisser tomber sa vengeance et de se concentrer sur son peuple. Il se rend compte qu'il a oublié le plus important à cause d'elle et que cela lui a fait faire quelque chose d'atroce car, il ne pensait qu'à ça tout en négligeant son peuple alors qu'il avait besoin de lui, surtout que ses pouvoirs sont bien plus utiles pour aider les autres que pour faire couler encore plus de sang. Il en voudra toujours à cette "créature de feu" et même s'il ne la recroisera jamais de sa vie, ce serait extrêmement tendu s'il la recroise et il la haïra jusqu'à sa mort mais, vu son état et ce que sa soif de vengeance l'a déjà poussé à faire, il préfère se reconcentrer sur son peuple et prend le nom de Paenitens, "qui regrette, qui se repent", pour essayer de réparer toutes ses erreurs, notamment tout ce qui l'a mené à sa transgression.
Il reprend donc son métier de base et devient potier. Il ne s'arrêtera jamais de s'entrainer, autant parce que le jour où il s'arrête, ça le tuera car il a trop de magie en lui pour s'arrêter, mais aussi car il se rend bien compte que sa magie peut aider son peuple. Paenitens maitrise la terre, il fait donc tout ce qu'il peut pour rendre leurs terres les plus fertiles possibles pour qu'ils aient tous ce dont ils ont besoin, et n'ait pas besoin d'avoir recours à de la main d'oeuvre servile en attaquant les voisins. Il se met aussi à voter constamment pour éviter la guerre afin de ne pas recommencer le cycle de violence, surtout qu'avec autant de sorciers puissants, ils risqueraient de transformer leurs terres en enfer à ciel ouvert s'ils s'affrontaient, surtout que même s'il a à peu près le même âge que Daphnel, Kelon est bien plus âgé et pourrait sans trop de problème les vaincre s'il donnait tout ce qu'il avait, même s'il ne veut surtout pas en arriver là. Il a une relation très tendue avec sa propre magie, il est quand même devenu sorcier à la base pour se venger, et la moitié droite de son corps lui rappelle sans cesse ce qu'il a osé faire pour ça mais, il arrive petit à petit à mieux l'accepter quand sa magie devient une source d'aide pour les siens plus qu'un outil de mort et de vengeance.
Au moment de sa vie où il en est dans ce dessin où il rencontre Lorenz, plus de trois cents ans se sont écoulé depuis ses évènements et il s'est bien calmé. Il a fini par accepter sa magie et l'utilise toujours pour fertiliser les champs de son peuple (bénédiction toujours présente dans le présent) mais aussi un peu pour s'aider au quotidien avec son handicap. Les relations avec ses voisins sorciers vont un peu mieux, même s'il ne le montre pas trop étant donné qu'on ne sait jamais ce qui peut arriver entre trois cités aussi différentes et que l'ombre d'une possible guerre plane toujours. Il s'est même fait un ami d'un voyageur un peu étrange qui parcourait ce qu'il appelait "Fodlan" pour étudier les techniques artisanales des différents peuples qu'ils croisent, et qui était très intéressé par la sorcellerie, un certain Indech, un gentil artisan très timide et préférant la solitude de son atelier à la foule, comme Paenitens. Ils vont devenir très amis avec le temps, et jusqu'à la fin, Paenitens s'en fera beaucoup pour lui, surtout après que Némésis l'ait vaincu et forcé à boire du sang de la même couleur que celui d'Indech, ayant très peur que ce soit celui de son ami, avant de le retrouver bien plus tard mais malheureusement pour eux, ce sera sur le champ de bataille mais ça, c'est pour plus tard. Là, il peint tranquillement ses pots avec Lorenz qui est d'abord très étonné par sa personnalité et sa manière d'être, puis apprendra à respecter son ancêtre pour qui il est et son talent, même si ça ne correspond pas forcément à l'idée qu'il s'en faisait à la base.
Comme toujours, un point sur le dessin en lui-même :
Pour les motifs des pots de Paenitens, je me suis basé sur cet article et je m'en étais pas rendu compte à la base mais, c'est un article de Robert Périchon qui parle des céramiques du Crêt Chatelard. Alors, Robert Périchon, ça commence à dater mais, c'est solide en général pour tout ce qui est matériel pur, et vous avez une autre raison de passer dans la Loire : voir Crêt Chatelard et ses fouilles gauloises ! C'est incroyable tout ce que les dianistes ont sorti là-bas ! (et aller à la Diana de Montbrison, c'est très intéressant aussi !) Donc, ça tombait bien !
Pour la coupe de ses vêtements, je me suis inspirée des reconstitutions du Parc Samara comme très souvent. J'ai juste débarrasser Paenitens de tout bijou, motif un peu tape à l'oeil, ornement... pour le rendre plus austère, ce qui colle à sa pénitence, il pense qu'il n'a pas à porter des bijoux aussi voyant, et à sa personnalité plus discrète, tout en le mettant en opposition avec Lorenz qui aime tout ce qui est très vif et soigne beaucoup son apparence.
Je l'ai tourné du côté gauche afin qu'on puisse voir son expression (son côté droit est constamment caché par ses cheveux, il ne le montre que pour mettre en garde les gens), ainsi que ses fiertés : sa peau est assez meubles, un peu comme de l'argile, même si elle craquèle à plusieurs endroits à cause des retombés de sa transgression. Même si c'est surtout son côté droit qui est tombé en lambeau, son côté gauche aurait dû subir le même sort si Kelon n'était pas arrivé à temps.
Enfin, ça ne se voie pas beaucoup mais, sa main droite est entouré dans des bandages afin de cacher qu'il n'a plus qu'un squelette de métal (qu'on peut voir dépassé sur son cou et une partie de son nez) et quelques ligaments pour tenir tout ça. Il peut aussi entourer sa main d'une gangue de terre pour mieux cacher ça et pouvoir mieux utiliser sa main droite mais, il le fait rarement, autant pour de nouveau respecter sa punition, mais aussi parce que ça l'épuise.
#fe3h oc drawcember#fe3h oc#dessin de curieuse#écriture de curieuse#j'espère que ça vous plait surtout !#c'est l'histoire de Brave dont je suis le moins sûre mais j'espère que l'équilibre est respecté...#si vraiment cette histoire là est trop mauvaise ou enlaidit trop les personnages je la changerai#si la plupart des Braves ne se connaissent pas - encore moins tous - ceux qui se connaissent n'ont pas forcément de bonnes relations#le trio de Faerghus s'entend très bien avec Loquax qui est plus à part mais est pacifique alors ça passe...#mais pour Leicester c'est une toute autre histoire et les passifs entre les peuples peuvent être très lourds#il y a de ça à Faerghus même si ça calme mais côté Leicester s'est bien plus vif#et t'as aussi les limitations de l'époque où on peut penser qu'on se supportera les uns les autres surtout en cas de pépin pour tous...#mais finir dans le même pays uni voir pire avec un roi unique... c'est limite le pire des scénarios vu qu'ils perdraient leur indépendance#ce qui est extrêmement important pour eux évidemment surtout vu les différences entre eux#(ils rencontre El dans le présent qui leur dit que c'est SON peuple à ELLE elle va juste se faire attaquer car juste...#...non ! On est indépendant nous ! On a rien à demander à une famille impérial qu'on ne connait même pas !)#Pyrkaïa a pris un gros risque en les laissant partir ainsi vu qu'eux aussi auraient bien pris cette nourriture...#et normalement on ne prend pas une décision seul chez elle- on vote toujours en groupe- seuls les tyrans décident seuls#mais entre ce qu'elle considère les urgences pour son propre peuple et la situation avec ce qu'elle deviendra des hilotes s'ils restent#c'était pas la mieux mais la moins pire des solutions pour tout le monde même si elle déteste ce qu'elle a dû faire#c'est clairement pas une bonne solution mais elle a fait ce qu'elle a pu tout en devant passer en force#et même si les spartiates sont un peuple assez agressif ils vont réussir à se calmer avec elle qui veille au grain et les circonstances#(histoire de ne pas finir comme le peuple d'avant aussi)#Paenitens a évidemment du mal à l'avaler mais il finit par comprendre même s'il la haït toujours#ce serait des relations très compliqué entre eux... même si ironiquement les deux connaissent des nabatéens et s'entendent bien avec eux#et qu'ils aimeraient bien pouvoir s'y rendre un jour... ce serait explosif#Pyrkaïa a même sans doute déjà entendu parler de Paenitens par son mari qui le tient d'Indech#Daphnel a un tempérament très vif mais elle est là pour les têtes dans le plat magistral et pour le coup Paenitens en avait besoin#et de son côté Kelon espère qu'un jour tout le monde s'entendra en pouvant garder ses spécificité#comme il le dit ils sont sorciers c'est les seuls qui savent ce que vivent les uns les autres pendant des siècles
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lolochaponnay · 6 months ago
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Une femme constate que le robinet de salle de bain fuit, elle dit à son mari: -Chéri, le robinet salle de bain fuit, tu penses à le changer Le mari lui répond: -Pas ce soir, je suis fatigué et puis d'ailleurs je ne suis pas plombier ! Le lendemain la femme refait la remarque à son mari: -Chéri, le robinet fuit, tu y pense -Pas aujourd'hui et je t'ai déjà dit que je ne suis pas plombier! Le surlendemain le femme constate que rien n'est fait et elle redit à son mari: -Chéri, tu pense au robinet? -Oui oui demain promis! Le soir l'homme rentre chez lui et constate que le robinet ne fuit plus, il demande à sa femme: -Tu as fais réparer le robinet? -Oui le voisin me l'a changer! -Ahhh oui? et en échange de quoi? -Il voulait soit un gâteau soit une gâterie! -Et tu lui as fait quoi? -Une gâterie -Tu ne pouvais pas lui faire un gâteau!!! -Non! Je ne suis pas pâtissière !
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luma-az · 1 year ago
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Et boum
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 17 août 
Thème : Marécage/dur à cuire
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Tu sais à quel point c’est dur de faire un feu, dans un marécage ?
Oui, ici, TOUT est humide. En permanence. Tu veux sécher ton bois pour le feu ? Il te faut du feu. Plus de feu que le bois que tu arriveras à sécher un jour. Oui, c’est un putain d’enfer.
Sans les flammes. Du coup.
Donc voilà, faire un feu c’est DUR, ultra-dur. Il te fait un chaudron en métal pour mettre le feu lui-même. Une pâte très spéciale dont la composition est aussi un enfer dans le chaudron. Et un briquet. Non, un feu follet ne fera pas l’affaire. Un briquet, lui aussi bien protégé.
Et maintenant que tu as ton feu, comment tu comptes la cuire, ta viande ? En la mettant dessus pour qu’elle grille tranquillement ? Tu parles. Il y a rien de plus dur à cuire que la viande de dragon des marais. Tu pourrais y passer des HEURES, et je te le promets, ton feu, il va pas durer des heures. Ou alors quoi, au bouillon ? En comptant sur l’eau pour attendrir ta viande ? Et ben bon courage. Tous les moustiques vont trouver qu’elle sent drôlement bon, ta tambouille, et une fois rameutés ils ne vont pas tarder à se dire que derrière ta croûte de vase séchée, toi aussi tu sens la chair fraiche après toi. Ils vont te dévorer vivant, c’est moi qui te le dit.
Non, non, le seul moyen, l’UNIQUE moyen de manger du dragon des marais, c’est la chasse au miroir. Tu t’avances doucement derrière un grand miroir. Le dragon, il se voit de dedans. Il se dit « oh putain, un autre dragon sur mon territoire ! » parce que c’est pas fut-fut, les dragons des marais, on va pas se mentir. Alors là il se met à gonfler, histoire d’impressionner l’autre. Et là il voit que dans le miroir, l’autre dragon se met à gonfler aussi ! Genre c’est un intrus et il essaye de l’impressionner ! Alors il va se gonfler encore plus ! Tu sais que les dragons se gonflent avec leur propre gaz. Et au bout d’un moment, à force de vouloir être plus gros que lui-même…  ET BOUM ! Il va exploser.
Et là j’aime autant te dire, dragon des marais grillé par l’explosion de son propre gaz, il va être impeccable. Délicieux ! Et ça sera nettement moins fatiguant.
Crois-moi, quand on veut manger une viande aussi dure à cuire, il faut en avoir dans le ciboulot.
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lichenes · 11 months ago
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Vincent renzi x reader! Him reading you a French novel in bed whilst you lay your head on his lap and he strokes your hair!
ABSOLUTELY oh my god... sorry for the bad french btw, I'm still not adept at it :'D. Short and sweet, hope you like it<33
(Fragments used come from "Les Misérables" by Victor Hugo)
CW: pet names, fluff
Vincent Renzi x gn!reader
wc: 380
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"Une heure après, quand elle fut rentrée dans sa chambre, elle pleura. C’était, nous l’avons dit, son premier amour." He continued reading trying his best to capture the mood of the book. He was lazily tracing the patterns of your scalp, soothing you.
"Elle s’était donnée à ce Tholomyès comme à un mari, et la pauvre fille avait un enfant." You were incredibly content with the state of things as they were. You could swear Vincent was stealing looks at your relaxed form but you were never quite sure because he never broke his focused demeanour.
Still stroking your head, he was appreaciating your presence. "Il y avait, dans le premier quart de ce siècle, à Montfermeil, près de Paris, une façon de gargote qui n’existe plus aujourd’hui." An idea popped into his head. "Oh combien il l’aimait, c’était comme si son cœur était sur le point de sauter de sa poitrine à tout moment..." he trailed off looking for a reaction from you.
You were trying to percieve the words that came from him, fairly certain they weren't part of the book he was reading. When you realised their meaning your face got hot. "Oh- Vincent...".
"Oui ma douceur?" He said playfully, brushing your hair out of your face. "Tu es la personne la plus magnifique que j’ai jamais connue, tu sais?"
You rose from your comfortable position and put your hand on his chest. "I don't think that's in the book Vincent." He put his hand over yours and asked. "Do you feel my heart my sweet?" You nodded bashfully. "You should know that it beats only for you."
Your cheeks were getting hotter by the minute. "I didn't take you for the poetic type." You jested. He feigned offence, putting his hand to his forehead which earned a laugh from you. "Ah, my love doubts my poetic nature. I shall never create sweet poetry with them again..."
"I never said that!" You chuckled and he grabbed your waist and situated you in his lap, giving you an opportunity to bury your face in the crook of his neck. You inhaled his sweet scent as he kept reading. "Cette gargote était tenue par des gens appelés Thénardier, mari et femme. Elle était située dans la ruelle du Boulanger."
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les-cris-des-fendues · 5 months ago
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Ph. La bouquiniste
"Un jour qu'il était ivre dans ma chambre, nous nous sommes mis à nous battre comme deux hommes. il ne m'épargnait aucun coup bas. Nous étions allongés par terre, nous contorsionnant dans toutes sortes de poses. Il m'avait plaquée au sol, avec mes jambes accrochées à son cou, puis sur le lit, avec la tête qui touchait presque par terre. J'ai cru que mon dos allait se briser. J'aimais sa force et son poids sur moi. je pouvais sentir son odeur lorsqu'il se pressait contre moi. Nous étions hors d'haleine. Je me cognai la tête contre le pied d'une chaise. La bagarre avait duré longtemps. " Avec mon mari, j'avais toujours eu honte de ma taille et de ma force. Cet homme, au contraire, s'en servait et s'en amusait. Je me sentais libre. Il me dit : "Tu ressembles à une tigresse. J'aime ça."
P.85
Anaïs Nin "Les petits oiseaux - Erotica 2 " Ed. Stock
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thebusylilbee · 5 months ago
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"Chère Gisèle Pelicot, vous êtes entrée dans nos vies comme au tribunal d’Avignon, par la grande porte. [...] Le jour de l’ouverture du procès de vos violeurs a aussi été celui de l’officialisation de votre divorce. [Une meute] vous attend dans la salle d’audience : celle des 50 hommes qui sont jugés pour viol en réunion. Il y en aurait des dizaines d’autres qu’on n’a pas pu identifier. Vous faites face. Rien ne vous préparait à être dans cette salle d’audience. Un des accusés est arrivé en retard parce que, dit-il, il devait accompagner son fils à l’école pour la rentrée. Je me suis demandé qui avait accompagné vos petits-enfants, qui faisaient, eux aussi, leur rentrée scolaire. Je sais que vous avez pensé à eux à ce moment précis.
Réalité difficile à accepter
Vous les voyez tous pour la première fois sauf ce voisin que vous croisiez parfois dans la vie d’avant, celle qui ne reviendra jamais, celle de la maison du Vaucluse et de l’ignorance préservée. Vous les regardez. Ils regardent leurs pieds. Ils n’avaient jamais vu vos yeux, Jean, Didier, Jean-Luc, Romain, Redouan, Cédric, Grégory, Karim, Jean-Marc, Philippe, Quentin, Nicolas, Vincent, Patrick, Paul et les autres… On ploie sous la longueur de la liste et la banalité des profils. Les trois quarts d’entre eux ne reconnaissent pas les viols, comme tous ceux qui font les gros titres de l’actualité, les PPDA, Nicolas Hulot, Salim Berrada, Gérard Miller, Olivier Duhamel, Benoît Jacquot, Jacques Doillon, Gérard Depardieu…
Leurs arguments sont toujours les mêmes. Ils font tourner l’infect disque rayé du mensonge complaisant. Ils n’ont pas compris ce qu’ils faisaient. Ils sont sûrs d’être, eux aussi, des types bien, pas des monstres, même quand on leur montre les vidéos des crimes. Ils sont pompier, journaliste, étudiant, chauffeur routier, gardien de prison, infirmier, retraité, conseiller municipal, nos amis, nos amants, nos pères, nos frères. Une réalité difficile à accepter.
Un seul s’est adressé à vous pour vous présenter des excuses. Leur défense est un échantillon chimiquement pur de la violence patriarcale et des masques derrière lesquels elle s’abrite pour prospérer. « Le patriarcat est dans la maison ce que le fascisme est dans le monde », écrivait Virginia Woolf dans Trois guinées (1938).
Certains évoquent le poncif éculé de la pulsion, d’autres la frustration sexuelle due à l’absence prolongée d’une compagne officielle. Il y a celui qui trouve « bizarre » d’avoir fait ça. On trouve aussi des traces de « libertinage incompris ». Il y a celui qui ose l’ahurissant « viol involontaire ».
« Consentement par délégation »
Puisque vous étiez comateuse, il est difficile de prétendre que vous étiez partante. Difficile, mais quelques-uns tentent quand même le « j’ai pu croire qu’elle faisait semblant de dormir ». Les plus audacieux essayent le « consentement par délégation » ; le mari était d’accord, « il fait ce qu’il veut avec sa femme ». Une femme est soumise à son compagnon. L’ordre immémorial de la hiérarchie masculine est respecté.
Ce qui est certain, c’est qu’ils ont tous bandé à l’idée de pénétrer un corps inerte. Le viol et l’ordinaire de la sexualité semblent avoir beaucoup de points communs dans leur esprit. Ils ont bien le droit. Ils ont le pouvoir de le faire. Ils n’allaient pas passer à côté d’un viol gratuit près de chez eux. Ils ont été biberonnés à la haine des femmes, au mépris qui s’excite de l’impuissance de l’autre. Le sexisme féroce transpire de leur discours. La pornographie violente dont certains collectionnaient les images les plus répugnantes y est sans doute pour quelque chose. La domination absolue les a fait jouir. Ils ne voient pas le problème. Même au tribunal. Même devant vous.
Ils font ce que font la plupart des hommes accusés : ils se victimisent et rajoutent une couche de mépris sur celle qu’ils ont déjà humiliée. Ils sont tombés dans un traquenard. On les a piégés. Vous êtes restée là, à les écouter sans ciller, droite sur le ring. Vous décrivez désormais votre vie comme un combat de boxe. Le combat est déloyal. L’adversaire a les armes du terrorisme patriarcal. Que vous soyez à terre ou debout, cassée ou le poing levé, votre droiture fait craqueler la carapace d’impunité qui les a longtemps protégés.
Ce n’est pas seulement vous, Gisèle, qu’ils ont traitée comme une chose. Ils nous disent, à toutes, notre insignifiance. Votre force nous rend la nôtre. Merci pour ce cadeau immense.
Hélène Devynck, journaliste et autrice d’Impunité, (Seuil, 2022)"
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camisoledadparis · 26 days ago
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saga: Soumission & Domination 375
Nouvel an 2016-2
Après un bon 1/4 d'heure à nous remettre de nos émotions, nous partons chacun de notre côté.
Je veux faire un point avant de retrouver un plan. En plus ça rechargera mes batteries. Dans l'espace gym, je m'aperçois que mes vrais gymnases sont là. Romain, aux barres parallèles monte et descend alternativement sur les bites de Bogosse (24x5.5cm), de Julien (19x6cm), de mon lad (24x7cm) et d'Aymeric. Pour ce dernier je n'ai pas encore l'info concernant son appendice, je n'ai pas encore baisé avec lui !! Mais avant la fin du WE je me le serais fait c'est une évidence.
Je passe directement dans la serre du blockhaus. Autour de la piscine, son rebord servant de support, je trouve le petit Louis de Franck se faire défoncer grave par Dorian (mon maçon) alors qu'à ses côtés, son mari Julien, défonce Kamal. Ils échangent leurs impressions respectives sur les petits culs qu'ils défoncent. Je leur roule un petit patin en passant et continue mon tour.
Je monte dans les étages. Au second, je tombe sur mon Marc en train de saillir le petit Théo des jumeaux. Son physique tranche par rapport à mon mec et surtout au niveau de leur jonction ! Son bassin étroit exagère les 22x6 qui le sodomisent. Le spectacle me captive quelques instants surtout que la sonorisation est bien excitante ! Théo hâlette sous les vas et vient de mon homme et il se cambre souvent à la recherche des lèvres de son enculeur pour quémander une pelle. Quand ils arrivent vers la fin, il ne peut retenir des petits cris à chacune des pénétrations en profondeur de sa rondelle. Marc ne se retient plus et ses coups de bassin font décoller Théo du sol. Quand il remplit sa kpote, je vois Théo fuir de la bite. Ils ont réussi à jouir quasiment en même temps ! Ça c'est vraiment bon ! Théo retombe sur ses genoux avant de s'écrouler sur le sol. Il arrive tout juste à me dire que mon mec est vraiment un bon coup. Je l'aide à se relever et l'accompagne aux douches. Quand je le quitte, il est tout beau tout propre et prêt à " resservir ".
Mes Escorts se sont naturellement répartis auprès de mes amis. Le cuisinier des 24h moto m'attrape au passage et me dit que c'est fou, il n'avait jamais pensé que ça puisse être comme ça. Je lui demande pas quoi car il est déjà parti pour trouver un nouveau plan.
Je passe par notre chambre. Un havre de paix dans cette ruche en folie ! J'en ressors et à l'étage au-dessus, je trouve mes amours aux prises avec mes Escorts lutteurs espagnols. Alors qu'ils se faisaient défoncer, j'assiste aux renversements de situations.
Mes escorts ne se font pas prier pour donner leurs rondelles encore " fraiches ". En levrette ils subissent un juste retour des choses et mes amours se déchainent. Ludovic comme PH, les mains bien accrochées aux hanches de leurs partenaires, envoient bien profond leurs glands par de puissants coups de reins. Mes lutteurs encaissent et amortissent. Côte à côte, ils se lèchent le museau jusqu'à ce qu'ils décident de se mettre en 69. Belle vue ! Et mes deux amours peuvent alors se rouler des patins tout en les enculant.
Je les laisse et pousse jusqu'à la cuisine pour grignoter et boire un verre de champagne. J'y retrouve quelques protagonistes de la soirée qui eux aussi ont besoin d'un apport d'énergie. On papote et échangeons sur nos partenaires. Du coup je me mets à la recherche de ma triplette qui, parait-il, ferait sensation sur la terrasse.  
Il y a bien une 20aine de mecs autour de la sculpture. Je ne vois pas nos benjamins ! Puis j'aperçois la tête d'Enguerrand alors qu'il la relève pour respirer. En fait il est couvert et recouvert par le lad et, sa bouche se fait défoncer grave par les 30cm de Jean Black !
Il me voit, me fait un clin d'oeil et replonge sur sa gourmandise ! Ok les 30cm ne font que 5cm de diamètre mais ce n'est quand même que la seconde fois où je les vois disparaitre complètement par cette extrémité d'un mec (la première avec Jimmy bien sûr). Jean B me voit aussi et me dit qu'avec un beau-frère pareil, c'est pas la peine de chercher ailleurs son bonheur ! Il fait attention à ne pas étouffer son dispenseur de plaisir je me penche et mate les déformations de la gorge d'Enguerrand aux passages du beau gland de J-B. C'est superbe. Son larynx est repoussé à l'extérieur de son cou quand le gland s'enfonce dans son oesophage. Puis il se resserre un peu sur la hampe avant de s'extériorisé de nouveau lors du retrait.
J-B le laisse respirer un peu et recommence tellement c'est bon. De l'autre côté mon Lad me dit qu'il a le même avis. Il ajoute qu'avec de telles capacités, ce serait dommage de ne pas le laisser travailler.
Merde ! C'est mon Enguerrand !! Pas question qu'il devienne Escort. Même si chez moi, mes employés sont chouchoutés et respectés. C'est alors que ce petit con recrache le boa noir qui tentait de l'étouffer et, ayant tout entendu, m'assure qu'il est tout prêt pour satisfaire le plus exigeants d'entre eux (clients). Il avait appris auprès de Jimmy à étendre les capacités de son corps et m'assurait que c'était souvent que ses amours le prenaient en double.
Lad m'assure que c'est quand même bien serré de son côté. Là, Enguerrand serre son anneau et je vois le va et vient cesser brutalement. Ce qu'il n'avait pas prévu c'est que, poussé par l'inertie du Lad qui doit quand même faire ses 85Kg, il s'enfile sans préparation les 30cm de J-B. étranglement, retrait en urgence de J-B. Lad se retire dès qu'il peut et je récupère dans les bras mon courageux futur escort !
Il reprend son souffle et la première chose qu'il arrive à dire c'est " excusez-moi les mecs " !! Je l'engueule tout bas et lui dis qu'il n'a pas besoin de faire tout ça pour que je sache qu'il est un petit mec en or !!
Il se pend à mon cou et j'ai droit à une grosse bonne pelle. Quand il cesse, c'est pour me dire qu'il tient absolument à faire partie de mon " écurie ". Que ce ne sera qu'un maigre remerciement pour tout ce que j'ai fait pour lui. Il m'énerve avec ça !! Je lui ai pourtant bien dit qu'il ne devait que penser à lui et à ses amours. Que le reste c'était du passé, mort et enterré.
Je ne peux que répéter cela encore une fois. Il me dit alors que c'est aussi pour le fun et les tunes qu'il voudrait le faire. Ok ça je comprends mieux ! Il ne me lâche qu'avec la promesse que cette année il commencera (il vient d'avoir ses 18ans).
Je commence à avoir le cul gelé !! Je pousse vers la piscine et trouve Aymeric qui vient d'en finir avec Justin. Petit échange sur le nouveau venu (c'est sa première fois chez moi !!). Justin me vante son divin petit cul hyper serré.
J'attrape Aymeric par la taille alors qu'il rougit. C'est vrai qu'il a un bassin très étroit et la taille fine. Il doit encore pouvoir passer des Jeans en 28. Je le plaque contre moi et lui roule direct un patin.
J'aime bien. Sa langue ne se laisse pas faire et c'est une petite bataille qui se joue entre nos dents. Alors qu'il n'est surement pas loin des 3/4h du matin, son haleine est encore fraiche et j'aime ça. J'aime aussi qu'il bande comme un âne contre ma cuisse alors que ma bite teste ses abdos en s'écrasant contre eux. Il est équipé d'un engin de 18cm par environ 5 de diamètre. Bien droit non circoncis mais frein cassé et couronné d'un gland rose vif, son sexe est bien appétissant. Il doit trouver que le mien l'est aussi car il s'agenouille et engouffre ma queue. Bonne pipe dans les moyen plus (déso on se refait pas !!). Pas de gorge profonde mais une volonté de bien faire le boulot. Mon gland passe de léchages râpeux à des mordillements qui m'excitent bien. Quand je me penche, il comprend de suite et cambre ses reins pour mettre en valeur ses petites fesses rondes. Ma main suit sa colonne vertébrale. Et mes doigts plongent dans le sillon jusqu'à trouver sa rondelle. Elle s'est bien refermée depuis le passage des 23x6 de Justin et je dois appuyer pour faire entrer un seul de mes doigts. Un peu de salive, de son côté il se détend et j'arrive à lui en mettre deux qui le font se tortiller du cul. Quand je lui en mets un troisième, il s'avance de surprise et je sens mon gland pénétrer sa gorge ! Trop bon !! Serrée comme une gorge de puceau, c'est extrêmement excitant ! Il s'étouffe je recule. Le temps qu'il retrouve sa respiration, je le fait pivoter et, kpoté, cette dernière recouverte de gel, je lui fends le cul en 2 ! Petit jappement de surprise/plaisir/douleur ? Il accepte mes 20x5 sans efforts. Après tout Justin est mieux monté que moi. Bon ce qui est agréable c'est que je suis bien serré quand même et sur toute ma longueur de bite. Je le remercie pour ça. Il me souffle que ce n'est quand même pas souvent qu'il est enculé, préférant enfoncer sa propre queue dans un cul accueillant de mec ou même de meuf, quand elles le veulent bien.
Je le remercie alors de ce cadeau et continue à bien le défoncer. On change de position et je peux voir sur son visage les effets de mon pilonnage en règle. Il aime c'est indéniable. Sa queue bande bien droite. Elle n'est pas longue mais il est tellement fin de la taille que je suis sûr qu'il peut se la sucer.
Je passe d'une prise de face dos au sol à un enculage en chandelle. Doucement je fais descendre son cul par de subtils (non c'est pas vrai) coups de bassin et il s'aperçoit tout seul que son gland vient buter ses lèvres. Il ouvre la bouche et avant qu'il n'ait eu le temps de parler, je pousse encore une fois et c'est son gland qui vient toucher sa langue. Je lui intime l'ordre de se sucer. Il obéit et vu comme il se tète, il doit trouver ça bon.
De lui-même il arrondit ses reins pour en manger plus et il y arrive sur la moitié de sa queue. J'accompagne le mouvement, sa rondelle est trop bonne pour la lâcher à mi-parcours. C'est quand il recouvre sa langue de son sperme bien épais qu'il me fait jouir et que je remplis ma kpote. Je le vois faire rouler ses spermatozoïdes sur sa langue avant d'avaler. Il s'en envoi quand même 7 ou 8 giclées avant de se déployer et de laisser son gland brillant de salive mais tout propre reposer sur ses abdos.
Je suis encore avec lui, étendu sur le gazon artificiel sa tête sur mon épaule à regarder les étoiles, quand nous sommes rejoints par Ludovic.
Aymeric lui dit qu'il comprend tout à fait ce qu'il trouve en moi. Il venait de connaitre l'auto-fellation et trouvait ça grave bon. Ludovic est un peu éberlué de trouver son ami aussi chaud. Déjà qu'il avait hésité longtemps avant de l'inviter !
Je vois Aymeric se relever et enlacer mon ludo. Mais ça reste chaste, enfin pour le moment !
Je suis un peu fatigué. J'ai juste le temps de repérer où sont mes américains et dodo.
Je trouve Dane et Tyler entre les mains expertes de Sosthène et João, enfin les mains c'est pour l'expression parce qu'ils sont plutôt en train d'investir leurs arrières trains ! Quand à Duke, je le trouve avec Max au second étage en 69 alors que chacun subit les assauts d'un mâle excité. En l'occurrence Xavier arrivé sans que je m'en aperçoive (mais c'était prévu, sa femme nous l'envoi quand ils rentrent du nouvel an chez des amis) qui impose ses 26 x 6.5 à Max quand Duke se fait secouer par les 21 de Kev.  
Je souhaite une bonne année à Xavier qui me remercie de ne pas l'oublier dans mes invitations à mes Fêtes/Touzes. Il me prévient qu'ils ont prévu (lui et Kev) d'échanger leurs partenaires. J'attends ça, voir Duke se prendre Xavier ça me réveille.
Petit intermède pipe, Duke voit ce qui l'attend et sans paniquer, il trouve quand même le " truc " un peu gros pour sa rondelle. Quand je lui dis que Xavier avait été un de mes premiers clients, il m'assure qu'il sera capable de le monter lui aussi. Il a sa fierté notre jeune californien !!
Je l'entends demander à Xavier s'il pouvait se mettre sur le dos, comme ça lui-même pourrait le chevaucher et gérer au mieux la pénétration.
Je suis d'accord avec lui, et pour l'aider un peu, j'attrape un flacon de poppers et lui propose de lui doser les narines au bon moment. Il accepte car les mains en appuis sur les cuisses de Xavier, il n'aurait pu le faire lui-même.
Positions prises, Duke enjambe Xavier et plie les genoux jusqu'à poser sa rondelle lubrifié sur son gland déjà bien imposant. Je débouche le flacon et lui fait sniffer par chaque narine. Montée de chaleur visible sur le visage du petit mec et affaissement jusqu'à poser ses fesses directement sur les cuisses axe de plaisir.
Je suis surpris car prendre en une seule fois les 26x6,5 de Xavier, même après un rodage par la queue de Kev, c'était osé ! Duke s'en rend compte car après avoir soufflé tout l'air de ses poumons, il reste sagement assis le temps de s'habituer au diamètre. Je le redose en poppers et ça le fait partir. Penché en avant au-dessus de Xavier, il le chevauche façon grand galop dans les prairies du Wyoming.
Xavier apprécie l'ardeur toute juvénile de Duke et sa chevauchée infernale. Il y met quand même fin en le bloquant, position " défonce totale " avant de se relever et de l'enculer debout. J'admire les muscles qui gonflent sous l'effort. Je vois que lui non plus ne s'est pas laissé aller côté sport. Les 80Kg de Duke montent et descendent plantés sur l'axe que Xavier possède en haut des cuisses. Superbe moment de baise ! Duke prend son pied et on entend des " fuck, fuck me more " qui nous le prouvent. Ils finissent Duke dos sur un banc de muscu, les jambes coincées sous la barre des développés couchés la rondelle défoncée par Xavier que plus rien ne retient.
Explosion de sperme, Duke s'en couvre le visage. Il est anéanti par la jouissance qu'il vient de prendre. Xavier recule et je vois sa kpote pleine. Il s'assoit à mes coté et me remercie d'avoir ramené de mon voyage un indigène aussi bon du cul !
Duke nous rejoint quelques minutes plus tard et je les accompagne à la douche. L'eau chaude retire les preuves de nos turpitudes. Duke se sauve en courant à la recherche de la triplette pour leur raconter ce qu'il vient de subir !
Moi je suis mort et j'arrive tout juste à monter l'étage qui m'amène à notre chambre.
Vide, je m'endors.
Jardinier
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kilfeur · 2 months ago
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Ça valait la peine d'attendre, Melinda est passionné de trucs surnaturels, j'avoue c'est un peu inattendue. Je me demande quand ça a commencé exactement. Est ce qu'elle a toujours réprimé cette passion depuis toute petite, ou bien l'a-t-elle réprimée une fois mariée Donovan ? Et encore une fois, elle a de nouveau des pensées contradictoires concernant Damian, de l'autre, elle veut être avec lui et de l'autre, elle souhaite qu'il disparaisse. Mais quand elle voit qu'Anya est proche de lui et se dit u'elle devait prendre les choses en main. Seulement la peur de son mari remonte à la surface, la rendant incapable de faire face à son fils. Peut être que Damian, dans ses pensées contradictoires représente un amour qu'elle souhaite donner mais aussi une chaîne qui la garde auprès de Donovan amplifiant sa peur ! Et c'est pour ça qu'elle déteste que Damian parle de lui.
Anya dit qu'elle a vu quelque chose de similaire. Est ce que ce serait en rapport avec ses autres familles d'adoptions avant que Loid l'adopte ? Ou bien la dernière pensée lui a fait penser aux pensées de son père ? J'ai bien aimé qu'Anya dise à Damian que sa mère l'aime car lui même ignore si elle tient à lui. Et Melinda qui va prendre rendez vous avec Loid, ça promet d'être intéressant.
It was worth the wait, Melinda is into supernatural stuff, I admit it's a bit unexpected. I wonder when it started exactly. Has she always repressed this passion since she was a little girl, or did she repress it once she married Donovan? And once again, she has contradictory thoughts about Damian: on the one hand, she wants to be with him, and on the other, she wants him to disappear. But when she sees that Anya is close to him, she thinks she has to take matters into her own hands. Only her husband's fear resurfaces, leaving her unable to face her son. Perhaps Damian, in her contradictory thoughts, represents a love she wants to give, but also a chain that keeps her close to Donovan, amplifying her fear! And that's why she hates it when Damian talks about him.
Anya says she's seen something similar. Could it be something to do with her other adoptive families before Loid adopted her? Or did the last thought remind her of her father's thoughts? I liked Anya telling Damian that his mother loves him because he doesn't even know if she cares for him. And Melinda making a medical appointment with Loid, which promises to be interesting.
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this-is-a-name-dont-worry · 2 years ago
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mais tellement
les persos féminins manquent cruellement, et un certain nombre d'entre elles semblent ne pas avoir de pouvoirs/on sait pas leur pouvoir
Megan, Miss Moore, Héléna, la meuf dans la saison 3 que je me souviens pas du nom mais c'est judith vdf, toutes semblent ne pas avoir de pouvoirs. Claudine et Jane ont un pouvoir, mais Jane on l'apprend que dans les comics, et Claudine c'est en lisant les comics qu'on sait qu'elle a un pouvoir mais c'est pas très clair.
Alors elles ont pas besoin de pouvoirs pour avoir une importance au plot et être cool, mais dans une série de super-héros, c'est quand même assez sad que les seuls pouvoirs confirmés sont des blagues, des background characters, Eshana, et Mary. (bon certes le pouvoir de Jennifer c'est très bien pour montrer qu'à ce point les problèmes de couple avec John vont plus profondément que d'être de deux mondes différents, mais c'est jamais réutilisé par la suite et est ridicule, donc joke power)
Toujours sur le remplissage du wiki Hero Corp. Je m'attèle à des barres de navigation pour mettre à la fin de chaque page (comme ça se fait sur la plupart des wiki) et....
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*bruits de criquets*
Il y a quand même très peu de personnages féminins... Et j'ai inclus Ongle Attack et Chevaline qu'on ne voit qu'une fois pendant 5 secondes. Alors qu'il n'y a pas forcément encore tous les personnages masculins.
Je trouve ça toujours très dommage, surtout sur une série de super-héros qui cassait beaucoup de trucs (des persos qui ressemblent pas à des top modèles, des gros, des vieux etc...) ç'aurait quand même été super d'avoir un peu plus de persos féminins et notamment des super-héroines avec des pouvoirs physiques. Une bonne grosse bucheronne de la campagne avec un pouvoir qui permet d'aller se taper la gueule avec des gonzs, ça aurait été une super addition quand même. Entre autres.
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aisakalegacy · 1 month ago
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Automne 1933, Hylewood, Canada (2/9)
Mais ce n’est pas de Gizelle dont je veux te parler. J’ai bientôt seize ans et jusqu’à présent, je n’ai eu aucune chance avec les garçons. Pourtant, je n’ai aucun problème à discuter avec eux, je ne suis pas timide. Je suis assez sociale et gaie. J’aime à rire et plaisanter. Peut-être un peu trop ? Marie dit que je suis trop remuante et que ça les intimide. De toute manière là où je travaille je n’ai pas vraiment l’occasion d’en rencontrer beaucoup, Monsieur est très âgé et Madame n’a que des filles. Tous ceux que je croise sont bêtes et sans éducation, et ceux qui sont malins et instruits me regardent de haut…
[Transcription] Fabien Bernard : Désolé, je sais que ce n’est pas très sociable, mais je reste à l’écart parce que je suis un peu nauséeux. J’ai fait l’erreur de lire pendant le trajet en voiture. Dolorès LeBris : C’était un livre si intéressant que cela ? Fabien Bernard : Au contraire, c’était absolument abominable. Tu sais, quand quelque chose t’agace de façon complètement déraisonnée, et que tu n’arrêtes pas d’y penser et de t’en énerver tout seul ? Dolorès LeBris : Je vois exactement, je suis pareille ! C’était quel livre ? Fabien Bernard : Le dernier François Mauriac. Dolorès LeBris : Je crois que mon frère m’en a parlé.Ce n’est pas celui qui aime un peu trop sa mère ? Fabien Bernard : Celui-là même. Dolorès LeBris : Oh. … Ooooh. Fabien Bernard : Je sais. J’ai eu un instant de faiblesse à la librairie. Dolorès LeBris : Mon pauvre. Fabien Bernard : J’ai une question un peu étrange à ce stade de la conversation. Tu es laquelle des filles de Jules ?  Dolorès LeBris : C’est ma faute, je ne me suis même pas présentée. Je suis Lola. Dolorès LeBris. Fabien Bernard : Dolorès. Bien sûr, je suis désolé. Comme je ne vis plus vraiment ici depuis dix ans… Fabien Bernard. Dolorès LeBris : Je sais qui tu es. Tu as aidé mon frère à construire son port il y a trois ans.
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lolochaponnay · 3 months ago
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En ce temps-là, Marie regarde le bulletin scolaire de son fils Jésus. MATH 3/20 : multiplie les pains à volonté, mais ne sait toujours pas faire une division! CHIMIE 2/20 : transforme l'eau en vin et incite ses petits camarades à consommer de l'alcool! SPORT 0/20 : Ne sait toujours pas nager et marche sur l'eau pour amuser la galerie! Marie fixe son fils droit dans les yeux et lui dit : - Avec un bulletin comme ça, mon garçon, tu peux faire une croix sur tes vacances de Pâques!
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empiredesimparte · 9 months ago
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⚜ Le Cabinet Noir | Episode III, N°4 | Francesim, Versailles, 17 Thermidor An 230
On his return to Francesim, the young emperor spent time with his family in the gardens of Versailles. After reporting all the gossip from the Europesim summit and the political news, the subject of Louis Simparte comes up for discussion. An uneasy relationship develops between Napoleon V and his sister, which their mother Marie-Joséphine struggles to defuse. Hortense is curious to meet her grandfather, despite all the bad things she hears about him.
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⚜ Traduction française
A son retour en Francesim, le jeune empereur passe du temps avec sa famille dans les jardins de Versailles. Après avoir rapporté tous les potins du sommet d'Europesim et de l'actualité politique, le sujet de Louis Simparte tombe dans la discussion. Un malaise se crée entre Napoléon V et sa soeur, que leur mère Marie-Joséphine peine à désamorcer. Hortense est curieuse de rencontrer son grand-père, malgré tout le mal qu'elle entend de lui.
(Hortense) Devrions-nous vraiment juste... ignorer notre grand-père ? On ne peut pas haïr quelqu'un qu'on a jamais rencontré, Louis. Il faut qu'on s'en fasse une idée avant ton couronnement.
(Louis) Par pitié Maman, explique-lui.
(Hortense) Louis ! (Marie) Je suis d'accord avec ta soeur.
(Marie) Je ne peux pas vous empêcher de rencontrer votre grand-père, peu importe mes opinions. (Louis) Quelles sont-elles ?
(Marie) Je te l'ai dit, je suis d'accord avec ta soeur. (Napoléon) Mais-
(Hortense) J'aimerais le rencontrer, juste pour voir ce qu'il a à nous dire.
(Marie) Ce n'est que nos opinions Louis, parlons d'autre chose. (Louis) Bonne idée...
(Marie) Vous grandissez si vite, je suis fière de vous. (Hortense) Oh, Maman... Merci, nous sommes fiers de toi aussi.
(Hortense) Louis va devenir le plus grand souverain de tous les temps. (Napoléon) Tu me flattes, maintenant. (Hortense) Je suis sérieuse.
(Hortense) Le plus grand monarque dans le plus beau palais du monde (Napoléon) C'est vrai, je devrais faire de Versailles ma résidence officielle
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impossiblyholyparadise · 4 months ago
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Candaulisme 
Scène de vie d’un candaulisme ordinaire...
Un soir, au retour d’un apéritif d’entreprise improvisé, ma femme ayant préféré rentrer à la maison pour ne pas me laisser seul (même si lorsqu’elle m’a appelé au téléphone pour me prévenir je lui ai laissé comme d’habitude la décision d’accompagner ses amis ou pas) , vint me rejoindre dans la pièce bureau de notre maison.
« Hello, chéri » m’adressa-t-elle en venant me gratifier d’un baiser rapide sur les lèvres « Tout va bien ? Ta journée ? »
« Oui, et toi ? Tu aurais pu rester tu sais...je travaille à mon prochain livre...Je t’ai préparé le repas...Tu trouveras tout de prêt dans la cuisine... »
« Merci Chéri me glissa-telle à l’oreille tout en m’embrassant à nouveau et en se collant contre moi... »
« Oh...toi... ! lui fis-je remarquer...toi, tu as quelque chose à me raconter...§ Je te connais tellement...Viens... »
En m’embrassant, elle s’était effectivement appuyée assez significativement contre moi ...Son odeur...Sa chaleur...Ses adorables seins qui pointaient au travers de son chemisier un peu plus ouvert qu’à son départ au matin...
« Hummm me fit-elle en minaudant...Euh, oui enfin, pas grand-chose...mais il faut que je te dise... A l’apéro ce soir, à la guinguette à côté de notre boite, il y avait pas mal de monde et on a un peu dansé. »
Ma femme adorait danser et j’adorais la voir danser ou savoir qu’elle avait été heureuse en dansant...Elle était belle et dansait réellement avec grâce et légèreté...ce qui ne manquait pas d’attirer plus encore les regards sur son corps entretenu.
Ce faisant, alors qu’elle continuait à embrasser mes lèvres avec une réelle et non feinte gourmandise, me bécotant, je passais ma main sous sa courte jupe du vendredi, une habitude du "vendredi tout est permis" chez elle, se permettant ainsi de ne rien porter en dessous...Elle était alors si sexy...Elle avait aussi ce soir là ajouté une de mes cravates sur son chemisier pour un effet « woorking-girl » libérée qui lui allait particulièrement bien...
                « Oh...toi...C’est bien chaud et bien humide tout ça », lui dis-je en parcourant sa chatte aux lèvres déjà accueillantes et entrouvertes... 
                « Hummmm...Toi, tu as été coquine ce soir...Coquine... ? Très coquine... ? Raconte-moi !»
Elle s’assit ainsi sur moi en faisant tourner mon fauteuil pivotant...
« En fait, rien de prévu mais après un Mojito et quelques danses avec les collègues, un jeune homme s’est approché de moi et m’a fait du gringue...Imagines-toi qu’il est voisin...Il vient d’arriver dans la boite d’à côté et m’a dit qu’il m’avait souvent vue arriver le matin, que j’étais toujours super habillée et souriante...Il arrivait tôt car débutant et s’installait à une fenêtre de leur espace café en attendant l’arrivée des autres ... On a alors discuté, il m’a proposé un autre verre et on a fait quelques danses car il y avait une série de rock et tu sais que je ne sais pas résister à cette danse... Il danse d’ailleurs très bien pour un jeune d’une autre génération de musiques...D’un pas à l’autre , on a ri, on a discuté et à la fin de la série de danses, il m’a prise par l’épaule pour qu’on discute un peu à l’écart...Là, et j’ai réellement aimé ;, il ne m’a pas caché son attirance, qu’il aimerait me revoir, m’a donné son téléphone...Il est bien bâti comme j’aime, car joueur d’une équipe de rugby du village d’à côté...Son sourire était trop craquant et aussi un peu sa timidité...Il rougissait mais était tellement sincère que s’en était touchant...J’ai craqué... ! Je l’ai embrassé...Il n’en revenait pas... et surtout il m’a indiqué ma bague...Je l’ai rassuré en lui disant qu’il ne risquait rien et que j’avais le plus incroyable et merveilleux des maris qui me laissait totalement libre...Il n’en revenait réellement pas, enchaînant les « Mais... ? » incrédules...Aussi, je lui indiquais de rester là quelques instants , le temps que je t’appelle...Je t’ai appelé et ai décidé de te rejoindre, aussi , en retournant vers lui et en saluant les collègues de bureau, je l’ai pris par la main et entrainé sur le parking...Il faisait déjà nuit et ne lâchant pas sa main, je me suis appuyée sur ma voiture pour l’embrasser de nouveau et lui indiquer que nous ne serions pas sans nous revoir … ».
Pendant que ma femme me racontait son histoire, elle avait aussi remonté sa courte jupe sur ses merveilleuses fesses et se frottait sur mon sexe qui ne cessait de grandir au travers de l’étoffe de mon pantalon...
Je bandais comme un fou...
J’ouvrais adroitement ma braguette pour qu’elle s’empale sur mon dard à son zénith et rapidement elle « dansait » sur ma bite tout en continuant son adorable récit d’adorable salope qu’elle avait su être et plus encore à cet instant, qu'elle était...
Je crois que c’est elle qui me baisait pour être honnête...
Elle se déchainait et je réussi à attraper la cravate, sa cravate, ma cravate pour la tenir comme en laisse ou avec un guide et suivre le rythme qu’elle voulait comme un cow-boy suit le rythme de son cheval déchaîné tout en tentant d’en garder la maîtrise... !
Elle continua en me décrivant comment elle l’avait sucé entre les deux voitures, au risque de se faire voir par ses collègues qui ne devaient pas tarder à quitter l’établissement festif...
Elle me narrât en détail la queue de ce nouvel amant, son poids, sa forme, sa puissance, sa liqueur, son abondance et surtout le plaisir qu’elle avait pris à le sucer sauvagement sur le parking, le garçon toujours aussi incrédule de la bonne étoile de cette soirée...
Elle m’expliqua aussi combien il lui fut difficile d’arrêter sa main pendant le trajet du retour vers la maison et combien son esprit naviguait entre la queue de ce jeune homme et la mienne, impatiente de se faire démonter...
                « Chéri...On sort ce soir ! J’ai trop envie...Je suis impatiente de toi, d’autres, des autres et de lundi... Je crois que pendant un moment je vais avoir le sourire en allant au boulot le matin... ! »
Telle était ma femme...
Tel était notre façon de vivre...
Sa façon d’être et de vivre notre Candaulisme...
La soirée était loin, très loin d’être achevée...
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selidren · 14 days ago
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Eté 1934 - Champs-les-Sims
2/5
!! Ces dialogues ont été écrits pour essayer de retranscrire le niveau de langage d'un enfant de trois ans. Navrée si il n'est pas très clair. Une version plus lisible est dispo en bas. !!
Tu as sans doute déjà remarqué que j'ai également répondu à ta petite soeur. C'est une jeune femme adorable qui a simplement besoin de s'épancher un peu, et je suis contente de voir que cela lui fait plaisir. Je sais que c'est parfois difficile de le faire avec ses proches. Ma propre mère m'a parfois reproché de ne pas assez me confier à elle. Je pense qu'elle aurait aimé davantage de proximité. Il faut dire qu'en face, elle avait Oncle Adelphe, qui avait autrefois une relation presque fusionnelle avec ses enfants, surtout avec Alexandre, ce qui est difficile à imaginer aujourd'hui.
D'ailleurs, il semble qu'Antoine et Ange se soient lancées dans une espèce de compétition de meilleur père en imitant Adelphe. Cela reste amical heureusement. Je n'ai jamais vu des hommes aussi investis dans la vie de leur progéniture. Quand il rentre le soir, Antoine demande à Louise de lui raconter sa journée en détail, et il fait preuve d'une infinie patience pendant que la petite bégaye, bute sur les consonnes ou cherches ses mots pendant de longues secondes. Même Ange n'a jamais eu une telle patience.
En réponse, mon mari s'est lancé à corps perdu dans les études de nos filles et a fait des mathématiques son nouveau cheval de bataille. Cela a valu aux filles les félicitations de Mademoiselle Yvain.
Antoine a surenchérit en faisant apprendre à sa fille des mots comme "prolétariat", "capital" ou encore "Lénine". Louise a encore du mal à prononcer les sons en "l", alors ça a été assez laborieux. C'est une plaisanterie plus ou moins amicale entre Antoine et Ange, le premier reprochant au second son manque de conscience politique. Aurore y a mis fin quand la petite s'est mise à bégayer "Vive le camarade Staline." Ma belle-soeur n'aime pas qu'on répète des choses qu'on ne comprend pas, exactement ce qu'était en train de faire Antoine avec leur fille.
Transcription :
Louise « Puis on a lu l‘histoire et Maman a dit d’aller jouer avec Elisabeth. »
Marc-Antoine « Et bien dis moi, ça en fait une journée bien remplie. Et ça t’as plu ma grande ? »
Louise « Oui. Et Papa y fait quoi au travail ? »
Marc-Antoine « Moi ? Oh, tu sais ce n’est pas très intéressant. »
Louise « Pourquoi tu vas au travail alors ? Maman dit que c’est important ton travail. »
Marc-Antoine « Bon alors si Maman le dit… Et bien, Papa aide les gens. Enfin, il essaie. Mon travail, c’est d’essayer de régler les problèmes au village. »
Louise « Pourquoi ? »
Marc-Antoine « Il faut bien que quelqu’un le fasse non ? Je pense que je suis assez utile. Et puis, Papa veut que tous les gens aillent bien. »
Louise « Tu fais comment ? »
Marc-Antoine « Il faut que personne ne sois dans le besoin. Et dans l’idéal, il faudrait que chacun ait droit à la même chose. Tu sais, comme quand tu prend le goûter avec tes cousines, vous avez droit à la même chose.��»
Louise « C’est pas vrai ! Pourquoi moi je peux pas avoir la fourchette ? »
Marc-Antoine « Tu es encore trop petite mais… oh ce n’est pas un bon exemple… Tu es peut-être encore un peu petite pour comprendre. Mais dis toi simplement que Papa veut que tous les gens puissent être égaux et qu’il n’y ait plus ni riches ni pauvres. »
Louise « Et c’est bien ça ? »
Marc-Antoine « Oui, c’est bien. Demande à Maman si tu veux. »
Louise « Maman elle pense ça aussi ? »
Marc-Antoine « Oui. Maman et Papa sont mariés parce qu’ils s’aiment mais aussi parce qu’ils pensent la même chose. »
Louise « … »
Marc-Antoine « Louise ? »
Louise « Maman elle pense que je peux avoir une fourchette aussi pour manger. Alors, tu es d’accord ? »
Marc-Antoine « Petite futée… C’est bien la fille de son père celle-là... »
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cricxuss · 5 months ago
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🍒 LA POSITION D'ANDROMAQUE (en grec ancien Ἀνδρομάχη / Andromákhê, de ἀνήρ / anêr, « homme », et μάχη / máchê, « combat », d'où « celle qui combat les hommes » )
Hâvre de bien-être intérieur -dans l'intime de son sens- ou la Femme a le total contrôle à défaut de l'homme (normalement allongé), campé sous Elle, points de friction, frottement clitoridien, d'avant en arrière ou circulairement...
il est dit que c''est ainsi qu'Andromaque Héroïne de la Guerre de Troie, connaissait bibliquement son Epoux mais autant le dire sans préambule, c'est ainsi qu'elle aimait d'abondance et pratiquait l'acte de chair & d'amour en chevauchant à son seul gré & rythme Hector son Illustre Mari.
- A tel point que le nom d'Andromaque a été donné dans tout l'Occident à cette posture amoureuse
Divya Bliss
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PS : Le Célèbre Ouvrage KAMA SUTRA ou les Aphorismes du Désir datant du VIè et VIIème siècle appelle cette Connexion Amoureuse "la Jument (Vadavaka)" : Yeehaw...
ART ELISE COLLETSORAVITO
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thebusylilbee · 14 days ago
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Le ministre de l’Intérieur s’est dit mardi 21 janvier «très proche» du «combat» de ces «féministes identitaires», proches de toutes les sphères d’extrême droite possibles et imaginables.
C’est leur «combat», et c’est aussi le sien. Mardi 21 janvier, Bruno Retailleau a affiché son soutien admiratif au collectif Némésis, ces «féministes identitaires» (même si elles ne revendiquent plus ce terme qu’elles chérissaient initialement) qui dénoncent les violences faites aux femmes uniquement sous un prisme raciste et sont proches d’à peu près toutes les sphères d’extrême droite – des plus institutionnelles comme le RN aux plus radicales, royalistes et nazifiantes, comme l’a largement documenté Libé. Interrogé par leur porte-parole Alice Cordier (un pseudo) sur une possible dissolution du groupe antifasciste la Jeune Garde (dont était membre Raphaël Arnault avant d’être élu député LFI, avec qui Cordier est en guerre ouverte), le ministre de l’Intérieur a donc validé cette possible «solution» et, surtout, «félicité» le groupuscule pour son action , s’en disant solidaire : «Némésis […], bravo pour votre combat, vous savez que j’en suis très proche.»
Cette déclaration d’amour était faite en tant qu’invité d’honneur du centre de réflexion sur la sécurité intérieure , un think tank cofondé par l’avocat Thibault de Montbrial, ex-conseiller sécurité de Valérie Pécresse à la présidentielle 2022 avant de rejoindre le «comité stratégique» du média zemmouriste Livre noir (devenu Frontières) en 2023. «Pour la première fois depuis notre création, nous avons l’impression d’être entendues par les pouvoirs publics. Nous ne lâcherons rien», s’est gargarisé sur X le collectif Némésis , qui fait régulièrement la fête et prépare ses actions dans le manoir de Jean-Marie Le Pen mis à leur disposition – elles étaient aussi présentes à la messe d’hommage au fondateur du FN.
«Immense fierté»
Extatique après les louanges tressées et ce brevet en normalisation décerné par le ministre d’Etat, Alice Cordier a quant à elle exulté : «Après des années d’humiliations, de comptes bancaires qui sautent, de réseaux sociaux censurés, de violences par des militants d’extrême gauche, d’articles à charge… Après tout ça, j’ai été félicitée par notre ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau. Immense fierté.» Enfin la consécration pour celle qui a débuté avec les royalistes de l’Action française et a été proche de la bande néonazie des Zouaves Paris qui, après leur interdiction par les autorités, ont réactivé le GUD et poursuivi dans la violence.
Peu nombreuses avec 200 militantes revendiquées, ces spécialistes d’une agit-prop xénophobe s’assurent régulièrement une belle visibilité médiatique. La réponse de Retailleau à leur interpellation sur la Jeune Garde a d’ailleurs été relayée par les médias traditionnels mais aussi, goulûment, par ceux de la fachosphère : Valeurs Actuelles, Frontières, Fdesouche… La directrice de la publication de Boulevard Voltaire, Gabrielle Cluzel, a ainsi salué sur X le premier flic de France, «bien plus courageux» que son prédécesseur Gérald Darmanin, qui n’aurait jamais félicité ainsi le collectif, selon elle. En réponse, Alice Cordier s’est esclaffée : «Darmanin nous aurait dissous s’il avait pu.» C’est dire.
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