#coiffée
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@a-room-of-my-own, voilà : là on avait une réponse politique de gauche appropriée, logique, univoque et pacifiste. On pense d'abord aux populations civiles, on condamne totalement l'attaque terroriste, on respecte la position officielle de l'État français sur la question. Ça, c'était un bon tweet de politicien de gauche.
#à côté tu as révolution permanente qui se fend d'un “solidarité avec le peuple palestinien”#on devrait condamner ces gens à défiler dans certains quartiers de ma connaissance coiffés d'une kippa tiens#gallomancy
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Couettes
#autoportrait#self portrait#grimace#grin#portrait#photography#image#photomontage#photo art#artists on tumblr#digital photography#digital portrait#photocomposition#couettes#portrait coiffé
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Demoiselles coiffées
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Journal
Le mariage est passé et la pression qui l'entourait aussi. Me voilà avec un nouveau nom et pas mal de paperasse à faire. Cette journée de samedi 07 septembre restera dans ma mémoire. Même si mon mariage était petit, il était à mon image. Pourtant, je n'y suis pas pour grand chose, ce sont mes enfants et en particulier ma belle-fille et ma fille qui se sont occupées de tout. Ma fille m'a coiffé et elle m'a rendu plus jolie et plus sûre de moi dans ma robe champêtre. Mon mari quand à lui, était tellement paniqué à l'idée de ne pas porter de veste sur sa chemise, qu'il est allé en acheté une 1 heure avant la cérémonie. Il a aussi prit une autre chemise, celle que nous avions choisit étant trop cool pour être porté avec une veste de costume. Nous avons rejoins nos invités sur le parking de la mairie et tous mon complimenté sur ma robe, pourtant simple et peu cher (acheté sur Temu, c'est dire ! ) mais qui m'allait à ravir et me correspondait tout à fait. Nous avions demandé aux invités de ne pas s'habiller exprès mais les témoins étaient magnifiques. Mes fils en chemise rose pale et nœud papillon bleu et ma fille et ma belle-fille en robe longue rose. Avant que la cérémonie ne commence, je me suis renseignée sur un point avec l'adjointe au maire qui me regarde et me dit : Mais ce n'est pas vous la mariée ? ... Pour elle, une mariée doit forcément porter une robe blanche et être âgée de moins de 50 ans, je présume. Ensuite, elle s'est trompée dans le prénom du mariée et elle n'a pas vu que les 4 témoins n'ont pas tous signés sur les documents. Mais elle nous a fait une belle photo avec mes 12 invités alors, je lui pardonne ! Nous sommes allés boire un café et faire des photos avant d'aller au restaurant à midi. Les enfants avaient préparé une voiture ballait, celle qui ferme le cortège, avec des plumeaux colorés sur les rétroviseurs et un déambulateur gonflable sur le coffre ! Après un délicieux déjeuner, nous étions tous invités chez mon fils et ma belle-fille pour manger les gâteaux préparé par ma belle-fille. Mon mari a fait duré le plaisir en passant en voiture dans le centre ville, tout en klaxonnant. Les autres ont suivit. Un petit cortège mais un cortège bruyant tout de même . Chez mes enfants, le salon avait été merveilleusement décoré, dans les tons rose et or. Il y avait des ballons partout, une table avec des gâteaux dont une pavlova en forme de cœur, un livre d'Or, deux mariées en résine (encore plus vieux que nous), un coin photo avec des accessoires pour se déguiser et un fond musicale année 80. C'était vraiment génial et l'ambiance était super. Ma tant redouté belle-mère, la femme de mon père, m'a même dit s'être plus amusée à mon mariage qu'à celui de sa petite-fille, quelques semaines auparavant. Ce fut un mariage tout simple, à notre image, entouré des gens que nous aimons, même si tous n'ont pas pu être présent, car nous vivons très loin de ma famille. Mais mes enfants étaient là, mon petit fils aussi, mon père avait également fait le déplacement ainsi que la sœur de mon mari et tous ont contribués à faire de ce jour une belle réussite que nous garderons à jamais dans nos cœurs.
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Jean-Léon Gérôme (French, 1824-1904)
Tête de femme coiffée de cornes de bélier
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saga: Soumission & Domination 347
Florian
Florian est le gymnaste amateur repéré par Jona. Il est un peu grand par rapport à Romain et un peu moins large mais ce que me montre Jona sur son smartphone est quand même impressionnant, surtout quand il est aux barres parallèles. Il n'a pas menti non plus sur sa gueule.
Petite présentation : Florian est issu d'un père ouvrier en agroalimentaire et d'une mère femme de ménage, dans les 1m74 il porte 70Kg de muscles. Brun à la pilosité déjà maitrisée (gymnastes), Jona m'annonce un sexe d'une largeur peu commune si ce qu'il a vu au repos sous les douches se concrétise. Il est en première année de BTS Technique et vit la semaine comme pensionnaire du lycée où il fait son BTS.
Il est homo même si peu de gens sont au courant d'après l'enquête. Jona n'a pas vu de probable " petit copain " parmi les autres adhérents du club où le jeune homme s'entraine.
Je n'ai pas le temps de l'approcher. Je demande à Jona de s'en charger.
Il me le ramène un vendredi soir après m'avoir juste téléphoné et prévenu qu'il a déjà débroussaillé le terrain. En tant qu'ancien paysagiste comment dois-je comprendre ce terme ! L'a t'il déjà enculé ou lui a t'il déjà dit pourquoi il m'intéressait ?
Quand ils entrent dans mon bureau, il est 18h. Jona comme Florian sont en jogging. Si on en m'avait pas dit qu'il n'était qu'amateur je ne l'aurais jamais deviné.
Jona me présente et le présente. Il continu à tenir la parole. Il m'explique qu'il a déjà dévoilé à Florian le but de sa présence et les conditions générales du contrat.
Pendant qu'il parle, je mate le nouveau venu. Son jogging est propre mais pas de première jeunesse et pas du modèle de l'année, tout comme ses baskets. S'il est propre sur lui, avec une tête entretenue, pas de bouton, barbe rasée, cheveux court et même s'ils sont coiffés un peu à la footeux, ils vont bien avec sa tête.
Quand Jona se tait, je demande à Florian ce qu'il en pense et ce qu'il croyait pouvoir accepter de faire.
Il prend le temps de la réflexion. Il mate les photos qui m'entourent. Il montre Romain et me dit qu'il peut doubler mon potentiel dans ce style d'escort.
Ok il a tout compris.
On passe donc direct aux questions personnelles. Les évidentes étant déjà en mémoire, je passe directement à sa bite. Il m'annonce un 18 x 7, pas mal du tout, même si c'est sa rondelle qui va encaisser le plus souvent.
Dépucelage : à l'adolescence par un copain du sport, même âge mais plus avancé sur le sujet.
Vie sexuelle : faible si on ne compte pas les branlettes avec doigts dans le cul.
Outing : nul, ni à la famille ni aux copains.
Revenus : les parents paye l'internat et il a bossé les 2 mois d'été dans leur usine pour les extra.
Je veux le voir nu, même si j'ai confiance en Jona.
Il ne fait pas de difficulté. Et c'est rapide vu ce qu'il a sur le dos. Sous le blouson un marcel (il est réchauffé quand même !) qui dégage ses épaules et c'est impressionnant comme il souligne bien sa musculature. Il retire son slip en même temps que son bas de jogging. Ok il est bien fait et déjà épilé ou rasé. Un peu moins déséquilibré que Romain, ses épaules sont quand même très larges. Son sexe au repos est court mais déjà large. Il repose sur deux grosses couilles lisses. Je lui demande de bander. Il se branle, met un peu de temps à y arriver. Je comprends, c'est pas évident de bander comme ça devant deux inconnus sans aucune tension sexuelle ambiante. Mais ça gonfle et je vois le résultat. 7cm de large même un peu ovale sur 18 seulement c'est encore plus impressionnant que sur une bite de 25 ! Je lui demande de se tourner. Son cul ? Une beauté, petit, très rond il attire la morsure. Sans que je lui demande il se penche en avant écarte les fesses pour que je vois sa rondelle imberbe comme le reste. Je le remercie et il se redresse et me fait face.
Je lui demande s'il pense possible d'interrompre son internat. Avec l'accord de ses parents qu'il se fait fort d'obtenir s'il argumente d'un travail rémunérateur, cela peut se faire dès la fin du mois puisque le paiement est trimestriel.
Je comprends que depuis qu'il a été approché par Jona il a réfléchi à la chose. Je lui demande son cursus. Bac S avec mention bien mais pas les moyens de faire autre chose qu'un BTS. Quand je lui demande ce qu'il aurait voulu faire, il me répond une école d'ingénieur mécanique ou généraliste.
Je lui dis qu'avec ce qu'il va gagner chez moi, il peut de nouveau envisager ce type d'études. Il y pensait mais n'avait pas encore osé l'envisager.
Jusqu'alors Jona ne lui avait pas encore parlé précisément de salaire. Je l'informe que d'ici la fin août, s'il consent à faire une prestation par semaine plus 15 jours à 1 mois de " vacances " il pourra non seulement se payer ses frais de scolarité mais vivre correctement ses 5 années d'études. Et s'il continue de temps à autres à prestater pour moi, ses 5 années seront confortables même.
Là il me dit qu'il se privera un peu mais qu'il assurera pour les études de son petit frère.
Le dossier monté un peu rapidement n'en faisait pas mention. Le gamin n'a encore que 18 ans mais déjà en première S. Il suit Florian en tout sauf en ce qui concerne le sexe et le sport. Il est plus attiré par le design industriel et jusque-là n'envisage qu'un BTS de dessin industriel.
En sexe, il sort actuellement avec une copine de sa classe et en sport c'est un handballeur.
Ma fois ci ça peut le motiver pour le taf, moi ça me va.
Je reviens sur le côté sexe des prestations. Jusque-là il a été aussi bien actif que passif même s'il n'a pas trouvé beaucoup de mecs volontaires pour ses 7cm ! En passif son record est un beur de 25ans monté 25x6 une seule fois. C'avait été un peu difficile et douloureux mais il lui avait quand même tout mis.
Ça me rassure, la base est bonne.
C'est lui qui me demande si je veux tester la " marchandise ". Bon, question vocabulaire y'a un peu de travail à faire mais pour le reste le gamin n'a pas froid aux yeux.
J'appelle João. Maintenant qu'avec lui j'ai une bite de 22x6 sur place, cela pousse mes tests plus avant.
En attendant je lui demande de commencer avec Jona. Il est maladroit, hésitant, gauche pour tout dire. Il va y avoir un peu de travail à faire avant de le lancer même en tant que " bête de sexe ". Ses réponses bravaches cachaient finalement au minimum une certaine appréhension au pire de la peur.
Jona le ressent aussi et il fait tout pour l'aider. Il prend l'initiative de lui rouler un patin. Là, le petit se donne vraiment. A croire qu'on a basculé l'interrupteur. João entre et ma recrue ne s'en rend pas compte. Je fais signe à João d'y aller. Il se colle au dos de Florian. Ce dernier tourne la tête et se laisse embrasser par le nouveau venu. Bien que coincé entre mes deux escorts, je vois sa bite se redresser entre les jambes écartées de Jona.
Il se laisse glisser à leurs pieds. Il commence par une pipe aux 19cm de Jona. Il en prend facile 18. Quand il bascule sur João, le résultat est le même. Je le note comme un point à améliorer. Mais là aussi la base est bonne, 18cm c'est déjà l'entrée de sa gorge.
Alors qu'il suce João, Jona tire son bassin ver le haut pour préparer la sodo. Je lui tends le gel et des kpotes. Il enduit la rondelle et commence à mettre des doigts. Un passe facile tout comme deux d'ailleurs. Le troisième demande un peu de travail mais finit par entrer quand même. Il les retire et présente sa bite emballée. Il l'enfonce entre les deux globes ronds et le pénètre. Pas de modification du pompage de João. Il doit se mettre ses doigts à chacune de ses branlettes !
Après quelques minutes, je demande à ce qu'ils échangent. João " s'habille " à son tour et alors que Jona, lui, se découvre. Là, c'est un peu différent pour Florian.
Il sent bien passer les 22cm de mon brésilien. Les 6cm semblent lui faire assez d'effet et plusieurs fois il écarte la bite de Jona de sa bouche pour respirer plus facilement.
Quand le dernier cm lui écarte la rondelle il serre les dents. Bon prince, je lui passe sous le nez un flacon de poppers ouvert. Il se détend direct et reprend sa sucette.
Moi ça me va, il semble volontaire, endurant à ce que je vois sous mes yeux et comme je vois qu'il bande toujours, plutôt chaud.
João se donne à fond et Florian en profite bien. Il rue du cul pour se le faire prendre plus fort.
Jona se retire et lui jute sur les cheveux. Je le remplace pour tester par moi-même ma nouvelle recrue.
Il pompe bien. S'il n'a pas eu beaucoup d'expérience, il a vite appris alors. Il alterne les tentatives de gorges profondes avec un travail de langue sur gland des plus convaincants. Je comprends pourquoi Jona s'est fait prendre au piège.
Jona se coule entre nous et pompe le petit nouveau. Il n'en devient que plus vorace et João s'aperçoit aussi de la différence. Il l'encule plus sèchement jusqu'à se fixer au fond, les mains crispées sur ses hanches occupé à remplir sa kpote. De mon côté j'ajoute mon sperme à celui de Jona qui lui reçois la production de Florian sur l'épaule.
Tous les 4 sous les douches, Florian me demande s'il est embauché. Je lui dis que c'est OK mais qu'il va devoir travailler son vocabulaire et perdre ce petit accent " banlieue ". Pour le reste je lui fais confiance, il saura s'adapter aux physiques de mes clients. Un truc, c'est qu'il devra trouver des positions originales et " sportive " lors de ses rapports avec eux puisque c'est sa spécificité " Gymnaste " qu'ils vont louer. Alors que nous somme secs, il prend devant nous quelques positions. Après un grand écart au sol il nous fait le même debout. A la " Van Damme ", il suit avec un autre entre deux chaises avant de poser ses deux mains au sol et de lentement faire un équilibre les jambes toujours parallèles au sol. Il pivote, descend le bassin et sans toucher le sol, les jambes à l'équerre, il plie les bras et les tend comme un simulacre de défonce sur un mec couché sur le dos.
Ok la démo est faite, il semble avoir suffisamment d'imagination.
On finit l'entretien par la visite des installations sportives le second très orienté muscu l'intéresse et la piscine le surprend. Mais la serre c'est autre chose. Le grand tatami l'attire aussitôt pour le travail au sol. Il me dit qu'il pourra tester là ses positions spécifiques de baise. La piscine de 25m l'interpelle et il me demande s'il devra s'entrainer dedans. Je hoche la tête.
J'ajoute que pour lui et son compère, j'allais voir à acquérir des barres parallèles et s'ils le veulent, j'essayerai d'implanter des anneaux.
Avant qu'il ne parte avec Jona, je lui donne les adresses auxquelles il va devoir faire une visite. Le médecin, le labo d'analyse, pour les vêtements, je demande à Jona de l'accompagner.
Je fais un point avec João. Je lui demande si celui-là lui plait aussi. Il me dit qu'il est bien mais c'est pas son Romain, même s'il a pris du plaisir à l'enculer.
La semaine suivante, les résultats arrivent satisfaisants. Il est clean de HIV comme des MST. Il intègre alors le groupe officiellement. Le changement des soirées d'entrainement auprès des autorités du lycée s'est fait sans questions.
Romain est content d'avoir un collègue même si ce n'est qu'un amateur. Ils nous gratifient d'un petit défi entre eux qui les classent quasiment exæquos. Il apprécie aussi de l'avoir avec lui quand ils se mettent dans le bain (au propre). Ce ne sont pas des nageurs et ce n'en seront jamais, pas le physique. Mais Anthony m'assure qu'ils s'amélioreront quand même et puis nous ne préparons personnes aux compétitions ! Sous les douches il fait sensation avec sa bite extralarge. Plusieurs font remarquer qu'ils pourront s'entrainer sur lui plutôt que des godes pour se préparer à certains de nos clients.
Florian bande sans pouvoir s'en empêcher devant la multitude de corps nu devant ses yeux. Il ne s'est jamais fait de partouze et ça ne lui est jamais encore arrivé de voir autant d'homos, nus devant lui.
Ce premier soir il serait illusoire de se contenter d'une simple douche. Ça vire troisième mi-temps sexe. Si João avait eu des velléités de garder son Romain encore quelques semaines pour lui tout seul (hors clients), c'est râpé ! En tant que petits nouveaux, ils sont sollicités de tous les côtés. Je reste un peu en retrait pour analyser leurs comportements.
Si je vois Romain interroger du regard son João lors des premières dragues et mains à son cul, il s'affranchi vite de son approbation tellement ça vient de partout. Mes autres escorts sont curieux de leurs capacités particulières. Je vois quelques baises acrobatiques. Les bancs de muscu servent de supports à leurs grands écarts, Romain couche Simon au sol à côté d'un banc et je le vois s'installer pour faire les triceps avec ce même banc. Quand il descend il s'encule sur Simon enfin sa bite de 18x5 et quand il travaille ses triceps, il décule. En fait il ajoute une donnée " plaisir " au travail musculaire ingrat. Il pourra faire ça aussi avec mes clients sur leur tapis et lui en appui sur le bord du canapé.
Florian est plutôt sollicité pour défonce mes escorts. Quand je jette un oeil sur lui, il est en train de se faire mes 2 russes. Nikolaï est sur le dos avec Viktor dans les bras à se rouler des pelles. Leurs bites écrasées l'une contre l'autre, ils présentent leurs deux culs à la sodomie.et comme ils sont amant officiels, pas la peine de changer de kpote entre leurs deux trous. Ils apprécient et on entend gémir celui qui reçois les 7cm de Florian. En sourdine puisqu'ils s'embrassent !
Je retiens quelques minutes mes deux nouveaux alors que tous s'en retournent chez eux. Impressions ? Ils sont ravis. Surtout Florian qui n'avait encore jamais connu ça.
Il en profite pour m'annoncer que c'est vu avec ses parents et que c'est ok pour qu'il sorte du pensionnat à la fin du mois. Pour les trajets il me demande s'il pouvait avoir une avance pour s'acheter un scooter. Il en a bien un chez lui mais en panne depuis quelques semaines. Je lui passe le n° de téléphone de Daniel et lui dit de voir directement avec lui, il m'enverra la facture directement.
Dès qu'il nous quitte, j'appelle ce dernier et lui donne mes instructions. Florian à son permis donc il peut conduire des scooters de 125cc3. Daniel me propose qu'il prenne plutôt un 3 roues, y'en a de sympas maintenant et il pourra monter en cylindrée. Et comme il sera obligé de faire une mini formation que ce soit un 2 ou un 3 roues ça changera pas grand-chose. Lui, il opterait pour un Gilera Fuoco 500, plus original qu'un Piaggo ou qu'un Peugeot. Comme il monte à 145Km/h il pourra s'amuser un peu.
Je lui dis de voir ça avec l'intéressé. J'ajoute qu'il s'occupe aussi des protections, blouson cuir et casque de marque ! Il ne faut pas lésiner sur la sécurité !
Il me dit avoir reçu de nouveaux SHARK dont un Raw dual black de toute beauté et avec un look très robot qui plait assez. Il lui proposera en blouson un ICON 1000 HOOD, avec capuche il fait moins spécifique moto tout en étant de la qualité top. En noir avec le casque il devrait avoir une touche qui sort un peu du lot. En pantalon il préconise un Jeans John Doe Kamikaze en Kevlar plus un cuir ICON 1000 Roughshod pour le look. Je lui dis de ne pas oublier les pieds et pour ça me dit qu'il l'équipera soit en ICON field armor 2 ou en AXO Slammer. Les deux sont des boots moins typées moto.
Appel à Éric pour les 7 heures de formations obligatoires et tout est en place.
En une semaine tout est bouclé et il est équipé avant d'entrer dans la coloc. Certificat en poche et vêtu de neuf, il vient me remercier. Il a une bonne touche un peu noire mais le look est là. Je lui pique son scoot le temps de faire un tour dans le coin. La conduite est amusante et les accélérations sont sympas.
Il me dit qu'il pourra même rentrer chez lui avec vu qu'il n'a que 50Km à faire.
Dans un premier temps comme je ne pourrais l'utiliser que dans des contrats sexes, pas besoin de lui prévoir une voiture.
Jardinier
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L'Art et la mode au Château de Versailles. Décembre 1952
"At the Belvedere of the Petit Trianon". Sophie Malgat wearing a small evening cap in white silk jersey, embroidered with small pearly leaves. By Paulette. Scarf in scarab green silk taffeta by Guillemin.
" Au Belvédère du Petit Trianon". Sophie Malgat coiffée d'un petit calot du soir en jersey de soie blanc, brodé de petites feuilles nacrées. Par Paulette. Écharpe en taffetas de soie vert scarabée de Guillemin.
Photo Georges Saad
#l'art et la mode#décembre 1952#fashion 50s#fall/winter#automne/hiver#paulette#guillemin#sophie malgat#georges saad#château de versailles#petit trianon#vintage magazine#vintage fashion
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Clips from "Le Parc" (Anjelin Preljocaj) rehearsal and actual performance.
Feat. Alice Renavand and Mathieu Ganio - moments just before he lifts her up for the iconic flying kiss.
His eyes say it all.
Je pourrais aussi mentionner qu'il est tout aussi craquant même rasé avec une biscotte et coiffé avec un pétard!
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Welcome to the 39th installment of 15 Weeks of Phantom, where I post all 68 sections of Le Fantôme de l’Opéra, as they were first printed in Le Gaulois newspaper 115 yeas ago.
In today’s installment, we have Part VII of Chapter 14, “La Lyre d’Apollon” (“Apollo’s Lyre”), and Part I of Chapter 15, “Un Coup de maître de l’amateur de trappes” (“A Masterstroke of the Trapdoor Lover”).
This section was first printed on Tuesday, 23 November, 1909.
For anyone following along in David Coward's translation of the First Edition of Phantom of the Opera (either in paperback, or Kindle, or from another vendor -- the ISBN-13 is: 978-0199694570), the text starts in Chapter 13 with, “'Christine,' said Raoul as he got to his feet, 'you say you love me but it was only a matter of hours after you were free again that you went back to him',” and goes to Chapter 14, “Then she rushed out in a state of near-panic, still pulling and smoothing her fingers as if she thought the ring would somehow mysteriously reappear of its own accord.”
There are some differences between the Gaulois text and the First Edition. In this section, these include (highlighted in red above):
1) Chapter XV was printed as Chapter XVI. This numbering error was made in Chapter VII, and was not corrected, so it was propagated throughout the Gaulois publication.
2) Chapter 15 in the Gaulois text is Chapter 14 in the First Edition, etc.
3) Compare the Gaulois text:
… vous dites que vous m'aimez et quelques heures à peine s'étaient écoulées depuis que vous aviez recouvé votre liberté, que déjà vous retourniez auprès d'Erik !…
Translation:
“… you say that you love me and yet scarcely a few hours had passed since you had regained your liberty, and you were already going back to Erik!…”)
To the First Edition:
… vous dites que vous m'aimez, mais quelques heures à peine s'étaient écoulées, depuis que vous aviez recouvé votre liberté, que déjà vous retourniez auprès d'Erik !…
Translation:
“… you say that you love me, but scarcely a few hours had passed since you had regained your liberty, and you were already going back to Erik!…”
4) This passage was added to the First Edition (indicated by the red arrow above), and does not appear in the Gaulois:
Soudain une silhouette bizarre se dressa devant les jeunes gens, leur barrant le chemin :
« Non ! pas par ici ! »
Et la silhouette leur indiqua un autre couloir par lequel ils devaient gagner les coulisses.
Raoul voulait s’arrêter, demander des explications.
« Allez ! allez vite !… commanda cette forme vague, dissimulée dans une sorte de houppelande et coiffée d’un bonnet pointu.*
Christine entraînait déjà Raoul, le forçait à courir encore :
« Mais qui est-ce ? Mais qui est-ce, celui-là ? » demandait le jeune homme.
Et Christine répondait :
« C’est Le Persan !…
– Qu’est-ce qu’il fait là…
– On n’en sait rien !… Il est toujours dans l’Opéra !
Translation:
Suddenly, a strange silhouette loomed before the two youths, blocking their path:
“No! Not this way!”
And the silhouette pointed to another corridor by which they must reach the wings.
Raoul wanted to stop, to ask for an explanation.
“Go! Go quickly!…” ordered this shadowy figure, enshrouded in a sort of houppelande and capped with a pointed hat.*
Christine was already dragging Raoul away, forcing him to run again:
“But who is that? Who is that man?” asked the young man.
And Christine replied:
“That is The Persian!…”
“What is he doing here?…”
“No one knows!… He is always at the Opera!”
* NOTE: Leroux's character of "The Persian" was based on an actual French historical figure, the Persian gentleman and expat, Mohammed Ismaël Khan. This image below depicts the houppelande coat and Astrakhan cap that Leroux was likely imagining when he was writing his novel.
This image is from Les Célébrités de la rue, by Charles Yriarte, published in 1864, a book that listed notable figures in Paris in the early to mid 1800s. It was published during Mohammed Ismaël Khan's lifetime, as M. Khan passed away in 1868.
It is worth noting that the Opera House that M. Khan frequented was the Salle Le Peletier, which was destroyed in a fire in 1873 (five years after M. Khan's death). Two years later in 1875, the Paris Opera was moved to the newly opened Palais Garnier (aka Erik's Opera House). So, contrary to Leroux's narrative, M. Khan never actually frequented the Palais Garnier. This is an example of faction (fact+fiction), one of Leroux's favorite literary devices, which Leroux used throughout Le Fantôme de l'Opéra to build a feeling of verisimilitude into his fictionalized narrative.
5) Compare the Gaulois text:
C'était Erik. Il avait les yeux de braise dont vous m'avez parlé. J'aurais dû le clouer sur la lyre d'Apollon…
Translation:
“That was Erik. He had the fiery eyes that you told me about. I should have nailed him to Apollo’s Lyre…”
To the First Edition:
Si vraiment nous avons aperçu Erik j'aurais dû le clouer sur la lyre d'Apollon…
Translation:
“If that truly was Erik that we saw, I should have nailed him to Apollo’s Lyre…”
6) Compare the Gaulois text (this was likely an error on Leroux’s part, since earlier, Raoul agreed to be in Christine’s dressing room at midnight sharp):
… à minuit et demi ! fit le jeune homme …
Translation:
“… at half past midnight!” said the young man …
To the First Edition:
… à minuit je serai dans votre loge, fit le jeune homme …
Translation:
“… at midnight I shall be in your dressing room,” said the young man
7) Compare the Gaulois text:
Jamais ! répondit-elle avec énergie. Je la renverrai à Erik en la déposant dans la loge du fantôme. Il faut qu'Erik puisse rentrer tranquillement chez lui le soir…
Translation:
“Never!” she replied forcefully. “I shall return it [the key] to Erik by leaving it in the Phantom’s box. Erik must be able to return calmly to his house in the evening…”
To the First Edition:
Jamais ! répondit-elle avec énergie. Ce serait une trahison !
Translation:
“Never!” she replied forcefully. “That would be a betrayal!”
8) Minor differences in punctuation.
Click here to see the entire edition of Le Gaulois from 23 November, 1909. This link brings you to page 3 of the newspaper — Le Fantôme is at the bottom of the page in the feuilleton section. Click on the arrow buttons at the bottom of the screen to turn the pages of the newspaper, and click on the Zoom button at the bottom left to magnify the text.
#phantom of the opera#poto#gaston leroux#le fantôme de l’opéra#le gaulois#phantom translation#apollo's lyre#mohammed ismaël khan#15 weeks of phantom#phantom 115th anniversary
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Moments glamours avec une princesse trans en quête de son prince Marseille 13005
Je n'ose jamais sortir de chez moi sans maquillage ou sans être coiffé. J'aime me présenter sous mon meilleur jour. Il le faut si je veux rencontrer l'amour de ma vie. À voir si je rencontrerai un qui m'aime malgré ma transidentité. J'aime les soirées glams et m'amuser. Du coup, être en couple ne veut pas dire que je cherche un mec pantouflard.
Discuter avec Kandice
#trans#rencontre#transgender#celibataires#trans woman#transisbeautiful#france#amour#crossdresser#travestie#marseille
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La France est en soins palliatifs. Sous piquouze de choc. De l’olympisme en intraveineuse. Du shoot de winner médaillé or. Plus de gouvernement, certes, mais le petit peuple, toujours coiffé par ses élites, se délecte. Bientôt on tentera de payer sa baguette en drachme estampillé BCE, mais qui s’en fout ? La tant redoutée “troïka bruxelloise” viendra déféquer dans les bottes de la garde républicaine, nakamuratée à mort et bien incapable de défendre la porte du château. On devra faire ceci et ne plus faire cela. On dira adieu à l’épargne, aux retraites, à la santé. On se responsabilisera enfin sous le regard sévère (mais juste) de Blackrock, de Pfizer, d’Ourzoula et de tous les copains habillé en bleu atlantique. Chiche que l’on nous demandera d’apprendre l’ukrainien.
Et Branlotin, dans tout cela ? Eh bien le petit connard narcissique est parti tâter du muscle au soleil, photographié sur le yacht d’un énième oligarque (?), tout sourire, déjà bronzé, sans Jean-Bri. Ça va nous faire un combo cocaïne-vaseline au coucher du soleil, à n’en pas douter. Les feux de l’amour, avec le tandem Jolly-Boucheron en guests stars descendues en Falcon de la République.
La France coule, le sourire béat, les poumons pleins d’air pur, dans le bonheur d’une capitale sans bagnoles, sans racaille ouane-tou-sri, sans SDF, sans OQTF, sans subsahariens vendeurs de tour Eiffel, sans plus trop de violeurs pakis, mais avec plein de caméras réputées intelligentes, gavée de QR codes inquisiteurs en diable, avec du bleu poulaga à chaque carrefour, du piou-piou en gare, des bénévoles qui essaient encore de sourire aux couillons sportophiles venus de partout se faire plumer dans les restos à micro-ondes des quartiers encore épargnés par les grillages et les blocs de béton.
La France se noie parce qu’elle a bu la tasse dans une Seine plombée par les étrons, les rats crevés et les larmes des Gabin, des Audiard, des Blier, des Ventura et de tous les cadors d’un passé couillu et bien révolu. Un milliard et quatre cents millions pour permettre à Salvadorina Allende et à une ministre clitoridienne de jouir d’un bain pourri, infect, dégueulatoire. Tristes connes, pauvres athlètes.
Que se passera-t-il après tout cela ? Nul ne peut le dire. Les cartes de Madame Irma sont illisibles, tombées de la table, parties sous le tapis ou déjà bouffées par les rongeurs darwinisés par la règle du profit et du silence. Même les conjectureux de plateau nous parlent de concours de javelot ou de 400 mètres haies tant l’horizon est bouché – illisible, imprévisible, invisible.
La France, la France, la France... chienne aînée d’une Église wokisée, pute consentante de satrapes ricaneurs et lâches, cumshotée dans tous ses orifices, veinifiée à la pfizzerine, noyée dans la Cène, raccourcie à la Conciergerie... pauvre fille, qui fut si belle. Se remettra-t-elle de tous ces coups bas, ces avilissements, ces misères proprement médiévales ? 2025, année des funérailles, ou premier chapitre d’un nouveau récit ? Les deux, qui sait, mon Général ?
J.-M. M.
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Printemps 1933 - Champs-les-Sims
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Cher Lucien,
Cela me fait plaisir de voir que les choses commencent à être plus belles par chez vous, en particulier pour Marie qui semble si bien s'en sortir dans son mariage. J'ai d'ailleurs transmis tes salutations à tout le monde, et ils te renvoient tous la pareille.
La crise a fini par arriver par chez nous également. Avec du retard, mais une certaine intensité. Tante Rose dis qu'à Paris, les queues devant les soupes populaires ne font que s'allonger. Ange me confirme que les clients se font un peu plus rare dans les établissements de loisirs. Les prix ont augmenté et nous avons essuyé des pertes sèches durant la dernière année. Oncle Adelphe s'en est arraché les cheveux tant nos meilleures bouteilles ne se vendent plus beaucoup. J'ai eu l'idée de réorienter la production vers des vins de moyenne gamme qui eux se vendent toujours aussi bien. Les chiffres commencent un peu à remonter ces derniers mois, mais nous sommes très loin du chiffre d'affaire que nous avons eu pendant vingt ans. Nous avons du licencier un de nos ouvriers pour faire des économies, et je suis ravie d'avoir autrefois insisté auprès d'Adelphe pour qu'il m'apprenne les gestes techniques du métier. Je suis un peu rouillée, mais grâce à ça, j'ai pu maintenir le niveau de vie de la famille. La vie sociale de tout le village en est bouleversée. Il y a beaucoup moins de soirées organisées chez les voisins, les repas de famille sont moins nombreux, et l'épicerie des frères Musclet peine à maintenir la tête hors de l'eau.
Tu me demandes comment s'est passé le retour de Petite Eugénie à la maison. Dans les grandes lignes, c'est assez agréable. Je suis heureuse de retrouver ma petite soeur, mais je suis aussi décontenancée par son attitude. Elle ne fait pas du tout ses dix-sept ans et semble être bien plus jeune, raison pour laquelle les filles en font très souvent leur compagne de jeu. Mais parfois, elle a des éclairs très brusques de maturité qui lui font adopter l'attitude d'une adulte. Je crois qu'elle même ne sait pas vraiment comment se comporter. Elle est parfois confuse, invente des événements qui n'ont pas lieu ou oublie tout simplement que Papa et Maman ne vivent plus ici. Les crises les plus fortes ont cessé, mais voir dans ses yeux le moment où elle réalise qu'elle n'avait plus qu'un pied dans la réalité est très dur et triste. Le médecin à Paris dit que son état s'améliore, et c'est vrai, mais j'aimerais l'aider davantage.
Transcription :
Eugénie « Qu’est-ce que vous faites ? »
Ange « Une activité vespérale trépidante. Nous lisons. »
Arsinoé « Il s’agit de notre petit rituel du soir, avant le dîner. Et toi ? Qu’est-ce que tu fais dans cette tenue ? »
Eugénie « J’attends que la voiture d’Eugène vienne me prendre. Il organise une soirée au château. »
Arsinoé « Ma chérie… Eugène n’organise pas de fête ce soir. »
Ange « Et le château a été vendu à l’état il y a des années déjà. Tu ne t’en souviens pas ? »
Eugénie « Je… heu… si. Je crois. Oh non… ça a recommencé... »
Arsinoé « Ce n’est rien Eugénie. Tu es très belle. Tu t’es coiffée toute seule ? »
Eugénie « Heu… Anna m’a aidée… Je dois faire quoi maintenant ? »
Ange « Vas donc t’asseoir au salon. Je vais appeler Eugène de ta part et l’inviter à dîner ce soir. Aurore va très certainement m’assassiner pour le faire si tard, mais je pense que ça fera plaisir à ton amoureux. »
Eugénie « Vous ne lui direz pas, n’est-ce pas ? »
Arsinoé « Lui dire quoi ? Tu t’es bien pomponnée pour lui faire une surprise ce soir non ? »
Ange « Allez, vas ! Noé, vas donc prendre l’appareil, Petite Eugénie est bien trop jolie ce soir pour qu’on manque une occasion de lui tirer le portrait. »
Arsinoé « Quelle bonne idée ! »
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Christmas cookies
Les ondes radio résonnent, Mariah Carey s’époumone, le chocolat fond dans la casserole. Des paroles dégoulinantes d’amour arrivent jusqu’à ses lèvres, et la cuillère de crème qu’elle glisse dans sa bouche. Une fois, deux fois, elle goûte à son mélange, y ajoute du sucre, chante à tue-tête ce joyeux hit des fêtes. Le four est déjà chaud, son corps bien enflammé, elle se déhanche et danse sous l'œil de ses sablés. Bientôt dorée leur croûte et beurrée leur saveur aussi douce que cette partition sucrée qu’elle connaît par cœur. L’odeur monte à son nez, un tendre parfum cacaoté, et la note s’élève, trop haut pour ne pas chanter faux. Qu’importe dans sa cuisine, n’est-elle pas la reine ? Dans cette scène improvisée, oui, la star c’est bien elle. Maniques en mains, toque bien coiffée et tablier noué, la fumée s’échappe du fourneau, ne manque plus que les lumières, et un public pour l’acclamer. Qu’importe la cuisine dérangée, l’entassement des cocottes, bols et autres ustensiles débordant dans l’évier, les taches de gras, jets de farine de tous côtés, le goûter du Père Noël est enfin prêt. Ne reste plus qu’à lui servir son verre de lait.
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Je voudrais tant partir — coiffée de lune sous le ciel vagabond !
Tagami Kikusha-ni
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