#mais comment est-ce possible ?
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Et boum
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 17 août
Thème : Marécage/dur à cuire
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Tu sais à quel point c’est dur de faire un feu, dans un marécage ?
Oui, ici, TOUT est humide. En permanence. Tu veux sécher ton bois pour le feu ? Il te faut du feu. Plus de feu que le bois que tu arriveras à sécher un jour. Oui, c’est un putain d’enfer.
Sans les flammes. Du coup.
Donc voilà, faire un feu c’est DUR, ultra-dur. Il te fait un chaudron en métal pour mettre le feu lui-même. Une pâte très spéciale dont la composition est aussi un enfer dans le chaudron. Et un briquet. Non, un feu follet ne fera pas l’affaire. Un briquet, lui aussi bien protégé.
Et maintenant que tu as ton feu, comment tu comptes la cuire, ta viande ? En la mettant dessus pour qu’elle grille tranquillement ? Tu parles. Il y a rien de plus dur à cuire que la viande de dragon des marais. Tu pourrais y passer des HEURES, et je te le promets, ton feu, il va pas durer des heures. Ou alors quoi, au bouillon ? En comptant sur l’eau pour attendrir ta viande ? Et ben bon courage. Tous les moustiques vont trouver qu’elle sent drôlement bon, ta tambouille, et une fois rameutés ils ne vont pas tarder à se dire que derrière ta croûte de vase séchée, toi aussi tu sens la chair fraiche après toi. Ils vont te dévorer vivant, c’est moi qui te le dit.
Non, non, le seul moyen, l’UNIQUE moyen de manger du dragon des marais, c’est la chasse au miroir. Tu t’avances doucement derrière un grand miroir. Le dragon, il se voit de dedans. Il se dit « oh putain, un autre dragon sur mon territoire ! » parce que c’est pas fut-fut, les dragons des marais, on va pas se mentir. Alors là il se met à gonfler, histoire d’impressionner l’autre. Et là il voit que dans le miroir, l’autre dragon se met à gonfler aussi ! Genre c’est un intrus et il essaye de l’impressionner ! Alors il va se gonfler encore plus ! Tu sais que les dragons se gonflent avec leur propre gaz. Et au bout d’un moment, à force de vouloir être plus gros que lui-même… ET BOUM ! Il va exploser.
Et là j’aime autant te dire, dragon des marais grillé par l’explosion de son propre gaz, il va être impeccable. Délicieux ! Et ça sera nettement moins fatiguant.
Crois-moi, quand on veut manger une viande aussi dure à cuire, il faut en avoir dans le ciboulot.
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#30jourspourécrire#30 jours pour écrire#17 août#marécage#dur à cuire#c’est en quelque sorte une fanfic du Disque-monde#en tout cas j’ai piqué leurs dragons des marais et le coup du miroir#mais on est bien d’accord qu’il ne faut pas faire ça#en tout cas pas à porté de dame Sybil Ramkin#et de son commissaire de mari#autrement dit nulle part sur le disque#pauvre bête#en même temps je trouve le principe beaucoup trop drôle pour ne pas l’exploiter#j’assume pas totalement#mais comment est-ce possible ?#me voilà encore à jour !#formidable#french#french writer#écriture
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purée et dire que j'en étais à reviser pour cette soutenance DANS MON SOMMEIL rêver de lire et relire mes notes et m'exercer pour ma présentation mille fois dans mon dodo ça va pas le boug
#la seule chose qui me stressais c'était si mon train serait dispo et bah 🧍#je l'ai manifest mais c'est pas vrmt le type de manifesting que j'aime jsp#j'ai littéralement le lien pour se rendre sur la classe virtuel pour faire la soutenance j'aurais pu le faire chez moi MAIS NON 😡#top1 casse couilles le ministère du travail vous autorisez des jurys à distance mais pas n'importe hihi n'importe quoi ly#*lui#genre j'aurais pu le faire à 30min en ter de chez moi ou même jcrois y'a un centre afpa ici#mais vu que pas agrégé pour le bail gnagnagna#il faut juste un pc + connexion internet quitte que je ramène webcam et micro c'est po grave</3 même pas de 2eme ecran c'est ok#mais non grougrou on préfère faire galérer tout le monde même quand climat social du désespoir rien ne va en fait#les centres de formation galère ceux formés encore plus tout ça parce que y'a des bougs qui veulent que ça soit bien agrégé et tout là#y'a 0 triche possible tu présente ton projet comment tu peux tricher? pourquoi t'as besoin d'être dans un centre spécial avec qqn d'agrégé?#gneuhgneuh je vais aller rechercher sur internet qu'est ce que j'ai fais pendant mon projet??????pour le présenter???huh#même la partie question 40min c'est sur ce qui a été fait pendant le projet +questions compétences t'es instant cramé si tu prends le temps#drechercher les réponses sur internet donc bon??? faire les zgegs à dire hehe on est trop lfutur mtn le jury est à distance 😋 vous non.😐#*n'importe où#je devienne zinzin#en vrai jsuis chill à propos de ça jsuis pas le seul dans ce problème puis y'a pas à chouiner j'ai eu 10 mois de formation cool 🤷#juste po le titre (pour l'instant????peut être une autre date???? peut être que j'pourrais m'y rendre?????wahool#tomtom_communique#tomtom_is_rambling
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Tfw quand ton ex belle mère gagne un concours de plotte (duchesse du carnaval en 71), ça vire mal, pis faut qu'à parte en rampage pour détruire la vie de plus de gens possibles parce-que. Juste. Parce-que.
#c'est pour ça je leak pas de nom parce-que techniquement tout a chier par sa faute#comme presque tout y est passé comme le niveau de provocation était phénoménal#le niveau de manipulation sur tout son entourage a un niveau qu'aucun de ses enfants est réellement autonome et ce dans trentaine avancée#sti d'échec...imagine se prendre pour une autre à ce niveau#comme y'a rien qui pardonne toute sa merde#comme a mit toute la pression possible pour toute faire saboter pis yep a tout les niveaux#comme j'sais pas ce qu'elle a crissé dans tête à ses enfants mais si y passent pour des creeps c'est carrément un problème fondamental dans#leur éducation#comme aucun de ses trois enfants semble avoir d'ambition outre la totale complacence face à leur sort#c'est tellement dégueulasse#comme peu importe ce qui s'est passé c'est pas comme si elle avait pas choisit d'aller sur le stage comme si ça s'est mal passé après#c'est plate mais c'est les conséquences#c'est pas parce-que ta vie va mal qui faut que t'impose autant de controle sur comment les autres vivent leur vie#surtout que la sienne à la vie attrocement comme c'est juste vautrer son surplus de cash dans face du monde pis caller ça de la charité#comme ça faisait juste m'écoeurer comme rendu là j'comprend pas pourquoi on juge le monde qui paient pour du cul#si n'importe-quel riche pensent qui peuvent littéralement acheter une personne de manière permanente comme un animal domestique#pis honnêtement les cossins de riches souvent c'est fucking ordinaire ben sincèrement comme y'a pas tant de justification#c'est souvent juste du junk ben drabe pis j'm'en calisse...
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saga: Soumission & Domination 347
Florian
Florian est le gymnaste amateur repéré par Jona. Il est un peu grand par rapport à Romain et un peu moins large mais ce que me montre Jona sur son smartphone est quand même impressionnant, surtout quand il est aux barres parallèles. Il n'a pas menti non plus sur sa gueule.
Petite présentation : Florian est issu d'un père ouvrier en agroalimentaire et d'une mère femme de ménage, dans les 1m74 il porte 70Kg de muscles. Brun à la pilosité déjà maitrisée (gymnastes), Jona m'annonce un sexe d'une largeur peu commune si ce qu'il a vu au repos sous les douches se concrétise. Il est en première année de BTS Technique et vit la semaine comme pensionnaire du lycée où il fait son BTS.
Il est homo même si peu de gens sont au courant d'après l'enquête. Jona n'a pas vu de probable " petit copain " parmi les autres adhérents du club où le jeune homme s'entraine.
Je n'ai pas le temps de l'approcher. Je demande à Jona de s'en charger.
Il me le ramène un vendredi soir après m'avoir juste téléphoné et prévenu qu'il a déjà débroussaillé le terrain. En tant qu'ancien paysagiste comment dois-je comprendre ce terme ! L'a t'il déjà enculé ou lui a t'il déjà dit pourquoi il m'intéressait ?
Quand ils entrent dans mon bureau, il est 18h. Jona comme Florian sont en jogging. Si on en m'avait pas dit qu'il n'était qu'amateur je ne l'aurais jamais deviné.
Jona me présente et le présente. Il continu à tenir la parole. Il m'explique qu'il a déjà dévoilé à Florian le but de sa présence et les conditions générales du contrat.
Pendant qu'il parle, je mate le nouveau venu. Son jogging est propre mais pas de première jeunesse et pas du modèle de l'année, tout comme ses baskets. S'il est propre sur lui, avec une tête entretenue, pas de bouton, barbe rasée, cheveux court et même s'ils sont coiffés un peu à la footeux, ils vont bien avec sa tête.
Quand Jona se tait, je demande à Florian ce qu'il en pense et ce qu'il croyait pouvoir accepter de faire.
Il prend le temps de la réflexion. Il mate les photos qui m'entourent. Il montre Romain et me dit qu'il peut doubler mon potentiel dans ce style d'escort.
Ok il a tout compris.
On passe donc direct aux questions personnelles. Les évidentes étant déjà en mémoire, je passe directement à sa bite. Il m'annonce un 18 x 7, pas mal du tout, même si c'est sa rondelle qui va encaisser le plus souvent.
Dépucelage : à l'adolescence par un copain du sport, même âge mais plus avancé sur le sujet.
Vie sexuelle : faible si on ne compte pas les branlettes avec doigts dans le cul.
Outing : nul, ni à la famille ni aux copains.
Revenus : les parents paye l'internat et il a bossé les 2 mois d'été dans leur usine pour les extra.
Je veux le voir nu, même si j'ai confiance en Jona.
Il ne fait pas de difficulté. Et c'est rapide vu ce qu'il a sur le dos. Sous le blouson un marcel (il est réchauffé quand même !) qui dégage ses épaules et c'est impressionnant comme il souligne bien sa musculature. Il retire son slip en même temps que son bas de jogging. Ok il est bien fait et déjà épilé ou rasé. Un peu moins déséquilibré que Romain, ses épaules sont quand même très larges. Son sexe au repos est court mais déjà large. Il repose sur deux grosses couilles lisses. Je lui demande de bander. Il se branle, met un peu de temps à y arriver. Je comprends, c'est pas évident de bander comme ça devant deux inconnus sans aucune tension sexuelle ambiante. Mais ça gonfle et je vois le résultat. 7cm de large même un peu ovale sur 18 seulement c'est encore plus impressionnant que sur une bite de 25 ! Je lui demande de se tourner. Son cul ? Une beauté, petit, très rond il attire la morsure. Sans que je lui demande il se penche en avant écarte les fesses pour que je vois sa rondelle imberbe comme le reste. Je le remercie et il se redresse et me fait face.
Je lui demande s'il pense possible d'interrompre son internat. Avec l'accord de ses parents qu'il se fait fort d'obtenir s'il argumente d'un travail rémunérateur, cela peut se faire dès la fin du mois puisque le paiement est trimestriel.
Je comprends que depuis qu'il a été approché par Jona il a réfléchi à la chose. Je lui demande son cursus. Bac S avec mention bien mais pas les moyens de faire autre chose qu'un BTS. Quand je lui demande ce qu'il aurait voulu faire, il me répond une école d'ingénieur mécanique ou généraliste.
Je lui dis qu'avec ce qu'il va gagner chez moi, il peut de nouveau envisager ce type d'études. Il y pensait mais n'avait pas encore osé l'envisager.
Jusqu'alors Jona ne lui avait pas encore parlé précisément de salaire. Je l'informe que d'ici la fin août, s'il consent à faire une prestation par semaine plus 15 jours à 1 mois de " vacances " il pourra non seulement se payer ses frais de scolarité mais vivre correctement ses 5 années d'études. Et s'il continue de temps à autres à prestater pour moi, ses 5 années seront confortables même.
Là il me dit qu'il se privera un peu mais qu'il assurera pour les études de son petit frère.
Le dossier monté un peu rapidement n'en faisait pas mention. Le gamin n'a encore que 18 ans mais déjà en première S. Il suit Florian en tout sauf en ce qui concerne le sexe et le sport. Il est plus attiré par le design industriel et jusque-là n'envisage qu'un BTS de dessin industriel.
En sexe, il sort actuellement avec une copine de sa classe et en sport c'est un handballeur.
Ma fois ci ça peut le motiver pour le taf, moi ça me va.
Je reviens sur le côté sexe des prestations. Jusque-là il a été aussi bien actif que passif même s'il n'a pas trouvé beaucoup de mecs volontaires pour ses 7cm ! En passif son record est un beur de 25ans monté 25x6 une seule fois. C'avait été un peu difficile et douloureux mais il lui avait quand même tout mis.
Ça me rassure, la base est bonne.
C'est lui qui me demande si je veux tester la " marchandise ". Bon, question vocabulaire y'a un peu de travail à faire mais pour le reste le gamin n'a pas froid aux yeux.
J'appelle João. Maintenant qu'avec lui j'ai une bite de 22x6 sur place, cela pousse mes tests plus avant.
En attendant je lui demande de commencer avec Jona. Il est maladroit, hésitant, gauche pour tout dire. Il va y avoir un peu de travail à faire avant de le lancer même en tant que " bête de sexe ". Ses réponses bravaches cachaient finalement au minimum une certaine appréhension au pire de la peur.
Jona le ressent aussi et il fait tout pour l'aider. Il prend l'initiative de lui rouler un patin. Là, le petit se donne vraiment. A croire qu'on a basculé l'interrupteur. João entre et ma recrue ne s'en rend pas compte. Je fais signe à João d'y aller. Il se colle au dos de Florian. Ce dernier tourne la tête et se laisse embrasser par le nouveau venu. Bien que coincé entre mes deux escorts, je vois sa bite se redresser entre les jambes écartées de Jona.
Il se laisse glisser à leurs pieds. Il commence par une pipe aux 19cm de Jona. Il en prend facile 18. Quand il bascule sur João, le résultat est le même. Je le note comme un point à améliorer. Mais là aussi la base est bonne, 18cm c'est déjà l'entrée de sa gorge.
Alors qu'il suce João, Jona tire son bassin ver le haut pour préparer la sodo. Je lui tends le gel et des kpotes. Il enduit la rondelle et commence à mettre des doigts. Un passe facile tout comme deux d'ailleurs. Le troisième demande un peu de travail mais finit par entrer quand même. Il les retire et présente sa bite emballée. Il l'enfonce entre les deux globes ronds et le pénètre. Pas de modification du pompage de João. Il doit se mettre ses doigts à chacune de ses branlettes !
Après quelques minutes, je demande à ce qu'ils échangent. João " s'habille " à son tour et alors que Jona, lui, se découvre. Là, c'est un peu différent pour Florian.
Il sent bien passer les 22cm de mon brésilien. Les 6cm semblent lui faire assez d'effet et plusieurs fois il écarte la bite de Jona de sa bouche pour respirer plus facilement.
Quand le dernier cm lui écarte la rondelle il serre les dents. Bon prince, je lui passe sous le nez un flacon de poppers ouvert. Il se détend direct et reprend sa sucette.
Moi ça me va, il semble volontaire, endurant à ce que je vois sous mes yeux et comme je vois qu'il bande toujours, plutôt chaud.
João se donne à fond et Florian en profite bien. Il rue du cul pour se le faire prendre plus fort.
Jona se retire et lui jute sur les cheveux. Je le remplace pour tester par moi-même ma nouvelle recrue.
Il pompe bien. S'il n'a pas eu beaucoup d'expérience, il a vite appris alors. Il alterne les tentatives de gorges profondes avec un travail de langue sur gland des plus convaincants. Je comprends pourquoi Jona s'est fait prendre au piège.
Jona se coule entre nous et pompe le petit nouveau. Il n'en devient que plus vorace et João s'aperçoit aussi de la différence. Il l'encule plus sèchement jusqu'à se fixer au fond, les mains crispées sur ses hanches occupé à remplir sa kpote. De mon côté j'ajoute mon sperme à celui de Jona qui lui reçois la production de Florian sur l'épaule.
Tous les 4 sous les douches, Florian me demande s'il est embauché. Je lui dis que c'est OK mais qu'il va devoir travailler son vocabulaire et perdre ce petit accent " banlieue ". Pour le reste je lui fais confiance, il saura s'adapter aux physiques de mes clients. Un truc, c'est qu'il devra trouver des positions originales et " sportive " lors de ses rapports avec eux puisque c'est sa spécificité " Gymnaste " qu'ils vont louer. Alors que nous somme secs, il prend devant nous quelques positions. Après un grand écart au sol il nous fait le même debout. A la " Van Damme ", il suit avec un autre entre deux chaises avant de poser ses deux mains au sol et de lentement faire un équilibre les jambes toujours parallèles au sol. Il pivote, descend le bassin et sans toucher le sol, les jambes à l'équerre, il plie les bras et les tend comme un simulacre de défonce sur un mec couché sur le dos.
Ok la démo est faite, il semble avoir suffisamment d'imagination.
On finit l'entretien par la visite des installations sportives le second très orienté muscu l'intéresse et la piscine le surprend. Mais la serre c'est autre chose. Le grand tatami l'attire aussitôt pour le travail au sol. Il me dit qu'il pourra tester là ses positions spécifiques de baise. La piscine de 25m l'interpelle et il me demande s'il devra s'entrainer dedans. Je hoche la tête.
J'ajoute que pour lui et son compère, j'allais voir à acquérir des barres parallèles et s'ils le veulent, j'essayerai d'implanter des anneaux.
Avant qu'il ne parte avec Jona, je lui donne les adresses auxquelles il va devoir faire une visite. Le médecin, le labo d'analyse, pour les vêtements, je demande à Jona de l'accompagner.
Je fais un point avec João. Je lui demande si celui-là lui plait aussi. Il me dit qu'il est bien mais c'est pas son Romain, même s'il a pris du plaisir à l'enculer.
La semaine suivante, les résultats arrivent satisfaisants. Il est clean de HIV comme des MST. Il intègre alors le groupe officiellement. Le changement des soirées d'entrainement auprès des autorités du lycée s'est fait sans questions.
Romain est content d'avoir un collègue même si ce n'est qu'un amateur. Ils nous gratifient d'un petit défi entre eux qui les classent quasiment exæquos. Il apprécie aussi de l'avoir avec lui quand ils se mettent dans le bain (au propre). Ce ne sont pas des nageurs et ce n'en seront jamais, pas le physique. Mais Anthony m'assure qu'ils s'amélioreront quand même et puis nous ne préparons personnes aux compétitions ! Sous les douches il fait sensation avec sa bite extralarge. Plusieurs font remarquer qu'ils pourront s'entrainer sur lui plutôt que des godes pour se préparer à certains de nos clients.
Florian bande sans pouvoir s'en empêcher devant la multitude de corps nu devant ses yeux. Il ne s'est jamais fait de partouze et ça ne lui est jamais encore arrivé de voir autant d'homos, nus devant lui.
Ce premier soir il serait illusoire de se contenter d'une simple douche. Ça vire troisième mi-temps sexe. Si João avait eu des velléités de garder son Romain encore quelques semaines pour lui tout seul (hors clients), c'est râpé ! En tant que petits nouveaux, ils sont sollicités de tous les côtés. Je reste un peu en retrait pour analyser leurs comportements.
Si je vois Romain interroger du regard son João lors des premières dragues et mains à son cul, il s'affranchi vite de son approbation tellement ça vient de partout. Mes autres escorts sont curieux de leurs capacités particulières. Je vois quelques baises acrobatiques. Les bancs de muscu servent de supports à leurs grands écarts, Romain couche Simon au sol à côté d'un banc et je le vois s'installer pour faire les triceps avec ce même banc. Quand il descend il s'encule sur Simon enfin sa bite de 18x5 et quand il travaille ses triceps, il décule. En fait il ajoute une donnée " plaisir " au travail musculaire ingrat. Il pourra faire ça aussi avec mes clients sur leur tapis et lui en appui sur le bord du canapé.
Florian est plutôt sollicité pour défonce mes escorts. Quand je jette un oeil sur lui, il est en train de se faire mes 2 russes. Nikolaï est sur le dos avec Viktor dans les bras à se rouler des pelles. Leurs bites écrasées l'une contre l'autre, ils présentent leurs deux culs à la sodomie.et comme ils sont amant officiels, pas la peine de changer de kpote entre leurs deux trous. Ils apprécient et on entend gémir celui qui reçois les 7cm de Florian. En sourdine puisqu'ils s'embrassent !
Je retiens quelques minutes mes deux nouveaux alors que tous s'en retournent chez eux. Impressions ? Ils sont ravis. Surtout Florian qui n'avait encore jamais connu ça.
Il en profite pour m'annoncer que c'est vu avec ses parents et que c'est ok pour qu'il sorte du pensionnat à la fin du mois. Pour les trajets il me demande s'il pouvait avoir une avance pour s'acheter un scooter. Il en a bien un chez lui mais en panne depuis quelques semaines. Je lui passe le n° de téléphone de Daniel et lui dit de voir directement avec lui, il m'enverra la facture directement.
Dès qu'il nous quitte, j'appelle ce dernier et lui donne mes instructions. Florian à son permis donc il peut conduire des scooters de 125cc3. Daniel me propose qu'il prenne plutôt un 3 roues, y'en a de sympas maintenant et il pourra monter en cylindrée. Et comme il sera obligé de faire une mini formation que ce soit un 2 ou un 3 roues ça changera pas grand-chose. Lui, il opterait pour un Gilera Fuoco 500, plus original qu'un Piaggo ou qu'un Peugeot. Comme il monte à 145Km/h il pourra s'amuser un peu.
Je lui dis de voir ça avec l'intéressé. J'ajoute qu'il s'occupe aussi des protections, blouson cuir et casque de marque ! Il ne faut pas lésiner sur la sécurité !
Il me dit avoir reçu de nouveaux SHARK dont un Raw dual black de toute beauté et avec un look très robot qui plait assez. Il lui proposera en blouson un ICON 1000 HOOD, avec capuche il fait moins spécifique moto tout en étant de la qualité top. En noir avec le casque il devrait avoir une touche qui sort un peu du lot. En pantalon il préconise un Jeans John Doe Kamikaze en Kevlar plus un cuir ICON 1000 Roughshod pour le look. Je lui dis de ne pas oublier les pieds et pour ça me dit qu'il l'équipera soit en ICON field armor 2 ou en AXO Slammer. Les deux sont des boots moins typées moto.
Appel à Éric pour les 7 heures de formations obligatoires et tout est en place.
En une semaine tout est bouclé et il est équipé avant d'entrer dans la coloc. Certificat en poche et vêtu de neuf, il vient me remercier. Il a une bonne touche un peu noire mais le look est là. Je lui pique son scoot le temps de faire un tour dans le coin. La conduite est amusante et les accélérations sont sympas.
Il me dit qu'il pourra même rentrer chez lui avec vu qu'il n'a que 50Km à faire.
Dans un premier temps comme je ne pourrais l'utiliser que dans des contrats sexes, pas besoin de lui prévoir une voiture.
Jardinier
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Pourquoi ?
Lilia Calderu X Reader
Lilia Calderu, la propriétaire d'une boutique , avait toujours aimé la solitude qui régnait dans son magasin. La poussière dans l'air, les objets anciens remplis d'histoire, tout était calme, comme si le temps s'était arrêté. Mais il y avait quelque chose, ou plutôt quelqu'un, qui changeait cette tranquillité. Ophelia Gilbert.
Ophelia était une jeune apprentie qui travaillait avec Lilia depuis quelques mois. Elle avait le don de comprendre l'artisanat, l'histoire des objets, et plus important encore, de savoir comment écouter Lilia sans jamais juger. Une jeune femme calme, avec des yeux aussi profonds que l'océan. Et, au fur et à mesure des semaines, Lilia avait remarqué quelque chose d'étrange dans le regard d'Ophelia, quelque chose qu'elle n'avait pas voulu admettre pendant un certain temps.
Un après-midi, alors que les rayons du soleil se glissaient doucement entre les rideaux, Lilia s'affairait à ranger des livres dans une étagère poussiéreuse. Elle entendit Ophelia se déplacer derrière elle, les pas légers mais perceptibles. Quand Lilia tourna la tête, elle croisa son regard, et une étrange chaleur monta en elle.
Ophelia la regardait intensément, presque avec un mélange d'admiration et de... quelque chose d'autre. Lilia se sentit soudainement mal à l'aise sous cette attention silencieuse. Elle s'arrêta un instant, observant la jeune femme, avant de briser le silence :
« Ne me regardez pas comme ça. »
Ophelia haussa les sourcils, un sourire en coin effleurant ses lèvres. Elle était habituellement timide, mais il y avait quelque chose de plus audacieux dans son comportement aujourd'hui. Elle s'approcha doucement de Lilia, s'arrêtant juste à quelques pas d'elle.
« Comment est-ce que je te regarde ? » demanda-t-elle, sa voix douce, mais pleine de curiosité.
Lilia se sentit piégée dans cette question, mais elle ne pouvait pas détacher ses yeux de ceux d'Ophelia. Il y avait trop de choses non dites, trop de secrets enfouis dans cette simple interaction.
« Comme si tu m'aimais, » répondit-elle, la voix tremblante, trahissant ses propres émotions.
Il y eut un silence, un lourd silence, alors que les mots de Lilia flottaient entre elles. Ophelia cligna des yeux, mais au lieu de reculer ou de se détourner, elle fit un pas en avant, son regard ne quittant pas Lilia.
« Et si c'était le cas ? » dit Ophelia, sa voix plus ferme cette fois, mais douce, comme une caresse. « Et si je t'aimais, Lilia ? »
Les mots résonnèrent dans la pièce comme un écho inattendu. Lilia sentit son cœur s'accélérer. C'était impossible. Elle ne pouvait pas accepter cela. Pas maintenant, pas avec quelqu'un comme Ophelia. Elle était bien trop jeune, bien trop belle pour quelqu'un comme elle. Lilia secoua doucement la tête, une expression presque piteuse sur le visage.
« Ce n'est pas possible, » murmura-t-elle, presque à elle-même. « Je n'ai rien à t'offrir, Ophelia. Je suis... je suis juste une vieille femme solitaire. Tu mérites mieux. »
Ophelia s'approcha encore, son regard insistant mais doux, comme si elle était prête à tout affronter pour faire comprendre ses sentiments. Elle toucha doucement la main de Lilia, la frôlant de ses doigts délicats.
« Tu penses que l'âge, ou ton passé, ça change quoi ? » dit-elle doucement. « Ce que j'aime chez toi, c'est toi, Lilia. Pas ton âge, ni ce que tu crois ne pas avoir. C'est toi. La personne que tu es. »
Les mots d'Ophelia semblaient percer à travers les murs de doute que Lilia s'était construits autour d'elle. Elle sentait une chaleur envahir son corps, un mélange de peur et de désir. Pourquoi Ophelia l'aimait-elle ? Pourquoi elle ? Elle, qui n'avait rien de spécial à offrir.
Mais alors, elle vit dans les yeux d'Ophelia une sincérité qu'elle ne pouvait ignorer. Et sans réfléchir, Lilia se pencha doucement en avant, frôlant presque les lèvres d'Ophelia. La tension entre elles était palpable, un air lourd de possibilités non dites.
Ophelia sourit, sans hésiter, et glissa ses bras autour de Lilia, attirant doucement son corps contre le sien. Il n'y avait pas de doute dans son geste, ni dans sa voix. Elle murmurait doucement à l'oreille de Lilia, comme une promesse.
« Lilia, je suis prête à te montrer ce que je ressens. »
Et avant que Lilia n'ait pu dire un mot, Ophelia l'embrassa tendrement, mais avec une passion qui semblait déborder. C'était doux, hésitant au début, comme un premier pas timide vers un amour caché. Mais bientôt, Lilia répondit à ce baiser, lentement, se laissant envahir par la tendresse qu'Ophelia lui offrait.
Lorsqu'elles se séparèrent, les deux femmes se regardèrent dans les yeux, leur souffle court. Lilia sentit une chaleur se diffuser dans son cœur, et pour la première fois depuis longtemps, elle se sentit vraiment vivante. Peut-être qu'elle avait tort. Peut-être qu'elle avait plus à offrir qu'elle ne le pensait.
Ophelia, un sourire léger aux lèvres, se mordit doucement la lèvre inférieure, et dit :
« Tu vois, je t'aime bien plus que tu ne le crois, Lilia. »
Lilia sourit, la main caressant tendrement la joue d'Ophelia.
@sayresse17
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"Ce n'est pas n'importe quelle fille, une de celles qu'on rencontre dans un bar et que l'on ramène à la maison. Pas même une de celles qu'on rencontre à l'université, elle devient votre amie et vous finissez par l'épouser.C'est une fille avec un million de cadenas autour d'elle, et beaucoup d'entre eux dont elle ne connaît même pas la clé. Il faut s'asseoir là, avec toute la patience possible, et essayer des combinaisons. Certains n'ont que quelques chiffres et vous passez rapidement au niveau suivant, mais d'autres fois, il vous faut des mois pour déchiffrer un immense code, et juste au moment où vous étiez sur le point d'abandonner... « cliquez ». La serrure s'ouvre et vous vous retrouvez soudain dans une pièce plus grande.Avec elle, tout est une question de temps. Et pour ne pas gâcher les choses avec le temps, bien sûr. Il ne s’agit pas de se rapprocher de la perfection mais de s’éloigner des échecs. Créez la confiance et ne gâchez pas les choses. Démontrez les petites choses jour après jour et oubliez les grandes. Détestez de toute votre âme celui qui vous a rendu incapable de faire confiance à qui que ce soit, mais ne leur laissez pas voir que vous le faites. Gardez tout le bien, rangez le mal. Faites-la beaucoup rire. Écoutez-la quand elle pleure. Embrassez-la peu, mais longtemps. Embrassez-la seulement quand elle va partir. Et regarde-la souvent quand elle ne te voit pas. Travailler en silence sur un projet que personne ne comprend sauf vous. Et encore moins elle.C'est pourquoi il ne faut jamais abandonner, c'est pourquoi la clé est de se reposer. Parce que personne n’a jamais trouvé assez de patience pour s’asseoir et ouvrir la dernière serrure. Et que veux-tu que je te dise : je n'ai rien de mieux à faire et chaque jour j'aime davantage le son de tes clics."—Andrea Menéndez Faya ("Comment conquérir un chat", extrait).
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Lore.FM, ou pourquoi créer un "Audible pour Archive of Our Own" n'est pas une bonne idée
Ce blog n'a pas l'habitude de couvrir des sujets d'actualité, mais qui sait, peut-être le devrait-il. Du fait du caractère récent des évènements dont je vais parler ici, je ne peux pas espérer atteindre le niveau de détachement et d'objectivité que je tente d'avoir dans mes autres posts, donc je vous invite à vous renseigner de votre propre côté. Je ferai de mon mieux pour ajouter des sources à ce post dans un avenir proche.
Que se passe-t-il ?
Lore.FM est un projet d'application mobile et de site web qui vise à produire des versions audio de fanfictions publiées sur le site Archive of Our Own. La créatrice du projet est particulièrement active sur Tiktok, où elle décrit le projet comme un "Audible pour Ao3". Le projet affirme avoir été créé dans une optique d'accessibilité pour les personnes malvoyantes ou celles qui préfères les formats audio. U
Il y a pourtant quelques gros, GROS problèmes inhérents à ce projet.
Le consentement des auteur.ices dont les fanfictions seraient importées sur lore.fm ne semble pas être un facteur pris en compte. C'est pour moi le plus gros problème de ce projet, qui semble destiner à faire du profit sur le travail d'autres personnes, et ce sans leur accord.
Du fait que leur travail se trouverait sur une application séparée d'Ao3, les auteur.ices ne seraient pas en mesure de recevoir des retours sur leur travail. Ni commentaires, ni bookmarks, ni kudos, pas même une simple vue.
D'après les propos de la créatrice, il serait possible de demander de faire retirer sa fic... en donnant des informations personnelles afin de prouver que l'on en est bien propriétaire, dont votre adresse, numéro de téléphone et adresse mail.
Je ne crois pas devoir expliquer pourquoi donner des informations de ce genre à des gens qui, on l'a établi, ne semblent pas se soucier du consentement d'autrui.
Quid des auteur.ices décédé.es ? Quid des personnes ayant cessé d'utiliser Ao3 ? Quid de celles qui fréquentent peu les réseaux sociaux, et pourraient ne pas avoir vu passer l'information ? Comment feront ces personnes pour défendre leur travail ?
Ce procédé est malhonnête et irrespectueux. Ce n'est pas un projet au service de la communauté, puisqu'il ne profite pas aux auteur.ices.
Un deuxième axe qu'il me semble important de mentionner est le fait que le logiciel qui transformerait le texte des fics en média audio incorpore certainement de l'intelligence artificielle partiellement ou totalement. La créatrice affirme le contraire, mais de sérieux doutes ont été émis à ce sujet.
Dans une communauté qui tourne autour de la volonté des fans à créer de leur propres mains, je ne pense pas que l'IA mérite notre attention.
Que faire ?
Tout d'abord, ne pas paniquer. Il ne sert à rien de courir supprimer toutes ses fics et de s'enfermer dans une caverne tel un ermite parce le monde est trop décevant. Ce projet, même s'il est d'une éthique douteuse, reste un simple projet, qui n'a pas encore été matérialisé.
Si vous avez peur que vos fics se retrouvent sur cette application, il existe un moyen de défense : Verrouillez vos fics. Elles ne seront plus accessibles qu'aux utilisateur.ices possédant un compte Ao3, ce qui réduit grandement le risque que vos fanfictions soient collectées par des bots, ce qui sera probablement la méthode de collecte de ce projet.
(Si vous souhaitez un tutoriel à ce sujet, n'hésitez pas à envoyer un message ou une question à ce blog)
Si vous tenez à supprimer vos fics, assurez-vous d'en garder une sauvegarde. Rien ne vous interdit de le reposter à un moment plus propice, et il serait dommage de priver le monde de tant de belles œuvres.
Si l'idée de fanfictions audio vous tente et que vous souhaiteriez en faire l'expérience de manière éthique, je vous encourage à vous pencher sur le travail de la communauté des podficcers, des fans qui se spécialisent dans l'enregistrement de version audio de fanfics, avec le consentement des auteur.ices. Vous pouvez les trouver sur Ao3 via le tag Podfic et sur Tumblr sous le tag du même nom.
Portez-vous bien, et à bientôt pour des sujets plus agréables !
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Appliquer le dark mode à une bannière
Il est d'utilité commune désormais d'utiliser un dark mode sur nos forums afin de rendre l'accessibilité la plus complète possible au maximum d'utilisateurices. Cependant un souci se pose souvent; c'est celui de la bannière. Une fois installé dans le panneau d'administration, il est difficile de savoir comment faire en sorte qu'elle change lorsqu'on clique sur le bouton de dark mode. Les couleurs; c'est souvent très bien expliqué mais la bannière, je n'ai personnellement pas trouvé de tuto' explicatif de comment faire. C'est pour ça que nous sommes là aujourd'hui ! Avec quelques petites modifications de template et de rajout de CSS, nous allons apprendre à mettre en place une bannière en deux "couches" afin qu'elle change au click du dark mode.
Il va falloir tout d'abord comprendre comment nous allons procéder. Nous allons tout simplement supprimer la balise dans notre template principal qui correspond à la bannière et en "recréer" une toute nouvelle. Ça semble compliqué de premier abord, mais pas du tout !
Dans votre template "overall_header" (Panneau d'administration > Affichage > Template > Général), vous avez cette ligne là :
<a href="{U_INDEX}" id="logo"><img loading="lazy" src="{LOGO}" alt="{L_INDEX}"/></a>
Cette ligne correspond à la bannière que vous allez entrer dans votre panneau d'administration au niveau des images, et qui est cliquable en renvoyant à l'accueil. Donc si on la supprime, allez-vous me dire, comment avoir une bannière qui s'affiche correctement et qui est ensuite cliquable ? Et bien, on va tout simplement simuler cet effet avec deux couches; un peu comme les calques sur Photoshop. Le premier calque correspondra à notre bannière qui va changer au dark mode et la seconde couche sera une bannière "invisible" à la même taille que l'on va poser par dessus, et qui sera elle, cliquable. C'est donc en décortiquant cet effet pour le reproduire en deux étapes simples que l'on va pouvoir avoir une bannière qui change avec le dark mode.
Alors avant de continuer, il faut que vous ayez d'ores et déjà installé un dark mode (celui de @code-lab, EDISON, est très bien, très bien expliqué et très pratique !) afin d'avoir dans notre CSS le root correspondant au mode de base de notre forum et le "data:root", correspondant aux valeurs du dark mode.
Commençons donc par installer les deux couches de bannière. À la place de votre valeur supprimée qui correspond à la bannière de base de Forumactif, vous allez rajouter ceci à la place :
<div class="dark_bann"></div> <div class="dark_bann_sup"><a href="/"><img src="https://2img.net/i.ibb.co/BTqHhnX/prdbirthday3.png"/></a></div>
Ici, vous pouvez voir que la première div est vide et que la seconde contient une bannière invisible. Votre affichage de forum après avoir enregistré le template sera tout vide en haut de la page d'accueil et c'est parfaitement normal ! On ne panique pas, et on va installer le CSS pour rendre tout ça un peu plus joli.
La première étape est d'aller créer une nouvelle valeur dans le root correspondant à l'image de la bannière de base que vous voulez afficher; comme celle que vous aviez installé dans votre panneau d'admin. Exemple :
:root { --imgbann:url(VOTREURLD'IMAGEICI); }
Une fois ceci fait, vous allez copier coller cette même valeur dans le dark:root (qui correspond à ce que le dark mode va aller remplacer), mais en changeant l'URL par la bannière en dark mode. Exemple :
[data-color-scheme="dark"]:root { --imgbann:url(VOTREURLDELABANNDARK); }
D'accord, c'est bien mignon mais rien ne change quand on clique sur le dark mode, oskour ! Pas de panique, c'est parfaitement normal. On vient simplement de configurer le changement d'image au click du bouton de dark mode. Maintenant, il va falloir appliquer cette même image par le CSS dans la bannière dont la div était vide. Et oui, elle servait à ça ! Retournez donc dans votre CSS, et rajouter ceci :
.dark_bann { width: 800px; height: 500px; overflow: hidden; background-image: var(--imgbann); background-size: 100%; background-position: 50% 50%; }
Ici, nous avons donné une largeur de 800px à notre bannière, une hauteur de 500; on a imprimé en image de fond notre bannière de base; on lui a appliqué une taille de 100% pour que ça prenne bien toute la place disponible et on l'a centré totalement. Et là, magie, notre bannière s'affiche bien et change au click du dark mode !
Cependant il reste un souci, notre bannière invisible cliquable apparaît en-dessous de notre "vraie" bannière qui elle n'est pas cliquable. Nous allons donc ajouter à notre CSS :
.dark_bann_sup { overflow: hidden; width: 1005px; height: 500px; margin-top: -500px; } .dark_bann_sup img { width:100%; }
Ici, on a donné la même taille à la bannière invisible (vous pouvez essayer de lui mettre un background d'une couleur bien voyante comme le rouge pour bien la voir) et on l'a "remonté" pour qu'elle se superpose à notre vraie bannière. Et là, tout est parfait ! On peut bien la cliquer comme une bannière "normale", et la couche inférieure est notre bannière qui change au dark mode.
Voilà voilà, j'espère que ce tuto pourra aider qui que ça intéressera et que ça ne sera pas trop difficile à utiliser !
#forumactif#tuto code#tutoriel#forum rpg#rpg forum#french rpg#ressources#forumrpg#forum#code#rpg francophone#partage de ressources
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Chappell Roan just said "can you guys not stalk me, can you just treat me like a normal person" and people are already saying "well that's what being famous is, get used to it !!!" oh Jean-Jacques we're really in it now
dailymotion
(It begins at 00:20)
"Je n'imaginais pas le succès parce que j'ai jamais admiré des gens pour ce qu'ils étaient, pour leur image, pour leur personnage mais pour ce qu'ils faisaient, pour leur musique. A partir du moment qu'ils m'avaient donné ce qu'ils avaient à travers un disque, j'avais tout ce qui m'intéressait chez eux. Donc, tout ce côté un peu notoriété, image, c'est des choses que je ne connaissais pas et j'ai été un peu surpris de voir l'importance que ça prenait quand ça m'est arrivé.
Je crois que c'est tout à fait vivable dans le cadre du boulot, quand on est en tournée, quand on enregistre des disques, quand c'est pas justifié mais professionnellement explicable, par contre ce qui m'effraie un peu, c'est que j'ai l'impression que c'est peut-être irréversible ça. Parce que ton image, c'est comme si elle ne t'appartenait plus, elle appartient presque aux gens. Je me demande s'il est possible de faire un retour à l'anonymat. Et je me demande si c'est facile à vivre, une fois que c'est plus justifié par ce que tu fais.
Le problème, c'est pas que les gens t'aiment ou qu'ils t'aiment plus, le problème est que, quand ils te voient, t'es quand même quelqu'un de différent. Ils ne te voient plus comme quelqu'un à découvrir, mais comme une image, comme ton image. Je sais pas comment ça se vit ça, faudra voir. A priori... C'est pas simple. Il doit y avoir des tendances à fuir le regard des autres, peut-être même à s'isoler... Je sais pas."
In english (i used an online translator) :
“I never imagined success, because I never admired people for who they were, for their image, for their persona, but for what they did, for their music. As soon as they had given me what they had through a record, I had everything that interested me about them. So the whole notoriety, image thing was something I didn't know about, and I was a bit surprised to see the importance it took on when it happened to me.
I think it's perfectly bearable in the context of work, when you're on tour, when you're making records, when it's not justified but professionally explicable. On the other hand, what scares me a little is that I have the impression that it's perhaps irreversible. Because your image, it's as if it no longer belonged to you, it almost belongs to people. I wonder if it's possible to return to anonymity. And I wonder if it's easy to live with, once it's no longer justified by what you do.
The problem isn't that people like you or don't like you anymore, the problem is that, when they see you, you're still someone different. They no longer see you as someone to be discovered, but as an image, as your image. I don't know what that feels like, but I'll have to see. On the face of it… It's not easy. There must be a tendency to run away from the gaze of others, maybe even to isolate yourself… I don't know.”
And of course, Broey Deschanel and the systemic abuse of celebrities
youtube
#this is a fake interview but still true#jean-jacques goldman#chappell roan#broey deschanel#jean-jacques you were so right
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Hello, petite question parce que j'suis une boulette, comment on fait pour que les ask ait pas de limites ? (parce que là si j'veux passer commande, j'vais vous spammer c.c et ce serait idiot)
helloo ♥ alors on a cherché car c'est une très bonne question.. mais j'avoue qu'on a pas vraiment trouvé la réponse. tumblr indiquant que le maximum est de 250 caractères ? mais il est vrai que certains asks vont au-delà (et en essayant nous-même on ne dépasse pas cette limite non plus 👀)
donc si quelqu'un a la réponse a cette fameuse question pour que l'on puisse partager l'info (si c'est possible) ça serait top ! ✨
et dans le cas contraire, tu peux faire plusieurs messages ça ne pose aucun soucis 😚
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Volupté et Violence
Spencer Reid x lecteur
Avertissements : attouchements sexu*les, langages déplacé &vulgaires, aucune scène de s*xe.
Résumé : Vous et l'équipe êtes sur une affaire en Géorgie avec une chaleur insoutenable mais lors d'un briefing de Hotch Spencer remarque que vous êtes mal à l'aise et entend les remarque déplacer des policiers.
Quarante degrés. Comment était-il possible de travailler sous une telle chaleur ?
L'équipe avait été appelée en urgence pour un poseur de bombes en Géorgie. Franchement, tu te demandais bien où ce type trouvait le courage de poser des explosifs par un temps pareil.
Tout le commissariat était en nage, et tout le monde avait troqué sa tenue habituelle pour quelque chose de plus léger.
Même Spencer avait abandonné ses cardigans pour un t-shirt à manches courtes, et Hotch ainsi que Rossi avaient entrouvert le col de leurs chemises, ce qui relevait de l'inédit.
L'équipe savait deux choses à ton sujet : d’abord, tu détestais la chaleur. Ensuite, ton style vestimentaire était… disons, peu conventionnel pour une agente fédérale.
Ce n’était pas rare qu’on te prenne pour une civile, ou pire, une prostituée. Tu avais une garde-robe composée de débardeurs, de pantalons larges, de bandeau, et, à l’occasion, de jupes ou shorts en cuir.
Aujourd’hui ne faisait pas exception.Tu avais opté pour un débardeur gris avec un généreux décolleté – une contrainte imposée par la chaleur et ta poitrine naturellement généreuse, qui compliquait souvent les choses. Avec ça, tu portais un pantalon large et un chignon négligemment noué sur la nuque. Pas forcément la tenue idéale pour être prise au sérieux dans ton milieu, mais au moins, tu ne risquais pas de mourir de chaud.
Alors que tu fouillais dans des dossiers liés aux achats de dynamite des six derniers mois, tu remarquas Spencer, ton compagnon depuis 3 mois, de l’autre côté de la pièce. Il était plongé dans son travail, mais lorsqu’il leva les yeux et croisa ton regard, il t’offrit l’un de ses sourires si tendres et pleins d’amour. Tu ressentis une chaleur monter à tes joues et baissas les yeux, émue par ce geste plein de douceur.
Cependant, l’atmosphère du commissariat était loin d’être agréable. Depuis ton arrivée, plusieurs officiers t’observaient d’un peu trop près. Et pas tes yeux ou ton travail, non, leur regard était rivé sur ta poitrine.
-Tu crois qu’elle sait seulement tirer, ou elle a d’autres talents ?
-Avec un corps pareil, elle ferait mieux de bosser dans un club de strip-tease.
-Tu crois qu’elle enquête ou qu’elle cherche juste à se faire sauter ?
Ces remarques te faisaient bouillir. D’habitude, tu aurais mis un pull pour cacher ta poitrine et stopper leurs réflexions, mais la chaleur était insupportable.Pendant deux longues heures, tu dus supporter leurs regards insidieux et leurs sous-entendus, comme :
-Ça se voit qu’elle est habituée à être à quatre pattes plus qu’à un bureau.
-C’est le genre de fille qui ouvre plus ses jambes que ses dossiers
-Si elle me fait un sourire, je la prends direct sur ce bureau.
Avec le temps, leurs commentaires devenaient de plus en plus explicites, ponctués de gestes dégoûtants. Tu avais envisagé de te confier à Spencer, mais il avait déjà assez de travail. Tu refusais qu’il devienne une cible à cause de vous.
Tu n'avais jamais été aussi soulagée que lorsqu'Hotch annonça un briefing. Enfin, tu allais pouvoir t'éloigner de ces regards lourds.
Une fois dans la salle de briefing, tu t’appuyas contre un mur, légèrement à l’écart, tout en observant l’équipe s’installer. Spencer te lança un regard, et tu lui souris, bien que tes nerfs soient à vif.
Mais cette pause fut de courte durée. Alors que tu te concentrais sur Spencer, un officier se glissa discrètement derrière toi. Au début, tu pensais qu’il cherchait simplement à passer, mais son attitude te fit rapidement comprendre le contraire.Il se colla un peu trop près, si bien que tu pouvais sentir la chaleur désagréable de son corps contre le tien.
Puis tu sentis sa main s’attarder sur ta cuisse, effleurant d’abord le tissu de ton pantalon avant de devenir plus insistante.Ton souffle se coupa un instant, une vague de dégoût te parcourant.
Tu bougeas légèrement pour te dégager, mais il ne recula pas.Tu relevas les yeux vers Spencer, espérant qu’il n’ait rien remarqué. Mais c’était peine perdue.
Il te regardait toujours, son expression cette fois marquée par une inquiétude évidente.Malgré tes efforts pour feindre l’indifférence, il avait compris que quelque chose n’allait pas.
La tension monta encore d’un cran lorsque l’officier se pencha vers toi, son souffle chaud contre ton oreille :— Ta seule compétence utile ici, c’est de savoir écarter les cuisses, pas de fouiller dans des dossiers. Ton corps se raidit immédiatement, la colère bouillonnant en toi.
Tes poings se serrèrent si fort que tes ongles marquèrent la peau de tes paumes. Tu aurais pu le remettre à sa place, mais l'atmosphère étouffante et la crainte de créer un incident dans un contexte professionnel t’empêchèrent d’agir sur le moment.
Cette fois, c'est lorsque l'officier fit glisser sa jambe entre tes cuisses que tu réagis instinctivement, te retournant brusquement pour le repousser violemment contre le mur. Le bruit du choc résonna dans la pièce, et un silence glacial s'installa aussitôt.
Toutes les voix, dont celle de Hotch, s'éteignirent d'un coup, laissant place à une tension palpable. Tu baissas immédiatement les bras, le regard fuyant, t'excusant précipitamment, cherchant à minimiser l'incident. Ton cœur battait à toute vitesse alors que tu tentais de cacher ton embarras, t'efforçant de faire oublier ce moment gênant au reste du groupe.
L'officier, toujours avachi contre le mur, esquissa un sourire carnassier, ses yeux glissant lentement sur toi avec une arrogance calculée. Il prit un ton traînant, amplifiant délibérément l'humiliation qu'il cherchait à infliger.— Les filles comme toi aiment ça, non ? Être prises sans résistance, juste pour qu’on s’en débarrasse. lança-t-il, ses mots dégoulinant de mépris.
Il marqua une pause, savourant l'effet de sa provocation, avant d’ajouter d’un ton encore plus acerbe :— Faut dire qu’avec une poitrine comme la tienne, tu dois avoir déjà pas mal d’expérience. Ça doit te servir souvent, non ?La pièce sembla s’immobiliser, le poids de ses paroles suspendu dans l’air comme une explosion qui résonnait encore.
Quelques rires étouffés s’élevèrent dans le fond, témoignant d’une complicité toxique entre certains agents, mais la plupart des regards étaient fixés sur toi, oscillant entre incrédulité et malaise.
Chaque mot qu’il venait de prononcer résonnait dans ta tête comme un écho douloureux. Ta respiration s’accéléra, ton cœur battait à tout rompre, et tu serrais les poings si fort que tes ongles s’enfoncèrent dans ta paume.
Une vague de chaleur, mélange de honte et de colère, envahit tout ton être.
Mais avant que tu ne puisses réagir, une chaise racla bruyamment le sol derrière toi.
— Qu’est-ce que vous venez de dire ?
La voix appartenait à Spencer.
Froide, tranchante, et étrangement calme, elle coupa à travers la tension de la pièce comme un coup de scalpel.
Lorsque tu te tournas, tu vis qu’il s’était levé, ses yeux rivés sur l’officier avec une intensité que tu ne lui connaissais pas.L’officier haussa un sourcil, essayant de jouer la désinvolture, mais l’assurance dans son regard vacilla légèrement face au jeune homme.
— Détends-toi, Doc, répondit-il avec un rire nerveux, cherchant à cacher son agacement. Pas besoin de jouer les chevaliers blancs. C’était juste une blague, tu sais. Puis, tu vas vraiment t’agiter pour une fille qui se met à quatre pattes pour n’importe qui ? Ça en dit long, non ?
Spencer fit un pas en avant, sa silhouette mince mais imposante dans cette posture de défi qu’il prenait rarement. Ses yeux étaient glacials, et sa mâchoire serrée trahissait une rage contenue. L’officier roula des yeux et rajoute une phrase :
- Si tu veux te la faire, suffit de se servir dit il en fesant un regard déplacé vers ta pointrine.
Mais avant que Spencer ne puisse répondre, une autre voix, plus grave et autoritaire, s’éleva dans la pièce :— Je vous demande pardon ?
Hotch se tenait à quelques centimètres de l'officier, les bras croisés et le regard glacé. En un instant, le silence s'imposa.
Spencer ne détournait pas les yeux de l’officier. Hotch le fixa intensément, et tu espérais silencieusement que la situation prenne fin."Dans le bureau, tous les deux."La voix de Hotch était ferme et autoritaire.
En sortant, un sentiment de honte t’envahit, tandis que l’officier semblait plus fier que jamais de ses actions.
Dans le bureau, Hotch s’avança lentement vers l'officier, dont l'assurance s'était nettement effondrée."Si je vous reprends à faire de telles choses ou à tenir de tels propos," dit Hotch d'une voix calme mais lourde de menace.
L’officier bredouilla des excuses, tentant de minimiser ses actes, mais Hotch ne lui laissa aucune échappatoire."Vous avez deux options," poursuivit-il froidement. "Soit vous quittez cet endroit immédiatement, et je m'assure que votre comportement est signalé aux plus hauts niveaux. Soit vous continuez, et je vous traîne devant le comité disciplinaire du Bureau. Vous voulez tester ?" Sous l'autorité de Hotch, l’officier baissa les yeux et quitta la pièce sans un mot.
Une fois seul, Hotch se tourna vers toi. Son expression restait sévère, mais il y avait une douceur dans son regard. "Tu vas bien ?" demanda-t-il simplement.Tu hochas la tête, mais ta gorge était trop serrée pour répondre.
En retournant dans la salle, Spencer, d'un geste rassurant, posa sa main sur ton bras, son regard trahissant toute son inquiétude. Tu sentais son regard, mais tu faisais tout pour l’éviter, trop honteuse pour le soutenir.
Le briefing se termina sans autre incident, mais l’atmosphère dans la salle restait lourde, presque étouffante.
Dès que Hotch donna le signal de fin, tu te précipitas vers la sortie, aspirant à échapper à cette tension oppressante. Ton cœur battait encore violemment, et tes pensées tournaient en boucle, alimentées par la colère et l’humiliation refoulées.
En franchissant les portes du commissariat, tu tombas nez à nez avec le fameux officier. Il était là, nonchalamment appuyé contre une voiture mais son sourire mauvais intact.
— Alors, t’as trouvé un autre type à te laisser baiser, ou tu te contentes de jouer les salopes en attendant qu’on t’offre un peu de plaisir ? lâcha-t-il d’un ton méprisant, un éclat provocateur dans les yeux.
Cette fois, c’était la goutte de trop. Avant même que tu ne réfléchisses à tes actions, ton poing s’était déjà fermé sous l’impulsion de toute la rage accumulée. En un éclair, tu lui décochas un coup puissant directement dans son visage.
L’impact fut brutal. Il vacilla en arrière, sa tête cognant légèrement la carrosserie de la voiture avant qu’il ne s’écroule au sol, le nez en sang.
— Sale garce ! cracha-t-il en essayant de se redresser, mais sa voix était étouffée par la douleur et la surprise.
Spencer, qui avait vu toute la scène depuis l’intérieur, accourut à toute allure vers toi, les yeux écarquillés. Mais avant qu’il n’ait le temps de te rejoindre, tu avais déjà attrapé ton sac et tourné les talons avec une détermination froide.
- La salope elle fait de la boxe, il y a d'autres volontaires ? lançais-tu d’une voix forte, balayant du regard les policiers présents, dont certains avaient assisté à la scène, visiblement choqués.
Le silence s’abattit sur le parking. Personne n’osa bouger ou répondre, tous les regards fixés sur toi, stupéfaits.
Même Rossi, qui venait d’arriver derrière Spencer, semblait figé, son expression oscillant entre incrédulité et admiration face à ta réaction.
Spencer, quant à lui, resta un instant pétrifié, la bouche entrouverte, avant de jeter un coup d’œil rapide à l’officier qui gémissait toujours au sol. Mais il n’essaya pas de te retenir.
Peut-être avait-il compris que tu avais besoin de ce moment, de cette action pour expulser la tension accumulée.Tu t’éloignas à grands pas, le bruit de tes talons résonnant sur le bitume.
Dans la voiture pour allez à l'hôtel personne ne dis rien à propos de l'incident.
Lorsque tu te réfugias dans ta chambre d'hôtel, à l'abri des regards, tu t'effondras près du lit, tentant de reprendre ton souffle.
Enroulant tes bras autour de tes genoux repliés contre ta poitrine, tu cherchas à te cacher, à effacer l'intensité de ce moment.
Tu entendis la porte s'ouvrir derrière toi, et Spencer entra, fermant doucement à clé. Il s'approcha de toi sans un mot, mais tu sentais la chaleur et la douceur de sa présence.
Il s'agenouilla à tes côtés et, d'un geste délicat, déplia tes jambes. Doucement, il prit ton menton entre ses doigts, levant ton regard vers lui.
Ses yeux étaient pleins de compassion et d’amour, et il attendit que tu sois prête à le regarder, tout en te maintenant dans cette tranquillité. Les larmes que tu avais essayé de retenir commencèrent à dévaler tes joues.
"Je suis désolé que tu aies à supporter ça," murmura-t-il. "Mais ton coup de poing était magnifique."
Un petit rire nerveux s'échappa de tes lèvres, entrecoupé de sanglots.
"Le pire, c'est qu'il n'a pas tort," murmuras-tu. "Il suffit de regarder mon palmarès de relations pour savoir quel genre de fille je suis."
Spencer s'approcha, rapprochant son visage du tien, ses lèvres n'étant plus qu'à quelques centimètres des tiennes.
"Tu n'es pas comme ça. Tu as vécu des choses traumatisantes. Les relations que tu as eues, je ne m'en suis jamais soucié, parce que tu es une personne incroyable. Belle. Et tu mérites tout l'amour que l'on peut te donner.
Tu es une collègue, une petite amie, et…" Il marqua une pause avant de sourire légèrement. "…une amante incroyable."
Cette dernière remarque te fit rire, et tu le frappas doucement à l’épaule. "
Et tout ça… pour te dire que je t'aime," ajouta-t-il, son regard d’une sincérité dévorante.Tu t'arrêtas net, ton souffle coupé, cherchant à déceler la moindre trace de mensonge dans ses yeux. Mais il n'y en avait pas. Rien que de la vérité. Un frisson te parcourut.
"Moi aussi, je t'aime," murmuras-tu, presque inaudible, ton cœur battant plus fort dans ta poitrine.
À l'instant où il entendit ces mots, Spencer se jeta sur tes lèvres, ses mains se posant fermement sur ta taille, te guidant pour t’installer sur ses cuisses.
Vous vous laissâtes emporter dans ce baiser, essoufflés mais happés par l’intensité de l'instant.
Il s'arrêta un instant, essuyant une mèche de cheveux de ton visage, son souffle encore lourd.
Vous vous arrêtâtes tous les deux, haletants, le souffle court.
"Et une dernière chose," dit-il en souriant. "Ta poitrine, il n'y a que moi qui ai le droit d'y toucher."
Un frisson parcourut ta peau alors qu'il déposait un baiser tendre, mais possessif, sur ta poitrine.
Tu ris de plus belle, ta poitrine se serrant dans un mélange d'émotions. Spencer te faisait sentir en sécurité, aimée et désirée, et tu savais, sans l'ombre d’un doute, qu’il était un ange tombé du ciel.
Tu reprenais les baisers, plus passionnés, plus intenses, tandis que l’idée de tout ce que vous pouviez partager ensemble te semblait enfin à portée de main.
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D'une certaine manière, on voit justement comment Aurora serait si elle était reine. Elle parle mal aux servantes contrairement à Amalia qui justement les respecte et les chérissent. J'imagine que ça doit être quelque chose de similaire dans son royaume à elle pour qu'elle se comporte ainsi. Et justement on voit une relation plus cordiale entre son père et elle que j'avoue avoir été agréablement surprise. Car je trouvais que son père semblait l'utiliser comme un pion. Mais non bon après il y aura peut être d'autres choses qui nous seront révélés par la suite.
En revanche, le dialogue d'Armand m'a fait tiquer dans le sens que je pense qu'elle aimait l'Armand qu'elle voulait voir. Je crois que toujours que leurs affections étaient sincère à leur manière mais qu'à sa mort, ça l'a secoué un bref instant ! Voulant tendre sa main vers la graine d'Armand mais en voyant le geste d'Amalia, comme si elle l'empêchait de s'approcher (bien que je pense pas qu'Amalia s'était rendue compte qu'elle était là) elle a choisi de fuir, préférant suivre l'ordre de son père. Selon elle, elle est la reine légitime par le feu d'Armand mais aussi par le bébé qu'elle porte. Surtout que vu qu'ils parlent de leurs grossesses quand ils sont seuls montre qu'il y a des chances que cette grossesse soit vrai.
Sinon j'ai bien aimé le mariage car ça symbolise justement la possible réconciliation des deux peuples suite au conflit ! Le changement pour les deux peuples étaient brusque et je pense que ce mariage aide justement à mieux installer ce début d'entente en douceur cette fois ci. D'ailleurs mon ami avait justement ajouté que ce conflit est surtout amené par les vieux et non les jeunes adultes comme on peut le voir dans ce chapitre. Par contre la scène, de l'empoisonnement ouais je le voyais venir. Bien qu'Amalia, j'imagine que le fait d'avoir été empoisonné en saison 1, lui a permit de l'empêcher de l'être à nouveau.
In a way, we see precisely how Aurora would be if she were queen. She speaks ill of the servants, unlike Amalia, who respects and cherishes them. I imagine it must be something similar in her kingdom if she behaves this way. And we see a more cordial relationship between her and her father, and I must admit I was pleasantly surprised. I thought her father seemed to be using her as a pawn. But no, well, maybe there'll be more to come later.
On the other hand, Armand's dialogue made me tick in the sense that I think she loved the Armand she wanted to see. I still believe their affections were sincere in their own way, but when he died, she was shaken for a brief moment! Wanting to stretch out her hand towards Armand's seed, but seeing Amalia's gesture, as if preventing her from approaching (although I don't think Amalia realized she was there) she chose to flee, preferring to follow her father's order. According to her, she's the rightful queen not only because of her late husband, but also because of the baby she's carrying. Especially since the fact that they talk about their pregnancies when they're alone shows that there's a good chance this pregnancy is real.
Otherwise, I liked the wedding because it symbolizes the possible reconciliation of the two peoples following the conflict! The change for both peoples was abrupt, and I think this wedding helps to establish the beginning of a gentle understanding this time. Moreover, my friend had just added that this conflict is mainly brought about by the elderly and not the young adults, as can be seen in this chapter. On the other hand, I could see the poisoning scene coming. Although Amalia, I imagine, had been poisoned in season 1, which helped prevent her from being poisoned again.
#wakfu#wakfu the great wave#wakfu the great wave spoilers#yugo#amalia sheran sharm#armand sheran sharm#wakfu auora
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J'me suis embrouillée avec mon beau père. Ce week end j'étais chez le père de mon mec. Je l'apprécie qu'à moitié, il m'a payé des vacances et beaucoup de loisirs et je lui en suis reconnaissante mais c'est tout. Ce n'est pas quelqu'un que je respecte particulièrement. Samedi on mangeait tous les trois ensemble et, les élections approchant, évidemment les débats politiques sont vite arrivés sur la table. Moi, je porte mon orientation politique sur le front. Ya pas beaucoup d'efforts à faire ni besoin de beaucoup me connaître pour savoir de quel côté je suis. Beaucoup de pères (plus que de mères je remarque) penchent à droite mais lui c'était pas écrit Marion sur son front et pourtant... Alors quand il a commencé son petit speech à base de "dehors les arabes" j'ai pété un câble. À entendre certains darons t'as l'impression qu'ils se sont fait voler leur goûter, leur job, leur femme, et leurs enfants par des étrangers. J'ai été réellement rebutée par ses propos. À la fin de son baragouinage, jlui ai demandé s'il avait des cintres. Évidemment, il n'a pas saisi la noirceur du propos. Ce à quoi j'ai ajouté que si la France devenait officiellement fasciste il faudrait retourner aux techniques traditionnelles pour avorter. Puis je lui ai dit que c'était étrange ça que, pour lui, une femme se faisant violée est l'entière responsable sauf si c'est par un étranger (double problème dans sa manière de penser). Puis je lui ai dit que ce serait compliqué de concilier zéro immigration avec zéro écologie, que visiblement c'était pas linéaire dans sa tête que les gens ne partaient pas par plaisir et que les catastrophes climatiques continueraient de s'aggraver. Puis j'lui ai demandé s'il avait bien connu ses grands parents, bizarrement non car la seconde guerre mondiale est passée par là et que si ça continuait, il serait ce grand parent pour les gosses de ses enfants. Puis je lui ai demandé de m'expliquer le principe des européennes et les différences avec municipale, législative et présidentielles, et il a pas vraiment su me répondre. Que des trucs comme ça, rien de profond, pas de chiffre, juste essayer de lui faire capter le problème. Et il m'a dit que ça ne changeait rien, ce à quoi j'ai répondu qu'il n'y avait que les abrutis qui ne changeaient pas d'avis et là, là ça a coincé dans sa tête et il m'a embrouillée. Ça me dégoûte aussi peu d'humanité, de respect et de lucidité. Ça m'a réellement fait mal au cœur cette discussion et voir comme les gens sont profondément cons/tristes/pauvres/en colère pour avoir ce genre d'idées. C'est pas une vie d'exister dans la haine et le mépris de l'Autre. C'est pas une vie de penser des choses aussi grave sans être insomniaque. C'est pas une vie de pas avoir honte. C'est pas une vie de l'assumer. Avec des parents comme ça, c'est navrant à dire, mais tu m'étonnes que les 18-34 votent à droite. Si seulement on prenait assez de recul pour comprendre que nos parents ne sont pas forcément des exemples et qu'on est bien assez grand pour réfléchir. À croire que le libre arbitre, s'intéresser, se cultiver, conscientiser, se remettre en question n'arrive jamais pour certains. Ça m'a rendue très triste. Puis mon village à fait un score de 52% pour le rn et 10 pour reconquête. Comment c'est possible ? Je ne comprends pas comment on peut adhérer à tout ça et cracher sur l'histoire et les schémas pourtant connus et étudiés en classe depuis pas mal d'année déjà.
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C'est fou hein, à chaque fois que quelque chose ne te plaît pas, tu pars en chasse aux sorcières en cherchant le plus d'arguments possibles pour démolir la manière de faire des autres. Peut-être que si certaines personnes offrent un certain anonymat dans le rpg, c'est à cause de gens toxiques comme toi qui pense que seule sa manière de penser et de faire est la bonne, et qui va cracher sur tous les autres. Laisse donc les autres gérer leurs forums comme ils veulent, et s'il y a de la clientèle pour ça, c'est que ça convient à certaines personnes. Si ça te convient pas, passe donc ton chemin sans chercher à forcer les gens à agir comme toi tu le penses bon dans ton petit monde extrêmement étroit.
OH PUNAISE MERCI !
Ça commençait à faire super longtemps que je n'avais pas été accusée d'être toxique en anon, qui plus est par quelqu'un qui rate complètement le point de mon billet pour sortir des âneries pareilles !
Je n'ai pas de crayons de couleur sous la main pour te faire un dessin mais je vais tenter d'expliquer ça plus simplement : chacun·e fait comme iel veut mais tout le monde doit être en pleine possession de TOUTES LES INFORMATIONS NECESSAIRES pour faire des choix vis-à-vis de sa sécurité numérique.
Si les gens veulent jouer sur des forums où ils sont anonymes, franchement let's go, j'ai juste partagé des points que tout le monde n'a pas. Des points qui justement pourraient aider à être réellement anonyme, pour celleux que ça intéresse... Je me demande si tu captes l'ironie dévorante de ton message -- "gngngn dis pas aux gens comment être anonyme sur des forums anonymes..." Pourquoi est-ce que tu veux que les gens s'inscrivent sur un forum en partageant des infos sensibles ? Sérieusement, qu'est-ce que tu prépares ?
Dans tous les cas, t'étais trop occupé·e pour réfléchir et t'étais tellement déter à me chopper par le col que tu as décidé de te ridiculiser en m'envoyant un message à côté de la plaque. Si je te dis de trouver un autre passe-temps pour t'occuper parce que le RPG ce n'est vraisemblablement pas assez, tu vas encore dire que je veux forcer les gens à agir d'une certaine manière ou tu vas réussir à comprendre que je suis juste en train de t'envoyer promener ?
(Purée, si c'est l'admin du forum anonyme qui a utilisé son compte principal sur PRD pour faire de la pub pour le forum en question, je ne vais pas m'en remettre, y'a pas à être aussi bête...)
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saga: Soumission & Domination 358
Les petits frères
Enguerrand, Max, Nathan - João, Romain
La fin d'année approche en ce qui concerne ma " troupe " et mes amours, tous passent en année supérieure.
En ce qui concerne " les petits ", leur année s'est mieux terminée qu'elle n'avait commencée. Surtout pour Enguerrand.
Entrainé par Max, il finit dans les 5 premiers de son cours et peut intégrer finalement la terminale S rejoint par Max qui quitte son lycée public. Il n'a pas fallu discuter beaucoup avec ses parents pour les convaincre que ce serait plus simple qu'ils soient tous les 2 dans le même bahut.
Nathan lui aussi termine en beauté. Pour la pratique il n'y avait pas de problème mais pour la partie académique, le renfort/bachotage exercé par ma paire de " petits frères " l'a propulsé lui aussi en tête de son année. Julien en est aussi fier que si c'était son propre fils.
Ils sont tous les trois tout bronzés déjà. Malgré mon scepticisme, leurs révisions en maillot de bain autour de la piscine parentale (Max) ou bien sur notre terrasse rendent autant en bonnes notes qu'en prises de hâle. Et bien que quand ils sont chez moi ils bronzent à poil, leurs petites fesses restent un ton en dessous du reste de leur corps. Ludovic, PH et moi les suivons de près sauf coté fesses que nous gardons les plus blanches possibles. J'aime le contraste, je trouve cela plus sexy encore.
Nathan n'a droit qu'à 3 semaines de congés cet été mais au vu de ses bons résultats, Julien est tout prêt à faire un effort. Pour éviter que ça pèse sur les finances de sa boutique, je lui propose de prendre en charge les semaines supplémentaires. Car si je compte bien les petits comptent nous accompagner en Espagne pour les 3 semaines à Sitgès et ils ont prévu de continuer chez les parents d'Enguerrand. Ils espèrent bien aussi venir passer un séjour à notre campagne à nous. Je ne sais pas comment ils se sont débrouillés mais finalement ils arrivent à arracher à Julien 3 semaines supplémentaires début août pour Nathan.
Donc si je réfléchis, du 13 juillet au 1er août en Espagne, du 3 au 23 août en majorité chez les parents d'Enguerrand et le reste avec nous. Ils vont être bien malheureux cet été !!
Pour João et Romain, même régime exception faite du séjour à la " ferme ". Je ne vais quand même pas les laisser tout l'été en ville ! Même si jusque-là c'était leur régime de vacances, sauf pour Romain qui passait quelques semaines à encadrer des ados. Pour ces derniers, ils ont en plus les " vacances clients ". Pour eux, les demandes se bousculent mais cette année, je vais pouvoir fournir tous les clients demandeurs ce qui n'était pas le cas les étés précédents.
Ils sont réservés tous les deux pour la première quinzaine d'août. João partira sur le Portugal, alors que Romain, lui, participera à une croisière sur la méditerranée en 1ere classe bien sûr !
Ils sont un peu déçus d'avoir à se séparer mais quand je leur ai donné le montant de leurs salaires, ils se sont rapidement fait à l'idée ! 15 jours, 24h/24, full service, à 30 " kilo ", ça console d'être éloigné de son chéri !
La triplette (Max + Enguerrand + Nathan) est excitée de nous accompagner à Sitgès. Ils connaissent Ernesto et pour certains Pablo et du coup ils se font des plans sur la comète.
Max a été trainer sur internet et, avec Enguerrand, ils ont achetés pour eux trois une 15aine de maillots de bain tous plus sexy les uns que les autres. ES, Addicted, Funky Trunks, Rufkskin et autres Mundo-UNICO sont parmi les marques qu'ils ont sélectionnées.
Ils nous font un véritable défilé pour nous les montrer. Nathan, après quelques semaines de retenue, s'est finalement lâché avec ses deux amoureux. Il ne lui a pas fallu longtemps pour me demander de le loger les semaines où il est au lycée professionnel. Enfin une semaine ! Car après, il a pris ses quartiers chez les parents de Max lui aussi. La mère est enfin au courant de la sexualité de son fils.
Elle m'a convoqué dès le lendemain de l'annonce de son fils. Persuadé qu'avec l'influence que j'ai sur son rejeton, j'allais pouvoir le raisonner.
Après avoir fait le point avec son mari et son fils sur ce qu'ils m'autorisaient à dire/dévoiler/avouer, j'ai accepté de la rencontrer. Merde, je suis pas psy ! J'ai pas toutes les clés et ne détient pas non plus la vérité vrai ! Ce n'est que parce qu'ils ont insisté que j'ai accepté.
Me voilà face à une mère larguée, n'ayant pas vu le coup venir et désemparée avec des aprioris des années 50 sinon plus anciens encore. Je la laisse parler. Elle me sort tous les poncifs sur les homos, Sida, MST, follasse... Quand elle reprend son souffle, je lui demande si tout ce qu'elle vient de me dire correspond à son fils ou à ses deux amis.
Elle réfléchit 5 minutes puis admet que non, les trois garçons ont une attitude irréprochable quand ils sont chez elle. Puis elle se souvient qu'ils dorment tous dans la même chambre. Elle me dit qu'elle est persuadée qu'ils font des trucs cochons.
Je la regarde et lui demande si quand elle est dans sa chambre avec son mari, ils ne faisaient pas eux aussi des " trucs cochons ".
Evidemment là, pour elle, ce n'est pas la même chose, elle l'aime son mari.
Quand je lui dis que c'est tout pareil pour les trois garçons, elle fond en larmes et me dit qu'ils vont être malheureux.
Là elle commence à m'énerver sérieusement. Je l'attrape par les épaules, la fixe dans les yeux et lui dis que je vis avec 4 hommes que j'aime tous comme un fou et que je suis très heureux et eux aussi.
Elle me regarde comme si j'étais malade. Je me lève, tourne sur moi-même et lui demande si je suis anormal.
Elle avoue que non et qu'en plus j'ai réellement eu une influence heureuse sur son fils. Avec son mari, ils ont cru un moment qu'il allait mal tourner.
Je lui rappelle que l'homosexualité n'est ni une tare, ni une maladie et encore moins une honte.
Là, elle me dit qu'elle ne connait pas d'autre homosexuel. Je lui cite quelques acteurs connus et quelques hommes politiques de droite comme de gauche. Elle est éberluée, n'ayant jamais fait attention à la vie privée des peoples, elle n'en savait rien.
Puis elle passe sur le registre façade sociale. Que va-t-elle dire à ses amies.
Je lui conseil rien ou la vérité. On est plus au moyen-âge. Et certaines de ses amies ont peut-être aussi des enfants gays !
Quand on se sépare, elle est d'accord pour ne pas penser à l'homosexualité comme une maladie, de laisser son fils vivre sa vie même si en ce moment c'est avec Ludovic et Nathan.
Elle me demande juste si elle peut me téléphoner en cas de besoin. J'accepte mais lui dis que c'est avec son fils qu'elle devrait parler.
Petit compte rendu téléphonique avec son mari et à la triplette qui passe au blockhaus avant de rentrer chez les parents de Max.
Je leur fait un résumé et leur conseille de faire en sorte que leur comportement prouve à la mère de Max qu'ils sont sérieux dans leur amour, qu'ils évitent les pelles de 10mn devant ses yeux surtout si ça fini en malaxage de bite.
Ils éclatent de rire et me disent qu'ils n'ont jamais fait ça même chez les parents d'Enguerrand qui eux savent pour les trois.
Quand Marc est en déplacement il nous arrive (PH, Ludovic et moi) de les accompagner à la ferme. Ils sont ravis car depuis notre premier " écart " (cf. J_SD353 et 354), ils sont toujours partants pour une touze familiale. Côme a beau être hétéro, comme par hasard, il est toujours là ces WE. Il ne rechigne plus à baiser avec nous 6.
La propriété des parents des trois frères est belle mais il manquait quand même l'essentiel surtout avec les beaux jours : une piscine !
Les deux ainés trouvent là une occasion de dépenser un peu l'argent qu'ils ont gagnés (surtout Côme car Ludovic ne fait pas beaucoup de prestation. Après tout c'est mon amour !!). Mi-mai, nous trouvons un grand modèle hors sol montants bois (11,3 x 5 x 1,40) rectangulaire que nous sommes obligés d'enterrer à moitié. Ce qui est bien de l'exploitation, c'est qu'une bonne partie du matériel est déjà là. Mais c'était sans compter Dorian (Second). Quand il apprend ce que nous voulons faire, il s'impose pour l'installation. Un premier WE nous creusons et coulons la dalle destinée à supporter la piscine. Elle sèche le temps que le kit arrive. 3 semaines plus tard, nous montons le bassin. Heureusement que Dorian est là. Son expérience nous est bien utile surtout quand l'eau commence à remplir la piscine et qu'il faut déplisser le liner en même temps.
Je participe en offrant la pompe à chaleur destinée à optimiser la température de l'eau. Les tuyaux enterrés, nous pouvons éloigner le local technique.
Quand nous pouvons enfin nous plonger dans l'eau, c'est parfait. Les parents ne savent comment nous remercier car eux même profitent bien de cette nouvelle installation principalement en soirée.
En maillots, ils font beaucoup plus jeunes que leur style classique ne le laissait supposer. Ils n'ont qu'une petite 40aine finalement ! Monsieur c'est Côme avec 25 ans de plus, bel homme et gros paquet lui aussi ! Même s'il est plus short de bain que slip ou shorty, quand il sort de l'eau et que le tissu se colle à ses reliefs c'est très net. Madame est très fine malgré ses trois grossesses. Pas de vergetures, pas de cellulite et encore moins de ventre, des seins moyens mais raccords avec son physique tout comme ses hanches marquées mais pas trop.
D'ailleurs la première fois où ils sont venu nous rejoindre dans l'eau, même leurs fils les ont sifflés !
Bien, c'est sympa mais le plus agréable c'est quand même nos petites parties communes de jambes en l'air comme dirait madame. Nous avons trouvé d'autres lieux de baise depuis notre première dans le pailler. Il faut dire qu'une grande exploitation regorge de recoins. Mais il faut compter avec les odeurs qui en réduisent le nombre. Le bâtiment des silos à grain est pas mal non plus mais un peu poussiéreux. Notre endroit préféré reste la réserve de paille avec ses bottes rectangulaires. Depuis notre premier " égarement ", nous avons privilégié le haut de l'empilement. Comme ça si le paternel débarque, nous aurions le temps de nous décoller et rhabiller.
En attendant, Côme nous a trouvé de veilles mais propres couvertures à poser sur la paille pour éviter les griffures de brins. Ces réunions quasi familiales nous font tous bander à mort. Les trois frères ne font plus de cas de leurs liens et prennent autant de plaisir entre eux qu'avec nous. On ressent même une tendresse particulière quand ils font l'amour entre eux. Les regards, les caresses, les pelles qu'ils se roulent sont toujours plus doux qu'avec nous !
Je les aime tous les trois, Ludovic beaucoup plus. Mais la première fois où j'ai laissé Enguerrand m'enculer, je crois bien que c'était comme si je lui avais donné le graal. Il m'avait déjà vu me faire défoncer la rondelle par Ludovic et Côme. Et je crois bien qu'il en mourrait d'envie lui aussi. Pour preuve sa fougue à me monter ! Ses 19x5 (hé oui, il grandit encore le petit) me paraissent 22 au moins vu comme il se démène. Il se couche sur mon dos (on était en levrette) il cesse un instant ses va et vient pour me glisser un " merci" dans l'oreille. Il me cueille. Je me retourne et me place sur le dos les jambes relevées et écartées pour qu'il revienne me planter. Quand il est bien profondément enfoncé dans mon trou, je replie les jambes autour de ses hanches pour l'emprisonner et tire sa tête vers moi. J'approche son visage tout près du mien. On reste un moment à se regarder dans les yeux tout pendant qu'il me laboure la rondelle avec efficacité. Puis je le tire un peu plus. Nos lèvres se touchent. Il est vraiment craquant. Je comprends Max et Nathan, tout comme ses deux frères.
Je souffle " sale gamin " avant d'ouvrir la bouche et de sortir ma langue à la rencontre de la sienne. Nous échangeons un baiser fiévreux. Alors que nous sommes tout près de " partir ", Enguerrand sort de moi et vient s'assoir sur moi ou plutôt sur ma queue. Il me regarde et me dit que finalement il se sent mieux dans ce sens-là. Pour plaisanter je lui demande si mon cul était trop " vieux ". Il pique un fard me dit " non, mais tu comprends, tu seras toujours celui qui m'a dépucelé " (enfin ! façon de dire).
Je le laisse me chevaucher et il ne nous faut plus beaucoup de temps pour exploser, moi dans son cul lui sur mes abdos. Comme les autres n'ont pas terminé, il se coule sous mon bras et pose sa tête sur mes épaules.
J'essaye alors de remettre les pendules à l'heure mais il me coupe et me dit qu'il avait décidé que j'étais son premier et qu'il n'y avait pas à revenir dessus. Pour atténuer ses propos il me roule un patin qui nous laisse tous les deux sans souffle.
Il se serre contre moi alors que nous voyons ses deux amours prendre leurs plaisir en 69 enculé l'un par Côme l'autre par Ludovic. Ils n'ont pas fini que nous recevons sur nous les corps de PH pour moi et de Max pour Enguerrand. Grosses pelles puis ils glissent à nos côtés sur le dos pour admirer le quatuor se finir.
Quand nous retournons dans le monde, nous tombons sur " papa " qui nous cherchait depuis quelques temps. Il avait besoin de bras pour l'aider. On y va tous et en 15 minutes son problème est réglé.
Autres modifications à la " ferme ", ce sont les literies. Nos chambres sont maintenant équipées de 2 lits 2 places réunis. Avec 2,80m de large par 2 de long, on peut maintenant s'étaler.
Nos triplettes sont officielles aussi pour " mère " et ça a moins posé de problème que chez les citadins (mère de Max). On a juste eu droit à " fermer vos portes à clef quand vous voudrez garantir votre intimité " et aussi de leur épargner les détails au petit déjeuner. Cette mise au point leur a valu d'être embrassés par 6 jeunes mecs reconnaissants.
Côme reste encore discret de son côté. Il n'est pas décidé définitivement et ne tient pas à alarmer plus que ça ses parents alors qu'il ne sait pas ce qu'il veut.
Je les apprécie de plus en plus. Je crois que " l'aventure " d'Enguerrand y est pour beaucoup. Ils ont eu une peur rétrospective d'avoir risqué de perdre leur dernier et ça leur a ouvert l'esprit. Je pense aussi qu'ils nous aiment bien (PH, Max, Nathan et moi). J'ai aussi l'impression qu'à nous tous, nous reconstituons une famille nombreuse que madame aurait souhaité avoir. Cette quasi-certitude me vient des discussions que nous avons eues. Elle-même est la 3ème d'une fratrie de 7. Notre présence l'oblige à modifier la gestion de sa maison mais on sent que cela ne lui coute pas.
Ce sont les deux garnements (Max et Enguerrand) qui lui ont glissé l'idée d'inviter à diner les parents de Max lors d'un de nos grands WE. Max pense que l'exemple de leur acceptation de la situation devrait aider sa propre mère à se faire à l'idée.
C'est comme ça qu'après nous avoir vu évoluer tous ensemble avec naturel, d'avoir vu la mère d'Enguerrand s'occuper de son fils Max et de Nathan comme des siens propre elle s'est rendu compte qu'elle se faisait beaucoup de sang pour rien.
Après ce WE là, lors des semaines de cours de Nathan, c'est chez eux et non plus au blockhaus qu'il a passé ses soirées et ses nuits.
Pour cet été, je charge Ernesto de contacter Javier pour qu'il nous trouve une villa beaucoup plus grande. En même temps je lui annonce que la " triplette " sera du séjour, tout comme Ludovic et João accompagné de son Romain. De base nous seront donc 11 plus Paco le cuisinier et son probable petit copain du moment. Bien sûr il nous la faut avec grande piscine et installations de muscu.
Il me rappelle une semaine plus tard et m'envoi par mail deux propositions.
Je choisi la plus grande. Elle coute plus cher mais nous laissera plus d'espace pour vivre et baiser bien sûr. Avec ses 8 chambres et sa piscine de 12m, elle remporte tous les suffrages français. En plus elle est plus près des plages intéressantes et ça je pense que ce sera idéal pour la triplette qui vient pour la première fois dans ce genre d'endroit.
Jardinier
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the surprise guest
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[Farewell vicious night. The Ancient Fire calls your name. The invisible spiral will always remember the responders to the Midnight Caller. The ones who write the stories. And to whom the stories go. Perhaps the eternal moon will rise again. Perhaps the darkness has reached its end.]
XIV - La Ville Invisible
Après être arrivé au lieu où se confondent existence et non-existence, une porte verte est apparue, invoquée là depuis les plaines pastorales de la plus ancienne Arcadie. J'ai chanté à la porte ces paroles qui précédaient les ténèbres : Daphnis ego in silvis, hinc usque ad sidera notus.
Des années de mystère m'avaient amené à ce seul paragraphe. Un voyage où, à chaque étape du chemin, j'espérais une conclusion, mais j'ai reçu davantage de questions à la place. Cette fois ne faisait pas exception.
Je l'ai répété encore et encore dans mon esprit. C'était enivrant. Ça ressemblait à une incantation pour des esprits puissants, comme écrit dans les livres. Mais les esprits ne sont jamais venus à moi. Même mes rêves avaient commencé à échapper à ma mémoire, comme l'amnésie dans une berceuse.
J'ai appris autant que possible sur la partie la plus significative du paragraphe : Daphnis ego in silvis, hinc usque ad sidera notus. Je fus Daphnis, habitant des bois, d’où mon nom s’est élevé jusqu’aux cieux. Cette épitaphe qui apparaît sur de nombreuses pierres tombales arcadiennes. Les origines mêmes de l’expression Et In Arcadia Ego. Les mots qui ont précédé les ténèbres.
J'ai appelé Mars Éditions encore et encore, personne ne répondait. Je suis allé au 12 Rue Jacob, mais l'enseigne au néon était éteinte et il n'y avait personne à l'intérieur. J'ai appelé The Library of Babel à Londres où j'ai acquis Nuit Sans Fin, sachant exactement à quoi m'attendre. C'est-à-dire pas de réponse.
Il me semblait que j'étais vraiment seul.
Dès le début, on avait eu l’impression que quelqu’un, ou peut-être l’univers, essayait de parler sans voix. Si j'étais honnête avec moi-même, aussi fou que ça puisse paraître, j'avais l'impression que Leonora elle-même essayait de me dire quelque chose. Chaque fois que j’arrivais dans une impasse, j’avais l’impression de la laisser tomber.
Cette ultime impasse n’a fait qu’intensifier mon intérêt pour cette phrase latine particulière et tout ce qui l’accompagnait. J'ai plongé non seulement dans le monde de l'épopée romaine et de la mythologie celtique, mais aussi dans celui de Leonora et d'autres artistes surréalistes. Livres, expositions, cours du soir, documentaires, tout ce que je pouvais trouver.
Je dois admettre que le rayon de ce nouvel intérêt s'est élargi de jour en jour et j'ai découvert de nouvelles avenues et de nouveaux mystères à explorer. Remedios Varo, Dorothea Tanning, Noëmi Manser, Kati Horna, Hilma af Klint, Julia Soboleva ont tous transformé ma vie en un rêve ambulant et ont ajouté une touche de magie à ma façon de penser et de voir le monde. Comme si mes yeux s'étaient ouverts sur “l'autre Paris”, l'invisible, les passages secrets entre les couches.
Malgré cela, Leonora ne m'a jamais quitté. J'ai une obligation envers elle que je n'ai pas remplie. Je ne sais pas quand, je ne sais pas comment, mais j'espère plus que tout qu'un jour je pourrai répondre à l'appel. Que si je peux enfin être là pour elle. Pour son esprit. Pour jouer mon rôle. Il y a une raison pour laquelle elle m'a trouvé, mais je ne la connais pas encore.
En attendant, je la garde dans ma vie. Dans mes rêves, en cette nuit sans fin. 𑁍
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