#fond de carte
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Chinese vintage cover postcard, mailed in 1900 with the Chinese Imperial Post to Chaux-de-Fonds, Switzerland
#fonds#briefkaart#photography#post#vintage#tarjeta#chinese#cover#postkaart#postal#photo#postcard#historic#the chinese imperial post#1900#imperial#carte postale#mailed#ephemera#chaux-de-fonds#switzerland#sepia#ansichtskarte#postkarte#chaux
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#today's words were#attack#inspire#fond#operation send a postcard: failure#vnc vanitas#noe archiviste#noé archiviste#vanoe#vanoé#vanitas no carte#the case study of vanitas#vnc#les memoires de vanitas
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The aceness of "you're an ace in the hole" does not carry over in the french dub and I am. Disappointed.
#hazbin hotel post#hazbin hotel#hazbin hotel alastor#hazbin hotel rosie#alastor#asexual alastor#ace alastor#in french she says “je sais qu'au fond tu es une perle rare” and he says “tu es sûre ?”#so unless perle rare is ace slang idk the translators let the whole ace subtext fly over their head ig??#also he says “tu es sûre ?” like he knows what she means but he doesn't he has no idea in eng he says “a what now?” not “you're sure?”#“je sais que tu es un as au fond du paquet de cartes”#“tu fais semblant d'être un joker mais je sais que tu es un as au fond” (this one's provided by my good friend)#like at least keep the ace part???
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les mis on the west end: a commentary
so i saw les mis last night (!!!) with djavan van de fliert and tom hext as enjolras and grantaire (!!!) and here are some moments i scribbled into my notes app in the interval and after the show
in the runaway cart javert squeezed valjean's bicep on the line 'to be as strong as you are'
tom hext played the blind man in master of the house and thénardier sat on his lap and tom/the blind man felt him up then got a hard on 😭😭😭
grantaire has his bottle taken off him in abc café and immediately produces two more from under the table
grantaire slapped enjolras' arse.
following 'lamarque is dead' enjolras picked gavroche up and spun him round
right before 'she is the first to fall' after éponine dies enjolras starts on javert. like he steps forward and jolts himself if you know what i mean to scare him
gavroche hands marius éponine's hat :(
during the first attack grantaire shouts something (unintelligible) whilst laughing (very drunk) and everyone goes mental at him for not taking it seriously
the audience laughs at the beginning of grantaire's part in drink with me because tom hext does it really jokingly at first then everyone quickly shuts the fuck up
enjolras reaches out to grantaire and he waves him away then gavroche runs and hugs him from behind
during the final battle when marius falls enjolras and grantaire hug over his body then there was a head touch
overall grantaire looked constantly despairing throughout over what was going to happen and enjolras looked impossibly fond of him rather than frustrated and i love them both.
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Green related voc
Evergreen - à feuilles persistantes (trees), indémodable (movies)
Green - vert-e
Greenish - verdâtre
Green/eco-friendly - écolo(gique)
Green/envious - vert-e de jalousie
Greenfield - jamais construit-e, vierge de construction
Green/immature - jeune, innocent-e, naïf/naïve
Green/sickly - pâle
Green/unripe - vert-e
Green/unseasoned - vert-e (wood)
-
Bice green - vert bis
Blue-green - bleu-vert
Bottle green - vert bouteille
Dark green - vert foncé
Emerald green - vert émeraude
Forest green - vert forêt
Grey green - vert de gris
Hunter green - vert armée
Jade green - vert jade
Kelly green - vert irlandais
Light green - vert clair
Lime green - vert citron
Mint green - vert menthe
Olive green - vert olive
Pea green - vert pomme
Pistachio green - vert pistache
Sage green - vert sauge/cendré
Sea green - vert d'eau
Turquoise green - vert turquoise
Yellow green - vert-jaune
-
Green beans - les haricots verts, m
Green cabbage - le chou vert
Greengage - la reine Claude
Green gram - le haricot mungo
Green onion - la ciboule
Green pea - le petit pois
Green pepper - le poivron vert
Greening - la pomme reinette
Greens - les légumes verts, m
Salad green - le légume-feuille
-
Evergreen - le conifère
Evergreen magnolia - le magnolia d'été
Evergreen oak - le chêne vert
Greenback - le billet de banque
Greenbelt - la ceinture verte
Green card - la carte de séjour/de résident
Green (drug) - l'herbe, f; la beuh
Greenfinch - le verdier
Greenfly - le puceron
Green foliage - la verdure
Green (golf) - le green
Greengrocer - le marchand de fruits et légumes/primeur
Greenhorn - le blanc-bec, le bleu, le jeunot
Greenhouse - la serre
Greenland - le Groenland
Green light - le feu vert
Greenmail - le chantage financier
Green man (traffic) - le petit bonhomme vert
GMT - l'heure de Greenwich, f
Green (money) - le fric
Greenness - la verdeur
Green (party) - les Verts/Ecologistes
Green screen - le fond vert
Green snake - la couleuvre verte
Green space - l'espace vert, m
Green (sports) - le gazon
Greenstone - la néphrite
Greensward - la pelouse
Green tea - le thé vert
Green vehicle - le véhicule vert
Green (village square) - la place
Greenwashing - l'éco-blanchiment, m
Greenwood - la forêt verdoyante
Green woodpecker - le pivert
Shagreen - le chagrin
Verdant space - le coin de verdure
Wintergreen - la gaulthérie
-
Giving the green light (to) - donner le feu vert (à)
Going green - devenir écolo
Greening an area - verdir (planting trees)
Having a green thumb - avoir la main verte
Looking green - avoir mauvaise mine
Making (sm) green with envy - rendre (qqun) vert-e de jalousie
Turning green again - reverdir
Turning green (traffic) - passer au vert
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La balade du jour aux Calanques de Cassis (Provence-Alpes-Côte d'Azur)
#au-jardin-de-mon-coeur#my photo
Les calanques de Marseille
Le massif des Calanques est une merveille de la nature nichée entre Marseille et Cassis. Ce paysage exceptionnel et unique est un incontournable à Marseille ! En effet, entre plages de galets et de sable fin, petites criques et eau turquoise, cet écrin de biodiversité a tout d’une carte postale ! C’est l’endroit parfait pour prendre le soleil, explorer les fonds marins, ou encore s’adonner à quelques activités nautiques comme le kayak.
Que vous souhaitiez randonner ou simplement profiter de la nature et de l’eau fraîche, ce lieu magnifique vous comblera. Certaines, plus accessibles que d’autres conviendront parfaitement aux familles, tandis que d’autres plus difficiles d’accès raviront les amateurs de randonnée. Ceci-dit, l’effort en vaut la chandelle, c’est un endroit unique au monde qui mérite bien sa place dans les incontournables de Marseille !
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Swing Macabre... ou pas.
Suite au cadeau d'adieu que m'ont fait les collègues de mon désormais précédent boulot, (crève carabinée + fièvre, merci, fallait pas) il n'y aura pas de Swing Macabre aujourd'hui.
Mais en échange, voilà la fresque de la carte en mode fond d'écran !
A demain ! (j'espère)
Swing Macabre... or not
Following the goodbye gift from my now ex-job colleagues (sick as a dog + fever, thanks, you shouldn't have) there will be no Swing Macabre today.
But, in exchange, here is the fresco from the card as a wallpaper !
See you tomorrow! (I hope)
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[It's nothing less, nothing less between the worldly and the one self. All this breathing and the truth that's in your last breath. Don't it make you want to cry?]
VII - Daphnis
Paddington a pris une profonde inspiration puis m'a lu la traduction.
"Plongez dans les sept mers."
J'étais prêt, mais où était la mer ?
Instinctivement, je savais que cette phrase devait faire allusion aux sept chansons. Les sept mers du son. Depuis le tout début, j'avais le sentiment que quelque chose s'y cachait. Je devais juste plonger et le trouver, quoi que ce soit. Le problème était que j'ai déjà connu ces chansons par cœur. Il n'y avait rien d'autre à découvrir. Mais peut-être que j'ai juste besoin de regarder de plus près. Il existe toujours plus de détails. Toujours un autre monde dans le monde. Les réponses étaient là quelque part.
L'enquête qui a suivi a été compliquée et ardue. J'ai passé ces dix-sept minutes au peigne fin, à la recherche du lapin blanc. Chaque son, chaque bruit de fond, chaque grincement du piano devenait une voix. Aucun détail trop petit, aucune intuition trop farfelue. Je suis allé de plus en plus profondément dans une fractale sans fin. J'ai disparu dans la mer et j'ai perdu de vue ce que je cherchais. J'ai pris chaque murmure et l'ai transformé en un mot de passe. Rien n'a fonctionné.
J'ai également perdu le contact avec le monde extérieur et je n'ai pas parlé avec mes amis pendant plusieurs semaines. Un soir, Christina est passée sans me prévenir pour voir comment j'allais. J'ai rangé en hâte et je l'ai laissée entrer. J'avais définitivement une sale tête, mais elle ne l'a pas commenté. On a parlé un moment et quand il y a eu une pause dans la conversation, elle m'a demandé ce que j'écoutais. Ça jouait en boucle depuis si longtemps que je ne remarquais même plus la musique. J'ai répondu que c'était l'album qu'elle m'avait aidé à trouver au café la dernière fois qu'on s'était rencontrés.
On s'est assis et on a écouté l'album entier en silence, puis j'ai finalement arrêté la boucle.
Christina: C'est étrange.
Moi: Je suis d'accord. Ces chansons sont très courtes et sans aucune structure. Pas vraiment bien écrit. Une seule mélodie presque enfantine et puis c'est fini.
Christina: Non, non, je suis habituée aux musiques expérimentales. En fait, c'est comme la bande originale d'un jeu vidéo. Mais, il y a des choix étranges faits ici. Par exemple, cette chanson que l'on a juste écouté…
Moi: Hořčický.
Christina: Quoi ?
Moi: Ç'est le titre. Ça ne fait rien.
Christina: De plus en plus bizarre. En tout cas, c'est une chanson très calme, mais tout à coup un instrument bruyant joue quatre notes et rien d'autre. Je pense que j'ai entendu ce bruit dans plusieurs chansons. C'est bizarre, non ?
J'ai recommencé à jouer l'album. Je connaissais exactement le son dont elle parlait. Ça apparait une fois dans chaque chanson. Je ne pouvais pas croire que je n'avais pas vu la vue d'ensemble plus tôt, mais j'avais simplement été trop près pour la voir. Christina m'avait donné la clé, maintenant je devais franchir la porte.
Je me suis retrouvé avec ce qui suit écrit dans mon cahier:
Adrogué (−·· = D)
Terra Incognita (·− = A)
Unending Night (·−−· = P)
Hořčický (···· = H)
Who Is The Dreamer? (−· = N)
Adelma (·· = I)
El Barco Velero (··· = S)
En les mettant ensemble, j'ai obtenu DAPHNIS. Un nom si familier. J'ai feuilleté mon carnet et sur la page écrite lors de la visite au Louvre pour voir le tableau Et in Arcadia Ego, j'ai trouvé: "Les bergers sont réunis autour d'une pierre tombale. L'un des bergers pointe le nom gravé sur la pierre tombale : Daphnis."
Je m'en suis voulu de ne pas avoir essayé ce nom plus tôt, mais avec tant de possibilités à parcourir, j'en avais raté quelques-uns évidents. J'essayais de comprendre comment tout était lié. Les cartes de tarot, Nicolas Poussin, le manuscrit de Voynich… tout semblait être un monde à part et impossible à relier. Comment Leonora était-elle connectée à Daphnis? Et qui est la rêveuse? À ce moment, il m'est venu à l'esprit que les réponses à certaines de ces questions pourraient se trouver dans les titres des chansons. Mais d'abord…
J'ai rechargé le site web. Rien n'avait changé. Les pages du manuscrit de Voynich étaient encore légèrement en arrière-plan, tout comme la case pour le mot de passe. J'ai soigneusement tapé Daphnis et cliqué sur la button. La case n'a pas tremblé cette fois-ci. Au lieu de ça, le site a disparu. Après quelques secondes, deux triangles sont apparus; un blanc et un noir. L'image de fond est également passée de Voynich à un dessin d'une mystérieuse créature ressemblant à un cheval avec trois têtes.
Les triangles ont disparu et ont été remplacés par du texte qui s'est estompé ligne par ligne. Je ne pouvais pas le comprendre, encore une fois c'était écrit dans l'alphabet Voynich. Il était tard, mais j'ai écrit un message à Paddington et lui ai demandé s'il pouvait m'envoyer la cartographie qu'il avait utilisé pour le dernier message. Il s'est avéré que Paddington était toujours éveillé. J'ai reçu presque aussitôt cette image:
Avec cette aide, j'ai traduit les mots à l'écran.
S'est-on réunis au-delà des ruines circulaires ? Quelque chose n'allait pas On s'est vu dans le miroir Mais on n'était pas dans la même pièce Les intruses Les témoins La rêveuse Je réside dans un endroit où le temps n'existe pas Détenant les secrets de Dieu
Il y avait un symbole; un carré avec un cercle au milieu, sous le texte. Je l'ai cliqué. Le symbole a tourné et est devenu un diamant, avant de disparaître. La plupart des lettres du texte se sont estompées, ne laissant que celles qui forment la phrase Trouve moi.
C'est alors que j'ai remarqué que l'image de fond avait encore changé. Cette fois, c'était une carte d'un monde.
#s10e11 sweet 'n savory#guy fieri#guyfieri#diners drive-ins and dives#i tego arcana dei#terra incognita
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Synagogue of Chaux-de-Fonds, Switzerland
Swiss vintage postcard
#vintage#photography#chaux#postkarte#carte postale#swiss#de#postal#briefkaart#postcard#old#switzerland#photo#ansichtskarte#sepia#fonds#postkaart#synagogue#ephemera#tarjeta#historic
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Automne 1926 - Champs-les-Sims
2/3
En y repensant, je me rends compte que dans ma panique, je n'ai même pas répondu aux éléments que tu mentionnais dans ta lettre. Excuse moi je t'en prie. J'ai bien reçu ta carte et j'avoue que voir ces musiciens m'a fait un peu rêvé. Je ne suis jamais vraiment sortie du village, et je suis allée à Paris quelques rares fois, mais Ange m'a promis qu'il m'emmènerait dans un club de jazz pour y voir un concert dès que je le pourrai. Et bien sur, j'ai été surprise d'apprendre pour le nouvel emploi de ta mère. J'avoue que je n'imaginais pas cela possible pour une femme. Grand-Mère a eu un commentaire un peu grognon, mais il faut l'excuser, c'est du à son âge.
Je suis aussi heureuse de voir tes frères et soeurs trouver leur voie. Chez nous, cela commence à prendre forme également. C'est étrange, car j'ai vraiment l'impression que nous étions encore en pleine enfance il y a quelques temps. Avec mon mariage, la sortie du premier livre de Cléo (dire que je ne l'ai même pas mentionné, je suis une piètre soeur !), les projets politiques d'Antoine et Sélène qui s'entraine pour le tournoi doubles dames de l'année prochaine, les projets vont bon train.
Transcription :
Arsinoé « Attends Antoine ! Tu as fait la tête pendant presque toute la cérémonie. Il y a quelque chose qui ne va pas ? »
Marc-Antoine « Ce n’est pas vraiment le moment pour en parler. »
Arsinoé « Si, au contraire. Je te connais, si on ne crève pas l’abcès maintenant tu vas aller bouder dans ton coin puis faire comme si tout allait bien. Sans compter que… qu’est-ce que c’est que cette odeur ? »
Marc-Antoine « Pardon ? »
Arsinoé « Tu sens la poussière et le naphtalène à plein nez ! Mais où es-tu allé chercher ce costume ? Au fond du grenier ? »
Marc-Antoine « En fait, oui. Comme je n’avais pas de smoking à ma taille pour l’occasion, j’ai été chercher le costume de Grand-Père Maximilien dans les vieilles armoires. C’est le costume avec lequel il s’est marié. »
Arsinoé « C’est élégant, c’est certain. Mais tu aurais peut-être du le faire laver et repasser avant de le porter. Je ne serais pas étonnée de découvrir une colonie d’araignées dans une des poches. Il n’a pas été porté depuis… au moins cinquante ans ! »
Marc-Antoine « Cinquante et un ans précisément. Ce costume est un morceau d’histoire ! Et de toute façon, je ne l’ai trouvé que ce matin, alors Aurore n’aurait pas eu le temps de s’en occuper. »
Arsinoé « Grand-Mère sait que tu l’appelle Aurore maintenant ? »
Arsinoé « Ecoute, je sais que tu n’es pas ravi de ce mariage mais... »
Marc-Antoine « Mais quel euphémisme ! Bien sur que non ! Je croyais que tu ne voulais pas que Grand-Mère contrôle ta vie et regarde toi ! »
Arsinoé « Je n’avais pas précisément le choix. Et je ne pourrais rêver meilleur mari qu’Ange. »
Marc-Antoine « Et comme par hasard, ce mariage exhausse les rêves les plus précieux d’Eugénie Le Bris. Noé, j’ai l’impression que tu as été piégée... »
Arsinoé « Par ma bêtise oui certainement ! »
Marc-Antoine « J’apprécie beaucoup Ange, tu le sais, mais lui ne fréquente que des hommes ! Tu seras malheureuse comme les pierres ! »
Arsinoé « Il fréquente « majoritairement » des hommes. Et ce n’est pas le sujet. Au moins, ton neveu ou ta nièce aura un père. Oncle Adelphe dit que… »
Marc-Antoine « Je me fiche de ce que dit Oncle Adelphe. C’est à toi que je pense ! »
Arsinoé « Alors écoute moi un peu bon sang ! »
#lebris#lebrisgens5#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#eugénie le bris#Arsinoé Le Bris#Lucien Le Bris#Cléopâtre Le Bris#Sélène Le Bris#Marc-Antoine Le Bris#Ange de Chastel#Eugénie Bernard#Aurore Laroche#Adelphe Barbois#Maximilien Le Bris
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Une lune bleue habite le Pays des couleurs
L’air de rien – et avec presque rien – Adèle Ogier crée, avec sa compagnie L’Atelier du vent, des lieux et des moments profondément contemplatifs. Qu’on découvre le « Cocon », sorte de théâtre-musée mobile, léger et novateur, assurément atypique ; l’exposition « La Ménagerie graphique » qui accueille des œuvres choisies sur la thématique animalière ; le spectacle « Anima » qui émerge, comme un rêve d’oiseau, de ce monde de présences silencieuses ; ou encore l’exposition « L’Enfance de l’art », ouverte cet été à Brangues, on peut toucher la grande justesse, l’exigence et l’humilité de cette artiste aussi inspirée qu’ingénieuse. A la croisée de l’art et de l’artisanat, son chemin mêle sans hiérarchie ni a priori les métiers de la création. Peu importe les cases préexistantes et les étiquettes: sa case à elle est pleine de fenêtres et les murs, légers, laissent venir la lumière. Le vent passe, brouillant les cartes; et voilà un petit monde de merveilles.
Quand nous venons voir ses créations, nous arrivons de notre quotidien souvent embarrassé, pressé; elle nous offre un sas, un seuil, où le temps ralentit. Une place pour l’étonnement. Elle nous plonge alors dans un univers récréé, rêvé si fort qu’il existe et vogue comme une arche de Noé sans déluge, sur fond de musique baroque et de ciel diamanté. Dans ce voyage vers le simple fait d’être présent au présent, où s’éprouvent la vitalité animale, la densité des éléments, la plénitude du regard, le mystère des questions majeures, on est ouvert à une expérience poétique au plus près de nous, là, simplement là, comme la voûte étoilée, qui brille pour toutes et tous, dans l’évidence de sa majesté. Akissi (le nom qu’Adèle prend pour signer ses tableaux) signifie en Côte d’Ivoire « fille née un lundi », jour de la Lune. Pourtant, au gré de ses croquis, de son spectacle, de ses scénographies, ce n’est pas dans un ailleurs mélancolique et lointain qu’elle souhaite nous emmener. Au contraire, Adèle-Akissi est comme la « lune bleue », plus proche et plus rayonnante : la poésie pure qui est son langage, son bain naturel, se veut terreau d’échange et de rencontre – avec les autres, avec soi –, renouant avec ce qui fait la part si précieuse de la vie : la beauté d’être.
Pour découvrir son travail, n’hésitez pas à aller voir l’exposition en cours, avec Mélanie Bourlon (Espace Claudel-Stendhal, à Brangues) et, bien sûr, à consulter son site, qui répertorie tous les projets et travaux de sa compagnie, l’Atelier du vent
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what did Louise Lannes do then for you to have such a low opinion of her?
Why I Dislike/Disapprove of/Loathe/Condemn The Lovely Louise
!800 – 1809: Greed, Pettiness, and Bargain-Basement Bourgeois Mentality
She had the intellectual curiosity of a housefly and the education of the lowest of the bourgeoisie. Not surprising since her mother home-schooled her in the basics, and she had one year only with Madame Campan.
She was greedy and overly fond of collecting trinkets, ornaments, and similar items of no particular quality or style. She demanded, with some degree of shrill relentlessness, plenty of money to pay for all her crap.
She was often unrelenting in her demands for all sorts of things: that her brother be promoted to Lannes’ premier aide-de-camp; that her brother-in-law be promoted to head of V Corps’ engineers; that her father be given a higher-paying, more prestigious position in the imperial bureaucracy. She managed to give blatant nepotism a bad name.
She refused to be social. Ever. She hated the Imperial Court functions and refused to go, using the kinds as an excuse. She didn’t want Lannes to go either, and when he went because Napoleon expected him to, she engaged in monumental pouts. The myths that she was always so lovely, graceful, and sweet on these occasions were just that—myths.
She had two close—unhealthily close—friends, the slimy Dr. Corvisart, whom her equally slimy father introduced to Napoleon, and a second-rate perennially off-duty chevalier. No women friends of any rank. Just as well, because according to almost all the extant memoirs, no woman of any rank liked her, apparently able to see through the “I’m so sweet and demur” act.
She never went to Lectoure, Lannes’ hometown, and threw a real bitch fit when he wanted to go or went without her “approval” simply because he wanted to see his father and his siblings, and a lot of friends.
She insisted if they visited anyone, carting the kids with them, it was only and always to see her family. Full stop.
1809-1822: Treachery, Treason, Malfeasance, and Suspicious Death
She had to deal with claims from Lannes’ first wife, the much-maligned Polette Meric, on behalf of her son, Jean-Claude, until Naps ended that by a sharp letter to Cambaceres.
She actually went to the Tuileries to demand that Naps grant—posthumously, of course—the title “Prince of Seviers” so she could be a for-real princess just like Mesdames Massena, Berthier, and so forth and so on. She threw a significant shit-storm when Naps refused, and he reminded her that Lannes never applied for the letters patent because he didn’t care about the title, so she shouldn’t either.
No one—literally, no one other than Naps—thought she was a suitable choice for Marie-Louise. The historical record is replete with examples from the folks surrounding Marie-Louise, who was no winner herself.
She and her partner in crime, Dr. Corvisart, worked to insinuate themselves into M-L’s life so that when 1814 arrived, they could work to keep her away from Naps.
She made sure, as her letters show, that M-L and Naps II went back to Vienna, accompanied by her soon-to-be lover, Count Neipperg.
She offered her mansion that Lannes had bought and paid for to Wellesley for his headquarters. He refused, graciously, it is said.
Her parents immediately pledged their loyalty to Louis XVIII.
She lawyered up for the next legal battle with Polette, now that Naps was out of the picture.
She went into higher gear after Waterloo, now with nothing to stop her other than Jean-Claude’s attorney, who began to show that her marriage and Lannes’ divorce from Polette were riddled with illegal points.
Jean-Claude died in mysterious circumstances in November 1817. He had never been ill, and died three days after contracting an unknown illness. This has always been suspicious for obvious reasons.
She packed up the kids and went to Lectoure in 1818—she stayed in Auch, however, about 20 miles south—and, in a large PR event, donated Lannes’ house to the town. She never returned nor allowed any of the kids to return.
To be fair, which I always try to do regarding interpreting historical facts and figures, read Regis Bob-Crepy’s bio of Louise. His family married into hers back in the day before she married Lannes, and he is remarkably talented in glorifying his view of Louise. Besides the sheer comedic value for me, the best thing about his book is the letters he uses, which were/are maintained in the family’s hands and never before shared. Of course, we cannot know if others shed a different light on the subject. Given the family’s cavalier and almost criminal way they have treated anything to do with Lannes, his possessions, or his legacy, opting instead for celebrating their ties with the de Broglies and the Berthiers, I can almost guarantee that any shred of anything detrimental about Louise disappeared ages ago.
I have often sneered at the men who wrote biographies and articles about Lannes buying the Louise myth in its totality. But then, the poor dears simply can’t see things that are very clear to us.
Hope this answers your question.
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Que reste-t-il ? quand les corps enflammés ont cessé de rêver quand ils se sont touchés, percutés quand ils ont glissé l’un sur l’autre l’un dans l’autre corps luisants, corps rougis de désir, sueur et sang Quand les mains se sont trouvées quand elles ont agrippées sexes et seins tendus quand les langues se sont tues quand elles se sont repues des effluves chargées des fluides transpirés quand elles ont fouillé dessiné de salive les pores inexplorés les cartes du désir des antres qui se ferment puis s’ouvrent au plaisir
quand les cris se sont tus l’animal s’est terré tout au fond
où personne ne vient ternir les lumières de ses rêves éveillés où personne n’éteint son histoire sans fin. Tout au fond sous la surface il s’enivre de l’amertume des bulbes et racines et se souvient du goût sucré des fleurs
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Waiting
DURING those hours of waiting, what did they do? We must needs tell, since this is a matter of history.
While the men made bullets and the women lint, while a large saucepan of melted brass and lead, destined to the bullet-mould smoked over a glowing brazier, while the sentinels watched, weapon in hand, on the barricade, while Enjolras, whom it was impossible to divert, kept an eye on the sentinels,
Combeferre, Courfeyrac, Jean Prouvaire, Feuilly, Bossuet, Joly, Bahorel, and some others, sought each other out and united as in the most peaceful days of their conversations in their student life, and, in one corner of this wine-shop which had been converted into a casement, a couple of paces distant from the redoubt which they had built, with their carbines loaded and primed resting against the backs of their chairs, these fine young fellows, so close to a supreme hour, began to recite love verses. What verses?
These:
Vous rappelez-vous notre douce vie, Lorsque nous étions si jeunes tous deux, Et que nous n'avions au cœur d'autre envie Que d'être bien mis et d'être amoureux, Lorsqu'en ajoutant votre age à mon age, Nous ne comptions pas à deux quarante ans, Et que, dans notre humble et petit ménage, Tout, même l'hiver, nous était printemps?
Beaux jours! Manuel etait fier et sage, Paris s'asseyait à de saints banquets, Foy lançait la foudre, et votre corsage Avait une épingle où je me piquais. Tout vous contemplait. Avocat sans causes, Quand je vous menais au Prado dîner, Vous étiez jolie au point que les roses Me faisaient l'effet de se retourner.
Je les entendais dire: Est elle belle! Comme elle sent bon! Quels cheveux à fiots Sous son mantelet elle cache une aile, Son bonnet charmant est à peine éclos. J'errais avec toi, pressant ton bras souple. Les passants crovaient que l'amour charmé Avait marié, dans notre heureux couple, Le doux mois d'avril au beau mois de mai.
Nous vivions cachés, contents, porte close, Dévorant l'amour, bon fruit défendu, Ma bouche n'avait pas dit une chose Que déjà ton cœur avait répondu.
La Sorbonne était l'endroit bucolique Où je t'adorais du soir au matin. C'est ainsi qu'une âme amoureuse applique La carte du Tendre au pays Latin.
O place Maubert! ô place Dauphine! Quand, dans le taudis frais et printanier, Tu tirais ton bas sur ton jambe fine, Je voyais un astre au fond du grenier. J'ai fort lu Platon, mais rien ne m'en reste; Mieux que Malebranche et que Lamennais Tu me démontrais la bonté céleste Avec une fleur que tu me donnais.
Je t'obéissais, tu m'étais soumise; O grenier doré! te lacer! te voir Aller et venir dès l'aube en chemise, Mirant ton jeune front à ton vieux miroir. Et qui donc pourrait perdre la mémoire De ces temps d'aurore et de firmament, De rubans, de fleurs, de gaze et de moire, Où l'amour bégaye un argot charmant? Nos jardins étaient un pot de tulipe; Tu masquais la vitre avec un jupon; Je prenais le bol de terre de pipe, Et je te donnais le tasse en japon.
Et ces grands malheurs qui nous faisaient rire! Ton manchon brûlé, ton boa perdu! Et ce cher portrait du divin Shakespeare Qu'un soir pour souper nons avons vendu!
J'étais mendiant et toi charitable. Je baisais au vol tes bras frais et ronds. Dante in folio nous servait de table Pour manger gaîment un cent de marrons. La première fois qu'en mon joyeux bouge Je pris un baiser a ton lèvre en feu, Quand tu t'en allais décoiffée et rouge, Je restai tout pâle et je crus en Dieu! Te rappelles-tu nos bonheurs sans nombre, Et tous ces fichus changés en chiffons? Oh que de soupirs, de nos cœurs pleins d'ombre, Se sont envolés dans les cieux profonds!(1)
The hour, the spot, these souvenirs of youth recalled, a few stars which began to twinkle in the sky, the funeral repose of those deserted streets, the imminence of the inexorable adventure which was in preparation, gave a pathetic charm to these verses murmured in a low tone in the dusk by Jean Prouvaire, who, as we have said, was a gentle poet.
In the meantime, a lamp had been lighted in the small barricade, and in the large one, one of those wax torches such as are to be met with on Shrove-Tuesday in front of vehicles loaded with masks, on their way to la Courtille. These torches, as the reader has seen, came from the Faubourg Saint-Antoine.
The torch had been placed in a sort of cage of paving-stones closed on three sides to shelter it from the wind, and disposed in such a fashion that all the light fell on the flag. The street and the barricade remained sunk in gloom, and nothing was to be seen except the red flag formidably illuminated as by an enormous dark-lantern.
This light enhanced the scarlet of the flag, with an indescribable and terrible purple.
(1) Do you remember our sweet life, when we were both so young, and when we had no other desire in our hearts than to be well dressed and in love? When, by adding your age to my age, we could not count forty years between us, and when, in our humble and tiny household, everything was spring to us even in winter. Fair days! Manuel was proud and wise, Paris sat at sacred banquets, Foy launched thunderbolts, and your corsage had a pin on which I pricked myself. Everything gazed upon you. A briefless lawyer, when I took you to the Prado to dine, you were so beautiful that the roses seemed to me to trn round, and I heard them say: Is she not beautiful! How good she smells! What billowing hair! Beneath her mantle she hides a wing. Her charming bonnet is hardly unfolded. I wandered with thee, pressing thy supple arm. The passers-by thought that love bewitched had wedded, in our happy couple, he gentle month of April to the fair month of May. We lived concealed, conent, with closed doors, devouring love, that sweed forbidden fruit. My mouth had not uttered a thing when thy heart had already responded. The Sorbonne was the bucolic spot where I adored thee from eve till morn. 'Tis thus that an amorous soul applies the chart of the Tender to the Latin country. O Place Maubert! O Place Dauphine! When in the fresh spring-like hut thou didst draw thy stocking on thy delicate leg, I saw a star in the depths of the garret. I have read a great deal of Plato, but nothing of it remains by me; better than Malebranche and than Lamennais thou didst demonstrate to me celestial goodness with a flower which thou gavest to me. I obeyed thee, thou didst submit to me; oh gilded garret! to lace thee! to behold thee going and coming from dawn in thy chemise, gazing at thy yourg brow in thine ancient mirror! And who, then, would forego the memory of those days of aurora and the firmament, of flowers, of gauze and of moire. when love stammers a charming slang? Our gardens consisted of a pot of tulips; thou didst mask the window with thy petticoat; I took the earthenware bowl and I gave thee the Japanese cup. And those great misfortunes which made us laugh! Thy cuff scorched, thy boa lost! And that dear portrait of the divine Shakespeare which we sold one evening that we might sup! I was a beggar and thou wert charitable. I kissed thy fresh round arms in haste. A folio Danto served us as a table on which to eat merrily a centime's worth of chestnuts. The first time that. in my joyous den, I snatched a kiss from thy fiery lip, when thou wentest forth, dishevelled and blushing, I turned deathly pale and I believed in God. Dost thou recall our innumerable joys, and all those fichus changed to rags? Oh! what sighs from our hearts full of gloom fluttered forth to the heavenly depths!”
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– Et vous, vous êtes dans quoi au juste ? – Dans le réchauffement. – Ah c’est bien ça, non ? Ça a bien le vent en poupe cette histoire-là, non ? – Vous parlez de vent ? Nous, c’est tornades et typhons ! On n’a pas une minute à nous : fonte des glaciers par ici, stress hydrique par là, El Niño qui tempête dans le Pacifique, les ours polaires qui se noient dans l’Atlantique... La puissance éditoriale tous formats, les images en boucle... vous n’imaginez pas le boulot.
– Ah oui, quand même. Et vous Madame ? – Moi ? Oh moi je gère les épidémies mondiales. – Attendez... le … c’était vous ? – Oui, Monsieur. – Ahhhh, alors là… Chapeau bas, Messieurs ! Nous avons avec nous la personne qui a mis le monde sous cloche pendant deux ans ! – Vous me gênez. Le dossier était fort bien préparé, je dois dire. Un cas exemplaire de collaboration public/privé au niveau transnational. – Vous parlez le Mandarin alors ? – Oui, mais avec un fort accent texan.
– Et vous, Monsieur ? Vous êtes sur quel type de dossier ? – Moi ? Comment dire... c’est un peu dilué au début, mais ça finit généralement en apothéose. – Vous nous cuisinez, là ! Allez ! Dites tout ! – Tout ? Mais vous voulez ma mort ! Bon. Alors il s’agirait plutôt de faire bouger les gens sur des thématiques sociétales au début, et puis on redessine une carte politique à partir de quelques incidents, un peu de corruption, deux ou trois bavures bien mises en scène... bref, de quoi reprofiler les institutions en contrôlant progressivement la liberté de mouvement, d’expression, de transaction. – Je l’ai ! Vous, vous êtes dans les révolutions de couleur ! Un fond de CIA, quelques graines de Sorros, une bonne dose de LGBTQ+ et hop, c’est parti ! – Oui, c’est un peu raccourci mais je reconnais qu’il y a de cela. Et des dossiers pédophiles aussi – je me permets de rajouter cette info car c’est déterminant et ça dépasse mon seul champ de compétence opératif.
– Et vous jeune homme ? Vous ne dites pas grand chose. Quel peut bien être votre pré carré ? – Oh moi ? Je suis une compétence transverse. – “Transverse” ? C’est une nouvelle orientation sexuelle ? – Certes non. Je travaille un peu pour vous tous en fait. – Voyez-vous cela ! – Je m’occupe principalement des médias. De leur contrôle, pour être précis. L’intitulé du poste que j’occupe est “Régulateur des Pressions”. Nous avons à notre disposition divers leviers que nous actionnons plus ou moins, isolément ou de façon groupée. Tout dépend du résultat recherché. – Des leviers dites-vous ? – Oui, c’est cela même. Pour vous donner des exemples, nous avons le levier “viols et attouchements” pour les vieux journalistes un brin trop rigides. Nous avons aussi “fraudes fiscales et revenus dissimulés” pour les patrons de chaîne qui se croient intouchables. Ou alors “bashing racial et harcèlement social” pour les présentatrices indisciplinées. Quand vous les contrôlez, vous avez un œil sur tout. – Je suppose que vous avez également la main sur les financements ? – Oui aussi, mais c’est une collègue qui s’en occupe. Les financements publics, les dettes effacées, les rachats convenus, c’est son truc ! – Eh bien nous vous remercions pour votre soutien zélé ! Franchement, vous nous aidez bien ! – Quand on peut rendre service...
J.-M. M.
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Swing Macabre jour 20
(English under the french! There is a choice to make !)
Et donc j’ai fini la carte…
Pluuuuus ou moins.
En gros, au moment de finir la couleur de François, j’ai réalisé que l’image rendait aussi bien avec les lignes que sans (bon avec un léger calque en produit sur le fond pour différencier François de la fresque, ok).
Et… Eeet.. .eeeeeet… du coup je ne sais pas lequel choisir (indécise comme je suis, on pourrais croire que je suis balance au lieu de cancer, mais nooooon.)
Donc, chers ami.es, abonnés et personnes aléatoire qui tombent sur ce post par hasard…
Day 20 of Swing Macabre
So, I finished the card…
Mooooooore or less.
Let’s say, when I was putting on the finishing touches on François’ colors, I realized the picture looked as good with the line art than without (ok, with a little multiply layer so you could differentiate Francois from the fresco).
And… aaand… Aaaaaaaaaaaand… now I don’t know which versions to choose (undecided as I am, you would believe I’m a libra instead of a cancer, but noooooo).
So, dear friends, followers or random person finding this post:
V1 with lines
Or V2 lineless?
#clip studio paint#digital art#drawloween#inktober#illustration#Swing Macabre#François the cutie skeleton#dance of death#dancing skeletons
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