#ravi lui
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halcyonmirage · 5 months ago
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They're a gang, alright...A gang of MENACES- Local insectophobe gets bullied at the arcade, when he finds himself playing a horror game with a dedicated bug themed level. It's made all the worse when his friend has the power to actively share what's happening on screen with him, through his mind, when he's otherwise blind and unable to see it. My best Art Fight attack this year, hands down-!! Super proud of how it turned out, I've never finished drawing this many characters in the same piece before. Usually it ends up a forgotten, uncoloured sketch, somewhere on my laptop- Left to rot forever. Love my goofy cast of characters, and my friend's character in the middle there- hehehehe- @solar-seicrem Get dunked on-
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solar-seicrem · 1 year ago
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A birthday gift I made for @halcyonmirage a while back that I forgot to pOST- Handed in late, AND posted late TvT Ah, oh well- This whole thing was based off the tiniest little interaction...and I just couldn't get it out of my head of our two boys.
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natewynoou · 1 year ago
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Guys please give me Taylor Swift/Maisie Peters songs and I will tell you which couple/character they are from ANY of the fandoms I’ve done.
OOU
AGGGTM
Bridgerton
Lockwood and Co
Criminal Minds
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gerard-menjoui · 6 months ago
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Coup de gueule de graphiste
Bonjour tout le monde
Je sais évidemment que des fois c'est dur de trouver l'avatar qui convient parfaitement à votre idée de personnage. Parfois le style ne correspond pas, ou la vibe etc
Et je sais aussi que parfois c'est frustrant quand on se dit qu'un avatar aurait PRESQUE pu convenir mais qu'un détail ne va pas
Et malheureusement à part passer commande auprÚs d'un.e graphiste en lui exposant bien la vibe recherchée, espérer trouver un jour l'avatar parfait ou se rabattre sur un avatar presque parfait il n'y a pas d'autres solutions... (Du moins pas à ma connaissance)
Par contre
C'est pas la premiÚre fois que je vois passer dans les crédits des avatars sur des forums "le pseudo du graphiste + "un peu modifié ""
On parle là d'avatars faits par des graphistes, avec leur style, leur coloring, leur typo etc et quelques réglages en plus (qui du coup gùchent tout parce qu'ils sont réalisés directement sur le "produit fini" si j'ose dire) réalisés par les joueur.euse.s qui estimaient sans doute que l'avatar n'était parfaitement à leur goût.
Au début je pensais que c'était qu'un cas isolé mais aprÚs en avoir vu plusieurs sur plusieurs forums différents avec à chaque fois des noms de graphistes différents je me suis rendu compte que c'était sans doute plus répandu que je ne le pensais
Donc, s'il vous plaßt, touchez pas à mes créations.
Si vous trouvez qu'un de mes avatars manque d'un truc pour correspondre Ă  votre idĂ©e n'hĂ©sitez pas Ă  me le dire. Je garde la grande majoritĂ© de mes PSDs et je serai ravi de tenter de coller au maximum Ă  la vibe recherchĂ©e mais n'allez pas/plus tĂ©lĂ©charger mes avatar pour les modifier de votre cĂŽtĂ© sans me demander et mĂȘme sans me prĂ©venir.
Merci d'avance
La bonne journée (et le bon weekend)
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willcmsv · 5 months ago
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Soft Launch - Alain Laubrac x Fem Reader (FR)
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The story that follows is in French for my French Voltaire High's fans, English version is posted there!
Requested by @babydeersblog
Synopsis: Alain et toi aviez fait connaissance au dĂ©but de l’annĂ©e et aviez Ă©tĂ© associĂ© Ă  plusieurs travaux de groupes, ce qui a permis de faire Ă©voluer votre relation au fur et Ă  mesure. Cependant, aprĂšs avoir Ă©tĂ© moquĂ© lorsque tu as avouĂ© des sentiments Ă  un garçon, tu as dĂ©cidĂ© de les garder pour toi et de ne plus faire transparaĂźtre des traces d’amour. Mais Alain te fait malheureusement ressentir quelque chose que tu aimerais dĂ©couvrir davantage.
Warnings: petits changements dans l'histoire de base.
Notes: n’hĂ©sitez pas Ă  me recommander des idĂ©es de oneshots — j’écris en anglais et français!
Depuis le dĂ©but de l’annĂ©e, Alain et toi vous Ă©changez des mots durant vos heures de cours. Tu as l’habitude de lui faire des petits dessins pendant qu’il t’écrit des citations ou des farces, dĂ©pendant de son humeur. Depuis son combat avec Joseph il y a quelques mois, tu es devenue la sorte d’ange gardien d’Alain, tu lïżœïżœempĂȘches de dĂ©raper et tu le dĂ©fends lorsque tu en as l’occasion devant Joseph et ses amis.
Cependant, depuis ces derniĂšres semaines, Joseph ne peut s’empĂȘcher de vous taquiner en rappelant comment vous ĂȘtes proches et en assumant que vous vous aimez comme si cela Ă©tait un jeu. Mais Joseph Ă©tait comme ça. Tout Ă©tait drĂŽle pour lui et tout n’était pas grave.
Lorsque tu rentres Ă  la maison les week-ends, tu as le droit Ă  l'interrogatoire privĂ© de ton frĂšre Jean-Pierre, comme si les questions bidons de Joseph ne suffisaient pas. Pour Jean-Pierre, tu Ă©tais et resteras toujours sa petite sƓur qu'il doit chĂ©rir et protĂ©ger. Il a arrĂȘtĂ© de te voir grandir Ă  l'Ăąge de neuf ans.
"C'est qui Alain ?" Demanda Jean-Pierre la seconde oĂč tu dĂ©posas ton pied Ă  l'intĂ©rieur de ta maison.
"Un ami. Question suivante ?" Tu répondis.
Jean-Pierre fronça les sourcils. Pour lui, hors de question que tu sortes avec un garçon. Simone lui avait rappelĂ© plusieurs fois que tu avais dix-sept ans et que tu Ă©tais assez grande pour avoir un copain, mais il Ă©tait tĂȘtu et ne voulait rien savoir concernant ce sujet.
"Apparemment non, ce n'est pas ce que Joseph prétend dire."
"Joseph ! Tu le crois vraiment lui ?! C'est un idiot et il aime lancer des rumeurs sur tout ce qui bouge. Je te croyais plus intelligent
" Tu affirmas en attrapant un verre que tu remplis soigneusement d'eau.
AprÚs ton échange avec ton frÚre, tu te dirigeas vers ta chambre et découvre une lettre déposée sur ton lit. Elle est signée A.L.
Tu as reconnu tout de suite l'Ă©criture de l'expĂ©diteur et ses phrases toujours si originales que captivantes. Tu ne pus t'empĂȘcher de sourire Ă  chacune de ses lettres, Ă  chacun de ses mots, de ses actions. Mais bien que cela devrait te rendre heureuse, au contraire, cela t'angoissait.
Chaque soir avant de dormir, tu rĂ©flĂ©chissais Ă  ce que tu voulais vraiment. Tu avais deux choix qui se prĂ©sentaient Ă  toi : lui avouer tes sentiments et risquer de te faire humilier comme auparavant, ou les garder secrets et peut-ĂȘtre perdre l'amour de ta vie.
L'amour de ta vie, c'est peut-ĂȘtre un grand mot.
Le lundi matin, aprÚs avoir quitté ton domicile, tu arrivas au lycée un peu plus tÎt. Tu espérais surtout voir Alain.
"Matinale." Une voix masculine t'interpella.
Sans mĂȘme te retourner, tu pus reconnaitre cette voix entre cents, mĂȘme si ce n'Ă©tait pas rĂ©jouissant pour toi.
"Joseph, qu'est-ce que tu me veux encore ?"
"Qu'est-ce que je te veux ? Qu'est-ce que tu me veux plutĂŽt."
Tu leva ton sourcil, lançant inconsciemment un regard noir à Joseph.
"MĂȘme si le lycĂ©e ne me connait pas encore sous ce nom, je suis ravi de me prĂ©senter, Joseph le Cupidon." Il se baissa en mimant une rĂ©vĂ©rence.
"Joseph le quoi ?!" Tu pouffas de rire à cette nouvelle imprévisible. "Tu te moques de moi, c'est ça ?"
"Est-ce que j'en ai l'air ?"
Mon sourire s'effaça immédiatement de mon visage lorsque je compris qu'en effet, il était complÚtement sérieux. Mais Joseph, sérieux ou non, n'est pas quelqu'un de confiance.
"Va te chercher un autre client." Tu répondis en tournant les talons.
"Tu n'as pas envie de savoir ce que ton cher Alain pense de toi ?" Un sourire narquois se forma sur les lĂšvres du blond.
"Pas forcément, et sûrement pas grùce à ton aide." Tu déclares.
"C’est dommage, je connais beaucoup de choses Ă  son sujet et des choses qui pourraient t’intĂ©resser-" Joseph s’arrĂȘta dans sa phrase lorsque Alain arriva.
"Ça va Y/n ? Joseph
" Alain lança un coup d’Ɠil confus Ă  Joseph. "On peut dĂ©jĂ  se prĂ©parer Ă  aller en cours, t’en dis quoi ?"
Tu acquiesces et tous les deux partirent jusque dans les couloirs. Alain s’adossa au mur.
"Si Joseph t’embĂȘte, dis-le-moi."
"C’est Joseph, il est comme ça." Tu dĂ©clares.
Alain baissa son regard, comme s'il était contrarié, et contrarié par ce qui venait de se passer.
Lors du premier cours de la journĂ©e, tu ne pouvais t’empĂȘcher de jeter de nombreux coups d’Ɠil Ă  Alain qui paraissait tellement concentrĂ© sur le cours. Tu Ă©tais aussi concentrĂ©e sur lui que lui sur son cours que tu ne te rendais pas compte que son regard Ă©tait maintenant tournĂ© vers toi.
Ses yeux bleus Ă©taient encrĂ©s sur toi. Il ne bougea mĂȘme pas lorsque ton regard rencontra le sien. Tes joues prirent soudainement une teinte de rose pendant qu’un sourire narquois se dessina sur le visage d’Alain.
À la sortie des cours, tu croises à nouveau la route de Joseph qui te supplia de t’accompagner jusqu’à chez toi puisque vous habitez prùs l’un de l’autre.
Alain, qui marchait quelques mĂštres plus loin, a pu apercevoir ta silhouette et celle de Joseph marcher cĂŽte Ă  cĂŽte. Il ne put s’empĂȘcher de ressentir de la jalousie. Pourquoi Joseph Ă©tait-il toujours obligĂ© d’ĂȘtre avec toi alors qu’il rĂȘvait seulement d’ĂȘtre Ă  sa place.
***
Le lendemain, Alain et toi aviez un travail de science Ă  terminer, un travail qui t’obligeait Ă  travailler pendant une durĂ©e indĂ©finie avec lui. Tu te rĂ©jouissais dĂ©jĂ  d’avance de te retrouver avec lui, mais bizarrement, tu ressentais de la pression, comme si cela allait mal se passer.
Tu marches rapidement vers la salle de science en apercevant Alain qui était déjà assis sur une chaise au fond de la salle.
"Je suis en retard ?" Tu demandas.
"On va plutĂŽt dire que je suis en avance." Alain te sourit avant de te tirer une chaise.
Le travail avança plus rapidement que prévu, tous les deux étiez concentrés, mais prenaient quelques poses afin de discuter de choses plus divertissantes et amusantes que les cours de sciences.
"Toi et Joseph, il y a
" Alain commença.
Tu écarquillas les yeux avant de répondre.
"Non, non ! C’est seulement un ami, il ne m’intĂ©resse pas." Tu t’empressas de rĂ©pondre.
Alain lança un coup d’Ɠil Ă  son cahier sans dire un mot, comme si ta rĂ©ponse ne lui convenait pas.
Ses doigts tenaient fortement son crayon avec lequel il gribouillait dans le coin de son cahier.
Tes yeux parcouraient tout son visage, de ses boucles brunes jusqu'aux courbes fines de sa mĂąchoire.
"Ça ne va pas ?" Tu demandas finalement.
Les yeux d’Alain se fixĂšrent une nouvelle fois sur toi. Ils descendirent jusqu’à tes lĂšvres avant de remonter Ă  tes yeux. Bien qu’il ne parlait pas, son regard en dĂ©voilait tellement plus.
Tes battements de cƓur s’accĂ©lĂšrent et tes lĂšvres te dĂ©mangeaient de l’envie de l’embrasser.
Son visage se rapprocha doucement du tien, ton cƓur manqua presque un battement.
"Ça bosse dur ?" Une voix masculine lñcha.
Alain et toi vous retournez en un sursaut avant d’apercevoir Joseph dans l’embrasure de la porte. Il te souriait de maniĂšre espiĂšgle comme s'il avait fait ça exprĂšs. Et tu Ă©tais sĂ»re que c’était le cas.
"Je vais te laisser, Y/n. On se remet en commun demain." Alain remballa ses affaires et te lança un bref sourire avant de s’en aller, frĂŽlant lĂ©gĂšrement Joseph.
"Ça t’amuse ?!" Tu dĂ©clares.
"J’ai cru que tu n’étais pas intĂ©ressĂ©e ?" Un sourire narquois apparut sur les lĂšvres de Joseph.
***
L'aprÚs-midi, tu t'étais rendue à l'infirmerie pour prendre des médicaments pour soigner ton mal de ventre irrépressible. Avant que tu puisses à nouveau enfiler ton gilet, la porte s'ouvrit sur Alain.
"Hey..."
"Je- Je ne pensais pas voir quelqu'un ici Ă  cette heure." Il affirma.
Son nez saignait légÚrement et tu pouvais remarquer du sang sur ses phalanges.
"Tu t'es battu ?" Tu demandas directement.
Il ne répondit pas, ses lÚvres se pincÚrent et il détourna le regard. Des fois, le silence est plus fort que les mots.
Tu mouillas un coton avant d'attraper doucement sa main pour la désinfecter.
"C'était pas moi
 Je n'ai pas commencé." Il murmura.
"C'est trop simple de dire ça à chaque fois, Alain."
Il inspira et expira un 'oui' silencieux et serra les dents lorsque tu appuyais sur sa plaie.
La proximitĂ© entre vous deux te permettait d'entendre les battements de son cƓur et de sentir son regard sur toi pendant que tu dĂ©sinfectais soigneusement sa blessure.
En déposant le coton sur la table à cÎté de vous, tu sentis la main immobile d'Alain frÎler légÚrement ta cuisse lorsque tu te déplaças.
Tu mordilles ta lÚvre pour dissimuler ta préoccupation. Chacun de ses mouvements, de ses regards ou de ses mots te procurait toujours une sensation qui était impossible à décrire.
Il Ă©tait devenu de plus en plus compliquĂ© pour toi d'assumer tes sentiments sans toujours imaginer le pire. Cependant, tu voulais que ça marche avec Alain. Tu sentais toujours des papillons dans ton ventre lorsque tu le voyais te sourire dans la cour, ou lorsqu'il dissimulait des lettres dans ton sac. Sans compter les fois oĂč tu pouvais croiser son chemin, comme dans l'infirmerie par exemple.
Tout te menait à lui et tu ressentais quelque chose de différent, quelque chose de captivant.
***
Le lendemain, aprĂšs la fin des cours, Alain t’avait invitĂ© pour faire un tour en ville. Au dĂ©but, vous marchiez en silence. Tes interactions avec lui n’étaient jamais aussi gĂȘnantes, et l’ambiance Ă©tait presque pesante actuellement.
"Désolée pour hier
"
Alain tourna sa tĂȘte, presque Ă©tonnĂ© que tu t’excuses.
"Ce n’est pas ta faute." Il rĂ©pondit briĂšvement.
Tu te mordais les lùvres, tu ne savais pas comment rendre l’ambiance plus joyeuse ou seulement moins morbide.
"Joseph est-" Tu commences avant de te faire interrompre par Alain.
"C’est toujours Joseph, Y/n. Sauf que Joseph prend un malin plaisir Ă  t'embĂȘter, je le remarque trĂšs bien. Il faut que tu l'ignores, parce qu'il ne va pas s'arrĂȘter si rapidement. Alors arrange toi pour qu’il arrĂȘte, ou je vais m’en occuper moi-mĂȘme."
Lorsqu’il finit de s’exprimer, tu n'as pu t’empĂȘcher de sortir un court ‘non’ de ta bouche. Tu ne voulais pas qu’ils s’en prennent aux mains comme toujours.
Tu attrapes son bras pour le pousser lĂ©gĂšrement vers toi. Soit tu attendais et tu risquais peut-ĂȘtre que la situation dĂ©gĂ©nĂšre ou se finisse autrement que prĂ©vu, soit tu prenais ton courage Ă  deux mains.
Alain te regardait de nouveau avec un regard rempli de dĂ©sir. Tu ne savais pas ce que ce regard voulait exactement dire, mais bien que tu ne veuilles pas te tourner des films, il n’était en aucun cas amical.
"J’aimerais t’avoir à moi pour une fois
 pour pouvoir agir sans que quelqu’un me coupe à chaque fois
" Alain affirma.
Vous arrivez dans une petite ruelle. Vous marchez de plus en plus lentement et vos corps se rapprochaient au fur et Ă  mesure que vous avancez, jusqu'Ă  ce que vos mains se frĂŽlĂšrent Ă  plusieurs reprises.
Vos deux regards se croisĂšrent lorsque vous sentez la main de l’autre. Alain s’avança devant toi et s’arrĂȘta soudainement, ce qui mena Ă  ton arrĂȘt Ă  toi aussi.
"Y/n, j'aimerais tellement que tu sois plus confiante, tu es jolie et intelligente. Ne te cache pas et ne te laisse pas marcher dessus par qui que ce soit."
Tes sourcils se levÚrent lorsque tu entendis ses mots. Tes joues devinrent immédiatement rouges malgré le fait que tu essayais de les cacher.
Alain se pencha lentement vers toi, sa main se tendait vers ton bras. Il n’osait pas la poser autre part et attendait surtout une rĂ©ponse de ta part pour le faire. Ses yeux se baissĂšrent de nouveau vers tes lĂšvres. Cependant, cette fois-ci, il ne dĂ©tourna pas le regard. MalgrĂ© l’hĂ©sitation, il posa enfin ses lĂšvres sur les tiennes et tu rĂ©pondis immĂ©diatement au baiser. Ses lĂšvres douces s’appuyĂšrent contre les tiennes et bougeaient Ă  la mĂȘme allure que les tiennes.
Quelques secondes plus tard, vous reculez tous les deux vos visages et vous regardùrent dans les yeux avant qu’Alain t’affiche un sourire doux.
"Je n’aurais pas pensĂ© faire ça ici
 mais c’est mĂȘme mieux." Il sourit et posa enfin une main sur ta taille.
Tu fus prise par les Ă©motions et atteins Ă  nouveau ses lĂšvres pour l’embrasser. Il appuya fermement sur ta taille en mĂȘme temps que ses lĂšvres s’enfoncĂšrent dans les tiennes.
Sa respiration chaude soufflait contre ta peau et tu la sentais s’accĂ©lĂ©rer doucement.
Tu sentis ses lĂšvres former un sourire contre les tiennes et tu ne pus t'empĂȘcher de sourire Ă  ton tour.
De nouveau, tu sentais comme une sensation de flottement dans ton estomac. Sa main qui caressait tendrement ta taille et les mouvements de vos lĂšvres les unes contre les autres ne faisaient qu'empirer ton cas.
Cependant, ce que tu ne pouvais pas savoir Ă©tait que du cĂŽtĂ© d'Alain, des tonnes d'Ă©motions et de sensations envahissaient Ă©galement son corps et faisait palpiter son cƓur en rythme avec les battements du tien.
1758 mots.
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mrsines · 2 months ago
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Petite fĂȘte
à la demande de @babythere j’espùre que ça plaira 😇
6« Wow, vous avez l'air... incroyable. »
Lilia X reader
Tout le monde s’en Ă©tait sorti vivant de la route, et c’était une trĂšs bonne chose. L’atmosphĂšre Ă©tait remplie de soulagement et de joie. Billy, dĂ©bordant d’énergie, avait envie de fĂȘter cet Ă©vĂ©nement. Avec un sourire charmeur, il avait suppliĂ© Agatha, insistant sur l’importance de cĂ©lĂ©brer leur chance.
"Allez, Agatha, ce serait tellement bien de le faire chez toi !" avait-il dit, ses yeux pĂ©tillants d’excitation.
AprĂšs de trĂšs longues heures de supplication, Agatha, finalement convaincue par l’enthousiasme de Billy, avait acceptĂ©. La nouvelle avait rapidement circulĂ©, et tous s’étaient mis en tĂȘte de s’habiller pour l’occasion. Les prĂ©paratifs allaient bon train : les lumiĂšres scintillantes Ă©taient accrochĂ©es, et la musique douce flottait dans l'air, crĂ©ant une ambiance festive.
Les invitĂ©s Ă©taient tous prĂ©sents, parĂ©s de leurs plus beaux atours, riant et discutant joyeusement. Chacun avait fait un effort, des robes Ă©lĂ©gantes aux costumes bien taillĂ©s, tous semblaient ravis d’ĂȘtre lĂ . Pourtant, une ombre planait sur cette fĂȘte : Reader n’était pas encore arrivĂ©e.
Lilia Ă©tait assise sur le canapĂ©, les coussins moelleux l'entourant comme une Ă©treinte rĂ©confortante. Ses pensĂ©es vagabondaient, se heurtant Ă  l'inquiĂ©tude qui s'Ă©tait installĂ©e dans son esprit. "OĂč est donc passĂ©e Reader ?" se demandait-elle, le regard fixĂ© sur la porte, espĂ©rant la voir entrer Ă  tout moment. Le bruit des rires et des conversations joyeuses des autres invitĂ©s rĂ©sonnait autour d'elle, mais elle se sentait dĂ©connectĂ©e, perdue dans ses rĂ©flexions.
C'est alors que Billy s'approcha et s'assit à cÎté d'elle, son sourire habituel illuminant son visage. Il remarqua immédiatement l'air préoccupé de Lilia.
"Hé, Lilia," commença-t-il, sa voix douce et rassurante, "ne t'inquiÚte pas. Reader va bientÎt arriver, j'en suis sûr."
Lilia tourna lentement la tĂȘte vers lui, ses yeux se posant sur son ami. Elle lui offrit un sourire, bien que lĂ©gĂšrement hĂ©sitant.
"Je sais, Billy," répondit-elle, sa voix trahissant une pointe d'anxiété. "C'est juste que
 je me demande ce qui lui prend tant de temps."
Billy observa Lilia, son regard plein de comprĂ©hension. "Peut-ĂȘtre qu'elle a eu un contretemps," suggĂ©ra-t-il, tentant de la rassurer.
Lilia se laissa aller à un léger rire, appréciant le soutien de son ami. "Tu as raison, comme toujours," répondit-elle, un peu plus à l'aise.
Elle se redressa et observa la piĂšce, se laissant emporter par l'Ă©nergie de la fĂȘte, tout en gardant un Ɠil sur la porte, espĂ©rant apercevoir Reader.
Reader était enfin arrivée, et elle avait l'air éblouissante dans son pantalon rouge qui épousait parfaitement ses formes, mettant en valeur son allure dynamique. Son haut noir, simple mais élégant, ajoutait une touche de sophistication à sa tenue.
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En la voyant entrer dans la piĂšce, Billy ne put s'empĂȘcher de sourire, ses yeux s'illuminant de joie et d'admiration. Reader, rĂ©alisant qu'elle avait attirĂ© l'attention de tous, s'approcha avec une petite moue d'excuse.
"Désolée pour le retard," dit-elle, sa voix douce mais pleine d'énergie, presque comme une mélodie qui résonnait dans l'air.
Lilia, qui observait Reader avec admiration, ne pouvait s'empĂȘcher de la trouver tout simplement magique. Elle se sentit submergĂ©e par l'Ă©motion, ses mots peinant Ă  sortir. AprĂšs un moment de silence, elle rĂ©ussit Ă  articuler, le cƓur battant :
"Wow, tu as l'air
 incroyable." Ses mots, chargés de sincérité, firent briller les yeux de Reader, qui ne pouvait cacher son bonheur.
Reader rougit dĂ©licatement, un sourire timide se dessinant sur son visage. "Merci, Lilia," rĂ©pondit-elle en s'asseyant Ă  cĂŽtĂ© de son amie, leurs Ă©paules se frĂŽlant. "Je peux dire la mĂȘme chose pour toi, cette couleur te va vraiment bien."
Lilia se sentit flattĂ©e, un lĂ©ger sourire se dessinant sur ses lĂšvres. Elle jeta un coup d'Ɠil Ă  son propre haut, un doux rose qui contrastait avec le rouge flamboyant de Reader.
"C'est gentil de ta part," dit-elle, le cƓur lĂ©ger.
Les deux amies échangÚrent un regard complice, conscientes que leur complicité ne faisait que grandir au fil des instants partagés, créant un moment inoubliable rempli de rires et de complicité.
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voluxpa · 10 months ago
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crĂ©diter LUX; venez rejoindre LE PLUS BEAU DES CREW, et victimiser LA PLUS BELLE DES VICTIMES (me brother, the one and only) avec ce scĂ©nario TRÉSOR qui n'attend que sa PÉPITE pour l'interprĂ©ter. vous allez vous dĂ©chirer le coeur et les os avec la joueuse be sure of that TIGER (oui t'es dorĂ©navant ma tigresse et ce qu'on appelle plus communĂ©ment LE KARMA, ravie de te rencontrer, stp met lui la misĂšre!!)
lien du scénario en commentaires!
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angelap3 · 4 months ago
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La storia della Musica!!!!
Tre giorni di pace e musica. Tre giorni che hanno fatto la storia. Si celebra oggi il 51esimo anniversario del piĂč grande evento di libertĂ , umanitĂ  e lotta pacifica: il Festival di Woodstock. PiĂč che un concerto un pellegrinaggio, una fiera di arte e musica, una comunitĂ , un modo di vivere che ha cambiato per sempre il concetto di libertĂ . Sul palco, a Bethel (una piccola cittĂ  rurale nello stato di New York) si sono alternati per tre giornate alcuni tra i piĂč grandi musicisti della storia. Musicisti che provenivano da influenze, scuole musicali e storie differenti ma che avevano in comune ciĂČ che piĂč contava in quei favolosi anni ’60: la controcultura.
Si passava dal rock psichedelico di Jimi Hendrix (che, pur di essere l’ultimo a esibirsi, salĂŹ sul palco alle 9 di lunedĂŹ mattina per un concerto di due ore, culminato nella provocatoria versione distorta dell’inno nazionale statunitense) e dei Grateful Dead ai suoni latini dei Santana (che regalarono un memorabile set, impreziosito dallo storico assolo di batteria del piĂč giovane musicista in scena: Michael Shrieve) passando per il rock britannico di Joe Cocker (che regalĂČ in scaletta le splendide cover di Just Like a Woman di Dylan e With a Little Help from my Friends dei Beatles) e degli Who all’apice della loro carriera (celebre l’invasione di palco dell’attivista Habbie Hoffman, durante il loro concerto, quasi quanto il lungo assolo di Pete Townshend durante My Generation, con lancio di chitarra finale).
C’era poi il folk, con una splendida Joan Baez su tutti, che suonĂČ nonostante fosse al sesto mese di gravidanza, genere tipicamente statunitense che si alternava a suoni piĂč esotici e orientali, come il sitar di Ravi Shankar. Impossibile dimenticare infine l’intensa performance della regina del soul Janis Joplin, la doppia esibizione (acustica ed elettrica) di Crosby, Stills, Nash e del “fantasma” di Neil Young, che rifiutĂČ di farsi riprendere dalle telecamere e il divertente show dei Creedence Clearwater Revival.
1969, il ‘Moon day’ in musica..
Concerti che rimarranno nella memoria di chiunque ami la musica come simbolo di cambiamento, pace e libertĂ . D’impatto i presenti come pesanti furono le assenze di John Lennon, che si rifiutĂČ di esibirsi per il mancato invito di Yoko Ono, Bob Dylan, padrone di casa (lui che all’epoca viveva proprio a Woodstock) assente per la malattia del figlio, i Rolling Stones, ancora scossi per la morte di Brian Jones e i Doors, alle prese con una serie infinita di problemi legali.
Il vero protagonista dell’evento fu perĂČ il pubblico, la “vera star” secondo l’organizzatore Michael Lang, eterogeneo quasi quanto i generi musicali. Da tutta America arrivarono studenti liceali e universitari, hippie, veterani del Vietnam, filosofi, operai e impiegati. Nessuna differenziazione di razza, etnia o colore della pelle: tutti uniti dalla voglia di stare insieme in libertĂ  con il fango a livellare ogni diversitĂ  e i capelli lunghi come simbolo di ribellione. Un sogno che oggi sembra lontano anni luce, nelle ideologie come nell'organizzazione.
Da quel 1969 si Ăš provato a piĂč riprese a riproporre Woodstock, con scarsi risultati culminati nell'annullamento del concerto in programma per questo cinquantesimo anniversario, organizzato proprio da Lang e non andato in porto tra una defezione e l’altra, forse perchĂ© indigesto ai grandi organizzatori di eventi musicali mondiali. Forse, a conti fatti, meglio cosĂŹ: quell'atmosfera irripetibile era frutto di una spontaneitĂ  organizzativa di altri tempi, una magia fuori da ogni schema il cui risultato sensazionale, iconico e significativo fu chiaro solo anni dopo anche agli stessi partecipanti.
Vanni Paleari
PhWoodstock, 1969
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camisoledadparis · 12 days ago
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saga: Soumission & Domination 353
Nathan, l'apprenti de Julien-2 + WE Ă  la campagne-1
Je m'occupe de son moyen de transport. Comme son scooter squatte le garage, je demande à Cyril de passer le voir. Analyse : un vieux Peugeot tout pourri, carters rapiécés, moteur à l'article de la mort d'aprÚs lui, c'est plus une ruine qu'un scooter digne de ce nom. Je le charge de me remplacer ça de toute urgence.
Dans la soirée il arrive avec la camionnette de son pÚre. Dedans un scooter tout neuf de chez Peugeot aussi, un Speedfight Darkside. Ce n'est qu'un 50cc 4 temps mais sans permis, c'est le maximum qu'il puisse piloter. Toute option plus la sacoche étanche pour PC, et bien sur le casque qui va bien un Shark Race R pro en mat ça ira avec son nouveau blouson en cuir noir lui aussi. Faudrait pas qu'il s'abime maintenant qu'il a rejoint ma petite troupe !
Cyril repart avec le vieux pour le mettre Ă  la casse !
Je fais part à Julien de la surprise qui attend son apprenti. Il me dit vouloir participer et me demande combien j'ai besoin. La réponse est vite faite : rien bien sûr !
Je l'entends gueuler dans sa boutique. J'espÚre qu'il n'a pas de client. Il me dit qu'il se rattrapera sur les équipements. Quand je lui dis que ça aussi c'est déjà fait. Il abdique. Je lui suggÚre de le récompenser par une prime, à son ùge et avec ses parents, il a sûrement plus besoin d'argent que d'un casque en plus !
A l'entrainement suivant, qui n'en est qu'un, il faut bien de temps en temps ĂȘtre " sĂ©rieux " (donc pas de baises pour ceux qui n'auraient pas compris), nous lui faisons la surprise. Au moment du dĂ©part, il me dit qu'il va rĂ©cupĂ©rer son scoot pour pouvoir rentrer chez lui le WE. De toute façon Enguerrand et Max doivent aller Ă  la " campagne " et Julien doit bien s'en sĂ©parer de temps en temps pour respecter la lĂ©gislation du travail.
Je l'accompagne jusqu'Ă  sa nouvelle monture garĂ©e Ă  cotĂ© de nos motos. Il cherche son vieux scooter du regard et me demande oĂč je l'ai mis. Je tape sur la selle de son nouveau jouet et lui tends ses nouvelles clefs. En mĂȘme temps je l'informe qu'il n'avait pas le choix, des engins comme celui qu'il avait avant n'avait pas droit de citĂ© dans mon garage.
Je lui mets son nouveau casque en mains et lui dis de rentrer vite fait chez Julien. Il m'obĂ©i. C'est ça qui est bien avec les jeunes, c'est qu'ils sont obĂ©issants, enfin quand on ne tombe pas sur des " petites frappes " du type de Max ou d'Enguerrand qui n'en font qu'Ă  leurs tĂȘtes ! Mais, comme je les adore ces deux-lĂ , j'accepte beaucoup ! Pour preuve, j'abrite leurs amours avec Adam, j'ai intercĂ©dĂ© pour que leurs parents acceptent l'organisation de leurs " agendas ". Et ce n'est pas parce que j'ai couchĂ© avec les deux. Ils sont justes, gentils, amoureux et ... mignons comme tout !
WE Ă  la campagne :
Premier grand WE du genre. Par-lĂ , j'entends que nous sommes tous ensembles chez les parents de Ludovic.
Pour le compte : CÎme bien sûr, Ludovic et moi plus PH, invité n°1, Enguerrand et Max plus Nathan, invité n°2. J'ai pris la 300C et PH son roadster SL.
La maison se trouve envahie de 7 jeunes mecs pour 2 jours. Madame mÚre est ravie d'avoir ses trois fils avec elle et qu'ils aient invité des amis lui convient également.
Le pĂšre est plus circonspect mĂȘme si son accueil est chaleureux. Depuis les rĂ©vĂ©lations concernant ses deux derniers fils, il est devenu trĂšs attentif aux signes. Il ne lui faut pas beaucoup de temps pour voir qu'entre PH et son fils et moi il y a un peu plus que des relations d'amitiĂ©. Il remarque la mĂȘme chose concernant le trio des jeunes. 
 Vendredi soir :
Nous sommes arrivĂ©s pour diner. Juste le temps d'un apĂ©ritif rapide qui permet Ă  leurs fils de prĂ©senter nos " invitĂ©s " et nous passons Ă  table. Bien qu'il fasse beau en ce dĂ©but de printemps, madame nous a fait un pot au feu. Nathan ne peut s'empĂȘcher de la fĂ©liciter pour le choix de la viande et l'aromatisation de l'ensemble, dĂ©faut professionnel !
Les conversations tournent autour de nos Ă©tudes, de celles des plus jeunes et de nos invitĂ©s. Les parents de PH sont connus de ceux de Ludovic, ils se sont croisĂ©s dans certaines " rĂ©unions " de la haute sociĂ©tĂ© liĂ©e Ă  l'ancienne aristocratie. Ce que j'apprĂ©cie de mes " beaux-parents ", c'est qu'ils ne font pas cas des origines modestes de Nathan. Il est questionnĂ© avec la mĂȘme sollicitude que PH. Le diner se termine assez tard et nous regagnons nos chambres respectives.
Mon beau-pÚre me retient quelques minutes. Comme je m'en étais douté, il a subodoré qu'il y avait " plus " entre nous tous. Sans me mettre un ultimatum, il voulait juste savoir. AprÚs avoir loupé autant sur ses deux derniers fils, cela se comprend un peu.
Je joue franc jeu et dĂ©voile nos liens. Je lui avoue que j'Ă©tais dĂ©jĂ  en couple avec PH quand nous sommes tombĂ©s amoureux de Ludovic. Il encaisse quand mĂȘme le coup. Il me dit qu'il avait juste pensĂ© qu'effectivement il y avait eu sexe entre nous mais pas qu'il y aurait plus que cela. Autant qu'il prenne tout en mĂȘme temps. J'ajoute que c'est pareil mais Ă  l'inverse pour Enguerrand et Max avec Nathan. Ce dernier est venu s'ajouter au couple de son dernier fils.
Il se sert un alcool fort. Il réfléchit et me dit que pour cette nuit, il va y avoir des ballets dans les couloirs comme aux premiers soirs de ma présence et de celle de Max dans leurs murs ! Je hausse les épaules et lui dis que ce sera probablement le cas.
Nouveau silence entre nous, puis il se lÚve. J'en fais autant. Il s'approche et me serre dans ses bras avant de me dire qu'il est hors de question qu'il perde ses fils. Puis il me souhaite une bonne nuit. Je retrouve Ludovic qui s'est occupé de mettre nos deux Invités dans les chambres d'amis. Je passe les voir et nous organisons un conciliabule tous ensemble, CÎme compris.
Je fais un bref rĂ©sumĂ© de la conversation que j'ai eu avec le pĂšre de nos hĂŽtes. Les fils sont assez estomaquĂ©s de sa rĂ©action face Ă  leurs vies sentimentales et sexuelles. Eux mĂȘme l'adorent mais ils ne le pensaient pas si ouvert d'esprit. A la base c'est quand mĂȘme un aristocrate catholique pratiquant et on a entre nous des pratiques nous vouant aux enfers !
AprĂšs ce conseil de guerre, CĂŽme rentre Ă  sa chambre et les trois jeunes se retrouvent dans celle d'Enguerrand. Comme eux nous allons devoir nous serrer dans un grand lit classique de 140 ! Mais comme nous sommes amoureux, nous pourrions dormir dans un de 90cm de large.
En évitant de faire trop de bruit, nous faisons l'amour comme je suis sûr qu'ils font pareil à cÎté. Seul CÎme doit se contenter d'une branlette je pense.
Cela fait maintenant 6 mois que nous avons intĂ©grĂ© Ludovic mais c'est comme au premier jour, comme avec Ernesto aussi. La connaissance de nos corps n'Ă©tanche pas la soif que nous en avons et les pipes comme les sodomies sont toujours aussi intenses. Le plaisir qu'on en retire est toujours aussi extatique. Mais lĂ  nous devons le faire en silence. C'en est d'ailleurs tellement vrai que nous entendons le trio d'Ă  cĂŽtĂ© occupĂ© Ă  faire de mĂȘme mais avec moins de retenue. C'est au point que Ludovic enfile un slip et part leur dire de mettre moins d'enthousiasme.
D'à cÎté les bruits arrivent plus sourds, quand il revient c'est avec une idée d'emboitement nouvelle. Enfin, nouvelle c'est beaucoup dire mais plutÎt une que nous n'avions pas faite depuis quelques temps.
Explication : moi sur le dos, la bite bien verticale s'enfonçant dans les muqueuses accueillantes de mon PH. Ludovic vient enjamber ma taille et présenter sa propre rondelle (et inversement : sa rondelle propre) à l'assaut perforant de la queue de PH.
En me redressant, j'arrive pile à la bonne hauteur pour emboucher sa bite, ce qui ferme le cercle (enfin le mien). Au-dessus de moi, ils se roulent une pelle. La mise en mouvement demande un peu d'adaptation mais quand nous trouvons les rythmes adéquats, ça frise le divin !
En fait c'est simple. Ma tĂȘte prise entre les mains de Ludovic pompe son dard selon la cadence et la profondeur qu'il impulse, quant Ă  ma bite elle est " traite " par l'anus de PH au rythme avec lequel il dĂ©fonce le cul de Ludovic. Moi, je n'ai qu'Ă  me laisser faire et Ă  profiter du moment. Je prends un pied terrible. Et c'est l'arrivĂ©e du sperme de Ludovic dans ma bouche qui dĂ©clenche ma propre Ă©jaculation. PH, coincĂ© entre nous deux ne tarde pas Ă  son tour Ă  juter et remplir Ludovic.
Gros dodo sans mĂȘme passer par la case salle de bain !  
Samedi :
RĂ©veils discrets. PH rejoint sa chambre et froisse un peu le lit pour donner le change Ă  madame, avant de le refaire. En passant il fait de mĂȘme dans la chambre de Nathan qui lui n'y avait pas pensĂ©.
Petit déjeuner avec CÎme. Les parents se sont levés plus tÎt et les petits ne sont pas encore sortis du lit.
Je discute avec CÎme de sa derniÚre prestation. De son cÎté tout va bien. Les femmes à qui je l'envoie sont toutes ravies de ses performances aussi bien en représentation, car son intellect est du niveau de son physique, qu'au lit (enfin quand il leur laisse le temps d'y arriver). Ses 20x6 les font grimper au 7Úme ciel que ce soit par le chemin classique (leurs chattes) que par les voies étroites (leurs rondelles).
Il nous dit juste qu'il craint un peu ! Sa relation avec Jona et François lui fait se poser pas mal de question, mĂȘme s'il assure avec mes clientes. Il s'est aperçu qu'il n'a plus de " petite copine " depuis quelques mois et qu'il en avait pris conscience hier soir, seul dans son lit Ă  imaginer ce qui pouvait bien se passer dans nos deux chambres.
Ludovic dédramatise et lui dit que c'est parce qu'il n'a pas encore trouvé la bonne fille et qu'en plus il n'en a pas le temps. Quand il la trouvera, tout le reste ne sera plus qu'une expérience parmi tant d'autres. Je regarde CÎme qui n'a pas l'air convaincu.
Les trois petits dĂ©barquent Ă  ce moment-lĂ . Bruyamment en plus ! Nathan est dans le moule. A voir les vĂȘtements qu'ils ont sur le dos, je dirais qu'il y a eu Ă©change ou osmose.
Madame arrive attirĂ©e par le bruit. Elle sert les derniers arrivĂ©s aprĂšs les avoir embrassĂ©s indiffĂ©remment. Je crois qu'elle est contente d'avoir sa maison pleine, mĂȘme s'il n'y a pas de fille. Ils se font servir comme des petits princes et quand Nathan veux l'aider, il se fait rassoir d'autoritĂ©. La derniĂšre tartine engouffrĂ©e, Enguerrand emmĂšne ses amis visiter la propriĂ©tĂ©, enfin surtout pour Nathan.
Avec les deux autres frÚres et PH, je rejoins leur pÚre pour aider un peu. On passe se changer et enfiler des cottes et des bottes. Evidement ça part en couilles ! Ludovic se met carrément à poil dessous et nous fait tous bander à tortiller de son petit cul. Je garde mon boxer et mon t-shirt comme les deux autres.
Quand nous arrivons il ne reste plus qu'à distribuer le grain aux vaches et à pailler les box des taurillons. Les fils de la maison se chargent des jeunes mùles et avec PH, nous ne prenons pas de risque en nous occupant de leurs mÚres. On rejoint les deux frÚres et nous nous " égarons " dans la réserve de paille. Ludovic bande encore ou de nouveau et il me coince entre deux piles de bottes. PH n'est pas en reste et sans réfléchir se saisi de CÎme à qui il roule un patin.
Est-ce l'ambiance ou sa déstabilisation passagÚre ? Mais ce dernier se laisse faire. Les zips descendent, nos t-shirts volent et c'est rapidement que nous baisons. CÎme bande comme un fou et comme par magie, des kpotes sortent des poches de Ludovic ! On se chauffe à grand coups de langues. Elles naviguent des bouches aux bites en passant par les rondelles et les tétons.
Ludovic n'a pas à me chercher longtemps avant que je ne l'emmanche de face, dos sur une botte de paille, ses jambes entourant ma taille. A nos cÎtés, PH se fait démonter la rondelle par un CÎme que j'avais connu plus circonspect. Ludovic pivote jusqu'à pouvoir rouler un patin à PH.
Je le pousse un peu et ils se mettent en 69. Je me penche au-dessus du dos de PH, tire la tĂȘte de CĂŽme vers la mienne et lui roule une pelle. L'ensemble est trĂšs excitant et c'est exactement ce qu'en pensent les trois jeunes qui nous surprennent dans cette position.
C'est un " Heureusement que c'est nous que maman a envoyĂ© vous chercher, papa aurait quand mĂȘme Ă©tĂ© surpris du spectacle ! " sorti, bien sĂ»r, de la bouche d'Enguerrand.
Comme je décolle ma bouche de celle de son frÚre, il s'immisce entre nous et la sienne vient chercher la mienne. Je saurais un peu plus tard que Max s'est occupé de clore le bec de CÎme comme ce dernier allait protester et que Nathan lui s'est glissé entre mes amours pour interrompre leur 69.
Emportés par nos hormones, les jeunes se retrouvent vite fait dans le plus simple appareil et enfilés. CÎme se fait Nathan comme je m'occupe d'Enguerrand et que Max se fait prendre par ses deux extrémités, PH à la sortie et Ludovic à l'entrée. Pendant un bon moment on n'entend plus que nos halÚtements. Ils se transforment en gémissements puis en petits cris de jouissance alors que nos spermes vont se perdre dans la paille.
La " chose " a été heureusement plus rapide qu'elle ne m'avait semblée. Et quand nous arrivons pour déjeuner, les apparences sont sauves !
L'aprÚs-midi nous récupérons en post café avachis dans les canapés, mollifiés par la chaleur lénifiante du foyer ouvert. La fin de journée se passe à aider les trois jeunes à bosser leurs cours. Pris en " cours particulier ", ils abattent en 2 heures la totalité de ce qu'ils avaient à faire.
SoirĂ©e en famille. C'est Ă©trange et pas que pour moi. PH et Max, fils uniques eux aussi, n'ont jamais connu ce genre de chose. Nous sommes 9 dans le grand salon. AprĂšs un cafĂ© nous nous engageons dans un " Trivial Pursuit ". Nous nous mettons par paire sauf les plus jeunes qui arguent de cet Ă©tat pour rester ensembles. Les rĂ©ponses fausses sont aussi et mĂȘme plus amusantes que les vraies et provoquent de Ă©clats de rires. La bataille dure deux bonnes heures et les parents gagnent d'une trĂšs courte tĂȘte devant CĂŽme et PH suivis de Ludovic et moi, le trio ayant plus fait rire que des Ă©tincelles.
Quand nous montons nous coucher, le pĂšre prends son petit dernier Ă  part et lui demande d'ĂȘtre plus discret que la nuit prĂ©cĂ©dente.
Je traine un peu et quand il est seul, je le serre contre moi et le remercie d'ĂȘtre ce qu'il est. Il me tapote le dos et me dit " ce sont mes fils ".
Ces simples mots contiennent tout !
J'ai une chance d'avoir un beau-pĂšre pareil, c'est trop, il me cueille !
Jardinier
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halcyonmirage · 6 months ago
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Finally gonna try to join art fight this year-! Been wanting to for ages, but always got busy. This time...I fear some personal irl stuff might come up, but I'm willing to take the gamble and participate as much as I can regardless. Gotta speedrun another on of these references for at least one more character before I can call it all done... But for now, Ravi is first- With a new outfit he's not used to yet. Dude needs to dress up a little more stylish to draw attention on the job, but...he hates doing that... This...Really isn't that different from his whole wardrobe of tank tops, jeans, and leather jackets... But at least it's SOMETHING different- Anyway, I'll be on Art fight under the name HalcyonMirage-! Fight me if you dare- >:0 Go team seafoam-!
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poeticdramagirl · 6 months ago
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**Titre : L'Ă©clat des secrets**
NiccolĂČ Govender Rossi Ă©tait assis dans un coin tranquille du club, regardant les gens danser et s'amuser autour de lui. Depuis son arrivĂ©e Ă  Rome, sa vie avait pris des tournants inattendus, et il se retrouvait souvent plongĂ© dans des situations qui le dĂ©passaient. Pourtant, ce soir-lĂ , quelque chose de diffĂ©rent Ă©tait dans l'air.
(T/P), une nouvelle élÚve dans le lycée Collodi, était récemment arrivée à Rome. La ville, bien que magnifique, pouvait parfois sembler écrasante. Mais ce soir, (T/P) avait décidé de sortir, de s'immerger dans la vie nocturne de Rome et d'oublier les soucis pour un moment.
Lorsque leurs regards se croisĂšrent, une Ă©tincelle inattendue illumina la piĂšce. NiccolĂČ, toujours mĂ©fiant et calculateur, fut surpris par cette connexion immĂ©diate. Il n'Ă©tait pas du genre Ă  se laisser emporter par des sentiments spontanĂ©s, mais quelque chose chez (T/P) l'intriguait.
(T/P), sentant l'intensitĂ© du regard de NiccolĂČ, s'approcha lentement. "Salut," dit-elle avec un sourire timide mais dĂ©terminĂ©. "Je m'appelle (T/P)."
NiccolĂČ hocha la tĂȘte, un sourire en coin se dessinant sur ses lĂšvres. "NiccolĂČ. Ravi de te rencontrer," rĂ©pondit-il, mais son ton Ă©tait lĂ©gĂšrement sarcastique, comme s'il testait la sincĂ©ritĂ© de (T/P).
Ils commencĂšrent Ă  discuter, dĂ©couvrant des points communs et des diffĂ©rences fascinantes. (T/P) Ă©tait impressionnĂ©e par la profondeur et la complexitĂ© de NiccolĂČ, tandis que lui Ă©tait intriguĂ© par la fraĂźcheur et l'authenticitĂ© de (T/P).
"Alors, tu penses que Rome est Ă  la hauteur de tes attentes ?" demanda NiccolĂČ, une pointe de dĂ©fi dans la voix.
"Pour l'instant, oui. Il y a tellement à découvrir," répondit (T/P) avec enthousiasme.
"Tu dis ça parce que tu n'as pas encore vu le pire," rĂ©pliqua NiccolĂČ avec un sourire froid. "Mais ne t'inquiĂšte pas, je suis sĂ»r que tu t'y feras."
(T/P) sentit une tension dans l'air, mais ne se laissa pas dĂ©monter. "Je suis prĂȘte Ă  relever le dĂ©fi."
La nuit avançait, et ils dĂ©cidĂšrent de sortir prendre l'air. Se promenant dans les rues pavĂ©es de Rome, ils Ă©changĂšrent des confidences et des rires, mais (T/P) sentait que NiccolĂČ gardait toujours une part de lui-mĂȘme cachĂ©e, derriĂšre un mur d'arrogance et de cynisme.
"Je ne m'attendais pas Ă  passer une soirĂ©e comme celle-ci," admit NiccolĂČ en s'arrĂȘtant devant une fontaine. "Mais je suis content que ce soit arrivĂ©." Son ton Ă©tait plus sincĂšre, mais une lueur
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selidren · 8 days ago
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Eté 1932 - Champs-les-Sims
2/6
Je ne pense pas qu'avoir un enfant ait fait partie de leurs premiers projets en tant que couple, mais il n'ont rien fait pour ne pas forcer la nature, si tu vois ce que je veux dire.
Ceci dit, ce sont des parents comblĂ©s. Mon frĂšre adore sa fille, Aurore s'habitue peu Ă  peu Ă  prendre en main la maison comme la sienne au mĂȘme titre que la nĂŽtre et Ange est ravi d'avoir un nouveau bĂ©bĂ© dans la nursery Ă©tant donnĂ© que les filles ont bien grandit. Quoi qu'il arrive, je suis heureuse de voir que chaque parent dans cette maison prend son plein rĂŽle, ça Ă©vitera Ă  mes filles et ma niĂšce de subir ce que nous avons vĂ©cu avec notre pĂšre.
D'ailleurs, j'ai encore une anecdote bien triste à ce sujet. Le renvoi acerbe de Jean-François à ses pénates a fait pousser des ailes à Cléo, qui a cru pour conquérir la place apparemment vacante d'enfant préféré de Papa. Son dernier roman, sorti il y a quelques mois, raconte une mystérieuse histoire de meurtre qui se déroule sur un chantier égyptien de Louxor. Avant la publication, elle en a envoyé un exemplaire à Papa, pensant lui faire plaisir. Mon pÚre, pensant sans doute à son tour lui faire plaisir (version d'Adelphe) ou n'ayant pu se défaire de son exemplaire académisme (version la plus répandue), lui a retourné le livre bardé d'annotations rouges détaillant toutes les mauvaises interprétations, les erreurs historiques et les invraisemblances d'une telle situation. Ma pauvre soeur ne s'en est toujours pas remise, bien que peu aprÚs, tout la presse spécialisée s'accorde à dire que c'est un trÚs bon roman.
Transcription :
Marc-Antoine « Elle est vraiment toute petite. Et pourtant, elle me paraßt déjà si grande pour avoir tenu toute entiÚre dans ton ventre. »
Aurore « Elle a dĂ©jĂ  un peu grandit, c’est rapide Ă  son Ăąge. »
Marc-Antoine « J’ose Ă  peine imaginer Ă  quoi devait ressembler Maman avec nous tous Ă  l’intĂ©rieur d’elle. Elle a toujours dit que SĂ©lĂšne et moi Ă©tions de grands bĂ©bĂ©s. »
Aurore « Elle devait avoir l’air Ă©puisĂ© et attendant avec impatience la fin. Comme moi, mais en plus intense je suppose. »
Marc-Antoine « Elle a vraiment les yeux trÚs gris. De qui peut-elle bien tenir ça ? »
Aurore « Pas de mon cĂŽtĂ©, c’est sĂ»r ! Nous avons tous les yeux marrons. Il faut Ă©galement savoir que les yeux des petits bĂ©bĂ©s mettent du temps avant d’avoir une couleur dĂ©finie. C’est ce que m’a dit ta Tante Rose. »
Marc-Antoine « Je ne savais pas. En tous cas, les paris vont aller bon train, il y a vraiment de tout dans la famille. Qui sait, elle aura peut-ĂȘtre les yeux verts d’Oncle Adelphe et Grand-MĂšre EugĂ©nie ? »
Aurore « Je crois qu’elle a ton nez en tous cas. »
Marc-Antoine « Oh non pitié, pauvre petite ! »
Aurore « Pourquoi ? Il est trÚs bien ton nez. »
Marc-Antoine « Tu plaisantes ? C’est ce que j’ai toujours le moins aimĂ© dans mon visage. Il est tout plat ! Il jure horriblement avec mon front, c’est affreux. »
Marc-Antoine « Je prĂ©fĂ©rerais qu’elle ait le tien. Il est fin et bien dessinĂ©. »
Aurore « N’appelons pas non plus au drame. Ton nez ne te rend pas si laid que ça. Et puis, il va plutĂŽt bien Ă  tes sƓurs. »
Marc-Antoine « Bon, si tu le dis, il ne sera peut-ĂȘtre pas affreux chez elle. »
Aurore « C’est un bĂ©bĂ©, elle aura tout le temps au monde pour se trouver des dĂ©fauts physiques. Si c’est le cas, on saura avec certitude de qui elle le tient. »
Marc-Antoine « En tous cas, elle tient dĂ©jĂ  de sa mĂšre la tendance Ă  faire comprendre Ă  son pĂšre que c’est un idiot fini... »
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sloubs · 4 months ago
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Racontage de rĂȘve du jour : j'Ă©tais avec Anne Girouard dans un p'tit village Ă  cĂŽtĂ© du tournage et on Ă©tait dans une boutique avec des stickers Kaamelott (fanarts et cie), je me suis dit, "tiens je me demande s'il y en a de sloubs (vĂ©ridique !)" immense dĂ©ception car il n'y en avait pas. AA Ă©tait lĂ  aussi, Ă  rĂąler parce qu'on prenait du temps Ă  choisir, je finis par prendre un petit ourson Arthur Pendragon et je dis "tiens celui lĂ  je le mettrai dans la lettre que je vais Ă©crire Ă  mon fils" (je n'ai pas d'enfant) et AA, tout Ă©mu avec un immense sourire "Mais... c'est moi ton fils" (parce qu'apparemment je jouais sa mĂšre dans le film, sachant que j'ai 18 ans de moins que lui wtf) et moi... bah j'Ă©tais aussi fiĂšre que si c'Ă©tait vrai x) voilĂ  voilĂ  c'Ă©tait bien drĂŽle !
"MAIS C'EST MOI TON FILS" 😭😭😭😭😭😭
alors dĂ©jĂ  ravie d'entendre que tu me mentionnes Ă  anne girouard dans tes rĂȘves et ensuite cette phrase ptdrrrrr je l'imagine te le dire avec les larmes aux yeux genre tu l'as abandonnĂ© au bord de la route, j'adore
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fieriframes · 11 months ago
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[I am the hunter, and the hunted, joined together.]
XI - Les Esprits
À ce stade, je ne savais pas pourquoi je pensais que toute nouvelle information m'aiderait. Au lieu que je me rapproche d'une rĂ©ponse, le labyrinthe venait de recevoir une nouvelle aile nommĂ©e d'aprĂšs ce Trithemius.
En fait, je savais exactement quelle amie appeler.
Salut Snow, ça va ?
Snow: Ça va ! Et toi ? Comment Ă©tait ton voyage Ă  Londres ?
C'Ă©tait trop bien ! Quoi de neuf ? Comment se passent les Ă©tudes ?
Snow: HonnĂȘtement, je suis fatiguĂ©. J'ai vraiment hĂąte la fin du semestre. Je vais voir les darons pendant une semaine puis partir en vacances dans un endroit exotique et chaude aussi longtemps que possible. 
En parlant d'exotique; j’ai une question pour toi. Je me retrouve dans un mystĂšre qui est rĂ©cemment devenu obscur et je savais que tu Ă©tais la seule personne qui pouvait m'aider. Le nom TrithĂšme, ça te dit quelque chose ?
Snow: Johannes ? Le mec qui a inventé la cryptographie et communiqué avec les esprits ? 
C’est lui. Je suis tombĂ© sur une Ă©trange maison d'Ă©dition qui rĂ©Ă©dite ses livres et j'ai voulu en savoir plus.
Snow: RĂ©Ă©dite ses livres ? Bizarre, autant que je sache, aucun de ses livres n'a mĂȘme Ă©tĂ© traduit. Mais je suppose qu'il y a toujours des gens qui connaissent le latin.
Dit moi un peu plus de sa cryptographie, je pensais que tu avais besoin d'un ordinateur pour ça. 
Snow: Le mec était un ordinateur. Certains des chiffres secrets étaient si compliqués qu'ils n'ont été décodés qu'il y a environ 20 ans.
Peut-ĂȘtre qu'on peut commencer avec des chiffres un peu moins compliquĂ©s ?
Snow: Le chiffre Ave Maria est probablement le plus drĂŽle. Chaque lettre qu'on veut dĂ©coder a un (et parfois deux) mot latin correspondant. Par exemple, pour la lettre "E", les mots sont "dominus" et "magnus". On peut choisir entre les deux, en fait. Donc, si on veut dĂ©coder le mot "secret", le texte dĂ©cryptĂ© devient "Omnipotens dominus conditor fabricator magnus pacificus". Si on traduit ça en français, ça veut dire "Le Tout-Puissant, le Seigneur, le Faiseur, le Grand Pacificateur", une phrase qui pourrait facilement ĂȘtre une vraie priĂšre latine, bien que peu crĂ©ative. Son deuxiĂšme livre Polygraphie comprenait des centaines de pages de ce type d'Ă©criture.  
Les gens ont dĂ» penser qu'il Ă©tait fou.
Snow: Oui, probablement mĂȘme aprĂšs son premier livre StĂ©ganographie. 
Ah, c'est ça. StĂ©ganographie est le livre que Mars Éditions a rĂ©Ă©ditĂ©.
Snow: Vraiment ? Pour moi c'est encore plus bizarre. StĂ©ganographie se compose de trois parties. La derniĂšre partie est incroyablement compliquĂ©e et contient des tableurs de donnĂ©es planĂ©taires. Quelqu'un dĂ©couvrait rĂ©cemment que les nombres dans ces tableurs cachaient les messages secrets. Je n'arrive pas Ă  comprendre moi-mĂȘme.
Et les deux premiĂšres parties ?
Snow: Elles proposent des méthodes pour communiquer avec les esprits. En fait, les esprits spécifique ce qui TrithÚme mentionné par nom. Pamersiel, Padiel, Camuel, etc. Chacun régnant sur une différente partie du monde (sud, nord, etc.) et combien d'esprits subordonnés ils dirigent pendant le jour et pendant la nuit.
Quoi ? 
Snow: Oui, c'est vraiment quelque chose d'une autre planĂšte. Chaque esprit a mĂȘme son propre symbole, un sceau. Et, bien sĂ»r, des instructions pour l'appeler.
Appeler les esprits ?
Snow: J'oubliais exactement comment, mais cachĂ© dans le livre sont des instructions pour appeler les esprits. Par exemple, si on veut convoquer l'esprit Pamersiel, on doit chanter une expression prĂ©cise. Quand Pamersiel apparaĂźt, on peut lui donner un message Ă  transmettre Ă  n'importe quoi. Mais, et c'est important: ce message doit ĂȘtre cryptĂ© avec des rĂšgles spĂ©cifiques pour cet esprit. Pour Pamersiel, on garde juste la premiĂšre lettre de chaque mot. 
Si je veux transmettre le mot "secret", j'Ă©cris quelque chose comme "soudain, elle crie, ravie et triomphante"?
Snow: Exactement.
Et pour Padiel ?
Snow: C’est un peu plus compliquĂ©. On doit prendre chaque deuxiĂšme lettre de chaque deuxiĂšme mot. TrĂšs diffĂ©rent que Pamersiel. Donc, si tu reçois un message, pour le dĂ©coder, tu dois savoir quel esprit l'a dĂ©livrĂ©.
Encore une fois, pour le mot "secret" avec Padiel, tu peux par exemple écrire "c'est assez, tu écartes or et argent". 
Snow: Tu es incroyablement doué pour ça. C'est correct. Une phrase un peu absurde mais aussi parfaitement TrithÚme-esque. Ce livre est une sorte d'annuaire téléphonique spirituel. Les gens ne savent toujours pas ce qui était le plus important pour TrithÚme : le spiritisme ou la cryptographie. 
Je pense que pour lui, les deux sont liĂ©s. Évidemment mĂȘme l'astronomie si tu inclus le dernier partie de StĂ©ganographie.
Snow: C'est vrai. Il a suscitĂ© l'intĂ©rĂȘt de nombreux astronomes et mathĂ©maticiens de renom et mĂȘme de linguistes, c'est ainsi que je suis tombĂ© sur son travail. Mais je ne suis jamais allĂ© trop loin dans le terrier du lapin.
Je pense que c'est exactement lĂ  oĂč je vais aller maintenant.
Snow: Bonne chance. Fais attention, et dis moi si tu as besoin d'aide. 
Bien sûr ! Je te tiens au courant.
Snow: Parfait. A tout Ă  l'heure !
Ciao !
Avec cet homme excentrique frais dans mon esprit, j'ai attrapé le livre Nuit Sans Fin et l'ai recouvert avec des yeux neufs.
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mrsines · 2 months ago
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Destinée Ensorcelée
Chapitre 2 : A la croisé des chemins
⚝──⭒─⭑─⭒──⚝
Lucillia est une jeune femme  qui incarne la détermination et le sérieux. En tant qu'étudiante en criminologie, elle montre un grand engagement envers ses études, ce qui suggÚre qu'elle est passionnée par son domaine et désireuse d'apprendre tout ce qu'elle peut sur la criminalité et la justice.
Son comportement, qui consiste Ă  ne jamais sortir les soirs de semaine, renforce l'image d'une personne disciplinĂ©e et concentrĂ©e sur ses objectifs acadĂ©miques. Cela pourrait aussi indiquer qu'elle privilĂ©gie ses responsabilitĂ©s sur les loisirs, ce qui peut ĂȘtre interprĂ©tĂ© comme une volontĂ© de rĂ©ussir dans un domaine exigeant.
Lucillia pourrait Ă©galement avoir des traits de personnalitĂ© tels que la rigueur, la responsabilitĂ© et peut-ĂȘtre une certaine introversion, car elle semble prĂ©fĂ©rer le temps passĂ© Ă  Ă©tudier plutĂŽt que de socialiser. Cela pourrait aussi suggĂ©rer qu'elle a des ambitions Ă©levĂ©es et qu'elle est prĂȘte Ă  faire des sacrifices pour atteindre ses objectifs professionnels.
Aujourd'hui, c'était vendredi, et l'excitation flottait dans l'air. Lucillia se tenait devant son miroir, un sourire sur le visage alors qu'elle se coiffait pour l'anniversaire de sa meilleure amie, Maria. Elle avait choisi une robe élégante, avec des couleurs vives qui faisaient ressortir ses yeux. Les lumiÚres de sa chambre brillaient doucement, créant une ambiance chaleureuse.
Soudain, la porte s'ouvrit et son pĂšre adoptif entra, un regard curieux sur le visage.
 "Alors, oĂč comptes-tu aller habillĂ©e comme ça ?" demanda-t-il, avec une pointe de prĂ©occupation dans la voix.
Lucillia se retourna, les mains dans les cheveux, et rĂ©pondit avec assurance : "Je vais Ă  la fĂȘte d'anniversaire de Maria. C'est important pour moi."
Son pÚre fronça légÚrement les sourcils, visiblement inquiet. "Tu sais que je préfÚre quand tu restes à la maison le vendredi soir."
Lucillia, sentant une vague de frustration monter en elle, répliqua fermement : "Je suis adulte maintenant. Je n'ai pas d'ordre à recevoir de toi. Je peux prendre mes propres décisions."
Un silence s'installa dans la piÚce, et son pÚre, réalisant qu'elle avait raison, soupira. "Je sais, Lucillia. Je veux juste que tu sois en sécurité. Mais amuse-toi bien, d'accord ?"
Lucillia acquiesça, un sourire apaisé sur le visage. "Merci. Je ferai attention." 
Elle se retourna vers le miroir, terminant sa coiffure, tandis que son pÚre quittait la chambre, laissant derriÚre lui une atmosphÚre de compréhension et de respect mutuel.
☆○o。  。o○☆
Le soir Ă©tait tombĂ© rapidement, enveloppant la salle des fĂȘtes d'une douce obscuritĂ© parsemĂ©e de lumiĂšres Ă©tincelantes. Les guirlandes lumineuses accrochĂ© aux murs projetaient des ombres dansantes, crĂ©ant une atmosphĂšre festive et chaleureuse. Lucillia, en entrant, fut immĂ©diatement frappĂ©e par l'Ă©nergie qui rĂ©gnait dans la piĂšce. Les rires et les voix s'entremĂȘlaient, formant une mĂ©lodie joyeuse qui rĂ©sonnait dans l'air.
La salle, dĂ©corĂ©e avec soin, Ă©tait remplie de ballons aux couleurs vives flottant au plafond, tandis que des tables garnies de gĂąteaux, de bonbons et de boissons pĂ©tillantes attiraient les convives. Des amis de tous Ăąges se mĂȘlaient, certains dansaient dĂ©jĂ  sur le rythme entraĂźnant de la musique, d'autres discutaient avec animation, leurs visages illuminĂ©s par la joie de cĂ©lĂ©brer.
Lucillia, bien que ravie de voir tant de monde, se sentait Ă©trangement Ă  l'Ă©cart. Elle observait la scĂšne, ses yeux parcourant les visages familiers et inconnus, se demandant ce qui avait bien pu inciter Maria Ă  organiser une fĂȘte si grandiose pour un simple anniversaire. La foule semblait Ă©crasante, chaque Ă©clat de rire lui paraissant Ă  la fois accueillant et intimidant.
Alors qu'elle commençait à se sentir submergée par le tumulte, une main douce et familiÚre se posa sur son épaule. Elle se retourna brusquement et rencontra le regard pétillant de Maria. Sa présence était comme une bouffée d'air frais dans cette mer de visages. 
"Lucillia ! Je suis si contente que tu sois là !" s'écria-t-elle, sa voix chaleureuse se détachant du brouhaha ambiant.
Le sourire de Maria Ă©tait contagieux, et Lucillia sentit une vague de soulagement l'envahir. La tension qui l'Ă©treignait se dissipa lentement, remplacĂ©e par une chaleur rĂ©confortante. Elle savait que, tant que Maria Ă©tait Ă  ses cĂŽtĂ©s, elle pouvait affronter cette soirĂ©e animĂ©e. Les deux amies se mirent Ă  rire, partageant des anecdotes et des souvenirs, tandis que la fĂȘte continuait de vibrer autour d'elles, transformant peu Ă  peu l'apprĂ©hension de Lucillia en une anticipation joyeuse.
La soirĂ©e battait son plein, et Lucillia se laissait emporter par les rythmes entraĂźnants de la musique. Les lumiĂšres clignotaient au rythme des basses, crĂ©ant une ambiance Ă©lectrisante. Elle dansait avec entrain, ses mouvements fluides et joyeux, riant avec ses amis autour d'elle.AprĂšs quelques heures de fĂȘte, Maria, les yeux pĂ©tillants d'excitation, s'approcha de Lucillia.
 "Hé, tu veux qu'on s'échappe un moment ? J'aimerais passer un peu de temps rien que toutes les deux," proposa-t-elle, un sourire complice aux lÚvres.
Lucillia, surprise mais ravie, hocha la tĂȘte. "Oui, bien sĂ»r ! J'adore cette idĂ©e. Ça fait longtemps qu'on n'a pas eu un moment juste pour nous," rĂ©pondit-elle, sa voix pleine d'enthousiasme.
Les deux amies se dirigĂšrent vers la sortie, laissant derriĂšre elles le tumulte de la fĂȘte. Une fois Ă  l'extĂ©rieur, l'air frais de la nuit les enveloppa, apportant un contraste agrĂ©able aprĂšs la chaleur de la salle. Elles se trouvĂšrent  dans la rue avec les lumiĂšre de la ville.
"Regarde comme c'est beau ! Ça me rappelle nos soirĂ©es d'Ă©tĂ©," dit Maria, les yeux rivĂ©s sur le paysage illuminĂ©.
Lucillia sourit en se remémorant ces moments. "Oui, et toutes nos discussions jusqu'à l'aube. On devrait vraiment en faire plus souvent," ajouta-t-elle, un brin nostalgique.
Maria tourna son regard vers Lucillia, son expression devenant plus sérieuse. "Tu sais, je suis vraiment contente que tu sois là ce soir. Parfois, j'ai l'impression que tout va si vite avec les cours , et j'ai besoin de ces moments avec toi pour me recentrer," confia-t-elle.
Lucillia, touchée par ses mots, lui prit la main. "Moi aussi, Maria. On doit toujours trouver du temps l'une pour l'autre, peu importe à quel point nos vies sont chargées," répondit-elle avec sincérité.
Les deux amies restÚrent là, à discuter et à rire, profitant de cette parenthÚse enchantée dans la soirée, renforçant leur lien précieux.
Les deux amies marchaient tranquillement, profitant de la fraßcheur de la nuit. Alors qu'elles passaient devant un magasin encore illuminé, une enseigne colorée attira leur attention. C'était là que se trouvait Lilia Calderu, la fameuse femme qui lisait les lignes de la main. Les lumiÚres scintillantes du magasin créaient une atmosphÚre intrigante, presque mystique.
Maria, les yeux brillants d'excitation, s'arrĂȘta brusquement. 
"Regarde, Lucillia ! C'est lĂ  ! On devrait vraiment y aller. Ça serait super intĂ©ressant de voir ce que Lilia a Ă  dire," proposa-t-elle, le ton enjouĂ©.
Lucillia, cependant, ne partageait pas l'enthousiasme de son amie. Elle haussait les épaules, l'air perplexe. "Je ne sais pas, Maria. Je pense que c'est juste du commerce. Ces choses-là, ça ne me parle pas vraiment," répondit-elle, un soupçon de scepticisme dans sa voix.
Maria insista, un sourire charmeur aux lĂšvres. "Mais non ! Lilia est une vraie devineresse. Tout le monde dit qu'elle a des dons incroyables. Tu pourrais dĂ©couvrir des choses sur toi-mĂȘme que tu ne soupçonnes mĂȘme pas," argumenta-t-elle, tentant de convaincre Lucillia.
Lucillia plissa les lĂšvres, hĂ©sitant. "Tu sais que je ne crois pas trop Ă  ces trucs. Ça me semble un peu... farfelu," dit-elle, en regardant le magasin avec une certaine mĂ©fiance.
Maria, ne se laissant pas décourager, s'approcha d'elle et lui prit le bras. "Allez, fais-le pour moi ! Juste un petit tour, et si tu n'aimes pas, on s'en va. Promis, ça ne prendra pas longtemps," proposa-t-elle, avec un regard suppliant.
Lucillia soupira, mais un sourire commençait à se dessiner sur son visage. "D'accord, d'accord. Mais si je me sens ridicule, c'est sur ta conscience !" finit-elle par céder, amusée par l'insistance de sa meilleure amie.
Maria éclata de rire, ravie. "Merci, Lucillia ! Tu ne le regretteras pas, je te le promets !" s'exclama-t-elle, entraßnant son amie vers la porte du magasin, impatiente de découvrir ce que Lilia avait à leur révéler.
En entrant dans le magasin de Lilia , Maria et Lucillia furent enveloppées par une douce odeur d'encens et un éclairage tamisé qui donnait à l'endroit une atmosphÚre presque magique.
Soudain, une porte s'ouvrit à l'arriÚre-boutique, et Lilia apparut. Ses cheveux longs et bouclés tombaient en cascade sur ses épaules, et son sourire chaleureux illuminait la piÚce. Elle fixa les deux jeunes femmes avec des yeux pétillants de curiosité.
"Bienvenue, mes chÚres," dit-elle d'une voix douce et accueillante. "Que puis-je faire pour vous aujourd'hui ?"
Maria, pleine d'enthousiasme, se tourna vers Lucillia, un léger sourire sur le visage. Elle poussa doucement son amie, lui murmurant : "Allez, Lucillia, c'est à toi. Je vais te laisser."
"Alors, qu'est-ce qui t'amÚne ici ?" demanda Lilia, s'approchant de Lucillia avec une bienveillance palpable.
Lucillia se tenait dans le magasin de Lilia, entourée de l'odeur apaisante des bougies parfumées et des fleurs fraßches. Pourtant, malgré cette atmosphÚre réconfortante, elle se sentait piégée, comme si une partie d'elle voulait fuir cette situation, tandis qu'une autre partie désirait ardemment rester et profiter de ce moment.
Elle plongea son regard dans celui de Lilia, cherchant du soutien dans ses yeux pétillants. Un léger sourire se dessina sur ses lÚvres, et elle murmura,
 "C'est surtout ma meilleure amie qui m'a convaincue de venir ici." Sa voix tremblait légÚrement, trahissant son hésitation.
Lilia, avec son sourire délicat et réconfortant, répondit, "Je suis ravie que tu sois là. C'est toujours bien d'avoir quelqu'un pour nous encourager à sortir de notre zone de confort." Elle désigna une petite table en bois, ornée de bougies allumées qui dansaient doucement dans la lumiÚre tamisée. "Viens, installe-toi à cette table," invita-t-elle avec une gestuelle accueillante.
Lucillia, se sentant un peu plus à l'aise, acquiesça et se dirigea vers la table. Elle s'assit, ses doigts caressant la nappe en lin, un peu froissée mais propre, tandis que Lilia s'asseyait en face d'elle, créant une ambiance intime entre elles.
Dans le petit magasin de Lilia, l'air Ă©tait chargĂ© d'une douce chaleur, et le parfum des herbes sĂ©chĂ©es flottait autour d'elles. Les rayons de lumiĂšre filtraient doucement Ă  travers les fenĂȘtres, illuminant les coins sombres du magasin.
Lilia, avec une grùce presque féerique, s'approcha de Lucillia. Ses doigts, délicats et agiles, se déplacÚrent lentement vers la main de Lucillia. Lorsqu'elle prit délicatement sa main, un frisson parcourut la colonne vertébrale de Lucillia, une sensation douce et réconfortante qui la fit sourire.
"Personne n'a jamais vraiment su lire mes lignes de mains," murmura Lucillia, sa voix teintée d'une légÚre hésitation mais aussi d'un amusement palpable. 
Ses yeux brillaient d'une curiosité nouvelle, tandis qu'elle regardait Lilia avec une tendresse palpable.Lilia, intriguée et amusée, leva les yeux vers Lucillia, un sourire espiÚgle se dessinant sur ses lÚvres. 
"Est-ce que tu me mets Ă  l'Ă©preuve ?" demanda-t-elle, son ton Ă  la fois sĂ©rieux et taquin, comme si elle Ă©tait prĂȘte Ă  plonger dans l'inconnu des mystĂšres que recelaient les lignes de la main de son amie.
Lucillia, surprise par cette rĂ©ponse, sentit son cƓur battre plus vite. Elle hocha la tĂȘte, un sourire timide illuminant son visage.
  "Non je ne me permettrai pas.Peut-ĂȘtre que vous serez la premiĂšre Ă  pouvoir le faire," rĂ©pondit-elle, sa voix douce et pleine d'espoir.
Les deux amies restĂšrent lĂ , leurs mains entrelacĂ©es, crĂ©ant un moment suspendu dans le temps, oĂč le monde extĂ©rieur semblait disparaĂźtre, laissant place Ă  leur connexion profonde et authentique.
L'atmosphÚre dans le magasin était devenue tendue, presque électrique. Lilia, avec une grande délicatesse, commença à passer ses doigts sur les lignes de la main de Lucillia, espérant déchiffrer les secrets inscrits dans sa paume. Mais à sa grande surprise, quelque chose d'étrange se produisit. Les lignes semblaient floues, comme si elles se dérobaient à son toucher.
Lilia fronça les sourcils, perplexe. "C'est bizarre," murmura-t-elle, ses doigts s'arrĂȘtant brusquement. Elle tenta de se concentrer, mais plus elle forçait ses pouvoirs Ă  fonctionner, plus le magasin semblait rĂ©agir. Les lumiĂšres vacillaient, et un lĂ©ger bourdonnement se faisait entendre, comme si l'Ă©lectricitĂ© elle-mĂȘme Ă©tait perturbĂ©e.
Lucillia, observant le visage de Lilia, sentit une vague d'inquiétude l'envahir. "Est-ce que ça va ?" demanda-t-elle, sa voix trahissant une légÚre anxiété. Elle pouvait voir que Lilia était troublée, comme si elle luttait contre une force invisible.
Lilia, toujours plongée dans ses pensées, finit par poser son regard dans celui de Lucillia. Il y avait une intensité dans ses yeux, un mélange de confusion et de curiosité.
 
"C'est vraiment Ă©trange," dit-elle enfin, sa voix presque un murmure. "Je n'ai jamais rencontrĂ© une main qui refuse de se laisser lire.Peut-ĂȘtre devrions-nous essayer de comprendre ce qui se passe avant de continuer," proposa-t-elle, une lueur de dĂ©termination dans ses yeux.
Lucillia regarda alors Lilia dans les yeux, une lueur d'interrogation dans son regard. Leurs mains étaient toujours liées, comme si un fil invisible les reliait, et pour une raison étrange, cela ne dérangeait pas les deux femmes. Au contraire, un sentiment de sécurité émanait de ce contact. Leurs mains se serrÚrent un peu plus, comme si elles cherchaient à capter une énergie. Puis, aprÚs un moment de silence, Lilia relùcha doucement la prise.
 « Tu devrais y aller. Fais attention à toi, d'accord ? »
Lucillia acquiesça, un mélange de gratitude et d'appréhension sur le visage. «Oui.. »
Lilia la regarda partir, son cƓur battant un peu plus vite. Lucillia se dirigea vers sa meilleure amie, le cƓur encore palpitant de cette rencontre inattendue.
« Tu ne devineras jamais ce qui vient de se passer, » commença-t-elle, les yeux brillants d'excitation. 
Sa meilleure amie, intriguée, l'écouta attentivement. « Qu'est-ce qui s'est passé exactement ? Raconte-moi tout ! »
Lucillia prit une profonde inspiration, prĂȘte Ă  partager chaque dĂ©tail de cette expĂ©rience qui pourrait changer leur vie.
☆○o。  。o○☆
Le lendemain matin, Lucillia était debout dÚs l'aube, le ciel encore teinté de nuances orangées. En réalité, elle n'avait pas dormi du tout, son esprit tourbillonnant de questions. Pourquoi personne ne voulait lire les lignes de ses mains ? Pourquoi tout ce mystÚre autour de son destin ?
Elle se leva lentement, ses pensées encore embrumées par la nuit blanche. Dans la salle de bain, elle se regarda dans le miroir. Son reflet lui renvoyait une image fatiguée, mais déterminée. Elle prit une grande inspiration, essayant de rassembler ses pensées.
Ses yeux se posÚrent sur son collier, une simple pierre noire suspendue à une chaßne. Elle l'avait toujours porté, ne l'ayant jamais enlevé depuis son enfance. Sa surface lisse et froide semblait lui murmurer des secrets oubliés.
« Qu'est-ce que tu es censée représenter ? » se demanda-t-elle.
Lucillia sentit une vague de curiosité l'envahir. Elle avait besoin de comprendre ce lien, ce symbole qui l'accompagnait depuis si longtemps. Elle se promit de chercher des réponses, de percer ce mystÚre qui l'entourait.
Avec une nouvelle dĂ©termination, elle se prĂ©para pour la journĂ©e, prĂȘte Ă  affronter ce qui l'attendait.
Lucillia avait donc décidé d'aller voir la seule personne qui pourrait l'aider : Lilia. Avec une détermination nouvelle, elle se dirigea vers la boutique de cette derniÚre, un petit endroit chaleureux rempli de senteurs envoûtantes et de couleurs vives. L'air était frais, et chaque pas la rapprochait de la réponse qu'elle cherchait.
Une fois arrivĂ©e, elle poussa la porte en bois, et un petit carillon retentit, annonçant son arrivĂ©e. Lucillia jeta un coup d'Ɠil autour d'elle, ses yeux se posant sur Lilia, qui Ă©tait en train de prĂ©parer du thĂ©. La lumiĂšre douce du matin filtrait Ă  travers les fenĂȘtres, illuminant le visage de Lilia, qui semblait radieuse.
« Bonjour, Lucillia ! » s'exclama Lilia en levant les yeux, un sourire chaleureux illuminant son visage. Elle la trouva trÚs belle, avec une aura de mystÚre. « Que puis-je faire pour toi aujourd'hui ? »
Lucillia, un peu nerveuse, s'approcha de la table oĂč Lilia avait disposĂ© des tasses dĂ©licates. « Bonjour, Lilia. Je
 j'ai besoin de ton aide. »
Lilia, toujours en train de verser le thĂ© dans une tasse, l'invita Ă  s'asseoir. « Prends une tasse de thĂ© d'abord. Ça te fera du bien. »
« Merci, » répondit Lucillia, s'installant sur une chaise en bois.
 Elle observa Lilia, qui lui tendit une tasse fumante. L'odeur du thé était apaisante, mais son esprit était encore agité.
« Alors, qu'est-ce qui te tracasse ? » demanda Lilia, s'asseyant en face d'elle, ses yeux pleins d'attention.
Lucillia hésita un instant, puis expliqua : « J'ai ce collier avec une pierre noire, et je sens qu'il cache quelque chose d'important. Personne ne veut lire les lignes de ma main, et je me demande pourquoi. »
Lilia l'écouta avec soin, son regard sérieux. « Les lignes de la main peuvent révéler beaucoup de choses, mais parfois, il faut aussi écouter les objets qui nous entourent. Dis-moi en plus sur ce collier. »
Lucillia prit une gorgĂ©e de thĂ©, se sentant un peu plus Ă  l'aise, prĂȘte Ă  partager le mystĂšre qui l'intriguait tant.
Lucillia, les mains tremblantes, tourna son regard vers Lilia, le cƓur battant. « Je
 je ne sais rien de ce collier, » avoua-t-elle, sa voix Ă  peine un murmure. « Je l'ai depuis que je suis bĂ©bĂ©. Mes parents adoptifs m'ont dit qu'il Ă©tait dĂ©jĂ  lĂ  dans mon berceau. »
Elle leva doucement la main, montrant le collier à Lilia sans l'enlever de son cou. La pierre noire brillait d'un éclat mystérieux, comme si elle contenait des secrets inavoués.
Lilia, fascinée, s'approcha lentement, son regard fixé sur la pierre. « Puis-je ? » demanda-t-elle, tendant la main avec précaution. 
Lucillia hocha la tĂȘte, son souffle se faisant plus court alors que Lilia touchait la pierre.Lorsque Lilia prit la pierre entre ses doigts, une chaleur douce se rĂ©pandit dans l'air. Les deux femmes se retrouvĂšrent extrĂȘmement proches, leurs souffles s’entremĂȘlant. Lilia pouvait sentir l'Ă©nergie Ă©manant du collier, et elle murmura, presque Ă  elle-mĂȘme : 
« C'est un collier de protection. »
Lucillia, surprise, écarquilla les yeux. « Protection ? Qu'est-ce que cela veut dire ? »
Mais en réalisant à quel point elles étaient proches, Lilia se sentit soudainement étrange. Elle recula légÚrement, ses joues teintées d'une légÚre rougeur. « Avec ce collier personne ne peux t'atteindre. La personne qui te la donné tenez beaucoup à toi.»
Lucillia se mit alors à sourire, une lueur de bonheur illuminant son visage. Elle leva délicatement sa tasse de thé, la chaleur de la boisson réconfortante se diffusant dans ses mains. En prenant une gorgée, elle savoura le goût épicé qui dansait sur sa langue, puis se lécha les lÚvres avec satisfaction, un geste à la fois innocent et séduisant.
Soudain, un bruit de cloche retentit, signalant l’ouverture de la porte du magasin. Lucillia tourna la tĂȘte vers l'entrĂ©e, son sourire s'Ă©largissant Ă  la vue de Lilia, Agatha et Ivana qui firent leur apparition.
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lilias42 · 25 days ago
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5 : en train de faire une activité récréative (spa, cuisine, jardinage, etc
)
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Cours de cuisine avec Lamine ! Mercedes est ravi de pouvoir cuisiner avec son ancĂȘtre, et LĂ©onie a rĂ©ussi Ă  tirer Bernadetta jusqu'au rĂ©fectoire, mĂȘme si cette dernier a peur de la difformitĂ© et des serpents de la Brave, surtout vu toutes les histoires qu'on raconte autour d'elle dans l'Empire avant qu'elle ne se fasse convertir qui la dĂ©crive comme un monstre empoisonnant tout ce qui l'entoure mais, au fur et Ă  mesure de la leçon, elle arrive Ă  sortir car ce qu'elle raconte l'intĂ©resse et que Lamina est trĂšs patiente, mĂȘme si elle est trĂšs stricte sur la sĂ©curitĂ©.
Comme vous l'avez sans doute deviner, il s'agit de la Brave de Lamine et l'ancĂȘtre de Mercedes directement arrivĂ© du passĂ© pour dĂ©couvrir sa descendante, Lamina, Brave de la GuĂ©rison !
Pour ceux qui arrive en cours de route, petit point de contexte ! Dans ma fanon, il y a deux gĂ©nĂ©rations de Braves : la premiĂšre gĂ©nĂ©ration entiĂšrement composĂ© de sorciers (l'ancĂȘtre de la magie actuelle qui est bien plus puissante mais est aussi trĂšs dangereuse et dĂ©forme le corps de ceux qui lui survive Ă  vie) venant de peuples diffĂ©rents tout juste arrivĂ© Ă  Fodlan aprĂšs le DĂ©luge de Sothis pour vaincre les agarthans. Ils sont de trĂšs bonnes personnes et qui ont plusieurs miracles Ă  leurs actifs pour aider leur peuple (ex : Lucius Fraldarius Pertinax, Brave de l'eau dont le peuple dĂ©barque de Sreng, a rendu l'eau du lac Ă©ternellement pure et elle ne peut pas porter de maladie ; Kelon de la tribu Rieganos, venant Ă  l'origine d'une citĂ© des cĂŽtes de l'Almyra actuel, a fait en sorte que les vents dans la baie de Derdriu soit toujours favorables...). Ils ont reçu l'emblĂšme de force aprĂšs avoir Ă©tĂ© vaincu par NĂ©mĂ©sis qui les tuent Ă  petits feux, et qui vont ĂȘtre tuĂ© par l'armĂ©e adrestienne qui pense qu'ils sont des alliĂ©s de NĂ©mĂ©sis par erreur et manipulation des agarthans. La deuxiĂšme gĂ©nĂ©ration est composĂ©e de leurs enfants, des humains normaux mais nĂ©s avec un emblĂšme majeur, qui rejoigne NĂ©mĂ©sis pour se venger des adrestiens qui ont assassinĂ©s leurs parents, tout en ayant pour but ensuite de passer NĂ©mĂ©sis au fil de leurs Reliques Ă©tant donnĂ© que c'est lui qui a refilĂ© l'emblĂšme qui les empoisonnait lentement Ă  leurs parents. ça permet d'expliquer pourquoi d'un cĂŽtĂ©, les Braves sont prĂ©sentĂ©s comme ayant rejoints Sothis (1Ăšre gĂ©nĂ©ration) avant de la trahir (2e gĂ©nĂ©ration), les parents et les enfants ont Ă©tĂ© fusionnĂ©s au fil du temps et de la tradition.
Si le surnom sous lequel elle est le plus connu actuellement est la Voix Guérisseuse, elle n'aime pas tant chanté que ça. Elle peut utiliser sa voix pour guérir les autres grùce à sa sorcellerie mais, elle s'en sert surtout pour attaquer, notamment pour manier son poison. Quand elle chante, le poison qu'elle secrÚte se disperse dans l'air et va infecter ses ennemis qui meurt souvent trÚs vite à cause de ses toxines trÚs puissantes. Elle ne voulait pas associer quelque chose qu'elle aimait à un outil de mort alors, elle a pris la chanson comme moyen d'atteindre ses cibles (un peu l'inverse de Pertinax : il adore chanter mais quand il se bat, il est trÚs silencieux pour ne pas associer sa voix à la mort). En plus, ça permet de prévenir l'ennemi qu'elle est dans le coin et que s'il veut continuer à vivre, il doit s'enfuir trÚs vite vu qu'il ne survivra pas à sa toxine.
Sa vĂ©ritable passion, c'est plutĂŽt la cuisine ! Elle adore cuisiner de bons petits plats et tester de nouvelles recettes alors, dans le futur avec autant de nouveaux ingrĂ©dients, elle ne va pas se gĂȘner et rĂ©galer tout le monde ! En plus, on est vers la fin de sa vie alors, il n'y a plus trop de risque Ă  ce qu'elle s'approche des autres.
En effet, Ă©tant donnĂ© que sa magie consiste Ă  la base Ă  pouvoir soigner et qu'elle est mĂ©decin, elle a aussi dĂ» apprendre tout ce qui avait un lien avec les poisons, n'importe quel remĂšde ayant une part de toxicitĂ© s'il est mal utilisĂ©. Elle peut Ă©galement "absorber" les maladies et les blessures en elle afin de soigner les autres, son immense capacitĂ© de rĂ©gĂ©nĂ©ration lui permettant de guĂ©rir extrĂȘmement vite (mĂȘme une dĂ©capitation ne la tuerait pas tellement son corps se rĂ©gĂ©nĂšre vite et s'est renforcĂ© pendant 1000 ans, et il faut passer ses Ă©cailles avant). Cependant, Ă  force de travailler lĂ -dessus, une des fiertĂ©s qui est apparu en elle est la capacitĂ© Ă  produire des toxines qui ne lui font rien Ă  elle mais, qui sont mortels pour Ă  peu prĂšs tout ce qui l'entoure. Son sang notamment est un poison mortel pour Ă  peu prĂšs n'importe quoi, mĂȘme d'autres sorciers du mĂȘme Ăąge qu'elle et mĂȘme des nabatĂ©ens auraient du mal Ă  l'encaisser. Pendant une grande partie de sa vie, elle dĂ©gageait ces toxines en permanence et ne pouvait approcher personne par sĂ©curitĂ©, Ă  part en utilisant constamment ses pouvoirs pour contenir le poison, ce qu'elle ne peut pas faire en permanence Ă  cause de la concentration que ça demande. Au fil du temps, elle a pu mieux contrĂŽler cette fiertĂ© et peut dĂ©sormais retourner auprĂšs des autres sans risque, sauf si vraiment elle se met dans une colĂšre noire.
Elle profite donc de ça et du voyage dans le temps pour pouvoir s'approcher de sa descendante et de ses amis de Garreg Mach, mĂȘme si elle est consciente d'ĂȘtre trĂšs effrayante mais, c'est une personne gentille et altruiste, mĂȘme si elle ne plaisante clairement pas sur la sĂ©curitĂ©, qui a vite su les mettre (entendez Bernadetta, je voie bien LĂ©onie et Mercedes ĂȘtre trĂšs cool avec le fait de parler Ă  une femme serpent, et c'est surtout dans l'empire qu'on efface tout l'aspect difforme qui est censĂ© ĂȘtre la marque de leur barbarie qui disparait une fois convertis, lĂ  oĂč dans la tradition faerghienne et leicester, les fiertĂ©s restent et sont mĂȘme des Ă©lĂ©ments importants dans la reprĂ©sentation des Braves).
Petit point conception :
Brave de la guĂ©rison et du poison oblige, j'ai pas mal basĂ© ses fiertĂ©s sur un serpent, que ce soit avec ses grosses Ă©cailles ventrale sur sa gorge, sa peau recouverte d'Ă©cailles plus petites, ou ses iris en amande comme celle d'une vipĂšre (mĂȘme si ça se voie peu). Elle a aussi deux crochets Ă  venin dans sa bouche qui se rĂ©tracte comme ceux d'un serpent. J'avais aussi pensĂ©e lui faire avoir un corps de femme jusqu'Ă  la taille puis une long corps de serpent histoire de pousser le dĂ©lire des fiertĂ©s qui vont avec son Ăąge, elle a quand mĂȘme 1 000 ans... puis j'ai vu la forme lumineuse de la fille bourrĂ©e dans FEH et j'ai compris que ce n'Ă©tait PAS une bonne idĂ©e. Elle garde donc ses jambes. Par contre, son nez s'est aplati avec le temps et ses oreilles ont pratiquement disparu, encore une fois comme un reptile.
Elle a aussi des serpents dans les cheveux un peu comme MĂ©duse, mĂȘme si c'Ă©tait surtout pour rajouter des fiertĂ©s, et renforcer l'aspect effrayant. Ses serpents pouvant ĂȘtre trĂšs long, elle s'en sert pour rĂ©cupĂ©rer des objets lĂ©ger loin d'elle, lui servir d'yeux supplĂ©mentaire (mĂȘme si c'est avec une vision de serpent), tĂąter l'air grĂące Ă  leur organe de Jacobson / vomĂ©ronasal (organe qu'elle a aussi dans sa bouche avec une langue bifide), et effrayer l'ennemi, encore une fois parce qu'elle n'a pas envie de tuer des gens si elle peut les faire s'enfuir, elle a pas que ça Ă  faire de ses journĂ©es et elle veut surtout soigner les gens. Ils n'ont pas d'autonomie propre mais, ils sont utiles, comme dans le dessin oĂč ils restent proches de la nourriture pour vĂ©rifier tout le temps si elle ne l'a pas empoisonnĂ© par accident.
Pour ses quatre bras, c'est une fiertĂ© qui est trĂšs pratique : vu qu'elle ne pouvait pas se faire assister dans son travail quotidien Ă  cause des toxines qu'elle dĂ©gageait (mĂȘme quand elle donne une potion Ă  quelqu'un, elle fait toujours attention Ă  purifier tout ça par prudence et ne pas empoisonner les autres, et elle doit aussi y penser quand elle doit faire une chirurgie si ses pouvoirs ne suffisent pas). Elle a donc tenter de dĂ©velopper ses pouvoirs pour avoir des bras en plus et a rĂ©ussi vu que ça ne se contredisait pas avec sa sorcellerie de base.
Enfin, ses habits sont basĂ©s sur cette reconstitution de vĂȘtements fĂ©minins daces exposĂ©e lors de l'exposition temporaire "La frontiĂšre inconnue de Rome : Celtes, Daces, Sarmates et Vandales au nord du bassin des Carpates" en 2012-2013 au musĂ©e MusĂ©e celto-romain de Manching en Allemagne. Pour son pendentif, je me suis basĂ© sur ce bracelet. MĂȘme si ce n'est pas trĂšs sĂ©rieux de se baser sur WikipĂ©dia, cela m'a un peu dĂ©pannĂ©e pour le coup, surtout que la photo est plutĂŽt bien sourcĂ©e pour une fois. Et pour son nom... comment dire... dĂ©jĂ  que c'est la croix et la banniĂšre de trouver un nom thraco-dace masculin vu que la Dacie s'est romanisĂ© trĂšs vite (j'utilise cet article comme rĂ©fĂ©rence), autant Ă  ce niveau-lĂ  que culturellement - vu ce que Trajan leur a mis, tu m'Ă©tonnes -, et que je me suis mis Ă  cette Ă©vĂšnement assez tard, j'ai pas encore fait beaucoup de recherche sur Lamine... je suis allĂ©e au plus simple, le nom de sa famille Ă©tait son prĂ©nom car tout le monde se disait "fille de Lamine" et le nom s'est juste "fodlanisĂ©" en remplaçant le A final par un E.
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