#gâteau maison
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Merveilleux aux fraises du jardin…
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#family reunion#repas de famille#tart#tarte#chocolat#chocolate#pear#poire#cake#dessert#gâteau#food#nourriture#Easter#Pâques#homemade#fait maison
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Injeolmi
Le Sommaire L'injeolmi est un type de tteok (gâteau de riz) coréen, traditionnellement fabriqué à partir de riz gluant cuit à la vapeur et pilé. Il est souvent couvert de poudre de haricots (comme des haricots rouges ou des haricots mungo) ou de poudre de soja grillée, ce qui lui donne une texture légèrement collante et une saveur douce et de noisette.</p> <img width="1024" height="1024"…
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Le financier 🥧
J’ai fait les financiers (saveur de citron) pour le goûter. J’adore 🥰
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saga: Soumission & Domination 365
Yago en France
Yago débarque à l'avion une semaine après notre retour. On prend la 300C pour aller le chercher. Il va passer son premier WE chez nous et je lui présenterai Olivier et Pierre lundi. On le voit nous chercher des yeux et être soulagé quand il nous trouve. Alors qu'il allait nous serrer la main, nous l'accueillons tous les trois d'une bonne pelle. Dans la voiture, il nous raconte sa semaine, ses doutes à venir, car finalement il ne nous connait quand même pas depuis longtemps ! Quand on arrive à la maison, il est surpris, surtout par Samir et Ammed. La maison et la piscine fait aussi son petit effet. Nous sommes rapidement en maillot sur la terrasse à prendre une bière. Evidement ça dégénère vite en minitouze. Nous ne cessons qu'après que chacun se soit pris les autres dans son cul et plus.
Il nous dit que nous lui avions manqué même si les copains de son frère avaient essayés de le baiser à leur tour. Il nous dit qu'il ne leur avait pas donné sa rondelle même si le passage de nos bites lui avaient terriblement manqué.
La soirée est agréable et bien sûr il dort (façon de dire) avec nous.
Dimanche : Olivier et Pierre, impatients de connaitre leur futur " aide ", arrivent pour le café avec un framboisier du meilleur pâtissier du coin. Je fais les présentations. Les nouveaux venus se mettent aussi en maillot alors que Samir met le gâteau sur un plat. Eux aussi sont bien bronzés et malgré son grand âge (33 ans), Olivier reste pas mal ! Il ne fait pas les 10 ans d'écart qu'il a avec Pierre. Comme Yago parle aussi bien le français qu'Ernesto, la compréhension est totale. Olivier et Pierre discutent avec lui de ce qu'il va faire dans le cabinet d'architecture. Evidemment pas mal de tri et classement de dossiers mais aussi des visites de chantiers, il accompagnera même Pierre à Paris pour aller voir le fondeur d'Alban qui doit leur préparer une de ses oeuvres pour un de leur très bon client.
Il est content et se tourne vers moi pour me remercier.
L'après-midi se passe à peaufiner notre bronzage. Le soir c'est moi qui conduis Yago chez mes architectes. Il trouve la maison superbe (création originale d'Olivier). Pierre lui fait faire le tour alors qu'avec Olivier je sors dans le jardin.
Ce dernier me remercie pour mon stagiaire. Il le trouve canon et est sûr que Pierre est en train de lui faire sa fête dans la chambre qu'ils lui ont réservée.
Il est vrai que quand nous rentrons dans le salon, après une bonne demi-heure à faire le tour du jardin, il n'y a personne. Nous enfilons un grand couloir et tout de suite nous entendons des gémissements significatifs. On suit le son et nous les trouvons nus sur un grand lit, Pierre à 4 pattes et Yago bien enfoncé dans son cul. Avec Olivier, je reste à la porte et nous les matons en train de se donner du plaisir. Pierre est assez loquace et réclame " met la moi bien profond" dès que Yago se retire. Je tends le bras en arrière et ma main trouve les 19x6 d'Olivier, bien raides et serrés par le jeans. Quand je l'ai en main, il m'approche et me chuchote qu'on pourrait peut-être se joindre à eux ?! Doucement j'entre dans la pièce. Les protagonistes n'entendent rien, focalisés sur leur plaisir. Quand j'enlace Yago, il sursaute et défonce Pierre brutalement alors qu'il veut s'écarter de moi. Il se calme dès qu'il voit que c'est seulement nous. Il essaye quand même de sortir du cul de Pierre croyant quand même avoir fait une bêtise. Ce n'est qu'avec le déshabillage d'Olivier qu'il comprend qu'il n'y a aucun problème.
Leur petite baise perso s'étoffe de notre présence. Je laisse Olivier jauger de son stagiaire. Pour cela il utilise l'outil que lui a fournis la nature et en même temps il vérifie que le jeune homme est chaud ! Moi, je me contente des trois bouches à ma disposition. Comme les 3 sont suffisamment profondes pour mes 20cm, je me fais quand même plaisir. Yago fait le jambon d'un sandwich d'Architectes ! Et d'après les sons qu'il émet, il apprécie la position. La bouche de pierre est trop bonne et je ne peux me retenir de juter. Mon sperme fuse entre son dos et les pecs de Yago où il se fait écraser/étaler. Le trio emmanché prend son pied et les kpotes se remplissent !
Etalés sur le dos à reprendre leurs souffles je vois trois mecs contents !! Quand je demande à Yago s'il pense pouvoir rester quelques semaines chez eux, il me répond avec un grand sourire que ça devrait le faire. Je leur fais à chacun un bisou sur les lèvres et m'éclipse sachant que nous le reverrons chaque WE et qu'entre-temps Pierre me dira comment ça va. La semaine se partage entre la vérification que tous mes escorts sont bien où et avec qui ils doivent être, la ferme des parents de Ludovic et une visite chez Emma qui elle aussi est rentrée de Grèce.
Bien que bronzée, le dragon (tatouage) est encore très visible. Elle me dit qu'avec lui, heureusement que les garçons (Jona et François) étaient là, sinon elle aurait succombée sous le nombre des prétendants ! Elle a passée trois semaines de plaisir au soleil et les garçons que lui ont ramené mes escorts ont été toujours judicieusement choisis et tous très bon au lit, même s'ils étaient tous bi.
Il n'empêche que malgré les réserves de plaisir qu'elle avait accumulée, nous n'avons pas chômé et à 4 (Ludovic, PH, Ernesto et moi) nous l'avons emmené plusieurs fois de suite au nirvana des femmes qui n'ont pas peur de leurs désirs ! Elle a eu la gentillesse de nous dire qu'avec nous c'était quand même meilleur. Il est vrai que nous connaissons chaque cm² de son corps. Nous savons où appuyer pour donner telle ou telle sensation et quand multiplier les excitations (vaginales, anales...). Le soir on se skype avec la triplette. Ils sont bavards, c'est pas possible ! Ils parlent tous en même temps, pour nous raconter en détail leur journée. Qui a fait quoi pour aider à la ferme mais surtout ils y vont en surenchère de sexe. Il n'y a pas un jour où ils n'ont pas testé une position ou un lieu de baise nouveau !! Ludovic a beau les mettre en garde de ne pas se faire attraper par le paternel, rien n'y fait !!
Pierre m'appel pour me dire que Yago n'est pas seulement bon au lit mais qu'il leur abat un travail phénoménal. Après avoir capté le système de tri et rangement, il leur avait quasiment tout rangé en une semaine. Les visites de chantier le passionnent et ses questions sont toujours pertinentes !
Quand ils nous le déposent le vendredi soir (ils partent en WE en amoureux sur la cote), nous nous retrouvons avec un gamin renforcé sur sa vocation et épanoui. Et quand Ludovic revient avec la triplette (Enguerrand, Max et Nathan), c'est la fête à la maison.
Le premier WE, nous avons vu débarquer par la porte du fond du jardin Arnaud et Léopold. Ils nous avaient entendus nous battre dans la piscine et venaient voir s'il ne restait pas une petite place pour eux. Frank et Louis débarquent à leur tour tout comme les Jumeaux (Tic et Tac) avec Théo bien sûr. Si la soirée commence couverte (en maillots de bain), elle dégénère vite et c'est à poil que se termine l'apéritif ! A poil et les queues bandantes ! Yago est content de voir que personne ne fait de différence avec lui. Les jumeaux sont ravis de voir une nouvelle tête et ils n'ont de cesse que d'avoir mis Théo sur sa bite. Si Yago n'osait pas y aller trop fort avec notre jeunot, après quelques va et vient et la démonstration de maitrise de la rondelle du petit enculé, il s'est déchainé et a bien pris son pieds en lui labourant le cul comme à la salope qu'il est ! Théo a beau avoir grandi, il reste toujours avec sa tête de jeune homme et un corps plus élancé que musclé. Par contre sa rondelle, elle est très musclée faut dire que l'usage journalier qu'en font les jumeaux l'a rendue souple mais forte aussi. La dernière fois que j'ai mis un doigt dedans, il en a bloqué la progression fermement ! Là, c'est Yago qui profite du massage anal de Théo ! Je m'approche de lui. Je lui dis d'apprécier le tonus musculaire de la rondelle qu'il perfore. C'est le type de performance que j'attends de mes Escorts. Il rit et dit me comprendre c'est réellement trop bon. Je le laisse savourer le petit mec des jumeaux. De mon côté, je vais prendre mon plaisir dans le cul de Léo qui ne le prête pas à tout le monde. Depuis que je l'ai dépucelé à la hussarde sur une aire de repos d'autoroute alors que je l'avais laissé enculer Baz, il accepte que je recommence ! C'est trop bon. Sa rondelle est très serrée et je dois appuyer fort pour rentrer toute ma bite. Arnaud, devant son mec, lui conseille de se détendre et finalement, devant ses grimaces, lui passe le flacon de poppers sous le nez. Bonne initiative, il se détend et, sans flotter, je coulisse plus facilement et le plaisir monte dans nos deux corps emboités. Quand nous terminons notre " petite affaire ", nous prenons conscience des odeurs de viandes grillées qui émanent du BBQ lancé par mes hommes de service. Les autres aussi sont purgés où remplis (enfin les kpotes surtout).
Yago s'est complètement fondu dans mon petit groupe. Quand je le retrouve, le bras d'Ernesto est sur ses épaules et les jumeaux discutent avec lui. Nous prenons notre temps et le diner traine en longueur. Les bières se succèdent et nous sommes très fatigués au moment d'aller nous coucher. Même les voisins (Arnaud et Léo) restent dormir ! La répartition dans les différentes chambres se fait plus selon les forces de chacun à faire quelques mètres de plus que l'autre ! Je vois Yago entrer avec la triplette dans le baisodrome du premier. Avec Mes 3 amours, nous restons entre nous dans notre chambre.
Samedi : Je me réveille un troupeau de bison traverse mon cerveau avec les indiens qui courent derrière !! Il est déjà 10h mais je suis le premier debout (après Samir et Ammed !). Un café et je me plonge dans l'eau. Nage à contre-courant mise, je crawl une bonne demi-heure avant de voir apparaitre de nouvelles têtes. Ernesto me rejoint dans l'eau alors que les autres apportent de quoi démarrer la journée.
Quand on sort de l'eau, tout le monde est réveillé. Je propose un décrassage de 5Km et leur dit de ne pas trop manger.
Equipements au sous-sol. On opte tous pour des cyclistes et quand on voit Yago rouler les jambes jusqu'au bas de ses fesses, nous l'imitons tous ! Comme il fait chaud, les marcels sont passés dans les ceintures. Je prends juste ma carte bancaire et mon i phone. Rapidement le groupe se scinde en deux selon nos vitesses de course. Je suis dans le premier groupe avec mes amours plus Yago et Léo. Les autres trainent derrière nous ! Arnaud est avec et ils ne risquent pas de se perdre.
On trotte gentiment. Je suis content de voir que Yago ne fait pas que soulever de la fonte. Nous faisons une pause dans le bar de l'oncle de Louis. Quand les trainards arrivent nous sommes servis des rafraichissements que nous avions commandés pour tous. En terrasse, nos physiques attirent le regard des passants et touristes. Ça et les rires qui nous échappent.
Avant qu'on soit trop refroidis, on retourne à la maison.
A l'arrivée les douches du sous-sol saturent mais nous nous serrons et du coup le gel douche est étalé par frottements entre nous !! Puis détente dans la piscine ou sur la terrasse jusqu'au déjeuner. L'après-midi suit le même programme sauf pour certains qui comme moi soulèvent de la fonte. Installée au sous-sol, la salle reste fraiche même à la fin d'un été chaud. J'alterne avec Ernesto et Yago. Ludovic et PH le font entre eux, leurs barres sont plus légères ! Yago est content car il n'y a pas d'installation chez Olivier et Pierre, juste une piscine.
Du coup le midi nous faisons le plein de protéines (Samir ajoute du tofu à nos salades de légumes). Sieste au soleil pour ne pas perdre nos bronzages. Et ça redémarre après un petit tour dans l'eau. La terrasse est grande et heureusement car quand nous sommes tous allongés, on en couvre une bonne part. Cette fois la triplette a décidé que cela faisait longtemps qu'on en s'était pas retrouvé et sans nous isoler des autres, nous nous retrouvons quand même seuls (enfin façon de dire quand on est 7 !!). Max et Enguerrand se battent pour être le premier à couvrir ma bite ! Ernesto attrape Max par le cou et le détourne vers sa propre bite et lui clos le bec en s'enfonçant loin entre ses amygdales. Nathan cherche et trouve PH. Ludovic me rejoint et à nous deux nous faisons décoller son petit frère. Je ne ressens plus aucun blocage ni aucune réticence alors que je fais l'amour avec Enguerrand. Je pense que maintenant l'épisode " XX de XXX " est vraiment terminé. Je crois que sa nouvelle vie avec Max et Nathan lui a redonné l'équilibre d'un mec bien dans sa peau. Les parents exceptionnels (concernant leurs réactions lorsqu'ils ont appris la chose) qu'il a y est aussi pour beaucoup.
En attendant il se donne à fond avec moi et son frère. Il tourne entre nous deux. Quand je ne suis pas dans son cul, je l'ai dans mes bras et on se roule des pelles, juste secoués par les va et vient de Ludo dans son cul. Si c'est pas ça c'est qu'on est en 69. Puis Ludovic nous quitte et nous terminons tous les deux seuls.
Repus, moi sur le dos vidé, Enguerrand la tête sur mon épaule, nous nous faisons écraser par Max et Nathan jaloux de lui. Je me retrouve enfoui sous les 180Kg des 3 jeunes mecs cherchant tous à me rouler un patin ! Je suis sauvé par l'intervention d'Ernesto et Yago qui me dégagent en envoyant mes " agresseurs " se rafraichir les idées dans la piscine.
Petit WE banal de vacances d'été en France !!
Jardinier
the sin perfume
the firework burnt their clothes
ready to scream and jump for the New Year
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A table !
ETn dessert une tarte au poires et au caramel
L’automne est une saison magique, où les feuilles changent de couleur et où les fruits d’automne, comme les poires, commencent à faire leur apparition. Le gâteau d’automne à la poire, à la cannelle et au caramel est un dessert parfait pour célébrer cette saison
Avec ses arômes réconfortants de cannelle et sa douceur naturelle des poires, ce gâteau saura réchauffer vos cœurs lors des journées fraîches.
Pour le gâteau :
Poires : 3 à 4 poires bien mûres (comme la poire Williams ou la Comice), pelées, épépinées et coupées en dés.
Farine : 250 g de farine de blé pour un gâteau léger et aéré.
Sucre : 150 g de sucre semoule pour la douceur, et un peu plus pour caraméliser les poires.
Beurre : 100 g de beurre doux, ramolli à température ambiante.
Œufs : 3 œufs, qui aideront à lier les ingrédients et à donner de la structure au gâteau.
Lait : 120 ml de lait entier pour ajouter de l’humidité.
Levure chimique : 1 sachet (environ 10 g) pour faire lever le gâteau.
Cannelle : 2 cuillères à café de cannelle en poudre, qui apportera une chaleur épicée au gâteau.
Sel : Une pincée pour rehausser les saveurs.
Pour le caramel :
Sucre : 150 g de sucre pour réaliser un caramel maison.
Crème liquide : 100 ml de crème entière pour donner une texture crémeuse au caramel.
Beurre : 30 g de beurre pour enrichir le caramel.
Garniture (facultatif) :
Noix ou amandes : 50 g de noix ou d’amandes concassées pour un peu de croquant.
Poudre de cannelle : Pour saupoudrer sur le dessus avant de servir.
Préparation de Gâteau d’automne à la poire
Étape 1 : Préparer les poires
Commencez par préchauffer votre four à 180°C (thermostat 6). Pendant que le four chauffe, préparez les poires. Épluchez les poires et retirez le cœur. Ensuite, coupez-les en dés. Pour éviter qu’elles ne noircissent, vous pouvez les arroser d’un peu de jus de citron. Si vous souhaitez un goût encore plus riche, vous pouvez faire caraméliser légèrement les poires dans une poêle avec un peu de sucre et de beurre pendant 5 à 7 minutes, jusqu’à ce qu’elles soient dorées
Etape 2 ; le caramel
Dans une casserole à feu moyen, ajoutez 150 g de sucre et laissez-le fondre sans remuer jusqu’à obtenir une couleur dorée. Retirez du feu et ajoutez délicatement la crème liquide chaude (attention aux éclaboussures). Remettez sur le feu doux et incorporez le beurre. Mélangez bien jusqu’à ce que le caramel soit lisse. Mettez de côté pour qu’il refroidisse légèrement.
Étape 3 : Mélanger les ingrédients secs
Dans un grand bol, tamisez la farine, la levure chimique, la cannelle et le sel. Cela permet d’éviter les grumeaux et d’assurer une répartition homogène de la levure et des épices.
Étape 4 : Crème de beurre et sucre
Dans un autre bol, battez le beurre ramolli avec le sucre jusqu’à obtenir un mélange crémeux et léger. Ajoutez les œufs un par un en continuant de battre. Incorporez ensuite le lait et mélangez jusqu’à ce que tout soit bien homogène.
Étape 5 : Incorporer les ingrédients
Incorporez progressivement le mélange de farine aux ingrédients humides, en mélangeant délicatement à l’aide d’une spatule. Une fois que la pâte est homogène, ajoutez les dés de poires et mélangez délicatement pour les enrober. Vous pouvez également ajouter des noix ou des amandes concassées à ce stade si vous le souhaitez.
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Étape de la création du header pour Wicked Little Town. Je vais tenter d'expliquer comme je peux mon processus de création. Désolé si c'est un peu bordélique. 😅 Vous pouvez cliquer sur afficher davantage pour voir:
J'ai choisi la première photo avec la fenêtre car j'aimais le reflet sur le parquet et que ça marcherait avec l'extérieur enneigé que j'imaginais. J'aimais aussi les moulures sur le mur, je les ai donc gardé mais moins fan du chandelier, surtout qu'il n'était centré, je l'ai fais disparaitre. Puis voulant une scène plus aérée, j'ai utilisé le "generative fill" de photoshop et le "stamp tool" pour agrandir la pièce. Je suis partie à la recherche d'élément qui pourrait raconter l'histoire des personnes qui vivraient dans cette maison, un canapé, un chien, un chat, un couple qui avait une excellente ombre qui marcherait super bien avec ma fenêtre (parfois, je cherche pas trop loin 😂 ). Le design devant représenter la saint Valentin sans être trop "romantique" et le thème de l'anniversaire sans être trop "anniversaire". J'ai rajouté des petits chapeaux sur le chien et le chat, des fanions, une photo du couple sur la commode et sur l'étagère, la décoration de leur gâteau de mariage. A chaque élément ajouté, il fallait donner une ombre, un reflet dans le parquet si nécessaire et changer le coloring des objets pour qu'ils correspondent à l'ambiance de la pièce. Et puis, j'adore les plantes et les livres, donc il fallait évidemment que j'en rajoute. Je trouve que ça donne un côté plus cosy. Pour l'extérieur, étant donné que la ville où se trouve le forum a un lac et est entouré de forêt, je suis partie sur ça. Pour la version sombre, j'ai changé l'image d'extérieur avec une qui avait des reflets de la maison allumée dans l'eau du lac. Et c'était parfait pour le Corgi, il existe tellement de photos d'eux que j'en ai trouvé un allongé, quant au chat, il est parti à l'aventure. J'ai changé le verre d'eau sur la table pour un verre de vin, l'horloge au mur montre maintenant 1h du matin et puis, j'ai allumé les lumières. C'est des petits détails, mais je trouve que ça continue à raconter un peu l'histoire du couple, peut être qu'ils se sont installés sur le canapé pour boire un verre et le chien s'est endormi alors qu'ils discutaient ? 😊 Pour l'animation, j'ai passé les headers à After effects, j'ai trouvé sur pexels une vidéo d'un chat noir, il a donc été rajouté à l'extérieur et il cherche son amie, la chatte à l'intérieur de la maison. (peut être qu'elle est allée le retrouver la nuit 👀), j'ai rajouté un effet neige qui tombe que j'ai trouvé sur youtube et la nuit, un oiseau qui passe rapidement devant la fenêtre. C'est assez discret, mais on peut voir le reflet de la neige animé sur le parquet, surtout la version sombre. Pour la typographie du titre, j'ai utilisé Scotch Display qui est un fond Adobe, je trouvais que une typographie serif donnait un côté plus cosy et romantique. Et pour la tagline, c'est Caslon, parce que j'aime Caslon. 👀 Je pense que j'ai fais le tour, si vous avez des questions, hésitez pas à les poser dans les commentaires de ce poste et merci d'avoir réussi à lire jusque là. 🫣 liste des images utilisées: pexels-eberhard-grossgasteiger-1624503 pexels-serkan-atay-19730755 pexels_videos_1536279 (1080p) Falling Snow Realistic Overlay Loop pexels-curtis-adams-8583905 pexels-taryn-elliott-4440123 pexels-emma-bauso-2253870 pexels-karolina-grabowska-5726036 pickawood-rwa0Yh38FeA-unsplash samantha-gades-BlIhVfXbi9s-unsplash kari-shea-3_cyj5YkhTs-unsplash jeffery-ho-TIN_Lh9-Y7g-unsplash markus-spiske-UaQ1t-nQHyk-unsplash annie-spratt-JruJFy08KB8-unsplash pexels-maksim-goncharenok-4352247 sunguk-kim-WTKvaChRvBg-unsplash pexels-karolina-grabowska-5726036 nataliia-kvitovska-MYwbqIfccvg-unsplash pickawood-rwa0Yh38FeA-unsplash filipp-romanovski-pDbhjYjrWpk-unsplash content-pixie-6CFCrt-7tHw-unsplash fatty-corgi-EpRAM95thHU-unsplash pexels-serkan-atay-19730755 fatty-corgi-wHgkrmuMFOY-unsplash pexels-anna-shvets-4587992 alexander-london-mJaD10XeD7w-unsplash
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Printemps 1924, Hylewood, Canada (1/14)
Chère Albertine,
Vous trouverez au fond de cette enveloppe trois photographies, je ne sais pas si vous conservez les enveloppes de vos correspondances, donc je vous préviens maintenant car il serait dommage que vous jetiez par inadvertance celles que je vous envoie, je vous le dis car cela a déjà failli m’arriver plusieurs fois. Nous ne possédons par de caméra et c’est grâce à la gentillesse de Mme Rumédier jeune et de Mlle Rumédier, toutes les deux férues de photographie, que nous avons pu les prendre. Elles ont été ravies de m’aider quand je lui ai fait part de votre demande.
La première a été prise à l’automne dernier par Mme Rumédier jeune à l’occasion des dix-huit ans de Lulu l’automne dernier. Elle est toute abimée, et je tiens vraiment à m’en excuser, je ne sais pas ce qu’il s’est passé, bien que je soupçonne le chat… Je l’avais laissée sur mon secrétaire, et le lendemain, elle était toute griffée. A gauche, vous voyez donc le jeune Georges Rumédier tenant une crécelle, moi-même, Mlle Rumédier dont le visage est malheureusement griffé, Agathon qui a tourné la tête au moment où Mme Rumédier jeune prenait la photo. La petite fille au centre qui dévore le gâteau des yeux est Hannah, une petite cousine du côté de Mme Le Bris ma belle-mère. A droite, Jules qui fait la tête car il souhaitait que nous prenions la pose dans le jardin et non pas dans la cuisine et il ne voulait pas que Layan soit présente sur la photo, Lulu qui tient une crécelle, Layan que vous voyez en livrée.
Agathon est difficile à avoir en photo. Il fait toujours exprès de tourner la tête au dernier moment, ou trouve mille excuses pour ne pas y figurer… Ici, il se trouve à côté de Layla, qui pause à côté du piano et est ravie de découvrir son nouvel ensemble.
Sur la dernière, vous voyez Lola et son cône de glace, prise à l’occasion de la foire de Gananoque. C’est en rentrant de cette foire, il y a trente deux ans, que Jules m’a demandée en mariage. C’est une journée joyeuse mais qui me laisse toujours un arrière-goût amer. Je me demande toujours ce que je serais aujourd’hui si j’avais refusé. Oh, je ne regrette pas ma chance, ni mes enfants que j’aime éperdument. Il y a trente-deux ans j’étais une paysanne. Je semais et je récoltais l’avoine, je tenais aux bêtes. Nous étions pauvres, mais jamais malheureux. Il y avait beaucoup de gaité à la maison. Mes parents sont restés unis jusqu’à leur mort, et ils n’ont jamais vécu l’un sans l’autre car ils sont décédés la même année. Ils se sont mariés à quinze ans et ils ne se sont jamais quittés, ils se sont aimés toute leur vie. J’aurais aimé avoir un mariage qui ressemble au leur.
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Compotée de Kakis à déguster en cas de petit creux dans la journée ou en dessert ! Elle accompagnera à merveille une part de gâteau au chocolat maison...🧡
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🕯 Imbolc 🕯
Origine et étymologie
Sur la roue de l’année des wiccans et païens, on retrouve le sabbat de Imbolc, une fête traditionnelle celtique d’origine gaélique célébrée le 1 février (parfois le 2 selon les années), un sabbat de transition entre le solstice d’hiver et l’équinoxe de printemps.
Imbolc - prononcé [imolc] - viendrait du vieux gaélique « i mbolg », « dans le ventre », en rapport aux brebis qui mettent bas à cette période (rappelons que les cultes païens étaient très fortement liés au quotidien dans les campagnes, entre culture du sol et élevage de bétail). Une autre origine possible serait « imb-fholc », se purifier ou se laver soi-même, par rapport aux rituels de purification traditionnels de cette fête.
Symbolique
C’est un sabbat charnière autour du renouveau de la nature : il annonce un changement de cycle, la fin de l’hiver et le commencement du printemps à venir. Car certes il n’est pas encore là, mais sa présence peut déjà se faire timidement ressentir. Les neiges fondent peu à peu, les bourgeons reprennent, les animaux sortent de leur hibernation, et les températures se radoucissent.
C’est pourquoi pour honorer le retour du soleil et de sa chaleur, on allume des bougies. On appelle d’ailleurs aussi cette fête la Chandeleur, (elle d’origine païenne et latine, mais réappropriée ensuite par le christianisme), nom qui nous vient du mot chandelle !
Et si on a coutume en France d’y faire de délicieuses crêpes, c’est parce que leur forme ronde et dorée rappelle l’astre solaire. Une vieille tradition raconte qu’il faut faire sauter les crêpes dans la poêle, et que si la première crêpe retombe correctement, alors la prospérité pour la nouvelle année est assurée.
Célébrations
La saison étant encore froide et rude, on profite de ce sabbat pour se tourner vers soi et sa maison. La nature sort progressivement de son inertie hivernale, et c’est donc le parfait moment pour en faire de même dans nos vies.
C’est le moment idéal pour :
Purifier son lieu de vie et ses habitants
Faire le point sur sa vie (je recommande de l’écrire dans un journal)
établir une liste de ses envies et projets pour l’année
Instaurer de nouvelles habitudes
Allumer tout plein de bougies, dîner aux chandelles
Faire des crêpes ou tout autre gâteau rond et doré à partager avec ses proches
Décorer sa maison dans des teintes de blanc (purification, neige au dehors) et jaune/orangé (retour de l’énergie solaire)
Faire une balade méditative en nature et observer les petits détails de la nature qui se réveille, pourquoi pas laisser une offrande pour les animaux et esprits
Pour celleux qui veulent honorer une divinité lors de leurs sabbats, Brigid est la déesse celte associée à Imbolc. On y fait des croix de Brigid pour protéger son foyer, et on l’appelle pour accompagner nos changements de vie et bénir nos nouveaux projets
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Feu !
On s’est payé un petit feu d’artifice pour notre anniv’ et pas des moindre : des belles explosions en papier découpé animées en stop-motion crée lors d’un atelier public. Cette petite merveille à été projetée sur la façade de la Maison le samedi soir avec gâteau et bar à crémant juste avant le concert explosif de U KAN DANZ !
Merci à @paulinebarzilaï pour l’idée ingénieuse
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Le hygge encourage la gratitude pour les petits plaisirs de la vie, tels qu'une tasse de thé, café, un bon livre, une promenade en forêt ou un gâteau fait maison.
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Nintendo nous a quand même bien eu avec Animal Crossing News Horizons ... 🏖
Hypée par Pocket Camp
J'imagine aisément que j'étais loin d'être la seule à avoir téléchargé l'application Animal Crossing Pocket Camp (ACPC pour les intimes) alors qu'on attendait impatiemment la sortie d'Animal Crossing New Horizons sur switch.
J'imagine que comme moi, vous avez été plus que séduits par les contenus super originaux de l'appli. Des perruques, des tenues originales, des meubles magnifiques ... dommage que le système nous incitait à investir de l'argent réel pour finir les collections. M'enfin, ça annonçait du rêve pour ACNH car bien qu'ACPC n'était pas développé par Nintendo, on s'attendait à une réutilisation des contenus ... ça semblait logique.
Des nouveaux contenus ... à la place de l'ancien
Et on a eu de nouveaux contenus ! J'étais contente au début lorsque je débloquais les meubles au fur et à mesure ... et j'ai déchanté quand j'ai compris tardivement que je n'allais plus revoir certaines séries de meubles. Notamment les séries disponibles chez Carla ... Cela s'est vu pour les meubles, les vêtements, la personnalisation du personnage (disparition pure et simple de la couleur châtain pour les cheveux, t'as le choix entre blond/jaune ou brun ...) que dans la boutique de Méli et Mélo ... (les galeries, grandes absentes ...)
La comparaison inévitable avec Pocket Camp
Du coup, étant donné que le jeu faisait des mises à jours assez régulièrement, je me disais que ça allait venir progressivement... hehe non. On a eu quelques mises à jour sympas, faut l'admettre ... mais Pocket Camp nous a induit en erreur. Je pense qu'on s'attendait à avoir le contenu actuel d'ACNH + les points forts d'ACNL (Animal Crossing New Leaf, sur 3DS) + du contenu d'ACPC ... et on a pas compris quand en fait ... non.
2 ans de mises à jour, les événements sont devenus répétitifs ... et Nintendo n'a pas suivi ... enfin ... n'a pas voulu suivre.
Le DLC ou "Azy tiens voilà tes meubles et laisse nous tranquille"
Enfin si Nintendo nous a annoncé le DLC Happy Home Paradise. De mémoire, ils nous ont annoncé le DLC comme étant le seul et unique en même temps que la fin des mises à jours du jeu. Personnellement, j'ai pris ça comme un "tenez et faites plus chier !" ... d'accord tu as d'autres jeux à développer mais étant donné le succès de l'opus, j'arrive pas à croire qu'il était impossible de faire vivre le truc plus longtemps. À croire que développer des jeux, ça peut emmerder Nintendo ... mais juste les jeux. Notons qu'ils n'ont même pas été foutus de modéliser un gâteau pour les 2 ans ou même de ressortir le même avec chaque fois une année de plus comme ça a été fait pour l'arche du nouvel an.
Revenons en au DLC, il nous permet de décorer les maisons de vacances des habitants, d'avoir quelques nouveautés concernant la construction et plein de nouveaux meubles, un petit scénario ... ok, c'est bon. Sauf que bon, pour moi, on aurait dû, dès le départ pouvoir décorer nous même les bâtiments et pouvoir en créer comme ceux présents dans le DLC : Café/restaurant, hôpital, boutiques etc ... et peut-être permettre à nos personnages de choisir entre différents métiers. Ça aurait vraiment pu redynamiser le jeu et permettre toute une dimension RP. Bémol : Est ce que la console l'aurait supporté ? Ça ... j'ai pas la réponse mais j'imagine aisément que s'aurait été un gros problème.
Des goodies partout
Le jeu est clairement laissé à l'abandon et pourtant je n'ai jamais vu autant de goodies. Ils étaient plus que rares en Europe lors des anciens opus ! Nintendo a choisi de vendre des goodies, qui doivent coûter certainement moins cher en design (surtout si les mecs sont payés à coup de lance-pierre) qu'à développer des DLC. En gros, on nous prend pour des vaches à lait et on en redemande. Honnêtement ça me rend aigrie. J'ai l'impression qu'on nous a vendu du rêve pour qu'après Nintendo se débarrasse de la communauté Animal Crossing avec un DLC dans lequel tu peux chopper tous les meubles comme ça ...et ça me pique de voir qu'on s'arrache les goodies alors qu'ils ont "abîmé" la licence. J'entends par là que ce qui n'a pas été fait avec Animal Crossing le sera peut-être avec DDLV (Disney Dreamlight Valley) ou un autre cosy game ... et si la hype d'Animal Crossing n'est plus, il n'est peut-être pas impossible que la licence puisse rejoindre Nintendogs ou La maison du style (oui lui c'est pas Nintendo ... mais vu le succès on aurait pu avoir un opus sur Switch !).
Personnellement en terme de goodies, je préfèrerais faire vivre des créateurs sur Etsy ... je suis franchement déçue de Nintendo.
#animal crossing#pocket camp#acpc#new horizons#acnh#marketing#nintendo#acnl#cosy games#rant post#coup de gueule
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saga: Soumission & Domination 331
Noël 2014 : " belle famille ", Emma
Pour cette fête de fin d'année, Emma nous invite tous pour le déjeuner. Ce qui fait que je ne peux refuser de passer le réveillon dans la famille de Ludovic !
Ça été le deal pour pouvoir emmener Ludovic le lendemain. La soirée prévue c'est : diner de fête, messe de minuit à 22h et cadeaux au retour autour d'un dessert au champagne ! Cela va me rappeler ma jeunesse, enfin quand j'étais petit. Car j'ai dû cesser d'aller à la messe de minuit vers mes 14ans. On n'était pas très porté sur la religion à la maison. Je propose d'apporter le champagne. J'aime bien le Roederer !
Le diner est parfait. L'ambiance est détendue surtout après quelques verres de vin. Pour eux c'est aussi une première puisque jusqu'à présent il n'y avait pas encore eu d'invité à cette fête familiale. La dinde étant pour le 25, nous dînons de bouchées à la reine, d'un succulent brochet au beurre blanc avant de s'arrêter sur les fromages. Messe de minuit que je passe à serrer contre moi mon Ludovic, profitant de la forte affluence qui remplit l'église (nous étions debout tellement il y avait de monde !). Je n'ai pas écouté grand-chose de la messe. Je crois que quand je bande, ça me bouche les oreilles !! Plusieurs fois Côme m'a fait les gros yeux alors que mes mains s'égaraient sur la braguette de Ludovic.
Retour à la propriété vers les 23h30, un peu longue la messe !
Alors que madame va chercher le dessert et que j'aide monsieur à ouvrir le champagne, les fils apportent les cadeaux. Je vais vite à la voiture chercher les miens. Ils sont effarés quand je reviens avec un paquet pour chacun. Madame s'exclame qu'il ne fallait pas, monsieur dit que ce n'était pas nécessaire et je fais taire tout le monde en leur disant que ça me fait plaisir. Nous attendons d'avoir fini nos parts de gâteau pour distribuer et ouvrir nos paquets.
Madame commence par le mien pour m'honorer. Je ne me suis pas embêté, j'ai lui ai pris un carré de soie de chez Hermès. Dans ce milieu-là, j'étais sûr de ne pas me tromper. Et je crois qu'effectivement elle a été touchée car pour la première fois elle m'a spontanément embrassé sur la joue. A Côme et Enguerrand, j'ai pris un bracelet Kyoto en cuir et or de chez Hermès aussi. Ils sont beaux et discrets quand même. Enguerrand me saute au cou et me dit qu'il ne quittera plus son poignet. Il reste juste un peu trop longtemps accroché à moi pour que son père le regarde bizarrement. Pour le père, j'ai osé un carré de soie pour homme, toujours de chez Hermès. J'avais noté qu'il portait une vieille écharpe un peu pourrie lorsque je l'avais accompagné à la chasse. Dans un premier temps il est surpris et dubitatif devant le paquet. Puis quand Ludovic le déplie et lui passe autour du cou, il est conquis. Le motif " imprimeur Fou Quadricube " en rouge est très masculin. Pour mon amour à moi, c'est un jonc en or de la place Vendôme. Ses parents allaient pour faire une remarque quand ils ont lu le nom sur l'écrin. Sur la face interne j'ai fait enchâsser des pierres précieuses et semi précieuses aux couleurs de l'arc en ciel. Il est le seul à le remarquer. Pour la première fois j'ai droit à une pelle devant tout le monde. Sifflets d'Enguerrand qui se fait engueuler par son père qui lui dit de ne pas en rajouter.
Les frères se sont groupés pour m'offrir une veste de chasse en cuir, plus solide que celle que j'avais trouvée. En me serrant contre lui, Ludovic me dit que j'aurais demain mon vrai cadeau. Celui-là c'était l'officiel parce qu'il y avait ses parents. De leur part j'ai droit à une écharpe Burberrys. Remerciement croisés et au lit, évidemment en chambre séparée !! Du moins pour commencer. 10minutes après que je me sois coulé entre les draps, mon Ludovic est venu me rejoindre. Très excitant que de faire l'amour alors que c'est " interdit " ! Il se réveille tôt pour regagner sa chambre. Au petit déjeuner, il se met à côté de moi et me dit qu'il s'est fait choper par sa mère en sortant de ma chambre et comme il était en caleçon... Je lui demande s'il s'est fait engueuler. Il me dit que non, cela l'avait même surpris mais elle lui avait fait un clin d'oeil et était partie de son côté. Ouf !!
J'accélère un peu, je voudrais passer au blockhaus avant d'aller chez Emma. On se remercie tous encore une fois et ils nous lâchent enfin. On retrouve tous les autres. PH et Ernesto se fichent de nous, faisant une imitation de madame mère recevant son cadeau de ma part et de monsieur découvrant son propre carré Hermès. Ludovic s'écroule de rire. Je demande à PH s'ils se sont bien envoyés en l'air hier soir. Pour m'énerver, il me décrit par le détail le diner que Samir et Ammed avaient préparé avant de passer à leur nuit. Même si j'ai passé une nuit très excitante, je suis un peu jaloux de ce qui s'est passé entre eux. Je crois bien que c'est la première fois qu'ils ont fait l'amour sans moi. Ça me fait un peu mal jusqu'à ce que je me dise qu'ils n'ont pas été des moines pendant mon indisponibilité après l'accident !
On se change. Chez Emma le déjeuner de Noël se passe en smoking. On s'entasse tous dans la 300C, Hervé nous ayant quitté pour aller déjeuner chez ses parents. Pablo nous ouvre, lui aussi est en smoking. Le jour de noël, il est le seul des employés d'Emma à rester et déjeune avec nous tous. A force de persuasion, elle a enfin décidé ses deux vieux employés à rentrer dans leur propre famille. Du coup, nous les jeunes ont fait le service sous la tutelle de Pablo. Cette année il a fait lui-même le foie gras. Pour un coup d'essai c'est un coup de maître. Il est délicieux, bien mi-cuit et onctueux, on se régale tous. Il a laissé tomber la dinde pour un chapon aux champignons et fruits secs comme on fait en catalogne. La cuisson est là aussi parfaite et la viande est fondante sur la langue. Ludovic nous dit être très heureux d'avoir évité la sempiternelle dinde trop sèche de chez lui. Emma le gronde que ce n'est pas gentil de nous dire cela. Il se défend que sa mère n'est pas une mauvaise cuisinière mais avec la dinde ça ne fonctionne pas. Le dessert est du même niveau et c'est au café que se fait l'échange de cadeaux.
Emma a décidé que nous aurions tous le même présent (Pablo compris) avec la date gravée dessus. Avec la complicité de Marc, elle nous a fait réaliser pour chacun la même chevalière en or dont le plateau est un grenat Demantoïde d'un vert très profond gravé en intaille d'une vision moderne d'Hercule terrassant le lion de Némée d'après une gravure originale de Nicolas Salagnac. Elles sont superbes on les passes toutes à nos doigts. J'adore l'idée " clan " qu'elles sous entendent. Le motif gravé montre donc un Hercule très musclé et bien monté (même s'il ne bande pas) étranglant un lion majestueux. Elle confie un écrin à Ernesto pour Hervé. Il la remercie chaleureusement qu'elle ait pensé à lui.
C'est l'année des bijoux puisque j'ai étendu mon idée du bracelet que j'ai offert à Ludovic aux autres participants du déjeuner. Ils sont tous rigoureusement identiques. La simplicité de leurs surfaces externes lisses ne trouble pollue pas l'effet de l'intaille. Ernesto remarque la succession des couleurs de la face interne et tout le monde trouve ça amusant. Marc me remercie que cela soit discret et personnel.
Marc et Hervé, eux, ont rapporté d'orient des olisbos en jade. A la vue de leurs tailles, Emma nous dit qu'ils doivent durement être décoratifs. Même si nous n'avons pas beaucoup de secret pour elle, personne ne lui dit que cela nous arrive d'utiliser des godes de ces tailles. PH s'est mis avec Ernesto et Ludovic pour m'offrir une perle en or ciselée pour mon oreille. Je les engueule de dépenser l'argent pour ça mais je tombe quand même dans leurs bras pour les remercier.
Nous offrons à notre hôtesse un tatouage de son choix chez mon tatoueur. Elle a eu beau me trouver fou d'avoir fait graver dans ma peau cet énorme dragon qui me mange le téton, à chaque fois que nous faisons l'amour, je la surprends à caresser la bête !
Evidemment ce sont des cris de surprise et de refus qui arrivent en premier. Je la pousse une peu dans ses retranchement pour qu'elle admette que cela la tente mais qu'elle ne comptait pas le faire. Tout le monde y va de son commentaire. PH lui dit que c'est effectivement une idée trop étrange pour elle. Il ajoute qu'en tant que femme qui porte de beaux et profonds décolletés, il trouve difficile de trouver une place adéquate. Marc lui dit de ne pas tenir compte de moi, j'étais fou et voulait que tous autour de moi le soient. J'argumente que cela lui apporterais une certaine originalité parmi ses " amies " bien pensantes. De plus elle n'est pas obligée d'en faire faire un aussi gros que le mien ! Elle finit par avouer que le mien lui plaisait beaucoup.
Là, c'est moi qui la mets en garde. La façon dont il passe de mon dos à mon pec par-dessus l'épaule droite l'empêcherait de porter ses robes légères l'été sauf en privé. C'est elle qui me dit qu'en faisant passer le dragon sous son bras plutôt qu'au-dessus, un simple maillot 1 pièce ferait l'affaire. Je crois bien qu'elle va le faire. Moi, j'avais plutôt pensé qu'elle ferait comme Marc une version réduite de ma bête et plutôt sur une fesse de façon à ce que ce soit vraiment " privé ". Je lui en fais part. Elle éclate de rire et me dit qu'alors il ne servirait à rien à cet endroit-là. Ernesto et PH se joignent à moi pour la raisonner. C'est peine perdue !
Ça m'apprendra à offrir des trucs aussi bizarres. Mais que peut-on offrir à une femme qui a déjà tout !
Comme j'ai prévu de ne pas la laisser seule ce soir de noël et que PH, Ernesto et Ludovic vont rester avec moi, j'ai demandé à mes deux vietnamiens, qui ne fêtent pas ce jour chrétien, de se mettre à disposition de Marc et Hervé. Ils refusent que je leur paye cette prestation. Ils me disent que c'est pour la colocation qu'ils ont intégré à leur tour.
Nous passons la soirée à faire l'amour à Emma. Ernesto, PH, Ludovic et moi, réussissons à la maintenir en état de jouissance où très proche plus d'une heure et demi durant. Nous la laissons dévastée. Elle a juste la force de soulever ses paupières pour nous voir jouir tous les quatre de nos corps de mâles. On sait exactement ce qui fait réagir l'autre et nous en profitons. Ludovic en est encore au stade de la découverte et c'est nous qui en profitons pour l'emmener au 7ème ciel en premier. Je profite de la belle queue d'Ernesto. Elle me laboure l'anus en profondeur et c'est trop bon, surtout avec PH en 69 qui me suce la bite. Nous nous " nourrissons " de concert alors qu'Ernesto se vide en moi. Pendant que c'est notre tour de récupérer, elle part enfiler un maillot de bain une pièce assez échancré pour me prouver ses dires concernant mon cadeau. Elle ajoute qu'elle ne portera de 2 pièces qu'avec ses amies auprès desquelles elle le voudra. Ernesto la fait tourner et effectivement, si le corps du dragon contourne par sa taille, elle pourra le dissimuler.
Nous passons la nuit avec et sur elle. Elle doit nous réveiller deux fois car nous l'étouffons en nous couchant sur elle. 4 corps entre 80 et 90 Kg c'est sûr que c'est un peu lourd quand ils ne bougent pas pour lui donner du plaisir !
Quand nous débarquons au blockhaus, nous croisons Lâm et Khang qui en partent. Ils nous disent comprendre pourquoi nous sommes avec Marc et Hervé. Ils n'ont quasiment pas dormis de la nuit avec nos deux hommes.
Nous les trouvons encore en boxer, avec des petits yeux. PH leur demande comment ils font quand ils sont là-bas. S'ils ont ces têtes avec leurs clients, ils doivent recevoir des réflexions.
Nous passons la fin de matinée dans l'eau au second. La chaleur y est plus forte et nous en avons bien besoin pour détendre nos muscles un peu trop sollicités dernièrement.
Samir et Ammed nous appellent pour le déjeuner si on ne veut pas manger brulé. Ce serait dommage vu les plats qu'ils nous ont concoctés. Le reste du 26 est calme. Nos cadeaux nous plaisent et chacun les porte. Il faut dire que je m'étais offert le même bracelet que ceux que j'avais offerts. Les parents de PH sont partis en voyage au soleil et nous ne les verrons qu'après le nouvel an.
J'ai reçu les dernières réponses pour la touze du 31 décembre depuis déjà plus d'un mois. Heureusement que le blockhaus est grand car il va être plein. C'est le fait que l'année dernière j'avais dû l'annuler à cause de mon accident. De plus contrairement aux autres années, tous mes escorts ont refusé de prendre un engagement pour cette soirée afin d'y participer aussi. Même les derniers, poussés par les autres ont décliné des propositions de prestations pourtant payées en honoraire de jour férié !
Ils sont déjà 25 ! Plus tous les amis qui se sont débrouillés pour être libre (je pense à mes deux motards de la gendarmerie), nous serons au bas mot 80 !! Pour la bouffe ce n'est pas un problème, entre Samir et Ammed et Julien notre charcutier traiteur et néanmoins amant de Second, la chambre froide sera pleine de ce qu'il faudra. Pour la baise, là non plus pas de soucis, on n'est pas du genre à ne le faire que dans un lit. Ça va plutôt être pour dormir que ça va être chaud. Heureusement que la surface de tatami a été augmentée dernièrement. Et puis comme il règne une chaleur qui nous permet de vivre quasiment à poil, la terrasse pourra aussi accueillir des dormeurs. Par contre le donjon, s'il va surement servir ce soir là aussi, n'es pas équipé pour le sommeil !
Marc et Hervé me traient de fou. Je pense que c'est effectivement la plus grosse partouze que j'aurai jamais encore organisée. Au moins le double des fois dernières. San compter que bon nombre d'invité vont faire le pont et rester jusqu'à dimanche soir. Soit 4 jours complets de débauches en tout genre, enfin homo !
Du site du " roi de la capote ", je reçois plusieurs centaines de préservatifs indispensables. De toute sortes avec et sans latex pour les allergiques, phosphorescents, avec des goûts fruités. Bien sûr il y a une bonne quantité de XL et XXL j'en ai trouvé de 220m x 60/69, ce qu'il faut pour l'équipe du club hippique, Éric et même João et Sosthène ! Le tout est accompagné de quelques litres de gel lubrifiant et quelques pots de crème à fist pour les plus aguerris. En effet, je ne dois pas compter une par éjaculation car je pense que les bites seront passées par plusieurs culs avant que leurs couilles se vident !
Pour éviter tous mélanges qui se révèleraient néfaste pour certains estomacs, il n'y aura que du champagne, en apéritif, aux buffets et même après. Le caviste m'en livre 400 bouteilles ce qui restera ne sera pas perdu. Comme il veut me faire un cadeau, je refuse ses bouchons temporaires, les bouteilles n'auront aucune chance de rester à moitié vide, par contre j'accepte qu'il m'offre une 10aine de sceaux à glace. C'est plus pour les maintenir autour des 8-10° optimums que pour les frapper. On ne " gèle " que les champagnes de petite qualité. Je passe par la mère de Julien pour savoir combien je vais lui coûter. Le connaissant, il va me donner un chiffre fantaisiste bien en deçà de la réalité et je ne tiens pas à ce qu'il soit de sa poche pour ce qu'il me fournit.
Il y a plusieurs semaines déjà, avec mes acolytes, nous avons réfléchis au petit souvenir que nous pourrions offrir à tous les participants. Même si ça va être une débauche de sexe phénoménale, pas question de tomber dans le graveleux. Pas de savon bite ou de mug cul, il nous faut viser plus haut. Ludovic propose un truc qui fait que l'on saurait tout de suite qui faisait partie de cette fête, donc quelque chose de visible comme les bagues universitaires américaines. L'idée est là mais une bague de plus... On se fixe sur un simple anneau en or gravé de " Blockhaus 15 " pour 2015. Pour mes Escorts j'ai l'information dont nous avons besoin pour leurs réalisations. Tous les autres ont été priés de me donner la taille de leur auriculaire. Pour la matière nous optons pour de l'or rose, on est Pd ou pas ?!
Evidemment, ils vont se douter qu'ils vont recevoir un anneau mais pas celui-là !
Jardinier
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Pendant tout le mois de décembre retrouvez chaque lundi une histoire de Bulle « À suivre » pour vous plonger tranquillement dans l’esprit des fêtes de fin d’année ♡
Après cette introduction au bon goût de gâteau fait-maison, on se retrouve lundi prochain pour la suite de l’histoire !
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PsSst ! Pour recevoir mes bandes dessinées directement dans votre boite mail, toutes les infos sont ici, c'est gratuit : https://www.minikim.net/la-lettre-dessinee/
#Maman lectrice#lecture en famille#bibliothèque jeunesse#BD jeunesse#bandedessinée jeunesse#dailydoodle#illustration#comics#bande dessinée#youth illustrator#children illustration#illustratrice jeunesse#autrice#children book#children's illustration#bande dessinée jeunesse#auteur illustrateur#album jeunesse#edition jeunesse
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" Boyfriend "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Philip Graves
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Malgré les efforts de sa femme, sa discrétion digne des plus grands espions et la clé du cadenas donnant accès à ses lèvres jetée, Graves finit par apprendre que sa fille a un petit ami, et il n'est pas du tout ravi par cette nouvelle. Son épouse s'occupe alors d'apaiser son coeur.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : très soft, rien à signaler
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad or AO3, my accounts are in my bio, these are the ONLY ONES i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad ou AO3, j'ai des liens dans ma bio, ce sont mes SEULS comptes
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟒,𝟓𝟒𝟎
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
Dans l'immense maison, grandement éclairée par les splendides rayons solaires, un joli boucan symphonique retentissait. Entre les aboiements du chien à l'étage, les bruitages provenant de la télévision dans le salon, le remue-ménage dans la cuisine et les exclamations d'enfants au bout de la rue. C'était parfait. Un cliché parfait.
Dans la cuisine, la mère de famille s'affairait à la création de quelques pâtisseries. En ce début d'après-midi, elle n'avait pu résister à l'envie de faire plaisir à sa famille, alors, elle s'était mise aux fourneaux. Elle remuait avec énergie la pâte à gâteau, à l'aide d'une spatule en plastique, les yeux brillants et un fin sourire aux coins des lèvres. Depuis la cuisine, elle entendait son mari jouer aux jeux vidéos dans le salon. Elle entendait des personnages hurler, se blesser, tirer et courir à en perdre haleine. Quelques fois, lorsque Philip perdait, il se mettait à grogner ou à proférer des vulgarités. Elle l'écoutait d'ici, surprise et à la fois embarrassée. Elle s'arrêtait alors de mélanger sa pâte et regardait de manière ébahie la sortie de la pièce. Le salon était visible de là, on n'en voyait que la partie de gauche ᅳcomprenant une plante verte, de une baie vitrée, un fauteuil crème y compris un épais tapis.
C'était une agréable après-midi, l'air était bon, quoique un peu chaud. Tous les membres de la famille Graves en profitaient. Y compris le chien qui, depuis cinq minutes, n'avait pas cessé d'aboyer. L'attention de la mère de famille ne fut détournée que lorsqu'elle l'entendit galoper dans les escaliers à vive allure. Le golden retriever fit son entrée dans la cuisine avec enthousiasme. Il s'approcha de sa gamelle et happa deux grosses bouchées de croquettes. La jeune femme sourit et stoppa son activité.
« Eh bien Maurice, qu'est-ce qui t'arrive ? »
Le chien fit volte-face à l'entente du terrible nom que, quelques années plus tôt, l'on lui avait attribué. Avec plaisir, il s'approcha de la jeune femme et vint lui lécher le visage. Avant qu'il ne la touche, la mère de famille se recula de justesse.
« Pas de bisous pendant que je cuisine. Désolé, mon petit. »
Le chien éternua, à sa plus grande surprise. Elle arqua un sourire et s'accroupit devant lui.
« Tu es malade ? Curieux, ce n'est pas la saison. » se questionna-t-elle. « Philip ! Je crois que Maurice est tombé malade. Qu'est-ce qu'on fait ? »
Son cri résonna dans toute la maison, y compris l'étage. La mère de famille entendait néanmoins le bruit du jeu vidéo persister. Philip ne s'arrêtait pas de jouer, sûrement ne l'avait-il pas entendue. Le chien, quant à lui, aboya. Il s'attira le regard attendri de sa maîtresse, celle-ci lui fit signe de le suivre. Ce qu'il fit, jusqu'à entrer dans le salon. Il trottina joyeusement derrière elle jusqu'à apercevoir son maître sur le canapé.
« Phillip, mon amour. »
Le soldat zieutait son épouse.
« Je peux t'aider ? » il demandait, les yeux déjà de retour sur la télévision.
« Je crois que Maurice a attrapé froid. On l'emmène chez le vétérinaire ? »
Phillip zieuta le chien.
« Il a pas l'air malade. » répliqua-t-il.
« Philip. »
Le père de famille mit en pause son jeu et, leva rapidement les mains en l'air, effrayé face à l'expression sévère de sa femme. La mère de famille sourit, heureuse d'avoir enfin réussi à capter l'attention de son mari. Sa manette reposait sur sa cuisse. Philip l'ignora, ses pupilles rivées en direction de l'amour de sa vie.
« Ma chérie, je suis sûr que ça devait être à cause de la poussière. Il fait trop chaud pour tomber malade. » déclara le soldat. « Maurice va bien, regarde le. »
Le dit Maurice était assis. Fièrement posté contre la jambe de sa maîtresse, l'air idiot mais surtout heureux. La jeune femme soupira à cette vue. Soudainement, le poids qui s'était incrusté dans son cœur disparu, laissant place à un sentiment de soulagement très exagéré.
« Je ne veux pas d'un animal malade avec nos enfants. Si je l'entends recommencer on l'emmènera chez le vétérinaire, d'accord ? »
« Oui, m'dame. » sourit Phillip.
La jeune femme caressa gentiment le sommet de la tête du golden retriever, le faisant soupirer d'aise, ainsi qu'aboyer, peu après. Le chien se frotta gentiment à elle, sa queue balancée dans les airs, signe de son d'épanouissement.
« Je peux retourner à ma partie, maintenant ? »
« Oui, mon amour, tu peux. Merci de ton attention. » pouffa la mère.
« Tout le plaisir est pour moi, ma chérie. » répondit son époux.
De retour dans la cuisine, la mère de famille ne parvint point à effacer le sourire dessiné sur ses lèvres. Suivie de près par son chien, elle le sentit s'installer entre ses jambes lorsqu'elle ouvrit le robinet et commença à se laver les mains. Elle baissait de temps à autre la tête dans sa direction. Apercevoir son adorable petit minois suffit à la faire glousser. Toute cette attention dirigée vers elle la fit fondre de bonheur, elle ne put résister à l'envie de chouchouter son animal de compagnie. Lui offrant une petite confiserie, elle le laissa tranquillement s'occuper avec, elle en profita pour retourner à la préparation de ses pâtisseries.
Une fois la mixture enfournée, elle s'affaira à nettoyer la cuisine. Elle récura la planche à pain, l'îlot central et prépara un immense plateau afin de pouvoir parfaitement disposer les gâteaux à leur sortie. Lorsqu'elle entendit sa fille descendre des escaliers, elle était en train d'essuyer le bord de l'îlot avec un joli torchon à carreau. Torchon qui, tomba au sol, sous l'expression hébétée de la mère.
« Maman, chut, ne dis rien ! »
L'adolescente se précipita sur les lèvres de sa mère, elle les camoufla de ses doigts. Ses yeux écarquillés avaient un côté comique. Sa mâchoire s'en était presque décrochée. Le ton suppliant de sa voix cherchait à adoucir l'état de choc dans lequel elle se trouvait. Le silence dans lequel elle s'était réfugiée était inquiétant, mais la fille se sentait déjà chanceuse qu'elle n'eût pas hurlé d'horreur plus tôt. La mère de famille déglutit. Elle observa la tenue de son enfant, prise par surprise par l'attention avec laquelle elle s'était pouponnée.
« Si papa me voit il va piquer un crise, alors ne dis rien. Je t'en prie, maman. »
L'adolescente s'assura que sa mère fut effectivement calmée au moment où elle retira ses mains. Elle la sentait inspirer grandement. Cela fit augmenter les battements de son cœur. Elle tourna alors sur elle-même et offrit un sourire timide à sa mère.
« Qu'est-ce que tu en penses ? »
« J'en pense que Maurice est allergique à ton parfum, ma chérie. »
« Oh, vraiment ? » s'étonna la demoiselle.
La mère hocha la tête, au même moment, le golden retriever éternuait. Cela prit par surprise l'adolescente qui, immédiatement, sentit ses yeux s'écarquiller. Elle zieuta le pauvre animal. Et fit la moue.
« Je l'ai gardé enfermé avec moi dans ma chambre. » avoua-t-elle. « Je suis désolée maman, je savais pas. »
La mère de famille déposa une main rassurante sur son épaule.
« Maintenant tu le sais. » elle répondit.
Replaçant une de ses mèches de cheveux sur son front, elle s'approcha de son visage et lui sourit chaleureusement. Cela valut au cœur de l'adolescente de s'emballer. Sa mère sentait bon, elle avait la peau chaude. C'était quelque chose qu'elle avait toujours trouvé agréable. Lorsqu'elle la touchait, son épiderme s'emballait et elle se sentait automatiquement en sécurité. Sa mère avait les yeux doux. Ses pupilles brillaient constamment, même lorsqu'elle était triste et en colère. C'était hypnotisant.
« Tu es très jolie, ma chérie. » murmura la jeune femme. « Je suis sûre que Samuel va adorer. »
Elle déposa un tendre baiser sur son front en bonus. Sa fille rougit à ses propos, cela fut imperceptible, à cause de la touche de maquillage qu'elle avait précédent appliqué sur son épiderme. Mais avec la façon dont elle regardait sa mère ᅳavec émerveillement, cela importait peu. Sa mère se recula d'elle et zieuta avec attention l'entrée de la cuisine.
« Quand est-ce que tu t'en vas ? »
Sa fille jeta un coup d'œil à son portable.
« Dans deux minutes. »
« Reste dans la cuisine. Ton père joue, il ne viendra pas ici. »
L'adolescente enlaça sa mère.
« Merci maman. »
Elle la serrait gentiment dans ses bras, le cœur battant à vive allure et des papillons dans l'estomac. Plus que deux minutes. Plus que deux petites minutes et elle serait réunie avec son petit ami. Cette pensée suffisait à la rendre toute fébrile. Ses mains en étaient toutes tremblantes. Elle se sépara de sa mère et prit place sur l'un des tabourets de l'îlot, laissant tout le temps à sa mère de ramasser le torchon par terre et de le jeter dans la machine à laver. En se redressant, elle croisa le regard larmoyant du golden retriever. Sa vue était brouillée, il était incapable de manger le reste de sa friandise. Cela lui brisa cœur. L'adolescente était bien trop occupée à être sur son portable pour le remarquer, la jeune femme décida alors de s'en occuper. Elle caressa gentiment le poil soyeux de l'animal et lui fit signe de se redresser.
Une fois arrivée dans le salon, elle fit signe au golden retriever de s'installer aux côtés de Philip. Le chien obéit sans rechigner.
« Mon amour, je te le laisse. »
Surpris à la sensation de son chien collé contre son bras, Philip sursauta. Son personnage mourut en réponse.
« Merde ! Hein, quoi ? »
Son épouse roula des yeux.
Elle replaça une mèche de ses cheveux derrière son oreille et fit un rapide signe de tête en direction de leur animal de compagnie. Le soldat passait la pulpe de ses doigts sur le crâne du golden retriever, tendrement, il lui offrir une flopée de papouilles. Sa femme le regarda faire. Elle croisa ses bras autour de sa poitrine et esquissa un petit rictus.
« Il m'embête dans la cuisine, je peux te le laisser ? »
« Comment ça il t'embête ? » s'étonna Graves. « Je l'ai même pas entendu aboyer. »
La jeune femme zieuta le pauvre animal. Elle se sentait mal de l'accuser ainsi, mais, sachant pertinemment comment Graves réagirait à la vue de sa petite fille d'amour maquillée et joliment vêtue, tout ça pour un garçon, elle sut que cela valait la peine. Alors, elle prit elle aussi place sur le canapé et apporta sa main sur le dos du chien. Graves la regardait faire avec attention, surpris par son comportement des plus hors du commun. Il lui suffisait de discuter quelques minutes avec lui le temps que sa fille sorte. Graves n'entendrait sûrement pas la porte d'entrée se refermer. Sûrement.
« Qu'est-ce que t'as ? »
La mère de famille croisa son regard.
« Mhh ? »
Le soldat retira sa main de son chien et alla la déposer sur la nuque de son épouse. Se perdant dans son regard pétillant, il glissa son pouce sur sa mâchoire et se pencha en sa direction. Il la dévisageait avec intensité.
« Phillip. » s'exclama la jeune femme avec embarras.
« Tu manques d'attention, c'est ça ? » demanda-t-il. « Ça t'ennuie que je te touche pas ? Ne t'en fais pas, ma belle, je vaisᅳ »
Frustrée, la jeune femme coupa son mari. Elle déposa la paume de sa main ᅳcelle qui caressait leur chienᅳ sur ses jolies lèvres. Cela prit le soldat de court. Il fit alors les gros yeux. La mère de famille, elle, roula des yeux et déglutit. Son cœur battait vite.
« Est-ce que tu peux arrêter de me parler comme si j'étais une enfant ? » murmura-t-elle avec embarras. « Je voulais juste voir comment tu allais. » elle avoua. « Tu es scotché à ton jeu depuis que tu as quitté la table. »
Graves fit la moue.
« C'est tout ? » il la questionna en saisissant son poignet.
C'était évident que Graves désirait plus. Il adorait taquiner son épouse, il adorait la noyer sous un flot d'attention et de blagues de mauvais goût. C'était tout de dont il avait toujours rêvé. Alors, lorsqu'elle le lui refusait, il se renfrognait immédiatement, tel un enfant. L'expression sur son visage se creusait de rides et l'éclat dans son regard si éblouissant se fana. Raffermissant sa prise sur son poignet, il y déposa un baiser et la força à se rapprocher de lui. Le chien ne fut en aucun cas touché, toujours sandwiché entre ses deux maîtres, observant la cheminée de marbre juste en dessous de l'immense télévision écran plat.
« Phillip, chéri, tuᅳ »
« Attends. »
Graves relevait son regard en direction de la sortie du salon menant à la porte d'entrée ᅳainsi que le couloir menant à la cuisine ainsi qu'à l'escalier. C'était très fin, à peine perceptible, mais le soldat avait entendu une paire de clé bouger. Une clef avait été remuée dans la serrure. Il en était certain. Il appela immédiatement leur fille. D'une voix ferme et stricte, il lui fit tourner la tête dans sa direction. La demoiselle se trouvait dans l'encadrement, sa nuque à peine perceptive, mais son maquillage, lui, très visible. Cela manquait de donner une crise cardiaque à son pauvre père. Père qui, l'instant suivant, chercha à se lever du canapé. Il bondit de celui-ci, rapidement retenu par sa femme qui venait d'attraper son avant-bras.
« Je peux savoir où tu vas, maquillée comme ça ? » demanda Graves.
L'adolescente offrait un regard suppliant à sa mère, sachant que toutes les excuses du monde n'auraient su calmer l'état de colère dans lequel se trouvait son père.
« Va, ma chérie. Je le retiens. »
Graves arborait un sourire narquois.
« Tu me quoi, mon ange ? »
« File, file ! Vite. » s'exclama la mère.
L'adolescente envoyait un baiser volant en direction de la jeune femme, dévoilant au passage un bout de sa tenue à Graves. Le pauvre soldat manquait d'en mourir. De près, son cœur avait arrêté de battre. Il tenta de partir à la poursuite de sa fille, mais sa femme la retint et le temps qu'il se tourne vers elle afin de la réprimander, la porte d'entrée se refermait sur leur enfant.
« Eh, j'ai pas fini ! Reviens aussi ! Merde. »
Graves toisait sévèrement son épouse.
« Où est-ce qu'elle va dans cette tenue ? Et avec qui ? » s'inquiéta-t-il.
« Il s'appelle Samuel. Je l'ai rencontré il y a peu, il est très gentil. »
Graves manquait de s'étrangler avec sa propre salive. Il fut gentiment ramené sur le canapé, cette fois ci près de sa femme ᅳleur chien ayant bougé à l'autre bout du meuble à cause des cris. Son épouse admira son expression terrifiée et passa sa main libre dans sa chevelure.
« Il ?! » répéta-t-il, ébahi.
« Avec une fille aussi mignonne, tu aurais dû t'y attendre, chéri. »
Graves grimaçait.
« Mais.. Elle est encore jeune ? Trop jeune ! »
Il se leva brusquement.
« Je peux encore la rattraper, la raisonner. » s'exclama-t-il.
« Non, tu restes ici. » lui ordonna sa femme. « Tu ne bouges pas d'un centimètres sinon tu dors sur le canapé ce soir. »
Graves la dévisageait avec surprise.
« Et qu'est-ce qui se passe si il lui brise le cœur ? Qu'est-ce qui se passe si je peux pas la protéger ? »
Son épouse gloussa tout en se levant. Rapidement, elle glissa sa main le long de son avant-bras pour entremêler ses doigts aux siens.
« Alors on paiera à ce Samuel une petite visite. Ça te va ? Parfait. Maintenant assieds toi, mhh ? »
Le soldat ne répondit pas. Il cligna des yeux à répétition, encore surpris par la tournure qu'avait pris son après-midi si paisible. Son cœur battait vite dans sa poitrine, il en avait mal au crâne. C'était impensable. C'était inadmissible. Sa petite fille, amoureuse ? Avec quelqu'un ? C'était intolérable ! Il ne désirait qu'une chose, lui courir après et la forcer à redevenir sa petite fille de cinq ans qui ne réclamait que son père, qui n'aimait que son père, et qui avait juré de n'aimer aucun autre homme que son père. C'était pour lui qu'elle avait ri et pleuré ! Elle ne pouvait pas le trahir ainsi, c'était inconcevable ! Cependant, le regard de sa compagne indiquait tout le contraire. Sa femme se sentait fière, joyeuse. Leur enfant avait grandi, sa vie débutait, petit par petit, et cela la rendit folle d'excitation, au plus grand regret de son mari. Graves soupira alors, le cœur brisé.
« C'est pas juste. »
Sa femme riait.
« Pauvre de toi, vraiment. C'est terrible ce qui t'arrive, que le monde est cruel ! »
Graves roulait des yeux.
« Pas la peine de te moquer. C'est bon, j'ai compris. »
Graves fronçait les sourcils à la sensation des doigts de sa femme raffermissant leur prise sur les siens. Gentiment, elle attira son regard défaitiste sur elle. Sa femme lui sourit et se pencha dans sa direction, un fin sourire taquin sur les lèvres et ses yeux toujours aussi pétillant. C'était à se demander si elle n'était pas sur le point de pleurer, si une galaxie ne déployait pas ses ailes à l'intérieur de son regard.
« Tu veux des gâteaux pour te remonter le moral ? » lui proposa-t-elle.
« Est-ce que j'aurais un verre de lait avec ? »
« Bien évidemment, mon chéri. Toujours. »
« Et des bisous ? »
Son épouse sentait ses joues chauffer. Elle se racla la gorge et se pinça joliment les lèvres, sous le regard attentif de l'homme de sa vie.
« Mhh, je crois que ça peut s'arranger ! »
Sa femme le traîna en direction de la cuisine. Tournée vers lui, de manière à lui faire face, elle marcha à reculons, tout sourire. Graves la laissa faire, toute son attention soudainement dirigée droit sur elle. Elle et seulement elle. Il la laissa le plaquer contre le plan de travail en face du four et se pencha dans sa direction lorsqu'elle approcha ses lèvres de sa joue afin de l'embrasser. Elle gloussa. Joyeusement, elle le contempla et saisit rapidement son visage en coupe dans le but de déposer un baiser sur ses lèvres. Graves grognait à la sensation de sa jolie bouche pulpeuse contre la sienne. Cela fit bondir son cœur dans sa poitrine, il en grimaçait.
« Tu es adorable quand tu veux jouer au père protecteur. » déclara la jeune femme.
« Adorable ? C'est tout ? » s'étonna Graves en arquant un sourire.
« Ridicule aussi. » elle rit. « Mais adorable avant tout. »
Cette petite moquerie lui valait de rapidement se retrouver attaquée par une paire de lèvres. Une flopée de baisers fut projetée sur les quatre coins de son visage. Graves la coinça contre son torse à l'aide de ses deux bras musclés. Elle en gloussa. Cherchant à se défaire de son emprise, elle ne réussit qu'à renverser sa tête en arrière et à se mettre à rire à gorge déployée. Son rire cristallin résonna jusque dans les oreilles de Graves. Il en rougit faiblement, le cœur battant à vive allure et les yeux palpitant de tendresse. Son épouse était splendide. Elle lui coupait le souffle. Pleine de vie et de passion, elle le rendait fou.
Pas étonnant qu'on lui vole sa petite et adorable jeune fille. Elle était le portrait craché de sa mère. Il avait déjà tant bataillé dans le passé pour s'attirer l'attention toute entière de son épouse. Il avait travaillé dur pour en impressionner plus d'un, mais surtout elle. Et même après avoir dépassé la concurrence, hommes et femmes avaient tenté de la lui voler. Désormais, c'était aussi au tour de sa pauvre petite et innocente fille.
« Tu crois qu'il va la forcer à fumer ? » demanda soudainement Graves.
Sa femme pouffa. Elle lui frappa gentiment l'avant-bras.
« Ne dis pas de bêtises. C'est une gentille fille et Samuel est très gentil lui aussi. Tout se passera bien. »
Pressant ses deux mains sur ses avants-bras, elle força Graves à se pencher droit sur elle. Elle l'embrassa une fois à sa hauteur. Elle glissa la paume d'une de ses mains sur sa joue, et dévora amoureusement sa paire de lèvres de la sienne. Graves grogna. Il s'accrocha à sa taille et répondit avec ardeur à son baiser, immédiatement enivré par la façon dont elle le caressait et l'embrassait, cela lui fit perdre toute notion ᅳespace, temps, cela importait peu. Il sentait la chaleur de son épiderme même à travers sa jolie robe à carreau et la sentait se coller contre son torse alors qu'elle pliait une de ses jambes en l'air. Le soldat raffermissait sa prise sur sa taille, haletant à travers les narines et fonçant les sourcils. Il finissait rapidement à bout de souffle mais ne s'en préoccupa point. Ce ne fut que lorsque sa femme se recula, complètement déstabilisée, qu'il se permettait d'ouvrir les yeux et d'inspirer.
« BᅳBon, où est ce fichu lait ? » balbutia-t-elle en se faisant un peu d'air à l'aide de sa main. « Un verre. Et, euh, un verre, aussi. »
Rapidement, la jeune femme se tourna en direction d'un cabinet de la cuisine. Elle en extirpa une tasse, sur le dessus inscrit "Best Dad #1" et allait rapidement la remplir depuis une brique de lait dans le frigo. Graves la regardait faire. Il l'admirait, bouche bée. Accoudé contre l'îlot central de la cuisine, il se figea dans l'instant présent et la laissait lui servir un généreux verre de lait. Sa femme accompagna ensuite le tout de biscuits qu'elle avait préalablement cuisiné ᅳoutre ceux cuisant actuellement.
Déposant le tout à côté de lui, sur l'îlot, la jeune femme peinait à croiser le regard de son époux. Comme au premier jour, elle se sentait embarrassée. Graves la rendait toute chose. C'était une ébullition, dans le creux de son estomac. C'était une explosion, dans le centre de son cœur. Graves la força cependant à relever ses yeux, il le fit en apportant ses doigts à son menton et en lui faisant relever le visage. Ce doux geste fit s'envoler une flopée de papillons dans l'estomac de la jeune femme. Elle battit fortement des yeux, soudainement prise par surprise. Graves la contempla avec amour. Il la regardait se mettre à rire nerveusement et cacher son splendide sourire derrière sa main libre.
« Qu'est-ce qui te prends, tout d'un coup ? » elle s'étonna.
« Rien. » murmura le soldat. « Je me disais juste quelle chance j'avais de t'avoir. » avoua-t-il.
« Oh, Phillip.. »
La jeune femme retira sa main de son visage pour enrouler ses doigts autour de son avant-bras. Graves frissonna au contact de sa peau. Il battait des cils, surpris. Elle, s'approcha de lui et embrassa la pulpe de ses doigts pressés contre son menton. Graves résista à l'envie de la saisir par la gorge et de sauvagement lui faire l'amour sur le plan de travail. Elle avait l'air irrésistible, si frêle et si féminine. Il n'avait qu'une envie : succomber, pour la briser et la détruire. Il ne voulait qu'il ne reste rien d'elle, rien qu'il n'ait goûté.
« C'est vrai, regarde toi. Tu es la parfaite épouse. Je n'aurais pas pu espérer mieux. »
La jeune femme esquissait un rictus charmeur. Elle déplaça ses baisers sur le creux de sa paume de main et se mettait à battre des cils de manière séduisante ce qui fit, immédiatement, rire son époux.
« Vos flatteries ne vous mèneront nul part, commandant Graves. »
Graves esquiva un autre de ses baisers pour attraper son visage en coupe et délicatement embrasser le sommet de son nez.
« Ça, permettez moi d'en douter, mademoiselle Graves. »
La main avec laquelle elle s'était accrochée à son avant-bras scintillait. Graves admira son annulaire, orné d'une bague excessivement grosse. La jeune femme gloussa à son insinuation. Elle frissonna d'inconfort. Graves était proche. Mais il restait à la fois si loin. Elle désirait faire plus que l'embrasser. Elle voulait qu'il la consume, qu'il la dévore, qu'il renverse tout ce qui se trouvait sur l'îlot de la cuisine pour qu'il lui fasse de la place pour leur troisième enfant. Elle voulait le sentir, elle voulait fusionner. Elle voulait ne faire qu'un. Ce désir lui fit perdre la tête. Elle en haleta et vit flou. Et Graves admira le tout, complètement captivé par sa détresse. Il plaça une firme prise sur ses hanches de son bras libre et approcha son visage du sien.
« Embrasse moi. » demanda-t-il.
Son épouse pouffa. Elle s'approcha de lui et se mit rapidement sur la pointe des pieds. Lorsqu'elle posa ses lèvres sur les siennes, Graves expira par les narines. Ce fut profond, comme s'il s'était soudainement senti soulagé. Comme si le poids sur ses épaules venait de s'envoler. Les yeux fermés et les sourcils froncés, il se mettait immédiatement à l'embrasser langoureusement. La jeune femme hoqueta face à la ferme prise que Graves exerçait sur sa taille ainsi que sa mâchoire. Puis, sensuellement, elle gémit dans sa bouche.
Le baiser dura. Il dura longtemps. Le soldat ne la laissa pas partir, il la garda pressée contre lui, torturée par le manque d'oxygène et le désir d'être toujours plus touchée. La jeune femme fondait contre son torse. Le baiser était sans arrêt coupé par ses gémissements plaintif et ses soupirs d'aise. Elle se tortillait contre lui, s'accrochait à son avant-bras et son épaule, complètement enivrée par sa force brute et envoûtée par la forte de son eau de Cologne.
Lorsque Graves mit fin à son supplice, la jeune femme retomba fébrilement contre son torse. Graves la contempla avec tendresse. Il se désaltéra tranquillement à l'aide de son verre de lait alors qu'il la zieutait à répétition. Durant tout le long, ses yeux restèrent rivés sur elle. Il ne la quitta point du regard. Elle, s'était s'accrochée à sa taille, la bouche entrouverte, les yeux écarquillés et les jambes compressées l'une contre l'autre. Graves sentait la friction de son bassin se répercuter sur son entrejambe, ce qui ne tardait pas à le faire grogner. Il fermait les yeux, prit par surprise par la vague de plaisir qui le submergea.
« Du calme. » il lui ordonna.
Graves embrassa la joue de son épouse. Une fois les yeux rouverts, il lui tendit un morceau de gâteau qu'elle saisit avec appréhension. Graves, lui, croqua une énorme bouchée dès qu'il eût attrapé sa propre part. Il la gardait contre elle tout en prenant son goûter de bonne heure. Déposant de temps à autre des baisers sur sa joue, sa nuque, sa clavicule, il zieuta aussi à répétition la fenêtre menant à l'allée de leur demeure. Graves cherchait à se changer les idées, l'image de sa fille si jolie et apprêtée pour un autre homme, le hantant toujours autant. La présence de sa femme l'aidait. Il la sentait se coller contre son torse et appeler doucement son nom tel un chant divin.
Lorsque Graves termina de manger, il fit la vaisselle. Rapidement, il nettoya son assiette ainsi que son verre, sous le regard déshabillant de son épouse. Il fit ensuite volte-face dans sa direction et passait son bras autour de son épaule.
« C'était délicieux. » commenta-t-il en déposant un baiser sur sa tempe.
« C'était un peu trop sucré, non ? »
Le soldat secoua la tête.
« Jamais. »
Elle sourit en réponse.
Le couple quitta rapidement la cuisine pour retourner dans le salon. Graves éteignit sa console pour remettre la télévision dans son état originel, pendant ce temps, sa femme prit place à ses côtés. Elle se recroquevillait dans un plaid, rapidement rejoint par leur golden retriever et finalement son mari. Graves passait son bras autour de sa nuque et enclencha un site de Streaming au hasard.
« Tu lui as dit quelle heure ? » il demanda.
Sa femme ne quittait pas l'écran plat du regard.
« Dix neuf heure. Pourquoi ? »
Graves embrassa le coin de ses lèvres tout en démarrant un film. Il se mettait à l'aise, enlaçant la femme de sa vie, jetant à la fois aussi un petit coup d'œil à leur chien qui se mettait à l'aise contre le corps de son épouse. Graves raffermit sa prise puis, avec toute l'indifférence du monde, déclara :
« Pour savoir quand charger mon fusil, évidement. »
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