#chez band
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so the Scene Queen show was amazing + we saw Peni Parker and CHEZ! We actually had barricade for them both, since we accidentally got there super early, but had to move up the back after their sets because my partner got hit with a dizzy spell :( <3
(photos by me! with no zoom!)
but even with our back view it was such a great show! I might write a full recount later because it was really something special, but for now I'll just say it was probably some of the most fun I've ever had seeing a band ♡
#.txt#my partner wound up mostly okay too btw ♡ just had to take rest breaks now and then#everyone was super sweet about helping him out too which im honestly so thankful for#definitely will write more later!!#scene queen#scene queen band#peni parker#chez#chez band#[i'll add alt text later sorry!]
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Honorable Mentions:
Venom Inc's There's Only Black
Satan's Earth Infernal
Tony Martin's Thorn
Chez Kane's Powerzone
Linda Linda's Growing Up (Not a metal album, but I like some good punk)
#She Ra#she ra princess of power#adora#catra#glimmer#Scorpia#perfuma#double trouble#frosta#entrapta#mermista#lonnie#kyle#I'm sure there's like other bands I'm missing#but i didn't have time to get my hands on those#like the chez kane album
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more old stuff ur welcome
pbbbbt
og post i made on my instagram
instagram
#art tag 4 chez only#the beach boys#tbb#brian wilson#dennis wilson#mike love#bruce johnston#al jardine#music#band#old music#old band#fanart#art#artblr#digital#digital art#procreate#1960s#60s#sixties#1960s music#60s music#sixties music#no id
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fall out boy: announces new tour dates
me: immediately looking up flight prices
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La Mode illustrée, no. 41, 9 octobre 1881, Paris. Corsage en cachemire. Modèle de chez Mme Coussinet, rue Richer, 43. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
La jupe de cette toilette est en cachemire violet d'évêque. Sa garniture se compose de bouillonnés en même étoffe et de bandes de surah d'une teinte plus claire, couvertes de broderie anglaise faite avec du cordonnet de soie mauve. La tunique formant paniers, ainsi que le corsage, sont en cachemire. Le devant de celui-ci ainsi que les manches ont plissés, selon les indications du dessin. Col et revers de manches en surah brodé.
The skirt of this ensemble is in purple bishop's cashmere. Its trim is composed of bouillonnés in the same fabric and bands of surah of a lighter shade, covered with English embroidery made with purple silk cord. The tunic forming panniers, as well as the bodice, are in cashmere. The front of it as well as the sleeves are pleated, according to the indications of the drawing. Collar and sleeve cuffs in embroidered surah.
#La Mode illustrée#19th century#1880s#1881#on this day#October 9#periodical#fashion#fashion plate#description#Forney#dress#corsage#cuirass#Modèles de chez#Madame Coussinet
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Delon nous a quitté dimanche dernier. Fin de bobine.
La salle s’éclaire, les yeux piquent, les assises se rabattent sèchement sur les dossiers, les gens piétinent vers la sortie. Le bel Alain s’en est allé pour de bon, lui qui – semble-t-il – avait déjà quitté le monde sensé, laissant ses glorieux enfants se déchirer autour d’un terril d’or.
Journalistes, politiques, pipoles et piplettes : ils n’ont tous que des superlatifs à la bouche. Machin y va de son “c’était le dernier monstre sacré”, Bidule nous rappelle que “c’était un vrai prince”. La presse idiote rivalise en putasserie unière, à qui la plus belle photo, à qui le plus pathétique titre en guimauve pur sucre.
Mais moi je me souviens, bande de hyènes. J’ai rien oublié du tout. Je me rappelle bien de la ringardisation à marche forcée du ci-devant Delon Alain, coupable de choix politiques impardonnables. Fallait les voir se pincer le nez, les tenanciers de ce merdique show-biz gavé de thunes. Tu citais Delon et voilà qu’ils avaient grave la gerbe, ces gauchistes gueulards et ces soixante-huitards pédos. Beuark ! Macho réac ! Machine à cash ! Vieux beau qui s’accroche ! Tout le catalogue des amabilités en travers de sa belle gueule, le Delon. Ah ça oui, fallait les voir tortiller du cul quand on leur faisait remarquer que son fric, lui, il allait le chercher à Caracas et à Kyoto en vendant des clopes et du cognac pendant qu’eux tapinaient sous les lambris des ministères comme des putes de chantier pour se gaver d’argent public. Et pour quoi faire ? Des films de merde labellisés gauche-xanax où des couples idiots s’engueulent à la cuisine pour des histoires d’adultère foireux tristes à mourir.
Je n’ai jamais pris Delon très au sérieux. Ça n’était pas un vrai soldat, pas complètement un tapin, plutôt un assez mauvais comédien... mais quel acteur ! Quel talent, le félin ! Au-delà de sa belle gueule, il y avait son charme infini de scorpion astralement pur : intransigeant, égocentré, jaloux, lumineux, charmeur, menteur. Elles ont été quelques-unes à y laisser des larmes. Et pas qu’un peu : par bonbonnes entières ! Mais lui s’en foutait. Il aimait, il vivait, il partait. C’est comme ça qu’il les a tous et toutes bluffé(e)s pendant plus de quatre-vingt ans. Au final, c’est la caméra qui l’a le mieux aimé. Cinégénique à en crever, le bonhomme. Pas un angle, pas une ombre pour nuire à sa beauté solaire – ce qui est le comble pour un aussi ténébreux Narcisse.
Tous les plans qui éclairent Delon sont une ode à la masculinité. Même avec un imper trop grand et un bitos rivé sur le crâne, il est crédible. Je veux bien croire qu’il y en a quelques-uns que ça a vraiment du faire bisquer, dans le métier.
Avez-vous remarqué que “masculinité” lui va bien mieux que “virilité” ? Je dis cela parce que Delon n’inspirait pas le cul – il n’y avait rien chez lui de léger en bagatelle ou d’ostentatoire en braguette. C’était un dominateur silencieux, une emprise, un orage. Les femmes – et surtout les plus inaccessibles d’entre elles – ne s’y trompaient pas. Elles cédaient et lui, tranquillement, disposait. Avec tact et élégance sans doute, en tout cas jusqu’à son départ.
Et le voilà parti pour de bon. Un de plus, un de moins, peut-être le dernier. En tout cas, c’est bien raccord avec cette époque qu’il vomissait, à juste titre.
J.-M. M.
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suburban gothic;
inspiré par twin peaks, desperate housewives, six feet under, hereditary, welcome to nightvale, euphoria, totally fucked up, american beauty, pretty little liars, murder she wrote, east of eden.
Par où commencer pour présenter ce monde? Pas de contexte déjà rédigé pour le moment, l’idée n’est que latente; si les rues ne se remplissent pas, à quoi bon y bâtir des maisons? Mais l’idée se fait pesante, lourde de ses possibilités.
Pennsylvanie, au pied des Appalaches, la rouille industrielle qui se bat contre la nature sauvage, elle-même lacérée par le tracé méticuleux de l’asphalte. Le long de l’une des ces longues routes, une ville. Une parmi tant d’autres, des milliers comme elle. Plantée sur une grille qui structure l’espace; au centre-ville et à ses bâtiments denses succède l’harmonie de la banlieue résidentielle. L’ordre s’y confond avec la monotonie, le charme se dilue dans l’ennui. L’architecture humaine se révèle creuse, les fissures laissent s’en échapper les échos de complaintes qu’on aurait voulu recouvrir de béton, de gazon ou de peinture fraîche. L’horreur s’excite avec chaque désillusion, secret, péché, danger, crime, frustrations. Le futur est riche en promesses mais demain n’est jamais un autre jour, inéluctable répétition d’hier. On enterre ses rêves sous un lit de bégonias dont on prend soin avec fureur et hystérie, dans l’énergie du désespoir, jusqu’au jour où une bande d’adolescents les piétine pour s'amuser.
La ville est séparée en quartiers; #1 est un petit centre-ville, le lieu des rencontres fortuites, main street, le cœur administratif et commercial du lieu. #2 est un ancien village rattaché à la ville, avec ses rues pittoresques, ses habitants qui n’aiment pas les visiteurs, le calme acheté à prix fort, les fermes reconverties. #3 est l’ancien bassin minier, abandonné, peuplé de mythes et de terreurs, peu à peu remplacé par l’industrie forestière. #4 est la banlieue résidentielle, le théâtre principal de notre jeu de dupes.
L’horreur vient de l’intérieur; du plus vaste, l’intérieur des frontières nationales, au plus intime: le foyer et l’individu. L’extérieur projette: un pays puissant et prospère, des rues propres, un voisinage aimable, des bonnes manières et de jolies choses. Le tout tient du mirage. À l’intérieur, rien ne va, on est à deux doigts de tomber dans le ravin. Les valeurs fières et heureuses sont corrompues; la communauté devient une prison, la religion devient une manipulation, le politique s’achète, la propriété creuse les dettes, le couple se brise.
Tout ne va pas mal; même si le gothique est souvent très sombre, il y existe aussi une place pour d’autres histoires. Edward Scissorhands est LE film du suburban gothic et c’est loin d’être un film d’horreur. Twin Peaks et True Blood mélangent un ton mystérieux avec des moments plus légers. L’excentricité ou la bizarrerie des personnages est d’ailleurs souvent un symptôme des rouages sombres qui font tourner l’histoire. Les tags associés au gothique sur Tumblr mènent à des contenus sinistres, mais chacun.e est libre d’aller un peu plus loin. À titre personnel par exemple, je pense que les Sims 2 est un jeu à l’ambiance gothique (: On fait ce qu’on veut avec le concept de gothique, et ce sera pareil sur le forum si le projet séduit et intéresse. (si besoin, je peux rédiger un texte un peu plus élaboré sur l'american gothic et ses déclinaisons régionales/thématiques)
Les années 2010; LA décennie des différentes gothic aesthetics. L’une des pires crises financières de l’histoire est passée par là et a fait beaucoup de mal au rêve américain. Le traumatisme est bien là, encore aujourd’hui, chez les individus comme dans les sociétés dans lesquelles ils évoluent. Le paysage de certaines régions change durablement; dans le Midwest, dans le sud, dans la Rust Belt. Une nouvelle tâche sur la mystique de l’Amérique. The American Nightmare.
J’ai beaucoup écrit et si vous avez lu jusque là – merci vraiment, et euh, pardon. C’est avant tout une bouteille à la mer, ce post. S’il trouve sa destination, alors on en fera germer les prémices. Il y a de quoi faire je pense. Les remarques, questions, suggestions, toutes bienvenues, j'ai envie de lire un peu après avoir autant écrit.
Contenu additionel; sera posté s'il y a de l'intérêt – le contexte, évidemment – mécanismes de jeu, animations – les postes vacants, leurs dynamiques – la ville, son monde, son histoire – les racines, l'inspiration – aes
un dernier mot: le tumblr n'est pas encore complètement fonctionnel, la plupart des liens est sous construction.
photo: edgar martins, éditée pour suburban gothic.
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"Chère Gisèle Pelicot, vous êtes entrée dans nos vies comme au tribunal d’Avignon, par la grande porte. [...] Le jour de l’ouverture du procès de vos violeurs a aussi été celui de l’officialisation de votre divorce. [Une meute] vous attend dans la salle d’audience : celle des 50 hommes qui sont jugés pour viol en réunion. Il y en aurait des dizaines d’autres qu’on n’a pas pu identifier. Vous faites face. Rien ne vous préparait à être dans cette salle d’audience. Un des accusés est arrivé en retard parce que, dit-il, il devait accompagner son fils à l’école pour la rentrée. Je me suis demandé qui avait accompagné vos petits-enfants, qui faisaient, eux aussi, leur rentrée scolaire. Je sais que vous avez pensé à eux à ce moment précis.
Réalité difficile à accepter
Vous les voyez tous pour la première fois sauf ce voisin que vous croisiez parfois dans la vie d’avant, celle qui ne reviendra jamais, celle de la maison du Vaucluse et de l’ignorance préservée. Vous les regardez. Ils regardent leurs pieds. Ils n’avaient jamais vu vos yeux, Jean, Didier, Jean-Luc, Romain, Redouan, Cédric, Grégory, Karim, Jean-Marc, Philippe, Quentin, Nicolas, Vincent, Patrick, Paul et les autres… On ploie sous la longueur de la liste et la banalité des profils. Les trois quarts d’entre eux ne reconnaissent pas les viols, comme tous ceux qui font les gros titres de l’actualité, les PPDA, Nicolas Hulot, Salim Berrada, Gérard Miller, Olivier Duhamel, Benoît Jacquot, Jacques Doillon, Gérard Depardieu…
Leurs arguments sont toujours les mêmes. Ils font tourner l’infect disque rayé du mensonge complaisant. Ils n’ont pas compris ce qu’ils faisaient. Ils sont sûrs d’être, eux aussi, des types bien, pas des monstres, même quand on leur montre les vidéos des crimes. Ils sont pompier, journaliste, étudiant, chauffeur routier, gardien de prison, infirmier, retraité, conseiller municipal, nos amis, nos amants, nos pères, nos frères. Une réalité difficile à accepter.
Un seul s’est adressé à vous pour vous présenter des excuses. Leur défense est un échantillon chimiquement pur de la violence patriarcale et des masques derrière lesquels elle s’abrite pour prospérer. « Le patriarcat est dans la maison ce que le fascisme est dans le monde », écrivait Virginia Woolf dans Trois guinées (1938).
Certains évoquent le poncif éculé de la pulsion, d’autres la frustration sexuelle due à l’absence prolongée d’une compagne officielle. Il y a celui qui trouve « bizarre » d’avoir fait ça. On trouve aussi des traces de « libertinage incompris ». Il y a celui qui ose l’ahurissant « viol involontaire ».
« Consentement par délégation »
Puisque vous étiez comateuse, il est difficile de prétendre que vous étiez partante. Difficile, mais quelques-uns tentent quand même le « j’ai pu croire qu’elle faisait semblant de dormir ». Les plus audacieux essayent le « consentement par délégation » ; le mari était d’accord, « il fait ce qu’il veut avec sa femme ». Une femme est soumise à son compagnon. L’ordre immémorial de la hiérarchie masculine est respecté.
Ce qui est certain, c’est qu’ils ont tous bandé à l’idée de pénétrer un corps inerte. Le viol et l’ordinaire de la sexualité semblent avoir beaucoup de points communs dans leur esprit. Ils ont bien le droit. Ils ont le pouvoir de le faire. Ils n’allaient pas passer à côté d’un viol gratuit près de chez eux. Ils ont été biberonnés à la haine des femmes, au mépris qui s’excite de l’impuissance de l’autre. Le sexisme féroce transpire de leur discours. La pornographie violente dont certains collectionnaient les images les plus répugnantes y est sans doute pour quelque chose. La domination absolue les a fait jouir. Ils ne voient pas le problème. Même au tribunal. Même devant vous.
Ils font ce que font la plupart des hommes accusés : ils se victimisent et rajoutent une couche de mépris sur celle qu’ils ont déjà humiliée. Ils sont tombés dans un traquenard. On les a piégés. Vous êtes restée là, à les écouter sans ciller, droite sur le ring. Vous décrivez désormais votre vie comme un combat de boxe. Le combat est déloyal. L’adversaire a les armes du terrorisme patriarcal. Que vous soyez à terre ou debout, cassée ou le poing levé, votre droiture fait craqueler la carapace d’impunité qui les a longtemps protégés.
Ce n’est pas seulement vous, Gisèle, qu’ils ont traitée comme une chose. Ils nous disent, à toutes, notre insignifiance. Votre force nous rend la nôtre. Merci pour ce cadeau immense.
Hélène Devynck, journaliste et autrice d’Impunité, (Seuil, 2022)"
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Je sais pas si vous avez vu les dernières nouvelles sur le procès de Mazan, mais ce truc c'est vraiment le fond de l'abîme pour la gent masculine. Entre :
Pélicot lui-même (pas besoin de revenir sur le personnage je crois qu'on a fait le tour)
L'avocat de la défense qui tente de nous expliquer la différence entre le bon et le mauvais violeur ("Le mauvais, il voit un truc qui bouge, il bande…")
Le gang des somnophiles anonymes qui jurent tous sur la tête de leur mère qu'ils ont été dupés à l'insu de leur personne tel Richard Virenque
Celui qui pense que tout ça c'est un complot et que Gisèle Pélicot est dans le coup et faisait semblant de dormir parce que "regardez là entre la pipe et la sodomie elle a cligné!"
Le Grand Prix de l'Imaginaire qui affirme qu'il se rappelle de rien après avoir passer la porte et s'inquiète d'avoir été peut-être drogué lui aussi si ça se trouve??? :O
Le cinéphile qui raconte qu'il regardait des vidéos d'abus sur des mômes et des animaux pour "se cultiver"
J'en passe et des meilleurs, on a pas affaire au haut du panier ça c'est sûr
Mais c'était sans compter sur les témoins venus soutenir Gisèle ! Enfin, les héros arrivent !
Le témoignage de Pélicot frère: "Mon frangin il dit n'importe quoi, on a eu une enfance très heureuse, mon père c'était quelqu'un de bien ! Bon, il a un peu violé une enfant handicapée qu'on hébergeait, mais après? C'était les années 70!"
Mec qui a été contacté par Pélicot sur le site où il recrutait mais n'a pas donné suite : "Ben non, j'y suis pas allé, j'avais foot ce soir pis faut être con pour aller chez un inconnu qui t'invite texto à violer sa femme. Tous les violeurs ne sont pas cons- euhh, je veux dire, tous les mecs sont pas des violeurs!… Comment? Pourquoi j'ai pas appelé la police? Euh, je croyais que c'était une blague. Eh, oh, ça va, déjà je viole pas, n'en demandez pas trop bande de salopes."
Beh purée c'est qu'on en viendrait presque à comprendre comment certains en arrivent à vouloir se couper les burnes et porter des talons aiguille.
Edit: j'ai cassé tumblr avec mes gros mots je crois lol
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🔴Voici comment l’ennemi sioniste maltraite les corps de martyrs, les dépouilles de civils palestiniens qui tentaient de rentrer chez eux dans le nord de la bande de Gaza.
Tout se paie. Il y aura une réponse.
#stand with palestine#palestine#free gaza#free palestine#stand with gaza#palestinian lives matter#genocide in gaza#gaza genocide#i stand with palestine#gaza fights for freedom#gaza strip#gaza news#gaza under attack#gaza under genocide#gazaunderfire#gazaunderattack#save gaza#gaza#palestine will be free#palestine will never die#from the river to the sea palestine will be free#genocide in palestine#free free palestine#palestine genocide#palestinian genocide#palestinians#palestinian resistance#pro palestine#save palestine#strike for palestine
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Re- French Elections stuff
Yo, les gens qui désespèrent de la dernière fils de puterie de l'ignoble banquier.
SAMEDI, PARTOUT EN FRANCE S'ORGANISENT DES MANIFS ANTI RN.
Alors allez googler le nom de votre ville et les horaires de la manif de votre coin, et par pitié déplacez-vous. J'ose espérer qu'ils auront la cervelle de ne pas mettre ça aux mêmes horaires que la Pride. Touchons du bois.
Je n'ai malheureusement trouvé nulle part une liste pré-faite de tous les rendez-vous. Le site de la LFI a une section "créer/rejoindre un événement" avec une carte, où une partie des événements sont indiqués. Si la grande ville proche de chez vous n'est pas indiquée, googlez [nom de votre ville] manifestation 15 juin. UPDATE: LE SITE DE LA CGT A UNE CARTE DES RENDEZ-VOUS
Rameutez les darons les daronnes les frères les sœurs les potes les collègues les mutuals tout ce que vous pouvez traîner avec vous ! Beaucoup de gens (moi la première je juge pas, ok?) n'osent pas aller en manif seuls ! Lancer le sujet en demandant qui se sent d'y aller en groupe peut leur permettre de venir ! Si vous avez un véhicule, vous pourriez être la personne qui permet à d'autres de participer ! Et comme ça vous pouvez faire un déjeuner / un café / thé / etc de célébration/réconfort en fin de manif !
CONSEILS POUR CEUX QUI NE VONT PAS SOUVENT EN MANIF SOUS LE CUT
- chaussures confortables, vous allez piétiner au départ et puis marcher entre 30 minutes et 1h - Vérifiez la météo. Pensez à un chapeau ou un vêtement de pluie. Dans le doute vaut mieux l'avoir pour rien. - On est en été prenez une bouteille d'eau ! même si vous avez jamais soif vous pourriez vraiment aider un pote
- Au cas où prenez un truc sucré, genre barre chocolatée ou petit paquet de gateaux. Si quelqu'un commence à faire un malaise autour, ça peut être important. - En premiers soins : des pansements à cloques, du doliprane, si vous avez une articulation fragile pensez à une bande de support (chevillère, genouillère) dans le sac au cas où. C'est de la parano jusqu'au jour où vous en avez besoin.
HANDICAP - Vous pouvez TOTALEMENT venir avec des bouchons d'oreilles et un casque anti-bruit !! (Les orgas de manifs sont des boulets sur l'inclusion niveau bruit, mais c'est pas l'école personne va vous les confisquer !) - Les manifs marchent sur la route et je n'en ai jamais vu emprunter d'escaliers. Pour nos amis en fauteuil roulant. N'hésitez pas à contacter une asso/ un collectif d'orgas pour demander le parcours de la manif. - Vous pouvez venir, marcher ce que vous pouvez et quitter le cortège quand vous êtes fatigués. Ca aide de venir même si vous ne pouvez pas être là jusqu'à la fin. Personne ne vous jugera, ni même ne vous remarquera. Pensez à prévenir le groupe avec qui vous venez que c'est une possibilité et discutez à l'avance de ce qui sera fait dans ce cas, pour vous éviter le stress ou la gêne qui empêche de dire "j'ai besoin de m'arrêter". - évitez les panneaux fatigants à porter. Vous pouvez écrire vos slogans au marqueur indélébile sur un vieux T-shirt blanc ou clair, ça marche très bien et c'est plus confortable ! Et si vous ne savez pas quoi écrire, ne vous prenez pas la tête, votre présence aide même sans panneau.
LIMITER LES RISQUES D'EMBROUILLES - Les manifs qui rassemblent des syndicats mainstream et autres institutions nombreuses et blanches sont rarement attaquées par la police, en tout cas hors Paris. Ca n'empêche pas de suivre quelques conseils de bon sens. - Niveau sécurité, évitez la tête de cortège (tout devant) et la queue de cortège (tout tout derrière). - Quand la marche est terminée, si la foule se disperse, ne restez pas sur place. - SI UN GROUPE D’EXCITÉS SE METTENT A CRIER DES INCITATIONS A CASSER DES TRUCS ET/OU BIFURQUENT HORS DU TRAJET DE LA MANIF PRINCIPALE, NE LES SUIVEZ PAS. Les pseudo-casseurs infiltrés ou aux affiliations douteuses ça existe. Restez dans le cortège principal, ne cassez rien, ne taguez pas, c'est plus sûr quand on ne connaît pas les groupes locaux.
#upthebaguette#the french side of tumblr#emmerder le front national ça devrait être un sport national#redonnons-lui ses lettres de noblesse didju
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Il faut souffrir pour être une fille !
Ma sœur était plus attirée par les filles que par les garçons. Sa première chérie s'appelait Christine, c'était une rousse mignonne et très féminine. Elle avait 16 ans et était la fille d'une esthéticienne divorcée. Elle logeait au dessus de l'institut de sa mère. Nous formions Christine, ma sœur et moi un drôle de trio de gourmandes de plaisirs. Cela a duré un peu plus de deux ans, jusqu'à mon entrée à l'Université. Tous les samedis après-midi et quelquefois en semaine, nous nous retrouvions dans la chambre de Christine qui était devenue notre salle de jeux. Christine n'était pas en reste et le fait qu'elle vive seule avec sa mère lui a donné beaucoup d'avance côté sexe. Après mes premiers essayages de fille chez Christine, et avant de découvrir le plaisir féminin de me faire prendre par un tampon puis un merveilleux vibro, mes deux complices ont voulu me débarrasser de mes poils disgracieux… Ma sœur y était déjà passée, sauf son minou et c'était très simple car Christine empruntait le matériel de sa mère à l'Institut et s'exerçait sur elle. Un après-midi, ma sœur et sa chérie ne se sont pas caressées comme à leur habitude. Elles ont comploté en messes bases… Elisabeth m'a demandé de me mettre en culotte pendant que Christine descendait à l'Institut. Elle est remontée avec un truc à cire chaude, des bandes et un rasoir électrique. Elle m'a dit : C'est pas beau une fille avec des poils, on va s'occuper de toi ! Elles ont mis une serviette éponge sur le lit et m'ont demandé de m'allonger sur le dos. Christine a appliqué de la cire sur mes jambes, c'était chaud et agréable. Elisabeth a pressé des bandes sur la cire… Et ensuite, je ne sais plus laquelle des deux a arraché la première bande 🤐🥴😭 Tout ce que je sais c'est que j'ai poussé un cri tel que la mère de Christine a demandé du bas ce qu'elles me faisaient pour me faire crier ainsi ! Et elles ont continué ainsi devant et derrière puis sur la poitrine où heureusement j'avais peu de poils car j'ai souffert … Ha les garces 🥴 Pour finir, Christine m'a dit : "Baisse ta culotte, on va te dessiner le maillot pour que tu aies un joli minou comme nous." Je me suis exécuté en lui disant de faire gaffe à ne pas me blesser avec sa tondeuse. Je n'ai pas été blessée mais à force de me manipuler le clito et les couilles, je leur ai offert une belle queue bien raide. Elisabeth a dit : on ne peut pas le laisser comme ça, il ne peut même plus remettre sa culotte ��🍆🍆. Et Christine d'ajouter qu'après tout ce travail elles avaient droit a une récompense. Elles m'ont branlé et j'ai déchargé dans la main de Christine qui s'est empressée de lécher ma liqueur. Elisabeth était frustrée car elle n'a eu que les dernières gouttes en essorant mon clito qui dégonflait…
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You have to suffer to be a girl!
My sister was more attracted to girls than boys. Her first sweetheart was called Christine, she was a cute and very feminine redhead. She was 16 years old and the daughter of a divorced beautician. She lived above her mother's salon. Christine, my sister and I formed a strange trio of pleasure seekers. This lasted a little over two years, until I entered university. Every Saturday afternoon and sometimes during the week, we met in Christine's room which had become our playroom. Christine was not left out and the fact that she lived alone with her mother gave her a big head start on the sex side. After my first girl fittings at Christine's, and before discovering the feminine pleasure of being taken by a tampon then a wonderful vibrator, my two accomplices wanted to get rid of my unsightly hairs… My sister had already been there, except for her pussy and it was very simple because Christine borrowed her mother's equipment at the Institute and practiced on her. One afternoon, my sister and her sweetheart did not caress each other as usual. They plotted in my basics… Elisabeth asked me to put on my panties while Christine went down to the Institute. She came back up with a hot wax thing, strips and an electric razor. She told me: It's not beautiful a girl with hairs, we'll take care of you! They put a terry towel on the bed and asked me to lie on my back. Christine applied wax to my legs, it was hot and pleasant. Elisabeth pressed strips on the wax… And then, I don't remember which of the two tore off the first strip 🤐🥴😭 All I know is that I screamed so much that Christine's mother asked from below what they were doing to me to make me scream like that! And they continued like this in front and behind then on my chest where fortunately I had little hair because I suffered… Oh the bitches 🥴 To finish, Christine told me: "Pull down your panties, we're going to draw your swimsuit so that you have a pretty pussy like us." I complied, telling her to be careful not to hurt me with her clippers. I wasn't hurt but by dint of manipulating my clit and balls, I gave them a nice stiff cock. Elisabeth said: we can't leave him like this, he can't even put his panties back on 🍆🍆🍆. And Christine added that after all this work they were entitled to a reward. They jerked me off and I unloaded in Christine's hand who quickly licked my juice. Elisabeth was frustrated because she only got the last drops by wringing out my deflating clit…
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saga: Soumission & Domination 319
Amaury au taf
Avec Samir et Ammed, nous recherchons ce qui pourrait faire monter Amaury en gamme.
Samir propose qu'on pourrait commencer par le faire sodomiser par mon black le plus membré. Lui, un aristocrate, ça devrait bien le faire kiffer de se faire dominer par un ancien indigène des colonies! Il souhaite y aller progressivement et faire durer le plaisir qu'il prend avec Amaury.
Je suis OK avec ça. C'est son soumis, c'est lui qui décide.
Je fais affaire avec mon black TTTBM. Sa bite de 28x8,5 me pose souvent un problème même avec mes escorts entrainés. Il le sait bien mais je suis le seul qui peut lui fournir où mettre sa bite (si on peut appeler ça une bite !). Surtout qu'on pourrait penser qu'elle est un peu molle et bien non le colosse de 2m la fait raidir comme si elle ne faisait que 20x5 !
Je l'appelle et lui propose un plan sodomie directe. Il hallucine de m'entendre lui proposer cela. D'habitude j'insiste bien sur le fait qu'il prenne le temps de bien préparé mon escort, qu'il y aille lentement dans sa pénétration et qu'il ne casse pas son " jouet " car il ne payera jamais assez pour ça.
Je lui explique que j'ai rentré un nouvel escort aux capacités adéquates. Négo sur le tarif. Samir me dit que c'est pour moi, lui il aura le kiff de gérer Amaury. Je refuse et de toutes les manières il aura une prime sur son salaire normal. Je précise qu'il sera amené par son maître et que ce dernier aura toute autorité de ma part pour gérer la prestation. Le client accepte très excité par les possibilités qui s'offrent à lui.
Récit de Samir :
J'emmène Amaury à son premier contrat pour Sasha. Avant de monter en voiture, je l'ai préparé. Un lavement en profondeur, graissage et maxi plug (longueur 20cm, diamètre au blocage 5) avant que je lui pose sa cage de chasteté. Pour être sûr qu'il ne bande pas celle-ci comporte des picots vers l'intérieur sur toute la pointe qui emprisonne son gland. Dans la voiture, assis dessus, Amaury bascule le bassin pour faire bouger le plug. Il gémit déjà de l'effet sur sa prostate. Je lui dis de se calmer qu'il garde des forces pour se faire défoncer tout à l'heure.
Nous arrivons chez le client. Grosse maison isolée. Amaury va pouvoir gueuler, y'aura pas de voisins dérangés. Il n'a sur le dos qu'un short de course très échancré sur les côtés auquel j'ai retiré le slip intérieur puisqu'il n'y a rien à retenir. Pour le haut un simple marcel de muscu, lâche.
C'est le client qui ouvre. Impressionnant même pour moi qui suis pourtant carré. Le mec fait dans les 2m et bien 120Kg. Il est en tenue de sport lui aussi. Ses bras nus sont comme les cuisses d'Amaury (ok c'est pas non plus ce qu'il travaille le plus !). Ils sortent d'un t-shirt blanc gonflé à l'extrême. Son sexe est emprisonné dans un cycliste élastique qui le moule comme une 2ème peau. Il est tellement moulant qu'on devine qu'il est circoncis et porte un gros cockring.
Je pousse Amaury vers le sol qu'il se mettre à 4 pattes. Je serre la main du client et présente mon slave. Il nous demande de le suivre. Amaury reste à 4 pattes et nous suit jusqu'au donjon du mec. Pas aussi bien équipé que celui du Blockhaus, mais pas mal quand même. Le principal est là, une croix de saint André, une selle à gode motorisé et un cheval d'arçon avec menottes pour mains et pieds. Une étagère avec une collection de gode de taille croissante occupe un des murs. Je comprends leur utilité quand mes yeux reviennent sur le client qui maintenant bande franchement.
Amaury est hypnotisé par le boa qui s'est développé. Le gland a cherché une issue et s'est faufilé sur la jambe gauche jusqu'à sortir du tissus juste au-dessus du genou.
Je lui dis d'y aller. Il se jette dessus et tourne la tête pour prendre en bouche le gland violacé. A la tête du client, je devine qu'Amaury tourne sa langue dessus comme il sait si bien le faire. Je suis sûr qu'il doit même essayer d'enfiler sa langue dans le petit trou. Le client ne tient plus, il s'écarte et descends le cycliste. Sa lourde bite remonte plus haut que l'horizontale ce qui est pas mal vu le poids qu'elle doit faire. Elle ne reste pas longtemps sans couverture. Amaury se jette dessus et s'en enfiles les 3/4 pour sa première plongée. Je connais mon gourmand, il n'aura de cesse que de poser ses dents sur le pubis crépu. il plonge et replonge sur la queue loirs et il ne lui faut que 10mn pour y arriver. Le client est ravi. Il me dit que c'est une première pour lui, en général les autres escorts callent à 3 cm de l'arrivée.
Mon Amaury se donne à fond. Je crois qu'il kiff de réaliser son phantasme de pute. Il se plante le gros noeud dans sa gorge et insiste même quand il est bien au fond. Je le vois se cambrer de plus en plus. Son cul est un véritable appel au viol.
Le client s'en aperçoit lui aussi. Il se dégage de la bouche d'Amaury et l'attrape par les hanches. Il le tourne et remarque le plug. Il me jette un coup d'oeil et je lui dis qu'il peut y aller. Du coup il l'arrache d'un coup sec, faisant hurler Amaury par la même occasion. Quel comédien ! Vu la dose de gel que je lui avais mis, il a dû glisser quasiment tout seul.
Le trou n'a pas le temps de se refermer que le client pousse sa bite kpotée dedans. Je suis en face. Je vois els yeux d'Amaury sortir des orbites. C'est sûr que sans trop de préparation il mange grave le gamin ! Je vois ses yeux se remplir de larmes mais elles sont de plaisir vu le sourire qu'il m'envoi. En attendant c'est pas pire que nos deux bites ensembles à Ammed et moi question diamètre. Parce que côté longueur c'est sûr que c'est beaucoup plus long, sauf le bras d'Ammed ! Le client me prend plusieurs fois à partie et me félicite de la salope que j'ai entre les mains. En même temps qu'il bourre Amaury il discute avec moi. C'est assez troublant mais c'est lui le client ! Je pense que ça doit aussi l'empêcher de partir trop vite.
Il me dit qu'avec les meufs, il n'arrive rarement à en mettre que les deux tiers et encore quand elles ne se sauvent pas en courant. Je le félicite d'être aussi bien outillé et dis que je comprends, ce sont plutôt parmi les juments qu'il devrait trouver son bonheur. Eclats de rire, même d'Amaury qui recule sur le mat qui le perfore comme le client ralentissait le rythme.
Un changement impressionnant de position. Amaury est loin d'être une crevette ce qui ne l'empêche pas d'être soulevé comme une plume, et le colosse noir de le planter sur sa bite debout. Reflexe, Amaury serre ses jambes aux hanches du mec pour se soutenir. Dans cette position, les fesses d'Amaury sont écartées au maximum et il se prend jusqu'au dernier millimètre la bite noire. C'est impressionnant la différence de couleur. Le noir est très noir et Amaury à le cul très blanc !
Ils tiennent la position plus d'un quart d'heure avant que le black pose le dos d'Amaury sur la table et l'encule violement jusqu'à jouir. Je remarque qu'Amaury laisse échapper de son gland compressé un long filet blanchâtre de sperme. Je suis content qu'il ait pris son pied lui aussi.
Le client se barre en nous indiquant la salle d'eau attenante. Je m'occupe d'Amaury. Je libère sa bite. Elle est couverte de son jus. Dans un souffle rauque, il me dit avoir juté au moins deux fois. Je le soutiens jusqu'à la douche. Il est mort. J'ôte le haut pour le laver. Il se laisse faire comme un enfant. Je le savonne, le rince et le remet debout pour le sécher. Au passage je vérifie la fermeture de son anus. Comme d'habitude, il est quasiment à la taille " non utilisé autrement que naturellement ". Je retrouve les quelques vêtements qui le couvraient. Il est renfile et alors que nous nous apprêtons à partir, Le client nous rattrape et me file un enveloppe. Je sais par Sasha que c'est une pratique assez courante de ses clients quand ils sont contents.
Avant de démarrer, j'ouvre l'enveloppe et compte vite fait. Je sais que les clients sont aisés mais là se prendre 5k de plus que le contrat c'est fou !! J'en touche deux mots à Amaury qui me dit de tout garder, lui n'en a pas besoin. Il a pris grave son pied et me dit qu'il est prêt à recommencer quand je veux.
Je vois bien qu'il a kiffé grave le plan mais je dois faire attention pour lui. Il serait capable d'enchainer les plans pour le plaisir.
Je le ramène chez lui et rentre au blockhaus. Je discute avec Sasha du plan qu'Amaury vient de faire.
Samir revient de chez mon client. Il me tend une enveloppe pleine et me dit qu'Amaury n'en n'avait pas voulu. Je le lui rends et lui dis que du coup c'est tout pour lui. Il me débriefe le client. En conclusion il me dit qu'Amaury est prêt pour un gang bang la prochaine fois. Sa rondelle s'est refermée parfaitement. L'entrainement qu'il s'est auto-infligé depuis des années fait son effet.
Je lui dis que je le tiens au courant pour le gang bang. Ce genre de plan demande un peu d'organisation. Le lieu est tout trouvé, le gite habituel est rarement utilisé en fin d'automne. Le proprio sera content de se faire un peu de blé.
Quand je revois Amaury, c'est en cours. Il a les yeux un peu tirés mais personne ne pourrait s'imaginer qu'il s'est fait monter par un étalon black pendant des heures la nuit passée.
Il me rejoint à la machine à café. Je lui tends celui que j'avais commandé et m'en prends un autre. On papote de tout et rien en attendant que les collègues s'éloignent. Je lui demande alors comment il a encaissé sa première prestation. Il me répond que c'était trop fort. Le plus qu'il ait jamais connu, encore plus que ses plans avec Samir et Ammed. Avant de rentrer dans l'amphi, il me dit qu'il peut aller plus loin encore et que si j'ai des clients partants, il est mon homme.
Je le retrouve après les cours et l'emmène boire une bière. Quand je lui dis que j'ai reçu un appel de son client, je le vois inquiet. Tout de suite je le rassure et lui dis qu'il le redemande dès que possible. Je lui explique qu'il est le seul de mes escorts à part Jimmy mon phénomène beur, à réussir à le prendre en entier. Et qu'il a trop aimé son corps plus formé. Il rougit c'est charmant ! Je lui demande si plusieurs black ça lui ferait peur. Il me fixe et me dis que de toutes manières, je sais qu'il est une grosse chaudasse en manque de queue. Que c'est pas nécessaire de lui demander, il sera partant pour tous mes plans possible les plus hards. Je n'aime pas trop son ton. J'entends sous ses propos une résignation à n'être bon qu'à se faire défoncer. Trop négatif comme état d'esprit !
Comme je sais que ce soir il n'y aura que PH à la maison, je l'embarque avec moi.
Mon homme est étonné de le voir surgir derrière moi du monte-charge. Il l'accueille avec chaleur car lui aussi a vu la tête qu'il fait. Pour qu'Amaury soit à l'aise, je ne me mets pas en shorty comme PH. Samir nous rejoint avec l'apéro et je lui dis de rester et appelle Ammed de venir avec deux verres de plus.
Quand on est tous assis, je déclare ouvert la réunion de guerre. Personne à part moi ne comprend, mais moi si ! C'est le principal. Ils attendent tous la suite.
Je préambule : on se connait, on connait Amaury est ses envies, et bien on est là pour lui faire prendre conscience que si personne autour de cette table ne le juge, il n'a pas non plus à le faire lui-même. On n'est pas des psys mais on doit pouvoir chasser ses idées noires de sa cervelle.
Amaury se récrie qu'il est bien. J'affirme que non et que les autres sont d'accord avec moi. Nous discutons une bonne heure. Je confronte les expériences sexuelles d'Amaury avec le plaisir qu'il en retire. Ammed lui confie que lui aussi adore se soumettre à Samir lorsqu'ils font l'amour ensemble. C'est pas pour ça qu'il n'avait plus sa fierté et que Samir ne le respectait pas. Je confirme que si le client a rappelé, ce n'était pas pour demander quand la salope serait dispo mais quand il pourrait bénéficier des prestations du dernier escort que je lui avais envoyé. Et c'était avec des propos admiratifs qu'il avait parlé de son travail.
Je lui dis encore que quelques soient les plans que je lui organiserais, même s'il y a soumission totale, même s'il y a des pratique sado-maso ou s'il sert de vide couilles à un régiment africain en rut, ça ne le placera pas comme une sous merde dans l'esprit d'aucun de mes clients.
Il me dit que c'est des craques, que lui se cachait la vérité mais qu'il est comme ça depuis l'enfance. Se faire saillir par son Pinocchio à la puberté, ça dénotait quand même son niveau de dépravation. C'était pas la peine de faire un dessin ! Mes trois acolytes se taisent, eux viennent d'apprendre ses pratiques ancillaires. Ça plus de se faire défoncer par le jardinier TTBM, jusqu'à 3 fois par jour, c'est pas un parcours normal !
Là, éclats de rires général. Il redresse la tête pour comprendre. Je lui montre Samir et Ammed en Shorty cuir, PH et moi, le film de mes amis qui singent le " déjeuner sur l'herbe " de Renoir en poussant plus loin l'après-midi et lui dis que normal ça ne veut rien dire !! On est tous le déviant de quelqu'un. Evidemment c'est maintenant que ça se joue pour lui car il n'est plus tout seul et qu'il partage son " originalité " avec d'autres mecs. Que s'il ne s'accepte pas tout de suite, ce sera un siècle de psychanalyse, une femme malheureuse et des enfants futurs tueurs en série. Ma dernière assertion les fait tous se tourner vers moi, interloqués. Ben quoi ! Faut bien des circonstances atténuantes à ces meurtriers !
Ce coup-ci quand les rires éclatent, ils viennent aussi de lui. L'abcès est percé. Enfin on va pouvoir diner tranquille.
Pour assurer sa rémission, il reste dormir exceptionnellement au Blockhaus avec Samir et Ammed.
Au petit déjeuner le lendemain matin c'est un autre garçon. Son assurance n'est plus exagérée, artificielle comme elle l'était avant. Pour preuve, il arrive alors que nous sommes tous déjà levés et après nous avoir embrassés sur la joue, il roule un patin à Samir et fait de même avec Ammed. Quand je lui propose de l'emmener avec moi à l'école, il me dit qu'il doit passer se changer chez lui. On n'a pas trop le temps. Il accepte que je lui prête des vêtements et nous partons ensemble. Notre arrivée est remarquée. C'est uniquement de le voir sortir de ma voiture qui interpelle nos collègues. Maxou m'interroge du regard ? Je lui fais signe qu'on en parlerait plus tard.
Amaury, lui, doit faire face à son groupe de fans. Ils lui demandent ce qu'il peut bien faire avec moi. En quelques mots il dompte ses troupes et avance.
Maxou vient aux nouvelles. Je ne révèle pas la teneur de la soirée de la veille. Je lui dis juste que notre Amaury s'est enfin trouvé. Maxou comprend à demi-mot. Et n'insiste pas. Lui aussi a bénéficié de mes " services " qui lui ont permis de s'affranchir des bâtons qu'il avait dans ses roues.
Jardinier
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8 - The Truth of Jaime Lannister
Part 9
The Last Velaryon
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Soft knocking on my chamber door woke me up from my peaceful sleep. Shifting myself up from the pillows I brushed my hair out of my face. “Who’s visiting me in the middle of the night?” Tossing the covers aside I climbed out of the bed.
Creaking open the door I peaked my head through the doorway seeing it was Antler standing in the hallway. “Haelsa, I apologize for the late visit. But it’s Chezney.”
“Chezney. What’s wrong with her?” I asked instantly, feeling nervous.
Antler simply answered my question. “I’d grab some shoes and a robe. It’s better to show you.”
Scrambling around my room I grabbed a blue cloak and some slippers following on the heels of my father’s most trusted guard. We swept through the castle hallways until we reached her chambers door and I burst inside not bothering with knocking. “Chez! What happened?”
“Hael! I need your help.” She cried from the corner of the room holding onto a pot. She throws up in the pot hair getting in her mouth until I came over to help.
Holding her hair out of her face I asked even though I had a guess of what was happening to her. “You’re pregnant aren’t you?”
Her and Antler were both extremely close friends of mine and by some crazy miracle they ended up falling in love with the other. A lays in waiting and a top officer of the guard, what could possibly go wrong. “Haelesa, you can’t tell your father please. Pretty please he will likely execute Antler for this.” Chezney slides around on her knees grasping the fabric of my nightgown in her hands.
“Chezney could be sent out of the castle too. Including her mother too.” Antler added on ,standing guard by the door in case someone else can enter.
Intertwining my hands with hers I lowered myself down on my knees to be level with her. “I would never do such a thing and do you both to the fate of death or banishment. We are best friends after all.”
“Thank you, Haelesa.” She threw her head against my chest and I held her against me. Burying my face into her hair I sighed heavily in relief. The three of us in that moment were horrified by others knowing, unfortunately she lost the baby in the span of only two months. But I kept my promise that I would always guard her secrets and she would mine.
Pushing the tent flaps away with my hands I saw that Chezney was leaning against the wooden post that was one of the support beams of the tent. She had her hair tied up in a crown pattern, wearing a simple blue gown with some brown boots. “Are you ever going to let the young wolf see you in a gown?”
“We have been transported from one war camp to another. Dresses aren’t suitable for that environment. Therefore when Robb or Jaime wins the war then and only then shall I wear a ridiculous gown.”
Chezney tilted her head to the side, she clasped her hands together. “So are you ever going to tell him what you wrote in your letter to Joella?”
“You mean the letter that you were supposed to send before we left?” I snapped thinking she had sent it out the morning before we had left Kings Landing with a band of men and Lannister flags.
She shrugs her shoulders in response. “I was simply thinking it would be a conversation starter.”
“Chezney Ally, I swore to keep your secret years ago and you swore the same to me. The contents of that letter or any future letters to Joella are meant to remain privately between us.”
My best friend gestures her head in a different direction causing me to follow her gaze and see that the young wolf was striding over to us. “Well you better think of something to say to him if you won’t tell him your feelings.”
“Robb.” I curtseye when he had finally reached us.
He shakes his head waving his hand up for me to rise. “There's no need for that. Uh Halesea I was wondering if you have time of course.”
“She does have time!” Chezney piped in before I could get a word out.
He sent me a bright smile back. “Thank you, Chezney. Shall we, Lady Haelesa?”
“We shall.” I held out my hand and he held onto his own intertwining our hands together as one. We began walking away from my best friend and off throughout the war camp.
We hadn’t been alone like this since the morning we went horse riding to the Godswood Tree. Scanning the area around us we were on the edge and outside of the camp so that others weren’t watching us. “I have been meaning to ask why did this all start between you and the Lannisters. I mean I didn’t hear much of Sansa and Arya. But Sansa seems excited to marry the young prince.”
“The Kingslayer has been keeping you in the dark?” Robb knits his brows at me.
It took me a second to know who he was talking about since I had only ever referred to him as Jaime. “You’re talking about Jaime Lannister?”
“Yes.” Robb answers with a stern voice. “My father and sisters rode South when he was to be Hand of the King. A few weeks ago something happened and now Jofferey Baratheon sits on the throne.”
“Meaning Robert is dead. How is that a problem for you?”
Robb turned to face me. “He put my father in chains and is holding him prisoner.”
“I'm sorry.”
“I'm riding South with my father's bannermen to free him. But lately I just…I want to know why.” He slumped his shoulders.
I quickly answered. “I could ask Jaime - uh the Kingslayer - to see if he knows anything.”
“What makes you think he'll tell you anything?”
I shrugged my shoulders making a good point. “Because he's not the man that everyone thinks he is.”
“How did that happen?” Robb raised a brow towards me.
I responded to the wolf. “Because he told me when we were alone in his chambers a few months ago.”
Knocking on Jaime’s chambers door I waited outside until he to my shock actually opened the door for me. His green eyes focused onto mine and he was in a red tunic and trousers. “Velaryon girl, what are you doing here so late?”
“I need to talk with you and this appears to be the only way I can do it.” I explained to the lord who just silently stared at me. He eventually moved aside letting me inside his chamber and I stepped inside with him shutting the door behind me.
Jaime stands at the end of the bed asking me a simple question. “So what do you so desperately need to talk with me about in the middle of the night, Little Velaryon?”
“I’ve heard the whispers and some gossip about the nickname Kingslayer everyone gives you. I wish to know why, why do they call you that?”
He replied simply. “Because I killed what history calls The Mad King.”
“Yes I suppose I understand the reason behind the name. But…but why did you kill him?”
The Lannister lion clicked his tongue. “You want to know my side of the story?”
“Yes I do. So tell me your side of the story. The whole truth please.” I rounded to the table drawing out the chair. Crossing my arms over one another and my chin resting upon them.
Jaime sat down on the end of his bed, running his fingers through his blonde hair sucking in a sharp breath before he began explaining his side of the story. “Wildfire….The Mad King was obsessed with it. He loved to watch people burn, the way their skin blackened and blistered and melted off their bones. He burned lords he didn't like. He burned Hands who disobeyed him. He burned anyone who was against him. Before long, half the country was against him. Aerys saw traitors everywhere. So he had his pyromancer place caches of wildfire all over the city ... beneath the Sept of Baelor and the slums of Flea Bottom. Under houses, stables, taverns. Even beneath the Red Keep itself. Finally, the day of reckoning came. Robert Baratheon marched on the capital after his victory at the Trident. But my father arrived first with the whole Lannister army at his back, promising to defend the city against the rebels. I knew my father better than that.”
“What happened next?”
Jaime continued the story. “He's never been one to pick the losing side. I told the Mad King as much. I urged him to surrender peacefully. But the king didn't listen to me. He didn't listen to Varys who tried to warn him. But he did listen to Grand Maester Pycelle, that grey, sunken cunt. "You can trust the Lannisters," he said. "The Lannisters have always been true friends of the crown." So we opened the gates and my father sacked the city. Once again, I came to the king, begging him to surrender. He told me to... bring him my father's head. Then he... turned to his pyromancer. "Burn them all," he said. "Burn them in their homes. “Burn them in their beds."
“What’s that look for?” I questioned seeing him silently looking at me now when I could feel he had more to say with his story of how he killed the Mad King.
His eyes softened when pouring their attention into mine. “Tell me, if your precious King commanded you to kill your own father and stand by while thousands of men, women, and children burned alive, would you have done it? “
“I….I can’t say that I would let it go on.” I was at a loss for words. Imagining that all those dead bodies must say on his shoulders, along with everyone saying he had broken the oath he had taken.
“First, I killed the pyromancer. And then when the king turned to flee, I drove my sword into his back. "Burn them all," he kept saying. "Burn them all." I don't think he expected to die. He ... he meant to... burn with the rest of us and rise again, reborn as a dragon to turn his enemies to ash. I slit his throat to make sure that didn't happen.” He sighed heavily letting silence fill out the room, asking me the next question. “What do I get to know about you?”
Getting up from the chair I stride over finding a spot next to him on the bed. Jaime and I shift our heads in one direction to stare at the other. “For this marriage to work you need to know I will never be this obedient wife. I am the lady of the fierce sea and the heir to the Velaryon household.”
“I know you’re aware I didn’t want this marriage either. But it’s possible for us to learn from each other on how we can both get what we want.” He responded.
Reaching down I looped my hand in his right hand. “If you’ll help me see the world then I’ll make sure the world knows the real story. The real story of the Kingsguard soldier named Jaime Lannister. You won’t be forgotten by House Velaryon.” Jaime silently stared at me and from that moment on I would keep my word to the former knight.
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La Mode illustrée, no. 29, 16 juillet 1876, Paris. Toilette de promenade. Modèle de chez Mme Bréant-Castel, rue du Quatre-Septembre, 19. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Jupon en soie de couleur vert myrte. Polonaise en cachemire de l'Inde, uni, de même couleur que le jupon. Cette polonaise est boutonnée sur le côté, et garnie d'une ruche en soie pareille au jupon. Le milieu du dos est orné d'une bande de soie plissée qui encadre l'encolure et descend jusqu'au bas du corsage.
Grandes poches Louis XV, garnies de boutons en métal bronzé et de petites ruches en soie. La polonaise est boutonnée par de longues boutonnières bordées de soie, et de gros boutons en métal bronzé.
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Myrtle green silk petticoat. Polonaise in cashmere from India, plain, same color as the petticoat. This polonaise is buttoned on the side, and trimmed with a silk ruffle similar to the petticoat. The center back is decorated with a band of pleated silk that frames the neckline and extends to the bottom of the bodice.
Large Louis XV pockets, trimmed with bronzed metal buttons and small silk ruffles. The Polish is buttoned with long buttonholes lined with silk, and large bronzed metal buttons.
#La Mode illustrée#19th century#1870s#1876#on this day#July 16#periodical#fashion#fashion plate#description#Forney#dress#polonaise#train#Modèles de chez#Madame Bréant-Castel
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tag game du rp
j'ai pris le tag libre de @jepeuxpasjairoleplay (bc i like to talk oui oui)
règles du jeu: créer un nouveau billet en copiant-collant les questions ci-dessous, y répondre, puis tagger d'autres rpgistes !
depuis combien de temps fais-tu du rp? — sur forum j'ai commencé en 2010 donc 14 ans. techniquement, j'ai débuté avant via skyrock (ouéoué). je vais partir sur forum, tho.
quel était le premier personnage que tu as créé? — Natasha Williams sur un forum esprits criminels (si y en a qui ont connu, forever nostalgique de cette époque mdr)
quels sont les faceclaims que tu utilisais souvent à tes débuts? — alors au tout début je reprenais jamais le même 2 fois (mais j'étais sur un seul forum donc mdr). puis après j'ai découvert Benedict Cumberbatch et il a empiré ma créativité mdrrr
y a-t-il un genre/univers dans lequel tu n'aimes pas du tout rp? — jamais été attirée par les univers illustrés ou ceux où on incarne des animaux (ça me perturbe bcp) et j'ai souvent du mal avec les univers totalement inventés et/ou magiques (trop peur de faire une connerie qui soit différent du lore, bref, mon anxiété le vit mal)
quelles sont les dynamiques entre personnages/types de liens que tu aimes le plus? — platonique le famous found family et en romantique CLAIREMENT le friends to lovers (bonus point si ça goes enemies to friends to lovers mdrrr) (colleagues to lovers marche aussi). j'aime aussi bcp quand la nana est petite et fierce et smart et que le mec est un grand dumbass deeply in love
dans quels fandoms ou univers aimes-tu le plus rp? — si on me lance dans un city classique je me débrouille pour ne pas tourner en rond, je suis une fille simple
un personnage que tu ne joues plus actuellement mais que tu aimerais reprendre? — tous lol Juliet me manquera tout le temps, toujours et prob que je ferai jamais complètement mon deuil d'Avalon non plus
y a-t-il des archétypes de personnages que tu joues souvent? — je sais pas si c'est un archétype mais j'ai remarqué que mes nanas sont toutes ultra féministes. chez les mecs c'est souvent celui qui est considéré (ou se considère, en tout cas) comme le raté de la famille/de sa bande de potes, dépressif, en recherche de réponses. si je jour un perso de 50+ ans, il est dépressif, a eu une vie pourrie dès la naissance, souvent un bouffon (ou aime se prétendre bouffon) (et souvent il a la tronche de Mark Ruffalo car je l'aime d'amour).
y a-t-il un livre ou un écrit autre qui t'as beaucoup influencé·e pour écrire? — j'écrivais déjà avant car j'ai toujours écris et inventé des histoires mais Pierre Bottero restera l'une des plus grosses influences littéraires de ma vie.
une recommandation pour finir (livre, film, ou pourquoi pas un forum)? — y en a bcp niveau livres mais je pense que Sorj Chalandon est encore trop peu connu et je trouve ça scandaleux mdr c'est une littérature blanche (française) absolument divine, des sujets toujours réels, inspirants et déchirants et sa plume est à jalouser for real donc lisez-le. si vous voulez le découvrir, Le Quatrième Mur ou Enfant de salaud sont mes deux préférés (et les deux pour lesquels il aurait du avoir le prix Goncourt idc). et sinon en sf et pour les amateurs de space opera : Becky Chambers. that's it.
☞ je tag: personne ou les personnes qui veulent faire le jeu et qui aiment papoter
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