#mâchoire
Explore tagged Tumblr posts
petitmonsieur1 · 1 year ago
Text
2 notes · View notes
philoursmars · 2 years ago
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Je reviens ENCORE une fois à mon projet de présenter la plupart de mes 55800 photos (environ).  On est en 2017 et comme ce blog est né en 2017, j’arriverai donc au bout de cette présentation.  
Marseille en juillet. Au MuCEM, il y a l’expo “Aventuriers des Mers” :
- Shen Du : “Girafe et son Gardien" - Chine, 1500
- étendard - Inde, XVIIIe s. 
- mâchoire de Carcharodon megalodon
- vizir de jeu d'échecs (= fou) en ivoire - Italie, 1100
- olifant d'Auch - Amalfi, XI-XIIe s.
- couvre-lit anglo-portugais - Bengale, 1600
-  faïences  - Valence, Damas, Izmir - env.1500
2 notes · View notes
pigeonneaux · 1 year ago
Text
Tumblr media
Let him have a fucking break or whatever
Tumblr media
224 notes · View notes
game-of-kinks · 2 years ago
Text
Tumblr media
Mâchoire de pinces Toutes les cartes sont dispo sur @tire-une-carte Bon jeu !
267 notes · View notes
xfhsfh · 2 years ago
Text
Mâchoires extrêmes xD
Tumblr media
I was walking through the toy aisle at Target when I found this thing and had a VIOLENT AND IMMEDIATE FLASHBACK to when JP first came out and they had a bunch of REALLY COOL T Rex toys that I would have sold one of my scrawny small-child limbs for but my mother wouldn’t get me one because they were “too violent and also ate people” :(
521K notes · View notes
dixvinsblog · 11 months ago
Text
Sylvain Josset - J’ai une dent cassée au fond de la mâchoire
J’ai une dent cassée au fond de la mâchoire. J’évite de mordre du côté gauche je mâche du côté droit comme l’os qui n’a qu’un œil, avec le gibet de cinq heures pour sentence, on fait cuire l’agneau d’un Pâques sans rameau, ce qui fait rire les imbécilesJ’ai une dent cassée au fond de la mâchoire, je vais taire ce que je saisTu allumes une cigarette et tu te dis que la justice est dehors le temps…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
anolis3 · 1 year ago
Text
Tumblr media
"Mâchoires d'écume", by Sara Schneider.
"Lilas restait cependant fascinée par l'éclat métallique de leur yeux qui semblaient regarder au-delà de vous. Au-delà ou au-dedans? Elle tressaillit en se remémorant les légendes îliennes à propos de ces êtres qui percent vos pensées.", from Mâchoires d'écume.
"Orga n'accorde qu'une attention minime à l'île de Vaïa. Là-bas, l'homme s'arrange si bien pour s'autodétruire qu'il est inutile d'intervenir. Lorsque la crainte de l'autre est élevée au stade d'art de vivre, lorsque la méfiance sclérose la curiosité, lorsque la porte est claquée au nez du changement sous prétexte de préserver la sécurité, alors le ver a déjà creusé profondément son nid dans le fruit.", from Mâchoires d'écume.
0 notes
fluorowce · 6 months ago
Text
preach!!!!
i'm anti incarceration but drawing kim as a white young tumblr sexyman with a strong jaw should be punishable with twelve lifetime prison sentences
64 notes · View notes
lumieresdanslacave · 1 month ago
Text
Tumblr media
casse ma mâchoire A little bed is sooo good!
30 notes · View notes
ludivinevanckerwisky · 2 months ago
Text
Sous le Regard Glacial
Tumblr media Tumblr media
Résumé :Ludivine, victime de remarques sexistes, inflige une leçon implacable à deux officiers arrogants, utilisant son calme et son autorité pour leur faire comprendre leur place.
Avertissements :Violence verbale et physiqueLangage expliciteComportement sexiste et abusif, utilisation de Ludivine pour le lecteur, relation établie entre Spencer et toi
Le commissariat texan était un bâtiment fonctionnel mais austère, ses murs chargés de dossiers et de photos.
La lumière des néons vacillait, comme si l’éclairage lui-même hésitait à briller.
L'équipe du BAU était réunie autour d’une table, chacun absorbé par les notes sur les suspects et la stratégie à adopter pour l’interpellation. Ludivine, assise près de Spencer, était concentrée, griffonnant des informations dans son carnet.
Son t-shirt bleu marine se posait parfaitement sur sa silhouette, élégante mais discrète.
Hotch expliquait les grandes lignes de l’intervention, mais l’atmosphère dans la pièce était altérée par des murmures persistants venant d’un coin sombre de la salle.
Deux officiers texans se tenaient contre le mur, la voix basse mais suffisamment audible pour que les mots cruels n’échappent à personne.
"Regarde-moi ça, petite mais bien foutue," ricana l'un des officiers en jetant un coup d’œil appuyé sur Ludivine. "Bien foutue ? T’as vu ce décolleté ? Elle pourrait te faire fondre juste en te regardant," répondit l'autre, un sourire vicieux sur le visage. "Tu crois qu’elle est aussi chaude en privé ? Avec un corps comme le sien, elle doit être une véritable bête," ajouta-t-il dans un rire gras.
Les deux hommes échangeaient des regards complices, leurs yeux s’attardant de manière dégoûtante. Spencer, qui était absorbé par ses notes, releva soudain la tête, les sourcils froncés, son regard se durcissant en direction des deux hommes.
Morgan, plus agacé, serra les poings, sa mâchoire se serrant sous la tension. Rossi échangait un regard rapide avec Hotch, qui, bien que toujours calme dans ses explications, semblait plus tendu.
Ludivine, elle, ne montrait aucun signe de perturbation, ses doigts effleurant le carnet sans se hâter.
Mais à l’intérieur, quelque chose se brisait. Les remarques n’étaient pas nouvelles, mais ce jour-là, elle n’était plus disposée à les ignorer.
Ludivine déposa lentement son carnet, ses yeux se levant vers les deux officiers qui ne semblaient même pas la remarquer, trop occupés à rire de leurs blagues dégradantes.
Spencer, inquiet, lui lança un regard interrogateur. "Ludi, qu’est-ce que tu fais ?" murmura-t-il, sa voix pleine de doute. Elle ne lui répondit pas.
Ses yeux restaient d'une calme impassibilité, glacés comme des pierres, mais Rossi, d’un regard aiguisé, perçut la lueur de violence dissimulée derrière cette façade. Il sentit le danger dans la manière dont elle se tenait, dans la froideur glaciale qui émanait d’elle, une aura mena��ante qu'elle maîtrisait avec une précision presque clinique.
Le silence qui suivit fit frissonner Morgan, qui, immobile, suivait chaque geste de Ludivine avec une attention presque morbide, conscient qu’une étincelle de pure colère se cachait derrière cette apparente tranquillité.. Elle se leva, ses pas silencieux sur le sol, presque imperceptibles.
Le parfum subtil de vanille et de pommes d'amour, qu’elle portait semblait se mêler à l’air lourd de la pièce. Les deux officiers, toujours dans leur conversation salace, ne remarquèrent rien. L’un d'eux se lécha même les lèvres, un sourire pervers se dessinant sur son visage.
Ludivine s’arrêta juste derrière eux. D’un mouvement rapide et précis, elle asséna un coup de pied puissant dans le genou de l’homme le plus bruyant. L’officier s’effondra à genoux dans un cri de douleur, les yeux écarquillés de surprise.
Il tenta de se relever, mais avant qu'il n'ait pu réagir, Ludivine s’agrippa à ses cheveux, tirant brutalement sa tête en arrière."Tu veux jouer à ça ?" dit-elle d’une voix d’un calme glacé. "Tu crois que tu sais ce qu’est une vraie femme ? Une femme qui n’a pas besoin de se vendre pour que tu la remarques, un corps qui te fait baver comme un chien affamé ? Je vais t’apprendre la leçon." Elle tira plus fort sur ses cheveux, forçant l’homme à se pencher en arrière. Il haletait, totalement à sa merci. "Regarde bien, connard. J’ai l’air d’une victime, hein ? Mais dans le fond, t’es rien. Un petit homme qui pense que le monde lui doit quelque chose. Tu as le culot de parler ainsi d’une femme ? Je vais te faire regretter de respirer le même air que moi."
L’homme était pétrifié, incapable de prononcer un mot. Ludivine se pencha, ses lèvres effleurant son oreille, son souffle glacial. "Tu es juste une marionnette, un jouet dont je vais jouer. Garde tes fantasmes pour toi, parce qu’avec ta mentalité de merde, tu ne mérites même pas de me regarder."
Elle le lâcha soudainement, le forçant à s’effondrer sur le sol, sans un mot de plus. "Si tu veux continuer à marcher, souviens-toi que le respect est la seule chose qui te permet de rester debout."
Ludivine se détourna de l’officier brisé et retourna à sa place, son mouvement fluide et naturel, comme si de rien n'était.
Elle prit son carnet avec une lenteur exagérée et recommença à griffonner. Le silence qui régnait dans la salle était presque oppressant, comme si le temps lui-même s'était suspendu.
Tous les regards étaient fixés sur l’officier toujours à genoux, sa posture soumise, et sur Ludivine, dont la présence semblait figer l’air autour d’elle. Aucun mot ne brisa l’atmosphère pesante, aucun des témoins n’avait entendu ses paroles murmurées.
Seul le frémissement d'une tension palpable se lisait dans les yeux des autres, comme si l’instant avait été suspendu entre le respect et la peur, une attente silencieuse de ce qui allait suivre.
Hotch, après un regard perçant vers les deux hommes, reprit son briefing sans un mot de plus, mais sa voix était plus froide, plus mesurée.
Morgan se pencha vers Spencer. "Elle vient de leur en foutre une bonne, hein ?"Spencer, choqué et impressionné, murmura, "C’est incroyable… Mais un peu effrayant."Morgan éclata de rire. "Les deux, mon gars, les deux."
Les deux officiers, mal à l’aise, essayèrent de reprendre leur comportement en public après l’humiliation. Mais dès qu’ils croisèrent le regard de Ludivine, tout leur arrogance disparut.
Il suffisait d’un regard pour les faire se taire, comme si ses yeux avaient le pouvoir de figer le temps.L’un des officiers tenta de sourire, mais dès qu’il croisa le regard de Ludivine, un frisson parcourut son échine. Il s’arrêta net, sa bouche se fermant instantanément.
Son collègue tenta une approche, mais à peine eut-il l’intention de dire quoi que ce soit qu’il se retrouva à fixer le sol, trop terrifié pour ouvrir la bouche.
Rossi, observant la scène avec un air amusé, murmura à Hotch : "On devrait ajouter ça à notre programme de formation. Comment faire taire un idiot avec juste un regard." Hotch esquissa un sourire discret, avant de répondre : "Je crois que ça s’appelle juste 'être Ludivine'."
Le reste de la journée se déroula dans un calme presque étrange. Les officiers évitaient soigneusement l’équipe, se repliant sur eux-mêmes après l’incident.
Ludivine avait su faire comprendre son message, et personne ne voulait se risquer à la provoquer à nouveau.
Les deux hommes tentèrent une nouvelle fois de s'excuser, mais à peine leur regard croisa-t-il celui de Ludivine, ils se turent immédiatement, fuyant la pièce comme si leurs vies en dépendaient.
Spencer s’approcha d’elle, un sourire admiratif sur les lèvres. "Je n’ai jamais vu quelqu’un faire ça avec autant de… classe."Ludivine lui répondit avec un sourire en coin, ses yeux toujours aussi perçants. "Il suffit parfois de leur montrer que sous la surface, on a des dents."
Morgan, en passant derrière eux, lança une dernière remarque : "Reid, fais gaffe, elle a un regard qui te transperce." Ludivine éclata de rire. "Ne t’inquiète pas, Morgan. Spencer sait déjà comment tenir son propre regard."
Spencer rougit à nouveau, mais cette fois, il se redressa avec plus de confiance, un léger sourire flottant sur ses lèvres.
Lorsque Morgan quitta enfin la pièce, un silence plus doux s’installa, et Ludivine se pencha délicatement vers Spencer. Elle effleura ses lèvres d'un baiser tendre, furtif mais chargé d’une tendresse qu’il avait appris à savourer.
Même après toutes ces fois — en réalité, il les avait comptées, précisément 134 moments partagés — il n’arrivait pas à se lasser de la sensation de son parfum subtil, ni du plaisir enfantin de jouer avec ses boucles indisciplinées qui tombaient parfois sur son visage.
Chaque instant passé près d’elle avait cette capacité magique de raviver la même chaleur dans son cœur, comme s’il s’agissait toujours de la première fois.
21 notes · View notes
inhuman-species · 10 months ago
Text
[3D reconstruction] [Daspletosaurus wilsoni]
On arrive bientôt au bout du travail. Impression 3d à l'échelle 1:4 pour vérifier l'articulation de la mâchoire inférieure et l'inclinaison des dents du prémaxillaire.
Soon my work will be finished. 3D printing at 1:4 scale to check the articulation of the lower jaw and the inclination of the premaxillary teeth. Follow me : https://www.facebook.com/lnhumanspecies
78 notes · View notes
mrsines · 3 months ago
Text
Il ne te mérite pas
Lilia Calderu X Reader
Le silence de la bibliothèque était seulement interrompu par le grattement léger des plumes sur le papier. Reader, le dos voûté sur un parchemin, était concentrée sur une incantation complexe que Lilia lui avait assignée. Mais ce jour-là, quelque chose d'invisible semblait peser sur ses épaules.
Lilia l'observait du coin de l'œil, son cœur battant plus fort que d'habitude. Depuis des mois, elle se surprenait à chercher des prétextes pour rester près d'elle, pour écouter sa voix ou simplement croiser son regard. Pourtant, elle savait que ses sentiments étaient voués à rester silencieux. Reader était déjà engagée ailleurs.
Mais aujourd'hui, tout semblait différent. Reader posa sa plume avec un soupir tremblant et, soudain, ses yeux s'emplirent de larmes.
Lilia se leva immédiatement, laissant de côté son propre travail. Elle s'assit près de Reader, une main légère mais réconfortante sur son épaule.
— Reader, qu'est-ce qui se passe ? demanda-t-elle doucement.
Reader secoua la tête, mordillant nerveusement sa lèvre. Après quelques secondes, elle murmura :
— Il... il m'a quittée.
La confession semblait déborder de douleur, et Lilia sentit son cœur se serrer pour des raisons bien différentes de celles qu'elle aurait imaginées. Elle aurait dû se réjouir, peut-être, mais tout ce qu'elle voulait à cet instant, c'était alléger la peine de Reader.
— Oh, mon enfant... Viens ici, murmura Lilia en l'attirant doucement dans ses bras.
Reader hésita, mais la chaleur et la sincérité du geste la firent céder. Elle se blottit contre Lilia, les larmes coulant librement. Lilia caressa doucement ses cheveux, murmurant des mots réconfortants dans une langue ancienne.
— Tu n'as rien fait de mal, dit-elle. Certaines personnes ne savent pas reconnaître ce qu'elles perdent. Mais moi... moi, je vois ta force, ta gentillesse, ton incroyable intelligence. Tu es bien plus précieuse que tu ne le crois.
Les mots semblaient résonner dans l'esprit de Reader. Elle leva les yeux vers Lilia, ses joues rougies par les larmes, mais un soupçon de soulagement visible dans son regard.
— Merci, Lilia, murmura-t-elle. Je ne sais pas ce que je ferais sans toi.
Lilia esquissa un sourire triste, retenant les mots qu'elle mourait d'envie de dire : Et moi, je ne veux jamais te perdre.
Mais pour l'instant, elle se contentait d'être là, le pilier dont Reader avait besoin. Peut-être qu'un jour, quand le temps aurait apaisé leurs blessures, elle pourrait lui avouer ce qu'elle ressentait réellement. Mais pour l'instant, tout ce qui comptait, c'était que Reader sache qu'elle n'était pas seule.
Lilia maintint son regard sur celui de Reader, ses yeux empreints de douceur et de conviction. Elle essuya une mèche de cheveux qui s'était échappée du chignon de Reader, la touchant d'une manière presque imperceptible. Un frisson parcourut le corps de Reader, mais elle n'osa bouger, comme si le moment était suspendu dans l'air, à la fois délicat et intense.
— Il ne te mérite pas, dit Lilia, sa voix calme mais ferme, avec un éclat de certitude. Quelqu'un qui ne voit pas ta beauté, ta valeur, n'est pas digne de t'avoir à ses côtés.
Reader sentit une chaleur envahir son cœur, un mélange d'émotions qu'elle ne parvenait pas tout à fait à saisir. Les paroles de Lilia résonnaient en elle, comme un baume apaisant, mais aussi comme un léger défi qu'elle n'avait pas vu venir. Un défi à se voir autrement, à ne plus se rabaisser face à la perte.
Lilia se pencha un peu plus près, jusqu'à ce que l'air entre elles semble s'électrifier. Ses doigts effleurèrent doucement la peau délicate du visage de Reader, traçant la ligne de sa mâchoire avec une tendresse infinie. Reader inspira profondément, sentant la proximité de Lilia éveiller quelque chose en elle qu'elle n'avait jamais vraiment exploré.
— Tu es magnifique, Reader, murmura Lilia d'une voix plus basse, plus intime, alors que ses yeux s'attardaient sur les lèvres de la jeune femme. Ne laisse personne te faire croire le contraire.
Les paroles étaient un souffle, une promesse presque intime, qui fit se tendre les muscles de Reader. Un frisson plus fort qu'auparavant secoua son corps. Leurs visages étaient si proches maintenant qu'il semblait que le moindre mouvement les rapprocherait encore davantage. Reader se sentit emportée par la chaleur de la situation, par l'intensité de ce regard qui ne quittait plus ses lèvres, comme une invitation muette.
Elle n'osa pas bouger, comme paralysée par la tension, par l'envie sourde et conflictuelle qui naissait en elle. Elle voulait lui répondre, lui dire que tout était confus dans sa tête, mais avant même qu'elle puisse dire un mot, Lilia posa délicatement ses lèvres sur son front. Un simple baiser, léger, mais chargé d'une émotion inexplicable.
— Reste avec moi, chuchota Lilia contre sa peau. Laisse-moi te montrer à quel point tu es précieuse.
Lilia se recula légèrement, ses mains effleurant les épaules de Reader, la laissant respirer, mais la connexion entre elles était plus forte que jamais. Reader, les yeux fermés un instant, se laissa submerger par cette étrange chaleur qui montait en elle. Elle n'avait jamais ressenti une telle proximité, une telle tendresse, mêlée à une attirance indéniable qui la perturbait.
Elle rougit légèrement, mais ses lèvres se pinçaient dans une expression incertaine, avant de s'ouvrir timidement.
— Je... je ne sais pas si je mérite tout ça, répondit Reader, sa voix tremblante d'émotions contradictoires. Mais je sais que... je me sens bien ici, avec toi.
Lilia sourit doucement, mais cette fois, il y avait quelque chose de plus dans son regard, un éclat de compréhension et de désir silencieux qui passait entre elles. Le monde autour d'elles semblait s'effacer, et seule l'intensité de ce moment, suspendu entre leurs respirations, existait encore.
tag list : @theonefairygodmother @sayresse17
13 notes · View notes
aranryan · 1 month ago
Text
Hive's Headcanons: 1st Edition, Glass Joe
(a.k.a "Fuck it, I'm joining the headcanons bandwagon! Let's make this another series!")
For a basic rundown: Glass Joe, real name "Joey Martin", is a 39-year-old boxer hailing from Paris, France. He is well-known for his excessively terrible boxing record, but actually surpasses all of his fellow boxers when it comes to popularity alone.
More info under cut!
In my headcanons, Glass Joe, despite having such a terrible record when it comes to losses and wins, is actually THE most popular fighter of the WVBA. Outside of whichever "World Champion" they're pushing at any given time, the absolute posterchild of the Punch-Out!! series is none other than the meek yet determined Glass Joe.
He started his boxing career to appeal to his family and his peers, who frequently mocked him due to his dislike of sports, nicknaming him "mâchoire de verre" (glass jaw or jaw of glass) due to how he would shield his face in recess kickball at school. Despite his lack of success as a "strong" boxer, quickly becoming a laughing-stock due to his frequent initial losses, he was soon admired for his determination and fairness, being contacted to join the up-and-coming WVBA for their at-the-time new Punch-Out!! series upon his fiftieth consecutive loss. He reclaimed his childhood nickname, proud of his progress despite his losses.
Upon Glass Joe's joining of the WVBA and their Punch-Out!! series, the WVBA's popularity began an exponential increase, which inspired the WVBA to switch their focus from typical boxing tournaments to freakshow fights, enlisting many different boxers from various social and cultural backgrounds to highlight their uniqueness in any way possible--even if that means disregarding the typical rules of boxing. The only constant in this debacle was Glass Joe, tallying up more losses to his extensive record, but all this did was fuel his already prominent popularity, extending his reputation from France to Europe as a whole, then to the entire rest of the world.
He's become this popular solely due to his longevity as a member of the WVBA and because of his perpetual "underdog" status. His fans go wild over his good-naturedness in losing, and of all the Punch-Out!! boxers to have ever been featured in matches, he has the record for the boxer with the most fanmail received.
When he's not putting on a show for his countless fans, he's treating himself to a relatively humble life free of extravagance. Despite frequently going on record in interviews saying otherwise, Joey prefers a quieter life, though he has no issue with posing in casual clothes for a photo or signing autographs. He's a very friendly and pleasant man and transparent to boot, hardly corrupted by fame and fortune despite how ironclad and lucrative his contract with the WVBA may be.
Even in adulthood he has little interest in competitive sports outside of his boxing career. He exercises via walking and jogging most of all, though he will try anything if he feels like it, from tennis to canoeing, as long as it's in a casual setting. He detests competition entirely, which is why he's so comfortable being the entry-level boxer for the WVBA's Punch-Out!! series, and why he's so unbothered about losing.
Still, his life is not all sunshine and roses. His biggest insecurity is his weight--no matter his diet or routine he has great difficulty putting on any muscle or fat, and although some prefer this build, Joe finds himself a little disappointed if he catches himself in the mirror shirtless. Nonetheless, he has no real qualms about himself, and is generally a rather happy person, though somewhat of a hypochondriac at times--any sickness, to him, is in need of immediate attention, and he frequently visits the doctor over even the most minor of health scares.
In terms of his personal life, when it comes to his gender and sexuality, Joe has little about himself to say. Though he has played up his desire for adoration by women in interviews, Joe tends to be rather pleasantly self-satisfied, and overall does not see romance as a requirement for a happy life. Still, he is not opposed, though he would likely find it difficult to settle into a family-type setting with long-term commitments--he enjoys the way his job allows him to be fickle, and would need much convincing to give that up. Much the same, he does not pay much attention to matters of gender, either, whether it be of his own or of others'--he could see himself enjoying the intimate presence of any person regardless of their identity, and he is unbothered by deviations from his birth-assigned labels. It would not be rare, for example, for one to find him lounging around at home in a casual dress, should he feel in the mood for it.
Overall, Joe is a simple man with simple needs, not lavish nor complicated. He has his secrets, but they are not ones to be pried out with titanium crowbars--he would tell them to anyone close enough to him, and the matter of close friendship with Joe is simple, with few curveballs or deceptions. He is a pleasant man and lives a pleasant life--in a vacuum, of course. Faced with other challenges, he may react differently--but that is to be seen to!
19 notes · View notes
selidren · 20 days ago
Text
Tumblr media Tumblr media
Printemps 1937 - Champs-les-Sims
1/6
Cher Lucien,
Félicitations à toi et Irène, j'ai hâte de voir votre petite Roseline sur papier glacé. Je me l'imagine parfois, et pour moi, elle m'apparait comme une adorable gamine avec une belle tignasse de boucles blondes, mais avec les traits de sa mère. J'imagine que les futurs portraits me donneront tort. Tu peux donc imaginer ma déception quand j'ai appris qu'un faire-part m'avait été envoyé, Ange en était presque aussi dépité que moi.
J'avoue avoir un peu souris en lisant ton récit de la naissance, mais n'y vois rien de malveillant. Ange paraissait bien plus inquiet que moi quand sont venues les contractions, et selon ma mère, Papa a fait une crise de panique quand nous sommes venus au monde. Grand-Mère aurait qualifié ça de "réaction typiquement masculine" en levant les yeux au ciel.
J'ai déjà adressé mes félicitations à Lola et quant à Gizelle, j'ai bien tenté d'en parler à Tante Rose. Elle a levé les yeux aux ciel en me rappelant que sa discipline consistait à ouvrir le corps des gens pour les soigner et que de telles procédures n'étaient pas recommandées pour les troubles psychanalytiques (elle a lu Freud récemment). Comme je doute qu'ouvrir Gizelle en deux soit pertinent, je n'ai pas osé insisté. Elle m'a quand même indiqué que de tels troubles étaient "délicats à traiter", ce que ton récit me laissait déjà imaginer. Passe donc mes salutations à ta soeur.
Je n'ai rien tant de sensationnel à écrire. Enfin, si ce n'est cette histoire étrange que m'ont raconté Aurore et Antoine le mois dernier. Ils sont persuadés d'être hantés... par un chat. C'est absurde, car personne n'a jamais eu de chat dans cette maison, mais ils m'ont tout les deux certifiés qu'ils avaient vu un spectre bleuâtre en forme de chat dormir sur la chaise o�� Antoine accroche ordinairement ses pardessus. En même temps, il me parait improbable qu'un greffier ait pu pénétrer ainsi dans la maison et disparaitre au matin sans laisser de traces. Selon Oncle Adelphe, Grand-Mère elle même avait raconté une histoire similaire il y a des années. Je ne crois pas vraiment aux esprits, mais je fais également confiance au jugement de mon frère, donc je ne sais pas quelle opinion me forger. Mine de rien, cette histoire de chat fantôme est aujourd'hui sujet de plaisanterie (dont mon frère se vexe beaucoup). Ainsi, quand nous ne trouvons plus quelque chose, nous disons que c'est la faute du chat fantôme. Elisabeth m'a fait même remarquer d'un air docte que ce doit être vrai, car nous n'avons jamais eu de souris, mais j'ai remarqué son petit sourire en coin. Anna, quant à elle, a voulu lui donner un nom. Cléo, qui a toujours un bon mot à la bouche, a finalement lancé : "Puisqu'on a donné mon nom à un boxer, j'imagine qu'on peut bien donner celui d'Agathon à un chat qui n'existe pas. Il ne devrait pas s'en vexer." Je lui ait rappelé que ce nom venait de Marie, ce à quoi elle a rétorqué que les deux étant toujours fourrés dans les mêmes combines, il a bien du avoir un rôle à jouer dans l'affaire.
Tu l'auras compris, j'ai plus rit que ma soeur en apprenant cette histoire. Sache que Cléo trouve la mâchoire des boxer disgracieuse au possible et qu'elle n'aurait sans doute pas émis d'objection s'il s'était s'agit d'un labrador. Plaisanterie mise à part, il faut également que tu sache que quelques années avant notre naissance, la famille possédait un cheval que Papa avait insisté pour appeler Cléopâtre. Il est donc évident, pour ma soeur en tous cas, qu'elle a été nommée d'après un cheval davantage qu'une reine égyptienne, et elle en garde une certaine rancune envers notre père.
11 notes · View notes
camisoledadparis · 3 months ago
Text
saga: Soumission & Domination 352
Nathan, l'apprenti de Julien-1
Le jeune Nathan a dû mettre le booster. Entre ses cours au lycée technique, le travail à la boutique de Julien et le sport qu'il a repris à raison de deux fois par semaine, le rythme s'est accéléré. Nos deux jeunes, Enguerrand et Max se sont investis eux aussi. Ils l'ont pris en charge dans la partie " académique ". En français, math et les autres matières générales ils le font répéter et ça donne des résultats rapidement sans que les leurs propres, n'en pâtissent. Pour la partie pro, Julien le coach au plus près. Dans le sport aussi il s'améliore et des parades, il est passé aux clés et aux prises d'attaque.
Avec Max et Enguerrand ça va aussi plus loin coté " intime " même s'il a dû faire avec Adam, le flic préféré des deux petits. D'après ce que m'en a dit Enguerrand, ça leur avait valu une explication en règle avec les deux partis. Il a fallu expliquer à Nathan la nature de leurs relations. Et même si Adam est pas mal, il a eu du mal avec son âge. Pour Adam, ça été plus facile vu que cela fait maintenant quelques semaines qu'il " pratique " mes deux petits, il a dû s'adapter à leur monde s'il voulait continuer à les voir ! Et puis il n'y a rien à jeter non plus dans Nathan !! Il n'empêche qu'ils ont quand même eu la présence d'esprit de commencer tous les trois entre eux avant de l'amener à faire l'amour avec Adam. Ce qui m'a amusé c'est le fait que Nathan m'ait demandé de l'aide pour s'épiler. Il a bien vu que j'étais le grand " ordonnanceur " de cette baraque. Ça m'a fait plaisir de l'avoir un soir pour moi tout seul pour ça ... au moins au début ! Rapidement il s'est aperçu (et pour cause, il nous a tous vu à poil) que coté pilosité, il y avait comme un air de famille entre nous. C'est pas que lui-même soit très poilu mais ses couilles et sa queue disparaissaient un peu dans un buisson. Salle d'eau du premier, je le passe sous la douche d'eau chaude et le sèche avant d'entamer l'épilation. Il voudrait comme beaucoup d'entre nous (en fait la totalité des homos et la moitié des hétéros) faire disparaitre tout sauf ses cheveux et quelques poils au-dessus de sa queue pour pas paraitre pré-pubère non plus.
Je le rassure, avec sa bite de 19cm y'avait pas de risque qu'on le prenne pour un gamin. En attendant je le couvre de crème épilatoire, enfin ses mollets, ses avants bras et ses aisselles. Il a la chance d'avoir le cul imberbe naturellement et les deux trois poils qui s'y sont égarés partent à la pince à épiler. Pour le sexe, il me fait lui raser les couilles et hésite pour le reste. Il se décide pour un tout petit triangle court, pointe en bas juste au-dessus de la naissance de sa bite. Après avoir évacué la mousse et les poils, je l'hydrate à mort. Les passages répétés de mes mains huileuses sur son corps le font bander. C'est charmant comme ça le fait rougir. Je la prends en main. Bon calibre, raccord avec la longueur de l'engin. Son sang gonfle les tissus au maximum et c'est une barre d'acier que je presse entre mes doigts. Mon autre main prend son menton et lève sa tête vers la mienne. On se regarde dans les yeux et il ne se détourne pas quand je me penche et que mes lèvres couvrent les siennes. J'y vais cool et le laisse progresser à son rythme. C'est donc lui qui, quelques secondes plus tard, ouvre ses mâchoires et sort sa langue. Petite soupe de langue qui le fait se serrer contre moi. Ça va je ne suis pas encore trop vieux pour lui !! Sa bite se presse contre ma cuisse et il passe la sienne entre mes jambes pour sentir ma queue au travers du tissu de mon shorty. Il est chaud le gamin ! Il est même un peu " frénétique ". Je le repousse pour qu'il puisse s'admirer. Il se trouve bien comme ça. Je me colle à son dos, mon bassin collé à ses fesses pour qu'il sente bien l'effet qu'il me fait, je passe mes bras autour des siens, le serre contre moi et l'embrasse dans le cou en remontant vers son oreille droite. C'est lui qui me demande de lui faire l'amour. J'aime la façon de dire ça, c'est quand même plus romantique que " baise-moi ". Il glisse entre mes bras et se tourne en se baissant. En passant il descend mon shorty et embouche ma bite. Pas mal le mouvement et surtout la pipe qui en résulte. Je le sens qui s'applique. Manque un peu de spontanéité tout ça ! Je le relève et on se refait une pelle. Quand je l'écarte de moi, il ne sait plus où il habite c'est sûr. Il retombe à mes pieds et recommence sa fellation. Elle est nettement meilleure ! Il en prend plus de plaisir aussi j'en suis sûr. Ma bite est d'une raideur de pendu ! Mais la sienne n'est pas en reste non plus. Quand je le redresse à nouveau c'est dans le but de tester une autre partie de son anatomie interne. Un petit bisou et je le plaque, face contre le carrelage. Il écarte les jambes de lui-même. C'est à mon tour de tomber à genou et d'aller vérifier qu'il ne reste pas de poil disgracieux autour de sa rosette. Et rien de mieux que la langue pour le faire. Effet collatéral, ses passages répétés ont l'air de faire monter la température du jeune homme. Une vérification s'impose et j'arrive à entrer ma langue d'un bon cm. Effectivement il est chaud ! Je me redresse et en profite pour enfiler une kpote. Quand je presse mon corps contre le sien, il me souffle de l'enculer. Difficile de résister à une proposition pareille (même si je n'en avais jamais eu l'intention...  de résister).
J'ajoute quand même du gel à celui déjà présent sur le plastique et pose mon gland sur sa rondelle. J'appui doucement. Il s'ouvre. Je prends mon temps. J'enfonce lentement mes 20cm. Il souffle de temps en temps quand je sa rondelle se contracte. Quand je suis complètement en lui, je reste sans bouger. Mes bras passés sous les siens, mes mains sur ses épaules, je le tire une fois vers le bas pour m'assurer du fait. Il tourne alors la tête et me tends ses lèvres. Donc petite pelle ! Je baise son cul, non ! Je lui fais l'amour. Il faut être délicat avec nos jeunes et en plus c'est plus ça que la première assertion. Je sens son bassin se décoller du carrelage pour venir au-devant de mes coups de rein. Il se cambre et je peux mieux l'enculer comme cela. Je m'arrête et lui demande, un peu, non, très hypocrite, s'il ne devrait pas être avec ses nouveaux amis. Réponse de l'intéressé " non, vas-y, ils savent que je suis là et ils étaient les premiers à me pousser dans tes bras ". Au moins c'est clair ! On finit donc ce que nous avions commencé. Il est très bon ce petit, tout à fait dans la lignée de Max et Enguerrand. Je comprends mieux pourquoi ils s'entendent aussi bien tous les trois. Il est venu en scooter mais je le reconduis en voiture, il reprendra son véhicule demain puisqu'il y a sport. Il n'est pas à l'aise dans la 300SLS. Je lui dis de se détendre, c'est pas une pièce de collection non plus. A l'arrivée je descends dire bonsoir aux garçons. Julien attendait son apprenti et quand je le lui rends, je lui dis qu'il est maintenant aussi " beau " que nous. Rires de tous sauf de l'intéressé qui rougit encore une fois. Second le taquine qu'ils doivent vérifier ça. Nathan relève ses manches pour montrer ses avant-bras glabres. Second l'attrape et lui dit que c'est pas suffisant, qu'il est sûr que je ne me suis pas arrêté à ça. Ça tourne au jeu et il finit en slip devant nous. Julien tire l'élastique et découvre le mini triangle subsistant. Il tire un peu plus et le fait trébucher sur lui. Il le serre dans ses bras et lui sort un " bienvenue au club " puis il lui claque un bisou sur la joue. Nathan se sauve en ramassant ses vêtements. Julien et Second me remercient de ce que j'ai fait pour leur " petit ". J'efface ça d'un revers de main et rentre au blockhaus. Pendant le retour un message m'arrive de Nathan : " Merci pour tout et surtout " tout ". Je sais que Max et Enguerrand vont être fou de joie ".  Dès l'arrivée je les appelle. Evidement ils sont collés ensemble. Je les engueule que je ne suis pas là pour satisfaire à leurs élucubrations d'ados en surcharge d'hormones. Je les entends rires comme des fous à ma sortie. Ils me raccrochent au nez en me disant à demain.
Mardi soir : Les " sportifs " arrivent les uns après les autres ou en couple. Adam est des nôtres ce soir-là. Il est juste au courant que ses deux petits mecs ont une surprise pour lui. Je me doute bien de celle-là mais je les laisse se débrouiller tous seuls. Ils arrivent en même temps et partent aussitôt se mettre en tenue. Ils reviennent et sautent au cou d'Adam qui les questionne. Je m'éloigne commencer mes exercices. Un peu plus tard arrivent Second et mes deux " charcutiers-traiteurs ". Adam comprend tout de suite à la réaction de ses deux " petits amis ". Il n'est pas flic pour rien ! Et au fait que Nathan leur roule un patin alors qu'il n'a fait qu'une bise aux autres. Je le regarde de loin. J'ai bien l'impression qu'il est résigné et qu'il croit que ses deux amoureux vont le larguer. Il a compris mais de travers. Tel que je connais mes petits c'est plutôt un ajout dans leur trio qu'ils comptent essayer de faire passer. Je continue à regarder de leur côté pour voir comment ils vont s'y prendre. En fait ça été très simple. Max et Enguerrand lui ont présenté Nathan et lui ont dit qu'il va kiffer d'avoir maintenant trois petits mecs plutôt que deux. Puis ils sont partis faire travailler Nathan qui a quand même un peu de rattrapage à faire pour égaler le niveau général.
Adam est venu vers moi un peu déboussolé. On s'isole dans la piscine du second. A ce moment de l'entrainement il n'y a encore personne dedans. Il m'explique le coup que lui ont fait Max et Enguerrand. Il ne comprend pas. Je lui explique qui est Nathan, ce qu'il fait et d'où il vient (étude et mental). Je lui dévoile, mais ça il s'en doutait, que les deux petits ont déjà gouté à son fruit défendu. Mais aussi qu'ils m'ont confié qu'ils espèrent bien que cela ne mettra pas un terme à la relation privilégiée qu'ils ont avec lui, leur flic préféré. Pendant une bonne demi-heure, il avance des arguments pour tout arrêter. Pendant ce même temps, je contre et les démonte un par un. Finalement je demande à PH de me chercher les trois autres protagonistes de l'affaire. On se retrouve à 5 dans l'eau. C'est sûr qu'en maillot de bain, Nathan a des atouts qui font réagir Adam. Moi-même je ne reste pas insensible ! Grosse explication qui se termine quand Nathan prend Adam dans ses bras et qu'il lui roule un patin interminable ! Je sors alors de l'eau et les laisse. Je n'ai pas terminé ma séance moi ! Nous retrouvons le nouveau quatuor au moment des douches. A leurs têtes à tous les 4, je pense que le problème est réglé. C'est d'ailleurs le cas quand, alors que Second et Julien vont pour rentrer chez eux, Nathan les informe qu'il ne les rejoindra que demain matin.
Mercredi matin : Je réveille Nathan à 6h. Il doit être chez julien pour 7. Je profite qu'on ne soit que tous les deux devant un café pour lui demander si ça allait. Réponse " trop bien ". Dans la voiture, alors que je le reconduis (tant pis pour le scooter) il me dit qu'il avait craint d'être obligé à n'être que passif à cause d'Adam, mais que cela n'avait pas été le cas. Ils avaient fait l'amour sans se soucier de qui recevait qui dans sa bouche ou son cul. Il s'était même surpris un moment à sodomiser Adam ! Là, c'est lui qui me surprend.        Au retour, curieux, je vais mater l'enregistrement de leur chambre. Effectivement il y a bien un moment où mes trois petits se font le cul de leur ainé. Et d'après ce que je vois et j'entends, ce n'est pas pour lui déplaire. Par rapport aux précédents enregistrements, Adam n'a plus cette " suprématie active " sur ses jeunes. Les deux heures qu'ils ont passé à se faire du bien montrent que chacun s'est retrouvé le passif des autres et réciproquement. Le seul sperme que j'ai vu jaillir à l'air libre est celui de Nathan. Ça me fait penser qu'il va vite devoir faire ses tests pour pouvoir en faire profiter ses amis. Toutes les autres jouissances se sont trouvées " étanchées " dans une bouche ou un cul. Une bonne chose de réglé, ç'aurait été dommage qu'Adam se soit retrouvé exclu. Après tout il est sympathique, bien foutu et d'après ce que j'ai vu, bon baiseur aussi ! Je pense qu'à terme, ça le décoincera et le fera devenir moins exclusif. J'aimerai bien un jour tester sa belle bite dans ma rondelle. Un 21x6, ce n'est pas à dédaigner !
Jardinier
Tumblr media
~~
Tumblr media
~~
Tumblr media
14 notes · View notes
perduedansmatete · 3 months ago
Text
je crois que je me suis déboité la mâchoire maintenant j'ai trop mal quand je mange c'est super
10 notes · View notes