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Travailler tue, le stress rend malade, 5 heures de sport ou rien.
Travailler tue, le stress rend malade, 5 heures de sport ou rien. 🎙Pour écouter mon podcast : - Recherchez « la pause fitness » sur votre plateforme de podcast préférée - Ou rendez-vous en bio @fitnessmith, cliquez sur le lien, fitnessmith.fr/news puis dans « les nouveautés» - Ou rendez-vous dans votre boite mail pour les fidèles auditeurs #santétravail #stressprofessionnel #diabète #montreconnectée #santécardiaque #fitness #bienêtre #activitéphysique #cancerprofessionnel #santépublique #protectiontravail #montrésanté #sportquotidien #réductionstress #préventionsanté #modedevie #montrefitness #suiviactivité #bienêtremental #sportbienêtre #santécoeur #dangersdutravail #travailnuit #santémentale #risquesprofessionnels #protégerlasanté #montrepourlasanté #coeurensanté #hygiènedevie #vivremieux
Dans ce podcast, nous allons parler de travailler tue, le stress rend malade, 5 heures de sport ou rien. Nouveau ! Quelle est la meilleure montre connectée en ce moment Sommaire du podcast : 1. Votre travail est-il en train de vous tuer ? L’Agence nationale de sécurité sanitaire a développé une méthode rigoureuse pour identifier les procédés de travail cancérogènes afin de protéger les…
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Et voilà ouvert --enfin !-- le chapitre des économies !
A force de tergiverser (décidément la fausse Droite-à-Gauche ne sait qu'imiter la Gauche --ici, dans sa pire version, la macronique : ne jamais trancher, ne jamais regarder les choses en face, raconter et faire n'importe quoi, et claquer le fric qu'on n'a pas...), Michel Barnier à tout de même été forcé de citer deux ou trois exemples des ''économies'' (sic !) qu'il envisageait pour tenter de sortir notre pauvre France du gouffre sans fond dans lequel l'ont plongée 7 trop longues années de macronisme totalement irresponsable. (NDLR : il suffit de rappeler ici le trou de ... 52 milliards d'Euros qui avaient disparu des comptes de la Nation et que des esprits vraiment mal embouchés viennent de mettre à jour. Tout le monde s'en fout : c'est les autres !).
Pincez-moi, je rêve !... ont hurlé en chœur les victimes à venir de ces ''économies-qui-n'en-sont-pas''. Et de fait, il ne s'agit que d'éviter à tout prix de toucher aux effectifs et aux prébendes de toute forme de ''Fonction publique'', et de protéger toutes les idées à la con qui ont été imposées sous les années Hollande puis Macron, pour le plus grand malheur des français (l'exemple le plus hurlant étant celui de la chute vertigineuse des naissances qui a suivi l'épouvantable décision de Hollande --une de plus !-- de ''sucrer'' les allocations familiales à tous les ''riches'', c'est-à-dire ceux qui gagnaient de quoi vivre à peine décemment, le rêve de toute Gauche qui se respecte (on se demande pourquoi, d'ailleurs !) étant la pauvreté pour tous, au nom d'une ''égalité'' mal comprise).
Il nous a donc livré tout-à-trac le fond de sa non-pensée. Et que je te mets une pincée de pensions de retraite reportées, que je t'ajoute quelques milliers de profs en moins (au motif qu'on attendrait 123 456 élèves de moins... mais comme on est déjà en manque de profs, on pérennise ''l'excès de pas-assez'' !), que je te rogne un coup de rabot réputé indolore sur les aides au développement, que je jette une pelletée de baisses qui sont des hausses sur l'électricité et le gaz, des rabs de rognures sur le travail et l'emploi, quelques roupies de sansonnet pour accroître la diminution du budget de la santé --sans doute en ne remboursant plus la Doliprane que, au nom du Plan Macron de re-francisation de l'industrie pharmaceutique, on vend aux Ricains...
Ce cache-misère généralisé démontre certainement une grande maîtrise dans le maniement de l'énanisme --si j'ose cet horrible anagramme !-- sauf que c'est exactement le contraire, qu'on attendait ! Il était urgent d'arrêter d'emmerder les français, comme le disait si joliment le regretté Pompidou, et de taper sur la table : pour une fois que toute l'Assemblée tremble que cette dernière cartouche fasse long feu, il pouvait prendre les choses du bon côté et commencer le redressement : libérer le pays des excès des faiseurs de normes, le dégager autant que faire se peut du poids insupportable de Bruxelles et de Bercy, supprimer 95 % des Comités Théodule, les allocations à toutes les officines de blanchiment et de transport illicite des migrants, ou siffler la mi-temps en matière d'immigration, de soins gratuits, de prestations versées pour encourager les parents des racailles de nos villes, et de subvention au ennemis du genre humain...
Côté économies, je suggère (respectueusement : je ne suis qu'un vulgaire ''assujetti'' !) que l'Etat et ses représentants se mettent enfin à faire de très gros efforts sur des tas de sujets qui ne sont jamais cités dans les sources d'amélioration de la santé de la Nation : Je pense à la bêtise, par exemple ! Qui a jamais suggéré de rechercher des économies de ce côté-là ? Pourtant, je suis prêt à parier que beaucoup moins de bêtise dans nos palais nationaux ne pourrait faire qu'un bien énorme au moral des troupes. Et c'est pareil pour ce qui concerne la démagogie et le populisme de Gauche : imaginez l'amélioration --immédiatement visible et directement mesurable-- du baromètre de l'optimisme dans le pays, si les mélenchoniens semeurs de..... disparaissaient du paysage, par enchantement !
Poussant plus loin ma réflexion, je me suis mis à rêver tout éveillé : essayez d'évaluer ce que pourrait rapporter à la France un arrêt brutal de toute désinformation officielle (de toute façon, plus personne ne croit à la parole venue d'en haut !), de la mauvaise foi, et du mensonge soit électoraliste soit doctrinaire... On pourrait alors embrayer sur de gros, d'énormes, de monstrueux progrès --attendus depuis longtemps par les français-- sur le mépris, l'orgueil, l'intolérance , la malhonnêteté, la vulgarité, la manière de s'adresser aux gens normaux (que ces gens-là ne fréquentent plus depuis longtemps, Madame, au point d'avoir oublié qu'ils existaient... )
Désireux d'aider mon pays et d'apporter ma goutte d'eau aux fuites incontrôlées en cours, j'ai décidé de révéler à mes semblables (et à nos maîtres, qui auraient pu être ''bien aimés'' s'ils n'étaient pas cordialement détestés) qu'il existe une méthode, qui a nom ''la QQOQCCP'', qui prétend pouvoir répondre à la fois aux sept questions qu'on finit tous par ce poser un jour, dans cet ordre ou dans un autre : Quoi, Qui, Où, Quand, Comment, Combien, et Pourquoi... ce qui est bien reflété par le sigle de référence.
Il faut savoir qu les auteurs-inventeurs de cette méthode (qui vaut bien celle, plus sommaire, que prône Barnier) permet de (je cite, car ça ne s'invente pas !)... ''modéliser un processus ou une procédure'', d'établir le diagnostic d'un dysfonctionnement, ou d'animer une séance d'idéation'', par exemple en ''identifiant les inputs au niveau des interfaces'' (NB : et il est vrai que personne n'y avait pensé avant cette ''rupture'' !). Mais moi, je me suis demandé, en voyant à quoi passent leur temps des gens qui se croient intelligents et sont couverts de diplômes inutiles quand ils ne sont pas mortifères, (je les soupçonne d'être à l'abri du besoin grâce à de grasses subventions à vos frais et aux miens) à rechercher quelle lettre on pourrait ajouter à leur acronyme déjà imbitable.
Allons ! Laissons donc Barnier rechercher tranquillement quels ''QQOQCCP'' il va pouvoir subventionner pour que, tout changeant, rien ne bouge ! Dormez, braves gens ! ''QQOQCCP'' veille sur vous, et il ou elle a déjà trouvé la réponse : pour boucher le trou immense que nous laisse Macron en cadeau pourri, il faut et il suffit que vous mettiez la main à la poche : c'est au fond de vos fouilles que nos ''cons-fisc-ateurs'' vont trouver de quoi augmenter le budget de toutes les institutions représentatives : il ne manquerait plus que ça qu'elles se serrent la ceinture, elles ! Et puis, qe voulez-vous... n'est pas Elon Musk qui veut !
H-Cl.
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SolarTale Arc 1 - Chapitre 3 : Rencontre sous la neige
Suite au petit moment qu’elle a passée inconsciente, Chara finit par se réveiller, cependant, elle remarque par la suite qu’elle se déplaçait, elle se demande comment car ses jambes ne bougeaient pas, elle se frotte les yeux afin de les ouvrir et voit qu’elle était portée par quelqu’un.
? : Ho tu es réveillé ! Tu n'as pas trop froid ?
Elle ne reconnaissait pas cette voix et étrangement elle n’avait pas froid, elle remarque qu’elle avait des vêtements d’hiver sur elle.
? : J’ai prît soin de t’habiller pour ne pas que tu tombe malade. Au faîte moi c’est Papyrus !
Effectivement elle ne le connaît pas mais il avait l’air très gentil et d'être quelqu’un à qui on peut faire confiance.
Chara : Mhh merci, Papyrus.
La personne était un grand squelette à l’air joyeux et innocent.
Papyrus : Oh Tu a parlée, j’ai eu peur que tu ne te sentes pas bien !
Papyrus semblait réellement préoccupé par l’état de santé de la jeune humaine, il continuait de marcher sous la neige avec Chara sur son dos.
Chara : Oui je vais bien grâce à toi, où sommes nous ?
Papyrus : Et bien nous sommes dans la forêt de Snowdin, on arrivera bientôt au village.
Chara finit par se souvenir de ce qu’il s’est passé la veille, le petit squelette qui les a attaqué et la fleur qui l’a protégée
Chara : Au fait, est ce que tu sais où est Flowey ?
Papyrus : Flowey ? Je ne connais pas désolé.
Papyrus ne connaissait pas la fleur doré vivante, il eût ensuite une mine triste de ne pas pouvoir aider l’humaine.
Chara : Hé, c’est pas grave, je mènerais l’enquête !
Papyrus : Tu auras mon soutien dans tes recherches !
Chara et Papyrus finissent par arriver au village chaleureux de Snowdin. Papyrus fît une visite complète du village à Chara, joyeux de l’aider. Ils s’arrêtent devant la maison de Papyrus.
Papyrus : Et voilà, ici c’est ma maison ! J’habite ici avec mon frère et tu es la bienvenue !
Chara : Et bien merci Papyrus et tu as un frère ?
Papyrus : Oui mais il est toujours en vadrouille, trop prît par le travail..
Chara : Je vois, il faudrait que vous passiez plus de temps entre vous, je suis sûr que vous en avez besoin
Elle laisse un petit sourire à Papyrus pour le rassurer car il semblait triste que son frère ne s’intéresse pas beaucoup à lui
Chara : Papyrus ressaisit toi et parle lui ! Vous êtes frère après tout, il t’écoutera.
Papyrus : Tu as sans doute raison, on aura une petite discussion !
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#solartale#univers alternatif#solar!chara#undertale au#solartale story#solartale arc 1#undertale multiverse#solar!papyrus
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Fan fiction Ncis
Jack Sloane X OC
Un amour inattendu
Chapitre 1 : Drôle de rencontre
‖ Aucun homme n'a assez de mémoire pour réussir dans le mensonge‖ Abraham Lincoln.
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Le soleil c'était levé depuis un moment déjà et les membres de l'équipe du NCIS à savoir , Ellie Bishop, Nick Torres, Timothy Mcgee étaient dans l'open space, chacun à son bureau entrain à faire leur activités individuel avant que le NCIS n'ai une affaire.
Nick était entrain de boire son café lorsqu'une odeur peu habituel viens alors lui chatouiller le nez, le bel homme vient alors sentir son propre café afin de savoir si cela venait ou non de sa boisson et à son grand bonheur cela ne venait pas de son café il vient alors regarder ses collègues de travail avant de venir prendre la parole.
⸺ "C'est quoi cet odeur de poisson ?"
⸺ "EH c'est pas du poisson, c'est ma nouvelle recette de smoothie, c'est bon pour la santé" Dit alors Bishop montra son smoothie de couleur verte
⸺ "Bon pour la santé ? Tu veux nous faire vomir ou quoi ? Moi je connais un bon endroit pour mangé bien pour la santé. Le nouveau resto qui c'est ouvert." Annonça fièrement le beau bronzé.
⸺ "Jamais gouté"
⸺ " Ce ne serai pas pour ce midi. Nous avons une affaire." Dit alors Gibbs en arrivant discrètement dans l'open space comme à son habitude.
En effet le NCIS devait ressourdre une nouvelle affaire Emily Jones, femme Marin venait alors de faire une overdose, chose qui était très étrange puisque celons ses proches la jeune femme ne toucher jamais à cela.
Le NCIS allait avoir du mal à réglée cette affaire mais ce n'ai pas pour cela qu'il allaient laisser tomber loin de la. Après avoir prit toutes les empruntes et les indices ils étaient alors rentré au bureau afin de commençais leur investigations.
Abby avait alors fait toutes les analyses pour trouver d'où venait la drogue, ce fût rapide, c'était une drogue assez rare, transporté par un seul groupes Las Águilas. Après avoir fait des recherches poussé Ellie avait alors découvert que la personne qui passé le plus cette drogue était Katerina Alvarez. Gibbs avait alors demandais à Slaone de se servir de ses compétence pour dresser le portrait "mental" de la jeune femme, puisqu'il n'y avait presque rien sur elle. C'est donc après quelques minute que Gibbs alla au bureau de sa très bonne amie afin d'avoir des informations.
⸺"J'espère que tu vas me donner de bonne nouvelle Jack." Dit alors Gibbs en s'asseyant face à Sloane.
⸺ "C'est vrais que s'a m'aurait arrangé qu'il y'ai plus de choses sur elle. Cela dit j'ai dresser un pseudo portrait."
⸺ "Je t'écoute."
⸺ "Elle as fait de la prison pour vente de stupéfiant, mais n'a jamais rien dit sur le trafique. Elle as toujours favorisé le fait de se taire par loyauté. Quand tu vas l'interrogée montre lui que tu comprend le coté loyal, le coté famille. Je ne suis pas sur quelle face tout cela par plaisir."
⸺ " Très bien beau travail."
Gibbs commença alors à avancé vers la porte de sortit du bureau avant de venir se retourner, il savait que Sloane adorée être présente lors que interrogatoire de plus cela les aidées énormément il ne fallait pas être de mauvaise fois. C'est donc pour cela que Gibbs prononça les mots suivant. "Quand elle sera en salle d'interrogatoire, tu sera en salle de visionnage." avant de quitter le bureau de la belle blonde.
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La femme que le NCIS rechercher à savoir Katerina Alvarez , était dans le QG du groupe, elle y était seule avec un certain Pedro Largos, un jeune homme de 25 ans à peu prêt, il fallait être honnête, Katerina savait pour la femme morte mais elle ne savait pas du tout qui l'avais tuer, enfin elle savait que Pedro aller être le future suspect compte tenu du fait que c'est lui qui avait forcé la femme à ingurgiter toute cette drogue mais ne savait pas sous l'ordre de qui.
⸺ "Je peut savoir quelle mouche ta piquer ? Tuer une femme innocente, de la Marin en plus.." Dit alors furieusement la belle Katerina
⸺ "Je sais!"
⸺ "Non tu ne sais pas ! Tu ne sais pas dans quel merde tu t'ai mise"
⸺ "J'ai pas eu le choix." Ce défendis le jeune homme.
⸺ "Qui t'a donnée l'ordre?" Demanda alors la belle brunette.
⸺ "Je peux rien dire il vas me tuer."
⸺ "Je ne vais pas le répété une seconde fois." Affirma la belle femme avec un regard plus que menaçant.
⸺ "Arrête Kat tu me fait peur.."
La jeune femme était plus que toucher par ce meurtre, pour une raison plus que personnel, en réalité la jeune femme n'était pas vraiment ce qu'elle prétendais être, oui elle se nommait en réalité Sederica Reyes et elle était un agent infiltrer du FBI. Bien sur sa couverture était plus que secrète et devait être bien gardé. Lorsque la jeune femme entendis alors des voitures se rapprocher du bâtiment elle compris, la belle brune viens alors poser son regard sur le jeune homme avant de lui ordonnée de partir, choser que le jeune homme décida de ne pas faire.
Le NCIS entra dans la maison avant de venir mettre en êtas d'arrestation les deux personnes dans cette maison. Sederica alias Katerina lâcha un fin soupire, sa mission venait de prendre un tournant quelle n'avais vraiment pas prévus, une chose était sur, était le fait quelle devais gardais sa couverture secrète si elle ne voulait pas se faire vir��e.
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Katerina étaient dans la salle d'interrogatoire du NCIS, elle était seule dans une pièce assise face à la vitre teinté, elle savait ce qui aller ce passé et elle allait devoir faire face, elle allait devoir mentir dans les yeux une chose qui était devenu si facile avec le temps.
Nick Ellie et Slaone eux était dans la pièce d'en face, de l'autre coter de cette fameuse vitre , ils allaient écouter l'interrogatoire que Gibbs allé mener, Nick regarda alors la belle femme qui se trouver face à lui même si elle, ne pouvait pas le voir, après avoir pousser un long soupire il prit alors la parole.
⸺ "Pourquoi c'est toujours les femmes les plus sexy les méchantes dans l'histoire ?"
⸺ "Roh je t'en prit Nick." Soupira alors Bishop
⸺ "Ba quoi c'est vrais.."
⸺ " Pas tout le temps, mais c'est vrais que le cerveaux des hommes on tendance à retenir que se qui leur arrange" Taquina Sloane
⸺ "Non mais regardais la et osé me dire le contraire."
⸺ "Peut être mais là n'ai pas la question, on à un meurtre à ressourdre."
Tous arrêtèrent de parler lorsque Gibbs entra en salle d'interrogatoire.
Gibbs vient alors regardais la femme face à lui dans les yeux avant de venir poser sur la table les photo de la femme morte, Katerina les regardas avant de venir poser son regard sur l'homme.
⸺ "Je n'ai pas tuer cette femme." Affirma la belle brune
⸺ "Vous êtes celle qui vend la drogue. Nous avons un liens direct avec vous et la gang pour qui vous travaillez."
⸺ "Et vous voulez une médaille pour ça ?"
⸺ "Non. Je veux la justice." Ris alors Gibbs
⸺ "Je n'ai pas tuer cette femme, je ne suis pas au courant de qui à tuer cette femme.. C'est la vérité."
⸺ "Ce n'ai pas ce que votre collègue Pedro à dit."
Suite à ses mots Gibbs donna la déposition écrite à la main à Katerina. La belle fût sous le choque, elle n'avait vraiment rien à voir avec tous cela. Elle viens alors regardais l'agent qui se trouver face à elle, elle ne le connaissait pas personnellement mais elle savait très bien qui il était. Elle viens alors prendre une grande inspiration, elle devait lui faire comprendre quelle était de la maison sans vraiment le dire.
⸺"Cet hiro de puta ment."
⸺ "Malheureusement c'est ses paroles contre les vôtres. Le plus offrant rapporte le gains, comme vous dites."
⸺ "La seule chose que j'ai à vous offrir agent spécial Jethro Gibbs, c'est le bonjour de votre amis Tobias."
Ce fût à ce moment précis que tous furent surprit et Gibbs comme tout le reste de l'équipe d'ailleurs avait vue cela comme une menace, Jack qui commencé a connaitre Gibbs viens alors entrée dans la salle d'interrogatoire se mettant au coter de Gibbs qui venait de se lever posant ses mains brutalement sur la table
⸺"Gibbs..." Dit alors Sloane
⸺ "J'espère pour vous qu'il n'a rien." Menaça alors Gibbs
⸺ "Si vous preniez cinq minutes pour téléphoner à votre amis et lui dire code 564 vous comprendriez surement une chose que je ne peut pas vous dire."
Sloane et Gibbs se regardèrent ce demandant tout deux ce qui pouvais bien se passé en réalité, Gibbs plongea son regard bleu ciel dans celui noisette de la jeune femme, il�� doutait fortement de ses mots, mais au fond de lui sans même savoir pourquoi il croyait en ce quelle venait de lui dire ,et c'est pour cette raison et uniquement cette raison que Gibbs téléphona à Fornell qui lui affirma que la belle Katerina était en réalité un agent sous couverture.
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Lorsque Fornell eu alors donnée à Gibbs l'information importante sur la situation actuelle, Gibbs Sloane et Sederica se sont alors dirigé vers le bureau du directeur. La belle jeune femme était entre Gibbs et Sloane et elle devait bien avouer que c'était assez gênant comme situation. Elle ne bouger pas, elle avait le regard fixe sur le directeur Vance ce demandent ce qui aller se passé pour elle, Gibbs lui se demandais si Sederica allait pouvoir les aidée face à cette enquête, il espérait une chose c'était que lorsque Léon eut fini sa conversation téléphonique avec le directeur du FBI il leur apporte de bonne nouvelle. Sloane elle ne bougé pas elle prit une grande inspiration et sentis alors immédiatement l'odeur du parfum de la belle brune, vanille monoï une odeur très délicate qui lui rappelais alors l'été.
Très vite la belle blonde secoua la tête se demandant se qui venait alors de ce passé avant de poser son regard sur Léon le remerciant di regard d'avoir fini sa conversation qui devenait interminable.
⸺ "Votre directeur admire la façon dont vous avez procédé pour ne pas nous dire de vous même qui vous étiez... mais je craint qu'il sois tout de même très en colère." Annonça Léon
⸺ "Il est toujours très en colère. Je m'en sortirai..."
⸺ "Il semble que vous aillez des informations qui pourrai nous aider.."
⸺ " Tous ce que je sais c'est le nom de chaque membre, Pedro aller me dire qui lui avait ordonné de tuer cette pauvre femme avant que vos agents ne vienne m'arrêter." Dit alors Sederica levant les yeux au ciel
⸺ "Si le FBI nous avez contacté on en serai pas la." Dit alors Gibbs en colère de la perte de temps qu'il y à
⸺ "J'y suis pour rien moi si vous avez une mauvaise communication entre vous."
⸺ "Très bien je pense qu'on devrai ce concentré sur comment géré la suite.." Dit alors Sloane essayant de calmer la situation
La belle brune posa son regard sur Sloane, elle se demandais comment elle arrivait à être si douce, Sederica viens alors regardais Gibbs puis Leon ce qu'il fallait au NCIS était le nom de l'homme qui avait ordonné le meurtre de la pauvre femme. Sederica savait parfaitement que sa couverture aller être griller et que à la fin de cette enquête elle n'aurai plus son poste, elle connaissait son patron par cœur. Elle vient alors prendre une grande inspiration avant de venir prendre la parole.
⸺ "Laisser moi faire son interrogatoire, je vous garantis qu'il finira par me dire qui à donné l'ordre."
⸺ "Un interrogatoire dans les règles ?"
⸺ "Madame douceur n'a cas venir avec moi si vous croyez que je pourrai finir par le tuer."
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Le reste de l'équipe avaient été mit au courant pour la vraie identité de la belle Sederica ce qui d'ailleurs avait fait sourire le beau Colombien. Sederica était avec Sloane dans la salle d'interrogatoire, lorsqu'elles arrivèrent dans cette fameuse salle, Pedro ce leva, il voulait s'expliqué avec Sederica, lui expliqué le pourquoi du comment, mais il n'en à pas eu le temps.
A bonne distance de l'homme, Sederica viens alors lui mettre son poing dans la figure avant de lui dire de s'asseoir .
⸺ "Je ne vais pas y aller par quatre chemin, tu vas me dire qui t'a donner l'ordre."
⸺ "Sinon quoi ? Et puis depuis quand tu es du coter de la police ?"
⸺ "Je pense que vous devriez répondre à sa question"
⸺ "Sinon quoi connasse ?"
Ce fut le mots de trop, la belle Sederica ne voulais pas en entendre plus, voir comment il venait de manquer de respect à Sloane cela ne lui avait vraiment pas fait plaisir, c'est pour cette raison que Sederica viens alors poser son regard sur Sloane avant de venir reprendre la mains sur l'interrogatoire.
⸺ "En fait, tu as deux solutions, sois tu ferme ta gueule et dans ce cas là c'est toi qui fini en prison, mais pas n'importe laquelle, je ferai en sorte que tu finisse dans la pire prison, tu suppliera chaque jour de mourir tellement les souffrance seront horrible. Ou alors tu ouvre ta bouche et tu sera dans une prison dite correct.
⸺ "Tu es vraiment una puta"
⸺ "La reina de puta por favor. Maintenant tu choisi quoi ?"
⸺ "Très bien. C'est Marcus Trager qui m'a payer pour le faire, je devais payer l'hopitale pour ma soeur j'avais pas les sous .."
Sederica regarda alors l'homme avant de ce lever, elle viens alors lui dire "Sa je m'en fiche, je voulais un nom, pas l'histoire de ta vie." oui , la belle très en colère de la situation de la façon dont Pedro avait agit. Lorsque la belle viens alors se lever, Sloane l'a suivis avant de venir prendre la parole.
⸺ "Bien joué Icy Girl"
Ce qui eut pour effet de faire sourire la belle brunette.
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Le NCIS avaient eut la joie d'arrêter le tueur, Leon avait passé quelques minute avec Sloane pour savoir ce quelle pensais de Sederica pour la mettre dans l'équipe et ce qui était alors parfait a été le fait quelle valide l'idée tout comme Gibbs avait alors donnée lui aussi sa validation.
Léon à donc convoqué la belle brune dans son bureau pour lui faire part de la bonne nouvelle.Sederica elle ne savait pas les raisons de sa convocation et pour être honnête elle avait plutôt envie de fuir ce moment elle savait que son patron l'avait virée, et dans un sens elle comprenait mais elle ne regretter pas ce quelle avait fait. La justice avait gagné et c'est tout ce qui était important. Les deux criminels étaient hors êtas de nuire et c'est parfait.
Une fois arrivé au bureau du directeur Vance la belle vient alors regarder les trois personne qui se trouvaient à l'intérieur avant de venir prendre la parole.
⸺ "J'ai comme une impression de déjà vue."
⸺ "C'est pour la bonne cause." Dit alors jack
⸺ "Mon ancien directeur ma déjà fait la moral..."
⸺ "Et votre future directeur vous félicite d'avoir obtenu un nom." Annonça Léon un fin sourire au lèvre.
⸺ "Si bien sur vous acceptez le poste. Parcontre il faut savoir que si vous dites oui, vous allez devoir voir Sloane dans le cadre de rendez vous professionnel comme chaque membre de mon équipe." Affirma alors Gibbs.
⸺ "Si ce n'ai que ça, j'accepte."
‿︵‿︵ʚɞ『FIN』ʚɞ‿︵‿︵
Et voilà c'est la fin de ce chapitre, j'espère que vous avez appréciés.
Si vous avez des idées pour la suite ou même un avis qu'il sois positif ou négatif, je prend avec plaisir.
Merci d'avoir lue et à bientôt.
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Voici les membres du gouvernement de Gabriel Attal 11 janvier 2024 07h40
Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur
Eric Dupond-Moretti, ministre de la Justice
Bruno Le Maire, ministre de l’Economie
Amélie Oudéa-Castéra, ministre de l’Education nationale, de la Jeunesse, des Sports, des Jeux olympiques et paralympiques
Stéphane Séjourné, ministre de l’Europe et des Affaires étrangères
Rachida Dati, ministre de la Culture
Sébastien Lecornu, ministre des Armées
Catherine Vautrin, ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités
Marc Fesneau, ministre de l’Agriculture
Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique
Sylvie Retailleau, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche
Sont nommées ministres déléguées auprès du premier ministre:
Prisca Thévenot, chargée du renouveau démocratique, porte-parole du gouvernement
Marie Lebec, chargé des relations avec le Parlement
Aurore Bergé, chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations
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🇫🇷Hello les amoureux du tire-bouchon. Et vous, quel est votre dernier Pessac-Léognan blanc que vous avez dégusté ? 🇫🇷
🍇🍷AOP Château Brown 2021 Pessac-Léognan blanc de @chateaubrown 🍇🍷:
🍇 :
68% Sauvignon blanc
32% Sémillon
🏺:
Élevage sur lies fines, par lots séparés
jusqu’à assemblage final
100% en barriques de chêne français pendant 8 mois. (50% barriques neuves, 50% barriques d’un vin). Bâtonnage régulier
Age moyen des vignes : 15 ans
🌿:
HVE
💰:
33,00€ / bouteille
👁️ :
Une robe de couleur jaune clair brillant
👃 :
Un nez d'une belle délicatesse sur des notes de fruits exotiques, pain toasté.
💋 :
En dégustant ce vin, on est enveloppé par sa douceur et sa richesse. Les papilles sont caressées par des saveurs d'ananas juteux, de pêche sucrée et d'abricot délicieux. L'élevage subtil se fond harmonieusement, sans prendre le dessus. Une sensation agréable persiste en bouche, avec une finale qui offre une tension délicieuse, révélant des nuances de noisettes et d'amandes grillées.
📜En résumé📜 :
Un fabuleux Pessac-Léognan blanc qui emmène les papilles en voyage avec ses notes fruitées et sa finale d'une tension exquise. Une merveilleuse découverte qui enchante les sens.
🧆Dégusté sur une Blanquette de veau 🧆.
🍷Quelques accords mets et vin possible avec cette cuvée🍷 : Blanquette de cabillaud, Asperges au saumon fumé, Bouchées à la Reine aux ris de veau, Coquilles Saint Jacques,......
📌N'oubliez pas, boire un canon c'est sauver un vigneron📌.
🔞« L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération »🔞.
La plupart des vins ont été dégustés et recrachés. Dégustation non rémunéré.
#lesdegustationsugo #wine #winelover #vino #winetasting #winetime #winelovers #instawine #redwine #winestagram #winery #beer #wineoclock #vin #sommelier #love #vinho #foodporn #winelife #instagood #whitewine #cocktails #drinks #wein #foodie #wineporn #drink
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🇫🇷🗣️Description du Domaine 🇫🇷🗣️
Une conduite du vignoble digne de celle d’un cru classé, avec une viticulture soignée, pour des vins constants et précis, « haute-couture », telle est la philosophie du Château BROWN. Selon Jean-Christophe Mau, « 90% du potentiel d’un millésime se fait sur le vignoble ». Il lui est primordial d’être présent à chaque étape de l’élaboration de ses vins.
Le travail de la vigne s’enrichit d’année en année des nouveaux savoir-faire apportés par chacun des membres de l’équipe, notamment Bruno Patrouilleau – directeur technique – fort de son expertise d’une vingtaine d’années, qui assiste Jean-Christophe dans sa recherche d’exigence et sa volonté forte de produire des vins « ambitieux ».
Le Château Brown, engagé activement depuis 2012 dans une démarche de lutte raisonnée, a intégré progressivement le SME (Système de Management Environnemental) dans sa gestion quotidienne.
Le Château Brown s’est par la suite logiquement engagé dans le processus de la certification HVE, qu’il a obtenu en janvier 2018.
Désireux d’aller encore plus loin afin de créer et développer un véritable écosystème naturel, le Château Brown a mis en place plusieurs actions favorisant la biodiversité sur le domaine telles qu’une utilisation très réduite de produits phytosanitaires et la pratique des couverts végétaux dans les vignes, mais aussi en bordure du vignoble avec l’installation de ruches, d’une ferme florale, ou encore la mise en place d’abris à chauve-souris et nichoirs à mésanges…
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🇫🇷Français dans les commentaires🇫🇷🇮🇹Italiano nei commenti 🇮🇹
🇺🇸Hello corkscrew lovers. And you, what is your last white Pessac-Léognan that you tasted ?🇺🇸
🍇🍷AOP Château Brown 2021 Pessac-Léognan white from @chateaubrown 🍇🍷:
🍇:
68% Sauvignon blanc
32% Semillon
🏺:
Aging on fine lees, in separate batches
until final assembly 100% in French oak barrels for 8 months. (50% new barrels, 50% wine barrels). Regular stirring. Average age of vines: 15 years
🌿:
HVE
💰:
€33.00 / bottle
👁️:
A bright light yellow dress
👃:
A beautifully delicate nose with notes of exotic fruits and toasted bread.
💋:
When tasting this wine, we are enveloped by its sweetness and richness. The taste buds are caressed by flavors of juicy pineapple, sweet peach and delicious apricot. The subtle aging blends in harmoniously, without taking over. A pleasant sensation persists on the palate, with a finish that offers delicious tension, revealing nuances of hazelnuts and toasted almonds.
📜In summary📜:
A fabulous Pessac-Léognan white that takes the taste buds on a journey with its fruity notes and its exquisitely tense finish. A wonderful discovery that delights the senses.
🧆Tasted on veal blanquette 🧆.
🍷Some food and wine pairings possible with this vintage🍷: Cod blanquette, Asparagus with smoked salmon, Bouchées à la Reine with sweetbreads, Scallops,......
📌Don't forget, drinking a barrel is saving a winegrower📌.
🔞“Alcohol abuse is dangerous for your health, consume in moderation”🔞.
Most of the wines have been tasted and spit out. Unpaid tasting.
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🇬🇧🗣️Domain Description 🇬🇧🗣️
Vineyard management worthy of that of a classified growth, with careful viticulture, for consistent and precise, “haute-couture” wines, such is the philosophy of Château BROWN. According to Jean-Christophe Mau, “90% of the potential of a vintage is made in the vineyard”. It is essential for him to be present at each stage of the development of his wines.
The work in the vineyard is enriched year after year with new know-how brought by each member of the team, in particular Bruno Patrouilleau – technical director – with his twenty years of expertise, who assists Jean -Christophe in his quest for high standards and his strong desire to produce “ambitious” wines.
Château Brown, actively engaged since 2012 in a reasoned control approach, has gradually integrated the EMS (Environmental Management System) into its daily management.
Château Brown then logically embarked on the HVE certification process, which it obtained in January 2018.
Eager to go even further in order to create and develop a true natural ecosystem, Château Brown has implemented several actions promoting biodiversity on the estate such as a very reduced use of phytosanitary products and the practice of plant cover in the areas. vines, but also on the edge of the vineyard with the installation of beehives, a flower farm, or the installation of bat shelters and tit boxes…
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🇮🇹Ciao amanti dei cavatappi. E tu, qual è l'ultimo Pessac-Léognan bianco che hai assaggiato ? 🇮🇹
🍇🍷AOP Château Brown 2021 Pessac-Léognan bianco di @chateaubrown 🍇🍷:
🍇:
Sauvignon bianco 68%.
32% Semillon
🏺:
Affinamento sulle fecce fini, in lotti separati
fino all'assemblaggio finale 100% in botti di rovere francese per 8 mesi. (50% botti nuove, 50% botti di vino). Agitazione regolare
Età media delle viti: 15 anni
🌿:
HVE
💰:
€ 33,00/bottiglia
👁️:
Un abito giallo chiaro brillante
👃:
Un naso meravigliosamente delicato con note di frutta esotica e pane tostato.
💋:
Degustando questo vino, veniamo avvolti dalla sua dolcezza e ricchezza. Le papille gustative sono accarezzate dai sapori di succoso ananas, dolce pesca e deliziosa albicocca. Il sottile invecchiamento si fonde armoniosamente, senza prendere il sopravvento. Al palato persiste una piacevole sensazione, con un finale che offre una deliziosa tensione, rivelando sfumature di nocciole e mandorle tostate.
📜In sintesi📜:
Un favoloso bianco Pessac-Léognan che accompagna le papille gustative in un viaggio con le sue note fruttate e il suo finale squisitamente teso. Una meravigliosa scoperta che delizia i sensi.
🧆Degustato su blanquette di vitello 🧆.
🍷Alcuni abbinamenti enogastronomici possibili con questa annata🍷: Blanquette di merluzzo, Asparagi con salmone affumicato, Bouchées à la Reine con animelle, Capesante,......
📌Non dimenticare, bere una botte salva un viticoltore📌.
🔞“L'abuso di alcol è pericoloso per la salute, consumalo con moderazione”🔞.
La maggior parte dei vini sono stati degustati e sputati. Degustazione non retribuita.
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🗣️🇮🇹Descrizione i Dominio 🗣️🇮🇹
Una gestione del vigneto degna di una coltivazione classificata, con una viticoltura attenta, per vini coerenti e precisi, “haute-couture”, questa è la filosofia di Château BROWN. Secondo Jean-Christophe Mau, “il 90% del potenziale di un'annata si realizza in vigna”. È essenziale per lui essere presente in ogni fase dello sviluppo dei suoi vini.
Il lavoro in vigna si arricchisce anno dopo anno di nuove conoscenze apportate da ciascun membro del team, in particolare Bruno Patrouilleau – direttore tecnico – con la sua esperienza ventennale, che assiste Jean -Christophe nella sua ricerca di standard elevati e il suo forte desiderio di produrre vini “ambiziosi”.
Château Brown, impegnato attivamente dal 2012 in un approccio di controllo ragionato, ha gradualmente integrato il SGA (Sistema di Gestione Ambientale) nella sua gestione quotidiana.
Château Brown ha quindi logicamente intrapreso il processo di certificazione HVE, che ha ottenuto nel gennaio 2018.
Desideroso di andare ancora oltre per creare e sviluppare un vero ecosistema naturale, Château Brown ha attuato diverse azioni che promuovono la biodiversità nella tenuta, come un uso molto ridotto di prodotti fitosanitari e la pratica della copertura vegetale nelle zone viticole ai margini del vigneto con l’installazione di alveari, una fattoria dei fiori, o l’installazione di rifugi per pipistrelli e cinciallegre…
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Découvrez Puppy Vallée de Quezacs et les éleveurs de chiens distingués en France
Au cœur de la France, là où l'amour des compagnons canins se conjugue à l'expertise de dévoués éleveurs de chiens, Vallée de Quezacs se profile comme une référence distinguée dans le domaine de l'élevage canin. Le périple pour trouver le chiot parfait devient une expérience enchantée lorsqu'il est guidé par les principes de Vallée de Quezacs et la riche tradition de l'élevage canin dans le pays.
Chiot Vallée de Quezacs : Une Promesse de Compagnie
Pour ceux en quête d'un compagnon à quatre pattes avec qui partager leur vie, l'expression chiot Vallée de Quezacs évoque une promesse de compagnie et de qualité inégalée. Vallée de Quezacs, renommée pour son engagement envers des pratiques d'élevage éthiques et responsables, introduit une nouvelle norme dans le monde de l'élevage de chiots.
Chiot Vallée de Quezacs représente bien plus qu'un simple animal de compagnie ; il incarne l'engagement de veiller à ce que chaque chiot soit élevé avec soin, amour et attention aux détails. Le programme d'élevage de la Vallée de Quezacs est conçu pour produire non seulement des chiots en bonne santé et heureux, mais aussi des individus qui s'intègrent parfaitement dans les familles, apportant joie et chaleur à leur nouveau foyer.
Éleveurs de Chiens en France : Élever l'Élevage Canin au Rang d'Art
Dans le paysage culturellement riche de la France, les éleveurs de chiens, ou éleveurs de chiens, jouent un rôle crucial dans la préservation et la valorisation de l'héritage de diverses races canines. La Vallée de Quezacs figure fièrement parmi les éleveurs de chiens distingués du pays, contribuant à la tapisserie culturelle en alliant expertise et passion pour les chiens.
L'élevage de chiens en France n'est pas simplement une pratique ; c'est une forme d'art. Les Éleveurs, dont Vallée de Quezacs, sont reconnus pour leur engagement envers le bien-être des animaux, le respect des standards de race et la promotion de pratiques d'élevage responsables. Le résultat est un héritage de chiens exceptionnels qui incarnent les caractéristiques et les traits uniques de leurs races respectives.
Choisir un Chiot : La Différence Vallée de Quezacs
Lorsque l'on se lance dans le choix d'un chiot, la sélection du bon éleveur devient primordiale. Vallée de Quezacs se distingue par un processus de sélection minutieux, garantissant que chaque chiot naît et grandit dans un environnement stimulant. Le programme d'élevage met l'accent sur la santé, le tempérament et la préservation des qualités spécifiques à la race.
Les futurs propriétaires de chiens travaillant avec Vallée de Quezacs peuvent s'attendre à des conseils et un accompagnement personnalisés tout au long du processus de sélection. De la compréhension des besoins de chaque famille à la mise en relation avec le chiot le plus adapté, Vallée de Quezacs s'efforce de créer des liens durables entre les humains et leurs compagnons à quatre pattes.
Un Héritage d'Excellence
Alors que Vallée de Quezacs continue de contribuer à l'héritage de l'élevage de chiens en France, elle demeure engagée à respecter les normes les plus élevées en matière d'élevage de chiens. L'entreprise envisage un avenir dans lequel chaque chiot représente non seulement les plus belles qualités de sa race, mais aussi le lien durable entre les chiens et leurs compagnons humains.
Pour ceux qui recherchent un chiot Vallée de Quezacs, ou qui explorent le riche monde de l'élevage de chiens en France, le voyage est un périple de découverte et de joie. Vallée de Quezacs invite les futurs propriétaires de chiens à découvrir la différence : là où la tradition rencontre l'innovation, et où l'art d'élever des chiens d'exception devient un effort partagé entre éleveurs et familles.
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«Il fait trop chaud pour travailler», disait la publicité dans les années 90. D’accord, mais à part boire un Pulco, on fait quoi ? Alors que les phases caniculaires tendent à se répéter année après année, la question est sérieusement posée. Car face à un code du travail pour le moins discret, la documentation du risque se fait de plus en plus abondante. L’Institut national de recherche et de sécurité (INRS), spécialisé dans la prévention des risques au travail, estime qu’«au-delà de 30°C pour une activité sédentaire, et 28°C pour un travail nécessitant une activité physique, la chaleur peut constituer un risque pour les salariés».
Or, depuis quelques étés, ces températures virent au banal en extérieur. A partir de ce jeudi 17 août et pour plusieurs jours, des températures très élevées devraient ainsi s’installer sur une bonne partie du pays, avec des pointes à 40°C attendues dans le Midi.
Le secteur du bâtiment parmi les plus exposés
Les métiers concernés sont nombreux, et leurs effectifs considérables. Selon l’enquête «Sumer», menée par la direction de la recherche du ministère du Travail, près de 1,5 million de salariés «travaillent au chaud» – soit plus 24°C – et 3,6 millions travaillent en extérieur. Mais ils sont près de 9,7 millions de travailleurs à se dire incommodés par la chaleur dans leur activité professionnelle, selon l’enquête «Conditions de travail» menée par la même Dares.
Au final, on estime donc que 14 à 36 % des salariés sont soumis à la chaleur dans leur activité professionnelle. [...] Dans l’enquête Conditions de travail, plus de 80% des ouvriers qualifiés des travaux publics, du béton et de l’extraction disent subir un «inconvénient du travail lié à une température élevée».
Des conséquences sur le stress, la fatigue et la concentration
Dans la construction de routes par exemple, «on réceptionne le matériau entre 160 et 180°C, et on a les pieds dessus», explique Frédéric Mau, secrétaire fédéral de la CGT Construction. «Quand il fait 33°C au thermomètre, nous au sol on est déjà à 45°C.» La proportion est similaire chez les jardiniers et les maraîchers, et dépasse les 70 % chez les agriculteurs, les sylviculteurs et les bûcherons.
Les conséquences de la chaleur sur la santé des travailleurs sont connues. En premier lieu, ceux-ci subissent «un “stress thermique” qui favorise la fatigue, voire l’épuisement, et diminue un certain nombre de capacités : baisse de la vigilance et de la concentration, moindre qualité de traitement des informations, augmentation des temps de réaction, vision troublée, nervosité et modification de l’humeur, etc.», liste France Stratégie dans une note d’analyse publiée fin juin.
Mais il y a aussi des conséquences indirectes : «Dans le secteur manufacturier, une étude récente a montré qu’à partir de sept jours de température située au-dessus de 35°C, une augmentation de 5 % d’absentéisme est observée», relève France Stratégie, en soulignant que «les réorganisations en “flux tendu” qui en découlent peuvent ensuite favoriser une intensification du travail avec toutes les conséquences que cela peut produire en matière de santé».
Une aggravation des inégalités sociales
A quoi s’ajoute une réalité sociologique : bien souvent, les travailleurs concernés souffrent d’autres facteurs aggravants «liés à leurs conditions de vie». Ainsi, ils vivent plus que d’autres dans des logements mal isolés, eux-mêmes situés dans des quartiers éloignés de leur lieu de travail, qui peuvent être une «zone urbaine délaissée et touchée par le phénomène de l’îlot de chaleur urbain». [...]
Et les solutions parfois adoptées par les entreprises, comme une adaptation des horaires pour faire démarrer les chantiers aux aurores, souffrent de certains revers : en faisant se lever les salariés au moment le plus frais de la nuit, donc lorsque leur sommeil pourrait être le plus réparateur, on prend le risque de les fatiguer davantage, font valoir des syndicats.
Pouvoir moins travailler pendant les épisodes de chaleur
Le code du travail est-il suffisamment garni pour répondre à cette situation ? Non, estiment des partis politiques de gauche. Dans un «plan d’urgence pour passer l’été» présenté en cet été, Europe Ecologie-les Verts plaide pour introduire dans le code du travail «la possibilité d’exercer son droit de retrait lorsque la température est d’au moins 33°C». A LFI, les députées Mathilde Panot et Caroline Fiat ont, elles, déposé une proposition de loi contenant quelques évolutions législatives.
Certaines sont liées à l’activation des niveaux de vigilance météorologique : un temps de travail journalier qui ne peut excéder six heures en cas de vigilance orange (niveau 3), une obligation pour l’employeur de prendre «les mesures nécessaires pour permettre aux travailleurs d’arrêter temporairement leur activité sans perte de salaire» en cas de vigilance rouge (niveau 4). Et, dès lors que la température dépasse 28°C sur le lieu de travail en extérieur, un droit à des pauses plus longues et plus régulières sans perte de salaire.
L’exemple du «chômage intempérie»
Côté syndical, toutes ces idées ne sont pas accueillies de la même manière. Pour Frédéric Mau, de la CGT, la proposition écolo d’un droit de retrait à partir de 33°C constitue en réalité un recul : «Le droit de retrait est déjà dans le code du travail, à l’initiative du salarié quand il s’estime en danger. Le fait d’inscrire une température réduit ce droit !» [...]
En revanche, une idée qui figure dans la proposition de LFI semble emporter une forme d’unanimité, y compris patronale. Ce qui n’était pas forcément évident au départ [...]. Cette idée consiste à faire évoluer le dispositif du «chômage intempérie» dont s’est doté le secteur du BTP dans les années 50 pour, à l’époque, minimiser les frais en cas d’arrêt des chantiers pour cause de pluie, de tempête ou de neige. Proche du chômage partiel, la formule consiste en une indemnisation du salarié privé de travail à hauteur d’environ 75% de son salaire brut, tandis que l’employeur est lui-même indemnisé par une caisse abondée par des cotisations émanant des entreprises du BTP.
«Depuis 2004, le régime de chômage intempéries du BTP a mis en place une commission canicule qui indemnise au cas par cas, mais ce n’est pas généralisé», explique Sophie Sebah, directrice des relations du travail et de la protection sociale à la Fédération nationale des travaux publics (FNTP).
Début mai, les quatre branches du secteur, dont la FNTP et la plus puissante encore Fédération française du bâtiment (FFB) ont donc écrit au ministre du Travail, Olivier Dussopt, pour lui demander que la canicule soit intégrée parmi les risques climatiques permettant d’activer le «chômage intempéries». Même si «cela ne peut pas constituer l’alpha et l’omega», l’idée est accueillie favorablement par la CGT… «en attendant les transformations de fond», précise Frédéric Mau. Qui prévient, en écho à la dernière réforme des retraites : «Quand on fera travailler des gens de 64 ans par 50°C, le Covid et ses 150 000 morts apparaîtront comme une blague à côté de ce qui se passera.»
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17 septembre 2023 | Par Caroline Coq-Chodorge
Le psychiatre Mathieu Bellahsen dénonce, dans le livre « Abolir la contention », la banalisation de cette pratique en psychiatrie, présentée comme un soin, alors qu’elle consiste à attacher les patients. À ses yeux, elle relève d’une « culture de l’entrave », un penchant naturel de la psychiatrie, qui exige des contre-pouvoirs.
« Abolir la contention », c’est la proposition du psychiatre Mathieu Bellahsen, dans un livre qui vient de paraître. Elle est provocatrice tant cette pratique – qui consiste à immobiliser, en les attachant, les patientes et les patients jugé·es trop agité·es – est répandue : en psychiatrie, dans les Ehpad ou aux urgences. En 2021, 10 000 personnes auraient subi une contention en établissement psychiatrique, un chiffre très en-deça de la réalité puisque ces pratiques ne sont pas toujours déclarées. Régulièrement, la contrôleuse générale des lieux de privation épingle des établissements de santé pour des atteintes aux droits humains dans leur pratique de la contention.
Pour le Dr. Bellahsen, ces pratiques relèvent d’une culture de l’entrave, une autre forme de culture de la domination, propre à la psychiatrie. Il affirme que la contention n’est pas indispensable : il l’avait bannie dans le pôle qu’il a dirigé à l’hôpital de Moisselles (Val-d’Oise). Environ 15 % des établissements psychiatriques n’y auraient pas recours. Mais loin d’être encouragés pour leurs bonnes pratiques, ils sont souvent sanctionnés ou menacés.
Pour écrire votre livre, vous avez recueilli les témoignages de personnes qui ont vécu la contention. Ils décrivent tous une expérience violente, douloureuse, traumatisante, qui a parfois brisé toute confiance dans l’institution psychiatrique. Ces récits vous ont-ils surpris ?
Mathieu Bellahsen : J’ai souhaité apporter ma pierre à l’édifice, sur un point qui n’est jamais abordé : comment se passe-t-on de ces pratiques ? Ma femme [la psychiatre Loriane Bellahsen – ndlr] m’a soufflé l’idée des témoignages, car c’est ce à quoi nous œuvrons depuis longtemps : que les premiers concernés prennent la parole, pour sortir de l’ordinaire de la psychiatrie, écrite par ceux qui ont le pouvoir… Et cela a été permis par les associations HumaPsy, Comme des fous et le Cercle de réflexion et de proposition d’actions sur la psychiatrie (CRPA).
Cette culture de l’entrave est un penchant naturel de la psychiatrie, qui se développe quand les conditions politiques y sont favorables.
Je savais que la contention était une expérience traumatique. En premier lieu pour les patients et aussi pour certains soignants. Ce qui m’a frappé, c’est à quel point les récits de ces violences ressemblent aux récits des violences sexuelles, de viol, d’inceste. On est sur un lit, attaché, des gens nous font des choses et on ne peut pas se défendre. Pour des personnes qui ont vécu des violences sexuelles – et elles sont nombreuses en psychiatrie – l’expérience de la contention réactive leur traumatisme.
J’ai aussi recueilli le témoignage d’un ami d’une personne morte en contention. C’était important d’avoir le récit de proches, et d’évoquer les morts. D’après un rapport de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), il y aurait eu 42 morts en contention entre 2011 et 2019. Mais l’agence reconnaît elle-même que ce sont des décès volontairement signalés. Combien ne sont pas déclarés ? Les patients craignent des représailles, et leur parole est très souvent invalidée.
Dans votre travail de recherche, vous avez constaté qu’il y a très peu d’études sur ces pratiques, leur efficacité éventuelle ou leurs risques.
J’ai trouvé 300 articles dans la littérature internationale depuis les années 1970, et dans tous ces articles, il y a une constante : le manque de données. Par comparaison, il y a 110 000 articles sur les psychotropes. Cela indique que la contention mécanique est une pratique honteuse. Des études s’intéressent au vécu des soignants, très peu au vécu des patients.
En 2016, il y a eu un engagement politique à réduire les pratiques d’isolement et de contention. Elles n’ont en réalité cessé d’augmenter, comme le montre une étude récente.
En France, ces données sur l’isolement et la contention sont très récentes. Elles ne sont recueillies que depuis 2016 et réellement analysées que depuis quelques mois par des chercheurs. Et elles ne sont pas complètes : le récent rapport de la contrôleuse générale des lieux de privation de liberté (CGLPL) sur le centre hospitalier de Niort relève que les mesures d’isolement et de contention n’y sont pas enregistrées.
Vous parlez d’une culture de l’entrave, par analogie avec la culture du viol. De la même manière, elle se dévoile parfois, comme à l’hôpital Sainte-Anne à Paris en 2010.
Deux services de l’hôpital Sainte-Anne à Paris ont accepté qu’un documentaire – Sainte-Anne, hôpital psychiatrique de Ilan Klipper – soit tourné dans ses murs. Avant sa diffusion, en 2010 sur Arte, il a été présenté au personnel et à la direction. Aucun patient n’était présent. Il a été reçu positivement, ces premiers spectateurs ont trouvé que de l’humanité se dégageait du film.
Mais à sa diffusion, il a fait scandale : les spectateurs ont découvert de la maltraitance ordinaire, des brimades, des mesures de rétorsion. Le documentaire montre des personnes attachées, parfois presque nues, malmenées verbalement par des soignants. Ce documentaire a été retiré et interdit de diffusion. Les chefs de service, dont l’un était aussi président de la commission médicale d’établissement de l’hôpital Sainte-Anne, ont été sanctionnés par l’Ordre des médecins de peines d’interdiction d’exercice.
Cela illustre bien la culture de l’entrave, cette culture de la domination, qui conduit à attacher les patients « pour leur bien ». Les soignants et la direction de cet hôpital n’ont pas vu l’horreur de ce qui était montré.
Cette culture de l’entrave est un penchant naturel de la psychiatrie, qui se développe quand les conditions politiques y sont favorables. C’est la phrase de Lucien Bonnafé : « On juge du degré de civilisation d’une société à la façon dont elle traite ses fous. » Elle a régressé à des moments clés, politiques : après la Révolution française avec Philippe Pinel, le libérateur des aliénés ; après la Seconde Guerre mondiale et l’horreur concentrationnaire, avec le développement de pratiques désaliénistes et de la psychothérapie institutionnelle.
Aujourd’hui, on vit dans une société traversée par l’obsession sécuritaire, la peur des migrants, des fous. Les soignants sont aussi traversés par tout ça. L’emmurement du monde produit un emmurement des relations humaines.
De nombreux psychiatres présentent la contention comme un soin, une manière de contenir le patient. Pourquoi est-ce que cela vous révolte ?
La psychiatrie actuelle enrobe ses pratiques douteuses, voire sadiques, sous des concepts progressistes et positifs. En 2021, Olivier Véran, alors ministre de la santé, a parlé devant l’Assemblée nationale de « la dimension thérapeutique de l’isolement ». La contention mécanique est une mesure de contrôle. Peut-être que l’on ne peut pas faire autrement dans certaines situations, mais de là dire que c’est « un soin »…
Cette culture de l’entrave est soutenue de manière officielle.
Des psychiatres argumentent que la contention apporte de la « contenance psychique ». Qu’est-ce que c’est que la contenance ? C’est la manière dont l’enfant, parce qu’il est regardé, porté, bercé, prend conscience des limites de son corps. Le bébé, au départ, ne distingue pas son corps du monde environnant. Chez certains malades psychiatriques, leur corps vécu n’est pas limité à leur corps charnel. On le voit notamment chez des personnes qui se promènent avec des tas de sacs, d’objets, qu’ils perçoivent comme des parties de leur corps. Contention vient du latin contentio, « tension », tandis que la contenance provient de continere, « maintenir uni ». Cela n’a rien à voir. Amalgamer la contention à la contenance est une entreprise de banalisation de la violence.
En psychiatrie, il y a une autre manière de travailler sur la contenance : le « packing », qui a été fortement décrié. Vous racontez avoir utilisé cette technique.
Le packing permet de se passer de la contention. La différence essentielle est que le patient y consent. Par exemple, je raconte que lors d’une garde, j’ai été appelé dans un autre service pour contentionner un patient. Heureusement, j’y allais avec des collègues qui étaient aussi formés au packing. On l’a proposé au patient, qui l’a accepté : à quatre soignants, on l’a enveloppé, massé, bercé, il a pu se détendre. On a pu comprendre que ce patient était furieux parce que sa famille n’était pas venue le voir. Après ce soin corporel psychothérapique, il n’a pas eu besoin de contention mécanique.
Au niveau juridique, des avocats et des associations d’usagers bataillent pour un encadrement des pratiques d’isolement et de contention. Chaque isolement, et a fortiori toute contention, doit être encadré par un certificat médical, et peut être contesté devant le juge des libertés et de la détention. Mais là encore, ce combat est perverti : vous estimez qu’en encadrant ces pratiques, on les a légitimées.
Oui, parce qu’il n’y a pas eu de débat de fond sur ces pratiques, on en est restés à de la pure forme. En psychiatrie, on devrait dire ce qu’on fait, et rendre des comptes. Mais qu’a fait le gouvernement ? Dans le même temps où on demande à l’hôpital psychiatrique de fournir des certificats, on diminue ses moyens. Aujourd’hui, dans nombre d’hôpitaux, ce sont des intérimaires, qui ne connaissent pas les patients, qui font des certificats à la chaîne. Il fallait au contraire investir dans le service public de psychiatrie, pour moins isoler, attacher, médicamenter et hospitaliser sans consentement.
Aujourd’hui, ces certificats sont souvent vécus comme une contrainte administrative supplémentaire.
Environ 15 % des établissements ne pratiquent pas la contention. C’était le cas du service que vous avez dirigé à l’hôpital de Moisselles. Mediapart a enquêté sur la façon dont vous avez été démis de vos fonctions par la direction, dans le cadre d’un conflit sur la pratique de l’isolement au moment du confinement en mars 2020.
Mathieu Bellahsen, psychiatre. © Photo Sébastien Calvet / Mediapart
Dans notre secteur, la contention était bannie. Les portes restaient ouvertes, même pour les personnes hospitalisées sans consentement. On pratiquait l’isolement, mais de manière aussi courte et séquentielle que possible. Et on essayait d’en faire un moment qui crée du lien. On contactait tout de suite la famille, l’entourage. Et pour que le patient s’acclimate au service, on autorisait d’emblée la pause clope, voire la participation aux repas.
Nous tentions de développer une contre-culture du soin, les patients étaient au cœur de nos pratiques, on était au point de bascule où certains des dispositifs de soins se construisaient avec eux. Mais cela bousculait l’ordre établi.
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Collectivement, nous avons été naïfs : nous pensions qu’il y avait suffisamment de contre-pouvoirs dans l’établissement et en dehors pour qu’on soit soutenu. La Haute autorité de santé, le CGLPL, nous félicitaient régulièrement pour nos pratiques respectueuses des droits des patients. Cela flattait la direction, j’ai même été nommé « pilote droit des patients » avant le Covid.
Quand le premier confinement a commencé, la plupart des patients comprenaient la nécessité de l’isolement volontaire. Un de nos patients, dès février 2020, quand personne ne prenait ce virus au sérieux, nous a même dit : « Vous les soignants, n’approchez pas, vous allez me contaminer ! » Prescience du délire, il avait tout pigé avant tout le monde.
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Pourtant, dans plusieurs services de cet hôpital, les patients étaient systématiquement isolés dans leur chambre, porte fermée à clé notamment dans l’unité Covid. J’ai saisi la CGLPL avec des collègues du collectif de soin, pour alerter sur cette confusion entre le confinement sanitaire et l’isolement psychiatrique. Elle nous a donné raison, et elle a publié une recommandation en urgence de portée nationale. J’ai pensé que l’hôpital ferait amende honorable comme l’avait fait le Centre psychothérapique de l’Ain, qui s’est remis en question de fond en comble (lire notre article). Il n’en a rien été. Et cela s’est retourné contre nous.
Une plainte devant le tribunal administratif est en cours pour dénonciation calomnieuse et harcèlement, retrait de chefferie abusive. Je suis aidé par le Défenseur des droits et la Maison des lanceurs d’alerte, car mon statut est compatible avec celui de lanceur d’alerte.
Vous n’êtes pas seul à subir des rétorsions.
Cette culture de l’entrave est soutenue de manière officielle, il y a de nombreux autres exemples. Le CGLPL a écrit en mars 2022 au ministre de la santé Olivier Véran, pour l’alerter sur la restructuration de l’hôpital de Chinon (Indre-et-Loire), qui menace les pratiques exemplaires de l’établissement, où il n’y a ni isolement ni contention. Olivier Véran a choisi de soutenir la restructuration, pour résorber la dette de l’établissement.
L’hôpital de Laragne (Hautes-Alpes) développe depuis des années une contre-culture. Il a refusé les crédits alloués pour créer des chambres d’isolement. Pour cette raison, l’Agence régionale de santé menace aujourd’hui de lui retirer son agrément pour des hospitalisations sans consentement. Par contre, les hôpitaux épinglés par le CGLPL pour leurs pratiques n’ont eux pas de problème… On étouffe ceux qui essaient de faire autrement.
En écrivant ce livre, j’ai compris qu’il y a un fourmillement d’initiatives de soignants et de patients, partout dans le monde. Localement, les gens essaient d’avoir d’autres imaginaires, allant de l’anti-psychiatrie à des pratiques de psychiatrie critique. La psychiatrie a besoin de contre-pouvoirs pour limiter ses penchants asilaires.
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Cet article a été modifié, le 18 septembre à 11h, pour intégrer quelques précisions. Le chiffre officiel de 10 000 contentions pratiquées en France en 2021 est largement sous-estimé, car seuls les établissements psychiatriques ayant une autorisation d'hospitalisation sous contrainte ont une obligation de déclaration. Or la contention est pratiquée bien plus largement.
Ensuite, l'encadrement juridique de l'isolement et de la contention fait suite à des procédures portées par des avocats défendant des personnes ayant subi ses pratiques, soutenus par des associations d'usagers, notamment le Cercle de réflexion et de proposition d’actions sur la psychiatrie (CRPA).
Enfin, ce n'est pas en 2011, mais en 2016, par la loi de modernisation de notre système de santé, qu'a été fixé un objectif de réduction des pratiques d'isolement et de contention.
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16 mai 2023 Alexandra Soulier L'Acceptabilité des restrictions liées à la lutte contre la covid-19 from Jlmeb on Vimeo.
L’Acceptabilité des restrictions liées à la lutte contre la covid-19 Premiers résultats d’une étude dans un quartier populaire de Toulouse
Alexandra Soulier Philosophe Chargée de recherche CNRS
conférence mardi 16 mai 2023 19h00 Salle du Sénéchal 17 rue de Rémusat 31000 Toulouse
Alexandra Soulier est chargée de recherches à l’Institut d’Histoire et de Philosophie des Sciences et des Techniques (Université Panthéon-Sorbonne et CNRS). Ses recherches s’inscrivent dans le champ de la philosophie de la médecine et portent principalement sur la santé publique. Elles se situent à l’articulation de la philosophie sociale et de la philosophie des sciences. Elle s’intéresse en particulier aux inégalités environnementales et sociales de santé et au rôle des sciences humaines et sociales dans les paradigmes actuels qui s’efforcent de penser la santé à l’interface entre celle des animaux, des hommes et de leur environnement. Elle exerce actuellement une mission à l’Institut de Recherche en Santé Publique pour l’Institut des sciences humaines et sociales du CNRS. Sa conférence portera sur un aspect de la récente pandémie qui nous a tous interrogés, au travers de résultats récents dans le cadre d’une recherche menée dans un quartier de Toulouse dont elle propose le résumé suivant.
Le gouvernement d’exception (Champeil-Desplats, 2020 ; Fassin et al., 2020) qui débute avec l’entrée en vigueur de l’état d’urgence sanitaire et de la loi no 2020-290 du 23 mars 2020 pour répondre à l’épidémie de Covid-19, a autorisé la mise en place de mesures exceptionnelles sur l’ensemble du territoire français. En raison du primat accordé aux enjeux sanitaires, des limitations sans précédent ont ainsi restreint l’exercice des droits et des libertés (Leterre, 2021) et ont donné lieu à une activité accrue des forces de l’ordre pendant la crise sanitaire, notamment dans les quartiers populaires, devenus l’archétype de l’espace « à policer » (Bony, Froment-Meurice et Lecoquierre, 2021). En raison de leur rupture radicale avec le cours quotidien de la vie et leur force contraignante, ces mesures restrictives questionnent l’adhésion des personnes.
Les mesures sanitaires présentées par le gouvernement comme des mesures « universelles », se sont concrétisées dans des situations spécifiques, en fonction des conditions de vie des personnes. En enquêtant à l’échelle d’un « territoire » urbain, nous avons cherché à étudier au plus près la manière dont des politiques sanitaires nationales ont rencontré des dynamiques locales préexistantes ou des initiatives visant à améliorer la couverture vaccinale de certaines catégories de population (Demailly, 2014 ; Gross, 2020).
Cette conférence reviendra sur les premiers résultats d’une recherche basée sur une méthodologie qualitative, de type monographique, menée dans un quartier populaire de la ville de Toulouse. Cette approche monographique suppose l’étude minutieuse des pratiques de différents acteurs et de leurs interactions, en les situant dans un espace et un temps spécifiques. Cette enquête, commencée en octobre 2022, s’appuie sur des entretiens semi-directifs menés auprès des habitant.e.s et des acteurs « de proximité » de ce quartier classé « quartier prioritaire de la Politique de la Ville ».
Ce travail a été réalisé en collaboration avec Laurence Boulaghaf et Alfonsina Faya-Robles.
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Complotisme...
L'état de ''non-santé'' de mon épouse me tient plus sédentaire que je ne l'ai jamais été de toute mon existence. Mais comme il faut toujours ''po-si-ti-ver'', j'ai décidé d »utiliser ce repos forcé à ''cultiver mon jardin'' (c'est bien LA fois de ma vie où je m'inspire d'une idée de Voltaire... On aura tout vu !), en conséquence de quoi et je travaille beaucoup... soit à des recherches pour enrichir et étayer les éditoriaux de ce Blog... soit à relire des auteurs anciens et des livres que j'ai aimés, en d'autres temps... soit à réfléchir (enfin... on se comprend ! Ce que j'appelle ''réfléchir'', c'est ressasser mes idées de mirliton et mes conclusions de comptoir de bistro...) pour avoir ''du grain à moudre'' pour le week-end, ce temps béni pour ressasser...
C'est dans ce dernier cadre que je tourne depuis plusieurs semaines autour d'une ''idée'' qui me turlupine et m'enquiquine, car je lui trouve des tas de réponses... toutes fort dérangeantes. La question est simple : ''POURQUOI TOUT VA T-IL SI MAL ?''', mais on peut la décliner : Pourquoi les faux problèmes sont-ils promus prioritaires et les ‘’vrais sujets’’ passés sous silence ? Pourquoi toute décision semble-t-elle prise ''en dépit de tout bon sens'' –quand ce n'est pas ''à l'envers de tout ce qu'il faudrait faire'' ? Pourquoi le gouffre, que chacun constate et déplore, entre un personnel politique qui veut imposer ses ''dadas'' et un peuple qui ne comprend pas qu'on refuse de l'écouter et de lui répondre ? Pourquoi nos élus sont-ils plus occupés à nous imposer des contraintes inutiles (impôts, vitesse, ''transition climatique'', immigration, taxes, école, famille, mœurs, zônes dites ‘’de circulation’’, confinements, masques, vaccins...) qu'à nous simplifier la vie ?
Oh ! Je sais ! On va me dire : ton truc, il est vieux comme le monde, et chaque nouvelle génération s'est révoltée contre le décalage des priorités entre le Père et son Fils... A ceci près que je n'ai pas grand chose à voir avec une ''nouvelle génération'', et que mes enfants, à la soixantaine pour les aînés, ont vu leurs préoccupations se mettre peu à peu à ressembler aux miennes. Alors ? Alors, si vous en êtes d'accord, je vous propose de partager l'état actuel de mes trouvailles : aucune n'est géniale, vous vous en doutez, mais (1)- elles ont le mérite d'exister... et (2)- je suis en mesure de les exposer clairement.... mieux qu’il y a trois mois.
Le premier écueil sur lequel on bute, c'est l'existence indéniable d'une constante non-exprimée, mais indéniable, persistante, permanente et perpétuelle : vouloir détruire ce qui a fait l'existence des ''peuples'' à travers le monde . On a l'impression qu'une espèce de volonté qui se croit supérieure (nous y reviendrons) cherche, à coup de lois scélérates, de contraintes insupportables, de bobards éhontés et de campagnes de pub mensongères, à détruire ''tout ce qui fait que la France était habitée de franco-gaulois, l'Allemagne de teutons, l'Angleterre de british, l'Espagne d'hidalgos, la Suisse d'horlogers, les Etats-Unis de cow-boys et la Russie... de russkis''... Tout ce qui se passe un peu partout semble n'avoir qu'un seul but : uniformiser la population de l'Occident… puis, une fois la citadelle ''Europe'' tombée (la vraie, pas l'usine à gaz liberticide que les déconstructeurs bruxellois nomment ainsi), seul l'islam pourra présenter une résistance, et ''on lui réglera son compte, le moment venu, à celui-là... ''. (NDLR : il leur a fallu 3 siècles pour entamer un peu la chrétienté. Alors, l'islam... Ils ne savent pas ce qui les attend !). Le mythe mortel de l'Homme nouveau n'a jamais été si prégnant, même sous les marxistes, comme le montre, H-24, tout macronien qui se respecte --sans être respectable pour autant !.
La cohérence d'action des dirigeants des ''G – 7... 8... ou 20'', semble pousser dans le même sens : Biden, Macron, Trudeau, Scholtz, Sànchez, Lula, Charles Michel... = même combat que Ursula Von der Leyen et sa grosse Commission bruxelloise, unis contre tous ceux (Italie, Hongrie, Polpgne, Tchéquie, Suisse, Slovaquie, Danemark, Royaume Uni... et tous les autres) qui se battent contre un ennemi invisible qui, se sentant porté par une mode mortifère, se permet tous les coups.... ce qui amène une seconde ''découverte'' : tout un système de lois dites ''sociétales'' , en vérité ''scélérates'', votées par des parlements acquis à cette forme dévoyée de modernisme ravageur, vont dans le même sens : couper les citoyens de toute leur histoire, des bases de ce qui leur a donné naissance en tant que ''Nation'', de tout système de référence auquel se raccrocher si la tempête souffle trop fort : la Nation est l'ennemi, puisqu'elle protège le Citoyen, cette victime ciblée de l'Etat anthropophage, et il faut donc l'abattre sans en avoir l'air, avec tout ses ''appuis'' : religion, us et coutumes, traditions, programmes scolaires, habitudes, bon sens, sagesse, culture, Histoire, modes de vie, etc... NB : Et ces salopards ont le front d' accuser les autres de ''complotisme'' ! Le ridicule ne tue plus !
Car ne vous laissez pas prendre par leur phraséologie et leurs serments sans suite : pendant tout le temps où vous travaillez, où vous prenez un café avec des copains en parlant ''foot'', où vous regardez pousser les carottes super- bio de votre jardinet... des hordes de gnomes qui ne peuvent être que très vilains (compte tenu de ce qu'ils font !) travaillent sans relâche à inventer de nouvelles manières, plus vicelardes que les précédentes, de piquer vos sous et vos biens, de vous asservir, de vous voler les quelques bribes de liberté qu'ils vous ont laissées (un oubli, sans doute !)... et de vous emmerder –s'ils sont chefs... leur seul but, dans la vie, étant que le Léviathan, leur Etat-dieu, possède tout, contrôle tout, régente tout, ait et soit tout... Et le plus fort, c'est qu'ils font semblant de croire qu'ils œuvreraient pour le bien public, ajoutant un mensonge énorme à leur perversité et à notre malheur !
La nouveauté effroyable que porte ce quinquennat est que les tenants de cette destruction de toute vraie humanité au seul profit d'un catastrophique ''homme nouveau'' fantasmé, peu changé dans son apparence physique mais entièrement reprogrammé dans son système de références et son mode de vie, d'une manière qui le rapprochera des ''insectes sociaux'', sont désormais sortis des assemblées et hémicycles dédiés aux lois et aux règlements, pour se translater dans un mode d'action directe : on sait, en sociologie que lorsqu'un certain pourcentage de nouveaux entrants fait tanguer l'équilibre d'une foule, tout peut basculer en un clin d’œil. Le confinement-prison-sans-condamnation et, plus généralement, toutes les âneries ''majuscules'' qui ont entouré le covid et nous ont forcés à nous conduire en clowns ridicules, ont constitué le dernier ''test en grandeur réelle'' : ''ils'' savent désormais qu'ils peuvent tout se permettre, avec ou sans ''49-3''. De Gaulle avait raison : ''Les français sont des veaux'' (peut-être même le sont-ils plus encore !).
En fait, ils ne sont pas si nuls que ça, au fond. Ils savaient où ils allaient : là où aucun de nous ne veut aller ! Vu les circonstances, ils ont estimé que ce moment était atteint : plus besoin de se cacher, de prendre des précautions ou d'avancer masqués : désormais, les queers et les ''drag-queens'' ont leurs entrées dans nos écoles où les petits flirts ne sont tolérés qu'entre adolescents du mêle sexe, où la demande de changement de sexe vaut ''tableau d'honneur '' et encouragements du corps professoral, et où la norme est à l'homo-sexualité : partis comme ils nous contraignent, et si on ajoute à ces errements le nombre de stérilités post-covid (qu'il fallait tester avant, sur les ''vaccins-sic''. Mais personne ne l'a exigé !),... dans 2 générations, il n'y a plus un seul bébé français. Une chute folle de notre natalité a commencé, à la fois en fanfare et sans tambours ni trompettes : elle est, peut-on dire, silencieuse mais on peut s’en réjouir. ''Silence, l'Occident meurt ! Youpiii !''
Si vous trouvez que j'exagère, re-parcourez donc les ''brèves'' de ces dernières semaines : vous constaterez l'audace conquérante de tous les destructeurs de civilisation, tueurs de familles, montreurs de cochoneries, incitateurs à la débauche et pousse-au-crime divers qui sont occupés à plein temps à ravager l'équilibre psychique, moral, mental et social des enfants... Et dites-moi si les innombrables ''marches blanches'', cette nouveauté inutile, ne vous ont jamais fait penser à ces défilés de fourmis qui marchent, sans autre finalité apparente que marcher...
Ce qui nous fait cruellement défaut, c'est un ''iso-Zola'' qui fulminerait dans un ''J'accuse'' version 2023 et qui ferait exploser en plein vol leur plan machiavélique, cet authentique ''complotisme'' dont nous détournons le regard pour prétendre que nous ne l'avons pas vu arriver, en douce... Mais le plus incompréhensible est que derrière ce véritable ''complot'' –le seul qui mérite ce titre-- il semblerait qu'il n'y ait aucune vraie ''tête pensante'' : rien que des exécutants sans génie (les Attali, Minc, Schwab, Mélenchon, tous les macronistes, les écolos et les insoumis), ici, et les patrons des ''Gafam'', ici et ailleurs). Il est vrai que, pour parler de leur grand complot, planétaire, total, infini, ils parlent de ''projet politique'', ce qui n'a pas plus de sens que son contenu. Un complot est un complot. Le leur, un méga complot.
Leur seul trait de génie –qui commence à faire long feu-- a été de faire porter le chapeau de ''complotiste'' par tous ceux qui se mettent en travers de leur œuvre de destruction, ceux qui avertissent le monde de leurs turpitudes, et qui sonnent le tocsin avant que leur rêve –qui est le cauchemar du reste (= 99,99 %) de l'humanité ne soit vraiment devenu la seule porte ouverte... qui se fermera à tout jamais à l'espoir, au Beau, au Bon, au Vrai, à Nous… ''Complotiste !'', accusent ces super-comploteurs en parlant de ceux qui pensent encore ''droit'' ? Français, réveillez-vous, ne vous laissez pas avoir, je vous en prie : il est ‘’moins une’’ !
H-Cl.
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/ Depuis plusieurs mois déjà je vais donner des ateliers de création dans différents services de psychiatrie /
/ c'est fort, intense, imprévisible, chaleureux, coloré, parfois l'ambiance est calme et concentré, parfois c'est plus brouillon et agité, parfois on rit ensemble pour des choses que j'oublie, parfois l'ambiance est plus lourde / ces images sont ce que je peux montrer / il y a aussi tout ce qui ne se raconte pas, et puis aussi ce qui ne se montre pas : les patients fatigués par leurs traitements, les moments de réflexion et de pause, les échanges de regards, les soignants entrain de créer, les couleurs sur les mains, les questions, les artistes dont je présente le travail afin de nous inspirer, les médiatrices des deux musées partenaires du projet (le musée Albert Kahn de Boulogne et le musée du Domaine de Sceaux) qui nous racontent des oeuvres, les longs trajets en RER pour rejoindre les différents services, le matériel préparé avec soin les jours off, les essais réalisés dans mon atelier afin de savoir comment expliquer les différentes techniques que je propose aux patients, les recherches dans les musées et les librairies d'art / et puis les doutes, les échanges après les séances avec les soignants, le retour à la maison empli d'impressions et d'émotions. / Ce projet n'est pas un projet comme les autres, il est d'utilité publique et je suis ravie d'en faire partie et de le porter aussi bien que je peux /
/ Parler de santé mentale est nécessaire aujourd'hui /
/ Rendez vous du samedi 13 mai au dimanche 18 juin au Musée Albert Kahn pour une restitution/exposition des travaux réalisés lors de ces ateliers /
/ Il y aura aussi le week end du 19+20+21 mai prochains : des rencontres, des tables rondes avec des soignants et les acteurs du projet, des ateliers créatifs aussi... /
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Geoffrey Hinton appelle à des régulations pour prévenir les abus de l'intelligence artificielle
Geoffrey Hinton, le scientifique britannique-canadien renommé pour son travail pionnier dans le domaine de l'intelligence artificielle (IA), a exprimé ses préoccupations concernant le développement rapide de la technologie IA, la qualifiant de "potentiellement très dangereuse". Hinton, qui a remporté le prix Nobel de physique cette année, estime que la société doit aborder le développement de l'IA avec une grande prudence et des régulations réfléchies.
Le rythme rapide du développement de l'IA
Lors d'une récente interview, Hinton a expliqué que les progrès de l'IA se produisent bien plus rapidement que ce qu'il avait anticipé. Bien que ses recherches aient posé les bases de l'apprentissage automatique — une technologie qui permet aux ordinateurs d'imiter l'intelligence humaine — il a exprimé son inquiétude face au rythme actuel de l'innovation.
« Le rythme du changement est beaucoup plus rapide que ce à quoi je m'attendais », a déclaré Hinton, ajoutant qu'il n'y avait pas suffisamment de temps pour que les chercheurs explorent pleinement les conséquences potentielles de ces avancées. Il a souligné l'urgence de mettre en place des régulations pour empêcher les abus de l'IA. « Nous devons empêcher que des gens l'utilisent pour de mauvaises choses », a-t-il averti, notant que les systèmes politiques actuels ne sont pas équipés pour gérer ces risques. >>>BLW009 pour OPPO Watch 4 Pro
Un appel pour une IA plus sûre
Les recherches récentes de Hinton se sont concentrées sur la nécessité d'assurer que le développement de l'IA reste sûr et éthique. L'année dernière, il a fait les gros titres lorsqu'il a démissionné de Google, invoquant des préoccupations selon lesquelles des "mauvais acteurs" pourraient exploiter les technologies de l'IA pour nuire à la société.
Réfléchissant à la trajectoire du développement de l'IA, Hinton a déclaré que lorsqu'il a commencé ses travaux, il n'avait pas envisagé que l'IA atteindrait le stade actuel. « Je pensais qu'à un moment donné dans le futur, nous arriverions ici, mais je ne pensais pas que ce serait maintenant », a-t-il dit à BBC Radio 4 lors du programme Today.
La révolution industrielle de l'intelligence
Hinton estime que l'impact potentiel de l'IA sur la société pourrait être comparable à celui de la révolution industrielle, une période qui a transformé radicalement les industries en remplaçant le travail humain par des machines. Il a argumenté que, tandis que les machines remplaçaient autrefois la force humaine, aujourd'hui, les machines sont prêtes à remplacer l'intelligence humaine.
« Lors de la révolution industrielle, la force humaine n'a plus eu d'importance parce que les machines étaient plus fortes », a expliqué Hinton. « Ce que nous avons maintenant, c'est quelque chose qui remplace l'intelligence humaine. L'intelligence humaine ordinaire ne sera plus à la pointe — ce seront les machines. »
Le rôle de la politique dans l'avenir de l'IA
Lorsqu'on lui a demandé ce qu'il pensait de l'avenir, Hinton a souligné le rôle crucial des systèmes politiques dans la détermination de l'impact de l'IA. Il a exprimé des préoccupations concernant le fait que, sans régulations réfléchies, l'IA pourrait aggraver les inégalités sociales, en particulier si ses bénéfices sont concentrés entre les mains des riches, tandis que les gens ordinaires perdent leur emploi à cause de l'automatisation.
« L'avenir dépendra beaucoup de ce que nos systèmes politiques feront de cette technologie », a déclaré Hinton. Il a souligné que bien que l'IA ait le potentiel de révolutionner les industries, notamment dans le domaine de la santé, elle doit être gérée avec soin pour éviter des conséquences négatives. Sans le bon cadre réglementaire, l'IA pourrait aggraver les inégalités économiques, a-t-il averti. >>>P21GU9 pour Microsoft Surface Pro 1 1514
La menace des futurs contrôlés par l'IA
Les préoccupations de Hinton vont aussi au-delà de la possibilité que l'IA prenne le contrôle de manière que les machines n'avaient jamais pu faire lors de la révolution industrielle. Autrefois, les machines pouvaient remplacer la force humaine, mais les humains restaient en contrôle en raison de leur intelligence supérieure. Cependant, le développement de l'IA hautement intelligente menace maintenant la domination humaine.
« Les machines sont plus intelligentes que nous. Il n'y a jamais eu de chance que les machines prennent le contrôle lors de la révolution industrielle parce qu'elles étaient plus fortes. Nous restions en contrôle parce que nous avions l'intelligence », a déclaré Hinton. « Maintenant, il y a la menace que ces choses prennent le contrôle. »
En conclusion, Hinton appelle les gouvernements, les chercheurs et les dirigeants industriels à agir de toute urgence pour développer des régulations éthiques de l'IA qui empêchent les abus, garantissent des avantages sociétaux larges et traitent les risques potentiels avant qu'il ne soit trop tard.
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Armes biologiques : qui fait quoi ?
Par Dilyana Gaytandzhieva, journaliste d'investigation bulgare (1).
« L'unité A1266 du Pentagone et des scientifiques locaux ont collecté 40000 tiques dans 13 régions du Kazakhstan et isolé quatre bio-agents qui constituent une grave menace de bioterrorisme : virus de l'encéphalite à tiques (TBEV), virus de la fièvre hémorragique de Crimée-Congo (CCHFV) [Ébola], Rickettsia et Coxiella burnetii (l'agent causal de la fièvre Q). Ces bio-agents ont le potentiel d'être conçus pour la diffusion massive d'aérosols et utilisés comme armes biologiques. [...]
Le programme du Pentagone sur les tiques et les maladies transmises par les tiques au Kazakhstan a débuté il y a dix ans, selon l' étude publiée par la National Library of Medicine des États-Unis en 2016. “Nous disposons de nouvelles données substantielles sur une maladie grave transmise par les tiques en Asie centrale, de l'importance à la fois pour les autorités de santé publique locales et mondiales, ainsi que pour le DoD américain”, affirment les chercheurs. Tous les bio-agents qui ont été découverts dans des tiques infectées au Kazakhstan dans le cadre du programme DoD ont été étudiés comme des armes biologiques potentielles dans le passé. […]
Recherche sur les coronavirus
Un autre projet du Pentagone a étudié les coronavirus chez les chauves-souris (2015-2018). Au total, 200 échantillons de guano de chauve-souris ont été collectés dans trois grottes du Kazakhstan. Dans l'ensemble, 25 (12,5%) de tous les échantillons de guano testés étaient positifs pour les coronavirus. Cette étude a été financée par le projet de recherche biologique coopérative KZ-33 : MERS Coronaviruses : Surveillance and detection in Kazakhstan. [...] » (Dilyana Gaytandzhieva) (trad. Google)
Lire la partie concernant la peste noire à l’aide de Google Chrome (par exemple).
« L'Agence de réduction des menaces de défense (DTRA) a dépensé près de 300 millions de dollars pour deux laboratoires de biosécurité de niveau 3 (BSL3) au Kazakhstan depuis 2009 : le Laboratoire central de référence à Almaty (également connu sous le nom de Centre scientifique kazakh de quarantaine et des maladies zoonotiques (KSCQZD), et l'Institut de recherche sur les problèmes de sécurité biologique (RIBSP) à Otar, révèlent des documents du registre des contrats fédéraux des États-Unis.
DTRA a sous-traité une grande partie du travail à des entrepreneurs privés américains. AECOM Government Services a remporté un contrat de 240,4 millions de dollars pour la construction des deux laboratoires BSL 3 (2009-2016). Une autre société américaine CH2M Hill a reçu deux contrats fédéraux : un contrat de 38,4 millions de dollars pour des services scientifiques (20 août 2015 - 31 août 2020) et 17,2 millions de dollars supplémentaires pour l'ingénierie et la livraison d'équipements (31 janvier 2020 - 2 février 2023).
Ces installations américaines au Kazakhstan ne sont que deux des nombreux biolaboratoires du Pentagone dans 25 pays à travers le monde. Ils sont financés par la Defense Threat Reduction Agency (DTRA) dans le cadre d'un programme militaire de 2,1 milliards de dollars - Cooperative Biological Engagement Program (CBEP), et sont situés dans des pays de l'ex-Union soviétique tels que le Kazakhstan, la Géorgie et l'Ukraine, le Moyen-Orient, l’Asie du Sud-Est et l’Afrique.
Les laboratoires Bio-Safety Level 3 sont accessibles uniquement aux citoyens américains disposant d’une autorisation de sécurité. » (Dilyana Gaytandzhieva) (trad. Google)
‣ Dilyana Gaytandzhieva, « Pentagon Unit A1266 studies bioterrorism agents in Kazakhstan » (« L'unité A1266 du Pentagone étudie les agents de bioterrorisme au Kazakhstan »), pub. 21 juil. 2020, http://armswatch.com/pentagon-unit-a1266-studies-bioterrorism-agents-in-kazakhstan/ (cons. 21 juil. 2020). — (1) « Dilyana Gaytandzhieva est une journaliste d'investigation bulgare, correspondante au Moyen-Orient et fondatrice d'Arms Watch. Au cours des deux dernières années, elle a publié une série de rapports révélateurs sur les livraisons d'armes aux terroristes en Syrie et en Irak. Son travail actuel se concentre sur la documentation des crimes de guerre et des exportations illicites d'armes vers les zones de guerre du monde entier. – http(:)//armswatch(.)com » (trad. Google) —
#armes biologiques#pentagone#Kazakhstan#tiques#chimères#OGM#encéphalite#fièvre hémorragique#ebola#Rickettsia#Coxiella burnetii#fièvre Q#zoonose
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Le nouveau Gouvernement de la République Française du Premier Ministre François Bayrou a été annoncé ce lundi 23 décembre 2024. Sont nommés : - Elisabeth Borne, Ministre d’État, Ministre de l'Education nationale - Manuel Valls, Ministre d’État, Ministre des Outre-mer - Gérald Darmanin, Ministre d’État, Ministre de la Justice - Bruno Retailleau, Ministre d’État, Ministre de l'Intérieur - Catherine Vautrin, Ministre de la Santé - Eric Lombard, Ministre de l'Economie - Sébastien Lecornu, Ministre des Armées - Rachida Dati, Ministre de la Culture - François Rebsamen, Ministre de l'aménagement du territoire - Jean-Noël Barrot, Ministre de l'Europe et des Affaires étrangères - Agnès Pannier-Runacher, Ministre de la transition écologique - Annie Genevard, Ministre de l'Agriculture - Laurent Marcangeli, Ministre de la Fonction publique - Marie Barsac, Ministre des sports - Patrick Mignola, Ministre délégué chargé des relations avec le Parlement - Aurore Bergé, Ministre délégué chargée de l'égalité entre les femmes et les hommes - Sophie Primas, porte parole du gouvernement - Philippe Baptiste, Ministre délégué chargé de l'enseignement supérieur et de la recherche - François-Noel Buffet, Ministre délégué à l'Intérieur - Astrid Panosyan-Bouvet, Ministre délégué chargée du Travail et de l'emploi - Yannick Neuder, Ministre délégué chargé de la santé et de l'accès aux soins - Charlotte Parmentier Lecocq, Ministre délégué chargée de l'autonomie et du handicap - Amélie de Montchalin, Ministre délégué chargée des comptes publics - Marc Ferracci, Ministre délégué chargé de l'industrie et de l'énergie - Véronique Louwagie, Ministre délégué chargée du commerce, de l'artisanat et des PME - Clara Chappaz, Ministre délégué chargée de l'intelligence artificielle et du numérique - Nathalie Delattre, Ministre délégué chargée du tourisme - Patricia Miralles, Ministre délégué chargée de la mémoire et des anciens combattants - Valérie Létard, Ministre délégué chargée du logement - Philippe Tabarot, Ministre délégué chargé des transports - Françoise Gatel, Ministre délégué chargée de la ruralité - Juliette Méadel, Ministre délégué chargée de la ville - Benjamin Haddad, Ministre délégué chargé de l'Europe - Laurent Saint-Martin, Ministre délégué chargé du commerce extérieur - Thani Mohamed Soilihi, Ministre délégué chargé de la francophonie. Read the full article
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Les Compétences Recherchées Pour Obtenir un Visa Travail au Canada
Le Canada est un pays avec une économie dynamique, et pour soutenir cette croissance, le gouvernement et les entreprises canadiennes recherchent des travailleurs qualifiés dans divers secteurs. Si vous souhaitez immigrer au Canada via un visa travail, il est crucial de comprendre quelles compétences sont particulièrement demandées. Cet article détaille les compétences clés recherchées par les employeurs canadiens et comment le Fonds d'Autonomie pour l'Afrique peut vous accompagner tout au long de ce processus.
Pourquoi Certaines Compétences Sont-elles Plus Recherchées ?
Le Canada cherche activement des travailleurs étrangers ayant des compétences spécifiques pour combler les lacunes sur le marché du travail dans des secteurs en pénurie. En alignant vos compétences avec celles demandées, vous augmentez vos chances de succès dans votre demande de visa travail.
Les Compétences Recherchées Pour Obtenir un Visa Travail au Canada
1. Compétences en Technologie de l'Information (IT)
Le secteur technologique canadien est en pleine expansion. Les compétences en développement logiciel, cybersécurité, intelligence artificielle, et analyse de données sont particulièrement recherchées. Si vous êtes un développeur ou un analyste de données, vous avez de fortes chances d'obtenir un visa travail pour le Canada.
2. Compétences en Soins de Santé
La demande en infirmiers, médecins, pharmaciens et dentistes est élevée. Si vous êtes un professionnel de la santé avec les qualifications nécessaires, le Canada est un endroit idéal pour poursuivre votre carrière.
3. Compétences en Ingénierie
Les ingénieurs sont recherchés dans des domaines tels que l’ingénierie civile, électrique, et mécanique. Les projets d'infrastructure à grande échelle au Canada offrent de nombreuses opportunités pour ceux ayant ces compétences spécialisées.
4. Compétences en Métiers Spécialisés
Le secteur de la construction au Canada est en pleine croissance, et les carpentiers, plombiers, électriciens et autres métiers spécialisés sont en forte demande, surtout dans les grandes villes canadiennes comme Toronto et Vancouver.
5. Compétences en Gestion de Projets et Leadership
Les entreprises canadiennes recherchent des leaders capables de diriger des équipes et des projets. Si vous avez des compétences en gestion, en planification stratégique et en coordination d’équipes, vous serez un atout pour le marché du travail canadien.
6. Compétences Linguistiques
La maîtrise des langues, notamment l'anglais et le français, est un facteur clé pour réussir à immigrer au Canada. La connaissance de ces langues facilite la communication au sein du milieu professionnel et améliore vos chances de trouver un emploi.
7. Compétences en Hôtellerie et Tourisme
Les secteurs de l’hôtellerie et du tourisme sont en plein essor au Canada. Les gestionnaires d’hôtels, cuisiniers et agents de voyage sont recherchés pour soutenir l’industrie touristique canadienne.
8. Compétences en Agriculture et Agroalimentaire
Le secteur agricole canadien offre également des opportunités pour les travailleurs étrangers. Les compétences en agriculture durable, en production alimentaire et en gestion de fermes sont essentielles pour intégrer ce domaine.
9. Compétences en Commerce et Marketing
Les professionnels du marketing digital, les responsables des ventes et les gestionnaires de comptes sont recherchés dans divers secteurs au Canada. Si vous avez de l'expérience en marketing numérique ou en gestion de campagnes, vous êtes bien placé pour trouver une opportunité d’emploi.
10. Compétences en Éducation
Les enseignants, formateurs et conseillers pédagogiques sont également très demandés, notamment dans le cadre de programmes d’intégration des immigrants et d’éducation spécialisée.
Comment Maximiser Vos Chances d'Obtenir un Visa Travail au Canada ?
Acquérir des compétences spécifiques : Identifiez les secteurs clés où les compétences sont en forte demande et investissez dans des formations spécialisées.
Obtenir des qualifications canadiennes : Assurez-vous que vos qualifications sont reconnues par les autorités canadiennes pour faciliter l'immigration.
Maîtriser les langues : L'anglais et le français sont des atouts majeurs pour s'installer et travailler au Canada.
Conclusion
Si vous possédez les compétences recherchées par le marché du travail canadien, vous avez de bonnes chances d'obtenir un visa travail au Canada. Le Fonds d'Autonomie pour l'Afrique vous accompagne dans toutes les étapes de votre immigration, du préfinancement de votre visa au logement, en passant par le billet d’avion.
Pour plus d’informations sur le processus de visa travail au Canada, contactez-nous dès aujourd'hui ou visitez notre site : www.fondsautonomieafrique.org.
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