#ça va sans dire
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segretecose mortal enemies:
edgar degas
egon schiele
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il mio hobby è esclamare veementemente “ma non me ne frega un cazzo” mentre ascolto gli audio di gente che tende a raccontare a) aneddoti assolutamente irrilevanti tendenti al flusso di coscienza, b) in maniera poco interessante. l’altro mio nuovo hobby è ricambiare raccontando cose ancora più minuziosamente dettagliate nella loro assoluta irrilevanza, in maniera confusa e sconclusionata. perché essere la persona più passiva aggressiva del mondo implica anche l’obbligo di dimostrare di meritare tale status
#allora io sono pro audio perché il papiro da leggere anche no e la telefonata non è sempre la soluzione giusta#cioè per le cose urgenti claro que sì. ma per raccontare cose random io apprezzo molto l’audio poiché con i miei amichetti ça va sans dire#che ci si risponde quando se ne ha voglia/tempo/energia e quindi è la soluzione ideale soprattutto perché viviamo in posti diversi e ci#vediamo letteralmente una manciata di volte ogni tot#DETTO CIÒ#bisogna anche saper raccontare le storie perché se sì allora anche un audio lungo può essere piacevole e di grande intrattenimento#ALTRIMENTI anche 30 secondi sono una tortura incredibile che veramente signore prendimi#e ora mi trovo a gestire la seconda fattispecie woohoo
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pierre bourdeau local therapist
#non vous savez ce qui me rend vraiment dingue ? c’est qu’ils ont même pas vraiment besoin de parler.#nicolas est hyper vénère parce que c’est sa seule réaction au stress#et pierre comprend ça#et s’excuse aussi un peu auprès de rabouine qui lui pense que c’est de sa faute alors que ça l’est pas#et que nicolas a besoin d’un bouc émissaire#et là ? là il attend bien qu’ils soient seuls#et il prend un ton très doux et compatissant pour lui dire juste : ‘racontez#parce que de toute façon nicolas va lui dire#mais il a besoin qu’on lui sorte les premiers mots de la bouche avant de de lâcher#et pierre lui laisse le temps juste le temps d’un silence pour qu’il se prépare mentalement à parler#et nicolas ? il se livre complètement sans colère#parce qu’il sait que pierre l’écoutera sans jugement et avec compassion#soulmates you say ? oui.#nicolas le floch#la complainte de julot
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My taste In men is babygirl or fuckboy
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c'est quand même dingue que les anglophones ait pas de mot pour dire "encadré"
#j'essaye d'expliquer à des collègues que dans la mise en page certaines infos seront dans un encadré#et je me retrouve à devoir dire 'in a box'#A BOX#peut-on concevoir un concept moins précis que ça#à un moment les enfants il va falloir penser à s'acheter du vocabulaire#déjà que pour apéro on a rien dit#et j'ai enseigné 4 ans à un public anglophone sans pouvoir utiliser les mots “brouillon” et “révision”#ça commence à bien faire#pour nommer “péter sous la couette et enfermer ton partenaire dessous pour le/la forcer à respirer” y'a du monde#mais pour avoir une discussion d'adulte#y'a plus personne#languages
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i should stop rewatching slg because every time i get feels again
episode 99 god.
#hhhhh wanna rant about it#anyway le Présentateur est genre tellement génial comme perso#mon préféré reste le panda (développement récent à l'époque d'slg c'était le geek)#mais god que le présentateur lui-même est tragique#déjà tu peux te douter qu'il est arrivé de la merde quand mathieu était gisse car un tdi ça apparaît pas de nulle part#mais même sans ça.#le fait que le présentateur était dans l'ignorance totale durant tout ce temps.#il se fait kidnapper pour être enfermé dans un asile (il a jamais rien demandé! l'homme au masque l'a fait!)#et finit par apprendre la vérité brutalement et subir un traitement inhumain après une 'rechute'#il se fait tirer de là mais finit kidnappé à nouveau#cette fois pour faire face à la conséquence de ses actes#il est complètement paumé à nouveau et en pleine détresse#il sait qu'il va crever il apprend qu'il a causé la mort de quelqu'un et il peut rien dire pour sa défense#hormis la seuke vérité: il pensait pas que ça irait aussi loin. que l'émission irait aussi loin que son impact irait aussi loin#et la dernière chose qu'il entend c'est ta gueule espèce de taré#puis il se fait buter#(il va mieux après mais même là ça va pas mieux)#urggggh y a tellement à dire sur lui#(et maître panda. putain l'un de mes plus grands regrets de la fin d'slg c'est qu'on a jamais eu le fanmade d'angelmj#et j'aurais adoré avoir son analyse du perso. il a réussi à donner des feels sur le prof et montrer du tragique dans le hippie.)#brefouille FEELS i need to keep writing my fic maybe also write short stuff for each characters idk#slg#salut les geeks#mathieu sommet
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Des visites Historico Hystériques à La Rochelle
À l’occasion de son 30e anniversaire, La Rochelle Université organise en mai, juin et juillet 5 visites « historico-hystériques » sur son campus. Ces déambulations décalées s’inscrivent dans le programme du 30e anniversaire de l’Université et des Rencontres du Littoral Urbain Durable Intelligent. Les mercredis 24 et 31 mai, 14 et 28 juin et 19 juillet à partir de 17h, La Rochelle Université…
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#Balade#Compagnie ça va sans dire#déambulation#Fred Billy#humour#La Rochelle#la rochelle université#visite guidée
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Ce qu'on m'a dit: "Non mais sois intelligent.e un peu aussi."
Ce que j'ai entendu: kys.
#va dire à la personne sans estime de soi qu'elle est stupide tout va bien se passer#ça fait un moment que je suis plus suicidaire (et je me demande si je l'ai déjà vraiment été) mais wouah on perd pas les bonnes vieilles#habitudes comme ça on dirait
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quand je dis famille de merde vraiment je le pense.
#viens papa on va se promener#jvois pas l'un de mes frères pdt 2 mois. il débarque comme une fleur et au bout de 2 min de conversation se braque#jlui dis que je suis pas contre lui mais bref#je vais dans une autre pièce redescendre et quand je reviens juste il me calcule pas. donc je le calcule pas. et il se casse avec mon père#sans même dire au revoir#une fois de plus envie de pleurer de rage#marre de cette famille de constipés des émotions qui sont incapables de mettre leur ego de côté je m'inclus dedans mais moi je bosse dessus#fun fact tho jpeux jamais partir sur paris pour un concert sans que ce genre de truc se passe ça commence vraiment à me gaver#du coup là il s'est barré#j'ai zero idée de quand je vais le revoir. il a pris aucune nouvelle de moi mais ça a pas l'air de le déranger.#et là il se barre avec mon père en mode alors que omggggg. quel hypocrite ptn. jpeux plus#mon délire c'est pas de casser du sucre sur le dos des gens et après faire les gentil.le.s devant elleux#tout ça pour dire qu'on s'est pris de gueule pck j'ai pas voulu casser du sucre sur le dos de ma cousine. on en est là
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saga: Soumission & Domination 361
Espagne 2015-3 : Jaime recrutement
Jaime
Donc Jaime a 18ans et rentre en 1ère année de fac de science. C'est un volleyeur (ça s'est vu sur la plage). 1m85, 80Kg de muscles sous une peau imberbe, bronzée et débarrassée de ses quelques poils hors pubis, noir de cheveux, monté 20 x 5 à 5,2 circoncis. Homo depuis sa première expérience sexuelle avec un de ses potes de sport, il a fait son coming-out et sort d'une histoire de près d'un an avec un mec de 20 ans. Il est actif et passif. Son père est médecin et sa mère l'assiste, mais dans le contexte économique actuel et 3 frères et soeurs plus petits, il cherche à participer au financement de ses études et c'est pour ça qui va faire le serveur au mois d'août.
Ernesto déballe son argumentaire. C'est la première fois que je l'entends. Il est bon dans l'exercice. Jaime n'est pas choqué par la proposition. Il faut dire qu'Ernesto amène comme un privilège le fait d'entendre celle-ci. D'ailleurs Jaime est flatté que ce soit lui et pas les autres qu'on ait choisi en premier.
J'insiste sur le côté " sécurité " du travail, suivi médical, pratiques SSR, clients conscient du " haut de gamme " de notre offre de service. Sans minimiser la partie sexuelle des prestations, Ernesto précise qu'il faut aussi être bon dans l'Escort proprement dit.
Là, notre futur collaborateur s'inquiète de son dressing. Peur balayée quand on lui dit que les vêtements spécifiques (costumes, smoking...) sont compris dans le contrat.
Le dernier détail qui pourrait clocher c'est la taille de bites à " héberger " dans son cul. Le XXL n'est pas naturel à tout un chacun.
Quand je l'ai sodomisé, j'étais confortable, mais bien serré aussi. Rires de l'intéressé, le mec qu'il vient de quitter était équipé d'un sexe de 20 x 6.5 et avec lui il n'était que passif.
J'en profite pour dire que nous gérerons la partie professionnelle de sa vie mais pas la partie privée. Le seul truc est de ne pas prendre de risque concernant sa santé, question de respect pour les clients.
Ernesto bat le fer tant qu'il est chaud et je comprends pourquoi quand il nous dit qu'un de nos clients n'est pas " couvert " pour ses vacances le mois prochain. Contrat type de 3 semaines, voyage compris, 1 semaine d'affaires dans la capitale et 2 semaines sur la côte d'azur, le tout pour un salaire net 40 fois supérieur à celui de serveur estival.
Il a un peu de mal à digérer l'information. J'appelle Romain qui lui confirme que c'est du réel. Lui aussi va taffer le mois prochain et qu'entre sa mise aux enchères, ses prestations hebdomadaires et le " travail " d'été, il se fera cette première année plus qu'un cadre supérieur moyen.
Je n'avais pas pensé que ce serait aussi sa première prestation dans la société. J'en parle à Ernesto qui avait lui aussi zappé le truc. Il corrige aussitôt la proposition et l'assure pouvoir obtenir plutôt du 80 à 100 fois. Il est scié.
Ernesto lui propose d'aller le lendemain à Barcelone à son bureau. Il accepte et nous retournons avec les autres. Ses potes essayent de lui tirer les vers du nez pour savoir ce qui nous avait retenu tous les trois, mais il se tait.
21h, nous dînons tous ensemble, nos visiteurs ayant accepté l'invitation. Nous aidons Paco pour le service. C'est surtout Jésus qui fait les aller et retour avec la cuisine. Allez savoir pourquoi ! Le rosé glacé est de mise et sans nous en apercevoir, nous sommes tous un peu " partis " à la fin du repas.
Jaime me prend à part et me demande si je veux qu'il plante son cul sur la mégabite de Paco pour nous montrer ses capacités. Je lui roule une pelle. Il est gentil le gamin. Je lui dis que je lui fais confiance et que s'il prend ses quartiers à la villa, ça arrivera bien assez tôt. Il me serre dans ses bras et me dit qu'il a trop de chance cette année. Il a eu son " Bac ", il a largué son mec et nous arrivons avec la solution à ses problèmes de financement. Il va même économiser le camping. Quand il me dit cela, il éclate de rire et me dit qu'il vient de se rendre compte que c'est rien maintenant. Et puis ses deux amis ont besoin de son cofinancement de l'emplacement de leur tente.
La soirée se prolonge. Entre cafés, papotages, caresses diverses mais encore softs et passages dans l'eau pour nous rafraichir, la nuit s'avance et nos amis acceptent de rester. Traverser une partie de la ville à moitié bourré, pour rejoindre les matelas durs de leur tente... Ça convient bien aux habitants de la villa qui espéraient bien une deuxième partie de sexe.
Je me fais les hollandais. Culs blanc mais fougue toute méditerranéenne. En alternance avec PH et Ernesto, nous saturons leurs trous de nos coups de bites impérieux. Quand nous les laissons pour tester d'autres " abris ", ils sont pris en charge par Ludovic et Hervé. Pas de temps morts !
Alors que je cherche un plan, j'entends Jaime qui m'appelle. En levrette devant Paco, il se fait ramoner le conduit par ses 23cm épais. Au moins on ne pourra pas dire qu'il n'a pas de suite dans les idées. Je m'approche roule un patin rapide à Paco avant de lui demander ses impressions. Je n'arrive à lui tirer qu'un " bon, trop bon". Je m'aplatis, retrouve les lèvres et la langue de ma dernière conquête. Il arrive à me glisser un " t'as vu, je peux prendre lourd " entre deux brassages de langues. Je me coule entre ses bras et kpote sa bite que le limage de sa rondelle ne semble pas faire débander. Je me retourne et, sur le dos cette fois, je recule jusqu'à ce qu'il me plante. Dans cette position, on peut se rouler un patin tout en menant nos petites affaires et Paco aussi. Ce dernier devine que j'ai un peu de mal à garder mes reins suspendus sous Jaime. Il nous propose de migrer vers la table basse proche. C'est mieux. Je suis couchée dessus sur le dos, Jaime à genoux entre mes cuisses est juste à la bonne hauteur pour m'enculer et Paco, accroupi, les mains accrochées à ses épaules reprend son labourage en règle.
La bite de Jaime est très efficace. En fonction des coups de rein qu'il reçoit, il arrive à modifier ceux qu'ils m'envoient dans le cul. Sans que je lui en parle, il me dit que c'est ce genre de plan qui lui avait manqué avec Pedro (son ex).
Il arrive à me faire jouir sans que j'aie besoin de me branler. Les passages et chocs répétés de son gland sur ma prostate suffisent à déclencher mon orgasme. Quand, lors de chacune de mes éjaculations, je stoppe net sa progression, il monte en pression et, à son tour, jute mais dans sa kpote. Ricochet suivant, c'est Paco qui gueule en larguant sa sauce.
Il est 4h30 quand on s'endort.
J+2
Réveils à 11h. Je suis dans notre grand lit avec Ludovic, Ernesto, PH et Jaime. Il y a aussi João et Romain à l'autre bout.
J'enfile un maillot. Ça réveille Jaime qui se lève à son tour. Sans bruit nous allons à la cuisine. Les portes des chambres sont grandes ouvertes et on voit qui a dormis avec qui. Mon Marc a encore dans ses bras Baz alors qu'Hervé s'est endormi avec Rubén. Plus loin Arvid et Gaz ont l'air d'avoir fait plus que dormir dans les bras l'un de l'autre vu la pagaille des draps.
Quand on déboule dans la cuisine, le spectacle est revigorant. Pour au moins la deuxième fois, Jesus est planté par Paco. Torse sur la table de la cuisine, il pousse de tous petits gémissements pour ne pas réveiller toute la maison. Paco va pour se retirer et nous servir le café mais je le prends de vitesse et lui dis de finir son petit Jesus.
Avec Jaime, on sirote notre café en commentant leur baise. Enfin c'est surtout Jaime qui entreprend Jesus. Il rigole car ce dernier le traitait de fou quand il se faisait Pedro et sa grosse bite. Là, Jesus se prend bien plus gros et long et il voit bien que ça donne aussi du plaisir les grosses bites. On mate encore quelques instants. C'est intéressant ce qu'une grande différence de physique permet comme positions. Paco exhibe ses gros muscles avec des portés sur bite athlétiques. Jesus n'en peut plus de se faire ramoner. Il finit par jouir, les jambes serrées autour de la taille de Paco, accroché à son cou. On le voit mordre dans le deltoïde et y laisser la marque de ses dents pour ne pas hurler son plaisir alors que son jus coule de leurs abdos compressés.
On les laisse pour se mettre au soleil sur la terrasse. Lunette sur les yeux, nous synthétisons de la vitamine D.
Les autres occupants de la maison arrivent en ordre dispersé. Certains la tête dans le cul, d'autres quasiment frais et dispo !
Je profite que tout le monde soit là pour prévenir qu'avec Ernesto et Jaime nous allons en début d'après-midi à Barcelone. Arvid nous demande de l'emmener aussi. Les autres décident de rester. Nous embarquons donc dans une des trois voitures de location et traçons au nord. Ernesto conduit. Il dépose Arvid devant sa coloc avec la promesse de ce dernier de revenir nous voir (il a notre adresse et nos n° de téléphones) surtout que les grosses partouzes sont encore à venir.
Puis on file vers le bord de mer. Vers le Bario de Barceloneta où Ernesto vient d'acquérir pas trop cher, au nom de la société, un vieil immeuble de 2 étages où il a implanté les bureaux et son appartement. L'extérieur est encore à refaire mais l'intérieur est nickel. Jaime est impressionné par l'endroit. Comme au blockhaus, Ernesto a réalisé une frise avec les photos de ses Escorts en maillot Addicted (chez moi ils sont en Aussiebum). J'ai beau connaitre mes employés, les voir les uns à côté des autres, je remarque une plus grande disparité de physiques. Jaime a du mal à décrocher ses yeux. Il nous dit reconnaitre trois mecs. Il n'aurait jamais pensé que leur aisance financière venait de ce taf. Quelque part ça le rassure.
On monte son dossier. Ernesto lui donne l'adresse des boutiques dans lesquelles il devra aller s'habiller. Il téléphone au labo d'analyse pour les prévenir que nous passerions plus tard. Il en profite pour appeler son client. Alors que ça sonne, il pousse le dossier du mec devant Jaime. Je l'ouvre et on voit le mec en photo. Il est en maillot de bain. Dans les 45ans, bien fait, on voit que le contenu de son slip est lourd et pourtant il ne bande pas ! Je regarde Jaime, il me dit que ça va il avait craint un mec gras, chauve et repoussant.
Nous entendons la conversation téléphonique. Ernesto explique qu'il lui a trouvé un escort pour le mois d'août. Le mec est ravi, il lui explique aussi que c'est une nouvelle entrée dans la société donc il devine ce qu'il va lui demander. Réponse du client " je sais comment ça marche mais là tu ne vas pas me faire des enchères j'en ai besoin ".
Ernesto l'assure qu'il le lui réserve mais qu'il va falloir qu'il soit généreux tout seul. Le client comprend et annonce le chiffre d'un résultat d'enchères normales. C'est ce que lui fait remarquer Ernesto qui lui rappelle qu'il va avoir son gars 3 semaines en 7j/7 et 24h/24.
A mes côtés, Jaime est sans voix. Je tempère en lui disant que le chiffre discuté est le salaire brut. Qu'il n'en aura que 55% net (le reste ce sont les charges 35% et la marge de la boite).
C'est limite s'il ne tombe pas dans les pommes quand le client propose 1 fois et demie sa première offre. J'opine de la tête et Ernesto confirme notre accord puis raccroche.
Jaime me roule un patin de la mort avant de faire pareil à Ernesto. Il est trop content. Son mois d'août qui s'annonçait sympa mais peu rémunérateur s'est transformé en vacances en France avec salaire de ouf.
Je lui demande si avec ses parents ça ne posera pas de problème. Ernesto annonce qu'officiellement, il émargera en tant que " secrétaire particulier ". Il dit que ce sera OK. Je pense aussi à la drogue, à Saint Tropez, ça ne doit pas manquer. Jaime me rassure que s'il avait dû tomber là-dedans, ce serait déjà fait vu la facilité pour trouver de la cocaïne aussi bien à Barcelone qu'à Sitgès. J'en profite pour souligner que nos escorts sont tous " propres " concernant les drogues et le tabac. Question de respect du client.
Quand on repart, on passe au labo. Le prélèvement dure 5mn et les résultats lui seront communiqués sous 48H comme en France. Nous sommes de retour à 18h. La villa est quasi vide. Marc et Hervé nous préviennent que les jeunes sont sur la plage et qu'eux attendent notre agent immobilier et son petit copain qui vont passer la soirée avec nous.
On enfile nos maillots, un short par-dessus. On prend la voiture et descendons à la plage.
Facilement on retrouve le petit groupe qui squatte un filet de volley. Les deux potes de Jaime l'assaillent de question. Il coupe court en leur disant qu'il avait profité du fait qu'Ernesto et moi dévions aller à Barcelone pour aller voir ses parents.
On entre dans le jeu. Une partie décousue mais acharnée, un plongeons dans la mer et on discute de la soirée. Les deux hollandais ont entendu parler d'une teuf et comptent y aller tout comme Rubén. La triplette souhaiterait les accompagner. Je demande plus de renseignement sur qui organise quoi. J'ai pas confiance et Ludovic non plus.
Après 5mn à nous faire la tête, ils admettent que nous ne sommes que le troisième jour d'un séjour de 21, donc ils ont le temps.
João me prend à part et me dit que si je veux, il pourra " encadrer " les petits au besoin.
En attendant nous remontons à la villa sans les " fêtards ". Dans la voiture où nous sommes tous entassés (10 !! y'en a 2 dans le coffre du C4 Picasso) Jaime console les jeunes en leur assurant que cette fête c'était plutôt souleries et défonce que baises et plaisirs. Il avait été à la précédente organisée par le même mec et s'était barré tôt avec Arvid qu'il avait rencontré là-bas pour la première fois.
Jardinier
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Encore une commande qui date de l'année dernière, j'avoue avoir été un peu burnoutée et je n'ai pas fait une seule grosse illu de ce style de toute l'année, il faut que je remédie à ça, cela me manque! ^_^ En tout cas, cela va sans dire, les personnages de Saint Seiya sont de parfaits sujets pour un travail de dorure. C'est une commission de Pandore du chapitre Hadès ( et de The Lost Canvas ). Feuilles d'or sur gesso traditionnel et encres.
#saint seiya#saint seiya fanart#the lost c#pandora#pandore#gold leaf#gilding#raised gilding#feuilles d'or
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KON-TSUGI
Wikipedia afferma che il KINTSUGI (aggiustare con l'oro) sia l'antica arte giapponese di incollare i pezzi di una tazza rotta con la lacca urushi e poi di riempire le crepe con polvere d'oro, dando così una nuova vita e un'estetica migliore a un qualcosa di non più utile.
Ma siccome però io sono un mentecatto privo di Toxicodendra e oro, allora ho usato cristalli polverizzati di idrogenocarbonato di sodio polimerizzati con 2-cianoacrilato di metile e poi ho applicato sopra un pigmento a foglia d'oro con bronzo in polvere.
Ça va sans dire, è meglio che Figlia N.1 non ci mangi più i cereali col latte ma che lo usi come svuotatasche per chiavi e spiccioli 🙄
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il saggio che ho in lettura essere come: “la logica per cui partecipazione al lavoro -> indipendenza economica -> emancipazione [almeno per certi aspetti] è frutto della società capitalista occidentale, e le donne [migranti, nel saggio] subiscono questa imposizione dai tratti razzisti e paternalisti. io propongo di rifiutare il lavoro come fonte di indipendenza ed emancipazione delle donne asserendo che per esempio: ”
#super interessante e dice un sacco di cose giustissime MA v. post precedenti per le altre osservazioni sul rischio iper relativismo#e poi considerando che comunque non è questione di schiocco di dita ma dobbiamo fare i conti con una società turbo capitalista#è così malvagio auspicare a una donna o a una persona appartenente a una minoranza di trovare indipendenza e possibilmente emancipazione#mediante il lavoro? non credo. è orribile che tutto ciò che è in senso latissimo ‘valore’ oggi sia legato al lavoro e alla produzione? sì#ma se non altro oggi. con quale altro mezzo concreto ti emancipi da una situazione di ‘minorità’ se non con l’indipendenza economica#[+ contestuale godimento di diritti ça va sans dire]#la critica che poi lei fa su come le politiche di integrazione ed emancipazione abbiano tutto un sottotesto razzista e classista sono super#interessanti e condivisibili#ma su queste questioni di principio divergiamo#e va beh immagino che l’autrice dorma sonni tranquilli lo stesso
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RPG et anxiété.
Tw : Anxiété généralisée.
Encore un sujet qui va me stresser une fois publié, dont j'avais envie de parler sans trop savoir comment et, ce soir, je tente le coup. Parlons "relations" sur les réseaux/rpg et anxiété ! C'est quelque chose dont je souffre et contre lequel je lutte à peu-près chaque jour. Les pensées intrusives sont terribles, la crainte qu'un quiproquo débile plus encore suite à des évènements passés qui, j'en suis certaine, auraient pu être évités. Je peux me prendre la tête et réfléchir trop vite, trop longuement, sur des petits riens un peu insignifiants tout en craignant que certaines situations passées se reproduisent. Quand c'est comme ça, j'ai tendance à serrer les dents, attendre que mes craintes soient indirectement contredites et respirer de soulagement après en silence, et hop ni vu ni connu ! (Appelez moi la houdini du stress. Bon par contre, les maux de ventre sont un peu moins fun. ) L'objectif n'étant pas de me flageller mais ne pas empiéter sur l'espace des autres. Oui, c'est contraignant, mais mes troubles ne doivent jamais empiéter sur le loisir des autres. C'est mon problème, je suis suivie pour ça.
Néanmoins, tout ce que je peux dire c'est qu'il est plus qu'essentiel de :
Tenter de communiquer en cas de doutes. Et surtout, ne pas faire de suppositions qu'on valide par le biais de nos propres certitudes et rejeter une personne sous prétexte qu'elle n'a pas su communiquer une information selon vos propres critères. (on le rappel, les troubles dys, la neuAtypie, la fatigue etc... existent.) En discutant, on se rend très souvent compte qu'en réalité, ce n'est pas du tout ce qu'on pensait. On s'épargne ainsi un drame inutile - a-t-on vraiment le temps pour ça, btw ? (NON.) - et l’opportunité de, peut-être, renforcer des liens entre Rpgistes tout en mettant à la porte des comportements problématiques qu'on a trop longtemps laissé passer par le passé. (En évitant de mettre de côté des personnes sous prétexte qu'elles sont un peu différentes, au passage.)
Ne pas oublier qu'on ne sait pas tous forcément parler de nos doutes ou qu'on a pas toujours envie de le faire par crainte d'agacer l'autre, qu'on est des êtres humains avec une vie en dehors du RPG, de tumblr, de discord, et qu'on est désormais nombreux-ses à être plus qu'adulte avec une vie IRL franchement déjà assez compliquée. (Et puis bon, les étudiant-es et/ou les plus jeunes aussi ont le droit d'être crevé-e-s, et on connaît ni la vie des autres, ni leurs contraintes ou l'état de leur santé.)
On va pas le répéter - si - mais la bienveillance, vraiment, c'est un banger. À consommer sans modérations.
Pour ma part, je ne peux que conseiller aux personnes de venir me parler si quelque chose a été mal perçu. Et sentir sans avoir de confirmations, tourner en rond sur 'ce truc qui ne va pas mais impossible de savoir quoi', c'est quelque chose de profondément déstabilisant ?
En ce qui concerne la gestion de ma propre anxiété, je ne sais toujours pas totalement comment vraiment vivre avec, mais je le fais au quotidien et je suppose que je chaque jour, je me débrouille un peu mieux. C'est pas mes seules contraintes, néanmoins, les autres sont bien plus privées.
Bref, je sais pas trop si ce poste est bien utile ou sera bien perçu mais voilà.
Des bises sur vous,
Swan qui ne sait pas si elle va laisser ce poste ?
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Disco didn’t die. it was murdered!
Psych is one of the best at doing these themed episodes. They change the camera work, the lighting, the background theme, and even the outfits. Like, they go all out and its always fun :)
Look at this smug bastard. I don’t mind arrogance, but i do mind the fake modesty. It made me roll my eyes haha
Now to settle my own curiosity, i looked into all the things shawn and gus point out about the chiefs phrases and grammar.
“I could care less” and “i couldn’t care less” are used interchangeably though english scholars will say the latter is the correct phrase and should be used formally.
“Goes without saying” was originally a french term ça va sans dire and my understanding of it is that it meant more like “absolutely” or “of course” where the English equivalent is more like “obviously”. Either way we can blame the french for this one haha
The chief did in fact split an infinitive when she said “why don’t you tell me how to properly say this-“ Splitting an infinitive is when you put an adverb between to- and a verb. Such as to boldly go, to casually walk, or to gently push. Whether or not its proper english is debated i believe. But if you ask me, it wouldn’t sound right to have Kirk say to go boldly. Just doesn’t have the same ring to it.
Heres a Phil collins/ corbin bersen side by side
Also, obviously the chief never should have put shawn on the case. Not only because henry is his dad, but also because he’s a “psychic” and i would think if they were trying to get a solid legal case against him, they wouldn’t use mr.woowoo. But again, its a cable show so we ignore this haha (but also no way they won that in court?? It was circumstantial at best)
“It was the 70’s, we did what we had to do but only when we knew we had the right guy.” Henry…is kind of a hypocrite? Like hes all about following the rules and especially the law but also thinks it was okay for him to do it because he had a good reason. Okay, maybe to give him a little more credit than that, the fact that hes so nervous and touchy about it (fiddling with the key, shouting at gus) is because he knew the search warrant was bogus and screwed up, but his pride prevents him from owning it outright. So, i like that it ends with Henry thanking Shawn for essentially fixing his mistake. I’ve been kinda iffy on henry this whole rewatch so far, and how he is with shawn aside, i at least know its more important for him to get the right guy (or at least be right) than it is to get a bust for the sake of his ego. Though, now that i think about it, thats really the bare minimum to be a cop so…
Ive said it before, but i like that the difference between shawns tactics and his fathers in getting information from people is that henry will bust through or even intimidate, while Shawn makes them feel good about themselves and in some cases like theyre a part of the team. There’s an argument that shawns way is more manipulative, and i think if we didn’t know him as a person it might come across that way, but instead it comes across as him just making friends with everyone he meets.
Gus thinking his story ends with a wrongful conviction explains him freaking out so much in season 7’s ep Office Space. Theres also a commentary there about this being a genuine fear in the black community which makes me very sad at the state of my country.
NATIONAL TREASURE IS A NATIONAL TREASURE GUS
Now, about shawn spending all their money on the car- i am of the belief that he did it on purpose either to be a stinker or to make it more challenging, or maybe I’m in denial that negotiating is not in his skill set considering he’s ridiculously good at so many other things haha
I just wanted to put their clue spotting side by side because i like that their similar and different at the same time :)
Incidentally my filipino coworkers reacted the same way when i told them my mom called my pookie, to which they explained (after laughing) that a “puki” was ahem, vagina in tagalog. Language is fun :)
This is going to sound weird but this is the first ep that juliet and lassie felt like actual partners. It just feels like their on the same level finally, and that level being a dick to mcnab for no reason haha. But im glad karma hit back real quick for them (also, their treatment from the coast guard was a preview for the next ep, though i would think they’d have met chief vicks sis in the process)
Who cuts a cucumber like this? Its one of the easiest vegetables to cut. I dont know why this bothers me so much haha
I could hash out the henry and shawn argument, but as Gus pointed out, they have this same argument pretty frequently. So i think, yeah, im just going to store it for later.
Okay, correction from my post on Daredevils!, this was the dumbest thing he ever did. He risked so many peoples lives like wtf?? And i was about to say shawn wouldn’t do that unless he had a trick up his sleeve because he did know how to turn it on, but then when no one is looking he is genuinely relieved it worked so he really didn’t think it through and im so disappointed in him. Bad psychic.
P.S
Dulé!
#i guess i technically can put rudimentary bomb knowledge on shawns list of skills??#they got jere burns which is neat#psych#psych rewatch#psych tv#shawn and gus#shawn spencer#burton guster#forgive me for the format of this one my own adhd left my thoughts scattered haha
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C’est à moi.
À la demande de @sayresse17 j’espère que ça va le faire 👀
23« Est-ce ma chemise ? »
Lilia X reader
Reader était une jeune orpheline de 25 ans, marquée par des années de vie en famille d'accueil. Elle avait toujours rêvé d'une vie stable, mais chaque nouvelle maison ne faisait qu'accentuer son sentiment d'instabilité. Aujourd'hui, elle avait décidé de fuir ses parents adoptifs, ne supportant plus leur indifférence.
Elle avait trouvé un petit travail dans la boutique de Lilia, Lilia avait tout de suite remarqué la douceur et la détermination de Reader. Avec le temps, un lien s'était tissé entre elles, si bien que Lilia avait proposé à Reader de s'installer dans sa chambre d’amie.
Cela faisait maintenant quelques mois que les deux femmes cohabitaient. Leur quotidien était rythmé par des rires, des discussions autour d'un café, et des soirées passées à lire ensemble. Reader se sentait enfin chez elle, entourée de chaleur et de compréhension. Pourtant, au fil des jours, un sentiment troublant commençait à s'installer en elle. Plus elle passait de temps avec Lilia, plus elle réalisait qu'elle l'aimait d'une manière qu'elle ne pouvait pas contrôler.
Reader se surprenait à la regarder plus longtemps, à apprécier chaque geste, chaque sourire de Lilia. Elle se sentait coupable de ces pensées, consciente que ce lien affectif pouvait être dangereux. "Je ne devrais pas ressentir ça," se répétait-elle en silence, mais son cœur avait déjà pris le dessus sur sa raison. Les moments passés ensemble, les éclats de rire partagés, tout cela la rapprochait d'une affection qu'elle n'avait jamais connue auparavant.
Reader avait enfin terminé de faire le ménage dans la maison, un sentiment de satisfaction l'envahissant. Elle se dirigea vers la salle de bain, impatiente de se plonger dans une bonne douche bien chaude. L'eau chaude coula sur sa peau, apaisant toutes les tensions accumulées de la journée. Elle ferma les yeux, profitant de chaque goutte, laissant la vapeur envelopper la pièce.
Après un moment de pur bonheur, Reader sortit de la baignoire, se sentant rafraîchie et revigorée. Elle s'enroula dans une serviette douce, absorbant l'humidité de sa peau. Une fois sèche, elle se mit à chercher ses vêtements, le cœur léger. Elle commença à enfiler son pantalon, soudain, un frisson de surprise la parcourut
. "Oh non, j'ai oublié de prendre un haut !" s'exclama-t-elle, réalisant qu'elle était restée là, à moitié vêtue, sans rien pour couvrir son buste.
Reader se sentit soudainement prise au dépourvu. Elle ne pouvait pas sortir ainsi, et la panique s'installa un instant. Ses yeux parcoururent la salle de bain, cherchant désespérément une solution. C'est alors qu'elle aperçut une chemise de Lilia accrochée au porte-manteau. "C'est mieux que rien", se dit-elle en l'enfilant rapidement, se sentant un peu plus à l'aise.
Elle attacha rapidement ses cheveux en un chignon désordonné, essayant de donner une impression de calme avant de sortir de la salle de bain. En marchant dans le couloir, elle espérait que personne ne la croiserait. Malheureusement, au moment où elle tournait le coin, Lilia apparut, surprise de la voir ainsi vêtue.
Reader se figea, le cœur battant. La gêne l'envahit, et elle ne savait pas quoi dire. Ses joues prirent une teinte rosée alors qu'elle cherchait des mots, mais rien ne venait. Elle se contenta de sourire timidement, espérant que Lilia ne poserait pas trop de questions sur sa tenue improvisée.
Lilia se tenait dans l'embrasure de la porte, un sourire malicieux sur le visage.
"Est-ce ma chemise ?" demanda-t-elle, un coin de sa bouche se relevant en un sourire espiègle, ses yeux pétillants de curiosité.
Reader, encore un peu gênée par la situation, baissa les yeux sur la chemise ample qui flottait autour d'elle.
"Eh bien, je… je l'ai empruntée sans vraiment demander," commença Reader, sa voix hésitante trahissant son embarras. Elle se gratta la nuque, cherchant les mots justes. "Je n'avais rien d'autre à mettre, et je me suis dit que ça pourrait faire l'affaire le temps que j’aille chercher quelque chose dans mon placard.."
Lilia, cependant, ne semblait pas se soucier de l'explication. Ses yeux parcouraient le corps de Reader avec une admiration inattendue. Elle se rapprocha lentement, ses pas légers sur le sol.
"Tu sais," dit-elle, son regard ancré dans celui de Reader, "je trouve que ça te va vraiment bien."
Reader sentit son cœur s'emballer sous le compliment, ses joues s'empourprant légèrement. "Tu penses vraiment ?" demanda-t-elle, surprise mais flattée.
"Absolument," affirma Lilia, un sourire sincère illuminant son visage. "Garde-la, elle te va bien. Tu devrais porter des chemises comme ça plus souvent."
Reader, touchée par la gentillesse de son amie, ne put s'empêcher de sourire. "Merci, Lilia. Je vais réfléchir à ta suggestion," répondit-elle, se sentant à la fois gênée et heureuse.
Lilia lui fit un clin d'œil complice avant de s'éloigner, laissant Reader avec une nouvelle confiance, réalisant que même les moments les plus embarrassants peuvent se transformer en compliments inattendus.
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