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fitnessmith · 7 days ago
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Travailler tue, le stress rend malade, 5 heures de sport ou rien.
Travailler tue, le stress rend malade, 5 heures de sport ou rien. 🎙Pour écouter mon podcast : - Recherchez « la pause fitness » sur votre plateforme de podcast préférée - Ou rendez-vous en bio @fitnessmith, cliquez sur le lien, fitnessmith.fr/news puis dans « les nouveautés» - Ou rendez-vous dans votre boite mail pour les fidèles auditeurs #santétravail #stressprofessionnel #diabète #montreconnectée #santécardiaque #fitness #bienêtre #activitéphysique #cancerprofessionnel #santépublique #protectiontravail #montrésanté #sportquotidien #réductionstress #préventionsanté #modedevie #montrefitness #suiviactivité #bienêtremental #sportbienêtre #santécoeur #dangersdutravail #travailnuit #santémentale #risquesprofessionnels #protégerlasanté #montrepourlasanté #coeurensanté #hygiènedevie #vivremieux
Dans ce podcast, nous allons parler de travailler tue, le stress rend malade, 5 heures de sport ou rien. Nouveau ! Quelle est la meilleure montre connectée en ce moment   Sommaire du podcast : 1. Votre travail est-il en train de vous tuer ? L’Agence nationale de sécurité sanitaire a développé une méthode rigoureuse pour identifier les procédés de travail cancérogènes afin de protéger les…
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christian-dubuis-santini · 4 months ago
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Il existe un non affirmatif, le non de la confrontation joyeuse et héroïque avec l'adversaire, le non de la lutte pour l'affirmation, le non qui n'est pas auto-sursomption...
Ce que Hegel a appelé "ruse de la raison" implique une confiance dans le pouvoir de la déraison ; si la raison est effectivement "rusée", elle va faire son travail indépendamment de notre aide, la déraison étant la certitude absolue que, peu importe avec quel soin les choses ont été planifiées, à un moment ou à un autre, elles vont mal tourner...
Freud et Lacan ne s’inscrivent-ils pas dans cette perspective lorsque la psychanalyse recommande de faire de la vérité sa priorité, la guérison venant de surcroît?
Prends tous les risques et confronte-toi à la vérité, la santé viendra d'elle-même.
Prends en compte le Réel, la réalité suivra.
Ne compromets pas ton désir, tes besoins et tes demandes s'en trouveront automatiquement satisfaits.
Faire de la santé un objectif direct est contre-productif, tu dois concentrer ton énergie sur autre chose si tu veux que ta santé advienne.
Inverse les devises du sens commun, aux certitudes proposées par la réalité, privilégie le mystère du réel, au sourire fielleux des compromis et des arrangements mensongers, préfère la morsure de la vérité.
Céder sur les mots, c'est toujours avoir déjà cédé sur les choses.
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uneessencesensible · 4 months ago
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N°1753 – Jeudi 11 février 2021
Beaucoup croient que le bonheur vient de l'extérieur. Beaucoup pensent qu'il suffit de posséder des biens matériels pour arriver à se sentir bien. Ce qu'ils ne savent pas, c'est qu'il se leurrent. Le bonheur ne vient pas si nous possédons plus que le voisin. Il ne vient pas quand on ne fait aucun effort de notre côté et que l'on en demande beaucoup des autres.
« Le bonheur vient de la capacité à ressentir profondément, à apprécier simplement, et à penser librement. »
- Storm Jameson -
Les biens matériels contribuent au bien être à un certain degré. Dire le contraire serait un mensonge. Ceci dit, chacun y voit à sa façon. Il y a des personnes qui vont se sentir bien avec beaucoup d'objets, quels qu'ils soient, et d'autres vont se sentir plus léger, plus libre s'ils possèdent peu. Pourtant, miser tout son bonheur là-dessus, c'est risqué. Au cas échéant, nous ne sommes pas satisfaits et nous en voulons toujours plus, jusqu'au jour où nous devenons comme lassé. C'est un peu comme si, sur une course de chevaux, nous misons tout sur le même cheval. Cela réduit nos chances de gagner. Là, c'est pareil. Nous risquons et nous diminuons nos chances d'être heureux, si nous misons que sur notre bien-être matériel pour cela. Le jour où tout disparaît, que nous reste-t-il ?
Ça commence à l'intérieur de nous. Gérer les doutes, les mauvaises réflexions. Arrêter de se rabaisser sans cesse et commencer à prendre, peu à peu, confiance en soi. Le but n'est pas de tout arrêter, car cela est presque impossible. Ne jamais douter, ne jamais avoir des pensées négatives, c'est comme nier le côté obscur qui se trouve en nous. Il vaudrait mieux l'accepter, apprendre à le gérer et aussi, augmenter tout ce qu'il y a de positif en nous. Tout ça, ça sera déjà un très bon début. Les efforts se feront connaître d'eux-mêmes. Le bien-être psychologique est une des choses les plus importantes, pour être heureux et bien dans ses baskets. Tout aussi important que la santé. Qu'elle soit mentale ou physique. En prenant son temps et en travaillant tous les jours, nous pouvons dompter notre esprit et acquérir une paix antérieure, qui nous est propre. Elle ne sera pas totale. Elle se fera avec le temps. Même si nous traversons des moments difficiles, cela ne veut pas dire que tout disparaîtra au moindre malaise.
Nous finissons au bout d'un moment par vivre une vie comme nous le souhaitons. Nous finissons par ne plus nous cacher derrière des biens matériels, ou même pire, derrière es illusions. Être soi-même est une des finalités. Elle permet de vivre et d'organiser son existence en fonction de nous et non de la société ou de notre entourage. Nous nous ne sommes plus influencés par qui que ce soit. Cela devrait faire partie de notre apprentissage. On devrait tous suivre des cours pour apprendre à nous connaître, durant l'adolescence, qui est une période si difficile pour beaucoup d'entre nous. Nous serions plus à même de faire face à la vie, qui n’est pas toujours aussi simple qu'on l'imagine. Ces cours nous permettraient de ne pas passer à côté de l'essentiel : S'écouter. S'aimer. Se faire confiance.
« Au fur et à mesure que je modifie mes pensées, le monde autour de moi se transforme. »
- Louise L. Hay -
Depuis plusieurs années, j'ai arrêté de penser que ce sera les autres qui m'amènerait le bonheur. J'ai arrêté de penser qu'il fallait que je me cache et que je me fonde dans la masse, au risque de m'en prendre plus dans la tête. Comme si c'était une protection sûre et fiable. J'ai arrêté de penser que les autres penseraient à moi, à ma place et que je pourrais m'occuper des autres, avant moi. J'ai arrêté de ne faire qu'exister, maintenant, je vis. Rien n'est parfait. J'ai des moments de doutes, des moments d'angoisses. J'ai des hauts et des bas, comme une grande partie de la population. C'est notre cerveau qui fait cela. Il a des mécanismes automatiques qui, parfois, nous font plus de mal que de bien. Cela peut se régler. Mais malgré cela, même si tout n'est pas rose, je me sens bien avec moi-même. Je me sens en paix avec la plupart des choses qui réside en moi. J'ai façonné mon esprit. J'ai changé sa façon de percevoir le bien-être. De voir qu'il peut venir d'ailleurs, notamment de l'intérieur. Je l'ai fait évoluer à fin qu'il regarde la vie, mon existence d'une autre manière. C'est tout aussi bien de voir les choses sous un autre angle. Nous pouvons prendre conscience de beaucoup de choses. Des choses qui ne sont pas toujours flagrantes de suite. Mon bonheur passe en priorité dans ce que je ressens. Mes envies réelles et fondées. Cela passe en priorité dans ce que je vis et avec qui. Désormais, grâce à tout ce travail, je pourrais rester seule avec moi-même. Cela ne me dérange pas. Même quand mes pensées négatives me submergent, je sais que, même si c'est très dur sur le moment, et que je n’ai personne à qui en parler, je pourrais y faire face.
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laurierthefox · 11 months ago
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J'espère que vous avez toustes passé de bonnes fêtes de fin d'année, ou à défaut, pas trop épuisantes. Les miennes ont été sereines et joyeuses avec ma famille choisie, même si je suis complétement épuisé maintenant
Je profite de cette note pour faire un petit point annuel sur mon travail ! BILAN 2023
Cette année à été très riche en terme de rencontre, marchés, dédicaces, interventions, commandes ! Un atelier BD et une conférence dans une université à Amiens, le début de mes streams sur Twitch, des interventions auprès de lycéen'nes à Nantes, des dédicaces en Belgique, des marchés de créateurices à Nantes et au Havre, un salon du livre queer à Metz, Quai des Bulles à St Malo...etc
Cela fait 11 ans que je suis à mon compte et 2023 à été la première année ou j'ai pu enfin me dégager un vrai salaire ! Et c'est aussi en grande partie grâce à mes mécènes sur Patreon qui me soutienne depuis un an déjà. Ce soutien me permet de mieux choisir mes commandes ou interventions, de refuser du travail gratuit sous prétexte de visibilité et de pouvoir -parfois- prendre mes week end pour me reposer.
Dans les points moins joyeux, le stress et la fatigue m'ont amené à une crise violente de ma maladie de Crohn pendant les mois de Mars-Avril-Mai 2023 et j'ai dû changer de traitement, l'ancien ne faisant plus effet. Le nouveau est plus efficace mais à aussi plus d'effets secondaires du fait que c'est un immuno-modulateur. Il défonce mes défenses immunitaires, ce qui fait que le moindre rhume risque de me clouer au lit pour 15 jours.
Je vous parle de tout ça, non pour faire pleurer dans les chaumières mais juste pour vous tenir au courant.
RECONNAITRANS
Mon but en ouvrant une page Patreon, en plus de pouvoir payer mes factures pendant les mois ou je n'avais pas de commandes/BD/marchés..etc, était de pouvoir finir les derniers témoignages de ReconnaiTrans qui patientent dans ma boite mail depuis des mois et mettre un point final à ce projet (en tout cas pour l'instant). Mais comme cette année à été, de façon très positive, assez intense en terme de travail (mais aussi des soucis de santé) je n'ai pas réussi à atteindre cet objectif.
Je ne vais pas abandonner pour autant, ce projet est très important pour moi et surtout je ne veux pas laisser tomber les témoignant'es qui patientent pour que je fasse leur récits. Je vais donc essayer cette année de mieux maitriser mon emplois du temps pour pouvoir mener cela à bien et poster au moins tous les 2 mois un nouveau témoignage.
NOUVEAUX PROJETS ET RÉSOLUTION
Cette année j'aimerais beaucoup réussir à faire quelques unes des notes de blog / webcomics qui remplissent mes tiroirs. Niveau sujet il y à pèle-mêle : tranche de vie, sujets féministes, sujets LGBTIA+, sujets peronnels/autobio, fiction medfan (médieval fantastique).
Mon agente est toujours en train de démarcher plusieurs de mes projets BD et jeunesse mais pour l'instant cela n'a pas l'air d'intéresser les éditeurs. Je me dis que si ça continue je vais peut être devoir publier uniquement en ligne gratuitement, quitte à faire un Ulule si cela plait.
On viens enfin de nous installer la fibre, donc je vais pouvoir refaire des lives twitch de temps en temps. Mon objectif est surtout de streamer des dessins ou illus que j'aurais en cours, mais pour cela il faut que je me dégotte un meilleur micro que celui de mon casque et que je teste mon set up actuel. Donc si tout va bien (et selon mes finances pour le micro) peut être que je pourrais streamer correctement vers Mars/Avril.
CONCLUSION
Je sais qu'il ne faut pas que je me fixe des objectifs trop haut, qui du point de vue de ma santé et de ma vie quotidienne (gestion de la maison, ménage, animaux, administratifs, rendez vous médicaux, gestion de mon shop, dédicaces, commandes, relations amicales et amoureuses...) serait juste impossible à réaliser. Mais je vais faire du mieux que je peux ^^
Je vous souhaite une belle année 2024, pleine de promesses, douceur, bienveillance mais aussi de manifs, militantisme et d'humanité.
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maaarine · 9 months ago
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Wallonie: une mère sur deux risque une dépression post-partum (Sandra Durieux, Le Soir, 22 fév 2024)
"« Pour moi, rien n’est agréable dans la maternité, tout n’est que souffrance, fatigue et inquiétude. »
Voilà 18 mois maintenant que Margot a donné naissance, à 30 ans, à son petit garçon.
Dix-huit mois qu’elle éprouve un profond mal-être que jamais elle n’aurait imaginé ressentir.
« Je n’avais aucun souci de santé mentale avant mon accouchement, confie-t-elle.
Au contraire, j’étais plus du genre à prendre les gens qui en souffraient de haut, en disant qu’il suffisait de le vouloir pour s’en sortir.
Maintenant je sais ce que c’est d’être dans un état tel d’angoisse, de dégoût et de culpabilité qu’on se pose la question de savoir s’il ne faudrait pas en finir.
Je ne franchirais pas le pas mais j’ai du mal à apercevoir la lumière au bout du tunnel. »
Un bébé arrivé très rapidement alors que jusque-là, elle ne souhaitait pas avoir d’enfant, un allaitement quelque peu forcé à l’hôpital, un petit bout hospitalisé à 6 semaines, un compagnon indépendant qui doit très vite reprendre le travail et un entourage qui juge son mal-être comme étant « normal »
(…)
Solidaris a également épinglé des profils particulièrement à risque : chez les néo-mères, la monoparentalité, la mauvaise santé du nouveau-né, le fait que celui-ci soit le fruit du premier accouchement, le fait d’avoir moins de 25 ans et le fait d’avoir accouché par césarienne sont des facteurs qui augmentent significativement le taux d’initiation d’une consommation d’antidépresseurs après la grossesse.
Elle montre également que les mères aidantes proches, ayant perdu leur emploi, victimes de violences, ayant fait l’expérience de difficultés avec le personnel soignant et bénéficiant de peu de soutien sont davantage à risque de dépression du post-partum.
Pour Solidaris, au regard de sa prévalence, la dépression post-partum est tant un enjeu de santé publique que de justice sociale et de genre.
« Et il existe, selon nous, plusieurs leviers d’action sur lesquels travailler pour endiguer ce phénomène, assure Basile Cornet, expert Etudes et plaidoyer chez Solidaris.
Ainsi, nous réclamons des mesures de soutien aux parents comme l’extension du congé de maternité à 21 semaines, une augmentation des places en crèches et leur mise à disposition sans conditions ou encore un alignement du congé de naissance (du co-parent) sur celui de la mère.
La jeunesse des mères est un facteur de risque. Il faut une généralisation des cours d’Evras et une pérennisation du droit à l’IVG.
Nous estimons aussi qu’il faut un screening systématique pour la dépression du post-partum pour la mère et le co-parent. »
Pour Margot, ce suivi par les professionnels devrait presque être forcé.
« Car à force d’entendre l’entourage nous dire que ce qu’on vit et subit après la naissance est normal, on finit par le croire et on se dit que nous aussi on va surmonter cette angoisse seule.
Or ce n’est pas le cas. On se sent de plus en plus incompris, incapable et coupable de ne pas être une bonne mère au fil des semaines.
On s’isole de plus en plus et on tombe dans un cercle vicieux très dangereux. J’aurai aimé que quelqu’un me force à en sortir. »"
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orthodontiste · 11 months ago
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Le Rôle Essentiel des Orthodontistes dans l'Embellissement des Sourires
Les orthodontistes jouent un rôle essentiel dans le domaine de la santé dentaire, contribuant significativement à l'amélioration des sourires et à la confiance de leurs patients. Leur spécialité va au-delà de simples corrections esthétiques, touchant également des aspects importants de la santé bucco-dentaire.
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L'une des principales missions des orthodontistes est de diagnostiquer et de traiter les problèmes liés à la position des dents et des mâchoires. En ajustant la structure dentaire, ils aident à résoudre des problèmes tels que les malocclusions, les espaces indésirables, et les problèmes de morsure.
Cependant, leur impact ne se limite pas à l'aspect esthétique. Un alignement approprié des dents contribue également à une meilleure fonctionnalité buccale, facilitant la mastication et réduisant le risque de problèmes tels que les caries et les maladies des gencives.
Les orthodontistes utilisent diverses techniques, des appareils traditionnels aux aligneurs transparents, pour créer des plans de traitement personnalisés. Ils travaillent en étroite collaboration avec leurs patients, éduquant sur les soins dentaires appropriés pendant le traitement.
En fin de compte, le travail dévoué des orthodontistes va au-delà de simples ajustements physiques. Ils offrent aux individus la chance d'avoir un sourire qui reflète non seulement la beauté, mais aussi la santé et le bien-être bucco-dentaire. Grâce à leur expertise, des milliers de sourires sont transformés, apportant confiance et bonheur à ceux qui choisissent de parcourir le chemin de l'orthodontie.
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thebusylilbee · 1 year ago
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«Il fait trop chaud pour travailler», disait la publicité dans les années 90. D’accord, mais à part boire un Pulco, on fait quoi ? Alors que les phases caniculaires tendent à se répéter année après année, la question est sérieusement posée. Car face à un code du travail pour le moins discret, la documentation du risque se fait de plus en plus abondante. L’Institut national de recherche et de sécurité (INRS), spécialisé dans la prévention des risques au travail, estime qu’«au-delà de 30°C pour une activité sédentaire, et 28°C pour un travail nécessitant une activité physique, la chaleur peut constituer un risque pour les salariés».
Or, depuis quelques étés, ces températures virent au banal en extérieur. A partir de ce jeudi 17 août et pour plusieurs jours, des températures très élevées devraient ainsi s’installer sur une bonne partie du pays, avec des pointes à 40°C attendues dans le Midi.
Le secteur du bâtiment parmi les plus exposés
Les métiers concernés sont nombreux, et leurs effectifs considérables. Selon l’enquête «Sumer», menée par la direction de la recherche du ministère du Travail, près de 1,5 million de salariés «travaillent au chaud» – soit plus 24°C – et 3,6 millions travaillent en extérieur. Mais ils sont près de 9,7 millions de travailleurs à se dire incommodés par la chaleur dans leur activité professionnelle, selon l’enquête «Conditions de travail» menée par la même Dares.
Au final, on estime donc que 14 à 36 % des salariés sont soumis à la chaleur dans leur activité professionnelle. [...] Dans l’enquête Conditions de travail, plus de 80% des ouvriers qualifiés des travaux publics, du béton et de l’extraction disent subir un «inconvénient du travail lié à une température élevée».
Des conséquences sur le stress, la fatigue et la concentration
Dans la construction de routes par exemple, «on réceptionne le matériau entre 160 et 180°C, et on a les pieds dessus», explique Frédéric Mau, secrétaire fédéral de la CGT Construction. «Quand il fait 33°C au thermomètre, nous au sol on est déjà à 45°C.» La proportion est similaire chez les jardiniers et les maraîchers, et dépasse les 70 % chez les agriculteurs, les sylviculteurs et les bûcherons.
Les conséquences de la chaleur sur la santé des travailleurs sont connues. En premier lieu, ceux-ci subissent «un “stress thermique” qui favorise la fatigue, voire l’épuisement, et diminue un certain nombre de capacités : baisse de la vigilance et de la concentration, moindre qualité de traitement des informations, augmentation des temps de réaction, vision troublée, nervosité et modification de l’humeur, etc.», liste France Stratégie dans une note d’analyse publiée fin juin.
Mais il y a aussi des conséquences indirectes : «Dans le secteur manufacturier, une étude récente a montré qu’à partir de sept jours de température située au-dessus de 35°C, une augmentation de 5 % d’absentéisme est observée», relève France Stratégie, en soulignant que «les réorganisations en “flux tendu” qui en découlent peuvent ensuite favoriser une intensification du travail avec toutes les conséquences que cela peut produire en matière de santé».
Une aggravation des inégalités sociales
A quoi s’ajoute une réalité sociologique : bien souvent, les travailleurs concernés souffrent d’autres facteurs aggravants «liés à leurs conditions de vie». Ainsi, ils vivent plus que d’autres dans des logements mal isolés, eux-mêmes situés dans des quartiers éloignés de leur lieu de travail, qui peuvent être une «zone urbaine délaissée et touchée par le phénomène de l’îlot de chaleur urbain». [...]
Et les solutions parfois adoptées par les entreprises, comme une adaptation des horaires pour faire démarrer les chantiers aux aurores, souffrent de certains revers : en faisant se lever les salariés au moment le plus frais de la nuit, donc lorsque leur sommeil pourrait être le plus réparateur, on prend le risque de les fatiguer davantage, font valoir des syndicats.
Pouvoir moins travailler pendant les épisodes de chaleur
Le code du travail est-il suffisamment garni pour répondre à cette situation ? Non, estiment des partis politiques de gauche. Dans un «plan d’urgence pour passer l’été» présenté en cet été, Europe Ecologie-les Verts plaide pour introduire dans le code du travail «la possibilité d’exercer son droit de retrait lorsque la température est d’au moins 33°C». A LFI, les députées Mathilde Panot et Caroline Fiat ont, elles, déposé une proposition de loi contenant quelques évolutions législatives.
Certaines sont liées à l’activation des niveaux de vigilance météorologique : un temps de travail journalier qui ne peut excéder six heures en cas de vigilance orange (niveau 3), une obligation pour l’employeur de prendre «les mesures nécessaires pour permettre aux travailleurs d’arrêter temporairement leur activité sans perte de salaire» en cas de vigilance rouge (niveau 4). Et, dès lors que la température dépasse 28°C sur le lieu de travail en extérieur, un droit à des pauses plus longues et plus régulières sans perte de salaire.
L’exemple du «chômage intempérie»
Côté syndical, toutes ces idées ne sont pas accueillies de la même manière. Pour Frédéric Mau, de la CGT, la proposition écolo d’un droit de retrait à partir de 33°C constitue en réalité un recul : «Le droit de retrait est déjà dans le code du travail, à l’initiative du salarié quand il s’estime en danger. Le fait d’inscrire une température réduit ce droit !» [...]
En revanche, une idée qui figure dans la proposition de LFI semble emporter une forme d’unanimité, y compris patronale. Ce qui n’était pas forcément évident au départ [...]. Cette idée consiste à faire évoluer le dispositif du «chômage intempérie» dont s’est doté le secteur du BTP dans les années 50 pour, à l’époque, minimiser les frais en cas d’arrêt des chantiers pour cause de pluie, de tempête ou de neige. Proche du chômage partiel, la formule consiste en une indemnisation du salarié privé de travail à hauteur d’environ 75% de son salaire brut, tandis que l’employeur est lui-même indemnisé par une caisse abondée par des cotisations émanant des entreprises du BTP.
«Depuis 2004, le régime de chômage intempéries du BTP a mis en place une commission canicule qui indemnise au cas par cas, mais ce n’est pas généralisé», explique Sophie Sebah, directrice des relations du travail et de la protection sociale à la Fédération nationale des travaux publics (FNTP).
Début mai, les quatre branches du secteur, dont la FNTP et la plus puissante encore Fédération française du bâtiment (FFB) ont donc écrit au ministre du Travail, Olivier Dussopt, pour lui demander que la canicule soit intégrée parmi les risques climatiques permettant d’activer le «chômage intempéries». Même si «cela ne peut pas constituer l’alpha et l’omega», l’idée est accueillie favorablement par la CGT… «en attendant les transformations de fond», précise Frédéric Mau. Qui prévient, en écho à la dernière réforme des retraites : «Quand on fera travailler des gens de 64 ans par 50°C, le Covid et ses 150 000 morts apparaîtront comme une blague à côté de ce qui se passera.»
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nietp · 1 year ago
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17 septembre 2023 | Par Caroline Coq-Chodorge
Le psychiatre Mathieu Bellahsen dénonce, dans le livre « Abolir la contention », la banalisation de cette pratique en psychiatrie, présentée comme un soin, alors qu’elle consiste à attacher les patients. À ses yeux, elle relève d’une « culture de l’entrave », un penchant naturel de la psychiatrie, qui exige des contre-pouvoirs.
« Abolir la contention », c’est la proposition du psychiatre Mathieu Bellahsen, dans un livre qui vient de paraître. Elle est provocatrice tant cette pratique – qui consiste à immobiliser, en les attachant, les patientes et les patients jugé·es trop agité·es – est répandue : en psychiatrie, dans les Ehpad ou aux urgences. En 2021, 10 000 personnes auraient subi une contention en établissement psychiatrique, un chiffre très en-deça de la réalité puisque ces pratiques ne sont pas toujours déclarées. Régulièrement, la contrôleuse générale des lieux de privation épingle des établissements de santé pour des atteintes aux droits humains dans leur pratique de la contention.
Pour le Dr. Bellahsen, ces pratiques relèvent d’une culture de l’entrave, une autre forme de culture de la domination, propre à la psychiatrie. Il affirme que la contention n’est pas indispensable : il l’avait bannie dans le pôle qu’il a dirigé à l’hôpital de Moisselles (Val-d’Oise). Environ 15 % des établissements psychiatriques n’y auraient pas recours. Mais loin d’être encouragés pour leurs bonnes pratiques, ils sont souvent sanctionnés ou menacés.
Pour écrire votre livre, vous avez recueilli les témoignages de personnes qui ont vécu la contention. Ils décrivent tous une expérience violente, douloureuse, traumatisante, qui a parfois brisé toute confiance dans l’institution psychiatrique. Ces récits vous ont-ils surpris ?
Mathieu Bellahsen : J’ai souhaité apporter ma pierre à l’édifice, sur un point qui n’est jamais abordé : comment se passe-t-on de ces pratiques ? Ma femme [la psychiatre Loriane Bellahsen – ndlr] m’a soufflé l’idée des témoignages, car c’est ce à quoi nous œuvrons depuis longtemps : que les premiers concernés prennent la parole, pour sortir de l’ordinaire de la psychiatrie, écrite par ceux qui ont le pouvoir… Et cela a été permis par les associations HumaPsy, Comme des fous et le Cercle de réflexion et de proposition d’actions sur la psychiatrie (CRPA).
Cette culture de l’entrave est un penchant naturel de la psychiatrie, qui se développe quand les conditions politiques y sont favorables.
Je savais que la contention était une expérience traumatique. En premier lieu pour les patients et aussi pour certains soignants. Ce qui m’a frappé, c’est à quel point les récits de ces violences ressemblent aux récits des violences sexuelles, de viol, d’inceste. On est sur un lit, attaché, des gens nous font des choses et on ne peut pas se défendre. Pour des personnes qui ont vécu des violences sexuelles – et elles sont nombreuses en psychiatrie – l’expérience de la contention réactive leur traumatisme.
J’ai aussi recueilli le témoignage d’un ami d’une personne morte en contention. C’était important d’avoir le récit de proches, et d’évoquer les morts. D’après un rapport de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), il y aurait eu 42 morts en contention entre 2011 et 2019. Mais l’agence reconnaît elle-même que ce sont des décès volontairement signalés. Combien ne sont pas déclarés ? Les patients craignent des représailles, et leur parole est très souvent invalidée.
Dans votre travail de recherche, vous avez constaté qu’il y a très peu d’études sur ces pratiques, leur efficacité éventuelle ou leurs risques.
J’ai trouvé 300 articles dans la littérature internationale depuis les années 1970, et dans tous ces articles, il y a une constante : le manque de données. Par comparaison, il y a 110 000 articles sur les psychotropes. Cela indique que la contention mécanique est une pratique honteuse. Des études s’intéressent au vécu des soignants, très peu au vécu des patients.
En 2016, il y a eu un engagement politique à réduire les pratiques d’isolement et de contention. Elles n’ont en réalité cessé d’augmenter, comme le montre une étude récente.
En France, ces données sur l’isolement et la contention sont très récentes. Elles ne sont recueillies que depuis 2016 et réellement analysées que depuis quelques mois par des chercheurs. Et elles ne sont pas complètes : le récent rapport de la contrôleuse générale des lieux de privation de liberté (CGLPL) sur le centre hospitalier de Niort relève que les mesures d’isolement et de contention n’y sont pas enregistrées.
Vous parlez d’une culture de l’entrave, par analogie avec la culture du viol. De la même manière, elle se dévoile parfois, comme à l’hôpital Sainte-Anne à Paris en 2010.
Deux services de l’hôpital Sainte-Anne à Paris ont accepté qu’un documentaire – Sainte-Anne, hôpital psychiatrique de Ilan Klipper – soit tourné dans ses murs. Avant sa diffusion, en 2010 sur Arte, il a été présenté au personnel et à la direction. Aucun patient n’était présent. Il a été reçu positivement, ces premiers spectateurs ont trouvé que de l’humanité se dégageait du film.
Mais à sa diffusion, il a fait scandale : les spectateurs ont découvert de la maltraitance ordinaire, des brimades, des mesures de rétorsion. Le documentaire montre des personnes attachées, parfois presque nues, malmenées verbalement par des soignants. Ce documentaire a été retiré et interdit de diffusion. Les chefs de service, dont l’un était aussi président de la commission médicale d’établissement de l’hôpital Sainte-Anne, ont été sanctionnés par l’Ordre des médecins de peines d’interdiction d’exercice.
Cela illustre bien la culture de l’entrave, cette culture de la domination, qui conduit à attacher les patients « pour leur bien ». Les soignants et la direction de cet hôpital n’ont pas vu l’horreur de ce qui était montré.
Cette culture de l’entrave est un penchant naturel de la psychiatrie, qui se développe quand les conditions politiques y sont favorables. C’est la phrase de Lucien Bonnafé : « On juge du degré de civilisation d’une société à la façon dont elle traite ses fous. » Elle a régressé à des moments clés, politiques : après la Révolution française avec Philippe Pinel, le libérateur des aliénés ; après la Seconde Guerre mondiale et l’horreur concentrationnaire, avec le développement de pratiques désaliénistes et de la psychothérapie institutionnelle.
Aujourd’hui, on vit dans une société traversée par l’obsession sécuritaire, la peur des migrants, des fous. Les soignants sont aussi traversés par tout ça. L’emmurement du monde produit un emmurement des relations humaines.
De nombreux psychiatres présentent la contention comme un soin, une manière de contenir le patient. Pourquoi est-ce que cela vous révolte ?
La psychiatrie actuelle enrobe ses pratiques douteuses, voire sadiques, sous des concepts progressistes et positifs. En 2021, Olivier Véran, alors ministre de la santé, a parlé devant l’Assemblée nationale de « la dimension thérapeutique de l’isolement ». La contention mécanique est une mesure de contrôle. Peut-être que l’on ne peut pas faire autrement dans certaines situations, mais de là dire que c’est « un soin »…
Cette culture de l’entrave est soutenue de manière officielle.
Des psychiatres argumentent que la contention apporte de la « contenance psychique ». Qu’est-ce que c’est que la contenance ? C’est la manière dont l’enfant, parce qu’il est regardé, porté, bercé, prend conscience des limites de son corps. Le bébé, au départ, ne distingue pas son corps du monde environnant. Chez certains malades psychiatriques, leur corps vécu n’est pas limité à leur corps charnel. On le voit notamment chez des personnes qui se promènent avec des tas de sacs, d’objets, qu’ils perçoivent comme des parties de leur corps. Contention vient du latin contentio, « tension », tandis que la contenance provient de continere, « maintenir uni ». Cela n’a rien à voir. Amalgamer la contention à la contenance est une entreprise de banalisation de la violence.
En psychiatrie, il y a une autre manière de travailler sur la contenance : le « packing », qui a été fortement décrié. Vous racontez avoir utilisé cette technique.
Le packing permet de se passer de la contention. La différence essentielle est que le patient y consent. Par exemple, je raconte que lors d’une garde, j’ai été appelé dans un autre service pour contentionner un patient. Heureusement, j’y allais avec des collègues qui étaient aussi formés au packing. On l’a proposé au patient, qui l’a accepté : à quatre soignants, on l’a enveloppé, massé, bercé, il a pu se détendre. On a pu comprendre que ce patient était furieux parce que sa famille n’était pas venue le voir. Après ce soin corporel psychothérapique, il n’a pas eu besoin de contention mécanique.
Au niveau juridique, des avocats et des associations d’usagers bataillent pour un encadrement des pratiques d’isolement et de contention. Chaque isolement, et a fortiori toute contention, doit être encadré par un certificat médical, et peut être contesté devant le juge des libertés et de la détention. Mais là encore, ce combat est perverti : vous estimez qu’en encadrant ces pratiques, on les a légitimées.
Oui, parce qu’il n’y a pas eu de débat de fond sur ces pratiques, on en est restés à de la pure forme. En psychiatrie, on devrait dire ce qu’on fait, et rendre des comptes. Mais qu’a fait le gouvernement ? Dans le même temps où on demande à l’hôpital psychiatrique de fournir des certificats, on diminue ses moyens. Aujourd’hui, dans nombre d’hôpitaux, ce sont des intérimaires, qui ne connaissent pas les patients, qui font des certificats à la chaîne. Il fallait au contraire investir dans le service public de psychiatrie, pour moins isoler, attacher, médicamenter et hospitaliser sans consentement.
Aujourd’hui, ces certificats sont souvent vécus comme une contrainte administrative supplémentaire.
Environ 15 % des établissements ne pratiquent pas la contention. C’était le cas du service que vous avez dirigé à l’hôpital de Moisselles. Mediapart a enquêté sur la façon dont vous avez été démis de vos fonctions par la direction, dans le cadre d’un conflit sur la pratique de l’isolement au moment du confinement en mars 2020.
Mathieu Bellahsen, psychiatre. © Photo Sébastien Calvet / Mediapart
Dans notre secteur, la contention était bannie. Les portes restaient ouvertes, même pour les personnes hospitalisées sans consentement. On pratiquait l’isolement, mais de manière aussi courte et séquentielle que possible. Et on essayait d’en faire un moment qui crée du lien. On contactait tout de suite la famille, l’entourage. Et pour que le patient s’acclimate au service, on autorisait d’emblée la pause clope, voire la participation aux repas.
Nous tentions de développer une contre-culture du soin, les patients étaient au cœur de nos pratiques, on était au point de bascule où certains des dispositifs de soins se construisaient avec eux. Mais cela bousculait l’ordre établi.
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Collectivement, nous avons été naïfs : nous pensions qu’il y avait suffisamment de contre-pouvoirs dans l’établissement et en dehors pour qu’on soit soutenu. La Haute autorité de santé, le CGLPL, nous félicitaient régulièrement pour nos pratiques respectueuses des droits des patients. Cela flattait la direction, j’ai même été nommé « pilote droit des patients » avant le Covid.
Quand le premier confinement a commencé, la plupart des patients comprenaient la nécessité de l’isolement volontaire. Un de nos patients, dès février 2020, quand personne ne prenait ce virus au sérieux, nous a même dit : « Vous les soignants, n’approchez pas, vous allez me contaminer ! » Prescience du délire, il avait tout pigé avant tout le monde.
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Pourtant, dans plusieurs services de cet hôpital, les patients étaient systématiquement isolés dans leur chambre, porte fermée à clé notamment dans l’unité Covid.  J’ai saisi la CGLPL avec des collègues du collectif de soin, pour alerter sur cette confusion entre le confinement sanitaire et l’isolement psychiatrique. Elle nous a donné raison, et elle a publié une recommandation en urgence de portée nationale. J’ai pensé que l’hôpital ferait amende honorable comme l’avait fait le Centre psychothérapique de l’Ain, qui s’est remis en question de fond en comble (lire notre article). Il n’en a rien été. Et cela s’est retourné contre nous.
Une plainte devant le tribunal administratif est en cours pour dénonciation calomnieuse et harcèlement, retrait de chefferie abusive. Je suis aidé par le Défenseur des droits et la Maison des lanceurs d’alerte, car mon statut est compatible avec celui de lanceur d’alerte.
Vous n’êtes pas seul à subir des rétorsions.
Cette culture de l’entrave est soutenue de manière officielle, il y a de nombreux autres exemples. Le CGLPL a écrit en mars 2022 au ministre de la santé Olivier Véran, pour l’alerter sur la restructuration de l’hôpital de Chinon (Indre-et-Loire), qui menace les pratiques exemplaires de l’établissement, où il n’y a ni isolement ni contention. Olivier Véran a choisi de soutenir la restructuration, pour résorber la dette de l’établissement.
L’hôpital de Laragne (Hautes-Alpes) développe depuis des années une contre-culture. Il a refusé les crédits alloués pour créer des chambres d’isolement. Pour cette raison, l’Agence régionale de santé menace aujourd’hui de lui retirer son agrément pour des hospitalisations sans consentement. Par contre, les hôpitaux épinglés par le CGLPL pour leurs pratiques n’ont eux pas de problème… On étouffe ceux qui essaient de faire autrement.
En écrivant ce livre, j’ai compris qu’il y a un fourmillement d’initiatives de soignants et de patients, partout dans le monde. Localement, les gens essaient d’avoir d’autres imaginaires, allant de l’anti-psychiatrie à des pratiques de psychiatrie critique. La psychiatrie a besoin de contre-pouvoirs pour limiter ses penchants asilaires.
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Cet article a été modifié, le 18 septembre à 11h, pour intégrer quelques précisions. Le chiffre officiel de 10 000 contentions pratiquées en France en 2021 est largement sous-estimé, car seuls les établissements psychiatriques ayant une autorisation d'hospitalisation sous contrainte ont une obligation de déclaration. Or la contention est pratiquée bien plus largement.
Ensuite, l'encadrement juridique de l'isolement et de la contention fait suite à des procédures portées par des avocats défendant des personnes ayant subi ses pratiques, soutenus par des associations d'usagers, notamment le Cercle de réflexion et de proposition d’actions sur la psychiatrie (CRPA).
Enfin, ce n'est pas en 2011, mais en 2016, par la loi de modernisation de notre système de santé, qu'a été fixé un objectif de réduction des pratiques d'isolement et de contention.
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Jouets de bain en plastique 👉 matière naturelle ?
✔️ A défaut de jouets sans plastique, le Centre hospitalier régional universitaire (CHRU) de Lille fait une recommandation, sur le site des 1000 jours pour la santé : « Recherchez les indications « sans phtalates » ou « sans PVC ». Préférez les jouets […] en matière naturelle. » 🌍
🔊 Concernant les jouets en matière naturelle, pour le bain, je suppose que les jouets en caoutchouc naturel font partie des jouets vers lesquels oriente le CHRU de Lille. Concernant les indications « sans phtalates » ou « sans PVC », comme le souligne Patrice Halimi, qui est Chirurgien-Pédiatre et co-fondateur de l'Association Santé Environnement France (ASEF), « ce type de mention provient des fabricants et ne donne pas d’indication sur les substituts choisis. ».
Concernant ces substituts, une étude de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses), datée de 2016, a produit une évaluation de risques dont les conclusions sont assez rassurantes, pour les substituts qui ont pu être évalués. 📚
#plastiques
#jouetsnaturels
#jouetsecologiques #jouetsdebain
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des-mots-sur-maux · 1 year ago
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4 juillet 2023
Deuxième rendez-vous avec la psychologue du centre poids et santé, qui m’a remué psychologiquement les pensées que j’ai coincé dans ma tête, mon remède pour m’en sortir serait d’écrire sur papier mon ressenti que j’étouffe assez régulièrement, je ne sais pas quoi faire de mes émotions. Pour m’en rendre compte il faut que j’y travaille que j’y pense et que j’accepte de les accueillir pour ne plus sentir de frustration. J’ai beaucoup de mal à communiquer donc les écrire serait utile car sinon je risque de replonger dans les ténèbres , ce qui en est ressorti de cet entretien c’est que j’ai un énorme conflit en moi entre mon droit de vivre et la mort. Ce qui est réel mais je ne parviens pas à y mettre des mots. La thérapie m’aide à m’en rendre compte. J’ai ce droit de vivre j’aimerai chasser ces idées noires, mes craintes qui me pourrissent l’existence. Je sais que j’ai une peur énorme de l’abandon mais je ne savais pas que ça pouvais être aussi nocif et que cette dépendance affective me gâche la vie. Car un être humain ne peut pas être dépendant d’un autre être humain. Et je me fait du mal c’est pour cela que mes relations amicales sont compliqué à entretenir pour moi. Car je suis peut être trop dépendante et que je devrais laisser respirer ces personnes. Tout comme une ancienne relation que j’ai eu, j’admet que je n’ai pas été correcte car j’avais tellement peur d’être à l’abandon que ça m’a conduit à commettre des ts.
Ce qui explique sûrement ma dépendance affective envers les êtres humains..
Je m’abîme l’existence de mon corps je ne me respecte pas. J’en ai vraiment honte et je ne peut pas continuer dans cet esprit là. Ça risque de devenir dangereux et incompatible. Il faudrait que je retrouve ce goût de vivre et respecter mon corps personne ne pourra le faire à ma place.
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actu-juridique · 1 day ago
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L’enquête réalisée à l’occasion d’une procédure disciplinaire – Regards croisés droit public/droit privé
https://justifiable.fr/?p=109 https://justifiable.fr/?p=109 #croisés #disciplinaire #droit #dune #Lenquête #loccasion #privé #procédure #publicdroit #réalisée svetazi/AdobeStock Lorsque des règles communes trouvent à s’appliquer dans les relations salariés/employeurs et administration/agent public, il est de bon ton de le signaler. C’est en matière d’enquête interne, préalable éventuel à une sanction disciplinaire, que les pratiques convergent. Alors qu’il est loisible de lire à l’envi que la parole se libère, il ne faut sans doute pas s’étonner de ce que le droit des travailleurs s’outille afin d’accompagner cette lame de fond. La souffrance au travail doit être verbalisée, puis entendue et enfin réparée. C’est en particulier dans ce contexte protecteur qu’a émergé l’enquête interne, qui permet notamment de s’assurer de la matérialité de faits fautifs commis à l’occasion du travail. Simple faculté de mener une telle enquête en droit de la fonction publique, mais véritable obligation de l’employeur de droit privé, cette enquête interne n’a cessé de troubler théoriciens et praticiens, tant le cadre juridique de son déploiement paraissait et paraît encore flou. Côté droit privé, autrement dit droit appliqué aux salariés des entreprises privées, dès que des faits de harcèlement étaient dénoncés, l’employeur se devait, non seulement d’enquêter1, mais également de se montrer réactif2. Peu importait d’ailleurs que le harcèlement moral ne soit finalement pas constitué. Autrement dit, c’était même en présence d’une « simple » souffrance au travail et sur le terrain de la prévention des risques que naissait la nécessité de diligenter une enquête. Ainsi, en cas d’inertie de l’employeur, le salarié se voyait fondé à solliciter des dommages et intérêts au seul motif de l’absence d’engagement de l’enquête3. Un arrêt récent, dont la portée précise reste encore à déterminer4, semble revenir sur cet édifice jurisprudentiel sévère pour l’employeur. Cet arrêt énonce que « dans son appréciation souveraine des éléments de preuve qui lui étaient soumis, la cour d’appel, qui a fait ressortir que l’employeur avait pris les mesures suffisantes de nature à préserver la santé et la sécurité de la salariée, a pu en déduire, nonobstant l’absence d’enquête interne, que celui-ci n’avait pas manqué à son obligation de sécurité5 ». En d’autres termes, à la suite d’une dénonciation de harcèlement moral, l’absence d’enquête interne n’emporterait plus systématiquement un manquement à l’obligation de sécurité, dès lors que l’employeur a pris les mesures suffisantes de nature à préserver la santé et la sécurité du salarié victime de faits de harcèlement moral. Ceci signifierait donc que l’employeur pourrait échapper à une condamnation en démontrant qu’il a pris d’autres mesures pour préserver la santé du salarié concerné. L’enquête interne ne serait donc plus qu’un moyen parmi tant d’autres afin de démontrer que l’employeur a satisfait à ses obligations en matière de santé et de sécurité au travail. Reste que cet arrêt a été rendu dans un contexte particulier car en l’espèce l’arrêt maladie de la salariée rendait difficile la mise en place d’une enquête interne. Il apparaît par ailleurs important de souligner que, en bien des hypothèses, l’enquête interne demeurera le moyen le plus efficace au bénéfice de l’employeur afin de démontrer, en cas de contentieux, qu’il a pris la mesure des faits de harcèlement portés à sa connaissance. En outre, et quelle que soit la portée de l’arrêt précité6, il revient toujours à l’employeur de se montrer proactif dès lors qu’il entreprend de sanctionner un salarié pour des faits de harcèlement moral ou sexuel, afin d’assurer cette fois la sécurisation de la procédure disciplinaire. Le rapport d’enquête peut en effet être produit en justice pour soutenir un licenciement et permettre de démontrer que l’employeur a satisfait à ses obligations de prévention en matière de sécurité et santé au travail7. Ce constat se retrouve lorsque de tels faits sont dénoncés par un agent public. Là encore, aucun texte particulier ni aucun principe général du droit ne vient encadrer la procédure de l’enquête administrative. En conséquence, l’autorité administrative dispose d’un pouvoir discrétionnaire pour l’organiser, la mener et en tirer les conséquences. En ce sens, le Conseil d’État a jugé qu’« aucune disposition législative ou réglementaire, ni aucun principe général du droit, n’obligeait l’administration à procéder à une enquête disciplinaire et, notamment, à entendre les témoins éventuels des faits invoqués par M. A dans la lettre du 6 mars 2002 ; que l’administration n’avait pas non plus à communiquer à M. A le rapport établi par l’adjoint au directeur départemental de la sécurité publique des Bouches-du-Rhône à l’issue de l’enquête administrative contestée par M. A dans sa lettre du 29 mars 2002 ainsi que le rapport de l’Inspection générale de la police nationale sur le fonctionnement de la circonscription de sécurité publique que dirigeait M. A, dont le contenu était sans rapport avec les griefs formulés à l’encontre du requérant ; que, par suite, M. A n’est pas fondé à soutenir que la procédure suivie pour prononcer la sanction attaquée n’aurait pas été régulière »8. Le recours à l’enquête administrative ne représente donc qu’un moyen parmi d’autres à disposition de l’administration pour établir la matérialité des faits dénoncés et en tirer les conséquences sur la suspension provisoire de l’agent, sa sanction ou l’octroi de la protection fonctionnelle à l’agent victime de faits de harcèlement. De jurisprudence constante, il est retenu que « l’administration, à qui incombe la charge d’établir devant le juge de l’excès de pouvoir la matérialité des faits qu’elle reproche et qui constituent le support de sa sanction disciplinaire, est en droit de rechercher les éléments de nature à établir les agissements fautifs de ses agents, notamment en recueillant les témoignages qu’elle juge nécessaires »9. L’absence d’enquête administrative préalable à l’engagement d’une procédure disciplinaire ne saurait donc être soulevée comme moyen justifiant l’annulation d’une décision de sanction. Les juridictions administratives en tirent d’ailleurs toutes les conséquences en estimant que le pouvoir discrétionnaire, ainsi reconnu à l’administration en la matière, s’apparente à une simple mesure d’ordre intérieur, insusceptible de recours contentieux. Par exemple, la cour administrative d’appel de Paris a jugé que « la décision de procéder ou non à une enquête interne constitue une mesure d’ordre intérieur. Par suite, le refus que l’administrateur du Collège de France a opposé à la demande de Mme A B. de diligenter une enquête administrative portant sur les agissements d’un professeur ne revêt pas le caractère d’une décision susceptible de faire l’objet d’un recours pour excès de pouvoir »10. Il n’en demeure pas moins que cet outil, en présence de faits dont la matérialité serait difficile à constater, participe à la manifestation de la vérité et donc à sécuriser une éventuelle procédure disciplinaire et/ou une décision portant octroi de la protection fonctionnelle. En cela, elle peut donc s’avérer précieuse. Ainsi, en matière de harcèlement en lien avec le service, il ressort de la jurisprudence classique en la matière qu’en présence de faits susceptibles de recevoir la qualification de harcèlement il appartient à « l’administration de produire, en sens contraire, une argumentation de nature à démontrer que les agissements en cause sont justifiés par des considérations étrangères à tout harcèlement »11. La décision de provoquer une enquête interne au sein du service participera ainsi à la sécurisation de la décision prononcée. Sur ce point, la cour administrative d’appel de Nancy a pu valider la décision prise par l’administration à l’appui des résultats de l’enquête pour juger que « les résultats de l’enquête administrative diligentée par ses soins n’avaient fait apparaître aucun agissement constitutif d’un harcèlement moral au sens des dispositions du Code pénal ; (…) Considérant, en premier lieu, qu’il appartient au requérant présentant des conclusions tendant à l’annulation d’une décision administrative d’établir l’illégalité de cette décision ; qu’en l’espèce, le bien-fondé du refus de protection fonctionnelle opposé par le ministre de la défense étant subordonné à l’absence d’agissements constitutifs de harcèlement moral, il appartenait à l’intéressé de démontrer l’existence de faits permettant de présumer l’existence d’un harcèlement moral ; que, par suite, M. n’est pas fondé à soutenir que les premiers juges lui auraient imputé à tort la charge de la preuve en relevant qu’il n’avait pas établi l’existence de faits constitutifs de harcèlement moral »12. Si aucune obligation ne s’impose à l’employeur public pour diligenter une telle enquête, dès lors que la décision est prise de la mener, l’enquête devra respecter un certain nombre de principes, notamment issus de l’obligation de loyauté entre l’administration et ses agents (qu’ils soient titulaires ou contractuels). En cela, les pratiques applicables en matière d’enquête concernant un agent de droit privé ou de droit public présentent de nombreuses similitudes tenant notamment au fait que l’enquête administrative – bien que ses conclusions puissent servir au prononcé d’une sanction disciplinaire – ne constitue pas une procédure disciplinaire, justifiant de fait que les garanties attachées à une telle procédure ne soient pas reconnues à l’agent. Dès lors, qu’il s’agisse d’enquête visant des travailleurs de droit privé ou des agents de droit public, l’existence d’une protection relative des acteurs de l’enquête interne mérite d’être soulignée (I), de même qu’une application limitée de la notion d’équité (II). I – La protection relative des acteurs de l’enquête interne Deux points de convergence surviennent avec évidence en comparant le droit des salariés et celui des agents publics : l’absence de fondements textuels précis à valeur normative applicables à l’enquête interne (A) et l’existence d’un socle de garanties minimales accordées durant l’enquête (B). A – L’absence de fondements textuels précis à valeur normative applicables à l’enquête interne Dans les entreprises soumises au droit privé, il apparaît assez frappant de constater le faible ancrage de l’enquête interne dans l’édifice normatif. L’accord national interprofessionnel du 26 mars 2010 sur le harcèlement et la violence au travail recommande certes : « les plaintes doivent être suivies d’enquêtes et traitées sans retard13 ». Ce texte ne possède toutefois aucun caractère coercitif. De même, s’il existe un guide juridique et pratique « Harcèlement sexuel et agissements sexistes au travail : prévenir, agir et sanctionner14 » proposant un ensemble de préconisations, il apparaît dépourvu de toute vigueur juridique. Ainsi, aucun texte contraignant ne vise directement la procédure d’enquête interne. Les seuls fondements applicables qui s’y rattachent, mais de façon bien indirecte, procèdent des articles relatifs à l’obligation de prévention des risques professionnels en matière de santé et de sécurité, à savoir les articles L. 4121-1, L. 4121-2 et L. 1152-4 du Code du travail. Il convient du reste de ne pas confondre la procédure d’enquête interne liée au droit d’alerte d’un membre du Comité social et économique avec celle qui résulte d’une initiative de l’employeur15. Face à cette carence de fondement, et donc de régime applicable à l’enquête interne, l’employeur doit s’en remettre aux fluctuations, voire aux errances de la jurisprudence. Celle-ci se prononce avec plus ou moins de précision au gré des espèces sur les questions très concrètes qui se posent au fil de l’eau : qui peut mener l’enquête ? Qui peut et/ou doit être entendu ? Quelles questions poser ? Qui doit rédiger le compte rendu ? Comment rédiger ce compte rendu ? etc. Une telle insécurité juridique n’est satisfaisante pour personne, qu’il s’agisse du « salarié victime », du « salarié accusé » ou encore de l’employeur. Ce, d’autant que ce dernier doit se montrer précautionneux en menant l’enquête. Ainsi, il lui revient d’y procéder sans manquer à son obligation de sécurité au cours de la procédure. Le bon sens commande, par exemple, d’éviter les confrontations entre « victimes » et « auteurs »16. L’absence de cadre juridique précis semble d’autant plus déconcertante que l’enquête interne a, jusqu’à une période très récente, constitué une obligation pesant sur l’employeur de droit privé17. Cette absence de cadre particulier applicable à l’enquête interne se retrouve en matière de droit public. Si elle représente un outil précieux pour permettre la manifestation de la vérité en matière disciplinaire – notamment lorsque des faits de harcèlement sont en cause ou que la matérialité des faits reprochés n’est pas évidente –, ni les dispositions applicables aux agents publics – en particulier le récent Code général de la fonction publique –, ni le juge administratif par l’intermédiaire des principes généraux du droit, ne vient préciser les modalités dans lesquelles une enquête administrative doit être diligentée. Il revient au seul employeur public de déterminer si une telle enquête est ou non nécessaire. Qualifiant la décision de diligenter une telle enquête de mesure d’ordre intérieur, le juge administratif confirme que « si l’administration tient de son pouvoir hiérarchique, dont découle le pouvoir disciplinaire, le pouvoir d’enquêter dans ses propres services, aucun texte ou principe n’imposait, en l’espèce, à l’administration de faire usage d’un tel pouvoir »18. L’absence de fondements textuels précis contraste toutefois avec l’impact qu’une telle procédure peut avoir sur la légalité d’une décision portant sanction disciplinaire ou sur l’octroi de la protection fonctionnelle, laquelle est due lorsque des faits constitutifs de harcèlement sont retenus. De manière parfaitement classique, une sanction disciplinaire sera conditionnée par l’existence d’un comportement fautif. Or, si les faits reprochés à l’agent susceptibles d’être fautifs peuvent parfois être constatés avec évidence, d’autres – parce que le comportement reproché peut être plus diffus et insidieux – ne peuvent se révéler qu’après des investigations plus approfondies. Aussi, la réalisation d’une enquête administrative s’avère indispensable pour sécuriser la prise de décision. En ce sens, la cour administrative d’appel de Lyon a pu confirmer la légalité d’une décision de sanction qui s’appuyait sur les conclusions du rapport d’enquête19. Dès lors, compte tenu de l’impact qu’une telle enquête pourrait avoir sur la carrière de l’agent qui se serait rendu responsable d’un comportement fautif, il pourrait être tentant d’envisager la définition d’un cadre législatif ou réglementaire pour déterminer les conditions de mises en place d’une telle enquête et rappeler les droits et garanties invocables par les agents. Cependant, cette proposition ne peut pas s’analyser sans prendre en compte le contexte « prédisciplinaire » dans lequel l’enquête administrative s’inscrit ; contexte qui justifie le peu de garanties applicables à l’agent à ce stade de la procédure. Un constat analogue peut être dressé s’agissant du salarié de droit privé. Il apparaît ainsi que l’ensemble de ces travailleurs bénéficient seulement d’un socle de garanties minimales accordées durant l’enquête. B – L’existence d’un socle de garanties minimales accordées durant l’enquête interne La jurisprudence apporte peu de garanties aux salariés et aux fonctionnaires dont les faits ont justifié l’ouverture d’une enquête. Par exemple, les salariés soumis au droit privé ne bénéficient pas du droit de se défendre durant l’enquête. Ce droit de la défense constitue, selon Raymond Guillien et Jean Vincent, « une exigence fondamentale de toute procédure » et doit être compris comme « la liberté pour les parties de présenter elles-mêmes des observations orales et de choisir librement leur défenseur20 ». Ainsi, force est de constater que la jurisprudence permet de se passer de l’audition du principal intéressé mis en cause, qui peut même ne pas être informé de l’existence de l’enquête en cours21. La Cour de cassation a pu indiquer qu’une telle façon de procéder n’était pas déloyale22. Par la suite, la haute juridiction a eu l’occasion de confirmer cette position, en visant cette fois directement le respect des droits de la défense du salarié et en considérant que celui-ci n’imposait pas que le salarié concerné par l’enquête soit entendu23. Ce faisant, l’argument porté par la Cour pour parvenir à cette conclusion ne manque pas d’intérêt puisqu’elle infère que cette situation ne pose pas de difficulté, dès lors « que la décision que l’employeur peut être amené à prendre ultérieurement ou les éléments dont il dispose pour la fonder peuvent, le cas échéant, être ultérieurement discutés devant les juridictions de jugement »24. Autrement formulé, les droits du salarié qui fait l’objet d’une enquête sont préservés car ils sont en quelque sorte différés au stade du procès, le cas échéant. C’est avec une logique similaire que les juridictions administratives appréhendent les éventuelles critiques qui pourraient être soulevées à l’encontre des enquêtes administratives. En effet, l’enquête administrative n’étant pas la première étape de la procédure disciplinaire – bien qu’elle participe au processus décisionnel d’une éventuelle sanction – l’administration n’est pas dans l’obligation de respecter les droits et garanties de l’agent visé disciplinairement. À ce stade, il lui appartient seulement de ne pas porter par avance une atteinte irrémédiable aux droits de la défense (sans pour autant que les conditions d’une atteinte irrémédiable ne soient définies). En ce sens, le Conseil d’État a jugé que « si le principe des droits de la défense garanti par l’article 6 de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’Homme et des libertés fondamentales s’applique à la procédure de sanction ouverte par la notification des griefs et non à la phase préalable à la saisine de la chambre régionale de discipline, cette phase préalable ne saurait, sans entacher d’irrégularité la sanction prise au terme de l’instance juridictionnelle, porter par avance une atteinte irrémédiable aux droits de la défense des personnes qui font l’objet d’une procédure de sanction »25. Une anonymisation excessive et injustifiée des témoignages recueillis dans le cadre de la procédure d’enquête peut toutefois s’apparenter à une atteinte irrémédiable aux droits de la défense26. Au nombre des garanties accordées durant l’enquête qui ont pu être affirmées, on notera tout de même le droit au respect de la vie privée. Ce droit, dont la valeur est constitutionnelle27, était en cause à l’occasion d’une enquête dont les conditions de mise en œuvre sont parvenues devant le Conseil d’État, puisque le salarié au centre de l’enquête n’était autre qu’un salarié protégé. Dans cette affaire, le Conseil d’État a pu énoncer : « Lorsqu’un employeur diligente une enquête interne visant un salarié à propos de faits, venus à sa connaissance, mettant en cause ce salarié, les investigations menées dans ce cadre doivent être justifiées et proportionnées par rapport aux faits qui sont à l’origine de l’enquête et ne sauraient porter d’atteinte excessive au droit du salarié au respect de sa vie privée28 ». En l’espèce, l’enquête en cours portait sur des détournements de fonds supposés, et l’employeur en avait profité pour consulter les comptes bancaires personnels de son salarié, auquel il n’avait pu avoir accès qu’à raison de sa qualité de fédération d’établissements bancaires et alors que cette consultation n’était pas nécessaire pour établir la matérialité des allégations qui avaient été portées à sa connaissance par un tiers. Cette affaire constitue l’une des rares illustrations d’un droit du salarié suspecté de faits fautifs et protégé par la jurisprudence dans le contexte d’une enquête interne29. Une solution inverse se serait difficilement justifiée du reste, en présence d’un droit fondamental à valeur constitutionnelle. Au total, peu de garanties sont accordées au travailleur de droit public et de droit privé en présence d’une enquête interne. Ce socle minimal s’ajuste au gré des espèces, sans bénéficier d’assise textuelle. Il s’ensuit également une application limitée des principes inhérents au procès équitable, ce qui souligne la nature sui generis de l’enquête interne, qui ne s’apparente pas à une procédure disciplinaire et qui se distingue également du procès. II – L’application limitée de la notion d’équité lors de l’enquête interne Les exigences liées à la notion de procès équitable ne trouvent à s’appliquer que de façon anémiée en matière d’enquête interne, qu’il s’agisse des travailleurs de droit privé ou de droit public. Ainsi, l’exigence d’impartialité sera appréciée avec beaucoup de souplesse (A), tandis que le principe du contradictoire sera faiblement reconnu (B). A – L’appréciation souple de l’exigence d’impartialité au stade de l’enquête interne L’impartialité est conçue, selon Cornu, comme « l’absence de parti pris ou de préjugé, l’égalité de traitement des parties en présence, notamment dans le cadre d’un procès. Elle impose à toute personne investie de fonctions juridictionnelles ou administratives de juger sans prévention, en ne tenant compte que des faits et du droit applicable30 ». Il s’agit ainsi, transposé à l’enquête interne, de s’assurer de l’impartialité de ceux qui mènent l’enquête et donc – plus concrètement – de ceux qui recueillent la parole et la transcrivent sur le compte rendu d’enquête. Plus encore, il convient de faire en sorte que les méthodes mises en œuvre durant l’enquête ne traduisent aucune forme de partialité, ni même – dans l’idéal – d’apparence de partialité31. Côté salariés du droit privé, cette exigence de neutralité a conduit la Cour de cassation à valider l’exclusion d’un membre de la direction de l’équipe des enquêteurs puisqu’il s’agissait du potentiel auteur de harcèlement32. De même, la Cour de cassation a estimé que l’employeur avait manqué à son obligation de sécurité en confiant une enquête au supérieur direct de la salariée avec laquelle la mésentente était connue et alors que les membres du comité de direction avaient été informés de la proposition faite à la salariée d’une mutation disciplinaire avant même l’engagement de la procédure disciplinaire33. Dans cette affaire, la Cour de cassation a relevé que la cour d’appel avait pu en déduire que la mise en cause, précipitée et humiliante, de la salariée, sans ménagement ni précautions suffisantes au moins jusqu’à l’issue de la procédure disciplinaire engagée, constituait un manquement de l’employeur à l’obligation de sécurité34. En contrepoint, c’est bien le manque d’impartialité de l’employeur qui l’a conduit à se prononcer sur la sanction après la procédure d’enquête mais avant même l’engagement de la procédure disciplinaire35. Cette attitude traduit effectivement un parti pris. Par ailleurs, le fait, au cas présent, d’avoir confié l’enquête à un salarié en conflit avec la salariée suspectée génère naturellement un risque accru de partialité. En outre, la haute juridiction a admis que soient écartés les résultats d’une enquête interne menée par un cadre de l’entreprise – la secrétaire administrative de l’entreprise – mandatée par l’employeur pour diligenter une enquête interne36. Dans cet arrêt, certes peu motivé, la Cour de cassation considère qu’il revient aux juges du fond, – dans le cadre de leur appréciation souveraine – de rejeter une enquête consistant pour l’employeur « à se fournir une preuve à lui-même37 ». Pour autant, il ne faudrait pas retenir hâtivement de cet arrêt que la proximité institutionnelle naturelle entre l’employeur et les cadres qu’il mandate porte atteinte à l’exigence d’impartialité. La Cour de cassation a en effet admis que l’enquête interne diligentée par l’employeur soit confiée, non pas au comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail, mais à la direction des ressources humaines et que huit personnes seulement aient été interrogées, sur les vingt composant le service et sans que soient connus les critères objectifs ayant présidé à la sélection des témoins38. Cette position signe bien une forme d’indulgence avec l’exigence de partialité ou à tout le moins avec l’apparence de partialité, qui manifeste sans doute avec pragmatisme un principe de réalité. En effet, une rigidité excessive dans le contrôle des modalités de l’enquête risquerait d’être contreproductive et de ne pas encourager les employeurs à se saisir de cet outil juridique dont la finalité première reste la protection des salariés. À cet égard, la solution peut résider dans l’externalisation de l’enquête confiée à des prestataires formés et qualifiés39. Ce dépaysement de l’enquête traduira la volonté de l’employeur d’afficher une neutralité objective et sécurisera de facto la procédure disciplinaire assise sur les résultats de l’enquête. De telles précisions sont également applicables à l’enquête administrative menée en droit de la fonction publique. En effet, les juridictions administratives considèrent que le principe d’impartialité n’est pas remis en cause si l’autorité en charge de conduire les investigations sera celle qui, in fine, décidera des poursuites et de la sanction disciplinaire prononcée. La position du juge administratif est particulièrement constante sur ce point. En ce sens, la circonstance, bien que surprenante, que l’autorité en charge de mener l’enquête soit visée par une plainte de l’agent objet de l’enquête ne porte pas atteinte, en elle-même, au principe d’impartialité40. Cependant, si l’agent, cible de l’enquête, parvient à démontrer que les circonstances dans lesquelles l’enquête a été menée ont été partiales, la juridiction administrative pourrait annuler la décision de sanction, en particulier si cette dernière se fonde sur les résultats de l’enquête. Aussi, alors même que les garanties disciplinaires ne trouvent pas à s’appliquer au stade de la procédure d’enquête, il est constant que les obligations classiques entre employeur et agent doivent être respectées ; en particulier celles d’impartialité et de loyauté. Pour cela, il est nécessaire qu’aucun élément ne vienne jeter le doute sur l’objectivité de l’enquête. Ainsi, il ne faut pas que le ton employé par les enquêteurs soit accusateur ou dénigrant, que l’entretien soit mené avec un sentiment d’animosité ou par une autorité dont les liens avec l’agent sont manifestement détériorés. Ces obligations ne seront toutefois pas violées s’il existe une confusion entre l’autorité ayant mené l’enquête et celle qui décidera de la sanction. En ce sens, la cour administrative d’appel de Lyon a jugé que « la circonstance qu’elle ait été menée par la direction du centre hospitalier, également à l’origine de la sanction en litige, n’est pas de nature à remettre en cause l’objectivité de ces investigations, M. A. ne se prévalant d’aucune manifestation particulière d’animosité personnelle ou de partialité à son égard »41. Cependant, l’obtention, lors de l’enquête, d’un document fondant la sanction disciplinaire à venir en méconnaissance de cette obligation de loyauté sera de nature à vicier l’ensemble de la procédure disciplinaire42. Outre l’animosité affichée de l’enquêteur lors des investigations, la circonstance que les témoins cités par l’agent pour recueillir leurs témoignages ne soient pas entendus peut constituer une atteinte à ce principe d’impartialité. C’est en ce sens qu’il est possible d’interpréter la position de la cour administrative d’appel de Douai lorsqu’elle juge que « M. A soutient que l’enquête administrative diligentée à son sujet par l’inspecteur d’académie n’aurait pas respecté le principe d’impartialité à son égard, ni celui relatif au droit à un procès équitable dans la mesure où les témoignages d’élèves et de parents ont été anonymisés ainsi que les auditions de professeurs principaux et d’élus au conseil d’administration de l’établissement ; qu’il ressort toutefois des pièces du dossier qu’il a été entendu lors de cette enquête et a pu présenter ses observations ; que l’inspecteur d’académie a également, à la demande de M. A, entendu d’autres élèves et professeurs ainsi qu’un conseiller principal d’éducation sur les faits en litige (…) que par suite, le moyen tiré du manquement à l’exigence d’impartialité ne peut qu’être écarté »43. Il ressort de ce qui précède que la notion d’impartialité n’est pas appréciée de façon stricte en matière d’enquête interne, tant en ce qui concerne les travailleurs de droit privé que ceux de droit public. L’enquête ne se confond pas avec le procès, pas plus qu’avec la procédure disciplinaire. Une autre composante de l’équité suit un sort analogue puisque le principe du contradictoire connaît une faible reconnaissance de la part des juges en présence d’une enquête interne. B – La faible reconnaissance du principe du contradictoire au stade de l’enquête interne Selon Guillien et Vincent, le principe du contradictoire « implique la liberté pour chacune des parties, de faire connaître tout ce qui est nécessaire au succès de sa demande ou de sa défense. Il impose que toute démarche, toute présentation au juge d’une pièce, d’un document, d’une preuve par l’adversaire soit portée à la connaissance de l’autre partie et librement discutée à l’audience44 ». Appliquée à l’enquête interne, l’idée serait bien de permettre au travailleur mis en cause d’avoir accès à l’ensemble du dossier de son accusateur et de pouvoir y répondre. Or, le principe du contradictoire n’a pas à être respecté durant l’enquête interne visant un salarié de droit privé. Ainsi, la Cour de cassation a pu affirmer que « le respect des droits de la défense et du principe de la contradiction n’impose pas que, dans le cadre d’une enquête interne destinée à vérifier la véracité des agissements dénoncés par d’autres salariés, le salarié ait accès au dossier et aux pièces recueillies ou qu’il soit confronté aux collègues qui le mettent en cause (…)45 ». Dans cet arrêt du 29 juin 2022, la justification de la haute juridiction tient à ce qu’en cas de contestation de la mesure prise par l’employeur, le principe du contradictoire s’invitera dans le prétoire, compensant par un phénomène de glissement la carence initiale46. Dans la même veine, la Cour de cassation n’entend pas voir rejetée une enquête interne alors même que l’employeur n’a pas gardé trace de la formulation des questions posées dans le cadre de cette enquête47. Dans ce dernier arrêt, la haute juridiction rappelle également qu’il revient aux juges du fond d’apprécier la valeur et la portée de l’ensemble des éléments de fait et de preuve qui lui sont soumis48. En effet, le principe de liberté de la preuve prévaut en matière sociale, si bien que c’est moins la question de la recevabilité de l’enquête interne qui se pose que celle de sa vigueur probatoire. Or, lors de l’instance, les compteurs sont en quelque sorte remis à zéro et l’ensemble des pièces échangées feront nécessairement l’objet d’une procédure contradictoire49. Le juge administratif adopte une position similaire en justifiant la faiblesse des garanties reconnues à l’agent lors de l’enquête administrative par la présence de nombreuses autres garanties lors de la procédure disciplinaire. Autrement dit, l’enquête administrative n’est pas une procédure disciplinaire et il n’est pas nécessaire de reconnaître à l’agent le principe du contradictoire garanti lors de la procédure disciplinaire. Aussi, plusieurs garanties ne sont pas reconnues à l’agent objet de l’enquête. En cela, l’agent ne dispose pas d’un droit à communication des témoignages recueillis au cours de l’enquête mais il « doit être mis à même d’obtenir communication du rapport établi à l’issue de cette enquête, ainsi que, lorsqu’ils existent, des procès-verbaux des auditions des personnes entendues sur le comportement de l’agent faisant l’objet de l’enquête, sauf si la communication de ces procès-verbaux serait de nature à porter gravement préjudice aux personnes qui ont témoigné »50. Autrement dit, l’absence de communication spontanée des procès-verbaux d’audition ne justifie pas l’irrégularité de la procédure d’enquête dès lors que ces éléments sont mis à disposition de l’agent, par exemple, dans son dossier administratif dont il peut solliciter la communication lors de la procédure disciplinaire. De façon analogue, la cour administrative d’appel de Lyon a jugé que « le devoir de loyauté de l’employeur public à l’égard de son agent ne saurait avoir pour effet d’exiger la mise en œuvre du principe du contradictoire au cours de l’enquête administrative, laquelle, préalable à une éventuelle procédure disciplinaire, ne constitue pas un élément de cette procédure ; qu’il suit de là que Mme A��� n’est pas fondée à soutenir que la décision en litige a été prise au terme d’une procédure irrégulière, en méconnaissance des droits de la défense et du principe d’impartialité »51. Cette absence de droit acquis au respect du principe du contradictoire a également pour effet de ne pas faire peser non plus sur l’enquêteur une obligation de confrontation entre l’agent, objet de l’enquête, et les témoins auditionnés52. La circonstance que la procédure de l’enquête administrative soit un préalable sans être un élément constitutif de la procédure disciplinaire a pour conséquence de limiter, à ce stade de la procédure, les garanties de l’agent. Ainsi, ce dernier ne pourra pas assister aux auditions des témoins53. Cependant, l’agent sera en mesure d’en discuter les termes à l’occasion de son éventuelle audition dans le cadre de l’enquête préalable ou lors de la procédure disciplinaire. Cette distinction est bien mentionnée par la cour administrative d’appel de Versailles à propos de l’accompagnement de l’agent au moment de l’enquête administrative et de la consultation du dossier54. Cette même distinction a été reprise par le Conseil d’État en 2019, lequel considère sans ambiguïté que l’enquête administrative ne constitue ni une sanction, ni une mesure prise en considération de la personne ; de sorte que l’agent visé par l’enquête ne peut pas utilement se prévaloir d’un droit à la communication de son dossier ou d’un droit à l’assistance d’un avocat ou de l’un de ses pairs55. Ce constat s’étend même à l’absence d’obligation pour l’administration d’auditionner l’agent avant de décider des suites devant être réservées aux résultats de l’enquête et ce, sans que cela ne porte atteinte aux droits de la défense, dont le principe du contradictoire fait partie intégrante. Le Conseil d’État juge en effet en ce sens que « le principe général des droits de la défense n’implique pas, eu égard à l’objet de ces enquêtes et à leur portée, que la personne faisant l’objet d’une telle enquête en soit avertie et soit mise à même de présenter ses observations avant que l’autorité administrative n’émette son avis au vu du résultat de l’enquête »56. Figure du droit ex nihilo, l’enquête interne est encore en quête de son cadre juridique. Elle se situe chronologiquement en amont de la procédure disciplinaire et du procès éventuels, si bien qu’elle ne peut en emprunter les mécanismes et garanties. Pourtant, en ce qu’elle porte en germe la sanction disciplinaire, l’enquête interne doit être encadrée plus avant par le législateur, tant en ce qui concerne les salariés de droit privé que les agents de droit public. Les enjeux sont pluriels : accessibilité, lisibilité et prévisibilité du droit, protection des parties prenantes et sécurisation des procédures.
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christian-dubuis-santini · 2 years ago
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Ce que Hegel a appelé "ruse de la raison" implique une confiance dans le pouvoir de la déraison ; si la raison est effectivement "rusée", elle va faire son travail indépendamment de notre aide, la déraison étant la certitude absolue que, peu importe avec quel soin les choses ont été planifiées, à un moment ou à un autre, elles vont mal tourner...
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Freud et Lacan ne s’inscrivent-ils pas dans cette perspective lorsque la psychanalyse recommande de faire de la vérité sa priorité, la guérison venant de surcroît?
Prends tous les risques et confronte-toi à la vérité, la santé viendra d'elle-même.
Prends en compte le Réel, la réalité suivra.
Ne compromets pas ton désir, tes besoins et tes demandes s'en trouveront automatiquement satisfaits.
Faire de la santé un objectif direct est contre-productif, tu dois concentrer ton énergie sur autre chose si tu veux que ta santé advienne.
Inverse les devises du sens commun, aux certitudes proposées par la réalité, privilégie le mystère du réel, au sourire fielleux des compromis et des arrangements mensongers, préfère la morsure de la vérité.
Céder sur les mots, c'est toujours avoir déjà cédé sur les choses.
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quantumaierwe · 4 days ago
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À la découverte de QuantumAI en France : une révolution dans l'intelligence artificielle
La France est devenue un pôle d’innovation de pointe et QuantumAI, le mélange d’informatique quantique et d’intelligence artificielle, est à l’avant-garde de son paysage d’innovation. Alors que la course mondiale à l’exploitation de l’informatique quantique s’accélère, les chercheurs, institutions et entreprises français se positionnent comme leaders dans ce domaine transformateur.
Qu’est-ce que QuantumAI ? QuantumAI français combine l’immense puissance de traitement de l’informatique quantique avec les capacités de prise de décision et d’apprentissage de l’intelligence artificielle (IA). Alors que l’IA traditionnelle s’appuie sur des ordinateurs classiques, qui traitent les données de manière séquentielle, les ordinateurs quantiques fonctionnent sur des bits quantiques ou qubits. Ces qubits peuvent exister dans plusieurs états simultanément, ce qui leur permet de traiter de vastes quantités de données plus efficacement que les systèmes classiques.
Pour les applications d’IA, cela signifie une formation plus rapide des modèles, des simulations plus précises et la capacité de s’attaquer à des problèmes complexes qui étaient auparavant insolubles dans un délai raisonnable.
Pourquoi QuantumAI est-il important pour la France ?
La France a une riche histoire d’excellence scientifique et technologique, et QuantumAI s’aligne sur sa vision de l’innovation future. Voici quelques raisons pour lesquelles QuantumAI est particulièrement important :
Leadership en recherche et développement : Les universités et les institutions de recherche françaises, telles que le CNRS (Centre national de la recherche scientifique) et l’INRIA, sont à la pointe de la recherche quantique. Leurs collaborations avec des géants technologiques et des startups mondiaux garantissent que la France reste un acteur incontournable dans ce domaine.
Croissance économique et industrielle : QuantumAI promet des percées dans des secteurs tels que la santé, la finance, la logistique et l’énergie. Les entreprises françaises peuvent tirer parti de cette technologie pour optimiser leurs opérations, réduire leurs coûts et créer de nouveaux modèles commerciaux.
Sécurité nationale et cybersécurité : L’informatique quantique a de profondes implications pour le chiffrement et la sécurité des données. L’investissement de la France dans QuantumAI contribue à protéger son infrastructure numérique tout en lui donnant un avantage en matière d’innovation en matière de cybersécurité.
Les principaux acteurs de QuantumAI en France Plusieurs organisations et initiatives propulsent les ambitions de la France en matière de QuantumAI :
Pasqal : Startup française d’informatique quantique spécialisée dans la technologie des atomes neutres, Pasqal travaille sur des processeurs quantiques évolutifs qui pourraient révolutionner les applications de l’IA.
Atos : leader mondial de la transformation numérique, Atos développe des simulateurs et des logiciels quantiques qui s'intègrent aux cadres d'IA.
Le Plan Quantum français : lancé en 2021, cette initiative de 1,8 milliard d'euros vise à stimuler la recherche quantique, à former les talents et à soutenir les startups travaillant dans le domaine de l'IA quantique et des domaines connexes.
Applications de QuantumAI en France Santé : QuantumAI permet une découverte plus rapide de médicaments et une médecine personnalisée. Les sociétés pharmaceutiques françaises explorent son potentiel pour simuler des systèmes biologiques complexes.
Changement climatique : en analysant des ensembles de données massifs, QuantumAI peut modéliser des scénarios de changement climatique avec plus de précision et développer des solutions durables.
Finance : les institutions financières en France utilisent QuantumAI pour la gestion des risques, la détection des fraudes et l'optimisation des stratégies d'investissement.
Défis et opportunités Bien que le potentiel de QuantumAI soit énorme, il reste des défis importants à relever. Il s'agit notamment du coût élevé du matériel quantique, du besoin de talents spécialisés et des préoccupations éthiques liées à l'IA. Cependant, l'approche proactive de la France, soutenue par le financement public et les collaborations internationales, la positionne bien pour relever ces obstacles.
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drchristophedelongsblog · 4 days ago
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La kinésithérapie en gériatrie : un atout pour le bien-être des seniors
Le vieillissement naturel entraîne des modifications physiologiques qui peuvent affecter la mobilité, la force et l'équilibre des personnes âgées. La kinésithérapie intervient alors comme un allié précieux pour préserver l'autonomie et améliorer la qualité de vie.
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Quels sont les objectifs de la kinésithérapie en gériatrie ?
Les objectifs principaux de la kinésithérapie en gériatrie sont multiples :
Maintenir ou améliorer l'autonomie : En renforçant les muscles, en améliorant l'équilibre et la coordination, la kinésithérapie permet aux personnes âgées de réaliser les gestes de la vie quotidienne de manière plus sécurisée et efficace.
Prévenir les chutes : Les chutes sont une source majeure de blessures chez les personnes âgées. La kinésithérapie contribue à réduire ce risque en renforçant les muscles et en améliorant l'équilibre.
Soulager les douleurs : De nombreuses pathologies liées à l'âge, comme l'arthrose ou les douleurs dorsales, peuvent être sources de douleurs chroniques. La kinésithérapie utilise différentes techniques pour les soulager et améliorer le confort.
Améliorer la qualité de vie : En augmentant la mobilité et en réduisant les douleurs, la kinésithérapie favorise le bien-être physique et psychologique, encourageant ainsi une participation active à la vie sociale.
Quelles sont les techniques utilisées en kinésithérapie gériatrique ?
Les techniques utilisées sont adaptées à chaque personne et à ses besoins spécifiques :
Exercices thérapeutiques : Ils peuvent être réalisés en position assise, debout ou allongée, et portent sur différents groupes musculaires.
Mobilisations passives et actives : Ces techniques permettent de maintenir ou de retrouver l'amplitude de mouvement des articulations.
Rééducation posturale : Elle vise à corriger les mauvaises postures et à améliorer l'alignement du corps.
Techniques manuelles : Massages, manipulations douces, etc., pour détendre les muscles et les tissus.
Électrostimulation : Elle permet de renforcer les muscles affaiblis et de stimuler la circulation sanguine.
Hydrothérapie : Les exercices réalisés en piscine sont particulièrement intéressants pour les personnes souffrant de douleurs articulaires, car l'eau soulage les articulations et facilite les mouvements.
Quels troubles peuvent être pris en charge par la kinésithérapie en gériatrie ?
La kinésithérapie en gériatrie intervient dans la prise en charge de nombreux troubles :
Troubles musculosquelettiques : Arthrose, ostéoporose, douleurs dorsales, tendinites, etc.
Troubles neurologiques : AVC, maladie de Parkinson, sclérose en plaques, etc.
Troubles cardio-vasculaires : Rééducation après un infarctus du myocarde ou une chirurgie cardiaque.
Perte d'autonomie : Difficultés à se lever, à marcher, à se laver, etc.
Prévention des chutes.
L'importance d'une prise en charge globale
Le kinésithérapeute travaille en étroite collaboration avec les autres professionnels de santé (médecin, ergothérapeute, etc.) pour proposer une prise en charge globale et personnalisée. Il peut également donner des conseils sur l'aménagement du domicile et les aides techniques.
Aller plus loin
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menagegopr · 6 days ago
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Qu'est-ce qui rend le nettoyage industriel essentiel pour votre entreprise ?
Le maintien d'un milieu de travail sécuritaire et productif nécessite un nettoyage industriel. En éliminant les déversements, la saleté et les matériaux dangereux, le nettoyage de routine aide à prévenir les accidents et les blessures. L'efficacité est accrue dans un milieu de travail propre puisque les travailleurs peuvent se concentrer sur leur travail sans interruption ni soucis pour leur sécurité. De plus, il garantit le respect des consignes de santé et de sécurité, protégeant ainsi les clients et le personnel. L’investissement dans les services de nettoyage industriel cultive en fin de compte une réputation favorable en démontrant un engagement envers la qualité et la sécurité, ce qui peut attirer les clients et améliorer le succès global de l’entreprise.
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La valeur des services experts en nettoyage commercial
Garder un bureau propre et bien aménagé est plus important que jamais dans le monde trépidant des entreprises d’aujourd’hui. Services de nettoyage commercial veille à ce que les installations demeurent hygiéniques et hospitalières en fournissant des solutions modifiées qui répondent aux besoins variés des différentes entreprises. Les entreprises qui font appel à une entreprise de nettoyage particulière peuvent confier le nettoyage aux spécialistes et se concentrer sur leurs principales capacités.
Augmenter la productivité du lieu de travail grâce à une entreprise de nettoyage de bureaux
Une entreprise productive de nettoyage de bureaux est essentielle à l'établissement d'une atmosphère de travail positive. Un bureau propre améliore le moral des employés, empêche la propagation des microbes et réduit les interruptions. Le dépoussiérage, l'aspiration et la désinfection des surfaces sont des exemples de processus de nettoyage de routine qui contribuent à une atmosphère saine. Un espace de travail bien entretenu est susceptible d'augmenter la productivité des employés, soulignant ainsi l'importance d'installations de nettoyage expertes dans tout environnement de bureau.
Nettoyage commercial à service complet
Les services de conciergerie commerciale sont essentiels pour les entreprises qui cherchent à garder leurs espaces propres à plus grande échelle. Le nettoyage régulier, la gestion des déchets et l'entretien des installations sont tous inclus dans ces services, ce qui garantit que chaque zone d'un espace commercial est maintenue en bon état. Les entreprises peuvent bénéficier d’une stratégie méthodique qui améliore l’hygiène du lieu de travail lorsqu’une équipe engagée s’occupe des tâches de nettoyage.
Nettoyage industriel : une mesure de sécurité essentielle
Pour que les milieux de fabrication et de production demeurent sécuritaires, le nettoyage Nettoyage industriel est essentiel. Les travailleurs peuvent être exposés aux risques liés aux matières toxiques, aux débris mécaniques et à d'autres polluants fréquemment accumulés dans les sites industriels. Les risques d'accidents du travail sont réduits et les règles de sécurité sont respectées lorsqu'un service de nettoyage spécialisé est retenu. Un nettoyage industriel fréquent augmente la longévité de l'équipement et retient les travailleurs.
Nettoyage de tapis commercial : un look épuré et expert
Le nettoyage de tapis d'entreprise est un domaine du nettoyage commercial qui est souvent négligé. De la saleté, des taches et des allergies peuvent être trouvées dans les tapis, ce qui peut nuire à leur aspect poli. Un nettoyage fréquent et expert préserve l'intégrité des tapis, améliore la qualité de l'air intérieur et rend l'espace accueillant tant pour les clients que pour le personnel. L'achat d'un produit de nettoyage pour tapis peut grandement améliorer l'apparence générale d'une entreprise.
Assainissement des établissements médicaux : répondre à des attentes élevées
Pour protéger les patients et les employés, le nettoyage d'installations médicales nécessite une expertise particulière et des procédures strictes. Pour prévenir les maladies et maintenir des conditions d'hygiène, les établissements de santé ont besoin de services de nettoyage professionnels. Ces services comprennent la gestion des déchets biologiques dangereux, la désinfection des surfaces et le respect des lois sur la santé, tous des éléments essentiels dans un contexte médical.
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Nettoyage efficace en cas de catastrophe et d'entrepôts
L'efficacité opérationnelle et la sécurité dépendent d'un nettoyage d'entrepôt. Un espace de travail bien rangé réduit les risques d'incidents et augmente le rendement. De plus, pour les entreprises confrontées à des crises imprévues, les services de nettoyage en cas de catastrophe sont essentiels. Les services de nettoyage experts et ponctuels peuvent minimiser les temps d'arrêt et les pertes financières en rétablissant rapidement et efficacement les opérations après une inondation, un incendie ou tout autre nettoyage après sinistre.
Maintenir la sécurité alimentaire lors du nettoyage des cuisines des restaurants
Le nettoyage des cuisines de restos est crucial pour l'industrie de la restauration. Garder la cuisine propre est essentiel à la fois pour la sécurité alimentaire et le respect des codes de santé. Le maintien de la réputation d'un restaurant et la prévention des maladies d'origine alimentaire dépendent de cuisines stérilisées et exemptes de parasites, garanties par des services de nettoyage spécialisés.
En résumé, il est essentiel de s'engager dans des équipements de nettoyage commerciaux, tels que des solutions spécialisées pour les bureaux, les espaces industriels, l'équipement médical et les restaurants, afin d'assurer un milieu de travail hygiénique, sécuritaire et efficace.
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cashflowmaster1 · 1 month ago
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Intelligence Artificielle pour la Gestion Comptable : Le Futur de la Comptabilité
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Intelligence Artificielle pour la Gestion Comptable : Le Futur de la Comptabilité
L'intelligence artificielle (IA) est en train de changer la façon dont nous vivons et travaillons. Elle transforme de nombreux secteurs, y compris la comptabilité. Mais comment l'IA influence-t-elle la gestion comptable ? Explorons ce sujet fascinant et découvrons comment cette technologie redéfinit notre façon de gérer les finances.
Cliquez ici pour en savoir plus
Qu'est-ce que l'Intelligence Artificielle ?
L'intelligence artificielle est une branche de l'informatique qui se concentre sur la création de systèmes capables d'effectuer des tâches qui nécessitent normalement l'intelligence humaine. Ces systèmes peuvent apprendre de nouvelles informations et s'ajuster à différentes situations. Deux technologies d'IA très utilisées en comptabilité sont l'apprentissage automatique et le traitement du langage naturel.
Les technologies d’IA pour la comptabilité
L'apprentissage automatique est un processus par lequel les ordinateurs analysent des données financières, identifient des tendances et prévoient l'avenir. Le traitement du langage naturel, quant à lui, aide les ordinateurs à comprendre des documents en langage humain, ce qui facilite le travail comptable en rendant le traitement des données beaucoup plus efficace.
La comptabilité traditionnelle : un état des lieux
Dans la comptabilité traditionnelle, beaucoup de tâches sont effectuées manuellement. Cela inclut des activités comme l'enregistrement des transactions, la vérification des comptes et la création de rapports. Ces tâches prennent souvent beaucoup de temps, ce qui pose des problèmes. Voici quelques défis auxquels les comptables sont confrontés :
Erreurs humaines : Faire des erreurs en utilisant des données inexactes peut vraiment nuire à la santé financière d'une entreprise.
Délais serrés : Les comptables doivent souvent se dépêcher pour respecter des délais, ce qui rend la vérification des informations encore plus difficile.
Complexité des données : À mesure que le nombre de transactions augmente, la quantité de données à traiter devient énorme.
Tout cela montre pourquoi il est essentiel d'adopter des technologies numériques dans le domaine de la comptabilité.
Aller plus loin en cliquant ici
Comment l'IA se met en place dans la gestion comptable
Pour que l'IA soit efficace en comptabilité, il est important d'abord de numériser les documents comptables et d'automatiser certaines tâches. De plus en plus de logiciels de comptabilité automatisée apparaissent, ce qui rend le travail des comptables plus facile et leur permet de gagner en efficacité.
Exemples d’outils d’IA en action
Aujourd'hui, de nombreux logiciels de comptabilité, comme QuickBooks et Xero, utilisent l'IA pour aider les entreprises à gérer leurs finances. De plus, des outils comme les chatbots améliorent également la communication avec les clients, rendant le processus plus fluide et agréable.
Cas concret : Imaginons une petite entreprise qui a décidé d'utiliser un logiciel d'IA pour sa comptabilité. Elle a constaté qu'il y avait beaucoup moins d'erreurs dans ses rapports financiers et que les clients étaient plus satisfaits grâce à des réponses plus rapides, fournies par des chatbots.
Les avantages de l'IA en comptabilité
L'utilisation de l'intelligence artificielle en comptabilité présente plusieurs avantages importants :
Minimise les erreurs
L'un des grands avantages de l'IA est sa capacité à réduire les erreurs. Grâce à des algorithmes sophistiqués, les entreprises peuvent s'assurer que les informations traitées sont précises, ce qui diminue le risque d'erreurs humaines.
Économie de temps
Automatiser les tâches répétitives permet aux équipes comptables de passer plus de temps à analyser les finances en profondeur. Cela conduit à une gestion proactive et plus efficace de l’argent de l’entreprise.
Prédictions financières
L'IA permet de faire des prévisions basées sur des analyses de données passées, ce qui aide les entreprises à prendre des décisions éclairées et à anticiper des changements dans leur activité.
Aide à la prise de décision
Avec des rapports clairs et des tendances bien identifiées, les comptables peuvent mieux conseiller les dirigeants d'entreprise, renforçant ainsi leur rôle crucial au sein de l'organisation.
Défis et éthique de l'utilisation de l'IA en comptabilité
Malgré ses nombreux avantages, l'intégration de l'IA en comptabilité présente des défis. Voici quelques-uns des plus importants :
Sécurité des données
La sécurité des informations financières est primordiale. Les entreprises doivent mettre en place des mesures pour protéger les données sensibles contre des cyberattaques.
Impact sur l'emploi
À mesure que les tâches sont automatisées, il est nécessaire de se demander quelles compétences seront demandées à l’avenir. Les comptables doivent se former aux nouvelles technologies pour rester compétitifs sur le marché.
Risques de biais
Les algorithmes peuvent parfois comporter des biais qui, s'ils ne sont pas identifiés, pourraient conduire à des décisions inéquitables. Il est donc crucial de réguler ce domaine pour minimiser ces risques.
L'avenir de la comptabilité avec l'IA
L'avenir de la comptabilité s'annonce radieux grâce aux avancées de l'IA. Les tendances à observer sont l'évolution continue des logiciels et l'intégration de technologies nouvelles. Les comptables doivent s'adapter et se former pour tirer parti de ces opportunités.
Ce que cela signifie pour les professionnels
À l'avenir, le rôle des comptables changera. Ils devront se concentrer davantage sur l'analyse des données plutôt que sur leur simple saisie. L'interaction humaine sera toujours nécessaire pour prendre des décisions stratégiques basées sur des analyses avancées.
Travailler main dans la main
La comptabilité de demain sera le résultat d'une collaboration efficace entre l'homme et la machine. Les comptables deviendront de véritables conseillers stratégiques, mettant leur expertise à profit pour guider les décisions essentielles des entreprises.
L'intelligence artificielle redéfinit le monde de la comptabilité, changeant même la manière dont les professionnels exercent leur métier. Pour rester pertinents, les comptables doivent adopter cette technologie et s'y adapter. Il est temps d'explorer les outils disponibles et d'intégrer l'IA dans la gestion comptable pour en récolter tous les bénéfices. L'avenir de la comptabilité moderne et efficace commence dès aujourd'hui.
Mots-clés : intelligence artificielle, gestion comptable, auto-organisation des tâches, comptabilité automatisée, prévisions financières.
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