#Une belle fille comme moi
Explore tagged Tumblr posts
Text
Une Belle Fille Comme Moi (1972)
3 notes
·
View notes
Text
"Stop the television!"
#Une belle fille comme moi#A gorgeous girl like me#1972#François Truffaut#Henry Farrell#french movie#relationship#no tv
1 note
·
View note
Text
tu sais que je t'aime bien, non? p2
pair: Fred Weasley x reader requested by anonymous
can you do a pt 2 to tu sais que je could you do a pt 2 to t’aime bien, non? where they’re at the order, and she’s still learning English, and Sirius know English so he knows what she’s saying when she makes small comments, whether about someone or about Fred. And they talk a lot in French, and she’s glad she can talk ‘normally’. she grew up without a dad, or a good father figure and that’s what Sirius was to her. And Fred learning bits of French, mainly just flirty stuff 😂
masterlist | navigation | p1
❀✿❀✿❀✿❀✿❀✿❀✿❀✿❀✿❀✿❀✿❀✿❀✿
Y/N had grown used to the bustling activity at the Order of the Phoenix. Grimmauld Place was a stark contrast to the serene halls of Beauxbatons, but it had its own charm. It was chaotic and loud, with people constantly coming and going. But in all the noise, Y/N found comfort in small moments.
One of those moments was her time with Sirius Black.
Sirius had taken an immediate liking to Y/N. He was quick to realize that she wasn’t comfortable speaking English all the time, and when he found out she spoke French, he effortlessly switched languages. It was a relief to Y/N, who felt her shoulders relax every time they chatted in her native tongue.
“Comment tu vas aujourd'hui, Y/N?” Sirius asked one afternoon, as they sat in the kitchen with mugs of tea.
Y/N smiled, feeling at ease. “Je vais bien, merci. C’est agréable de parler en français.”
“Je comprends,” Sirius replied, his voice warm. “C’est bien d’avoir quelqu’un à qui parler aussi. Cette maison peut être un peu trop parfois.”
Y/N nodded, looking around at the dark walls of Grimmauld Place. It wasn’t just the house that could be overwhelming; it was everything—the war, the uncertainty, and the fact that she was so far from home. But Sirius made it feel less lonely. He’d become like a father to her, something she never really had growing up.
“Merci, Sirius. Tu es vraiment comme un père pour moi,” Y/N said softly, her voice full of emotion.
Sirius paused, his expression softening as he looked at her. “Et tu es comme une fille pour moi, Y/N. Je serai toujours là pour toi.”
The sincerity in his voice made her heart swell. It was nice to have someone who cared, who understood her without needing translation. She had Fred, of course, but there was something special about her bond with Sirius. He filled a void in her life she didn’t even know was there.
As the weeks went on, Y/N spent more and more time with Sirius, talking in French about anything and everything. They’d sit together during Order meetings, exchanging comments about the others in the room.
“Regarde Fred, il a l’air tellement concentré,” Y/N whispered one evening, watching Fred from across the room as he listened to Moody talk about the latest mission.
Sirius chuckled, leaning in closer. “Il est toujours concentré quand il s’agit de toi.”
Y/N blushed, trying to hide her smile. “Tu crois?”
“Je le sais,” Sirius replied with a knowing grin. “Il n’arrête pas de te regarder quand tu ne fais pas attention.”
Y/N felt a warm flutter in her chest. Fred had been learning bits of French too, mainly picking up on the flirty things she would say. He was getting better at it, though his accent was still terrible, which she found adorable.
One evening, after everyone else had gone to bed, Y/N and Fred were sitting together in the living room, the fire crackling softly in the fireplace. Y/N was reading, and Fred was leaning against her, pretending to read but mostly just watching her.
“Tu es belle ce soir,” Fred whispered in clumsy French, a proud smile on his face.
Y/N laughed softly, shaking her head. “You’re getting better, Fred.”
“I had a good teacher,” he said, grinning as he laced his fingers with hers.
Y/N leaned in, pressing a kiss to his cheek. “Je t'aime, Fred,” she murmured, feeling bold.
Fred’s eyes sparkled, and he responded with a mischievous smile, “Je t'aime aussi, Y/N. Did I say that right?”
She nodded, giggling. “Perfectly.”
Fred puffed up his chest in mock pride. “Maybe I’ll become fluent in French just so I can understand all the lovely things you say about me.”
“Oh, you’d like that, wouldn’t you?” Y/N teased, bumping her shoulder against his.
Fred smirked, leaning in closer. “I’d like it even more if you kissed me again.”
Y/N rolled her eyes but couldn’t resist. She leaned in, capturing his lips in a soft kiss. Fred deepened it, pulling her closer as they both melted into the moment.
When they finally pulled away, Y/N rested her head on Fred’s shoulder, feeling content.
“Fred,” she started, “I’m really glad you’re learning French.”
“Yeah? Why’s that?” Fred asked, brushing a strand of hair behind her ear.
“Because it means you understand me better,” Y/N said softly. “And I like that.”
Fred squeezed her hand, his voice full of affection. “I like it too, Y/N. But you know, even if I don’t understand everything you say, I think I get the important stuff.”
Y/N looked up at him, her heart full. “What’s that?”
“How much you care about me,” Fred replied, his voice serious for once. “And how much I care about you.”
Y/N felt tears prick her eyes, but they were happy tears. She knew that even with the language barrier, their feelings were clear. Love didn’t need translation.
“Je t'aime, Fred,” she said again, her voice barely above a whisper.
Fred kissed her forehead, his voice soft as he replied, “Je t'aime, Y/N.”
#isaacismyhusbandeventhohedoesntknowityet#harry potter#harry potter fanfiction#fred x reader#fred weasley imagine#fred weasley#fred weasley x reader#fred#fred weasley fluff#fred weasley x you#fred weasley x y/n#fred weasley x reader fluff#fred weasley x beauxbatons reader
54 notes
·
View notes
Text
"Ma belle âme.
C’est parce qu’il y a cette distance entre nous que j’ose te dire les mots les plus amoureux, avouer mes élans, comme si un invisible gardien des secrets m’empêchait d’en parler quand tu es auprès de moi.
Je t’aime du bout du monde comme un navigateur désespéré qui saurait qu’il n’y a plus de côte, plus de terre où accoster, mais qui cherche encore et encore l’étoile du Nord…
Tu es cette étoile, une étoile tombée du ciel pour me séduire et rendre brillant tout ce qui se voile d’ombre et d’opacité. Je t’aime de cette manière désordonnée car je sais que le monde est fait de morales de circonstance, alors, autant les oublier et redéfinir pour soi et pour l’autre les codes du bien et du mal, laisser monter en nous la force d’aimer et la force de mal aimer, comme si elles étaient des lois écrites pour nous seuls, innocents et purs, choisis par un dieu n’aimant pas les relations publiques, pour que nous n’ayons pas à répandre la nouvelle de cela…
J’ai tellement espéré une femme qui ait la force d’une femme et la naïveté d’une jeune fille, que… c’est cela que je voulais te dire : cette espérance à trouver un visage et une âme, et ils te ressemblent.
De si loin, mon cœur bat pour vous."
Yves Simon
23 notes
·
View notes
Text
Suite de notre soirée dans l’anse de Paulliles...
Avec Bob, nous avons prestement rejoint les filles déjà installées comme chez elles sur la mini piste de danse du club voisin, et visiblement déjà attirant tous les regards et attentions.
Je ne dansais pas souvent, préférant regarder (un parfum de Candaulisme dans mon attitude(?) et aimait réellement voir Ana surtout lorsqu’elle pouvait trouver un beau et bon danseur avec qui la magie du rythme pouvait opérer...J’aimais les admirer. Je n’étais vraiment pas bon danseur et ne voulait pas priver Ana de ses plaisirs, de son plaisir...Elle aimait danser jusqu’au bout de la nuit dès qu’elle le pouvait...Moi, j’étais heureux, un verre à la main, à les regarder et admirer...Aucune jalousie...Que du bonheur...Oui, il m’apparaissait alors un indéniable parallélisme de forme entre le Candaulisme et la danse...
Laisser sa partenaire choisir son cavalier... ;
La laisser être dirigée... ;
La laisser s’endiabler, aller au bout de son souffle, faire corps avec son partenaire, être enlacée, serrée par lui, être touchée, ...Bref oui beaucoup de similitudes me semblait-il en cet instant même.
Ana virevoltait et captait déjà tous les regards, assurément les envies ...
Pour l’instant elle dansait tout à tour quelques salsa et autre Mango endiablés de manière lascive avec tour à tour Clara et Laura, puis la soirée avançant et l’espace autour d’elles se resserrant, à trois...
Bob m’accompagna au début en partageant un verre au bar mais je me retrouvais seul rapidement car une de ses connaissances féminines de la plage et du jour l’avait invité à faire quelques pas sur un rythme et une musique tube de l’été...
Moi je me régalais réellement de voir Ana et nos nouvelles amies chalouper et onduler de leurs corps sublimes...
Je n’étais pas le seul d’ailleurs...
De nombreux aficionados s’aventuraient au plus près d’elles...
J’apercevais parfois, ce qui me faisait rire et même m’enchantait, quelques mains baladeuses taquinant les trois belles qui s’étaient maintenant tellement rapprochées qu’on aurait pu croire qu’elles ne faisaient qu’une...
Néanmoins à un moment, un des garçons présents près des filles, réussit à agripper Ana et à l’extraire du cocon des bras de Clara et de Laura qui continuèrent à danser tout en s’enlaçant tendrement et sensuellement...
Elles osèrent même un baiser intense qui loin de calmer les ardeurs des garçons dansant près d’elles, les virent littéralement être phagocytées par cinq ou six danseurs qui les encerclaient...
Elles furent ainsi acculées contre un mur et un peu isolées par le noir du bord de piste contrastant avec l’intensité des lumières festives éclairant le centre...
Ana dansait maintenant un peu à l’écart et sur la piste avec son cavalier, élégant et visiblement doué pour la danse...
Ils étaient réellement beaux...
Je souriais dès que je pouvais à Ana et elle me rendait ce sourire...
Manifestement elle prenait plaisir à danser avec ce jeune homme et à m’offrir, elle savait que j’appréciais, le spectacle de leurs corps enlacés et énivrés de musique.
A un moment, elle vint près de moi pour se rafraîchir et me présenter à son danseur du soir : « Daniel..., mon compagnon, mon chéri. Laurent, mon...mon partenaire de danse...Il danse super, tu as vu...Allez, on y retourne Laurent...Viens c’est un slow...Daniel nous rejoindra s’il veut... ».
Elle me donna un baiser appuyé dont je reconnaissais la saveur et surtout et aussi ce qu’il pouvait exprimer... : Laurent lui plaisait et elle ne comptait pas en rester à la danse...
On avait déjà vécu ce genre de trio sur un slow dans une boite libertine de notre région ...Je ne vous dis pas comment tout cela s’était terminé...
Bob ne revenant pas, au bout de quelques instants, je n’hésitais pas à les rejoindre sur la piste.
Ana avait manifestement déjà pris les choses en main comme elle savait si bien le faire et se frottait contre le sexe sûrement déjà tendu du jeune homme...
Pour être sûre de sa prise, elle tenait même fermement de ses deux mains ses fesses rebondies...
Ana savait toujours quand il fallait « ferrer » sa proie et prendre ce qu’elle devait prendre...
A mon approche, quasi à la toucher par derrière, je la vis se pencher à l’oreille du garçon malgré tout tendu (et pas que de son sexe...) pour, j’en étais certain, le rassurer et lui dire que je n’étais aucunement jaloux, bien au contraire...
Le garçon devait être incrédule, aussi Ana lui roula-t-elle une pelle majestueuse et impossible à en comprendre le sens profond pour celui qui en était l'objet...Tout avait et prenait sens avec Ana...
Pour ma part, voir Ana aussi lancée et échauffée, fort de ce que l’on s’était dit sur nos vacances et maintenant de notre philosophie de vie et carrément de la liberté de notre vie sexuelle, je levais discrètement sa robe et vint insérer mon mât tendu à l’extrême par la situation dans son sillon fessier et me laissé guider au rythme suave et entrainante de la musique et des mouvements de son cul diabolique...
Ayant remarqué en m’approchant d’Ana que les copines de Bob avaient elles aussi été prises en main par quatre ou cinq jeunes et entreprenants partenaires, je poussais délibérément Ana et Laurent, son danseur du soir, par des coups saccadés de mon sexe impatient de conquête, vers les corps déjà entremêlés de nos voisins et voisines...
Les filles se retrouvèrent comme par enchantement au centre de nous les hommes et le rideau humain que l’on pouvait constituer faisait parfaitement obstacle à la vue des autres danseurs présents dans la boite qui de toute façon étaient manifestement eux aussi affairés et pris dans des tourments et autres ballets érotico-sexuels...
J’appris et ait eu confirmation par Bob le lendemain qu’en fait cette petite boite de nuit était devenue au fil des soirées de cet été là, un des lieux libertins, si ce n’est le lieu libertin le plus côtés de la Côte Vermeille...
Pas franchement étonnant au vu de comment évoluait la soirée, même si totalement insolite devant l’absence d’endroits habituels et dédiés à certaines pratiques des clubs libertins, ou même à quelconque information, allusion par des néons, des enseignes, des recommandations, des vestiaires, du personnel, des préservatifs, des douches ...
Oui, un club sauvage, totalement débridé, libre et libéré...
Un peu étrange et peut-être même risqué pour qui aurait pu s’y aventurer par mégarde mais sa petitesse en avait fait un de ses atouts et seuls les connaisseurs et habitués y venaient, limitant ainsi du coup les problèmes qu’il y aurait pu avoir...
Au centre de toutes les attentions, les filles flattées, caressées et pelotées de toutes parts avec leur acquiescement et consentement, manifestant surtout leurs envies, se mirent à genoux en tripode et commencèrent de leurs mains habiles à sortir les sexes impatients et brûlants de tous ceux qui les entouraient...
Je vis qu’Ana s’était même retrouvée totalement nue tandis que Clara et Laura n’avaient plus de haut...
C’est ainsi sept belles et magnifiques queues bandantes et entreprenantes que nos trois belle eurent à honorer, nous faisant tourner tout autour d’elles, de leurs bouches avides et de leurs mains expertes...
Une nouvelle fois Ana fut la première à se redresser et à se positionner contre le mur lors de ma visite dans sa bouche : « A toi l’honneur mon Amour d’ouvrir le feu.. Je t’aime... ! »
Elle m’indiquait ainsi, de même qu’aux autres que c’était maintenant en levrette qu’elle voulait qu’on la prenne...
Ses amies l’imitèrent partageant entre elles trois, des baisers aussi savants et puissants que passionnés, pendant que chacun des mâles les saillissait tour à tour ou leur faisait minette à volonté ...
Le jeu dura un certain temps et même Bob et sa dernière amie vinrent se joindre à la ronde...
Toutes et tous exténués, nous nous réfugièrent à l’aube naissante dans la cahute de la SNSM que Bob nous avait ouverte.
Nous nous sommes ainsi littéralement entassés pêlemêle, là où raisonnablement il n’y avait réellement de la place que pour deux, et jusqu’au petit matin les corps avachis se sont abandonnés dans une anarchique et irréelle orgie des sens et des corps...
Je m’étais pour ma part inséré au plus près et au plus profond du cul d’Ana qu’elle savait encore et si adroitement faire vibrer qu’elle m’en autorisait ainsi à bander dur jusqu'au bout de la nuit...
La nouvelle amie du jour de Bob aux courbes épanouies, généreuses et sensuelles, s'était invitée parmi nous et n'était pas en reste.
Un tempérament de feu dans une enceinte constituée de braises...
Je me souviens qu'elle me saisit la tête pour l'engloutir entre ses seins démesurés et m'inciter à en durcir les pointes contrastant tant avec les chairs moelleuse et opulentes de ses courbes...
Chacune de ses aréoles ressemblait à un clitoris brûlant et impatient de l'assaut de mes lèvres...
Je me souviens également que Clara et Laura vinrent nous offrir leurs sexes emplit de liqueurs spermatiques des jouissances qu’elles avaient connues tout au long de la nuit.
Nous avions réellement, stupidement et bêtement joué avec nos vies cette nuit-là dans l’insouciance de notre jeunesse et d’une épidémie de Sida qui pointait déjà le glaive de ses ardeurs mortifères et dévastatrices.
Inconscience et peut-être même et sûrement, honte à nous !
Heureusement il ne fut rien de dommageable pour notre santé et bien des années plus tard, tout à la fois bien conscient du bonheur que l’on ait eut de pouvoir vivre cette liberté sexuelle totale et débridée, nous sommes si heureux d’avoir été épargnés par tous ces fléaux qui malheureusement minent et restreignent parfois les audaces aventurières et libertines que nous permettait l’époque...
Non pas qu’il y ait moins de désirs ou de plaisirs de nos jours, on en parle assez fréquemment avec Ana dans nos échanges de mails et au travers des récits de ses aventures de Hot-Wife, mais bien que le registre des possibilités se soit vu avec bon sens et légitimité hors couple réduit.
Ainsi goûter au délire assez fou j’en conviens du partage de toutes les ardeurs et saveurs tout autant féminines que masculines d’une telle soirée orgiaque n’est plus aujourd’hui envisageable et surtout pas souhaitable...
Ce n’était d’ailleurs pas forcément bon, ni même un kiff personnel pour tout dire, mais d’une telle intensité érotique, un tel partage, une telle offrande que cela en constituait une expérience insolite et même vertigineuse.
Je me souviens encore aujourd’hui des lèvres épanouies, ouvertes, chaudes et maculées de saveurs de nos complices, ...
J’ai aussi partagé cette nuit là quelques fellations torrides pourtant si loin de mes pratiques avec Ana et d’autres, filles ou garçons, dans des délires érotiques sans fin qui nous avaient emportées au confins des possibles en matière de sexualité...
C’est aussi cette nuit-là que j’ai pu ressentir ce que pouvais être le dépucelage et ensuite la jouissance je dois l’avouer de mon propre cul...
Hétéro, bi, homo,... plus rien n’était ou ne pouvait être interdit à personne et nous n’étions tous que frénésie et envie sexuelles...
Plus tard, je recommencerais certaines de ces pratiques, il fallait peut- être que je les reçoive et vive de cette manière pour ensuite pouvoir les apprécier, particulièrement avec Ana...
Ainsi, oui, je dois l’avouer, cette soirée m’a totalement désinhibé pour le reste de mes jours et Ana ensuite a toujours su me mettre dans le contexte où je ne pouvais pas, comme souvent ou toujours, lui refuser ce qu’elle souhaitait de moi ou moi-même, être en pleine conscience et capacité d’accepter, de réaliser ou de vivre certaines pratiques que j’aurais de prime abord et par dogmatisme ou peur, refusé.
Plus tard avec Ana j’ai pu ainsi beaucoup apprécier de temps à autres de partager et de sucer une belle bite ;
de me faire prendre par un doigt, un godemichet ou même un gode-ceinture ( je voulais réellement savoir et discuter avec elle et son amie qui me prenaient tout à tour, ce qu’elles ressentaient et ce que cela transformait, transportait comme sentiments, émotions, ressentis physiques et autres ressorts psychologiques chez elles...J’en appris beaucoup sur les femmes et leurs désirs de masculinité assez souvent subconscient mais aussi souvent bien présent...) ;
et même de tenter un jour l’aventure cent pour cent homosexuelle avec deux jeunes amis gays très drôles et ouverts à tout qui m’avaient invité à découvrir l’incroyable ambiance et l'atmosphère de la gay-pride et d’une croisière organisée en mer des Caraïbes...
Oui, tout cela était « né » de cette incroyable soirée passée dans la cahute de Bob et de la SNSM...
Bob en début de matinée, alors qu’il devait ouvrir et tenir son poste, nous réveilla...
Les autres étaient discrètement partis au fur et à mesure de leurs réveils respectifs.
Bob nous salua et nous pria de repasser quand on voulait...
« Tu suce bien pour un mec ! » m'avoua-t-il dans un rire sonore et son bisou à pleines lèvres et à la Russe lors de notre départ me font dire et écrire que ce fut bien la soirée la plus déjantée et incroyable de toute ma vie que je venais de passer en cet endroit si charmeur et idyllique...
Je repensais au fait que Bob était bisexuel et qu'effectivement il ait pu me proposer sans ambages son sexe...
Pour moi, je n' avais aucun souvenir factuel, même si je savais que j'avais accompagné Ana avec plaisir et gourmandises dans quelques fellations dont elle avait le secret et l'expertise tout en devant admettre l'idée que ce fût Bob ou un autre...
Qu'elle importance dans cette soirée hors-norme?
Bob resterai à jamais mon ami.
Je retournerai à Paulilles un jour...
Je reverrai Bob avec plaisir.
Maintenant, cap sur l’Espagne...Nous n’étions pas, Ana et moi, au bout de nos aventures...
Pas même au bout de nos congés et moi surtout pas au bout d'une sexualité torride riche et sans beaucoup de limite que je le savais et le sais encore plus aujourd'hui me dirigeait inexorablement vers le Candaulisme de part son amour du sexe, du jeu, de l'intellect, de l'audace, de la philosophie de la vie, de l'Amour, de la tolérance, de tous ses attraits et de toutes ses beautés à découvrir et partager...
Bref que des belles et magnifiques perspectives et bonheurs de ma future vie...!
24 notes
·
View notes
Photo
C'est fou comme les gens ont de moi cette image de femme sophistiquée, glaciale. C'est une telle erreur, c'est tellement mal me connaître.
- Catherine Deneuve on herself in Belle de Jour (1967)
In anticipation of a new film this summer by Catherine Deneuve called ‘Bernadette’ where she plays Bernadette Chirac, the wife of French Jacques Chirac, I’ve been re-watching some her back catalogue of films. She’s done over 64 films and at almost 80 years old she’s still going strong. And yet out of her many films I’ve always been drawn back to one film which has become a cult classic. Watching it and re-watching it and even gorging on books on its making, new intriguing details reveal themselves about this landmark French art house classic - Belle de Jour (1967).
I once had the privilege of having dinner with her - or rather sat around the same table - through a Parisian host and his lovely wife who had gathered an eclectic group of friends across generations together. I was too self-conscious to talk about her film career directly. I was on surer ground when we indulged in small talk where she was perfectly down to earth and very pleasant. I felt it would be rude to go all fan girl on her and pepper her with questions about Belle de Jour in particular as she’s known to be very ambivalent about her experience of the film - a film that really defined her in the eyes of many people.
But it didn’t mean she didn’t recognise its cultural importance though as she was quite happy to amuse us with a funny story about Belle de Jour. A newly restored 35mm version was funded by the fashion house Saint Laurent back in 2018. Deneuve always had a close relationship with Yves Saint Laurent and also the fashion house. She was the one to introduce Buñuel to Saint Laurent. So the fashion house had a glitzy premiere in New York. But they didn’t count on many of their guests being late. Most of the guests were stuck in the New York traffic and the rain. However Martin Scorsese was the only one to get out of cab and run like a mad man through the pelting rain and huge traffic. A true cinephile, he was so desperate to see the film restored to its former glory that he would go to any lengths to see it.
In Belle de Jour, Catherine Deneuve, whose limpid beauty is capable of sustaining any interpretation, is a perfect Severine and demonstrates a remarkable control in progressing, with enormous economy of gesture and movement, from frigidity to physical warmth as the bored housewife who indulges in part time sex work.
“I felt they showed more of me than they’d said they were going to,” Catherine Deneuve remarked to Pascal Bonitzer in 2004, about the making of Luis Buñuel’s 1967 Belle de jour. “There were moments when I felt totally used. I was very unhappy.”
The story of Séverine, a deeply disenchanted haute bourgeois Paris housewife who finds erotic liberation through byzantine psycho-sexual fantasies and part-time work at an upscale brothel, Belle de jour certainly made extreme demands of Deneuve: her character is flogged, raped, and pelted with muck, among other assaults. But despite her objections to the way she was treated and her difficulties with Buñuel, Deneuve’s performance in Belle de jour turned out to be one of her most iconic.
Deneuve, who had become a star only three years earlier, as the melancholy jeune fille in Jacques Demy’s 1964 all-sung musical The Umbrellas of Cherbourg, was just twenty-three when Belle de jour came out; notably, Buñuel’s film was released in France less than three months after Demy’s radiant, MGM-inspired musical The Young Girls of Rochefort, starring Deneuve and her real-life sister Françoise Dorléac.
But Belle de jour, more than any other film from the first decade of her career, defined what would become one of the actress’s most notorious personae: the exquisite blank slate lost in her own masochistic fantasies and onto whom all sorts of perversions could be projected. (Deneuve as deviant tabula rasa was first seen in Roman Polanski’s 1965 Repulsion, in which she plays a damaged beauty plummeting into psychosis; but Belle de jour doesn’t portray its heroine as mad, instead remaining deliberately ambiguous about the origins of her unconventional desires - and presaging the bizarre libertines she would later play in such films as Marco Ferreri’s Liza, 1972, and Tony Scott’s The Hunger, 1983.)
Buñuel was at a very different stage of his career from his young star, but Belle de jour represented a peak for him as well, the greatest - and most successful - film of his extremely rich late period. These works, bookended by 1964’s Diary of a Chambermaid and 1977’s That Obscure Object of Desire (his final film), were made mostly in France - where Buñuel had begun his filmmaking career with the incendiary, surrealist Un chien andalou (1929) - following the exiled Spanish director’s two decades in Mexico.
Many of these late projects were cowritten with Jean-Claude Carrière and focus intensely on sexual perversion (a theme that recurs throughout Buñuel’s work). Belle de jour certainly falls into that category, and also, typically, skewers the entitled classes. Yet it stands out as the director’s most intricate character study—but of a protagonist who resists definition; the heroine, frequently trussed up and mussed up, retains an odd, opaque dignity in her debauchery.
In that same interview with Bonitzer, Deneuve was judicious enough to distinguish her experience of making Belle de jour from the final product, calling it a “wonderful film.” But her first meetings with Buñuel hinted at the duress that was to follow. According to John Baxter’s 1994 biography, Buñuel, it took time for the director to “warm to” his star: “He felt, with some justice, that she had been foisted on him, first by the Hakims [Belle de jour’s producers], then by her lover of the time, François Truffaut.” After dining with Buñuel at his house, the book recounts, Deneuve “left with little more than an impression that he disliked actors in general and was reserving his decision about her. The only advice he offered was the advice he had always given actors: ‘Don’t do anything. And above all, don’t . . . perform.’”
Though Deneuve deferred to her director, she was no puppet; Belle de jour is as much hers as Buñuel’s. The filmmaker, famously resistant to “psychological” interpretations of his work, stuffs Belle de jour with his trademarks, confounding any attempt to parse meaning: the surrealist blurring of fantasy and reality, fetishism, sexual perversion, blasphemy.
But as Séverine, Deneuve, despite operating in the nebulous realm between dream and waking, imbues the film with irresistible and very real lust - and luster. Sporting the chicest Yves Saint Laurent finery, Deneuve revels in the peculiar desires of her character while always inviting our own. As Buñuel himself acknowledges in his 1984 autobiography, My Last Sigh (published a year after his death), Belle de jour “was my biggest commercial success, which I attribute more to the marvelous whores than to my direction.” (Per Baxter, after the filming of Belle de jour, he would finally admit of his star, “She’s really a very good actress.��) Deneuve’s gift was to update the world’s oldest profession for her still-expanding résumé.
The director had some modifying to do as well. Buñuel, who adapted Joseph Kessel’s 1928 novel with Carrière, assessed the source material dryly in My Last Sigh: “The novel is very melodramatic, but well constructed, and it offered me the chance to translate Séverine’s fantasies into pictorial images as well as to draw a serious portrait of a young female bourgeois masochist. I was also able to indulge myself in the faithful description of some interesting sexual perversions.”
He wastes no time in establishing those bizarre erotic proclivities. In Belle de jour’s opening scene, Séverine and her doting husband of one year, Pierre Serizy (Jean Sorel), a handsome, dutiful surgeon, are snuggled close in a horse-drawn carriage; he interrupts the tender moment with the lament “If only you weren’t so cold.” She pulls away, defensive. The sound of horse bells, which has been increasing in volume from the film’s first shot - and will indicate Séverine’s dreams or fantasies throughout - stops. Pierre orders his wife out of the cab; when she refuses, he and the two drivers remove her by force. She is gagged, bound to a tree, and whipped by the coachmen, who are then instructed by Pierre to rape her. When one begins to ravish her, Séverine appears to be in ecstasy.
This carnal reverie is soon interrupted by the Serizys at home, preparing for their usual chaste bedtime ritual. Pierre, in white pajamas, asks his pale-pink-nightie-clad wife, under the covers in a separate bed, what she’s thinking about: “I was thinking about you . . . and us. We were out for a ride in a carriage”—a scenario Pierre has heard before.
The fantasy clearly belongs to Séverine alone; she finds erotic thrills in her secret thoughts of debasement and humiliation, her florid imagination compensating for her sterile, sexless existence. Her most private desires will soon be realized at 11, cité Jean de Saumur, the address of the boutique bordello run by Madame Anaïs (Geneviève Page), given to Séverine by Pierre’s louche friend Husson (Michel Piccoli).
At Madame Anaïs’s, Séverine - now going by the nom de pute Belle de jour, a reference to her two-to-five shift (she insists on being home when Pierre returns from his workday at the hospital) - is horrified at first but proves to be a quick study. A burly Asian client scares off her two seasoned colleagues with his mysterious, buzzing lacquered box, but she is absolutely transfixed; after the john leaves, she, lying prone on the bed, lifts her head, her luxuriant mane of blonde hair disheveled, to reveal a woman still drunk on orgasmic pleasure.
The contents of the box are one of the film’s many mysteries (when asked what is inside, Buñuel would reply, “Whatever you want there to be”). Yet the greatest enigma is Séverine herself: why does she recoil from the slightest sexual advance from her husband yet lose herself, both in fantasy and in her new line of work, in elaborate masochistic tableaux? “Pierre, it’s your fault too. I can explain everything,” Séverine insists to her husband in the opening fantasy sequence, as she’s being forcibly removed from the landau. But of course, she can’t - and won’t.
As in Repulsion, there are flashbacks to possible childhood trauma in Belle de jour. In one, a man appears to touch a young Séverine inappropriately; in another, she stubbornly refuses the Blessed Sacrament. But unlike in Repulsion, whose final, prolonged shot of a menacing family photo is offered as the root of Carole’s pathology, these scenes in Buñuel’s film are almost non sequiturs, presented not as psychological explanation but as blips in a baroque sexual surrealism.
As Séverine’s reveries and job demands become stranger and more mysterious - in one daydream, she is pelted with thick black mud by Pierre and Husson, who call her “tramp” and “slut”; a ducal client solicits her in the bois de Boulogne to perform in a necrophilic rite - Deneuve retains her porcelain, celestial inscrutability, while simultaneously transforming into an earthbound debauchee, delighting in her own defilement. Madame Anaïs (whose early, shameless flirtation with Séverine - who eventually reciprocates - is the first of the many moments in Deneuve’s filmography that would cement her status as a lesbian icon) touts her new employee’s regal bearing to prospective customers: “[She’s] a little shy, perhaps, but a real aristocrat.”
Séverine’s coworkers, Charlotte (Françoise Fabian) and Mathilde (Maria Latour), are constantly remarking on the impeccable cut and style of her ensembles. Yet what this seemingly untouchable goddess craves most is the brutality of her latest john, the thug Marcel (Pierre Clémenti), a rough with metal teeth, a walking stick that doubles as a shiv, and fetishwear (shiny boots of leather with matching overcoat) that could have been dreamed up in an atelier overseen by Kenneth Anger and Pierre Cardin.
Séverine’s relationship with Marcel will lead to Pierre’s ruin - or does it? The ambiguous ending of Belle de jour suggests that everything that preceded it may have existed only in the heroine’s cracked dreamscape. Like the buzzing box, the film’s final scene is whatever you want it to be.
Yet one thing is certain: Deneuve transcends kink. And despite her misery during the Belle de jour shoot, she would return for even more bizarre treatment three years later in Buñuel’s Tristana, losing both her virtue and a leg.
Almost 55 years after it was made Belle de Jour continues to be a compelling film. It takes on greater curiosity for me as I live in Paris and there are Séverines aplenty that I come across. But the film also speaks to a non-French audience even today as it remains a shrewd commentary on the hypocrisy of social relations and sexual politics. Buñuel invites us to ponder the transgression of a socially respectable woman secretly being a prostitute in the afternoons, but I don’t think he bothered to pose the question why a socially respectable gentleman should be secretly visiting a prostitute in the afternoons - which happens more than one might think and that behaviour is normalised. Something to think about.
#deneuve#catherine deneuve#quote#french#film#movie#cinema#belle de jour#actress#luis bunuel#bunuel#film making#arts#culture#france#scorsese#personal#paris
169 notes
·
View notes
Text
On s'est vus et il m'a sorti que son premier amour lui revenait toujours en tête. C'était il y a 1 an et il n'arrive pas à passer à autre chose depuis. Parce que ça s'est terminé très brutalement. Je l'ai détesté immédiatement. Détesté d'avoir commencé quelque chose en ayant conscience de ça. Et lui qui a osé me dire qu'il avait peur de s'attacher alors que j'étais peut-être pas passée à autre chose avec mon plan cul.
Vous savez comme je fuis dès qu'une difficulté se présente. J'ai eu un sentiment de détachement immédiat et la sensation de vouloir tout arrêter tout de suite. Il me l'a dit parce qu'il sentait que je m'attachais et selon lui j'avais l'air de m'attacher plus vite que lui. Alors que c'est lui qui m'a déjà présenté sa famille et d'autres choses bien trop rapides à mon goût. Mais comme je le sentais s'attacher vite, j'ai laissé tomber mes barrières et je me suis laissée aller.
Actuellement, je sais que pour me protéger je serais capable de ne plus lui parler du jour au lendemain. Parce que j'en peux plus d'être blessée. J'ai été honnête et je le lui ai dit. Il n'était vraiment pas bien.
Je ne sais pas s'il a bien fait de me le dire. Je crois que cette vérité fait partie des vérités qu'il n'est pas nécessaire de dire. Évidemment que le premier amour est impossible à oublier mais tu ne commences pas une histoire si tu ressens encore tout à vif. Il a encore pensé à elle actuellement, c'est pour ça qu'il a eu besoin de me le dire. Je suis trop déçue et là vraiment je n'ai plus envie de garder contact.
"Tu retournerais vers elle si elle revenait vers toi?"
"... Je sais pas"
En plus il n'a vu son premier amour que 2-3 fois, ils se sont surtout rapprochés par messages. Mais ça a été très vite, ça a été ses premiers sentiments, ses premiers contacts physiques. Puis c'est un gars super sensible, qui ressent tout très fort et qui s'attache vite. Ça s'est fini parce qu'elle est partie pour revenir vers son ex, qui en plus de ça était un connard. Il est tombé de 10 étages. Ensuite, il est sorti avec une autre fille, qui a réussi à lui faire oublier la première. Mais après leur rupture, il a repensé à la première. Il arrive à être objectif et à se dire qu'il l'a beaucoup idéalisé et mise sur un piédestal. Il en a conscience mais il ressent quand-même encore toute cette frustration de ne pas avoir pu vivre une vraie histoire. Parce qu'au final ça n'aura duré que 3-4 mois.
J'ai beau réfléchir, j'arrive pas à m'imaginer commencer quelque chose avec quelqu'un qui a toujours une autre fille en tête. C'est inconcevable. Je lui ai dit qu'il devait prendre le temps de l'oublier. Il n'y a que le temps qui fera les choses. Mais ça n'a pas été ma décision finale, il m'a dit qu'il me laisserait le temps de digérer les infos et de réfléchir à ce que je veux faire. "En tout cas saches que si tu décides d'arrêter, ça aura été une belle histoire et je ne t'oublierai jamais".
Tout était trop beau pour être vrai.
(20/06/2024)
21 notes
·
View notes
Text
Il faut souffrir pour être une fille !
Ma sœur était plus attirée par les filles que par les garçons. Sa première chérie s'appelait Christine, c'était une rousse mignonne et très féminine. Elle avait 16 ans et était la fille d'une esthéticienne divorcée. Elle logeait au dessus de l'institut de sa mère. Nous formions Christine, ma sœur et moi un drôle de trio de gourmandes de plaisirs. Cela a duré un peu plus de deux ans, jusqu'à mon entrée à l'Université. Tous les samedis après-midi et quelquefois en semaine, nous nous retrouvions dans la chambre de Christine qui était devenue notre salle de jeux. Christine n'était pas en reste et le fait qu'elle vive seule avec sa mère lui a donné beaucoup d'avance côté sexe. Après mes premiers essayages de fille chez Christine, et avant de découvrir le plaisir féminin de me faire prendre par un tampon puis un merveilleux vibro, mes deux complices ont voulu me débarrasser de mes poils disgracieux… Ma sœur y était déjà passée, sauf son minou et c'était très simple car Christine empruntait le matériel de sa mère à l'Institut et s'exerçait sur elle. Un après-midi, ma sœur et sa chérie ne se sont pas caressées comme à leur habitude. Elles ont comploté en messes bases… Elisabeth m'a demandé de me mettre en culotte pendant que Christine descendait à l'Institut. Elle est remontée avec un truc à cire chaude, des bandes et un rasoir électrique. Elle m'a dit : C'est pas beau une fille avec des poils, on va s'occuper de toi ! Elles ont mis une serviette éponge sur le lit et m'ont demandé de m'allonger sur le dos. Christine a appliqué de la cire sur mes jambes, c'était chaud et agréable. Elisabeth a pressé des bandes sur la cire… Et ensuite, je ne sais plus laquelle des deux a arraché la première bande 🤐🥴😭 Tout ce que je sais c'est que j'ai poussé un cri tel que la mère de Christine a demandé du bas ce qu'elles me faisaient pour me faire crier ainsi ! Et elles ont continué ainsi devant et derrière puis sur la poitrine où heureusement j'avais peu de poils car j'ai souffert … Ha les garces 🥴 Pour finir, Christine m'a dit : "Baisse ta culotte, on va te dessiner le maillot pour que tu aies un joli minou comme nous." Je me suis exécuté en lui disant de faire gaffe à ne pas me blesser avec sa tondeuse. Je n'ai pas été blessée mais à force de me manipuler le clito et les couilles, je leur ai offert une belle queue bien raide. Elisabeth a dit : on ne peut pas le laisser comme ça, il ne peut même plus remettre sa culotte 🍆🍆🍆. Et Christine d'ajouter qu'après tout ce travail elles avaient droit a une récompense. Elles m'ont branlé et j'ai déchargé dans la main de Christine qui s'est empressée de lécher ma liqueur. Elisabeth était frustrée car elle n'a eu que les dernières gouttes en essorant mon clito qui dégonflait…
***********************************************
You have to suffer to be a girl!
My sister was more attracted to girls than boys. Her first sweetheart was called Christine, she was a cute and very feminine redhead. She was 16 years old and the daughter of a divorced beautician. She lived above her mother's salon. Christine, my sister and I formed a strange trio of pleasure seekers. This lasted a little over two years, until I entered university. Every Saturday afternoon and sometimes during the week, we met in Christine's room which had become our playroom. Christine was not left out and the fact that she lived alone with her mother gave her a big head start on the sex side. After my first girl fittings at Christine's, and before discovering the feminine pleasure of being taken by a tampon then a wonderful vibrator, my two accomplices wanted to get rid of my unsightly hairs… My sister had already been there, except for her pussy and it was very simple because Christine borrowed her mother's equipment at the Institute and practiced on her. One afternoon, my sister and her sweetheart did not caress each other as usual. They plotted in my basics… Elisabeth asked me to put on my panties while Christine went down to the Institute. She came back up with a hot wax thing, strips and an electric razor. She told me: It's not beautiful a girl with hairs, we'll take care of you! They put a terry towel on the bed and asked me to lie on my back. Christine applied wax to my legs, it was hot and pleasant. Elisabeth pressed strips on the wax… And then, I don't remember which of the two tore off the first strip 🤐🥴😭 All I know is that I screamed so much that Christine's mother asked from below what they were doing to me to make me scream like that! And they continued like this in front and behind then on my chest where fortunately I had little hair because I suffered… Oh the bitches 🥴 To finish, Christine told me: "Pull down your panties, we're going to draw your swimsuit so that you have a pretty pussy like us." I complied, telling her to be careful not to hurt me with her clippers. I wasn't hurt but by dint of manipulating my clit and balls, I gave them a nice stiff cock. Elisabeth said: we can't leave him like this, he can't even put his panties back on 🍆🍆🍆. And Christine added that after all this work they were entitled to a reward. They jerked me off and I unloaded in Christine's hand who quickly licked my juice. Elisabeth was frustrated because she only got the last drops by wringing out my deflating clit…
13 notes
·
View notes
Text
Deux voix et une plume
D’origine multiculturelle, ma grand-mère avait élaboré au cours de sa vie tout un répertoire de proverbes et de dictons qui ponctuaient la conversation. Ainsi elle commentait chaque événement de formules à la fois philosophiques, poétiques et pragmatiques. Il y avait là quelque chose de l’expression et de la transmission, une langue maternante autant que maternelle, allant de soi à l’autrui, et de l’écoute au mot d’esprit.
« Alors ma ‘tite fille, y parait que t’y es amoureuse ? Bah un nouveau balai, ça balaye toujours bien, hein ? mais faut essayer plusieurs manches avant de trouver le bon balai. C’est sûr, on n’est pas fait pour vivre seul, et chaque casserole a son couvercle. Encore faut-il avoir envie de cuisiner ! Moi ça fait longtemps que je mange froid, pasque dans la vie y’a des choses bien plus importantes à faire que la cuisine et la vaisselle. Alors ne laisse pas tes casseroles briller plus que toi. Tu verras, l’amour c’est comme le loto, tu prends un sac, tu mets tous les hommes dedans, tu secoues, et le premier qui sort… bah il est comme les autres ! Et moi je dis qu’au jeu de l’amour et du hasard, le perdant est tout nu, et le gagnant est en haillons. Regarde-toi, t’y es jolie comme un cœur d’artichaut ! Et regarde-moi, j’avais des jambes à faire trembler Hollywood… bah y'a pas eu beaucoup de dégâts ! Et pourtant, quand je ne serais plus là, vous aurez perdu la plus belle plume de votre chapeau ! »
Elle n’est plus là mais je garde précieusement la plume qu’elle a laissé, pour écrire.
#poésie#prose poétique#écriture créative#atelier d'écriture#ma grand-mère disait#punchline#poètes sur tumblr
19 notes
·
View notes
Text
Mon cadeau secret santa pour @saemi-the-dreamer ptit dessin et ptite fic même si bon, j'écris pas beaucoup donc c'est sûrement un peu bancal
Il était déjà la fin de l'après midi quand Arthur commença sérieusement à s'impatienter. Ca faisait au moins 3 bonnes heures que lui, une bonne partie des représentants les plus importants du monde breton et des délégations venues d'autres pays pour l'occasion attendaient. Et encore eux ils avaient la chance d'être assis, lui commençait à avoir sérieusement mal aux pieds. Et bon sang la couronne de fleur que Guenièvre avait insisté à lui faire porter lui grattait sérieusement le crâne. Il se tourna une fois de plus vers Perceval qui, tenant son rôle de témoin très sérieusement se tenait totalement immobile, les mains croisées :
Non mais bordel qu'est-ce qu'ils foutent ?
Vous voulez que j'aille me renseigner sire ?
Vous voulez dire comme les trois autres fois où vous êtes allés vous renseigner et vous êtes revenus bredouille ? Je sais pas vous vous sentez capables de trouver le chemin des vestiaires cette fois ou je vous colle un intendant pour vous accompagner ?
Non mais les autres fois je suis tombé sur Karadoc ça m'a perturbé, là c'est bon il est assis y'a pas de mouron à se faire sire.
Ok mais dépêchez vous, et dites leur de se bouger aussi ou je sens que l'église va se transformer en un champ de bataille romain-visigoth
De son point de vue il pouvait observer toute la salle et voyait clairement que des alliances commençaient à se défaire au fur et à mesure que les gens s'impatientaient. Les représentants des pays qui parlaient la même langue étaient très agités et parlaient de plus en plus fort, semblant ne pas s'entendre sur le goût du vin, dont ils avaient probablement déjà un peu abusé. D'un côté c'était la seule chose à faire en attendant. Perceval partit se renseigner et Arthur alla se chercher une coupe lui-même, histoire d'actionner un peu ses jambes. Il avait été plutôt fier de son idée de renouveller son mariage avec Guenièvre à la mode catholique, en invitant les plus grands noms du coin afin de montrer qu'il était revenu en tant que roi et que le royaume se portait bien désormais. Mais maintenant qu'il était là, face à tout ce monde qui s'impatientait, il se sentait plutôt nerveux. Bon sang qu'est-ce qu'elle foutait ? C'était pas si foutu compliqué d'enfiler une robe potable pour l'occasion, de se faire un peu tresser les cheveux et boum, mariage et on n'en parle plus.
Qu'est-ce que vous foutez retournez à votre place espèce de trou du fion !
La voix de sa belle mère resonna derrière lui tandis qu'il se servait un verre. Ah, au moins si elle était sortie du vestiaire c'est que c'était bientôt fini
En attendant que votre fille daigne se montrer faut bien que je m'occupe
Oui, bah c'est bon vous vous êtes occupés retournez à l'autel, là Elle le poussa vers le fond de l'église tandis qu'il protestait
Faites gaffe bordel c'est un costume spécial pour l'occasion j'ai pas envie de le tâcher en renversant du vin
Vous avez qu'à pas faire votre poivrot au moins pour une soirée. Pis toute façon croyez moi vous aurez pas besoin d'alcool quand vous la verrez.
Elle le laisse planté là, retourna s'asseoir auprès de Léodagan et secoua celui-ci qui s'était endormi sur son banc. Arthur prit une gorgée de vin en réfléchissant à ces dernières paroles étranges. Oui ok, il avait été assez peu discret ces derniers temps sur les regards qu'il lançait à Guenièvre mais enfin de là à ce que sa belle mère le remarque. Le goût acre du vin le fit hoqueter et il s'énerva mentalement sur les paysans qui n'étaient même pas capables de fournir un vin correct pour le mariage de leur roi. A ce moment là Perceval revint, accompagné de Bohort, l'un en bleu, l'autre en vert pour représenter les deux parties du mariage. Pourquoi Guenièvre avait choisi Bohort comme témoin ça le dépassait, après tout il ne les pensait pas si proches. Mais d'un autre côté il n'avait pas été tellement attentif aux passes temps et aux amis de sa femme durant le temps qu'il avaient passé ensemble. Il se promit mentalement de changer ça.
Ah bah c'est pas trop tôt c'est bon elle va venir ou il faut que je reporte à après-demain ?
C'est bon, c'est bon sire, dit Bohort avec un sourire jusqu'aux oreilles. Sauf votre respect vous allez être plutôt impressionné de ce qu'on a fait avec du simple tissu
Je m'en fous un peu de votre tissu Bohort j'aimerais bien commencer le processus pour que les gens finissent pas par s'étriper dans une église.
Bohort se rangea du côté de la mariée, toujours souriant, et Arthur remarqua que Léodagan s'était eclipsé, sans doute pour pouvoir accompagner la mariée jusqu'à l'autel, c'était bon signe. Même si bon, ils étaient déjà mariés depuis 30 piges techniquement il n'avait pas vraiment sa main à lui donner. Il sursauta alors qu'un orgue commença à résonner dans la salle. Ils avaient un orgue dans le coin ? Encore un détail qui luil avait échappé. Il déposa son verre de vin sur le côté tandis que les invités se levaient, certains de façon un peu vacillante. Deux petites filles apparurent du fond de la salle et dispersèrent des pétales de rose tout le long de l'allée. Et puis elle apparut au bras de son père. Sa machoire tomba et il oublia tout. Les trois heures d'attente, les invités qui s'engueulaient, le vin dégueu, même ses pieds. Elle était vêtue d'une robe en tulle blanche recouverte de fleurs bleues jusqu'à la taille. Ses cheveux lui tombaient sur les épaules en cascade, avec seulement une couronne de fleurs similaire à la sienne sur la tête. Elle était magnifique. Elle arriva à sa hauteur et Léodagan lui donna sa main et retourna s'asseoir. Elle lui sourit timidement tandis que le prêtre se mettait en position.
Vous dites rien ?
Je euh Pour une fois il était sans voix, tout juste capable de la parcourir du regard bouche bée.
C'est les fleurs c'est ça ? J'ai dit à Bohort que ça faisait trop mais il était sûr que c'était la mode et puis Merlin les a fait pousser exprès et du coup…
Il lui posa un doigt sur la bouche avant qu'elle ne s'emballe trop.
Vous êtes parfaite, réussit-il seulement à murmurer
Son visage s'illumina et elle rougit un peu.
Il sourit à son tour réalisant que la cérémonie lui tenait finalement plus à coeur qu'il ne le pensait. Leur premier mariage avait été un simulacre politique. Celui-ci était un mariage d'amour.
#kaamelott#kaamelott secret santa 2023#pendranievre#si quelqu'un sait comment faire des tirets et pas des points chelous pour les dialogues sur tumblr je suis preneuse#même si bon je referai probablement pas de fics de si tôt parce que je suis pas auteure#m'enfin#things#secret santa kaamelott 2023
35 notes
·
View notes
Text
Já postada!!!
Má petite chienne, está na lista fixada do meu perfil
Spoiler: Louis Francês.
O homem se sentou na poltrona enfrente a si, abrindo as pernas e cruzando as mãos acima da pélvis. Ela o acompanhou com o olhar, observando as tatuagens nos dedos e as veias nas mãos, se perguntando se poderia as sentir dentro de sua boceta. As pernas do homem estavam abertas e ela o olhou dos pés a cabeça, parando em seus olhos ardentes. Assim como ela, percebeu que este não desviou os olhos dela também. Sua pele queimava, as mãos que brincavam com os anéis suavam frio e seu coração batia tão forte que era capaz de desconfiar que alguém o ouviria.
Ela percebeu que todos os homens já haviam se acomodado quando a voz suave da mulher que a recepcionou soou no ambiente, a tirando do modo hipnotizado que olhava o homem à sua frente, porém, a voz não pôde entrar em seu cérebro de modo que fizesse sentido, sentia-se aprisionada num limbo sem pensamentos, apenas observando o homem pecaminoso e deixando sua mente calada.
Ele abriu mais as pernas, olhando em seus olhos e descruzando as mãos, dando tapinhas em sua coxa grossa marcada no terno preto. Submissa de um modo que nunca havia sido, seus pés funcionaram e ela se apressou em parar em sua frente, inclinando a cabeça para o lado e o vendo assentir. Assim que seu queixo definido terminou de apontar a ordem, ela se pôs sentada apenas na coxa que ele havia batido.
- Senhor Tomlinson, eu nem a apresentei. – A mulher disse, um tom confuso.
- Je le paie. Elle est à moi. Ma douce petite fille. – sua voz enviou vibrações até o estômago de Harry, que sorriu encantada sem ao menos saber o que ele havia dito.
(Eu pago por ela. Ela é minha. Minha pequena e doce garotinha.)
- Espero que me ensine francês. – Harry arriscou sussurrar, tirando um sorriso do homem, os dentes brancos e tortinhos, as ruguinhas envolta de seus olhos. Ele lhe tirou de órbita.
- Ensinarei. – Ele segurou em sua mão, levando até sua boca e beijando seus dedos, provavelmente sentindo o metal quente dos anéis ali dispostos. – Je prendrai soin de toi comme une belle fille, je garderai l’éclat de tes yeux verts et ta dépendance envers moi. – Ele sorriu ladino. – Posso te levar para jantar agora... – o silêncio se fez a fazendo rapidamente dizer seu nome. – Harry.
(Vou cuidar de você como uma linda menina, vou manter o brilho dos seus olhos verdes e a sua dependência de mim.)
Harry quase gemeu ao ouvi-lo falar em francês consigo, poder exalando de seus lábios a cada palavra proferida, estas que ela não entendeu sequer uma vírgula. – Por favor. – Assentiu devagar, seu tom de voz entregando o quão afetada estava pelo outro. – Senhor Tomlinson.
- Papa Louis, ma petite. – Ele deu dois toques leves em seu joelho e ela prontamente se levantou, indo para a direção que a mão firme em sua cintura indicava.
(Papai Louis, minha pequena.)
131 notes
·
View notes
Text
Harrow et Viren : analyse
Viren, depuis sa résurrection en saison 4, est mis en parallèle avec Harrow.
"Beaucoup de temps a passé. Le royaume est prospère. Mes garçons grandissent sereinement. Nous vivons en paix. Il vaut mieux peut-être se concentrer sur le bonheur que nous avons" (Harrow).
"Toute ma vie, j'ai couru après ce que je n'avais pas. Maintenant que je suis ici et qu'il ne me reste que trente jours à vivre, ai-je vraiment envie de passer ce temps à poursuivre cette quête ? Peut-être est-il temps pour moi de profiter de ce que j'ai, un mois entier avec ma fille. D'accepter que je suis simplement qui je suis. Et quand le moment sera venu, je serai en paix, et il sera temps de me laisser partir." (Viren)
Tous deux réévaluent leurs vies, remettent en question les crimes qu'ils ont laissé dans leur sillage. Ils ont le sentiment d'avoir échappé à la justice. Leurs proches les encouragent à continuer de vivre, bien sûr, mais ils en sont venus à la conclusion que si leur vie a laissé une telle traînée de sang, la prolonger ne ferait qu'en répandre encore davantage.
Qu'à ce stade, la seule chose juste qu'ils pouvaient faire pour le monde, c'était de le quitter.
Pour leur proches, qui se sont décarcassés pour eux, ce revirement est incompréhensible et même... franchement ingrat. "Vous -vous faites preuve d'obstination et... d'ingratitude !"/"Non. Non, papa, tu -tu n'as pas le droit. C'est moi qui t'ai sauvé ! Tu me dois la vie ! Il faut que tu restes !"
Pour citer Guenièvre, "vous vous êtes ouvert les veines dans un bain que j'avais moi-même fait couler."
Surtout qu'Harrow et Viren sont tous deux incapables de formuler leur point de vue plus clairement que "Non, évidemment, vous ne comprenez pas. Veuillez me laisser" et "je dois trouver le chemin de la vérité et de la liberté."
Regardez-moi ça. Deux rois pris dans des vendettas de lignage, poussés par leurs âmes damnées à prolonger une existence dont ils ne veulent plus, même au prix de deux être créés pour être des sacrifices : un soldat, payé pour ça (contrairement au Haut Mage, hein Harrow), et... cet homonculus.
D'ailleurs, tous deux renoncent ainsi à la magie noire en, comme le dit Harrow, "appelant un chat un chat" pour la première fois; et non plus "une solution créative pour régler ça" comme dit Viren.
Et tout comme Harrow avait écrit une lettre à son fils Callum pour le libérer des torts de la génération précédente, Viren tente de faire la même chose.
A Callum, Harrow a tenté d'expliquer que le passé, que l'on doit cependant chercher à comprendre, ne devrait pas définir l'avenir; que sa mort doit clôturer le cycle de vengeance qu'il a initié par l'assassinat du Titan et pour lequel il assume toute la responsabilité; et que ses fils doivent assurer une nouvelle ère de paix.
Il ne s'est cependant pas avisé de nommer officiellement un régent (Viren, Amaya ou Opélie), ce qui oblige le pauvre Ezran à assumer un rôle pour lequel, à huit ans, il n'est évidemment absolument pas préparé, et met du même coup son royaume dans le caca.
A Soren, Viren fait moins de belles phrases. Il est très litéral. Il veut que Soren le juge, mais qu'il ait pour cela tous les éléments nécessaires; que Soren comprenne pourquoi il a commis toutes ces erreurs. Viren dit à Soren que toute la souffrance qu'il a ressentie n'a jamais été de sa faute, mais de la sienne à lui (c'est là qu'on regrette que le français n'ait pas de système de cas/déclinaisons).
C'est Viren et Viren seul qui a choisi de devenir un monstre en violentant Kppar puis Lissa, provoquant ainsi son départ, puis en le faisant payer à Soren tout au long de son enfance. La lettre avait pour but de libérer Soren de toute culpabilité. Parce que, quand tu te fais battre froid par ton père pendant toute ton enfance, tu te dis confusément que c'est de ta faute. Et de toutes façons, c'est bien connu, tous les enfants d'un divorce pensent que c'est de leur faute.
Le problème, c'est que lire la vérité pourrait tout aussi bien faire sentir Soren encore plus mal. Parce que cette lettre confirme que c'est bien pour le sauver lui que Viren a détruit la famille, même si c'était un choix que Viren a fait. Si on se fie à Puzzle House, Soren se souvient qu'il était malade, que son grand-père a disparu, que son père l'a sauvé et que sa mère est partie, mais il n'a jamais pu faire le rapprochement entre tous ces événements.
Cette lettre veut dire que le simple fait que Soren soit vivant a bel et bien été la première fissure qui a fini par faire s'écrouler toute la maison.
Viren a donc choisi de brûler la lettre, espérant épargner à son fils un tel fardeau.
Les morts de Viren et d'Harrow ont toutes les deux quelque chose du suicide, et pas seulement par les lettres qu'ils laissent derrière eux.
Vous vous souvenez de mon post comparant leurs actes à la citation de Kaamelott ? "Qu'est-ce que c'est quelqu'un qui souffre et qui fait couler son sang par terre pour que tout le monde soit coupable ? Tous les suicidés sont le Christ. Toutes les baignoires sont le Graal."
En résumé, j'essayais d'expliquer que leur masochisme faisait aussi souffrir les autres.
Harrow prétend se considérer comme un serviteur, et il est certainement sincère. Il est humble et a un grand sens de l'honneur, n'hésitant pas à défier certaines traditions -en partageant son portrait officiel avec Viren, et à mettre en jeu sa propre vie. Mais quand, par exemple, il ne trouve rien de mieux à faire que de priver son peuple de nourriture simplement pour honorer une promesse, ça fait doucement rigoler. Lui-même, assez hors-sol pour ne pas connaître l'état de son royaume, n'aura certainement pas à voir sa propre famille mourir de faim. Mais il semble considérer qu'en sacrifiant le royaume, c'est lui-même qu'il sacrifie. Et lors de sa mort héroïque, qu'en se sacrifiant, il sauvera le royaume au lieu de le plonger dans le chaos.
Viren, très probablement en partie à cause de ses origines sociales qu'on ne cesse de lui rappeler (et d'une enfance pas très marrante, vu que le mec s'insulte devant le miroir jusqu'à craquer en pleurs et dévalorise sans cesse son fils) est hanté par le sentiment d'être inférieur aux autres. D'être inutile. Il a un besoin maladif de gratitude. Dans l'espoir de compter, de compter à leurs yeux, il a passé des années à s'auto-détruire par la magie noire, à se mettre constamment en danger, à se ruiner la santé, à payer les pots cassés du roi, puis à laisser Aaravos exploiter son corps de façon de plus en plus abjecte, bref, à ne se voir que comme un moyen en vue d'une fin.
Ce sentiment n'est d'ailleurs pas sans fondement : non seulement le roi est effectivement assez incompétent pour n'avoir pas la moindre idée de l'état des ressources de son royaume, mais en plus, là où n'importe quel épéiste arborerait avec fierté les cicatrices de son art, Viren est forcé de dissimuler son visage tuméfié -c'est même en partie la raison pour laquelle sa femme l'a quitté.
Le problème, c'est qu'il a cru que ça lui donnait le droit d'instrumentaliser les autres : sa femme, Sarai, Harrow, les princes, Soren, et quelques milliers d'autres, j'en oublie sûrement. Que puisque sacrifier les autres lui était difficile, cela faisait de lui le héros.
Viren souffre (comme Lancelot dans Kaamelott, ainsi parla Sy Play qui a inspiré genre 99% de la présente analyse) d'un énorme syndrome du sauveur : ne pouvant exister que par la gratitude des autres, il se met à prendre en charge tous leurs problèmes, même si on ne lui a rien demandé, et quitte à en crééer d'autres au passage. Comme il est compétent, vif, pragmatique, réaliste et ingénieux, et littéralement magique, il finit par se rendre absolument indispensable. Personne d'autre que lui ne pouvait sauver deux royaumes d'une famine. D'autant plus Sarai, l'épouse d'Harrow, s'est sacrifiée pour le sauver parce qu'il était un mage. Cette culpabilité du survivant peut avoir aggravé ce problème.
Sa mentalité, qu'il a résumée en un "ressaisis-toi, bon sang," à un Terry traumatisé, a aussi probablement joué un rôle dans la dégradation de sa relation avec Harrow. Après la mort de Sarai, Viren a probablement pensé qu'il devait être le pillier inamovible et inébranlable sur lequel Harrow devait pouvoir se reposer. Que s'il montrait le moindre doute, la moindre faiblesse, Harrow, et avec lui, le royaume, s'effondrerait. Alors que si Viren avait été moins constipé, Harrow se serait sans doute senti moins seul, et aurait été moins susceptible de mettre fin à ses jours comme il l'a fait.
Viren est le cerveau du coeur. Il fournit un garde-fou à Harrow, dont le sens de la justice l'aveugle. Harrow a, après tout, bel et bien choisi le Bandeau dans son rêve, bandeau qui devrait le pousser à imaginer un système visant à protéger tout le monde de la même façon. Un idéal, irréaliste et inconsidéré. Viren est plutôt la Balance, à mon avis : il compare les coûts de ses actions aux conséquences positives qui en découleront.
Là, il est temps que je parle du Triangle dramatique, théorisé par le psychiatre Stephen Karpman dans son article Fairy Tales and script drama analysis. Il applique d'abord ce schéma aux contes de fées : Le Joueur de Flûte de Hamelin sauve les villageois, victimes des rats qui les persécutent; mais au lieu de le remercier, les villageois lui jettent des pierres et le bannissent sans payer leur dû; ce qui pousse le joueur de flûte à se venger, devenant persécuteur, en faisant disparaître tous les enfants du village.
Mais ce Triangle, comme Karpman l'explique, est aussi un jeu psychologique inconscient, un schéma relationnel typique entre victime, persécuteur et sauveur qui ne peut être appliqué à une situation d'urgence. Il n'est pas nécessaire que les trois instances du triangle soient présentes, mais il suffit souvent à une personne de jouer le jeu pour que les autres embrayent. Stephen Karpman ajoute que plus les rôles s'inversent au cours d'une seule scène, plus elle est intense en émotions et en conflit.
La victime est isolée, passive et est incapable de prendre des décisions pour résoudre ses problèmes. Le persécuteur la rabaisse, minimise ses souffrances et se moque d'elle en espérant la faire réagir. Le sauveur prend sa défense, se sent obligé de résoudre les problèmes de la victime à sa place même si elle ne lui a rien demandé, ce qui est très valorisant pour lui mais maintient la victime dans un état de dépendance.
Le problème, vous le sentez venir, c'est qu'au fil des années, Harrow est devenu complètement dépendant de Viren pour mettre ses trop grandes idées en pratique, et donc des crimes "nécessaires" que Viren alignait comme des perles sur un collier. Non seulement c'est sale, mais c'est en plus infantilisant. Viren agit constemment en sauveur, ce qui place Harrow dans un rôle de victime, peu habitué à remettre en cause les décisions de Viren même quand il se trompe.
Harrow n'en pouvait plus.
Il a eu tellement assez de sa dépendance à l'égard de Viren qu'il en a conclu que la seule façon de s'en débarrasser, c'était de mourir.
Harrow aurait pu se cacher avec les princes, ou virer toute sa garde et assumer seul les conséquences de ses actes, mais il juste a saisi l'occasion de vendre chèrement sa peau et de mourir en héros. J'irais même jusqu'à dire que pour Harrow, sa propre mort servait trois objectifs :
Retrouver Sarai sans qui sa vie n'a plus de sens
Recevoir enfin son juste châtiment et mettre fin à son propre sentiment de culpabilité ainsi qu'au cycle de vengeance
Faire en sorte que Viren se sente enfin coupable de quelque chose, fut-ce son suicide.
Bref, d'enfin reprendre le contrôle en plaçant Viren dans un rôle de victime, tout en devenant le persécuteur.
Viren, tout au long de la saison 1 et 2, payant les pots cassés d'Harrow et voyant inconsciemment une occasion de prouver sa valeur, a tenté de se placer en sauveur des royaumes humains faisant alors face à une situation de crise : il s'est retrouvé rejeté, complètement isolé, condamné à mort pour trahison et en totale incapacité de résoudre ses problèmes. Bref, une victime. Et qui c'est qui le "sauve" ?
Aaravos, en se présentant comme le "serviteur" de Viren, flatte son ego et lui désigne des persécuteurs à blâmer. Cependant, Viren n'est pas un imbécile : il est conscient d'être manipulé. Il sait qu'Aaravos lui dissimule délibérément de nombreuses informations. Mais il s'y jette de son plein gré. Il est au pied du mur : pour ce qu'il en sait, il n'a fait que prendre une série de décisions inévitables, qui lui ont fermé portes après portes, le plongeant de plus en plus dans les ténèbres. Jusqu'à ce que le couteau devienne la frontière entre deux mondes, le sépare de l'unique source de lumière, blafarde, venant de "pire que la mort" : Aaravos.
Oui, c'est fait pour avoir toutes les allures du suicide.
Viren (croyant bien faire) a tiré le pire d'Harrow, tout comme Aaravos (voulant foutre la merde) a tiré le pire de Viren.
Autrement dit, comme pour Harrow, la seule façon pour Viren de se débarasser de son âme damnée, c'était de mourir.
Et quant à la troisième mort de Viren dans la sixième saison, héroïque s'il en est (sur le balcon même où il a regardé son poignet dans la saison 2), ce n'est pas non plus un hasard s'il répète les derniers mots que lui a addressés Harrow afin de l'humilier : "Je suis un serviteur."
Ce terme porte une ambivalence : la noblesse de l'abnégation et l'humiliation de la soumission.
Harrow avait beau se considérer lui-même comme un serviteur du royaume et promouvoir l'égalité dans ses réformes et ses symboles, il en a fini par en avoir marre. Il sacrifie certes sa propre vie pour mettre fin au cycle de la vengeance, mais comme il ne se donne absolument pas la peine de préparer sa succession, ne serait-ce qu'en s'assurant que les princes sont en sécurité, le résultat une catastrophe. Il consacre également les dernières minutes de son existence à se montrer d'une cruauté parfaitement injustifiée envers Viren. Cependant, lors de sa seule interaction avec son héritier de la série qui ne soit pas une analepse, Harrow ne dit rien d'alarmant à Ezran. Harrow se prépare à enfin affronter la justice, il se prépare à mourir et fait tout pour qu'Ezran ait, pour dernier souvenir de son père, une conversation anodine. Afin d'éviter qu'Ezran croie qu'il l'a abandonné. Il est trop tard pour lui, mais il veut que ses enfants écrivent une nouvelle histoire, où les conflits millénaires laissent enfin place à la paix.
Viren, blessé qu'Harrow le rabaisse plus bas que terre, prenne son abnégation pour de l'arrogance et le laisse encore une fois payer les pots cassés de ses décisions, a fait de ce terme la justification pour ses crimes... confondant, dans ses bonnes intentions, "servir le peuple" et "se servir du peuple". Viren était tout à fait prêt à se sacrifier pour sauver Harrow dans la saison 1, mais Harrow, décidé à reprendre le contrôle, ne l'a même pas écouté; et Viren s'est immédiatement rétracté quand Harrow a refusé de le reconnaître en égal. Bien qu'on ne peut plus sincère, le sacrifice de sa vie a alors été rejeté par le scénario car fait sans humilité.
(ou alors, Harrow a immédiatement compris ce que Viren comptait faire et l'a pourri pour l'en dissuader)
Aujourd'hui, Viren, hanté par la vision du sang d'Harrow par terre, choisit donc de se sacrifier, sauvant ainsi la population de Katolis face au feu des dragons, de se sacrifier lui seul et personne d'autre; mais honni, haï et incompris. Le portrait officiel de lui et d'Harrow, symbolisant ses nobles actions et le bien qu'ils ont pu faire, a brûlé dans l'incendie du château. Aux yeux de l'histoire, Viren restera le traître. Le Méchant Conseiller, le Jafar, le Richard III, le Iago, le Scar.
Personne ne verra son sang qu'il fait couler sur le sol de la chambre d'Harrow.
"En tant que roi", dit Harrow, "j'ai essayé d'être altruiste. Mais en tant que père, j'ai un souhait très égoïste." Et il est mort de façon égoïste.
Viren a passé sa vie à être égoiste sans même le savoir. Pour la première fois, il est altruiste. Il meurt non en habits de cour mais en haillons, non en héros porté aux nues mais en traître. Soren ne saura jamais ce qu'il a fait pour lui enfant, il ne veut pas que sa mort le hante.
Servants of the realm indeed.
Pour conclure, une citation de Kaamelott :
"Je pars pas sans bandages ! Si on croise un gamin, j'veux pas qu'il tombe dessus. Je suis le Roi Arthur. Jamais je perds courage. Je suis un exemple pour les enfants."
#tdp#tdp kaamelott#the dragon prince#the dragon prince season 6#tdp harrow#tdp viren#tdp king viren#oui viren est un roi infiniment plus méritant que ce petit con d'ezran#merci jean-baptiste anoumoun et emmanuel curtil pour les travaux#tdp analyse#le prince des dragons#le prince des dragons saison 6#virrow#tdp king harrow#harrow the dragon prince#viren the dragon prince
14 notes
·
View notes
Text
Eté 1928 - Champs-les-Sims
1/2
Cher Lucien,
Je suis ravie d'apprendre que tu as un projet. Je ne sais pas vraiment pourquoi, mais je m'étais toujours imaginé Hylewood avec un petit ponton comme il y en a à l'étang près de chez moi. Mais c'est vrai qu'avec en plus un sanatorium qui affiche complet à la belle saison, il semble plus correct que les malades n'aient pas en plus à subir un voyage en barque et de se retrouver avec la moitié de leurs affaires humides ou trempées. C'est une belle idée que tu as eu, et j'espère que tu pourra m'envoyer un cliché une fois que le projet sera réalisé. J'ai bien entendu respecté tes voeux et personne ici n'est au courant à part moi. Je n'en ai même pas parlé à Antoine ni à Ange.
Le voici d'ailleurs sur la photographie jointe. Il est avec Elisabeth, dont on voit bien les tâches de rousseurs. Pardonne moi pour la lumière, mais quand il s'agit de photographier, je ne suis pas aussi douée que ma mère. Le cliché a été pris à peine quelques jours avant que je n'envoie cette lettre, donc il est très fidèle à ce qu'est ma cadette encore aujourd'hui, au moment où tu la découvre. Pour répondre à ta question, elle babille plus qu'elle ne parle, mais Grand-Mère dit qu'elle a rarement connu une petite fille si bavarde.
A ce sujet, non elle ne va pas très bien. Elle est encore assez fatiguée, et le moindre petit refroidissement la cloue au lit pendant des jours. Cependant, ses problèmes de mémoire ne se sont pas aggravés. Mais nous la connaissons tous, elle revient toujours en forme et même au seuil de l'épuisement, elle parvient toujours à se trainer jusqu'à la nursery par la seule force de sa volonté pour me dire que je lange très mal.
#lebris#lebrisgens5#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#eugénie le bris#Arsinoé Le Bris#Lucien Le Bris#Ange de Chastel#Elisabeth Le Bris de Chastel#Marc-Antoine de Chastel
9 notes
·
View notes
Text
Draco Malfoy avait toujours eu ce qu’il voulait et il en avait conscience. Il était privilégié par sa position d’héritier, de fils unique, d’enfant voulu et chéri par ses parents. Privilégié par la nature même, par sa beauté, par son intelligence. Il savait qu’il faisait énormément d’envieux. Qu’y pouvait-il ? Il était né comme ça. Une cuillère d’argent dans la bouche. Littéralement, qui plus est, car il ne se souvenait pas d’un repas familial sans que l’argenterie ne soit sortie.
Que penserait Harry de l’argenterie ? Draco n’était pas aveugle, loin de là. Il avait remarqué les tenues usées du fleuriste. Sa maigreur qui peinait à être corrigée. Son âge. Draco avait demandé à Luna Lovegood depuis combien de temps Harry travaillait pour sa mère, atterré d’avoir tant de fois manqué le bel homme durant ses achats express. Mais fort heureusement, cela ne faisait que quelques mois lorsqu’il s’est rendu compte de sa présence. Cela faisait donc trois ans, à présent. Et s’il avait été embauché à 22 ans, il n’avait sûrement pas fait d’études. Son travail n’était définitivement pas un temps partiel et lorsque Draco parlait de ses examens, Harry ne renchérissait jamais sur les siens. Tous ces éléments ne menaient qu’à une seule conclusion : il était pauvre. Draco irait jusqu’à dire qu’il était plus pauvre que la moyenne, même si ça ne changeait rien à ses yeux.
Il y avait longuement pensé. Très longuement.
Mais presque trois ans plus tard, le fait demeurait : il était diablement attiré par Harry Potter. Tout lui plaisait. De sa beauté sauvage à sa folle impertinence, de son habilité à son talent de composition. Draco en voulait plus. Qui sait, peut-être qu’une fois en rendez-vous, il découvrirait des aspects de Harry qu’il n’aimait pas et il cesserait d’être obsédé par le fleuriste. La sensation de sa peau rugueuse lui revint en mémoire malgré les mois qui le séparaient du 31 juillet. C’était la première fois qu’il avait baisé une main aussi sèche. Rude.
—Tu es bien pensif, nota sa mère.
Elle se déplaça gracieusement à ses côtés, admirant à son tour le sublime jardin à la française à travers les baies vitrées. Il hésitait à lui en parler. Elle n’avait pas été désappointé en apprenant qu’elle n’aurait jamais de belle-fille et son père s’en était également vite accommodé. En revanche, ils s’attendaient clairement à un riche parti. Un Blaise Zabini, un Théodore Nott. À la limite, un Neville Longbottom. Ce serait un déplaisir, mais cela resterait un parti convenable pour un Malfoy.
Un Harry Potter, fleuriste, sans le sou ? L’affaire s’annonçait mal. Ce n’était pas pour rien que Draco, sûr de lui et tellement habitué à obtenir ce qu’il voulait qu’il n’avait guère de patience, avait pourtant patienté plus de deux ans dans l’espoir que son attirance se fane d’elle-même. Mais il devait se rendre à l’évidence : loin de s’étioler, il devenait de plus en plus attiré Harry. Ce n’était plus seulement pour ses yeux d’un vert presque surnaturel, pour son sourire tordu ou pour sa silhouette qui ne demandait qu’à être découverte. Plus encore, c’était pour sa facilité à le faire rire, à le surprendre, à renchérir intelligemment à chacune de ses boutades que Draco était irrémédiablement sous le charme.
C’était décidé, il inviterait Harry Potter à un rendez-vous. Avec un peu de chance, il serait déçu, son attirance s’effondrerait d’elle-même et il trouverait un bel homme riche que ses parents approuveraient.
Il le fallait.
—Sûrement. Mais l’objet de mon trouble n’est pas digne de votre intérêt, mère. Il n’y a guère d’inquiétude à avoir.
Narcissa Malfoy lui jeta un regard acéré. Un regard tellement Black que Draco se sentit immédiatement recomposer son masque d’aristocrate.
—Pourtant, je ne me sens pas sereine. Peut-être voudrais-tu me confier l’objet de tes pensées, afin d’apaiser la mère inquiète que je suis ?
—Je vous assure, tout va bien. Je ne désire guère m’appesantir sur le sujet. Toutefois, soyez certaine que je viendrais à vous si le problème persiste.
Elle le détailla longuement avant de reporter son regard sur le jardin.
—Fais attention à toi, Draco. Nous serons toujours là pour toi.
J’ai comme l’impression que je vais vite tester cette assertion.
—Je sais. Je vous aime.
—Nous aussi, Draco. Nous aussi.
Et elle sourit, de ce sourire tendre et maternel qu’il était le seul à connaître.
Faites que Harry Potter soit décevant, par pitié.
*
Il n’était pas décevant, il était désespérant.
Frustrant, irritant, irrémédiablement chiant et incroyablement attachant. Merde.
Premier signe que cela s’était mal annoncé pour Draco Malfoy : avant d’entrer dans la boutique, il avait été légèrement angoissé. S’il fallait être parfaitement honnête avec soi-même, Draco avait été à deux doigts de faire demi-tour tant il avait eu peur, mais il était hors de question de se l’avouer, même à soi-même. Il était donc entré, les mains légèrement moites et le cœur battant la chamade.
Les autres signes s’étaient succédés : Harry avait été accaparé par un client, c’était madame Lovegood qui était venu le voir. Il avait dû refuser son aide, gêné, car il voulait parler à Harry. Le sourire moqueur sur le visage de cette femme était quelque chose qu’il voulait oublier de façon définitive. Il ne l’inviterait définitivement pas à leur mariage.
Wait, what ?
Concentre-toi !
Harry enfin devant lui, le cerveau de Draco s’était mis sur pause. Il avait été extrêmement tenté de faire mine de rien et d’acheter un quelconque bouquet avant de prendre les jambes à son cou. Finalement, il avait enfin eu le courage de se jeter à l’eau et demander un rendez-vous à Harry — sans bégayer, s’il vous plaît — quand Harry avait eu l’audace de refuser.
Oh, le pauvre bougre. Draco avait oublié un léger détail : Harry était incapable d’accepter quoi que ce soit. Foutu connard. Draco s’était tardivement rappelé la peine qu’il avait eu à acheter un bouquet à Harry pour son anniversaire.
Alors maintenant, entre une allée de tulipes et une autre de bégonias, il avait en face de lui un fleuriste rougissant plus têtu qu’une mule.
—Tu mens, déclara posément Draco.
Il était intérieurement très loin d’être aussi calme qui le prétendait.
—Non, répondit brièvement Harry entre ses dents en détournant le regard.
C’était le plus mauvais menteur de la planète. Même un enfant de trois ans mentait mieux que ça.
—Si. Je sais que tu es attiré par moi, tout comme je le suis par toi. Et tu es officiellement bisexuel, donc je te le redemande : pourquoi refuses-tu mon rendez-vous ?
Draco commençait à avoir une petite idée du problème.
—Je n’ai pas de temps à te consacrer.
—Trouves-en.
Effaré par ce culot, Harry lui jeta un regard noir qui était immédiatement démenti par ses prunelles brillantes d’amusement et son petit sourire.
—Tu es l’audace incarné, Malfoy. Pourquoi voudrais-je faire cet effort ? Tu ne m’intéresses pas. Accepte mon refus et va voir ailleurs si j’y suis.
—C’est un compliment que l’on me fait souvent. Qu’as-tu à faire de plus important que passer du temps avec moi ? se moqua-t-il en retour.
—Une sieste. La vaisselle. Une lessive.
—Faisons cela ensemble, alors.
Interloqué, Harry resta un moment sans voix avant de rire, légèrement hystérique.
—Alors toi…Non, certainement pas. Je n’en reviens pas. Qu’est-ce qui t’intéresses donc tant chez moi ?
Tout, bordel.
—Tes vêtements propres, apparemment.
Harry roula des yeux.
—Dit-il en allant probablement au pressing toutes les semaines…
—Mieux, j’ai un employé. J’aimerais que tu le prennes en stage. Tu aurais sûrement beaucoup à lui apprendre.
—Oh, c’est donc un rendez-vous professionnel que tu me proposes ?
Les yeux verts brillaient de malice. Il rayonnait d’humour et de tendresse. Draco ne s’en lasserait jamais.
—Oui. Tu dois bien connaître tes futurs employés, quand nous vivrons ensemble dans une immense maison de compagne avec trois chiens, deux chevaux et six chats.
Harry entrouvrit les lèvres avant de les refermer, les joues à nouveau rouges. Niveau carnation, Draco espérait s’en sortir mieux.
—Woah. Je te savais ambitieux, mais je te découvre visionnaire.
—Je suis un homme aux multiples talents. D’ailleurs, j’ai une autre vision : toi, acceptant ma demande de rendez-vous.
—J’ai toujours détesté les voyants. Je vais donc refuser.
—S’il te plaît…?
C’est la technique qui avait le mieux fonctionné le 31 juillet. Comme s’il avait conscience de sa faiblesse, Harry le fusilla du regard mais peinait à réitérer son refus. Draco sentait que ses réserves n’avaient rien à voir avec lui et tout à voir avec l’aspect monétaire, donc il poursuivit. Ça faisait plus de deux ans qu’ils se tournaient autour, après tout. Il n’allait pas abandonner maintenant.
—Un simple dîner. Je paye, je n’attends rien de toi, d’aucune façon.
—Je sais, mais non.
—Un café, alors ? Le Serdaigle. C’est un café-librairie très sympa.
—Non !
Devant le froncement de sourcils de Draco, Harry poursuivit :
—C’est celui de Cho. Mon ex. On est en bons termes mais je ne veux pas du tout avoir un rendez-vous galant là-bas, ce serait vraiment gênant.
Note à moi-même : ne plus jamais foutre les pieds au Serdaigle.
Deuxième note : demandez des informations à Chang.
—Un autre café ?
Harry baissa les yeux sur ses mains et passa un ongle sous un autre pour enlever un peu de terre. Ses mains étaient à des milliers de kilomètres des mains d’un Zabini ou d’un Nott. Pas soignées, griffées, tachées, abîmées, tannées par le soleil. À l’opposé des mains délicates de Draco. Il avait une folle envie de lier ses mains aux siennes.
—Et pourquoi pas une promenade ? Jusqu’à la colline d’Helga. Le coucher de soleil est magnifique là-bas.
Il a proposé quelque chose !!! OUI OUI OUI
—Marché conclu. Où se rejoint-on ?
Harry mâchouilla l’intérieur de sa joue.
—Ici, à 19h30. Ça te va ?
—Honnêtement, Potter. J’aurais accepté même si tu m’avais dis 2h du matin à la gare.
Le sourire de Harry transperça son visage.
–Mince, c’est ça que j’aurais dû faire. Je suis sûr que ce joli visage se vendrait très cher sur le marché noir.
Niveau carnation, Draco ne répondait plus de rien. Ses joues étaient probablement plus rouges qu’aucune des fleurs de la boutique.
*
Quand Draco avait aperçu Harry au loin, il avait immédiatement été intrigué. Il avait un sac à dos qui avait l’air bien chargé et des baguettes de pain sous le bras. Mais surtout, il faisait du skateboard. Harry lui avait souri timidement avant de sauter de sa planche et, d’un fort appui sur une extrémité, elle avait atterri dans sa main avec une aisance pratiquée.
—Salut.
—Salut.
Harry, comme à son habitude, comprit immédiatement la tonne de questions qu’avait Draco et en réponse, un sourire narquois chassa son air auparavant timide. Draco avait toujours été fasciné par la facilité avec laquelle Harry le comprenait.
—J’ai apporté le pique-nique. Pas grand-chose, mais…Je me suis dis que ça pouvait être chouette.
Oh, le fourbe. Il refusait les cadeaux de Draco mais lui offrait un pique-nique. Draco sourit malgré lui. Il se vengerait.
—C’est une excellente idée.
Ils se mettaient en route quand Draco ajouta d’un ton moqueur :
—Pour quelqu’un qui n’était pas intéressé, tu es très investi.
—Il faut soigner sa clientèle.
—T’es payé en heures supplémentaires pour pique-niquer avec moi ?
—Oui. Merci d’arrondir mes fins de mois.
Draco abandonna cette joute verbale pour détailler Harry et celui-ci, captant son regard, se laissa faire avec des yeux brûlants. Comme s’il se préparait au rejet et qu’il le défiait de le faire.
Mais il n’y avait aucun monde où Draco Malfoy rejetterait Harry Potter.
—Nous formons une drôle de paire, toi et moi, lâcha finalement Harry.
Draco essaya de se figurer à quoi ils ressemblaient, de loin. Un homme aux cheveux d’ébènes emmêlés, aux lunettes légèrement de travers, chemise trop large sur un vieux t-shirt à l’effigie d’un groupe de rock, sac à dos usé sur le dos, skateboard sous le bras et un pantalon de cargo taché de peinture. À ses côtés, un homme grand aux traits fins, vêtu d’un costard bleu foncé qui soulignait sa taille élégante et son teint clair.
—Tu n’as pas l’habitude d’attirer les regards ? taquina Draco en retour.
—Pas vraiment, non. J’ai plutôt tendance à les éviter.
Encore ce sourire tordu que Draco aimait tant. Mais la lueur des émeraudes indiquait une confidence. Il en prit note.
*
Bon, Draco était foutu. Il en avait pris conscience au moment même où le coucher de soleil avait fait rougeoyer les cheveux de jais de Harry et que celui-ci s’était tourné vers lui, la peau revêtu d’or solaire, pour lui adresser le plus heureux des sourires.
À présent, Draco réfléchissait à une autre façon d’inviter Harry à sortir. Comme un idiot, il n’avait pas pensé à prendre son numéro et il ne l’avait pas trouvé sur les réseaux sociaux. Néanmoins, avant de se quitter, Harry l’avait remercié pour cette soirée. C’était bon signe, n’est-ce pas ? Draco ne voulait pas se précipiter, mais chaque seconde passée auprès de Harry était incroyable. Il ne devait pas faire n’importe quoi.
Quel était le temps adéquat pour proposer un nouveau rendez-vous ? Devait-il penser à une activité gratuite, comme ce qu’avait proposé Harry ? Comment faire pour que Harry se fiche de l’argent de Draco ? S’ils étaient amenés à vivre ensemble, Draco se fichait pas mal de tout payer. Il était ridiculement riche, ce n’était pas du tout un problème.
Il se retourna et enfuit la tête dans son oreiller. Jamais, au grand jamais, il s’était autant pris la tête pour des amourettes. Au fond de lui, il savait que c’était différent. Tout, chez Harry, était différent.
Mais surtout, Harry Potter était un défi à part entière. Et Draco Malfoy adorait les défis. Il voulait résoudre le casse-tête qu’était Harry Potter pour le restant de ses jours.
Il était vraiment foutu.
11 notes
·
View notes
Text
LOVE BEYOND SHADOWS | EPISODE 4: EN FLAGRANT DÉLIT
Disponible sur TikTok: https://vm.tiktok.com/ZGeRFAbkM/
Durée : 00:04:36
⚠️SPOILER ALERT⚠️:
Histoire écrite:
Chioma a discrètement lu les messages entre Uber Eats et Travis. Sous le choc elle ne sait pas quoi faire donc elle décide de ne pas réagir directement par peur d’être frappée une deuxième fois par Travis.
Le lendemain arrive et la nuit a porté conseil a Chioma: elle décide d’attendre Loree pour tout lui expliquer et de faire comme si de rien était avec Travis. Elle lui prepare un bon petit déjeuné avant qu’il aille travailler afin qu’il ne soupçonne aucun comportement étrange venant de Chioma.
Dès qu’il est sorti de la maison, Chioma appelle directement Loree pour TOUT lui expliquer. Furieuse et intelligente, Loree lui dit qu’il faut trouver qui pourrait être Uber Eats. Ni Instagram ni Facebook n’ont aidé… « Il faut fouiller ses mails! » dit Loree. Chioma fouille dans ses mails et y trouve une ancienne réservation dans un hôtel. Dans le mail il y a écrit:
« Nous vous remercions pour votre réservation, Monsieur TRAVIS et Madame BECKY »
Elle s’appelle donc Becky …
En voyant a quel point Chioma est dévastée, Loree lui propose de prendre de l’air et de faire un tour au centre commercial, puis d’aller au coffee shop boire un cappuccino.
Au coffee shop, un homme plutôt séduisant regarde Chioma avec insistance. Il est beau mais Chioma ne le calcule pas plus que ca. Quand Loree et Chioma sont assis a leurs table, elles discutent de leurs découverte. Loree a l’excellente idée d’aller suivre Travis dès qu’il part faire son jogging.
(dans l’episode 2 Chioma doutait d’ou Travis était réellement allé même si il prétendait être aller faire son jogging)
Même si Chioma a peur de se qui pourrait se passer, elle accepte de le suivre le jour ou il fera son jogging.
2j plus tard…
Nathan, le meilleur ami de Travis, rend visite a Travis et Chioma. Ils se comportent comme des enfants malgré leur âge mais cela fait plaisir a Chioma d’avoir de la visite. La journée se passe très bien et après le départ de Nathan, le moment tant attendu arrive… Travis se prépare pour faire son jogging!
Chioma tente de lui tirer les vers du nez mais Travis ne donne aucune réponse, just un petit bisous sur la joue et… il est parti.
Chioma se précipite sur iMessage pour prévenir Loree:
Chioma: ca y est… je crois qu’il part voir Becky…
Loree: on continue mon plan?
Chioma: pas le choix…
Loree: ma belle courage, tu mérites beaucoup mieux! Prépare toi, on y va!!!!
Quelque minutes plus tard…
Chioma et Loree sont cachées derrière un buisson et ont Travis en vue. Il entre dans une petite maison…
Les filles vont devant la fenêtre de la maisonnette et Loree se précipite de prendre son iPhone pour tout filmer. Ce qu’elles y voient est choquant…
Travis qui embrasse… Becky.
FIN D’ÉPISODE
#sims#sims4#ts4#cc#alpha cc#black simmer#black sims 4#blacksimscommunity#sims 4 mods#urban cc#sims story#sims francais#sims storyline#sims fr#black simblr#black girl#machinima
41 notes
·
View notes
Text
Du coup maintenant que j'ai un peu de temps, c'est parti pour faire un petit récapitulatif de ces 3 dernières semaines!
Il s'est passé énooormément de choses pendant ma semaine au camp pour enfants avec handicap. Je vais faire des chapitres carrément.
1. L'enfant que je suivais
Il a la maladie de Duchenne. En gros des tissus adipeux se mettent autour de ses muscles. Il a du mal à se déplacer, il doit marcher lentement sinon il tombe facilement. Il peut se déplacer en chaise roulante. C'est une maladie chronique. Il a aussi un léger retard mental. Il a 11 ans.
Je me suis trop bien entendue avec lui. J'ai vu la vie complètement autrement parce que j'ai compris ce qu'était un monde pas adapté à toi. Les jeux où on devait courir c'était mort, les jeux de parcours c'était mort, le château gonflable c'était ultra difficile, rien que traverser le terrain c'était une épreuve,... Bon sinon tout le monde disait qu'il était amoureux de moi, trop chou. Il m'appelait tout le temps en criant avec sa voix aiguë. Tout le monde s'y était habitué. C'était un enfant roi, il piquait facilement des crises. Mais j'arrivais à le calmer. Sauf une fois où j'ai perdu patience et j'ai juste laisser les autres m'aider. D'ailleurs les accompagnants s'entraidaient souvent c'était trop chouette. L'année prochaine, il ne reviendra pas. Il passe au camp des plus grands. Ça va faire bizarre d'avoir un autre enfant que lui. J'imagine pas trop l'expérience avec un autre. Ça me fait un pincement au cœur rien que d'y penser.
2. Les accompagnants
Beaucoup venaient pour la première fois donc il n'y avait pas déjà des groupes partout. C'était tellement plus facile de s'intégrer du coup. C'était génial, je me suis trop bien entendue avec tous les gens. Surtout Cam, le feeling est direct passé avec elle. On se racontait tous les ragots, on restait souvent ensemble. Je me suis trop bien entendue avec son pote Pi aussi. Il est trop bonne ambi en soirée. Il est iconique, c'est un peu une chipie mais dans le sens positif. Je sais pas comment expliquer mais J'ADORE. À la fin ils m'ont dit de revenir l'année prochaine pour être le trio de pestes MDR. Puis y a Alby aussi, j'avais du mal avec elle au début parce qu'elle était toute blasée et j'avais envie de la secouer ahah mais après j'ai appris à la connaître et énorme coup de cœur. Elle est du genre à te poser une question philosophique à un moment hyper random. Elle est super spontanée et vraie. Puis un de mes coups de cœur c'était aussi PW. C'est très bizarre pcq à la base c'est le genre de gars qui m'in-su-pporte pcq il fait des blagues beaufs. Mais on est passés de ennemies to friends et au final c'est peut-être lui qui m'a le plus marqué positivement. En fait je crois qu'au début il me voyait juste comme une belle cruche et moi je le voyais juste comme un beau crétin. Au début il me taquinait, faisait des blagues sexistes, etc. Puis quand on a vraiment parlé j'ai capté que c'était juste un gars pas très fort pour montrer ses émotions, un peu maladroit avec les filles. Je lui ai dit que je détestais son côté beauf et après je ne l'ai plus jamais entendu faire de blagues sexistes. Je me suis trop attachée à lui. Nos moments à deux étaient tellement touchants. Mais ce qui m'a fait trop mal au cœur c'est que c'était son tout dernier camp. Il ne reviendra pas les prochaines années. Ça va être tellement différent sans lui.
Sinon y avait ce gars qui ressemblait au Dieu Grec physiquement et qui m'a perturbé. Je ne l'ai pas calculé le premier jour parce que je voulais me tenir loin de lui mais il est venu vers moi de lui-même le deuxième jour. On a parlé petit à petit durant la journée. Et en fait chaque soir, une fois que les enfants dorment, on fait un débrief entre tous les accompagnants puis on fait une soirée. Et on est restés ensemble toute la soirée. Il était tellement intéressant, il voyage en solo depuis qu'il a 14 ans et ça se voit qu'il en a appris des choses. Puis j'adore son caractère. C'est la définition de la force tranquille. Mais après cette soirée, quand on s'est retrouvés à deux, il m'a embrassé sur la joue. Je m'y attendais pas, c'est arrivé d'un coup. Je ne comprends pas comment les mecs peuvent se permettre d'envahir l'espace personnel de quelqu'un comme si c'était rien. Ça m'a énervée et je l'ai stoppé direct en disant que j'étais en train de construire quelque chose avec le musicien et que du coup je n'étais pas intéressée. Il a compris et a réagit normalement. Après ça, on s'est posés au coin du feu et on a continué à parler. Heureusement, y avait pas de gêne. Il m'a dit qu'il serait content qu'on reste amis maiiiis après il m'a quand-même précisé que si jamais je n'avais plus rien avec qui que ce soit, il était là. MDR. Amis mais pas trop? Par contre cette nuit était trop belle, les étoiles se voyaient parfaitement, y avait des étoiles filantes et même des lucioles. Ce que j'aimais trop aussi avec lui c'est qu'en soirée il était toujours partant pour tout, il était trop bonne ambi. C'était un peu mon pote de soirée quoi. Mais je ne l'ai vu que 3 soirs parce qu'il est parti plus tôt que tout le monde. Mais revenons un peu en arrière. Après le soir où il m'a fait un bisou sur la joue, la grosse gaffe que j'ai faite pcq je suis TROP CONNE, c'est qu'avec encore de l'alcool dans le sang j'ai envoyé un message au musicien pour lui dire que y avait ce gars qui ressemblait au Dieu Grec et que ça me perturbait et qu'il m'a embrassé sur la joue et blablabla. Je lui ai tout expliqué de la pire manière possible comme si c'était juste un pote et que ça n'allait pas avoir de conséquences. Le lendemain, le musicien était trop saoulé mais on s'est appelés et on a tout mis au clair et il m'a demandé de ne plus parler à ce gars. Ce que j'ai donc voulu faire. SAUF QU'IL ME COLLAIT TOUT LE TEMPS. Du coup on a quand-même continué à parler et je l'ai dit après au musicien. J'aime trop qu'on puisse tout se dire et qu'on puisse tout résoudre en communiquant calmement. Ça me met tellement en confiance. Je me sens vraiment en sécurité dans notre relation. Je suis trop heureuse de l'avoir rencontré purée.
Bon je vais m'arrêter là pour le récap du camp en tout cas.
(23/07/2024)
17 notes
·
View notes