#chez band
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midnasocarina · 5 months ago
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so the Scene Queen show was amazing + we saw Peni Parker and CHEZ! We actually had barricade for them both, since we accidentally got there super early, but had to move up the back after their sets because my partner got hit with a dizzy spell :( <3
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(photos by me! with no zoom!)
but even with our back view it was such a great show! I might write a full recount later because it was really something special, but for now I'll just say it was probably some of the most fun I've ever had seeing a band ♡
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camisoledadparis · 14 days ago
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saga: Soumission & Domination 384
Fin de séjour aux USA
J'apprends le fin mot de la prestation spéciale par Ric et Jona. Côté tarif, effectivement mes Escorts n'ont pas été lésés.
Par les supérieurs de Jona, je suis avisé qu'ils ont donné aussi toute satisfaction. Ils me demandent de prioriser ce client auprès de mes deux escorts. Ils sont gentils mais c'est une entreprise commerciale que je gère ! Nous arrivons à un compromis où, si mes collaborateurs sont en contrat, ils prendront en charge le dédit, Quel que soit le montant.
Avant de quitter mes trois Navy-Seal, je les invites à venir en France. Ils seraient heureux de revoir Jona et François mais je sens un certain blocage. J'ajoute que quand j'invite, je prends en charge les frais inhérents aux déplacements et là ils sont totalement OK, Ils sont très curieux de voir ma " bande " de mecs à l'oeuvre au combat rapproché.
Pour le reste, mes nouveaux potes de Berkeley, j'organise une virée au grand Canyon avec descente en rafting d'une petite partie du Colorado. Nous remplissons deux gros rafts opposant les nageurs aux combattants. J'hésite, mais finis chez les nageurs. Bon choix puisque parmi eux s'en trouve deux qui ont déjà pratiqué ce sport. Nous finissons premier au campement intermédiaire, mais d'une très courte tête après plusieurs heures de course acharnée.
Deux autres rafts de même taille nous accompagnaient, Occupés l'un par une bande de potes Newyorkais, l'autre par des couples, qui, entre eux ne se connaissaient pas d'avance. Les Newyorkers ont essayés d'entrer dans notre compétition interne mais ont vite renoncé au vu de notre rivalité sportive.
Au campement, ils nous félicitent et on discute tous ensemble. Les couples un peu plus âgés que nous sont dans leur coin. Nous ne nous gênons pas pour nous chauffer entre nous alors que, les tentes montées, nous nous changeons pour la soirée. Si les couples continuent à vivre de leur côté, les gars de la cote Est se font prendre à partie.
Ok ils sont tous moins baraqués que nous, quoique certains puissent rivaliser quand même, mais la plupart pourraient bien finir entre nos cuisses, ils sont suffisamment mignons pour ça ! Ils ne mettent pas longtemps à nous découvrir tous gays puisque nos bisous sont réalisés en mode frenchkiss.
Ils ne sont pas choqués et je vois même certains regards qui s'appesantissent sur nos plastiques. Après nos bains de détente et propreté dans l'anse calme du Colorado, comme par hasard ils se fixent surtout sur celles modelées par nos maillots de bains (tous nous avions opté pour des boxers ou trunks bien moulants alors qu'eux étaient en short de surf).
Diner autour du feu de bois et premiers rapprochements entre les deux côtes américaines. J'ai repéré un des mecs, le plus jeune ou du moins physiquement il le parait. Dans les 1m75 musclé type coureur de fond plutôt que gymnaste, châtain clair, ses yeux légèrement en amande trahissent un métissage asiatique mais pas de première génération. Je fais avec lui mon " touriste Français ". Dan et moi discutons pas mal avec lui et deux de ses potes alors que mes amis ont intégré le reste de son groupe. Quand il est question de se coucher, j'observe un petit mélange des groupes (environ la moitié des Newyorkais se " trompe " de tentes).
Moi j'ai réussi à intéresser suffisamment ma proie pour qu'elle se laisse tenter par l'expérience. Au départ il est gêné qu'on ne soit pas tous les deux seuls. Mais les bruits que font nos colocataires l'excitent aussi et j'arrive à passer du simple frenchkiss à pareil mais avec les mains dans nos slips respectifs. Il bande dur ce petit salaud, dans les 18x4/5. Quand il prend mes 20x5, je le sens étonné. Je ne peux m'empêcher de lui glisser dans l'oreille qu'ils sont tous pour lui. Je le sens frissonner entre mes bras, peur ou désir ? Mes mains passent de sa queue à ses fesses. Tout petit cul rond. J'avais bien deviné que son longboard flottant cachait une merveille. Mes doigts glissent entre ses fesses et je titille sa rondelle. Il ne débande pas, bon signe. Ma bouche revient couvrir la sienne l'empêchant s'il l'avait désiré de protester contre cette intrusion. Lentement je lui masse la rondelle et parvient à enfoncer un majeur. J'étouffe son petit cri avec ma langue, il bande toujours. Moi aussi et j'ai vraiment envie de me le faire. Il le sent car il écarte sa bouche pour me dire qu'il est vierge. Je le rassure d'un " t'inquiète tu vas aimer ". À nos côté Dan est déjà dans un des nageurs de notre groupe et, bien que discrets tous les deux, nous entendons nettement les " trop bon ton cul " et les vas-y défonce moi " qui lui répondent. Je profite de notre différence de gabarit pour le retourner face contre notre matelas et dans le même mouvement plonger mon nez entre ses fesses afin de lui bouffer l'oignon.
C'est sûr, il ne connaissait pas cette pratique. Surpris, quand ma langue se pose sur le plissé délicat, il fond et je l'ai à ma merci. Je me place sur le dos, le bascule en 69 au-dessus de moi et continue ma préparation. Il a devant les yeux mes 20cm turgescents qui appellent sa bouche. Je ne le vois pas mais je sens son souffle se rapprocher de mon gland. Au bon moment, ma main posée sur sa nuque le pousse en avant et mon gland pénètre sa bouche. Reflexe, ses lèvres se referment dessus. Là, c'est lui qui me procure un frisson. Du coin de l'oeil j'aperçois Dans qui lui mime de me pomper. Je retourne à ma " préparation " et sens que mon petit puceau s'enhardi. Je ne parle pas de gorge profonde mais il met du coeur à l'ouvrage.      
J'arrive à lui mettre mes deux majeurs sans rejet de sa part. Ça me fait raidir encore plus, l'idée que bientôt je vais le défoncer.
Je le soulève à bout de bras, lui fais faire demi-tour et l'assois sur mes abdos. Mon gland se pose direct au bas de sa colonne vertébrale. Je l'attrape par le cou et approche son visage pour qu'on se roule un patin. Là, c'est sa langue qui cherche la mienne ! Discrètement je me kpote et pose mon gland contre sa rondelle en effectuant quelques rotations et levées de bassin. Mon gland lui travaille le sphincter et quand je le sens s'ouvrir, je lui glisse à l'oreille de gérer sa descente.
Il se redresse sur ses bras sans que ses yeux quittent les miens. Je sens doucement une bonne chaleur recouvrir mon sexe. Il recule vers mes cuisses jusqu'à ce que ses petites fesses les collent (mes cuisses !).  Pour un puceau il en voulait le petit !! Il reste sans bouger le temps de s'habituer à l'envahissement de son petit cul. Je roule du bassin pour lui signifier de mettre un peu de mouvement entre nous. Il me chevauche comme un bon petit cavalier, au pas puis avec un petit trot soutenu, il rode sa rondelle vierge sur mes 20cm d'acier. Je devine dans la pénombre ses yeux fermés. A l'écoute de son corps, je le vois sourire. Moi j'adore sa rondelle ferme. De temps en temps une crispation vient m'étrangler la queue, entrainant un brusque arrêt de la défonce, mais ajoutant encore aux sensations perçues des deux côtés.
Dan et son partenaire (un autre copain de Berkeley) nous rejoignent et s'occupent de mon petit Newyorkais. Sollicité par nos trois bouches, occupé par ma queue et en contact avec celles de mes deux potes, le petit jeune ne sait plus où il habite et il se prend un pied d'enfer. Je reçois de son sperme jusque dans les cheveux. Mes deux collègues giclant les leurs sur mon " étui pénien " qui, hyper contracté, provoque ma propre jouissance. Ils retournent sur leur matelas alors que je garde mon partenaire sur moi. Ma queue sort avant de complètement débander et je récupère discrètement ma kpote pleine. Il s'endort sur moi et je m'endors à mon tour.
Au matin je suis toujours son matelas ! Ma queue se réveille mais j'entends les bruits du campement, pas le temps ! Je m'étire et ce faisant réveille mon petit américain.
Il réalise soudain qu'il a passé la nuit sur moi. Rires dans la tente quand il sursaute, glisse de moi et s'excuse de tomber sur Dan. Je lui fais un petit bisou sur les lèvres et une tape sur les fesses. Nous sautons dans nos maillots de bain et course jusqu'au Colorado où un bain nous permet de perdre les effluves de la nuit passée. Je m'aperçois qu'on est pas les seuls. Mon petit mec se fait charrier par ses potes. Mais il a du répondant et les rires sont bon-enfant.
Petit déjeuner substantiel et on attaque la seconde partie de notre petit raid. Là, c'est l'embarcation des adeptes des sports de combat qui gagne. Ils ont pu profiter d'une erreur tactique qui nous a fait perdre la tête que nous avions depuis le départ.
Je profite du retour à la base en car pour récupérer les coordonnées de mon partenaire de la nuit et m'organiser une pause à New York pendant mon voyage de retour.
Départ de San Francisco :
Un peu plus de 6 mois en immersion totale, ça forge des amitiés. Tous mes nouveaux potes nageurs comme combattants ont mes coordonnées et savent qu'ils peuvent passer me voir en France.
Bien évidemment c'est encore plus le cas pour Tyler et Dan. En ce qui concerne Duke (le petit frère de Dan été grand ami de ma triplette), je lui confirme une invitation permanente à venir en France retrouver son trio d'amis. Que ce soit pour les vacances ou même un grand WE, il sait que ma porte lui est grande ouverte.
Grandes embrassades à l'aéroport d'où je pars pour New York. Je ne connais pas la ville et en plus Bobby m'a promis de me faire visiter rapidement.
A LaGuardia il m'attend. Je lui roule un patin.
De New York je ne connaitrais finalement que l'intérieur de son appartement où j'aurais passé deux jours à le baiser par tous les trous et dans toutes les positions que je connaisse. J'ai retrouvé ce petit cul rond et blanc d'absence de soleil et surtout la rondelle qu'il cache en son centre et qui attire ma queue sans arrêt ! Les trois pièces de son appartement, sa cuisine et sa salle de bain, la table basse et le canapé du salon, le plan de travail de la cuisine et celui du lavabo, la douche aussi où je l'ai encore enculé alors qu'on retirait sous les jets d'eau de la colonne de jets le sperme collé de notre dernière baise, je crois bien qu'à part la cuvette des toilettes, tout ce qui pouvait soutenir un corps a été utilisé.
Nous nous sommes même fait le jeune livreur de Pizza, un latino basané monté comme un âne, qu'il n'a pas fallu beaucoup poussé quand on lui a ouvert quasiment nus. C'est peut-être aussi parce que pendant que bobby le faisait entrer, j'étais collé à son cul et que je lui léchais l'oreille ! Je me souviens lui avoir proposé le petit cul de mon hôte comme pourboire supplémentaire, argumentant du fait que c'était une bonne chaudasse et que malgré mes grandes capacités je n'arrivais pas à le rassasier.
Quand son chino est tombé à ses pieds, on a pu voir une vraie grosse barre déformer son boxer. Bobby s'est jeté à ses genoux et directement lui a arraché ce dernier rempart. Dans le même mouvement il a embouché le gland le faisant glisser jusque dans sa gorge, compétence que j'avais réussie à lui inculquer récemment. Il s'est quand même étranglé, le livreur étant plus puissamment équipé que moi.
Alors qu'il se faisait pomper, il a téléphoné pour prévenir qu'il serait indisponible aux livraisons pendant quelques heures. J'ai aimé cette réorganisation de son emploi du temps.
Il est resté 2h30 avec nous. Kpoté il m'a aidé à rassasier le cul de Bobby, plus petit que nous mais plus costaud que Bobby, il s'est permis lui aussi des portés et des positions de sodo musclées. Bobby s'est fait plaisir avec une dans le cul et une dans la gorge, mais nous n'avons pu aller jusqu'à la double sodo. Malgré son envie, il n'avait pas rebaiser avec un mec depuis son dépucelage sur les rives du Colorado. Je crois bien qu'avant de partir, le latino lui a laissé son n° de portable. Pour qu'il n'ait pas à pâtir de son interruption dans sa journée de travail, je lui ai glissé dans les 200$ dans sa poche de Jeans.   
Bobby me raccompagne à l'aéroport, cette fois JFK et retour en France.
Jardinier
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Southern California
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chic-a-gigot · 4 months ago
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La Mode illustrée, no. 41, 11 octobre 1891, Paris. Robe pour dame âgée. Toilette du soir pour jeune fille. Toilette de réunion pour jeune dame. Modèles de chez Mme Gradoz, rue de Provence, 67. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Robe pour dame âgée.
Robe en satin héliotrope et velours de nuance plus foncée. Les devants à revers de velours, s'écartant devant, sont complétés par un tablier légèrement plissé au bord supérieur et garni au bord inférieur d'une broderie en perles irisées et soie. Le dos de la robe est orné d'une broderie semblable; les lés de la traîne sont plissés à quelques centimètres de distance en dessous de la taille; on les borde avec de larges bandes de velours. Les manches plissées, garnies sur la couture d'un ruban de velours, sont ornées de dentelle au bord inférieur.
Dress for an older lady.
Dress in heliotrope satin and darker shade velvet. The velvet-backed fronts, spreading out in front, are completed by an apron slightly pleated at the upper edge and trimmed at the lower edge with embroidery in iridescent pearls and silk. The back of the dress is decorated with similar embroidery; the strips of the train are pleated a few centimeters below the waist; they are edged with wide velvet bands. The pleated sleeves, trimmed on the seam with a velvet ribbon, are decorated with lace at the lower edge.
Toilette du soir pour jeune fille.
Robe en surah vert d'eau et velours vert foncé: La jupe en surah est disposée tout autour en plis étroits. La blouse en surah, plissée à l'encolure, est complétée par un corselet en velours, orné de broderie d'or. Col droit en velours brodé, manches larges en surah terminées par des manchettes plissées étroites.
Evening dress for a young girl.
Dress in water green surah and dark green velvet: The surah skirt is arranged all around in narrow pleats. The surah blouse, pleated at the neckline, is completed by a velvet bodice, decorated with gold embroidery. Straight collar in embroidered velvet, wide surah sleeves finished with narrow pleated cuffs.
Toilette de réunion pour jeune dame.
Robe en bengaline gris bleu de deux nuances ornée d'une broderie en acier clair et acier foncé. La jupe à traîne es faite en bengaline gris bleu clair; on laisse de chaque côté de la jupe, au bord inférieur, une fente dont on garnit les bords avec des morceaux de crêpe plissés; la couture est ouverte par une broderie étroite. Les lés de la traîne, arrondis au bord inférieur, sont doublés en gaze raide; on les dispose au bord supérieur devant et sur les côtés en quelques plis, derrière en deux doubles plis creux, que l'on fixe en dessous en faille, garnie d'un volant plissé.
Le corsage à basque longue, fait en bengaline gris bleu foncé, est garni d'un gilet en bengaline gris bleu foncé, qui se compose de trois morceaux étroits, réunis par des morceaux de gaze froncée; on le termine par une basque froncée. On fixe sur les côtés du corsage des pattes de poches en velours de nuance foncée; un col Médicis en velours et un col droit en bengaline de nuance claire complètent le corsage qui est orné d'une broderie.
Reception ensemble for young lady.
Dress in gray blue bengaline of two shades decorated with embroidery in light steel and dark steel. The skirt with train is made of gray blue bengaline; on each side of the skirt, at the lower edge, a slit is left, the edges of which are trimmed with pieces of pleated crepe; the seam is opened with narrow embroidery. The strips of the train, rounded at the lower edge, are lined with stiff gauze; they are arranged at the upper edge in front and on the sides in a few folds, behind in two double hollow folds, which are fixed below in faille, trimmed with a pleated flounce.
The bodice with a long basque, made of dark blue-grey bengaline, is trimmed with a waistcoat in dark blue-grey bengaline, which consists of three narrow pieces, joined by pieces of gathered gauze; it is finished with a gathered basque. Pocket tabs in dark-coloured velvet are attached to the sides of the bodice; a Medici collar in velvet and a straight collar in light-coloured bengaline complete the bodice, which is decorated with embroidery.
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lxdyst4rzzz · 9 days ago
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I dont usually Talk Abt stuff like this but I just. I want (need) to say this stuff otherwise I’ll explode.
Bro my friends are the best people ever. I could go on and on about how much I love them all, and, well, that’s what I am gonna do. Flip you. I have freedom of speech, so I’ll use that freedom to ramble about my dear friends.
@cheesyfan you were the first./silly okay but genuinely I love you so much like. If it weren’t for you I wouldn’t know half of these people. You helped me so much, I’m so many ways ☹️ please never disappear you deserve all the good in the world ilysm chez<3/gen/p
@laneswhyareyouhere the fact you’re the first person to adopt me willingly is almost amazing because all of my online siblings until you are ones I adopted myself. I’m so happy every time you call me your brother and I can’t even put it into words liek ajdjdjdjdb Ilysm lane don’t ever die please ☹️☹️/gen/p
@xx-evilestyuri-xx my dear twinsie. You silly little critter I don’t even have anything to say . You’re just that amazing. Okay but genuinely, you’re such a silly little critter and I’m so glad I became friends with you because who knows where I’d be if we hadn’t interacted at all😓 Ilytwinsie never change>:3/gen/p
@suitcasefan2763 not someone I met on tumblr, but we’ve been friends for around two years I think? You deserve a spot here. Ilysm rubber band like you don’t even know 😿 I can’t exactly put it into words but you’re the one who even introduced me to object shows in the first place and without you I wouldn’t know any of these wonderful people. Tysm for everything you’ve done for me ☹️/gen/p
@cosmicperil my dearest sister, my dear dear little sister<3 uauh I love you sm peririn you little dumbass critter. You red apple. Miss you very much and the week hasn’t even properly started yet!!! Auh… I love you sm peri<3/gen/p
So I’m summary? I love my friends so god damn much you don’t even know it,,/gen
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brevesderp · 5 months ago
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La plaie de l'accueil sur forum
Bon faut qu'on parle, franchement. Ça me fusille l'ignorance qu'on peut se prendre dans la tronche en débarquant sur un forum sans avoir sa bande de potes déjà implantée, et surtout que tout ça paraisse super normal. On a pas tous·tes l'énergie pour accueillir tout le monde, mais le principe d'une communauté, c'est qu'en se partageant la tâche c'est sensé pouvoir s'équilibrer, non ?
J'pense honnêtement qu'on peut tous·tes se reconnaître dans les deux situations : on a sans doute tous·tes été ce·tte membre, posé·e depuis un bail dans un cocon, qui a vu passer tellement de personnes nouvelles (dont la plupart finissaient jamais leur fiche ou restaient deux semaines, admettons-le) qu'iel ne prête plus vraiment attention à qui arrive, qui part, parce qu'au bout de moment faut le reconnaître : une petite lassitude s'installe. On a tous·tes sans doute eu un peu la flemme, devant une fiche postée totalement vide, de complimenter le faceclaim ou le choix de pré-lien pour avoir un truc à dire ; de prendre ça comme un devoir à faire, et plus comme un plaisir.
Et puis de l'autre côté, on a sans doute aussi tous·tes un jour été ce·tte membre qui débarque, plein·e d'espoir sur un nouveau forum qu'iel trouve super cool, super beau, super actif. Un peu flippé·e peut-être, comme le jour d'une rentrée des classes, à se demander s'iel va se faire des potes. Qui poste sa fiche et qui attend, qui attend, genre des jours, et qui se récolte péniblement... 2 messages ? Allez, 3 ? Vous l'avez certainement déjà vécu : vous savez à quel point c'est frustrant, que c'est difficile de se sentir à sa place, d'aller vers les autres après ça.
Alors franchement je sais pas : coupons la poire en deux, non ? Evidemment qu'on est pas obligé·es de lire toutes les fiches de toutes les personnes qui arrivent, qu'on a pas l'énergie d'accueillir tout le monde. Mais j'sais pas, statistiquement – et surtout sur les grands forums – si tout le monde passait faire un coucou à ne serait-ce qu'une fiche sur deux, ça changerait tout, non ? Et j'dis pas, je suis la première à attendre qu'il y ait au moins une base d'infos sur la fiche en question pour avoir quelque chose de sympa à dire, et pour pouvoir mettre un petit mot plus personnalisé que "Bienvenue !" : mais quand les personnes qui arrivent font l'effort de poster des trucs déjà bien remplis et avec matière à lire, pitié, soyez cools. Ne niez pas ces personnes par flemme, surtout quand vous voyez que le reste de la communauté a déjà passé son chemin. Prenez une minutes, deux minutes, et accueillez cette personne : sinon vous pouvez être sûr·e que même si elle passe la validation, elle se sentira jamais totalement à l'aise chez vous, et c'est trop con.
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erinsvintageemporium · 8 days ago
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On This Day: 28th January, 1894
Fashion plate from La Mode Illustrée signed by Anaïs Toudouze, featuring toilettes by Madame Gradoz of rue de Provence, 61.
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DESCRIPTION DE TOILETTES Modèle de chez Mme Gradoz, rue de Provence, 67.
Toilette de réception. - Tunique en côtelé de soie nuance rubis garnie d'un coin de broderie en soie noire et perles de jais. Tablier en velours assorti ouvrant sur un devant entièrement brodé en noir. Revers de velours, plastron brodé; col en soie garni d'un coin brodé, toujours en soie noire. Manches bouffantes terminées par un haut poignet brodé.
Toilette de visite. - Corsage croisé en drap bleu très clair, garni de revers en panne moirée couleur feutre bordé d'un bord de fourrure TRÈS FONCÉE et TRÈS ÉTROIT (un simple liseré). Jupe drapée de chaque côté, garnie dans le bas d'une haute bande de panne moirée surmonté d'un liseré de fourrure. Manches bouffantes avec poignets en panne garnie de fourrure.
1894-01 LMI04
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suburbangothic-rp · 6 months ago
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suburban gothic;
inspiré par twin peaks, desperate housewives, six feet under, hereditary, welcome to nightvale, euphoria, totally fucked up, american beauty, pretty little liars, murder she wrote, east of eden.
Par où commencer pour présenter ce monde? Pas de contexte déjà rédigé pour le moment, l’idée n’est que latente; si les rues ne se remplissent pas, à quoi bon y bâtir des maisons? Mais l’idée se fait pesante, lourde de ses possibilités.
Pennsylvanie, au pied des Appalaches, la rouille industrielle qui se bat contre la nature sauvage, elle-même lacérée par le tracé méticuleux de l’asphalte. Le long de l’une des ces longues routes, une ville. Une parmi tant d’autres, des milliers comme elle. Plantée sur une grille qui structure l’espace; au centre-ville et à ses bâtiments denses succède l’harmonie de la banlieue résidentielle. L’ordre s’y confond avec la monotonie, le charme se dilue dans l’ennui. L’architecture humaine se révèle creuse, les fissures laissent s’en échapper les échos de complaintes qu’on aurait voulu recouvrir de béton, de gazon ou de peinture fraîche. L’horreur s’excite avec chaque désillusion, secret, péché, danger, crime, frustrations. Le futur est riche en promesses mais demain n’est jamais un autre jour, inéluctable répétition d’hier. On enterre ses rêves sous un lit de bégonias dont on prend soin avec fureur et hystérie, dans l’énergie du désespoir, jusqu’au jour où une bande d’adolescents les piétine pour s'amuser.
La ville est séparée en quartiers; #1 est un petit centre-ville, le lieu des rencontres fortuites, main street, le cœur administratif et commercial du lieu. #2 est un ancien village rattaché à la ville, avec ses rues pittoresques, ses habitants qui n’aiment pas les visiteurs, le calme acheté à prix fort, les fermes reconverties. #3 est l’ancien bassin minier, abandonné, peuplé de mythes et de terreurs, peu à peu remplacé par l’industrie forestière. #4 est la banlieue résidentielle, le théâtre principal de notre jeu de dupes.
L’horreur vient de l’intérieur; du plus vaste, l’intérieur des frontières nationales, au plus intime: le foyer et l’individu. L’extérieur projette: un pays puissant et prospère, des rues propres, un voisinage aimable, des bonnes manières et de jolies choses. Le tout tient du mirage. À l’intérieur, rien ne va, on est à deux doigts de tomber dans le ravin. Les valeurs fières et heureuses sont corrompues; la communauté devient une prison, la religion devient une manipulation, le politique s’achète, la propriété creuse les dettes, le couple se brise.
Tout ne va pas mal; même si le gothique est souvent très sombre, il y existe aussi une place pour d’autres histoires. Edward Scissorhands est LE film du suburban gothic et c’est loin d’être un film d’horreur. Twin Peaks et True Blood mélangent un ton mystérieux avec des moments plus légers. L’excentricité ou la bizarrerie des personnages est d’ailleurs souvent un symptôme des rouages sombres qui font tourner l’histoire. Les tags associés au gothique sur Tumblr mènent à des contenus sinistres, mais chacun.e est libre d’aller un peu plus loin. À titre personnel par exemple, je pense que les Sims 2 est un jeu à l’ambiance gothique (: On fait ce qu’on veut avec le concept de gothique, et ce sera pareil sur le forum si le projet séduit et intéresse. (si besoin, je peux rédiger un texte un peu plus élaboré sur l'american gothic et ses déclinaisons régionales/thématiques)
Les années 2010; LA décennie des différentes gothic aesthetics. L’une des pires crises financières de l’histoire est passée par là et a fait beaucoup de mal au rêve américain. Le traumatisme est bien là, encore aujourd’hui, chez les individus comme dans les sociétés dans lesquelles ils évoluent. Le paysage de certaines régions change durablement; dans le Midwest, dans le sud, dans la Rust Belt. Une nouvelle tâche sur la mystique de l’Amérique. The American Nightmare.
J’ai beaucoup écrit et si vous avez lu jusque là – merci vraiment, et euh, pardon. C’est avant tout une bouteille à la mer, ce post. S’il trouve sa destination, alors on en fera germer les prémices. Il y a de quoi faire je pense. Les remarques, questions, suggestions, toutes bienvenues, j'ai envie de lire un peu après avoir autant écrit.
Contenu additionel; sera posté s'il y a de l'intérêt – le contexte, évidemment – mécanismes de jeu, animations – les postes vacants, leurs dynamiques – la ville, son monde, son histoire – les racines, l'inspiration – aes
un dernier mot: le tumblr n'est pas encore complètement fonctionnel, la plupart des liens est sous construction.
photo: edgar martins, éditée pour suburban gothic.
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ekman · 6 months ago
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Delon nous a quitté dimanche dernier. Fin de bobine. 
La salle s’éclaire, les yeux piquent, les assises se rabattent sèchement sur les dossiers, les gens piétinent vers la sortie. Le bel Alain s’en est allé pour de bon, lui qui – semble-t-il – avait déjà quitté le monde sensé, laissant ses glorieux enfants se déchirer autour d’un terril d’or.
Journalistes, politiques, pipoles et piplettes : ils n’ont tous que des superlatifs à la bouche. Machin y va de son “c’était le dernier monstre sacré”, Bidule nous rappelle que “c’était un vrai prince”. La presse idiote rivalise en putasserie unière, à qui la plus belle photo, à qui le plus pathétique titre en guimauve pur sucre.
Mais moi je me souviens, bande de hyènes. J’ai rien oublié du tout. Je me rappelle bien de la ringardisation à marche forcée du ci-devant Delon Alain, coupable de choix politiques impardonnables. Fallait les voir se pincer le nez, les tenanciers de ce merdique show-biz gavé de thunes. Tu citais Delon et voilà qu’ils avaient grave la gerbe, ces gauchistes gueulards et ces soixante-huitards pédos. Beuark ! Macho réac ! Machine à cash ! Vieux beau qui s’accroche ! Tout le catalogue des amabilités en travers de sa belle gueule, le Delon. Ah ça oui, fallait les voir tortiller du cul quand on leur faisait remarquer que son fric, lui, il allait le chercher à Caracas et à Kyoto en vendant des clopes et du cognac pendant qu’eux tapinaient sous les lambris des ministères comme des putes de chantier pour se gaver d’argent public. Et pour quoi faire ? Des films de merde labellisés gauche-xanax où des couples idiots s’engueulent à la cuisine pour des histoires d’adultère foireux tristes à mourir. 
Je n’ai jamais pris Delon très au sérieux. Ça n’était pas un vrai soldat, pas complètement un tapin, plutôt un assez mauvais comédien... mais quel acteur ! Quel talent, le félin ! Au-delà de sa belle gueule, il y avait son charme infini de scorpion astralement pur : intransigeant, égocentré, jaloux, lumineux, charmeur, menteur. Elles ont été quelques-unes à y laisser des larmes. Et pas qu’un peu : par bonbonnes entières ! Mais lui s’en foutait. Il aimait, il vivait, il partait. C’est comme ça qu’il les a tous et toutes bluffé(e)s pendant plus de quatre-vingt ans. Au final, c’est la caméra qui l’a le mieux aimé. Cinégénique à en crever, le bonhomme. Pas un angle, pas une ombre pour nuire à sa beauté solaire – ce qui est le comble pour un aussi ténébreux Narcisse. 
Tous les plans qui éclairent Delon sont une ode à la masculinité. Même avec un imper trop grand et un bitos rivé sur le crâne, il est crédible. Je veux bien croire qu’il y en a quelques-uns que ça a vraiment du faire bisquer, dans le métier.
Avez-vous remarqué que “masculinité” lui va bien mieux que “virilité” ? Je dis cela parce que Delon n’inspirait pas le cul – il n’y avait rien chez lui de léger en bagatelle ou d’ostentatoire en braguette. C’était un dominateur silencieux, une emprise, un orage. Les femmes – et surtout les plus inaccessibles d’entre elles – ne s’y trompaient pas. Elles cédaient et lui, tranquillement, disposait. Avec tact et élégance sans doute, en tout cas jusqu’à son départ.
Et le voilà parti pour de bon. Un de plus, un de moins, peut-être le dernier. En tout cas, c’est bien raccord avec cette époque qu’il vomissait, à juste titre.
J.-M. M.
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thebusylilbee · 5 months ago
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"Chère Gisèle Pelicot, vous êtes entrée dans nos vies comme au tribunal d’Avignon, par la grande porte. [...] Le jour de l’ouverture du procès de vos violeurs a aussi été celui de l’officialisation de votre divorce. [Une meute] vous attend dans la salle d’audience : celle des 50 hommes qui sont jugés pour viol en réunion. Il y en aurait des dizaines d’autres qu’on n’a pas pu identifier. Vous faites face. Rien ne vous préparait à être dans cette salle d’audience. Un des accusés est arrivé en retard parce que, dit-il, il devait accompagner son fils à l’école pour la rentrée. Je me suis demandé qui avait accompagné vos petits-enfants, qui faisaient, eux aussi, leur rentrée scolaire. Je sais que vous avez pensé à eux à ce moment précis.
Réalité difficile à accepter
Vous les voyez tous pour la première fois sauf ce voisin que vous croisiez parfois dans la vie d’avant, celle qui ne reviendra jamais, celle de la maison du Vaucluse et de l’ignorance préservée. Vous les regardez. Ils regardent leurs pieds. Ils n’avaient jamais vu vos yeux, Jean, Didier, Jean-Luc, Romain, Redouan, Cédric, Grégory, Karim, Jean-Marc, Philippe, Quentin, Nicolas, Vincent, Patrick, Paul et les autres… On ploie sous la longueur de la liste et la banalité des profils. Les trois quarts d’entre eux ne reconnaissent pas les viols, comme tous ceux qui font les gros titres de l’actualité, les PPDA, Nicolas Hulot, Salim Berrada, Gérard Miller, Olivier Duhamel, Benoît Jacquot, Jacques Doillon, Gérard Depardieu…
Leurs arguments sont toujours les mêmes. Ils font tourner l’infect disque rayé du mensonge complaisant. Ils n’ont pas compris ce qu’ils faisaient. Ils sont sûrs d’être, eux aussi, des types bien, pas des monstres, même quand on leur montre les vidéos des crimes. Ils sont pompier, journaliste, étudiant, chauffeur routier, gardien de prison, infirmier, retraité, conseiller municipal, nos amis, nos amants, nos pères, nos frères. Une réalité difficile à accepter.
Un seul s’est adressé à vous pour vous présenter des excuses. Leur défense est un échantillon chimiquement pur de la violence patriarcale et des masques derrière lesquels elle s’abrite pour prospérer. « Le patriarcat est dans la maison ce que le fascisme est dans le monde », écrivait Virginia Woolf dans Trois guinées (1938).
Certains évoquent le poncif éculé de la pulsion, d’autres la frustration sexuelle due à l’absence prolongée d’une compagne officielle. Il y a celui qui trouve « bizarre » d’avoir fait ça. On trouve aussi des traces de « libertinage incompris ». Il y a celui qui ose l’ahurissant « viol involontaire ».
« Consentement par délégation »
Puisque vous étiez comateuse, il est difficile de prétendre que vous étiez partante. Difficile, mais quelques-uns tentent quand même le « j’ai pu croire qu’elle faisait semblant de dormir ». Les plus audacieux essayent le « consentement par délégation » ; le mari était d’accord, « il fait ce qu’il veut avec sa femme ». Une femme est soumise à son compagnon. L’ordre immémorial de la hiérarchie masculine est respecté.
Ce qui est certain, c’est qu’ils ont tous bandé à l’idée de pénétrer un corps inerte. Le viol et l’ordinaire de la sexualité semblent avoir beaucoup de points communs dans leur esprit. Ils ont bien le droit. Ils ont le pouvoir de le faire. Ils n’allaient pas passer à côté d’un viol gratuit près de chez eux. Ils ont été biberonnés à la haine des femmes, au mépris qui s’excite de l’impuissance de l’autre. Le sexisme féroce transpire de leur discours. La pornographie violente dont certains collectionnaient les images les plus répugnantes y est sans doute pour quelque chose. La domination absolue les a fait jouir. Ils ne voient pas le problème. Même au tribunal. Même devant vous.
Ils font ce que font la plupart des hommes accusés : ils se victimisent et rajoutent une couche de mépris sur celle qu’ils ont déjà humiliée. Ils sont tombés dans un traquenard. On les a piégés. Vous êtes restée là, à les écouter sans ciller, droite sur le ring. Vous décrivez désormais votre vie comme un combat de boxe. Le combat est déloyal. L’adversaire a les armes du terrorisme patriarcal. Que vous soyez à terre ou debout, cassée ou le poing levé, votre droiture fait craqueler la carapace d’impunité qui les a longtemps protégés.
Ce n’est pas seulement vous, Gisèle, qu’ils ont traitée comme une chose. Ils nous disent, à toutes, notre insignifiance. Votre force nous rend la nôtre. Merci pour ce cadeau immense.
Hélène Devynck, journaliste et autrice d’Impunité, (Seuil, 2022)"
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chicinsilk · 1 month ago
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US Vogue January 1, 1957
A strip of pink satin, its back, a blooming rose, with silk petals, emerging from the finest green stem of the heel. The effect? ​​As if a small garden had followed you to the party. We see her under a floating chiffon or organdy skirt - carrying the tropics in her stride. Order from Delman.
Une bande de satin rose, son dos, une rose épanouie, aux pétales de soie, sortant de la plus fine tige verte du talon. L'effet ? Comme si un petit jardin vous avait suivi à la fête. Nous la voyons sous une jupe flottante en mousseline ou en organdi - emportant les tropiques dans sa foulée. À commander chez Delman.
Photo Karen Radkai vogue archive
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joannerowling · 4 months ago
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Je sais pas si vous avez vu les dernières nouvelles sur le procès de Mazan, mais ce truc c'est vraiment le fond de l'abîme pour la gent masculine. Entre :
Pélicot lui-même (pas besoin de revenir sur le personnage je crois qu'on a fait le tour)
L'avocat de la défense qui tente de nous expliquer la différence entre le bon et le mauvais violeur ("Le mauvais, il voit un truc qui bouge, il bande…")
Le gang des somnophiles anonymes qui jurent tous sur la tête de leur mère qu'ils ont été dupés à l'insu de leur personne tel Richard Virenque
Celui qui pense que tout ça c'est un complot et que Gisèle Pélicot est dans le coup et faisait semblant de dormir parce que "regardez là entre la pipe et la sodomie elle a cligné!"
Le Grand Prix de l'Imaginaire qui affirme qu'il se rappelle de rien après avoir passer la porte et s'inquiète d'avoir été peut-être drogué lui aussi si ça se trouve??? :O
Le cinéphile qui raconte qu'il regardait des vidéos d'abus sur des mômes et des animaux pour "se cultiver"
J'en passe et des meilleurs, on a pas affaire au haut du panier ça c'est sûr
Mais c'était sans compter sur les témoins venus soutenir Gisèle ! Enfin, les héros arrivent !
Le témoignage de Pélicot frère: "Mon frangin il dit n'importe quoi, on a eu une enfance très heureuse, mon père c'était quelqu'un de bien ! Bon, il a un peu violé une enfant handicapée qu'on hébergeait, mais après? C'était les années 70!"
Mec qui a été contacté par Pélicot sur le site où il recrutait mais n'a pas donné suite : "Ben non, j'y suis pas allé, j'avais foot ce soir pis faut être con pour aller chez un inconnu qui t'invite texto à violer sa femme. Tous les violeurs ne sont pas cons- euhh, je veux dire, tous les mecs sont pas des violeurs!… Comment? Pourquoi j'ai pas appelé la police? Euh, je croyais que c'était une blague. Eh, oh, ça va, déjà je viole pas, n'en demandez pas trop bande de salopes."
Beh purée c'est qu'on en viendrait presque à comprendre comment certains en arrivent à vouloir se couper les burnes et porter des talons aiguille.
Edit: j'ai cassé tumblr avec mes gros mots je crois lol
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lacesconfidences · 5 months ago
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Il faut souffrir pour être une fille !
Ma sœur était plus attirée par les filles que par les garçons. Sa première chérie s'appelait Christine, c'était une rousse mignonne et très féminine. Elle avait 16 ans et était la fille d'une esthéticienne divorcée. Elle logeait au dessus de l'institut de sa mère. Nous formions Christine, ma sœur et moi un drôle de trio de gourmandes de plaisirs. Cela a duré un peu plus de deux ans, jusqu'à mon entrée à l'Université. Tous les samedis après-midi et quelquefois en semaine, nous nous retrouvions dans la chambre de Christine qui était devenue notre salle de jeux. Christine n'était pas en reste et le fait qu'elle vive seule avec sa mère lui a donné beaucoup d'avance côté sexe. Après mes premiers essayages de fille chez Christine, et avant de découvrir le plaisir féminin de me faire prendre par un tampon puis un merveilleux vibro, mes deux complices ont voulu me débarrasser de mes poils disgracieux… Ma sœur y était déjà passée, sauf son minou et c'était très simple car Christine empruntait le matériel de sa mère à l'Institut et s'exerçait sur elle. Un après-midi, ma sœur et sa chérie ne se sont pas caressées comme à leur habitude. Elles ont comploté en messes bases… Elisabeth m'a demandé de me mettre en culotte pendant que Christine descendait à l'Institut. Elle est remontée avec un truc à cire chaude, des bandes et un rasoir électrique. Elle m'a dit : C'est pas beau une fille avec des poils, on va s'occuper de toi ! Elles ont mis une serviette éponge sur le lit et m'ont demandé de m'allonger sur le dos. Christine a appliqué de la cire sur mes jambes, c'était chaud et agréable. Elisabeth a pressé des bandes sur la cire… Et ensuite, je ne sais plus laquelle des deux a arraché la première bande 🤐🥴😭 Tout ce que je sais c'est que j'ai poussé un cri tel que la mère de Christine a demandé du bas ce qu'elles me faisaient pour me faire crier ainsi ! Et elles ont continué ainsi devant et derrière puis sur la poitrine où heureusement j'avais peu de poils car j'ai souffert … Ha les garces 🥴 Pour finir, Christine m'a dit : "Baisse ta culotte, on va te dessiner le maillot pour que tu aies un joli minou comme nous." Je me suis exécuté en lui disant de faire gaffe à ne pas me blesser avec sa tondeuse. Je n'ai pas été blessée mais à force de me manipuler le clito et les couilles, je leur ai offert une belle queue bien raide. Elisabeth a dit : on ne peut pas le laisser comme ça, il ne peut même plus remettre sa culotte 🍆🍆🍆. Et Christine d'ajouter qu'après tout ce travail elles avaient droit a une récompense. Elles m'ont branlé et j'ai déchargé dans la main de Christine qui s'est empressée de lécher ma liqueur. Elisabeth était frustrée car elle n'a eu que les dernières gouttes en essorant mon clito qui dégonflait…
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You have to suffer to be a girl!
My sister was more attracted to girls than boys. Her first sweetheart was called Christine, she was a cute and very feminine redhead. She was 16 years old and the daughter of a divorced beautician. She lived above her mother's salon. Christine, my sister and I formed a strange trio of pleasure seekers. This lasted a little over two years, until I entered university. Every Saturday afternoon and sometimes during the week, we met in Christine's room which had become our playroom. Christine was not left out and the fact that she lived alone with her mother gave her a big head start on the sex side. After my first girl fittings at Christine's, and before discovering the feminine pleasure of being taken by a tampon then a wonderful vibrator, my two accomplices wanted to get rid of my unsightly hairs… My sister had already been there, except for her pussy and it was very simple because Christine borrowed her mother's equipment at the Institute and practiced on her. One afternoon, my sister and her sweetheart did not caress each other as usual. They plotted in my basics… Elisabeth asked me to put on my panties while Christine went down to the Institute. She came back up with a hot wax thing, strips and an electric razor. She told me: It's not beautiful a girl with hairs, we'll take care of you! They put a terry towel on the bed and asked me to lie on my back. Christine applied wax to my legs, it was hot and pleasant. Elisabeth pressed strips on the wax… And then, I don't remember which of the two tore off the first strip 🤐🥴😭 All I know is that I screamed so much that Christine's mother asked from below what they were doing to me to make me scream like that! And they continued like this in front and behind then on my chest where fortunately I had little hair because I suffered… Oh the bitches 🥴 To finish, Christine told me: "Pull down your panties, we're going to draw your swimsuit so that you have a pretty pussy like us." I complied, telling her to be careful not to hurt me with her clippers. I wasn't hurt but by dint of manipulating my clit and balls, I gave them a nice stiff cock. Elisabeth said: we can't leave him like this, he can't even put his panties back on 🍆🍆🍆. And Christine added that after all this work they were entitled to a reward. They jerked me off and I unloaded in Christine's hand who quickly licked my juice. Elisabeth was frustrated because she only got the last drops by wringing out my deflating clit…
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camisoledadparis · 1 month ago
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saga: Soumission & Domination 366
Autre semaine d'août, préparation & départ aux USA
Comme la triplette insiste, nous débarquons chez les parents de Ludovic pour quelques jours.
Ces derniers sont contents de nous voir. Monsieur nous confie que ça va même les changer un peu des trois faces hilares qu'ils ont continuellement sous les yeux.
La piscine installée avant l'été donne toute satisfaction et Ludovic me dit qu'il n'avait jamais vu ses parents aussi détendu depuis longtemps. Bien qu'ils dépensent beaucoup d'énergie à faire l'amour, les gamins en ont encore pour aider efficacement le paternel aux travaux de la ferme. Nous aussi nous mettons la main à la pâte et le travail est rapidement expédié.
Le temps gagné n'est pas perdu car la triplette nous entraine dans tous les coins où ils ont baisé sans nous. Côme nous accompagne.
S'il ne s'intéresse pas particulièrement à la triplette, quand nous sommes là (PH, Ernesto, Ludovic et moi) c'est différent. Entre deux plans, il m'avoue que Jona et François lui manquent plus qu'il ne l'avait envisagé avant l'été. On discute un bon moment. Il me parle des quelques meufs qu'il a sauté pendant son stage et me dit qu'il a eu les mêmes sensations que quand il taffe pour moi. C'est bon, il éjacule mais ça n'a pas l'intensité de ses rapports avec mes deux Escorts. Ça l'inquiète un peu.
Je tempère en lui disant que c'est parce qu'il n'a pas encore trouvé la bonne. Il veut y croire.
En attendant il n'hésite pas à faire l'amour avec nous tous, même si c'est plutôt avec les plus âgés (Ernesto, PH et moi) qu'il prend son pied.
Les parents se doutent bien que nos " escapades " qui les laissent seuls plusieurs heures ne se limitent pas à nous promener dans les bois environnants, mais ils nous laissent libres et ne posent pas de questions. Quand nous revenons, nous sautons dans l'eau avant de nous étaler sur la pelouse pour entretenir notre bronzage.
Des amies de madame venues prendre le thé alors que nous étions tous là, l'ont admirée de s'occuper ainsi d'une bande d'ados aussi nombreux. C'est vrai que nous sommes 8 et aucun petit format ! Et sans se vanter, tous plus canons les uns que les autres même si la fratrie locale est quand même un cran au-dessus des autres.
Enguerrand me confie qu'il a l'impression que depuis tous les changements (coming out de Ludovic, ses propres aveux et l'acceptation des amis/amants), ses parents se remettent à faire l'amour plus souvent. Il m'explique que plusieurs nuits, alors qu'il allait aux WC après avoir fait l'amour avec ses 2 complices, il les a entendu " s'agiter " dans leur chambre !
Je le traite de petit vicieux et lui dis de laisser ses vieux tranquilles.
Nous passons la semaine entière alors que seuls 3/4 jours étaient prévus. Mais les parents insistent pour que nous restions. Le soir, avant d'aller faire l'amour encore une fois, nous passons de bons moments. Les plus jeunes s'affrontent sur PlayStation alors que nous apprenons à jouer au bridge sous la direction des parents. J'aime ce jeu. Entre les annonces et le jeu de la carte, c'est passionnant ! Côme et Ludovic nous aident bien sur ce coup, ils y jouent depuis 4/5 ans déjà.
Une semaine atypique même si coté sexe nous n'avons pas laissé notre part au chien ! Ce qui me surprend le plus, c'est que finalement je me fais bien à cette ambiance " famille " !!
Plus d'une fois nous avons aussi passé nos nuits " mélangés ". Dans ces cas-là, c'est plutôt Enguerrand qui s'endort dans mes bras ! Même si j'aime aussi faire l'amour avec Max et Nathan, j'ai une tendresse particulière pour mon petit beau-frère. Je crois qu'il me le rend bien !
Comme nous ne sommes pas des plus discrets, nous avons droit, de la part du père le lendemain matin, à un " bien dormis les garçons ? " un peu ironique.
Pour ma dernière année d'étude, je dois passer 6 mois dans une université à l'étranger. Les USA me tentent et bien sûr la côte ouest. Entre l'Université de San Francisco, privée et Berkeley je préférais la seconde. J'ai eu la chance que mon dossier passe pour l'UCB (Berkeley). Bon il est vrai que j'avais un appui de choix avec Henri qui y a passé quelques années dans son cursus d'études.
J'intégrerai le master d'ingénierie financière de l'école de business.
Alors que je voulais louer une maison dans Castro et une voiture pour aller à l'université, Henri m'en a dissuadé et m'a dit de rester sur le campus. Comme ça je m'intégrerais plus facilement. Je me débrouille de l'inscription et des détails matériels, mais il s'est chargé du reste. En l'occurrence, il a repris contact avec d'anciens collègues et en a trouvé un dont un fils sera à l'université en même temps que moi.
Je prends contact avec lui par Skype. Il a deux ans de moins que moi mais, nageur de l'équipe de natation/plongeon, il est déjà méchamment tanké ! Tyler est plutôt beau gosse. Brun cheveux courts, il a les épaules larges et le bassin étroit. Imberbe et/ou rasé, son maillot semble bien rempli ! (skype sur le bord de la piscine ^^).
 On passe pas mal de temps à échanger sur les 6 mois à venir. Il dédramatise le super niveau de l'université et me dit qu'avec un peu de travail et la participation à une équipe sportive, je devrais m'intégrer sans soucis. En plus c'est une université qui accueille bon nombre d'étrangers de tous pays.
Pour ne rien cacher, je lui fais part de mon orientation sexuelle. Il m'assure qu'avec San Francisco de l'autre côté de la baie, je n'aurai aucun mal à trouver des partenaires surtout avec ma gueule !
Quand PH et Ludovic entendent ça, ils hurlent que je n'ai pas intérêt à les oublier. Cela me vaut quelques explications avec Tyler qui rigole de ma situation. Après la surprise, il a trouvé très amusant mon " cas ".
Il me dit d'arriver une semaine avant ma " rentrée " cela me permettra de prendre le rythme. Quand je lui dis qu'il me faudra une caisse, il me dit qu'on s'en chargera alors.
Finalement je débarque aux USA à 6 !! Henri en profite pour renouer avec son collègue (Matthew), bien sûr Kev est du voyage. Quand à mes trois amours (PH, Ernesto et Ludovic), ils veulent savoir où je mets les pieds.
Vol direct Paris San Francisco, nous sommes attendus par Tyler qui nous emmène directement chez son père en plein San Francisco dans Pacific Heights. La " villa " est immense et notre venue ne dérange pas nos hôtes. Située haut sur la colline, elle surplombe la baie et nous pouvons voir le Golden Gate et Alcatraz. Les lits King Size qui meublent les chambres nous permettent sans mal de dormir à plus de 2 !!
Le père de Tyler est aussi sympathique que lui et d'une simplicité d'abord inconnue en Europe à ce niveau de fortune. Nous sommes reçus à bras ouverts. Lui est très content de renouer avec son ancien coturne d'université et ils passent un bon moment à mettre à jours leurs actualités. Tyler, lui, nous entraine à la piscine. En réel aussi il est beau mec !! A ses cotés je ne fais pas microbe quand même. Il est lui-même étonné de nos physiques musclés. Dans l'eau nous ne sommes pas ridicules et il me propose même de me faire inscrire dans son sport. Il nous montre aussi la salle de muscu qu'il a installé derrière le garage.
Ça, on verra plus tard.
Le lendemain, Tyler nous fais visiter (aux jeunes) le campus et nous montre même le bâtiment où il sera cette année. Quand on revient, nous traversons San Francisco et il nous montre quelques sites particuliers, Télégraph Hill, les quais avec les phoques...
Un matin il nous emmène petit déjeuner chez Dottie's. Le Restaurant très connu, spécialisé en petit déjeuner est fréquenté aussi bien par les autochtones que les touristes. Trop bons les muffins et les pancakes, Au moins 3000 Calories !! Puis on file sur le Pacifique.
Le style Victorien les maisons laisse place à l'influence Mexicaine ! Le temps est couvert et l'océan pas très chaud !! La plage est immense mais peu utilisée et surtout par les surfeurs ! Dans l'après-midi, nous découvrons Castro le quartier plus spécifiquement Homo. En se baladant à pied, nous croisons quelques couples d'hommes avec de jeunes enfants dans les bras.
J'aime beaucoup ce style de quartier, maisons victoriennes de toutes les couleurs, jardinets et parcs sur chaque éminence.
Le soir nous retrouvons les " vieux ". Henri a rajeuni, Matthew et lui se sont affrontés au golf et il a gagné. Matthew m'annonce que comme " généreux donateur " de l'université, il a réussi à me faire loger dans le même bâtiment que son fils. Comme ça je serais encore plus intégré qu'à l'International House où sont en général logés les étudiants étrangers.
On s'isole tous les trois, avec Henri, pour parler business. Sur ses conseils, j'explique à Matthew mon petit commerce avec chiffres à l'appui. Il est plus surpris du CA que j'ai développé que du " produit " offert. Quand je lui parle de la succursale de Barcelone, gérée par Ernesto, il est amusé par mon culot ! Ça plus le fait que je sois le " fils " d'Emma dont il connait les sociétés, me pose plus que l'école que je suis.
C'est avec lui que j'aborde la question du véhicule. J'hésite entre une deux places et une berline pour quand mes amis viendront me rejoindre. Henri s'amuse et dit à notre hôte que je suis habitué au luxe avec ma Mercedes SLS. Matthew me dit que son cabriolet Tesla devrait alors me plaire. Je serai bien difficile de dire non ! Je sais qu'ils sont très " écolos " dans ce coin des Etats Unis et que les voitures électriques sont plus nombreuses dans cette ville. Il m'assure qu'il ne l'utilise plus et que Tyler à la sienne propre. Il ajoute que comme ça son fils ne sera plus un des seuls avec ce type de voiture sur le campus.
Quant aux visites de mes amis, il considèrerait comme une injure qu'ils descendent ailleurs que chez lui.
Quand on rejoint les autres et qu'ils apprennent ça, ils n'en sont même pas étonnés ! Tyler nous emmène au garage voir le bolide. Il est garé juste à côté du sien. Là mes amis sont bouches bée.
Alors qu'Henri et Kev sont déjà partis et avant que mes amis me quittent, Tyler organise un BBQ pour me faire connaitre quelques-uns (25 !) de ses amis.
Ils arrivent tous en shorts de surf et marcel large. Nous contrastons avec nos tenues plutôt moulantes. Sans moquerie, ils nous en font la remarque. Je repère rapidement les 5 Homos présents, même s'il n'y a aucune différence de comportement entre tous.
Avec l'avancée de la soirée et l'alcoolisation modérée, ils se rapprochent de nous. Sans entrer dans une étude comparative de la vie homosexuelle de chaque côté de l'atlantique, nous échangeons quand même. Ils ont un peu de mal avec ma vision de la chose et le fait que mes trois amis sont aussi mes trois amours et amants !!
Quand PH leur dit que notre relation ne s'entrave pas d'une fidélité absurde, ils trouvent cela finalement très intéressant ! Cela se traduit par un intérêt pour chacun d'entre nous plus " visible " !!
Les hétéros du groupe ne prennent pas ça mal et jalousent même un peu leurs amis qui eux ont des " possibilités " alors qu'ils resteront secs de leur côté.
Moi je trouve mon bonheur avec un des gays. Je ne sais pourquoi mais c'est le plus baraqué. De ma taille, il est aussi large d'épaule que moi mais blond très clair. Ses pecs lisses sont ornés de gros tétons qui me fascinent. Ça plus le paquet qui arrive à repousser le tissus pourtant lâche de son longboard m'ont attiré assez vite. Mais je ne peux m'empêcher de mater aussi un des hétéros !!! Je ne me refais pas !
Mon nouvel ami s'en aperçoit et me dit de ne pas me faire d'illusion, c'est le plus hétéro de tout le groupe présent. Qu'il valait mieux que je fasse une croix dessus tout de suite car comme ils sont tous à Berkeley, j'aurais l'occasion de le recroiser. Il me demande en quel sport j'allais m'inscrire. On échange sur ce sujet et j'ai le plaisir d'apprendre que lui-même est dans la section arts martiaux. Il arrive à me tirer la promesse de passer les voir alors que je lui dis aussi mon envie de suivre Tyler à son club de natation.
Avant qu'ils ne partent tous, je ne peux m'empêcher de faire un aparté avec lui (Dane). On s'isole dans la salle de muscu et là, il se transforme en tornade !! On se retrouve à poil avant même d'avoir atteint le centre de la pièce et je me retrouve propulsé sur un banc avec ma queue dans sa bouche. Ok je ne suis pas son premier et sa gorge a déjà vu passer des glands !
Je repousse sa tête le temps de lui dire de se mettre en 69 et à mon tour je fais connaissance avec la sienne. Superbe !! Bien droite et rose pale, circoncise, elle laisse découvert un gros gland rond et juste une teinte plus foncée. De belles couilles lisses me tombent sur les yeux alors qu'il me défonce la gorge. A la vue de l'occupation de cette dernière j'opte pour un bon 22x6. Il me semble prendre autant de place que le sexe de mon Marc.
On se fait plaisir un bon moment, limite si on n'était pas à démontrer que l'on était meilleur que l'autre !!
Intermède pelle, palpation... j'aime ses pecs bien fermes, ses tétons gonflés roulent sous ma langue et il réagit violemment, de plaisir bien sûr !
Petit flottement le temps de savoir qui va se prendre l'autre en premier. Privilège de l'invité, je suis le premier actif. Rondelle aussi lisse que ses couilles, rose pâle et joliment plissée, je la travaille à la langue avant d'y enfiler mes 20x5. Si elle me paraissait serrée tant que je la lubrifiais, elle sait s'ouvrir sous la poussée de mes reins. En levrette, son dos large sous mes yeux m'excite et je ne peux m'empêcher de poser mes mains sur ses épaules et, sèchement, de m'assurer que plus rien de reste dehors de ma bite. Je le lime un bon moment avant que l'on échange les places.
Je choisi de me mettre sur le dos. J'attrape mes pieds et écarte mes jambes tout en relevant mon cul pour le mettre à la bonne hauteur. Il s'agenouille entre et s'enfonce en moi. Quand il est bien au fond je plie les jambes sur ses reins pour le retenir quelques instants avant de le libérer. Il sait y faire lui aussi et me défonce royalement. Comme mon excitation monte, je l'attrape par le cou, lui roule un patin puis me met à juter entre nos abdos. Ma rondelle se contracte à chaque éjaculation et stoppe ses va et vient. Il ne tient pas longtemps et rempli sa kpote en grognant.
Quand on retrouve les autres, notre absence a été remarquée !!
PH m'attrape et me demande si les " indigènes sont bons ". Je lui réponds qu'ils se défendent ! Dane qui était dans mon dos me pousse d'un coup de bassin dans les fesses et répond à PH qu'il n'a pas tiré un mauvais numéro lui non plus (en parlant de moi).
Les hétéros nous quittent alors que Tyler nous autorise et nous pousse à partouzer avec ses potes homos. Ce que j'apprends c'est qu'ils lui avaient tous demandé ce " service " afin de gouter du Frenchie
Par commodité et discrétion (rapport au paternel tolérant mais qui ne tient pas à ce qu'on s'encule devant ses yeux), nous investissons la salle de muscu. Les bancs sont poussés contre les murs avant qu'on s'en serve et ça démarre chaudement.
Je bande dur, même si je me suis vidé il n'y a pas longtemps et c'est pareil pour Dane. Tous à poil, y'a rien à jeter ! Nos " amis " sont aussi sportifs que nous et aussi peu velus ! Je fais la connaissance plus intime des 4 autres invités. Beaux culs et bites généreuses ça va le faire !
Alors que Tyler allait nous laisser, je l'attrape et, aidé de 2 autres américains, lui arrache le short qui masquait sa queue raide. Je remarque tout haut comme quoi il bande dur devant des mecs à poil pour un hétéro. Il rit et me dit être plutôt dans la catégorie Bi.
Mes amours sont déjà en main et goutent l'échantillon local. Les 24cm d'Ernesto font leurs petits effets et ils se mettent à 2 pour les honorer.
Nos prépuces les interpellent alors que le fait qu'ils soient tous circoncis ne nous étonne pas.
 Je me choppe le plus léger afin de délirer dans des positions moins classiques. Il fait quand même bien ses 70Kg et je me fatigue vite ! Il n'empêche que j'ai pu l'enculer en porté debout. Ses jambes autour de ma taille, il s'est appuyé sur mes hanches pour de lui-même monter et descendre sur ma bite. C'est ça qui est bien avec les sportifs c'est que musculairement ils suivent.
Je l'ai quand même fini, lui dos à l'espalier, les mains accrochées au barreau le plus haut, ses jambes relevées sur mes épaules, mes mains sous ses fesses pour assurer la bonne hauteur de sodo. Sa rondelle musclée à fait son effet sur mes 20x5 et j'ai rempli ma kpote. Comme le bon garçon que je suis, j'ai attendu qu'il nous tapisse les abdos de sa " crème " avant de me laisser aller.
Retour sur terre de mon partenaire un peu flageolant.
Je matte autour. Tyler se fait défoncer en levrette par mon PH à moi. D'après ses cris, je pense qu'il y prend du plaisir. Ernesto se termine dans le cul d'un autochtone qui brame à qui veut l'entendre qu'il n'a jamais connu ça.
Comme si nous allions le croire !!
Jardinier
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new year's life savers boat race
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chic-a-gigot · 4 months ago
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La Mode illustrée, no. 41, 9 octobre 1881, Paris. Corsage en cachemire. Modèle de chez Mme Coussinet, rue Richer, 43. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
La jupe de cette toilette est en cachemire violet d'évêque. Sa garniture se compose de bouillonnés en même étoffe et de bandes de surah d'une teinte plus claire, couvertes de broderie anglaise faite avec du cordonnet de soie mauve. La tunique formant paniers, ainsi que le corsage, sont en cachemire. Le devant de celui-ci ainsi que les manches ont plissés, selon les indications du dessin. Col et revers de manches en surah brodé.
The skirt of this ensemble is in purple bishop's cashmere. Its trim is composed of bouillonnés in the same fabric and bands of surah of a lighter shade, covered with English embroidery made with purple silk cord. The tunic forming panniers, as well as the bodice, are in cashmere. The front of it as well as the sleeves are pleated, according to the indications of the drawing. Collar and sleeve cuffs in embroidered surah.
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jloisse · 8 months ago
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🔴Voici comment l’ennemi sioniste maltraite les corps de martyrs, les dépouilles de civils palestiniens qui tentaient de rentrer chez eux dans le nord de la bande de Gaza.
Tout se paie. Il y aura une réponse.
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adam-lukas-morningstar · 1 month ago
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Il est un peu après 4 heures de l'après midi quand il arrive chez Gabriel. Il l'avait écrit que toute le banda allait se rejoindre à sa maison et qu'après ils allaient au cinéma, suivi d'une sortie dans la vallée pour faire de l'art. Tout le monde dans le groupe d'amis aiment faire de l'art - c'est une des principales raison pourquoi ils étaient devenue amis.
Il tape a la porte, son coeur battant - il est super existé de voir tout le monde, mais surtout Gabriel. La porte s'ouvre et devant lui, se retrouve une fille. Elle est super belle avec ses cheveux longs et blonds, elle avait un style vintage et artiste. En gros elle était le style de Gabe - Adam devrait le savoir, après tout il l'avait été autre fois. Avant de faire sa transition...
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Salut, Annie dit avec un sourire chaleureux. Tu dois être Adam, Gabri m'a tellement parler de toi, je suis si contente de te rencontré. Entre, elle ajoute - on t'attendait.
Et soudainement, Adam a un pensé, elle fait partie de la bande, elle a été accepté par les autres. J'ai pas le droit, de parler mal d'elle. Fuck, c'est ce que je vais faire ?
@gabriel-lumiere
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