Tumgik
#Entrée en position
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Intraday et AVWAP
Utiliser l’AVWAP pour l’intraday Le VWAP Comme on l’a vu dans un précédent article, le VWAP est beaucoup plus intéressant qu’une simple moyenne mobile. La différence est qu’il est pondéré par le volume de transaction à un niveau de prix donné. C’est donc un point consensuel dynamique dans le temps. De plus sa valeur est la même quelle que soit l’unité de temps. C’est donc un indicateur…
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ghsaz · 20 days
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Charles Leclerc a gagné le GP Monza !
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Les gens qui me connaissent savent que je suis une récente fan de la Formule 1. Je suis entrée dans ce sport il y a presque un an et je suis devenue une tifosi de cœur. Non seulement par le champion du GP de la semaine dernière, Charles Leclerc, mais aussi car je suis une fervente supportrice de son coéquipier, Carlos Sainz. Ces deux pilotes incarnent à la fois talent et détermination.
Mais le 1 septembre dernier sera une date mémorable dans l’histoire de Ferrari en Formule 1. Charles Leclerc, le pilote monégasque de Ferrari, a triomphé lors du Grand Prix d'Italie à Monza, un événement qui a suscité une immense ferveur parmi les tifosi.
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Cette victoire est particulièrement significative pour Ferrari, qui a su profiter de la confiance renouvelée en son équipe et en son pilote vedette. Les célébrations sur le podium étaient empreintes de joie et de fierté, avec des fans en délire accueillant leur héros.
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La victoire de Charles Leclerc au Grand Prix d'Italie est le fruit d'une combinaison parfaite de talent, de stratégie et de passion. Elle confirme son statut de pilote d'exception et renforce les ambitions de Ferrari pour le reste de la saison.
Et c'est un grand accomplissement compte tenu du rythme effréné de la course et de l’imprévu des positions finales après la lutte constante entre McLaren et Ferrari. En effet, les pilotes Ferrari ont commencé la course en quatrième et cinquième positions. Grâce à une stratégie habile et à plusieurs erreurs commises par McLaren tout au long de la course, les Ferrari ont réussi à faire une remontée impressionnante.
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Au final, Charles Leclerc a décroché la victoire, tandis que Carlos Sainz a terminé à la quatrième place. Ce retournement spectaculaire illustre non seulement le talent des pilotes Ferrari, mais aussi la stratégie gagnante de leur équipe.
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lepartidelamort · 4 months
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Allemagne occupée : l’héroïque Ursula Haverbeck, 95 ans, à nouveau persécutée par les tribunaux du régime juif !
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Malgré la prison, l’héroïque Ursula Haverbeck, 95 ans, défie les menteurs juifs avec le sourire !
J’avais presque oublié que la démocratie en Allemagne est une infâme fistule sémitique.
C’est rectifié.
Bild :
C’est une vieille femme têtue et incorrigible : à 95 ans, la négationniste Ursula Haverbeck persiste dans ses opinions haineuses ! La vieille dame a de nouveau dû répondre de ses actes devant la justice : Haverbeck, très populaire dans les milieux néonazis, avait été condamnée en 2015 par le tribunal de Hambourg à dix mois de prison sans sursis pour incitation à la haine dans deux cas. Elle avait fait appel de cette décision. En 2015, en marge du procès de l’ancien SS Oskar Gröning, cette femme de 95 ans aurait déclaré devant des journalistes qu’Auschwitz n’était pas un camp d’extermination, mais un camp de travail. De plus, lors d’une interview télévisée avec le magazine « Panorama » de la NDR, elle a nié qu’il y ait eu une extermination massive d’êtres humains à Auschwitz.
Ben oui.
Il faut reparler de la porte en bois ?
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Lors du procès en appel devant le tribunal régional, Mme Haverbeck a été conduite au tribunal vendredi midi par une entrée latérale, assise dans un fauteuil roulant. Vêtue d’un tailleur bleu foncé, elle a étudié de nombreux documents apportés par son avocat Wolfram Nahrath. Lorsque la juge a interrogé Haverbeck sur sa déclaration selon laquelle le camp de concentration d’Auschwitz n’était pas un camp d’extermination, mais un camp de travail, la femme de 95 ans a clairement souligné : « Je maintiens ma position ! » Pourtant, la femme de 95 ans, qui s’est présentée au tribunal de manière claire et ordonnée, n’a jamais été à Auschwitz, comme elle l’a indiqué. Reconnaissance ou repentir ? Aucune trace !
C’est ce qu’on appelle le courage et l’élégance.
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Plusieurs dates de procès ont dû être reportées à plusieurs reprises pour diverses raisons (notamment surcharge de la chambre, Corona, cas de maladie), de sorte que le nouveau procès n’a eu lieu que près de neuf ans plus tard. Depuis des années, les tribunaux se penchent régulièrement sur les déclarations antisémites de Haverbeck. En 2004, elle a été condamnée pour la première fois et a reçu une amende. Haverbeck a également passé plus de deux ans en prison à l’établissement pénitentiaire de Bielefeld (Rhénanie-du-Nord-Westphalie) pour avoir nié l’Holocauste. En 2022, elle a de nouveau été condamnée par un tribunal berlinois à un an d’emprisonnement sans libération conditionnelle pour incitation à la haine. Le jugement est définitif.
Imaginez être flic et embastiller une nonagénaire pour faire plaisir aux juifs tandis que l’Afghanistan viole des gamines allemandes dans toutes les villes du pays.
À part les juges et les journalistes, il n’y a pas pire engeance que les flics.
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Quand un régime est terrorisé par une mamie de 95 ans parce qu’elle dit quelque chose, c’est que ce quelque chose est de nature à faire s’effondrer ledit régime.
Il n’y a évidemment jamais eu de chambres à gaz à Auschwitz. Le plus énorme mensonge de l’histoire finira par être connu du plus grand nombre, au niveau planétaire.
Quand ce sera le cas, la colère des goyim arnaqués qui va s’abattre sur les têtes de ces juifs n’aura pas d’équivalent dans l’histoire.
Démocratie Participative
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jomiddlemarch · 1 year
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The Duchess and the Diamond
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The ballroom was grand, lit with a vast quantity of candles so that it shone bright as a summer’s noon, but the two women spoke as if they were concealed by a moonless midnight’s shadows.
“Has Lady Maria lost all sense of decorum?” Lady Fletcher positively hissed behind her gently fluttering ivory fan.
“I don’t know what you mean, Agnes,” Lady Shepherd replied. She had an inkling, of course, but it was always better to draw Agnes out as she made the most diverting remarks when she was either indignant or patronizing, and by her tone and the incline of her head, her en tremblant hair combs trembling quite noticeably, the current situation was a perfect confluence. “Lady Maria might be said to be somewhat eccentric, everyone would agree—there is not one lobster patty in sight and she hasn’t served ratafia for the past year and her taste in lace, well—”
“You know very well what I mean, Lydia. I mean that, that man—”
Here Lady Fletcher gestured almost boldly in the direction of the man in question, the object of much attention, curiosity and no little degree of scorn from the high sticklers. 
“You mean Lord Miller?” 
“Even his name speaks to his common origins,” Lady Fletcher said, sniffing in rapturous condescension. “Miller? How might anyone purport to be a member of the Ton with such a surname? What’s next, Lord Cook? Viscount Clerk?”
“Prinny is likely to say his royal favor is enough,” Lady Shepherd replied. “And then, the man is prodigiously wealthy, captured a half-dozen ships and has three battlefield promotions. Though I grant you, he does not quite look the part—”
They both glanced at where Lord Miller stood, a solemn and solitary figure flanked only by a potted palm. While there could be no complaint made as to the cut of his coat and pristine knot of his cravat, there was no denying a certain raw power, a rough-hewn quality to his features, his complexion bronzed, his stance one of a ship’s captain, his gaze accustomed to searching for the North Star and any enemy on the horizon. He was the furthest thing from a dandy one could imagine, whether he wore a properly powdered wig or not.
“No, he does not,” Lady Fletcher said. “To think someone of his stature was granted the wardship of Lady Elinor Ramsay—a Duke’s granddaughter!”
“Impoverished, though,” Lady Shepherd pointed out. “Lord Miller’s evidently declared he’ll dower her well from his own coffers, there’s not the least hint of any impropriety, save what she causes herself. She’s quite a hoyden, she’s been through three governesses in the past six weeks according to my lady’s maid. Miss Mischief, she’s called among his staff, though I cannot say they fully disapprove of her.”
“She hasn’t a chance of making a good marriage with only Lord Miller to sponsor her, no matter how well he dowers her and how many teas and balls he can convince Lady Maria to organize on her behalf,” Lady Fletcher said. 
“You cannot have heard then?” Lady Shepherd said, leaning in slightly. Lady Fletcher would not care for being the one who must admit ignorance, but the prospect of gossip about Lord Miller was too tempting to refuse. 
“Do go on, Lydia, it’s quite rude of you to tease.”
“Lord Miller is determined to marry this Season and marry well enough that his new bride might provide entrée for Lady Elinor. He had hopes of Lady Carmichael, as he served with her brother, but then she was compromised by that horrid viscount, Cord or Gordon or somesuch, the one who looks most terrifyingly like a mushroom, and Lord Miller had to step aside, as he could not rescue Lady Carmichael and ensure his ward’s acceptance in good society,” Lady Shepherd explained.
“Poor Tess,” Lady Fletcher remarked with what sounded like genuine sympathy. “The viscount is known to have a rather weak constitution—she may retreat to her Scottish holdings and hope a harsh winter carries off the scoundrel or whatever is passing for cuisine among the Highlanders. She would have been wasted on Lord Miller though—”
“They had some affinity, but it’s irrelevant, as she’s due to marry in a fortnight,” Lady Shepherd said.
“I suppose Lady Maria and the Duke of Wesley are determined to help Lord Miller secure a wife,” Lady Fletcher said. “The Duke considers him a brother, after all.”
“As much as they may, I’ve heard. Lord Miller is very proud and brusque. But the Duke’s valet found a man for Lord Miller, so that he might appear well-turned out in company. My maid says when he’s at home, he goes about in his shirtsleeves and a scuffed pair of Hessians,” Lady Shepherd said. 
“He hasn’t the hands for a quizzing-glass, that’s most evident,” Lady Fletcher tittered. 
“He holds the ribbons of his curricle light enough,” Lady Shepherd replied.
“Shall that attract him a charming and wellborn bride? I shouldn’t think so,” Lady Fletcher said. 
“It may attract her brother or father. He’s a fine stable of horses,” Lady Shepherd said.
“It almost sounds as if you’d entertain a suit for your Flora,” Lady Fletcher said, an eyebrow raised in skeptical inquiry.
“Her father might. I shouldn’t risk it. Flora’s a dear but she’s rather timid and it would be like pairing a canary with a falcon,” Lady Fletcher said. “Besides, if we did, think of the disappointment of the Ton—everyone is so looking forward to seeing Lord Miller run amok on the marriage mart. We may even learn if he’s capable of waltzing—”
“I assure you he’s entirely, eminently capable,” Lady Maria said, having approached the party from the rear, a military maneuver she’d learned from her great-aunt, a woman renowned for her stratagems, her cutting tongue, and her collection of bejeweled turbans which she’d taken to at age thirty and had worn despite any variance in fashion for the remainder of her life. To be so confronted by their hostess was an indication that they’d grown too engrossed with their conversation or too comfortable with their positions, forgetting that even the hint of a scandal could topple the most sterling reputation unless one was an original or a Duchess. As neither lady fulfilled either category, they both pursed their lips in the apologetic simper that was required to show their pretense at remorse.
“One might expect it of a sea-captain,” Lady Shepherd hazarded. “I believe they must be quite nimble on board. There is an excessive quantity of rope and one hardly ever sees a senior Naval man missing a lower limb. They do speak of sailors dancing jigs and whatever a hornpipe is, surely a commander must master the steps as well.”
“Lord Miller would be glad of your confidence,” Lady Maria replied in such a tone and with such a glance as to ensure both of her listeners understood she meant the opposite. “He is indeed everything accomplished, however stern he may appear, and any wise young lady would be fortunate to receive his offer.”
“But that assumes the young ladies this Season are wise, when I do believe I have never seen a sillier, giddier collection of misses presented to the Queen,” Lady Fletcher said, meaning to pounce upon Lady Maria’s remark and regain some superiority. Lady Maria was unperturbed, her gloves unwrinkled, her hem kissing the polished floor with the greatest elegance possible.
“If Lord Miller intended to consider only those young ladies making their debut, that might perhaps be a dilemma. As it stands, he has imposed no such restriction, only seeking a wife worthy of his hand and well-suited to the guidance of his ward,” Lady Maria said. “He is quite devoted to Lady Elinor, for all that she taxes his patience; one cannot resist her liveliness and she shows every sign of being deemed her year’s diamond.”
“Lady Elinor? A diamond of the first water?” Lady Fletcher exclaimed. “You would make such a prediction?”
“I would make such a wager,” Lady Maria said. It was widely known Lady Fletcher regularly overspent her pin money and would likely have gambled away her family estate; she would not be able to decline Lady Maria’s proposition and Lady Shepherd would not keep the exchange to herself. It would be the choicest gossip of the night’s ball, unless there was an impromptu betrothal between crusty, long-time bachelor Earl Nicholas and the sprightly Honorable Frances Bartlett, an event so unlikely they would not even record it in the betting book at White’s.
“What stakes?” Lady Fletcher asked.
“I know they say ladies must never offer anything of great value, confining ourselves to flower cuttings or ices at Gunter’s, but when I gamble, I prefer for it to be worth my while. As I far outrank you, I shall stake a favor, to be called in at the time of your choosing. On your part, I think it is only fitting you stake your diamond parure—”
“The Fletcher diamonds?” Lady Shepherd exclaimed. Lady Fletcher had turned a peculiar color that resembled old whey and emphasized the somewhat heavy hand that had rouged her cheeks.
“Diamonds for a diamond, what could be more poetic? More apt?” Lady Maria said.
“I don’t think—” Lady Fletcher began.
“Naturally, if you are not sanguine about the wager, you needn’t make it, though I’d expect you to offer your vocal support to Lady Elinor and Lord Miller,” Lady Maria said.
“I’m confident the chit won’t be anything like the Season’s diamond. Nor even an original,” Lady Fletcher said. “I’d go a step further and say I wager Lord Miller cannot become engaged to a member of the Ton before Lady Elinor’s presentation to the Queen.”
“What an intriguing elaboration,” Lady Maria said. Lady Shepherd thought that Lady Fletcher ought to blanch at their hostess’s tone, but arrogance had restored her complexion. The diamonds at her throat and earrings sparkled and Lady Shepherd wondered how they might look on Lord Miller’s ward.
“I take it you accept?” Lady Fletcher said.
“Gladly,” Lady Maria said. “What a very delightful Season this promises to be!”
This fic is for @tessa-quayle who deserves to be having a better day!
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Dans ses Notes towards the definition of Culture, TS Eliot fait remarquer qu’il n’y a pas d'autre choix que l’hérésie pour ne pas perdre la foi dans une religion, le schisme apparaît dès lors comme la seule façon de garder vivant l’esprit d’un enseignement: n’est-ce pas le cas pour ce qui se passe avec la découverte freudienne de l’inconscient et cette psychanalyse psychologisante moribonde et délirante qui n’a plus de psychanalyse que le nom?
Que peut-il être sauvé du fantastique héritage freudo-lacanien: à savoir que c’est la société qui procède du refoulement et pas l’inverse, que la responsabilité du sujet est toujours engagée, que la rigueur logique, l'exigence éthique, l’accès au discours de l’analyste, etc. ont un prix: tirer d’abord au clair l’inconscient dont "je" suis (est) sujet?
Si l’inconscient est bien ce savoir sans sujet, un savoir qui ne se dit pas, un dire qui ne se sait pas, il n’est pas pour autant à considérer comme le lieu d’une sagesse immémoriale qui serait à chercher dans quelque profondeur cachée, l’inconscient est dans tout ce que je fais en tant que j’aurais été capable de le transmuter en dire, et s’il est effectivement structuré comme un langage, il n’en reste pas moins un bricolage astucieux constitué de fantasmes et de symptômes qui recouvrent le vide de l’inconsistance fondamentale du sujet comme de l’Autre.
Se libérer de la stupide injonction du surmoi à la jouissance présuppose de pouvoir saisir dans la pulsion de mort qui traverse notre fantasme de quoi battre la pulsion de mort avec la pulsion de mort elle-même: «il n’y a pas d’autre entrée pour le sujet dans le réel que le fantasme.» (JL, Ornicar 29)
Le fantasme construit la jouissance dont nous sommes structurellement privés en l’attribuant à l’Autre, la racine du racisme (tout comme la manipulation, l’exploitation, etc.), ne sont pas à chercher ailleurs...
Ce que découvre le sujet en analyse, c’est son aliénation dans le fantasme comme «moteur de la réalité psychique», pour la psychanalyse, la vraie, die Realität c’est la réalité psychique, en tant que c’est la division du sujet, il n’y en a pas d’autre, pas de révélation d’un au-delà de la réalité qui ne soit de fantasme.
La psychanalyse, c’est la réalité du sujet aliéné par son fantasme...
«De notre position de sujet, nous sommes toujours responsables. Qu'on appelle cela où on veut, du terrorisme…» (Lacan)
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jpbjazz · 5 months
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LÉGENDES DU JAZZ
CLORA BRYANT, ‘’THE WOMAN WITH THE HORN’’
“Those male trumpet players guard those positions like a bulldog on a bone. We got a tough row to hoe with the trumpet.”
- Clora Bryant
Née le 30 mai 1927 à  Denison, au Texas, Clora Larea Bryant était la plus jeune des trois enfants de Charles et Eulila Bryant. Bryant avait deux frères, Frederick et Melvin. Le père de Bryant était manoeuvre et sa mère était maîtresse de maison. Bryant avait seulement trois ans lorsqu’elle avait perdu sa mère.
Bryant avait d’abord commencé à apprendre le piano avec son frère Melvin. Bryant avait adopté la trompette après que son high school ait décidé d’établir un orchestre et un ensemble de cors et clairons. Durant son enfance, Bryant avait aussi été membre de la chorale de l’église baptiste locale. Même s’il était peu fortuné, le père de Bryan l’avait toujours encouragée à devenir musicienne et lui avait même payé des cours privés. Comme Bryant l’avait expliqué plusieurs années plus tard, "Nobody ever told me, 'You can't play the trumpet, you're a girl.' Not when I got started in high school and not when I came out to L.A. My father told me, 'It's going to be a challenge, but if you're going to do it, I'm behind you all the way.' And he was."
Lorsque son frère Fred s’était joint à l’armée, il avait laissé sa trompette derrière lui, et Bryant en avait profité pour apprendre à jouer. Durant ses études au high school, fascinée par la musique de jazz qu’elle entendait à la radio, Bryant avait d’ailleurs joué de la trompette avec l’ensemble de cors et clairons de l’école.
Après avoir refusé des bourses pour aller étudier dans les meilleures écoles musicales au pays dont le Oberlin Conservatory et le Bennett College, Bryant avait commencé à fréquenter le Prairie View College de Houston en 1943. Fondée en 1876, Prairie View était la première école entièrement réservée aux étudiants de couleur à avoir été reconnue par l’État du Texas. Bryant avait choisi Prairie View parce que le collège avoir avait un groupe de jazz féminin de seize membres, les Prairie View Co-eds. Comme Bryant l’avait précisé plus tard:  “When I found out they had an all-girl band there, that’s where I was going.”
Devenue membre du groupe, Bryant avait fait le tour du Texas, avant de se produire au célèbre  Apollo de Harlem en 1944. Après que son père ait décroché un emploi dans un chantier naval de Los Angeles, Bryant avait été transférée à UCLA en 1945. Après avoir entendu le trompettiste Howard McGhee jouer au club Down Beat de la Central Avenue, Bryant était immédiatement tombée amoureuse du bebop.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
En 1946, Bryant s’était jointe aux International Sweethearts of Rhythm, un big band qui avait été fondé deux ans auparavant par Clarence Love et qui était alors le groupe de swing féminin le plus important au pays. Après avoir obtenu sa carte de l’Union des musiciens, Bryant avait finalement décidé d’abandonner l’université.
Fascinée par le bebop, Bryant avait laissé tomber les International Sweethearts of Rhythm pour se joindre à des jam sessions dans des clubs de Central Avenue comme le Club Alabam, The Downbeat et The Bird in the Basket (aussi connu sous le nom de Jack’s Basket Room). Comme Bryant l’avait expliqué des années plus tard dans le cadre d’une entrevue d’histoire orale: “I would not go without my horn. If I knew there was going to be somebody there, I’d have my horn with me, because I wanted to be a part of it. I wanted to try to learn something.” Un jour, Bryant se produisait dans un club d’Hermosa Beach lorsque Charlie Parker était monté sur scène avec un saxophone qu’il avait emprunté. Pour la mettre en confiance, Parker lui avait alors chuchoté à l’oreille: “Stick to what you can do. And know what you can’t.” “I almost wet my pants”, avait déclaré plus tard Bryant.
Par la suite, Bryant était entrée dans le groupe Queens of Swing (comme batteuse) et était partie en tournée avec la formation. En 1951, le groupe, qui comprenait la saxophoniste Minnie Hightower, s’était produit à la télévision sous le nom des Hollywood Sepia Tones dans le cadre d’une émission de variétés d’une demi-heure diffusée sur les ondes de la station KTLA. La formation était ainsi devenue le groupe de jazz féminin à faire une apparition à la télévision. L’émission avait finalement été annulée auprès six semaines faute de commanditaires. À l’époque du tournage de l’émission, Bryant était enceinte de sept ou huit mois. Après la naissance de sa fille, Bryant s’était jointe à la revue entièrement féminine d’Ada Leonard. Malheureusement, Bryant avait dû quitter la revue après seulement une semaine après que la direction ait reçu des plaintes des spectateurs réclamant son congédiement en raison de la couleur de sa peau...
Durant la majeure partie des années 1950, Bryant avait dirigé régulièrement des jam sessions dans les environs de Los Angeles. En 1951, Bryant avait fait partie du groupe-maison du club Alabam, ce qui lui avait permis d’accompagner des chanteuses comme Josephine Baker et Billie Holiday. Toujours en 1951, Bryant avait été membre d’un sextet entièrement féminin dirigé par Ginger Smock avec lequel elle avait joué, non de la trompette, mais du violon. Le groupe, qui s’était produit durant six semaines dans le cadre d’une émission diffusée sur le réseau CBS, était ainsi devenu le premier groupe entièrement de couleur à animer une émission de télévision.
En 1954, Bryant était retournée à New York, car elle n’avait plus le goût de jouer avec des groupes. Deux ans plus tard, une autre pionnière du jazz féminin, la tromboniste Melba Liston, qui faisait alors partie du groupe de Dizzy Gillespie, l’avait présenté à ce dernier. Ébloui par le talent de Bryant, Gillespie était devenu son mentor et lui avait obtenu du travail. Gillespie avait même fait cadeau à Bryant d’une de ses embouchures qu’elle avait utilisée par la suite durant des années. Comme Gillespie l’avait expliqué en 1989 dans le documentaire “Trumpetistically, Clora Bryant”: “If you close your eyes, you’ll say it’s a man playing. She has the feeling of the trumpet. The feeling, not just the notes.”
En 1957, Bryant avait enregistré son premier et seul album comme leader, ‘’Gal with a Horn’’ À la demande de la compagnie de disques Mode Records, mais contre son gré, Bryant avait chanté sur les huit pièces de l’album, même si c’est son talent à la trompette qui avait surtout impressionné, révélant les influences tant de Louis Armstrong que de pionniers du bebop comme Dizzy Gillespie et Fats Navarro. Pour obtenir plus de contrats, Bryant avait même commencé à imiter la voix d’Armstrong dans le cadre de ses concerts. Et ça avait fonctionné. Comme Bryant l’avait expliqué en 2014 dans le cadre du documentaire The Girls in the Band: “And I was a hit, honey. They loved me!”
Au milieu des années 1950, Bryant était retournée à la vie de musicienne itinérante, se produisant particulièrement dans les clubs de Chicago et de Denver. Bryant s’était également produite à Las Vegas avec Louis Armstrong et Harry James. En fait, Armstrong avait été tellement impressionné après avoir entendu Bryant jouer dans un club qu’il avait insisté pour monter sur scène avec elle dans un club de Las Vegas en 1960. Bryant précisait: “He was in the big room and I was in the lounge, where he’d been catching my act in the back. And one day, here comes Louis with his whole band, coming from the big room, walking through the entire casino and coming up on stage and singing and playing with me!”
À la fin des années 1950 et durant les années 1960, Bryant avait fait la tournée des principales villes américaines, souvent dans le cadre d’un hommage à Louis Armstrong. À Las Vegas, Bryant avait aussi joué avec Damita Jo, Harry James, et Sammy Davis Jr., avec qui elle avait fait une apparition dans le film ‘’Pepe’’ en 1960. Dans les années 1960, Bryant avait également fait un séjour à La Nouvelle-Orléans avec le groupe d’Horace Henderson.
De 1962 à 1964, Bryant avait collaboré avec le chanteur Billy Williams à Las Vegas avec qui elle avait participé au Ed Sullivan Show. Bryant avait même composé une pièce de l’album “The Billy Williams Revue.” De 1964 à 1966, Bryant avait fait équipe avec son frère Melvin, qui était chanteur, acteur et danseur, dans le cadre d’une tournée autour du monde. Ils avaient même eu leur propre émission de télévision en Australie. Après la naissance de son quatrième enfant en 1969, Bryant s’était inscrite à un baccalauréat en musique à UCLA, s’intéressant plus particulièrement à l’histoire de la musique afro-américaine.
À la fin des années 1970, Bryant s’était produite avec différents groupes de Los Angeles, dont le Bill Berry’s LA Band. En 1975, Bryant avait rendu hommage à son idole et mentor Dizzy Gillespie dans le cadre de la suite “To Dizzy with Love”. En 1993, Bryant avait de nouveau rendu hommage à Gillespie en dirigeant le concert Trumpet Summit aux côtés de Clark Terry, Jon Faddis, Freddie Hubbard et plusieurs autres trompettistes. Vers 1980, Bryant avait également assuré la relève de Blue Mitchell dans le big band de Bill Berry.
Souvent victime de discrimination en raison de son sexe et de la couleur de sa peau, Bryant n’avait créé son propre groupe qu’après son retour à Los Angeles en 1979. Tout en dirigeant le groupe Swi-Bop (son fils Kevin avait même été le batteur de la formation à la fin des années 1980), Bryant avait terminé son baccalauréat en musique à UCLA et travaillé avec le sextet du saxophoniste Teddy Edwards. Elle avait aussi joué  du Dixieland avec les New Orleanians de Roger Jamieson. Au cours de la même période, Bryant avait également collaboré avec le big band de Gerald Wilson, tout en travaillant avec Jeannie et Jimmy Cheatham, la chanteuse Nellie Lutcher et le pionnier du rhythm & blues Johnny Otis.
En 1982, Bryant avait enregistré un dernier album avec la chanteuse de blues Linda Hopkins. Parallèlement, Bryant avait continué de se produire sur scène, participant notamment au North Sea Jazz Festival avec le Sweet Baby Blues Band de Jeannie Jeannie et Jimmy Cheatham en 1987 ainsi qu’à plusieurs festivals de Los Angeles.
Loin de se décourager du peu d’occasions qui lui étaient offertes d’enregistrer et de se produire sur scène, Bryant avait même écrit personnellement au président Mikhail Gorbachev en 1989 en lui proposant de devenir “the first lady horn player to be invited to your country to perform”. Sans doute pour plaisanter, Gorbatchev avait fait parvenir à Bryant une invitation formelle de venir jouer en URSS. Prenant Gorbatchev au mot, Bryant avait financé son voyage grâce à l’aide de la communauté musicale de Los Angeles. Un an plus tard, Bryant avait fait la tournée du pays avec ses fils, devenant ainsi la première musicienne de jazz à faire une tournée en URSS.
DERNIÈRES ANNÉES
Au début des années 1990, les contrats étant devenus de plus en plus rares, Bryant avait été contrainte de vivre sur la sécurité sociale. Elle avait même dû céder deux de ses trompettes à un prêteur sur gages afin de pouvoir survivre. La majorité de ses biens avait également brûlé lors des émeutes de Rodney King en 1992 qui avaient emporté la plus grande partie de sa maison.
Après avoir été victime d’une crise cardiaque et avoir fait l’objet d’un quadruple pontage coronarien en 1996, Bryant avait dû cesser de jouer de la trompette. Elle avait cependant continué à chanter. Bryant avait aussi commencé à donner des lectures sur l’histoire du jazz dans les collèges et des universités. Bryant avait également co-dirigé un livre sur l’histoire du jazz à Los Angeles intitulé ‘’Central Avenue Sounds: Jazz In Los Angeles (1921-1956)’’, dans lequel elle avait évoqué la glorieuse époque du jazz sur Central Avenue. Elle avait aussi écrit deux livres pour enfants et travaillé dans les écoles élémentaires de Los Angeles. Une des plus grandes satisfactions de Bryant était cependant d’avoir réussi à obtenir une étoile pour son idole Dizzy Gillespie au Hollywood Walk of Fame en 1991.
Consciente de la nécessité de transmettre ses connaissances aux futures générations, Bryant avait précisé: ‘’When I grew up there were legends everywhere, and now the legends don't make themselves available to young people anymore… these days people just get in their limos and away they go, and it hurts my heart."
Le 6 mai 2002, la carrière de Bryant avait été couronnée par la remise du Mary Lou Williams Women in Jazz Award décerné par le Kennedy Center de Washington, D.C.  C’est le légendaire pianiste Billy Taylor qui lui avait remis son prix. Bryant avait même chanté quelques-unes de ses compositions dans le cadre de l’événement. Le Conseil municipal de la ville de Los Angeles avait également décerné à Bryant le titre de légende du jazz et d’ambassadrice de bonne volonté en 2018. Bryant avait aussi remporté deux prix de composition et de performance de la National Endowment for the Arts.
En 1989, la cinéaste Zeinabu Irene Davis a consacré à Bryant un documentaire intitulé ‘’Trumpetistically, Clora Bryant.’’ En 2014, la trompettiste avait également été en vedette dans le film de  Judy Chaikin intitulé ‘’The Girls in the Band’’
Bryant avait épousé le contrebassiste Joe Stone en 1948. Stone, qui voyageait souvent en tournée avec T-Bone Walker et Jimmy Witherspoon, avait rencontré Bryant alors qu’elle se produisait dans les environs de Los Angeles. Le couple avait eu deux enfants: April et Charles Stone. Le mariage s’était terminé sur un divorce. Bryant avait eu deux autres enfants de sa liaison avec le batteur Leslie Milton, Kevin et Darrin Milton.
Clora Bryant est morte le 25 août 2019 au Cedars-Sinai Medical Center de Los Angeles après avoir été victime d’une crise cardiaque à sa résidence. Elle était âgée de quatre-vingt-douze ans. Ont survécu à Bryant ses quatre enfants, April, Charles, Darrin et Kevin, neuf petits-enfants et cinq arrrière-petits-enfants. Ses frères Frederick et Melvin étaient déjà décédés au moment de sa mort.
Avant même d’amorcer sa carrière, Bryant avait toujours su que le double handicap posé par son sexe et sa couleur serait un obstacle à sa reconnaissance comme trompettiste de jazz. De fait, mis à part la période où elle avait accompagné Billie Holiday au club Alabam de Los Angeles, Bryan avait souvent été reléguée dans des groupes exclusivement féminins comme les Queens of Rhythm avec lesquels elle avait même joué de la trompette et de la batterie simultanément après que la batteuse en titre ait quitté la formation. C’est seulement au milieu de sa carrière que Bryant avait été considérée comme une musicienne à part entière dans les groupes et les big bands de la région de Los Angeles. Faisant référence au peu de reconnaissance dont Bryant avait été l’objet au cours de sa carrière, le saxophoniste Teddy Edwards avait déclaré: “You know, she’s as good as any man. She has range and ideas and enough talent to go to the top.” 
Décrivant le style de Bryant, le journaliste Dick Wagner avait écrit dans le Los Angeles Times en 1992: “When Bryant plays the blues, the sound is low, almost guttural, a smoldering fire. When she plays a fast tune, the sound is piercing — the fire erupts.” 
Consciente de toutes les épreuves qu’elle avait dû traverser au cours de sa carrière, Bryant ne s’était pas gênée pour comparer les trompettistes à un ‘’Boy’s Club’’ au cours d’une entrevue qu’elle avait accordée au réseau NPR en 1993. Bryant avait déclaré: “Those male trumpet players guard those positions like a bulldog on a bone. We got a tough row to hoe with the trumpet.” L’un des fils de Bryant avait confirmé: “It was a man’s world and that made it hard for her. But it only fueled her fire, made her more determined.”
Même si à la fin de sa carrière, les autres musiciens de jazz lui avaient démontré beaucoup plus de respect, tel n’avait pas toujours été le cas des propriétaires de clubs. Comme Bryant l’avait déclaré au cours d’une entrevue qu’elle avait accordée au New York Times en 1998, “When you put that iron in your mouth, you run into problems. The other horn players gave me respect, but the men who ran the clubs considered me a novelty.”
Se considérant simplement fière d’avoir pu jouer la musique qu’elle aimait, Bryant avait ajouté: “I’m sitting here broke as the Ten Commandments, but I’m still rich. With love and friendship and music. And I’m rich in life.” 
Évoquant ses débuts sur la Central Avenue de Los Angeles, qui était un peu l’équivalent de la 52e rue pour New York dans les années 1950, Bryant avait commenté: “When I came out here, there weren’t any girls playing in jam sessions on Central Avenue. Hey, I had nerve! I’d get my horn and just walk up there and start playing. And I was the only female who did that. I had antennae like you wouldn’t believe.”
Un peu comme sa grande amie la tromboniste Melba Liston, Bryant avait servi de modèle à plusieurs musiciennes de jazz qui avaient été trop souvent confinées à un rôle de pianistes et de chanteuses. Comme l’avait déclaré la trompettiste canadienne Rachel Therrien, “Clora Bryant was an unforgettable and powerful role model. She’s inspired me to push forward as a jazz trumpeter and a bandleader. While I never got the opportunity to meet her personally, I am forever grateful for all her hard work, which opened the path for future generations of women like myself.” 
Malheureusement, Bryant n’avait jamais obtenu toute les chances qu’elle méritait, non seulement parce qu’elle était une Noire, mais aussi parce qu’elle était une femme.
©-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
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thob-rpg · 7 months
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Annexe avant contexte ?
Et pourquoi pas ? J'ai bien envie de lancer des idées dans un ordre aléatoire, histoire de prouver que la refonte avance quand même. Le contexte bouge encore un peu, possible que ça soit encore le cas mais, pour cette annexe que je m'apprête à vous partager, peu de chance qu'elle se transforme.
Alors, bonne lecture p'tit fantôme !
Possession Fait d'être possédé.
Oh, croyez-moi, ça n'a rien de drôle. Si le fantôme qui se glisse dans votre enveloppe corporelle s'amuse à vous tourmenter du matin au soir, sachez que ça n'est pas une partie de plaisir pour vous. Prisonnier de votre propre corps, sans capacité à en reprendre le contrôle, marionnette d'une âme qui n'est pas la vôtre. À Burtondale, les cas de possession sont rares, mais ils existent.
Ils peuvent toucher n'importe qui, ou presque. Si vous êtes l'incarnation d'une âme qui foulait autrefois la ville, alors vous serez épargné par ce fléau. En effet, ils reconnaissent en vous la personne que vous avez été par le passé. Pour les autres, que vous ayez un don, que vous croyez ou non à l'existence des esprits, ils n'en ont que faire.
Comment ça marche ?
· Dans le cadre d'une possession après validation, il vous faut lancer le dé possession. Le résultat peut vous afficher les messages suivants : Oui ou Non. Dès lors que vous avez une réponse positive, votre personnage sera possédé pour une durée de 6 mois irl. Attention Veillez à ne pas faire partie du groupe Ghosts auquel cas la demande de possession ne sera pas prise en compte.
· Dans le cadre d'une possession au moment de la rédaction de votre fiche, merci de bien vouloir vérifier, d'une part, qu'il reste des place dans la liste ci-dessous, et d'autre part, d'en avertir le staff en envoyant un MP à @Pandora Crimson afin que la place vous soit réservée jusqu'à validation de votre fiche.
· La façon dont vous vous faites posséder doit se jouer inrp, à moins d'être possédé dès votre entrée en jeu. Dans ce cas, la possession prend effet une fois la fiche validée.
· Durant ces six mois, votre personnage ne pourra plus agir selon ses propres moyens. Il faudra donc prendre en compte inrp le fait que ses actions et paroles n'ont rien à voir avec ce qu'il a l'habitude de dire ou de faire.
· Pour une question de logique, puisque la possession est un événement rare à Burtondale, nous limitons la liste des personnages possédés à 3. Elle est affichée ci-dessous et vous pourrez la consulter aussi souvent que besoin pour vous assurer qu'une place est libre.
La liste des possédés en ville :
❭ Nom & Prénom du 00.00. au 00.00 ❭ Nom & Prénom du 00.00. au 00.00 ❭ Nom & Prénom du 00.00. au 00.00
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iwishiwasrichasfuck · 11 months
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First time writing anything, so pls be nice 🙏 Constructive criticism is more than welcome as long as it actually helps
enhypen!ot7 x fem!oc (not a xreader! So I will describe her appearance, but feel free to replace it with your own!), kinda Niki focused and I'm going to write from a 3rd person pov. Bold is korean, normal is English. 'This' means thoughts
"I THINK there's a man following me" Esmeralda told her mother on the other side of the line, navigating through the busy streets of Paris. She looked behind her again, just to be met with the same imposing figure that's been following her for the past 17 minutes and 35 seconds, clad in black and a mask. "Are you sure? Have you just noticed? Or has it been a long time? Maybe he's just going in the same direction." Her mother answered her. The woman sighed "At first I thought so as well, but it's been..." she looked at her watch "19 minutes and 2 seconds and he's still behind me even after all of those random turns I took to lose him". She heard her mother let out a "hmmmm" and the image of her frowning made her smile. "Go in one of the shops and stay there for awhile. If he's still there when you go out again, go back in and call the police, ok?" "OK, I'll hang up then". "I love you, call me back later". "I love you too, I will. Bye". She looked up from her phone to fine a decent shop, and gulped when all she saw were expensive looking restaurants. She forgot she was in the 8th arrondissement, the rich district. It's okay, just don't talk to anyone and it will be okay, its okay. She settled on a restaurant that looked less busy than the others and hid herself in a bathroom stall. Then she waited, thanking God for the clean seat. About ten minutes later, she went to take a peek outside, surprised to still see him there. She ran back to the stalls to lock herself in again and after a few minutes, called the police "Bonjour vous avez appelé le 17, quelle est votre urgence?"
"Good morning, 17 what's your emergency?"
Surprised by how fast the operator picked up, Esmeralda raised a brow. 'Guess they didn't have a lot of business today'.. "Oui bonjour, j'ai été suivie par un homme pendant 20 minutes au moins."
"I'm being followed by someone, I have been for at least 20 minutes"
"Est-ce que vous en êtes sûre? Où êtes vous à l'instant? Et comment vous appelez vous?"
"Are you sure? Where are you right now? And what's your name?"
"J'en suis certaine. J'ai pris au moins 5 intersections au hasard pour m'en assurer. Je suis dans un restaurant qui s'appelle L' Arôme, dans le 8ème, à l'étage, au-aux toilettes. Je suis entrée il y a un quart d'heure? et j'ai vérifié il y a 10 minutes qu'il était toujours là. Je m'appelle Esmeralda Adel"
"I'm positive. I took at least 5 random turns to make sure. I'm in a restaurant called L' Arôme, in the 8th district, in the bathroom stalls on the second level. I've been here for fifteen minutes and checked if he was still outside about 10 minutes ago. My name is Esmeralda Adel"
"Bien. Nous envoyons des agents pour l'appréhender. Pouvez vous le décrire?"
"OK. We're sending agents to take care of this. Can you describe him?"
"Il est plutôt grand et a une carrure assez imposante. Il est habillé tout en noir, avec un masque chirurgicale et une casquette. Je crois qu'il a une veste en cuire? Je n'ai pas vu son visage, mais je peux le voir des fenêtres de l'étage, alors j'ai pris une photo."
"He's on the tall side, and has an imposing figure. He's dressed in all black and has a surgical mask. I think he's wearing a leather vest? It's black as well. I didn't see his face, but I can spot him from the windows of the restaurant so I took a picture."
"Ce sera assez merci. Nous vous appellerons une fois sur les lieux."
"That'll be enough, thank you. We will call you once at your location."
With that, the police officer hung up. Relieved, Esmeralda stood up and washed her hands, because even if she didn't do her business, she was still in a public bathroom like come on, ew, gross. She went outside and took her phone to inform her mom of how things went, but was abruptly stopped by a tall body bumping into her.
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In an airplane, a few hours ago
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They debated and against responsible people's wishes, it was decided that they'd eat out. Their manager protested at first, but then gave in when he saw it was futile to argue and made a reservation for a restaurant. He sent them of with a van and a staff member to drive them. Surprisingly enough, the trip went well enough and soon the group were oooing and wowwing at the fancy looking dishes, rid of their hats and masks and laughing at other's jokes. Maybe they were laughing a little too hard, because Jungwon spilled some water on his seat mate. Riki, the target of his clumsiness stood up after some good natured teasing to dry the mess in the bathroom. He turned around at Jake's call "Hurry up or we'll finish your plate for you!" He replied with a smile "Don't you dare hyung!" and still chuckling, he turned and collided with a smaller object.
Riki yawned. Loudly. Next to him, Jay tapped his thigh. "Hang on, we'll be there in 20 minutes". The youngest nodded tiredly. He'd been sitting in this godforsaken plane for eleven hours, his limbs hurt, damn it. He couldn't wait to get out, stretch and eat. He'd been to France already, and everytime he couldn't help his awe at the gastronomy. He was excited for the concert too. When they went on a world tour, Enhypen mostly went to The United States, so he knew french engene would be happy with their presence. Hybe had conveniently decided to make their concert public last minute, so Enhypen could enjoy two weeks off for tourism and "vacations" without being bothered too much (well, as secretly as an internationally famous band could). Every one still thought they were in Korea, if all was well. On the other side of the private jet, Jungwon and Heeseung watched movies. Jake and Sunghoon were playing rock paper scissors and Sunoo was taking a nap. Riki thought he looked ridiculous with the face mask and pink unicorn headband, and discreetly took a picture for blackmail purposes. Like that, 20 minutes passed and soon all of the members were in Charles de Gaulle (the airport), leaving the plane. They thought the masks, caps and black coats weren't very subtle but it was better than their faces being in plain sight and fans finding out about their surprise too early. They arrived at their fancy hotel without much trouble, save for having to hide one way or another so that they wouldn't be seen. The agency had rented the whole level for them and the staff so they would be unbothered. Sunghoon and Jake shared a room, while the maknaes stayed together and Jay and Heeseung had a room to themselves. When they all settled down, they all reunited in Jay's room on the couch to decide what to do next. "I'm so hungry" Riki whined. "Hmmm" of agreements chimed in the room and Jake suggested they go eat in a restaurant instead of ordering takeout. "It's been a while since we've been here, I want to explore a bit". But Jungwon, always the responsible leader argued "How will we stay out of sight? Everyone will recognise us, and we can't even take our bodyguards"
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Back to us :)
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Esmeralda blinked. Once. Twice. The two stayed like that for a few seconds, just staring at the other. Her eyes examined the features of the man in front of her. They ran over his thick lashes and eyebrows, his dark brown eyes, the elegant slope of his nose amd his plump lips. She drank in his oh so gorgeous face, and the way his black hair fell in lazy waves and blonde highlights on his forehead, how the smooth strands framed his face. When her brain registered who she was looking at, her eyes widened and she started "You're-!" But her sentence was cut off by a big hand that pressed on her mouth to shush her. "Shhh" Riki whispered. "Who are you? What are you doing here? I thought manager-nim rented the whole restaurant for us!" The curly haired woman tried to pry the hand off and when the fucking international superstar complied, she answered in the same tone and to the Nishimura's surprise, in perfect korean "I was in the bathroom, you must've came in while I was still inside. What are you doing here? I thought Enhypen was in Korea!" Riki sighs, "We're having a concert in two weeks and came early without telling engene to have some time off. Since you recognised me, I suppose you're a fan?" Still stunned at the turn of events, Esmeralda nodded. "Yes... I guess I should leave you alone then. Don't worry, I won't tell anyone. I understand you need to relax." When he thanked her and just as she was going to leave, Riki stopped her "Wait!". She turned curiously. He nervously gulped. "What's your name..?" "Esmeralda" she replied with a pleasant smile. "Well, Esmerlada, umm, now that you know, will you come at the concert?" She chuckled. "Maybe, that depends on the price of the tickets" He sighed "Of course, yes... Um... Well... I hope to see you there!" And he turned and ran off to the bathroom. Still surprised, Esmeralda left the restaurant hastily to call her mother.
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Riki's pov ;)
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"Oof". He caught the poor thing before they could fall and stared down at what was in his arms. The woman had caramel skin and long curly hair. Long lashes framed pretty green eyes, and made way to a cute nose. Niki found himself counting her freckles, and staring at her plump lips, the way her cupids bow shaped them, and how her bottom lip slightly pouted out. He found himself looking at every little dent, every little detail of her face. He was mesmerised, like under a spell. She was... pretty. Really pretty. Beautiful really, but not necessarily conventionally pretty, at least not according to korean beauty standars. But her wide, slightly flat nose complemented her face so well, and her chubby cheeks were so adorable, he melted. Her beauty was refreshing. He couldn't help but want to hear her voice, he wondered if it was as stunning as her. Then suddenly he remembered where he was, and that Sejun-nim had rented the whole restaurant for them. It seemed that the beautiful girl recognised him at the same time, because she tried to talk "You're!" But he cut her off with his hand. He didn't want the hyungs to hear her, what if they thought she was a sasaeng? He'd interrogate her himself (he didn't want to admit he didn't want his hyungs to see her because he knew they'd fall under her charm like him) "Who are you? What are you doing here? I thought manager-nim rented the whole restaurant for us!" He let her answer, pleasantly surprised when she replied in korean "I was in the bathroom, you must've come in while I was still inside. What are you doing here? I thought enhypen was in Korea!" Riki sighed, "We're having a concert in two weeks and came early without telling engene to gave some time off. Since you recognised me, I suppose you're a fan?" When she nodded, he mentally cheered 'We have such a pretty fan'. "Yes... I guess I should leave you alone then. Don't worry, I won't tell anyone. I understand you need to relax." "Thank you". But then she turned to leave and Riki just wanted her to stay a bit more, to know her more, so he blurted out "Wait!" 'Shit, what do I say?..... Ask for her name you idiot!' "What's your name?" "Esmeralda" 'Wow... Even her name is gorgeous. She has a beautiful smile' "Well, Esmeralda, umm, now that you know, will you come at the concert?" She chuckled. "Maybe, that depends on the price of the tickets" He sighed "Of course, yes... Um... Well... I hope to see you there!" And he turned and ran off to the bathroom. 'Stupid, of course she can't come without a ticket!'. He looked at himself in the mirror and leaned on the sink. 'She was so pretty...' he blinked and held back a squeal 'A pretty girl talked to me! She's even an engene!!!' He smiled at himself, still dazed and lovestruck. He wanted to see her again. But he knew that if he did, it would be at the concert. And that meant that the other members would see him act like a teenager in love (which he was, but he had his own pride). He was reluctant for that to happen. And there was no way they would be immune to her charm, she was just too... everything. When Heeseung called him, asking if he was okay, he was reminded of why he went to the facilities in the first place and hastily wiped his shirt, yelling back an "I'm fine! I'll be there in a second!" When he returned, Sunoo hyung mentioned absently "I thought I saw a girl go downstairs a few minutes ago, do you know who that was?" Niki blushed and looked down, shaking his head. Sunghoon noticed and loudly teased him "Niki-aaah, do you have a cruuuush!?" Jake took it upon himself to help his friend embarrass their maknae "Wow, Niki, did you get her number". They all took turns teasing him, but he just rolled his eyes 'If only you had seen her, you wouldn't be laughing'.. The day ended and as he fell asleep back at the hotel, he could only dream about the beautiful girl with emerald eyes and a name to match.
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notrebellefrance · 2 years
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Gassin
une commune française située près de Saint-Tropez, dans le département du Var en région Provence-Alpes-Côte d’Azur.
Les premières mentions du village remontent à 1190 ou 1234. La tour du château médiéval qui subsiste témoigne de ce passé comme la rue de la Tasco. Le village s'est étendu par la suite à l'intérieur de la cour du château puis dans les faubourgs.
Site inscrit et classé Plus Beaux Villages de France, le village perché de Gassin fut longtemps appelée "La Vigie du Golfe". De par sa position, il était possible depuis cette hauteur de surveiller le golfe de Saint-Tropez - alors golfe de Grimaud - et la Baie de Cavalaire jusqu'aux Îles d'Hyères.
Les témoignages historiques abondent du passé médiéval : la porte des Sarrazins, ouverte au XIII-XIVe siècle, les restes d'un gond, ou les portes de la rue longue, dont la plus ancienne porte la date de 1422.
La rue de la Tasco est la rue la plus ancienne du village. Elle menait au fort de Gassin, dont il reste une tour d'un étage, aux pierres bosselées caractéristiques de l'architecture militaire médiévale en Provence.
Gassin apparaît - le village s'appelle alors Garcin - dans plusieurs cartulaires du Moyen Âge : celui de la Verne (1190) et celui de l'abbaye Saint-Victor de Marseille (1234-1235). Auparavant, il a existé une villa fortifiée au Bourrian et un habitat à Ville Vieille.
Malgré la présence d’un passage des Templiers, rien n’indique qu’il exista un établissement de cet ordre. Des auteurs anciens ont imaginé que le clocher carré de l’église du village, sur le sommet de la colline dominant le golfe de Saint-Tropez, fut une vigie templière.
L'habitat à Gassin reste longtemps perché car l'insécurité règne durant plusieurs siècles. Les razzias des Sarrazins se poursuivent tardivement : les pirates laissent derrière eux des morts et réduisent ceux qui sont capturés en esclavage. L’enlèvement devient une source de revenus pour les pirates qui permettent parfois le rachat des captifs : plusieurs familles gassinoises sont ainsi réunies, après parfois des captivités de plusieurs années en Afrique du Nord. C’est le cas de l’un des deux frères Magnan, enlevés et détenus à Bône.
À la fin du Moyen Âge, Saint-Tropez est détaché de la seigneurie de Gassin.
Le cadastre de 1516 montre un village fortifié construit autour d’une seule rue (l’actuelle rue de la Tasco) et comptant notamment le château et une église, entouré d’un faubourg.
Durant les siècles suivant, le village s'étend petit à petit vers l'ouest, dans les rues Longue, Tubassière, Rollet de Garcin, Moulin à Huile, Androuno actuelle.
Le village continue à grandir avec notamment, apparaissant sur le cadastre de 1728, l’hôpital au nord et la forge au sud. L’enceinte fortifiée compte alors deux entrées, l’une au nord, par le Portail Neuf, l’autre à l’ouest avec le Grand Portail.
Au XIXe siècle, le bourg castral a quasiment atteint sa composition actuelle.
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lilias42 · 2 years
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Salut, si tu veux 1, 16 et 32 pour les questions :)
Merci beaucoup !
1- What drew you to / made you pick up and play FE3H? / Qu'est-ce qui vous a attiré / fait prendre et jouer à FE3H ?
C'est surement pas très original mais, c'est la BA qui m'a donné envie de l'acheter. Je n'avais jamais joué moi-même à un FE (sauf si regarder quelqu'un jouer compte quand j'étais petite) et en voyant la BA, elle est restée dans ma tête car, je voulais savoir qui était la fille sur le trône. C'est vraiment cette question qui est restée et qui me donnait envie de jouer mais, je l'ai pas pris tout de suite car, je jouais à autre chose et surtout, je n'avais pas testé avant (je préfère jouer à la démo avant de prendre un jeu, histoire de ne pas gaspiller d'argent). Puis, à peu près un an après sa sortie, j'ai fini par le prendre autant car j'étais tombé sur des fanarts supers sur Pinterest, et que je voulais en savoir plus sur la fille du trône alors, banco ! Et maintenant, ce jeu ne me lâche plus !
16- Rank the Church of Seiros characters from your favorite to least favorite. / Classez les personnages de l'Église de Seiros de celui que vous préférez à celui que vous aimez le moins.
Pour eux, je vais aussi faire comme dans la réponse précédente, je vais également développé un peu pour dire pourquoi j'adore ou j'aime juste des personnages. Là, contrairement aux aigles, j'en ai pas que je déteste, ça va du perso que j'adore à des persos que j'aime juste, avec au pire du "meh" tiers qui sera le dernier de la liste, même si ça peut aller dans l'amour vache. Enfin bon, ce sera plus clair en développant la liste !
1 = Rhéa - par la Déesse, cette femme mérite tout l'amour du monde, arrêtez de lui taper dessus ! Non seulement, elle passe l'ensemble du jeu à protéger sa famille, ses élèves, les civiles, et Fodlan entier, mais elle a aussi une présence positive pour tout le monde ! Bon, d'accord, y a des points pas toujours super nets comme les homonculus et le fait de vouloir faire revivre Sothis où là, c'est pas clair si elle pense que cela risque de tuer Byleth ou si ça va finir en situation de symbiose ou autre mais bon, c'est ce qui la rend intéressante : Rhéa est vraiment grise. Elle fait des choses biens et elle fait des choses borderline mais, toujours avec une bonne raison en tête qui est de ramener la paix en Fodlan, ce qui passe par le retour de Sothis pour elle, ce qui se comprend aussi. Après tout, c'est la Déesse et sa mère, c'est normal qu'elle l'idéalise, surtout si on garde en tête qu'elle était très jeune quand elle est entrée en sommeil puis qu'elle est morte. Je sais qu'elle se fait haïr car, elle est toujours contre Delagarde mais bon, franchement et honnêtement, n'importe qui serait énervée si on vous disait que vous n'êtes pas digne de la moindre décence humaine, que vous devez mourir à cause de votre race / espèce, et qu'on va vous tuer et récupérer vos os et votre sang pour fabriquer des armes comme si vous étiez que des animaux sans conscience ni âme, je serais aussi sur les dents, surtout si ça passe par le génocide de votre races tout entière. Personnellement, je comprends qu'elle déteste Delagarde... en fait, même pas, elle est toujours triste de devoir l'affronter, sauf quand on la coince au pied du mur après avoir assassiner tous ses alliés et amis et tourne sa colère vers Byleth car, iel lui a volé sa mère, elle l'appelle même une "voleur-se" (référence évidente à Némésis d'ailleurs qui était aussi un brigand). Vraiment, les actions de Rhéa sont toujours compréhensibles une fois qu'on a son histoire et il y a assez peu de saut de logique dans ses choix (c'est pas Delagarde où on peut faire des théories si la moitié de ce qu'elle raconte de son passé n'est pas faux). C'est dommage qu'elle soit bazardé comme une demoiselle en détresse à sauver dans la seconde partie du jeu hors-CF car, il y aurait eu beaucoup de chose à dire sur elle (et rien que toute la haine injustifié qu'elle se reçoit de la part des stans font qu'elle mérite cette première place haut la main).
2 = Flayn - elle est si gentille ! On ne la voie pas assez souvent à mon avis mais, dès qu'on lui parle, elle est gentille, curieuse, et veut juste se faire des amis dans cette époque. En plus, elle aussi, on comprend d'où vient sa naïveté de façade, elle est réveillée depuis un an la gamine, deux grand maximum. En plus, malgré ça, elle a toujours une sagesse étonnante, sachant à quel point la guerre est horrible et arrache tout aux gens, et que la violence mène qu'à l'autodestruction. J'aime beaucoup son soutien avec Félix pour ça d'ailleurs. J'aime aussi beaucoup quand on voie sa curiosité du monde moderne et son envie de bien faire qui transpire à littéralement tous ses supports, notamment quand elle apprend à cuisiner. J'aime bien son soutien avec Ferdinand d'ailleurs, je le trouve très mignon avec Ferdinand qui est très prévenant avec elle, même si le soutien que je préfère, c'est celui qu'elle partage avec Seteth où ils travaillent sur leur relation et l'améliore (et ceux qui lisent mes chapitres savent à quel point j'aime les histoires tournant autour des relations parents / enfants). J'aurais aimé qu'on la voie plus mais, elle reste tout de même très attachante, surtout dans son amour pour sa famille. D'ailleurs...
3 = Seteth - la famille dragon se partage le podium ! Enfin, il le mérite, je les trouve tous très attachant. Seteth est peut-être le second plus froid et strict que Rhéa mais, lui aussi ça se comprend. Le gars est en charge d'une école, normal qu'il ait l'air d'un CPE ! En plus, quand on regarde ses soutiens avec les élèves, il a plus un rôle de psy scolaire en fait. Il aide tout le monde à résoudre ses problèmes en donnant des conseils car, il a plus d'expérience qu'eux et sait ce qui peut les attendre s'ils prennent de mauvaises décisions. C'est le rôle des adultes, en particulier à l'école, aider les plus jeunes à trouver leur voie en les protégeant, tout en leur laissant assez de place pour s'épanouir, même si c'est un équilibre très délicat à trouver, ce qui est parfaitement illustrer par sa relation avec Flayn. Leur relation est compliqué mais, on comprend aussi pourquoi Seteth agit ainsi : il a perdu sa femme et il a failli voir sa fille mourir, ce qui doit être la pire des choses pour un parent de survivre à son enfant, surtout à ce moment-là où ils risquaient tous de se faire transformer en arme. Alors, je trouve cela logique qu'il ait aussi peur pour elle, et voir leur relation se réparer à ce sujet fait vraiment du bien. Il aurait mérité d'avoir un soutien avec Rodrigue, ça aurait vraiment été excellent ! ça aurait été le soutien des meilleurs papas !
4 = Catherine - pour elle, ça a été dur au départ ! Au départ, je ne l'aimais pas beaucoup car, je n'avais eu que son soutien C avec Byleth, et je ne la jouais pas beaucoup vu que j'avais déjà Byleth pour faire le boulot avec une épée. Puis, j'ai lu ses soutiens et quand on en apprend plus sur elle, c'est un personnage intéressant qui est très réaliste sur ce qu'elle fait, et pas du tout quelqu'un de jaloux comme j'en avais peur et la fangirl de Rhéa. Elle est méfiante car bon, soyons honnête, c'est suspect de voir à quel point Byleth est ignorante de tout ce qui l'entoure, et il y a de quoi s'inquiéter de voir quelqu'un se tourner autant vers un inconnu (de ce que Catherine en sait). C'est normal qu'elle se méfie, et de ce qu'on en voie, c'est une femme volontaire, forte, respecté, qui respecte ses proches et les protège parfois d'eux-mêmes. Son soutien avec Alois m'a fait beaucoup rire pour le coup, et on voie à quel point elle tient à lui, tout en ne se faisant pas marcher sur les pieds. Le fait que j'ai pas mal de fanon sur sa famille a bien aidé aussi, surtout sur sa relation avec elle une fois partie et avec un de ses frères du nom de Théophylacte, ou Théo pour faire plus court avec qui elle était très proche, même après qu'ils aient dû se séparer, ainsi que sur son ancêtre (promis, un jour, je referais un billet sur les Braves et Pyrkaïa sera après Loquax). D'ailleurs, quelque chose que je respecte beaucoup chez elle, c'est son honnêteté sur ce qu'elle fait, que la guerre est horrible, et sa volonté de faire ce qui est juste. Christophe était son ami mais, elle l'a quand même dénoncé car, il allait commettre un crime. C'est peut-être dur à dire mais, je pense que beaucoup de gens (moi compris) aurait hésité à faire ce qui est juste si cela voulait dire qu'un proche serait jugé et condamné à mort. De plus, on voie à quel point être chez les chevaliers de Seiros est positif pour elle, est bien plus heureuse en tant que chevalière que noble, tout en étant encore une fois réaliste sur le fait qu'elle peut faire des choses horribles, surtout sur le champ de bataille. C'est ce qui en fait un personnage très fort pour moi !
5 = Byleth - l'avatar, maitre des quatre éléments... oups, mauvaise licence, même si Byleth est aussi l'élu de sa propre histoire. Mais oui, j'aime beaucoup ce qu'on aperçoit de Byleth. Que ce soit l'avatar aide mais, du peu qu'on voie de sa personnalité (en dehors de CF car, soit c'est un avenir catastrophe où Byleth perd tout ce qu'iel a dans le crâne, soit c'est la fic écrite par Delagarde en taule), c'est une personne gentille, qui aime aider les autres, et s'épanouit vraiment quand iel peut le faire. Bon, son design féminin est pourri, et son ignorance aurait pu être mieux gérer en en faisant juste quelqu'un de très tête en l'air, ça aurait été aussi assez drôle mais sinon, du peu qu'on voie, iel est très agréable à suivre et j'ai envie de découvrir Fodlan avec iel (enfin, plutôt elle pour moi), surtout que c'est agréable de suivre quelqu'un qui s'épanouit en aidant les autres au lieu de taper sur des trucs (pas vrai Jeralt ?)
6 = Manuela - meilleur médecin du monde ! Je vais répéter un peu ce que je disais sur Dorothéa mais, pour moi, Manuela est une Dorothéa en biiiien mieux. Elle est drôle, pleine d'énergie et d'entrain et son côté désordonné est aussi assez marrant à voir, tout en étant une femme capable, un médecin compétent, attentionnée avec ses élèves et qui fait tout pour les protéger. Elle se précipite derrière le Chevalier Macabre pour protéger Flayn ! Alors que nous, on l'évite les chapitres d'avant ! Donnez une médaille à cette femme ! En plus, son désir de trouver l'amour est bien plus compréhensible que celui de Dorothéa qui veut se trouver un mari riche, c'est tout à fait compréhensible qu'elle veuille trouver l'amour, même si elle doit apprendre que sa vie amoureuse ne la définit pas, et qu'elle peut s'épanouir dans des relations amicales. En plus, je trouve son duo avec Hanneman très amusant ! J'avoue que j'aurais bien aimé me marier avec elle tellement j'ai trouvé son soutien touchant et drôle mais bon, je joue f!Byleth donc, tant pis. Enfin bref, c'est un très bon personnage très sympathique !
7 = Cyril - il mérite aussi plus d'amour ! Comme sa maman ! Je sais que souvent dans le fandom, il est vu comme le gamin à qui Rhéa a lavé le cerveau mais, je le trouve en fait très lucide et mature pour son âge, ce qui n'est pas étonnant vu ce qu'il s'est pris dans les dents. Almyra lui a juste pris ses parents et enrôlé comme enfant soldat (son soutien avec Claude est très bon à ce sujet d'ailleurs), puis il a été fait prisonnier et esclave par la maison Goneril qui l'a maltraité avant que Rhéa le sauve, lui donne un foyer stable et la possibilité de vivre tranquille avec des gens qui tiennent à lui. Evidemment qu'il va l'adorer après ça. Et j'aime aussi que sa manière de montrer sa reconnaissance soit critiqué : Rhéa ne voudrait pas qu'il se tue au travail, mais plutôt qu'il se construise un avenir, ce qui est bien montré dans son soutien avec Seteth. De plus, j'aime beaucoup ses soutiens avec Mercedes qui passe en mode full maman / grande soeur et s'occupe de lui, celui d'Ignatz qui arrive à lui tirer un peu le nez de son travail, ainsi que celui avec Ashe sur le fait qu'il voie bien, j'aime beaucoup leur amitié ! Il peut être bourru mais, c'est un trait de personnalité qu'on retrouve chez d'autres personnages qui se prennent moins de haine (genre Jeralt) alors, cela ne me gêne pas. Bref, un perso qui mérite aussi plus d'amour !
8 = Shamir - notre mercenaire préféré après Byleth. En fait, au début, je la préférais à Catherine, j'étais plus attiré par son côté taciturne, discret et cool mais, au final, je préfère sa femme (quoi c'est pas sa femme ? Vous avez vu leur soutien ? Team Catmir en force ici !) Mais sinon, je l'aime toujours pour son côté pro mais, qui n'arrive pas à cacher à quel point elle tient à ses camarades. Elle tient beaucoup à eux, surtout son élève Cyril, et même si elle est froide, on arrive à voir qu'elle tient à eux. Son dialogue de mort dans CF avec Alois est déchirant à ce sujet d'ailleurs ! (car évidement, elle ne rejoint jamais Delagarde, c'est aussi un agarthan)
9 = Hanneman - notre prof passionné de son sujet préféré ! Comme pour Linhardt, il y a un peu de projection, étant donné que je connais pas mal de personnes comme lui qui sont à fond sur leur sujet, et c'est cette passion qui le rend attachant pour moi. D'accord, il peut être TRES gênant avec, je ne le nie pas mais, il se rattrape en tentant d'aider au mieux ses élèves, surtout ceux qui ont besoin de bons conseils ou d'adulte stable (ma main au feu que ses étudiants l'appellent "papi Hanneman" [non, ce n'est pas du tout de la projection avec le senior de mes profs]). C'est d'ailleurs un des (voir le) meilleurs soutiens d'Hubert pour moi car, il essaye de faire comprendre à Hubert le point de vue de son père, même si c'est tragique étant donné qu'il échoue (et tout ce soutien aurait dû pouvoir être accessible avant l'ellipse pour tirer toute la tragédie potentiel du soutien mais bon). Je n'aime pas du tout son soutien avec Delagarde par contre, sur le fait que ses recherches soient motivés par la mort de sa soeur. Déjà, femme dans le frigo, merci beaucoup, on répète encore une fois que l'empire est le pire endroit de Fodlan, on a compris (même si le jeu ne le hurle pas assez fort pour certains), et je trouve que ça enlève en partie ce qui fait son charme : sa curiosité à toute épreuve, et aussi qu'il veuille aider ses élèves à sa manière. J'aurais préféré qu'on ait un Hanneman qui voie en quoi les emblèmes donnent des avantages (comparaison bien connu : un guérisseur ordinaire guérit une personne quand un avec l'emblème de Cethleann ou Lamine en guérit dix), et ait voulu la rendre accessible au plus grand nombre pour aider les autres. On garde l'idée que c'est mal de différencier les gens sur leur sang mais, au lieu de pleurnicher "ouin, ouin, les emblèmes sont à l'origine du mal", on aurait plutôt une approche plus positive : ok, les emblèmes existent et donnent des avantages à ceux qui les possèdent, essayons de faire en sorte de réaliser des miracles dignes de ses emblèmes avec notre esprit. C'est une idée comme ça mais, je pense que ça aurait été quelque chose de plus positif et moins répétitif avec le reste. Malgré tout, cela reste un bon personnage très attachant dans son côté érudit curieux et qui veut faire avancer la recherche, tout en aidant ses étudiant.
10 = Alois - l'oncle de la garde de Seiros ! Je l'aime bien aussi, même si comme Léonie, il est handicapé par son "Jeralt <3" surtout que bon... c'est quand même assez morbide comme affaire, il l'a pris comme apprenti car il ressemblait à son ancien qui était mort alors... quoi ? En 300 ans, il n'a eu que des apprentis avec la même tête ce poivrot ? Enfin bon, je le trouve tout de même très touchant dans son attachement à Byleth comme une sorte d'oncle, et il arrive à faire des trucs bien avec Jeralt quand il dit dans CF qu'il va enterrer Byleth de ses propres mains car, iel s'est allié aux assassins de Jeralt. Et même en dehors de ça, je trouve son envie d'aider les autres, même seulement en les faisant rire, est très touchante, même s'il n'est pas doué pour faire des blagues (j'aime d'ailleurs beaucoup son soutien avec Dimitri pour ça !) C'est surtout un personnage comique mais, il arrive à avoir de bons soutiens (excepté avec Manuela qui le fait passer pour un idiot... et je sais pas ce que ce jeu a avec les porteurs de hache et les bagarreurs mais, à part Byleth, Dedue et Félix pour ceux qui se battent aux poings, et Annette, à nouveau Dedue, Gilbert et Hilda pour les combattant à la hache en arme principale, ils n'ont clairement pas inventé la poudre...) mais j'aime beaucoup son soutien avec Gilbert en tout cas ! Et il en faut beaucoup car...
11 (bonus) = Jeralt... de très loin le pire perso lié à l'Eglise... Déesse, qu'est-ce qu'ils ont bien voulu faire avec ce personnage ? Des personnes comme Randomnameless l'ont démoli pièce par pièce bien mieux que je ne le ferais en quelques lignes mais, même si j'étais attaché à lui au départ car, Byleth tenait aussi à lui, son personnage ne tient pas debout deux secondes. Qu'est-ce qu'il fait en fait ? De concret je veux dire, qui a un impact sur l'histoire ? Il a fui le monastère avec Byleth car, iel était "bizarre"... ok... il sait que son gosse ressemble juste à sa mère ? Il a dû le remarquer quand... il a fait vous savez tous quoi avec Sitri. Et il jette tout le blâme sur Rhéa après plus de 100 ans à ses côtés... ok, crève connard, elle a juste accompli la dernière volonté de Sitri en sauvant Byleth pour avoir qu'un mort plutôt que deux. Il crache juste sur la dernière volonté de sa femme. Mais le pire pour moi, c'est comment il élève son enfant : il l'emmène dans des zones de combat, lui cache tout sur le monde, et il ne lui apprend qu'à se battre. Genre... même Claude qui est en Fodlan depuis un an en sait plus que Byleth sur son propre lieu de naissance ! Pour dire ! Et ça, c'est le carton rouge pour moi ! Un parent est censé éduquer son enfant pour qu'il soit un adulte épanoui, sache vivre en société et qu'il puisse se débrouiller tout seul, et Jeralt ne fait rien de tout ça ! Il le limite en ne lui apprenant rien, ce qui l'empêchera de s'épanouir complètement (nopes confirme même qu'il pense que son enfant ne serait pas capable de devenir professeur [3H lui met une énorme tarte !] et rabaisse ses compétences), le coupe plus ou moins volontairement des autres (notamment d'enfant de son âge alors que la socialisation par les pairs est très importante) et tout ça fait que Byleth dépend beaucoup de son père pour vivre. Avec ceci, il boit beaucoup donc, je vous laisse imaginer ce qui pourrait potentiellement arriver à Byleth avec un père alcoolique, et il laissait longtemps Byleth tout seul comme quand il l'a laissé des mois lors de sa mission au village de Léonie ! Il en a fait quoi de son gosse pendant tout ce temps ?! Vraiment, Sitri n'a pas de chance en matière d'homme ! Et Byleth méritait largement mieux ! Il n'y aurait pas Ionius et Varley dans le même jeu, il serait sacré pire père de Fodlan haut la main ! Il peut se rhabiller face à Rodrigue et Seteth qui eux sont de bons parents ! Ils peuvent être sévères mais, un enfant / ado a besoin d'un cadre clair, net et précis pour savoir ce qui est autorisé ou non, ainsi que ce qui est bien et mal alors, c'est normal qu'ils soient sévères tous les deux avec les plus jeunes, ils endossent le rôle d'éducateur (et vu les adultes de ce jeu, y en a besoin !). En fait, la seule qualité que je lui trouve au Jéralt, c'est de servir de repoussoir quand j'écris des parents mercenaires et d'exemple de tout ce qu'il ne faut pas faire. Après réflexion, mon Kyphon est un peu un anti-Jéralt car lui, il fait tout pour protéger sa fille et lui donne tout ce qu'il a, même si c'est très peu, et ferait tout pour elle, quitte à marcher sur sa propre dignité pour trouver l'argent afin de lui payer à manger car, son enfant passe avant tout et il veut que sa Clothilde ait un avenir où elle n'aura pas à se battre pour survivre. Enfin bref, Jeralt, niveau poubelle avec les autres persos que j'aime pas.
Voilà ! Logiquement, c'est à peu près représentatif ! Et je n'ai pas mis Gilbert ici car ça aurait été assez salé et long à expliquer car il appartient plus aux lions de saphir qu'à l'église pour moi.
32- What is your favorite post-timeskip character design or outfit? / Quel est votre design de personnage ou votre tenue post-timeskip préféré ?
Alors, j'avoue que j'y pense pas beaucoup vu que j'en aime la majorité mais, selon les maisons, je dirais que c'est soit celle de Marianne car, elle montre bien qu'elle est va mieux cinq ans après avec ses amis, soit celle d'Ignatz que je trouve vraiment belle ! Elle est originale et je peux m'empêcher de me dire que sa plume peut lui servir à écrire ou dessiner en cas de besoin. En plus, je trouve qu'ils vont bien ensemble habillé comme ça, je les imagines bien poser pour un tableau de groupe (un peu à la manière du tableau "Les époux Arnolfini"). En fait, je trouve que les conceptions post-ellipse des cerfs sont celles qui sont les plus jolies avec toutes leurs couleurs ! ça ressemble bien à l'esprit de leur maison d'être pleine de couleur et leurs habits font vraiment habits de civils (genre, je ne serais pas étonné que pas mal de monde s'habille comme Léonie ou Marianne), ça fait vraiment groupe d'excentrique qui finisse par atterrir dans une guerre, alors que ce n'est pas dans la spécialité de Leicester. J'aime bien ce genre de détail.
Par contre, les tenues des lions sont les plus logiques avec la situation, ça fait vraiment tenue militaire, sauf peut-être celle de Mercedes mais, c'est la seule qui ne vient pas d'un milieu lié de près ou de loin avec l'armée. La robe d'Annette est carrément une robe de mage personnalisée ! C'est d'ailleurs aussi une de mes tenues préféré des lions avec celle de Félix (j'avais vu un billet de smudgedmascarasposts qui montrait que les petits éléments en métal de sa tenue formaient en fait son emblème familiale et j'adore ce détail ! ça fait vraiment "oui, j'aime ma famille et j'y tiens mais, ne le dit pas trop fort !" alors qu'il se balade avec son emblème camouflé dans ses vêtements)
Et bon, bu que j'ai parlé de deux maisons, autant parler des deux qui restent ! Pour les aigles, je dirais que c'est Ferdinand : j'aime bien sa veste rouge qui transmet bien sa noblesse d'esprit, ses morceaux d'armure qui rappelle son côté guerrier, et le détail qu'il a les cheveux aussi longs car, il n'a pas le temps de les couper, ça montre bien à quel point il est impliqué dans son travail et qu'il est débordé ! (et j'avoue, ça me fait aussi penser à mon Guillaume qui ne se coupe pas souvent les cheveux car, il n'a pas le temps et quand il le fait, c'est un coup de dague et c'est bon, pas de temps à perdre) En plus, ça fait vraiment comme des rayons de Soleil tout autour de sa tête ! ça lui va super bien !
Pour l'Eglise, je dirais que c'est soit Flayn, soit Catherine. L'habit de Flayn fait très unique, tout en rappelant bien les uniformes scolaires, ce qui l'intègre bien dans les classes où elle va (même si ça aurait été bien qu'elle ait une vraie tenue post-ts + que ce soit un uniforme qu'elle ait récupéré pour mieux s'intégrer à l'académie, puis customiser pour se différencier des élèves que ça ne m'étonnerais pas) tout en ayant l'air toute légère avec ses grandes manches et sa jupe un peu bouffante, tout en étant très mignonne avec tous ses rubans. Et pour Catherine, j'aime bien que ce soit en fait une tenue d'épéiste personnalisé, ça va bien avec sa fonction de chevalier de Seiros. En plus, mêmes sa boucle de ceinture et la broche qui tient sa cape ressemblent à l'emblème de Seiros alors, ça la lie encore plus à Rhéa ! Par contre, elle ne porte pas l'emblème de Charon, ce qui permet de bien montrer que pour elle, sa place est dans l'église et pas dans la noblesse du Royaume (même si comme tout le monde dans l'Eglise, elle aurait aussi mérité un habit post-ts particulier mais bon, c'est ainsi).
En tout cas, merci beaucoup pour ses questions !
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Filtrer les reprises de tendances avec l'AVWAP
Qui n’a jamais rêvé de pouvoir filtrer efficacement et être (quasi) sûr qu’un mouvement de correction soit terminé dans une tendance ? L’AVWAP ou Anchored VWAP (VWAP Ancré) permet de réaliser ce type d’analyse fine. Rappel sur ce qu’est l’AVWAP J’ai déjà abordé le sujet dans cet article. Retenez en gros que le VWAP donne le prix correspondant à la moyenne pondéré de toutes les transactions…
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etiennedaho · 1 year
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Etienne Daho numéro un des ventes avec l'album "Tirer la nuit sur les étoiles"
Etienne Daho peut se réjouir de séduire toujours autant le public. Son nouvel album "Tirer la nuit sur les étoiles" débute directement à la première place des ventes en France. Il s'agit seulement du deuxième numéro un de sa carrière. Tous les chiffres !
Etienne Daho revient sur le devant de la scène avec son nouvel album "Tirer la nuit sur les étoiles". Six ans après le formidable "Blitz", la légende de la pop française s'est entourée de Vanessa Paradis, du groupe Unloved ou d'Italoconnection pour mettre en forme ces 12 chansons autant inspirées par la pop des années 60 qu'accompagnées d'arrangements orchestraux. « Il y a une logique dans un illogisme, d'une certaine manière. C'est aussi lié à l'ordre des chansons, car elles ont toutes un style différent. Il n'y a pas un seul style qui est développé sur tout l'album, ça va vraiment dans tous les sens. Et c'est l'essence même de la pop : c'est plein de choses ! L'idée est de prendre l'auditeur par la main sur le premier titre et l'amener jusqu'au bout avec le dernier. Et en essayant d'avoir des volte-face sur les tempos et les émotions que ça provoque » confesse le chanteur en interview pour Purecharts.
Une deuxième dans sa carrière !
A travers cet album, dont la pochette est placardée sur les murs de Paris, Etienne Daho compte bien revenir par la grande porte, comme le prouve l'annonce de sa tournée des Zénith, qui se terminera par un concert à l'Accor Arena de Paris en décembre, le premier de sa carrière. « J'ai un producteur qui a pilonné en me disant "Maintenant ça suffit l'Olympia, faut faire autre chose". Et je me suis laissé convaincre. (...) Je me suis dit que c'était un challenge qu'il fallait se mettre. Et c'est très excitant, je ne pense plus qu'à ça maintenant » avoue avec le sourire Etienne Daho à notre micro. Et ce sourire, il peut le garder puisque son nouvel album "Tirer la nuit sur les étoiles" entre directement numéro un des ventes cette semaine !
Surclassant "Melvin de Paris" du rappeur Jok'air, Werenoi ou "Subtract" d'Ed Sheeran, Etienne Daho écoule très précisément 11.298 exemplaires du disque. En 2017, "Blitz" était entré sixième avec 16.000 ventes au compteur, tandis que "Les chansons de l'innocence retrouvée" avait séduit 25.000 fans en novembre 2013. A noter que "Tirer la nuit sur les étoiles" est seulement le deuxième numéro un de la carrière d'Etienne Daho. L'artiste avait décroché la pole position du Top hexagonal en 2000 avec "Corps et armes". Une jolie coïncidence puisque les deux disques se veulent assez proches musicalement parlant, avec cette pop symphonique. La classe jusqu'au bout !
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whencyclopedfr · 2 years
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Byzance
La cité antique de Byzance fut fondée par des colons grecs de Mégare vers 657 av. J.-C. Selon l'historien Tacite, elle fut construite sur la rive européenne du détroit du Bosphore sur ordre du "dieu de Delphes" qui dit de construire "en face du pays des aveugles". Cela faisait référence aux habitants de Chalcédoine qui avaient bâti leur ville sur la rive orientale du détroit alors que la rive occidentale était considérée comme beaucoup plus fertile et mieux adaptée à l'agriculture. Bien que la ville ait accepté l'alphabet, le calendrier et les cultes de Mégare, beaucoup reste encore inconnu sur sa fondation. La région devait rester importante pour les Grecs comme pour les Romains. Située dans une région très fertile, la ville avait encore plus d'importance du fait de sa position stratégique. Non seulement elle gardait la seule entrée de la mer Noire, mais elle se trouvait aussi près d'un profond bras de mer, la Corne d'Or, faisant que la ville ne pouvait être attaquée que par l'ouest.
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aurevoirmonty · 2 years
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Le Robert transforme sa définition du mot « famille » après des pressions LGBT
Deux associations se sont insurgées sur les réseaux sociaux de voir une définition de la famille correspondant au modèle traditionnel dans plusieurs dictionnaires. Le Robert ne se fait pas prier pour effectuer des modifications. 
Chaque année fleurit une nouvelle édition du dictionnaire, enrichie des plus ou moins charmantes évolutions de la langue française. Ainsi certains mots font leur entrée dans le dictionnaire pour le meilleur et pour le pire comme lorsque « iel », « génance », ou encore « chiller » entreront dans le Petit Robert 2023. Néanmoins, il n’y a pas que des entrées, il y a aussi certains mots dont la définition est changée. Cette année, c’est le mot « famille » qui a été l’heureux élu.
De manière évidente, ce changement a une dimension très politique. La langue étant l’un des soubassements de la société, s’en prendre à elle, c’est transformer la société française elle-même. Ainsi, on comprend mieux pourquoi le mot « famille » est la cible d’attaques de la part de deux associations LGBT, l’ADFH (association des familles homoparentales) avec le soutien de SOS homophobie. 
Pressions d’une ultra minorité
« Ces militants cherchent à déconnecter les mots du sens du réel […] et à déconnecter le père et la mère de la famille » s’insurge Ludovine de la Rochère, présidente de la Manif pour tous, qui voit dans ce changement une énième tentative de destruction de la famille traditionnelle comme pilier de la société. L’actuelle définition qui est présente sur le site des éditions du Robert est : « Les personnes apparentées vivant sous le même toit et, spécialement, le père, la mère et les enfants ». Horreur ! Ô rage ! Ô désespoir ! Ô hétéro ennemie ! Il est venu le temps de changer cette infamie ! Et ce sera chose faite, à priori, la semaine prochaine sur leur site internet. Tout cela, à la suite d’un tweet rappelant que depuis 2013, le modèle familial avait changé.
Il aura suffi en effet de cette simple attaque de la part de l’ADFH « likée » 20 fois sur le réseau social, autant dire quasi rien. L’association, épinglant Le Robert, déclarait : « Pourquoi ce “spécialement le père, la mère” dans une définition “restreinte” de la famille ? Depuis 2013, la famille ce n'est plus uniquement “père, mère et leurs cinq enfants…” »
« Une ultra minorité veut changer le sens des mots » déplore Ludovine de la Rochère. La maison d’édition aurait en effet facilement pu se contenter d’ignorer le tweet et ne rien modifier. D’ailleurs, cela a visiblement été le choix des éditions Larousse.
Attaqué, Larousse maintient sa définition
La maison d’éditions aurait en effet facilement pu se contenter d’ignorer le tweet et ne rien modifier. D’ailleurs, cela a visiblement été le choix des éditions « Larousse ». Alors que l’ADFH pointait également du doigt sa définition de la famille BFM indique que les éditions n’ont «pas l’intention de modifier sa définition actuellement en ligne». Elle est actuellement la suivante : « Ensemble formé par le père, la mère (ou l’un des deux) et les enfants. »
De son côté la directrice de la rédaction des éditions Le Robert, Géraldine Moinard, justifie ses modifications de la manière suivante auprès de BFM : «On a fait beaucoup de changements sur les mots de la famille dès le début des années 2000.» Elle assure que Le Petit Robert en ligne est le premier à être modifié, avant les transformations dans la version papier. «Visiblement on a eu un oubli de report pour le mot famille exclusivement pour la version en ligne », déclare-t-elle.
Le Robert connu pour ses positions progressistes
Ce n’est pas la première fois que la maison d’édition Le Robert s’illustre par sa ligne éditoriale progressiste. En 2021, déjà, elle proposait d’incorporer « iel » dans son dictionnaire, et le fera finalement en 2023. « Il est clair que si je dois conseiller un dictionnaire, je ne choisirais pas le Robert » ironise Ludovine qui ajoute « il y a ceux [ndlr : les entreprises] qui subissent des pressions et il y a ceux qui adhèrent par idéologie ».
Ce changement de définition, qui pourrait paraître anecdotique, risque pourtant d’avoir au fil du temps un fort impact. Alors qu’il y a quelques années certains ne voyaient dans l’écriture inclusive qu’une « lubie féministe » voire une blague qui ne passerait jamais, désormais, la grande majorité des administrations, en particulier universitaires l’utilisent alors même que l’Académie française l’interdit. L’histoire montre que bien souvent, hélas, ce ne sont pas les règles et l’usage qui font la langue, mais bien l’influence de certaines minorités.
Tanguy Letty
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christophe76460 · 2 days
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PENSE PLUS GRAND
GARDE TON IDENTITE
Tous prirent alors des branches de palmiers et sortirent de la ville pour aller à sa rencontre; ils criaient: “Gloire à Dieu! Que Dieu bénisse celui qui vient au nom du Seigneur! Que Dieu bénisse le roi d'Israël!” … “Mais selon la coutume que vous avez, je vous libère toujours un prisonnier à la fête de la Pâque. Voulez-vous que je vous libère le roi des Juifs?“ Jean 12:13 et Jean 18:39 BFC
Quelques jours avant sa condamnation à mort, Jésus arrive à Jérusalem où il est célébré comme roi par le peuple juif. Une grande foule l’attend à la porte de la ville, célébrant son entrée et chantant des louanges en son honneur. Quelques jours plus tard seulement, les mêmes personnes qui l’avaient acclamé, crient maintenant: “Qu’il soit crucifié! Nous ne voulons plus le voir!” D’abord la superstar, puis peu après, un condamné qui se fait clouer sur la croix. De plus, Jésus est abandonné par la plupart de ses amis. Ses disciples s’éloignent de lui, l’un le renie même, et quand Jésus leur demande de le soutenir par la prière en ces temps difficiles, ils s’endorment tout bonnement. Jésus a été, de ce point de vue, livré à lui-même. Pas d’amis qui l’accompagnent, le peuple qui le déteste. Jésus traverse la période la plus difficile de sa vie.
Si Jésus avait bâti sa valeur sur l’opinion des hommes ou sur leurs encouragements, c’est à ce moment-là qu’il aurait eu un gros problème. Mais Jésus a construit sa valeur, son identité et sa confiance non pas sur ce que les hommes disaient de Lui, mais sur l’amour de son Père céleste.
Si nous construisons notre propre estime sur ce que les gens disent de nous et que nous dépendons du soutien des autres, de leur foi en nous et de leurs encouragements, nous aurons, tôt ou tard, un problème. Au plus tard, au moment où ils nous tourneront le dos.C’est pourquoi, attache-toi à l’identité que Dieu t’a donnée. Laisse ton créateur te dire qui tu es, ce que tu peux faire et quelle valeur tu as. Ne laisse pas les gens, ton travail, tes proches, ton entourage ou ton succès te dire qui tu es. Ce sont toutes des sources humaines qui te décevront tôt ou tard. Tant que les gens te diront: “Tu es bon, tu es génial, tu es incroyable”, tout ira bien. Mais qu’arrivera-t-il si ces gens changent d’avis? Nous ne devons pas fonder notre valeur sur ce que les autres disent de nous. Les gens ne sont pas fiables. Les gens sont des êtres humains, comme toi et moi. Ils commettent des erreurs, ils échouent et changent d’avis. Ils louaient Jésus le dimanche des Rameaux, quand il entrait à Jérusalem, et quelques jours plus tard seulement, ils criaient: “Crucifie-le!“
Si tu ne sais pas qui tu es aux yeux de Dieu et que tu construis ton estime de soi rien que sur l’encouragement des gens qui t’entourent, alors tu te sentiras très perdu et seul s’ils viennent à te décevoir. Et ils le feront. C’est pourquoi je veux t’encourager à construire ta valeur et ton identité sur ce que Dieu dit de toi. Aujourd’hui même, Dieu te dit à travers la Bible: “Tu es mon chef-d’œuvre. Tu es ma création la plus précieuse. Tu es unique, ingénieux avec beaucoup de facultés. Tu es talentueux, tu es magnifique. Tu vis au bon endroit, au bon moment. J’ai un plan pour ta vie et je ne te laisserai jamais tomber. Tu es voulu. Tu es mon enfant et j’ai encore plein de surprises positives pour toi.” Nous n’avons pas besoin des hommes pour nous dire qui nous sommes. Dieu veut nous le dire. Une identité saine est fondée sur notre foi en lui. C’est pourquoi, même si les gens t’abandonnent, ne te laisse pas décourager. L’appui de Dieu est et demeure une ferme assurance pour ta vie. Accroche-toi à ton identité divine et tu découvriras une nouvelle force, une nouvelle joie et une nouvelle perspective, peu importe ce que les gens qui t’entourent diront de toi.
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braceletmagik · 4 days
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Que pouvez-vous attendre des bracelets astrologiques personnalisés ?
Le bracelet astrologique signifie bien plus que simplement indiquer un bijou exquis ; il dévoile une entrée dans les énergies se référant à vos cartes de naissance. Vous pouvez en apprendre davantage sur les avantages des bracelets astrologiques personnalisés et des bracelets astrologiques personnalisés en fonction de l'astrologie.
En gros, votre bracelet est accordé par vos énergies. Il constitue alors un bijou étonnant et extrêmement puissant en harmonie avec la personnalité et le chemin de vie d'une personne. La signification et l'importance des bracelets astrologiques personnalisés et des bracelets astrologiques personnalisés selon l'astrologie sont énormes pour de nombreuses raisons cachées.
Vous devriez toujours opter pour les bracelets astrologiques personnalisés car ils sont extrêmement beaux et ont une grande essence. Les personnes qui recherchent une esthétique avec de grands effets et résultats devraient explorer les bracelets astrologiques personnalisés.
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Accueillir la positivité                                       
De tels bracelets peuvent en outre être conceptualisés de manière à ce qu'ils chargent le signe du zodiaque dominant du propriétaire d'énergie positive. En amour, en réussite, en pouvoir et en créativité, entre autres choses que l'on souhaite dans la vie, un bracelet astrologique attirera toutes les formes d'énergies qui rendraient vos objectifs réalisables.
Ces bracelets d'horoscope spirituel peuvent aider à l'évolution de sa spiritualité car ils aident à se connecter aux courants d'énergie de l'univers. On sait qu'en portant ces bracelets, on peut se connecter au thème et aider à fixer des objectifs concernant la vie et la spiritualité. Avec chaque bracelet d'astrologie personnel portant son signe unique, il s'agit certainement d'une déclaration de mode qui a une signification personnelle. C'est un outil qui renouvelle votre style tout en l'orientant vers l'univers et vers ses capacités en même temps. Allez-y ! Et revendiquez les meilleurs avantages des Bracelets astrologiques personnalisés et des Bracelets personnalisés en fonction de l'astrologie.
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