#fond de carte
Explore tagged Tumblr posts
postcard-from-the-past · 2 months ago
Text
Tumblr media
Chinese vintage cover postcard, mailed in 1900 with the Chinese Imperial Post to Chaux-de-Fonds, Switzerland
288 notes · View notes
bookdragonquotes · 2 months ago
Text
Tumblr media
16 notes · View notes
Text
On the disabled employees #2
I had a final interview with a company today. It went well. There is just something that stuck with me. I asked if I could be absent easily if I have an appointment to the hospital. She said yes. However, she also said that other appointments like going to the physiotherapist could be taken after work. Well, it's technically true. But let's write the context: disabled people that work a full shift are tired more easily. We don't have any energy left for an appointment like the physiotherapist at the end of the day. I remember I had to take a fucking nap when I was working just to have enough energy to take a shower. So... Going to the physiotherapist after work? Out of mind. This is one of the reasons I stopped going to the physiotherapist when I became an adult. It's impossible. And this is one more reason the work system is even more fucked up towards disabled people. They did propose me to work behind a computer instead of going from places to places with the car (for the exact same salary), which I appreciate. However, like every other company, their mind doesn't process that we're easily tired!! Too easily tired!! We don't live normally. At all. I am faking it everyday. I am going out of my limits every fucking day to appear normal. And that's not normal.
1 note · View note
dandanjean · 1 month ago
Text
Interac
Que ce soit pour un retrait au guichet automatique, pour payer un biens ou un service avec sa carte débit ou pour un simple virement de fonds entre personnes, on passe nécessairement par le réseau Interac. Mais comment ça fonctionne exactement? Explications La petite histoire derrière Interac | La facture
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
motions1ckn3ss · 4 months ago
Text
the west end production of les mis: a commentary
(london, 20.09.24 evening performance)
so i saw les mis last night (!!!) with djavan van de fliert and tom hext as enjolras and grantaire (!!!) and here are some moments i scribbled into my notes app in the interval and after the show
in the runaway cart javert squeezed valjean's bicep on the line 'to be as strong as you are'
tom hext played the blind man in master of the house and thénardier sat on his lap and tom/the blind man felt him up then got a hard on 😭😭😭
grantaire has his bottle taken off him in abc café and immediately produces two more from under the table
grantaire slapped enjolras' arse.
following 'lamarque is dead' enjolras picked gavroche up and spun him round
right before 'she is the first to fall' after éponine dies enjolras starts on javert. like he steps forward and jolts himself if you know what i mean to scare him
gavroche hands marius éponine's hat :(
during the first attack grantaire shouts something (unintelligible) whilst laughing (very drunk) and everyone goes mental at him for not taking it seriously
the audience laughs at the beginning of grantaire's part in drink with me because tom hext does it really jokingly at first then everyone quickly shuts the fuck up
enjolras reaches out to grantaire and he waves him away then gavroche runs and hugs him from behind
during the final battle when marius falls enjolras and grantaire hug over his body then there was a head touch
overall grantaire looked constantly despairing throughout over what was going to happen and enjolras looked impossibly fond of him rather than frustrated and i love them both.
136 notes · View notes
pompadourpink · 2 months ago
Text
Green related voc
Evergreen - à feuilles persistantes (trees), indémodable (movies)
Green - vert-e
Greenish - verdâtre
Green/eco-friendly - écolo(gique)
Green/envious - vert-e de jalousie
Greenfield - jamais construit-e, vierge de construction
Green/immature - jeune, innocent-e, naïf/naïve
Green/sickly - pâle
Green/unripe - vert-e
Green/unseasoned - vert-e (wood)
-
Bice green - vert bis
Blue-green - bleu-vert
Bottle green - vert bouteille
Dark green - vert foncé
Emerald green - vert émeraude
Forest green - vert forêt
Grey green - vert de gris
Hunter green - vert armée
Jade green - vert jade
Kelly green - vert irlandais
Light green - vert clair
Lime green - vert citron
Mint green - vert menthe
Olive green - vert olive
Pea green - vert pomme
Pistachio green - vert pistache
Sage green - vert sauge/cendré
Sea green - vert d'eau
Turquoise green - vert turquoise
Yellow green - vert-jaune
-
Green beans - les haricots verts, m
Green cabbage - le chou vert
Greengage - la reine Claude
Green gram - le haricot mungo
Green onion - la ciboule
Green pea - le petit pois
Green pepper - le poivron vert
Greening - la pomme reinette
Greens - les légumes verts, m
Salad green - le légume-feuille
-
Evergreen - le conifère
Evergreen magnolia - le magnolia d'été
Evergreen oak - le chêne vert
Greenback - le billet de banque
Greenbelt - la ceinture verte
Green card - la carte de séjour/de résident
Green (drug) - l'herbe, f; la beuh
Greenfinch - le verdier
Greenfly - le puceron
Green foliage - la verdure
Green (golf) - le green
Greengrocer - le marchand de fruits et légumes/primeur
Greenhorn - le blanc-bec, le bleu, le jeunot
Greenhouse - la serre
Greenland - le Groenland
Green light - le feu vert
Greenmail - le chantage financier
Green man (traffic) - le petit bonhomme vert
GMT - l'heure de Greenwich, f
Green (money) - le fric
Greenness - la verdeur
Green (party) - les Verts/Ecologistes
Green screen - le fond vert
Green snake - la couleuvre verte
Green space - l'espace vert, m
Green (sports) - le gazon
Greenstone - la néphrite
Greensward - la pelouse
Green tea - le thé vert
Green vehicle - le véhicule vert
Green (village square) - la place
Greenwashing - l'éco-blanchiment, m
Greenwood - la forêt verdoyante
Green woodpecker - le pivert
Shagreen - le chagrin
Verdant space - le coin de verdure
Wintergreen - la gaulthérie
-
Giving the green light (to) - donner le feu vert (à)
Going green - devenir écolo
Greening an area - verdir (planting trees)
Having a green thumb - avoir la main verte
Looking green - avoir mauvaise mine
Making (sm) green with envy - rendre (qqun) vert-e de jalousie
Turning green again - reverdir
Turning green (traffic) - passer au vert
Tumblr media
48 notes · View notes
au-jardin-de-mon-coeur · 6 months ago
Text
La balade du jour aux Calanques de Cassis (Provence-Alpes-Côte d'Azur)
#au-jardin-de-mon-coeur#my photo
Tumblr media
Les calanques de Marseille
Le massif des Calanques est une merveille de la nature nichée entre Marseille et Cassis. Ce paysage exceptionnel et unique est un incontournable à Marseille ! En effet, entre plages de galets et de sable fin, petites criques et eau turquoise, cet écrin de biodiversité a tout d’une carte postale ! C’est l’endroit parfait pour prendre le soleil, explorer les fonds marins, ou encore s’adonner à quelques activités nautiques comme le kayak.
Que vous souhaitiez randonner ou simplement profiter de la nature et de l’eau fraîche, ce lieu magnifique vous comblera. Certaines, plus accessibles que d’autres conviendront parfaitement aux familles, tandis que d’autres plus difficiles d’accès raviront les amateurs de randonnée. Ceci-dit, l’effort en vaut la chandelle, c’est un endroit unique au monde qui mérite bien sa place dans les incontournables de Marseille !
27 notes · View notes
camisoledadparis · 1 month ago
Text
saga: Soumission & Domination 340
Février le Ski-2
Jour 2
La seconde journée est plus fun que la première. Après une vérification que les conseils de la veille avaient été bien mémorisés, notre militaire nous emmènent vers une piste de bosses. Arrivés en haut, c'est impressionnant. Certaines bosses sont très prononcées et rien que d'imaginer la descente, on sait qu'on va se faire secouer. Petit briefing avant d'entamer la descente. Rester souple sur ses cuisses, légèrement en arrière et dans un premier temps ne pas se focaliser sur la ligne droite ! Merci quand même. En fin de matinée, nous nous en sortons honorablement mais les batteries épuisées. On décide d'une pause. Le chalet d'altitude propose une carte réduite mais suffisante. Les prix sont inversement proportionnels ! Un vrai racket, même si les charges sont élevées. Avant que le réflexe " économie " de notre moniteur se manifeste, je commande pour lui. Comme il fait beau, on mange en terrasse et nos combinaisons grandes ouvertes sur nos torses imberbes (pour faciliter la production de vitamine D bien sûr) attirent les regards. Sans se jeter des fleurs, nous étions la plus belle brochette de jeunes mecs de la terrasse. Et quand l'équipe N°1 est arrivée, c'est devenu plus chaud. Quelques jeunes filles ont été déçues quand Ludovic et PH m'ont roulé une pelle avant d'aller commander dans le chalet. On parle de nos descentes. Eux se sont fait quelques noires partantes du sommet. Jona qui voudrait enchainer dessus l'après-midi se fait calmer par notre Lieutenant qui nous dit que nous devons encore faire des progrès. L'après-midi est plus calme et c'est tant mieux pour nos cuisses qui commencent à chauffer dur. Entre les courbatures de la veille plus le travail de la journée, nous investissons le spa de l'hôtel afin de dénouer nos muscles martyrisés. Clem se dévoue et nous sommes quelques-uns à bénéficier de la magie de ses mains. João et Sosthène nous dévoilent leurs talents cachés de masseurs et viennent à sa rescousse. Nous avons juste le temps de  monter nous habiller pour le dernier service du diner. Avant de remonter, nous prenons un alcool au bar. Il ne faut pas beaucoup de temps pour nous faire aborder les uns les autres, aussi bien par des meufs que des mecs, dont quelques étrangers que notre groupe intrigue. Alors que nous pensions y rester 1/2 heure, finalement nous ne remontons qu'1h1/2 plus tard et certains avec un n° de téléphone supplémentaire. Sur notre palier je préviens que chacun est libre de baiser avec qui il veut en dehors du groupe mais pas à cet étage. C'est la seule contrainte que j'y mets avec le port de kpotes évidemment. Ils comprennent tous pourquoi. En attendant les couples se mélangent pour la nuit. Ce n'est pas souvent qu'ils se retrouvent tous ensemble au même endroit aussi longtemps. Ça leur rappelle le 1er de l'an qui a duré 3 jours pour certains. Mes deux russes se font coiffer au poteau par Max et Enguerrand. Quand ils arrivent pour leur 2ème nuit avec nos lieutenants, ils trouvent les deux benjamins déjà coulés au fond du lit alors que leurs hôtes sont encore dans la salle de bain. Je surveille l'explication de texte qui s'ensuit. Au final les jeunes gagnent et Viktor et Nicolaï arrivent se faire consoler chez nous. Ils ne vont pas regretter leur changement de plan. Nous sommes 6 à pouvoir les satisfaire. Et ça ne manque pas. Entre la défonce de leurs rondelles et l'usage immodéré de leurs bites autant dans des bouches que dans des culs, ils s'effondrent cassés définitivement.
Jour 3
Le réveil est plus dur pour certains ce matin. Les plus inexpérimentés ont des courbatures et les moniteurs leur promettent une journée plus cool où ils vont peaufiner les techniques apprises
Le nôtre nous prévient qu'il va passer à la vitesse supérieure. Si nous voulons rejoindre le groupe 1 et le laisser avec juste Jona et François, il ne nous en voudra pas. Je regarde mes autres collègues à qui s'adresse cet avertissement. Ils refusent de laisser tomber et espèrent bien en apprendre encore plus. Nous montons au plus haut de la station et partons en hors-piste. Nous commençons à descendre une combe quand nous sommes rejoints par une demi-douzaine d'autres chasseurs alpins en uniformes eux. Chacun de nous se fait " cornaquer " par un des militaires. Dans l'ensemble, ils sont aussi jeunes que les nôtres et très pros aussi. Les premières 10aines de mètres nous chutons, le temps d'adapter notre position sur les skis à la surface poudreuse de la neige. Je comprends pourquoi notre lieutenant a appelé du renfort. Nous progressons tous à une vitesse différente et du coup nous sommes en sécurité avec notre " moniteur " personnel. Le mien est très bon car je ne mets pas longtemps avant de prendre le coup. Un peu plus en arrière que normalement, les fesses vers les talons, je progresse bien et mes lacets perdent rapidement en amplitude. Le mec me félicite d'avoir pris le coup aussi vite. A mes côtés ça se défend pas mal non plus.
Jona et François sont eux encore plus encadrés. Une première pause nous est octroyée à mi-chemin de la station à la limite haute des sapins. Les militaires sortent de leurs sacs à dos des barres de protéines. Ils nous en offrent. Je ne sais pas ce qu'il y a dedans mais c'est bon et nous redonne des forces. Il y a sûrement des sucres rapides aussi. On fait plus connaissance le cul isolé de la neige par des branches de sapin. Ils sont tous militaires de métier bien sûr et depuis 6 à 7 ans. Et tous célibataires aussi / surtout ! Nous finissons la matinée de combe en combe pour rejoindre la station. Il est encore tôt, à peine midi. Notre lieutenant propose que nous déjeunions avant de remonter. Alors qu'ils sortent de nouvelles barres, je vise le restau du bas des pistes vide encore. Sans manger à se faire éclater l'estomac, prendre un plat chaud ne sera pas du luxe. J'impose ma décision. Mon " lieutenant " nous suit alors que ses collègues nous disent qu'ils attendront dehors. Hors de question que le groupe se scinde ! Je les invite et notre militaire doit les convaincre que c'est OK. Sans alcool, la tartiflette remplis les deux offices : nous réchauffer et remplir les batteries. Une tarte aux myrtilles plus tard nous sommes prêts à partir. Enfin dès que Enguerrand et son coach seront sortis des toilettes. C'est chose faite avant que nous chaussions tous nos skis. Mon Enguerrand tout sourire et le militaire un peu rouge quand même. S'il ne s'est pas fait le cul de mon beau-frère, je veux bien être pendu !
Nous repartons pour le sommet de la station et partons sur l'autre versant. Nous sommes plus à l'aise et nous enchainons les parties nues et boisées sans plus de problème. La traversée d'un bois plus touffu nous disperse tous. Quand nous en sortons, c'est en ordre dispersé et il nous manque Max et son chasseur. Quand ils nous rejoignent, l'excuse est que Max s'était empêtré dans une taille de sapin et qu'il avait mis du temps à remonter. Je crois qu'avec lui aussi je vais avoir une conversation. En fin de journée, ils nous donnent rendez-vous pour le lendemain puisqu'ils restent jusqu'à la fin de notre semaine. Ils sont logés à la gendarmerie de la station. Ils se font tirer l'oreille pour accepter de diner avec nous à l'hôtel. Mais je sais qu'ils vont affoler mes autres comparses et je sens mes " benjamins " demandeur. Comme je ne peux rien leur refuser à ces deux-là...
En rentrant à l'hôtel je réserve une de leur salle de réunion pour notre dîner. On retrouve l'équipe dont certains sont déjà sous la douche. Je préviens Marc et les autres de nos invités pour le dîner. D'une seule voix, Max et Enguerrand disent aux autres qu'ils sont super sympas et super canon aussi. Je les retrouve après ma douche. Ils sont encore sous l'eau tous les deux. Je les questionne sur les " viols " qu'ils ont opérés sur leurs " chasseurs " particuliers. Max éclate de rire et nous dit que le sien était bon et heureusement car les fesses à l'air, il n'avait pas fait chaud sauf pour sa rondelle. Enguerrand renchéri que le sien était super bien monté en plus. Deux " chaudasses " !! Mes escorts et nous même apportons un soin particulier à nos tenues, effets des invités probablement. Les jeans les plus slims sortent des valises, les t-shirt collent les pecs et les abdos mieux que des combinaisons de lutte !
Quand nos invités nous rejoignent, eux aussi ont fait des efforts. Mon lieutenant y est sûrement pour quelque chose, tout comme le choix des Chasseurs alpins.  En civil, ils gardent un intérêt pour les vêtements moulants eux aussi. Et ce sont de vraiment beaux bestiaux ! Ils sont sous-officiers mais loin d'être bourrins pour autant.
Le plus jeune intéresse vraiment mon Marc. Evidemment !! Ernesto, lui, semble fixer l'intérêt d'un des nouveaux, surtout ce qui est outrageusement moulé en haut de ses cuisses. Ils se répartissent entre mes escorts autour de la grande table. Ils acceptent un apéro avant le diner. Ils sont venus à pied. Ils se mettent vite dans l'ambiance et c'est parce que je fais particulièrement attention que je m'aperçois qu'il en manque un, celui d'Enguerrand et bien sûr ce dernier ! Je m'esquive vers les toilettes réservées à notre salle. Ils y sont évidemment. Un seul WC est fermé. Je prends celui d'à côté et monté sur le siège, je mate par-dessus la cloison. Mon petit beau-frère est en train de tailler une pipe sur une bite bien épaisse. Quand il la sort complètement, je vois qu'elle est aussi d'une bonne longueur, a vue de nez dans les 20cm x 6. Il me voit alors qu'il lève la tête et demande à son militaire si ses gorges profondes lui plaisaient. Son clin d'oeil ne passe pas inaperçu et le pompé lève à son tour la tête et panique à voir ma tête. Enguerrand le retient par les fesses et je descends et frappe à la porte. Ils m'ouvrent.
Je tombe sur un fessier bien rond, musclé par des années de ski et de sport.je bandais déjà de les mater. Là, ça devient inhumain. Le temps d'ouvrir mes jeans, de kpoter ma bite et je la pousse entre les fesses. En voulant sortir, il recule et s'encule par la même occasion. Enguerrand a suivi me mouvement et ne lâche pas le morceau. Sa déglutition sur le gland enfoncé dans sa gorge distrait le militaire juste à point nommé pour que je conclue l'enculage. Je ne sais pas s'il est uniquement actif où même un hétéro qui s'était fait dans l'après-midi un petit cul de mec, mais là, je sens bien qu'il n'utilise pas souvent sa rondelle dans cette activité. Je suis super serré et même bloqué le temps qu'il se détende. Enguerrand fait tout ce qu'il peut pour cela. Il suce sa bite mieux qu'une pompe à vide ! Je me presse car on va bientôt s'apercevoir de nos absences. Je l'encule à petits coups rapides et jouis en 5mn chrono. Enguerrand se recule juste au moment fatidique et s'en prend plein la figure. On se rajuste, se rafraichit et Enguerrand lui roule une pelle avant que nous sortions.
Notre retour n'est perçu que par Marc, Ludovic et mon lieutenant. Je vois l'enculeur de Max retrouver son pote et l'écarter pour le questionner. Diner sympa et après avoir discuté avec le chef du détachement (mon lieutenant), je décide de les inviter tous à prendre un dernier verre à notre étage. Mon initiative à l'air de plaire à tous. Mes escorts et ma petite " famille " c'est évident mais aussi aux militaires qui ont sympathisé. Les deux qui étaient moins chauds se sont fait entrainer par les autres. Les nouveaux venus trouvent leurs collègues nettement mieux logés qu'eux qui dorment sur des lits de camps militaires. Les installations sanitaires aussi sont plus luxueuses. Cognac, Jet 27, Génépi coulent dans les verres. Nos militaires font baver leurs collègues en ajoutant qu'ils disposent en plus des autres installations de l'hôtel, piscine, spa, sauna...
Mes escorts se mettent à l'aise c'est-à-dire en shortys et boxers. Leurs plastiques tout comme les nôtres appellent des commentaires. Quand ils apprennent que nous savons nous battre, il y a comme une ironie de leur part. Jona leur demande alors de désigner leur meilleur élément et qu'il allait se le faire. Piqués dans leur virilité / spécificité (ce sont des combattants) / orgueil, ils désignent le plus lourd d'entre eux. Alors qu'on dégage le mobilier du salon de notre suite, le militaire se met en slip (blanc réglementaire). Je pense un moment que mon Jona va avoir du fil à retordre. Le mec doit lui prendre au moins 15 Kg de muscle !
Il roule un peu des mécaniques et est soutenu par ses collègues. De notre côté nous encourageons Jona. Seul François garde son calme et demande si on fait des paris. Les provocations fusent, sexuelles bien sûr. On en arrive à ce qu'ils mettent en jeu leurs culs contre les nôtres. J'interviens. Je leur dis que les nôtres, ce ne sera pas un problème, ils les auraient eu même sans gagner, du moins certains. Je propose alors de les loger comme leurs collègues puisqu'il reste encore trois chambres inoccupées à cet étage. L'hôtel ne fera surement aucunes difficultés à me les louer. La moquette est épaisse, elle amortira les chutes. Ils commencent par se tourner autour. Jona le laisse venir. Le militaire prend l'initiative. Il attaque et est surpris de ne trouver que le vide. Par contre il sent bien le coup de pied qui lui " tue " la cuisse droite. Il vient de se rendre compte que son adversaire a du répondant. Les attaques se succèdent des deux côtés. Il est bon en défense aussi le milit. Mon lieutenant qui avait eu un aperçu de nos capacités souri de voir son collègue en difficulté. Ils combattent pendant une demi-heure avant que je fasse signe à Jona de donner le coup de grâce. 30 secondes plus tard, le milit est sur le ventre, le pied de Jona entre ses omoplates et le bras droit en extension arrière prêt à la luxation.
Arrêt du combat après comptage jusqu'à 10.
Jardinier
Tumblr media
co-workers
Tumblr media
on the work-place ~~
Tumblr media
~~
Tumblr media
13 notes · View notes
polykrom · 15 days ago
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
François Dejardin marche à toutes les frontières et nous en ramène des œuvres comme des confidences. Qu'il s'agisse de vidéo, de photo, de dessins, de textes ou de peinture, tout semble être le fruit d'une aventure intime, aux confins où nous sommes très peu nombreux à nous rendre. Ce qu'il ramène de ses voyages nous plonge alors dans une expérience captivante où tout nous paraît à la fois proche et lointain. Une forêt calme, en pleine nuit, nous rassure tout en rappelant les cauchemars de la petite enfance. Une ferme se dresse, immense, devant un promeneur solitaire sur la bosse d'un horizon à bout portant. Un tas de bois mort sous la neige va brûler nos certitudes. Un ciel trop menaçant se verra bombardé d'étoiles à vœux. Un gravier de choses sans destination dans les yeux du Petit Poucet lui permettra de rentrer chez lui. Des enfants, dans leur toute-puissance fragile, nous conseillent de rester concentrés dans notre jeu. L'aube, comme une délivrance, devient la preuve que la nuit fut terrible. Le fond du jardin, qui n'a plus rien à nous apprendre, surgit comme une information de dernière minute. Un arbre noueux, solidement ancré, se met à danser, puis fond pour retrouver sa forme initiale. Les paysages ressemblent à des cartes postales de 14-18, qui viennent d'arriver dans notre boîte mail après être passées par le cloud. Une image satellite trace des triangulations entre les continents, pour finir en petit archipel de pénicilline collé sur une lame de verre sous l'œil d'un microscope électronique. Une fleur n'a pas peur d'être belle comme une chromolithographie, avant de se diluer dans le tableau d'un désert peint par une main surréaliste. C'est de l'humanité et de l'exil. François Dejardin n'a rien à cacher, et c'est mystérieux.
Texte : Werner Moron ( 2024 )
Photos : François Dejardin ( 2024 )
Avec : Élise Morel, Camille Dupont, Léa Garnier, Moi-même
13 notes · View notes
postcard-from-the-past · 1 year ago
Text
Tumblr media
Synagogue of Chaux-de-Fonds, Switzerland
Swiss vintage postcard
5 notes · View notes
maneki-art · 3 months ago
Text
Swing Macabre... ou pas.
Suite au cadeau d'adieu que m'ont fait les collègues de mon désormais précédent boulot, (crève carabinée + fièvre, merci, fallait pas) il n'y aura pas de Swing Macabre aujourd'hui.
Mais en échange, voilà la fresque de la carte en mode fond d'écran !
A demain ! (j'espère)
Tumblr media
Swing Macabre... or not
Following the goodbye gift from my now ex-job colleagues (sick as a dog + fever, thanks, you shouldn't have) there will be no Swing Macabre today.
But, in exchange, here is the fresco from the card as a wallpaper !
See you tomorrow! (I hope)
16 notes · View notes
fieriframes · 2 years ago
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
[It's nothing less, nothing less between the worldly and the one self. All this breathing and the truth that's in your last breath. Don't it make you want to cry?]
VII - Daphnis
Paddington a pris une profonde inspiration puis m'a lu la traduction.
"Plongez dans les sept mers." 
J'étais prêt, mais où était la mer ?
Instinctivement, je savais que cette phrase devait faire allusion aux sept chansons. Les sept mers du son. Depuis le tout début, j'avais le sentiment que quelque chose s'y cachait. Je devais juste plonger et le trouver, quoi que ce soit. Le problème était que j'ai déjà connu ces chansons par cœur. Il n'y avait rien d'autre à découvrir. Mais peut-être que j'ai juste besoin de regarder de plus près. Il existe toujours plus de détails. Toujours un autre monde dans le monde. Les réponses étaient là quelque part.
L'enquête qui a suivi a été compliquée et ardue. J'ai passé ces dix-sept minutes au peigne fin, à la recherche du lapin blanc. Chaque son, chaque bruit de fond, chaque grincement du piano devenait une voix. Aucun détail trop petit, aucune intuition trop farfelue. Je suis allé de plus en plus profondément dans une fractale sans fin. J'ai disparu dans la mer et j'ai perdu de vue ce que je cherchais. J'ai pris chaque murmure et l'ai transformé en un mot de passe. Rien n'a fonctionné.
J'ai également perdu le contact avec le monde extérieur et je n'ai pas parlé avec mes amis pendant plusieurs semaines. Un soir, Christina est passée sans me prévenir pour voir comment j'allais. J'ai rangé en hâte et je l'ai laissée entrer. J'avais définitivement une sale tête, mais elle ne l'a pas commenté. On a parlé un moment et quand il y a eu une pause dans la conversation, elle m'a demandé ce que j'écoutais. Ça jouait en boucle depuis si longtemps que je ne remarquais même plus la musique. J'ai répondu que c'était l'album qu'elle m'avait aidé à trouver au café la dernière fois qu'on s'était rencontrés.
On s'est assis et on a écouté l'album entier en silence, puis j'ai finalement arrêté la boucle.
Christina: C'est étrange.
Moi: Je suis d'accord. Ces chansons sont très courtes et sans aucune structure. Pas vraiment bien écrit. Une seule mélodie presque enfantine et puis c'est fini.
Christina: Non, non, je suis habituée aux musiques expérimentales. En fait, c'est comme la bande originale d'un jeu vidéo. Mais, il y a des choix étranges faits ici. Par exemple, cette chanson que l'on a juste écouté…
Moi: Hořčický.
Christina: Quoi ? 
Moi: Ç'est le titre. Ça ne fait rien.
Christina: De plus en plus bizarre. En tout cas, c'est une chanson très calme, mais tout à coup un instrument bruyant joue quatre notes et rien d'autre. Je pense que j'ai entendu ce bruit dans plusieurs chansons. C'est bizarre, non ?
J'ai recommencé à jouer l'album. Je connaissais exactement le son dont elle parlait. Ça apparait une fois dans chaque chanson. Je ne pouvais pas croire que je n'avais pas vu la vue d'ensemble plus tôt, mais j'avais simplement été trop près pour la voir. Christina m'avait donné la clé, maintenant je devais franchir la porte.
Je me suis retrouvé avec ce qui suit écrit dans mon cahier:
Adrogué (−·· = D)
Terra Incognita (·− = A)
Unending Night (·−−· = P)
Hořčický (···· = H)
Who Is The Dreamer? (−· = N)
Adelma (·· = I)
El Barco Velero (··· = S)
En les mettant ensemble, j'ai obtenu DAPHNIS. Un nom si familier. J'ai feuilleté mon carnet et sur la page écrite lors de la visite au Louvre pour voir le tableau Et in Arcadia Ego, j'ai trouvé: "Les bergers sont réunis autour d'une pierre tombale. L'un des bergers pointe le nom gravé sur la pierre tombale : Daphnis."
Je m'en suis voulu de ne pas avoir essayé ce nom plus tôt, mais avec tant de possibilités à parcourir, j'en avais raté quelques-uns évidents. J'essayais de comprendre comment tout était lié. Les cartes de tarot, Nicolas Poussin, le manuscrit de Voynich… tout semblait être un monde à part et impossible à relier. Comment Leonora était-elle connectée à Daphnis? Et qui est la rêveuse? À ce moment, il m'est venu à l'esprit que les réponses à certaines de ces questions pourraient se trouver dans les titres des chansons. Mais d'abord…
J'ai rechargé le site web. Rien n'avait changé. Les pages du manuscrit de Voynich étaient encore légèrement en arrière-plan, tout comme la case pour le mot de passe. J'ai soigneusement tapé Daphnis et cliqué sur la button. La case n'a pas tremblé cette fois-ci. Au lieu de ça, le site a disparu. Après quelques secondes, deux triangles sont apparus; un blanc et un noir. L'image de fond est également passée de Voynich à un dessin d'une mystérieuse créature ressemblant à un cheval avec trois têtes.
Les triangles ont disparu et ont été remplacés par du texte qui s'est estompé ligne par ligne. Je ne pouvais pas le comprendre, encore une fois c'était écrit dans l'alphabet Voynich. Il était tard, mais j'ai écrit un message à Paddington et lui ai demandé s'il pouvait m'envoyer la cartographie qu'il avait utilisé pour le dernier message. Il s'est avéré que Paddington était toujours éveillé. J'ai reçu presque aussitôt cette image:
Tumblr media
Avec cette aide, j'ai traduit les mots à l'écran.
S'est-on réunis au-delà des ruines circulaires ? Quelque chose n'allait pas On s'est vu dans le miroir Mais on n'était pas dans la même pièce Les intruses Les témoins La rêveuse Je réside dans un endroit où le temps n'existe pas Détenant les secrets de Dieu
Il y avait un symbole; un carré avec un cercle au milieu, sous le texte. Je l'ai cliqué. Le symbole a tourné et est devenu un diamant, avant de disparaître. La plupart des lettres du texte se sont estompées, ne laissant que celles qui forment la phrase Trouve moi.
C'est alors que j'ai remarqué que l'image de fond avait encore changé. Cette fois, c'était une carte d'un monde.
93 notes · View notes
selidren · 3 months ago
Text
Tumblr media Tumblr media
Automne 1926 - Champs-les-Sims
2/3
En y repensant, je me rends compte que dans ma panique, je n'ai même pas répondu aux éléments que tu mentionnais dans ta lettre. Excuse moi je t'en prie. J'ai bien reçu ta carte et j'avoue que voir ces musiciens m'a fait un peu rêvé. Je ne suis jamais vraiment sortie du village, et je suis allée à Paris quelques rares fois, mais Ange m'a promis qu'il m'emmènerait dans un club de jazz pour y voir un concert dès que je le pourrai. Et bien sur, j'ai été surprise d'apprendre pour le nouvel emploi de ta mère. J'avoue que je n'imaginais pas cela possible pour une femme. Grand-Mère a eu un commentaire un peu grognon, mais il faut l'excuser, c'est du à son âge.
Je suis aussi heureuse de voir tes frères et soeurs trouver leur voie. Chez nous, cela commence à prendre forme également. C'est étrange, car j'ai vraiment l'impression que nous étions encore en pleine enfance il y a quelques temps. Avec mon mariage, la sortie du premier livre de Cléo (dire que je ne l'ai même pas mentionné, je suis une piètre soeur !), les projets politiques d'Antoine et Sélène qui s'entraine pour le tournoi doubles dames de l'année prochaine, les projets vont bon train.
Transcription :
Arsinoé « Attends Antoine ! Tu as fait la tête pendant presque toute la cérémonie. Il y a quelque chose qui ne va pas ? »
Marc-Antoine « Ce n’est pas vraiment le moment pour en parler. »
Arsinoé « Si, au contraire. Je te connais, si on ne crève pas l’abcès maintenant tu vas aller bouder dans ton coin puis faire comme si tout allait bien. Sans compter que… qu’est-ce que c’est que cette odeur ? »
Marc-Antoine « Pardon ? »
Arsinoé « Tu sens la poussière et le naphtalène à plein nez ! Mais où es-tu allé chercher ce costume ? Au fond du grenier ? »
Marc-Antoine « En fait, oui. Comme je n’avais pas de smoking à ma taille pour l’occasion, j’ai été chercher le costume de Grand-Père Maximilien dans les vieilles armoires. C’est le costume avec lequel il s’est marié. »
Arsinoé « C’est élégant, c’est certain. Mais tu aurais peut-être du le faire laver et repasser avant de le porter. Je ne serais pas étonnée de découvrir une colonie d’araignées dans une des poches. Il n’a pas été porté depuis… au moins cinquante ans ! »
Marc-Antoine « Cinquante et un ans précisément. Ce costume est un morceau d’histoire ! Et de toute façon, je ne l’ai trouvé que ce matin, alors Aurore n’aurait pas eu le temps de s’en occuper. »
Arsinoé « Grand-Mère sait que tu l’appelle Aurore maintenant ? »
Arsinoé « Ecoute, je sais que tu n’es pas ravi de ce mariage mais... »
Marc-Antoine « Mais quel euphémisme ! Bien sur que non ! Je croyais que tu ne voulais pas que Grand-Mère contrôle ta vie et regarde toi ! »
Arsinoé « Je n’avais pas précisément le choix. Et je ne pourrais rêver meilleur mari qu’Ange. »
Marc-Antoine « Et comme par hasard, ce mariage exhausse les rêves les plus précieux d’Eugénie Le Bris. Noé, j’ai l’impression que tu as été piégée... »
Arsinoé « Par ma bêtise oui certainement ! »
Marc-Antoine « J’apprécie beaucoup Ange, tu le sais, mais lui ne fréquente que des hommes ! Tu seras malheureuse comme les pierres ! »
Arsinoé « Il fréquente « majoritairement » des hommes. Et ce n’est pas le sujet. Au moins, ton neveu ou ta nièce aura un père. Oncle Adelphe dit que… »
Marc-Antoine « Je me fiche de ce que dit Oncle Adelphe. C’est à toi que je pense ! »
Arsinoé « Alors écoute moi un peu bon sang ! »
7 notes · View notes
ditesdonc · 5 months ago
Text
Une lune bleue habite le Pays des couleurs
Tumblr media
L’air de rien – et avec presque rien – Adèle Ogier crée, avec sa compagnie L’Atelier du vent, des lieux et des moments profondément contemplatifs. Qu’on découvre le « Cocon », sorte de théâtre-musée mobile, léger et novateur, assurément atypique ; l’exposition « La Ménagerie graphique » qui accueille des œuvres choisies sur la thématique animalière ; le spectacle « Anima » qui émerge, comme un rêve d’oiseau, de ce monde de présences silencieuses ; ou encore l’exposition « L’Enfance de l’art », ouverte cet été à Brangues, on peut toucher la grande justesse, l’exigence et l’humilité de cette artiste aussi inspirée qu’ingénieuse. A la croisée de l’art et de l’artisanat, son chemin mêle sans hiérarchie ni a priori les métiers de la création. Peu importe les cases préexistantes et les étiquettes: sa case à elle est pleine de fenêtres et les murs, légers, laissent venir la lumière. Le vent passe, brouillant les cartes; et voilà un petit monde de merveilles.
Tumblr media
Quand nous venons voir ses créations, nous arrivons de notre quotidien souvent embarrassé, pressé; elle nous offre un sas, un seuil, où le temps ralentit. Une place pour l’étonnement. Elle nous plonge alors dans un univers récréé, rêvé si fort qu’il existe et vogue comme une arche de Noé sans déluge, sur fond de musique baroque et de ciel diamanté. Dans ce voyage vers le simple fait d’être présent au présent, où s’éprouvent la vitalité animale, la densité des éléments, la plénitude du regard, le mystère des questions majeures, on est ouvert à une expérience poétique au plus près de nous, là, simplement là, comme la voûte étoilée, qui brille pour toutes et tous, dans l’évidence de sa majesté. Akissi (le nom qu’Adèle prend pour signer ses tableaux) signifie en Côte d’Ivoire « fille née un lundi », jour de la Lune. Pourtant, au gré de ses croquis, de son spectacle, de ses scénographies, ce n’est pas dans un ailleurs mélancolique et lointain qu’elle souhaite nous emmener. Au contraire, Adèle-Akissi est comme la « lune bleue », plus proche et plus rayonnante : la poésie pure qui est son langage, son bain naturel, se veut terreau d’échange et de rencontre – avec les autres, avec soi –, renouant avec ce qui fait la part si précieuse de la vie : la beauté d’être.
Tumblr media
Pour découvrir son travail, n’hésitez pas à aller voir l’exposition en cours, avec Mélanie Bourlon (Espace Claudel-Stendhal, à Brangues) et, bien sûr, à consulter son site, qui répertorie tous les projets et travaux de sa compagnie, l’Atelier du vent
8 notes · View notes
maggiec70 · 1 year ago
Note
what did Louise Lannes do then for you to have such a low opinion of her?
Why I Dislike/Disapprove of/Loathe/Condemn The Lovely Louise
!800 – 1809: Greed, Pettiness, and Bargain-Basement Bourgeois Mentality
She had the intellectual curiosity of a housefly and the education of the lowest of the bourgeoisie. Not surprising since her mother home-schooled her in the basics, and she had one year only with Madame Campan.
She was greedy and overly fond of collecting trinkets, ornaments, and similar items of no particular quality or style. She demanded, with some degree of shrill relentlessness, plenty of money to pay for all her crap.
She was often unrelenting in her demands for all sorts of things: that her brother be promoted to Lannes’ premier aide-de-camp; that her brother-in-law be promoted to head of V Corps’ engineers; that her father be given a higher-paying, more prestigious position in the imperial bureaucracy. She managed to give blatant nepotism a bad name.
She refused to be social. Ever. She hated the Imperial Court functions and refused to go, using the kinds as an excuse. She didn’t want Lannes to go either, and when he went because Napoleon expected him to, she engaged in monumental pouts. The myths that she was always so lovely, graceful, and sweet on these occasions were just that—myths.
She had two close—unhealthily close—friends, the slimy Dr. Corvisart, whom her equally slimy father introduced to Napoleon, and a second-rate perennially off-duty chevalier. No women friends of any rank. Just as well, because according to almost all the extant memoirs, no woman of any rank liked her, apparently able to see through the “I’m so sweet and demur” act.
She never went to Lectoure, Lannes’ hometown, and threw a real bitch fit when he wanted to go or went without her “approval” simply because he wanted to see his father and his siblings, and a lot of friends.
She insisted if they visited anyone, carting the kids with them, it was only and always to see her family. Full stop.
1809-1822: Treachery, Treason, Malfeasance, and Suspicious Death
She had to deal with claims from Lannes’ first wife, the much-maligned Polette Meric, on behalf of her son, Jean-Claude, until Naps ended that by a sharp letter to Cambaceres.
She actually went to the Tuileries to demand that Naps grant—posthumously, of course—the title “Prince of Seviers” so she could be a for-real princess just like Mesdames Massena, Berthier, and so forth and so on. She threw a significant shit-storm when Naps refused, and he reminded her that Lannes never applied for the letters patent because he didn’t care about the title, so she shouldn’t either.
No one—literally, no one other than Naps—thought she was a suitable choice for Marie-Louise. The historical record is replete with examples from the folks surrounding Marie-Louise, who was no winner herself.
She and her partner in crime, Dr. Corvisart, worked to insinuate themselves into M-L’s life so that when 1814 arrived, they could work to keep her away from Naps.
She made sure, as her letters show, that M-L and Naps II went back to Vienna, accompanied by her soon-to-be lover, Count Neipperg.
She offered her mansion that Lannes had bought and paid for to Wellesley for his headquarters. He refused, graciously, it is said.
Her parents immediately pledged their loyalty to Louis XVIII.
She lawyered up for the next legal battle with Polette, now that Naps was out of the picture.
She went into higher gear after Waterloo, now with nothing to stop her other than Jean-Claude’s attorney, who began to show that her marriage and Lannes’ divorce from Polette were riddled with illegal points.
Jean-Claude died in mysterious circumstances in November 1817. He had never been ill, and died three days after contracting an unknown illness. This has always been suspicious for obvious reasons.
She packed up the kids and went to Lectoure in 1818—she stayed in Auch, however, about 20 miles south—and, in a large PR event, donated Lannes’ house to the town. She never returned nor allowed any of the kids to return.
To be fair, which I always try to do regarding interpreting historical facts and figures, read Regis Bob-Crepy’s bio of Louise. His family married into hers back in the day before she married Lannes, and he is remarkably talented in glorifying his view of Louise. Besides the sheer comedic value for me, the best thing about his book is the letters he uses, which were/are maintained in the family’s hands and never before shared. Of course, we cannot know if others shed a different light on the subject. Given the family’s cavalier and almost criminal way they have treated anything to do with Lannes, his possessions, or his legacy, opting instead for celebrating their ties with the de Broglies and the Berthiers, I can almost guarantee that any shred of anything detrimental about Louise disappeared ages ago.
I have often sneered at the men who wrote biographies and articles about Lannes buying the Louise myth in its totality. But then, the poor dears simply can’t see things that are very clear to us.
Hope this answers your question.
37 notes · View notes
mots---images · 7 months ago
Text
Que reste-t-il ? quand les corps enflammés ont cessé de rêver quand ils se sont touchés, percutés quand ils ont glissé l’un sur l’autre l’un dans l’autre corps luisants, corps rougis de désir, sueur et sang Quand les mains se sont trouvées quand elles ont agrippées sexes et seins tendus quand les langues se sont tues quand elles se sont repues des effluves chargées des fluides transpirés quand elles ont fouillé dessiné de salive les pores inexplorés les cartes du désir des antres qui se ferment puis s’ouvrent au plaisir
quand les cris se sont tus l’animal s’est terré tout au fond
où personne ne vient ternir les lumières de ses rêves éveillés où personne n’éteint son histoire sans fin. Tout au fond sous la surface il s’enivre de l’amertume des bulbes et racines et se souvient du goût sucré des fleurs
12 notes · View notes