#à la fin de l’été
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Très beau roman de la jeune croate Magdalena Blazevic.
Elle s’attache à raconter la vie fauchée par la guerre qui déchira la Yougoslavie dans les années 90, celle d’Ivana, quatorze ans, qui vivait son dernier été sans le savoir.
Le livre est très poignant car il explore d’un côté la beauté de la vie rurale, la nature, les fleurs, les recettes, les petits gestes du quotidien mais aussi leur rugosité, les corps des uns et des autres, pas toujours pimpants, parfois usés, malades, mais les embrasse dans un regard joyeux, heureux, non pas insouciant mais souriant, à hauteur d’enfant ; de l’autre côté, le récit adopte une étrange narration, en se faisant tout à la fois surplombant, comme un caméra qui viendrait du ciel et zoomerait sur des scènes, des détails, et en même temps intérieur à la conscience d’Ivana qui perd la vie. La narration nous invite à visiter les lieux de bonheur, à observer les angéliques, les myrtilles, les bois usés et poussiéreux d’un rebord de fenêtre, et également, des bouts de scène, épars, des éclats de violence qui tuent la toute jeune fille, puis les conséquences de ce deuil insupportable pour sa famille.
Ce va-et-vient constant entre beauté, simplicité et horreur quasi muette crée un effet efficace dénonciation implicite de l’absurdité des conflits et suscite une émotion forte chez le lecteur.
Il énonce assez crûment que la guerre est aussi bête et radicale que la fin d’une vie imparfaite mais pleine de bonheurs simples. On peut trouver le message simpliste, mais ce serait oublier qu’il est aussi simple que crucial. Guerre aveugle qui supprime ces joies essentielles, et invalide toutes les promesses.
Une superbe réussite qui hante, avec pudeur et force.
#magdalena blazevic#littérature#litterature#roman#livre#livres#à la fin de l’été#éditions bleu et jaune#littérature croate
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Durant l’été 2015, l’organisation Etat islamique (EI) met en scène la démolition de deux des principaux temples du site de Palmyre, dans le centre de la Syrie, suscitant une vague sans précédent de condamnations dans le monde entier. Irina Bokova, directrice générale de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco), dénonce alors « un crime intolérable contre la civilisation » qui « n’effacera jamais 4 500 ans d’histoire ».
La communauté internationale n’avait pourtant pas exprimé, durant les quatre années précédentes, une indignation comparable face aux ravages infligés par le régime de Bachar Al-Assad à l’inestimable patrimoine de la Syrie : la vieille ville d’Alep avait été défigurée, le centre historique de Homs n’était plus que ruines, le site romain d’Apamée était livré aux pillards et même Palmyre avait déjà souffert des exactions de la soldatesque, quoique dans des proportions bien moindres que sous le joug djihadiste. Ces destructions n’étaient en effet pas perçues comme une agression spécifique, mais plutôt comme une conséquence de la brutale répression par la dictature syrienne de toute forme d’opposition. Cette confusion était entretenue par le fait que Bachar Al-Assad et ses partisans, à la différence de l’EI, ne revendiquaient pas de telles destructions, perçues comme les dégâts collatéraux d’une campagne qualifiée d’« antiterroriste ».
C’est le même registre qui permet à l’armée israélienne d’atténuer l’impact des coups portés au patrimoine de Gaza, et ce en l’inscrivant dans l’offensive censée, depuis un an, conduire à la « victoire totale » contre le Hamas. On sait que cette offensive se déroule loin du regard de la presse étrangère, interdite d’accès à Gaza, et qu’elle a déjà causé la mort de près de 2 % de la population locale, ainsi que la destruction de tout ou partie de deux tiers des immeubles.
La guerre contre le patrimoine
Une telle saignée n’a pu être opérée qu’en réduisant l’enclave palestinienne à n’être qu’un bastion des islamistes palestiniens, occultant par là même son histoire plurimillénaire. L’oasis de Gaza a néanmoins été depuis la plus haute Antiquité un carrefour d’échanges entre l’Asie et l’Afrique, convoité par tous les empires qui voulaient, depuis le Levant, s’emparer de l��Egypte, et inversement. Dès la fin du IIe millénaire avant notre ère, Gaza constitue, avec quatre autres cités, aujourd’hui situées en territoire israélien, une fédération dénommée Philistie, du fait du peuple philistin qui la constitue (c’est en écho de cette Philistie que, des siècles plus tard, les Romains appelleront « Palestine » la province couvrant le sud du littoral levantin).
L’armée israélienne, qui occupe la bande de Gaza de 1967 à 2005, est bien consciente de la richesse du patrimoine de l’enclave palestinienne. Moshe Dayan, ministre de la défense de 1967 à 1974, organise même des fouilles plus ou moins sauvages pour enrichir sa collection personnelle. C’est ainsi qu’un extraordinaire ensemble de sarcophages anthropomorphes, datant des XIVe et XIIIe siècles avant notre ère, est acquis par Moshe Dayan, avant d’être cédé par ses héritiers. Il est désormais exposé à Jérusalem, dans la section archéologique du Musée d’Israël, dont il est l’un des fleurons.
Cette forme de prédation préservait malgré tout les œuvres concernées, alors que les ravages infligés par Israël à l’ensemble du tissu urbain de Gaza, en une année de bombardements, sont d’une ampleur inédite : non seulement les douze universités de l’enclave palestinienne ont toutes été détruites, totalement ou partiellement, mais la majorité des mosquées et des églises du territoire ont aussi subi le même sort, alors que certaines étaient porteuses d’une histoire pluriséculaire. La masse des débris accumulés atteint d’ores et déjà la proportion affolante de 300 kilogrammes par mètre carré.
L’inventaire d’un patrimoine bombardé
Le monde académique, entre autres en France, a multiplié les initiatives face à un tel désastre. C’est ainsi que l’archéologue René Elter a présenté au Louvre, en avril, devant un amphithéâtre comble, les actions de préservation du site byzantin de Saint-Hilarion. Un colloque a été consacré, en septembre, à Paris, au défi de la protection du patrimoine de Gaza, avec l’intervention de spécialistes de l’Ecole biblique et archéologique française de Jérusalem, engagés depuis des décennies sur ce terrain. Et un groupe d’une vingtaine d’universitaires vient, après des mois de travaux préparatoires, de mettre en ligne un « inventaire du patrimoine bombardé » de Gaza. Ce site ne cesse de s’étoffer pour offrir à la fois une cartographie des destructions, une liste de dizaines de monuments sinistrés et une fiche explicative détaillant certains d’entre eux. Des liens ouvrent par ailleurs l’accès aux bases de données pertinentes pour prendre la mesure d’une telle catastrophe.
On apprendra ainsi que l’église Saint-Porphyre, touchée par un bombardement israélien, le 19 octobre 2023, avait déjà été endommagée lors de l’offensive israélienne de l’été 2014. Ce lieu de culte grec orthodoxe, datant dans sa forme actuelle du XIIe siècle, est censé abriter la tombe de l’ancien évêque de Gaza, Porphyre, canonisé pour avoir christianisé la cité au début du Ve siècle.
D’autres fiches sont consacrées à des sites plus contemporains : les cimetières militaires regroupant, à Gaza comme à Deir Al-Balah, les milliers de tombes de soldats du Commonwealth tombés, en 1917-1918, durant la conquête britannique de la Palestine ; le siège de la municipalité de Gaza, installé en 1930 dans un quartier plus proche de la mer ; les cinémas Samir et Nasr, qui ont marqué la vie culturelle de Gaza au milieu du XXe siècle. Un tel inventaire est, à bien des égards, précieux pour apprécier la diversité de l’immense patrimoine de Gaza, au moment même où il est en train de disparaître sous nos yeux, au moins en partie.
Jean-Pierre Filiu (Professeur des universités à Sciences Po)
#article copié en entier car réservé aux abonné-es#palestine#free palestine#zionism#colonialism#racism#israel#genocide#cultural heritage#french#upthebaguette#french side of tumblr#bee tries to talk
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Printemps 1936, Hylewood, Canada (1/2)
Chère Noé,
N’as-tu pas reçu le faire-part de naissance qui t’étais adressé au printemps dernier ? Irène m’avait pourtant bien dit dit qu’un seul pour toute la famille française serait trop peu et elle m’avait enjoint à en adresser un second à la Tante Jeanne, et pour faire des économies, je n’en ai envoyé qu’un seul… Ça m’apprendra à être pingre, j’aurais dû l’écouter.
Irène a perdu les eaux à sept heures du matin le mardi 18 mai dernier, alors que nous n’avions pas l’auto puisque c’est Agathon qui la prend avec lui à Kingston. Irène (et moi !!) voulait accoucher à l’hôpital, ce qui signifiait conduire un peu moins d’une heure… Ça a été la grosse panique pour trouver un véhicule. Outre nous, il n’y a que trois familles qui possèdent une automobile. Finalement, c’est le Sergent Simmon (un vieil ami de mon père) qui a proposé de nous conduire dans son auto, car j’étais tellement paniqué qu’il devait ne pas me trouver en état. Je crois qu’Irène était plus sereine que moi… L’accouchement a été rapide et sans complications.
Notre fille Roseline vient d’avoir un an. Je serai bien incapable de te dire à qui elle ressemble le plus, je trouve cela si difficile à dire pour des enfants aussi petits ! Personne ne possède d’appareil photo autour de moi, qu’Ange prenne son mal en patience s’il veut me recruter comme membre honoraire de son club de compétition paternelle.
Quelques nouvelles du port. La saison commence alors que je suis en train de t’écrire. Depuis l’été dernier, les affaires reprennent doucement. On est loin d’être au niveau d’avant la crise, mais les visiteurs reviennent. Je t’adresserai un paiement à la fin de l’été, si les choses continuer d’aller aussi bon train, j’espère être en mesure de rembourser ma dette d’ici la fin de la décennie !
La crise n’est toujours pas passée chez nous. Je me sens un peu coupable d’être heureux dans ma vie de jeune père et de jeune marié, lorsque tant de gens souffrent de la misère et du chômage. Chez nous aussi, il y a de plus en plus de communistes, surtout dans les milieux ouvriers. Agathon rapporte que les grèves qui éclatent à Kingston sont sévèrement réprimées. Je sais que le père d’Irène a voté pour Hepburn, notre Premier Ministre conservateur, et qu’il est très hostile aux syndicats. Il est certain qu’Antoine ne l’aimerait pas beaucoup. Duplessis de l’Union Nationale, qui fait beaucoup pour l’autonomie des francophones, est pressenti comme prochain premier ministre du Québec. C’est bon pour les Canadiens français, moins pour les ouvriers.
#Tags :#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen4#Lucien Le Bris#Irène Bernard#Agathon Le Bris#Roseline LeBris#Jeanne Le Bris#Bert Simmon
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Nouveau récit de mon chemin vers le Candaulisme...
Un autre souvenir et une anecdote supplémentaire pour vous expliquer mon candaulisme :
toujours sur la route de l’Espagne...
Avant même de vous narrer la suite et la fin de la soirée avec Bob et ses amies, je voudrais devancer une étape qui n’est pas directement « mon Candaulisme » mais plutôt je pense, vous pourrez me dire ce que vous en pensez, celui des autres...
Il existe aussi et quand on est comme moi sensible et amoureux de cette pratique, de cette philosophie, on peut le voir partout et il est tout aussi important de le faire vivre, de le remarquer et d’être capable de le voir...
Aussi, nous avions prévu avec Ana, après cette nuit de folie passée avec Bob et ses amies, de faire une halte sur la route de nos vacances qui devaient nous mener en destination finale à Grenade en Espagne.
Mon amie, professeure d’Espagnol voulait absolument visiter l’Alhambra et mieux cerner les impacts de la culture Arabe en Espagne ainsi que connaître la culture Andalouse.
Moi, je suivais..., intéressé et curieux d’à peu près tout...et surtout si amoureux d’elle et de tout ce qu’elle me permettait de découvrir, avec elle, sur moi, sur les autres, sur le monde, sur le sexe...
Bref autant de choses que dans un couple « classique » il n’est peut-être pas possible d’appréhender tout autant... ?
Depuis notre Normandie natale, le chemin était long et les étapes nécessaires.
Ainsi, Toulouse, Perpignan, maintenant Tarragone, Madrid et enfin Grenade...
Cinq étapes, 1700 kilomètres environ, me semblaient tout à fait correct surtout que nous étions en vacances...
Aussi, après Perpignan, ce fut Tarragone.
Ana avait aussi choisi cet endroit car en bord de mer, nous aimions la mer elle comme moi, et avait-elle lu beaucoup d'articles intéressants concernant Tarragone. De nombreux vestiges Romains à voir, une culture de la fête (et même un Musée de la Fête) dont notamment la réalisation festive de ces pyramides humaines, plutôt des châteaux humains (tradition commune aussi avec l’Italie et essentiellement Catalane) nommé « Castelles ».
Elle voulait voir ce spectacle en réel et pourquoi pas tenter d’y participer... ?
La route fut tranquille et agréable même si la chaleur présente de ce milieu d’été nous rendait assez nonchalants l’un et l’autre et que les effets de la soirée de la veille dans cette cahute de la SNSM avec Bob et ses amies se faisaient manifestement sentir.
Ana, comme très souvent et presque toujours, surtout dès qu’il faisait plus de trente degrés, était vêtue d’une très légère et courte robe d’été qui lui allait à merveille et lui rendait moins pénible le voyage...
Nue en dessous ou plutôt sans dessous bien évidemment !
C’était notre code commun de l’été...Et , elle comme moi y veillions!!
Pieds nus et cheveux défaits, elle était superbe.
Souvent aussi, elle posait ses pieds sur le tableau de bord et je ne manquais pas d’admirer ces jambes oblongues et parfaites...
Quelques fois le tissu glissait aux confins de ses cuisses et c’était réellement un bonheur et un spectacle que de la voir ainsi...
La vitesse étant limitée à 120 kilomètres heures sur les autoroutes d’Espagne, je conduisais sans aucun stress tout en m’amusant du fait que lorsqu’Ana se positionnait comme cela et parfois même s’endormait, les camionneurs que je doublais, perchés dans leurs cabines, manquaient rarement de klaxonner, ravis de la vue que la situation pouvait leur offrir un instant en passant...
Cela réveillait immanquablement Ana, qui parfois râlait d’avoir été réveillée mais aussi me l’avoua-t-elle, parce qu’elle n’avait pas pu elle aussi profiter et jouer de l’instant et de ses incroyables et érotiques attraits.
Elle aimait réellement être le centre de l’attention et son côté exhibitionniste avéré et assumé la titillait souvent et ne me déplaisait nullement pour notre plus grand bonheur et notre complicité.
De la pointe de ses pieds au sommet de sa chevelure brune c’était une bombe sexuelle...
Un bouquet d’amour...
Une convocation perpétuelle aux agapes sensuelles et sexuelles...
Chaque parcelle de sa peau était une publicité érotique et une invitation aux pensées lubriques...Je n'avais jamais rencontré d'amis qui ne me l'ai avoué ou plus ou moins fait savoir: "Waaoooua , ta copine...!"
Pour les autres, leurs yeux et leurs comportements suffisaient à eux seuls...
À eux seuls, ses seins galbés et libres dans cette robe légère étaient une invitation à toutes les pensées diaboliques...
Alors, vous pensez, ses jambes bronzées et dénudées, sa chatte lisse juste surmontée d’un triangle soigneusement entretenu, sans parler de son cul rebondi à souhait qu’elle dévoilait parfois dans ces moments-là à ces camionneurs, stakhanovistes du bitume rarement bien considérés et rétribués, étaient un pur instant suspendu, un incroyable « butin », une chance impensable, un vrai ticket de loterie au regard des milliers d’autres personnes, femmes et hommes, que pouvaient croiser ces galériens de la route au quotidien si routinier et très certainement rengaine ...
Souvent quand je les doublais, elle faisait semblant de se pencher pour rechercher quelque chose sur la banquette arrière, assurant un flottement savant et pensé de sa robe jouant avec l’air des vitres ouvertes sur et dans sa raie marquée de son entre-fesses...
Cela n’en laissait, croyez-moi aucun indifférent!
Moi le premier... ! J'adorais tellement bander...Comme tout homme me direz-vous mais peut être encore plus depuis que je me savais Candauliste.
L’adresse de ses mains (parfois elle invitait également la mienne) titillant son écrin d’amour était réellement à voir et à admirer...
Bref , oui, elle savait jouer de ses charmes et de ses envies pour rendre fous les hommes (parfois les femmes...On venait réellement de le constater avec Clara et Laura , les amies de Bob le soir d’avant...Je vous raconterai...).
-« Le prochain routier qu’on dépasse, tu me dis et tu me réveille avant...Je vais le faire bander crois-moi...Il va payer pour les autres qui m’ont réveillée...Je vais le rendre fou...Tu resteras à sa hauteur, tant pis si ça râle derrière, et je lui ferais un striptease et le coup de la femme exhib...T’inquiète...Tu te régaleras aussi mon chéri... ! »
Je ne pouvais en douter un instant d’autant qu’on avait déjà joué à ce jeu un jour en Bretagne et que le conducteur du camion avait réellement faillit avoir un accident tant il ne faisait plus assez attention à la route, ce con !
-« Ok, promis , Bébé...! Promis dis-je en riant... »
Quelques hectomètres suffirent et j’avoue qu’elle sut y faire...
Le routier n’arrêta pas, une fois qu’on l’eut dépassé, lentement dépassé sur plusieurs kilomètres, de klaxonner, de faire des appels de phares, de mettre son clignotant pour nous indiquer qu’il voulait s’arrêter...
Mes doigts enserrés dans son con bien ouvert, humides et si délicieusement chaud, je ne pouvais de toutes manières pas m’arrêter...
Ce n’était d’ailleurs pas notre volonté ni celle d’Ana qui s’était doucement et tendrement repliée sur mes doigts encore enfouis en elle...J’étais au Anges...Elle se rendormit...
Il nous restait une centaine de kilomètres avant d’arriver à Tarragone...
Nous avions réservé un airbnb en centre-ville, il y avait un parking à proximité et c’est juste à côté de la Cathédrale, sur la place où avait lieu généralement les fêtes.
Notre hôtesse était une femme d’une soixantaine d’années magnifiquement conservée (elle devait réellement avoir été belle dans sa prime jeunesse).
Elle nous aida à nous installer, nous fit l’article des plus belles choses à voir, nous conseilla quelques restaurant situés juste à côté et d’aller regarder le spectacle de la lune sur les flots ou sur le port situé juste au bout des ramblas... :
- « Ce soir c’est pleine lune, la lune bleue, nous indiqua-t-elle dans un français quasi parfait...Elle avait été par le passé pendant quelques années conseillère économique au sein de l’Ambassade d’Espagne à Paris, ville qui me manque parfois, nous avoua-t-elle... ».
Elle avait hérité et investit dans sa ville natale de Tarragone et était revenue y vivre avec son mari la retraite arrivée depuis trois ans maintenant.
Son mari était un ancien agriculteur des environs, vivait encore à la campagne voisine le jour et venait la rejoindre chaque soir au coucher.
Elle était réellement charmante et nous indiqua de ne pas hésiter à l’appeler si on avait un quelconque besoin.
« Même dans la nuit..., ici on ne se couche pas très tôt, on aime la fête et les gens...Dommage, la fête des Castells n’a lieu qu’en octobre cette année, il faudra revenir...et il n’y a pas de répétition sur la place...La nuit sera tranquille...Vous pourrez vraiment vous reposer si vous partez demain pour Madrid. Bonne nuit ! »
Nous étions installés dans un appartement situé au deuxième étage d’un vieil immeuble du début du siècle avec une avancée sur colonne constituant en dessous un passage sous voute.
L’appartement avait été refait à neuf à l’arrivée de Consuella, c’était son prénom, et était parfait.
En face du large espace constituant la place de la Cathédrale, un petit immeuble de même taille que le notre mais de style différent semblait inoccupé ou du moins très tranquille et sans vis à vis...
Ce serait parfait, il faisait encore chaud en cette longue soirée d’été et l’air de la mer voisine pourrait sans nul doute nous apporter un peu de fraîcheur dans la nuit. Nous pourrions sans problème dormir les fenêtres ouvertes...
Ana se précipita sous la douche en rigolant, me jetant un « Prem’s » hilare...
Elle était déjà entièrement nue.
Sa vitesse à se dénuder et à être aussi à l’aise m’avaient toujours sidéré...Il faut dire qu’elle était tellement belle et naturelle. Son éducation, contrairement à la mienne y avait sûrement beaucoup participé : ses parents professeurs étaient depuis toujours naturistes convaincus et passaient leurs étés sur les plages et les camps naturistes d’alors...J’appris par eux qu’il y avait même des campings et autres installations naturistes certifiées au-dessus géographique de Montauban..., ce qui pour moi était une impossibilité physiologique tant je craignais le froid... !
Pour autant Ana et ses frères avaient été bercés par ce mode de vie et ce rapport au corps qui je l’avoue m’avait interpellé puis plutôt convaincu...
Il n’en reste pas moins que Montauban fut et est toujours pour moi, même en nos nouvelles périodes de réchauffement climatique, une limite géographique , du coup peut-être psychologique, infranchissable.
Je rangeais nos affaires et ouvrais la fenêtre de l’appartement.
J’avais également envie et besoin d’un bonne douche et je rejoignis rapidement Ana...
Quelques baisers humides plus tard, elle sortit et m’attendit assisse engoncée dans une grande serviette moelleuse sur le rebord de la fenêtre.
Elle me proposa de nous habiller rapidement et de descendre manger dans un des restaurants indiqués par Consuella :
« Une bonne nuit de repos ne nous fera pas de mal mon amour me dit-elle, j’ai envie d’être cool ce soir...Pas toi ? «
Ce qui en langage de Ana signifiait, on mange on se couche tôt, on se câline et on se repose...
Le programme m’allait bien, même si de la voir se préparer et s’habiller devant moi et me demander quelle robe lui allait le mieux après en avoir essayé quatre ou cinq, sans compter quelles chaussures, un bracelet de cheville ou pas, ... entrainait toujours pour moi et en moi un sentiment Candauliste émergent et irrépressible...
Je me serais bien jeté sur elle pour lui faire l’amour, là, maintenant, mais elle m’échappait déjà en se tournant et regagnant la salle de bain.
Elle opta pour une robe courte, droite et fendue sur le côté, style « Romaine » qui lui allait magnifiquement et ajouta ce coup-ci sans me demander, un bracelet manchette du plus bel effet sur sa beau bronzée et son bras si parfaitement dessiné.
Je pensais en l’admirant qu’elle aurait été parfaite pour une soirée Romaine et mon esprit plus que coquin se projeta même jusqu’à l’orgie...
Était-ce le passé de Tarragone, ancienne ville Romaine d’importance qui me jouait des tours ou était-ce seulement ma lubricité entretenue par notre après-midi routier et la chaleur de ce début de soirée qui emportait mon imagination ?
La conscience ou l’inconscience d’Ana de par ses jeux aussi imprévus que constants et mes propres tourments érotiques incessants devant son irradiante et sensuelle beauté me poussaient dans les retranchements du Candaulisme, je m’en apercevais de plus en plus : je l’admirais, j’étais fou d’elle, je voulais la partager, l’offrir, la montrer aux autres, à toutes et à tous combien elle était belle, désirée et désirable, ardente...
Secrètement et subitement je l’imaginais ici, jadis, Déesse ou Princesse dans son palais, offrant sa magnificence, sa présence et jusqu’à son corps à ses plus beaux serviteurs, soldats ou esclaves musclés et vainqueurs, choisis par elle et son Maître (moi ?) comme juste et inespérée récompense des exploits réalisés dans les Arènes, au quotidien à son service ou sur les champs héroïques des batailles...Peut-être même Candaule lui-même m'inspirait-il du lointain de son huitième siècle avant J-C...
Le tout serait de ne pas en mourir!
C’était aussi ma vision du Candaulisme et un bonheur que je ressentais que de la voir se préparer et s’habiller pour aller en soirée...
Plus tard, j’en fis même avec elle un rituel incontournable de nos pratiques Candaulistes, surtout et encore plus quand la soirée ou son rendez-vous devaient se tenir hors de ma présence...
J’avoue que ce sont des instants magiques permettant tellement la plongée vers l’imaginaire constituant la jouissance des protagonistes, en tout cas des Candaulistes avérés.
S’imaginer les émotions suscitées et ressenties par son élégance, sa beauté, sa prestance, ses vêtements, ses parfums, ses bijoux, ses onguents, sa lingerie... mais aussi l’instant où elle apparaîtrait aux yeux incrédules de son ou ses amants, se ferait désirer , admirer, défaire de ses parures choisies ou d’en être défaite par un ou des amants attentifs et rendus fous de désirs... ;
son retour près de moi, avec le pouvoir de me faire languir de ses récits et de son corps ;
me jeter aux yeux, aux mains, à l’esprit, la ou les différences, les effets sur sa libido, sur sa magnificence, sur son charisme, entre son départ et son retour au plus près de moi...;
être attentif aux « griffures », parfois aux "déchirures" sur ses habits ou en son âme de sa soirée.. ;
le bonheur de la voir belle et parfaite ; le plaisir de la voir revenir heureuse épanouie, comblée, confidente et partageuse dans l’attente et l’impatience de pouvoir tout aussi rapidement repartir... ;
être fier et si amoureux d’elle et de ce qu’elle m’ offre, a offert ou va offrir aux autres;
avoir ce délicieux pincement inarrêtable et si puissant dans le ventre en la voyant partir, exacerbé si puissamment tout au long de son absence avec cette impatience de la délivrance, cette inquiétude et cette douceur envahissant le corps et l’esprit quand elle vous revient...
Et pour elle la certitude d’être, si ce n’est la plus belle, la certitude de se sentir Reine et conquérante du monde...
Oui, tout cela me traversa en quelques secondes l’esprit et serait, maintenant je le savais depuis l’avoir rencontrée et parcouru ce chemin de quelques mois ensemble, à jamais en moi...
Le dîner en ville fut rapide et léger et visiblement Ana était impatiente de regagner notre gîte.
Je ne lui en tenais pas grief même si tout était propice en cette soirée à Tarragone à l’abandon sensuel des corps et des esprits, j'en étais à la fois convaincu et un peu "déçu"... Je le ressentais au plus profond de moi, comme si une « vie antérieur » me gagnait et énivrait mon esprit de souvenirs indéfinissables...
Etranges mais agréables instants même si j’aurais aimé en profiter plus longuement.
J’étais également fatigué et, rires, Ana savait toujours être convaincante...
Sa main dans la mienne quasi en permanence, ses baisers aussi soudains que fréquents, sa tendresse et ses sourires me faisaient toujours craquer ! Ils furent nombreux ce soir-là à me faire craquer...!
C’est néanmoins à la nuit que nous fûmes de retour à l’appartement de Consuela.
C’était un soir de pleine lune comme nous l'avait dit Consuela et même de lune exceptionnelle. L'éclairage de la cathédrale et des bâtiments l’entourant était magique...C’était réellement d’une beauté irréelle...Ce phénomène était appelé « lune bleue » et c’était magnifique.
Nous restâmes ainsi quelques instants à nous câliner avec Ana admirant ce phénomène et ses effets...
Ana était réellement fatiguée, m’embrassa longuement et langoureusement et parti se coucher dans le lit situé face à la fenêtre.
Je restais un peu, fasciné par le spectacle et les beautés de l’instant...
J’étais nu, nous nous étions déshabillés instinctivement comme nous aimions le faire aussi chez nous dès en rentrant.
Je pensais prendre une nouvelle douche et je croyais qu’Ana en ferait de même avant d’aller s’étendre de sa lascive beauté sur le grand lit de l’appartement loué pour la nuit.
Elle était réellement ivre de fatigue et s’était étendue en n’ayant pas la force d’aller jusqu’à la salle de bain pour me semblait-il, s’endormir rapidement...
Néanmoins, qu’elle ne fut pas ma surprise d’entendre sa douce voix quelques instants plus tard m’enjoignant à ne plus bouger d’où j’étais...
J’étais toujours devant la fenêtre, d’abord assis puis debout et légèrement de côté...
-« Waaaouaaou...Tu es trop beau chéri...Ne bouges plus , m’intima-t-elle...La lune derrière toi et en face de moi te dessines comme une ombre chinoise et rends ton corps incroyable...Hummm , j’aime tellement...Je peux voir les contours de ton corps et aussi ton sexe qui en devient incroyablement attirant...Tu sais que j’aime ton sexe chéri...Tu ne l’as jamais fait devant moi mais je pourrais te demander de te masturber...j’en ai souvent rêvé tu sais...mais trop souvent impatiente de te prendre en main et en bouche je n’en ai jamais eu l’occasion je crois...Non ?
Je l’ai fait avec quelques-uns de mes premiers amours de jeunesse, mais pas avec toi chéri...Tu pourrais le faire ? J’aimais trop les voir se toucher eux-mêmes et surtout quand ils partaient...Ce n’est pas toujours beau un homme qui se branle, rarement même, mais voir leur sexe quand il délivre sa puissance au travers sa jouissance est quelque chose d’assez unique...J’aime le ressentir dans ma main ou au fond de la gorge, mais j’aime aussi le voir...et là , toi, en ombre chinoise ...hummmm je me caresse en même temps si tu veux savoir...et tu m’excites tellement ! Chéri...S’il te plait...Fais-moi plaisir... »
Demandé comme ça, mes idées lubriques encore et toujours présentes, la situation particulière, ma libido, l’envie de faire plaisir à Ana...
Pourquoi lui refuser même si je préférais de loin le plaisir partagé au plaisir solitaire
Pour autant, le plaisir serait sans nul doute partagé ; même de loin et je connaissais les effets de sa propre masturbation dont elle m’avait, elle, offert maintes fois le si délicieux et sensuel spectacle ; chez Ana...
Ca la rendait généralement assez folle, humide et ouverte à bien d’autres aventures...
Aussi, commençais-je à me caresser...
Mon pieu se tendait rapidement comme assez souvent et j’abusais même en m’imprimant consciemment un rythme lent et appuyé...
Ma main restait ainsi assez longuement en bas de ma verge tendue à l’extrême accentuant généreusement sa dimension et son corps arqué...
Oui je bandais fort, très fort même de me "livrer" ainsi...!
C'est quelque part ce que je demandais à Ana , en tant que Candauliste, de s'offrir, de se livrer...Aussi le retour et le partage ne me semblaient anormal, loin de là...!
Ana visiblement m’accompagnait, je l’entendais au rythme de son souffle et ses commentaires m’encourageais réellement à lui donner un maximum bien qu’indirect plaisir....
Nous allions jouir ainsi...
Il en était certain... !
L’inarrêtable et inévitable arriva et nous partagions nos jouissances, tant cérébrales que physiques ...
Ce fut réellement agréable...
Je décidais d’aller enfin prendre ma douche.
Ana m’arrêta au passage pour me remercier tout en saisissant mon sexe encore durci par l’intensité de l’instant.
Je lui offris les derniers abandons de mes liqueurs...
C’était ça aussi le Candaulisme que ce partage, même à distance, du plaisir des demandes et des émotions...
Elle en imprégna délicatement ses doigts en m’assurant d’un : « Merci mon amour...Tu étais vraiment superbe...j’ai trop aimé...il faudra qu’on recommence un jour » ..., et portant ceux-ci à sa bouche pour en goûter toute la saveur qu’elle appréciait particulièrement puis me prit bouche, de sa bouche gourmande, chaude et sensuelle, venant ainsi me gratifier d’une incroyable et savante remise en condition...
Je durcis instantanément de nouveau... !
Oubliant la douche, je me jetais sur elle et en cuillère la pénétrais tout à la fois virilement et tendrement, m’installant au plus profond de son si douillet et accueillant cocon d’amour...
Nous nous endormîmes pleinement heureux et amoureux jusqu’au petit matin...
Elle fût la première à s’éveiller et se lova tendrement dans mes bras...
- « Mon chéri...Il ne nous faut pas trop traîner tu sais ce matin...On doit régler la dame pour la nuit. Je lui ai dis vers 10 heures. Et nous avons encore pas mal de route pour aller à Madrid. »
J’étais si bien et j’émergeais si doucement de mes rêves et des douces caresses d’Ana...
« Ok... Prems à la douche !" me « vengeant ainsi de notre arrivée hier soir...
Ajoutant tout aussitôt que comme ça j’aurais le temps de descendre acheter quelques « dulces » pour accompagner notre petit déjeuner...
« Ok, fit-elle, c’est toujours toi qui diriges tout de toute façon, osa-t-elle me dire tout en riant aux éclats... »
A cet instant précis, je suis sûr qu’elle devait se remémorer la fin de soirée d’hier cette « chienne » que j’aimais à la folie...
Le petit déjeuner avalé, le ménage refait, las draps ôtés et mis en boule sur le palier, c’est tout ce que Consuela nous avait demandé, nous descendîmes la voir pour la régler de la nuit passée en son bel appartement.
Son immeuble était situé juste en face de celui où nous avions passé la nuit. La Cathédrale était toujours aussi belle et majestueuse et il faisait déjà chaud...
Ana s’était paré d’une combi short en Jeans et à bretelle du plus bel effet...
J’adorais apercevoir, voir les courbes de ses seins si peu retenus, parfois même sortant, par ces bretelles larges mais capricieuses.
Comme elle ne portait pas de sous-vêtements, c’était adorable et vraiment sexy...
Surtout quant à l’aulne de la sortie d’un de ses seins de cet écrin, elle le remettait alors innocemment en place tout en le « grondant » affectueusement ...
C’était si incroyablement et redoutablement sexy et sexe pour ceux qui pouvaient en être témoins...
Rires, cela arrivait souvent !
Ana frappait à la porte...
Consuela apparut élégamment, belle et digne comme elle nous était apparue la veille en nous accueillant.
« Oh...mes amours...vous êtes déjà levés... ! Pas trop fatigués ? Pour moi aussi la nuit a été courte mais je n’ai pas la route comme vous à faire nous dit-elle. Tout s’est bien passé ? Merci beaucoup et infiniment ! »
Ana lui indiqua qu’on avait suivi ses consignes à la lettre et lui tendit l’argent qu’on lui devait.
�� -« Non, non...C’est gratuit, pas besoin, repoussant doucement la main d’Ana qui lui tendait l’argent dû »
-« Non fit Ana...Comment ça, on ne vous a pas payée en arrivant hier soir...On vous les doit... ! »
-« Non lui répondit Consuela, je vous offre la nuit, c’est gratuit pour vous... »
Ce faisant, en repoussant le bras d’Ana, elle fit involontairement sortir un sein de dessous la bretelle du combi short de ma compagne ...
-« Oh, pardon, je suis navrée...Quoique, vous êtes si beaux tous les deux...L’appartement est gratuit pour vous...Vous m’avez, vous nous avez tellement donné hier soir, mon mari vous embrasse et insiste pour ne pas vous faire payer la nuit...Oui, vous ne pouvez pas comprendre...Vous nous avez donné tellement sans réellement le savoir que le prix d’une nuit dans un appartement...Tellement plus, insista-t-elle ! »
-« Comment ça dit Ana ? Je ne comprends pas...On ne vous a rien donné...On ne vous a pas vus...Hein Chéri, qu’est-ce qu’on a donné à Consuela...dit-elle tout en saisissant délicatement son sein et en le replaçant.
-« Ca ? ça justement...Oui, ça, enfin pas tout à fait ça mais quelque chose de tout aussi beau et peut-être même plus encore que vous ne pouvez l’imaginer... »
J’avoue que le rouge commença à pourprer mon visage et que je commençais à comprendre
-« Euh...Dis-je...Vous pensez ce à quoi je pense.... ? » ayant compris avec retard ce qui avait pu se passer...Oh, pardon...Désolé si on vous a choqué... »
-« Choquée?...Consuela partit dans un rire très sonore qui enjoua Ana bien qu’elle ne comprenait pas la situation ...Non, vraiment pas choquée, ni mon mari d’ailleurs...Cela nous a rappelé bien des souvenirs...Je vous ai dit que j’étais restée en poste longtemps à Paris et que la vie y était réellement fascinante et , comment dire, plus légère à l’époque qu’ici en Espagne... Nous adorions aller avec mon mari au Moulin Rouge, au Crazy Horse, au Lido et fit-elle en baissant la voix et regardant tout autour d’elle, nous adorions fréquenter les clubs libertins qui commençaient à ouvrir à Pigalle d’abord puis un peu partout et même en banlieue... Oui, nous avons eu une riche, très riche vie sexuelle avec José mon mari et depuis notre retour ici, on en avait presque oublié toute la saveur...
Elle agitait si délicieusement et adroitement son éventail pour ne pas elle aussi rougir que cela en était touchant...
Votre spectacle à vous, très cher « Daniel ? » était de toute beauté...Merci, mille merci. Surtout que mon mari s’inquiétant que je ne sois pas couchée alors que j’admirais ce que vous offriez à mes yeux et à la place de la Cathédrale est venu me rejoindre sur le balcon d’où je vous voyais admirablement bien avec toute l’intensité de cette lune bleue, vous et votre engin dressé à merveille. Brutalement, il m’a sauvagement honorée pendant toute la durée de votre show...Ce fut délicieux...Je m’étais caressée avant seule, comme je l’imagine votre dame a dû le faire en vous regardant j'en suis sûre et j’étais prête à tous les assauts et à toutes les folies...Il y a bien longtemps que nous n’avions ainsi joui tous les deux ensembles. Confidence, je vous ai même mentalement sucé et dégusté pendant que mon mari me labourait. Oui, merci, mille merci...Aussi, non vous ne nous devez rien... Croyez-moi... On aurait payé des fortunes pour s’offrir la vue d’un tel spectacle à Paris et José ne pensait même plus pouvoir me faire l’amour sans cette pilule couleur de lune qu’on nomme le viagra... Là en quelques instants il a bandé comme à ses quarante ans et m’a défoncée contre la rambarde qui en gémissait même bien plus que moi...Oh, Dieu (elle tourna ses yeux vers la Cathédrale...) Dieu que c’était beau et bon... ! Merci...
Allez, partez maintenant, vous avez de la route »
Ana venait de comprendre tandis que Consuela d��posait un doux et tendre baiser sur son front et en prenant, la coquine, à pleine mains les magnifiques seins de ma compagne pour les masser délicatement et en faire rugir la pointe...
-« Tu as tellement de charme...J’étais bisexuelle et j’ai eu une aventure torride avec une danseuse du Crazy pendant de longue années...Il y a si longtemps et c'était si bon...José nous accompagnait et regardait ... Il aimait le bougre...J’aimerais avoir vingt ans aujourd’hui, je serais parie avec toi, avec vous en disant à José que j’allais revenir et que je lui raconterai tout comme à l’époque...Je partais deux ou trois jours, deux ou trois nuits surtout et revenais toujours vers José qui était comblé...Je vois qu’a quelques années de différences vous vivez les mêmes délire et la même philosophie de la vie...Soyez heureux mes amours...Soyez heureux...Nous l’avons été et aujourd’hui, cette nuit, vous nous avez fait revivre l’espace d’un si délicieux instant tout ce bonheur...Mille merci ! Longue et belle vie à vous » ;
Nous nous mîmes en route assez incrédules mais tellement satisfaits, fiers et incrédules.
Ça aussi c’était du pur Candaulisme et quand je repense à ces instants j’en comprends encore mieux l’intensité du partage.
Même et surtout sans contact, sans parler, défiant même le temps , de Candaule en passant par Consuela et José jusqu'à nous...
Sans presque nous voir, nous connaitre, nous avions su partager notre amour et nos pratiques pour aller jusqu’à les faire renaître chez un couple qui nous avait lui aussi indirectement ouvert les chemins vers les plaisirs et l’amour tendre, gratuit et sincère du partage...
Dieu que c’était beau ! J'en ai encore aujourd'hui des frissons et des pensées émues...
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2013 - Les bords de mer
Pendant l’été, un jour entier lui était dédié. Toute la famille déambulait à travers les rues en suivant ma Dame faire du lèche-vitrine, du shopping.
Boutique après boutique.
D’interminables heures perdues sous la chaleur de la ville. Après les multiples essayages, questions et hésitations venait la paire idéale, mettant fin à la chasse.
Récompensées d’une glace deux boules menthe-chocolat, les filles marchaient en observant de loin la plage interdite ce jour. Ce n’est qu’une fois ma Dame assise dans le canapé et les chaussures déballées qu’elle pouvait enfin s’exclamer : - Tu n’aurais jamais dû me laisser prendre celles-là.
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Printemps 1924 - Champs-les-Sims
5/10
Enfin bref, tous deux se sont vus et ont parlé de Jean. Sans moi. Je suis pourtant bien au centre de cette affaire non ? Et ils m'ont ensuite dit qu'ils n'aimaient pas Jean. De la part d'Ange, je comprends bien, car c'est dans son habitude de dire ce qu'il pense, et il pense rarement du bien des gens, surtout si il ne les connait pas. Antoine est censé être le plus réfléchi. J'ai l'impression qu'il ne comprend pas que j'ai besoin de cette relation. C'est un sorte de gilet de sauvetage quand ma vie devient trop dure, et j'ai l'espoir que tout rentrera dans l'ordre une fois que nous serons mariés en bonne et due forme.
Ce qui me surprend le plus, c'est les doutes qu'a Antoine sur le fait que Jean vient d'une famille pauvre. Je trouve ça un peu fort de la part de celui qui a ergoté durant des lignes sur des articles du journal de Jean Jaurès et qui regrette de ne pas être allé au congrès de Tour en 1920 pour entendre s'exprimer les fondateurs de la SFIC, alors que nous n'avions que quatorze ans à l'époque. Mon frère a pris sa carte au parti dans le plus grand secret, même Maman n'est pas au courant. Lui qui aime parler du manque de redistribution des richesses, je ne comprend pas qu'il puisse douter de Jean. Après tout, si nous nous marrions, ce sera une sorte de redistribution des richesses vers la classe laborieuse.
Transcription :
Jean « Non Noé, c’est une très mauvaise idée. On est encore trop jeunes. Il est encore possible d’attendre. Puisque j’ai un emploi stable, rien ne m’éloignera, et d’ici quelques années, quand tu seras majeure, on pourra se révéler et personne ne pourra nous empêcher de nous marier. »
Arsinoé « Pas même ma grand-mère ! »
Jean « Non, pas même elle. »
Arsinoé « Mais alors, comment faire pour que tu oublies ma famille au juste ? Tu en parles en permanence, mais dès que j’avance une solution, tu m’explique toujours que ça ne sert à rien. »
Jean « Il n’y a peut-être pas d’autre solution que d’attendre. Mais je suis désolé si j’en parle sans cesse. Je vais essayer de faire des efforts, pour que ça ne gâche pas nos entrevues. C’est juste que je ne parviens toujours pas à comprendre comment un garçon comme moi a pu attirer l’attention d’une fille comme toi. »
Arsinoé « Tu es beau garçon. Et pas si bête avec ça. Bien sur que je ne pouvais que te regarder. »
Jean « Je ne pensais jamais trouver l’amour en décrochant un simple travail de saisonnier, mais il faut croire que les miracles existent. »
Arsinoé « Ecoute… Je crois que je ne te l’ai jamais dit, mais je suis ravie que tu ai décidé de rester comme employé à l’année. J’avais peur qu’à la fin de l’été, tu t’en aille et tu m’oublie. »
Jean « J’aurai été idiot de partir oui ! Et si jamais je l’avais fait, je m’en serai tellement mordu les doigts que je n’aurai jamais pu t’oublier. Comment aurai-je pu épouser une fille quelconque après t’avoir connue toi ? »
#lebris#lebrisgens5#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#eugénie le bris#Arsinoé Le Bris#Lucien Le Bris#Jean Davires#Ange de Chastel#Albertine Le Bris#Marc-Antoine Le Bris
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Podcasts radio : mes ondes 2024
[post in French <3]
J'écoute de plus en plus de podcasts radio. Ils m'accompagnent pendant mes week-end, certains matins, ou (plus régulièrement) quand le ménage commence à devenir nécessaire autour de moi. Et une fois écoutés, certains ne me quittent plus.
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Tuer et mourir au nom de Dieu : Par Anaïs Kien. Pour LSD, Anaïs Kien interroge un évènement marquant de notre histoire, la Saint-Barthélemy. Ce bain de sang national commence à la fin de l’été 1572, il incarne le paroxysme de la guerre civile, l’ultra violence religieuse et le crime d’État par excellence.
Naufragés : une histoire vraie : Par Daniel Fiévet. Coupés du reste du monde sur une île déserte ou sur un radeau à la dérive, confrontés à la faim, au désespoir et à la solitude, ils ont trouvé la force de réaliser l’impossible : survivre.
L'affaire du charnier Paris-Descartes : Par Elise Karlin. En novembre 2019, l'hebdomadaire "L’Express" révèle l’existence d’un charnier au Centre du don des corps de l’université Paris-Descartes. Cette enquête journalistique marque le début d’une investigation judiciaire qui va mettre au jour d’autres aspects d'un véritable scandale politico-sanitaire.
Féminicides, la guerre mondiale contre les femmes : Par Pauline Chanu. Pour LSD, Pauline Chanu retrace le continuum féminicidaire dans le monde entier. Des féminicides conjugaux aux tueries masculinistes, des crimes “d’honneur” aux tueurs en série… Comment se maintient ce système qui autorise les hommes à tuer les femmes ?
La Voix des Invisibles : Dans cette série historique et narrative, l’historien Gérard Noiriel rappelle le rôle essentiel de 10 personnages oubliés ou méconnus, qui ont, à leur manière, été déterminants dans l'histoire de France – de Brunehaut la reine des Francs à Marthe, paysanne des Hautes-Alpes.
Paroles d'histoire : petit canard du lot, car ne provenant pas de l'usine Radio France, Paroles d'histoire est un podcast mené par un historien, accueillant ses camarades de galère pour parler de leurs sujets avec passion et beaucoup de talent (et même de l'humour ! Les nuits dans les mottes castrales sont tout de suite plus courtes!)
Mentions spéciales <3 car il en faut !
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Comment finir une guerre : reportage Arte Radio absolument magistral sur la fin de l'organisation basque ETA, et profondément perturbant (attention à l'épisode retraçant une expérience en prison. J'en suis encore tout retourné). Résumé :
En 2011, après plus de 50 ans de conflit, l’organisation basque ETA annonce officiellement la fin de la lutte armée. Au Pays basque, des deux côtés de la frontière pyrénéenne, c’est une page qui se tourne, et l’espoir qu’une paix durable puisse enfin s’installer. Mais la route est encore longue. D’abord, il faut rassembler les armes. Des tonnes d’armes, disséminées dans les campagnes françaises. Puis les rendre au camp d’en face, afin qu’elles soient détruites. Enfin, il faut asseoir les deux camps – ETA d’un côté, les États espagnols et français de l’autre – autour d’une même table. S’écouter et se confronter. S’accorder, juger et réparer. Envisager, pourquoi pas, un avenir commun.
"Le Hussard sur le toit" de Jean Giono : adaptation radiophonique superbement menée ! Première adaptation du genre que j'écoute, et je suis sous le charme !
Nouvelle-Calédonie, terre de défis : du temps long (+10h d'enregistrements datant de quelques années maintenant) pour connaître les problématiques qui entourent la présence française en Kanaky, et les derniers relans de colonialisme français qui y sont en jeu. Des échanges rares dans la radio actuelle, des problématiques qui se posent encore malgré les décennies qui nous séparent des enregistrements...Plus que nécessaire en ce moment.
#saintsaens reads 2024 edition#podcast#radio#radio france#histoire#littérature#actualités#upthebaguette
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Quelques trucs bien. Juin 2024
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode.
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme.
Enfin entendre les cigales chanter le début de l’été
Découvrir une coccinelle égarée à l’intérieur de la maison puis la libérer à l’extérieur
Prendre le temps d’une soirée entre collègues, loin de la pression professionnelle. Retrouver avec grand plaisir le Dr M. inchangée et apaisée par la retraite
Découvrir mon petit Mateo marcher à quatre pattes, monter et descendre les escaliers, se mettre à genoux derrière la porte fenêtre, essayer de dire papa maman et de faire des bisous sonores
Acheter un petit livre plein de poésie pour mon petit Mateo
Apprécier le temps de pluie pour le temps de lecture
Me faire tirer les cartes et envisager plutôt de retourner voir un psy
Rendre honneur à l’été qui se fait languir avec la fête de la musique malgré la fatigue de fin d’année scolaire
Soigner maman en essayant de la motiver pour qu’elle soit en forme pour le premier anniversaire de Mateo
Réaliser que c’est (enfin) la dernière réunion de projet d’accompagnement pour cette année scolaire
Fêter l’anniversaire de ma fille sous la pergola en apéro improvisé au Prosecco. Lui offrir des boucles d’oreilles de sa couleur préférée
Passer tout un week-end à m’occuper de mon petit Mateo. Être attendrie par les retrouvailles des jeunes parents avec leur bébé
Planter et réorganiser les plantations sur ma terrasse où il manque toujours un pot
Participer au bal guinguette des familles avec mon petit Mateo. Danser avec lui la polka et la ronde au son de l’accordéon
Être accueillie dans le jardin par un Machaon, papillon grand porte-queue
Rêver d’un baiser et me réveiller à l’érotisme
Recevoir par courrier une désignation provisoire pour être jurée à la cour d’assises du tribunal de Nice. Être impressionnée
Continuer à fleurir la terrasse avec des plumbagos bleus
Installer les canisses sur la pergola et préparer le jardin pour l’été
Échanger du sens de la vie avec mon collègue psychologue
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Taxus baccata / If commun
De la famille des Taxacées, l’if (Taxus) porte des fruits rouges à la fin de l’été. Attention ils sont toxiques (fruits, noyaux ainsi que les feuilles). Symptômes troubles digestifs, vertiges, troubles cardiaques et neurologiques graves. L’ingestion des feuilles est mortelle.
#taxus#if commun#taxacees#conifere#arbuste#fevrier 2024#botanique#horticulture#paysagisme#flore#les-portes-du-sud#@kamel#abencerages
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INDIGNE FILS
CHAPITRE 7
Cette grossesse se déroula à merveille. La main de Dieu s’était posée sur moi et cet enfant que je portais en mon sein.
Je me sentais telle Elisabeth portant le Baptiste. Ma foi me guidait, me transfigurait. Mon âme était en paix et rayonnait avec éclat autour de moi. J’étais investie d’une mission divine :
- Faire croitre en mes entrailles un enfant qui guiderait l’Amérique en attendant le retour du Sauveur.
Il était vigoureux dans ses mouvements, il bougeait beaucoup et m’empêchait souvent de trouver le sommeil. Je mettais doucement la main sur mon ventre et je lui parlais intérieurement :
« Tu seras fort mon fils, un grand destin t’attend, tu annonceras le retour du Christ. Tu seras décrié, moqué mais tu seras Victorieux. Sois fort mon fils. »
L’été s’installait sereinement sur New-York. L’heure de la délivrance approchait. Le 13 juin 1946, en fin d’après-midi, je cueillais des roses dans mon jardin. Je m’asseyais sur un tabouret car mon ventre arrondi ne me permettait plus de me pencher. Abby se tenait à mes coté afin de m’aider à me relever, une fois ma tâche accomplie. Le parfum des fleurs était enivrant et les rayons du soleil doux comme des rayons de miel.
Soudain, une douleur fulgurante transperça mon ventre et mon dos. Abby me demanda :
- « Tout va bien, Madame ?
- Oui, ça va, murmurai-je, cela va passer. »
Je restais assise, de longues minutes, incapable de bouger.
Je priais la domestique de me soutenir et de m’accompagner au salon. Elle me guida jusqu’au canapé sur lequel je m’installai péniblement. La douleur était passée, fausse alerte.
Épuisée, je me couchais de bonne heure.
À 5h15, la première contraction arriva, je me tordis sur mon lit. À 5h35, la seconde se fit ressentir encore plus intense. Il était temps d’aller à la maternité.
Je réveillais Fred :
- « Le bébé arrive.
Il sourit et dit :
- Allons-y ! »
Nous nous habillâmes, Il prit ma valise. Il m’aida à m’assoir sur le siège arrière de la voiture et il me conduisit au Jamaica Hospital Medical Center.
Tout au long du travail, cette litanie me berça :
: « J'augmenterai la souffrance de tes grossesses, tu enfanteras avec douleur. »
Enfin, l’enfant naquit, c’était un fils.
En début d’après-midi, Fred arriva. J’étais allongée dans mon lit, mon bébé contre moi. Il s’approcha et regarda avec joie ce deuxième fils. Il me dit :
- « Il faut lui trouver un prénom, que penses-tu de Joseph ?
- NON ! m’écriai-je effrayant le nourrisson qui se mit à pleurer tandis que Fred me jetait un regard stupéfait.
Je calmais mon enfant en le serrant contre moi. Il se rendormit paisiblement.
- « Non, pas Joseph, murmurai-je, Donald ?
- Donald John, John comme mon frère ? poursuivit Fred.
Je réfléchis quelques instants :
- Donald John Trump, oui cela sonne bien »
#texte court#texte libre#texte français#nouvelles#politique#politique fiction#politique américaine#viol#fiction#trump#naissance
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J’ai adoré QSMP, merci pour tous ces beaux moments, l’été dernier que j’ai passé scotchée à Twitch, ces vibes de RPZ où tu veux regarder tout le monde en même temps, quel bonheur.
Surtout et avant tout MERCI POMME pour tout ton travail, pour avoir essayé envers et contre tous d’inclure la communauté française dans le serveur, merci pour ton humour et ta fraîcheur, ta douceur, ta poésie.
J’ai le cœur brisé pour toi et pour tous ces gens qui ont travailler d’arrache-pied pour faire vivre un serveur de rêve au prix de leur santé et franchement, de leur dignité.
Merci aux petites mains, aux travailleurs de l’ombre, aux artistes, auteurs, clippeurs, memeurs, admins, merci pour tout. C’est si triste d’avoir une fin aussi amère.
De mon côté je ne suivrais plus QSMP. À regret mais sans remords.
GOODBYE EVERYONE 💖💖💖🍎🎩🧨
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Louis (partie 1)
C’est un samedi soir de juin. Je me prépare à aller au lit - who am I kidding - à m’évanouir sur mon sofa avant de transférer mon cadavre vers le lit à 3h du matin.
Je fais pourtant ma petite routine de dodo: Instagram, Hinge, Bumble, Hinge, Bumble, Hinge, Instagram. Je match avec un gars sur Bumble, probablement le plus hot que j’ai vu depuis 3 jours. Et 3 jours sur les applications, quand tu swipes en 0.1 seconde des centaines de profils à l'heure avant de dormir, c’est beaucoup de temps.
Il s’appelle Louis. Il fait du vélo et semble avoir une job payante. Intéressant. Les critères sont bas, mais les critères sont là. Et il est beau. Le regard vif, les poses candides (c’est-à-dire, pas en train de flexer dans un gym), les cheveux rasés et il semble avoir de belles mains.
Les mains, c’est très important chez moi. C’est toute l’histoire d’une amourette qui se dessine avec ces mains-là. Je regarde s’il peut me prendre là où je le veux, s’il a les doigts fins, s’il a les mains marquées par la job.
Clairement, lui c’est une job de clavier. Il semble savoir pianoter; je suis intéressée. Je sens qu’il va me divertir.
Son profil mentionne l’existence d’une blonde, mais c’est sous le couvert de la blague: « I’m actually very funny, you can ask my girlfriend ». Ça porte juste assez à confusion pour que je lui parle. Je fais ni une ni deux et lui demande ce que sa bio veut dire. Tout ça, de façon charmante évidemment; le gars n’a pas de compte à me rendre.
Il me répond qu’il est en couple ouvert.
« Shit. », ai-je pensé.
Pourquoi c’est la première pensée qui m’a traversée? Pourtant, je comprends et j’admire les personnes en couple ouvert. Ce sont des personnes qui s’efforcent de communiquer et de célébrer le bonheur de l’autre. Mais je ne connais pas le gars.
Peut-être qu’il n’a pas cette vision. Peut-être qu’il est mélangé et qu’ouvrir leur couple est le dernier recours pour le sauver. J’espère que ce n’est pas le cas. Le gars m’intéresse trop pour que je m’arrête à ça. Red flag déjà en partant? Le soir, dans le noir, c’est difficile de voir les couleurs, anyway.
Il me réquisitionne en date le soir même. Les conversations coulent déjà en textos, je suis curieuse de ce qu’il a à m’offrir en vrai. Moi, je suis en pyjama avec les cheveux gras. J’accepte, parce que ma devise de l’été c’est LFG (Let’s fucking go).
Je m’arrange une face cute-coquine-tu-m’as-pris-au-dépourvu, je me fais une couette et j’ai mon outfit d’urgence qui est propre. Les astres du sexe sont alignés.
OUTFIT D’URGENCE Définition: Un agencement vestimentaire infaillible, qui masque les complexes et met en valeur les atouts. C’est le passe-partout des vêtements. Ce outfit ressemble donc à des jeans évasés, une camisole moulante blanche et une chemise ample au tissu doux.
Il me convoque au Bar Mamie. Délicieuse place de date. J’accepte. Il est 21h, l’heure de tous les possibles. L’heure de (peut-être) frencher. L’heure de partir en bixi - avec casque - pour aller rejoindre le prince charmant d’une autre. Il y a des travaux partout, je marche plus que je roule. C’est aussi à ce moment que je commence à me questionner.
Suis-je complètement tombée sur la noix? (Cette expression) M’extirper de mon sofa pour aller en date sul’ fly - avec casque - avec un gars en couple ouvert?
Je voulais une amourette d’été, mais étais-je allée trop loin? Trop loin pour une personne pour qui je vivrai toujours en second plan? Je veux vivre en second plan, en fait. Je ne veux pas avoir la pression d’être la reine d’un autre. La couronne est trop lourde à porter pour ma tête qui ne veut pas s’engager.
Ça, c’est réglé.
Je fonce à toute vitesse - avec casque - sur Bellechasse et je tourne sur Drolet. J’approche du resto. Ma pensée à ce moment: j’espère qu’il ne me verra pas en bixi avec mon casque sur ma couette. C’est tout ce que je demande.
J’enclenche mon bixi et me dirige vers le resto. Est-ce que je peux me permettre d’être aussi séduisante qu’à l’habitude? Dois-je me garder une petite gêne pour la blonde? Trop tard pour les questions. J’entre dans le resto et il est là. Beau comme un cœur. Time to shine. Mais pas trop? On est arrivés en même temps. Il a un chandail blanc soigneusement rentré dans ses jeans et un tote bag. Il est exactement ce que j’espérais: un gars qui semble keep it together. Il n’inspire pas le chaos, je respire plutôt l’odeur d’un gars propre. Il a de la classe.
« Enchanté. Moi c’est Louis. » On se fait la bise timidement, lentement. Il me semble doux.
On verra ça après quelques verres de vin.
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Été 1930, Hylewood, Canada (1/4)
Chère cousine Noé,
J’ai mis plus de temps que je le souhaitais à t’écrire, mais comme tu t’en doutais, cette dernière année a été compliquée… La crise économique nous a frappés de plein fouet. La situation au Canada est catastrophique. L’an dernier, alors que je t’écrivais, nous n’avions pratiquement plus rien. Aujourd’hui, nous avons la moitié de cela. Les finances de la famille sont telles que Lola et Layla ont arrêté leurs études et qu’elles ont toutes les deux commencé à travailler, la première comme domestique à Brockville, la seconde à la librairie où Marie s’employait déjà à Gananoque, sous sa recommandation. Mlle Rumédier proposait même de leur faire la classe gratuitement, mais ce n’était pas le soucis… Il fallait qu’elles ramènent de l’argent à la maison. La seule qui va donc encore à l’école, c’est Gizelle, parce qu’elle n’a que onze ans et que je préfère qu’elle finisse l’école primaire avant de se mettre à travailler. Pourtant, elle aussi voulait aider…
Nous avons même dû vendre certains des vieux objets de collection que Papa a ramené de ses voyages… Autant te dire qu’il n’était vraiment pas content. Il s’y est même fermement opposé initialement, et il a fallu que Marie lui tombe dessus (avec toute la grande diplomatie dont tu la sais capable) pour qu’il finisse par concéder à ce qu’on vende certaines choses. Très honnêtement, Noé, je ne comprends pas sa réaction. Si les huissiers étaient venus, et ils menaçaient de le faire, ils auraient de toute manière saisi les possessions de Papa pour les vendre à bas prix. Puisqu’il les aurait perdus de toute manière, autant que ça se fasse selon nos propres conditions…
J’ai quitté mon poste à la CSL l’été dernier, parce que j’allais me lancer à plein temps dans la construction de mon port. Quand la crise a éclaté, je me suis demandé si j’avais bien fait. Et en fin de compte, le secteur de l’industrie qui fleurissait ces dernières années est en faillite, de nombreuses usines et manufactures ont fermé. L’activité de la CSL chuté de moitié, la compagnie a dû réduire sa flotte, et nombre de mes anciens collègues ont été licenciés… Si je n’étais pas parti de moi-même, j’aurais probablement été congédié aussi. Il y a eu tellement de changements que j’ai l’impression d’avoir vieilli d’un coup.
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen4#Lucien Le Bris#Jules Le Bris#Marie Le Bris III#Agathon Le Bris#Dolorès LeBris#Layla Bahar#Gizelle LeBris#Lucrèce Le Bris
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LE PIMENT D'ESPELETTE
🌶 Origine du Piment d'Espelette
Pour trouver des traces de ce Piment, il faut partir direction le Mexique. Les explorateurs ont certainement ramené le Piment dans leurs cales mais on ne sait pas comment il est ensuite arrivé à Espelette.
Il apparaît sur nos terres à partir de 1650.
À l’origine, il était cultivé pour remplacer le Poivre devenu très cher à l’époque. Il était déjà utilisé comme assaisonnement et pour conserver les viandes et jambons.
🌶 Une Culture Ancestrale
Autrefois, ils étaient plantés à partir du mois de Mai et peut être récoltés d'Août à Décembre.
À la fin de l’Été, les Piments étaient alors enfilés sur une corde et mis à sécher contre les façades des maisons. Une fois secs, les Piments étaient placés dans le four à pain pour les rendre bien craquants.
Ils étaient ensuite pilonnés pour les transformer en poudre.
Ce savoir-faire a traversé les années de génération en génération et n’a pas changé.
🌶 En Corde, en Poudre ou Frais
Une fois récolté, le Piment d'Espelette se présente de trois façons
• Entier et frais de couleur bien rouge. Il mesure entre 7 et 14 cm hors pédoncules. Il est plutôt destiné aux professionnels afin d'être ensuite séché et mis en poudre.
Le Piment peut être transformé en poudre ou en produits dérivés, confiture, purée, gelée...
Il n’est pas destiné à tous les professionnels.
Les transformateurs et/ou re-conditionneurs doivent être sur la zone de l’appellation.
Il y a peu de Producteurs qui effectuent eux-mêmes les transformations.
• En corde de minimum 20 piments et maximum 100.
Elle apporte toujours une touche déco dans votre cuisine mais peut être utilisée dans la cuisine.
• En poudre utilisé pour relever tous vos plats comme on peut utiliser du Poivre.
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Bienvenue à Bridgeport, dans la vie de Lola Bialetti !
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Lola est une jeune adulte engagée dans la ville où elle a grandi. Depuis son plus jeune âge elle aime participer à la vie de quartier et aider son prochain, surtout quand celui-ci est dans le besoin. Son planning est partagé entre ses répétitions le vendredi soir au Repaire de Waylon et les animations diverses qu’elle réalise pour les citoyens durant les festivals de saison.
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Ses revenus modestes ne lui permettent pas de déménager de cet immeuble, elle habite dans le quartier sud de Bridegport dans un modeste studio avec sa petite-amie. Ce n’est pas une vie de rêve mais au moins, elle se sent libre et se refuse catégoriquement à travailler toute sa vie derrière un bureau.
Lola adore plaire et draguer, elle est connue pour ses nombreuses conquêtes dans la communauté queer de Bridgeport. Depuis quelques mois, elle s’est engagée dans une relation sérieuse avec Katelyn Minossi. Elles ont récemment emménagé ensemble, mais cela demande quelques ajustements.
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L’été arrive à sa fin et Lola pensait être comblée après avoir passé son temps avec sa petite-amie et son amie de longue date, Lola Belle. Elle se pose des questions sur sa carrière professionnelle. C’est une grande virtuose vous savez, et elle joue très souvent dans des bars ou au parc (c’est d’ailleurs grâce à ça qu’elle réussit à pécho, en partie).
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Elle a rencontré Marina durant une session guitare au Parc du centre-ville. Marina travaille au spa urbain mais elle prend des cours du soir pour apprendre à jouer plusieurs instruments. Son objectif est de vivre de sa passion, la musique. Après quelques sessions musiques ensemble, Lola se demande si jouer au parc ou dans des bars gratuitement lui convient réellement.
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Après tout, elle a un loyer à payer. Kaytelin Missoni est manager du spa situé au centre-ville et est folle amoureuse de Lola. Son esprit très enfantin la rend optimiste, même dans les situations les plus désespérées. Elle ne voit pas l’écart se creuser entre elle et Lola. Après tout, elles viennent d’emménager ensemble donc tout va bien dans le meilleur des mondes.
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Aujourd’hui, mercredi 28/08/24, Journée du nœud papillon 🎀 Excellente Journée avec ou sans 👔, euh, avec ou sans nœud papillon 😉
Trois marchés le mercredi à Annecy : marché (alimentaire) de Meythet (rue François Vernex), marché (alimentaire et produits divers) du quartier des Pommaries et marché (alimentaire et produits divers) de Seynod (avenue de Champ Fleuri, place du Marché) ⌚️ De 8h à midi 🧺
Quatrième jour du festival le plus tendre de l’été : Au Bonheur des Mômes 🐄 32e édition 🎫 Pass semaine 23 €, Pass journée 6 €, gratuit -4 ans et personnes en situation de handicap, spectacles payants et sur réservation de 4 à 15 € 📆 Du 25 au jeudi 29 août 2024📍Le Grand-Bornand, Aravis ⛰️
Le Brunch du mercredi : partagez un moment convivial seul, en famille ou entre amis ℹ️ Les enfants doivent être accompagnés 🎫 3 € par personne 📆 Ce 28/08/24 de 10h à 14h au Petit Vernay (23 avenue Germain Perréard) 🍴
Olympic Breakshow (danse) : lors d'ateliers, compose la musique des JO en utilisant la MAO et crée une chorégraphie breakdance avec Antonin Hirtz de la cie Terre de Break ℹ️ Dans le cadre d'Un été culturel 🎫 Gratuit (spécial adolescents) 📆 Du 26 au vendredi 30/08/24 de 10h à 12h📍L’Auditorium Seynod 🎼
Envie d'acquérir des connaissances et aptitudes pour faire du baby sitting❓Profitez d'un atelier de sensibilisation autour du cadre légal, de la sécurité et de la connaissance de l'enfant 🎫 Gratuit (dès 16 ans) 📆 Ce mercredi 28/08/24 de 14h à 17h📍Info Jeunes (04 85 46 77 30) 🚼
8e et dernier Mercredi animé de l’été : kermesse (les enfants doivent être accompagnés d’un adulte) ℹ️ Partagez un moment convivial en famille ou entre amis 🎫 Activité gratuite proposée par la MJC Centre Social Victor Hugo 📆 Ce 28/08/24 de 16h30 à 18h📍Square Jean Chamey 🤓
Théâtre : Poil de carotte, poil de carotte (Compagnie Fenhofer) ℹ️ Dans le cadre du 6e Toujours Festival (du 20 au samedi 31/08/24) 🎫 20,90 € et 15,40 € 📆 Ce mercredi 28/08/24 à 21h📍École Alice Delean, Veyrier-du-Lac, Grand Annecy 🎭
Les Petites victoires 🎬 Profitez d'une soirée en plein air en famille ou entre amis ℹ️ Pour votre confort, pensez à apporter vos chaises, plaids et pique-nique, site accessible 30 mn avant la projection 🎫 Ciné gratuit 📆 Ce mercredi 28/08/24 de 21h30 à 23h📍Le Mas des Jacobins 📽️
Qualité de l’air à Annecy (indices ATMO) : la formation d’ozone sera plus intense avec des températures estivales 🌡 La qualité de l’air devrait se dégrader et pourrait être moyenne à dégradée sur la partie alpine 🏔️ L’axe central de la région sera le plus impacté par des niveaux d’ozone élevés avec un indice mauvais 💨
Dans la cité lacustre et ailleurs, au niveau de vos déplacements, privilégiez vélo, trottinette, marche à pied, etc. et au niveau de vos activités physiques, privilégiez les parcs, les zones piétonnes et les rues peu circulantes pour vos activités de plein air 🌬️
L’indice de risque pollinique à Annecy est moyen (niveau 2). Ambroisies, graminées, plantain et urticacées : niveau 1. Platane et saule : niveau 0 ➡️ Indice communal valable du 24/08/24 au vendredi 30/08/2024 inclus 🤧 Personnes allergiques : fumer irrite vos muqueuses fragilisées par les pollens 😷
Quatre dictons du jour : « À la saint Augustin, la châtaigne a la grosseur d’un lupin. » 🌰 « À la saint Augustin, la pluie donne du bon vin. » 🌧 « À la saint Augustin, le soleil a grillé le serpolet et le thym. » ☀ « À la saint Augustin les orages sont proches de leur fin. » 🌩
Quatre autres dictons du jour pour la route : « À la saint Augustin, on sent la fraîcheur du matin. » 👃 « À la saint Augustin, tout va bien. » 👍 « Pluie de la saint Augustin rend le sort des noix incertain. » 🤔 « Pluie fine à la saint Augustin, c'est comme s'il pleuvait du vin. » 🍷
Je vous souhaite une très bonne journée annécienne et un très bel été à Annecy, dans les 33 autres communes du Grand Annecy, en Savoie ou ailleurs 🏖️
Bon troisième jour de la semaine à tous et à toutes 🌲
Bonne fête aux Augustin et demain aux Sabine 😘
📷 JamesO PhotO à Annecy le 27/08/24 📸
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