#il demande à un gardien :
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Le zoo de Vincennes vient d'acheter un animal rarissime, un houla houla du Gabon. Le public se précipite aux guichets pour voir cet animal inconnu. Un visiteur est fortement intrigué par les deux énormes œufs roses que la bête semble couver. Alors, il demande à un gardien : - Dites moi, s'il vous plaît, pendant combien de temps cet oiseau va-t-il devoir couver ses œufs ? - Mais monsieur, ce ne sont pas ses œufs! Ce sont ses roubignoles! Voyez vous, la particularité de cet oiseau, c'est qu'il n'a pas de pattes. Alors, à chaque fois qu'il se pose au sol, il crie houla,houla".
#Le zoo de Vincennes vient d'acheter un animal rarissime#il demande à un gardien :#- Dites moi#s'il vous plaît#- Mais monsieur#ce ne sont pas ses œufs! Ce sont ses roubignoles! Voyez vous#la particularité de cet oiseau#c'est qu'il n'a pas de pattes. Alors#à chaque fois qu'il se pose au sol#il crie houla#houla".
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Ce que l’Abbé ne savait pas, c’est qu’il y a une raison pour laquelle les templiers n’ont jamais dépensé leur argent. Une malédiction de l’ancienne magie repose sur cette ile : quiconque hérite du trésor en devient son gardien.
Edmond n’en savait rien non plus. Il vit, toutefois, un immense squelette reposant sur la fortune cachée. Quelques baleines purent avoir été déposées là par ses prédécesseurs, peut-être.
Au début, ce ne fut que quelques écailles parsemant sa peau. Rien du tout. Edmond les pris pour une quelconque maladie de peau.
Puis, ce fut une obsession. Un besoin fréquent de retourner sur l'île. La brise était bonne, là- bas. Et sans doute pouvait-il allonger son passage vers l'Italie par un petit détour? S'arrêter vers le trésor n’était qu’une question de prudence, de vérifier que quelques voleurs ne s’étaient pas accaparé ses biens.
L’obsession tourna vite en avarice, comme les ongles d’Edmond s’allongeaient et ses doigts se recourbaient. Chaque sous dépensé pour sa vengeance était légèrement plus dur à donner. Chaque pièce mise a bien pour la machine bien huilé de son plan semblait comme une goutte de sang versé sur l’autel du sacrifice, et lui brisait le cœur.
Quelque beau jour de février, il passa, par chance, près d’un chaman, qui eut tôt fait de le mettre au courant de la malédiction. En effet, le destin de tout héritier de la fortune de Monte-Cristo était de se transformer en dragon, et sous cette apparence draconique, de garder pour toujours le trésor.
Le chaman lui donna force d’amulettes et de concoctions, mais le prévint: tant que le trésor existait, il ne pouvait que ralentir le mal.
La vengeance d’Edmond était désormais une course contre la montre.
Quand ses mains deviennent griffes, il se met à porter des gants. Quand ses pupilles se fendent, il prend l’habitude de lentilles. Dès qu’il peut, malgré la douleur qui lui en déchire la poitrine, il dilapide le trésor; dans le vain espoir d’en affaiblir la malédiction. Plus d’une fois, la providence se joue de lui, et Edmond se retrouve enrichi par les mêmes investissements qu’il avait fait pour perdre sa fortune.
André et Haydé ont beau avoir été ignorants, ils sont loin d’etre stupide. Il ne leur faut que quelques années avant de finalement découvrir le secret du comte; bien qu’ils se gardent de le dire à ce dernier. Comment ne pas remarquer la chose, quand deux ailes immenses déchire le dos du comte, le stoppant en plein milieu de l’accomplissement de sa vengeance à Paris?
C’est l'inquiétude pour son mentor qui pousse André à reporter sa vengeance. Après tout, en prison, son père biologique forme une proie facile.
Au final, seule force de maquillage permet au comte de cacher les écailles recouvrant son visage, et d'apparaître humain pour le chapitre final de sa vengeance. Les jambes courbées du comte, camouflé sous son pantalon, rendent la marche difficile sans sa fidèle canne. Ses dents, aiguisées comme un carnivore, sont ce qui lui remporte la victoire contre Fernand.
Après cela, il sait que c’est la fin. Un cœur qui n’est pas vraiment le sien bas dans sa poitrine, et lui ordonne sans cesse et sans cesse de retourner sur l'île. Pour chaque seconde passée loin d’elle, sa raison le quitte.
Il leur laisse une lettre. Elle ne dit pas un mot de sa transformation, mais elle formule une requête. Elle demande a Haydé et André de se rendre sur l'île de Monte-Cristo, avec une armée s’il le faut, et d’y subjuguer un monstre. Elle leur demande, également, de jeter le reste du trésor à la mer, où il sera enfin oublié par l’Histoire.
Haydé et André ne font rien de cela.
La créature, ils subjuguent, car il ne reste à Edmond que très peu de raison. Mais c’était suffisamment de raison pour les épargner, aussi, quand bien même il demande la mort, les jeunes gens l'épargnent à son tour. Ils ne peuvent le laisser aux prises de la malédiction, aussi, ils l’enferme, mais ce n’est que le temps d’affaiblir cette dernière.
L’or maudit, ils parsèment au quatre vents. Une bonne partie finit dans l’océan, sans doute, mais dans tous les océans du monde, suite aux dangers du milieu marin qui font si souvent couler les bateaux. Le reste, ils échangent, ils négocient, ils jettent. Ils finissent ce qu’Edmond avait commencé, et échangent la fortune tant et si bien que la malédiction peine à les suivre. Elle ne peut s’installer dans ces étranges papiers, qui fait la mode de la monnaie de Paris. Elle ne peut s’installer dans les fermes, les forêts, les montagnes, qui soudainement sont inscrites sous le nom de ‘Monte-Cristo’. Elle ne peut rester dans les quelques artefactes qu’on entrepose en chine, en amérique, ni dans les quelques pépites données aux africains. C’est trop grand, trop large, trop de choses différentes à trop d’endroits.
Tirée à quatre épingle, la malédiction se brise.
Il est trop tard pour Edmond, dont le large corp écailleux ne pourra jamais retrouver forme humaine. Mais son esprit est clair. Il reconnaît ses enfants, ses amis. Il reconnaît le ciel, l’océan, et leurs odeurs qui chatouillent ses narines. Il se souvient avec une douloureuse nostalgie du berceau des vagues, du sel qui prend à la bouche, de l'aventure qui guidait sa vie avant qu’elle ne s'écroule.
Il est libre, désormais. Libre de l’héritage du passé.
Et c’est libre qu’Edmond Dantès, comte de Monte Cristo, se perd dans l’immensité bleu qui l’appelle.
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J'ai juste besoin de lui ; rien ne sait compter plus que lui. J'ai besoin de le voir sur la table, à se faire comprendre pour avoir des croquettes ; et puis miauler, parce qu'il sait bien faire maintenant, et miauler parce que ça va pas assez vite ! Je veux le retrouver tout mouillé et que monsieur attend qu'on l'essuie parce que quand même, il va pas se sécher tout seul ! Je veux le sentir frétiller sous la serviette et ronronner même un peu ; et puis le voir descendre de la table, avec sa démarche de danseuse et réclamer à sortir encore, alors qu'il pleut et que je viens de l'essuyer ; de quoi je me plains, c'est un honneur de recommencer ça toutes les dix minutes !
J'ai besoin de le prendre dans mes bras, de l'embrasser partout sur la tête et le sentir serein, bien posé, sentir son tout petit poids relâché, là, dans le creux de mes bras. Même qu'on ronronne un peu mais pas tant, mais je sais que chez lui c'est énorme, qu'il a appris y'a même pas si longtemps ! Parce qu'il s'arrête jamais d'apprendre à être heureux, de comment c'est d'être un petit chat ; un jour, il ira vraiment pour préférer un carton à n'importe quoi d'autre dans une pièce... En attendant il est décidé qu'il dormirait à tel endroit et puis c'est tout ! J'aurais beau le ramener dans le lit, non non, il part directement pour se mettre dans le coin le plus inconfortable de la baraque ! Vraiment sa spécialité ça, alors qu'il a cent autres endroits où se mettre, tous mille fois plus confortables que ça !
Ouais, il a encore beaucoup à apprendre ; il m'impressionne toujours autant, parce que maintenant il fait des progrès de géant ! Alors qu'il est effrayé par les gens, il parvient à leur donner sa confiance maintenant, parce qu'il me croit, parce qu'il me voit aimer et que si j'aime la personne, il peut y aller aussi ! Il a ce grand coeur qui demande que ça dans le fond, comme avec Osiris ; le supporté pas au début et finalement c'est devenu son meilleur pote, à miauler derrière lui pour être sûr qu'il rentre quand on vient ouvrir la porte, qu'on y voit que du feu à se dire que c'était Marvel et en fait non !
Je veux qu'il revienne me faire râler ; en montant sur mes épaules ou sur mes cuisses quand je suis sur le pc ; à dormir sur mes côtes la nuit, à m'obliger de me réveiller un peu pour bouger sans l'écraser ; à le tenir d'une main tout en me tournant, en râlant dans mon sommeil avant de me rendormir, tandis qu'il se réinstalle en s'en fichant bien que je râle !
J'ai oublié ce que c'est, de vivre sans lui.
Parce qu'il m'a fait vivre pour lui.
Parce qu'il a vécu pour moi.
J'ai peur que cette journée se termine. J'ai peur de me réveiller demain. J'ai peur de me dire que ça fera déjà une journée sans lui. J'ai peur. J'en veux pas, de tout ça.
Je voudrais juste retrouver sa chaleur tout contre moi.
Comment on se remet de la perte de son ange gardien ?
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La violence contre les élus
60% des élus au niveau mondial ont été victimes de violences ou de harcèlement et dans de nombreux cas, cela a mené à la fin de leur carrière. Cela ne date pas d'hier. Ces élus sont presque tous des élus progressistes, qui par leur action on challengé la société traditionaliste. Une femme jeune qui dirige, un homme blanc qui veut donner des droits aux Noirs, le contenu de ce qui est enseigné à l'école, etc. Ces élus sont victimes de traditionalistes qui se sentent profondément menacés par les actions de ces leaders. Ils quittent leurs fonctions, ce qui est anti-démocratique. Plus de 600 emails de policiers ont été retrouvés dans les archives du FBI quand Obama était président d'officiers qui disaient ne pas vouloir obéir à un Noir. Obama a reculé pour les droits à l'avortement car il avait peur. Certains n'osent plus critiquer les thèmes de l'extrême-droite ou n'osent plus se présenter aux élections de peur de ces violences. Par exemple, en Finlande, après le harcèlement de Sanna Marin, les principaux leaders de la gauche n'ont pas osé se présenter.
Face aux progressistes, il y a une longue histoire de traditionalistes qui recourent à la violence. Que peut-on faire pour améliorer les choses? Pourquoi la police ne les protège pas plus? Pourquoi ce ne sont que des progressistes qui se font agresser? John Fitzgerald Kennedy s'est fait tuer à Dallas, état Républicain.
Dans les polices du monde entier, il y a un phénomène de corps. L'organisation perpétue des croyances et des traditions. Le corps policier décide de qui il protège et de qui il ne protège pas.
Dans l'empire romain, la garde prétorienne assurait la protection de l'Empereur. C'est eux qui décidaient qui était l'empereur. Quis custodiet ipsos custodes? Qui garde les gardiens?
Quis custodiet ipsos custodes? - Wikipedia: https://fr.wikipedia.org/wiki/Quis_custodiet_ipsos_custodes%3F
La police en fait le minimum quand elle protège un progressiste. La police a tardé avant de répondre à l'appel au secours du mari de Nancy Pelosi. Il s'est passé 4h avant que les policiers arrivent lors de l'attaque du Capitole du 6 janvier 2021. Il n'y a eu aucune preuve qu'un dirigeant avait donné un ordre pour ne pas intervenir. Il n'y a pas de garde nationale à Washington. Le corps policier décide ou non de protéger les élus. Cette violence s'applique contre les gens qui veulent changer la société: les élus, contre les LGBT+, contre les professeurs, contre les journalistes. La police traîne les pieds et ne les protège pas.
A quoi sert la police? - Les Idées Larges - Arte: https://www.arte.tv/fr/videos/117234-001-A/a-quoi-sert-la-police/
Si on veut que la police soit en accord avec la diversité des idées de la société, il faut que le maintien de l'ordre soit effectué sur le modèle des gardes nationales américaines. Il faut donner du temps pour que les gens soient formés au maniement des armes et au maintien de l'ordre. Les policiers de carrière des gardiens de la paix sont sélectionnés, ils sont embrigadés par les anciens, ils peuvent être achetés. Les gardiens de la paix devraient être les citoyens du moment qu'ils sont en capacité physique de le faire. Cela formerait les citoyens à désescalader les conflits, à protéger leurs voisins, etc. Nous avons tous droit à la protection.
La police judiciaire demande des professionnels car c'est très technique, mais pas les gardiens de la paix.
Ce sont les policiers qui sont les faiseurs de roi. Ils devraient protéger la démocratie.
La liste des personnes politiques qui n'ont pas pu mener leur programme à bien à cause de violences est longue:
Matthias Ecke (candidat SPD aux élections Européennes)
Pedro Sanchez (premier ministre espagnol)
Léo Varadkar (premier ministre irlandais)
Yannick Morez (maire de Saint-Brévin-les-pins)
Jacinda Ardern (premier ministre de Nouvelle-Zélande)
Sanna Marin (premier ministre de Finlande)
Nancy Pelosi (président de la chambre des représentants des USA)
Robert Kennedy (ministre de la justice et candidat aux élections présidentielles américaines)
John Fitzgerald Kennedy (président des USA)
Léon Blum (premier ministre de la France)
Jean Jaurès (premier ministre de la France)
Abraham Lincoln (président des Etats-Unis)
etc.
Ukraine’s new military branch: Citizens protecting their neighborhood - Politico: https://www.politico.eu/article/ukraine-russia-military-citizen-reservist-defense/
Le nombre d’agressions d’élus marque une hausse - Le Monde: https://www.lemonde.fr/politique/article/2023/03/15/l-inquietante-hausse-du-nombre-d-agressions-d-elus_6165642_823448.html
Violence against women active in politics in the EU - A serious obstacle to political participation: https://www.europarl.europa.eu/RegData/etudes/BRIE/2024/759600/EPRS_BRI(2024)759600_EN.pdf
A deluge of violent messages: How a surge in threats to public officials could disrupt American democracy - CNN: https://edition.cnn.com/2023/12/07/politics/threats-us-public-officials-democracy-invs/index.html
Thousands turn out at rally for Spain's PM Pedro Sánchez - BBC: https://www.bbc.com/news/world-europe-68914181
Gardien de la Paix - La Chanson du Dimanche S01E11: https://youtu.be/C-nViGKosyE?si=Z1-mFHrqrdy_jl9X
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Les autorités illégitimes: https://www.aurianneor.org/les-autorites-illegitimes/
Police et justice pour le peuple: https://www.aurianneor.org/police-et-justice-pour-le-peuple/
Police, Armée: https://www.aurianneor.org/police-armee-manif-des-policiers-je-suis-gilet/
#agression#aurianneor#citoyen#conservateurs#corps policier#démocratie#élus#extreme droite#garde nationale#gardien de la paix#maintien de l’ordre#police#politique#progressiste#protection policière#Quis custodiet ipsos custodes?#roi#sécurité#société#traditionaliste#violence
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Opération speciale
Chap: 1
Ce soir, il m'a prévenu que l'on allait sortir. Comme souvent.
Je suis assise à côté de lui, côté passager. Mes chevilles liées par des menottes dont il garde la clef dans sa poche de pantalon. Une vieille habitude depuis que je vis chez lui. Ou plutôt, depuis qu'il m'a interdit de partir de chez lui!
Il a toujours peur que je me sauve. Il m'attache ou m'enferme en permanence. Pour moi ce n'est pas vraiment une nécessité, je n'ai pas d'endroit où aller, pas d'argent. Je ne sais même pas si je partirais dans l'éventualité où il me laisserait libre.
Il est dur mais plutôt juste. Je subis au quotidien. Je m'attache à lui comme un otage qui se lie à son gardien. Je m'habitue à cette vie finalement. Mon cerveau se vide.
Plus d'envies. Plus de rêves.
Je deviens un automate. Je subis sans me plaindre. Les quelques punitions que j'ai reçues les premiers temps m'en ont dissuadées. Les cachets qu'il me donne plusieurs fois par jour aussi j'imagine. Je me sens las. Sans énergie. Je n'étais pas comme cela avant.
Il est pharmacien. C'est facile pour lui de me rendre à sa merci. De me droguer. De faire de moi un zombie.
Nous avancons dans Strasbourg et nous nous rapprochons du centre. Le regarde par la fenêtre de la voiture. Le regard vide. Le paysage urbain défile. Des lumières. Des boutiques en train de fermer. Des passants.
J'imagine la soirée que je vais passer.
Je n'ai pas peur. Je n'ai plus peur. Je m'habitue a être malmenée. J'aurai mal sans doute. Je passerai un mauvais moment. Ça m'est égal. Je pense à après. Quand il irait travailler demain matin. Je serai enfin seule. Enfermée dans ma chambre. Mais seule. Je dormirai. J'ai toujours envie de dormir depuis que je suis chez lui. Les cachets sans doute...
Il se gare le long d'un trottoir. Il y a un peu de monde dans la rue. Je pourrais crier. Demander de l'aide.
Même pas la force. Même pas l'envie. Juste l'idée qui me traverse l'esprit...
Il défait les menottes et me regarde d'une manière menaçante:
- Je te fais confiance petite pute! Tu restes bien docilement à côté de moi, d'accord?
- oui Maître.
Je me garde bien de lui dire que je n'ai pas la force ni l'énergie de fuir ou de demander de l'aide. Il doit bien le savoir de toute manière.
D'ailleurs je ne peux pas lui parler. Il me l'a interdit. Je peux juste lui répondre. Et encore, avec calme, politesse et en baissant les yeux! Réponses courtes obligatoires. J'ai été punie plusieurs fois au début pour manque de respect. Je fais attention désormais. Ses punitions font trop mal.
Il fait le tour de la voiture et m'ouvre la portière.
- merci Maître.
Il me prend sous le bras, gentiment.
Nous commençons à marcher. Comme des amoureux. Nous donnons le change j'imagine, pour les autres passants.
Je fais l'objet de quelques regards de mecs que nous croisons. Je suis habillée un peu court pour ce début de soirée. C'est lui qui choisi mes tenues.
Il est fier que les hommes me regardent.
Il me chuchote à l'oreille:
- tu vois petite pute, tu plais aux hommes! Je suis fier de toi!
- merci Maître... je réponds en chuchotant également.
Dans ma tête, un sourire passe. La satisfaction. J'avoue ressentir une certaine fierté à plaire. Presque de l'excitation.
Nous arrivons en bas d'un immeuble. Il sonne.
Nous entrons lorsque la porte se déverrouille....
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Le principal effet de la lutte officielle contre le racisme aura été de perpétuer le racisme.
Cela s’appelle un fait de structure, le signifiant "racisme" étant à considérer comme une variable…
Racisme : Les 7 règles de la diffusion des idées racistes en France – par Jacques Rancière (Le Monde, 1997)
La diffusion des idées racistes en France semble être aujourd’hui une priorité nationale Les racistes s’y emploient, ce qui est la moindre des choses. Mais l’effort des propagandistes d’une idée a des limites, en un temps où l’on se méfie des idées, et il a souvent besoin pour les dépasser, du concours de ses adversaires. Là est l’aspect remarquable de la situation française : hommes politiques, journalistes et experts en tout genre ont su trouver ces dernières années des manières assez efficaces de faire servir leur antiracisme à une propagation plus intense des idées racistes. Aussi bien toutes les règles énoncées ici sont-elles déjà employées. Mais elles le sont souvent d’une manière empirique et anarchique, sans claire conscience de leur portée. Il a donc paru souhaitable, afin d’assurer leur efficacité maximale, de les présenter à leurs utilisateurs potentiels sous une forme explicite et systématique.
Règle 1. – Relevez quotidiennement les propos racistes et donnez-leur le maximum de publicité. Commentez-les abondamment, interrogez incessamment à leur propos grands de ce monde et hommes de la rue. Supposons par exemple qu’un leader raciste, s’adressant à ses troupes, laisse échapper qu’il y a chez nous beaucoup de chanteurs qui ont le teint basané et beaucoup de noms à consonance étrangère dans l’équipe de France de football. Vous pourriez considérer que cette information n’est vraiment pas un scoop et qu’il est banal, au surplus, qu’un raciste, parlant à des racistes, leur tienne des propos racistes. Cette attidude aurait une double conséquence fâcheuse : premièrement vous omettriez ainsi de manifester votre vigilance de tous les instants face à la diffusion des idées racistes ; deuxièmement, ces idées elles-mêmes se diffuseraient moins. Or l’important est qu’on en parle toujours, qu’elles fixent le cadre permanent de ce qu’on voit et de ce qu’on entend. Une idéologie, ce n’est pas d’abord des thèses, mais des évidences sensibles. Il n’est pas nécessaire que nous approuvions les idées des racistes.
Il suffit que nous voyions sans cesse ce qu’ils nous font voir, que nous parlions sans cesse de ce dont ils nous parlent, qu’en refusant leurs « idées » nous acceptions le donné qu’elles nous imposent.
Règle 2. – N’omettez jamais d’accompagner chacune de ces divulgations de votre indignation la plus vive. Cette règle est très importante à bien comprendre. Il s’agit d’assurer un triple effet : premièrement, les idées racistes doivent être banalisées par leur diffusion incessante ; deuxièmement, elles doivent être constamment dénoncées pour conserver en même temps leur pouvoir de scandale et d’attraction ; troisièmement , cette dénonciation doit elle-même apparaître comme une diabolisation, qui reproche aux racistes de dire ce qui est pourtant une banale évidence. Reprenons notre exemple : vous pourriez considérer comme anodin le besoin où est M. Le Pen de faire remarquer ce que tout le monde voit à l’oeil nu, que le gardien de l’équipe de France a la peau bien noire. Vous manqueriez ainsi l’effet essentiel : prouver qu’on fait aux racistes un crime de dire une chose que tout le monde voit à l’oeil nu.
Règle 3. – Répétez en toutes circonstances : il y a un problème des immigrés qu’il faut régler si on veut enrayer le racisme. Les racistes ne vous en demandent pas plus : reconnaître que leur problème est bien un problème et « le » problème. Des problèmes acec des gens qui ont en commun d’avoir la peau colorée et de venir des anciennes colonies françaises, il y en a en effet beaucoup. Mais tout cela ne fait pas un problème immigrés, pour la simple raison qu’ « immigré » est une notion floue qui recouvre des catégories hétérogènes, dont beaucoup de Français, nés en France de parents français. Demander qu’on règle par des mesures juridiques et politiques le « problème des immigrés » est demander une chose parfaitement impossible. Mais, en le faisant, premièrement, on donne consitance à la figure indéfinissable de l’indésirable, deuxièmement, on démontre qu’on est incapable de rien faire contre cet indésirable et que les racistes seuls proposent des solutions.
Règle 4. – Insistez bien sur l’idée que le racisme a lui-même une base objective, qu’il est l’effet de la crise et du chômage et qu’on ne peut le supprimer qu’en les supprimant. Vous lui donnez ainsi une légitimité scientifique. Et comme le chômage est maintenant une exigence structurelle de la bonne marche de nos économies, la conclusion s’en tire tout naturellement : si on ne peut supprimer la cause « profonde » du racisme, la seule chose à faire est de lui supprimer sa cause occasionnelle en renvoyant les immigrés chez eux par des lois racistes sereines et objectives. Si un esprit superficiel vous objecte que divers pays ayant des taux de chômage voisins n’ont pas de débordements racistes comme chez nous, invitez-le à chercher ce qui peut bien différencier ces pays du nôtre. La réponse va de soi : c’est qu’ils n’ont pas comme nous trop d’immigrés.
Règle 5. – Ajoutez que le racisme est le fait des couches sociales fragilisées par la modernisation économique, des attardés du progrès, des « petits Blancs », etc. Cette règle complète la précédente. Elle a l’avantage supplémentaire de montrer que les antiracistes ont, pour stigmatiser les « arriérés » du racisme, les mêmes réflexes que ceux-ci à l’égard des « races inférieures » et de conforter ainsi ces « arriérés » dans leur double mépris pour les races inférieures et pour les antiracistes des beaux quartiers qui prétendent leur faire la leçon.
Règle 6. – Appelez au consensus de tous les hommes politiques responsables contre les propos racistes. Invitez sans trêve les hommes du pouvoir à s’en démarquer absolument. Il importe en effet que ces politiciens reçoivent le brevet d’antiracisme qui leur permettra d’appliquer avec fermeté et d’améliorer, si besoin est, les lois racistes destinées, bien sûr, à enrayer le racisme. Il importe aussi que l’extrême droite raciste apparaisse comme la seule force conséquente et qui ose dire tout haut ce que les autres pensent tout bas ou proposer franchement ce qu’ils font honteusement. Il importe enfin qu’elle apparaisse être, pour cela seul, victime de la conjuration de tous les gens en place.
Règle 7. – Demandez des nouvelles lois antiracistes qui permettent de sanctionner l’intention même d’exciter au racisme, un mode de scrutin qui empêche l’extrême droite d’avoir des sièges au Parlement et toutes mesures du même ordre. D’abord, des lois répressives peuvent toujours resservir. Ensuite, vous prouverez que votre légalité républicaine se plie à toutes les commodités des circonstances. Enfin, vous consacrerez les racistes dans leur rôle de martyrs de la vérité, réprimés pour délit d’opinion par des gens qui font les lois à leur convenance.
Il s’agit, en bref, d’aider la diffusion du racisme de trois manières : en divulgant au maximum sa vision du monde, en lui donnant la palme du martyre, en montrant que seul le racisme propre peut nous préserver du racisme sale. On s’emploie déjà, avec des succès appréciables, à cette triple tâche. Mais, avec de la méthode, on peut toujours faire mieux.
(Jacques Rancière est professeur de philosophie à l’université Paris VIII)
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Flirt
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 6 août
Thème : papillon/chat GPT
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« C’est l’ef-fet pa-pi-llon… »
La radio passe une chanson de Benabar. C’est un chanteur que j’aime bien. Je vais le prendre pour un bon signe. J’ai besoin de toute l’aide disponible : si les dieux, les anges gardiens ou tout le folklore qui peuple les cieux décident de se mettre de mon coté, ça me va.
Je reste concentré sur mon message. Il doit être parfait. Et je sais que je suis particulièrement nul à ça. Donc j’ai fait appel à une autre aide, plus concrète. Non, pas un ami, ou plutôt un ami dans le même style que quand on dit que Google est ton ami. J’ai ouvert Chat GPT. Et je viens de passer une demi-heure à lui expliquer la situation.
« Petites causes, grandes conséquences… »
C’est que le cas est grave, et compliqué. Ma relation avec Milène pourrait être le centre de ma vie, le point culminant de mon existence. Si cette relation existait. Ce qui est délicat. Pour tout un tas de raisons que j’ai eu bien du mal à faire comprendre à l’IA. Mais ça y est, il a l’air d’avoir saisi l’enjeu. Il me dit :
Vous voulez formuler votre message de manière romantique, sans sous-entendu qui serait mal interprété. Ai-je bien compris votre requête ?
C’est le mieux que je puisse obtenir, alors je réponds oui et je lui envoie le premier jet de mon message. Quelque chose de très simple : quelques compliments et une demande pleine d’espoir de faire davantage connaissance. Il me faut simplement un petit coup de pouce pour lui donner un peu plus d’allure. Me démarquer du lot.
Chat GPT réfléchit.
« Pourtant joli comme expression… »
Il répond, et sa formulation est parfaite. Exactement ce que je voulais ! Comme si un condensé de tous les écrivains romantiques des deux derniers siècles s’était penché sur mon cas ! Non, il ne faut pas prendre le temps de réfléchir, ni d’hésiter, sinon je ne le ferai jamais : j’envoie !
« Petites causes… dégâts immenses. »
Sa réponse est immédiate. Parfaite. Elégante. Fleurie. Charmante.
Et je n’ai aucune idée de si elle dit oui ou non.
Je regarde Chat GPT sur mon écran.
Il connaitra la solution à ce problème, non ?
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#30jourspourécrire#30 jours pour écrire#6 août#papillon#chat GPT#pas forcément très romantique#mais il y a des efforts de faits#j’anticipe un peu mais pas tant que ça#chat GPT n’est pas mauvais en formulation#c’est juste que j’imagine un moment où si l’autre personne écrit trop bien#on va se méfier#donc les IA écriront mal#pour avoir l’air plus humaines#et après on tombe dans le cyberpunk#alors qu’on veut juste tous attraper la maladie d’amour tout ça tout ça#j’ai tellement la chanson dans la tête maintenant#quasiment pas en retard#french#french writer#écriture
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"Ils ne parlent pas assez" dans la fiction (They don't talk enough in fiction)
Sur les séries que je regarde pas mal, j'entends souvent de personnes dirent "Pourquoi le perso ne dit rien ou refuse d'écouter l'autre ?! Ils devraient communiquer." Le truc c'est que plus facile à dire qu'à faire, par exemple le conflit entre Marinette et Adrien, Marinette se sent submergée par son rôle de gardien. Elle veut que tout soit parfait et pense que tout ira bien avec Chat Noir. Mais elle ne voit pas qu'elle fait du mal à Chat Noir sans le vouloir. Marinette veut aider les gens mais a du mal avec leurs réactions émotionnelles. Par exemple dans Reverser, elle aide Marc en les faisant se rencontrer pensant qu'ils pourraient s'entendre. Sauf que ça se passe pas comme prévu et Nathaniel pense qu'il s'est fait avoir. De plus une fois que Marinette a confessé qu'elle était Ladybug. Elle se sent un peu mieux !
Mais Alya n'aime pas garder autant de secrets, elle comprends pourquoi mais ça lui donne un tiraillement entre ce qu'elle doit faire et veut faire. Elle finit par révéler à Nino qu'elle est toujours Rena Rouge. Et c'est ce qui la différencie de Marinette qui veut tout régler toute seule alors qu'Alya fait confiance à Nino de garder le secret. Surtout que dans le finale de la saison 4, elle a failli mourir si Carapace ne l'avait pas protégé. D'ailleurs dans l'épisode de Rocketear, Nino dit qu'un couple n'a pas de secrets. Le truc c'est que si une personne cache des choses à son bien aimé, c'est pas parce qu'il a pas confiance à ce dernier. Mais c'est parce qu'elle se sent pas prête ou bien a peur de la réaction de l'être aimé. De plus Marinette n'a jamais dit que à Alya que Lila l'a menacé dans les toilettes. Car Marinette bien qu'elle est confiante, a peur de Lila car c'est comme quand Chloé l'a harcelait avant qu'elle devenait Ladybug. Sans compter qu'elle aime bien aider les autres mais quand il s'agit de ses problèmes personnelles, elle préfère les régler toute seule. Sans compter qu'elle n'a rien dit sur son trauma dans Chat Blanc. Elle intériorise de plus en plus jusqu'à ce que Felix a volé les miraculous, elle finit par craquer et dévoile ce qu'elle ressent. Elle se sent coupable et ne comprends pas pourquoi Chat Noir est là après tout ce qui s'est passé. Chat Noir reste en la rassurant qu'ils vont récupérer les miraculous un par un, il a été le soutien dont elle avait besoin pour faire face au Papillon.
Dans le prince des dragons, Rayla est revenu après être parti le jour de l'anniversaire de Callum. Alors on manque de contexte mais dans le comic through the moon. Elle laisse une lettre à Callum sur le pourquoi qu'elle s'en va pour traquer Viren et pensant qu'elle part pour le protèger. N'oublions pas que Rayla a vécu dans un village où les actes sont plus valorisés que les paroles. Sauf que ça reste assez vache, de plus même si Callum le sait, il a le droit d'être en colère contre elle ! Car elle est partie, leur mauvaise communication a du sens car Rayla essaie de réparer ce qui a été fait en espérant que les choses redeviendraient comme avant. Tandis que Callum n'est pas prêt à l'écouter et ça reste compréhensible. Surtout qu'avec Aaravos qui a prit contrôle de son corps pour rendre sa menace encore plus grande et les roaste sur leurs insécurités. Les sentiments de Callum sont confus, car d'un côté il est content qu'elle soit là mais de l'autre il est triste et colère. Ça fait beaucoup quand même ! Même quand Callum demande à Rayla de le tuer si Aaravos prend possession de son corps à nouveau elle refuse car elle ne veut pas tuer le garçon qu'elle aime. Quand elle voit Viren, elle lui dit qu'elle doit le poursuivre. Et Callum comprend, il a peur qu'elle l'abandonne à nouveau mais laisse ça de côté. Toutefois quand Rayla retrouve les pièces de ses parents, elle fait le choix de revenir auprès de ses amis. Elle aurait pu poursuivre Viren et les autres mais non elle a décidé de revenir auprès de Callum et les autres. Callum pensait qu'elle est morte et quand il la sort des gravas, il est rassurée de la voir en vie. Maintenant peut être que Callum est enfin prêt à parler Rayla.
Dans RWBY, Blake s'enfuit suite à la chute de Beacon laissant ses amis derrière elle. Elle pense qu'elles seront mieux sans elle. Jusqu'à ce que Sun lui dit qu'elle peut faire ses choix mais ceux des autres bon après il a un peu imposé sa présence à Blake mais elle avait besoin d'entendre ça. Car après l'attaque de sa maison, elle va se rendre à Mantle avec les autres faunus. Yang était triste que Blake soit parti à tel point qu'elle disait qu'elle s'en fichait de où elle était. Montrant à quel point elle était blessée par elle. Quand elle revient auprès d'elles, elles mettent du temps à se réconcilier vu que Yang a toujours son syndrome post traumatique à cause d'Adam. Elle essaie d'être à l'écoute mais Yang ne veut pas l'écouter. Elles finissent par se comprendre quand elles se battent contre Adam, la cause de tout leurs problèmes. Elle se protègent mutuellement et tuent Adam, j'aime bien comme la scène est présenté car Blake jette son arme ensanglanté, elle est dans tout ses états. Alors que Yang essaie de la consoler puis elles se sont réconciliés. Dans le volume 7, Blake et Yang ont un désaccord au sujet d'Ironwood et parle d'Adam, Yang dit qu'elles ont fait ce qui doit être fait. Quand à Blake, elle veut pas refaire cette erreur, ça a l'air horrible ce que dit Yang mais Adam est celui qui lui a coupé son bras et a fait fuir Blake. Donc le ressenti n'est pas le même.
Bref tout ça pour dire que oui il faut communiquer dans une relation romantique, platonique voir même familiale. Or il y a des raisons qui poussent les perso à ne pas en parler de tel ou tel chose et c'est compréhensible en soi. Souvent c'est pas parce que la personne n'a pas confiance à son interlocteur, c'est juste qu'il craint la réaction de ce dernier si il l'apprenait. Mais ils vont finir par en parler faut juste être patient.
On the series I watch a lot of people say "Why doesn't the character say anything or refuse to listen to the other?! They should communicate." The thing is, easier said than done, for example the conflict between Marinette and Adrien, Marinette feels overwhelmed by her role as guardian. She wants everything to be perfect and thinks that everything is fine with Chat Noir. But she doesn't see that she's unintentionally hurting Chat Noir. Marinette wants to help people, but has trouble with their emotional reactions. For example, in Reverser, she helps Marc by bringing them together, thinking they might get along. But things don't work out as planned, and Nathaniel thinks he's been had tricked. Once Marinette confesses that she's Ladybug to Alya. She feels a little better !
But Alya doesn't like keeping so many secrets, she understands why, but it gives her a tug-of-war between what she has to do and what she wants to do. She ends up revealing to Nino that she's still Rena Rouge. And that's what sets her apart from Marinette, who wants to sort everything out on her own, whereas Alya trusts Nino to keep the secret. Especially since in the season 4 finale, she almost died if Carapace hadn't protected her. Besides, in the Rocketear episode, Nino says that a couple has no secrets. The thing is, if a person hides things from their loved one, it's not because they don't trust them. It's because they don't feel ready or are afraid of their loved one's reaction. What's more, Marinette never told Alya that Lila threatened her in the bathroom. Because although Marinette is confident, she's afraid of Lila, just as she was when Chloé harassed her before she became Ladybug. Not to mention that she likes to help others, but when it comes to her own personal problems, she prefers to deal with them alone. Not to mention the fact that she never mentioned her trauma in Chat Blanc. She internalizes more and more, until when Felix steals the miraculous, she finally breaks down and reveals how she feels. She feels guilty and doesn't understand why Chat Noir is there after all that's happened. Chat Noir stays, reassuring her that they'll get the miraculous back one by one, and that he's been the support she needed to face the Hawmoth.
In The Dragon Prince, Rayla returned after leaving on Callum's birthday. So we lack context but in the through the moon comic. She leaves Callum a letter about why she's leaving to track down Viren and thinking she's leaving to protect him. Let's not forget that Rayla has lived in a village where actions are more valued than words. Except that it's still pretty dirty to do that, and even if Callum knows it, he has every right to be angry with her ! Because she's gone, their miscommunication makes sense, as Rayla tries to repair what's been done but hopes things will go back to the way they were. Callum, on the other hand, isn't ready to listen, and that's understandable. Especially with Aaravos taking control of his body to make his threat even greater and the roast on their insecurities. Callum's feelings are confused, because on the one hand he's happy she's here, but on the other he's sad and angry that she's here. That's a lot ! Even when Callum asks Rayla to kill him if Aaravos takes over his body, she refuses because she doesn't want to kill the boy she loves. When she sees Viren, she tells him she has to go after him. And Callum understands, he's afraid she'll abandon him again, but puts it aside. However, when Rayla finds her parents' pieces, she makes the choice to return to her friends. She could have gone after Viren and the others, but no, she decided to return to Callum and the others. Callum thought that she's dead, but when he pulls her out of the rubble, he's reassured to see her alive. Now maybe Callum is finally ready to talk to Rayla.
In RWBY, Blake flees after Beacon's fall, leaving her friends behind. She thinks they'll be better off without her. That is, until Sun tells her she can make her own choices, but not everyone else's. Well, he's kind of forced his presence on Blake, but she needed to hear that. Because after the attack on her house, she's going to Mantle with the other faunus. Yang was sad that Blake was gone, so much so that she said she didn't care where she was. Showing how hurt she was by her. When she returns to them, it takes a while for them to make up, as Yang still has post-traumatic stress disorder from Adam. She tries to be a good listener, but Yang won't listen. They finally understand each other when they fight Adam, the cause of all their problems. They protect each other and kill Adam. I like the way the scene is presented, as Blake throws away his bloody weapon, she's a mess. While Yang tries to console her, they make up. In Volume 7, Blake and Yang have a disagreement about Ironwood and Adam, with Yang saying they've done what needs to be done. As for Blake, she doesn't want to make that mistake again. Yang sounds horrible, but Adam is the one who cut off her arm and made Blake run away. So the feeling isn't the same.
All this to say that, yes, you have to communicate in a romantic, platonic or even family relationship. But there are reasons why people don't want to talk about this or that, and that's understandable in itself. Often it's not because the person doesn't trust the person they're talking to, it's just that they're afraid of the person's reaction if they find out. But they'll talk about it eventually, you just have to be patient.
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“Nous, poétesses, poètes, éditrices et éditeurs, libraires, bibliothécaires, enseignantes et enseignants, actrices et acteurs de la scène culturelle française refusons la nomination de Sylvain Tesson comme parrain du Printemps des poètes 2024.”
La tribune aux 600 signatures parue dans les colonnes de Libération est claire : pas tout le monde n’a le droit de cité dans le milieu culturel. Ce milieu, c’est le leur et ils entendent bien le garder. Quitte à incarner ce qu’ils entendent dénoncer : la réaction.
Breizh-info.com : La tribune contre le parrainage de Sylvain Tesson à la 25e édition du Printemps des poètes, qui se tiendra du 9 au 24 mars prochain, n’a pas dû vous échapper. De quoi est-elle le signe selon vous ?
Xavier Eman : De l’étonnante passion pour l’exclusion et « l’entre-soi » de tous ces braves gens qui se prétendent – et, pire encore, sont persuadés d’être – particulièrement « ouverts » et de grands chantres de la « diversité ». Ces pétitionnaires sont en réalité de parfaits schizophrènes, ils s’affirment libertaires mais n’ont de cesse que d’interdire, proscrire, écarter, dresser des listes de suspects, dénoncer les mal-pensants. Ces athées, farouches bouffeurs de curés, se comportent dans les faits comme des torquemadas de sous-préfecture, petits kapos de la nouvelle religion du « vivre-ensemble » et de « l’inclusivité », qui consiste en fait à ne tolérer de vivre qu’avec les gens qui pensent comme soi et à « n’inclure » que ses propres clones idéologiques.
Breizh-info.com : Pour justifier leur mise à l’index, les signataires reprochent très sérieusement à Sylvain Tesson d’avoir préfacé « un ouvrage de référence de l’extrême droite » à savoir, Le camps des saints de Jean Raspail. Lamentable erreur : le recueil de Jean Raspail préfacé par l’indésirable ne contient pas ce roman-là ! Il aurait suffi de lire la table des matières pour s’en assurer. Crime de lèse majesté ?
Xavier Eman : Et quand bien même l’aurait-il fait ? Où serait le crime ? « Le Camp des Saints » est-il un livre interdit, criminel, ordurier, pédophile ? Non, bien sûr, c’est simplement un ouvrage qui dérange les convictions et les certitudes de tous ces gardiens du temple du conformisme du temps. On peut comprendre que cela les agace, mais bousculer leur « confort intellectuel » (dans le sens que lui a magistralement donné Marcel Aymé) n’est pas encore un délit, même s’ils travaillent activement pour que cela le devienne.
Sylvain Tesson est un bourgeois, fils de famille, comme nombre sans doute des signataires de cette fameuse tribune de dénonciation vertueuse, mais, lui, a le mauvais goût de ne pas cracher dans la soupe, de ne pas haïr ce qu’il est et d’où il vient, de ne pas se sentir coupable de tous les maux du monde, et de profiter de son statut pour voyager, marcher, contempler, s’isoler, décrire la nature, s’en émerveiller et dénoncer les tares de la modernité qui la menacent. On pourrait, en caricaturant un peu, le voir comme comme une sorte de Yann-Arthus Bertrand de la littérature, s’il n’avait pas ce coté farouchement français, allergique au politiquement correct et à ses génuflexions obligatoires. Des crimes apparemment inexpiables pour l’armada des « poètes, écrivains, enseignants, éducateurs, bibliothécaires » qui n’aime rien plus que chasser en meute.
Breizh-info.com : Sylvain Tesson y est qualifié d’ « icône réactionnaire ». S’il y a peut-être du vrai – même s’il se définit plutôt comme un « anti-moderne », ce qui avouons-le est nettement plus classe – on est en droit de se demander : effacer les réactionnaires du panorama littéraire français ne serait-il pas un tantinet désastreux pour notre culture ?
Xavier Eman : Toute forme de censure de la littérature sur des critères idéologiques est forcément désastreuse. L’art doit échapper aux grilles de lectures politiques. Bien sûr cela n’empêche pas les affinités et les préférences personnelles, les goûts et les couleurs… C’est tout à fait naturel, le problème commence lorsque l’on en vient à vouloir imposer ses propres appétences comme une règle morale, puis comme une obligation. Aragon et Drieu sont deux grands écrivains. Je préfère Drieu, c’est mon choix et mon droit. Je ne dénie pas pour autant à Aragon sa valeur et son importance et ne cherche pas à en dissuader ou à en interdire la lecture. C’est une attitude dont la gauche est apparemment incapable. Par ailleurs, il convient de se méfier et se défier des étiquettes, extensibles à l’infini… « Les précieuses ridicules » n’est-il pas un brûlot machiste ? Proudhon n’est-il pas un odieux antisémite, tout comme Shakespeare?
Le désir de censure est toujours une défaite de l’intelligence, un refus de l’altérité et un aveu de faiblesse.
Breizh-info.com : Outre l’intéressé, le collectif cite Michel Houellebecq et Yann Moix, tout en déplorant « la banalisation et la normalisation de l’extrême droite dans les sphères politique, culturelle, et dans l’ensemble de la société. » Cette droitisation est-elle un mythe ou une réalité ?
Xavier Eman : C’est évidemment une vaste plaisanterie… Le monde culturel et médiatique est colonisé à 98 % par les diverses tendances de la gauche. Il suffit de se rendre dans une salle de cinéma, dans un festival de théâtre ou d’observer l’étal d’une grande librairie pour le constater. Mais les deux petits pour cent restant représentent néanmoins une insupportable atteinte à l’hégémonie absolue de cette gauche persuadée (contre tout évidence historique) que la « culture » est un domaine qui lui appartient par nature.
Par ailleurs, je dois dire que je ne vois rien de commun ni le moindre rapport entre le grand écrivain naturaliste qu’est Michel Houellebecq – sans doute le Balzac de notre post-modernité – et un pathétique histrion, aussi lâche et veule humainement que médiocre artistiquement, comme Yann Moix.
Breizh-info.com : « Nous soutenons que la banalisation d’une idéologie réactionnaire incarnée par Sylvain Tesson va à l’encontre de l’extrême vitalité de la poésie revendiquée par le Printemps des poètes. » Sort-il encore quelque talent de ces petites sauteries où règnent l’entre-soi et l’intolérance ?
Xavier Eman : Ne connaissant pratiquement pas un seul des signataires de cette tribune, je suis assez mal placé pour jauger, même de façon forcément subjective, leur hypothétique talent… Ce qui est certain par contre, c’est que la plupart des événements littéraires, en France, sont devenus des pince-fesses endogames, des séances d’auto-célébration d’un petit milieu fort satisfait de lui-même, d’autant plus que, malgré les subventions étatiques et les micros ouverts dans tous les médias du grand capital, il se croit encore « rebelle et subversif ». C’est sans doute l’aspect le plus tragi-comique de l’affaire, voir des petits fonctionnaires du ministère de la Culture, perroquets de tous les mantras les plus éculés de l’époque, s’ériger en grands défenseurs de la liberté et de l’indépendance de la littérature et de la poésie. Ces gens débitent exactement la même soupe politico-moraliste que « Plus belle la vie » mais se considèrent toujours comme des farouches révolutionnaires.
On peut penser ce que l’on veut de l’oeuvre de Sylvain Tesson et du personnage qu’il s’est forgé, que l’on est tout à fait en droit de ne pas apprécier et de critiquer, mais il est incontestable que ses livres ont un grand succès populaire (ce qui ne devrait pas être un crime pour des gens prétendument « de gauche »…), qu’ils ont ému et fait rêver un large public, et que, par ailleurs, il a rendu accessible au plus grand nombre l’un des plus grands poètes de l’histoire, à savoir Homère. Ce n’est sans doute pas aussi méritoire qu’apprendre la poterie à des migrants clandestins à la MJC de Villetaneuse, mais cela ne me semble pas devoir interdire d’être nommé parrain d’un festival de poésie (dont, accessoirement, la plupart des gens ignoraient l’existence jusqu’à cette polémique).
Breizh-info.com : La poésie, parlons-en. Et citons le texte : « La poésie ne saurait être neutre, sans position face à la vie. La poésie est en nous, elle porte nos douleurs. Elle est dans la masse. Le quotidien. L’infâme. La tendresse. La rue. L’épuisement. Le quartier. Elle est dans nos silences. Nos joies. Elle est dans nos corps broyés, nos corps souples, nos regards flamboyants et nos brèches. Dans ce qu’on a vu, mais qui ne se dit pas. Dans les souffrances de nos sœurs. Dans ce qui résiste. Elle est aussi dans le queer, le trash, la barbarie, le vulgaire.» Qu’est-ce que cela vous évoque ?
Xavier Eman : Cette définition de la « poésie » aux relents de salle des profs de collège de ZEP en vaut sans doute d’autres, mais je m’interroge un peu sur la légitimité des signataires de cette poussive dissertation à prétendre qu’elle soit la bonne et surtout la seule, exclusive de toute autre, et donc totalitaire … A ce compte là, ni Baudelaire ni Rimbaud ne sont des poètes… Par ailleurs, si la poésie peut sans doute sortir de « la barbarie et du trash » (« Là où le péché s’est amplifié, la grâce a surabondé »), pourquoi ne pourrait-elle pas également exsuder de la contemplation d’une panthère des neiges ou d’un cheminement sur des sentiers de randonnées ou de pèlerinage ?
Encore une fois, nos grands artistes ouverts sur le monde se montrent particulièrement mesquins et réducteurs. Ce sont eux les esprits étroits et bornés qui ne veulent pas voir plus loin que leurs habitudes mentales et leur horizon idéologique. Ainsi, ils affirment avec beaucoup de hardiesse et sans expliciter le moins du monde le propos que « la poésie ne saurai être neutre ». Fort bien, admettons… La poésie, selon eux, doit donc être « engagée » mais, bien sûr, dans un seul camp, le leur. Ils admettent de ce fait ne pas défendre « la poésie » mais simplement leur propre engagement.
Xavier Eman est auteur, directeur de la revue littéraire Livr’arbitre, et rédacteur en chef adjoint d’Éléments. Dans ses chroniques d’une fin de monde sans importance, il nous fait plonger dans toute l’absurdité, la perfidie et le manque de cohérence de l’individu post-moderne. Sur son blog A moy que chault !, il commente l’actualité avec le cynisme et l’humour caustique qui le distinguent. C’est donc vers lui que nous nous sommes tournés pour avoir un avis sur cette énième et déplorable “affaire”.
Propos recueillis par Audrey D’Aguanno.
Breizh-info.com
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Kaya
Notre fidèle Kaya. Dans 2 mois, cela fera 15 ans qu’elle nous suit dans tous nos délires. Certes, elle a dépassé son espérance de vie de 2-3 ans au moins, mais elle est toujours alerte. Elle suit chaque personne qui s’éloigne du reste de la famille. Passe de l’un à l’autre lorsqu’on se sépare. Quand on arrive dans un nouvel endroit, elle quadrille, renifle, vérifie que tout le monde est bien avant de poser péniblement sa vieille carcasse. Elle trottine fièrement quand il fait frais, et se balade volontiers. Bon, son arrière train ne l’a suit plus quand elle saute dans le camion, elle semble souffrir sur les galets, elle pue et voyager avec elle dans le camion demande du courage, et elle se fait pipi dessus car Seb a oublié ses médocs… mais on aime tellement l’avoir avec nous… c’est notre ange gardien, notre amie, notre Kaya.
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Le zoo de Vincennes vient d'acheter un animal rarissime, un houla houla du Gabon. Le public se précipite aux guichets pour voir cet animal inconnu. Un visiteur est fortement intrigué par les deux énormes œufs roses que la bête semble couver. Alors, il demande à un gardien : - Dites moi, s'il vous plaît, pendant combien de temps cet oiseau va-t-il devoir couver ses œufs ? - Mais monsieur, ce ne sont pas ses œufs! Ce sont ses roubignoles! Voyez vous, la particularité de cet oiseau, c'est qu'il n'a pas de pattes. Alors, à chaque fois qu'il se pose au sol, il crie houla,houla".
#il demande à un gardien :#- Dites moi#s'il vous plaît#- Mais monsieur#la particularité de cet oiseau#c'est qu'il n'a pas de pattes. Alors#à chaque fois qu'il se pose au sol#il crie houla#houla".
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Hameau de pont-désir, région de Poudlard.
Entouré de marécages, le hameau de Pont-Désir n’est accessible à pieds qu’en passant sur des ponts plus ou moins costauds. Certains semblent ne faire plus qu’un avec la nature mais toujours, vos pieds rencontreront le sol mousseux typique des marécages. De nombreux voyageurs avides de grand amour bravent la vallée et l’immensité des plaines pour franchir l’énorme pont magique qui fait la réputation du hameau : on raconte que quiconque le franchit, l’âme pure et le cœur amoureux, y rencontrera le grand amour arrivé au bout. Personne n’est jamais revenu pour affirmer ou non cette légende, les plus anciens se contentant de hocher la tête, le regard dans le lointain et les rêves plus grands encore. Si vous souhaitez vous aventurer à l’intérieur du hameau, vos pas fouleront une rue boueuse et votre odorat sera enivré de milles odeurs venant du seul commerçant du minuscule village : une échoppe d’ingrédients magiques certainement très douteux, mais étrangement très prisé d’une clientèle qui n’hésites pas à marcher de longs jours pour acheter le dernier secret qui se chuchote.
Dès leur plus jeune âge, les enfants prennent l’habitude de marcher pieds nus pour se rendre au bord de cette petite rivière qui dort paisiblement à l’arrière des jardins clos et dont l’eau semble si claire qu’un sortilège semble en être l’origine. Comme tous les hameaux de la région, un mur de pierre entoure les chaumières d’où s’élèvent des volutes de fumées, et si vous avez l’œil attentif, l’une d’elle semble envoyer des messages mais il n’est pas question d’en demander la signification à la propriétaire qui effraie les plus jeunes. De nombreux animaux se promènent au gré des différents habitats et grouillent dans l’arbre millénaire des oiseaux aux couleurs resplendissantes : une chose est sûre dans la bouche des faiseurs d’histoires : il y a quelque chose à voir avec les Phoenix. Les connaisseurs n’y verront qu’une famille de Jobarbilles.
Enfin, si vous prenez le chemin qui mène un peu plus à l’est, vous y découvrirez cette petite maisonnette solitaire où la nature semble avoir repris ses droits. Certains jours, des voix s’élèvent d’entre les murs mais jamais personne n’a cherché à savoir qui pouvait y vivre, squatter ou comploter. Parfait refuge de Serpencendre ou chaumière magique d’une puissance magique, seuls les concernés peuvent y percer le mystère dès que leurs yeux se poseront sur le parchemin du gardien du secret.
https://discord.gg/XKycdMPu3Y
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Education et dressage chiots et chiens Tervueren à Corneilla-la-Rivière, Millas dans le 66.
10 leçons pour éduquer et dresser son Tervueren avec un éducateur canin à Perpignan, Saleilles, Toulouges & Ponteilla.. Appelez le : 06.56.72.29.85
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Histoire de la race
Le nom de la race, connu sous le nom de Chien de Berger Belge, vient du village de Tervueren, où vivait un éleveur nommé M.F. Korbil. Au début du 20e siècle, il pensait qu'il était possible d'élever des chiens noirs et fauves afin d'uniformiser le Tervueren moderne.
Le Tervueren est un chien vraiment polyvalent. Avant que l'ère industrielle ne s'empare vraiment de la Belgique, ces animaux de compagnie étaient vraiment nécessaires aux gens, et en premier lieu aux agriculteurs. Tout simplement parce qu'il y avait encore pas mal de fermes et qu'elles avaient besoin à la fois d'un gardien fiable des territoires et d'un chien qui pourrait aider à faire paître le bétail dans les pâturages.
Lorsque, néanmoins, en raison du développement de l'industrie, le nombre de fermes a diminué, le tervueren est resté un chien de garde et un compagnon pour les résidents ordinaires qui ne cultivaient pas, de plus, il était toujours en demande dans les parcs à bestiaux.
Actuellement, le Tervueren, en plus des fonctions ci-dessus, est également utilisé comme chien policier, dans les troupes frontalières et autres, dans les opérations de recherche et de sauvetage et comme chien pour handicapés. De plus, la race Tervueren est championne dans les expositions canines en agilité, ainsi que dans les épreuves d'obéissance et de pâturage.
La description
Les Tervuren sont de grands chiens avec une musculature bien proportionnée. La tête est moyennement longue, les yeux sont de taille moyenne, légèrement en amande, brun foncé. Les oreilles sont triangulaires et droites. Les membres sont de longueur moyenne, la queue est duveteuse, plus longue que la moyenne.
Le pelage est court sur la tête, mais déjà long sur le reste du corps, notamment sur le cou et la poitrine, où il forme un collier. La couleur est gris-noir, fauve ou rouge.
Personnalité
Le chien de race Tervueren a un caractère très gentil et ouvert, notamment envers sa famille. C'est vraiment un compagnon idéal et un merveilleux ami pour une personne de tout âge, qui sera toujours heureuse d'aider avec tout ce qui est en son pouvoir. Ces chiens ont un intellect merveilleux, ils comprennent parfaitement une personne, ils sont très vifs d'esprit, ils ressentent toujours la situation dans la maison et, avec la bonne éducation, ils savent toujours ce qui peut et ne peut pas être fait. Grâce à une excellente mémoire, de nombreuses commandes sont mémorisées. De plus, si un chien est bien dressé, il comprend souvent simplement ce qu'on attend de lui et fait tout correctement.
Ils se comportent noblement, raisonnablement et avec retenue, ils ne montrent pas d'agressivité avec les étrangers, mais ils ne sont pas trop amicaux non plus. Du moins, s'il ne s'agit pas d'un ami de la famille que l'animal connaît bien. D'autre part, beaucoup dépend de l'éducation et de la capacité du propriétaire à socialiser son chien le plus efficacement possible. Bien que, généralement, la race perçoive bien le processus d'apprentissage et cherche à plaire au propriétaire.
Cependant, le Tervuren a un niveau d'énergie très élevé, ce qui n'est pas surprenant pour un chien qui a passé des journées à garder des moutons et des vaches dans les alpages. Ici, il est extrêmement important de diriger l'énergie dans la bonne direction, sinon un caractère indépendant peut entraîner des difficultés. Vous devez vous rappeler que les chiens de berger passaient souvent beaucoup de temps loin de leur propriétaire et devaient prendre des décisions indépendantes.
De plus, n'oubliez pas que vous devrez certainement fournir à l'animal le bon niveau d'activité physique, à savoir de longues promenades, des courses, des jeux actifs. Si vous ne pouvez pas fournir un niveau d'activité élevé et que le chien reste seul à la maison pendant la journée et que vous le promenez le matin pendant 5 minutes et le soir pendant 10, cela se terminera par le fait qu'il commencera ronger les meubles, éparpiller des choses et en général, son caractère va se détériorer.
Il faut bien comprendre que le chien a besoin d'une relation étroite avec le propriétaire, et ne convient pas à tout le monde. Il faut vraiment passer beaucoup de temps avec elle. Les Tervuren sont assez sensibles émotionnellement, car ils ressentent intensément le négatif dans leur direction, qui, au fil du temps, s'accumule et porte des fruits.
Les enfants sont bien perçus, ils les aiment par défaut, ils peuvent être une bonne nounou, car ils se sentent responsables d'eux. Comme beaucoup d'autres chiens de berger, ils peuvent parfois mordre les talons des enfants et essayer de les conduire dans la pièce, par exemple le soir. Mais, c'est plutôt plaisant, très positif et apporte toujours le sourire.
Éducation
La race Tervueren a besoin d'une éducation adéquate, qui est nécessaire non seulement pour acquérir des compétences et se souvenir des commandes, mais aussi pour la formation du caractère. Il est important d'être un propriétaire gentil et juste avec un chien, car cette race n'accepte catégoriquement pas les méthodes de communication et les coups brutaux, et ressent très vivement l'injustice. De plus, ils ont généralement une grande sensibilité émotionnelle.
Le négatif s'accumule et brise le caractère du chien, le rendant timide et renfermé, mais ce n'est qu'un côté de la médaille. Après tout, une douleur mentale profondément réprimée peut ensuite éclater, le chien deviendra incontrôlable, causera des problèmes et personne ne pourra dire ce qui deviendra une cause secondaire. Bien que, avec la race Tervuren, cela se produise extrêmement rarement. Au contraire, l'animal se refermera sur lui-même et ignorera simplement souvent le propriétaire. Ils peuvent apprendre de nombreuses commandes différentes, car ce n'est pas en vain qu'ils sont utilisés dans les opérations de recherche et comme assistants pour les personnes handicapées.
Maladies courantes
La race de chien de Tervuren est sujette à certaines maladies, bien qu'il s'agisse généralement d'animaux sains et forts :
dysplasie de la hanche;
malformation de l'articulation de la hanche;
dysplasie du coude;
l'atrophie rétinienne progressive, qui entraîne une perte de vision et la cécité ;
épilepsie.
Eleveur de Tervueren
https://elevageduchampdesmerles.fr
Standard du Berger Belge Tervueren fiche FCI n° 15
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Hiver 1906, Glacier de Fharhond, Canada (17/20)
Tagak a contacté les sémaphores alentours grâce à notre système de télégraphie sans fil, afin de me faire amener un médecin. Nous avons déjà reçu une réponse et nous savons qu’un médecin est en route, mais en cette saison, la mer est gelée ; la circulation de navires est donc arrêtée et il est probable qu’on ne le verra avant l’été, quand mes blessures auront déjà guéri. Pour le moment, je suis donc alité de force - la seule activité autorisée par mon impitoyable gardien est de mon déplacer du lit à ma chaise et vice-versa pour que je lise le journal, que j’ai lu tant de fois au demeurant que je le connais par cœur… Pour l’heure, nous attendons des nouvelles d’Amundsen. Nous n’en avons aucune pour le moment, mais nous surveillons le télégraphe avec attention.
[Transcription] Tagak Angottitauruq : Un signal TSF est en train d’arriver. Je me demande si ce sont des nouvelles du médecin… Tagak Angottitauruq : « G. J. O. A. STOP S. E. E. N. STOP O. F. F. C. O. A. S. T. STOP K. G. W. I. L. L. I. A. M. STOP A. L. L. 6 STOP M. E. N. STOP S. A. F. E. STOP S. A. I. L. I. N. G. STOP W. E. S. T. STOP S. T. I. L. L. STOP S. T. R. U. G. G. L. I. N. G. STOP W. I. T. H. STOP I. C. E. C. A. P STOP » Tagak Angottitauruq : Amundsen a quitté son hivernage !
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen3ter#Jules Le Bris#Tagak Angottitauruq
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«Devant la Loi se tient un Garde de la Porte.
Un homme de la campagne va à ce Garde et le prie de le laisser entrer.
Mais le Garde lui répond que, présentement, il ne peut pas l’autoriser à entrer.
L’homme réfléchit, puis il demande s’il y sera tout de même autorisé, plus tard. "C’est possible, lui dit le Garde, mais pour le moment, c’est non."
Comme la Porte de la Loi est grande ouverte comme elle l’est toujours, et que le Garde s’écarte, l’homme se penche pour glisser un œil vers l’intérieur.
Quand le garde s’en aperçoit, il se met à rire, et dit : "Si cela t’attire à ce point, essaie donc d’entrer en dépit de mon interdiction.
Mais note bien ceci : je suis puissant. Et je ne suis que le plus infime des Gardes".
Salle après salle s’en tiennent d’autres, dont chacun est plus puissant encore que le précédent. Je ne peux pas, moi-même, soutenir la vue du troisième.»
Le bonhomme de la campagne ne s’est pas attendu à de telles difficultés ; car enfin, se dit-il, la Loi doit rester accessible à tout un chacun et à tout moment ; mais à présent qu’il observe plus attentivement le Garde de la Porte campé dans sa pelisse, son grand nez pointu et son long bouc noir effilé à la tartare, il préfère se décider à attendre jusqu’au jour où il aura obtenu la permission d’entrer.
Le Garde lui offre un tabouret et le laisse s’asseoir en retrait de la porte.
Il reste là assis des journées et des années.
Il multiplie les tentatives pour être admis à entrer et fatigue le Garde de ses prières.
Le Garde le soumet souvent à de petits interrogatoires, le questionne sur son pays natal et bien d’autres choses, mais ce sont des questions convenues, comme celles que posent les grands personnages, et en fin de compte, le Garde lui dit et lui redit qu’il ne peut pas le laisser entrer.
Le bonhomme qui s’est abondamment pourvu en prévision de son voyage, se défait de tout, si précieux que cela soit, pour soudoyer le Garde.
Celui-ci accepte tout, oui bien, mais en disant chaque fois : «Cela je ne le prends que pour que tu ne croies pas avoir négligé quelque chose.»
De longues années durant, l’homme ne cesse pratiquement pas d’observer le Garde.
Il en oublie les autres Gardes des Portes et en arrive à croire que celui-ci est le seul obstacle qui s’oppose à son entrée dans la Loi.
Il maudit ce hasard malheureux, sans prendre de gants et à haute voix, puis plus tard, en prenant de l’âge, il ne fait plus que bougonner dans le vague.
Il retombe en enfance, et comme il a appris, à force de considérer le gardien des années durant, à reconnaître ses puces dans la fourrure de son col, il prie aussi les puces de l’aider à fléchir le Garde de la Porte.
Finalement, il n’y voit plus bien clair, et ne saurait pas dire si tout s’assombrit réellement autour de lui ou si ce n’est qu’une illusion d’optique.
En revanche, il remarque bien, dans l’obscurité, une clarté brillante qui jaillit sans discontinuer de la Porte de la Loi.
Il n’a plus longtemps à vivre, maintenant.
À l’approche de sa mort, tout ce qu’il a appris durant tout ce temps-là se ramène dans sa tête à une question que, jusque-là, il n’a encore jamais posée au Garde. Il lui fait signe de s’approcher, car il est devenu incapable de redresser un corps qui se rigidifie.
Le Garde doit se pencher très bas vers lui, car leur différence de taille s’est beaucoup accentuée — au grand détriment du bonhomme.
— Que veux-tu donc savoir encore, maintenant ? demande le Garde. Tu es insatiable.
— Eh bien, tout le monde soupire après la Loi, dit l’homme. Comment donc se fait-il que durant tant et tant d’années, personne d’autre que moi n’ait demandé à entrer ?
Le Garde se rend compte que le bonhomme est au bout de son rouleau, et pour atteindre encore son ouïe qui s’évanouit, il lui hurle aux oreilles :
— Personne d’autre ne pouvait obtenir d’entrer par cette Porte, parce que cette entrée n’était destinée qu’à toi.
Et maintenant, je m’en vais et je la referme.»
(Franz Kafka, À la colonie pénitentiaire et autres récits, II, Arles, Actes Sud Babel, 1998, p. 74-77)
Qu'est-ce que le capitalisme?
Un discours.
Pour le psychanalyste, ce n'est pas le sujet qui tient un discours, mais le sujet qui est tenu par un discours.
Le sujet de l'inconscient, le sujet du signifiant ne parle pas, il est parlé, et c'est par là qu'il s'appréhende.
Le discours capitaliste est le "nouveau" discours du maître, sa structure actualisée, le discours hégémonique de notre époque, l'anticapitalisme restant lui-même pris dans les rêts de ce discours, n'en dépassant jamais l'horizon, finissant toujours, au contraire, par renforcer son emprise sur le sujet que nous sommes.
La puissance du Discours Capitaliste, son incroyable pouvoir de séduction, la captation subjective qu'il opère sur nous et le fait apparaître comme indépassable, increvable, capable de tout recycler, tient au fait qu'il renouvelle indéfiniment la mise en scène de notre propre impasse existentielle, seul Discours qui par sa structure même permet d'escamoter le Réel comme impossible.
Avec le Discours Capitaliste, Tout est possible. Y compris son dépassement. Comme l'avait déjà noté Marx: la seule limite du capital est le capital lui-même.
Pour se faire une idée de cette notion paradoxale du Réel comme impossible (son acception lacanienne) il suffit de penser à "ce qui se met en travers", le grain de sable, le fait qu'il y a toujours "quelque chose qui ne tourne pas rond"...
L'erreur serait alors d'attribuer au Réel une substance, le Réel n'est pas substantiel, il se donne fugitivement à travers le symbolique par la perception d'une sorte d'écart, un vide, un manque qui ne peut pas être comblé.
La différence sexuelle est réelle, cela veut dire qu'elle est impossible à dire, à mettre en mots, à représenter, toute tentative de réduire la différence entre les hommes et les femmes à une séquence symbolique est vouée à l'échec, l'écart qui sépare l'incarnation masculine de l'incarnation féminine est impossible à combler, c'est précisément en quoi la différence sexuelle est réelle: elle est ce réel qui conditionne l'accès du sujet à la réalité.
La manière dont les choses m'apparaissent et simultanément la manière dont les choses ne coïncident jamais tout à fait avec elles-mêmes, cette différente minimale est peut-être le signe que je commence à prendre en compte la dimension du Réel.
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V.
Gardien de Musée - 30 ans - français - scorpion
Une idylle parmi les plus grandes - inespérée - sensuelle - intense.
Cette histoire commence tendrement. J’ai commencé à échanger avec V. a un moment où je voyais A et K.
J’ai préféré me concentrer sur ces derniers et ai deux fois repoussé notre rencontre. Nous avons beaucoup échangé. Beaucoup trop - des jours entiers.
V est quelqu’un d’intense, de spécial. V est un garçon bien, de ceux que l’on a peu l’occasion de rencontrer.
Au bout d’une dizaine de jours nous nous sommes rencontrés.
Je pense qu’il me plaisait profondément avant même de le voir. J’avais entendu sa voix, vu son visage. Notre rencontre n’a fait que confirmer mon envie de le rencontrer.
Zéro flirt, beaucoup d’art, de littérature, de danse, de belles choses.
Nous nous sommes retrouvés, dans la rue. Il est venu me chercher. Nous sommes allés dîner et avons discuté des heures durant.
Nous nous sommes promenés et nous nous sommes embrassés - quelques papillons dans le ventre. _____________ cette première partie du récit à été rédigée en janvier 2023. la seconde vient d'être rédigée, en mai. _____________ Je n'ai pas l'habitude de ce genre de situation. Celle ou je me rends compte comment je me suis trompée. Surtout en me relisant maintenant. Il est vrai qu'au début, tout paraissait idyllique. Je suis restée 3 mois à fréquenter ce garçon, presque a en avoir des sentiments. En réalité, j'ai du couper court, très court et très rapidement. V. est un dépendant sexuel anonyme, un narcotique anonyme et un alcoolique anonyme. Il assistait à des groupes de parole pour se soigner et nom de dieu, qu'il se soigne ! Il m' a littéralement essuyé, siphonné sans dire le mot détruire. J'ai rompu une première fois. il est revenu. J'ai été conne. Il m' a rejoins à Berlin. Ce fut certainement un voyage de l'enfer avec lui. Pour ma part j'ai adoré, vraiment. Mais cela aurait été tellement plus facile sans lui. Il fait partie de ces pervers narcissiques que l'on voit dans les films sans jamais les croiser. En on en vient presque à se demander s'ils existent vraiment ces types la. J'ai rompu une seconde fois. J'en ai fait des cauchemars pendant une semaine. Je revais qu'il venait m'agresser dans la rue, chez moi. C. et S. m'ont beaucoup aidé à cette période. Je leur suis très reconnaissante. Jamais de ma vie je n'avais souhaité du mal à quelqu'un. Et pour la première fois j'ai ressenti de la haine. V. tu es un gros connard. Tu n'aurais même pas mérité un texte. 01.23 C.
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