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Travailler tue, le stress rend malade, 5 heures de sport ou rien.
Travailler tue, le stress rend malade, 5 heures de sport ou rien. 🎙Pour écouter mon podcast : - Recherchez « la pause fitness » sur votre plateforme de podcast préférée - Ou rendez-vous en bio @fitnessmith, cliquez sur le lien, fitnessmith.fr/news puis dans « les nouveautés» - Ou rendez-vous dans votre boite mail pour les fidèles auditeurs #santétravail #stressprofessionnel #diabète #montreconnectée #santécardiaque #fitness #bienêtre #activitéphysique #cancerprofessionnel #santépublique #protectiontravail #montrésanté #sportquotidien #réductionstress #préventionsanté #modedevie #montrefitness #suiviactivité #bienêtremental #sportbienêtre #santécoeur #dangersdutravail #travailnuit #santémentale #risquesprofessionnels #protégerlasanté #montrepourlasanté #coeurensanté #hygiènedevie #vivremieux
Dans ce podcast, nous allons parler de travailler tue, le stress rend malade, 5 heures de sport ou rien. Nouveau ! Quelle est la meilleure montre connectée en ce moment Sommaire du podcast : 1. Votre travail est-il en train de vous tuer ? L’Agence nationale de sécurité sanitaire a développé une méthode rigoureuse pour identifier les procédés de travail cancérogènes afin de protéger les…
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saga: Soumission & Domination 361
Espagne 2015-3 : Jaime recrutement
Jaime
Donc Jaime a 18ans et rentre en 1ère année de fac de science. C'est un volleyeur (ça s'est vu sur la plage). 1m85, 80Kg de muscles sous une peau imberbe, bronzée et débarrassée de ses quelques poils hors pubis, noir de cheveux, monté 20 x 5 à 5,2 circoncis. Homo depuis sa première expérience sexuelle avec un de ses potes de sport, il a fait son coming-out et sort d'une histoire de près d'un an avec un mec de 20 ans. Il est actif et passif. Son père est médecin et sa mère l'assiste, mais dans le contexte économique actuel et 3 frères et soeurs plus petits, il cherche à participer au financement de ses études et c'est pour ça qui va faire le serveur au mois d'août.
Ernesto déballe son argumentaire. C'est la première fois que je l'entends. Il est bon dans l'exercice. Jaime n'est pas choqué par la proposition. Il faut dire qu'Ernesto amène comme un privilège le fait d'entendre celle-ci. D'ailleurs Jaime est flatté que ce soit lui et pas les autres qu'on ait choisi en premier.
J'insiste sur le côté " sécurité " du travail, suivi médical, pratiques SSR, clients conscient du " haut de gamme " de notre offre de service. Sans minimiser la partie sexuelle des prestations, Ernesto précise qu'il faut aussi être bon dans l'Escort proprement dit.
Là, notre futur collaborateur s'inquiète de son dressing. Peur balayée quand on lui dit que les vêtements spécifiques (costumes, smoking...) sont compris dans le contrat.
Le dernier détail qui pourrait clocher c'est la taille de bites à " héberger " dans son cul. Le XXL n'est pas naturel à tout un chacun.
Quand je l'ai sodomisé, j'étais confortable, mais bien serré aussi. Rires de l'intéressé, le mec qu'il vient de quitter était équipé d'un sexe de 20 x 6.5 et avec lui il n'était que passif.
J'en profite pour dire que nous gérerons la partie professionnelle de sa vie mais pas la partie privée. Le seul truc est de ne pas prendre de risque concernant sa santé, question de respect pour les clients.
Ernesto bat le fer tant qu'il est chaud et je comprends pourquoi quand il nous dit qu'un de nos clients n'est pas " couvert " pour ses vacances le mois prochain. Contrat type de 3 semaines, voyage compris, 1 semaine d'affaires dans la capitale et 2 semaines sur la côte d'azur, le tout pour un salaire net 40 fois supérieur à celui de serveur estival.
Il a un peu de mal à digérer l'information. J'appelle Romain qui lui confirme que c'est du réel. Lui aussi va taffer le mois prochain et qu'entre sa mise aux enchères, ses prestations hebdomadaires et le " travail " d'été, il se fera cette première année plus qu'un cadre supérieur moyen.
Je n'avais pas pensé que ce serait aussi sa première prestation dans la société. J'en parle à Ernesto qui avait lui aussi zappé le truc. Il corrige aussitôt la proposition et l'assure pouvoir obtenir plutôt du 80 à 100 fois. Il est scié.
Ernesto lui propose d'aller le lendemain à Barcelone à son bureau. Il accepte et nous retournons avec les autres. Ses potes essayent de lui tirer les vers du nez pour savoir ce qui nous avait retenu tous les trois, mais il se tait.
21h, nous dînons tous ensemble, nos visiteurs ayant accepté l'invitation. Nous aidons Paco pour le service. C'est surtout Jésus qui fait les aller et retour avec la cuisine. Allez savoir pourquoi ! Le rosé glacé est de mise et sans nous en apercevoir, nous sommes tous un peu " partis " à la fin du repas.
Jaime me prend à part et me demande si je veux qu'il plante son cul sur la mégabite de Paco pour nous montrer ses capacités. Je lui roule une pelle. Il est gentil le gamin. Je lui dis que je lui fais confiance et que s'il prend ses quartiers à la villa, ça arrivera bien assez tôt. Il me serre dans ses bras et me dit qu'il a trop de chance cette année. Il a eu son " Bac ", il a largué son mec et nous arrivons avec la solution à ses problèmes de financement. Il va même économiser le camping. Quand il me dit cela, il éclate de rire et me dit qu'il vient de se rendre compte que c'est rien maintenant. Et puis ses deux amis ont besoin de son cofinancement de l'emplacement de leur tente.
La soirée se prolonge. Entre cafés, papotages, caresses diverses mais encore softs et passages dans l'eau pour nous rafraichir, la nuit s'avance et nos amis acceptent de rester. Traverser une partie de la ville à moitié bourré, pour rejoindre les matelas durs de leur tente... Ça convient bien aux habitants de la villa qui espéraient bien une deuxième partie de sexe.
Je me fais les hollandais. Culs blanc mais fougue toute méditerranéenne. En alternance avec PH et Ernesto, nous saturons leurs trous de nos coups de bites impérieux. Quand nous les laissons pour tester d'autres " abris ", ils sont pris en charge par Ludovic et Hervé. Pas de temps morts !
Alors que je cherche un plan, j'entends Jaime qui m'appelle. En levrette devant Paco, il se fait ramoner le conduit par ses 23cm épais. Au moins on ne pourra pas dire qu'il n'a pas de suite dans les idées. Je m'approche roule un patin rapide à Paco avant de lui demander ses impressions. Je n'arrive à lui tirer qu'un " bon, trop bon". Je m'aplatis, retrouve les lèvres et la langue de ma dernière conquête. Il arrive à me glisser un " t'as vu, je peux prendre lourd " entre deux brassages de langues. Je me coule entre ses bras et kpote sa bite que le limage de sa rondelle ne semble pas faire débander. Je me retourne et, sur le dos cette fois, je recule jusqu'à ce qu'il me plante. Dans cette position, on peut se rouler un patin tout en menant nos petites affaires et Paco aussi. Ce dernier devine que j'ai un peu de mal à garder mes reins suspendus sous Jaime. Il nous propose de migrer vers la table basse proche. C'est mieux. Je suis couchée dessus sur le dos, Jaime à genoux entre mes cuisses est juste à la bonne hauteur pour m'enculer et Paco, accroupi, les mains accrochées à ses épaules reprend son labourage en règle.
La bite de Jaime est très efficace. En fonction des coups de rein qu'il reçoit, il arrive à modifier ceux qu'ils m'envoient dans le cul. Sans que je lui en parle, il me dit que c'est ce genre de plan qui lui avait manqué avec Pedro (son ex).
Il arrive à me faire jouir sans que j'aie besoin de me branler. Les passages et chocs répétés de son gland sur ma prostate suffisent à déclencher mon orgasme. Quand, lors de chacune de mes éjaculations, je stoppe net sa progression, il monte en pression et, à son tour, jute mais dans sa kpote. Ricochet suivant, c'est Paco qui gueule en larguant sa sauce.
Il est 4h30 quand on s'endort.
J+2
Réveils à 11h. Je suis dans notre grand lit avec Ludovic, Ernesto, PH et Jaime. Il y a aussi João et Romain à l'autre bout.
J'enfile un maillot. Ça réveille Jaime qui se lève à son tour. Sans bruit nous allons à la cuisine. Les portes des chambres sont grandes ouvertes et on voit qui a dormis avec qui. Mon Marc a encore dans ses bras Baz alors qu'Hervé s'est endormi avec Rubén. Plus loin Arvid et Gaz ont l'air d'avoir fait plus que dormir dans les bras l'un de l'autre vu la pagaille des draps.
Quand on déboule dans la cuisine, le spectacle est revigorant. Pour au moins la deuxième fois, Jesus est planté par Paco. Torse sur la table de la cuisine, il pousse de tous petits gémissements pour ne pas réveiller toute la maison. Paco va pour se retirer et nous servir le café mais je le prends de vitesse et lui dis de finir son petit Jesus.
Avec Jaime, on sirote notre café en commentant leur baise. Enfin c'est surtout Jaime qui entreprend Jesus. Il rigole car ce dernier le traitait de fou quand il se faisait Pedro et sa grosse bite. Là, Jesus se prend bien plus gros et long et il voit bien que ça donne aussi du plaisir les grosses bites. On mate encore quelques instants. C'est intéressant ce qu'une grande différence de physique permet comme positions. Paco exhibe ses gros muscles avec des portés sur bite athlétiques. Jesus n'en peut plus de se faire ramoner. Il finit par jouir, les jambes serrées autour de la taille de Paco, accroché à son cou. On le voit mordre dans le deltoïde et y laisser la marque de ses dents pour ne pas hurler son plaisir alors que son jus coule de leurs abdos compressés.
On les laisse pour se mettre au soleil sur la terrasse. Lunette sur les yeux, nous synthétisons de la vitamine D.
Les autres occupants de la maison arrivent en ordre dispersé. Certains la tête dans le cul, d'autres quasiment frais et dispo !
Je profite que tout le monde soit là pour prévenir qu'avec Ernesto et Jaime nous allons en début d'après-midi à Barcelone. Arvid nous demande de l'emmener aussi. Les autres décident de rester. Nous embarquons donc dans une des trois voitures de location et traçons au nord. Ernesto conduit. Il dépose Arvid devant sa coloc avec la promesse de ce dernier de revenir nous voir (il a notre adresse et nos n° de téléphones) surtout que les grosses partouzes sont encore à venir.
Puis on file vers le bord de mer. Vers le Bario de Barceloneta où Ernesto vient d'acquérir pas trop cher, au nom de la société, un vieil immeuble de 2 étages où il a implanté les bureaux et son appartement. L'extérieur est encore à refaire mais l'intérieur est nickel. Jaime est impressionné par l'endroit. Comme au blockhaus, Ernesto a réalisé une frise avec les photos de ses Escorts en maillot Addicted (chez moi ils sont en Aussiebum). J'ai beau connaitre mes employés, les voir les uns à côté des autres, je remarque une plus grande disparité de physiques. Jaime a du mal à décrocher ses yeux. Il nous dit reconnaitre trois mecs. Il n'aurait jamais pensé que leur aisance financière venait de ce taf. Quelque part ça le rassure.
On monte son dossier. Ernesto lui donne l'adresse des boutiques dans lesquelles il devra aller s'habiller. Il téléphone au labo d'analyse pour les prévenir que nous passerions plus tard. Il en profite pour appeler son client. Alors que ça sonne, il pousse le dossier du mec devant Jaime. Je l'ouvre et on voit le mec en photo. Il est en maillot de bain. Dans les 45ans, bien fait, on voit que le contenu de son slip est lourd et pourtant il ne bande pas ! Je regarde Jaime, il me dit que ça va il avait craint un mec gras, chauve et repoussant.
Nous entendons la conversation téléphonique. Ernesto explique qu'il lui a trouvé un escort pour le mois d'août. Le mec est ravi, il lui explique aussi que c'est une nouvelle entrée dans la société donc il devine ce qu'il va lui demander. Réponse du client " je sais comment ça marche mais là tu ne vas pas me faire des enchères j'en ai besoin ".
Ernesto l'assure qu'il le lui réserve mais qu'il va falloir qu'il soit généreux tout seul. Le client comprend et annonce le chiffre d'un résultat d'enchères normales. C'est ce que lui fait remarquer Ernesto qui lui rappelle qu'il va avoir son gars 3 semaines en 7j/7 et 24h/24.
A mes côtés, Jaime est sans voix. Je tempère en lui disant que le chiffre discuté est le salaire brut. Qu'il n'en aura que 55% net (le reste ce sont les charges 35% et la marge de la boite).
C'est limite s'il ne tombe pas dans les pommes quand le client propose 1 fois et demie sa première offre. J'opine de la tête et Ernesto confirme notre accord puis raccroche.
Jaime me roule un patin de la mort avant de faire pareil à Ernesto. Il est trop content. Son mois d'août qui s'annonçait sympa mais peu rémunérateur s'est transformé en vacances en France avec salaire de ouf.
Je lui demande si avec ses parents ça ne posera pas de problème. Ernesto annonce qu'officiellement, il émargera en tant que " secrétaire particulier ". Il dit que ce sera OK. Je pense aussi à la drogue, à Saint Tropez, ça ne doit pas manquer. Jaime me rassure que s'il avait dû tomber là-dedans, ce serait déjà fait vu la facilité pour trouver de la cocaïne aussi bien à Barcelone qu'à Sitgès. J'en profite pour souligner que nos escorts sont tous " propres " concernant les drogues et le tabac. Question de respect du client.
Quand on repart, on passe au labo. Le prélèvement dure 5mn et les résultats lui seront communiqués sous 48H comme en France. Nous sommes de retour à 18h. La villa est quasi vide. Marc et Hervé nous préviennent que les jeunes sont sur la plage et qu'eux attendent notre agent immobilier et son petit copain qui vont passer la soirée avec nous.
On enfile nos maillots, un short par-dessus. On prend la voiture et descendons à la plage.
Facilement on retrouve le petit groupe qui squatte un filet de volley. Les deux potes de Jaime l'assaillent de question. Il coupe court en leur disant qu'il avait profité du fait qu'Ernesto et moi dévions aller à Barcelone pour aller voir ses parents.
On entre dans le jeu. Une partie décousue mais acharnée, un plongeons dans la mer et on discute de la soirée. Les deux hollandais ont entendu parler d'une teuf et comptent y aller tout comme Rubén. La triplette souhaiterait les accompagner. Je demande plus de renseignement sur qui organise quoi. J'ai pas confiance et Ludovic non plus.
Après 5mn à nous faire la tête, ils admettent que nous ne sommes que le troisième jour d'un séjour de 21, donc ils ont le temps.
João me prend à part et me dit que si je veux, il pourra " encadrer " les petits au besoin.
En attendant nous remontons à la villa sans les " fêtards ". Dans la voiture où nous sommes tous entassés (10 !! y'en a 2 dans le coffre du C4 Picasso) Jaime console les jeunes en leur assurant que cette fête c'était plutôt souleries et défonce que baises et plaisirs. Il avait été à la précédente organisée par le même mec et s'était barré tôt avec Arvid qu'il avait rencontré là-bas pour la première fois.
Jardinier
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Il existe un non affirmatif, le non de la confrontation joyeuse et héroïque avec l'adversaire, le non de la lutte pour l'affirmation, le non qui n'est pas auto-sursomption...
Ce que Hegel a appelé "ruse de la raison" implique une confiance dans le pouvoir de la déraison ; si la raison est effectivement "rusée", elle va faire son travail indépendamment de notre aide, la déraison étant la certitude absolue que, peu importe avec quel soin les choses ont été planifiées, à un moment ou à un autre, elles vont mal tourner...
Freud et Lacan ne s’inscrivent-ils pas dans cette perspective lorsque la psychanalyse recommande de faire de la vérité sa priorité, la guérison venant de surcroît?
Prends tous les risques et confronte-toi à la vérité, la santé viendra d'elle-même.
Prends en compte le Réel, la réalité suivra.
Ne compromets pas ton désir, tes besoins et tes demandes s'en trouveront automatiquement satisfaits.
Faire de la santé un objectif direct est contre-productif, tu dois concentrer ton énergie sur autre chose si tu veux que ta santé advienne.
Inverse les devises du sens commun, aux certitudes proposées par la réalité, privilégie le mystère du réel, au sourire fielleux des compromis et des arrangements mensongers, préfère la morsure de la vérité.
Céder sur les mots, c'est toujours avoir déjà cédé sur les choses.
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N°1753 – Jeudi 11 février 2021
Beaucoup croient que le bonheur vient de l'extérieur. Beaucoup pensent qu'il suffit de posséder des biens matériels pour arriver à se sentir bien. Ce qu'ils ne savent pas, c'est qu'il se leurrent. Le bonheur ne vient pas si nous possédons plus que le voisin. Il ne vient pas quand on ne fait aucun effort de notre côté et que l'on en demande beaucoup des autres.
« Le bonheur vient de la capacité à ressentir profondément, à apprécier simplement, et à penser librement. »
- Storm Jameson -
Les biens matériels contribuent au bien être à un certain degré. Dire le contraire serait un mensonge. Ceci dit, chacun y voit à sa façon. Il y a des personnes qui vont se sentir bien avec beaucoup d'objets, quels qu'ils soient, et d'autres vont se sentir plus léger, plus libre s'ils possèdent peu. Pourtant, miser tout son bonheur là-dessus, c'est risqué. Au cas échéant, nous ne sommes pas satisfaits et nous en voulons toujours plus, jusqu'au jour où nous devenons comme lassé. C'est un peu comme si, sur une course de chevaux, nous misons tout sur le même cheval. Cela réduit nos chances de gagner. Là, c'est pareil. Nous risquons et nous diminuons nos chances d'être heureux, si nous misons que sur notre bien-être matériel pour cela. Le jour où tout disparaît, que nous reste-t-il ?
Ça commence à l'intérieur de nous. Gérer les doutes, les mauvaises réflexions. Arrêter de se rabaisser sans cesse et commencer à prendre, peu à peu, confiance en soi. Le but n'est pas de tout arrêter, car cela est presque impossible. Ne jamais douter, ne jamais avoir des pensées négatives, c'est comme nier le côté obscur qui se trouve en nous. Il vaudrait mieux l'accepter, apprendre à le gérer et aussi, augmenter tout ce qu'il y a de positif en nous. Tout ça, ça sera déjà un très bon début. Les efforts se feront connaître d'eux-mêmes. Le bien-être psychologique est une des choses les plus importantes, pour être heureux et bien dans ses baskets. Tout aussi important que la santé. Qu'elle soit mentale ou physique. En prenant son temps et en travaillant tous les jours, nous pouvons dompter notre esprit et acquérir une paix antérieure, qui nous est propre. Elle ne sera pas totale. Elle se fera avec le temps. Même si nous traversons des moments difficiles, cela ne veut pas dire que tout disparaîtra au moindre malaise.
Nous finissons au bout d'un moment par vivre une vie comme nous le souhaitons. Nous finissons par ne plus nous cacher derrière des biens matériels, ou même pire, derrière es illusions. Être soi-même est une des finalités. Elle permet de vivre et d'organiser son existence en fonction de nous et non de la société ou de notre entourage. Nous nous ne sommes plus influencés par qui que ce soit. Cela devrait faire partie de notre apprentissage. On devrait tous suivre des cours pour apprendre à nous connaître, durant l'adolescence, qui est une période si difficile pour beaucoup d'entre nous. Nous serions plus à même de faire face à la vie, qui n’est pas toujours aussi simple qu'on l'imagine. Ces cours nous permettraient de ne pas passer à côté de l'essentiel : S'écouter. S'aimer. Se faire confiance.
« Au fur et à mesure que je modifie mes pensées, le monde autour de moi se transforme. »
- Louise L. Hay -
Depuis plusieurs années, j'ai arrêté de penser que ce sera les autres qui m'amènerait le bonheur. J'ai arrêté de penser qu'il fallait que je me cache et que je me fonde dans la masse, au risque de m'en prendre plus dans la tête. Comme si c'était une protection sûre et fiable. J'ai arrêté de penser que les autres penseraient à moi, à ma place et que je pourrais m'occuper des autres, avant moi. J'ai arrêté de ne faire qu'exister, maintenant, je vis. Rien n'est parfait. J'ai des moments de doutes, des moments d'angoisses. J'ai des hauts et des bas, comme une grande partie de la population. C'est notre cerveau qui fait cela. Il a des mécanismes automatiques qui, parfois, nous font plus de mal que de bien. Cela peut se régler. Mais malgré cela, même si tout n'est pas rose, je me sens bien avec moi-même. Je me sens en paix avec la plupart des choses qui réside en moi. J'ai façonné mon esprit. J'ai changé sa façon de percevoir le bien-être. De voir qu'il peut venir d'ailleurs, notamment de l'intérieur. Je l'ai fait évoluer à fin qu'il regarde la vie, mon existence d'une autre manière. C'est tout aussi bien de voir les choses sous un autre angle. Nous pouvons prendre conscience de beaucoup de choses. Des choses qui ne sont pas toujours flagrantes de suite. Mon bonheur passe en priorité dans ce que je ressens. Mes envies réelles et fondées. Cela passe en priorité dans ce que je vis et avec qui. Désormais, grâce à tout ce travail, je pourrais rester seule avec moi-même. Cela ne me dérange pas. Même quand mes pensées négatives me submergent, je sais que, même si c'est très dur sur le moment, et que je n’ai personne à qui en parler, je pourrais y faire face.
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J'espère que vous avez toustes passé de bonnes fêtes de fin d'année, ou à défaut, pas trop épuisantes. Les miennes ont été sereines et joyeuses avec ma famille choisie, même si je suis complétement épuisé maintenant
Je profite de cette note pour faire un petit point annuel sur mon travail ! BILAN 2023
Cette année à été très riche en terme de rencontre, marchés, dédicaces, interventions, commandes ! Un atelier BD et une conférence dans une université à Amiens, le début de mes streams sur Twitch, des interventions auprès de lycéen'nes à Nantes, des dédicaces en Belgique, des marchés de créateurices à Nantes et au Havre, un salon du livre queer à Metz, Quai des Bulles à St Malo...etc
Cela fait 11 ans que je suis à mon compte et 2023 à été la première année ou j'ai pu enfin me dégager un vrai salaire ! Et c'est aussi en grande partie grâce à mes mécènes sur Patreon qui me soutienne depuis un an déjà. Ce soutien me permet de mieux choisir mes commandes ou interventions, de refuser du travail gratuit sous prétexte de visibilité et de pouvoir -parfois- prendre mes week end pour me reposer.
Dans les points moins joyeux, le stress et la fatigue m'ont amené à une crise violente de ma maladie de Crohn pendant les mois de Mars-Avril-Mai 2023 et j'ai dû changer de traitement, l'ancien ne faisant plus effet. Le nouveau est plus efficace mais à aussi plus d'effets secondaires du fait que c'est un immuno-modulateur. Il défonce mes défenses immunitaires, ce qui fait que le moindre rhume risque de me clouer au lit pour 15 jours.
Je vous parle de tout ça, non pour faire pleurer dans les chaumières mais juste pour vous tenir au courant.
RECONNAITRANS
Mon but en ouvrant une page Patreon, en plus de pouvoir payer mes factures pendant les mois ou je n'avais pas de commandes/BD/marchés..etc, était de pouvoir finir les derniers témoignages de ReconnaiTrans qui patientent dans ma boite mail depuis des mois et mettre un point final à ce projet (en tout cas pour l'instant). Mais comme cette année à été, de façon très positive, assez intense en terme de travail (mais aussi des soucis de santé) je n'ai pas réussi à atteindre cet objectif.
Je ne vais pas abandonner pour autant, ce projet est très important pour moi et surtout je ne veux pas laisser tomber les témoignant'es qui patientent pour que je fasse leur récits. Je vais donc essayer cette année de mieux maitriser mon emplois du temps pour pouvoir mener cela à bien et poster au moins tous les 2 mois un nouveau témoignage.
NOUVEAUX PROJETS ET RÉSOLUTION
Cette année j'aimerais beaucoup réussir à faire quelques unes des notes de blog / webcomics qui remplissent mes tiroirs. Niveau sujet il y à pèle-mêle : tranche de vie, sujets féministes, sujets LGBTIA+, sujets peronnels/autobio, fiction medfan (médieval fantastique).
Mon agente est toujours en train de démarcher plusieurs de mes projets BD et jeunesse mais pour l'instant cela n'a pas l'air d'intéresser les éditeurs. Je me dis que si ça continue je vais peut être devoir publier uniquement en ligne gratuitement, quitte à faire un Ulule si cela plait.
On viens enfin de nous installer la fibre, donc je vais pouvoir refaire des lives twitch de temps en temps. Mon objectif est surtout de streamer des dessins ou illus que j'aurais en cours, mais pour cela il faut que je me dégotte un meilleur micro que celui de mon casque et que je teste mon set up actuel. Donc si tout va bien (et selon mes finances pour le micro) peut être que je pourrais streamer correctement vers Mars/Avril.
CONCLUSION
Je sais qu'il ne faut pas que je me fixe des objectifs trop haut, qui du point de vue de ma santé et de ma vie quotidienne (gestion de la maison, ménage, animaux, administratifs, rendez vous médicaux, gestion de mon shop, dédicaces, commandes, relations amicales et amoureuses...) serait juste impossible à réaliser. Mais je vais faire du mieux que je peux ^^
Je vous souhaite une belle année 2024, pleine de promesses, douceur, bienveillance mais aussi de manifs, militantisme et d'humanité.
#new year 2024#reconnaitrans#illustration#trans#lgbtiqa#queer#laurierthefox#2024#patreon#patreon artist#webcomic#art#queer artist
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Wallonie: une mère sur deux risque une dépression post-partum (Sandra Durieux, Le Soir, 22 fév 2024)
"« Pour moi, rien n’est agréable dans la maternité, tout n’est que souffrance, fatigue et inquiétude. »
Voilà 18 mois maintenant que Margot a donné naissance, à 30 ans, à son petit garçon.
Dix-huit mois qu’elle éprouve un profond mal-être que jamais elle n’aurait imaginé ressentir.
« Je n’avais aucun souci de santé mentale avant mon accouchement, confie-t-elle.
Au contraire, j’étais plus du genre à prendre les gens qui en souffraient de haut, en disant qu’il suffisait de le vouloir pour s’en sortir.
Maintenant je sais ce que c’est d’être dans un état tel d’angoisse, de dégoût et de culpabilité qu’on se pose la question de savoir s’il ne faudrait pas en finir.
Je ne franchirais pas le pas mais j’ai du mal à apercevoir la lumière au bout du tunnel. »
Un bébé arrivé très rapidement alors que jusque-là, elle ne souhaitait pas avoir d’enfant, un allaitement quelque peu forcé à l’hôpital, un petit bout hospitalisé à 6 semaines, un compagnon indépendant qui doit très vite reprendre le travail et un entourage qui juge son mal-être comme étant « normal »
(…)
Solidaris a également épinglé des profils particulièrement à risque : chez les néo-mères, la monoparentalité, la mauvaise santé du nouveau-né, le fait que celui-ci soit le fruit du premier accouchement, le fait d’avoir moins de 25 ans et le fait d’avoir accouché par césarienne sont des facteurs qui augmentent significativement le taux d’initiation d’une consommation d’antidépresseurs après la grossesse.
Elle montre également que les mères aidantes proches, ayant perdu leur emploi, victimes de violences, ayant fait l’expérience de difficultés avec le personnel soignant et bénéficiant de peu de soutien sont davantage à risque de dépression du post-partum.
Pour Solidaris, au regard de sa prévalence, la dépression post-partum est tant un enjeu de santé publique que de justice sociale et de genre.
« Et il existe, selon nous, plusieurs leviers d’action sur lesquels travailler pour endiguer ce phénomène, assure Basile Cornet, expert Etudes et plaidoyer chez Solidaris.
Ainsi, nous réclamons des mesures de soutien aux parents comme l’extension du congé de maternité à 21 semaines, une augmentation des places en crèches et leur mise à disposition sans conditions ou encore un alignement du congé de naissance (du co-parent) sur celui de la mère.
La jeunesse des mères est un facteur de risque. Il faut une généralisation des cours d’Evras et une pérennisation du droit à l’IVG.
Nous estimons aussi qu’il faut un screening systématique pour la dépression du post-partum pour la mère et le co-parent. »
Pour Margot, ce suivi par les professionnels devrait presque être forcé.
« Car à force d’entendre l’entourage nous dire que ce qu’on vit et subit après la naissance est normal, on finit par le croire et on se dit que nous aussi on va surmonter cette angoisse seule.
Or ce n’est pas le cas. On se sent de plus en plus incompris, incapable et coupable de ne pas être une bonne mère au fil des semaines.
On s’isole de plus en plus et on tombe dans un cercle vicieux très dangereux. J’aurai aimé que quelqu’un me force à en sortir. »"
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Le Rôle Essentiel des Orthodontistes dans l'Embellissement des Sourires
Les orthodontistes jouent un rôle essentiel dans le domaine de la santé dentaire, contribuant significativement à l'amélioration des sourires et à la confiance de leurs patients. Leur spécialité va au-delà de simples corrections esthétiques, touchant également des aspects importants de la santé bucco-dentaire.
L'une des principales missions des orthodontistes est de diagnostiquer et de traiter les problèmes liés à la position des dents et des mâchoires. En ajustant la structure dentaire, ils aident à résoudre des problèmes tels que les malocclusions, les espaces indésirables, et les problèmes de morsure.
Cependant, leur impact ne se limite pas à l'aspect esthétique. Un alignement approprié des dents contribue également à une meilleure fonctionnalité buccale, facilitant la mastication et réduisant le risque de problèmes tels que les caries et les maladies des gencives.
Les orthodontistes utilisent diverses techniques, des appareils traditionnels aux aligneurs transparents, pour créer des plans de traitement personnalisés. Ils travaillent en étroite collaboration avec leurs patients, éduquant sur les soins dentaires appropriés pendant le traitement.
En fin de compte, le travail dévoué des orthodontistes va au-delà de simples ajustements physiques. Ils offrent aux individus la chance d'avoir un sourire qui reflète non seulement la beauté, mais aussi la santé et le bien-être bucco-dentaire. Grâce à leur expertise, des milliers de sourires sont transformés, apportant confiance et bonheur à ceux qui choisissent de parcourir le chemin de l'orthodontie.
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«Il fait trop chaud pour travailler», disait la publicité dans les années 90. D’accord, mais à part boire un Pulco, on fait quoi ? Alors que les phases caniculaires tendent à se répéter année après année, la question est sérieusement posée. Car face à un code du travail pour le moins discret, la documentation du risque se fait de plus en plus abondante. L’Institut national de recherche et de sécurité (INRS), spécialisé dans la prévention des risques au travail, estime qu’«au-delà de 30°C pour une activité sédentaire, et 28°C pour un travail nécessitant une activité physique, la chaleur peut constituer un risque pour les salariés».
Or, depuis quelques ��tés, ces températures virent au banal en extérieur. A partir de ce jeudi 17 août et pour plusieurs jours, des températures très élevées devraient ainsi s’installer sur une bonne partie du pays, avec des pointes à 40°C attendues dans le Midi.
Le secteur du bâtiment parmi les plus exposés
Les métiers concernés sont nombreux, et leurs effectifs considérables. Selon l’enquête «Sumer», menée par la direction de la recherche du ministère du Travail, près de 1,5 million de salariés «travaillent au chaud» – soit plus 24°C – et 3,6 millions travaillent en extérieur. Mais ils sont près de 9,7 millions de travailleurs à se dire incommodés par la chaleur dans leur activité professionnelle, selon l’enquête «Conditions de travail» menée par la même Dares.
Au final, on estime donc que 14 à 36 % des salariés sont soumis à la chaleur dans leur activité professionnelle. [...] Dans l’enquête Conditions de travail, plus de 80% des ouvriers qualifiés des travaux publics, du béton et de l’extraction disent subir un «inconvénient du travail lié à une température élevée».
Des conséquences sur le stress, la fatigue et la concentration
Dans la construction de routes par exemple, «on réceptionne le matériau entre 160 et 180°C, et on a les pieds dessus», explique Frédéric Mau, secrétaire fédéral de la CGT Construction. «Quand il fait 33°C au thermomètre, nous au sol on est déjà à 45°C.» La proportion est similaire chez les jardiniers et les maraîchers, et dépasse les 70 % chez les agriculteurs, les sylviculteurs et les bûcherons.
Les conséquences de la chaleur sur la santé des travailleurs sont connues. En premier lieu, ceux-ci subissent «un “stress thermique” qui favorise la fatigue, voire l’épuisement, et diminue un certain nombre de capacités : baisse de la vigilance et de la concentration, moindre qualité de traitement des informations, augmentation des temps de réaction, vision troublée, nervosité et modification de l’humeur, etc.», liste France Stratégie dans une note d’analyse publiée fin juin.
Mais il y a aussi des conséquences indirectes : «Dans le secteur manufacturier, une étude récente a montré qu’à partir de sept jours de température située au-dessus de 35°C, une augmentation de 5 % d’absentéisme est observée», relève France Stratégie, en soulignant que «les réorganisations en “flux tendu” qui en découlent peuvent ensuite favoriser une intensification du travail avec toutes les conséquences que cela peut produire en matière de santé».
Une aggravation des inégalités sociales
A quoi s’ajoute une réalité sociologique : bien souvent, les travailleurs concernés souffrent d’autres facteurs aggravants «liés à leurs conditions de vie». Ainsi, ils vivent plus que d’autres dans des logements mal isolés, eux-mêmes situés dans des quartiers éloignés de leur lieu de travail, qui peuvent être une «zone urbaine délaissée et touchée par le phénomène de l’îlot de chaleur urbain». [...]
Et les solutions parfois adoptées par les entreprises, comme une adaptation des horaires pour faire démarrer les chantiers aux aurores, souffrent de certains revers : en faisant se lever les salariés au moment le plus frais de la nuit, donc lorsque leur sommeil pourrait être le plus réparateur, on prend le risque de les fatiguer davantage, font valoir des syndicats.
Pouvoir moins travailler pendant les épisodes de chaleur
Le code du travail est-il suffisamment garni pour répondre à cette situation ? Non, estiment des partis politiques de gauche. Dans un «plan d’urgence pour passer l’été» présenté en cet été, Europe Ecologie-les Verts plaide pour introduire dans le code du travail «la possibilité d’exercer son droit de retrait lorsque la température est d’au moins 33°C». A LFI, les députées Mathilde Panot et Caroline Fiat ont, elles, déposé une proposition de loi contenant quelques évolutions législatives.
Certaines sont liées à l’activation des niveaux de vigilance météorologique : un temps de travail journalier qui ne peut excéder six heures en cas de vigilance orange (niveau 3), une obligation pour l’employeur de prendre «les mesures nécessaires pour permettre aux travailleurs d’arrêter temporairement leur activité sans perte de salaire» en cas de vigilance rouge (niveau 4). Et, dès lors que la température dépasse 28°C sur le lieu de travail en extérieur, un droit à des pauses plus longues et plus régulières sans perte de salaire.
L’exemple du «chômage intempérie»
Côté syndical, toutes ces idées ne sont pas accueillies de la même manière. Pour Frédéric Mau, de la CGT, la proposition écolo d’un droit de retrait à partir de 33°C constitue en réalité un recul : «Le droit de retrait est déjà dans le code du travail, à l’initiative du salarié quand il s’estime en danger. Le fait d’inscrire une température réduit ce droit !» [...]
En revanche, une idée qui figure dans la proposition de LFI semble emporter une forme d’unanimité, y compris patronale. Ce qui n’était pas forcément évident au départ [...]. Cette idée consiste à faire évoluer le dispositif du «chômage intempérie» dont s’est doté le secteur du BTP dans les années 50 pour, à l’époque, minimiser les frais en cas d’arrêt des chantiers pour cause de pluie, de tempête ou de neige. Proche du chômage partiel, la formule consiste en une indemnisation du salarié privé de travail à hauteur d’environ 75% de son salaire brut, tandis que l’employeur est lui-même indemnisé par une caisse abondée par des cotisations émanant des entreprises du BTP.
«Depuis 2004, le régime de chômage intempéries du BTP a mis en place une commission canicule qui indemnise au cas par cas, mais ce n’est pas généralisé», explique Sophie Sebah, directrice des relations du travail et de la protection sociale à la Fédération nationale des travaux publics (FNTP).
Début mai, les quatre branches du secteur, dont la FNTP et la plus puissante encore Fédération française du bâtiment (FFB) ont donc écrit au ministre du Travail, Olivier Dussopt, pour lui demander que la canicule soit intégrée parmi les risques climatiques permettant d’activer le «chômage intempéries». Même si «cela ne peut pas constituer l’alpha et l’omega», l’idée est accueillie favorablement par la CGT… «en attendant les transformations de fond», précise Frédéric Mau. Qui prévient, en écho à la dernière réforme des retraites : «Quand on fera travailler des gens de 64 ans par 50°C, le Covid et ses 150 000 morts apparaîtront comme une blague à côté de ce qui se passera.»
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17 septembre 2023 | Par Caroline Coq-Chodorge
Le psychiatre Mathieu Bellahsen dénonce, dans le livre « Abolir la contention », la banalisation de cette pratique en psychiatrie, présentée comme un soin, alors qu’elle consiste à attacher les patients. À ses yeux, elle relève d’une « culture de l’entrave », un penchant naturel de la psychiatrie, qui exige des contre-pouvoirs.
« Abolir la contention », c’est la proposition du psychiatre Mathieu Bellahsen, dans un livre qui vient de paraître. Elle est provocatrice tant cette pratique – qui consiste à immobiliser, en les attachant, les patientes et les patients jugé·es trop agité·es – est répandue : en psychiatrie, dans les Ehpad ou aux urgences. En 2021, 10 000 personnes auraient subi une contention en établissement psychiatrique, un chiffre très en-deça de la réalité puisque ces pratiques ne sont pas toujours déclarées. Régulièrement, la contrôleuse générale des lieux de privation épingle des établissements de santé pour des atteintes aux droits humains dans leur pratique de la contention.
Pour le Dr. Bellahsen, ces pratiques relèvent d’une culture de l’entrave, une autre forme de culture de la domination, propre à la psychiatrie. Il affirme que la contention n’est pas indispensable : il l’avait bannie dans le pôle qu’il a dirigé à l’hôpital de Moisselles (Val-d’Oise). Environ 15 % des établissements psychiatriques n’y auraient pas recours. Mais loin d’être encouragés pour leurs bonnes pratiques, ils sont souvent sanctionnés ou menacés.
Pour écrire votre livre, vous avez recueilli les témoignages de personnes qui ont vécu la contention. Ils décrivent tous une expérience violente, douloureuse, traumatisante, qui a parfois brisé toute confiance dans l’institution psychiatrique. Ces récits vous ont-ils surpris ?
Mathieu Bellahsen : J’ai souhaité apporter ma pierre à l’édifice, sur un point qui n’est jamais abordé : comment se passe-t-on de ces pratiques ? Ma femme [la psychiatre Loriane Bellahsen – ndlr] m’a soufflé l’idée des témoignages, car c’est ce à quoi nous œuvrons depuis longtemps : que les premiers concernés prennent la parole, pour sortir de l’ordinaire de la psychiatrie, écrite par ceux qui ont le pouvoir… Et cela a été permis par les associations HumaPsy, Comme des fous et le Cercle de réflexion et de proposition d’actions sur la psychiatrie (CRPA).
Cette culture de l’entrave est un penchant naturel de la psychiatrie, qui se développe quand les conditions politiques y sont favorables.
Je savais que la contention était une expérience traumatique. En premier lieu pour les patients et aussi pour certains soignants. Ce qui m’a frappé, c’est à quel point les récits de ces violences ressemblent aux récits des violences sexuelles, de viol, d’inceste. On est sur un lit, attaché, des gens nous font des choses et on ne peut pas se défendre. Pour des personnes qui ont vécu des violences sexuelles – et elles sont nombreuses en psychiatrie – l’expérience de la contention réactive leur traumatisme.
J’ai aussi recueilli le témoignage d’un ami d’une personne morte en contention. C’était important d’avoir le récit de proches, et d’évoquer les morts. D’après un rapport de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), il y aurait eu 42 morts en contention entre 2011 et 2019. Mais l’agence reconnaît elle-même que ce sont des décès volontairement signalés. Combien ne sont pas déclarés ? Les patients craignent des représailles, et leur parole est très souvent invalidée.
Dans votre travail de recherche, vous avez constaté qu’il y a très peu d’études sur ces pratiques, leur efficacité éventuelle ou leurs risques.
J’ai trouvé 300 articles dans la littérature internationale depuis les années 1970, et dans tous ces articles, il y a une constante : le manque de données. Par comparaison, il y a 110 000 articles sur les psychotropes. Cela indique que la contention mécanique est une pratique honteuse. Des études s’intéressent au vécu des soignants, très peu au vécu des patients.
En 2016, il y a eu un engagement politique à réduire les pratiques d’isolement et de contention. Elles n’ont en réalité cessé d’augmenter, comme le montre une étude récente.
En France, ces données sur l’isolement et la contention sont très récentes. Elles ne sont recueillies que depuis 2016 et réellement analysées que depuis quelques mois par des chercheurs. Et elles ne sont pas complètes : le récent rapport de la contrôleuse générale des lieux de privation de liberté (CGLPL) sur le centre hospitalier de Niort relève que les mesures d’isolement et de contention n’y sont pas enregistrées.
Vous parlez d’une culture de l’entrave, par analogie avec la culture du viol. De la même manière, elle se dévoile parfois, comme à l’hôpital Sainte-Anne à Paris en 2010.
Deux services de l’hôpital Sainte-Anne à Paris ont accepté qu’un documentaire – Sainte-Anne, hôpital psychiatrique de Ilan Klipper – soit tourné dans ses murs. Avant sa diffusion, en 2010 sur Arte, il a été présenté au personnel et à la direction. Aucun patient n’était présent. Il a été reçu positivement, ces premiers spectateurs ont trouvé que de l’humanité se dégageait du film.
Mais à sa diffusion, il a fait scandale : les spectateurs ont découvert de la maltraitance ordinaire, des brimades, des mesures de rétorsion. Le documentaire montre des personnes attachées, parfois presque nues, malmenées verbalement par des soignants. Ce documentaire a été retiré et interdit de diffusion. Les chefs de service, dont l’un était aussi président de la commission médicale d’établissement de l’hôpital Sainte-Anne, ont été sanctionnés par l’Ordre des médecins de peines d’interdiction d’exercice.
Cela illustre bien la culture de l’entrave, cette culture de la domination, qui conduit à attacher les patients « pour leur bien ». Les soignants et la direction de cet hôpital n’ont pas vu l’horreur de ce qui était montré.
Cette culture de l’entrave est un penchant naturel de la psychiatrie, qui se développe quand les conditions politiques y sont favorables. C’est la phrase de Lucien Bonnafé : « On juge du degré de civilisation d’une société à la façon dont elle traite ses fous. » Elle a régressé à des moments clés, politiques : après la Révolution française avec Philippe Pinel, le libérateur des aliénés ; après la Seconde Guerre mondiale et l’horreur concentrationnaire, avec le développement de pratiques désaliénistes et de la psychothérapie institutionnelle.
Aujourd’hui, on vit dans une société traversée par l’obsession sécuritaire, la peur des migrants, des fous. Les soignants sont aussi traversés par tout ça. L’emmurement du monde produit un emmurement des relations humaines.
De nombreux psychiatres présentent la contention comme un soin, une manière de contenir le patient. Pourquoi est-ce que cela vous révolte ?
La psychiatrie actuelle enrobe ses pratiques douteuses, voire sadiques, sous des concepts progressistes et positifs. En 2021, Olivier Véran, alors ministre de la santé, a parlé devant l’Assemblée nationale de « la dimension thérapeutique de l’isolement ». La contention mécanique est une mesure de contrôle. Peut-être que l’on ne peut pas faire autrement dans certaines situations, mais de là dire que c’est « un soin »…
Cette culture de l’entrave est soutenue de manière officielle.
Des psychiatres argumentent que la contention apporte de la « contenance psychique ». Qu’est-ce que c’est que la contenance ? C’est la manière dont l’enfant, parce qu’il est regardé, porté, bercé, prend conscience des limites de son corps. Le bébé, au départ, ne distingue pas son corps du monde environnant. Chez certains malades psychiatriques, leur corps vécu n’est pas limité à leur corps charnel. On le voit notamment chez des personnes qui se promènent avec des tas de sacs, d’objets, qu’ils perçoivent comme des parties de leur corps. Contention vient du latin contentio, « tension », tandis que la contenance provient de continere, « maintenir uni ». Cela n’a rien à voir. Amalgamer la contention à la contenance est une entreprise de banalisation de la violence.
En psychiatrie, il y a une autre manière de travailler sur la contenance : le « packing », qui a été fortement décrié. Vous racontez avoir utilisé cette technique.
Le packing permet de se passer de la contention. La différence essentielle est que le patient y consent. Par exemple, je raconte que lors d’une garde, j’ai été appelé dans un autre service pour contentionner un patient. Heureusement, j’y allais avec des collègues qui étaient aussi formés au packing. On l’a proposé au patient, qui l’a accepté : à quatre soignants, on l’a enveloppé, massé, bercé, il a pu se détendre. On a pu comprendre que ce patient était furieux parce que sa famille n’était pas venue le voir. Après ce soin corporel psychothérapique, il n’a pas eu besoin de contention mécanique.
Au niveau juridique, des avocats et des associations d’usagers bataillent pour un encadrement des pratiques d’isolement et de contention. Chaque isolement, et a fortiori toute contention, doit être encadré par un certificat médical, et peut être contesté devant le juge des libertés et de la détention. Mais là encore, ce combat est perverti : vous estimez qu’en encadrant ces pratiques, on les a légitimées.
Oui, parce qu’il n’y a pas eu de débat de fond sur ces pratiques, on en est restés à de la pure forme. En psychiatrie, on devrait dire ce qu’on fait, et rendre des comptes. Mais qu’a fait le gouvernement ? Dans le même temps où on demande à l’hôpital psychiatrique de fournir des certificats, on diminue ses moyens. Aujourd’hui, dans nombre d’hôpitaux, ce sont des intérimaires, qui ne connaissent pas les patients, qui font des certificats à la chaîne. Il fallait au contraire investir dans le service public de psychiatrie, pour moins isoler, attacher, médicamenter et hospitaliser sans consentement.
Aujourd’hui, ces certificats sont souvent vécus comme une contrainte administrative supplémentaire.
Environ 15 % des établissements ne pratiquent pas la contention. C’était le cas du service que vous avez dirigé à l’hôpital de Moisselles. Mediapart a enquêté sur la façon dont vous avez été démis de vos fonctions par la direction, dans le cadre d’un conflit sur la pratique de l’isolement au moment du confinement en mars 2020.
Mathieu Bellahsen, psychiatre. © Photo Sébastien Calvet / Mediapart
Dans notre secteur, la contention était bannie. Les portes restaient ouvertes, même pour les personnes hospitalisées sans consentement. On pratiquait l’isolement, mais de manière aussi courte et séquentielle que possible. Et on essayait d’en faire un moment qui crée du lien. On contactait tout de suite la famille, l’entourage. Et pour que le patient s’acclimate au service, on autorisait d’emblée la pause clope, voire la participation aux repas.
Nous tentions de développer une contre-culture du soin, les patients étaient au cœur de nos pratiques, on était au point de bascule où certains des dispositifs de soins se construisaient avec eux. Mais cela bousculait l’ordre établi.
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Collectivement, nous avons été naïfs : nous pensions qu’il y avait suffisamment de contre-pouvoirs dans l’établissement et en dehors pour qu’on soit soutenu. La Haute autorité de santé, le CGLPL, nous félicitaient régulièrement pour nos pratiques respectueuses des droits des patients. Cela flattait la direction, j’ai même été nommé « pilote droit des patients » avant le Covid.
Quand le premier confinement a commencé, la plupart des patients comprenaient la nécessité de l’isolement volontaire. Un de nos patients, dès février 2020, quand personne ne prenait ce virus au sérieux, nous a même dit : « Vous les soignants, n’approchez pas, vous allez me contaminer ! » Prescience du délire, il avait tout pigé avant tout le monde.
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Pourtant, dans plusieurs services de cet hôpital, les patients étaient systématiquement isolés dans leur chambre, porte fermée à clé notamment dans l’unité Covid. J’ai saisi la CGLPL avec des collègues du collectif de soin, pour alerter sur cette confusion entre le confinement sanitaire et l’isolement psychiatrique. Elle nous a donné raison, et elle a publié une recommandation en urgence de portée nationale. J’ai pensé que l’hôpital ferait amende honorable comme l’avait fait le Centre psychothérapique de l’Ain, qui s’est remis en question de fond en comble (lire notre article). Il n’en a rien été. Et cela s’est retourné contre nous.
Une plainte devant le tribunal administratif est en cours pour dénonciation calomnieuse et harcèlement, retrait de chefferie abusive. Je suis aidé par le Défenseur des droits et la Maison des lanceurs d’alerte, car mon statut est compatible avec celui de lanceur d’alerte.
Vous n’êtes pas seul à subir des rétorsions.
Cette culture de l’entrave est soutenue de manière officielle, il y a de nombreux autres exemples. Le CGLPL a écrit en mars 2022 au ministre de la santé Olivier Véran, pour l’alerter sur la restructuration de l’hôpital de Chinon (Indre-et-Loire), qui menace les pratiques exemplaires de l’établissement, où il n’y a ni isolement ni contention. Olivier Véran a choisi de soutenir la restructuration, pour résorber la dette de l’établissement.
L’hôpital de Laragne (Hautes-Alpes) développe depuis des années une contre-culture. Il a refusé les crédits alloués pour créer des chambres d’isolement. Pour cette raison, l’Agence régionale de santé menace aujourd’hui de lui retirer son agrément pour des hospitalisations sans consentement. Par contre, les hôpitaux épinglés par le CGLPL pour leurs pratiques n’ont eux pas de problème… On étouffe ceux qui essaient de faire autrement.
En écrivant ce livre, j’ai compris qu’il y a un fourmillement d’initiatives de soignants et de patients, partout dans le monde. Localement, les gens essaient d’avoir d’autres imaginaires, allant de l’anti-psychiatrie à des pratiques de psychiatrie critique. La psychiatrie a besoin de contre-pouvoirs pour limiter ses penchants asilaires.
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Cet article a été modifié, le 18 septembre à 11h, pour intégrer quelques précisions. Le chiffre officiel de 10 000 contentions pratiquées en France en 2021 est largement sous-estimé, car seuls les établissements psychiatriques ayant une autorisation d'hospitalisation sous contrainte ont une obligation de déclaration. Or la contention est pratiquée bien plus largement.
Ensuite, l'encadrement juridique de l'isolement et de la contention fait suite à des procédures portées par des avocats défendant des personnes ayant subi ses pratiques, soutenus par des associations d'usagers, notamment le Cercle de réflexion et de proposition d’actions sur la psychiatrie (CRPA).
Enfin, ce n'est pas en 2011, mais en 2016, par la loi de modernisation de notre système de santé, qu'a été fixé un objectif de réduction des pratiques d'isolement et de contention.
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Jouets de bain en plastique 👉 matière naturelle ?
✔️ A défaut de jouets sans plastique, le Centre hospitalier régional universitaire (CHRU) de Lille fait une recommandation, sur le site des 1000 jours pour la santé : « Recherchez les indications « sans phtalates » ou « sans PVC ». Préférez les jouets […] en matière naturelle. » 🌍
🔊 Concernant les jouets en matière naturelle, pour le bain, je suppose que les jouets en caoutchouc naturel font partie des jouets vers lesquels oriente le CHRU de Lille. Concernant les indications « sans phtalates » ou « sans PVC », comme le souligne Patrice Halimi, qui est Chirurgien-Pédiatre et co-fondateur de l'Association Santé Environnement France (ASEF), « ce type de mention provient des fabricants et ne donne pas d’indication sur les substituts choisis. ».
Concernant ces substituts, une étude de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses), datée de 2016, a produit une évaluation de risques dont les conclusions sont assez rassurantes, pour les substituts qui ont pu être évalués. 📚
#plastiques
#jouetsnaturels
#jouetsecologiques #jouetsdebain
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4 juillet 2023
Deuxième rendez-vous avec la psychologue du centre poids et santé, qui m’a remué psychologiquement les pensées que j’ai coincé dans ma tête, mon remède pour m’en sortir serait d’écrire sur papier mon ressenti que j’étouffe assez régulièrement, je ne sais pas quoi faire de mes émotions. Pour m’en rendre compte il faut que j’y travaille que j’y pense et que j’accepte de les accueillir pour ne plus sentir de frustration. J’ai beaucoup de mal à communiquer donc les écrire serait utile car sinon je risque de replonger dans les ténèbres , ce qui en est ressorti de cet entretien c’est que j’ai un énorme conflit en moi entre mon droit de vivre et la mort. Ce qui est réel mais je ne parviens pas à y mettre des mots. La thérapie m’aide à m’en rendre compte. J’ai ce droit de vivre j’aimerai chasser ces idées noires, mes craintes qui me pourrissent l’existence. Je sais que j’ai une peur énorme de l’abandon mais je ne savais pas que ça pouvais être aussi nocif et que cette dépendance affective me gâche la vie. Car un être humain ne peut pas être dépendant d’un autre être humain. Et je me fait du mal c’est pour cela que mes relations amicales sont compliqué à entretenir pour moi. Car je suis peut être trop dépendante et que je devrais laisser respirer ces personnes. Tout comme une ancienne relation que j’ai eu, j’admet que je n’ai pas été correcte car j’avais tellement peur d’être à l’abandon que ça m’a conduit à commettre des ts.
Ce qui explique sûrement ma dépendance affective envers les êtres humains..
Je m’abîme l’existence de mon corps je ne me respecte pas. J’en ai vraiment honte et je ne peut pas continuer dans cet esprit là. Ça risque de devenir dangereux et incompatible. Il faudrait que je retrouve ce goût de vivre et respecter mon corps personne ne pourra le faire à ma place.
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Geoffrey Hinton appelle à des régulations pour prévenir les abus de l'intelligence artificielle
Geoffrey Hinton, le scientifique britannique-canadien renommé pour son travail pionnier dans le domaine de l'intelligence artificielle (IA), a exprimé ses préoccupations concernant le développement rapide de la technologie IA, la qualifiant de "potentiellement très dangereuse". Hinton, qui a remporté le prix Nobel de physique cette année, estime que la société doit aborder le développement de l'IA avec une grande prudence et des régulations réfléchies.
Le rythme rapide du développement de l'IA
Lors d'une récente interview, Hinton a expliqué que les progrès de l'IA se produisent bien plus rapidement que ce qu'il avait anticipé. Bien que ses recherches aient posé les bases de l'apprentissage automatique — une technologie qui permet aux ordinateurs d'imiter l'intelligence humaine — il a exprimé son inquiétude face au rythme actuel de l'innovation.
« Le rythme du changement est beaucoup plus rapide que ce à quoi je m'attendais », a déclaré Hinton, ajoutant qu'il n'y avait pas suffisamment de temps pour que les chercheurs explorent pleinement les conséquences potentielles de ces avancées. Il a souligné l'urgence de mettre en place des régulations pour empêcher les abus de l'IA. « Nous devons empêcher que des gens l'utilisent pour de mauvaises choses », a-t-il averti, notant que les systèmes politiques actuels ne sont pas équipés pour gérer ces risques. >>>BLW009 pour OPPO Watch 4 Pro
Un appel pour une IA plus sûre
Les recherches récentes de Hinton se sont concentrées sur la nécessité d'assurer que le développement de l'IA reste sûr et éthique. L'année dernière, il a fait les gros titres lorsqu'il a démissionné de Google, invoquant des préoccupations selon lesquelles des "mauvais acteurs" pourraient exploiter les technologies de l'IA pour nuire à la société.
Réfléchissant à la trajectoire du développement de l'IA, Hinton a déclaré que lorsqu'il a commencé ses travaux, il n'avait pas envisagé que l'IA atteindrait le stade actuel. « Je pensais qu'à un moment donné dans le futur, nous arriverions ici, mais je ne pensais pas que ce serait maintenant », a-t-il dit à BBC Radio 4 lors du programme Today.
La révolution industrielle de l'intelligence
Hinton estime que l'impact potentiel de l'IA sur la société pourrait être comparable à celui de la révolution industrielle, une période qui a transformé radicalement les industries en remplaçant le travail humain par des machines. Il a argumenté que, tandis que les machines remplaçaient autrefois la force humaine, aujourd'hui, les machines sont prêtes à remplacer l'intelligence humaine.
« Lors de la révolution industrielle, la force humaine n'a plus eu d'importance parce que les machines étaient plus fortes », a expliqué Hinton. « Ce que nous avons maintenant, c'est quelque chose qui remplace l'intelligence humaine. L'intelligence humaine ordinaire ne sera plus à la pointe — ce seront les machines. »
Le rôle de la politique dans l'avenir de l'IA
Lorsqu'on lui a demandé ce qu'il pensait de l'avenir, Hinton a souligné le rôle crucial des systèmes politiques dans la détermination de l'impact de l'IA. Il a exprimé des préoccupations concernant le fait que, sans régulations réfléchies, l'IA pourrait aggraver les inégalités sociales, en particulier si ses bénéfices sont concentrés entre les mains des riches, tandis que les gens ordinaires perdent leur emploi à cause de l'automatisation.
« L'avenir dépendra beaucoup de ce que nos systèmes politiques feront de cette technologie », a déclaré Hinton. Il a souligné que bien que l'IA ait le potentiel de révolutionner les industries, notamment dans le domaine de la santé, elle doit être gérée avec soin pour éviter des conséquences négatives. Sans le bon cadre réglementaire, l'IA pourrait aggraver les inégalités économiques, a-t-il averti. >>>P21GU9 pour Microsoft Surface Pro 1 1514
La menace des futurs contrôlés par l'IA
Les préoccupations de Hinton vont aussi au-delà de la possibilité que l'IA prenne le contrôle de manière que les machines n'avaient jamais pu faire lors de la révolution industrielle. Autrefois, les machines pouvaient remplacer la force humaine, mais les humains restaient en contrôle en raison de leur intelligence supérieure. Cependant, le développement de l'IA hautement intelligente menace maintenant la domination humaine.
« Les machines sont plus intelligentes que nous. Il n'y a jamais eu de chance que les machines prennent le contrôle lors de la révolution industrielle parce qu'elles étaient plus fortes. Nous restions en contrôle parce que nous avions l'intelligence », a déclaré Hinton. « Maintenant, il y a la menace que ces choses prennent le contrôle. »
En conclusion, Hinton appelle les gouvernements, les chercheurs et les dirigeants industriels à agir de toute urgence pour développer des régulations éthiques de l'IA qui empêchent les abus, garantissent des avantages sociétaux larges et traitent les risques potentiels avant qu'il ne soit trop tard.
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Ce que Hegel a appelé "ruse de la raison" implique une confiance dans le pouvoir de la déraison ; si la raison est effectivement "rusée", elle va faire son travail indépendamment de notre aide, la déraison étant la certitude absolue que, peu importe avec quel soin les choses ont été planifiées, à un moment ou à un autre, elles vont mal tourner...
Freud et Lacan ne s’inscrivent-ils pas dans cette perspective lorsque la psychanalyse recommande de faire de la vérité sa priorité, la guérison venant de surcroît?
Prends tous les risques et confronte-toi à la vérité, la santé viendra d'elle-même.
Prends en compte le Réel, la réalité suivra.
Ne compromets pas ton désir, tes besoins et tes demandes s'en trouveront automatiquement satisfaits.
Faire de la santé un objectif direct est contre-productif, tu dois concentrer ton énergie sur autre chose si tu veux que ta santé advienne.
Inverse les devises du sens commun, aux certitudes proposées par la réalité, privilégie le mystère du réel, au sourire fielleux des compromis et des arrangements mensongers, préfère la morsure de la vérité.
Céder sur les mots, c'est toujours avoir déjà cédé sur les choses.
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Assurance de responsabilité civile et responsabilité professionnelle : Comment les choisir pour couvrir tous les risques
Lorsqu’on gère une entreprise ou qu’on exerce une profession, il est essentiel de se protéger contre les risques juridiques et financiers. Les erreurs humaines, les accidents, et même les actions involontaires peuvent avoir des conséquences importantes. C’est là que l’assurance de responsabilité civile et l’assurance responsabilité entreprise interviennent, offrant une couverture pour se prémunir contre des poursuites coûteuses. Mais qu’en est-il de la responsabilité professionnelle? Comment choisir les bonnes assurances pour couvrir tous ces risques, tout en garantissant une tranquillité d’esprit ? Voici un guide détaillé pour vous aider à faire les bons choix.
Qu'est-ce que l'assurance de responsabilité civile? L'assurance de responsabilité civile est une forme de couverture qui protège contre les réclamations liées aux dommages corporels ou matériels causés à autrui. En d’autres termes, elle offre une protection lorsque votre entreprise ou vos actions professionnelles causent des blessures à des personnes ou des dégâts à des biens qui ne vous appartiennent pas.
Prenons un exemple simple : si un client se blesse dans vos locaux commerciaux ou si un produit que vous avez fabriqué cause des dommages, l'assurance de responsabilité civile couvrira les frais juridiques, les indemnisations, et autres frais associés à la réclamation. Cela peut également inclure les incidents de nature environnementale, comme des déversements accidentels ou des nuisances liées à vos activités commerciales.
Qu'est-ce que la responsabilité professionnelle? La responsabilité professionnelle est une autre forme d'assurance essentielle pour les travailleurs indépendants, les professionnels du secteur de la santé, les avocats, les comptables, et de nombreux autres secteurs spécialisés. Cette assurance couvre les erreurs, omissions, ou négligence qui surviennent dans le cadre de votre pratique professionnelle. Si vous commettez une erreur dans votre travail qui entraîne des pertes pour vos clients, cette couverture est conçue pour vous protéger contre les conséquences financières, juridiques et professionnelles.
Imaginez que vous êtes un architecte et qu’une erreur dans vos plans entraîne des réparations coûteuses. Ou bien, vous êtes un comptable et vous faites une erreur qui affecte les déclarations fiscales d'un client. Dans ces cas, l'assurance responsabilité professionnelle prend en charge les réclamations, les frais juridiques, et les indemnités que vous pourriez être amené à payer à la suite d’une action en justice.
L'assurance responsabilité entreprise : Un incontournable L’assurance responsabilité entreprise est une couverture plus globale qui combine à la fois l'assurance de responsabilité civile et la responsabilité professionnelle. Elle protège une entreprise contre une variété de risques, y compris les réclamations pour négligence, les dommages causés par des produits défectueux, et les blessures survenant dans le cadre de l'activité professionnelle.
De plus, l'assurance responsabilité entreprise peut inclure des protections supplémentaires pour couvrir des aspects comme les dommages aux biens de l'entreprise, les interruptions d’activité, ou encore les dommages causés par des employés. Ce type d’assurance est essentiel pour toute entreprise, qu’elle soit de petite taille ou plus grande, car il permet de sécuriser les opérations de manière globale et de réduire les risques financiers en cas de sinistre.
Comment choisir les bonnes assurances pour votre entreprise? Choisir les bonnes assurances, c’est une étape cruciale pour la pérennité de votre entreprise et la gestion des risques. Voici quelques points à considérer lors de votre choix entre l'assurance responsabilité entreprise, l'assurance de responsabilité civile, et la responsabilité professionnelle.
Évaluez les risques spécifiques à votre activité La première étape pour déterminer quelle couverture vous convient est de bien comprendre les risques auxquels vous êtes exposé. Si vous êtes une petite entreprise dans le secteur de la construction, par exemple, vous pourriez être exposé à des risques plus importants liés aux dommages matériels ou aux accidents sur vos chantiers. Dans ce cas, l'assurance responsabilité entreprise et l'assurance de responsabilité civile seraient probablement plus adaptées.
Si vous êtes un professionnel, comme un médecin ou un avocat, la responsabilité professionnelle sera votre priorité. Cette assurance couvrira vos erreurs dans l’exercice de vos fonctions et les réclamations de vos clients pour des fautes professionnelles.
Connaissez les différentes options disponibles Il est important de savoir qu’il existe différentes formules et options dans chaque type d’assurance. Par exemple, l'assurance de responsabilité civile peut être plus ou moins étendue en fonction des besoins de l’entreprise, et la responsabilité professionnelle peut couvrir différents types de réclamations en fonction de la nature de votre travail.
Avant de souscrire à une assurance, comparez les options disponibles, les garanties offertes, et le coût des primes. Vous pouvez également consulter des experts ou des courtiers en assurances pour obtenir des conseils sur les meilleures couvertures en fonction de votre situation particulière.
Évaluez le niveau de couverture nécessaire Certaines entreprises et professions ont des besoins de couverture plus élevés en raison de la nature de leur activité. Par exemple, un médecin ou un avocat, dont les erreurs peuvent avoir des conséquences graves, pourrait avoir besoin d’une couverture plus étendue en responsabilité professionnelle. À l’inverse, une petite entreprise qui n’est pas en contact direct avec les clients pourrait opter pour une couverture plus basique en assurance de responsabilité civile.
Il est essentiel de ne pas sous-estimer l’importance d’une couverture suffisante. En cas de réclamation, une couverture trop faible pourrait entraîner des frais juridiques élevés ou des indemnités considérables.
Recherchez un assureur de confiance Le choix de l'assureur est également crucial. Il est préférable de choisir une compagnie d’assurances qui a de l’expérience dans votre secteur d’activité. Les professionnels d’assurances comme On Parle Assurance sont des experts qui peuvent vous guider et vous aider à choisir la couverture adéquate pour protéger votre entreprise ou votre pratique professionnelle.
Un bon assureur vous fournira une évaluation complète de vos risques et vous proposera une assurance qui répond à vos besoins spécifiques. Il est important que l’assureur soit réactif, transparent, et capable de traiter les réclamations de manière efficace.
Conclusion En résumé, choisir l’assurance responsabilité entreprise, l’assurance de responsabilité civile, et la responsabilité professionnelle nécessite une évaluation minutieuse des risques auxquels vous êtes confronté. En tant qu’entrepreneur ou professionnel, il est impératif de bien comprendre ces assurances afin de protéger votre entreprise contre les répercussions juridiques et financières. En suivant les bonnes pratiques, vous pouvez vous assurer que votre entreprise ou votre activité est bien couverte et que vous êtes préparé à faire face aux imprévus.
Si vous êtes à la recherche d’un partenaire d’assurance de confiance pour vous guider dans le choix des meilleures couvertures, On Parle Assurance est là pour vous accompagner. Prenez le temps de discuter de vos besoins spécifiques avec un expert et assurez-vous que vous avez la protection nécessaire pour faire croître votre entreprise sans souci.
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Comment Obtenir un Visa Travail au Canada : Le Processus Simplifié
Le Canada est l'une des destinations les plus populaires pour les professionnels internationaux souhaitant faire avancer leur carrière. Si vous êtes un travailleur étranger et souhaitez obtenir un visa travail pour le Canada, il est essentiel de comprendre les étapes du processus. Dans cet article, nous allons décomposer les étapes clés pour vous aider à naviguer facilement dans le processus de demande de visa travail, en rendant votre parcours aussi simple et rapide que possible.
1. Choisir le Type de Visa Travail
Le Canada propose plusieurs types de visas de travail, selon la situation spécifique de chaque candidat. Il est essentiel de choisir le bon type de permis de travail en fonction de vos objectifs professionnels et de vos qualifications.
Permis de Travail Temporaire (Work Permit)
Le permis de travail temporaire est le type de visa le plus couramment demandé par les travailleurs étrangers. Ce visa est accordé pour une période déterminée et nécessite généralement une offre d'emploi valide d'un employeur canadien.
Exigences :
Une offre d'emploi d'un employeur canadien.
Un Certificat d'acceptation du travail (si applicable).
Preuve de fonds pour subvenir à vos besoins au Canada.
Permis de Travail Ouvert (Open Work Permit)
Le permis de travail ouvert est une option plus flexible. Ce permis permet de travailler pour n’importe quel employeur au Canada sans restriction sur le type de travail ou l’emplacement.
Exigences :
Être un conjoint d’un citoyen canadien ou d’un résident permanent.
Avoir été étudiant international diplômé dans un établissement canadien.
2. Vérifier Si Vous Répondez aux Critères d'Éligibilité
Avant de postuler pour un visa travail au Canada, assurez-vous de remplir les critères d'éligibilité suivants :
Critères Généraux :
Passer un contrôle médical : Certains candidats devront passer un examen médical, en particulier ceux qui envisagent de travailler dans le secteur de la santé ou dans un environnement à risque.
Passer un contrôle de sécurité et de police : Une vérification des antécédents criminels peut être exigée.
Preuve d'emploi : Fournir des documents justifiant votre expérience professionnelle et la validité de l’offre d’emploi.
Documents Nécessaires :
Passeport valide.
Formulaire de demande de visa dûment rempli.
Preuve d'emploi officielle.
Preuve de fonds (pour montrer que vous pouvez subvenir à vos besoins pendant votre séjour au Canada).
Certificat médical et de police (si nécessaire).
3. Soumettre Votre Demande de Visa
Une fois que vous avez choisi le type de visa et rassemblé tous les documents nécessaires, vous pouvez soumettre votre demande de visa travail pour le Canada. Le processus se fait en ligne via le site officiel de l'immigration canadienne ou en soumettant une demande papier à l’ambassade ou au consulat du Canada.
Soumettre en ligne :
La soumission en ligne est l'option la plus rapide et la plus courante. Vous devrez créer un compte sur le portail de l'immigration canadienne, télécharger tous vos documents et suivre les instructions fournies.
Soumettre en papier :
Si vous ne pouvez pas postuler en ligne, vous pouvez soumettre une demande papier en l'envoyant au bureau de visa canadien de votre région.
4. Attendre la Décision
Le traitement des demandes de visa travail au Canada peut prendre de quelques semaines à plusieurs mois, selon le type de visa et la complexité de la demande. Pendant ce temps, vous pouvez vérifier le statut de votre demande en ligne.
Conseils pour Accélérer le Processus :
Assurez-vous que tous vos documents sont complets et correctement remplis.
Si des informations supplémentaires sont demandées, répondez rapidement pour éviter des retards.
Envisagez de faire appel à un consultant en immigration pour vous aider dans le processus.
5. Obtenir Votre Visa Travail
Une fois votre demande approuvée, vous recevrez une lettre d’introduction qui vous permettra de récupérer votre permis de travail à votre arrivée au Canada. Vous devrez également présenter votre lettre d’introduction aux autorités de l’immigration canadienne.
Conclusion
Obtenir un visa travail pour le Canada peut sembler complexe, mais avec les bonnes informations et une préparation soignée, cela devient une procédure beaucoup plus simple. Le Fonds d'Autonomie pour l'Afrique vous accompagne tout au long de ce processus en vous fournissant un service de préfinancement pour vous aider à couvrir les frais associés à votre demande de visa travail, à l'achat de votre billet d’avion et à votre logement une fois arrivé au Canada.
Prêt à démarrer votre parcours professionnel au Canada ? Contactez-nous dès maintenant pour obtenir plus de détails et commencer votre demande de visa travail pour le Canada.
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Tribunal judiciaire de Privas 20 décembre 2024, 20241220 115133
Bielik Mykhailo, M. Bielik Mykhailo, Boulevard de Lancelot 15, porte 127, Privas-07000, France. [email protected] +380661716405 07 53 26 31 05 Jeudi, 19 décembre 2024
À l’attention de Monsieur/Madame le Juge d’instruction Tribunal judiciaire de Privas 10 COURS DU PALAIS 07000 PRIVAS http://www.justice.gouv.fr/ [email protected] 04 75 66 40 00 04 75 64 51 95 Objet : Requête relative à la plainte déposée le 17 décembre 2024 (voir Pièce n°1). Nombre total de pages au format standard "A4" dans le document soumis : 43 (quarante-trois).
Monsieur/Madame le Juge, Par la présente, je souhaite porter à votre attention les éléments suivants concernant la plainte mentionnée ci-dessus. - Je demande l’ajout des éléments de preuve suivants :
"Dans le cadre des événements précédemment mentionnés, y compris durant les périodes où des vidéos ont été enregistrées du témoin mineur (probable ou potentielle victime), il convient de préciser qu'il y a également eu des menaces à l'encontre du mineur travaillant comme apprenti dans le restaurant évoqué dans les plaintes initiales ainsi que dans les communications téléphoniques avec la Police Nationale et la Gendarmerie. Ces menaces, formulées par des formateurs de l'établissement 'Aide à la Cuisine', ont été, à mon avis, des propos qui, bien qu'ayant pu être mal interprétés comme un humour noir vulgaire et de mauvais goût, concernaient des actes graves, tels que des propositions (discussion sur ce qu'il convenait de faire à l'apprenti, qui pourrait avoir fait part de ses plaintes à des tiers ou même à des gendarmes locaux), telles que : 'Et si on plongeait son visage dans la friteuse ?' (peut-être dans l'intention de réduire l'empathie que le jeune pouvait susciter auprès des autres). 'Et si on le castrait ?' 'Et si on lui coupait la langue ?'." Précision concernant l'interprétation des soupçons (accusations) : Je souhaite apporter une précision concernant l'interprétation des soupçons (accusations) relatifs aux crimes commis (ou potentiellement en cours). Je laisse entendre la possibilité d'une inaction (ou de complicité) de la part du responsable du restaurant dans des activités de proxénétisme, notamment par la mise à disposition de locaux pour des relations intimes entre adultes. Il est également possible que le responsable du restaurant n'ait pas été informé des contacts sexuels entre ce dernier et l'apprenti mineur. Je considère qu'il est nécessaire de tout mettre en œuvre pour préserver avant tout la vie et la santé du garçon mineur ayant travaillé (et peut-être continuant à travailler, en perfectionnant ses compétences en tant qu'apprenti) dans le restaurant mentionné dans les plaintes initiales, ou dans un autre (ou d'autres) restaurants ou emplois pour mineurs (et, par la suite, pour des tranches d'âge plus élevées). Les risques d'être accusé (notamment en tant que membre d'un groupe probable) par le responsable du restaurant et d'autres personnes impliquées dans des contacts sexuels avec le mineur sont excessivement graves. En conséquence, la peur spontanée d'être accusé (ou accusés) de crimes graves ou particulièrement graves pourrait entraîner un désir de tuer le mineur, probablement dans l'intention de dissimuler son cadavre.
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