#Le mari lui répond:
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lolochaponnay · 4 months ago
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Une femme constate que le robinet de salle de bain fuit, elle dit à son mari: -Chéri, le robinet salle de bain fuit, tu penses à le changer Le mari lui répond: -Pas ce soir, je suis fatigué et puis d'ailleurs je ne suis pas plombier ! Le lendemain la femme refait la remarque à son mari: -Chéri, le robinet fuit, tu y pense -Pas aujourd'hui et je t'ai déjà dit que je ne suis pas plombier! Le surlendemain le femme constate que rien n'est fait et elle redit à son mari: -Chéri, tu pense au robinet? -Oui oui demain promis! Le soir l'homme rentre chez lui et constate que le robinet ne fuit plus, il demande à sa femme: -Tu as fais réparer le robinet? -Oui le voisin me l'a changer! -Ahhh oui? et en échange de quoi? -Il voulait soit un gâteau soit une gâterie! -Et tu lui as fait quoi? -Une gâterie -Tu ne pouvais pas lui faire un gâteau!!! -Non! Je ne suis pas pâtissière !
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noa-de-cajou · 6 days ago
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Zuza appartient à @soupedepates
Le texte qui suit aborde des thèmes lourds autour de la grossesse et de l'accouchement.
Et oui on écrit en français aujourd'hui youpidou
3 décembre 2002, 17h03
– Mademoiselle Nowak ?
Putain, c'est pas trop tôt. J'arrive à cours de barres chocolatées. Moi qui croyait que les fringales s’arrêtaient après la grossesse, je l’ai dans le cul. Au moins le résultat de ladite grossesse pionce tranquillement dans son porte-bébé, enfin.
Le comité est bien garni en tout cas. La sage-femme qui est à sa tête amène avec elle toute une petite cour. Madame Fourrières alias la gynéco la plus safe qui existe, bénie soit cette femme, la nana de l’ASE qui s’occupe du dossier de Tonia, j’ai oublié son nom, une autre sage-femme, à lunettes celle-là, et deux meufs en blouse bleue qui doivent pas être beaucoup plus âgées que moi et qui se chient clairement dessus. Ça m’agace gentiment, cette procession, j'ai l’impression qu'ils viennent admirer la bête curieuse. Déjà qu'ils m’ont pas laissée assister à l’accouchement... Au moins la sage-femme devant est souriante, ça en fera au moins une entre nous deux.
– Vous connaissez déjà le docteur Fourrières et mademoiselle Blin de la protection à l’enfance, je crois.
Blin. Marie Blin. Je me demande comment j’ai pu oublier son nom, à cette pimbêche et ses discours tout faits. Oh, pleine de bonne volonté, hein, mais c’est pas la bonne volonté qui change la situation de merde dans laquelle on est. La sage-femme me sourit toujours malgré mon regard mauvais.
– Moi c’est Amel, j’étais avec Tonia pendant l’intervention. Tout s'est bien passé, elle se repose pour l’instant. Elle a géré la césarienne comme une championne.
C’est tout ? Des heures d'attente au milieu de cris de chiards pour qu'on me lâche que ça “s’est bien passé” ? Et c’est quoi exactement “gérer une césarienne” ? Le regard d’Amel s’adoucit.
– On va vous raconter en marchant un peu, si vous voulez bien. Julie, Crystal, vous voulez bien faire le tour de vos patientes pendant que je m’occupe de mademoiselle Nowak ?
Les gonzesses en bleu, sûrement les internes, hochent vivement la tête et déguerpissent aussi sec. Bon débarras. Amel me fait signe de la suivre, le docteur Fourrières fait quelques mètres avec nous avant de devoir repartir en intervention aussi sec. Je suis bien remontée contre tout le monde mais elle, je lui en veux pas, vu comment elle a géré ma grossesse et celle de Tonia. Quasi en simultané d’ailleurs. Sans doute pas le meilleur moment de sa carrière. Mais du coup me voilà en train d’arpenter les couloirs puants avec ma môme sur la poitrine, Amel, la gourdasse de l’ASE, et la binoclarde dont j'ai toujours pas le nom.
– Donc, par rapport à Antonina… Vous êtes sa tutrice légale, c'est bien ça ?
– Depuis pas longtemps, ouais. Chais pas si on vous a dit par rapport à sa famille ?
Ces énormes fils de pute ?
– Je leur ai déjà fait un topo, intervient la mère Blin derrière moi.
Nan mais écoutez-la, gngngn je leur ai déjà fait un topo… Au moins ça m’épargnera de la salive.
– Mademoiselle Nowak n'est pas sa tutrice depuis très longtemps, vous comprenez, alors je suis là pour faire en sorte que tout se passe bien…
Mais c’est qu’elle en rajoute en plus ?! Putain, Micheline, j’ai pas cinq ans, j’ai une gosse, un diplôme, une bagnole et un appart, connasse !
– Je vois, répond Amel avec ce qui ressemble à de la politesse pour éviter de lui dire qu’elle s'en fout. Mademoiselle Nowak, on m'a dit que vous sortez de l’école d’infirmières ? Ça doit être pénible de repasser à l’hôpital.
Ouais. Ça l'est. Mais je crois que j'aurais préféré y être pour bosser.
– Ça va. Chuis en congé mat’, de toute façon.
Amel regarde mon petit paquetage de deux mois qui tape toujours sa meilleure sieste. Ce porte-bébé est un putain de cadeau de Dieu.
– Hmhm. Comment il… ou elle, s’appelle ?
– Bronya.
– Bronya, elle répète avec un sourire.
Par rapport à ma grand-mère. Bronislawa. J’avais pas de meilleure idée.
Et cette causette commence sérieusement à me gonfler.
– Bon écoutez, j’aimerais bien qu’on arrête de tourner autour du pot. Si ça s'est si bien passé que ça, pourquoi vous m’en dites pas plus ?
Son sourire se fait plus crispé. C'est pas la gueule d'une menteuse mais c’est bien celle de quelqu'un qu’a pas que des bonnes nouvelles à annoncer.
– Oui, il faut bien y venir… On arrive justement en néonat’. Le pédiatre est un peu débordé, donc c’est moi qui vais faire l’explication.
En… Putain j'avais oublié dans la panique. C’est vrai que l’accouchement était prévu pour février 2003 à la base. J’aurais dû m’attendre à ce que ça soit un préma, vu les circonstances.
Amel explique longuement à la Blin que ce serait mieux qu'elle attende dehors, que pour l’instant il faut éviter d’être trop nombreuses dans la pièce, en gros elle la baratine et l'autre finit par hocher la tête avec un air tout perdu. Dans les dents, grognasse.
On va pas se mentir, une fois devant la couveuse, je me sens plus si fière. Ça fait beaucoup trop de bips et beaucoup trop de tubes pour un bébé aussi riquiqui. Je passe une main sur la petite tête de Bronya, nerveusement. Ça aurait pu être elle dans cette machine. Ça aurait pu être elle.
Amel pose une main sur l’incubateur, tout doucement.
– Voilà. Je sais que c’est impressionnant, mais c’est nécessaire… Et la petite est tout à fait stable. Il n’y a pas vraiment lieu de s’inquiéter.
Donc c’est une fille. Bon. Je pensais que l’annonce du genre allait me faire plus d’effet, mais là je m’en fous un peu.
– Elle s’appelle comment ?
Silence dans la salle. J’ai mis les pieds dans le plat ? On dirait bien. Parce que binocles a l’air hyper contrite et qu’Amel soupire.
– Vous… Vous savez déjà, mademoiselle Nowak, que certaines patientes peuvent avoir des réactions très… fortes après un accouchement, surtout s'il est traumatique.
Ouais. Je sais. Encore une fois, je suis infirmière. Et j’aime pas du tout cette prémice.
– Antonina… n’a pas voulu nous croire quand on lui a dit que c’était son bébé. Elle a refusé de lui donner un nom, elle n’a pas arrêté de crier et de pleurer, on a dû vite l'enlever de sa vue parce que ses constantes s'affolaient.
… Putain. Putain, voilà pourquoi j’ai insisté pour qu’ils me laissent venir, mais non, hein, le moins de personnes possibles, c’était mieux de me faire attendre sur un siège défoncé pendant que la gamine dont j’ai la responsabilité légale fait une crise de nerfs en accouchant parce qu’elle a pas onze ans, putain.
– Elle s’est aussi mise à refuser de parler autrement qu'en polonais… Sans Zuza, on n'aurait jamais réussi à la calmer.
Elle désigne la binoclarde, qui a toujours pas pipé mot et qui rosit en se faisant mentionner. J'en profite pour la regarder un peu mieux. Elle est pas très grande, le nez un peu arqué et les cheveux tirés en arrière, ce qui la vieillit vachement alors qu'elle doit avoir vingt-cinq ans à tout péter. Mais elle a une bonne tête, ça va.
– Vous lui avez parlé polonais ?
Elle hoche doucement la tête. Sans rien dire de plus. C'est vrai que “Zuza”, ça sonne polonais.
– … Merci.
Elle a un tout petit sourire et ça change tout sur son visage.
– C’est normal, je n’ai fait que mon travail.
Putain sa voix est super apaisante. C’est pas grand-monde qui peut souffler ma colère comme ça. Même Bronya, qui s’est réveillée à cause des bips partout, la fixe avec de grands yeux. Sans chouiner.
– Antonina a été très courageuse, se sent obligée de préciser Amel. Mais Zuza a été une aide précieuse, vraiment.
Bien sûr qu'elle a été courageuse. Elle avait pas le choix. C'est déjà assez dingue qu'elle ait pas décidé de juste abandonner le bébé ou de faire ça sous X.
– On pensait vous demander de la nommer, mademoiselle Nowak, reprend Amel.
Je jette un œil à l’espèce de crevette rabougrie et intubée de partout dans sa couveuse. Ça m'inspire rien du tout. J’ai toujours été nulle avec les noms. Et puis même si elle en veut pas, c’est le bébé de Tonia, pas le mien.
– Chais pas trop.
Zuza s'approche, l’air un peu hésitante.
– Vous savez, je pense que ça ne dérangerait pas Antonina. Elle a parlé de vous plusieurs fois, même en délirant. Et vous avez l’air de beaucoup l'aimer.
Ouais. C’est vrai. Je l’adore, cette gamine. Même enceinte jusqu'aux yeux à un âge où tu devrais juste être en train de jouer aux Legos et de t'inquiéter de tes devoirs de maths, elle arrivait encore à me sourire. À faire des blagues. À me parler de films qu’elle voulait voir. À s'extasier sur mon bébé à peine né dont je savais même pas quoi penser. Je comprends pas comment on peut ne pas l'aimer. Je comprends pas les messages sans réponse envoyés à Eunika pour lui dire de venir, putain, c’est ta petite sœur quand même, pour qu’au final mes SMS s'envoient même plus. Bloquée. Tu parles d'une amie, tu parles d'une sœur. Ils peuvent aller crever, elle et son mec. Surtout son mec.
Et les tonnes de messages que je reçois de la daronne Zielinska, cette vieille pute, ils valent même pas la peine que je les regarde.
– Ça lui ferait plaisir que vous nommiez ce bébé, Milena.
Milena. Elle m’appelle par mon prénom. J’ai les yeux tout humides, ça doit être la fatigue. Bronya fait pas encore ses nuits mais ce qu'elle me fait c’est de sacrées coliques, et moi chuis crevée.
En parlant de Bronya, la voilà qui se met à babiller maintenant. À deux mois, c’est surtout des “A-ba” et autres variantes toutes aussi lettrées. Je l’écoute d'une oreille en regardant l’autre dans sa couveuse.
… Ça me donne une idée, ce discours de bébé.
– Ada. C'est bien, Ada.
Simple. Ça se lit pareil dans les deux sens. Ça la fera pas chier pour l’écrire à l'école.
– Ada ! s'exclame Amel d'une voix réjouie. C’est très joli. On saura comment l’appeler maintenant.
Elle part dans des explications sur la suite, le peau à peau, les soins, l’allaitement, comment je peux demander de l'aide pour surveiller la santé de Tonia et d’Ada, et puis déclarer la petite à la mairie, je l’écoute à peine. Trop crevée. Épuisée d'avance à l’idée que je vais devoir demander de l’argent à mes parents. Que mon daron le donnera sans problème, mais pas avant que ma mère m’ait copieusement engueulée et traitée d’incapable.
Zuza pose une main sur mon épaule. Je la laisse faire quelques secondes, puis je la repousse mollement. C’est pas grave. Je me démerderai.
Me suis toujours très bien démerdée toute seule.
Et non, je pleure pas, merci beaucoup.
– Vous voulez aller voir Antonina, Milena ? me demande Zuza. On pourra s'occuper d’Ada après.
Je hoche la tête. Ouais. Je veux bien. Ça m’évitera de perdre du temps sur le reste.
Elle a besoin de moi.
Elles ont toutes besoin de moi. Je peux pas les laisser tomber.
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dors-ee · 7 months ago
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Bonjour!
J'espère que tu ne m'en voudras pas de glisser un petit message dans ta boîte aujourd'hui!
Pour cette journée "Parle ta langue", je me demandais si tu aimerais nous présenter deux ou trois œuvres d'art françaises que tu apprécies particulièrement?
Evidemment, aucune pression ; ne réponds que si tu en as envie!
Je te souhaite une très belle journée!
Salut ! Aucun problème ! Art plastique j'admets préférer des peintres non français, en général. Après en littérature -j'ai fais une licence de lettres modernes- j'ai plusieurs auteurs que j'apprécie !
Albert Camus, du 20ème siècle, j'apprécie non pas seulement sa philosophie. La Peste est très poignant, une vraie histoire qui touche profondément. Caligula de ce dont je me souviens, pour quelqu'un qui n'apprécie pas plus que cela le théâtre, était assez agréable à lire. L'étranger, j'ai également bien apprécié, là aussi non pas uniquement pour la philosophie mais le personnage, l'histoire même. Camus était un romancier, même si j'ai l'impression qu'hors de France il est plus connu pour ses idées sur l'absurde.
À l'époque, jeune idiot en lycée, je n'accrochais pas mais maintenant des années après je dois citer Phedre de Racine. Je dois aussi citer Zola, Madame Bovary de Flaubert, et je n'ai plus le nom mais un truc obscur de fin 19eme. Je me souviens quand on a eu le nom en 1ere année de licence, puis lu le livre, tout le monde se demandait "mais c'est quoi ce truc?!". Mais j'en ai de bons souvenirs, ne serait-ce que pour l'étrangeté !
Pour Zola bien que c'était très laborieux à l'époque de le lire, jeune idiot en collège encore une fois, je reconnais aujourd'hui son apport. Et le fait qu'en vrai il est bien moins laborieux et ennuyant que Balzac! Quant à Madame Bovary je ne sais si je recommanderais de le lire. Il représente tellement bien l'ennui et sa souffrance à elle, ses aspirations, son ambition ses erreurs... Mais il est long et bien chiant soyons honnête. (Et c'est là qu'est son génie. Je trouve cela drôle).
En poésie j'apprécie Rimbaud, Les saisons, et autres je n'ai plus les noms exacts raaaaah, Baudelaire j'ai personnellement moins aimé, mais peut-être que c'était l'âge. Rimbaud me parlait plus. Jeune âme artiste torturé. Je me retrouvais dans ses élans émotionnels et élucubrations existentielles. Dans ses images surtout... J'adore ses images et son language.
J'ai perdu pas mal de références, je ne me souviens pas de tout... Donc je pense qu'il y en a plus pais ma mémoire me fait défaut.
Je citerai peut-être Antigone de Cocteau, là aussi mon idiotie de jeunesse me faisait le rejeter, mais il n'est pas si mal.
Maintenant, si tu permets, j'ai aussi lu des auteurs non français mais non anglais et certains j'aimerais en parler : Lampedusa et Le Guépard, très très intéressant et l'air de rien lui aussi peut aller assez en profondeur et faire réfléchir sur certaines choses. Il campe aussi la Sicile, à une certaine époque. Bien intéressant.
Zweig, magnifique, qu'en dire. Il est poignant, prenant, mais ausis exude un certain calme. Ce n'est pas le tumultueux Rimbaud, loin de là. Au contraire. Il n'est également pas aussi obscure et complexe que les russes. Et pourtant il parle d'émotions humaines, il donne des lessons qui touchent profondément rt marquent à jamais oserais-je dire. Je me souviendrai toujours de La Pitié dangereuse je pense. Ou de La confusion des sentiments. Ou de certaines de ses nouvelles.
J'ai aussi lu des auteurs russes, même si je ne sais si c'est vraiment une bonne idée d'en parler. Je dirais Dostoyevsky et Tolstoy sont... quelque chose. Chacun à leur manière. Mais Anna Karenina est lui aussi un de ceux qui restent en mémoire. Je n'aime pas Anna, ni Vronsky, ni son mari. J'aime Kitty et Levin, oh surtout Levin de ce dont je me souviens je pouvais tellement m'identifier à sa recherche de sens, son fonctionnement mental, ses pensées. Sa réponse était dans la famille la tradition et dieu... Mais je ne peux m'empêcher de penser et si ? Et si aujourd'hui ? Si il était un homme moderne avec tous nos philosophes ? avec les connaissances et diagnostiques...
A meek one, Crime et Chatiment de Dostoyevski m'ont marqué. Le grand inquisiteur... Mais bon Dois-je vraiment décrire Dostoyesvki ? Si vous avez des semaines à perdre à vous torturer et triturer les méninges je le recommanderais. Sinon... Je ne sais pas. Il apporte des choses évidemment mais il est si complexe !
Ah je pense à un dernier auteur français, plus un philosophe : Henri Bergson. Les philosophes ont tendance à m'énerver mais lui j'ai bien aimé.
Oh un dernier nom désolé ! Théophile Gautier (h ou sans h je ne sais plus. Les tags disent sans h donc sans h!). Bien pour des nouvelles ghotiques et fantastiques. (Je préfère largement à Maupassant je dois avouer. Jamais pu digérer Maupassant.)
Jeune j'ai apprécié quelques pensées sur l'art et le théâtre d'Artaud, et un peu de sa poésie. Mais je n'ai jamais pu pardonner son sexisme et sa misogynie. Je ne veux pas entendre l'qrgument "c'est son temps" pour lui. Si Monsieur était si spécial et un génie, il pouvait aller contre son temps non?
Oh non français... hum... celui qui a écrit la maison de poupée je crois... Icksen?
Bref je dois m'arrêter haha 🤣 (et retrouver le nom du gars avec sa torture ornée de gemmes oui celui qui était étrange et nous a tous questionnés en licence 1 haha).
Voilà j'espère que c'est ok haha !
Bonne journée à toi aussi ! Enfin, fin de journée si tu es sur la même timezone que moi !
(Je suis content d'avoir pu parler de littérature... je n'ai jamais terminé ma licence, dernier semestre non complété, et je suis maintenant perdu en psycho... La littérature me manque beaucoup. Donc c'est cool...).
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souvenirsdesmercier · 4 months ago
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Quelques extraits d'un récit que j'ai toujours adoré.
Christine a 36 ans. Elle reprend, à Ste Marie, ses études interrompues dix-huit ans plus tôt. Elle y sera soumise au même régime que ses condisciples plus jeunes.
A few extracts from a story I've always loved
Christine is 36 years old. She resumed her studies at Ste Marie, having interrupted them eighteen years earlier. She will be subject to the same regime as her younger classmates.
"Ma belle-mère ne me faisait même pas confiance, comme souvent. Étant en quelque sorte habituée des lieux, je savais que les tenues pour Ste-Marie faisaient partie du rayon enfants. Renseignements pris et confirmés par une employée du magasin, je suivis ma belle-mère jusqu’au rayon enfants. Ma belle-mère s’adressa directement à la vendeuse du rayon, une femme à qui j’aurais donné un peu plus que la quarantaine:
– Bonjour, c’est pour ma belle-fille… Il lui faut la totale pour Ste-Marie…
– Certainement Madame, lui répondit la commise. Nous avons l’habitude des grandes élèves…
Évaluant ma taille et sans même me la demander, la vendeuse prit deux jupes et les confia à ma belle-mère.
– Allez les lui faire essayer… Je vous amène les chemisiers.
J’emboîtais le pas de ma belle-mère jusqu’aux cabines d’essayage. À ce rayon, elles étaient beaucoup plus simples et moins intimes qu’au rayon mode féminine. Plutôt que des portes avec loquet, un simple rideau fermait chaque box à mi-hauteur. Heureusement en cette période de vacances, le rayon enfants était quasiment désert et les cabines l’étaient tout autant. Ma belle-mère entra avec moi dans la cabine et entreprit de me déboutonner la jupe, chose que je pouvais faire moi-même.
– Laissez-moi faire Christine, me dit-elle.
Rapidement, elle fit glisser ma jupe et me l’ôta.
– C’est une belle culotte que vous avez là, Christine ! Sobre, classique, Vraiment vous avez du goût. Mais je ne suis pas certaine qu’à Ste-Marie… Les Sœurs ne vous ont pas contrôlée ? Elles ne vous ont rien dit ?
– Si belle-maman. La Préfète de discipline a juste fait la remarque que les petites dentelles étaient de trop… mais guère plus…
Bon, nous verrons ça aussi, continua ma belle-mère. De toute façon, pour la vraie rentrée il vous faudra autre chose…
Lorsqu’elle vit mieux mes cuisses encore marquées, ma belle-mère ne put s’empêcher d’ajouter remarques et commentaires :
– Eh ben ! Ce sont de belles traces… Les Sœurs ne vous ont pas loupée…" [....]
La vendeuse tira autoritairement le rideau et laissa la cabine béante.
– Allons donc, dit-elle. Elle a encore sa culotte et son soutien-gorge…
Ma belle-mère fit comme un signe de dépit.
– Elle ne veut pas, elle préfère faire l’essai dessus…
– Madame ! continua la vendeuse, je n’ai pas de leçon ni de conseil à vous donner mais je trouve que votre belle-fille répond sur un ton désagréable et, personnellement, ça ne me plaît guère. Il y a des fessées qui se perdent, si vous voyez ce que je veux dire…
– Excusez-moi, répondit ma belle-mère. Je n’avais pas réalisé…
Ce disant ma belle-mère m’empoigna fermement, me ramena à elle, me fit pivoter d’un demi-tour et m’arracha le soutien-gorge plus qu’elle ne le dégrafa. Je me retrouvais les seins nus que je protégeai rapidement de mes deux mains. Je n’avais plus cette protection qu’auraient pu offrir mes mains pour le reste de mon corps et c’est par surprise que ma belle-mère me descendit prestement la culotte à mi-cuisses. Je n’eus que le temps de garder un bras devant mes seins et de placer mon autre main devant mon sexe qu’une première claque s’abattit. Je venais de pousser ma belle-mère à bout.
Seule ma mâchoire inférieure fut prise de tremblements et ma tête sembla hoqueter. Je pleurais silencieusement. La vendeuse esquissa un sourire complice à l’adresse de ma belle-mère, elle allait être en mesure de poursuivre l’essayage en toute sérénité. C’est même elle qui termina de me descendre la culotte et la fit passer.
– Christine ! S’il vous plaît, intima ma belle-mère en me tirant sur les bras et en me les plaçant croisés dans le dos.
– En plus elle se rase ! s’écria la vendeuse, visiblement peu emballée à la vue de mon pubis et du haut de ma vulve imberbe.[...]
"
Vous permettez, Madame ?
Et sans même attendre, elle devança la réponse, alliant le geste à la parole :
– Voilà ce que je fais aux filles qui sont insolentes et se permettent de répondre !
Elle me fessa de cinq bonnes claques sur les fesses"
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moon-girls-stories · 1 year ago
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The Last Kingdom - Dame Hyacinth.
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~ Dame Hyacinth est la jeune soeur de Finan l'Agile. Après un long voyage pour fuir la famille de son défunt mari, elle retrouve enfin son frère et lui demande protection. Seulement depuis son arrivée, Sihtric n'a d'yeux que pour elle. ~
~ ~ ~
-Comment va-t-elle ? Demande Uhtred. 
Finan laisse son cheval à Osferth, les lèvres pincées alors qu’il se lave les mains dans un seau d’eau froide. Il hausse simplement des épaules alors que Sihtric et Uhtred échangent un regard inquiet. 
-Finan. 
-Elle ne dort pas. Et je ne peux pas l’aider. Elle refuse de me parler, je ne sais pas ce qu’il se passe dans sa tête. Qu’est-ce que je peux faire ? 
-Peut-être puis-je l’emmener dehors ? Propose Sihtric.
-Elle ne sortira pas d’ici, c’est trop dangereux. S’agace-t-il.
-Sauf que ta dame souhaite se balader depuis des jours. Le contre le danois.
-Ce n’est pas ma dame, Sihtric. Et je vois très bien ton petit jeu autour d’elle, si tu la touches je te coupe les bourses. 
-Seigneur, calmez-le ou c’est moi qui m’en charge…
Sihtric lance un regard de tueur à Finan avant de rentrer dans l’auberge dans laquelle ils logent depuis des jours à présent.
–Il ne pense pas à mal.
-Il veut la baiser.
-Non, il s’est épris d’elle. 
-Comme il s’éprend de toutes les putains qu’il croise. 
-Finan, tu es rude. Autant avec elle qu’avec lui, laisse-les passer du temps ensemble. Cela pourrait faire du bien à Hyacinth.
-Pas sans chaperon. 
-Alors je serais leur chaperon. 
Finan lève les yeux au ciel, soupirant rageusement alors qu’il lance un regard à son frère d’arme l’air de dire “Tu es vraiment sérieux ?”. Uhtred lui sourit, fier de son idée. Il n’attend plus la réponse de l’irlandais et pars à la poursuite de Sihtric. Il le trouve rapidement attablé avec une bière à la main alors qu’il observe sans vergogne la jeune Hyacinth lire un livre dans un coin reculé. 
-Je pense sincèrement que tu devrais tenter ta chance avec elle.
-Finan me ferait la peau.
-Je ne pense pas que tu aies peur de Finan. Ricane le seigneur. 
Sihtric baisse instinctivement les yeux sur la table en bois, jouant avec son poignard sur la table en bois. 
-C’est une dame de rang supérieur au mien. Murmure-t-il alors qu’il s’enfonce dans la frustration que lui fait éprouver cette fille. 
-Je me suis marié à des femmes avec un rang supérieur au mien. Répond Uhtred, maintenant concerné par la situation de son jeune frère d’arme.
-Ce n’est pas pareil, tu es Uhtred, un seigneur, le tueur de danois. Tu as une réputation et la confiance de tout le monde. Je ne suis rien de tout ça, juste un homme de main du seigneur Uhtred. 
-Eh, tu es plus que ça. Tu sais quoi ? Sortons, emmenons la dame en balade. 
-Finan refuse. 
-Finan n’a pas son mot à dire, j’ai décidé de sortir la dame alors je sors la dame. 
Sihtric le regarde à présent avant qu’un sourire effronté s’installe sur ses lèvres. 
-Va la chercher, je vous attends dehors avec les chevaux. 
Le jeune Danois se lève de sa place, finit sa bière cul sec et s’approche de la jeune dame.
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unempirepourtonsourire · 6 months ago
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Ma mère qui me dit qu'elle est fière de moi car je lui dit que je repasserais pas les chemises de mon mari, que je voudrais pas prendre son nom de famille si on se marie, et que je veux pas d'un gars qui fasse rien à la maison, et moi qui lui répond "C'est d'ailleurs pour ca que je suis célibataire !"
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miung-dreamer · 2 years ago
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What if...
What if Guenièvre ne rentre pas à Kaamelott après sa piqûre de guêpe?
Finalement Merlin est du voyage et en chemin, il arrive à lui rafistoler son pied avec des plantes rares trouvées près d’un petit ruisseau. Elle va beaucoup mieux et n’a pas envie de retrouver l’ambiance du château avec ses parents qui doivent être insupportables sur le trône...
Elle n’arrête pas de se dire qu’Arthur semblait un peu abattu quand elle l’a quitté. Elle ne veut pas qu’il désespère. Puis elle croit que sans la couronne de fleurs sur elle, son mari est potentiellement en danger.
Elle décide de repartir dans l’autre sens au début avec Merlin, puis elle continue sans lui. Elle paye un jeune guide qui l’emmène sur la côte (les jumelles sont probablement là-bas?) : elle y croise leur père, un étrange pêcheur qui parle beaucoup de son fils parti en mer. Elle a de la peine pour lui mais son esprit est occupé par Arthur. Où est-il ? Le pêcheur l’a rencontré ce qui la rassure mais sait seulement qu’il est reparti dans les terres sans savoir vraiment où...
Elle se résigne à repartir chez elle mais elle demande au guide resté à ses côtés s’il peut les faire passer par un autre chemin sûr que celui de la route principale pour Kaamelott. Ils marchent des jours et des jours. La Reine s’inquiète de plus en plus sans comprendre vraiment pourquoi.
Ils tombent sur une troupe de théâtre installé pour l’été et....... Arthur en train de crier “vous voulez le voir en colère le chef de guerre? Vous croyez que vous pouvez le contenir!?!?!?! “
Elle l’appelle dans un cri. Ce n’est pas la première fois qu’elle voit son époux en rogne mais elle sent quelque chose d’étrange dans sa voix. Quelque chose de désespéré comme quelqu’un qui tente de se débattre, de se sauver. En le rejoignant, elle comprend qu’il s’adressait à deux hommes dont un emmitouflé dans une longue cape noire. Instinctivement, elle se place devant son époux comme pour le protéger. Elle est elle-même surprise de sa réaction mais une défiance monte elle vis-à-vis de ces individus.
Arthur est très surpris de la trouver là. Inquiet qu’elle ait pu traverser une partie du pays “seule”, il a une furieuse envie de l’engueuler mais il doit l’avouer. Il est soulagé... tellement soulagé de la revoir. Il ne lui dira pas mais elle lui avait manqué. Arthur est encore plus étonné quand il regarde son guide : celui-ci semble déstabilisé par sa femme. Pire, il y décèle comme une crainte dans ses yeux.
Guenièvre maintient le regard de l’homme en noir. Elle ne comprend pas mais elle n’a pas peur. Pourtant, elle a tendance à être impressionnée par des inconnus et celui-là a une carrure impressionnante. Mais là, non. Elle se tient droite, près de son époux et ne fléchit pas.
L’homme finit par se lever. Il semble ne pas vouloir les approcher. Etrange, pense Arthur. 
Il accepte de partir sur le champs pour les ramener à Kaamelott mais Guenièvre décline la proposition (”j’ai déjà un très bon guide”). Il insiste en prétextant que son mari a déjà payé. Ce à quoi, elle répond “donc il ne vous doit plus rien ! Merci mais on n’a plus besoin de vos services,. Vous pouvez trouver un autre voyageur perdu”. Arthur voit deux volontés s’affronter par le regard : insistant et anxieux pour son guide, inflexible pour sa femme.
Finalement, l’homme en noir s’en va en silence la mine défaite... 
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selidren · 1 year ago
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Printemps 1906 - Champs-les-Sims
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Peut-être ne le savez vous pas, mais ma Grand-Mère a tout d'une bonne chrétienne, avec malgré tout une grande croyance en beaucoup d'histoires mystiques. Elle m'a raconté toute mon enfance qu'il arrivait aux fantômes de la famille de la visiter la nuit, quand tout le monde dormait. Selon elle, Tante Daphné voyait elle aussi les esprit, mais il n'y a plus moyen aujourd'hui de le lui demander. Elle ajoute aussi fréquemment que quand elle aperçoit le fantôme de Grand-Père, c'est qu'un grand malheur se prépare.
Transcription :
Rhabba : Ô esprit des défunts... Ô ombre des âmes du royaume d'Osiris souverain... Ecoutez mes chants et mes paroles. Remontez des champs d'Ialou, parmi les terrestres du royaume diurne de Râ. Répondez moi... Faites entendre votre voix...
Rhabba : Les esprits sont là, Madame. C'est à vous d'appeler le bon. Allez-y ?
Eugénie : Très bien. Heu... André ?
Rhabba : André, frère qui marche aux côtés d'Anubis. Celui que Ammout la cruelle ne dévora pas... Ton épouse bien-aimée t'appelle ! Réponds à ses sollicitations...
Rhabba : Voyez-vous la brume dans la sphère Madame ?
Eugénie : Oui, enfin je crois.
Rhabba : Il est ici, remonté du Royaume d'Osiris.
Eugénie : Le Royaume d'Osiris... Très bien...
Rhabba : Posez-lui vos questions, je vous transmettrai ses réponses et... oh attendez... il a quelque chose à vous transmettre urgemment. Il dit qu'il vous aime et qu'il est desolé de vous avoir abandonnée ainsi dans des temps si troublés.
Eugénie : C'est bien André... Madame Rhabba, force est de constater que vous n'avez rien des charlatans qui prétendent convoquer les morts par chez nous.
Eugénie : A quoi cela ressemble-t-il de l'autre côté ?
Rhabba : Il dit avoir parcouru les longs champs de blé doré avant d'atteindre le pays de l'éternelle quiétude. Sous l'égide de Dieu, ce royaume est baigné par un doux soleil, traversé de fraîches rivières. Il converse souvent avec ses parents, qui l'ont attendu, fils idéal, pendant si longtemps.
Eugénie : Oh... Est-il avec nos enfants ? Mon petit Matthieu...
Rhabba : Votre fils est là-bas lui aussi. Il vous aime aussi tendrement qu'André.
Eugénie : Hum... André est-il heureux ?
Rhabba : Oui. Mais son bonheur n'est pas complet.
Eugénie : Vraiment ?
Rhabba : Il dit que l'endroit est parfait. Qu'il se sent en paix. Mais pas complet. Votre absence auprès de lui le torture, si bien qu'il sent qu'il a laissé en vous une part de lui-même.
Eugénie : Il veut... que nous passion l'éternité ensemble ?
Rhabba : C'est cela. Mais il vous fait savoir de prendre votre temps. Il sait qu'il serait égoïste de vous appeler à lui alors que votre famille a tant besoin de vous.
Rhabba : Ô esprit d'André ! Que veux-tu dire d'autre à ton épouse adorée ?
Eugénie : Merci mais ce ne sera pas néc...
Rhabba : Il veut que vous sachiez que peu importe ce qui s'est passé, cela n'est pas de votre faute, il ne faut jamais, au grand jamais, vous le reprocher.
Eugénie : ... Pas de doute possible, il n'y a que mon mari pour me dire ce genre de choses.
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jeanchrisosme · 1 year ago
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Te définir à travers le regard de l'Autre ne fait qu'entretenir tes blessures émotionnelles, ta dépendance, ton insécurité. Tu n'oses pas le contredire par peur de le décevoir. Tu réponds présent à l'ensemble de ses sollicitations. Tu n'oses pas lui dire non. Tu annules tes projets pour lui rendre ce service qu'il te demande, toujours le sourire, toujours la bonne humeur, même si ton Cœur pleure. Ne perds jamais de l'Esprit que l'Être Idéal qui pourra combler tes vides n'existe pas. Tu es le seul à pouvoir faire cela, de manière efficace et durable. La recherche perpétuelle de reconnaissance n'apporte que des satisfactions éphémères. Le mal être remonte si vite après pourtant tant d'efforts. Pour combler ton vide intérieur, pour te libérer de cette dépendance qui draine ton énergie et ta vitalité, il ne suffira pas de t'offrir de beaux présents, de t'octroyer de doux compliments. Il va falloir que tu t'engages auprès de toi même, que tu sois présent pour tes convictions, tes aspirations, tes besoins véritables. Il va falloir que tu apportes ta reconnaissance à toutes ces parts de toi qui t'attendent : tes projets, tes envies, tes pensées réelles, tes émotions, tes aspirations. Il va falloir que tu t'Aimes assez pour Être. L'Amour de Soi offre une sensation de Bien Être Profond, un Bien Être Puissant, une Sérénité Intense. Tes accomplissements te nourrissent, te remplissent. Ils comblent ton Manque d'Être qui t'habite depuis si longtemps. Tu seras alors Plein de Toi. L'Amour de Soi c'est ressentir un Monde Intérieur Fort, un État d'Être Courageux, une Force Tranquille, un Confort Émotionnel et Psychique certain. Lorsque tu auras lever les voiles de la peur qui t'empêchent d'accéder à ta Véritable Nature, tu retrouveras l'Amour et la Paix en toi.
Marie-Sophie Chauderon
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lolochaponnay · 7 months ago
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Un homme va consulter son médecin : - Docteur, je viens vous voir parce que mes testicules sont ridiculement petits! - Faites voir, dit le médecin! Le gars se déshabille et le médecin commente : - Ah oui! En effet, ils sont minuscules! Rassurez-vous, il existe un médicament pour ça. Il est très efficace, mais il a deux inconvénients. Il n'est pas remboursé par la sécurité sociale et il est conditionné par boîte de trente, alors qu'il faut en prendre un seul par jour, pendant dix jours! - Tant pis, répond le gars. J'en achèterai une boîte, puisqu'il le faut! - Voici votre ordonnance, revenez me voir dans deux mois pour faire le point. Le patient commence le traitement le jour même, et constate un grossissement de ses cacahuètes jour après jour. Alors il décide d'aller au bout de la boîte et prend les comprimés pendant un mois. Le jour de son rendez-vous, le médecin fait entrer une dame dans son cabinet et demande : - Que puis-je pour vous madame? - Je suis madame Dupont. Vous avez prescrit un remède à mon mari, pour lui faire grossir les testicules. - Ben oui, mais où est-il votre mari? - Dans le couloir, il est en train de faire les manoeuvres avec la brouette!
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marie-swriting · 1 year ago
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C'est Pas Juste - Steve Rogers
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Résumé : Steve ne comprend pas pourquoi tu pleures la mort d'un certain Jack.
Warnings : grossesse, mention de la fin du Titanic, fluff, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 995
Version anglaise
Tu éteins la télé alors que de grosses larmes coulent sur tes joues. Tu n'essayes même pas de les essuyer pendant que tu poses le bol de pop corns sur la petite table devant toi. Alors que ta respiration se fait de plus en plus saccadée, tu caresses ton ventre de femme enceinte de cinq mois, espérant que ça va t’aider à te calmer. Steve apparaît dans le salon et accourt vers toi en entendant tes sanglots. Il te prend dans ses bras et tente de te calmer, en vain. 
-Y/N, qu’est-ce qui se passe ? demande-t-il, inquiet.
-C’est pas juste, Steve, murmures-tu, les lèvres tremblantes. Il méritait pas de mourir. 
-Qui est mort ?
-Jack ! t’écris-tu comme si c’était évident. Il aurait dû vivre. Il aurait dû avoir une longue et heureuse vie avec Rose. Ils méritaient d’être heureux ensemble. Ils s’aimaient. Pourquoi est-ce qu’ils ont pas fait plus attention à ce maudit iceberg ? Tout aurait pu être évité. Et puis, il y avait de la place sur cette putain de planche !
Steve ne réagit pas à ton juron, trop préoccupé par ton état émotionnel. Ignorant quoi dire, il continue à caresser ton dos. Il ne sait pas qui sont Jack et Rose, mais il devine qu’ils sont des proches, car tu es totalement bouleversée. Tu sanglotes encore dans ses bras pendant une dizaine de minutes jusqu’à ce que l’arrivée de Sam et Bucky vous interrompent.
-Wow, qu’est-ce qu'il se passe ici ? 
Pour répondre à la question de Sam, Steve hausse les épaules pour montrer qu’il est tout aussi perdu. En entendant la voix de tes amis, tu te sépares de ton mari. Tu t’excuses indiquant que tu as besoin de mouchoirs laissant les trois hommes ensemble.
-C’était quoi ça ? questionne Bucky, perdu. 
-Je crois que l’un de ses amis est décédé. Un certain Jack.
-Tu le connais ? 
-Non, répond Steve à Sam. Ils étaient peut-être amis d’enfance ? suppose-t-il, tentant de donner du sens à ce que tu lui as dit. En tout cas, il serait mort à cause d’un iceberg et il aurait laissé derrière lui sa partenaire du nom de Rose. Elle a aussi dit qu’il y avait de la place sur la planche.
-Quoi ? demande Bucky, comprenant encore moins la situation. 
En comprenant la réelle raison de tes pleurs, Sam ne peut s’empêcher d’exploser de rire. Les deux super-soldats le regardent, choqués de voir Sam s’esclaffer à l’annonce d’un décès. Sam continue de rigoler pendant quelques minutes. Quand il arrive enfin à se calmer, Sam tape amicalement l’épaule de Steve.
-C’est pas son ami, Steve, lui assure-t-il avec un sourire.
-Quoi, tu le connais, ce Jack ?
-J’arrive pas à croire que j’ai oublié de te dire de le regarder. Jack, Jack Dawson, ça vient du film Titanic, informe Sam.
-Pourquoi est-ce que ce nom me dit quelque chose ? s’interroge Bucky, cherchant dans ses anciens souvenirs.
-C’est pas le bateau qui avait coulé en 1912 ? Ma mère m'en avait parlé, déclare Steve à son ami d’enfance.
-Oui, c’est ça !
-Bref, les coupe Sam, ils ont fait un film sur cette tragédie en 1997 et il y a une histoire d’amour entre Jack et Rose. Jack meurt à la fin alors que Rose vit sa vie comme Jack lui avait dit de le faire. Et à en juger par les popcorns sur la table, je dirais que Y/N vient tout juste de terminer de le regarder, explique-t-il, en montrant le bol.
-Attends, elle est dans cet état à cause d’un film ? Steve questionne. 
-Les hormones, se moque Bucky.
-Ce film détruit tout le monde, lui rétorque Sam, presque outré. Toi aussi, tu serais en train de chialer, malgré tes airs de grincheux qui déteste la vie.
-J’en suis pas si sûr.
Bucky et Sam partent alors en débat tandis que Steve s’éloignent de ses amis pour te retrouver dans ta chambre. En ouvrant la porte, il te voit assise sur ton lit, un mouchoir en main. Il vient à tes côtés et met son bras autour de tes épaules.
-Comment tu vas ? demande-t-il d’une voix douce.
-Je m’en remettrai comme à chaque fois que je vois ce film, déclares-tu en reniflant. Je viens de réaliser que tu ne dois même pas savoir de quoi je t’ai parlé.
-Sam m’a tout expliqué. Mais je ne vais pas mentir, je me suis inquiété, j’ai vraiment cru que t’avais perdu un ami, t’informe Steve, te faisant rire.
-Désolée, j’étais juste tellement triste par rapport à la fin et avec mes hormones, j’ai l’impression que c’est pire. 
-Tant que personne n'est mort, affirme Steve d’un air léger et tu tournes vers lui, vexée.
-Jack est mort, Steve ! Fictionnel ou pas, sa mort est sérieuse.
-Pardon, s’excuse-t-il en se retenant de rire. Quand tu auras accouché de notre magnifique bébé, commence Steve en touchant ton ventre, on regardera le film ensemble. Par contre, Sam et Bucky risquent de s’incruster, car Sam pense que Bucky va pleurer et Bucky ne pense pas que ça sera le cas.
-C’est vraiment des enfants, pouffes-tu en levant les yeux au ciel. 
-Ça fait un entraînement. 
Steve pose ses lèvres sur les tiennes et vous vous embrassez pendant quelques instants jusqu’à ce que Sam et Bucky apparaissent dans ta chambre bruyamment, vous demandant une réponse à leur dispute. Steve roule des yeux alors que tu rigoles face à leur gaminerie.
Finalement, moins de cinq mois plus tard, pendant que votre bébé dort, Steve, Sam, Bucky et toi organisez une soirée spéciale Titanic. Même sans tes hormones de femme enceinte, tu pleures dès le moment où le Titanic heurte l’iceberg alors que Steve et Sam commencent à pleurer quand Rose est dans le canot avant qu’elle saute pour retrouver Jack. Quant à Bucky, il reste silencieux toute la fin du film, mais quand vous rallumez la lumière, vous pouvez voir ses yeux rouges et ses joues mouillées. Sam tend sa main à Bucky et avec agacement, il lui donne un billet de vingt dollars.
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angellyslion · 8 months ago
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BioDadClarkKentxBioMumBruceWayne pt 2
J'attends anxieuse l'arrivée de ma mère. Je fais les cents pas dans le hall de l'hôtel me rongeant les ongles. Je vois bien que cette action enerve la blonde qui m'a accompagné.
- Mari-Gold arrête de faire ses vas et viens tu vas me tendre folle !
- Désolé Chlo, je suis terrifiée ! Et j'ai une très mauvaise intuition due à cette rencontre !
- Assieds-toi et respire. Quel est le pire qui puisse se passer ? Découvrir que ton père est un superméchant ? Ou qu'il soit l'actuel dirigeant du monde.
- Même si je n'aime ce nouveau régime au moins  le monde est plus sûr. L'avantage c'est que Papillon n'est pas resté longtemps à terroriser Paris et à part nous deux personnes s'en souvient. Tout le monde pense que c'est une illusion collective. Il y a de forte chance que Superman soit mon père.
- Comment peux-tu en être si sûre ?
- Si ma mère s'appelle Brianna Wayne et que c'est elle qui dirigeait Wayne Entreprise. Tout le monde sait qu'elle fait confiance à Clark Kent qui est un des seuls journalistes qui la. Je sais qu'ils sont des amis proches. Quand Superman a pris le pouvoir son identité civile à été révélée ce qui fait que logiquement ma mère est Batwoman. Elle l'invite souvent à ses galas. Ils ont bien pu avoir une partie de jambes en l'air à une de ses soirées. Il faut dès fois qu'une seule nuit pour concevoir un enfant. Et…
- Tu peux arrêter de parler de ça. Je n'ai pas besoin d'entendre ça !
- Chlo, ça fait partie de la vie.
- Mari-Gold, c'est juste étrange de t'entendre parler de la vie sexuelle de tes parents potentiels.
- Tes parents ont fait de même pour t'avoir !
- Merci Mari pour l'image mentale !
- Je t'en prie Chlo ! Je lui tire la langue. Nos enfantillages sont interrompus par une voix forte qui me fait tresaillir.
- Marinette Dupin-Cheng est-elle ici ? Je me tourne lentement vers la source de la voix et répond d'une petite voix et m'avance d'un ou deux pas
- C'est moi.
- Tu ressemble à ta mère !
- Heu… Merci… Je réponds hésitante.
- Tu sais qui je suis ? Demande l'homme flottant à quelques centimètres du sol. Les bras croisés au niveau de sa poitrine. Je jette un rapide coup d'œil à Chloé pour avoir un Indice sur la réponse à donner. Elle secoue la tête
- Vous êtes Superman, le nouveau dirigeant de la terre. Je réponds sûrement de moi. Et potentiellement mon père, je réponds dans un murmure. Je vois qu'il hausse un sourcil.
- Je vois que tu es au courant des choses.
- Alors c'était une supposition, merci d'avoir confirmé les faits.
- Tu es comme ta mère ! Tu analyse vraiment tout. J'espère que tu n'as pas hérité de son côté bornée. Je n'en supporterai pas une deuxième !
- En parlant de ma mère où est elle ? C'est elle qui devait me rencontrer aux dernières nouvelles ?
- À la Watchtower !
- Elle n'était pas au New Jersey hier ?
- Si. Tu vas venir avec moi. Tous les trois nous serons une famille. Je peux entendre que son ton est devenu sérieux. Même si je veux poser d'autres questions, elles meurent dans ma gorge.
- Est-ce que ça peut attendre une semaine. Après je serai en vacances
- Désolé Marinette, tu rentres avec moi aujourd'hui !
- Mais…
- Je dirai à Miss Bustier que tu as pris une insolation et que tu te reposes. Déclare Chlo.
- Merci Miss Bourgeois. Maintenant Marinette vient ici. Je hoche juste la tête et m'avance vers l'homme. Il sourit. Même si c'est censé être rassurant ça a l'effet inverse.
Nous sortons de l'hôtel, je fais un signe d'adieu à Chloé. Il m'amène à une voiture, il m'ouvre la porte passagère. Je le remercie et monte.
- Nous allons à un endroit appelé "Le Mausolée" où un tube-zéta nous attend. Il sera enlevé une fois que tu sera installée.
- D'accord. Durant le trajet je ne parle pas et regarde le paysage défiler sous mes yeux. Jusqu'à arrivée au porte de la Villette.
Une fois téléporté dans ma nouvelle demeure, ça va être étrange de vivre dans l'espace. Je pense que je ne me laisserai jamais de la beauté de la vue. Je n'ai pas essayé de me battre je sais très bien que je ne pourrai pas gagné et personne peut refuser un ordre su nouveau dirigeant
- Marinette tu m'écoute ? Je rougis jusqu'au oreilles.
- Désolé !
- Je t'amène voir ta nouvelle chambre. Je viendrai te chercher pour que tu puisses rencontrer mère, nous mangerons ensemble et apprendrons à faire connaissance.
- Bien.
Je le suis docilement et ignore les regards sur moi. Il s'arrête devant une porte.
- Ici sera ta nouvelle chambre. Celle d'en face est celle de ta mère et moi.
- Merci. Il me laisse seule. J'ai envie de hurler et de retourner à Paris. Je me sentais comme une prisonnière. J'ai pu voir toutes les caméras. Heureusement il n'y en a pas dans la chambre. Je me doute que les autres héros rapportent mes moindre faits et gestes à l'homme. Je ne l'appellerai jamais père ou papa de bon cœur.
Après un temps indéfini. Il vient me chercher. Je rencontre ma mère pour la première fois. Je dois l'admettre je suis son portrait cracher. La seule différence hormis l'âge, c'est que mes cheveux sont plus clairs. Durant le repas je m'efforce de sourire. J'évoque ma passion pour la mode et le désigne. Je n'évoque à aucun moment ma vie de super-héroïne. Au fur et à mesure de l'échange je me détends comme le fait Brianna. J'étais contente de rencontrer la personne qui m'a donné naissance. Je sais que m'habituer à tout ça prendrait longtemps. Il ne faut pas oublier que je dois toujours faire mon deuil.
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sarahaubel · 1 year ago
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Déni de rentrée.
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Elle fait un déni de rentrée. Elle a oublié de mettre ses chaussures pour promener son chien et sur le chemin du retour elle a fait un doigt d’honneur au voisin qui lui demandait des nouvelles. Ça a commencé comme ça. Puis l’autre soir son mari lui a fait la blague des cornichons et des girafes “C’est un mec qui en surprend un autre en train d’accrocher des cornichons dans un arbre. Il lui demande “ Pourquoi tu mets des cornichons dans les arbres” et l’autre lui répond “Pour faire fuir les girafes !”. Alors il lui dit “Mais y a pas de girafes ici !” et l’autre rétorque “Bah oui parce que j’ai mis des cornichons”. Elle a éclaté en sanglots et s’est mise à hurler dans son oreiller. Alors son mari il s'est demandé si il avait pas dit un truc de travers, il savait qu’elle aimait pas trop les cornichons mais pas à ce point quand même. Depuis son retour elle ignore ses enfants. Se demande même si dans le fond elle les aime vraiment. Nouvelle manie, avant chaque effort (ouvrir le frigo, mettre un slip, allumer une clope) elle fourre la tête dans son paréo sale et inspire à s’en faire sauter les poumons. Pour terminer, elle chantonne 30 fois par jour cette même chanson qu’elle détestait auparavant. C’est le temps de l’amour, le temps des copains et de l’aventure mmmhmmmh. Mais de l’avoir écoutée là à la terrasse de ce café après un plouf à la piscine, soleil tapant, 4h de sommeil dans les dents, croissants, jus d’ananas, magazines qu’elle ne lira jamais et meilleures potes dans le même état, la chanson a changé de goût.
Ce matin les vieux d’en face l’ont vu aller chercher son courrier complètement à poil. “Henri ! Regarde ! Y a la voisine qu’est rentrée d’vacances !!”
Bref. Vivement l’été prochain. Quand le temps va et vient on ne pense à rien malgré ses blessures mmmhmmh.
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frenchdrarry · 1 year ago
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Harry est assis au bord de son tabouret, près des baies vitrées. Il peint avec un air tranquille sur le visage, ses cheveux ardents sont illuminés par une pluie solaire.
Draco arrive, élégamment vêtu : il réalise la prouesse de porter un costard « de façon informel pour un dimanche paisible à la maison ». Son alliance brille de mille feux sur sa peau blanche, il en joue. Il observe le gros jean délavé et taché de couleurs de son époux.
Draco : C’est donc là que tu te cachais.
Harry : Je ne me cachais pas, c’est toi qui te terre dans ton labo.
Leurs voix sont calmes, les taquineries glissent dans l’air comme une musique mille fois répétée.
Draco : Tu me peins ?
De là où il se situe, Draco ne voit le tableau que de profil. Il ne lui a même pas jeté un coup d’œil, il lui préfère le peintre. Harry ne prend plus la peine de lever les yeux au ciel mais il sourit malgré lui.
Harry : Non.
Draco : Non ? Comment ça, non ?
L’atmosphère confortable cède : une nouvelle joute verbale commence. L’air crépite de malice. Pourtant, rien n’a changé : ni la position de Draco, ni les coups de pinceaux lents et appliqués de Harry, ni le soleil qui continue à chauffer agréablement la pièce à travers les baies vitrées.
Harry répète : Non.
Draco : Et qu’est-ce qui t’inspires plus que moi, ta propre muse ?
Harry : Les plantes.
Draco porte la main à son cœur, faussement — ou réellement ? — scandalisé : les plantes ?
Harry : Les plantes.
Draco : Je me fais voler la vedette par des végétaux ?
Harry : Tu n’as jamais eu la vedette.
Cette affirmation est immédiatement démentie par le décor : plusieurs portraits de Draco sont disséminés dans les pièces de la maison. Harry adore peindre Draco et Draco n’est pas du tout dérangé de voir ses propres portraits accrochés dans la maison. Tout deux feignent de l’ignorer — après tout, le narcissisme de Draco est déjà un axe récurrent de leurs taquineries.
Draco : Es-tu en train de dire que moi, ton propre mari, ton partenaire de vie, je t’inspire moins que des plantes ?
Harry : Si, tu m’inspires.
Draco : Ah ! Et qu’est-ce que je t’inspire ?
Harry : Le dégoût.
Draco : …Sais-tu ce que cette discussion m’inspire ?
Harry : Dis-moi.
Draco : Le DIVORCE, Potter !
Harry : Ah.
Draco : Et je garde le chat !
Harry : Seulement si je garde les plantes !
Draco : Hors de question ! Je garde ces satanées plantes et je les maudirais jusqu’à la fin de ma vie.
Harry : Tu ne peux rationnellement pas en vouloir à des végétaux, Malfoy.
Draco : La haine est irrationnelle.
Harry : Excuse-nous Molière.
Draco : Tu n’as jamais lu Molière, inculte ! Et ce n’est pourtant pas faute de les avoir dans notre bibliothèque !
Harry : Je ne parle pas français, monsieur !
Draco : Ton accent me donne envie de pleurer. Et j’ai des éditions traduites en anglais, pauvre benêt !
Harry : Laisse-moi dans mon ignorance crasse et fous-moi la paix, veux-tu !
Draco : De toute façon, tu n’as jamais eu de goût. C’est d’ailleurs bien pour cela que tu peins des plantes au lieu de me peindre, moi.
Harry : Reviens me voir quand tu auras de sublimes bourdons en train d’éclore et des couleurs d’or au soleil.
Draco ne répond rien mais un sourire narquois joue sur ses lèvres roses. Ce n’est un secret pour personne que Harry adore peindre sa peau et ses cheveux, sans cesse émerveillé par l’aspect presque angélique que pouvait avoir Draco. Un aspect que contredit totalement son caractère, mais ça aussi, c’est un autre axe récurrent de plaisanterie entre eux…
Harry se reprend donc : Oublie la dernière partie de ma phrase.
Draco : Dommage, c’était pourtant ma préférée.
Harry : Évidemment. Tu ne retiens que ce qui flatte ton énorme égo.
Draco : Évidemment. Faire l’inverse est insensé, qu’importe tes propres tendances de martyr.
Harry : Je crois que je commence à concevoir l’idée de divorce.
Draco sourit.
Draco : Je garde donc les plantes et le chat.
Harry : Ni l’un ni l’autre, ordure !
La réponse de Harry est spontanée et un début de sourire menace la fin de sa phrase. Le visage de Draco s’illumine d’un bonheur doux et fier — il a gagné cette joute. Harry le sait, il ne se retient plus de sourire et le regarde pour la première fois depuis qu’il est entré dans la pièce. Derrière ses lunettes à moitié tombées sur son nez, ses yeux verts sont un mélange de tendresse, d’amusement et d’exaspération. L’un des mélanges préférés de Draco. Il aimait se dire que faire rire Harry, c’était comme concocter une potion : il suffisait d’ajouter les bons éléments dans le bon ordre. Ingrédient numéro 1 : Harry adorait les running gag.
Draco : Je peux voir ton tableau ?
Harry hoche la tête et Draco s’avance lentement. Harry s’en fiche, il détourne le regard pour se remettre à travailler. Le potionniste en profite pour jeter un coup d’œil aux brouillons par terre, il reconnaît une esquisse que Harry avait faite il y quelques jours depuis leur lit. Enfin, il regarde le tableau et ne retient pas son admiration : il écarquille les yeux et essaye d’embrasser toute la finesse du tableau.
Harry était de ces peintres dont la peinture était si savamment exécutée qu’on percevait directement l’unicité du tableau — son harmonie générale. On pouvait se perdre des heures dans ses peintures et dans l’atmosphère qui y régnait avant de commencer à remarquer les détails foisonnants qui le constituait. Pourtant, c’étaient ces détails qui rendaient le tableau vivant : la précision avec laquelle il dessinait les nervures d’une feuille, les subtils dégradés de couleurs, la fébrilité d’une tige. Le plus étonnant, c’était que ce n’était qu’en se concentrant réellement sur toute la multiplicité des éléments qu’on se rendait compte que le tableau bougeait.
Harry peignait avec sa magie. Pourtant, ce qu’il aimait par-dessus tout, c’était quand elle ne se voyait pas. Un regard pressé voyait le réalisme du tableau, la précision du peintre, pouvait se dire : « Wow, on dirait une photo ! » et passer à la suite. L’examen attentif révélait en revanche l’exact inverse : ce que Harry peignait, ce n’était pas un moment figé mais une poignée de secondes.
Alors Draco se concentra. Il ne vit pas de vent, car les plantes peintes étaient à l’intérieur, mais il vit le léger changement de luminosité, très probablement à cause d’un nuage qu’on ne percevait pas. Et plus Harry s’appliquait à décliner ses nuances de vert dans des teintes orangées, plus Draco percevait son intention : il lui semblait voir la plante chercher le soleil, vivre, être en croissance. Les bourgeons, pas encore terminés par la main de Harry, commençaient pourtant déjà à s’animer et à essayer d’éclore. Patience, lenteur, inexorabilité, fragilité, quiétude : le tableau lui évoquait tout cela à la fois.
« Je l’adore », souffla Draco. Harry sourit. « Il rendrait bien dans ton laboratoire, non ? »
Et juste comme cela, Draco reprenait sa place de muse.
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NSBC • Chapitre 29
Aujourd’hui, c’est le grand jour. Enfin, le presque-grand jour, puisque j’ai promis à Gaëlle de rester pour son anniversaire… mais en tout cas, c’est celui de maman.
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A peine rentrée du travail que la voilà obligée de souffler ses bougies… Quel calvaire, quand même, héhé.
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« Aïe, tu m’avais pas dis que mon dos me ferait si mal, Edward…
— Si, mais tu ne m’écoutais pas, répond mon père en chantonnant.
— Joyeux anniversaire, maman ! s’exclame-t-on tous ensemble. »
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On partage tous ensuite un morceau de gâteau, puis maman va « enfiler quelque chose de moins inconfortable » que son uniforme de travail. Et quand elle revient, Gaëlle lui fait un énorme câlin.
« T’es trop belle maman ! Même avec des cheveux gris !
— Oh, merci ma puce… ! »
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Ça me fait bizarre de voir ma mère comme ça… mais elle a l’air en pleine forme ! Pour longtemps encore, j’espère !
Mais… Dans la nuit qui a suivi, nous avons reçu une très mauvaise nouvelle…
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Autant vous dire que je ne me suis pas levé de très bonne humeur…
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Ma tante Vic’… Et je ne suis pas le pire, papa et maman sont inconsolables…
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Et en plus, ça signifie très certainement que mon père n’en a plus pour très longtemps… Ils n’étaient pas jumeaux pour rien, ça je peux vous l’assurer. Il essaie de garder la face et de nous rassurer, surtout Gaëlle, parce que même si c’est son anniversaire aujourd’hui, elle reste une enfant.
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Maman a pris la décision de ne plus aller travailler. Elle ne voulait pas prendre sa retraite tout de suite, mais elle a tellement peur de perdre mon père alors qu’elle est au travail qu’elle préfère rester à la maison. Moi aussi, j’ai peur, mais je ne peux pas me permettre de sécher plusieurs journées de travail, ni de prendre des jours de congé à la dernière minute… Alors nous, les trois enfants, avons fait comme d’habitude.
Je n’aurai jamais pensé que ça serait aussi dur de perdre Victoria… Je l’aimais énormément, mais on ne peut jamais s’imaginer ce qu’on va ressentir. Là, ça me rappelle aussi que mon mari n’est pas éternel, et qu’il faut que je profite de lui un maximum.
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La journée est passée tranquillement, les enfants sont rentrés, Gabriel m’annonce qu’il a (encore) eu une promotion et que, grâce à un de ses anciens collègues qui se retrouve à fuir la prison, il a une place maintenant beaucoup plus importante dans son parti… Extra ! C’est donc dans la joie et la bonne humeur que Gaëlle souffle ses bougies !
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Enfin, la joie et la bonne humeur… C’est vite dit. Ma fille est toute jolie, mais cet air triste qu’elle a sur le visage ne lui va pas… Ma pauvre petite… J’espère qu’elle ira vite mieux… Comme nous tous.
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… Mais pas aujourd’hui. Au milieu de la nuit, Edward se réveille, prétextant un coup de chaud. Mais à peine debout, il presse ses mains contre sa poitrine. Son cœur lâche.
« Aouch… C’est douloureux… Je vais m’allonger un peu… »
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« EDWARD !! »
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A mon cri, les enfants descendent de leurs chambres en courant…
« Papa, non !! »
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Un être encapuchonné apparaît alors, et le voilà qui fauche mon bien-aimé, sans plus de cérémonie…
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Adieu, mon amour…
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C’est affreux… Parmi les choses que je n’aurais pas souhaité vivre, il y aurait eu « me faire réveiller par le cri glaçant d’horreur de ma propre mère » … Et voilà que mon père n’est plus qu’une urne au pied de la grande et inéluctable mort…
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Alors même que ma vie prend un tournant formidable au niveau professionnel, je perds deux être chers en moins de vingt-quatre heures… J’ai l’impression qu’on me fait payer ma chance…
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Gaëlle me jette alors un regard, entre la colère et la tristesse.
« Tu vas pas partir dans des circonstances pareilles, si ? »
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C’est vrai que j’ai prévu de partir à la première heure demain matin… et les récents évènements ne vont pas me faire changer d’avis, bien au contraire.
« Si. Encore plus, maintenant. Il faut que je parte de cette maison.
— Gabriel… »
Maman… Je m’en veux de la laisser dans un moment pareil, mais elle a Raph’ et Gaëlle pour veiller sur elle, je ne me fais pas de soucis. Moi… J’ai besoin d’un vrai nouveau départ. Et j’en ai un tout prêt.
Gaëlle semble faire la tête quelques secondes, puis elle m’enlace tendrement.
« Reviens vite… »
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Au matin, j’ai failli revenir sur ma décision en voyant maman triturer la nourriture dans son assiette avec un air absent et profondément meurtri… Je ne l’ai jamais vu comme ça, elle qui déborde toujours de joie de vivre…
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Mais non. Après de longs adieux, je suis finalement parti, et suis arrivée devant mon nouveau chez moi… A nous deux, destin. Tu m’as pris mon père, mais tu ne me prendras pas mon avenir !
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mega-bricabrac · 1 year ago
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Madame est sur son lit de mort.
Madame est sur son lit de mort. Son colonel de mari lui pose la question qui lui brule la langue depuis trente ans: « M’as-tu trompé? » D’une voix douce elle répond: – Oui. Oui mon amour. Mais deux fois seulement. – Deux fois! Pas plus! Mon Dieu, et moi qui pensais que tu passais ton temps dans le lit des autres. Pardonne-moi ces pensées affreuses. Avec qui ? – Avec qui? Une fois avec ton général… – Oh! Le salaud. – Et une fois avec ton régiment…
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