#Je Suis Une île
Explore tagged Tumblr posts
senorboombastic · 6 months ago
Text
'Celebrate' - Listen to the ninth episode of ’60 Minutes or less’, the new podcast from Birthday Cake For Breakfast – featuring HALO MAUD!
Words: Andy Hughes Bonjour! For the ninth episode of ’60 Minutes or less’ – the new podcast from Birthday Cake For Breakfast – it’s an honour to welcome our first European guest! If we were still in the EU we would have ticked this off the list two episodes in, but since we fucked that when the UK voted to leave the EU, we look to France and our European friends with an interview with HALO…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
kerubimcrepin · 8 months ago
Text
20th Anniversary Map, with commentary by Kerubim Crepin and Joris Jurgen
Tumblr media
The frustrating thing about this map, is that nobody who got it has decided to scan or transcribe it, for documentation's sake. So I had to complete this list of all the commentary using tweets and unboxing videos.
But, at the very least, we now have documentation of what this thing actually says.
Joris and Kerubim's text is colour-coded for your convenience, and this post includes both the French transcription, and English translations.
Tumblr media
La carte du Monde des Douzes. par Joris Jurgen et Papycha
The map of the World of Twelve. by Joris Jurgen and Papycha
Tumblr media
ASTRUB:
J: Chez Papycha ♡ / Papycha's home ♡
J: Les Araknes, c'est dégueu-monstrueu! / Arachnees are icky-creepy !
Tumblr media Tumblr media
J: Je pari que la tour du Xélor fou est par ici. / I bet the Mad Xelor's tower is here.
K: Perdu, mon Jojo ! / You lost the bet, my Jojo!
Tumblr media
SUFOKIA:
J: de lourds secrets sont enfouis dans ses profondeurs... / dark secrets lay buried deep within this place...
Tumblr media
ILE DE MINOTOROR / MINOTOROR ISLAND:
K: Croyez-le ou non, le Minotoror est terriblement chou... / Believe it or not, but the Minotoror is awfully cute...
Tumblr media
FOIRE DU TROOL / TROOL FAIR:
K: Ma meilleure partie de pêche aux koin-koins ! / My best quaquack fishing experience ever!
J: Lorko -> ��‍♂️
(personal note: i have no fucking idea what a Lorko is.)
Tumblr media
ILE D'OTOMAÏ / OTOMAÏ ISLAND:
J: contacter en cas de besoin 👍 / contact him should the need arise 👍
Tumblr media
BONTA:
J: Là où j'ai taqiné la boufballe avec le giga gran Khan Karkass!! / Here I playd boufball with the supa-duper cool Khan Karkass !!
(personal note: This means that Kerubim and Joris started work on this map while still living in Astrub, but kept working even after the movie. Cute.)
(personal note: A French person who helped me decipher this part, said that Joris makes quite a lot of spelling mistakes here. I'm sure there are more that I didn't catch in other parts of the post. He's very wonderful, very cute.)
Tumblr media
ÎLE DE MOON / MOON ISLAND:
J: autochtones sympas. ne pas rester pour le dîner. / nice locals. don't stay for dinner.
K: Bashy, mon pote d'enfance, semait la terreur aux ces flots ! / Bashy, my childhood friend, sowed terror among these waves!
Tumblr media
ILE DE NOWEL / KWISMAS ISLAND:
J: Les cadeau sont mortels! (vraiment!) / The gifts are deadly ! (really !)
Tumblr media Tumblr media
FRIGOST:
J: Bienvenu chez le Yech'ti! / Welcome to Yech'ti's !
K: Passe-lui le bonjour de ma part ! / Say hello to him for me!
Tumblr media
PANDALA:
J: commander de la chichala à zato / order chichala from zato
(Personal note: this suggests Joris might be just as heavy of a drinker as Kerubim. Or at least into very intense drinks, similarly to Keke. He's so real for this.)
Tumblr media
ÎLE DES WABBITS / WABBIT ISLAND:
J: éviter le wa... / avoid the wa...
Tumblr media
J: L'île de La Likrone... Par là d'apré la légende. / The Unikron Island... This way, acording to the legend.
K: T'es à l'ouest, mon Jojo ! / It's to the west, my Jojo!
(Personal note: Joris wrote "d'aprés" with a mistake. I'll try to translate his little mistakes, if I notice them, or can come up with a way to do that.)
Tumblr media
K: Le réceptacle des Dofus / The Dofus Receptacle
X Traverser le pont / Cross the bridge X Parler au chaman / Talk to the shaman X Boire un coup / Have a drink
(personal note: this is a reference to the quest "The Dofus Receptacle". The bridge referenced here is the bridge to Pandala.)
Tumblr media
K: Je suis sûr qu'Indie a pris ce bateau ... / I'm sure it's Indie, who's on that boat...
Tumblr media
VULKANIA:
K: Contre Grozilla, je me suis dépensé sans compter ! / I gave it my all, while fighting Grozilla!
Tumblr media
Dessinée à l'ancre de Kralamour. / Drawn using Kralove eenk.
Propriété de Joris © / Property of Joris ©
Ne pa toucher / Dont touch
(Surtou si vous vous apelé Lilotte) / (Espeshaly if you're name is Lilotte)
73 notes · View notes
aisakalegacy · 17 days ago
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Été 1928, Hylewood, Canada (3/3)
Layla s’est mise à la peinture. Elle a passé l’été sur un coin de l’île où les touristes ne s’aventurent pas trop à peindre des aquarelles. Je crois que chaque génération produit son lot d’artistes. Ma grand-mère écrivait, ma Tante Marie était sculptrice… Il parait même qu’une de mes grandes-tantes était chanteuse d’opéra. Peut-être que Layla sera peintre ! Enfin, si Maman le permet. Après ce qui est arrivé à la Tante Marie, je doute qu’elle laisse facilement une jeune fille poursuivre une carrière artistique…
Ils ont ouvert un pont, le Pont de la Paix, à Fort Erie sous Toronto, qui relie l’Ontario à la ville de Buffalo aux Etats-Unis. La conséquence de cela est que cette année, la quantité de touristes dans les Mille Îles est massive. Avec tous ces touristes, Maman ne sait plus où donner de la tête. De nombreux restaurants et hôtels fleurissent un peu partout sur les différentes îles en ce moment. Je crois que je n’ai jamais vu autant de pensionnaires au sanatorium, ce qui a l’air de déranger ses gérants plus qu’autre chose, sûrement parce qu’ils ne sont ni habitués, ni équipés pour un tel influx. En fait, quand on y pense, ce problème est général à Hylewood : nous n’avons pas les infrastructures nécessaires pour accueillir tout ce monde…
Je vais donc te partager le projet que je mûris depuis quelques années : je pense que je suis prêt à le mettre en place. L’Ontario connait une forte croissance économique grâce aux progrès réalisés dans des secteurs tels que la manufacture, l'exploitation minière et l’agriculture - produits que ma compagnie transporte à travers le fleuve. Les villes de la provinces sont en train de s’étendre : de très nombreux campagnards viennent s’installer à la ville pour travailler dans les très nombreuses manufactures qui fleurissent un peu partout. Autant te dire qu’en ce moment, les affaires prospèrent pour la CSL. J’ai même reçu une augmentation récemment. Je ne veux pas qu’Hylewood soit laissée de côté par ce bond en avant.
Alors voilà ce que j’aimerais faire… J’ai demandé un crédit à la banque, car je voudrais construire un port. Il n’y a pas de vrai port à Hylewood, juste une plage sur laquelle les barques accostent de façon anarchique. Les malles des touristes sont jetées sur la plage, certaines sont emportées par la rivière, c’est une horreur. Ce que j’aimerais, c’est construire une plateforme qui permettrait à des bateaux, peut-être même des ferrys, de pouvoir s’amarrer de façon plus confortable. Cela aurait nécessairement des retombées positives pour l’île. A l’heure actuelle, chaque famille possède sa barque. Si nous avions un port, alors peut-être qu’une liaison quotidienne entre Gananoque et Kingston pourrait être installée…
Le banquier a dit qu’il allait étudier ma demande, j’attends sa réponse. Je n’en ai pas encore parlé à ma famille, alors je te conjure de ne rien en dire, parce que ta mère ne manquerait pas d’en parler à la mienne, et alors j’aurais honte si ce projet ne fonctionnait pas. J’aurais peur qu’elle essaye de m’en dissuader, car c’est un risque, et étant donné la situation financière de ma famille, ce n’est peut-être pas le moment de prendre des risques… Mais je m’encrasse à la CSL ! J’en ai ras-le-bol des trajets en voiture quotidiens. Je ne me vois pas aménager de façon permanente à Kingston, déjà parce que les loyers y sont trop chers, et d’autre part parce que j’aime trop les Mille Îles. Je ne veux plus travailler pour autrui, j’ai envie d’être mon propre patron, et avec ce que cela me rapporterait si je réussissais, j’aurais de quoi sortir ma famille du besoin pour de bon. Vraiment, je t’en prie, n’en dis rien à personne.
Permets-moi de t’embrasser affectueusement.
Lucien LeBris
[Transcription] Dolorès LeBris : Je pense que la langue allemande enlève l’authenticité de mes sentiments. Plutôt que de chanter, je devrais scander. Ou alors, ne garder que les parties chantées qui passeraient également en français. Vous êtes d’accord, Papa ? Jules LeBris : Oui oui, ma chérie, c’est bien. Dolorès LeBris : ♩ Ô AaAaAaAlgiiiiiiiiiiii ♫ Agathon LeBris : Qu’est-ce qu’il se passe ici ? Il est encore tôt pour égorger le cochon. Dolorès LeBris : Sans TOI, je ne peux PAS VIVRE !!! Je ne peux PAS mourir. Agathon LeBris : La mort serait un doux répit si elle me délivrait de ce vacarme de l’enfer. Dolorès LeBris : ALGI ! Tu LAVES mon âme et mon CORPS !!! Agathon LeBris : Et mes oreilles. Dolorès LeBris : Merci, cher public, merci. Je souhaiterais avant tout remercier mon père, ma mère, et mon grand-frère Agathon grâce à qui cette performance a été possible. Agathon LeBris : Par pitié, ne me crédite pas dans cette tentative d’assassinat du bon goût…
8 notes · View notes
papillondusublime · 2 months ago
Text
Tumblr media
Comme je descendais des Fleuves impassibles, Je ne me sentis plus guidé par les haleurs : Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles, Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs.
J’étais insoucieux de tous les équipages, Porteur de blés flamands ou de cotons anglais. Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages, Les Fleuves m’ont laissé descendre où je voulais.
Dans les clapotements furieux des marées, Moi, l’autre hiver, plus sourd que les cerveaux d’enfants, Je courus ! Et les Péninsules démarrées N’ont pas subi tohu-bohus plus triomphants.
La tempête a béni mes éveils maritimes. Plus léger qu’un bouchon j’ai dansé sur les flots Qu’on appelle rouleurs éternels de victimes, Dix nuits, sans regretter l’oeil niais des falots !
Plus douce qu’aux enfants la chair des pommes sures, L’eau verte pénétra ma coque de sapin Et des taches de vins bleus et des vomissures Me lava, dispersant gouvernail et grappin.
Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème De la Mer, infusé d’astres, et lactescent, Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême Et ravie, un noyé pensif parfois descend ;
Où, teignant tout à coup les bleuités, délires Et rhythmes lents sous les rutilements du jour, Plus fortes que l’alcool, plus vastes que nos lyres, Fermentent les rousseurs amères de l’amour !
Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes Et les ressacs et les courants : je sais le soir, L’Aube exaltée ainsi qu’un peuple de colombes, Et j’ai vu quelquefois ce que l’homme a cru voir !
J’ai vu le soleil bas, taché d’horreurs mystiques, Illuminant de longs figements violets, Pareils à des acteurs de drames très antiques Les flots roulant au loin leurs frissons de volets !
J’ai rêvé la nuit verte aux neiges éblouies, Baisers montant aux yeux des mers avec lenteurs, La circulation des sèves inouïes, Et l’éveil jaune et bleu des phosphores chanteurs !
J’ai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries Hystériques, la houle à l’assaut des récifs, Sans songer que les pieds lumineux des Maries Pussent forcer le mufle aux Océans poussifs !
J’ai heurté, savez-vous, d’incroyables Florides Mêlant aux fleurs des yeux de panthères à peaux D’hommes ! Des arcs-en-ciel tendus comme des brides Sous l’horizon des mers, à de glauques troupeaux !
J’ai vu fermenter les marais énormes, nasses Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan ! Des écroulements d’eaux au milieu des bonaces, Et les lointains vers les gouffres cataractant !
Glaciers, soleils d’argent, flots nacreux, cieux de braises ! Échouages hideux au fond des golfes bruns Où les serpents géants dévorés des punaises Choient, des arbres tordus, avec de noirs parfums !
J’aurais voulu montrer aux enfants ces dorades Du flot bleu, ces poissons d’or, ces poissons chantants. – Des écumes de fleurs ont bercé mes dérades Et d’ineffables vents m’ont ailé par instants.
Parfois, martyr lassé des pôles et des zones, La mer dont le sanglot faisait mon roulis doux Montait vers moi ses fleurs d’ombre aux ventouses jaunes Et je restais, ainsi qu’une femme à genoux…
Presque île, ballottant sur mes bords les querelles Et les fientes d’oiseaux clabaudeurs aux yeux blonds. Et je voguais, lorsqu’à travers mes liens frêles Des noyés descendaient dormir, à reculons !
Or moi, bateau perdu sous les cheveux des anses, Jeté par l’ouragan dans l’éther sans oiseau, Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses N’auraient pas repêché la carcasse ivre d’eau ;
Libre, fumant, monté de brumes violettes, Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur Qui porte, confiture exquise aux bons poètes, Des lichens de soleil et des morves d’azur ;
Qui courais, taché de lunules électriques, Planche folle, escorté des hippocampes noirs, Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques Les cieux ultramarins aux ardents entonnoirs ;
Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues Le rut des Béhémots et les Maelstroms épais, Fileur éternel des immobilités bleues, Je regrette l’Europe aux anciens parapets !
J’ai vu des archipels sidéraux ! et des îles Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur : – Est-ce en ces nuits sans fonds que tu dors et t’exiles, Million d’oiseaux d’or, ô future Vigueur ?
Mais, vrai, j’ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes. Toute lune est atroce et tout soleil amer : L’âcre amour m’a gonflé de torpeurs enivrantes. Ô que ma quille éclate ! Ô que j’aille à la mer !
Si je désire une eau d’Europe, c’est la flache Noire et froide où vers le crépuscule embaumé Un enfant accroupi plein de tristesse, lâche Un bateau frêle comme un papillon de mai.
Je ne puis plus, baigné de vos langueurs, ô lames, Enlever leur sillage aux porteurs de cotons, Ni traverser l’orgueil des drapeaux et des flammes, Ni nager sous les yeux horribles des pontons.
-Le bateau ivre, Arthur Rimbaud
9 notes · View notes
jeanchrisosme · 1 year ago
Text
Tu sais ce qui était beau ?… C’est que tout avec toi devenait une histoire, une parenthèse. Chaque instant se transformait en précieux souvenir, à accrocher la nuit au plafond de mes rêves. J’ai tant ri de te regarder rire que je te laissais être ce distributeur d’oubli cher à un très célèbre Humaniste, pour n’être qu’ici… pour n’être que dans l’instant que tu savais remplir, comme si tu connaissais les secrets de l’infini. Ce qui était beau, c’était ton regard incrusté de milliers d’étoiles lorsque tu me regardais… J’avais tout à coup la sensation d’être un phare, une île perdue sur laquelle tu avais envie de t’éveiller dans les premiers rayons de ta beauté. Depuis toi, je comprends les peintres, les écrivains et les poètes… ceux qui sculptent la pierre à la force de leur tendresse, pour faire renaître et graver la magie de tout ce qu’il est impossible d’oublier. Je comprends que cette force d’Amour puisse transcender un être, au point de vouloir remercier le ciel… la source de ce qui réinvente les mondes à chaque seconde… cet univers si vaste, souvent bien trop grand sur lequel on danse, comme des équilibristes filants sur l’existence. C’est beau quand tu es là pour habiter le temps, quand tes cheveux ondulent au gré du vent même les jours où il enrage… Tes paupières battent toujours comme les ailes de ces papillons blancs quand tu me regarde… C’est simple, le monde tout autour de nous s’efface et je suis comme un môme de te voir rayonner comme ça. Je m’abandonne, je me donne le droit de vivre et de profiter de toute cette magie qui ne se rattrape jamais… Mon cœur reste suspendu, allumé de toutes ses couleurs. Depuis Nous, j’ai appris à me laisse envahir de complétude… de ces bonheurs simples qui sont de loin les meilleurs. La vie me laisse ces images qui me reviennent en cascade. Je souris tous les jours devant mon café et jusque dans la glace… parce que je ne peux plus me voiler la face, je Sais. Dès la première seconde, je me suis senti appelé… je t’ai reconnu alors que je ne t’avais jamais vue. C’est mon âme qui s’est mise à t’aimer avant moi, alors que je n’avais rien demandé… Tu sais ce qui est beau… C’est que je sais aujourd’hui ce que c’est d’aimer pour rendre libre et ne rien vouloir posséder. Je veux te voir toujours comme aujourd’hui… radieuse comme à la lueur de ces bougies quand on se dit ce que nous sommes seuls à comprendre. Alors même si un jour le destin venait à nous séparer… je serai toujours le plus heureux des hommes… simplement parce que je sais déjà que ce sera Toi jusqu’à ma dernière seconde.
55 notes · View notes
transrencontre · 3 months ago
Text
Un peu de fun rapide et sans engagement avec une transgenre de Melun 77000
Tumblr media
Je l'avoue, je ne cherche rien de sérieux. Que du plaisir avec cette rencontre. On s'amuse et on se dit au revoir. J'ai besoin de ce genre de relation en ce moment. Je suis une transgenre en début de transition et je vis sur Melun en Seine-et-Marne en Île-de-France.
Discuter avec Nadine
12 notes · View notes
philoursmars · 3 months ago
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Avant de passer les photos de la visite de mon copain Christian il y a 15 jours, voici, plus récentes, quelques photos des compétitions de nautisme ayant lieu à Marseille pour les Jeux Olympiques.
Ici les épreuves du 1er et du 3 août, dériveurs et kite (je crois ? Je suis loin d'être un spécialiste)
Sur la 6, on voit ici les îles du Frioul en arrière-plan, plus précisément l'île de Pomègues et ses anciens forts militaires.
9 notes · View notes
selidren · 2 months ago
Text
Tumblr media Tumblr media
Printemps 1924 - Champs-les-Sims
4/10
Vous vivez sur une petite île. Moi je vis dans un petit village. Alors je pense que vous comprenez que c'est difficile de rencontrer grand monde de l'extérieur. Moi, je ne sors pas beaucoup. J'ai du travail et des responsabilités. Alors quand j'ai rencontré Jean, je pensais que c'était inespéré. Il était engagé comme saisonnier à l'automne dernier pour les vendanges, et comme il travaille bien, j'ai convaincu mon oncle Adelphe que ce serait une bonne idée de l'engager comme ouvrier à part entière. Nous nous voyons en cachette, avec la complicité de mes soeurs. Mon frère était au courant aussi bien sur, car il n'y a personne d'autre à qui je fasse plus confiance. Il se peut aussi que j'en ai touché un mot à mon cousin Ange, qui porte plutôt bien son prénom.
Antoine et Ange passent une grande partie de leur temps à Paris, et il s'y rencontrent parfois. Mon frère est étudiant et mon cousin est un hédoniste qui fréquente des salles de bal d'un genre qui ferait dresser les cheveux de ma grand-mère sur sa tête. Il m'écrit assez souvent ce qui se passe dans ses soirées, et je suis aussi fascinée qu'intimidée par les audaces qu'il se permet. Avez-vous entendu parler du Corydon de Gide ? Disons que Ange est de ceux dont parlent ces essais. Il a tant fait scandale qu'on vient juste de le publier. J'ai l'air d'une écolière maladroite quand j'écris ces lignes plutôt que d'aller à l'essentiel. Je me suis idiote, mais on ne sait jamais, des fois que Maman, ou pire Grand-Mère, lise par dessus mon épaule, mieux vaut que j'écrive en tournant autour du pot.
Transcription :
Jean « On discute pas mal avec les gars. Il y en a du village, mais aussi d’autres qui viennent des alentours comme moi. Et on se raconte des histoires, des anecdotes. Les locaux aiment bien bomber le torse en racontant les histoires du cru, les personnages locaux hauts en couleur, les grands événements qu’ils ont connu ou qu’ils tiennent de leurs parents. Ta famille est partout là-dedans. Rien que ta grand-mère... »
Arsinoé « Oh non pitié, je l’ai bien assez sur le dos pour que toi, plus que les autres finisse par m’en parler ! »
Jean « Oui je sais mais… Ce que je veux dire, c’est qu’on ne peut pas échapper à ta famille, elle est partout ici. »
Arsinoé « Oui, j’avais compris. Alors dis-moi ce que tu veux que je fasse. »
Jean « Pardon ? »
Arsinoé « Je n’aime pas te voir aussi mal à l’aise. On se voit déjà si peux, et c’est dommage que l’on gâche tout. Déjà, je pense qu’on devrait arrêter de se cacher. Viens avec moi tout à l’heure et je te présenterai mes parents. Oncle Adelphe fera peut-être les gros yeux, mais il ne dira rien. »
Jean « Tu plaisante ? La vieille… enfin ta grand-mère, me fait mille fois plus peur !  Tout le monde sait qu’elle a des plans pour sa petite-fille adorée. »
Arsinoé « Bon sang. Pourquoi suis-je toujours la dernière mise au courant ?"
11 notes · View notes
iranondeaira · 5 months ago
Text
Tumblr media
Les yeux bleus de Pandora ont été allumés par le sourire de Corto.
- D ' où venez-vous, Corto ?
De toutes les mers du monde...
- Je voulais dire... où êtes-vous né.
- Je sais, Pandora, je sais ce que tu voulais dire, mais je pense que ça n'a pas beaucoup d'importance... Quoi qu'il en soit, je vais te dire que je suis né sur une petite île méditerranée, une île qui est loin d'ici et s'appelle Malte. Je suis né là par hasard, ma mère était une gitane de Gibraltar et mon père, un marin anglais venant de Tintagel, à Cornouailles.
11 notes · View notes
mauvais--sang · 2 months ago
Text
« J'ai désiré un royaume rouge. Il y avait des rois sanglants qui affilaient leurs lames. Des femmes aux yeux noircis pleuraient sur des jonques chargées d'opium. Plusieurs pirates enterraient dans le sable des îles des coffres lourds de lingots. Toutes les prostituées étaient libres. Les voleurs croisaient les routes sous le blême de l'aube. Beaucoup de jeunes filles se gavaient de gourmandise et de luxure. Une troupe d'embaumeuses dorait des cadavres dans la nuit bleue. Les enfants désiraient des amours lointaines et des meurtres ignorés. Des corps nus jonchaient les dalles des étuves chaudes. Toutes choses étaient frottées d'épices ardentes et éclairées de cierges rouges. Mais ce royaume s'est enfoncé sous la terre, et je me suis éveillé au milieu des ténèbres. »
— Marcel Schwob, Le livre de Monelle, 1894
6 notes · View notes
carraways-son · 4 months ago
Text
Tumblr media
Jeudi
Journée floue, puis soirée sous une lune poursuivie d'oiseaux. Un rien d'incertitude me fait encore tanguer, même s'il semble que mes amours pourront bien se lancer après-demain dans leur interminable voyage depuis Kyôto jusqu’ici, via Osaka, Singapour et Munich. Je suis frappé de constater que chaque déplacement est systématiquement menacé, chaque projet contrarié jusqu'à la dernière minute. C'est épuisant. Je les attends, à cœur ouvert, et trompe mon impatience en listant des expositions à voir, des monuments à visiter, des livres, musiques ou films à découvrir ensemble… jusqu’à l’instant où s’impose à nouveau ce constat lumineux de Michel Houellebecq (in « La Tentation d’une île ») : Mais qui songe encore à l’art quand le bonheur est possible ?
6 notes · View notes
aisakalegacy · 27 days ago
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Été 1926, Hylewood, Canada (2/4)
Ne t’en fais pas pour ma famille. Quand j’ai reçu ta lettre, je n’ai dit que le minimum. Tu t’es mariée à ton cousin, tu es déjà enceinte. Ce n’est pas sur cette île qu’on irait te blâmer, tout le monde est marié à un cousin ici. Mes sœurs te transmettent leurs félicitations. Peut-être que ma mère en sait davantage si Cousine Albertine le lui a dit, mais si elle sait quelque chose, elle n’a rien laissé paraître. Personne n’y a pensé à deux fois, et ce n’est pas moi qui te trahirait. Ta réputation de jeune fille sage, responsable et sérieuse est donc parfaitement intacte outre-Atlantique.
[Transcription] Layla Bahar : Qu’est-ce qu’il t’arrive, Gigi ? Tu en fais une tête. Gizelle LeBris : Lola est partie jouer avec Stéphanie et Laura… Mais elle ne veut pas que je vienne. Gizelle LeBris : Elle ne veut jamais jouer avec moi. Je n’arrête pas de me dire que c’est parce que je suis adoptée… Elle ne me voit pas comme sa sœur. Layla Bahar : Allons, ça ne veut rien dire. Regarde, moi non plus je n’appartiens pas à la famille, et pourtant, on jouait tout le temps ensemble quand j’étais petite. Gizelle LeBris : Toi, c’est pas pareil… Layla Bahar : Qu’est-ce que tu veux dire par là ? Gizelle LeBris : J’ai entendu Lulu parler avec Maman l’autre soir… Layla Bahar : Ça ne te concerne pas, Gigi.
10 notes · View notes
empiredesimparte · 1 year ago
Text
Tumblr media Tumblr media
Napoléon V: Funny, they've even installed a throne room for me here! Charlotte (teasing): You'll have to leave your duties for two weeks, Your Majesty
Tumblr media
Charlotte: It's just you and me Napoléon V: I'll try to remember that : "We're alone, just the two of us, without the butler and …"
Tumblr media
Charlotte: Louis… Napoléon V: Sorry, I'll shut up Charlotte: Come here
Tumblr media Tumblr media
Charlotte: I have a surprise for you Napoléon V: Tell me Charlotte: Let's settle down first, I'm dead tired
Tumblr media
Napoléon V: Do you need anything else? Charlotte: No, it's perfect, I've got everything I need
Tumblr media
Napoléon V: So, what's this all about? Charlotte: Louis… It's a bit abrupt but… I'm expecting our child
Tumblr media
Napoléon V: That's wonderful, darling Charlotte (relieved): I'm so happy Napoléon V: Me too. Are you sure you're not apprehensive? What did the doctor say? Who did you tell? Charlotte: Louis, I've been discreet, don't worry Napoléon V: I'm simply curious, sorry
Tumblr media
Napoléon V (mischievous): Let's hope no one tries to understand the chronology of events Charlotte: I think many will understand, but it'll be too late to argue, darling Napoléon V: You're right. It's not important
Tumblr media
⚜ Le Cabinet Noir | Honeymoon at Bora-Bora, 1 Messidor An 230
Beginning ▬ Previous ▬ Next
The young couple arrived in the evening at their honeymoon destination, Bora-Bora in French Polynesia. The Emperor had reserved a small island and his villa to impress his young wife. After a meal with a chef, Napoléon V and Charlotte rested alone for the first time since Compiègne. Charlotte took advantage of the calm to tell her husband that she was pregnant.
⚜ Traduction française
Le jeune couple est arrivé au soir à sa destination de lune de miel, Bora-Bora en Polynésie française. L'Empereur a réservé une petite île et sa villa pour impressionner sa jeune épouse. Après un repas auprès d'un chef restaurateur, Napoléon V et Charlotte se reposent pour la première fois seuls depuis Compiègne. Charlotte profite de ce calme pour annoncer à Napoléon V qu'elle est enceinte.
Napoléon V : C'est drôle, ils m'ont même installé une salle du trône! Charlotte (taquine) : Il va falloir délaisser vos fonctions pendant deux semaines, Votre Majesté.
Charlotte : Nous ne sommes qu'entre nous Napoléon V : Je vais tâcher de m'en souvenir. Nous sommes seuls, tout les deux, sans le majordome et nos domestiques, ni...
Charlotte : Louis... Napoléon V : Désolé, je me tais Charlotte : Viens là
Charlotte : J'ai une surprise pour toi Napoléon V : Dis moi tout Charlotte : Installons nous d'abord, je suis morte de fatigue
Napoléon V : Te faut-il autre chose? Charlotte : Non c'est parfait, j'ai tout ce qu'il me faut
Napoléon V : Alors, de quoi s'agit-il ? Charlotte : Louis... C'est un peu abrupt mais... J'attends notre enfant
Napoléon V : C'est merveilleux, chérie Charlotte : Je suis si heureuse Napoléon V : Moi aussi Napoléon V : Tu es sûre que tu n'appréhendes pas ? Qu'a dit le docteur ? A qui en as-tu parlé ? Charlotte : Louis, dois-je subir un interrogatoire ? J'ai été discrète, ne t'en fais pas Napoléon V : Je suis simplement trop curieux, désolé
Napoléon V : J'espère que personne ne se doutera de rien Charlotte : A mon avis nombreux comprendront, mais trop tard pour être un débat, chéri Napoléon V : Tu as raison. Ce n'est pas important
37 notes · View notes
billetcognitif · 6 days ago
Text
Au loin s’en va le jour
Au loin s’en va le jour, vois, l’automne revient Dans cette île-maison de pierre et de silence, Chaque coin y murmure un souvenir ancien Et la chute du jour s’étire en quotidien Jusqu’à ensabler d’ombre une éteinte existence, Au loin s’en va le jour, vois, l’automne revient.
Le rivage jadis était vierge et sauvage Quand du néant surgit le plus étrange port. La mer que jusque-là nous goûtions pour sa plage Enflamma nos esprits de rêves d’abordage. À peine débarqués, nous en rêvions encor, Le rivage jadis était vierge et sauvage.
Un à un, les amis partirent sans retour, Peut-être immunisés au parfum des circées, À moins que leur effet n’ait connu son décours. Depuis longtemps, cette île en avions fait le tour, Nous devions lever l’ancre, en solo traversée, Un à un, les amis partirent sans retour.
Moi seul n’ai pas quitté cette île en survivance. Vers l’horizon pourtant, j’aspire à naviguer Là où voguent les uns forts d’une belle alliance, Ou vers les courants vifs de la petite enfance. Mais le jour devient nuit et je suis fatigué, Moi seul n’ai pas quitté cette île en survivance.
Face au monde qui change, aux troubles relations, J’ai trop souvent buté pour tomber dans le piège. Volatiles liaisons où tout est transaction, Ou course artificielle à la validation, Trop de feux en hiver, ça fait pleurer la neige.
Au loin s’en va le jour, vois, le printemps revient.
2 notes · View notes
transrencontre · 4 months ago
Text
Brunette transgenre de rêve qui en impose sur Anthony
Tumblr media
Je parais douce et délicate, ce qui est vrai niveau physique, mais je cache une personnalité et une facette assez intense. Je cherche une relation avec un gentleman de plus de 30 ans (j'ai 28 ans) qui me fera vibrer ! Je demeure sur Anthony dans le 92 en Île-de-France. Je révèle plus de détails plus bas et je suis toujours partante pour discuter.
Discuter avec Evelyne
13 notes · View notes
mmepastel · 15 days ago
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Alors cette fois, j’ai vraiment beaucoup, beaucoup aimé ce livre d’Hélène Gaudy, et je ne suis pas la seule puisqu’il est dans la dernière liste du Goncourt.
Je ne la connaissais pas du tout. Elle a pourtant écrit plusieurs romans déjà, remarqués souvent.
Une des pensées que j’ai eue en refermant le livre a été un peu bête : j’espère qu’elle fera (ou a fait, après tout je n’ai pas lu ses précédents) un livre aussi beau sur/pour sa mère…
Oui, même si ce n’était pas le projet de départ, à l’arrivée, c’est bel et bien un livre sur son père, Jean-Charles Gaudy, poète, artiste engagé. Elle essaie de saisir l’insaisissable… car son père a une façon bien à lui d’être modeste, présent mais discret, voire en retrait, construisant sans fracas une œuvre singulière, dans son atelier, où il entrepose des objets trouvés, et des textes… il fait des tas, glane, amasse, et prétend ne pas avoir de souvenirs d’enfance. Comme s’il avait préféré se faire le gardien de bouts de vie d’ailleurs et d’autrui plutôt que d’être bruyamment lui-même, plein et égocentré.
La narratrice-fille-autrice, avec pudeur mais ténacité, entreprend de récolter à son tour des traces de son père, en furetant dans ledit atelier, mais aussi en s’attachant aux lieux (ce qui a l’air de souvent constituer un point de départ pour ses écrits), surtout ceux du passé, en passant par de la documentation, de la lecture des écrits anciens de son père… on pourrait croire que cette quête ne présente aucun intérêt pour une tierce personne. C’est faux. La démarche, la personnalité du père, de la mère, et aussi des grands-parents paternels nous sont vite familiers, le voyage spatio-temporel s’avère passionnant et bouleversant. Surtout grâce à son écriture, il faut bien l’avouer. Elle a le don d’évoquer le très singulier avec un regard intelligent et poétique, qui donne lieu à des fulgurances qui m’ont laissée bouche bée. On voyage d’une île de Louisiane à Oran, en passant par le Liban, Paris, et des petites villes provinciales de la Beauce. Une cartographie intime se dessine, entre jours heureux et jours solitaires, entre passé et présent. Un dialogue se met en place dans le livre entre les écrits du père, des bouts de poèmes, et le récit de la fille.
On est tous concernés par cette danse étrange entre le familier, le connu de nos proches, et leur part mystérieuse, leur noyau insondable. On a tous l’envie de connaître l’autre totalement, tout en sachant que c’est impossible, et on ressent à la lecture d’Hélène Gaudy, la fébrilité de l’entreprise, d’autant que le père est vieillissant, on a peur qu’il s’évapore et reste énigmatique, on sent la fragilité de la présence de ceux que l’on aime. Thématique à laquelle j’ai été particulièrement sensible…
A l’arrivée, apaisée, l’autrice met l’accent sur ce qui a été transmis de manière inconsciente mais que son écriture et son attention ont révélé, et s’interroge à son tour sur ce qu’elle transmettra à son enfant, jeune garçon.
Un livre qu’il faut lire, sensible et beau, impossible à résumer, qui touche les zones vives comme celles endormies de nos plis intérieurs…
(1ere photo : l’atelier du père)
5 notes · View notes