#quand je monte sur toi
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bouhouhouuuuuu ils sont trop chou ça se fait pas T_T
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#JAIME JAIME JAIME VENIR CHEZ TOIIIIIII MEME MEME MEME SI CEST HAUT CHEZ TOIIIII#AUSSI NE T'ETONNES PAS SI J'AI LE COEUR QUI BAAAAAAAAT#QUAND JE MONTE JE MONTE JE MONTE CHEZ TOIIIIIIIIII#la version sale de cette chanson ou c'est genre#quand je monte sur toi#j'ai la queue qui chauffe qui chauffe comme ca#et dans le petit escalier c'est la que j'aime bien t'enculer...#aussi ne t'etonnes pas si j'ai la bite en bas cherie quand je monte sur toi :sob:#au secours.
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Hier il y a un garçon qui s'est excusé pour son comportement à mon égard. C'était il y a bientÎt 2 ans. Mieux vaut tard que jamais finalement. Pour le contexte, c'était un mec en couple qui m'avait un peu promis et dit monts et merveilles tout en sachant que j'étais intéressée par lui et qui avait disparu du jour au lendemain. J'avais un peu refoulé cette expérience sûrement parce que j'ai été un peu trop habituée à ce genre de comportement. Un jour on est intensément intéressé par moi et on sort de la prose et le lendemain c'est à peine si je ne suis pas encore moins perceptible que l'air mdrr. Et donc hier il s'explique, communique et à un moment il me dit ça: "je ne mesurais pas l'importance que tu y accordais, car j'ai cette image de toi : une femme indépendante dans son esprit et dans son affect, à qui il est difficile de capter l'attention, difficile de plaire, qui donne cette impression de ne pas pouvoir la retenir si elle se désintéresse".
Ăa lĂ ce qu'il a Ă©crit c'est ce que j'avais mis des annĂ©es Ă mettre en place et Ă renvoyer aux autres. Je voulais qu'on me voit comme quelqu'un qui n'avait besoin de personne, qui vivait extrĂȘmement bien sa prĂ©sence et l'absence surtout et en rĂ©alitĂ©, c'Ă©tait vrai. Je crois vraiment que j'avais fait un travail sur moi solide. Maintenant, quand je relis ça je me dis juste quel gĂąchis vu ma perte d'autonomie et d'indĂ©pendance et de libertĂ©. J'ai rĂ©ussi Ă ĂȘtre ce qui je voulais mais ça n'existe dĂ©jĂ plus. J'ai tellement hĂąte de retrouver cet Ă©tat d'esprit de jeune femme qui se respecte.
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Vous nous laissez de merveilleuses chansons dont nous nous souviendrons.
Beaucoup de mes amis sont venus des nuages
Avec le soleil et la pluie comme bagages
Ils ont créé le temps des amitiés sincÚres
La plus belle saison des quatre sur terre
Ils ont la douceur des plus beaux paysages
Et la fidélité des oiseaux de passage
Une tendresse infinie est gravée dans leurs coeurs
Mais parfois la tristesse monte dans ses yeux
Alors ils viennent
RĂ©chauffez-vous Ă la maison
Et toi aussi
ils viendront
Tu peux retourner au fond des nuages
Et sourie encore sur beaucoup d'autres visages
Donnez un peu de votre tendresse Ă votre entourage
Quand quelqu'un d'autre veut te cacher sa tristesse
Parce qu'on ne sait pas ce que la vie nous donne
Il se pourrait que je ne sois plus humain
Si j'ai encore un ami qui me comprend vraiment
J'oublierai mes larmes et mes soucis
Peut-ĂȘtre alors
je viendrai chez toi
RĂ©chauffe mon cĆur
Ă ton bois
~Françoise Hardy~
đ€đ€đ€
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Salut , j'ai dĂ©couvert tes fanfiction sur AO3 car aprĂšs avoir vu le comte de monte cristo au cinema je me suis de suite emprĂ©ssĂ©e a voir si il n'y avait pas de fanfiction sur le net quand je suis tombĂ©e sur les tiennes et je tiens Ă dire que je ne suis pas déçue, tu as vraiment su retranscrire L'Amour et le lien familial qui unit Ădmond,haydĂ©e et andrĂ© c'est vraiment dommage que on n'explore pas leur relation davantage dans le film (mĂȘme si je sais que 3h pour condenser un livre de 1000 pages et quelque c'est assez sĂ©rrĂ© et le film reste incroyable) .Apparemment dans l'oeuvre originale haydĂ©e Ă©tait amoureuse du comte , heureusement que ce n'est pas le cas dans le film sinon cela m'aurait gĂącher l'expĂ©rience du film et cela est d'ailleurs la seule raison pour laquelle je n'ai pas passer le cap et lu le livre , je prĂ©fĂšre largement l'idĂ©e d'un lien paternel entre haydĂ©e , AndrĂ© et le comte dans le sens oĂč au dĂ©but , le comte considĂ©rerai les deux enfants comme des outils afin d'assouvir sa vengeance puis au fil du temps s'attendrit et commence Ă les considĂ©rer comme ses propres enfants ce qui est bien mieux qu'un triangle amoureux entre le comte ,haydĂ©e et mercĂ©dĂšs que j'aurais trouvĂ© horrible .
En somme je te remercie pour tes fanfictions incroyables qui capturent parfaitement la vision que j'ai des personnages du film et les liens qui les unissent.
Hey coucou, d'abord un grand merci Ă toi pour ton gentil message, ça fait toujours plaisir de savoir que son travail est apprĂ©ciĂ© đ
Oui, j'ai aussi fait une drĂŽle de tĂȘte en lisant un recap du livre... Je suis bien content qu'ils aient changĂ© ça dans le film! Pour avoir vu des itw des acteurices et des metteurs en scĂšne, ils avaient clairement exprimĂ© le souhait de "moderniser" l'oeuvre ou en tout cas de la rĂ©adapter en quelque sorte Ă notre Ă©poque, ce changement fait partie de cette volontĂ© et je les applaudis pour ça, non seulement parce que ça donne une autre dimension aux personnages mais aussi parce que c'est, je trouve, trĂšs bien amenĂ©.
Et c'est un régal d'écrire des relations familiales sur ce trio (ou plus, selon mon humeur), chaque personnage a vraiment sa propre profondeur, ses qualités, ses défauts, sa personnalité propre. Les faire évoluer ensemble est trÚs agréable!
Encore merci Ă toi en tout cas et au plaisir de discuter Ă nouveau, sait-on jamais! :D
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THE HAITIAN POET ROUSSAN CAMILLE. (French below)
ASSAUT Ă LA NUIT
Il existe des livres qui sont plus contemporains que le meilleur des auteurs Ă la mode. La poĂ©sie est lâenfant pauvre des temps modernes. Ses dĂ©tracteurs sont nombreux et ils la disqualifient au nom de la rapiditĂ©, de lâimminence du propos qui est pourtant dans la poĂ©sie.
Ici, je dis quelques mots sur un poĂšte fringant, beau dans ses vers et dans son allure. Il se pavane dans les soirĂ©es mondaines, verre dâalcool en main et note la dĂ©tresse des damnĂ©s de la terre avec une maturitĂ© prĂ©coce; lui qui sort une plaquette de poĂ©sie Ă©poustouflante Ă 28 ans.
Le recueil de Roussan Camille, poĂšte haĂŻtien, sâintitule « Assaut Ă la nuit », publiĂ© en 1940. Il est mort en 1961. Une vie au pas de charge, pleines dâĂ©vĂ©nements. Diplomate, il dĂ»t quitter Paris Ă lâapproche de lâinvasion allemande en 1940. Il vĂ©cut Ă©galement Ă Cuba et rencontra Fidel Castro et cĂŽtoya le poĂšte cubain Nicolas Guillen. Son livre publiĂ© il y a plus de quatre-vingts ans brĂ»lent de la rĂ©alitĂ© quâon connaĂźt aujourdâhui. Prenez le premier poĂšme
Vague :
Au fond des mers tropicales,
parmi les cadavres ensablés des caravelles
les fleurs dâargile
et lâor inutile
des galions perdus
dorment dâĂ©tranges peuples.
Le poĂšte fait rĂ©fĂ©rences aux esclaves qui ont sautĂ© en mer (ou quâon a poussĂ©) alors que les nĂ©griers les emmenaient de force vers lâAmĂ©rique. Mais si vous lisez attentivement vous constatez que cela sâapplique aussi aux milliers de morts africains et autres qui tentent de traverser lâAtlantique Ă bord de petites embarcations et finissent au fond de lâocĂ©an. Câest ça, la force de la poĂ©sie. Quand vous tentez de la saisir, elle vous Ă©blouit et sâimmisce dans lâinattendu.
Dans ce recueil, on peut y lire aussi un des chefs dâĆuvre de lâauteur, Nedje.
Tu nâavais pas seize ans
toi qui disais venir du Danakil
et que des blancs pervers
gavaient dâanis et de whisky,
en ce dancing fumeux
de Casablanca
Ces lignes font appel Ă un souvenir du poĂšte en visite Ă Casablanca. Une jeune Ăthiopienne dansait dans un bar et lui, malgrĂ© lâatmosphĂšre surchauffĂ©e des lieux de vices et de libation, vit au-delĂ de la jeune danseuse lascive, lâĂȘtre jetĂ© en pĂąture Ă lâappĂ©tit dâivrognes Ă la recherche de paradis artificiels. Encore une fois, Roussan Camille peut trĂšs bien parler des touristes de Manille, de Mombassa ou de Kuala Lumpur qui, aujourdâhui, dansent dans un
« dancing fumeux », leurs mains sur les hanches dâune donzelle Ă lâaffĂ»t de leur argent.
VoilĂ la poĂ©sie qui donne une leçon Ă la vitesse. VoilĂ le poĂšte qui, dâun coup de plume, envoie se rhabiller la vĂ©locitĂ© des rĂ©seaux sociaux. Roussan Camille fait un pied de nez aux dĂ©tracteurs de la poĂ©sie qui croient aller plus vite quâelle Ă coups de textes Ă la syntaxe mal alambiquĂ©e.
Roussan Camille nâa pas besoin dâĂȘtre parmi nous pour exister. Le poĂšte monte Ă lâassaut de la nuit pour nous dire que toute vĂ©ritĂ© se trouve dans le propos du poĂšte, toute modernitĂ© est au bout de sa plume. Roussan Camille existe.
Didier Leclair, Ă©crivain
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Aspasie : MaĂźtre ? Zeuxis : Hmm ? Aspasie : Jâai terriblement besoin dâaller uriner. Zeuxis : Hmm⊠Clytie, sur le trĂ©pied. Aspasie sâenfuit toute nue vers les latrines. Clytie monte sur le trĂ©pied et laisse le haut de sa robe descendre sur ses hanches. Zeuxis : Mains sur la tĂȘte. Clytie : Comme ça ? Zeuxis : Dos droit, poitrine gonflĂ©e. Proserpine, Ă Lamia : Comme Clytie a de beaux seins ! Les miens sont trop en pointe. Lamia : Et les miens trop ronds⊠Le maĂźtre ne peint que mes mains. Proserpine : Et moi, que mes pieds. Lamia : Quelle chance tu as dâavoir de si jolis pieds ! Proserpine : Pas autant que toi. On regarde bien plus les mains que les pieds. Lamia : Enfin⊠câest Aspasie qui a le plus joli cul. Proserpine et Lamia soupirent. Aspasie revient en trottinant, sâassoit sur sa robe posĂ©e sur la table. Calliope : Ne tâassis pas, tu vas lâabĂźmer. Les autres filles pouffent de rire. Aspasie : Je me suis toujours assise dessus, et il nâa jamais cessĂ© de plaire. Clytie : Moi, jâaime ĂȘtre Ă quatre pattes. Je les laisse pendre et ils dansent Ă la moindre secousse⊠Zeuxis : Silence, Clytie. Calliope : Ils nâont de forme quâimmobiles, quand tu lĂšves les bras. Aspasie : MaĂźtre ? Zeuxis : Hmm ? Aspasie : Quâelle est la plus sĂ©duisante partie du corps de la femme ? Lamia : Les mains câest si gracieux, si expressif ! Proserpine : Si les pieds sont laids, le reste ne peut ĂȘtre apprĂ©ciĂ©. Calliope : Pour certaines, câest leur gros cul. Zeuxis : Tout ce que fait la nature est beau. Aspasie : Vous nâavez encore rien dessinĂ© du corps de Calliope. Quâallez-vous prendre dâelle ? Zeuxis : Son visage. Aspasie : Mais elle fait tout le temps la gueule ! Proserpine : Clytie est bien plus jolie ! Lamia : Proserpine a des traits plus doux et Aspasie est comme une statue. Proserpine : Et toi, Lamia, tu es belle comme une enfant Zeuxis : Câest HĂ©lĂšne, femme de MĂ©nĂ©las, que je vais peindre. Elle doit ĂȘtre parfaite. Calliope : Mon visage est parfait ? Zeuxis : Pour que PĂąris ait lâaudace dâenlever la reine de Sparte et que MĂ©nĂ©las lance toutes les citĂ©s contre Troie, il ne suffit pas quâHĂ©lĂšne fut la plus belle femme de GrĂšce. Car la beautĂ© engendre le dĂ©sir et lâamour, mais point la passion dĂ©vorante qui fait commettre aux hommes les pires folies. Aspasie : Et que faut-il de plus ? Zeuxis : Pour tourner Ă ce point la tĂȘte des rois, il a fallu quâen plus dâĂȘtre belle, HĂ©lĂšne fut sans conteste la plus grande des chieuses.
#effrontées#edwin longsden long#zeuxis#clytie#proserpine#aspasie#lamia#calliope#crotone#HélÚne de Troie
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La poétesse et l'oiseau doré (partie 5)
à oiseau migratoire, Par pitié, ne me quitte pas! Dans le ventre du soir, D'aubes roses tu es l'appùt.
Habillent ton corps nu Rayons qui avec toi voltigent. Ta flambante venue Coupe au travers de mon vertige.
Quand le ciel tu traverses, Tu ouvres voies tel le tonnerre. Tes éclats se dispersent, Traçant de nouvelles frontiÚres.
Ne t'arrĂȘte plus rien Quand sans passeport tu circules, Ni soucis quotidiens, Ni sept douanes de scrupules.
Au-delà des limites, Tu restes toujours de passage. Les pays chauds t'invitent Sur l'ßle privée de rivage.
Ă oiseau du bercail, Je t'en prie, pose le verrou! Les nocturnes entrailles Hurlent de faim comme les loups.
Qui donc t'a arraché Des ténÚbres aux dents jaunies? N'étant pas attaché Au sol, là -haut tu fais ton nid.
Lorsqu'épaules légÚres Tel un vent floral, tu t'envoles, Je contemple ma chair Qu'à la pourriture on immole.
Moi, l'esprit engourdi Dans sa prison d'os desséchés, Je me sens alourdie, Vidée comme un vase ébréché.
Oui, je manque d'espace Dans mes cellules sans barreaux. Dans mes poumons prend place Un souffle agissant en bourreau.
Emporte-moi, mon frĂšre, LĂ -haut, oĂč tout semble meilleur! Allons loin des misĂšres. OĂč ça? Ailleurs! Ailleurs! Ailleurs!
Ăchappons-nous ensemble Tels les mots glissant de ma bouche! Ici, rien ne ressemble Ă nos joies aux accents farouches.
Si tomberont Ă l'eau Mes Ă©lans vers le firmament, Monte-moi sur ton dos, LĂšve-toi du sol lentement.
Si je n'ai plus la force D'oser défier la gravité, Donne-lui mes entorses Pour qu'on parvienne à l'éviter.
Si se perdent mes chants Dans ma lyre dĂ©saccordĂ©e, Que les guide l'encens LĂ oĂč ta coupe a dĂ©bordĂ©!
Ah, si tu connaissais Le désespoir au goût amer! Tu n'aurais pas laissé Ma lumiÚre au fond de la mer.
Mais par-delà les siÚcles, Tu vois l'éternel Intellect. Tu as ta fierté d'aigle; Moi, je suis parmi les insectes. »
-Poésie: extrait de "La poétesse et l'oiseau doré", à lire dans "GenÚse d'une femme" par Marine Mariposa, disponible gratuitement sur https://sites.google.com/view/papillondusublime/gen%C3%A8se-dune-femme
-Image: ''Battle'', Ćuvre crĂ©Ă©e par Akiane Kramarik alors qu'elle n'avait que seize ans
#poesie#poetry#french literature#oiseau#birds#lightning#travel#migration#migratory birds#night#darkness#dark night of the soul#grey wolf#prison#escape#defying gravity#eagles#angel art#angelic#fallen angel#angel#angelcore#angel aesthetic#akiane kramarik#marine mariposa
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18 juillet
en sortant du cimetiĂšre maman m'a appelĂ©e pour voir comment j'allais et j'ai recommencĂ© Ă pleurer derriĂšre mes lunettes de soleil en traversant le parc de la hasenheide. elle m'a dit rappelle-toi que tout prend toujours beaucoup plus de temps avec toi et que tes Ă©motions sont dĂ©cuplĂ©es, que c'est un Ă©norme changement et que tout ne peut pas ĂȘtre bien du premier coup. c'est exactement ce que me disait r. hier soir. je lui ai parlĂ© des gens de bumble et il a dit que j'allais pas forcĂ©ment rencontrer les gens les plus intĂ©ressants tout de suite, mais que je les trouverais peut ĂȘtre Ă travers d'autres gens, de fil en aiguille. je lui ai demandĂ© s'il avait une stratĂ©gie pour se faire des amis dans une nouvelle ville et il m'a dit que lui il irait aux concerts et il essaierait de parler aux gens, et si j'y arrive pas, essayer de les trouver sur insta et leur Ă©crire, comme il a fait avec moi. ha. je lui disais que j'Ă©tais de mauvaise foi mais lui il trouvait pas, juste un petit cĂŽtĂ© indĂ©crottable Ă la limite. j'ai dit que je le mettrais dans ma bio parce que j'adore ce mot. on a discutĂ© pendant un moment et tout d'un coup il a dit mais je vais me coucher lara! j'espĂšre que notre causette t'a Ă©tĂ© utile, et la maniĂšre dont il l'a formulĂ© m'a donnĂ© l'impression que toute notre conversation n'Ă©tait qu'une sorte de bonne action de sa part. comme s'il se disait que j'avais que lui pour parler. j'en suis Ă un stade oĂč je m'en fous un peu de ce qu'il pense mais ça m'Ă©nerve qu'il se donne cette importance toujours. ou alors c'est juste moi qui me monte le chou pour rien. indĂ©crottable.
bon ça va un peu mieux depuis que j'ai pleurĂ© en public. quand j'ai raccrochĂ© je voulais pas rentrer alors j'ai marchĂ© jusqu'au k-fetisch juste pour voir des lesbiennes et tenter du eye contact sur le trottoir, on sait jamais, mais personne m'a calculĂ©e sauf une fille hot au crĂąne rasĂ© mais vite fait. je me suis dit ok, mĂȘme si j'ose pas y rentrer, c'est quand mĂȘme cool d'habiter Ă douze minutes Ă pied d'un bar lesbien. je suis rentrĂ©e Ă la maison de bonne humeur je me suis douchĂ©e j'ai chantĂ© j'ai mangĂ© du pain avec du beurre de cacahouĂštes et de la confiture et j'ai fini de traduire mon cv + fait une lettre de motiv pour les cours de français. j'ai l'impression que cette journĂ©e a durĂ© cent ans. demain j'Ă©cris. demain je suis sĂ©rieuse. je dois rester plus concentrĂ©e sur mes objectifs. je m'Ă©parpille trop.
20 juillet
j'ai envie de rentrer. j'arrĂȘte pas de penser au meme avec le squelette qui court qui dit if it sucks it da bricks!! je sais pas combien d'efforts je suis censĂ©e faire exactement? ce matin j'ai de nouveau Ă©tĂ© rĂ©veillĂ©e par des gĂ©missements de sexe (cette fois c'Ă©tait n.) et Ă©videmment j'avais le coeur qui battait trop vite pour me rendormir et je me demandais est-ce que je suis vraiment obligĂ©e de m'infliger ça? et si ça me suffisait de vivre ma vie par procuration? de me contenter de celle des personnages de fiction? Ă la maison quand je vois les autres vivre leur vie ça me donne envie de me tuer mais maintenant que j'ai l'opportunitĂ© d'avoir une vie moi aussi et que je dois faire des efforts pour la construire j'ai envie de retourner dans ma non vie par procuration. mais est-ce qu'avoir une vie signifie forcĂ©ment de vivre dans une mĂ©tropole sortir en club avoir du sexe et vivre dans une chambre pourrie de 9m2 avec de la vieille moquette dĂ©gueue? en scrollant ig ce matin au lit j'ai regardĂ© une vidĂ©o d'hortense raynal qui s'enregistre en train de dire des trucs dans un micro avec un looper installĂ©e dans ce qui ressemble Ă une maison de campagne et je veux ça. vivre Ă la campagne tranquillement et faire mes trucs au calme et puis aller Ă la ville pour les trucs pro, occasionnellement.
hier soir j'ai accompagnĂ© n. Ă une fĂȘte dans un squat alors que je m'Ă©tais dĂ©jĂ mise en pyjama et que je m'apprĂȘtais Ă regarder un film en mangeant mes galettes de lentilles avec du beurre de cacahouĂšte et une banane parce que je recommence Ă manger n'importe quoi n'importe quand et surtout je mange pas assez, mais dans un Ă©lan de courage j'ai enfilĂ© des habits noirs englouti mes deux galettes et j'ai dit je viens! on s'est trompĂ© de s bahn et on a atterri beaucoup trop loin et j'espĂ©rais secrĂštement qu'on arrive jamais, qu'on se perde dans la banlieue et que la fĂȘte disparaisse de l'horizon. j'Ă©tais jalouse des gens Ă l'intĂ©rieur de leurs appartements avec un Ă©clairage tamisĂ© eh oh moi aussi je veux passer la soirĂ©e sur le canapĂ© devant la tĂ©lĂ©. vers une ou deux heures du matin des voisins ont appelĂ© la police pour faire arrĂȘter la musique et automatiquement je me suis mise Ă la place des voisins, de leur cĂŽtĂ© je veux dire, mĂȘme si j'appellerais jamais la police, je suis pas du cĂŽtĂ© de la police, je suis juste du cĂŽtĂ© des gens qui veulent dormir en paix. j'ai passĂ© la soirĂ©e Ă discuter avec des inconnus dans le jardin donc ça va, c'Ă©tait largement faisable, c'Ă©tait un jardin labyrinthique avec plein de petits recoins secrets et des grandes fleurs sauvages et on y voyait pas grand chose. toutes les fĂȘtes devraient avoir lieu dans des jardins comme ça. Ă un moment n. est allĂ©e danser sur la techno Ă l'intĂ©rieur oĂč il faisait mille degrĂ©s mais je prĂ©fĂ©rais encore affronter la conversation avec des inconnus plutĂŽt que le dancefloor.
j'avais un semi crush sur un garçon maigre et bouclĂ© qui s'appelait oleg. il portait des lunettes rondes et il Ă©tait hydrogĂ©ologue ou un truc comme ça et ça a suffi Ă me sĂ©duire. il racontait qu'il avait quittĂ© la russie pour Ă©chapper Ă l'armĂ©e y a deux ans et que depuis il vivait un peu peu partout et nulle part. il revenait de naples lĂ . avant il Ă©tait Ă tenerife oĂč il a retrouvĂ© ses parents et sa soeur restĂ©s Ă moscou. je lui ai dit que j'Ă©tais française sans mentionner le luxembourg parce que ça m'emmerde les questions sur le luxembourg, c'est toujours les mĂȘmes et ça m'ennuie profondĂ©ment. il m'a dit qu'il avait habitĂ© Ă rennes parce qu'il devait travailler Ă l'universitĂ© mais que le gouvernement français avait dĂ©cidĂ© que c'Ă©tait un espion russe et qu'ils l'avaient mis sur liste noire, alors il est reparti. je me demande s'il mentait. l'Ă©tĂ© dernier Ă berlin j'avais dĂ©cidĂ© que j'allais commencer Ă mentir aux gens mais je l'ai jamais fait. il portait un sweat trouĂ© informe qui tombait sur son corps maigre. n. portait un mini short en jean taille basse avec un haut moulant en dentelle noire sans manches, pas berlin du tout. moi je portais un pantalon noir avec un tshirt noir et mes converse noires. Ă cĂŽtĂ© d'elle je me sentais pas trop habillĂ©e pour aller Ă une fĂȘte. en m'habillant j'ai dit i don't have any party clothes, mais aprĂšs deux secondes de rĂ©flexion je me suis dit on s'en fout des party clothes, si j'Ă©tais un mec je pourrais mettre n'importe quoi, comme un grand sweat trouĂ© qui ressemble Ă rien et un pantalon quelconque et tout le monde s'en foutrait et je trouverais encore des filles pour avoir un crush sur moi (moi). la premiĂšre fois que j'ai vu r. il portait portait un sweat trouĂ© aussi je crois. oh ĂȘtre un garçon.
j'ai aussi discuté avec un espagnol catalan à qui j'ai accidentellement mentionné ma crise existentielle le pauvre, il a dit it's okay i'm open to all kinds of conversation avec un sourire bienveillant mais j'ai vite manoeuvré vers un autre sujet de conversation en lui demandant ce qu'il faisait lui. je crois qu'il travaillait pour une start-up qui fabrique des batteries. il m'a dit just enjoy your funemployment in berlin! ou bien la phrase la plus absurde qu'on puisse me sortir. je crois que j'ai dit i'm not a person who enjoys things ou un truc comme ça. au moins je fais rire les gens avec mes conneries. il portait une veste en daim couleur caramel, je l'ai touchée quand il m'a serrée dans ses bras dans la s bahn, c'était tout doux. je suis sûre qu'il doit vivre dans un bel appart propre et bien rangé.
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hello I hope you're fine đ
J'ai une demande à propos de Hakim Ziyech, il est marié au lecteur depuis 2/3 ans maintenant et elle est aussi marocaine et musulmane et Hakim a beaucoup de crises de colÚre mais il rejette constamment sa femme et cette fois il y a la mÚre de Hakim qui est chez lui à Londres depuis une semaine et un jour Hakim rentre (d'un match ou d'un entraßnement ou ailleurs comme vous voulez) et il ne dit bonjour à personne et monte dans la chambre conjugale avec un regard fùché et le lecteur va le voir essaie de comprendre ce qu'il a mais il la rejette et lui crie tellement dessus qu'il fait peur au lecteur et il la compare à son ex petite amie Aja narie et elle décide de ne plus lui parler et dort dans la chambre des amis quoi rend son mari furieux il essaie d'entrer dans la chambre mais sa femme est enfermée et pleure toute la nuit elle a pris la décision de ne pas parlerà Hakim et qu'ils ne doivent pas montrer la mÚre à Hakim que cela ne va pas à leur mariage et que la fin dépend de vous
Oui! J'espĂšre que vous apprĂ©cierez la façon dont j'ai Ă©crit ceci et j'espĂšre qu'il est assez bien Ă©crit pour votre demande! đ«¶đŒ
derriÚre la façade
le couple: Hakim Ziyech x Lectrice
Résumé: Pour tout le monde, vous et Hakim avez un mariage parfait et heureux. Ils ne savaient pas que tout cela n'était qu'une façade et qu'ils devaient vivre avec encore plus lorsque sa mÚre venait lui rendre visite.
avertissements: mauvais mariage
âąâąâąâąâąâąâąâąâąâąâąâąâąâąâąâąâąâąâąâąâąâąâąâąâąâąâąâąâąâąâąâąâąâąâąâąâąâąâąâąâąâąâąâą
Vous et Hakim ĂȘtes mariĂ©s depuis un certain temps maintenant. La relation Ă©tait bonne au dĂ©but. Ă un moment donnĂ© entre le dĂ©but et maintenant, Hakim est devenu mĂ©content. Tu n'as jamais su pourquoi et quand tu as essayĂ© de lui en parler, il t'a rejetĂ© et repoussĂ©.
Tu mentirais si tu disais que ce n'Ă©tait pas comme un coup de poing dans l'estomac. Vous l'aimiez sincĂšrement, mais il ne semblait pas partager les mĂȘmes sentiments. Il Ă©tait difficile de mettre un numĂ©ro devant les poparazzi et les amis. C'Ă©tait dur de prĂ©tendre que toi et lui aviez raison. DerriĂšre cette façade se cachait une dure rĂ©alitĂ©. La rĂ©alitĂ© de la merde que votre mariage Ă©tait devenu. Chaque jour, il y avait au moins une allumette hurlante entre les deux. C'Ă©tait difficile de faire face Ă toutes les mauvaises choses qu'il disait Ă votre sujet. Tout ce que tu voulais, c'Ă©tait que lui et toi soyez heureux.
Un jour, sa mĂšre est venue lui rendre visite, toi et lui. Sa mĂšre t'aimait. Elle aime la façon dont vous avez traitĂ© son fils. Elle vous avait rencontrĂ© lors d'une sĂ©ance de priĂšre. Toi et elle Ă©tiez dans le mĂȘme immeuble et elle trouvait que tu Ă©tais beau. Elle avait parlĂ© Ă vos parents, ce qui a ensuite conduit Ă vous prĂ©senter, vous et Hakim.
De nos jours, vous Ă©tiez Ă la maison en train de nettoyer et de cuisiner, comme vous le faites tous les jours, en attendant que votre mari rentre Ă la maison. vous finissiez de nettoyer la cuisine quand vous avez entendu le bouton de la porte tourner. Votre mari est entrĂ©. Il semblait ĂȘtre de bonne humeur mais Ă la seconde oĂč ses yeux ont rencontrĂ© les vĂŽtres, c'Ă©tait comme si son humeur avait complĂštement changĂ©. il est passĂ© devant vous vers la chambre. vous l'avez suivi, lui demandant comment Ă©tait sa journĂ©e et s'il allait bien.
"Pouvez-vous simplement arrĂȘter de parler. J'ai Ă©tĂ© trĂšs clair sur le fait que je ne suis pas intĂ©ressĂ© Ă entamer une conversation avec vous." Dit Hakim durement avant de te repousser et d'aller s'asseoir sur le canapĂ©. Il a allumĂ© la tĂ©lĂ© et t'a pratiquement ignorĂ© pour le reste de l'aprĂšs-midi.
Tu sais qu'il te repousserait mais tu étais assez choquée qu'il ne te crie pas dessus cette fois.
"Ma mĂšre vient me rendre visite pendant une semaine, alors comporte-toi du mieux que tu peux." dit Hakim sans mĂȘme te regarder.
tout ce que vous pouviez dire Ă©tait ok.
Quelques jours passĂšrent et sa mĂšre Ă©tait arrivĂ©e. C'Ă©tait bizarre qu'Hakim t'ait si bien traitĂ© la semaine oĂč elle Ă©tait ici. Pendant une seconde, vous avez pensĂ© que peut-ĂȘtre sa mĂšre lui avait parlĂ© de bon sens. Vous aviez trĂšs tort.
AprÚs que sa mÚre vous ait dit au revoir, la façade s'est levée. Les combats reprennent. Cette fois, les combats vous font plus mal que jamais.
"JE NE PEUX PAS CROIRE QUE JE T'AI MARIĂ. TU ES COMME MON EX, ENNUYEUX ET TELLEMENT DIFFICILE Ă GĂRER. AU MOINS ELLE ĂTAIT BELLE ET JE N'AI PAS ĂTĂ MALADE D'AVOIR L'AMOUR AVEC ELLE. JE NE COMPRENDS PAS CE QUE MA MĂRE J'AIME MĂME CHEZ VOUS." cria hakim.
vous ne vous souveniez mĂȘme pas comment le combat avait commencĂ©, tout ce Ă quoi vous pouviez penser Ă©tait ce que vous ressentiez Ă ce moment-lĂ . Ă cause de votre religion, il a Ă©tĂ© le seul homme Ă vous voir pleinement. Te voir nue et te faire prendre ta virginitĂ©. Tu te sentais dĂ©goĂ»tĂ©, honteux de ne pas lui suffire. Tu n'as pas pu t'empĂȘcher de pleurer.
Cette nuit-là , vous avez dormi dans la chambre d'amis, ainsi que les nuits suivantes. Vous avez refusé de lui parler, refusé de vous approcher de lui. Quand sa mÚre t'appelait, les gars remettaient la façade. Tu étais fini mais tu ne pouvais pas le quitter.
Ces jours Ă©taient les pires. Hakim, que cela lui plaise ou non, se sentait mal. Ces derniers mois, il a Ă©tĂ© stressĂ©. Il a laissĂ© tomber son stress sur vous, ce qu'il savait ĂȘtre mal. DerriĂšre sa propre façade, il t'aimait. Il avait juste peur. Tous ses coĂ©quipiers et tout le monde autour de vous vous aimaient. Il avait peur que s'il se rapprochait trop, il se retrouverait dans la mĂȘme position qu'il Ă©tait avec son ex, la position oĂč il a Ă©tĂ© laissĂ© pour compte.
Cela fait maintenant deux semaines que vous avez échangé. il était actuellement 20 heures. et tu étais assis sur le canapé. Hakim était dans la chambre à faire ce qu'il faisait tous les soirs et tu regardais une émission. tout à coup, vous avez senti des bras autour de vous. Ils n'étaient pas agressifs, ils étaient étonnamment doux.
"Je suis désolé ma chérie." est ce qui sortait de la bouche de hakim.
Tu as senti des gouttes de larmes couler sur ta chemise, mais ce n'Ă©taient pas les tiennes.
"Je t'ai si mal traitĂ©. Je suis dĂ©solĂ©. Je suis dĂ©solĂ© de t'avoir fait du mal et je suis dĂ©solĂ© de m'ĂȘtre dĂ©barrassĂ© de mon stress, de ma colĂšre et de mes insïżœïżœcuritĂ©s. Je comprendrais si tu ne me pardonnerais jamais, mais derriĂšre la façade, je je t'aime."
ââââââââââââââââââââââââ
Note de l'auteur: Je sais que c'est court mais j'ai fait de mon mieux, j'espĂšre que vous avez apprĂ©ciĂ© l'intrigue, je sais aussi que c'est un peu un cliffhanger mais si vous voulez la partie 2, demandez.đ«¶đŒ
Aussi j'espÚre que ma grammaire n'est pas trop mauvaise, le français est ma deuxiÚme langue donc s'il y a des fautes de grammaire je suis désolé.
#hakim ziyech x reader#hakim ziyech#blurbs#imagine#Hakim ziyech x lectrice#hakim ziyech x you#hakim ziyech x toi
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Paradoxe 2.0
J'ai fait de l'escalade pour la premiĂšre fois de ma vie aujourd'hui. Je me suis rendue compte de beaucoup de choses sur moi. L'envie ne manque pas. J'ai toujours envie d'essayer de m'accrocher Ă n'importe quoi qui se prĂ©sentait Ă moi. De me jeter sur ce qui vient. D'essayer. Mais lorsque j'ai posĂ© mes deux pieds et que mes deux mains me tiennent, lĂ arrive la plus grosse Ă©tape. Avoir le courage de lĂącher une main, un pied, pour le poser plus haut. Ce n'est pas chose facile, et je n'y arrive pas. Les seuls moments oĂč j'y arrive, je suis encouragĂ©e par mes amies en bas qui me conseillent oĂč poser mon pied. Et lorsque je comprends le mĂ©canisme, il m'arrive parfois de prendre mon Ă©lan, sans rĂ©flĂ©chir, et de sauter, grimper et tout se passe bien jusqu'Ă ce que je sois presque en haut. Mes bras sont Ă bout, ils n'en peuvent plus, ne peuvent plus me soutenir et moi je sens, je le vois, je vais lĂącher. Mais la chute me faire extrĂȘmement peur. Il faut juste que je descende par moi-mĂȘme, doucement, tranquillement. Descendre, c'est beaucoup plus facile car il se rapproche du sol, la chute fait moins peur, on connait dĂ©jĂ le parcours car on l'a dĂ©jĂ traversĂ©. Pourtant, descendre fait encore plus peur que monter. Il faut accepter de se laisser sauter dans le vide en espĂ©rant que notre corps et notre esprit nous permette de rattraper un point d'accroche. J'arrive en bas. Je regarde ce que j'ai fait. Je suis déçue, j'Ă©tais presque au sommet, mais je ne me suis pas Ă©coutĂ©e. Presque en haut, j'ai commencĂ© Ă paniquer, Ă me dire que je n'attendrais jamais l'arrivĂ©e. Pourtant j'ai traversĂ© plus de la moitiĂ© du parcours, je suis presque arrivĂ©e ... Mais les derniĂšres Ă©tapes font trop peur. Et si je monte encore plus et que je tombe de plus haut ? Mais je n'ai aucun risque si je tombe, au contraire, le matelas amorti la chute. La chute est mĂȘme plus drĂŽle et amusante que de grimper. Pourtant, impossible. Lorsque je suis presque en haut, j'ai besoin de l'avis et de la validation des autres pour rĂ©ussir Ă monter. J'ai besoin qu'on me dise "vas-y tu y es presque", "fais toi confiance" parce que je ne me fais pas confiance. Je ne crois pas en mes capacitĂ©s, je n'ai pas confiance en mon corps, alors qu'en rĂ©alitĂ©, je peux lĂącher une main sans prendre le risque de tomber. J'ai besoin que les autres me disent qu'ils savent que je peux le faire pour le faire. Quelle honte. J'aimerais un jour arriver en haut sans avoir besoin qu'on me guide, qu'on me dise d'oĂč aller, quel pied lĂącher, et que je peux le faire pour le faire. Pourquoi est-ce que j'aime tant monter, que je me lance toujours de toutes mes forces d'une telle volontĂ©, pour perdre confiance une fois que j'ai lĂąchĂ© mon dernier pied du sol. Pourquoi ai-je tant de volontĂ© pour monter, alors que quand je commence Ă monter, l'angoisse me prend Ă la gorge et je me retrouve incapable de monter ?
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Î le bombé de dentelle
et ses festons floraux
sur le mont de VĂ©nus
sous lequel transparaĂźent
et mĂȘme en transpiraient
petites et grandes lĂšvres
quand elles te regardaient
.
car l'oeil de mon désir
que sur toi
je portais
mes yeux partout tétaient
se démultipliaient
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BioDadClarkKentxBioMumBruceWayne pt 2
J'attends anxieuse l'arrivée de ma mÚre. Je fais les cents pas dans le hall de l'hÎtel me rongeant les ongles. Je vois bien que cette action enerve la blonde qui m'a accompagné.
- Mari-Gold arrĂȘte de faire ses vas et viens tu vas me tendre folle !
- Désolé Chlo, je suis terrifiée ! Et j'ai une trÚs mauvaise intuition due à cette rencontre !
- Assieds-toi et respire. Quel est le pire qui puisse se passer ? Découvrir que ton pÚre est un superméchant ? Ou qu'il soit l'actuel dirigeant du monde.
- MĂȘme si je n'aime ce nouveau rĂ©gime au moins le monde est plus sĂ»r. L'avantage c'est que Papillon n'est pas restĂ© longtemps Ă terroriser Paris et Ă part nous deux personnes s'en souvient. Tout le monde pense que c'est une illusion collective. Il y a de forte chance que Superman soit mon pĂšre.
- Comment peux-tu en ĂȘtre si sĂ»re ?
- Si ma mĂšre s'appelle Brianna Wayne et que c'est elle qui dirigeait Wayne Entreprise. Tout le monde sait qu'elle fait confiance Ă Clark Kent qui est un des seuls journalistes qui la. Je sais qu'ils sont des amis proches. Quand Superman a pris le pouvoir son identitĂ© civile Ă Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ©e ce qui fait que logiquement ma mĂšre est Batwoman. Elle l'invite souvent Ă ses galas. Ils ont bien pu avoir une partie de jambes en l'air Ă une de ses soirĂ©es. Il faut dĂšs fois qu'une seule nuit pour concevoir un enfant. EtâŠ
- Tu peux arrĂȘter de parler de ça. Je n'ai pas besoin d'entendre ça !
- Chlo, ça fait partie de la vie.
- Mari-Gold, c'est juste Ă©trange de t'entendre parler de la vie sexuelle de tes parents potentiels.
- Tes parents ont fait de mĂȘme pour t'avoir !
- Merci Mari pour l'image mentale !
- Je t'en prie Chlo ! Je lui tire la langue. Nos enfantillages sont interrompus par une voix forte qui me fait tresaillir.
- Marinette Dupin-Cheng est-elle ici ? Je me tourne lentement vers la source de la voix et répond d'une petite voix et m'avance d'un ou deux pas
- C'est moi.
- Tu ressemble Ă ta mĂšre !
- Heu⊠Merci⊠Je réponds hésitante.
- Tu sais qui je suis ? Demande l'homme flottant Ă quelques centimĂštres du sol. Les bras croisĂ©s au niveau de sa poitrine. Je jette un rapide coup d'Ćil Ă ChloĂ© pour avoir un Indice sur la rĂ©ponse Ă donner. Elle secoue la tĂȘte
- Vous ĂȘtes Superman, le nouveau dirigeant de la terre. Je rĂ©ponds sĂ»rement de moi. Et potentiellement mon pĂšre, je rĂ©ponds dans un murmure. Je vois qu'il hausse un sourcil.
- Je vois que tu es au courant des choses.
- Alors c'était une supposition, merci d'avoir confirmé les faits.
- Tu es comme ta mÚre ! Tu analyse vraiment tout. J'espÚre que tu n'as pas hérité de son cÎté bornée. Je n'en supporterai pas une deuxiÚme !
- En parlant de ma mĂšre oĂč est elle ? C'est elle qui devait me rencontrer aux derniĂšres nouvelles ?
- Ă la Watchtower !
- Elle n'Ă©tait pas au New Jersey hier ?
- Si. Tu vas venir avec moi. Tous les trois nous serons une famille. Je peux entendre que son ton est devenu sĂ©rieux. MĂȘme si je veux poser d'autres questions, elles meurent dans ma gorge.
- Est-ce que ça peut attendre une semaine. AprÚs je serai en vacances
- Désolé Marinette, tu rentres avec moi aujourd'hui !
- MaisâŠ
- Je dirai Ă Miss Bustier que tu as pris une insolation et que tu te reposes. DĂ©clare Chlo.
- Merci Miss Bourgeois. Maintenant Marinette vient ici. Je hoche juste la tĂȘte et m'avance vers l'homme. Il sourit. MĂȘme si c'est censĂ© ĂȘtre rassurant ça a l'effet inverse.
Nous sortons de l'hÎtel, je fais un signe d'adieu à Chloé. Il m'amÚne à une voiture, il m'ouvre la porte passagÚre. Je le remercie et monte.
- Nous allons Ă un endroit appelĂ© "Le MausolĂ©e" oĂč un tube-zĂ©ta nous attend. Il sera enlevĂ© une fois que tu sera installĂ©e.
- D'accord. Durant le trajet je ne parle pas et regarde le paysage défiler sous mes yeux. Jusqu'à arrivée au porte de la Villette.
Une fois tĂ©lĂ©portĂ© dans ma nouvelle demeure, ça va ĂȘtre Ă©trange de vivre dans l'espace. Je pense que je ne me laisserai jamais de la beautĂ© de la vue. Je n'ai pas essayĂ© de me battre je sais trĂšs bien que je ne pourrai pas gagnĂ© et personne peut refuser un ordre su nouveau dirigeant
- Marinette tu m'Ă©coute ? Je rougis jusqu'au oreilles.
- Désolé !
- Je t'amĂšne voir ta nouvelle chambre. Je viendrai te chercher pour que tu puisses rencontrer mĂšre, nous mangerons ensemble et apprendrons Ă faire connaissance.
- Bien.
Je le suis docilement et ignore les regards sur moi. Il s'arrĂȘte devant une porte.
- Ici sera ta nouvelle chambre. Celle d'en face est celle de ta mĂšre et moi.
- Merci. Il me laisse seule. J'ai envie de hurler et de retourner Ă Paris. Je me sentais comme une prisonniĂšre. J'ai pu voir toutes les camĂ©ras. Heureusement il n'y en a pas dans la chambre. Je me doute que les autres hĂ©ros rapportent mes moindre faits et gestes Ă l'homme. Je ne l'appellerai jamais pĂšre ou papa de bon cĆur.
AprÚs un temps indéfini. Il vient me chercher. Je rencontre ma mÚre pour la premiÚre fois. Je dois l'admettre je suis son portrait cracher. La seule différence hormis l'ùge, c'est que mes cheveux sont plus clairs. Durant le repas je m'efforce de sourire. J'évoque ma passion pour la mode et le désigne. Je n'évoque à aucun moment ma vie de super-héroïne. Au fur et à mesure de l'échange je me détends comme le fait Brianna. J'étais contente de rencontrer la personne qui m'a donné naissance. Je sais que m'habituer à tout ça prendrait longtemps. Il ne faut pas oublier que je dois toujours faire mon deuil.
#biodad au#miraculous ladybug#marinette dupain cheng#Biodad Clark Kent#injustice League#Superman's Regime#Biomum Bruce Wayne#female bruce wayne
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La photo d'une petite fille en fond d'écran. Une application de calendrier. Une liste de tùches avec des codes couleur. Des conversations avec des liens vers des documents sérieux.
C'est ce que je vois dans son tĂ©lĂ©phone. Je suis voiture 2 place 76 dans le Paris-Lyon. CĂŽtĂ© fenĂȘtre. Juste derriĂšre lui. Ma mĂšre m'a retirĂ© mon tĂ©lĂ©phone Ă moi. Et j'en avais un peu marre de lire Le Grand Maulnes. Je le finirai chez mon pĂšre. Le paysage de novembre, j'aime bof, alors entre les siĂšges je regarde le tĂ©lĂ©phone du gars devant moi.
Je prends toujours le train du lundi 7h52 la deuxiĂšme semaine de chaque vacances scolaires. L'annĂ©e prochaine, j'aurai le droit de le prendre tout seul, mais lĂ , c'est encore ma mĂšre qui m'accompagne. Elle pense que ça me rassure. Je dirais que c'est pas nĂ©cessaire, elle m'agace parfois et je prĂ©fĂšrerais ĂȘtre seul. Mais peut-ĂȘtre qu'en fait elle a raison. Peut-ĂȘtre que ça me fait du bien quand mĂȘme. Aux vacances de NoĂ«l, je vais lui demander de prendre le train seul. Pour voir. Ou peut-ĂȘtre Ă celles de fĂ©vrier.
J'ai soif et un peu envie de pisser, mais j'aime bien regarder le téléphone du gars devant. Je suis hypnotisé. Il l'utilise pas du tout comme j'utilise mon téléphone.
On arrive bientĂŽt Ă Lyon. Il ferme ses applis les unes aprĂšs les autres, il revient sur la photo de la petite fille trop mignonne et range son tĂ©lĂ©phone dans sa poche. Ma mĂšre me demande de prĂ©parer mes affaires. J'aurais bien aimĂ© une petite sĆur, mais c'est mort maintenant.
Donc, lĂ , je passe la deuxiĂšme semaine de vacances scolaires avec mon pĂšre. C'est cool. Parfois, il travaille et je peux traĂźner Ă la maison. Mais il prend quand mĂȘme des congĂ©s quelques jours et on va au cinĂ©, Ă la Vogue des Marrons, au KFC, Ă la boutique de mangas. C'est comme avec un pote, mais un pote qui aurait de l'argent et dans une ville oĂč je connais personne. J'ai pas Ă faire semblant de ne plus aimer des trucs de gamins. J'adore les auto tamponneuses et les glaces. Et de toute façon je croiserai personne que je connais.
Ensuite, il me raccompagne à la Gare de Lyon, ma mÚre vient me chercher et on rentre à Ivry. En français, on étudie Le Grand Maulnes. Je progresse un peu à PES. J'ai enfin la moyenne en maths. Je fais mon premier vol au Carrefour Market en face du lycée. Et les vacances de Noël arrivent vite. Alors, je reprends le train. Seul cette fois.
On arrive super en avance. Le quai est indiqué juste 20 minutes avant, mais nous on sait que c'est la voie 23, on a l'habitude. Et en fait, non, ça a changé, c'est la voie A, dans le Hall 1. On y va en courant, ma mÚre est super stressée, il y a plein de monde. Elle me fait beaucoup de bisous devant tout le monde et me répÚte des trucs style t'as ton chargeur dans ta poche extérieure, oublie pas de descendre à Lyon, garde ton sac prÚs de toi on sait jamais, et tu m'appelles quand tu veux. Je monte dans le train, mais je pars du mauvais cÎté, c'est la mauvaise voiture, je m'en rends compte tard et je dois me refaire une bonne partie du train dans l'autre sens alors qu'il part déjà .
Et c'est lĂ que je le vois. Le mec de la derniĂšre fois. Dans le carrĂ© famille. Il a un peu changĂ© de tĂȘte. Je le reconnais Ă son tĂ©lĂ©phone posĂ© sur la tablette devant lui. Je reconnais la petite fille. La mĂȘme photo que la derniĂšre fois. La mĂȘme photo, mais en noir et blanc.
J'ai connu Jed.
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Printemps 1916 - Champs-les-Sims
4/9
Je crois qu'en plus de s'ĂȘtre fait la plus petite possible, elle s'en veut un peu d'ĂȘtre la seule Ă qui Constantin accorde rĂ©ellement de l'intĂ©rĂȘt. Ce qui s'est manifestĂ© d'une façon bien cruelle lors de sa derniĂšre permission lors des fĂȘtes de NoĂ«l et a occasionnĂ© une grosse dispute entre nous. D'ordinaire, je suis suffisamment heureuse de le voir bien en vie devant moi pour songer Ă le gronder pour quoi que ce soit. Et pourtant, il a Ă©tĂ© trĂšs secouĂ© par le dĂ©cĂšs de son mentor, Monsieur Hautbourg. Le pauvre homme a eu selon lui une mort peu enviable et laisse derriĂšre lui une veuve et un fils unique d'Ă peine un an.
Transcription :
EugĂ©nie « Oh mon petit. Te voilĂ enfin ! Nous ne savions mĂȘme pas que tu viendrai nous voir pour le jour de NoĂ«l. »
Constantin « Je vous ai Ă©crit en dĂ©but de semaine aprĂšs avoir reçu ma notification de permission. Mais le caporal Mercier mâa dit que des sacs de courrier de notre division avaient Ă©tĂ© perdus. Je vous ai envoyĂ© une carte hier Ă la gare de Mont-Notre-Dame mais je dois ĂȘtre arrivĂ© avant elle. »
Albertine « Nous étions si inquiets ! »
Albertine « Cela fait des nuits que je nâen dors plus. »
Constantin « Pas de nouvelles, bonnes nouvelles dit-on. Si jâavais Ă©tĂ© tuĂ© ou portĂ© disparu sur le front, lâĂ©tat major tâen aurait dĂ©jĂ avertie. »
Albertine « Il nây a que toi pour me rassurer de la sorte⊠Et depuis quand cites-tu des proverbes ? »
Constantin « Monsieur Hautbourg disait que les proverbes recĂšlent une grande sagesse et que nos ancĂȘtres nous ont les transmis sous la forme la plus simple afin que chacun puisse recevoir leurs enseignements. »
Albertine « Il disait⊠oh Constantin... »
Albertine « Je suis navrée pour toi. »
Constantin « Il a reçu une salve de mitrailleuse dans lâabdomen. Les brancardiers ont dit quâil a expirĂ© avant quâils aient pu le conduire Ă lâhĂŽpital. Jâaurai aimĂ© lui dire au revoir. DĂšs demain, jâirai prĂ©senter mes respects Ă sa veuve et Ă son fils, câest ce quâil aurait fait pour moi. »
Albertine « Toi tu es rentrĂ©, et pour lâinstant câest tout ce qui mâimporte. »
Constantin « Tu as raison, jây penserai plus tard. Je suis dĂ©jĂ ravi de pouvoir ĂȘtre revenu Ă temps pour rĂ©veillonner avec toi et les enfants. »
Albertine « JâespĂšre que tu comptes tâarranger un peu avant. »
Constantin « Jây vais de ce pas. De toute façon, Grand-MĂšre nâacceptera pas Ă sa table un homme dĂ©penaillĂ© et qui nâest pas rasĂ© de frais. Jâai en plus le sentiment dâĂȘtre tout crottĂ©. »
Albertine « Câest bien vrai. MĂȘme au fin fond dâun caveau Ă©gyptien ou dâun cĂ©notaphe, je ne tâai jamais vu si sale et mal apprĂȘtĂ©. »
#lebris#lebrisgens4#history challenge#legacy challenge#sims 3#decades challenge#nohomechallenge#ts3#simblr#sims stories#eugénie le bris#Albertine Le Bris#Constantin Le Bris#Arsinoé Le Bris#Martial Hautbourg#Vivienne Le Bris#Edgar Hautbourg#Cléopùtre Le Bris#SélÚne Le Bris#Marc-Antoine Le Bris#Jean-François Le Bris
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Tu va te refaire berner berni et
Penser que dans lâobscuritĂ©
On y vois tous
Mais pour toi câest tous flou
Câest pas comme si on tâavais prĂ©venue
Depuis tous petit toi perdu
Maintenant tâes devenu son dĂ©tenu
Câest comme ça que tu ma perdu de vue
Alors on continue plus fort
On veux te faire monter la pente
Tu fait pas autant dâeffort
Que ce que toi tu nous fait penser
On te vois ta perdu pied
MĂȘme plus envie de faire vrai mĂ©tier
ArrĂȘter dire que ta Ă©chouĂ©
Ta vie nâest pas un Ă©chec
Me dit pas que ta chialer
Jâaurai du mal Ă y croire
Câest pas moi qui ai achevĂ©
Cette nouvelle histoire
Et tu me disais mon chat
Mais maintenant jâai plus de charme
Encore un jouet pour toi
Câest mes larmes ma nouvelle arme
Je suis en full inspi
Jâai pas besoin du splif
Encore une fois je spleen
Et mon Ăąme se split
Arriver par erreur et pas voir son ampleur
Et pas voir son Ăąme pleurer
Et pas voir son arme puérile
Trop de temps Ă etre un imbecile
Cracher ça haine sâdire quâ câest utile
pas prendre lâair rester dans le lit
Ăa fera pas de toi un nouvel ami
Mais un nouvel arrivage de sentiment
Quand je regarde le passé mon sang il monte
Pourquoi je le voit et tous le temps il ment
JâespĂšre pouvoir lui montrer ma ville immense
Cette petite bourgade pleine de bonne choses
On y va on y est comme Ă la maison
Regarde oĂč je tâemmĂšne câest la ville rose
ici tous le monde peut avoir raison
Les pensés change et les nurses aussi
Tu veux me protéger mais reste tranquille
Maintenant que câest fait je serai pas ton ami
Mes pensées se fanent elles ont trop subi
Comme le phĆnix je renaĂźt de mes cendre
Présent tous les jours de janvier à décembre
31200 câest la bas quây a le centre
Mais ta pas voulue rentre mon antre
(Alors encore je prend lâencre
Lâinspiration de Pandore
Encore une fois je jette lâancre
Sur le navire je radote ) x3
Et je continuerai quand mĂȘme
MĂȘme si câest pas la vie de rĂȘve
Et le montre toutes ses facette
Et câest pour ça peut ĂȘtre que je lâaime
Mais jâai mis ce putain gilet pare-balles
Deux trois chargeur jâcommence a avoir mal
Quand je dois y aller Ouai jâai le trac
Mais câest la vie a un moment ça fait mal
Trop bon trop con tu connaĂźt le proverbe
Putain maintenant je me remet Ă lâherbe
Faudrai vraiment que jâarrĂȘte
Mais le cĆur a besoin de ça pour renaĂźtre
Ta besoin quâon ton vienne en aide
Mais tu refuse quâon te tente la main
Putain mais câĂ©tait pas clair
En fait ton passé te fait trop de chagrin
Tensey drill 1 sur lâinfini mon pote
Pensée aux gens qui se reconnaßtrons
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Flowery secret | [Chapitre 1]
Neteyam x Lecteur!FĂ©minin!Na'vI
Notes : Il s'agit de mon premier écrit Avatar, je compte utiliser à certains moments du vocabulaire Na'vi, celui-ci sera en italique et vous trouverez la traduction à cÎté pour fluidifier votre lecture !
Nombre de mots : 3 785.
âœâłâ”âłâœâ”âœâłâ”âłâœâ”âœâłâ”âłâœâ”âœâłâ”âłâœâ”âœâłâ”âłâœâ”âœâłâ”âłâœ
Aussi loin que tu t'en souviennes ça a toujours été lui et seulement lui.
Que ce soit Ă la dĂ©robĂ©e d'un regard lorsqu'il passe devant toi, d'une Ă©coute attentive de sa voix pour appeler ses sĆurs ou son frĂšre, tu ne peux te retenir de le chercher du regard et mĂȘme de prendre des notes mentales sur lui. Comme retenir une pensĂ©e frivole sur la maniĂšre dont sa respiration se coupe lorsque le na'vi tend son arc, la façon dont sa mĂąchoire se resserre durant sa concentration et le sourire qui pend Ă ses lĂšvres quand il touche sa cible.. Il t'est juste impossible de te dĂ©tourner de lui, ta vie au clan fait que tu ne pouvais que te retrouver le plus souvent avec lui, surtout depuis que tu t'entraĂźne pour devenir une aussi grande guerriĂšre que Neytiri. DĂšs qu'il fait son entrĂ©e dans une zone proche de la tienne, tu ne peux pas lui tourner le dos sans l'observer de profil, fixant en particulier son visage et ses traits. En ce moment mĂȘme, son expression rayonne. Comme d'habitude, son jeune frĂšre et lui se taquine Ă coup d'Ă©paule en attendant leur pĂšre pour commencer la patrouille du matin et l'aĂźnĂ©, fidĂšle Ă lui-mĂȘme, rĂ©pond avec un rire moqueur en le traitant de skxawng (idiot), sa main dĂ©posant une tape affectueuse sur la tĂȘte de son frĂšre.
Ma Eywa. Tu ne pouvais pas te lasser d'entendre son rire Ă chaque fois que tu en avais l'occasion. Tes oreilles s'agitent au son et ta queue fouette l'air. Ton cĆur bat furieusement contre ta poitrine et tu ne peux rien faire d'autre que continuer d'Ă©couter en le fixant du coin de l'Ćil, comme si tu n'existais que pour ĂȘtre tĂ©moin de ce moment. Tu pourrais rĂ©ellement passer toute ta vie Ă l'observer sans jamais te lasser une seule seconde de la lumiĂšre qui se dĂ©gage de son merveilleux sourire. SincĂšrement, tu ne peux pas te retenir de passer tes yeux sur la silhouette du jeune homme Ă tes cĂŽtĂ©s ni mĂȘme t'en lasser. Observer la façon dont ses cheveux se balancent vigoureusement d'une Ă©paule Ă une autre lorsqu'il secoue la tĂȘte est charmante. Tu imagines leur touchĂ© au contact de tes joues. La vue de ses Ă©paules ĂȘtre secouĂ©e par un nouveau rire te donne envie de passer tes doigts sur leur forme arrondie. Est-ce que le touchĂ© serait plutĂŽt lisse ou rĂȘche en effleurant ses cicatrices dues Ă ses escapades en forĂȘt... Tu ne te donnes pas le temps d'approfondir cette image, car tu finis par baisser tes yeux en direction du sol, reprenant ton souffle qui s'Ă©tait tout simplement coupĂ©. Il n'existait vraiment rien chez lui que tu ne pouvais pas apprĂ©cier, tu l'adorais beaucoup trop pour que cela n'arrive.
Tu aimais profondĂ©ment Neteyam Sully et plus le temps passait, plus il t'Ă©tait sĂ©rieusement difficile de te dire que tu dois Ă tout prix contenir tes sentiments pour lui. Tu ne te donnais pas le choix de cacher ton attirance pour lui. Tu ne te l'ai jamais donnĂ© d'ailleurs, tout ça Ă cause des petites diffĂ©rences faisant lâexistence de chacun. Tu as toujours Ă©tĂ© trĂšs consciencieuse vis-Ă -vis de ta situation et ce besoin de n'ĂȘtre que ce les autres attendent de toi s'est renforcĂ© en grandissant dans l'ombre de ce garçon. âIl est beaucoup trop bien pour toi.' C'est ce que tu te dis. Et il est le premier fils de Toruk Makto. Toi, tu n'es qu'une jeune guerriĂšre destinĂ©e Ă ĂȘtre au service du clan. Tu n'as rien de spĂ©cial, tu n'es personne.Â
Un soupir monte dans ta gorge mais tu le retiens pour ne pas te faire remarquer. Toutefois, tes pensĂ©es finiront coupĂ©es par ce mĂȘme garçon puisquâil venait de tâappeler par ton nom. Tu pourrais reconnaĂźtre cette voix masculine entre mille, sous le choc ta respiration se coupe. Il te faut plusieurs secondes pour reprendre contenance. Neteyam tâappelle de nouveau, peu sĂ»r que tu lâai entendue la toute premiĂšre fois. Tu tournes doucement ta tĂȘte vers la source de tous tes tourments. Tu n'ose pas le regarder directement donc tu fixes en premier Lo'ak qui attire ton attention en se penchant dans le dos de son frĂšre aĂźnĂ© pour te saluer de vive voix, un sourire figĂ© sur ses lĂšvres charnues. Son salut se voulait des plus courtois mais hĂ©las, tu ne savais pas comment lui rĂ©pondre, tu n'as jamais su le faire avec quiconque en tout temps. Ce n'Ă©tait pas de la timiditĂ©, mais de la retenue. Une rĂ©serve n'ayant pour but que d'exprimer ce qui Ă©tait nĂ©cessaire d'ajouter au moment opportun sans jamais te montrer outre-mesure car tu dĂ©teste attirer l'attention sur toi. Tu ne supportes pas que l'on te regarde trop longtemps, tu crains en silence de ne pas plaire assez, de ne pas ĂȘtre Ă la hauteur. Alors, comme Ă chaque fois, tu rends la politesse du fils sully par un signe de la main. Mais ce n'est pas tout ce que tu fais, car ton bĂ©guin est lĂ aussi. Tu dĂ©pose lentement ton regard dans sa direction et câest lĂ que vos regards se croisent. Neteyam Ă©tait dĂ©jĂ en train de t'observer, attendant un retour de ta part. Il t'avait nommĂ© en espĂ©rant que tu le regarderais en premier.
Enfin, il s'était attendu à ce que tu le vois, mais comme toujours tu le laisses passer en dernier dans ton regard. Tu ne le regardes jamais assez longtemps pour lui permettre de t'offrir un sourire chaleureux et une courte conversation. Jamais, car tu te détourne aussitÎt de lui, il perçoit tes lÚvres légÚrement entrouvertes se pincer dans l'action, tu semble ennuyé. Est-ce que tu le trouves ennuyeux ? Tes oreilles se plient en arriÚre alors que ta queue s'agite avec empressement pendant que tu fuis. Le fuis-tu, délibérément ? Ne pas savoir le rendait sceptique. Avait-il fait quelque chose de mal ?
Au dĂ©but il pensait simplement que tu Ă©tais timide mais il semble que ce n'ait Ă©tĂ© qu'une thĂ©orie pour se rassurer par le passĂ©. Car tu as toujours Ă©tĂ© comme ça avec lui, son frĂšre et ses sĆurs. Mais jamais avec les autres na'vit. Lo'ak a eu l'habitude de dire que c'Ă©tait peut-ĂȘtre Ă cause lui, car il passe son temps avec Spider puisque c'est un humain ou bien parce qu'il possĂšde cinq doigts, ce que les membres du clan lui ont souvent reprochĂ© en silence malgrĂ© leur respect pour Jake Sully. Cependant, Neteyam a fini par repousser cette idĂ©e au fil du temps. Tu ne passes pas de temps avec eux, c'est un fait mais tu ne les regarde pas comme les autres na'vi le font. Il y a aucun mĂ©pris dans tes yeux, pas une seule once de dĂ©goĂ»t ni de crainte.
Quand tu regardes son frĂšre Ă chaque fois que ce dernier prend le temps de te saluer Ă l'aube d'une patrouille, tu le vois rĂ©ellement comme il est. Un na'vi. Tes yeux brillent dans les siens, tu es calme, il pourrait mĂȘme y lire une sorte de... tendresse Ă son Ă©gard mais il balaye souvent cette pensĂ©e qui le dĂ©range plus qu'autre chose. Sauf que tu peux aussi agir comme ça avec ses sĆurs, il sait qu'il y a eu une fois oĂč tu as aidĂ© Kiri Ă porter des tapis jusqu'Ă l'entrĂ©e de leur hutte. Il se doutait de ta douceur et Ă©tait certain de ta gentillesse depuis que c'Ă©tait arrivĂ©. Il n'en avait pas Ă©tĂ© tĂ©moin mais Tuktirey avait fait mention de ta personne. Tu l'avais aussi aidĂ© pour rĂ©cupĂ©rer ses perles tombĂ©es dans l'eau en y allant Ă sa place parce que ce n'est pas une bonne nageuse, ça ne semble pas ĂȘtre grand chose dit ainsi mais pour Neteyam, ça te rend spĂ©ciale Ă ses yeux. Il en a retenue ton nom pour pouvoir le prononcer et faire rouler chaque lettre sur sa langue afin de sâen imprĂ©gner.. Il Ă©tait heureux de dĂ©couvrir ton existence. Il avait essayĂ© dâen apprendre un peu plus sur toi au dĂ©tour dâune conversation banale entre dâautres chasseurs, le fait que tu veuilles protĂ©ger le village coĂ»te que coĂ»te lâavait fait sourire car tu voulais devenir un guerrier comme ton pĂšre.
Bien que tu n'avais pas eu la chance dâĂȘtre Ă©levĂ© par lui, tu avais appris trĂšs tĂŽt Ă te dĂ©brouiller par toi-mĂȘme en prenant soin de ta mĂšre ayant perdu son compagnon lors dâun raid. Tu es une bonne personne, il aimerait pouvoir compter sur quelqu'un comme toi dans ces relations. En dehors de sa famille, il ne possĂšde pas de vrais liens avec dâautres naâvi. Il est le fils aĂźnĂ©, lâhĂ©ritier Olo'eyktan. Avec un tel titre et des responsabilitĂ©s comme les siennes., Neteyam avait fini par comprendre quâil n'attirait que des loyaux sujets et non pas des amis. Toi, tu ne cherchais pas Ă lui plaire. Tu es et tu reste dans ta propre bulle, ne lui donne lâoccasion de te voir que lorsque tu le dĂ©sires. Tu creuse sa curiositĂ©, tu es un petit mystĂšre quâil aimerait Ă©lucider. Un bourgeon quâil aimerait voir Ă©clore. Il pense souvent quâil aimerait crĂ©er un lien avec toi. Mais lorsquâil y pense, il doute et lâidĂ©e que tu ne veuilles pas de lui le ronge. Tu aurais le droit bien sĂ»r, mais il prĂ©fĂ©rerait que tu lâaccepte dans ta vie, que tu le vois comme un alliĂ©, quelquâun de confiance⊠Un ami.
Lorsqu'il te regarde t'Ă©loigner pour saluer les deux autres guerriers plus adultes, il comprend quâun fossĂ© vous sĂ©pare. Tu es capable de parler, ta voix est douce comme la caresse dâune plume mais le timbre reste clair comme de lâeau de roche. Il se rend compte en tâĂ©coutant que tu aimes faire du sarcasme et des blagues. Il n'aurait jamais soupçonnĂ© ce cĂŽtĂ© de toi qui te donne un point commun avec lui. Lui aussi aime plaisanter, il ressent un sentiment d'injustice. Il voudrait bien comprendre ce qui t'empĂȘche de les approcher, il est certain que tu t'entendrais avec ses sĆurs et avec lui aussi. Il est tellement loin de se douter que son dĂ©sir est aussi le tient. Tu ne pouvais pas lui rĂ©sister, quand vos regards se sont croisĂ©s tu t'es senti fondre. Si vous aviez Ă©tĂ© seuls, tu te serais peut-ĂȘtre jetĂ© Ă l'eau ou mis en Ă©vidence ton intĂ©rĂȘt pour lui. Tu ne sais pas mentir sur tes sentiments.
A défaut de les exprimer de vive voix, c'est ton corps qui parle. Oh ouais, ça, ton corps savait le faire. C'était automatique chez toi, par un simple regard, tu pouvais dire plus que ce que mille mots pourraient prononcer. Salon ta mÚre, c'est ce qui fait ton charme car ton pÚre aussi avait cette faculté, c'est d'ailleurs ce qui a conquis ta mÚre, en plus du fait qu'il était un puissant guerrier. Mais tu ne peux pas y croire, tu n'es pas aussi bien que ton pÚre l'était. Si tu l'étais, tu ne serais pas obligé de contrÎler ton envie de te retourner tout en parlant avec les deux adultes qui supervisent la patrouille du jour ainsi que la prochaine chasse. Tu te concentrais si fort sur ton envie d'y participer que l'excitation te brûlait les doigts. L'un d'eux paru remarquer ta concentration cuisante, la prenait pour de la nervosité, il te donna un puissant coup de main dans l'épaule. La force mit dans ce geste anodin aurait pu plier tes genoux si tes pieds n'étaient déjà pas bien ancrés au sol. Tu avais les compétences adéquates, tout ce que tu avais à faire c'était de t'imposer plus souvent, ta présence serait alors retenue et tes efforts appréciés.
Les diffĂ©rents Ă©changes se sont terminĂ©s Ă l'arrivĂ©e du Toruk Makto, Jake Sully. Si la prĂ©sence de son fils te faisait bouillir intĂ©rieurement, celle du chef de guerre te glaçait sur place. Avec lui, il n'y avait pas de "peut-ĂȘtre" qui tenait. Il fallait ĂȘtre sĂ»r de soi et de ses actions. Tout le monde au sein du clan connaĂźt son histoire, toi y compris. Tu sais que ton pĂšre a combattu Ă ses cĂŽtĂ©s et est mort par loyautĂ©. Tu lui en a voulu quand tu Ă©tais une petite na'vi, il avait survĂ©cu mais pas ton pĂšre. Il avait une famille heureuse et entiĂšre alors que la tienne se dĂ©chirait Ă cause de cette perte. Ta mĂšre en souffrait toujours malgrĂ© ses sourires, elle avait besoin d'ĂȘtre tenue loin des tĂ©nĂšbres dans lesquelles ton pĂšre avait sombrĂ©. Tu avais donc pris trĂšs vite la dĂ©cision de devenir comme lui par amour pour ta mĂšre, par peur de la perdre elle aussi. A cette Ă©poque, malgrĂ© toute ta bonne volontĂ©, tu ne pouvais pas t'occuper d'elle seule, alors les femmes du village s'Ă©taient montrĂ©es prĂ©sentes. Mo'at te prenais dans sa hutte pour t'enseigner l'art de la guĂ©rison afin d'aider ta mĂšre quand elle se nĂ©gligeait. Neytiri Ă©tait trĂšs occupĂ© par ses enfants mais sa porte t'a toujours Ă©tĂ© ouverte par amitiĂ© pour ta mĂšre. Tu n'as jamais cĂ©dĂ© Ă son offre, tu as favoriser ton autonomie pour prouver que vous pouviez vous en sortir. Et un jour, tu lui cĂ©da ta parole.
Le clan fĂȘtait la premiĂšre chasse de Neteyam, tu regardais ta mĂšre danser de nouveau et s'amuser pour la premiĂšre fois depuis longtemps. Neytiri se trouvait prĂšs de son compagnon quand tu es venu leur prĂ©senter tes respects et tu lui as dit que tu voulais ĂȘtre une grande guerriĂšre comme ton pĂšre. Les Ă©poux Sully ne s'Ă©taient pas attendu Ă ce que tu le leur dĂ©clares mais il avaient suspectĂ©s que tu pourrais suivre les traces de ton pĂšre, car c'Ă©tait inscrit dans leur sang. Il Ă©tait naturel qu'il soit dans le tiens aussi. Mais il ne t'ont rien dit que tu ne savais dĂ©jĂ . Jake a agi de maniĂšre dĂ©tachĂ© en te disant que tu devrais travailler trĂšs dur et que tu n'obtiendrais aucune forme de mĂ©nagement en possĂ©dant des lacunes. Ce soir-lĂ , tu avais pris une deuxiĂšme grande dĂ©cision : tu deviendrais une grande guerriĂšre et tu effacerais ce regard de pitiĂ© que les compagnons Sully avaient lancĂ©. Tu n'avais pas besoin de leur compassion, mais tu les respectait tout de mĂȘme parce qu'ils t'avaient poussĂ© Ă te dĂ©passer. Et ils avaient fait Neteyam. Tu ne pouvais que les aimer un peu plus pour cette seule raison.
En bordure de la montagne, vous rejoignez chacun votre banshee. Ton Ikran avait atterri fĂ©rocement dans ton dos. Sa robe possĂ©dait des nuances du jour tandis que son col recevait les reflets de la nuit, laissant les couleurs se mĂ©langer pour former une teinte unique. Une fois le lien effectuĂ©, tu chevauches la crĂ©ature sans tarder et tout de suite, tu concentre ta respiration sur la sienne. En dĂ©posant tes mains autour de sa tĂȘte, penchant ton corps pour que ton buste Ă©pouse son encolure, tu peux sentir sa respiration convenir Ă la tienne. Chaque fois que tu soupires, elle en fait de mĂȘme. Quand tu relĂąches ton souffle, tu la sens se dĂ©tendre. Tu fermes alors les yeux pour lier ta vision Ă la sienne. Tu vois au travers de ses yeux le paysage, la nature et Neteyam en train de monter sur son Ikran, ce qui te fait ouvrir les yeux. Tu restes penchĂ©, ton menton appuyĂ© sur le cou de ta banshee pour le regarder.
L'Olo'eyktan prĂ©vient quâil faut dĂ©coller, tu dĂ©cide donc de couper court Ă toutes tes pensĂ©es folles en t'envolant dans le ciel. La voĂ»te cĂ©leste possĂšde une merveilleuse couleur anthracite, dĂ©chirĂ©e par des nuages. Tu glisse dans les airs avec souplesse, rejoignant Jake en restant dans son ombre, suivant la formation de votre groupe. En tĂȘte, Jake sully et ses fils. Loâak sur sa gauche, Neteyam sur la droite. En deuxiĂšme ligne, les deux autres adultes. A la queue pour refermer les rangs, toi. Le tour de garde fut assez court, c'est au retour que la formation changea pour toi. Les fils Sully avaient Ă©changĂ© leur place avec ceux de la deuxiĂšme ligne, les garçons avaient convaincu leur pĂšre de les laisser se poser dans la forĂȘt alors votre tour se terminait. Vous Ă©tiez censĂ© rentrer, alors vous avez suivi les adultes et tu a Ă©tĂ© appelĂ© Ă te glisser sur leur ligne, rejoignant leur rang pour Ă©couter Mr. Sully te congĂ©die. C'Ă©tait la chance que tu attendais ! Sans hĂ©sitation, aprĂšs l'avoir saluĂ©, tu as commandĂ© ton Ikran pour rejoindre les garçons vers la montagne quâils avaient rejoint. Dâun regard tu parcoures la nature pour tây poser quand tu aperçois leur banshee en contrebas alors qu'ils n'Ă©taient nulle part aux alentours. Tu rejoins la terre ferme en te posant un peu plus loin sur un tronc afin de ne pas attirer l'attention.
En marchant entre les fougĂšres, tous les sons et toutes les odeurs de la nature te parviennent en une seule vague. Tu peux sentir l'herbe chaude sous tes pieds, le parfum enivrant des fleurs venir te piquer l'odorat et loin devant toi, tu entends des voix.
" Lo'ak ! " criait Neteyam.
Tu n'Ă©tais pas sĂ»r d'avoir entendu la rĂ©ponse du second frĂšre mais tu pouvais ĂȘtre certain qu'il s'agissait bien des fils Sully. Tu n'as pas attendu trĂšs longtemps pour suivre la direction de sa voix. Elle Ă©tait ton guide dans le chemin forestier, tu grimpa par-dessus un tronc, dirigeant ton regard vers les traces qu'ils avaient laissĂ©s dans la terre. Tu traques les deux na'vi avec beaucoup d'amusement mĂȘme si le faire Ă leur insu n'Ă©tait pas quelque chose dont tu pouvais t'estimer fiĂšre. Ce n'Ă©tait pas ta premiĂšre fois dans ces bois. Tout comme ce n'Ă©tait pas non plus nouveau pour toi de les suivre comme s'ils Ă©taient tous les deux tes proies. Ce n'est pas comme ça que tu les vois, tu es juste curieuse de savoir oĂč ils vont et en mĂȘme temps, tu as envie de voir Neteyam. Le seul souci c'est qu'il ne sait pas que tu viens le voir Ă chaque fois que tu en a l'occasion. Quand il doit chaperonner ses sĆurs, son frĂšre ou qu'il chasse. Tu restes Ă une longue distance et tu te contente de rester cachĂ©s dans les arbres.
Aujourd'hui, tu dĂ©cide de rester prĂšs du sol Ă cause des hautes tempĂ©ratures qui sont nettement moins forte Ă terre. Au bout de quelques minutes de marche tu parviens Ă reconnaĂźtre le chemin qu'ils empruntent car tu tends l'oreille. Tu reconnais immĂ©diatement le son d'une chute d'eau. Tu t'approche doucement, le dos courbĂ© en rejoignant le derriĂšre d'un buisson fleuri. Tu le renifles pour sentir des notes pimpĂ©es par un cĆur fruitĂ© de fleurs de Yovo gorgĂ© de fraĂźcheur et un fond chaleureux de musc sensuel. Cette odeur irrĂ©sistible pourrait facilement te faire oublier ce que tu es venu faire ici mais les rires que tu entends te sortent de ta transe. Tes yeux survolent ta cachette pour se poser sur les deux na'vi qui sont dos Ă toi.
Lo'ak venait de plonger dans l'eau, intimant son frĂšre Ă le suivre alors que ce dernier prĂ©fĂ©rait s'asseoir au bord pour l'observer. Il ne reste pas assez longtemps sur ses positions, la chaleur de l'aprĂšs-midi se faisait plus Ă©touffante et Neteyam avait beau ne rien laisser paraĂźtre, il transpirait. Une gouttelette venait de couler sur sa joue, alors qu'il l'essuyait ses oreilles se redressĂšrent Ă cause d'un bruissement dans son dos. MĂ©fiant de nature, il se redresse, jetant un regard Ă son frĂšre qui nageait vers la cascade et recula l'air de rien pour enquĂȘter sur le bruit. Par prĂ©caution, il porta une main sur le manche de son poignard et approcha du buisson ayant attirĂ© son attention. Une fois proche, son autre main Ă©carte les feuilles et il brandit son arme pour se retrouver seulement face Ă l'envolĂ©e de plusieurs lĂ©zards-Ă©ventail.
Toi, tu l'avais Ă©chappĂ© belle en reculant dans ta position accroupie, tu avais rampĂ© dans la terre pour te glisser sous les racines d'un arbre et observĂ© son approche. Tu ne manque pas de le trouver sĂ©duisant avec son air renfrognĂ© et sa position de guerrier prĂȘt Ă l'attaque. Mais tu te rappelles bien vite que ce ne serait pas arrivĂ© si tu n'avais pas eu la bĂȘtise de te pencher pour fixer ses muscles dorsaux. Enfin, tu Ă©tais sorti d'affaires pour l'instant. Tu pouvais donc relĂącher la pression sur tes Ă©paules et regarder Neteyam marcher vers son frĂšre pour plonger Ă son tour dans l'eau. Les voir sâamuser de la sorte te donnait envie de le rejoindre, tu avais soif Ă cause de cette chaleur et du stress que tu venais de subir.
NĂ©anmoins, tu n'Ă©tais pas assez dĂ©shydratĂ©e pour te risquer Ă les rejoindre. Tu ne saurais pas trouver d'excuse Ă ta prĂ©sence ici et leur dire la vĂ©ritĂ© Ă©tait trĂšs loin d'ĂȘtre une option envisageable. Alors, tu te dĂ©cides Ă patienter en arpentant du regard les deux Sully faire une bataille d'eau jusqu'Ă ce que le temps passe et qu'ils se dĂ©cident Ă sortir pour sĂ©cher au soleil. Quand tu te rends compte qu'ils se sont dirigĂ©s vers ton arbre pour grimper aux branches et y accrocher leur Ă©quipement et garder uniquement leur pagne. Lo'ak est le seul Ă ne pas redescendre, tu notes. Tes yeux suivent la silhouette de Neteyam s'Ă©loignant dans les bois et mĂȘme si ton envie de le suivre est forte, tu penses d'abord Ă ta propre santĂ© en te glissant hors de ta cachette pour faire le tour du point d'eau. Un regard par-dessus ton Ă©paule t'indique que le second fils de Toruk Makto est restĂ© perchĂ© en haut de l'arbre, car tu aperçois son corps reposĂ© sur une branche. Tu dĂ©cides de rejoindre le pied des chutes en dĂ©valant petit Ă petit le rebord pour t'y plonger. Comme la discrĂ©tion sur ta prĂ©sence devait absolument t'ĂȘtre garantie, tu n'as pas retirĂ© ton Ă©quipement de vol en plongeant sous la cascade.
Lorsque ton corps rencontre cette fraĂźcheur liquide, tu te sens revivre, adressant une pensĂ©e Ă Eywa pour cette bĂ©nĂ©diction. Tu nage vers le fond, guidĂ© entre les rochers par la prĂ©sence de cristaux et remonte Ă la surface pour recevoir une douche d'eau sur le dessus de ta tĂȘte. Par rĂ©flexe, tu passes une main dans tes long cheveux dĂ©corĂ©s par des perles et quelques plumes. Ta coiffure tenait parfaitement et heureusement, tu ne voudrais pas avoir l'air nĂ©gligĂ© en rentrant chez toi ce soir ou croiser une certaine personne dans cette apparence. Tu avance un peu plus pour rejoindre le pied de la montagne derriĂšre les chutes pour sentir un banc dans la roche sur laquelle tu t'installe dans un soupir avant de te figer. Face Ă toi, Ă travers le rideau de la cascade, tu te rends compte que tu n'es finalement plus seule. Quelqu'un avait dĂ©cidĂ© de revenir faire trempette.
Et ce quelqu'un, c'Ă©tait Neteyam.
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