#raconte-moi ça
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lolochaponnay · 3 months ago
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Un jeune paysan croise le curé de son village. Il lui dit : - Monsieur le curé, je crois avoir commis un péché hier, mais je n'en suis pas sûr! - Eh bien, raconte-moi ça, et je te dirai. - Hier, j'ai traversé le pré du père Mathieu pour aller au bois. Y avait sa fille, la Marie, qui cueillait des champignons. Quand elle s'est baissée, j'ai vu sa petite culotte à fleurs et ça m'a fait un coup de chaleur. Alors je me suis approché, et j'ai pas pu me retenir. Je l'ai pénétrée assez violemment, faut bien le dire! C'est un péché ou pas ? - Euh...Dis-moi, c'était contre son gré ? - Ah, ben non, c'était contre la clôture!
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mister-snake · 7 months ago
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Oui, je m'amuse bien avec les fonctionnalités de personnalisation de texte c: Hihi
Oui, je me défoules bien en balançant toute la haine que j'ai pour toi sur Tumblr 💕 En espérant que tu tombes dessus un jour c:
Anyway, il est 4am et je n'ai toujours pas réussi à m'endormir parce que ma haine génère de l'adrénaline dans tout mon corps, ce qui me garde tendu et alerte.
Si seulement je pouvais aller te foutre une raclée, ou même dix, je dormirais tellement mieux. Ce serait pour la bonne cause tu vois! uwu
Après toute ces années, tous ces efforts pour garder mon sang-froid, tous ces remords suite aux moments lors desquels ma colère explosait sous forme de violence, je croyais avoir parvenu à la contrôler.
Mais là maintenant, si je t'avais devant moi, je ne crois pas que je tiendrais plus de 5 secondes sans tenter de t'exploser le crâne contre un mur, de tirer tes jolis cheveux vers l'arrière pour mieux planter mes ongles dans tes yeux jusqu'à ce que tu hurles, d'aggriper ton cou et serrer jusqu'à ce que tu la fermes pour de bon.
Ça fait grave longtemps que je n'ai pas eu ce rush de haine dans mes veines, comme si tes mots qui résonnent encore dans mon esprit faisaient bouillir mon sang.
T'as toujours fait sortir ce qu'il y a de pire chez moi, comment ai-je pu un jour te considérer comme une amie? Comme une personne, même? Ton amour vaut que dalle. Tu ne sais même pas aimer qui que ce soit d'autre que ta petite personne.
Tu ne mérites pas de énième chance. Je te dois fuckall. Et toutes tes tentatives de "réparer" notre relation ne font que prouver à quel point t'en a rien à foutre.
Parce que si tu te préoccupais réellement de ce que je ressens à ton égard, tu aurais réalisé l'ampleur des conséquences de tes actions et tu n'oserais même pas me demander de te pardonner.
T'as toujours été trop centrée sur toi pour t'inquiéter de tes proches. T'as jamais été là à part pour foutre la merde et te donner en spectacle. Et t'as le culot de t'attendre à ce que tous tes sales coups soient pardonnés de manière inconditionnelle.
Va crever au fond d'un fossé, ce sera la chose la plus empathique que t'auras faite pour tes proches de toute ta misérable petite vie de salope.
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misericordieux · 8 months ago
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Mon psychiatre m’a tuer
#pour une fois que j’ose m’auto flatter timidement peut être bah il a tout cassé et la je me rends comptes que ma ‘confiance en moi’ c#c’est un château de cartes et que la bah il s’effondre le château de cartes#putain il m’a tué le peu d’aspiration que j’avais en moi le peu de confiance en moi et les autres que j’avais#bon bah je vais aller le voir que pour les médocs maintenant#oui c’est immature et je vais lui prouver#qu’il a raison que je suis bien immature et dysfonctionnelle émotionnellement#tain 14 ans que je travaille sur ma gestion émotionnelle j’suis au niveau -10 de l’intelligence émotionnelle#mais par contre ah oui je suis grave intelligente intellectuellement comme si c’est sur ça que je travaille depuis plus de 10 ans#oui j’ai pas confiance en moi#oui je suis une boule d’anxiété et oui je suis tellement hyper indépendante que ça me rends émotionnellement labile et que je ne pourrai#jamais guérir cela#autant me poignarder directement et physiquement#ça fera moins mal que de savoir que ce que j’ai mis en place depuis belle lurette ne sert à rien et n’avance à rien#du coup je disais que ma collègue a mentionné qu’elle pense que je suis très bien entourée alors qu’en réalité non pas tout#que ça montre que j’ai des appuis solides et que je suis intelligente émotionnellement et la il me coupe et me dit que non#‘vous êtes très immature émotionnellement ce n’est pas vrai’#y avait besoin de me dire ça maintenant ?#et il a rajouté ‘vous savez que vous avez un fort dysfonctionnement émotionnel et social’#quand je vous dit que mon sourire à quitté mon visage et que je me suis directement sentie humiliée#bref que les anxiolytiques on raconte plus sa vie#text#personal
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randomnameless · 9 months ago
Note
Nopes et Fodlan en général, c'est un exercice de yoga pour apprendre à rester zen lol
D'un côté tu as une sorte de traditionnel et assez intéressant linéaire avec des personnages qui racontent, souvent, quelque chose qui est contredit par les éléments que tu vois dans le monde, les bouquins, les petits textes "d'environnement" et tout...
Mais le drame, c'est que les personnages restent statiques, et au bout d'un moment tu te demandes juste, okay bon il a dit sa connerie, moi en tant que joueur j'ai vu l'inverse, est-ce qu'il va s'en rendre compte ou non? Et...
Non (on a tous reconnu Claude lol) : il part d'un postulat "Eglise caca", apparemment apprend que c'est un peu plus compliqué que ça, mais fini sur un "j'aimerais bien que vous, joueur, vous chanigez le monde pour faire en sorte qu'il y ait plus de tolérance parce qu'avant c'était pas ça, puisque Eglise caca".
...
Et dire qu'il nous pond cette bouse après avoir eu l'ultime révélation, de la part de Rhea elle-même, sur la raison de ses secrets et le fait que les Nabatéens chantaient kumbaya en rond et se sont quand même fait démolir parce que leurs oreilles sont pointues et que ça peut faire des fléchettes super stylées, c'est... décevant.
Donc d'une part on a cette chose immonde de "oui mais les persos tu les aimes et ils peuvent pas grandir (sauf une partie du cast qui est dans le nord mais ils sont vilains pas beau) donc entre le scénario et Hilda qui est encore en train de se plaindre qu'on lui donne trop de travail et qui est contente d'être une feignasse alors qu'on vient de faire une carte où il est révélé que sa maison """"embauche"""" des gamins almyriens en leur donnant un minimum de gîte et de couvert qui doivent eux quasiment se tuer à la tâche pour faire des corvées, ben Hilda est plus importante! Achètes son alt en bikini pour FEH stp!"
Et d'autre part, évidemment, Dedel elle-même!
C'est marrant parce qu'au début je pensais naivement que le scénario et le sentiment d'inachevé de cet opus (FE16) était dû au fait qu'on avait encore un avatar qui devait être le centre du monde - et si je maintiens que certains choix scénaristiques (comme des dialogues de soutien???) sont clairement motivés par ça - en fait ce n'est pas Billy le centre de Fodlan pour les développeurs, c'est Dedel!
Dimitri est foufou et vilain parce qu'il veut trucider Dedel? Ben quand il redevient gentil, il ne veut plus la décapiter! Ouais!
Claude geint quand il s'agit de dégommer Dedel "on a des buts pas si différents en fait! Moi je veux mettre un terme aux discriminations, et toi tu veux tuer Flayn parce qu'elle n'est pas de la bonne race. C'est tout pareil!" et sa route a quand même la perle, avec Lys qui est en mode "on doit dégommer Thales et compagnie pour Dedel aussi qui était une pôvre victime :'(". A vomir.
Le truc le plus marrant, c'est que la route de Dedel est celle qui, à mon sens, dépeint les critiques de Rhea de façon la plus réelle : elle est énervée et peinée et détruite petit à petit par la guerre qui fait rage parce qu'il faut la détruire, comme elle est caca, mais au moins avec les voix JP, j'ai l'impression que oui, on fait une boulette et le joueur se prend tout ce torrent d'émotions et de doutes dans la face, et c'est pas Dedel avec sa rhétorique puante "oui mais ce ne sont pas des humains et les oreilles pointues sont un mal qui ronge notre monde depuis des siècles il faut toutes les exterminer" qui fait passer la pilule.
Du coup, les développeurs ont misé sur le côté "self insert" de Billy avec Rhea qui se focalise sur eux - au lieu de Dedel - pour montrer qu'elle est méchante, elle vous crie dessus :'(
En tous cas ça a marché avec quelques joueurs outre-atlantique, et Rhea caca "parce qu'elle me regarde mal, et m'a dit que je n'étais qu'un raté ouin ouin le pnj il est vilain avec moi môman".
Et puis dans SS, ben on finit par avoir Rhea elle-même, dans son soutien, qui avalise les merdouilles de Dedel en pensant que la guerre était de sa faute (ben oui!) pour dédouanner l'élève pour laquelle le joueur est censé se sentir mal.
Bref, on a deux jeux où des persos, dont Dedel la première, font de la merde, 36k occasions de la part de personnages - qui ne manquent pas de répartie creuse quand il s'agit de dire qu'une organisation bannie depuis des siècles d'un endroit est mauvaise parce qu'elle n'aide pas les gens de cet endroit (coucou Doro!) ou qu'elle discrimine entre les gens (coucou Claude!) - de les corriger, mais non.
Dedel ne pourra jamais faire face à quelqu'un qui lui explique en trois points que son plan c'est de la merde - il n'y a rien qu'à voir Ferdie qui fait des ronds de jambe pour lui expliquer le concept de l'école (oh mais oui dedel, je suis sûre que tu y as pensé n'est ce pas? Qu'est ce que tu es douée!) - parce que quiconque s'oppose à Dedel, dans les jeux "Fodlan", ben c'est quelqu'un de méchant, à la fin, tout le monde doit aimer ou au moins avoir de la sympathie pour elle (dédicace à @ladyniniane qui, à mon sens, a écrit une façon réaliste d'envisager les "pourparlers" d'avant bataille de la route des Lions de Saphir, au lieu d'avoir le débat sur le plat de la cantine ce midi que nous ont pondu les développeurs).
Et parfois, on arrive à des absurdités que certains joueurs relèvent comme le "mais pourquoi les gens ils sont pas contents quand je leur roule dessus et leur explique qu'il sont des sous-humains comparés à moi et mes compatriotes?" ou le fameux "no u" quand Dimitri lui demande d'arrêter de trucider ses sujets.
Donc pour répondre à ton Claude sur le montage, oui, selon les "scénaristes", ont est censés être tristoune pour Dedel (Lobotogard est pour moi la façon la plus moche de lui empêcher d'assumer ses actes de merde) et toujours vouloir acheter des polochons à son effigie, quitte à sacrifier la qualité scénaristique des jeux.
Rewatching Shez's supports with Edelgard, it kind of irritates me that Edelgard looks upset after Shez points out that the average farmer probably hates her for the war. Like, ma'am you knew this would lead to mass death and a lot of people not being fans of yours, and considering Hubert also points out the Edel's policies are meant to benefit nobles who give her money and troops and keep down the commonfolk, she shouldn't be surprised by this answer. Shez even softens the comment by saying "you must have a good reason" but it's like Edelgard can't handle hearing any kind of real criticism from people she respects (or claims to). I think it's another player-pandering thing, can't have the Lord be mad at you, but it just makes Edelgard look like a thin-skinned whiner who can't handle the harsh criticisms that her actions are going to bring her. At least when she went on about "her path of blood and death" in 3 Houses she seemed to have some sense of "yeah people will hate my guts." Idk it probably comes down to the developers being scared to have someone truly criticize Edelgard without pushback.
That supports irks me for other reasons lol, basically the fact that Barney points out how water is wet (something Supreme Sailor Fuku apparently missed, as you noticed) but within 1 convo they completely drop that plot line and get along with her plans because, eggtivation means that someone as bland as Barney - who could represent common sense - must also be drowned under liters of Hresvelg Grey.
Imo, it's not "your lord cannot be mad at you", but again and again with the Fodlan games, "no one can be mad at Supreme Leader, not even you(r self insert character)".
FWIW, FEH got her writing right - faced with contradictions and criticism, Supreme Leader ragingly storms out of a conversation when the characters aren't from Fodlan and thus cannot be eggtivated (or when the Fodlan team isn't writing them?).
Given how her Nopes' Big B's support basically has her say "you're either with me or against me", no wonder why criticism, at least in Nopes, is something unknown for her, hell, Ferdie must behead his father to demonstrate times after times that he and House Aegir aren't her enemies - in a way, even with the twist they added (let's ally with those icky disgusting beasts to get rid of uncle, and THEN we will free Fodlan from their scaly grasp!) Nopes wrote Supreme Leader to be even more uncompromising and more bull-headed than ever, if in Houses she had a modicum of self-awareness (she's still the Adrestian Emperor though!), in Nopes it's written away.
#lilias42#un petit peu de sel pour débuter la soirée#c'est déjà vu et revu dans les JRPGS le worldbuilding qui contredit ce que les persos jouables pensent#et les joueurs avertis s'en rendent compte#mais il y a toujours un moment où les persos jouables se rendent compte qu'ils se sont trompés!#parfois c'est super bien scénarisé comme dans la saga baten kaitos#et parfois un peu moins#mais là? On a l'impression que les persos évoluent dans leur propre monde et n'interagissent pas avec le Fodlan qu'on voit#sérieux à quoi ça sert d'apprendre qu'il existe une pièce de théâtre ancienne où des humains fantasmaient sur des Nabatéens#si aucun perso ne mentionne l'existence des Nabatéens?#Enfin moi ça me sert pour des fanfics ou autres UAs#mais pour des développeurs? Soit ça sert à faire joli et c'est du temps de codage payé pour rien#soit c'est un indice que Dedel raconte de la merde mais au final tout le monde s'en fout donc on en revient au même point#des gens ont été payés pour faire un lore qui n'est même pas touché dans le jeu#encore une fois vu que c'est mon hyperfixation dans ces opus pour moi ça me va#mais enfin je sais qu'IS ne fait pas des jeux que pour moi lol#donc je me demande par exemple Willy et Lycaon#pourquoi les inclure dans le worldbuilding et sous entendre que Dedel pourrait avoir des oreilles pointues si c'est pour que cet élément#ne soit repris par aucun personnage même pas dans un soutien#et que ça serve juste à remettre en cause la version de dedel sur ce que Willy aurait transmis de générations en générations?#et encore une fois cette remise en cause ne rime à rien puisque les devs ne laissent pas à Rhéa une seconde pour parler d'autre chose#que du joueur et de son importance pour elle et le monde en tous cas dans FE16?#j'ai rien contre le gars mais enfin#on connait le nom du l'orphelin que Matthias Gautier recueille après la mort du chef de clan Sreng#mais on ne sait pas si les persos jouables de Fodlan savent qu'il existe des non-humains pacifiques dans le continent#ou si Rodrigue a déjà vu une tortue géante et ce qu'il pense des 'enfants de la déesse'#FE16#rant
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pompadourpink · 7 months ago
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A list of questions
À quelle heure tu arrives ? What time are you arriving ?
Avec qui tu parlais ? Who were you talking to ?
Bien ou quoi ? You alright ? (very casual)
Ça va ? Are you alright ? (normal)
Ça va pas non ? Are you crazy ?
C'est moi ou il est fou ? Is it me or is he insane ?
De quoi parle ton livre ? What is your book about ?
De quoi tu parles ? What are you talking about ?
De quoi tu te mêles ? How about you mind your business ?
D'où tu tiens ça ? Where did you hear that ?
D'où tu viens ? Where are you coming from ?
En quoi ça me regarde ? What does that have to do with me ?
Est-ce que tu crois que tu es drôle ? Do you think you're funny ?
Est-ce que tu te sens bien ? Are you feeling alright ?
Est-ce que tu t'es fait mal ? Did you get hurt ?
Est-ce que tu vas bien ? Are you alright ? (slightly elevated)
Faut peut-être se calmer non ? You better calm down (annoyed)
Il faut y aller non ? Shouldn't we go ?
Il fout quoi ? What the hell is he doing ?
Il se passe quoi là-dedans ? What's happening in there ?
Il te faut quoi ? What do you need ?
J'en étais où ? Where was I ?
Je t'ai demandé quelque chose à toi ? Did I ask for your opinion ?
Je te ramène quelque chose/un truc ? Do you need anything (from the store/downstairs, etc.) ?
Le mec en pull rouge, c'est qui ? Who is the dude in the red jumper ?
Les deux ? Both ?
On se calme ? Are you going to calm down ? (appeasing or angry)
On y va ? Shall we ?
Pourquoi tu continues à répondre ? Why do you keep talking back ?
Pourquoi tu ne lui demandes pas ? Why don't you ask him ?
Pourquoi tu t'en vas ? Why are you leaving ?
Quel est ton film préféré ? What's your favourite movie ?
Quelle heure il est ? What time is it ?
Qu'est-ce que ça change ? What does that change ?
Qu'est-ce que ça fait ? What does that do ?
Qu'est-ce que tu as à manger ? What do you have to eat ?
Qu'est-ce que tu branles/fiches/fous ? Wtf are you doing ?
Qu'est-ce que tu racontes ? What are you on about ?
Qu'est-ce qu'il y a encore ? What now ?
Qu'est-ce qui ne va pas ? What's wrong ?
Qu'est-ce qui se passe ? What's happening ?
Sur place ou à emporter ? In or take away ?
Tout est réglé ? Is everything fixed/good now ?
Tout va bien ? Everything alright ?
Tu fais quoi ? What are you doing ?
Tu m'as pris pour qui ? Who do you think I am ?
Tu m'entends bien ? Can you hear me well ?
Tu pars quand ? When are you leaving ?
Tu plaisantes/te moques de moi ? Are you joking me ?
Tu t'es cru chez ta mère ? Did you think you were at your mother's house ? (angry)
Tu te sens mal ? Are you feeling ill ?
Tu vas te taire, oui ? Will you shut up ?
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camisoledadparis · 3 months ago
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saga: Soumission & Domination 368
Vacances de la Toussaint (en France)
Depuis que je suis arrivé aux USA, je reste en contact par skype avec la France et mes amours bien sûr mais aussi mes " petits frères " Enguerrand, Max et Nathan.
Je ne sais pas si je leur manque mais eux m'appellent deux fois par semaine pour me raconter leurs misères tout en insistant bien sur leurs excellents bulletins de notes.
Du coup je ne peux refuser qu'ils me rejoignent tous les trois aux vacances de la Toussaint (je leur offre même les billets en première).
Ils arrivent accompagnés de PH et Ludovic. Je loue un shuttle entier et avec Tyler, les cueille à l'aéroport. En vol direct ils ne sont pas trop fatigués. Sur la route qui nous conduit chez le père de Tyler, Ludovic me dit qu'Enguerrand s'est fait un des Stewards dans l'avion. S'ensuit une bagarre verbale entre les deux frères, le plus jeune traitant son ainé de balance. Max et Nathan sont morts de rire car en fait ils avaient fait le pari à qui serait le premier à baiser en vol.
Tyler est éberlué de la façon qu'ont les benjamins de parler de sexe. Ces derniers poussent de grands cris dès qu'on entre dans San Francisco. Collés aux vitres ils n'arrêtent pas d'échanger leurs impressions. Nathan s'attendait à plus de gratte-ciels. Ils adorent dès qu'on passe Market street. Ça monte et ça descend comme dans les films.
Le standing de la maison de Matthew fait siffler le plus impudent.
Présentation au père de Tyler qui explique aux plus jeunes qu'ils sont chez eux. Je m'empresse d'ajouter en français que c'est réellement comme chez eux, c'est-à-dire qu'ils ne mettent pas tout à feu et à sang, pas plus qu'ils ne ramènent du monde.
Promesse de mes trois excités.
En attendant ils amusent bien Tyler et son père. Dane venu nous rejoindre pour diner intrigue le trio jusqu'à ce qu'il monte se coucher avec nous trois (PH, Ludovic et moi). J'entends tout bas un " faites ce que je dis, pas ce que je fais " alors que la porte de notre chambre se referme.
 Nous entamons la nuit par un bon moment de sexe. Dane est content de retrouver mes deux amours et, après avoir rapproché les deux lits KingSize, nous passons de corps en corps, de bouches en bouches à bouches en bites et/ou en anus. J'ai grand plaisir à retrouver les corps parfaits de mes partenaires privilégiés. De leurs côtés j'ai l'impression qu'ils sont contents aussi. PH fait attention à ce que Dane ne soit pas exclu de nos retrouvailles. Je me gave de leurs langues, je retrouve le goût de leurs bites et de leurs précums. Miammm je les dévore !
Comme on va passer au sérieux (j'entends par là, les sodos), nous voyons la porte s'ouvrir et mes trois loustics sauter sur le lit. Evidemment ils sont déjà à poil et tout bandants !
Dane est le plus surpris. Moi, je pensais qu'ils auraient quand même attendu une invitation et peut être même un jour ou deux.
On repart pour quelques préliminaires mais les nouveaux venus nous font comprendre que ça, ils l'avaient déjà fait.
Max s'attaque à Dane que je dois décomplexer pour qu'il accepte de baiser avec. Enguerrand fait son " Caliméro " et brule la politesse à son frère pour que je l'encule. Ludovic le fait pivoter sur le dos (ma queue servant d'axe) et le chevauche. Non pas pour qu'Enguerrand le sodomise mais pour m'offrir le choix.
Royal !! Je passe d'un cul à l'autre trouvant le même plaisir dans chacun de leur corps. Sans ressentiments ils se roulent une pelle alors que je lime leurs rondelles en alternance.
PH s'occupe de Nathan en attendant que je pense à lui. Mais je pense à lui, même quand je lime un autre cul que le sien ! C'est mon amour !!
Je laisse les deux frères et le décolle de Nathan que j'envoie s'intercaler dans la fratrie.
Là c'est le gros câlin d'amour qui nous place dans une bulle.
Pelles, pipes, sodo, re pipes, re pelles, bouffages de rondelles et autres suçages de tétons, la totalité de nos corps participe à notre plaisir mutuel.
Quand nous explosons enfin, moi dans son cul et lui dans ma main, que nous léchons à deux. On s'aperçoit que la chambre est silencieuse et que nous sommes entourés de 5 voyeurs.
Dane me dit que c'était superbe : " gorgeous " pour lui. Il ajoute qu'il est pressé de trouver un mec avec qui se sera pareil.
Les " petits " s'éclipsent sans demander leurs restes et nous dormons entremêlés.
Réveil des Français dès 7h, décalage horaire ! Nous nous entassons dans le 4x4 de Dane pour faire connaitre au trio les délices du petit déjeuner chez Dottie's.
Comme j'y passe dès que je peux, je commence à y être connu. Il n'empêche que nous faisons la queue comme tout le monde. Le serveur nous place à la grande table (la seule) qui jouxte l'entrée. Je lui explique qui sont mes invités. Il les gratifie d'un  bienvenu à San Francisco, draguant plus qu'à moitié Enguerrand. Le café arrive aussitôt accompagné d'un grand verre d'eau. Ça nous laisse le temps de choisir et à lui le temps de placer quelques clients de plus.
Quand nous passons commande, il est quand même un peu surpris par la quantité. Il n'empêche que les muffins comme les pancake et les oeufs brouillés/bacon/patate disparaissent tous de la table.
Nous déposons Tyler chez lui et faisons un détour par chez Dane pour récupérer son petit frère.
Il nous explique qu'il lui a demandé de s'occuper des jeunes pendant les 10 jours qu'ils vont passer ici. Comme il a son permis (c'est plus tôt qu'en France), ils seront indépendants les jours à venir. Ludovic le remercie et lui dit qu'il ne fait pas forcément un cadeau à son frère vu la " turbulence " du trio.
Quand nous rencontrons Duke, nous sommes rassurés. Il est aussi balèze que nous et semble pas timide. Sa poignée de main est ferme et il prend tout de suite le trio en charge. Ils grimpent dans son Pickup et nous propose de les suivre.
Alors qu'on file vers les quais, je demande à Dane s'il sait où son frère nous emmène. Réponse " aucune idée ". On est vite fixé en apercevant le quai d'embarquement pour Alcatraz.
Petite traversée calme. Je note que le trio a intégré Duke et réciproquement. Ils ne s'occupent plus de nous ! Visite intéressante, retour calme aussi, le quatuor parcourant le petit ferry de long en large.
Comme on reprend les voitures, Duke nous dit qu'ils vont aller faire du surf et qu'ils nous retrouveront dans la soirée. Si ce n'est pas un congé, c'est bien imité ! J'attrape Enguerrand et lui glisse un paquet de dollars, précisant qu'il ne devait pas laisser payer Duke pour eux. Il pousse les billets dans son short et me fait un bisou en me disant qu'il sait vivre.
On les retrouvera fourbus mais excité de s'être essayé au surf avec Duke.
Pendant le diner, il est à ma gauche. J'en profite pour lui demander si ça le gave pas trop d'avoir à se trainer 3 petits français. Quand il me dit qu'heureusement que nous autres (PH, Ludovic, Dane et moi) seront repartis ou en cours, comme ça ils pourront s'essayer à d'autres sports. Je capte le sous-entendu. En moi je me dis que si le petit frère est du même moule que le grand, ils vont bien s'amuser. Je donne ma bénédiction d'un " d'accord mais tu fais attention à eux, j'y tiens beaucoup " ce qu'il me dit savoir déjà et accepte.
 C'est vers la fin du diner, le vin aidant que l'on apprend qu'il s'est déjà fait Nathan et qu'il est pressé de faire l'amour avec les deux autres avec lesquelles il n'a pu qu'échanger quelques pipes dans le pickup. Questions des plus âgés pour savoir quand ils avaient réussi à le faire (Nathan et lui), réponse dans les toilettes d'Alcatraz alors qu'on attendait la navette.
De Dane à qui je reproche de ne pas nous avoir prévenus que son petit frère était comme nous, me parvient la réponse que si j'avais été au courant, j'aurai cherché à lui enfiler ma bite en premier. De Duke m'arrive un " mais t'inquiète j'ai bien envie de le faire avec toi ".
Merci pour mon égo !
 Le lendemain après le départ de mes deux amours pour la France, Duke me demande s'il pouvait inviter la triplette chez lui, que ce serait beaucoup plus simple que de venir les chercher tous les jours chez Matthew. Dane m'assure que ses parents ne verront même pas la différence habitués à ce que de leurs amis passent souvent quelques jours chez eux. Tyler me dit qu'effectivement les parents de Dane et Duke sont cool et qu'il lui est arrivé d'y squatter 1 semaine quand son père était absent.
Je cède !! Et je reçois ma récompense, un french kiss de Duke ponctué à l'attention de Dane d'un " tu ne pensais quand même pas te le garder pour toi tout seul ?! ".
Retour à la Fac. Tous les soirs les garçons m'appellent pour me raconter leur journée. Visite complète de San-Francisco, de la Napa Vallée, échanges sportifs avec leur hôte très intéressé par le savant mélange des différentes techniques de combat que nous avons développé.
Quand ils apprennent que j'ai eu droit à des cours particulier avec un véritable Navy Seal, ils sont excités (bien que ce soit leur état naturel). C'est Enguerrand qui me dit que coté cul je vais apprécier le WE à venir. Il ne sait pas pour Dane mais Duke est un sacré bon coup au lit. Venant de lui qui en connait un bout sur le sujet, je bave d'impatience.
Quand j'en discute avec Dane, ce dernier me dit qu'il n'en sait rien, ils n'ont pas d'amis commun (enfin, de lit). Quand je lui demande s'ils n'ont rien fait ensemble depuis qu'il sait que son frérot est gay comme lui, il me le certifie à moitié choqué.
Dès le vendredi soir nous rejoignons les benjamins chez Dane. En plus de son frère et du trio français, il y a déjà 4 autres jeunes mecs.
Présentation, ce sont les meilleurs potes de Duke et d'après les comportements, ils connaissent déjà mes " petits frères " et bibliquement même !
Les parents partis prendre le soleil à San Diégo, nous avons la maison pour nous.
Ça devait arriver, à peine une demi-heure après notre arrivée, Duke réussit ce qu'il avait en tête depuis notre première rencontre, c'est-à-dire baiser avec moi !
Un peu plus petit que Dane, mais pas de la bite qui, aussi longue me parait juste un peu moins épaisse, il est terriblement baisable !!
Grosse pelle, pompage mutuel avec plus de la part de Duke. Il apprécie mes gorges profondes et me dit qu'il comprend d'où vient l'entrainement du trio. Lui-même n'est pas en reste et la capacité de sa gorge dépasse son encombrement par mon 20x5. Quand je le félicite, il me dit de ne pas en parler à Dane, il veut pas qu'il le croit trop " salope ".
C'est lui qui, d'impatience, me présente sa rondelle et se plante sur ma bite (préalablement recouverte de synthétique).
Quel cul ! Encore plus " nerveux " que celui de Dane, il m'enserre la bite, la pressant à me faire croire que j'encule un puceau. Il n'empêche que quand je pousse pour lui mettre mon dernier cm, le plus épais, j'ai le plaisir de l'entendre couiner.
Il tourne la tête et nous nous roulons un patin. Je le pousse à 4 pattes et après avoir attrapé ses hanches je l'encule virilement. Il apprécie et gémis sans retenue. Après un retournement afin qu'on se voit prendre notre pied, il m'enserre les hanches de ses jambes alors que je me colle à lui et lui donne ma langue à téter. Mes hanches continuent de pousser ma bite dans sa rondelle. Simultanément je sens son jus s'infiltrer entre nos abdos et sa rondelle bloquer les mouvements de ma bite à chaque éjaculation. Il me fait jouir et je m'écroule sur lui.
Alors que nous prenons un instant de repos avant de rejoindre les autres, il me demande comment je le note par rapport à son frère.
Je ris et lui dis qu'il va falloir qu'on recommence plusieurs fois pour que je puisse juger en toute connaissance de cause. Là, on s'est fait 2 positions ce qui est un peu court pour la comparaison.
Jardinier
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considermeharmless · 2 months ago
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En Temps et en Étoiles - À la belle étoile
A fun little challenge I gave myself! Translating an In Stars and Time scene (Stargazing with Isabeau) in French! I don't know if something similar already exists..? But hey! It was a funny frenchifying exercise, so I hope you guys will enjoy =v= And to @insertdisc5 J'espère que j'aurai fait honneur à ton superbe jeu et à cette fantastique scène :3
Oh! And if it's enjoyable to anyone else, please send me other scenes you'd like to read in my French way!
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(Tu lèves les yeux vers les étoiles.)
(Tu n'en reconnais aucune.)
Siffrin: "Non, je n'en connais pas."
Isabeau: "Oh."
"... Tu dis que je n'ai pas mis les pieds dans le plat, mais…"
"Sif…"
Siffrin: (Change le sujet.) "Non, non, c'est bon, hahaha !"
"Raconte-moi quelque chose ?"
Isabeau: "Quelque chose ?"
Siffrin: "Quelque chose sur toi."
Isabeau: "Oh, ok! Hm…"
"..."
"Bon, ok, tu sais que je suis de Jouvente, pas vrai ?"
"J'y ai vécu toooooute ma vie !"
"C'est une chouette, grande ville. Avec plus qu'une seule Maison, aussi. Bieeeeen plus grande que Dormont."
"Assez grande pour ne pas connaître la vie entière de chaque personne que tu croises, haha."
"... Bref, tu vas peut-être trouver ça surprenant, j'sais pas…
"Mais quand j'avais l'âge de Bonnie, j'étais genre, le PLUS INTELLIGENT des surdoués du coin."
"Pas légèrement intelligent, ou quoi…
"Mais genre, le gamin le PLUS INTELLO que tu puisses imaginer."
(Oh.)
(Tu as du mal à imaginer Isabeau autrement que comme l'homme exubérant qu'il est.)
Isabeau: "Hah, vraiment imagine ça !"
"Grosses lunettes. Tresses super soignées. Connaissant toujours la réponse aux questions du professeur. Toujours de bonnes notes."
"Toujours trop timide et concentré sur les notes pour savoir comment se faire un ami dans la cour de récréation."
"Ca c'était moi !"
"Et, euh, je ne m'aimais pas vraiment."
"Parce que, et bien j'étais intelligent, mais… Je détestais vraiment être timide. Etre seul. Même pas capable de demander un crayon à un camarade, parce que j'étais trop paralysé par la peur."
"Et j'étais prêt à passer le reste de ma vie comme ça."
"Mais un jour, après des années à vivre comme ça, je me suis regardé, comment j'étais, la façon dont j'existais dans ce monde…"
"J'ai regardé à ce gamin dans le miroir, et je me suis dit…"
"Est-ce que c'est ça ?"
"Est-ce que c'est vraiment qui je veux être ?"
"Est-ce que je ne pourrais pas être quelqu'un d'autre ? Quelqu'un qui peut se faire des amis, quelqu'un que les autres pourraient aimer ? Quelqu'un'un que je pourrais aimer ?
"Quelqu'un que je n'aurais pas honte d'être ?"
"Ne pourrais-je pas juste… Changer ?"
"Et, c'est une des raisons pour lesquelles les gens vont dans les Maisons, tu sais ? Pour apprendre des choses, s'entraîner, pour faire du Façonnement Corporel sur soi…"
"Pour Changer !"
"Et tu peux y rester pendant un moment, et revenir Changé, et personne ne dirait quoi que ce soit. Ils accepteraient simplement la nouvelle personne que tu es devenu."
"Alors je suis allé à une des Maisons de Jouvente et je me suis jeté à l'eau ! Pour essayer d'être la personne la plus cool, forte et fiable qui soit !"
"Soulever des poids ! Entraîner ma voix à être plus grave, plus puissante ! Façonner mon propre corps pour qu'il soit plus cool, plus fort !"
"Me regarder dans le miroir tous les matins et hurler "Je suis le plus cool !!!" !"
"... Le Changement est destruction, tu sais ?"
"Pour initier le Changement, tu dois savoir que tu risques de blesser des gens. Te blesser toi-même, peut-être."
"Donc tu dois toujours être prudent, et te demander si la destruction que tu apportes en vaut le coût."
"J'ai décidé que c'était le cas."
"Alors la personne que j'étais avant…"
"Je l'ai faite disparaître."
"Tuée de mes propres mains."
"Fait en sorte qu'elle ne revienne plus jamais."
"Pour que je puisse vivre."
"..."
"Ah, ça sonne si terrible, quand je le dis comme ça !!!"
"L'enfant que j'étais avant est toujours là ! J'ai juste, euh, grandi autour de lui ? Pour le protéger ?"
"Construire une armure, jusqu'à ce qu'elle devienne réalité ?"
"Pour que je puisse devenir quelqu'un de fort, quelqu'un d'extraverti… Quelqu'un de réconfortant à côtoyer."
"Quelqu'un que j'aurais aimé connaître, avant."
"..."
"Bah. C'est pas si important."
"Je suis là, c'est ce que je veux dire ! Et je m'aime tellement plus qu'avant !"
"Mais même la personne que je suis maintenant est un projet en cours. Je veux toujours Changer."
"Je suis devenu un mec grand, fort, fiable et optimiste, parce que c'est ce que j'avais besoin d'être."
"Mais récemment, je me suis senti comme si j'avais besoin… De laisser tomber un peu la façade d'écervelé ? D'agir moins bêtement, ce genre de truc."
"C'est pas très agréable, quand les gens pensent que je suis stupide, juste parce que j'agis d'une certaine manière."
"Alors, je pourrais peut-être Changer encore bientôt ! Et devenir quelqu'un de légèrement nouveau !"
"Ca sonne cool, hein ?"
(Oh…)
(Tu l'ignorais.)
(Isabeau voulait changer, devenir quelqu'un d'autre, et il l'a fait.)
(Il a dû travailler pendant si longtemps, pour faire de son souhait une réalité…)
Isabeau : "Ha… Je pourrais changer pour être un mélange entre un sportif et un intello."
"Equilibrer les deux, tu vois ?"
Siffrin : (Ha.) "Alors tu vas te changer en intellortif ?"
Isabeau : "Plutôt en sportello ! Ca sonne mieux, non ? Meilleure sensation en bouche."
Siffrin : "Les deux sonnent mal, Isa."
Isabeau : "Nooooon, dis pas ça ! Hahaha !"
Siffrin : "Tu peux être un sportif intelligent."
Isabeau : "Un sportif intelligent… Plutôt avant-gardiste, pas vrai ?"
Isabeau : "E-en tout cas, une fois qu'on aura battu le Roi demain, et qu'on partira chacun de notre côté, je vais juste changer en quelqu'un d'autre !"
"Quelqu'un qui peut être à la fois fort ET intelligent !"
"Les deux à la fois ! Quel concept ! Est-ce que ça ne donne pas l'impression de quelqu'un de cool ?"
"Est-ce que cela ne ressemble pas à quelqu'un que tu n'aurais pas honte de connaître ?"
(Est-ce que c'est ce qu'il pense..?)
Siffrin : "Isa…"
Isabeau : "... Ouais, Sif ?"
Siffrin : "Je n'ai jamais eu honte de te connaître."
"Même pas un petit peu."
Isabeau : "..."
"Ha, tu vas me faire rougir, Sif..!"
"Et… Ben, tu sais que je pense pareil, pas vrai ? Tu es genre, peut-être la personne la plus cool que je connaisse… Tu le sais, non ?"
"Et j'aime vraiment passer du temps avec toi ! Quand on traîne ensemble, je découvre toujours de nouvelles choses, comme des trucs cools sur le théâtre, ou même juste quelque chose de nouveau sur toi,"
"Et j'aime le fait que tu aies toujours un jeu de mots prêt pour n'importe quelle situation,"
"Comment tu respires d'une manière particulière parfois, et j'aimerais pouvoir respirer avec toi pour que tu te sentes mieux,"
"Et j'aime comment ton visage change quand tu manges tes plats préférés,"
"Et je veux te connaître plus,"
"Parler plus avec toi,"
"Rire plus avec toi,"
"Et… Et je…"
"..."
(Tu ne peux pas détourner ton regard de lui.)
Isabeau : "Je…"
"..."
"W-wouah, est ce que c'est une étoile filante ?! Hé, regarde là-haut ! C'est pas génial ?"
(Tu détournes le regard, et tu lèves les yeux vers le ciel étoilé.)
(Il n'y a pas d'étoile filante.)
(Mais ça ne te dérange pas.)
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lolochaponnay · 1 year ago
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Deux femmes discutent entre-elles : - Cette nuit j'ai fait un terrible cauchemar ! - Ah bon, raconte-moi. - George Clooney et mon mari se battaient pour moi. - Et tu appelles ça un cauchemar ? - Ben oui c'est mon mari qui a gagné !
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gay-impressionist · 1 year ago
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PARDON
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aisakalegacy · 16 days ago
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Printemps 1937, Hylewood, Canada (19/27)
Environ une heure et demie plus tard, nous nous étions réunis tant bien que mal dans le salon. Nous n’en menions pas larges. Nous avions les yeux bouffis de fatigue, l’esprit embué de ceux qui ont mal dormi. Si Layla avait dormi plus que nous autres, son sommeil avait été envahi de cauchemars. Après tout, c’est elle qui avait découvert le cadavre… Lola était la plus reposée d’entre nous. Passé le choc et les larmes, elle avait réussi à dormir d’une traite jusqu’au lendemain où Agathon l’avait libérée de sa chambre. Toute cette excitation la rendait presque joyeuse, mais je la connaissais - aussitôt seule avec ses pensées, la tristesse reviendrait. Irène était irritée - notre fille ne dormait pas, quand elle dormait elle était réveillée par les trépidations d’Agathon, et de ce fait, son sommeil avait été interrompu constamment. Sonia avait été réveillée au beau milieu de la nuit par Agathon et n’avait pas pu se rendormir ensuite. Gizelle s’était couchée plus tardencore que d’habitude et aurait très clairement préféré faire la grasse-matinée. Quant à Agathon et moi, nous avions fait nuit blanche… Autant dire que personne n’était très frais.
[Transcription] Agathon LeBris : Merci d’être venus au plus vite, malgré le fait que cette nuit a été courte pour la plupart d’entre nous. Je vous ai réunis ce matin pour vous raconter une petite histoire. Gizelle LeBris : J’aurais préféré rester dans mon lit… Agathon LeBris : Toute histoire a besoin de son lot de personnages. Ne vous fiez pas aux noms, ils sont purement théoriques. Choisis par hasard. Dolorès LeBris : Vas-y, Agathon. On sait que ça te démange. Agathon LeBris : D’abord, notre protagoniste. Lorita avait 19 ans et travaillait dans un cabaret du quartier Lumière Rouge à Montréal. Les cabarets du quartier étaient tyrannisés par un malfrat local qui leur avait imposé un « impôt de protection » (contre lui-même) qu’il venait collecter de temps en temps.  Agathon LeBris : Le cabaret s’appelait L’Ombre Rouge, et il n’avait pas les moyens de payer l’impôt. Le malfrat et ses hommes s’étaient donc décidés à se « rembourser » en violant les filles…  Agathon LeBris : Pas question de laisser ces porcs obtenir quoi que ce soit d’elle. Lorita a donc a tué le malfrat, sans culpabilité aucune puisque selon elle, c’était un rustre qui ne méritait que ça.  Agathon LeBris : Ensuite, elle s’est enfuie. Elle a été amenée à travailler pour un trafiquant péruvien notoire installé à Kingston du nom de Luis Ortega. Elle livrait de l’alcool aux Etats-Unis, et elle ramenait de la cocaïne, qui allait ensuite être vendue aux privilégiés installés dans leurs résidences secondaires des Milles Îles.  Agathon LeBris : Mais les Prohis devenaient suspicieux, et il fallait un meilleur alibi. La situation qui suit est purement hypothéthique. Un jour, il y a sept ans, dans un bar peut-être (après tout, qui suis-je pour juger des loisirs du petit personnel dans son temps libre…), elle rencontre une femme qui se plaint d’avoir été renvoyée de la famille bourgeoise qui l’employait comme domestique. Agathon LeBris : C’est alors que Lorita a une idée de génie : si elle se fait engager comme bonne chez une des familles des Milles Îles, alors sa présence sur le Saint-Laurent ne sera jamais questionnée, et elle pourra œuvrer bien plus facilement ! C’est ainsi que depuis sept ans, elle travaille pour les Le Bris.  Agathon LeBris : Une famille sympa, sans trop de moyens - et dont les membres sont si occupés qu’ils ne font pas attention à elle…. Pendant des années, elle a gagné leur confiance.  Gizelle LeBris : D’accord. Mais cela ne nous explique pas comment elle est morte. Agathon LeBris : Très bonne remarque. Une histoire a un héros, il lui faut aussi un méchant. Laissez-moi vous rappeler encore une fois que les noms que j’utilise sont purement hypothétiques, que toute ressemblance avec une situation réelle serait parfaitement hasardeuse. L’histoire que je vous raconte n’est que le fruit de mon imagination.
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hidekomoon · 2 months ago
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Comme promis dans mon post sur mes trucs préférés du mois de janvier, je vous présente mes coups de cœurs livresques plus en détail ! Je suis en chemin pour devenir libraire et j’adore recommander des livres donc je me disais que j’allais faire revivre le booklr français (y a-t-il un tag dédié ? parce que sinon j'en invente un)
Mon premier coup de coeur de janvier a un titre à rallonge qui vient directement d’une citation d’un évangéliste américain (proche de Trump, j’ai entendu). Les Féministes t’encouragent… d’Alex Tamécylia embrasse ces accusations et les justifie en 160 pages efficaces et originales. Dans ce livre, tout est hybride. C’est à la fois un essai et de la poésie : il y a des passages très factuels avec des statistiques et des citations, et d’autres plus lyriques inspirées par l’expérience personnelle de l’auteurice. La mise en page se transforme au fil du livre, avec des changements de taille de police, des expérimentations avec l’écriture inclusive… C’est donc visuellement très original. Décrit comme un nouveau « Scum Manifesto », ce livre peut être perçu comme assez trash. J’ai adoré ce dégoût assumé des hommes et du patriarcat, mais cela veut aussi dire que je ne le vendrais pas à quelqu’un qui débute dans ses lectures féministes : c’est plutôt quelque chose qu’on lit pour se sentir compris.e, pour mettre des mots sur ce qu’on vit. C’est ça qui fait la force de Les Féministes t’encouragent…, c’est un cri du cœur par et pour toustes celleux qui souffrent de cette société patriarcale et capitaliste.
Mon second coup de coeur est un classique de la littérature LGBT, publié dans les années 50 aux États Unis et l’un des premiers romans avec une fin optimiste pour ses personnages principales : Carol, de Patricia Highsmith. Vous connaissez sûrement l’adaptation de 2015 avec Cate Blanchett dans le rôle titre, c’est par là que je l’ai connu aussi. L’histoire met un peu de temps à démarrer mais une fois que c’était parti, j’étais scotchée. Parmi les aspects qui m’ont le plus intéressée, il y a la représentation de la vie dans les années 50, le traitement de la relation lesbienne et le développement du personnage de Therese. Je me suis facilement identifiée à elle malgré la différence d’époque et j'ai adoré suivre son évolution ; c'est autant un coming of age qu'une romance je pense. Le petit + : dans mon édition se trouvaient une préface et une postface écrites par l’autrice dans les années 80. Elle raconte la genèse du roman et l’impact qu’il a eu, et je trouve que c’est un bon résumé du contexte de sa publication et ce qu’il représentait pour les personnes queer de l’époque.
Cela faisait longtemps que je n’avais pas lu un roman aussi épais que mon troisième coup de cœur en moins de 24h. Sans patriarcat de Mathilde Morrigan a un style très accessible, j’avais l’impression de converser avec une amie féministe — mais une amie extrêmement bien renseignée. Une plume efficace donc, et un pari réussi, celui de démontrer toutes les façons dont le patriarcat régit nos vies. Mon passage préféré est celui où elle imagine le monde si les hommes avaient leurs règles, un bon exercice de pensée qui révèle tous les biais sexistes de notre société. C’est un livre assez complet, puisqu’il traite du patriarcat dans divers aspects de notre monde, qu’ils relèvent de la vie publique, privée ou intime des personnes. Donc si vous voulez vous renseigner en détail sur les dégâts causés par le patriarcat — avec une pointe de sarcasme — n’hésitez pas !
J’ai trouvé mon dernier coup de cœur par hasard dans la médiathèque du coin, au rayon histoire de l’art. Si vous suivez mon blog, vous savez que j’affectionne tout particulièrement les femmes des mythes et légendes et autres personnages féminins monstrueux, qui sont le thème du livre de Camille Laurens, Les Fiancées du diable. Cet essai présente un florilège d’œuvres d’époques et d’origines différentes pour explorer le traitement des femmes effrayantes dans l’histoire de l’art. On y retrouve toutes mes idoles, des sorcières à Artemisia Gentileschi en passant par Lilith. Si vous avez aimé les Sorcières de la collection C’est de l’art aux éditions du Chêne, Les Fiancées du diable est sa version plus engagée avec une vraie dénonciation du traitement des femmes représentées par des artistes masculins.
Et voilà ! Rendez-vous dans un mois pour mes coups de cœur de février !
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urween · 9 months ago
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Spend an afternoon with Hedwig, GN reader
Split headcanon
notes : j'avais vraiment envie d'écrire quelque chose de doux sur Hedwig parce qu'il est tellement touchant <3
no spoiler
⚠︎ warning : aucun
2 512 mots
- Description à la deuxième personne
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Vous vous connaissez depuis plusieurs années déjà, ou plutôt tu connais certains alters depuis plusieurs années. Dennis, Hedwig, Barry et Patricia ont été les premiers à se présenter à toi. Jade, Orwell, Mary et Kevin se sont ensuite exposés, mais il reste encore beaucoup d’alters méconnus. Barry a expliqué les principaux traits de caractères de ces inconnus pour que tu puisses ainsi te les représenter et même parfois les reconnaître lorsqu’ils prennent la lumière. Tu as exprimé beaucoup de reconnaissance pour ça, car il arrive quelquefois que tu te retrouves face à une personne que tu ne connais absolument pas. Barry a aussi expliqué que ces alters ne prennent que très rarement la lumière et que par conséquent ils sont toujours un peu perdus ou inquiets lorsque ça arrive. Heureusement qu’Hedwig est là pour reprendre le front et ainsi les soulager.
Quoiqu’il en soit, on peut dire que tu t’entends assez bien avec tous les principaux alters. Certains ont des caractères bien spéciaux mais tu apprécies ce détail, ça leur donne un charme.
Patricia fait partie de ces alters. Les femmes sont peu nombreuses dans leur système comparées aux hommes, mais elles ont pour la plupart un fort caractère. Et dans ce lot, Patricia est certainement la plus complexe. Tu as mis beaucoup de temps à t’habituer à sa présence. Elle dégage quelque chose, une aura pesante. Elle a cette façon de parler sereine et douce qui au début t’effrayait énormément. Lorsqu’elle a pour la première fois proposé une discussion autour d'un thé, elle s'est mise à raconter à quel point les kilos de viandes qu’un lion peut manger sont impressionnants, et alors tu as imaginé beaucoup de scénarios où tu finissais en morceaux dans une cage à félins. Mais à présent les choses se sont calmées pour toi, enfin la plupart du temps. Patricia t’a bien fait comprendre qu’elle n’avait aucune mauvaise intention envers toi, mais tu ne peux pas empêcher les frissons dans ta nuque lorsqu’elle passe un peu trop près de toi. Mais au fond de toi, tu sais très bien que ces réactions ne sont plus vraiment dues à la peur.
✉ nouveau message de : Avengers
Ton attention lâche le plat de pâtes encore tout chaud que tu viens de commencer pour plutôt attraper ton téléphone portable. Un sourire illumine ton visage en voyant le destinateur.
✉Avengers
- cc !!
- tu peut venir à la maison ????? stp stp stp
Lorsque, plusieurs années en arrière, Dennis t'a donné leur numéro de téléphone, tu as désepéré devant l’option “nom du contact”. Tu ne pouvais pas mettre le prénom d’un des alters puisque c’était leur numéro à tous, et ils n'avaient pas de nom global pour leur système. Finalement tu as eu un souvenir de l’obsession pour les Marvels qu’avait développé Hedwig lorsque tu lui as parlé d’Iron Man, puis de la façon avec laquelle Dennis et Patricia ont des paillettes dans les yeux lorsque tu leur dis qu’ils sont extraordinaires. Par conséquent tu as décidé de les surnommer les Avengers, parce qu’ils ont tous des supers pouvoirs à leurs manières.
✉Vous
- coucou Hedwig
- oui je peux venir si tu veux ! D’ici environ trente minutes je peux être là, n’oublies pas de m’ouvrir le portail ;)
✉Avengers
- trop cool !!!
- mademoisele patricia a achetté un truc pour moi !
Tout en finissant rapidement ton plat, tu te diriges vers la salle de bain afin de préparer tes affaires pour gagner du temps.
✉Vous
- vraiment ? Génial et qu’est ce que c’est ?
✉Avengers
- plein de jouets animaux !
Un énième sourire étire tes lèvres au message alors que tu déposes l’assiette vide dans l’évier de la cuisine.
✉Vous
- wow plein ? On va pouvoir tous les essayer alors ;)
✉Avengers
- ouiiiii
- ah !!
- tu prend les bonbons bleus ???
✉Vous
- d’accord, mais je te préviens je te laisserais pas manger tout le paquet Hedwig
✉Avengers
- oui oui
- tfk ???????????
Tu poses ton téléphone contre le lit le temps d’attraper deux ou trois bagues, un collier et des vêtements propres.
✉Vous
- je t’ai déjà dis que c’était pas bon d’écrire comme ça, tu oublies les vrais mots à force
✉Avengers
- pardon !
- tu fais quoi ?????????????????
✉Vous
- je vais aller me laver puis je vais partir pour te rejoindre
- et toi ?
En tournant le robinet de la douche vers la gauche, tu commences à retirer tes chaussettes et ton pantalon. L’eau chaude a toujours pris beaucoup de temps pour arriver, mais comme ça tu peux continuer de répondre à Hedwig.
✉Avengers
- j’ai trouver des vieux dessins de barry
- ils sont beaux
- mais je dessines mieux !!
✉Vous
- fais attention à ne pas les abîmer, sinon il risque de bouder pour un long moment
- vous dessinez tous les deux de manière différente, et elles sont toutes les deux très belles ;)
Après avoir passé ta main sous l’eau pour voir la température de cette dernière, tu reprends une dernière fois ton portable.
✉Avengers
- t’s toujours trop cool !!!
- mademoiselle patricia elle a dis qu’elle aime bien ça et moi aussi j’aime bien ça
- et monsier dennis il penses que c’est rare d’être comme toi
- je suis d’accord moi persone à jamais été cool comme toi avant
✉Vous
- oh c’est adorable Hedwig, mais cette gentillesse vous la méritez tous
- en tout cas ça me touche beaucoup que les autres pensent ça de moi ! Tu pourras leur dire merci de ma part <3
- je suis désolé il faut que je te laisse si je veux pas arriver trop tard
✉Avengers
- derien !!!!
- d’accord à tt !
Une fois que tu as la certitude qu’il ne va pas envoyer d’autres messages, tu déposes ton téléphone sous ta pile de vêtements et finis de te déshabiller. Tu aurais très bien pu le faire tout en lui parlant mais il y a quelque chose de dérangeant dans le fait de se dévêtir en discutant avec Hedwig, ce n'est pas la même chose avec Dennis ou Mary par exemple. Il est déjà arrivé que vous parliez par messages pendant que tu te changeais ou même que vous soyez au téléphone lors de ton bain, et ce n’était vraiment pas la même chose.
Comme prévu, tu te dépêches de prendre ta douche et de t’habiller de nouveau. Tu enfiles les quelques bijoux que tu as pris précédemment et après avoir vérifié que tu n’as rien oublié, tu quittes ton chez toi. Heureusement pour toi, tu n’habites vraiment pas loin du zoo, et donc de leur appartement. Grâce aux nombreuses années à travailler là-bas, ils ont obtenu un logement de fonction dans la même rue que le parc animalier. Le seul problème est que cet appartement est assez petit, du moins trop petit pour avoir vingt-trois chambres, même s’ils n’ont pas réellement besoin d’autant de chambres. Mais par exemple Hedwig aime avoir sa propre pièce, où il peut afficher tous ses dessins et écouter de la musique, Dennis a besoin d’un endroit qui lui est totalement réservé, Barry aussi et encore d’autres. Ils n’ont pas tous besoin d’une chambre, mais les plus réguliers préfèrent en avoir une. Malheureusement cet appartement ne contient que deux chambres, une a alors été aménagée pour Patricia et l’autre pour Dennis. Hedwig, Barry, Orwell et d’autres ont les leurs ailleurs. Encore une fois, grâce aux années passées à travailler dans ce zoo, ils ont eu l’autorisation d'avoir une sorte de grand sous-sol rien que pour eux. Ce n’est clairement pas l’endroit le plus accueillant à première vue mais s’acheter une grande villa n’est absolument pas dans leurs moyens, et puis ils l’ont assez bien aménagé. Les murs restent rugueux et les lumières peu nombreuses, mais il y a malgré tout quelque chose d'apaisant là-bas. Leurs présences sont étalées dans chaque pièce, et c’est presque poétique de voir la façon dont ils doivent organiser la salle de bain ou la cuisine pour convenir aux envies de chaque alter.
Par automatisme, tu appuies sur l’interphone et fais défiler les noms jusqu’à trouver celui qui t’intéresse : Crumb. Sans avoir besoin de parler, la porte de l’immeuble s’ouvre devant toi et tu peux avancer vers l'ascenseur. Puisque cet immeuble est principalement occupé par des employés du zoo, ils ont fait installer un portail qui ne peut être ouvert qu’avec un badge ou un bouton chez les locataires, ça permet de limiter les squatteurs ou voleurs. Mais à cause de ça, tu dois attendre qu’Hedwig ou un autre alter t’ouvre ce qu’ils font toujours, sauf lorsqu’il y a un problème. Il est déjà arrivé qu’un alter “méconnu” prenne la lumière et dans ces cas-là il ne t’ouvrira pas le portail puisqu’il ne sait même pas ce qu’il fait ici. Pour cette raison, Barry a demandé un doublon de leur badge, prétendant que l’autre ne fonctionnait plus, et comme ça tu as toujours la possibilité de venir si jamais un problème survient.
Deux petits coups à la porte et Hedwig apparaît tout souriant devant toi.
« C’est trop bien que tu viennes ! Dit-il en te tirant par le bras vers le salon, les autres ont dit que je pouvais rester dans la lumière tout l’après-midi »
Sa façon de parler très atypique te réchauffe le cœur tandis que tu enlèves tes chaussures et les dépose avec soin sur un petit chiffon placé dans un coin de la pièce. Dennis a beau ne pas être dans la lumière, tu préfères respecter ses tocs.
« T’as pris les bonbons ? Te demande le jeune garçon en se mettant assis par terre »
D’un hochement de tête tu lui souris et sors le précieux trésor de ton sac à dos. Aussitôt, Hedwig se jette dramatiquement dessus, se mettant presque ventre contre le sol pour attraper le paquet de bonbons.
« Wow génial je vois qui tu préfères ici, déclares-tu en riant »
Le garçon te lance un regard avant de prendre trois sucreries dans sa bouche et de se tourner sur le dos pour te voir à l’envers. Son rire résonne faiblement dans la pièce alors qu’une conversation commence entre vous deux.
Hedwig est sûrement l’alter avec lequel tu peux le plus rire, il dit constamment tout ce qu’il pense, même si ça n’a aucun rapport avec votre conversation actuelle. C’est quelque chose qui manque dans beaucoup de relations à tes yeux, pas avec eux, mais avec d’autres personnes. Lorsque tu rencontres quelqu’un il y a toujours un moment de gêne, une envie de vite s’enfuir et de rentrer chez toi. Ce n’est pas toujours le cas, mais ça l’est presque toujours. Tu as du mal à t’intégrer dans le mode de fonctionnement des autres, leur façon de parler sur le dos de leurs amis et leurs obsessions pour la politique, ce n’est pas toi ça. Tu aimes tourner les mauvais événements au comique et admirer ce papillon qui se pose dans l’herbe. Les personnes que tu rencontres ramènent toujours le négatif au centre de la conversation, c’est mentalement épuisant de penser au réchauffement climatique et à la montée des impôts. Tu trouves ça dommage de revenir aux informations que les médias mettent déjà au centre de l’attention, pourquoi ne pas juste profiter du soleil dehors et du vent frais ? Bien sûr qu’il se passe des choses horribles dans le monde, mais y penser constamment ne les fera pas disparaître. Et Hedwig pense aussi comme ça, parce que c’est un enfant de neuf ans et qu’il a encore la chance de voir les beaux aspects de ce monde. Ça te fait vraiment du bien de passer du temps avec lui, il est ressourçant. Et même lorsqu’il évoque la mort, il le fait avec une façon tellement directe, sans pincette, que ça en devient rassurant. Ce qui le rend heureux c’est dessiner et danser, quoi de mieux pour oublier une mauvaise journée ?
« Elle est jolie ta bague, c’est un serpent ? »
Tu relèves la tête du livre que vous étiez en train de feuilleter pour regarder le jeune garçon et ses grands yeux bleus.
« Oh celle-ci ? Réponds-tu en levant ton index où se trouve le bijoux, je pense qu’on peut dire que c’est une sorte de serpent oui »
Tu l’as trouvée lors d’une brocante il y a plusieurs années de ça, la forme originale a tout de suite attiré ton œil et au faible prix auquel elle était tu n’as pas vraiment hésité pour l’acheter.
« Moi j’aime trop les tigres, ils sont super grands et forts, explique Hedwig en tournant les pages de son livre d’illustration, il s’arrête sur un dessin de tigre et passe son doigt dessus, regarde ils sont genre méga costauds »
Ton regard détaille l’illustration et ses traits très simples. Hedwig est le seul dans leur système qui fête son anniversaire, même s’il ne prend pas en âge. Alors l’année dernière, tu lui as offert une dizaine de livres, parce qu’il aime beaucoup ça. Tu as pris un peu de tout, de courts romans comme des livres à illustrations comme celui-ci. Un sourire prend place sur ton visage lorsque tu repenses à cette journée, Dennis faisait tout pour garder Hedwig loin de la lumière pendant que Jade et toi vous occupiez de faire le gâteau. Lorsque l’enfant parvenait à passer au front, il posait mille et une questions à la seconde alors que tu essayais désespérément d’éviter qu’il découvre la surprise. Finalement toi et les autres alters êtes parvenus à tout organiser sans qu’il ne découvre la vérité, et tu te souviens encore de ses yeux larmoyants lorsqu’il a vu le salon décoré ainsi que la pile de cadeaux qui l'attendait.
« Pourquoi tu viens ici ? Demande soudainement Hedwig, t’as pas des amis ? »
La question pouvait être mal interprétée, mais heureusement, tu arrives à comprendre le fond de sa pensée.
« J’aime venir ici tu sais, passer du temps avec toi et les autres »
« Oui mais t’es tout le temps disponible pour venir, enfin sauf quand tu travailles »
Tes doigts passent contre les pages colorées du livre alors que le garçon allongé à côté te regarde avec insistance.
« Honnêtement à part vous je n’ai pas grand monde, dis-tu en déviant tes yeux vers Hedwig, tu sais que je n’ai pas vraiment de famille et puis- je crois que j’ai un peu de mal à faire des rencontres, créer de nouvelles relations et tout ça, c’est compliqué pour moi »
Le jeune garçon fronce pendant quelques secondes ses sourcils avant de faire rouler son corps sur son dos et tourner de nouveau la tête pour te regarder.
« Moi non plus j’ai pas d’autres amis, avoue-t-il, les gens ils me trouvent bête je crois et ils se moquent de moi »
Un pincement au cœur, tu délaisses le livre en face de toi pour poser ta tête dans ta paume de main.
« Les gens ont du mal à comprendre les personnes comme nous, mais c’est pas grave parce que ça veut dire qu’on est spécial tu vois ? Eux ils peuvent pas être aussi géniaux que toi, c’est pour ça qu’ils sont jaloux »
« Alors c’est comme un super pouvoir ? »
De nouveau, ton cœur se réchauffe en voyant le sourire sur le visage du garçon.
« Exactement, le super pouvoir d’être extraordinaire »
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e642 · 1 month ago
Note
Bah je t'en supplie raconte nous le septum maintenant 🍿
Bon d'accord, j'en fais des caisses alors que c'est des stories time naze jpp merci 😌
Le septum je l'ai fait à 17 ans dans le non consentement total de mes parents. Ils ne voulaient pas c'était dit, c'était clair, c'était explicite. J'ai de la famille à Bordeaux. Pendant 1 séjour je me suis dit que ce serait une bonne idée d'aller me faire piercer et de le rentrer dans mon nez jusqu'à mes 18 ans et le paf le sortir. Donc j'y suis allée, je me suis fait piercer, c'était le top. Cependant, j'avais bcp saigné et j'avais pas vu que ça avait taché mon t shirt blanc, donc déjà ça avait posé quelques questions le jour j. Mais donc personne n'avait vraiment piercé (lol) e secret. Je vis ma vie, je le sortais de mon pif que quand yavait pas mes parents. J'excellais, j'allais pas tarder à avoir 18 ans, et genre un mois avant, on est en repas de famille (famille bien de droite en plus bien ce qu'on aime pas trop trop) et là, j'ai le pif qui me gratte. J'éternue. Je continue de vivre mais pas les autres car en effet, cet éternuement a fait descendre directement mon piercing à la vue de tous et toutes (éternuement 7/8 échelle de Richter jpense). Jme suis fait incendier, j'ai mis quelques minutes à réaliser que tous ces mois d'efforts pour un éternuement mal contrôlé 😭
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rollinginthedeep-swan · 1 year ago
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En ajout au texte important de @crococookie juste ici
Je voulais reblog et poster à la suite mais mon texte est vraiment trop long.
Poster ça, ça m'angoisse énormément. J'ai toujours peur qu'on m'interprète de travers. J'ai donc hésité longuement mais j'ai envie de rebloguer parce que même si j'ai pas été diag de troubles dys liés à la lecture et l'écriture (ce qui ne veut pas dire que je n'en ai pas, l'errance médicale, tout ça) je suis terriblement étourdie. Et si je me décide à l'écrire, c'est parce que l'an dernier, une personne a osé me demander de me relire et de corriger mes fautes, sur un paragraphe que j'ai écris rapidement en étant au téléphone un jour où j'étais sollicitée toutes les deux minutes. Avec les troubles qui me sont propres, mon vécu et j'en passe, j'ai mis du temps à me réconcilier avec l'orthographe et la grammaire. Le scolaire ne m'a pas aidé (du tout).
C'est le RP qui l'a fait.
Attention, il n'y a aucune agressivité dans ce poste (je pense que maintenant vous avez assez pigé mon mood de meuf pacifiste qui lève le drapeau blanc et veut qu'une chose : LA PAIX BORDEL.) , je partage juste mon expérience et mes conseils sur le sujet des fautes et du rapport à L'orthographe dans la commu RP. C'est aussi un petit appel à la bienveillance et à une direction vers un comportement plus chill envers vos partenaires qui font des fautes.
L'autre raison qui me pousse à poster, c'est parce qu'à la minute où j'écris je n'arrête pas de me relire. Et ça montre bien que je suis encore marquée par mes débuts dans la sphère du RP.
J'aimerais beaucoup vous dire que c'est exclusivement grâce à la bienveillance d’autrui, mais ce serait mentir. En quinze ans et surtout au début, j'ai eu le droit à des commentaires assez (trop) désagréables. C'est la capacité des autres à ne rien laisser passer qui a heurté ma confiance en moi et qui m'a donné l'impulsion de ne plus leur donner aucuns prétextes pour me reprendre. Et vous savez, je ne leur en veux même pas, à ces personnes. Je leur pardonne même assez facilement et je suis persuadée qu'iels ne sont pas tous-tes malveillant-e-s. L'humain est plus complexe que ça.
Ce qui m'a poussé à ne plus vouloir faire de fautes, c'est mon foutu caractère et ma tendance à vouloir contredire les personnes qui ne laissent rien passer. (Parfois ça peut être un problème, d'autre, un vrai coup de pied aux fesses pour faire face aux détracteurs. Et là, notez toujours qu'on parle de mon expérience personnelle avec mon profil à moi. Je ne parle pas pour tout le monde. Pitié, ne demandez pas à une personne dys de 'faire un effort', c'est validiste et grossier. Et si vous avez du mal, on a beaucoup de personnes concernées qui sont là pour donner des sources et aider à comprendre.)
Je fais encore des fautes d'étourderie aujourd'hui. Je vous raconte pas le nombre de fois où j'édite des postes parce que j'ai vu une boulette d'étourderie. (Rien que ce matin j'ai dû éditer un petit poste d'intrigue parce que j'ai réalisé que j'avais oublié un fuc$$ng mot pour que ma phrase fasse sens.) Y a un truc que je peux conseiller pour les gens maniaques de l'orthographe (dont je fais partie, faut pas croire) : S'il-vous-plaît (vraiment, je demande gentiment) attendez qu'on vous demande ? (En supposant que ça puisse arriver.) C'est frustrant et même blessant. Et si on vous demande : Ne pas jouer les profs avec des formules telles que : 'Ceci ne s'écrit pas comme ça, mais comme ci'. Vous partez ainsi du principe qu'on ne sait pas. Et même si c'est le cas, n'oubliez pas que les troubles dys existent et que vous ne connaissez ni la personne ni son vécu. Derrière l'écran, c'est toujours un être humain.
J'rp par exemple avec une personne Dys qui me pond les textes les plus élaborés et qui passe un temps fou à se relire. Chaque profil est différent. N'oubliez pas qu'on est aussi souvent crevé-e-s de nos semaines et que même s'il y a des gens qui pondent des textes sans fautes hyper facilement, c'est pas le cas de tout le monde et derrière, on peut se retrouver à être nombreux-ses à complexer, à vouloir poster des trucs parfaits parce qu'on a encore le souvenirs de ces remarques qu'on ne veut plus affronter. Même si derrière, on a les partenaires les plus adorables et les moins regardants de la sphère. Ça peut gâcher le plaisir d'écrire, alors que le RP est un loisir. Pas un job. On ne va pas publier nos écrits, on le fait pour se changer les idées et s'amuser. Un rappel constant de nos étourderie ne va rien arranger, ça ne va rien changer. Même si vous pensez sincèrement bien faire, et quand c'est le cas - parce qu'on ne peut pas espérer que ça le sera toujours malheureusement - merci de vouloir aider, même si c'est maladroitement. (Mais écoutez les conseils svp)
Bref, restons indulgent-e-s et humain-e-s, on a une passion commune vraiment géniale. <3
Si vous avez tout lu, merci d'avoir pris le temps pour ce pavé qui complète un poste à lire absolument !
Des bises,
Swan (qui va lutter contre l'envie de relire et éditer ce texte pour la cinquantième fois.)
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camisoledadparis · 2 months ago
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saga: Soumission & Domination 377
Nouvel an 2016-4
Le soir du 1er
Je passe rapidement dans notre chambre imprimer l'avis de " Plan Réservé, NE PAS DERANGER" et le donne à Jona. Ils s'éclipsent aussitôt sans même faire honneur au buffet.
La soirée est différente. Les mégatouzes ont laissé place à des plans plus confidentiels. Enfin, façon de dire, puisqu'il n'y a jamais moins de 4 ou 5 mecs ensemble !! Mes Escorts se sont répartis dans les différents groupes et les font profiter de leurs expériences. Sportivement, ils sortent du lot ce qui leur permet d'adopter plus facilement des positions originales.
Notre quatuor de jeunes ne s'est pas éclaté et a trouvé avec les 2 gendarmes, Xavier et Pablo une équipe à la mesure de leur faim. Comme je m'étonne de les trouver tous les 4 passifs, ils me rassurent qu'ils ont prévu de finir leur soirée en actifs et qu'ils se sont réservés pour plus tard petit Théo, Jimmy, Jules et Baz.
J'aurais dû me douter qu'ils s'étaient fait des plans pour jouir de tous les côtés !! En attendant, c'est avec leurs trous qu'ils servent de support de jouissance à leurs ainés. De leur côté ils n'ont pas l'air d'en souffrir trop !
Ludovic me rejoint, on déambule donc bras dessus bras dessous ou plutôt son bras sur mes épaules et ma main sur et parfois entre ses fesses.
On trouve bientôt mes deux " russes ", Viktor et Nicolaï qui s'apprêtaient à engager les hostilités avec Stéphane (mon écraseur), Louis exceptionnellement délaissé par son Franck, Léo qui a laissé le trou de son Arnaud à un autre mâle actif et Manu (mon serveur d'été de La Palmyre). On se trouve un espace libre autour de la piscine de la serre. A 8 ça demande quelques m² pour pouvoir exprimer ses délires.
Le rebord du bassin à juste la bonne hauteur pour supporter les torses de ceux qu'on encule. Collés épaules contre épaules, Louis, Manu, Stéphane et Nicolaï subissent les saillies (on est des vraies bêtes en rut) de respectivement, Léo, Victor, Ludovic et moi-même.
Louis laisse échapper sans honte ses émotions. Il gémit sous les coups de butoir de Léo au caractère très dominant. Arnaud est, depuis son dépucelage par son oncle Bruno, une véritable petite " salope " qui aime se faire démonter la rondelle virilement et par son Léo en particulier.
Les autres enculés l'entendant ne se gênent plus pour exprimer aussi leurs plaisirs. Du coup les commentaires fusent. Les " petites salope " alternent avec les " grosse salope ", les " trou à bite " et autres " chienne " de notre part à nous.
......
Le 2 janvier
Réveils vers 11h. Je retrouve au petit déjeuner mes deux " espions " et Côme. Ils me remercient pour hier soir. Ils étaient trop contents de se retrouver. Côme me dit qu'avec eux c'est vraiment différent. Même quand ils " s'égarait " avec nous tous (cf. les touzes de l'été dernier chez ses parents avec la triplette et nous les occupants du blockhaus), c'était bon mais ça n'avait pas l'intensité qu'il atteint avec ces deux-là.
Je roule un patin aux trois, content que ça se passe comme ça entre eux.
Midi Jona se fait appeler sur son portable. Quand il coupe, il demande à me voir isolément avec François.
Là ils me racontent que le jeune mec qu'ils avaient exfiltré de Syrie s'était enfui de chez ses parents et était dans un avion vers Paris.
Je demande un peu plus de détails pour comprendre ! Jona m'explique qu'ils avaient été envoyés en Syrie, François et lui, pour sortir des griffes de Daech le fils d'un libanais (mais grand ami de la France) embrigadé depuis 3 ans et qui servait non pas de combattant mais de " repos du guerrier " comme la plupart des femmes qui rejoignent ce groupe terroriste. Le gamin avait réussi à appeler son père un an auparavant regrettant d'être parti au djihad.
Là, le père venait de l'informer que Jalil (le petit mec en question, 18 ans dont 3 ans de Daech) s'était enfui de la maison et il avait retrouvé sa trace dans un avion vers Paris.
Dans le même temps où il m'expliquait ça, François a appelé leur correspondant (militaire). Il en a reçu l'ordre d'aller le chercher à Roissy et de le prendre en charge. Comme ils avaient un vécu commun, cela serait surement plus rassurant pour le gamin. Petite explication de Jona sur où il était, avec qui et à quelle distance de Paris, réponse de sa hiérarchie, 2 motards sont en route pour l'escorter du Blockhaus (dixit l'officier traitant !!) et que pour être à l'heure à Roissy, il n'avait qu'à réquisitionner ma SLS.
J'apprends là que ma situation n'a pas de secret pour les services de renseignements de mon pays !! Va falloir faire avec !
Evidemment je suis d'accord. Le temps de lui donner mes clefs et à l'interphone l'escorte est déjà là. Je vois un motard devant la porte, l'autre est sur sa moto, les gyrophares tournent déjà. Je descends avec François. Il prend dans leur RCZ un gyrophare bleu (je ne savais pas qu'ils en avaient un) et l'installe dans ma SLS alors que Jona fait le point avec son escorte. François sort la voiture et la laisse à Jona avec pour toute recommandation " tu nous le ramènes fissa ".
La sonorisation de mon SLS permet à François d'accompagner Jona quasiment tout le temps du voyage.
Je prends des nouvelles de temps en temps. Il kiffe de rouler sans risque à plus de 200 sur l'autoroute derrière les deux motos, je le remercie de me décrasser ma caisse.
Au blockhaus, beaucoup de mouvements. Mes escorts passent chez leurs parents, Côme, Ludovic et Enguerrand font de même. Je les accompagne avec PH et Ernesto.
Echanges de voeux et je m'éclipse avec PH et Ernesto pour aller chez Emma, Ludovic est avec nous.
Idem chez ma mère, échanges de voeux, de façon un peu plus câline/sexe que dans ma " belle famille ". Ça me fait même un dérivatif à l'aléa qui m'occupe l'esprit.
Sans bâcler le " travail ", nous passons deux bonnes heures à faire l'amour à Emma. Nous la laissons un peu fatigué alors que nous rentrons.
Retour à la maison, c'est l'effervescence. Tous ne sont pas rentrés mais c'est surtout l'arrivée prochaine de Jona et Jalil qui est de toutes les conversations. D'autant plus que quand il sera là, pas question de lui faire ressentir la moindre pression.
François a brossé le portrait du gamin :
Prénom : Jalil
Langue : Arabe, Français et Anglais
Physique : 1.78m 55 Kg, peau ambrée, yeux et cheveux noirs, imberbe, typé encore ado, Tête d'ange.
Sexe : monté 22x6 mais passif avec une taille très fine et un bassin étroit
Parcours : pendant 3 ans a servi de vide-couilles à une " brigade " de Daech en mode viol, n'a pu se réintégré dans sa famille et son milieu de départ, même si ses parents sont libéraux. Il s'est enfui et nous le récupérons.
Conclusion de ma part : personne ne lui saute dessus, sans indifférence non plus mais pas trop de sollicitude et surtout pas de pitié.
Enguerrand confirme que pour lui c'est ce genre de comportement qui lui a été le plus bénéfique même s'il n'a pas subi le quart du dixième de ce que Jalil s'est pris.
Nous évitons d'être tous dans le séjour quand ils arrivent. Les autres sont soit en train de faire du sport (la majorité) soit occupé à baiser.
Mes amours sont présents ainsi que la triplette. François a pensé que de voir des jeunes de son âge le rassurerai aussi. C'est le cas.
Les 2 heures de route (moyenne à plus de 200Km/h) lui ont permis d'être briefé sur ce qui l'attendait. Quand il débarque, nous sommes un peu plus habillés, shorts et t-shirts ont recouvert les seuls boxers qui couvraient nos fesses (quand ils n'étaient pas bottomless de chez Addicted !!).
 C'est effectivement un ange qui entre chez nous. A 18ans il en parait 16 et fragile. Son Français est excellant et sa politesse légèrement surannée. Quand il finit ses remerciements pour notre accueil, j'en fais la remarque à la triplette qui éclate de rire. Ils l'embarquent vers la cuisine en nous renvoyant à nos autres occupations.
François jette un oeil sur son protégé mais comme ce dernier suit les jeunes sans crainte, il le leur abandonne.
Récit d'Enguerrand : (sans corrections, juste quelques notes en italique)
Débarrassés des grands, nous pouvons mettre Jalil en confiance. Nous nous présentons tous les trois et lui indiquons que nous sommes amoureux tous ensemble. Nous parlons de nous, de nos études et lui disons que nous sommes contents qu'il soit venu en France.
Il nous dit avoir fréquenté le lycée Français de Beyrouth mais qu'il s'est arrêté en troisième.
Nathan lui annonce que c'est pas un souci, ils s'y connaissaient en remise à niveau. Et d'expliquer que le soutient de ses deux amours l'avait méchamment boosté et, me pointant du menton, lui dit que s'avait été un peu pareil pour moi avec Max.
J'acquiesce sans entrer dans les détails, ce sera pour plus tard nos confrontations de " misères ".
Nathan ajoute que quand même va y avoir du taf. Comme s'il était évident que Jalil allait rester chez nous. D'ailleurs c'est ce que ce dernier lui dit. Qu'il verrait avec Jona et François quel serait son avenir.
Déjà il se projette dans l'avenir, c'est beaucoup plus que ce que j'étais capable de faire quand Sasha m'a sauvé (ndlr : faudrait pas exagérer non plus !). Je m'avance peut être mais, connaissant nos ainés, je l'assure qu'il va rester dans le coin et qu'il va vite se remettre à niveau.
Ça me fait mal quand il me demande avec qui il doit coucher pour ça (moi aussi quand je le lis). Avant que j'ai eu le temps de lui dire que ça marche pas comme ça ici, Nathan ouvre sa grande gueule et lui annonce que " ce qui est bien ici c'est que t'es libre de coucher avec qui tu veux et seulement quand et si tu en as envie ".
Jalil craque ! On l'entoure et le serrons dans nos bras. Sa tête vient se poser sur mon épaule et ses larmes trempent mon t-shirt. Nous relâchons notre câlin quand il se calme. Pas de question, nous reprenons notre conversation là où elle s'est arrêtée 5 mn plus tôt.
Il nous dit être plutôt littéraire que scientifique mais surtout il craint de se retrouver avec 3 ans de plus que les autres s'il retourne à l'école. Il nous demande s'il ne pourrait pas trouver un petit travail pour pouvoir vivre en France.
Hurlements de mes deux amis et de moi aussi. Pas question qu'il laisse tomber ses études. Ok il aura 3 ans de retard mais sur une vie c'est rien !
Je lui dis qu'on va en parler avec Sasha et Jona mais hors de question qu'il reste analphabète. Ça le fait sourire, il nous dit qu'il n'est quand même pas à ce stade-là.
On part à la recherche de Sasha. Avant de le trouver en train de s'entrainer avec Jona et François, nous tombons sur quasiment tous les autres.
Jalil est impressionné. Pas par le fait qu'il n'y ait que des hommes, ni par le bâtiment mais par l'ambiance sereine qu'il y a partout. Quand on tombe sur des mecs en train de faire l'amour, (ça nous est arrivé 4 fois !) il note que le plaisir est partagé. On tombe sur Duke qui était très impatient de faire connaissance. Après nous avoir roulé un patin, il engage la conversation avec Jalil en Anglais, ce que l'autre maitrise bien aussi. Et c'est à 5 que nous arrivons aux tatamis de lutte de l'annexe.
Avec Max, je l'empêche de tomber quand il voit le combat. Probablement de mauvais souvenirs qui remontent de sa mémoire.
Jona nous voit et le combat est interrompu, Jalil trébuche mais cours dans ses bras.
Nous assistons à une séance de réconfort et d'explications à voix basse entre les deux.
Jardinier
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impossiblyholyparadise · 6 months ago
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Candaulisme 
Scène de vie d’un candaulisme ordinaire...
Un soir, au retour d’un apéritif d’entreprise improvisé, ma femme ayant préféré rentrer à la maison pour ne pas me laisser seul (même si lorsqu’elle m’a appelé au téléphone pour me prévenir je lui ai laissé comme d’habitude la décision d’accompagner ses amis ou pas) , vint me rejoindre dans la pièce bureau de notre maison.
« Hello, chéri » m’adressa-t-elle en venant me gratifier d’un baiser rapide sur les lèvres « Tout va bien ? Ta journée ? »
« Oui, et toi ? Tu aurais pu rester tu sais...je travaille à mon prochain livre...Je t’ai préparé le repas...Tu trouveras tout de prêt dans la cuisine... »
« Merci Chéri me glissa-telle à l’oreille tout en m’embrassant à nouveau et en se collant contre moi... »
« Oh...toi... ! lui fis-je remarquer...toi, tu as quelque chose à me raconter...§ Je te connais tellement...Viens... »
En m’embrassant, elle s’était effectivement appuyée assez significativement contre moi ...Son odeur...Sa chaleur...Ses adorables seins qui pointaient au travers de son chemisier un peu plus ouvert qu’à son départ au matin...
« Hummm me fit-elle en minaudant...Euh, oui enfin, pas grand-chose...mais il faut que je te dise... A l’apéro ce soir, à la guinguette à côté de notre boite, il y avait pas mal de monde et on a un peu dansé. »
Ma femme adorait danser et j’adorais la voir danser ou savoir qu’elle avait été heureuse en dansant...Elle était belle et dansait réellement avec grâce et légèreté...ce qui ne manquait pas d’attirer plus encore les regards sur son corps entretenu.
Ce faisant, alors qu’elle continuait à embrasser mes lèvres avec une réelle et non feinte gourmandise, me bécotant, je passais ma main sous sa courte jupe du vendredi, une habitude du "vendredi tout est permis" chez elle, se permettant ainsi de ne rien porter en dessous...Elle était alors si sexy...Elle avait aussi ce soir là ajouté une de mes cravates sur son chemisier pour un effet « woorking-girl » libérée qui lui allait particulièrement bien...
                « Oh...toi...C’est bien chaud et bien humide tout ça », lui dis-je en parcourant sa chatte aux lèvres déjà accueillantes et entrouvertes... 
                « Hummmm...Toi, tu as été coquine ce soir...Coquine... ? Très coquine... ? Raconte-moi !»
Elle s’assit ainsi sur moi en faisant tourner mon fauteuil pivotant...
« En fait, rien de prévu mais après un Mojito et quelques danses avec les collègues, un jeune homme s’est approché de moi et m’a fait du gringue...Imagines-toi qu’il est voisin...Il vient d’arriver dans la boite d’à côté et m’a dit qu’il m’avait souvent vue arriver le matin, que j’étais toujours super habillée et souriante...Il arrivait tôt car débutant et s’installait à une fenêtre de leur espace café en attendant l’arrivée des autres ... On a alors discuté, il m’a proposé un autre verre et on a fait quelques danses car il y avait une série de rock et tu sais que je ne sais pas résister à cette danse... Il danse d’ailleurs très bien pour un jeune d’une autre génération de musiques...D’un pas à l’autre , on a ri, on a discuté et à la fin de la série de danses, il m’a prise par l’épaule pour qu’on discute un peu à l’écart...Là, et j’ai réellement aimé ;, il ne m’a pas caché son attirance, qu’il aimerait me revoir, m’a donné son téléphone...Il est bien bâti comme j’aime, car joueur d’une équipe de rugby du village d’à côté...Son sourire était trop craquant et aussi un peu sa timidité...Il rougissait mais était tellement sincère que s’en était touchant...J’ai craqué... ! Je l’ai embrassé...Il n’en revenait pas... et surtout il m’a indiqué ma bague...Je l’ai rassuré en lui disant qu’il ne risquait rien et que j’avais le plus incroyable et merveilleux des maris qui me laissait totalement libre...Il n’en revenait réellement pas, enchaînant les « Mais... ? » incrédules...Aussi, je lui indiquais de rester là quelques instants , le temps que je t’appelle...Je t’ai appelé et ai décidé de te rejoindre, aussi , en retournant vers lui et en saluant les collègues de bureau, je l’ai pris par la main et entrainé sur le parking...Il faisait déjà nuit et ne lâchant pas sa main, je me suis appuyée sur ma voiture pour l’embrasser de nouveau et lui indiquer que nous ne serions pas sans nous revoir … ».
Pendant que ma femme me racontait son histoire, elle avait aussi remonté sa courte jupe sur ses merveilleuses fesses et se frottait sur mon sexe qui ne cessait de grandir au travers de l’étoffe de mon pantalon...
Je bandais comme un fou...
J’ouvrais adroitement ma braguette pour qu’elle s’empale sur mon dard à son zénith et rapidement elle « dansait » sur ma bite tout en continuant son adorable récit d’adorable salope qu’elle avait su être et plus encore à cet instant, qu'elle était...
Je crois que c’est elle qui me baisait pour être honnête...
Elle se déchainait et je réussi à attraper la cravate, sa cravate, ma cravate pour la tenir comme en laisse ou avec un guide et suivre le rythme qu’elle voulait comme un cow-boy suit le rythme de son cheval déchaîné tout en tentant d’en garder la maîtrise... !
Elle continua en me décrivant comment elle l’avait sucé entre les deux voitures, au risque de se faire voir par ses collègues qui ne devaient pas tarder à quitter l’établissement festif...
Elle me narrât en détail la queue de ce nouvel amant, son poids, sa forme, sa puissance, sa liqueur, son abondance et surtout le plaisir qu’elle avait pris à le sucer sauvagement sur le parking, le garçon toujours aussi incrédule de la bonne étoile de cette soirée...
Elle m’expliqua aussi combien il lui fut difficile d’arrêter sa main pendant le trajet du retour vers la maison et combien son esprit naviguait entre la queue de ce jeune homme et la mienne, impatiente de se faire démonter...
                « Chéri...On sort ce soir ! J’ai trop envie...Je suis impatiente de toi, d’autres, des autres et de lundi... Je crois que pendant un moment je vais avoir le sourire en allant au boulot le matin... ! »
Telle était ma femme...
Tel était notre façon de vivre...
Sa façon d’être et de vivre notre Candaulisme...
La soirée était loin, très loin d’être achevée...
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