#puis dit au docteur :
Explore tagged Tumblr posts
lolochaponnay · 1 month ago
Text
Un vieil homme de 70 ans est allé à un test de sperme. Le docteur lui a donné une bouteille pour collecter le sperme. Le lendemain, l'homme arrive avec la bouteille vide, puis dit au docteur : -J'ai essayé avec ma main gauche, puis ma main droite. Ça n'a pas marché.  Puis ma femme a essayé avec sa main gauche et sa main droite. Ça n'a pas marché. Puis ma belle-fille a essayé avec sa main gauche et droite, puis avec sa bouche. Puis la femme et la fille du voisin on essayé de la même façon, et puis on ne peut TOUJOURS PAS ouvrir cette maudite bouteille !
0 notes
sinvulkt · 5 months ago
Text
Edmond se tournait et se retournait sur la pauvre paille qui lui servait de lit depuis les longues années qu’il habitait le cachot. Il avait perdu le compte des jours quelques temps après sa captivité, mais cela devait faire plusieurs années, n’est-ce-pas ?
Une nouvelle crampe lui crispa le dos, et il changea encore de position dans le vain espoir de dénouer le nœud qui s’y était formé. La douleur ne partait pas, et le sommeil ne vint pas, alors, abandonnant l’idée de dormir, Edmond se leva et se mit à marcher en cercle.
Depuis quelques jours, une sensation de brûlure pulsait entre ses omoplates. Au départ, le dérangement n’était que très faible, la sensation à peine plus perturbante qu’une piqûre de moustique. Mais la situation avait petit à petit empiré, et désormais sa peau le démangeait terriblement. Edmond se serait bien gratté d'avantage, mais il en avait déjà irrité la zone douloureuse jusqu’au sang, et la moindre touche aggravait le sentiment de brûlure qui grouillait sous sa peau.
Il se résolut d’en parler au porte clé qui venait lui apporter sa soupe.
Ce dernier, mis au courant de l’étrange maladie qui frappait le prisonnier et soucieux de ne pas voir sa mort prélevée à sa paye, s'empressa de signaler à Edmond de se déshabiller.
“Je ne vois rien,” dit le geôlier une fois qu’Edmond eut enlevé sa chemise pour révéler son dos nu.
“Regardez encore !” demanda Edmond, désespéré de trouver la source du mal qui le tourmentait tant.
Le geôlier se pencha, lorgnant le dos du prisonnier. Les repas frugales de la prison d’If avaient rendu le prisonnier maigre, les os saillants, mais l’on pouvait encore apercevoir la silhouette des solides muscles qu’on les marins.
“Non, vraiment. Je ne vois rien.”
“Merci.” soupira le prisonnier en s’écartant tristement. 
Le geôlier n’avait aucune raison de se moquer de lui. Après tout, les portes-clés n’avaient que peu d’intérêt à le voir mort, emprisonné comme il était. C’était donc que l’homme disait la vérité, et que le mal qui déchirait le dos d’Edmond demeurait invisible.
Une fois son geôlier parti, promettant qu’il appellerait le docteur si les choses s’aggravaient, Edmond écarta sa soupe. Il n’avait pas faim. La douleur qui vrillait juste sous ses omoplates s'étendait maintenant sur toute la longueur de son torse, comme pour se moquer de sa faiblesse. Pis encore, une nausée montante rendait ses mains tremblantes et sa vue trouble. Même si son estomac avait été d’humeur, Edmond doutait qu’il eut pu porter la nourriture à sa bouche. 
Le reste de la journée s'échappa dans un flou nauséeux. Edmond était trop fatigué pour bouger, mais trop agité pour rester allongé. Il alternait donc entre les deux, plongé dans une vague brume cauchemardesque. Son cœur battait la chamade et son corps était secoué de frisson, sans que cela n’empêche la brûlure annexant son échine de le tourmenter. La fraîcheur de la nuit, loin de le soulager, empira encore son malheur.
Des vagues de crampes successives mettaient son dos à l'agonie, le laissant pantelant sur le sol froid et humide. Le moindre frottement était décuplé. Bientôt, Edmond ne supporta plus le tissu rêche de ses haillons, et avec un de ces regains d’énergies que la fièvre donne parfois, il s’empressa de les jeter au sol.
Edmond ne savais combien de temps il passa dans cet état intemporel que donne la maladie. Quelque chose de froid et gluant s’était mis à lui couler sur le dos, mais il n’avait plus la force de vérifier si ce n’était que de la sueur, ou bien du sang. Une sensation de douleur bien plus pénétrante que les autres le traversa, et Edmond ne put réprimer un hurlement.
Puis un second. 
Puis un troisième. 
C’était comme si une valve fermée s’était soudainement ouverte, libérant l'expression de toute la souffrance qui le secouait et lui coupait le souffle. Edmond se recroquevilla sur le sol, front a terre, tirant désespérément sur ses cheveux pour échapper à la torture qui le dechirait de l’intérieur. Des pas accoururent, mais perdu dans la fièvre et la douleur, Edmond ne les entendit pas.
“Mais bon sang, que se passe t-il ?!”
On le secoua, sans pouvoir provoquer plus que des gémissements. Puis, les doigts charnus qui l'avaient malmené le quittèrent. Il y eut une pause, puis d’autres cris; qui cette fois ne venaient pas de lui; puis une main contre son épaule alors qu’il tentait de se retourner pour frotter la zone brûlante au sol délicieusement froid.
“Ne bougez pas.” 
Edmond s’accorda très bien de cet ordre. Maintenant que la personne le disait, se retourner semblait en effet une bien mauvaise idée. Et puis, le sol était trop froid. Il préférait bien plus la main chaude qui était restée posée près de son cou. Une seconde vint se poser sur son front. Elle s’en éloigna presque aussitôt, et Edmond regretta la fraîcheur qui l’avait brièvement envahi à son contact.
“Mais c’est qu’il a de la fièvre, ce pauvre garçon.” Le geôlier leva la voix. “Appelez un médecin !”
Le cri, trop fort pour les sens surmené d’Edmond, lui fit l’impression d’un ballon qui éclatait dans son crâne. Ses gémissements reprirent de plus belle.
“Que se passe-t-il?” Une nouvelle voix lui transperça les tympans.
“Le prisonnier est souffrant.”
“Ça, je l’entend bien qu’il est souffrant. Cela fait une demi-heure qu’il nous casse les oreilles. Mais avez-vous une idée du mal?”
“Non. Ce matin, il parlait encore.”
Le flot de parole fut bientôt enseveli sous la vague de fièvre qui l'envahit comme un nouvel accès de crampe, tel une cruelle lance brûlante qui le perça de toute part. Sa gorge était rauque à force de crier, et le son ne sortait que par accoups étranglés. 
“Allons, allons.”
Les porte-clés, bien embêtés, tentèrent tant bien que mal d’aider lorsque ce dernier se releva sur ses coudes pour tousser. Ils ne réussissent qu'à le perturber davantage. 
Edmond voulait fuir toutes ces mains inconnues, bien trop moites, bien trop épaisses pour être celles qu’il cherchait. Il se languissait de la douceur du toucher de Mercedes contre sa peau. De lointains souvenirs remontaient le long de ses pensées confuses, prenant le pas sur les voix bien réelles qui l'entouraient.’
“C’est le milieu de la nuit. Ne peut-il pas tenir jusqu’au matin ?” l’une d’entre elle grommela. “C’est la prison, ici, pas l’hôpital.”
Une douleur, au moins dix fois plus terrible que toutes les autres, foudroya Edmond. Un cri final s’échappa de sa gorge desséchée. Il lui sembla, l’espace d’un instant, que sa peau se déchirait, mettant à nu la structure osseuse de ses omoplates et de sa colonne vertébrale. Que tout le sang de son corps se déversait le long de cette plaie sanglante, le laissant vide, sans vie.
Aussi vite qu’elle était apparue, la tortueuse agonie s’en alla, ne laissant derrière elle que les traces lancinantes d’un écho. Edmond était trop faible pour remarquer le silence qui pesa soudain entre les deux geôliers.
Le premier se tourna vers le second.
“Dites au médecin que c’est pour un ange. Il viendra.”
Le monde semblait bien lourd à présent, sans l’aiguille de la misère pour le garder éveillé. Les paupières d'Edmond se fermèrent au rythme des pas qui s’éloignent. Exténué, à bout de souffle, il ne réfléchit pas deux fois au répit qui s’offrait à lui et se laissa tomber dans le clément oubli de l’inconscience.
15 notes · View notes
th3lost4uthor · 10 days ago
Text
Les nouvelles expériences d’une vie sans fin (10.3/15)
Écartez-vous ! Mais écart-Qilby !!
C-chibi ? Mina ? Que se passe-t-il, enfin ?
C’est Nora et Efrim ! Balthazar vient de les retrouver à quelques lieux de leur zone d’exploration !
Une créature inconnue les a attaqués et- ! Ils…
.
Oh Déesse…
.
Hey…
Nora, tu-…?
Ouais, je sais… Je suis dans un sale état, pas vrai ?
C-combien de temps, notre cher-koff docteur me d-donne-t-il ?
E-et Efrim ? Comment v-va mon frère ? Je… Je ne peux plus…
Il… Efrim nous a quitté, Nora.
Aaah, je vois… C’est une bonne c-chose alors… Que je puisse le rejoindre aussi vite… Il… Il doit se sentir seul là-bas !
Nora, je suis tellement- !
Shhh, pas de ça maintenant Qilb’s…
Nora…
On… se revoit à la p-prochaine incarnation, hein ?
.
A-au fait… Je suis désolé, pour… Tu sais. « La dernière f-fois »…
N’en parlons plus. C’est… déjà oublié.
Héhé, j’ai comme un doute là-dess-koff !
Ne parle pas trop, Nora. Est-ce que le filtre a fait effet ?
Oui, Doc’, c’est p-parfait… Je… Je n’ai plus mal, je… Je ne sens plus rien.
Hey… Qilby ?
.
Tiens-moi la main, t-tu veux… ?
Tumblr media
Planète à deux sauts ! Taux de Wakfu : élevé ! Je répète : planète viable à deux sauts ! Préparez-vous au Zaap interkrosomique ! Décollage dans… !
C-comment… ? Mais enfin, il n’y avait encore aucun signal la semaine passée ?
Compte tenu de la vitesse de rotation du caillou sur lequel on s’est posé la dernière fois, il ne serait pas étonnant que l’on se soit rapproché plus vite que prévu de-
Oh ! Les garçons, venez voir !
On arrive, Mina. Pas la peine de crier…
Non, non ! Tu ne comprends pas : regarde ! Jamais n’avions nous rencontré de planète avec autant de Wakfu ! O-on peut presque le sentir d’ici… !
Elle a raison Chibi. Et regarde donc ces contours : il y a de l’eau et des plaines à n’en point douter…
Je suis d’accord avec Glip. C’est tout bonnement… Incroyable.
C’est un miracle oui ! Avec autant de Wakfu, les Dofus de Yugo, Adamaï, puis de Nora et Efrim devraient enfin pouvoir se régénérer ! C’est merveilleux, Chibi, tu ne trouves pas ?
Oui, c’est comme si… notre Déesse avait enfin entendu nos prières.
.
.
Bien, Balthzar est en train de voir à la supervision du village, tandis que Phaéris et Grougaloragran prêtent leur force aux champs. Nous ne connaissons pas encore le cycle de cette planète, mais au regard du Wakfu qui l’inonde, et avec un peu de travail, nous pourrions avoir nos premières récoltes d’ici deux ou trois mois.
Les autres ?
Mina a dit qu’elle voulait débuter la construction d’un Temple de Sauvegarde le plus tôt possible. Quant à Chibi, il est parti explorer les environs pour s’assurer qu’il n’y avait pas de dangers.
Et il est parti… seul ?
Oui. Tu t’inquiètes pour lui ? Je peux nous téléporter vers-
Non, non… Ce ne sera pas nécessaire, Glip. Je te remercie pour ce rapport. Cela a beau être assez protocolaire, j’apprécie que… Enfin bref.
Je vais prendre cela comme un compliment, mon frère.
Haha, oui, faisons comme cela !
.
Il va falloir que je retourne auprès des enfants. Avec les adultes qui travaillent de l’aube au soir, les pauvres sont perdus.
Va donc, mon frère… Pour ma part, il y a quelques réparations sur le Zinit qui méritent mon attention.
C’est tout de même incroyable qu’après plus d’une centaine de planètes et autres astres visités, nous ne soyons toujours pas parvenus à le faire atterrir en douceur.
Il faut croire que les corps vides ne sont pas aussi maniables que les vivants…
Mais dis-moi, Qilby. Pourquoi donc réparer le vaisseau ?
Je… te demande pardon ?
Eh bien, tu peux voir comme moi la magnificence de ces terres. Jamais n’en avions-nous vu de si… propices. Alors pourquoi… Pourquoi partirions-nous, je te le demande ?
Glip… Nous devons partir. Peut-être pas demain, ou dans six mois, ni même un an, mais… Il faut que nous partions. Orgonax ne-
Orgonax ? L-le Méchasme ?! Comment peux-tu savoir que- ?!
Je le sais, Glip. C’est tout. Il va revenir et nous… Nous ne sommes pas encore prêts.
.
.
Il arrive…
Je le sens.
Tumblr media
Haa… Houa… ! Ouaaah !!
Oh, allez, allez, c’est fini, ne pleure pas ! Viens donc par ici, Yugo : viens dire bonjour à toute ta famille !
Notre cher petit frère est enfin de retour parmi nous…
Et Adamaï avec lui. Regarde comme ils refusent de se séparer l’un de l’autre.
Haha, à peine réincarnés et déjà inséparables ! Oh, il va falloir voir à- !
Tout est déjà préparé, Mina, cela va faire des semaines que tu y vois.
Oui, c’est vrai ! Bien, allons montrer ces deux adorables bouilles d’ange à notre peuple ! D’ailleurs, où est passé Qilby ?
Hum, c’est vrai que maintenant que tu le mentionnes, il-
Il n’avait qu’à être présent.
Chibi…
Non. Allons donc présenter Yugo et Adamaï aux autres. Il pourra toujours venir les saluer plus tard.
.
Ce n’est pas comme si le bien de sa famille l’importait de toutes manières…
.
.
Ahi… ? Aaah ! Ah !
Bonjour à toi aussi, Yugo. Ou plutôt bonsoir ?
Rooorg… !
Et Adamaï, bien entendu ! Pardonne-moi, héhé…
Alors, comment se fait-il que vous soyez encore éveillés aussi tard, hum… ? J’espère que vous n’avez pas trop donné de fil à retordre à notre très chère sœur.
Iiiha… ?
Tout à fait : Mi-na ! Et tous les deux, vous allez être très sages avec elle, car en plus de vous deux, elle a beaucoup de responsabilités… Beaucoup trop si vous voulez mon avis. Certaines que je pourrai… Mais il y a des choses dont je dois m’occuper en priorité. Pour le bien de tous. Pour vous deux. Et aussi pour… Pour…
Oha… ! Ié ! Ié !
Ola, doucement : tu vas nous réveiller toute la maison avec ce raffut ! Enfin, tout le palais vu les plans de Chibi… Pourquoi fallait-il qu’il fasse tout aussi grand ? Déjà que cela m’a pris des heures pour trouver cette chambre dans ce dédale de-
Aaah! Ah!
Roooh…!
Voilà, voilà, j’arrive tous les deux ! Viens donc ici Yugo, et toi Adamaï, et… parfait ! Alors… qui veux une histoire pour faire de beaux rêves ?
.
Tout va bien.
Je suis là…
.
.
Cette fois-ci, je n’échouerai pas.
Tumblr media
Et comme vous pouvez le constater, si j’ajoute ce réactif à la solution que nous avons juste ici…
On obtient un précipité orange ! Comme la solution d’arnica de la dernière fois !
Excellent, Méryllin : très bonne réponse !
Oh, P-professeur… ! Professeur !
Oui, Alian ?
Qu’est-ce qui se passe si jamais on ajoute le flacon violet là-bas ?
.
Bon, pour la suite de cette expérience, je vais avoir besoin de quelques ingrédients supplémentaires, voyons… Nillie ? Peux-tu aller me chercher les plants de Sativus qui se trouvent sur l’étagère juste derrière toi s’il-te-plait ? Il doit encore m’en rester quelques-uns de notre… ancien monde. Fais-y attention. Merci. Alors, comme nous avons pu le voir la semaine précédente, les solutions acides ne-
Hum… ? Professeur Qilby ?
Oui, qu’il y a-t-il ?
Qu’est-ce que vous appelez notre… « ancien monde » ?
.
Non, ce n’est pas possible.
.
E-enfin, notre monde… ! D’avant la première Grande Guerre ? Je sais que cela remonte à plusieurs cycles à présent, mais sûrement vos parents…
Maman m’en a jamais parlé… Et toi ?
Bah non… Mon père non plus d’ailleurs…
Allons les enfants, vous me faites marcher là… Les grandes créatures de métal, les Enfants d’- les M-méchasmes.. ? Sûrement que-
Des géants en métal ?! Wah, ça fait… ça fait super peur !
M-mon grand frère m’aurait dit s’il en avait vu !
E-et le Professeur Glip ? Hein ? Sûrement vous-a-t-il raconté que- ?!
T-tout va bien Professeur Qilby… ?
Moi ça ne me dit rien du tout pourtant.
Mais pourquoi il nous raconterait ça, après tout…
.
… C’est ici notre monde.
.
.
Vous… Vous pouvez ranger vos affaires, les enfants.
.
Le cours est terminé.
Tumblr media
Mais qu’est-ce que tu leur as fait ?! Réponds-moi !
Q-qilby, calme-toi voyons ! Tu vas le- !
Ne te mêle pas de ça Mina ! Tu l’as aidé, pas vrai ?! Et Glip aussi ! Balthazar, Phaéris, Grougaloragran ! Tous autant que vous êtes !
Nous n’avions pas le choix mon frère.
Le choix ?! Quel choix ?! Tu sais ce qu’il va se passer si on reste ici, Chibi ! Vous le savez tous ! Si on reste ici, alors Orgonax va- !
Orgonax… ? Héhé, héhé…
.
Qui est Orgonax, Qilby… ?
.
.
Glip, il faut que… ! Les enfants, ils…
Je ne vois pas de quoi tu veux parler. Nous sommes ici chez nous, après tout. Qui nous dit que… Que cela va arriver ?
Mais enfin- ! Mina… ? Tu ne vas pas me dire que toi aussi, tu… ?
J-je suis désolé, Qilby. Mais tu dois essayer de nous comprendre… Nous avons agi pour le bien de-
Le bien de qui ? Vas-y, dis-le ! De notre peuple ?! Et que fera-t-on quand il arrivera, hein ?! Comment allons-nous nous défendre contre lui ?
Mais enfin, Qilby, nous n’aurons pas besoin de nous défendre…
.
Les Méchasmes n’ont jamais existé.
Nous n’avons jamais connu la guerre.
Nous sommes un peuple pacifique, aimé par notre Déesse.
Nous sommes un peuple élu, Qilby,
sinon, pourquoi aurions-nous dû subir tout cela ?
.
V-vous… Vous avez trahi notre mémoire.
.
.
Ce que j’ai fait… ? Allons, Qilby…
Je n’ai fait que suivre ton exemple.
.
Frères indignes.
Tumblr media
Waaah ! Hey, dis, dis, dis, grand-frère ! Qu’est-ce que c’est que tout ça ?!
Ne touche pas à ça. Ce n’est pas un jouet Nora.
Mais euuuh… ! Pourquoi tu prends tout ça avec toi, hein ?
J’en ai besoin.
Besoin pour quoooiiii…. ?
Pour quelque chose que j’aurai dû faire il y a longtemps.
.
Bon. Soit sage en mon absence d’accord ? Je reviendrai avant le lever du soleil. Si jamais tu as besoin de quoique ce soit, tu peux toujours aller voir Mathylda, la mère d’Erune qui habite la grande maison avec le toit rouge. Efrim ?
Ruick… ?
Veille sur ta sœur, s’il-te-plait. Et cesse de manger ces gâteaux, veux-tu ? Tu vas finir par te rendre malade.
T’inquiète pas ! Je ferai attention moi !
Hé, hé… Merci, petit scarabée, je suis désormais soulagé de vous savoir entre de bonnes mains.
Scarabée ?! Pourquoi un scarabée ?! C’est moche et c’est dégoûtant ! Moi je préférerai être une fleur !
Les scarabées sont des êtres très forts malgré leur apparence tu sais…
Humpf !
Mais, je suppose que tu as raison, hé, ils ne sont pas tous très… esthétiques.
.
Nora, prend soin de toi et de ton frère durant mon absence et… de Yugo également.
Yugo ? Mais enfin grand frère, Yugo est le Roi maintenant ! C’est lui qui veille sur nous : il n’a besoin de personne pour le surveiller lui !
Oh, détrompe-toi, petite fleur…
.
.
C’est peut-être la couronne qui fait d’un homme un roi…
Mais elle ne transforme pas les enfants en adultes pour autant.
Tumblr media
Oh tiens, quelle bonne surprise… ! Conseiller Qilby, comment vous portez-vous en cette magnifique soirée ?
Votre Majesté ? Mes excuses, je ne vous avez pas-
Pas de ça entre nous voyons. J’ai beau avoir été désigné pour protéger notre peuple, nous sommes avant tout une famille, n’est-ce pas ?
Tout à fait.
Mais dites-moi, pure curiosité… Où vous dirigiez-vous d’un pas si pressé ?
Oui… Où vous rendiez-vous donc ainsi ? Ni Balthazar ni moi-même ne vous avons vu lors du dernier Conseil. Ni lors de la cérémonie officielle d’intronisation…
Allons, allons Adamaï, pas besoin d’être aussi direct ! Haha !
.
Je suis certain que Qilby n’a rien à nous cacher.
.
Jamais. Votre Majesté…
Tumblr media
Aaah… Aaaah… Maudite montagne… Chibi, pourquoi… Pourquoi est-ce qu’il fallait que tu viennes te terrer ici en particulier ? De toute la surface du globe, il fallait que tu viennes ici ? Franchement ! Parfois je me dis que tu le fais exprès pour m- !
.
Qu’est-ce que… Qu’est-ce que c’est que ça… ?
Ah !
Elle bouge ! Et elle- ?! Cette plante- !
Alors tu sais, hein frangin ?
Chibi ?!
.
.
Explique-toi, Chibi ! Qu’est-ce que c’est que tout ça ? D’abord l’interdiction du Zinit, puis l’amnésie collective, le couronnement de Yugo, et maintenant…
Une plante consciente ?
Et alors… ? Tu t’es bien lié d’amitié avec des tas de ferrailles vivants ! Pourquoi ne pourrai-je pas en faire autant avec un pissenlit ?
C’est plus que ça, Chibi…
Évidemment que tu as compris…
Tu as toujours été trop intelligent pour ton propre bien.
Pour notre bien…
.
Un pacte. Sa vie contre notre protection.
Elle ne nous protègera pas d’Orgonax et tu le sais très bien…
Oui, c’est vrai. Mais pour un temps… Cela aura fonctionné.
Pour un- ?
Tu sais, Qilby, je te plains. Sincèrement. J’ai essayé, moi aussi…
.
D’oublier.
.
Je ne peux… plus vivre avec ça, Qilby. Je me suis rendu compte que… que tu avais raison. On aurait pu faire autrement, là-bas, sur… sur notre monde.
Chi-
Mais j’avais peur. Peur de tout perdre à nouveau. Peur de ces créatures qui nous étaient en tout point étrangères… J’avais peur qu’Elle ne nous vienne pas en aide. Notre Déesse… Mère. Je ne voulais pas croire qu’elle puisse… ne plus nous aimer au point de nous laisser souffrir à ce point.
C’est pour ça que, ton truc-là, ton… « don ». Je crois que je ne voulais pas y croire non plus. C’est plus simple, pas vrai ?
.
Accuser plutôt que croire.
.
Elle… Elle ne me répond plus, Qilby. Avant, je… Je pouvais entendre sa voix… J’étais son prophète après tout ! Mais maintenant, je…
Je suis fatigué, Qilby…
.
Là-bas, dans le Kosomoz, tout était si… silencieux. Si paisible. Si… vide.
.
Elle… Elle nous a abandonnés, pas vrai… ?
.
Chibi… On peut encore tout arranger. Il suffit que tu en donnes l’ordre, et les autres te suivront ! Ils t’ont toujours suivi ! On peut encore partir, Chibi, encore lui échapper, ne serait-ce qu’une fois de plus !
I-il ne me reste plus que quelques calculs à faire ! Trois équations de r-rien du tout et on pourra le vaincre ! Je te le promets ! On va finir par y arriver !
Hé, hé…
Chibi… ?
C’est ça ton problème, frangin. J’ai peut-être choisi de baisser les bras, mais toi, ton erreur, c’est de continuer à croire que la fuite peut tout résoudre… Qu’il suffit de ne pas se retourner et de continuer à avancer…
Chibi ? Qu’est-ce que-Chibi ! La falaise !
Mais tu dois savoir qu’on ne peut pas toujours échapper à ses fautes passées...
Chibi, reviens vers moi ! Reviens, Chibi ! S’il-te-plait !
.
Et je vais t’en faire la démonstration.
CHIBI !!
.
.
Et merde…
Tumblr media
Conseiller Qilby ! Le Roi Yugo et la Cour vous somment de- !
Ça suffit, Phaéris : tu crois vraiment qu’il va nous ouvrir la porte et se rendre gentiment ?! Qilby ! Il est temps d’assumer tes crimes contre le peuple éliatrope !
.
Encore… Quinze petites secondes…
.
Très bien ! Tu l’auras voulu. Phaéris ?
Prêt, Adamaï.
Alors, allons- Arck !!
Adamaï ?!
.
C’est trop tard.
Il arrive…
.
.
Je le sais.
Tumblr media
Le Conseil a été réuni ce jour afin de pouvoir juger le cas de l’accusé ici présent pour le vol et l’utilisation proscrite d’un artefact ce afin de-
Oh, épargne-nous donc ces banalités juridiques, Glip, et-Ack !
Silence, Traître !
Ne m’appelle pas comme ça, tu- !
N’oblige pas Phaéris à t’arracher ton autre bras pour que tu tiennes tranquille.
Qilby.
Tss… Oui, Votre Majesté ?
Qilby, je t’en prie, n’aggrave pas ton… ton cas.
Aggraver mon cas ?! Hahahaha, ça c’est la meilleure blague du siècle ! Que dis-je ? Du millé- !
Tu… as tué… ADAMAÏ !!
Ça…
.
Ça en valait la peine.
.
Comment… ? Comment as-tu pu nous faire ça, Qilby ?
Je n’ai fait qu’accélérer les choses. Tout était déjà écrit, et vous le saviez tout autant que moi ! Peut-être maintenant accepterez-vous de voir la vérité en face ?
Et Shinonomé ? Que penserait-elle de toi si elle- ?
Je t’interdis de parler de ma sœur !
.
Tu n’as pas le droit de me demander ce que cela fait de perdre quelqu’un…
.
Bien… J’en ai assez entendu.
Tu pourras remercier Mina. Au moins auras-tu été un minimum présentable pour ton dernier jour parmi nous.
.
.
Mais, Yu-, je veux dire Roi Yugo, qu’allons-nous… ?
On ne peut pas l’enfermer dans les geôles du Palais : il saurait s’en échapper. Et puis, l’on m’a rapporté que des gens en ville s’était ralliés à… à sa cause en quelques sortes – certains… se souviennent encore.
Je vois. Eh bien, il n’y a qu’une solution dans ce cas-là.
N-non, tu ne penses pas à… ?
Hum… ?
Même Chibi avait dit que… Avec tout mon respect, Yugo, tu… Tu n’es pas prêt pour ouvrir un tel portail.
Tu n’y penses pas, petit Roi…
J’ai pris ma décision.
.
.
.
Qilby, en vertu des pouvoirs qui m’ont été conféré par mon prédécesseur et par respect pour la confiance de notre peuple…
Ha… Non… !
Moi, Yugo, Roi des Éliatropes…
Ha, ha… Pitié… ?
Et avec l’appui du Conseil réuni ce jour…
Ha, haha…
.
Te condamnes à la Dimension Blanche.
PITIÉ !
.
.
Haha, hahaha ! Hahahahaha !!!
Tumblr media
Ha… Haha…
Ha…
.
.
Hey…
.
Shinonomé ?
.
Shin’ ?
.
Comment… ?
.
.
Comment en est-on arrivé là, Shin’ ?
~ Fin de la partie 3/4 du chapitre 10
5 notes · View notes
charlastorfrenchlove · 6 days ago
Text
M'as tu piégés Princesse ? chapitre 1
Tumblr media
Chapitre 1 Baduum
"BADUUUM BADUUUUUUUM "
Cela fait déjà quelque temps qu'Alastor avait remarqué les mouvements anormaux qui se jouent dans sa poitrine et ce phénomène ne se produit uniquement quand il est en présence d'une certaine princesse des Enfers . Sans qu'il n'arrive à percer comment la jeune blonde s'y prenait pour provoquer une telle réaction physique . Il l'aurait remarqué si la fille de Lucifer avait utilisé un quelconque sort sur lui , après tout il s'y connaissait suffisamment en magie et en pouvoir démoniaque pour voir si quelqu'un essaie de lui faire du mal . Mais il n'a jamais rien décelé chez la blonde et il n'avait pas envie d'aller voir un docteur car le seigneur suprême savait très bien qu'il n'était pas souffrant donc à quoi bon .
Les étranges symptômes se sont enfin arrêtés au bonheur de ce dernier , il va pouvoir se concentrer sur autre chose . Il marche donc avec les deux mains dans le dos tout en fredonnant un petit air de musique , bien heureux que ses étranges symptômes se soient calmés dans le couloir il croise la compagne de la princesse marchant d'un pas énervé. Le démon rouge se demande bien ce qui a bien pu provoquer la colère de l'ancienne  exorciste.
-Dit donc très chère , j'ai pu vous entendre depuis l'autre bout de l'hôtel qu'est ce qui vous met dans un état pareil ? * demande-t-il d'un ton moqueur*
La concernée lance un regard rempli de dédain pour le rouge , se demandant bien qu'est ce qui lui prend pour qu'il en vienne à se mêler de sa vie . Puis au dernière nouvelle il ne s'est vraiment intéressé à son bien être donc pourquoi il le ferait soudainement , Vaggie claque donc la langue contre son palais et balance ses longs cheveux en arrière .
-En rien ce qui te concerne , tu ne devrais pas faire ton boulot de gestionnaire au lieu de glander comme un gland ? * demande -t-elle de manière agressive*
-Ce que je m'apprêtais à faire mais vos pas agressif m'ont détournés de mon objectif principal * réplique le démon aussi sec*
Un léger grognement s'échappa des lèvres de Vaggie fortement contrariée que ce démon de malheur ait réponse à tout et avec facilité en plus . Bien qu'il avait raison ce n'est pas pour autant qu'elle allait se confier à lui il ne manquerait plus que ça . De ce fait, il valait mieux pour elle de mettre un terme à cette discussion qui mènera de toute façon à rien. Elle passe devant lui pour bien lui faire comprendre qu'elle ne voulait pas continuer à tailler le bout de gras avec lui . Pour elle cet homme enfin ce démon était comme une menace pour le bien être de l'hôtel de sa princesse et pour la princesse en soit .
-Peut-être mais ce n'est pas mon problème si tu te laisses distraire aussi facilement , ce n'est pas mon problème * déclare l'ancienne exorciste*
Puis elle reprend son chemin comme-si rien n'était , Alastor ne cherche pas à la retenir plus longtemps car il savait parfaitement que ça ne servirait à rien . Il se contente de soupirer tout en songeant que la compagne de la princesse par la suite pourrait se révéler être un vrai problème pour ses plans . Tout simplement parce qu'elle est bien trop méfiante et ce refuse de s'ouvrir à lui comme l'a si bien fait sa charmante compagne . Son ombre se matérialise donc sur le mur avec un sourire moqueur , pour le moment Alastor semble bien disposé à l'ignorer . Jusqu'à ce que cette dernière prit la parole , car cette dernière ne semble pas apprécier d'être ignorée de la sorte par son maître. Oui ces choses là possèdent un certain égo
"-Je pourrais la faire disparaître rapidement et sans aucun problème , il me suffit juste un mot de votre part " *Lance la créature infernale*
-Et ainsi poser les soupçons sur ma personne ? Grand dieu non merci , chaque chose en son temps mon ami tu as peut-être su lire en mon esprit mais tu aurais dû comprendre qu'il était encore trop tôt pour tenter quoique ce soit sur cette pauvre créature fortement déplaisante * répond le grand cerf*
L'ombre semble un peu sceptique mais décide de ne pas trop contredire son maître puis disparaît , Alastor semble soulagé que la créature se montre assez docile . Il n'avait pas envie que la conversation soit entendue par quelques oreilles maladroites . Ce serait quand même malheureux de faire taire ces sources de distraction à cause du fait qu'il ait manqué de vigilance ce serait vraiment dommage. Et encore il n'a même pas pris en compte la présence du roi de l'enfer dans l'hôtel , même s' il ne lui fait pas peur il sait très bien qu'il ne fera jamais le poids contre lui.
Il arrive devant la porte de sa tour radio cependant il y découvre la princesse se tenant dos à lui devant la porte. Charlie faisait de drôle de gestes avec ses bras au niveau de son visage , il ne dit rien puis la dernière se retourne pour faire face à lui , les yeux baignés de larmes . A cette vision le grand cerf se stop d'un coup
"BADUUUM BADUUUUUUUM "
Merde voila que ça lui reprend mais pourquoi maintenant c'est quand même fort contrariant , le fait de voir le visage de la princesse remplit de larmes devrait le remplir de joie. Mais à la place ce dernier ne ressent qu'une sensation désagréable sans qu'il en comprenne pourquoi . La blonde renifle un grand coup et sans crier gare cette dernière vient se précipiter dans ses bras , par pur réflexe le cerf ouvre en grand ses bras là où la fille vient retrouver refuge . Au bout de quelques secondes, le seigneur suprême semble être revenu à lui et son regard se pose donc sur cette pauvre créature qui est entrain de pleurer contre lui.
-Très chère reprenez-vous , que vous m'expliquer ce qui vous arrive * suggère le cerf*
Charlie semble suivre le conseil de l'homme et prend une profonde inspiration , en se détachant de l'homme se souvenant qu'il n'aimait pas forcément les contacts physique .Mais pour une raison étrange ce dernier ne l'avait pas repoussée .
-Vaggie * commence -t-elle*
Maintenant qu'il y pense , quelques instant auparavant le démon rouge avait croisé la compagne de la blonde se déplacer avec colère dans les couloirs .Il allait peut être enfin comprendre ce qui se passé avec la chérie de la princesse , ce n'est plus qu'une question de seconde maintenant . Cependant il n'était pas prêt à trouver une réponse en ce qui concerne les battements de son coeur des plus étranges .
.....Note de l'auteur: Mon tout premier chapitre certes pas très long je sais mais j'espère qu'il est bien , après je ne promet pas d'être hyper régulière et faire des chapitre plus long je débute dans le monde de l'écriture
2 notes · View notes
manue-ringo · 8 months ago
Text
L'antidote partie 3
Tumblr media
Mulder hocha la tête en signe d'approbation. Le médecin injecta le sérum dans le bras de son amie. Les secondes s’écoulèrent, interminables. Puis, lentement, les paupières de la jeune femme s’agitèrent. Ses yeux s’ouvrirent, cherchant un point de repère. Elle fixa Mulder, et un sourire faible étira ses lèvres.
Salut… Murmura-t-elle.
Il prit sa main, les larmes aux yeux.
Tout va bien, Andréa. Tu vas t’en sortir. Dit-il pris d'émotions.
Le docteur Frost observait la scène, satisfait. L’antidote semblait fonctionner. Il contrôla avec attention, ses signes vitaux à l'aide des moniteurs. Tout était normal. Le docteur Frost n'en revenait pas. Cette guérison miracle le laissa sans voix. Jamais encore, il n'avait assisté à une telle chose dans toute sa carrière. Il se reprit avant de les laisser un peu seuls.
Mulder serra la main de la jeune femme, déterminé. Ils avaient survécu à bien des épreuves, et ils étaient prêts à en affronter d’autres. Leur combat n’était pas terminé. Ils devaient rester sur leurs gardes, prêts à affronter l’inconnu. Un soupçon d'espoir renaissait. Parker était vivante, et c’était tout ce qui importait.
L’agent Scully, alertée par les événements, arriva en hâte à l’hôpital. Son visage était marqué par l’inquiétude, et elle se précipita vers la chambre de son amie. Mulder était là, à son chevet, il se leva à son approche.
Tout va bien Scully, elle est hors d'atteinte. Dit-il d'une voix grave et assurée.
Ne me dis pas que… Ça a marché ? Bon sang Mulder, je n'arrive pas à le croire. Dit-elle abasourdi dans un murmure.
Parker tenta de décrypter leur conversation en vain. Elle reprit fébrilement :
Hé vous deux. Vous pouvez me dire ce qu'il se passe ? Je ne comprends rien.
Mulder et Scully prirent le temps de lui expliquer toute la situation. Après avoir fini leur récit, Parker marqua une longue pause avant de reprendre d'une mine très pâle :
Attendez une minute. Vous êtes en train de me dire que ce putain de sérum m'a sauvé la vie ? Comment saviez-vous que ça marcherait ?
Mulder croisa brièvement son regard puis répondit, quelque peu hésitant :
Je… À vrai dire, je n'en avais aucune idée. Seulement, au vu de l'urgence de situation, je devais prendre une décision rapidement. C'était ce sérum ou ta vie, alors je n'ai pas hésité.
Parker était furieuse. Ses yeux lançaient des éclairs en direction de Mulder, qui se tenait là, le visage tendu. Les mots qu’elle avait entendus résonnaient encore dans sa tête, comme un écho de colère et de frustration.
Mais pour qui tu te prends ? Tu n'avais pas le droit de prendre cette décision seul ! Imagine ce qu'il aurait pu se passer dans le cas contraire ?
Mulder baissa la tête, conscient de la gravité de ses actes. Il avait agi par désespoir, par amour pour elle, mais il savait que cela ne justifiait pas tout.
Andréa je… Commença-t-il, mais elle ne lui laissa pas terminer.
Ne me parle pas ! Gronda-t-elle. Tu n’es pas au-dessus des règles, Mulder.
Voyant la tournure des choses, Scully tenta d'intervenir en gardant un air calme et assuré :
S'il vous plaît tous les deux ! Calmez-vous ! Andréa écoute moi. Mulder n'a pas agi seul dans cette histoire. Contrairement à ce que tu pourrais penser, Mulder a pris soin de consulter le docteur Frost avant d'agir. Ton état était alarmant, ton traitement ne suffisait plus, il fallait faire quelque chose. Et si ce n'était pas ce sérum qui t'emportait, ça aurait pu être cette thérapie et tu le sais. Que tu le veuilles ou non, il était hors de question de ne rien tenter pour te sauver alors ils ont fait ce qu'ils devaient faire. Tu es là aujourd'hui et c'est tout ce qui compte.
Parker n'eut pas la force d'insister sur le sujet. Elle fit la moue avant de se recoucher dans son lit.
Le docteur Frost les avait rejoints un peu plus tard dans la journée afin de faire le point avec eux sur l'état de santé général de leur amie.
Il faut que vous sachiez qu'après cette rude expérience, votre amie pourrait potentiellement faire face à une variété de séquelles dues à l'implant et au traitement expérimental qu'elle a subi.
Oui, j'imagine. Pouvez-vous nous en dire plus à ce sujet ? Demanda Scully d'une mine inquiète.
En temps normal, il est possible qu'elle éprouve des difficultés de coordination motrice, car les dommages causés à son système nerveux peuvent affecter sa capacité à contrôler ses mouvements avec précision. Des troubles de la mémoire pourraient également survenir, allant d'une légère perte de mémoire à court terme à des lacunes plus significatives liées à des événements antérieurs à son traitement. Des symptômes neurologiques comme des maux de tête persistants, des vertiges ou une sensibilité accrue à la lumière et au bruit pourraient être présents. Ces symptômes pourraient diminuer avec le temps, mais il est aussi possible qu'ils deviennent chroniques si les zones du cerveau affectées ne se rétablissent pas complètement. Elle pourrait aussi ressentir des changements d'humeur ou des épisodes de dépression en raison du stress émotionnel lié à son expérience traumatisante et à la lutte pour sa survie.
Et sur le plan physiologique ? Demanda Scully d'une petite voix trahissant son stress évident.
Et bien, elle pourrait développer un trouble de stress post-traumatique, caractérisé par des flash-back, des cauchemars et une anxiété sévère. Ces réactions sont courantes chez les individus ayant vécu des expériences extrêmement stressantes ou menaçantes pour leur vie. Il est également possible qu'elle manifeste une certaine paranoïa ou méfiance, surtout envers les procédures médicales ou les traitements futurs, étant donné les effets indésirables qu'elle a subis. Déclara le docteur Frost.
Les deux agents échangèrent à plusieurs reprises des regards contrariés au vu de ce qu'ils entendaient.
5 notes · View notes
machaonreads · 3 months ago
Text
Whumptober 18 : Revenge
Vengeance, Sherlock Holmes 2009
L’hôtel particulier dans lequel Mycroft Holmes s’était établi à Reichenbach était sans conteste l’un des plus beaux endroits où John avait jamais séjourné. Et il ne pensait pas se tromper en songeant qu’il en était de même pour Simza, qui s’était installée dans un fauteuil tourné vers l’une des grandes baies donnant sur la chaîne de montagnes enneigées. La majesté du paysage rappelait à qui la regardait la merveille qu’est la vie et l’imminence de la mort – John savait que ses plus riches compatriotes y séjournaient volontiers pour cultiver cet exaltant memento, mais lui n’avait guère besoin du tourisme pour lui raviver la mémoire, après les terrifiantes aventures qui avaient déraillé son voyage de noces.
Il avait vu sa femme jetée d’un train, il avait failli enterrer Holmes.
Et s’il n’avait perdu personne pour le moment, qu’avaient-ils gagné à ce harassant périple ?
Des informations, s’il fallait en croire les conciliabules de Holmes depuis qu’il avait quitté sa chambre, où John et Mycroft l’avaient enfermé de force pour qu’il se reposât au moins quelques heures après leur arrivée en Suisse. John l’avait surpris en train de conférer avec son frère, avec le secrétaire de ce dernier, et même en train d’écrire à Lestrade, ce qui l’avait évidemment empli d’une grande suspicion, car Holmes n’admettait pas souvent que ce dernier savait lire.
En ce moment, il voyait son ami penché au-dessus du dossier de Simza. Leur conversation se termina avant que John fût arrivé à leur hauteur et le détective s’esquiva avec un sourire pour John, manifestement à la poursuite du prochain rouage de son plan.
« Docteur Watson ! » salua Simza, avec un geste d’invitation en direction du tabouret qui flanquait son fauteuil. John s’assit de bonne grâce.
« Vous devez être rassuré d’avoir eu des nouvelles de votre femme.
– Et vous devez être inquiète de ne pas avoir encore retrouvé votre frère. J’espère que Holmes vous ménage ? Je sais qu’il peut… manquer de tact. »
Elle rit.
« Il… vise souvent au plus court. Mais je sais ce que c’est de protéger les siens : ça excuse beaucoup de choses. Et puis il a la vengeance au cœur, je crois. Moi aussi. Elle rend les femmes patientes… et les hommes encore plus impatients.
– Si vous le dites, acquiesça John, qui se sentait un peu perdu par la conversation.
– Vous la connaissiez ?
– Euh…
– La femme que Moriarty a tuée à Paris ? Miss Adler, je crois ? Tamas a entendu parler d’elle, mais il n’était pas sûr de son prénom. Ines ? Irma ?
– Irene, corrigea John doucement. Irene Adler. »
Holmes n’avait rien dit et John n’avait pas demandé, mais il s’était douté que le détective, qui collectait les articles et les photographies de l’aventurière, n’avait pu jeter son mouchoir – surtout s’il portait son monogramme ! – que pour lui dire adieu.
« Vous la connaissiez bien, alors ?
– Non. Pas vraiment. Elle était… c’est Holmes qui... était proche d’elle. »
L’expression le fit grimacer, tant elle semblait inadéquate.
« Mais elle était remarquable. Et si Moriarty… Il a tué une femme extraordinaire. »
Et Holmes n’avait sûrement pas besoin de cette motivation pour s’attaquer à un génie du crime, ni même de vouloir « protéger les siens » comme le résumait Simza, mais John ne doutait pas que sa tristesse le rendrait sans pitié.
« Tant mieux », songea-t-il avec férocité. Un homme qui avait commandité des assassins pour fusiller Mary ne méritait aucun compassion, et il était temps d’en finir : les brumes qui montaient des chutes du Reichenbach dissimulaient progressivement les sommets rocheux dans la froideur du soir.
2 notes · View notes
selidren · 11 months ago
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Eté 1916 - Champs-les-Sims
14/15
Même au travers de ses récits, nous nous sommes mises à oublier un peu la guerre. Dans un état un peu fantasmagorique, nos hommes n'étaient pas au combat mais simplement au travail. Nos enfants les verraient le soir, il n'y aurai pas de nouveaux récits de bataille dans les journaux ni cette sale odeur de tabac froid qui s'est imprégnée dans les rideaux du bureau de Constantin. Fort heureusement, lui ne vois jamais les combats, où alors il n'en entend que la rumeur. C'est toujours ce qu'il m'écrit dans ses lettres, que je reçois toujours tous les trois jours, bien calligraphiées et avec les mêmes formules d'amour qu'il se plait à répéter. Jeune, je pensais la routine ennuyeuse, aujourd'hui je la pense d'un confort rassurant.
Transcription :
Rose « Éteignez moi cette pipe, Monsieur Dumont ! »
Gilles « C’est mon petit plaisir journaliser Docteur. Vous voudriez pas priver un pauvre éclopé de son petit plaisir quand même ? Et puis ça distrait de la douleur ! »
Rose « Si vous avez mal, dîtes le nous et on vous donnera des calmants. »
Gilles « Oh allez, on est dans un grand jardin ! Je ne vais pas vous empuantir les lambris ou les tapisseries ici non ? »
Armand « C’est le règlement Monsieur Dumont. Seigneur, comment avez-vous pu survivre au front avec un caractère aussi têtu ? Discutiez vous aussi les ordres de vos supérieurs de cette façon ? »
Gilles « Mon caporal avait un pétoire à la main, et passionné de la gâchette comme il était, il aurait bien pu me trouer la caboche. Vous, le seul truc que vous pourriez me planter, c’est une seringue qui va m’envoyer au pays où tout est beau. »
Rose « Comment peut-on avoir autant raison tout en ayant tort ? »
Armand « C’est que notre Monsieur Dumont a de la verve Docteur de Chastel. »
Gilles « Sûr. Ma mère a toujours dit que ça me mènerai loin ! »
Rose « Et elle avait totalement raison, j’en suis sure. Mais avec une jambe en moins, vous ne pourrez jamais assez loin pour éviter que je vous confisque cette chose. »
Rose « Seigneur ! »
Gilles « Oh ! Quoi encore ? Je vais l’éteindre, mais je vais quand même pas gaspiller le gris qui reste Docteur ! »
Rose « Oui bon… faites comme si je n’avais rien dit. »
8 notes · View notes
Text
Un étudiant de l'American Columbia University s'est endormi pendant un cours de mathématiques, puis s'est réveillé au son de la voix des étudiants à la fin du cours, et il a découvert que le docteur avait écrit deux problèmes au tableau. Il s'est dit : "c'est un devoir" et les a recopié dans son livre pour les résoudre à la maison. Quand il a essayé, il a trouvé qu'ils étaient très difficiles… Mais il a continué à essayer et à essayer et à aller à la bibliothèque, apportant des références et cherchant jusqu'à ce qu'il ne puisse à peine résoudre qu'un seul problème. Et dans la conférence qui a suivi, il a remarqué que le docteur n'avait pas posé de questions sur le devoir ! Alors l'étudiant s'est levé et lui a demandé : « Docteur, pourquoi n'avez-vous pas posé de questions sur le devoir de la conférence précédente ? Le docteur a dit : « Le devoir ?… Ce n'était pas un devoir. Au contraire, je vous donnais des exemples de problèmes mathématiques que la science et les scientifiques n'ont pas pu résoudre ! L'étudiant a été étonné et a dit, "Mais j'ai résolu l'un d'eux en quatre papiers!" La solution au problème a été enregistrée à l'Université de Columbia et était connue sous son nom. Ce numéro avec ses quatre papiers est toujours présenté à l'université à ce jour. Cet étudiant a résolu le problème pour une raison… parce qu'il n'a pas entendu le professeur dire : « Personne n'a pu trouver sa solution. Il s'est convaincu qu'il fallait le résoudre… Lorsqu'il a essayé de s'éloigner des effets de la frustration, il l'a résolu. N'écoute pas les gens qui te disent que tu ne peux pas 👌 à toi la réussite 💪
Tumblr media
8 notes · View notes
sofya-fanfics · 2 years ago
Text
Ses cicatrices
Tumblr media Tumblr media
Fandoms : Naruto / Fullmetal Alchemist
Relationship : Edward x Sakura
Voici ma participation pour le Crossover Ships Week 2023 pour le prompt : Cicatrices.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Edward ouvrit la porte de la clinique et salua la secrétaire. Au bout de deux ans que la clinique avait ouvert, il connaissait les lieux par cœur. Il se dirigea vers le bureau de Sakura.
Disclaimer : Naruto appartient à Masashi Kishimoto et Fullmetal Alchemist appartient à Hiromu Arakawa.
@crossover-ships-brainrot​
AO3 / FF.NET
Edward ouvrit la porte de la clinique et salua la secrétaire. Au bout de deux ans que la clinique avait ouvert, il connaissait les lieux par cœur. Il se dirigea vers le bureau de Sakura, tenant un sac contenant son déjeuner. Il savait qu’elle avait oublié de déjeuner. À l’heure qu’il était, elle n’avait pas de patient et elle devait en profiter pour se concentrer sur un cas compliqué qu’elle devait traiter.
Cela faisait trois ans que Sakura était arrivée à Resembool. Après la quatrième grande guerre ninja, Sakura avait quitté Konoha pour voyager autour du monde et aider le plus de personne. Elle avait apporté ses connaissances médicales dans plusieurs villes et villages et avait aidé de nombreux hôpitaux. Puis un jour, elle était arrivée à Resembool et avait ouvert une petite clinique en ville.
Edward était au courant de ce qui s’était passé dans les pays de l’est et en particulier dans les nations ninjas. Tous les journaux en avaient parlé. Ils avaient également parlé des trois nouveaux sannins, dont Sakura faisait partie. Sakura aussi savait qui il était. En arrivant à Amestris, elle s’était rendue compte que tout le monde connaissait le Fullmetal Alchemist.
Quand elle était arrivée à Resembool, elle pensait ne rester que quelques semaines, aider les habitants et repartir, comme elle le faisait à chacun de ses voyages. La ville n’avait plus de médecin depuis la mort des parents de Winry. Tous les habitants avaient pris en affection et la jeune et jolie docteur qui était arrivée.
Les semaines étaient devenues des mois, puis Sakura avait ouvert une petite clinique, qui avait fini par s’agrandir. Edward était là depuis le début et il l’avait aidé à la construire. Une amitié s’était formée entre eux, jusqu’à se transformer en sentiments amoureux. Ils se comprenaient. Elle était une kunoichi et lui avait été un chien de l’armée. Ils avaient vécu des choses et fait des choix que personne ne pouvait comprendre.
Il frappa à la porte de son bureau et l’ouvrit. Comme il l’avait deviné, elle était assise derrière son bureau, concentrée sur un dossier. Elle n’avait pas levé la tête et n’avait certainement pas remarqué sa présence. Il posa le déjeuner sur son bureau et Sakura leva les yeux vers lui, surprise.
« C’est déjà l’heure du déjeuner ? »
Edward acquiesça.
« Je savais que tu allais oublier de manger, alors je t’ai apporté ça. »
Sakura rougit, embarrassée, lorsque son ventre gargouilla à cause de la faim. Elle attrapa les plats qu’Edward avait sorti et prit une bouchée.
« Je t’aime, dit-elle. -Tu me le dis à moi ou au plat ? »
Elle sourit malicieusement.
« Tu n’as pas envie de savoir. »
Edward rit légèrement. Il s’assit en face d’elle et tous deux déjeunèrent. Son attention se porta sur les mains de Sakura. Elles étaient abîmées et avaient des cicatrices dû à ses entraînements et ses combats. Mais Edward les avait toujours trouvé belles. Elles montraient qui elle était. Un médecin et une combattante. Il connaissait toutes les cicatrices sur son corps et connaissait les histoires de chacune d’elles. Un jour il lui avait demandé pourquoi elle ne les soignait pas, alors qu’elle réparait les corps et effaçait les cicatrices des gens.
« Pour ne pas oublier, lui avait-elle répondu. »
Il passa inconsciemment sa main sur son bras et sa jambe. Il comprenait ce qu’elle voulait dire. Il lui prit la main et embrassa la cicatrice qu’elle s’était faite lors de son premier entraînement avec Tsunade. Peu importe les marques sur son corps qu’elle pouvait avoir. Il l’aimait elle, ses cicatrices et son histoire.
Fin
8 notes · View notes
yaminahsaini · 2 years ago
Text
Tumblr media Tumblr media
Résumé écrit du Mercredi 7 juin 2023: Rdv en anesthésie car ma sonde naso-jéjunale va bientôt être changée comme tous les 6 mois. À mon arrivée je devais remplir plusieurs questionnaires avec des questions assez basique sur mon état de santé. Ensuite après une heure d’attente c’est enfin mon tour ! Je passe dans un premier temps avec une infirmière. Elle prend ma tension et me pèse puis m’explique comment se déroulera l’anesthésie (bon tout ça je connais déjà, c’est loins d’être la première fois) mais par contre ce sera la première fois que je ne reste qu’une journée à l’hôpital pour un placement de sonde sous anesthésie, donc forcément ce sera un peu différent. L’infirmière m’a dit que lorsque j’ai été opérée pour le pacemaker gastrique, on m’avait mise sous intubation, je ne le savais même pas, je comprend que le réveil eut été extrêmement douloureux! Par contre là ça ne sera heureusement pas le cas car ce ne sera pas une anesthésie très profonde comme pour une opération. Bon au moins cette fois-ci je ne vais pas souffrir du placement de sonde! Au bloc puis endormie et à mon réveil ce sera comme si rien ne s’était passé! Bref ensuite j’attend de nouveau plus d’1h dans la salle d’attente ! Puis là je vois enfin le docteur anesthésiste, questions basique, explications de ce qu’il se passera en me remettant des documents et je devrais faire un test pcr avant. Voilà, ce fut beaucoup d’attente pour un rdv.
2 notes · View notes
sparklyrascallawyerpalace · 22 days ago
Text
Tumblr media
mardi 17 décembre 2024 Ils disent que je suis à l’agonie. La durée de vie d’un homme, 70 ans, 80 si la vigueur y est. Ne vous en faites pas, je ne suis pas schizophrène. Tous les patients à l’asile disent qu’ils ne sont pas malades, vais-je faire la même chose. C’est cette petite voix qu’ils veulent faire taire. Là on est en 2014, je reste dans une chambre et je me fais à manger. La chambre est rectangulaire, c’est le matin, je dors encore. Puis je me suis dit : qu’est-ce que je fais ici? Et comme réponse je me suis dit : ah c’est vrai, je suis schizophrène. En effet, l’endroit était cheap. Alors je me suis dit : mais je ne suis pas schizophrène. Cette voix qui dit ça c’est l’ange du Seigneur. J’ai passé la plupart de mon existence dans les asiles psychiatriques, alors j’en ai vu des patients. Et, effectivement, d’après ce que je sais parce que je l’ai vu dans les asiles psychiatriques, il ne me semble pas que je sois schizophrène comme les docteurs disent. Dois-je passer à l’attaque mistress? Simon Marshall a eu deux millions et j’étais son toilette slave. Vous vous imaginez, des millions! Je n’ai jamais eu d’affaire dans un asile psychiatrique pas une miette. Mon matériel fonctionne bien. J’ai connu ça avec mon iPad Pro. Elles m’appellent leur esclave et je les appelle mistresses. Ça évacue mon trop plein de vouloir rendre service aux gens. J’ai dit à ma mère que mon psychiatre voulait m’attacher pour pus que j’aime ça après ça. Il n’a pas réussi.
S’il ne s’agit que de la voir, alors vous comprenez pourquoi elle n’apparaît pas, mais elle est apparue dans la rue, alors tout le monde pouvait la voir, et elle est rentrée chez-nous, mais elle n’apparaîtra pas pour quelqu’un en particulier à part moi. Je me défonce, je ne me défoncerai pas, il ne m’en reste pas beaucoup, mais je vais vous le dire. Quand je restais au 1845 je l’ai prononcé, je ne ressusciterai pas des morts, je serai le roi Ézéchias. Ézéchias était sur terre. Il est encore quelque part, c’est là que vous allez aller. Alors il n’y aura pas de résurrection des morts ni de jugement dernier, le jugement dernier a déjà eu lieu. Arrêtez d’attendre de monter au ciel, ils vous bernent. En ont-ils une promesse pour moi qui es monté au ciel? Non, ils n’en ont pas, ils parlent pour vous et vous n’êtes jamais allés au ciel, alors ils vous bercent d’illusions. Je veux maigrir.
J’ai eu de mauvaises expériences avec ma mère. Ma mère me dit quelque chose et je ne comprends pas, je lui dis han? Elle dit arrête de me faire répéter. J’avais trois ans. Mon père travaillait à la Cie Industrielle pas loin. Je ne me souvenais pas de l’avoir vu se faire violer par mon oncle Gilles qui restait à Baie-Comeau, j’avais un an. Elle a toujours été forte de caractère, elle faisait abstraction de la chose. Et d’une chose à l’autre elle est devenue une forte personnalité face à moi grâce à moi, parce que c’est moi qui l’avais vue se faire violer que c’était moi le témoin gênant. Elle n’avait pas besoin d’avoir une forte personnalité avant ça, elle n’avait personne avec qui se battre, elle m’astinait tout le temps même si elle n’avait pas raison. J’avais sept ans et on m’appelait monsieur au billard. J’ai vu ce qu’était la personnalité d’une femme avec Marie et Brizilia, on a resté longtemps ensemble, même si c’est tous les six mois, après dix ans ça n’en fait beaucoup de fois. Là Sunshine est venue pendant que j’étais en réflexion sur un problème. Ça se fabrique cette affaire-là. À force de violer les lois de la nature. Mais par-dessus la nature il y a le visage. Et ce que l’homme fait. S’il est tout le temps en contre-temps c’est que quelque chose ne marche pas. C’est vrai que le largactil y était pour quelque chose. Et s’il ne fait pas ce qu’il veut ça paraît, il n’y a pas d’excuses pour ne pas s’en apercevoir.
0 notes
christophe76460 · 2 months ago
Text
Et l’ennemi du nord, je l’éloigne de vous, oui, je le chasse en une terre aride, un pays désolé, en expédiant son avant-garde vers la mer Morte et son arrière-garde vers la mer Méditerranée. Là, il exhalera sa puanteur, son infection se répandra, car il a fait de grandes choses (Joël 2:20).
⦁ Ce passage est un peu difficile. La troisième réponse de Dieu à la prière des Israélites est qu’il éloignera d’eux l’ennemi du nord. Au travers de son histoire mouvementée, c’est par le nord que Juda a été envahi par les Syriens, les Assyriens puis les Babyloniens. Le contexte semble désigner les sauterelles, seulement elles venaient du désert, poussées par le vent du sud ou de l’est et pas du nord. Mais comme dans les Écritures, le nord est toujours associé aux calamités (comparez Jérémie 1:14; 4:6; 6:1; Esaïe 14:13, 31), Joël voit les sauterelles au nord avec les ennemis habituels.
⦁ Donc, dans le contexte immédiat, l’ennemi du nord est une marée de sauterelles, mais dans le futur lointain, ce sera une marée humaine. Ici encore, dans sa vision prophétique, Joël voit côte à côte, deux événements distincts séparés par un temps indéfini. En effet, et comme je l’ai déjà dit, pendant la première phase du jour de l’Éternel, des armées nombreuses appuyées par des hélicoptères de combat et des blindés attaqueront Israël par le nord.
⦁ Joël dit que cet ennemi est dispersé dans trois directions : au sud dans le désert où la chaleur les dessèche, à l’est dans la mer Morte et à l’ouest dans la Méditerranée où elles se noient mais sont ramenées sur le rivage. Un explorateur (Volney) rapporte que pendant ses voyages en Syrie et en Égypte, il a observé que les vents du sud et du sud-est chassent violemment les nuages de sauterelles sur la Méditerranée, et ils les y noient en si grande quantité que, lorsque leurs cadavres sont rejetés sur le rivage, ils infectent l’air pendant plusieurs jours à une grande distance (cité par F. Godet). Le Père et docteur de l’Église Jérôme (347-419), qui passa une grande partie de sa vie en Palestine, fait des remarques similaires. Il dit avoir vu des bandes de sauterelles enlevées par le vent et jetées soit dans la mer Morte, soit dans la Méditerranée, et leurs cadavres, en état de putréfaction, rejetés sur le rivage, étaient souvent à l’origine de maladies contagieuses qui se propageaient au bétail et aux hommes.
⦁ Cela dit, ici encore, cette puanteur peut s’appliquer à des soldats morts au combat et en si grand nombre qu’il est impossible de les enterrer rapidement, alors ils se décomposent sur place et dégagent une odeur pestilentielle (comparez Esaïe 34:3). C’est ce qui arrivera au jour de l’Éternel à la bataille d’Harmaguédon dans la vallée d’Esdrelon aussi appelée Meguiddo. Cette plaine a la forme d’un triangle (35 km sur 25 km) et se situe entre le mont Carmel et le lac de Galilée. Il est facile de comprendre pourquoi cette bataille aura lieu en Palestine parce que c’est le lieu de convergence des continents asiatique, africain, européen, du canal de Suez et de la Méditerranée. De plus, la Palestine est située à proximité des immenses réserves de pétrole du Moyen-Orient mais elle est occupée par Israël, objet de haine et de convoitise de ses voisins à cause de sa réussite économique et de sa puissance militaire (comparez Esaïe 60:5, 9; Ezékiel 38:11-13).
⦁ Harmaguédon rassemblera l’Antichrist et ses alliés venus de l’ancien monde romain, les peuples de l’Afrique, de l’Orient et du Nord (comparez Daniel 11:41-45; Apocalypse 16:12, 16). Toutes les nations de la terre seront représentées dans cette grande conflagration (comparez Zacharie 12:3, 9; 14:2; Joël 3:2). Plus loin dans le livre, Joël appelle ce champ de bataille : val du verdict (Joël 3:14) ou vallée du jugement. C’est Dieu lui-même qui fera venir toutes ces armées en vue du châtiment final (comparez Michée 4:11-12; Sophonie 3:8). Ayant encerclé Jérusalem et la voyant à leur portée, elles croiront avoir atteint leur but. Mais à ce moment précis, le Seigneur lui-même paraîtra, posera ses pieds sur le mont des Oliviers et anéantira ses adversaires (Michée 4:11-12; Esaïe 34:2-3; 63:1-6; Jérémie 25:29-33; Ezékiel 39:4, 39:17-20; Apocalypse 14:18-20; 19:15-18). Alors, l’Antichrist et le faux prophète termineront leur bruyante carrière dans l’étang de feu et de soufre à tout jamais (Apocalypse 19:19-21).
⦁ Finalement, Joël dit que cet ennemi a fait de grandes choses, ce qui est vrai puisque cette invasion de sauterelles fut la plus catastrophique dans l’histoire de Juda. Mais par ailleurs, cette expression s’applique également à ce que feront les armées qui au jour de l’Éternel investiront la Palestine et détruiront tout sur leur passage.
0 notes
yes-bernie-stuff · 4 months ago
Text
Parfaits?
Tumblr media
A tous ceux qui se croient encore parfaits… 15/09/2024
Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force et de toute ta pensée, et ton prochain comme toi-même. Luc 10.27
À ceux qui se croient parfaits et capables d’obéir parfaitement à ses exigences, Dieu fait comprendre la hauteur de ses exigences, pour qu’ils finissent par reconnaitre leur imperfection et leur nécessité d’être sauvés. Dans les Évangiles, on voit plusieurs pharisiens ou professeurs de la Loi qui connaissent par cœur les commandements et affirment fièrement les respecter entièrement 1. A l’un d’entre eux, Jésus répond par la parabole du bon Samaritain, seul à s’arrêter et prendre soin d’un homme à moitié mort sur le bord de la route entre Jérusalem et Jéricho.
Jésus le met au défi et lui propose, avec ironie : fais-cela et tu vivras ! Le texte ne nous dit pas la réaction du professeur de la Loi : est-il reparti convaincu qu’il était toujours parfait ? Ou a-t-il compris son incapacité à être parfaitement à la hauteur des exigences de Dieu ?
Dieu est plein de compassion envers ceux qui ont compris leur faiblesse et leur besoin d’être sauvés, qui sont, de par leur péché, comme à moitié morts le long de la route. En Jésus, il restaure et redonne vie. Jésus est le véritable bon Samaritain, et lui seul a été capable d’un amour si parfait : il nous l’a montré à la croix.
Paul Leplay
1 Luc 10, Matthieu 22, Luc 18
__________________ Lecture proposée : Évangile selon Luc, chapitre 10, versets 25 à 37.
25 Un docteur de la loi se leva, et dit à Jésus, pour l'éprouver: Maître, que dois-je faire pour hériter la vie éternelle?
26 Jésus lui dit: Qu'est-il écrit dans la loi? Qu'y lis-tu?
27 Il répondit: Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton coeur, de toute ton âme, de toute ta force, et de toute ta pensée; et ton prochain comme toi-même.
28 Tu as bien répondu, lui dit Jésus; fais cela, et tu vivras.
29 Mais lui, voulant se justifier, dit à Jésus: Et qui est mon prochain?
30 Jésus reprit la parole, et dit: Un homme descendait de Jérusalem à Jéricho. Il tomba au milieu des brigands, qui le dépouillèrent, le chargèrent de coups, et s'en allèrent, le laissant à demi mort.
31 Un sacrificateur, qui par hasard descendait par le même chemin, ayant vu cet homme, passa outre.
32 Un Lévite, qui arriva aussi dans ce lieu, l'ayant vu, passa outre.
33 Mais un Samaritain, qui voyageait, étant venu là, fut ému de compassion lorsqu'il le vit.
34 Il s'approcha, et banda ses plaies, en y versant de l'huile et du vin; puis il le mit sur sa propre monture, le conduisit à une hôtellerie, et prit soin de lui.
35 Le lendemain, il tira deux deniers, les donna à l'hôte, et dit: Aie soin de lui, et ce que tu dépenseras de plus, je te le rendrai à mon retour.
36 Lequel de ces trois te semble avoir été le prochain de celui qui était tombé au milieu des brigands?
37 C'est celui qui a exercé la miséricorde envers lui, répondit le docteur de la loi. Et Jésus lui dit: Va, et toi, fais de même.
0 notes
didierleclair · 7 months ago
Text
UNE ODEUR COUPABLE
Tumblr media
Le roman de Philippe Claudel, L’archipel du chien, Stock, 2018 est d’actualité. Il est question de migrants clandestins et d’odeur coupable. L’histoire est simple et les scènes sont construites avec dextérité.
On est sur une île dont les contours géographiques donnent l’apparence d’un chien tous crocs dehors. Il y a les notables : docteur, maire, instituteur, curé et deux hommes à tout faire, des pêcheurs. L’île est dominée par un volcan, le Brau, qui est toussoteux et rappelle son existence tous les jours aux paysans et pêcheurs qui tentent de l’ignorer. Il y va de grognements, de quelques secousses mais pas d’éruption.
L’île ne produit rien de substantiel. On y cultive seulement des vignes, des oliveraies, des vergers de câpriers. Cela dit, le maire et le docteur travaillent sur un projet de complexe hôtelier. Ils comptent sur les eaux thermiques des lieux pour attirer les touristes et redonner vie à un lieu qui est à l’agonie. En effet, les jeunes de l’archipel du chien quittent dès l’âge adulte pour chercher du travail sur le continent et ne reviennent jamais.
Cet archipel qui pourrait être français, espagnol ou autre est le théâtre d’un drame contemporain. Trois corps d’Africains échouent sur la plage de ce lieu presque en dehors du temps. Que faire ? L’institutrice à la retraite qui promenait son chien sur la plage décide d’appeler le maire pour qu’il décide de la suite.
Philippe Claudel noue une intrigue ressemblant quelque peu à un roman policier sans en être un. Certes, il y a mort d’hommes mais la cause semble en tout apparence la noyade. Le maire et ses comparses se mettent d’accord d’enterrer en cachette les « nègres » pour utiliser le terme du curé afin d’éviter de nuire au projet de complexe hôtelier.
La seule voix discordante est celle de l’instituteur. Il réclame la venue de policiers et d’un juge pour mener une enquête et aller au bout de cette affaire. Contrarié, le maire déclare être l’autorité capable de décider du sort de ces Noirs. Son ami, le docteur, a conclu après un examen rapide des corps, qu’il n’y a aucun signe de mort suspecte : les Africains ont été des victimes de la mer.
On enfouit les trois corps dans un des trous brûlants proches du volcan sans autre forme de procès. L’auteur, avec patience et ténacité, nous révèle la connivence des notables à faire disparaître cet événement fâcheux de leur vie quotidienne. Il n’y a que l’instituteur mû par une conscience morale inflexible qui va exprimer sa désapprobation.
Il finit par causer des soucis au maire qui se demande comment l’empêcher de fouiner. Puis, Philippe Claudel met en scène un commissaire. Qui le fait venir ? Personne ne sait vraiment. Il est là, c’est l’essentiel.
L’homme boit beaucoup sans montrer de défaillances dans son raisonnement. Il sort des photos satellitaires révélant des images compromettantes. On y voit les notables de l’île en train de jeter, avec l’aide des pêcheurs, les trois corps des Africains dans un orifice volcanique.
Le maire se sent cerné comme un animal sur le point d’être piégé. L’instituteur, par contre, se réjouit de la venue d’un commissaire et annonce au maire qu’il compte faire un compte rendu détaillé de ce qu’il sait sur l’affaire des Africains.
Entretemps, une odeur pestilentielle envahit toute la communauté. Les corps pourrissants réclament justice et convoquent les charognards affamés autour du cratère où ils sont lâchés dans les méandres de la terre.
Pour empêcher de faire sortir la vérité au grand jour, le maire fomente une affaire de pédophilie contre l’instituteur qui cause de grands remous. Le commissaire va confronter l’instituteur à la suite de ces accusations. L’accusé, enfermé dans une pièce, perd rapidement le contrôle de la situation au point de ne plus savoir se défendre et prouver son innocence.
C’est ici que Philippe Claudel décide de détricoter son histoire. Il nous apprend que le commissaire n’en est pas un, juste un envoyé des investisseurs hôteliers inquiets de la façon dont le maire a enterré les Africains. Il n’y aura donc aucune accusation formelle contre les notables.
Ensuite, le maire et le docteur décident de libérer l’instituteur en prétextant une erreur dans les accusations de pédophilie. Mais l’instituteur est mort dans la pièce qui lui servait de cellule de détention, asphyxié au monoxyde de carbone. S’est-il tué ou a-t-il bloqué sa fenêtre pour ne plus entendre les cris de haine des paysans mobilisés contre lui ? Il n’y a aucune réponse à ce sujet.
L’auteur écrit ensuite : « Il fallut quelques jours pour qu’on parvienne à recommencer à faire semblant. À tenter de reprendre le cours ordinaire des choses. Chacun refit les gestes qu’il savait faire. On échangea des propos sans importance. On ne reparla plus de l’Instituteur, même si on y pensait sans cesse (…) »
Désormais, une malédiction s’est abattue sur l’archipel. Les marins reviennent bredouilles après dix jours de pêche, le docteur se déplace désormais avec un mouchoir sous le nez à cause de l’odeur nauséabonde des cadavres qu’il sent pour toujours et le maire a vieilli du jour au lendemain n’ayant plus que la peau sur les os.
Dans ce récit, tous les innocents meurent : les trois Africains et l’instituteur. Quant aux coupables, ils macèrent dans une eau saumâtre de culpabilité morale.
Les personnages mercantiles, racistes et pleutres sont condamnés à humer leur lâcheté comme l’odeur rance d’un péché jamais expié.
Philippe Claudel ne se fait ni juge, ni complice. Il renvoie chaque personnage à sa conscience, même ceux qui n’en ont aucune.
La disparition du faux commissaire est un tour de passe-passe qui permet d’éviter de rendre des comptes à la justice. C’est le seul incident fâcheux de l’histoire. Certains lecteurs auraient préféré qu’un vrai juge d’instruction se saisisse de l’affaire.
Philippe Claudel nous avertit dès le début du livre : « Je suis le gêneur. Je suis celui à qui rien n’échappe. Je vois tout. Je sais tout. Mais je ne suis rien et j’entends bien le rester. Ni homme ni femme. Je suis la voix, simplement. C’est de l’ombre que je vous dirai l’histoire. »
Un narrateur dans l’ombre raconte les crimes impunis des temps modernes. Il ne peut se résoudre à condamner ses concitoyens. Après tout, il vit probablement dans l’archipel. Il est possible que l’instituteur fut le sien, que le docteur l’ait vu grandir.
Ce récit est beau et réaliste, la plume est élégante, précise. Nous avons droit à un faux commissaire, un instituteur juste, un curé raciste, un docteur lâche et un maire affairiste. Philippe Claudel aurait pu inverser les rôles. Ce sont des humains, c’est tout.
Pour Philippe Claudel, la prison est l’archipel en forme de chien, tous crocs dehors.
Didier Leclair, écrivain.
0 notes
ondessiderales · 7 months ago
Text
Le soleil a rendez-vous avec la lune
youtube
Paroles
Sur le toit de l'hôtel où je vis avec toi Quand j'attends ta venue mon amie Quand la nuit fait chanter plus fort et mieux que moi Tous les chats tous les chats tous les chats Que dit-on sur les toits que répètent les voix De ces chats, de ces chats qui s'ennuient Des chansons que je sais que je traduis pour toi Les voici, les voici, les voilà
Le soleil a rendez-vous avec la lune Mais la lune n'est pas là et le soleil attend Ici-bas, souvent chacun pour sa chacune Chacun doit en faire autant La lune est là, la lune est là La lune est là, mais le soleil ne la voit pas Pour la trouver, il faut la nuit Il faut la nuit mais le soleil ne le sait pas et toujours luit Le soleil a rendez-vous avec la lune Mais la lune n'est pas là et le soleil attend Papa dit qu'il a vu ça lui
Des savants avertis par la pluie et le vent Annonçaient, un jour la fin du monde Les journaux commentaient en termes émouvants Les avis, les aveux, des savants Bien des gens affolés demandaient aux agents Si le monde était pris dans la ronde C'est alors que docteurs, savants et professeurs Entonnèrent subito tous en chœur
Le soleil a rendez-vous avec la lune Mais la lune n'est pas là et le soleil attend Ici-bas, souvent chacun pour sa chacune Chacun doit en faire autant La lune est là, la lune est là La lune est là, mais le soleil ne la voit pas Pour la trouver, il faut la nuit Il faut la nuit mais le soleil ne le sait pas et toujours luit Le soleil a rendez-vous avec la lune Mais la lune n'est pas là et le soleil attend Papa dit qu'il a vu ça lui
Philosophes, écoutez cette phrase est pour vous Le bonheur est un astre volage Qui s'enfuit à l'appel de bien des rendez-vous Il s'efface, il se meurt devant nous Quand on croit qu'il est loin, il est là tout près de vous Il voyage, il voyage, il voyage Puis il part, il revient, il s'en va n'importe où Cherchez-le, il est un peu partout
Le soleil a rendez-vous avec la lune Mais la lune n'est pas là et le soleil attend Ici-bas, souvent chacun pour sa chacune Chacun doit en faire autant La lune est là, la lune est là, la lune est là La lune est là, la lune est là mais le soleil ne la voit pas Pour la trouver il faut la nuit Il faut la nuit mais le soleil ne le sait pas et toujours luit Le soleil a rendez-vous avec la lune Mais la lune n'est pas là et le soleil attend Papa dit qu'il a vu ça lui Papa dit qu'il a vu ça lui
« Dans la philosophie chinoise et notamment le taoïsme, le yin et le yang sont deux catégories qui, par leur complémentarité et leur opposition, se prêtent à une première analyse de tous les phénomènes de la vie et du cosmos. Il ne s'agit pas de substances fondamentales, ni de forces ou énergies, mais simplement une paire de concepts susceptible de préciser les composantes d'une quelconque dualité.
Le symbole du Yīn et du Yang, le tàijí tú, est bien connu dans le monde entier. Le Yin, représenté en noir, évoque entre autres, le principe féminin, la lune, l'obscurité, la fraîcheur, la réceptivité, etc. Le Yang quant à lui, représenté en blanc, représente entre autres le principe masculin, le soleil, la luminosité, la chaleur, l'élan, l'action, etc.
Liés par leur étymologie à des oppositions concrètes entre ciel couvert et ciel dégagé, ombre et lumière, le yin et le yang deviennent plus abstraits quand vers le troisième siècle avant notre ère, ils deviennent pertinents dans le champ de la cosmologie en tant que « puissances d'animation qui président au dynamisme de la nature et à la transformation des êtres et des choses » (Kalinowski, 2010). »
Tumblr media
0 notes
lolochaponnay · 8 months ago
Text
Un homme va consulter son médecin : - Docteur, je viens vous voir parce que mes testicules sont ridiculement petits! - Faites voir, dit le médecin! Le gars se déshabille et le médecin commente : - Ah oui! En effet, ils sont minuscules! Rassurez-vous, il existe un médicament pour ça. Il est très efficace, mais il a deux inconvénients. Il n'est pas remboursé par la sécurité sociale et il est conditionné par boîte de trente, alors qu'il faut en prendre un seul par jour, pendant dix jours! - Tant pis, répond le gars. J'en achèterai une boîte, puisqu'il le faut! - Voici votre ordonnance, revenez me voir dans deux mois pour faire le point. Le patient commence le traitement le jour même, et constate un grossissement de ses cacahuètes jour après jour. Alors il décide d'aller au bout de la boîte et prend les comprimés pendant un mois. Le jour de son rendez-vous, le médecin fait entrer une dame dans son cabinet et demande : - Que puis-je pour vous madame? - Je suis madame Dupont. Vous avez prescrit un remède à mon mari, pour lui faire grossir les testicules. - Ben oui, mais où est-il votre mari? - Dans le couloir, il est en train de faire les manoeuvres avec la brouette!
0 notes