#artiste peintre connu
Explore tagged Tumblr posts
Text
Pierre Montillo. Artiste apprécié sur le marché de l’art international.
#art#pierremontillo#artwork#suisse#artist#drouot#artiste peintre connu#modern art#contemporary art#montillo artiste#artiste peintre contemporain#artiste peintre du valais suisse#famous paintings
6 notes
·
View notes
Photo
Jan van Eyck
Jan van Eyck (1390-1441) était un peintre néerlandais de la Renaissance, célèbre de son vivant pour sa maîtrise de la peinture à l'huile, de la coloration, des scènes naturalistes et son sens du détail. Parmi ses chefs-d'œuvre figurent le Retable de Gand de 1432, également connu sous le nom d'Adoration de l'agneau mystique, et Les époux Arnolfini, un tour de force en matière d'illusions d'optique. Pionnier de l'utilisation de l'huile pour obtenir des effets réalistes, son œuvre influença l'art de la Renaissance, mais surtout les artistes italiens de la seconde moitié du XVe siècle.
Lire la suite...
3 notes
·
View notes
Text
Référence commentées
Joaquin Sorolla
Ce peintre était connu pour ses œuvres lumineuses et vibrantes qui capturaient la vie quotidienne en Espagne à la fin du XIXe et au début du XXe siècle. Il excellait dans la représentation de la lumière, utilisant des couleurs vives et des effets de lumière pour créer des toiles éclatantes. Outre ses compétences artistiques, Sorolla était également un homme très engagé socialement. Il a utilisé son art pour sensibiliser aux problèmes sociaux de son époque, notamment en peignant des scènes de la vie quotidienne des pêcheurs, des ouvriers et des enfants défavorisés. Son engagement et sa vision de la famille reflétés à travers ses oeuvres, sont une source d'inspiration pour mes propres créations.
Frida Kahlo
Frida Kahlo est une artiste mexicaine du XXe siècle, célèbre pour ses autoportraits émotionnels et introspectifs. Son œuvre explore la douleur physique et émotionnelle, l'identité, le genre et la culture mexicaine. Elle a utilisé la peinture comme moyen d'exprimer son vécu, marqué par un accident traumatisant, une relation tumultueuse avec Diego Rivera et un engagement politique. Ses tableaux, riches en symboles, sont aujourd'hui reconnus mondialement, faisant d'elle une figure féministe emblématique de l'art. En tant que femme, la puissance de ses œuvres m'a inculqué une vision plus impactante de l'art.
Willy Ronis
Willy Ronis était un photographe français renommé, reconnu pour ses contributions significatives à la photographie humaniste. Né à Paris, son travail a capturé la vie quotidienne et les scènes de rue, mettant en lumière la beauté de l'existence ordinaire. C'est à travers son livre "ce jour là" que j'ai découverts Willy Ronni, c'est avec son oeuvre que ma passion pour l'argentique fût révélée. Ses photographies, empreintes de sensibilité sociale, reflètent son engagement envers les valeurs humanistes et son intérêt pour la condition humaine. Ronis est particulièrement célèbre pour ses images intemporelles de Paris et pour avoir documenté la vie des travailleurs et des familles.
Tishk Barzanji
Tishk Barzanji est un artiste visuel et illustrateur basé à Londres, connu pour son travail artistique contemporain. Originaire du Kurdistan irakien, Barzanji a fui la région en raison de conflits armés pour finalement s'installer au Royaume-Uni. Son art se caractérise par des paysages urbains surréalistes et des compositions abstraites, souvent dominées par des teintes pastel et des formes géométriques. Barzanji explore des thèmes tels que la nostalgie, la mémoire et l'étrangeté à travers ses créations, qui ont été exposées dans plusieurs galeries et ont attiré l'attention pour leur esthétique distinctive et leur narration visuelle intrigante. Le parcours de cet artiste me touche particulièrement, il arrive à exprimer son histoire d'une façon poétique.
Iris van herpen
Iris van Herpen est une créatrice de mode néerlandaise renommée, née en 1984. Elle est reconnue pour son approche avant-gardiste et innovante de la mode, explorant les intersections entre la technologie, la science et l'art. Ses créations sont souvent caractérisées par des techniques de coupe complexes, des matériaux futuristes et des formes sculpturales uniques. Van Herpen a collaboré avec des scientifiques, des architectes et des artistes pour repousser les limites de la mode contemporaine. Je trouve sa façon de travailler avec les volumes et l'espace l'espace très intéressante. J’ai énormément apprécié son exposition sculpting the scene MAD (musée des arts décoratifs) cela m’a permis d’apprendre d’avantage sur sa manière de travailler ses créations ainsi que de comprendre sa vison du monde. Elle a fondé sa propre maison de couture, Iris van Herpen, en 2007, et ses collections ont été présentées lors de défilés de mode internationaux, suscitant l'admiration pour son approche visionnaire de la création de vêtements.
Daniel Roseberry
Daniel Roseberry est un designer de mode américain, surtout connu pour son rôle de directeur artistique de la maison de couture Schiaparelli. Né en 1986, il a été nommé à ce poste en 2019, apportant une vision moderne et innovante à la maison de couture fondée par Elsa Schiaparelli. Roseberry a gagné en reconnaissance pour ses créations audacieuses, combinant l'héritage surréaliste de Schiaparelli avec des éléments contemporains. C'est ce que j'apprécie dans ses créations, souvent caractérisées par des détails excentriques et des formes inattendues. Il arrive à créer des pièces qui se démarquent dans le monde de la haute couture. Daniel Roseberry a ainsi contribué à insuffler une nouvelle vie et une nouvelle énergie à la maison de couture emblématique.
Wes Anderson
Wes Anderson est un réalisateur, scénariste et producteur américain né le 1er mai 1969. Il est connu pour son style cinématographique distinctif et sa mise en scène visuellement captivante. Son travail est souvent caractérisé par des décors minutieusement conçus, des couleurs vives, des dialogues stylisés, une utilisation distinctive de la musique et une distribution récurrente d'acteurs tels que Bill Murray, Owen Wilson, et Jason Schwartzman. Les films de Wes Anderson sont souvent considérés comme des œuvres d'art visuelles, et il a reçu de nombreuses nominations et récompenses pour son influence unique dans l'industrie cinématographique. Son travail est remarquable et très pointilleux, tout est dans le détail et je trouve cela très important. Selon moi le détail est ce qui permet à une oeuvre d'apporter plus d'intention.
2 notes
·
View notes
Text
Les femmes artistes oubliées de l'histoire. Linogravure A4
J’entame une série de linogravures inspirées d’autoportraits de peintres femmes oubliées de l’histoire de l’art. Pourtant nombre d’entres elles étaient connues de leur temps. Sur cette photo de mon exposition en cours vous voyez Sofonisba Anguissola,Romaine Brooks,Marie Laurencin, Catherine Duchemin ,Suzanne Valadon et Constance Mayer. Je vais poursuivre ce travail car nombreuses sont ces…
View On WordPress
4 notes
·
View notes
Text
Alice Neel photographiée par Lynn Gilbert, New York, 1976.
Alice Neel (1900-1984) était une peintre américaine renommée pour ses portraits réalistes. Née à Merion Square, Pennsylvanie, elle a grandi dans une famille de la classe moyenne. Elle a commencé à s'intéresser à l'art dès son jeune âge et a poursuivi ses études à la School of Industrial Art à Philadelphie.
En 1921, elle s'est inscrite à la Philadelphia School of Design for Women (maintenant connue sous le nom de Moore College of Art and Design), où elle a développé une approche unique du portrait. Ses premières œuvres reflétaient l'influence du réalisme et de l'expressionnisme.
Dans les années 1930, elle a déménagé à New York, où elle a vécu dans divers quartiers, y compris Greenwich Village et Spanish Harlem. Cette période a été marquée par des défis personnels, y compris la perte de sa première fille et des difficultés financières. Malgré ces obstacles, elle a continué à peindre, se concentrant souvent sur les gens de son entourage.
Les portraits d'Alice Neel sont connus pour leur représentation psychologique profonde et leur honnêteté brute. Elle a peint une variété de sujets, y compris des amis, des voisins, des activistes, des artistes et des personnalités publiques. Ses œuvres offrent un aperçu des différentes couches sociales et culturelles de New York, notamment durant les époques de la Grande Dépression et des mouvements des droits civiques. Elle est célèbre pour avoir capturé l'essence des individus souvent invisibles aux yeux de la société américaine. Son œuvre, profondément ancrée dans une démarche de représentation des marginaux, des exclus, des malades mentaux, ainsi que des communautés portoricaines en proie à la pauvreté, offre un visage humain et poignant à ces groupes négligés.
Alice, qui se déclarait elle-même fascinée par les « perdants » tant dans la sphère politique que dans les tréfonds de la vie quotidienne, a produit des portraits intenses et dénués de tout artifice. Son travail se distingue nettement des mouvements d'avant-garde contemporains, souvent empreints d'abstraction, par sa crudité et son réalisme sans concession. Se considérant comme une « collectionneuse d'âmes », son art explore non seulement l'apparence extérieure de ses sujets, mais plonge également dans les méandres de la psyché humaine.
Dans son style unique, brut et authentique, elle a également abordé des sujets difficiles tels que la nudité, souvent représentée de manière crue et sans embellissement, et des thèmes sociaux poignants, y compris les femmes enceintes ou victimes de violences domestiques. Par ces représentations, elle a remis en question les conventions traditionnelles de la représentation féminine dans l'art.
Dans les années 1960 et 1970, la reconnaissance d'Alice Neel a augmenté, notamment avec une exposition individuelle à la Whitney Museum of American Art en 1974. Ses œuvres ont été saluées pour leur approche non conventionnelle et leur commentaire social poignant.
Alice Neel est décédée en 1984, mais son héritage persiste. Elle est considérée comme l'une des portraitistes les plus importantes du 20e siècle, ayant influencé de nombreux artistes contemporains. Reconnue pour son indépendance et son caractère affirmé, elle fut pionnière dans la liaison des luttes de sexes, de classes et des questions d'origine à travers ses œuvres. Aujourd'hui, elle est célébrée comme une icône du féminisme et un modèle d'engagement, continuant d'inspirer les nouvelles générations d'artistes féminines. Son travail continue d'��tre exposé dans des musées et des galeries du monde entier.
2 notes
·
View notes
Text
Bonjour, ce matin une envie au réveil (oui, je sais, aussi...mais pas celle là...) , envie de rendre hommage à un des plus grands artistes ayant illustré et magnifié les femmes: Aslan, ou Alain Aslan, de son vrai nom Alain Gourdon, né à Lormont (Gironde) le 23 mai 1930 et mort le 11 février 20141 à Sainte-Adèle au Canada2, est un peintre, illustrateur et sculpteur français. Il est surtout connu en France pour ses pin-up.
Voilà, c'est tout, belle et douce journée à toutes et à tous.
3 notes
·
View notes
Text
Romancier, critique, historien..., Léon Bloy est surtout connu comme polémiste. Son œuvre apparaît comme celle d'un poète, formé par le romantisme et contemporain des grandes ambitions symbolistes.
Né à Périgueux, Léon Bloy alla très tôt vivre à Paris, mais ne publia son premier ouvrage qu'à près de quarante ans, en 1884. Il vécut jusque-là d'un modeste emploi de dessinateur, tout en fréquentant le petit groupe d'écrivains qui gravitait autour de Barbey d'Aurevilly. Il fut aussi, alors, l'ami de Huysmans, de Villiers de l'Isle-Adam, de Verlaine... Converti par Barbey en 1869, initié par l'abbé Tardif de Moidrey aux méthodes exégétiques, dont il tire tout un « symbolisme » de l'histoire, il prépare lointainement, dès cette époque, certains de ses ouvrages. Aussi sa carrière littéraire, pour brève qu'elle soit, est-elle marquée par une trentaine de livres importants.
Ses difficultés financières ont fait naître une sorte de légende, qu'il entretenait volontiers, celle du « mendiant ingrat ». L'homme était bon, en réalité, mais passionné, hanté par l'absolu, d'une intransigeance farouche. Dans ses dernières années, il exerça une influence profonde sur un petit groupe d'amis, parmi lesquels on pourrait citer Jacques et Raïssa Maritain, Georges Rouault, Georges Auric...
On peut aborder son œuvre par ses grands thèmes, ou la décrire d'abord dans sa variété. Critique littéraire, par nécessité, Léon Bloy a pratiqué, avec une étonnante vigueur, l'« éreintement », condamnant pêle-mêle Zola, Huysmans, Renan, Coppée, Bourget, Barrès, réservant son admiration à Barbey d'Aurevilly, à Verlaine, à Villiers, à Baudelaire. Ses articles ont été repris, en particulier, dans les Propos d'un entrepreneur de démolitions et dans Belluaires et Porchers. Romancier et conteur, il le fut de manière très personnelle, inventant peu, reprenant sa propre vie dans Le Désespéré (1887) ou La Femme pauvre (1897), utilisant dans les Histoires désobligeantes des événements réels, des personnages qu'il avait connus, dans Sueur de sang des épisodes authentiques de 1870 ; l'imagination transfigure plus qu'elle ne transpose et, derrière l'anecdote, suggère une interprétation. Son goût le plus profond le portait vers l'histoire, qu'il traite d'une manière romantique et symbolique, allant aux héros malheureux, Christophe Colomb, « le Révélateur du Globe », Napoléon, Jeanne d'Arc, Louis XVII ou Marie-Antoinette, cherchant à leur vie une signification religieuse et presque prophétique. Grand peintre au reste, éblouissant souvent dans L'Âme de Napoléon, Constantinople et Byzance, Le Fils de Louis XVI. D'autres œuvres sont plus nettement religieuses, mais toujours enracinées dans la réalité immédiate d'où jaillissent l'élan poétique et l'exégèse : Le Sang du pauvre, réflexion sur la misère, Les Méditations d'un solitaire en 1916, Dans les ténèbres. Il a enfin publié, régulièrement, depuis 1892, son Journal, reprise fragmentaire d'un « journal intime » demeuré inédit.
La diversité apparente masque l'unité réelle et profonde de cette œuvre, qui réside dans la notion même d'« exégèse », d'interprétation du « réel » ; aussi rejoint-elle par ses intentions tout un courant littéraire. S'appuyant sur l'affirmation répétée dans la Bible que tout est image, symbole, Léon Bloy poursuit à l'extrême les conséquences de cette idée : tout événement, tout être, toute chose « signifie » ; nous vivons dans un univers qui est autre qu'il ne paraît, nous contemplons « le grand miroir aux énigmes ». L'art et la littérature ne peuvent se fixer d'autre but que cette tentative, proprement désespérée, pour « déchiffrer les signes ». L'histoire, les œuvres des autres, sa propre vie même (dans son œuvre romanesque ou son Journal), les aphorismes de la sagesse bourgeoise, dans L'Exégèse des lieux communs, sont la matière de cette recherche, les apparences qui cachent la seule réalité. Mais Léon Bloy n'a pas l'outrecuidance, ou la simplicité, de croire que l'homme, fût-il artiste et chrétien, peut comprendre ; tout au plus peut-il, par les mots, suggérer, rendre sensible la « présence du mystère ». Sa conception de la littérature est donc celle d'un poète ; il en avait pleinement conscience : « Personne n'a dit que je suis un poète, rien qu'un poète, que je vois les hommes et les choses en poète tragique ou comique et que par là tous mes livres sont expliqués. Je vous livre ce secret. »
Le mot peut étonner lorsqu'on connaît seulement de Bloy ce qui frappe à la première lecture : sa violence. Elle est bien le trait le plus constant de son œuvre et le fond même de sa sensibilité ; ne se reconnaît-il pas « une nature incendiaire » ? Mais il avoue aussi « une surprenante avidité de tendresse humaine ». Cette violence n'est pas brutalité, mais passion, et naît d'un constant conflit entre le désir et la réalité, entre ce qu'il rêve et ce qu'il obtient, entre ce qu'il se rêve et ce qu'il est. Le Désespéré et La Femme pauvre éclairent mieux que toute autre œuvre ces réactions et en font saisir les aspects les plus contradictoires. La polémique même, aussi brutale soit-elle, vient d'une déception plus que d'une opposition qu'on pourrait croire systématique. La tendresse contrariée fixe quelques-uns des thèmes clés de son œuvre : la souffrance, la révolte, l'impatience, l'attente, le rêve d'une apocalypse, en même temps qu'elle détermine une esthétique.
Poète, Léon Bloy l'est dans la véhémence, l'exagération. « Pour dire quelque chose de valable, aussi bien que pour donner l'impression du Beau, il est indispensable de paraître exagérer, c'est-à-dire de porter son regard au-delà de l'objet. » Ce texte définit une vision du réel qui est, selon Bloy, celle de l'artiste, accentuant les traits, forçant les oppositions. On y trouve aussi l'indication d'un style. Il aimait, pour parler du sien, en évoquer « la richesse barbare », « l'exaspération », « la frénésie », ce qui en marque assez justement les rythmes, le vocabulaire, les contrastes qui constituent pour lui un effet fondamental : de l'extrême recherche à l'expression basse, de la vulgarité voulue à la noblesse. Il s'agit pour l'écrivain, disait-il, rejoignant par là nombre de ses contemporains, de retrouver « la puissance des mots humains ».
— Jacques PETIT
3 notes
·
View notes
Text
2 notes
·
View notes
Text
Dora Maar (croate-française, 1909-1997),
La conversation 1937
Huile sur toile,
Henriette Theodora Markovitch (22 novembre 1907 - 16 juillet 1997), connue sous le nom de Dora Maar, était une photographe, peintre et poète française.
Henriette Theodora Markovitch était la fille unique de Josip Marković (Joseph Markovitch, 1874-1969), un architecte croate qui a étudié à Zagreb, Vienne, puis Paris où il s'est installé en 1896, et de son épouse, Louise-Julie Voisin, élevée dans la religion catholique (1877–1942), originaire de Cognac, France.
En 1910, la famille part pour Buenos Aires où le père obtient plusieurs commandes dont pour l'ambassade d'Autriche-Hongrie. Ses réalisations lui ont valu l'honneur d'être décoré par l'empereur François-Joseph Ier, alors même qu'il était «le seul architecte à ne pas faire fortune à Buenos Aires».
En 1926, la famille revient à Paris. Dora Maar, pseudonyme qu'elle a choisi, a suivi des cours à l'Union centrale des arts décoratifs et à l'École de photographie. Elle s'inscrit également à l'École des Beaux-Arts et à l'Académie Julian [3] qui ont l'avantage d'offrir la même instruction aux femmes qu'aux hommes. Dora Maar fréquente l'atelier d'André Lhote où elle rencontre Henri Cartier-Bresson.
Pendant ses études à l'École des Beaux-Arts, Maar a rencontré sa collègue surréaliste Jacqueline Lamba. À son sujet, Maar a déclaré: «J'étais étroitement liée à Jacqueline. Elle m'a demandé «où sont ces célèbres surréalistes?» Et je lui ai parlé du café de la Place Blanche. Jacqueline commence alors à fréquenter le café où elle rencontre finalement André Breton, qu'elle épousera plus tard.
Lorsque l'atelier a cessé ses activités, Dora Maar a quitté Paris, seule, pour Barcelone puis Londres, où elle a photographié les effets de la crise économique consécutive au Wall Street Crash de 1929 aux États-Unis. A son retour, et avec l'aide de son père, elle ouvre un autre atelier au 29 rue d'Astorg dans le 8e arrondissement de Paris.
En 1935, elle a été présentée à Pablo Picasso et elle est devenue son compagnon et sa muse. [6] Elle a pris des photos dans son atelier des Grands Augustins et a suivi les dernières étapes de son œuvre épique, Guernica. [6] Elle a ensuite servi de modèle pour sa pièce intitulée Monument à Apollinaire, un hommage au défunt poète Guillaume Apollinaire.
Les œuvres peintes de Dora Maar sont restées méconnues jusqu'à leur vente posthume, organisée en 1999, qui a fait découvrir au public et aux professionnels une production très personnelle qui n'avait jamais quitté son atelier.
Dora Maar a abandonné la photographie pour la peinture aux côtés de Picasso et de son influence, ou plutôt de la présence écrasante du peintre, qui lui avait imposé un style cubiste. Poussé par Picasso à s'exprimer dans ce style, on peut s'interroger sur la volonté de Picasso d'éloigner son amant du domaine où elle excellait, et de la contraindre dans un style de peinture qu'il maîtrisait depuis longtemps.
C'est de la douloureuse séparation de Picasso que Dora Maar est véritablement devenue peintre. Des œuvres figuratives tragiques, comme le Portrait d'Eluard ou Autoportrait à l'enfant de 1946, traduisent, dans des tons sombres, la douleur des années d'après-guerre.
Après des années de lutte contre la dépression, [23] Dora Maar s'est enfermée dans ses propres souvenirs. C'est entre les années 1960 et 1970 que commence un répit lorsqu'elle expérimente des formats abstraits aux couleurs chatoyantes. Mais c'est dans les années 1980 que la peintre s'exprime pleinement dans ses nombreuses toiles du Luberon. Des peintures des paysages autour de sa maison à Ménerbes, [24] montraient des lieux dominés par le vent et les nuages, révélant fortement la lutte d'une artiste avec les fantômes de son passé
Relation avec Pablo Picasso
Dora Maar a vu Pablo Picasso pour la première fois à la fin de 1935 alors qu'elle réalisait des clichés promotionnels sur le tournage du film de Jean Renoir Le crime de Monsieur Lange. Elle était captivée par lui, mais ils ne se sont pas officiellement rencontrés. Maar a été présenté à Picasso quelques jours plus tard par leur ami commun Paul Eluard au Café des Deux Magots. L'histoire de leur première rencontre a été racontée par l'écrivain Jean-Paul Crespelle, «la jeune femme au visage sérieux, éclairé par des yeux bleu pâle qui paraissaient d'autant plus pâles à cause de ses sourcils épais; un visage sensible et inquiet, la lumière et l'ombre passant Elle a continué à enfoncer un petit couteau-stylo pointu entre ses doigts dans le bois de la table. Parfois elle manquait et une goutte de sang apparaissait entre les roses brodées sur ses gants noirs ... Picasso demandait à Dora de lui donner les gants et les enfermerait dans la vitrine qu'il gardait pour ses souvenirs. "
Picasso a été intrigué par le comportement séducteur et masochiste de Dora, qui a inspiré nombre de ses œuvres tout au long de leur relation. Leur liaison durera près de neuf ans, période pendant laquelle Picasso ne met pas fin à sa relation avec Marie-Thérèse Walter, mère de sa fille Maya.
Dora Maar a photographié les étapes successives de la création de Guernica, peint par Picasso
https://www.facebook.com/Art-du-Souvenir-638443152989156/photos/a.1555920111241451/1557307721102690
3 notes
·
View notes
Text
Mélancolie.
Je ne sais pas si c'est le bon mot, je ne suis pas douée pour m'exprimer. Mais j'essaye, je fais de mon mieux pour essayer d'écrire quelque chose de potable et avec le moins de clichés possible, mais la vie est un cliché à elle toute seule.
Pourquoi un Artiste devrait toujours tout faire parfaitement dans les règles de l'art ? J'ai toujours pensé qu'un Artiste en était un parce qu'il ne pouvait rien faire d'autre. Un Artiste peut être peintre, dessinateur, écrivain, chanteur, musicien, danseur, cuisiner, acteur, sans avoir à être connu du grand public. Un Artiste peut être un Artiste sans vraiment en avoir l'air. Pas besoin d'être David Bowie pour être un Artiste. Juste à faire les choses avec honnêteté et vivre de son art.
L'art est une forme d'expression, il permet de créer ce que d'autres ne peuvent interpréter comme nous l'avons fait, parce que chacun est différent et que chacun imagine l'art de différentes manières. Je ne veux pas que les gens sachent pourquoi et dans quelles circonstances j'ai écrit telle ou telle chanson, car ça gâcherait la magie de l'interprétation personnelle. Il n'y a pas forcément de sens concret. Je veux qu'ils sachent penser par eux-mêmes. Pas comme moi. Surtout pas comme moi.
Il y a une chose qu'on ne peut pas changer chez l'Artiste : il est libre. Libre de penser. C'est ça un Artiste, non ? Être libre. Penser par soi-même, et penser, c'est être libre.
Et je suis une Artiste libre. Probablement. Parce que je ne suis pas heureuse. Pourquoi les Artistes ne sont jamais heureux ? Parce qu'ils sont trop lucides. Alors ils se créent leur propre monde. Jusqu'ici, tout va bien. C'est lorsqu'ils sont forcés de revenir à la réalité que ça devient difficile.
Etrangement, être « heureuse » me rend banale, tellement que j'ai l'impression de ne rien ressentir. D'être morte, sans vie.
La tristesse me rend vivante. Ça peut paraître triste à dire, mais elle me donne l'impression de mourir, mais pas entièrement. Comme si je vivais ma mort. Ainsi, je souffre, j'ai mal. Et je ressens autre chose que du vide. Parce que lorsque je ne ressens rien, je suis une coquille vide. Il faut que je souffre.
En fin de compte, c'est moi le problème.
Crédit : Jennlamelancholia
Melancholy.
I don't know if that's the right word, I'm not good at expressing myself. But I try, I do my best to try to write something enjoyable and with as few clichés as possible, but life is a cliché in itself.
Why should an Artist always do everything perfectly according to the rules of the art ? I always thought that an Artist was one because he couldn't do anything else. An Artist can be a painter, designer, writer, singer, musician, dancer, cook, actor, without having to be known to the general public. An Artist can be an Artist without really appearing to be one. You don't have to be David Bowie to be an Artist. Just doing things honestly and making a living from your art.
Art is a form of expression, it allows us to create what others cannot interpret as we have, because everyone is different and everyone imagines art in different ways. I don't want people to know why and under what circumstances I wrote this or that song, because that would spoil the magic of personal interpretation. There is not necessarily any concrete meaning. I want them to know how to think for themselves. Not like me. Especially not like me.
There is one thing that cannot be changed about the Artist : he is free. Free to think. That’s what an Artist is, right ? Being free. Free by oneself, and to think is to be free.
And I am a free Artist. Probably. Because I'm not happy. Why are Artists never happy ? Because they are too lucid. So they create their own world. So far, so good. It's when they're forced back to reality that it gets difficult.
Strangely, being “happy” makes me mundane, so much so that I feel like I feel nothing. To be dead, lifeless.
Sadness makes me alive. It may sound sad to say, but it makes me feel like I'm dying, but not entirely. As if I was experiencing my death. So, I suffer, I am in pain. And I feel something other than emptiness. Because when I don't feel anything, I'm an empty shell. I have to suffer.
Ultimately, I'm the problem.
Credit : jennlamelancholia
#melancolie#tristesse#bonheur#poeme#texte#poesie#artiste#liberte#penser#souffrance#melancholy#melancholia#sadness#hapiness#poem#text#poetry#think#suffering#suffer#freedom
4 notes
·
View notes
Text
Codex Urbanus pour « A Contre-Emploi »
Collegiale Saint Martin -sept-dec 2023
« Apocalytica »
Introduction:
Codex Urbanus est un street artiste qui depuis plus d’une décennie réalise un bestiaire fantastique vandale, tracé en dessin direct et sans autorisation au milieu de la nuit. A ce jour ce sont plus de 600 chimères qui ont défilé sur les murs de Paris et d’autres villes. Son travail, entre bestiaire ancien et hybrides de science-fiction, trouve un écho particulier avec les bestiaires médiévaux, qui étaient entierement symboliques et où l’ours et le lion coexistaient sans filtres avec le dragon et la licorne.
C’est donc tout naturellement qu’il envisage de jeter un pont entre le bestiaire du moyen-âge et son bestiaire urbain au sein de la Collégiale St Martin, la plus ancienne église d’Angers, qui recèle déja dans ses chapitaux et ses fresques nombres de monstres et d’animaux, en renouant avec la symbolique du bestiaire médiéval. En effet, au moyen-âge, les artistes ne cherchent pas à representer les animaux comme le feraient des naturalistes ou des peintres animaliers, mais à montrer les propriétés magiques et spirituelles des créatures, réelles ou imaginaires, qu’elles soient positives ou négatives. Ainsi le renard représente la fourberie et le cerf, réputé tuer les serpents, le pouvoir de Dieu…
L’Apocalypse:
La période médiévale fait montre d’une référence constante à la fin du monde, que l’on retrouve fréquemment dans les églises: celles-ci sont orientées, c’est à dire que le choeur est toujours dirigé vers l’est. là où le soleil se lève, et donc la porte d’entrée se repuve systématiquement à l’ouest, là où la lumière disparait; et on y retrouve très régulièrement le thème de la fin du monde, du jugement dernier et de l’apocalypse. La ville d’Angers s’illustrant également par la présence, au Château, d’une suite de tapisseries mondialement connues traitant de l’apocalypse (XIVe siècle), ce sujet semblait particulièrement s’appliquer à un travail artistique contemporain dans cette même ville, d’autant plus que le récit de l’Appcalypse selon Saint-Jean comporte des chimères qui lui sont propres: la bête à 7 tetes et la bêtes des mers, annonciatrices de l’Antéchrist.
Notre époque traverse également une crise eschatologique, avec une obsession -fondée ou fantasmée- sur la fin de notre monde, mais cette fin ne serait plus due à une volonté divine, mais plutot à nos propres actions, en tant qu’humain. Comme un nouveau péché originel, nous provoquons une crise en allumant un interrupteur, en prenant l’avion ou en mangeant du pangolin… Ces nouveaux récits apocalyptique méritaient bien des nouvelles chimères pour les incarner et nous inviter à les suivre dans les méandres de notre société, qui porte en elle des menaces dantesques… ou bibliques.
#streetart#graffiti#codex#street art#arturbain#picoftheday#vandal#streetartparis#angers#codexurbanus#codex urbanus
2 notes
·
View notes
Text
Ville de Berne. Suisse 🇨🇭. Le Style Pierre Montillo. Apprécié sur le marché de l’art contemporain international.
#art#pierremontillo#artwork#suisse#artist#drouot#artiste peintre connu#modern art#contemporary art#montillo artiste#berne#suisse🇨🇭#artiste peintre du valais suisse#artiste peintre celebre#artiste peintre suisse#pierre montillo#montillo painter#montilloartiste#berner#centre ville#drouotparis#artiste peintre contemporain#decoration#pierre montillo peintre#mairie de saint jorioz#zermatt#people gstaad#artiste peintre#artiste peintre suisse célèbre#brig
5 notes
·
View notes
Photo
Giovanni Bellini
Giovanni Bellini (c. 1430-1516) était un artiste italien de la Renaissance, connu pour son utilisation novatrice de la couleur, son intérêt pour la lumière et l'importance qu'il accordait au travail au pinceau. Aujourd'hui, Giovanni est reconnu comme le plus innovant et le plus influent des peintres de la famille Bellini et ses œuvres vont du portrait au retable. Parmi ses chefs-d'œuvre figurent l'Extase de saint François, superbement détaillée et naturaliste, et le portrait hyperréaliste du doge Leonardo Loredan. L'œuvre de Bellini exerça une influence considérable sur ses contemporains vénitiens, et cette influence se poursuivit dans l'œuvre de ses élèves, parmi lesquels le Titien (vers 1487-1576).
Lire la suite...
8 notes
·
View notes
Text
De toi, j'ai beaucoup rêvé - Colette Guinard
Je ne pourrai jamais oublier Cette journée passée au musé Où sur les murs tu dévoilais ton aventure Aux admirateurs amoureux de tes peintures. Toi Van-Goog, peintre maudit que j���ai choisi Huit cent toiles ont été pour la dernière fois accrochées Alors que de ton vivant tu était ignoré A présent tes œuvres sont hors de prix. La nuit étoilée est celle qui a marqué mes années Comme les tournesols connus dans le monde entier Je suis une artiste anonyme bien que de tes tableaux J’en ai peins des copies à l’aide de mes pinceaux. Jamais je n’ai ressenti un tel émoi en pensant à toi Qui a souffert sans répit, bien que tu avais la foi Ton frère Théo est resté celui avec qui des écrits Ont été échangé tout au long de ta vie. Puis lassé de tes enfermements à st Rémy Ton ami Gauguin n’a pas compris à quel point ton esprit Définitivement, était las de cette situation mortifère Alors, tu as mis fin à ta vie dans ce champ de blé, en colère. Texte de Colette Guinard Read the full article
2 notes
·
View notes
Text
34e Salon René Clement-Bayer de Samoreau
Du 12 au 19 mars 2023 à la Grange aux Dîmes de Samoreau Vernissage le samedi 11 mars à 18h
Créé en 1982 par le peintre René Clement-Bayer (1930-1999), ce salon d’arts plastiques a pour ambition de rassembler artistes connus et méconnus, jeunes et confirmés, « locaux » et internationaux. Une vingtaine d’artistes, tous médias confondus, sont réunis autour d’un invité d’honneur.
Cette année encore, le Salon d’arts plastiques de Samoreau investit la Grange aux Dîmes pour sa 34e édition. Cet extraordinaire bâtiment, datant du XIIIe siècle, est inscrit à l’Inventaire supplémentaire des Monuments Historiques.
Le dernier Salon s’est ouvert la veille du premier confinement de mars 2020. Ce fut l’une des plus belles éditions, sans doute la plus mémorable, certainement la plus courte.
Entre confinements successifs et travaux à la Grange aux Dîmes, le Salon a pris son temps et revient enfin en mars prochain. Nous renouerons avec une partie des artistes quittés en 2020 : ces trois dernières années ont-elles changé leur vision de l’art, leur production ?
Notre invitée d’honneur, Hualing Xu, sera entourée par Léa B-H, Valérie Brunel, Ariane Crovisier, Corinne Debonnière, Ophélie Dedieu, Chloé Duloquin, Geny, William Himo, Reid Masselink, Milthon, Ameneh Moayedi, Jean-Pierre Monnot, Christian Moreno, N’bo, Clément Nivert, Jean-Pierre Robot, Sariamisora, Jean-Pierre Sellier et Ybah.
Ouvert tous les jours de 15h à 19h
Grange aux Dîmes : 11 rue de l'Eglise, Samoreau (77210)
4 notes
·
View notes
Text
MERCREDI 19 AVRIL 2023 (Billet 1 / 4)
Non, nous ne sommes pas allés hier voir l’Exposition « Basquiat x Warhol » à la Fondation Louis Vuitton. Warhol, pourquoi pas… mais Basquiat, franchement, nous n’avons jamais compris et nous ne comprenons toujours pas la cote de ce peintre.
Pour mémoire, le tableau ci-dessus, « Untitled » (1982), a pulvérisé en 2017 le record d'enchères de ce peintre lors d’une vente d'art contemporain de Sotheby's à New York, lorsqu’il a fait tomber le marteau pour 110,5 millions de dollars !!!
NON, NON et NON !!!
Nous avons préféré nous rendre au Musée d’Orsay pour l’Exposition « Manet / Degas ».
Mais même s’il est un million de fois préférable d’être devant un tableau de Monet ou de Degas plutôt que de regarder, avachi sur une banquette, le énième épisode d’une série sur Netflix… nous devons vous avouer que nous avons été un peu déçus par cette Exposition.
Plusieurs raisons à cela : les plus beaux tableaux de Manet, nous les avions déjà vus à plusieurs reprises à Orsay (les premières années du Musées nous y sommes allés assez souvent, tous les deux ou avec de la famille ou des amis de passage…), quant à ceux de Degas, peut-être sommes nous un peu béotiens s’agissant de lui, ce sont surtout ceux qu’il a consacrés à la danse qui nous plaisent le plus. Or, dans cette « confrontation Manet/Degas », Manet n’ayant jamais peint de danseuses, il n’y en avait aucun de Degas.
Autre raison, et pas des moindres, il y avait un monde fou ! Et pourtant nous avions choisi l’heure du déjeuner. Notre conseil, si vous deviez y aller, attendez encore un peu, allez-y en dehors des vacances scolaires et surtout pas un mardi, le lendemain du jour de fermeture du Musée, c’est un employé du Musée qui nous l’a dit !
Mais on apprend plein de choses sur la vie de ces 2 peintres, sur l’histoire de leur amitié, parfois teintée de jalousie, les points communs sur les sujets traités, leurs approches différentes, etc. Deux grands génies quand même de la peinture du XIXe siècle.
_____________________________________
MANET / DEGAS
Au Musée d’Orsay jusqu’au 23 juillet 2023
Cette exposition est une occasion unique de découvrir les chefs-d’œuvre de deux figures phares de la nouvelle peinture des années 1860-80 : Édouard Manet (1832-1883) et Edgar Degas (1834-1917).
Manet et Degas sont souvent considérés comme des opposés : le premier est le chef de file des impressionnistes, le second est un réaliste indépendant ; le premier peint en plein air, le second en atelier ; le premier privilégie les scènes de la vie moderne, le second les sujets intemporels comme les danseuses ou les chevaux. Pourtant, ces deux artistes ont entretenu une réelle complicité artistique et amicale pendant plus de vingt ans. Ils se sont rencontrés en 1862 et ont été immédiatement attirés par leur talent respectif. Ils ont échangé des conseils, des critiques, des modèles et des tableaux. Ils ont exposé ensemble à plusieurs reprises et ont partagé une même vision de la modernité.
L’Exposition « Manet / Degas » met en lumière cette relation méconnue à travers une centaine d’œuvres provenant du Musée d’Orsay et de prêts exceptionnels d’autres institutions françaises et étrangères. Elle propose un parcours chronologique et thématique qui explore les influences réciproques, les convergences et les divergences entre les deux peintres. Elle montre comment ils ont suivi des chemins parallèles mais distincts dans leur quête d’une nouvelle expression picturale.
Vous pourrez admirer des chefs-d’œuvre tels que l’Olympia de Manet, L’Absinthe de Degas, mais aussi des œuvres moins connues mais tout aussi fascinantes comme Le Portait d’Eugène Manet ou La Famille Bellelli d'Edgar Degas. Vous pourrez également comparer leurs approches du portrait, du nu, du paysage ou du spectacle vivant. Vous découvrirez comment ils ont utilisé la lumière, la couleur, le dessin ou la composition pour créer des effets saisissants de réalisme ou d’impressionnisme.
(Source : « Plaquette de l’Exposition »)
_________________________________
Musée d'Orsay Esplanade Valéry Giscard d'Estaing 75007 Paris
ACCÈS
Métro : ligne 12, station Solférino RER : ligne C, station Musée d'Orsay Bus : 63, 68, 69, 73, 83, 84, 87, 94
HORAIRES
Du mardi au dimanche : de 9h30 à 18h00
Nocturne les jeudis jusqu'à 21h45
Fermé le lundi
TARIFS
Plein tarif (18 et +) : 17 €
Après les plaisirs de l’esprit, ceux de la chair…
Rue de Bellechasse, tout près du Musée, comme il y avait un beau soleil, nous avons préféré déjeuner en terrasse.
Marina a choisi un tartare de bœuf et JM, un sauté de veau à la crème et aux champignons. Une tuerie ! En accompagnement, nous avons commandé des pommes allumettes, un de nos péchés mignons.
2 notes
·
View notes