#chez band
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midnasocarina · 4 months ago
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so the Scene Queen show was amazing + we saw Peni Parker and CHEZ! We actually had barricade for them both, since we accidentally got there super early, but had to move up the back after their sets because my partner got hit with a dizzy spell :( <3
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(photos by me! with no zoom!)
but even with our back view it was such a great show! I might write a full recount later because it was really something special, but for now I'll just say it was probably some of the most fun I've ever had seeing a band ♡
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chic-a-gigot · 3 months ago
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La Mode illustrée, no. 41, 11 octobre 1891, Paris. Robe pour dame âgée. Toilette du soir pour jeune fille. Toilette de réunion pour jeune dame. Modèles de chez Mme Gradoz, rue de Provence, 67. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Robe pour dame âgée.
Robe en satin héliotrope et velours de nuance plus foncée. Les devants à revers de velours, s'écartant devant, sont complétés par un tablier légèrement plissé au bord supérieur et garni au bord inférieur d'une broderie en perles irisées et soie. Le dos de la robe est orné d'une broderie semblable; les lés de la traîne sont plissés à quelques centimètres de distance en dessous de la taille; on les borde avec de larges bandes de velours. Les manches plissées, garnies sur la couture d'un ruban de velours, sont ornées de dentelle au bord inférieur.
Dress for an older lady.
Dress in heliotrope satin and darker shade velvet. The velvet-backed fronts, spreading out in front, are completed by an apron slightly pleated at the upper edge and trimmed at the lower edge with embroidery in iridescent pearls and silk. The back of the dress is decorated with similar embroidery; the strips of the train are pleated a few centimeters below the waist; they are edged with wide velvet bands. The pleated sleeves, trimmed on the seam with a velvet ribbon, are decorated with lace at the lower edge.
Toilette du soir pour jeune fille.
Robe en surah vert d'eau et velours vert foncé: La jupe en surah est disposée tout autour en plis étroits. La blouse en surah, plissée à l'encolure, est complétée par un corselet en velours, orné de broderie d'or. Col droit en velours brodé, manches larges en surah terminées par des manchettes plissées étroites.
Evening dress for a young girl.
Dress in water green surah and dark green velvet: The surah skirt is arranged all around in narrow pleats. The surah blouse, pleated at the neckline, is completed by a velvet bodice, decorated with gold embroidery. Straight collar in embroidered velvet, wide surah sleeves finished with narrow pleated cuffs.
Toilette de réunion pour jeune dame.
Robe en bengaline gris bleu de deux nuances ornée d'une broderie en acier clair et acier foncé. La jupe à traîne es faite en bengaline gris bleu clair; on laisse de chaque côté de la jupe, au bord inférieur, une fente dont on garnit les bords avec des morceaux de crêpe plissés; la couture est ouverte par une broderie étroite. Les lés de la traîne, arrondis au bord inférieur, sont doublés en gaze raide; on les dispose au bord supérieur devant et sur les côtés en quelques plis, derrière en deux doubles plis creux, que l'on fixe en dessous en faille, garnie d'un volant plissé.
Le corsage à basque longue, fait en bengaline gris bleu foncé, est garni d'un gilet en bengaline gris bleu foncé, qui se compose de trois morceaux étroits, réunis par des morceaux de gaze froncée; on le termine par une basque froncée. On fixe sur les côtés du corsage des pattes de poches en velours de nuance foncée; un col Médicis en velours et un col droit en bengaline de nuance claire complètent le corsage qui est orné d'une broderie.
Reception ensemble for young lady.
Dress in gray blue bengaline of two shades decorated with embroidery in light steel and dark steel. The skirt with train is made of gray blue bengaline; on each side of the skirt, at the lower edge, a slit is left, the edges of which are trimmed with pieces of pleated crepe; the seam is opened with narrow embroidery. The strips of the train, rounded at the lower edge, are lined with stiff gauze; they are arranged at the upper edge in front and on the sides in a few folds, behind in two double hollow folds, which are fixed below in faille, trimmed with a pleated flounce.
The bodice with a long basque, made of dark blue-grey bengaline, is trimmed with a waistcoat in dark blue-grey bengaline, which consists of three narrow pieces, joined by pieces of gathered gauze; it is finished with a gathered basque. Pocket tabs in dark-coloured velvet are attached to the sides of the bodice; a Medici collar in velvet and a straight collar in light-coloured bengaline complete the bodice, which is decorated with embroidery.
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suburbangothic-rp · 5 months ago
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suburban gothic;
inspiré par twin peaks, desperate housewives, six feet under, hereditary, welcome to nightvale, euphoria, totally fucked up, american beauty, pretty little liars, murder she wrote, east of eden.
Par où commencer pour présenter ce monde? Pas de contexte déjà rédigé pour le moment, l’idée n’est que latente; si les rues ne se remplissent pas, à quoi bon y bâtir des maisons? Mais l’idée se fait pesante, lourde de ses possibilités.
Pennsylvanie, au pied des Appalaches, la rouille industrielle qui se bat contre la nature sauvage, elle-même lacérée par le tracé méticuleux de l’asphalte. Le long de l’une des ces longues routes, une ville. Une parmi tant d’autres, des milliers comme elle. Plantée sur une grille qui structure l’espace; au centre-ville et à ses bâtiments denses succède l’harmonie de la banlieue résidentielle. L’ordre s’y confond avec la monotonie, le charme se dilue dans l’ennui. L’architecture humaine se révèle creuse, les fissures laissent s’en échapper les échos de complaintes qu’on aurait voulu recouvrir de béton, de gazon ou de peinture fraîche. L’horreur s’excite avec chaque désillusion, secret, péché, danger, crime, frustrations. Le futur est riche en promesses mais demain n’est jamais un autre jour, inéluctable répétition d’hier. On enterre ses rêves sous un lit de bégonias dont on prend soin avec fureur et hystérie, dans l’énergie du désespoir, jusqu’au jour où une bande d’adolescents les piétine pour s'amuser.
La ville est séparée en quartiers; #1 est un petit centre-ville, le lieu des rencontres fortuites, main street, le cœur administratif et commercial du lieu. #2 est un ancien village rattaché à la ville, avec ses rues pittoresques, ses habitants qui n’aiment pas les visiteurs, le calme acheté à prix fort, les fermes reconverties. #3 est l’ancien bassin minier, abandonné, peuplé de mythes et de terreurs, peu à peu remplacé par l’industrie forestière. #4 est la banlieue résidentielle, le théâtre principal de notre jeu de dupes.
L’horreur vient de l’intérieur; du plus vaste, l’intérieur des frontières nationales, au plus intime: le foyer et l’individu. L’extérieur projette: un pays puissant et prospère, des rues propres, un voisinage aimable, des bonnes manières et de jolies choses. Le tout tient du mirage. À l’intérieur, rien ne va, on est à deux doigts de tomber dans le ravin. Les valeurs fières et heureuses sont corrompues; la communauté devient une prison, la religion devient une manipulation, le politique s’achète, la propriété creuse les dettes, le couple se brise.
Tout ne va pas mal; même si le gothique est souvent très sombre, il y existe aussi une place pour d’autres histoires. Edward Scissorhands est LE film du suburban gothic et c’est loin d’être un film d’horreur. Twin Peaks et True Blood mélangent un ton mystérieux avec des moments plus légers. L’excentricité ou la bizarrerie des personnages est d’ailleurs souvent un symptôme des rouages sombres qui font tourner l’histoire. Les tags associés au gothique sur Tumblr mènent à des contenus sinistres, mais chacun.e est libre d’aller un peu plus loin. À titre personnel par exemple, je pense que les Sims 2 est un jeu à l’ambiance gothique (: On fait ce qu’on veut avec le concept de gothique, et ce sera pareil sur le forum si le projet séduit et intéresse. (si besoin, je peux rédiger un texte un peu plus élaboré sur l'american gothic et ses déclinaisons régionales/thématiques)
Les années 2010; LA décennie des différentes gothic aesthetics. L’une des pires crises financières de l’histoire est passée par là et a fait beaucoup de mal au rêve américain. Le traumatisme est bien là, encore aujourd’hui, chez les individus comme dans les sociétés dans lesquelles ils évoluent. Le paysage de certaines régions change durablement; dans le Midwest, dans le sud, dans la Rust Belt. Une nouvelle tâche sur la mystique de l’Amérique. The American Nightmare.
J’ai beaucoup écrit et si vous avez lu jusque là – merci vraiment, et euh, pardon. C’est avant tout une bouteille à la mer, ce post. S’il trouve sa destination, alors on en fera germer les prémices. Il y a de quoi faire je pense. Les remarques, questions, suggestions, toutes bienvenues, j'ai envie de lire un peu après avoir autant écrit.
Contenu additionel; sera posté s'il y a de l'intérêt – le contexte, évidemment – mécanismes de jeu, animations – les postes vacants, leurs dynamiques – la ville, son monde, son histoire – les racines, l'inspiration – aes
un dernier mot: le tumblr n'est pas encore complètement fonctionnel, la plupart des liens est sous construction.
photo: edgar martins, éditée pour suburban gothic.
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ekman · 4 months ago
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Delon nous a quitté dimanche dernier. Fin de bobine. 
La salle s’éclaire, les yeux piquent, les assises se rabattent sèchement sur les dossiers, les gens piétinent vers la sortie. Le bel Alain s’en est allé pour de bon, lui qui – semble-t-il – avait déjà quitté le monde sensé, laissant ses glorieux enfants se déchirer autour d’un terril d’or.
Journalistes, politiques, pipoles et piplettes : ils n’ont tous que des superlatifs à la bouche. Machin y va de son “c’était le dernier monstre sacré”, Bidule nous rappelle que “c’était un vrai prince”. La presse idiote rivalise en putasserie unière, à qui la plus belle photo, à qui le plus pathétique titre en guimauve pur sucre.
Mais moi je me souviens, bande de hyènes. J’ai rien oublié du tout. Je me rappelle bien de la ringardisation à marche forcée du ci-devant Delon Alain, coupable de choix politiques impardonnables. Fallait les voir se pincer le nez, les tenanciers de ce merdique show-biz gavé de thunes. Tu citais Delon et voilà qu’ils avaient grave la gerbe, ces gauchistes gueulards et ces soixante-huitards pédos. Beuark ! Macho réac ! Machine à cash ! Vieux beau qui s’accroche ! Tout le catalogue des amabilités en travers de sa belle gueule, le Delon. Ah ça oui, fallait les voir tortiller du cul quand on leur faisait remarquer que son fric, lui, il allait le chercher à Caracas et à Kyoto en vendant des clopes et du cognac pendant qu’eux tapinaient sous les lambris des ministères comme des putes de chantier pour se gaver d’argent public. Et pour quoi faire ? Des films de merde labellisés gauche-xanax où des couples idiots s’engueulent à la cuisine pour des histoires d’adultère foireux tristes à mourir. 
Je n’ai jamais pris Delon très au sérieux. Ça n’était pas un vrai soldat, pas complètement un tapin, plutôt un assez mauvais comédien... mais quel acteur ! Quel talent, le félin ! Au-delà de sa belle gueule, il y avait son charme infini de scorpion astralement pur : intransigeant, égocentré, jaloux, lumineux, charmeur, menteur. Elles ont été quelques-unes à y laisser des larmes. Et pas qu’un peu : par bonbonnes entières ! Mais lui s’en foutait. Il aimait, il vivait, il partait. C’est comme ça qu’il les a tous et toutes bluffé(e)s pendant plus de quatre-vingt ans. Au final, c’est la caméra qui l’a le mieux aimé. Cinégénique à en crever, le bonhomme. Pas un angle, pas une ombre pour nuire à sa beauté solaire – ce qui est le comble pour un aussi ténébreux Narcisse. 
Tous les plans qui éclairent Delon sont une ode à la masculinité. Même avec un imper trop grand et un bitos rivé sur le crâne, il est crédible. Je veux bien croire qu’il y en a quelques-uns que ça a vraiment du faire bisquer, dans le métier.
Avez-vous remarqué que “masculinité” lui va bien mieux que “virilité” ? Je dis cela parce que Delon n’inspirait pas le cul – il n’y avait rien chez lui de léger en bagatelle ou d’ostentatoire en braguette. C’était un dominateur silencieux, une emprise, un orage. Les femmes – et surtout les plus inaccessibles d’entre elles – ne s’y trompaient pas. Elles cédaient et lui, tranquillement, disposait. Avec tact et élégance sans doute, en tout cas jusqu’à son départ.
Et le voilà parti pour de bon. Un de plus, un de moins, peut-être le dernier. En tout cas, c’est bien raccord avec cette ��poque qu’il vomissait, à juste titre.
J.-M. M.
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thebusylilbee · 4 months ago
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"Chère Gisèle Pelicot, vous êtes entrée dans nos vies comme au tribunal d’Avignon, par la grande porte. [...] Le jour de l’ouverture du procès de vos violeurs a aussi été celui de l’officialisation de votre divorce. [Une meute] vous attend dans la salle d’audience : celle des 50 hommes qui sont jugés pour viol en réunion. Il y en aurait des dizaines d’autres qu’on n’a pas pu identifier. Vous faites face. Rien ne vous préparait à être dans cette salle d’audience. Un des accusés est arrivé en retard parce que, dit-il, il devait accompagner son fils à l’école pour la rentrée. Je me suis demandé qui avait accompagné vos petits-enfants, qui faisaient, eux aussi, leur rentrée scolaire. Je sais que vous avez pensé à eux à ce moment précis.
Réalité difficile à accepter
Vous les voyez tous pour la première fois sauf ce voisin que vous croisiez parfois dans la vie d’avant, celle qui ne reviendra jamais, celle de la maison du Vaucluse et de l’ignorance préservée. Vous les regardez. Ils regardent leurs pieds. Ils n’avaient jamais vu vos yeux, Jean, Didier, Jean-Luc, Romain, Redouan, Cédric, Grégory, Karim, Jean-Marc, Philippe, Quentin, Nicolas, Vincent, Patrick, Paul et les autres… On ploie sous la longueur de la liste et la banalité des profils. Les trois quarts d’entre eux ne reconnaissent pas les viols, comme tous ceux qui font les gros titres de l’actualité, les PPDA, Nicolas Hulot, Salim Berrada, Gérard Miller, Olivier Duhamel, Benoît Jacquot, Jacques Doillon, Gérard Depardieu…
Leurs arguments sont toujours les mêmes. Ils font tourner l’infect disque rayé du mensonge complaisant. Ils n’ont pas compris ce qu’ils faisaient. Ils sont sûrs d’être, eux aussi, des types bien, pas des monstres, même quand on leur montre les vidéos des crimes. Ils sont pompier, journaliste, étudiant, chauffeur routier, gardien de prison, infirmier, retraité, conseiller municipal, nos amis, nos amants, nos pères, nos frères. Une réalité difficile à accepter.
Un seul s’est adressé à vous pour vous présenter des excuses. Leur défense est un échantillon chimiquement pur de la violence patriarcale et des masques derrière lesquels elle s’abrite pour prospérer. « Le patriarcat est dans la maison ce que le fascisme est dans le monde », écrivait Virginia Woolf dans Trois guinées (1938).
Certains évoquent le poncif éculé de la pulsion, d’autres la frustration sexuelle due à l’absence prolongée d’une compagne officielle. Il y a celui qui trouve « bizarre » d’avoir fait ça. On trouve aussi des traces de « libertinage incompris ». Il y a celui qui ose l’ahurissant « viol involontaire ».
« Consentement par délégation »
Puisque vous étiez comateuse, il est difficile de prétendre que vous étiez partante. Difficile, mais quelques-uns tentent quand même le « j’ai pu croire qu’elle faisait semblant de dormir ». Les plus audacieux essayent le « consentement par délégation » ; le mari était d’accord, « il fait ce qu’il veut avec sa femme ». Une femme est soumise à son compagnon. L’ordre immémorial de la hiérarchie masculine est respecté.
Ce qui est certain, c’est qu’ils ont tous bandé à l’idée de pénétrer un corps inerte. Le viol et l’ordinaire de la sexualité semblent avoir beaucoup de points communs dans leur esprit. Ils ont bien le droit. Ils ont le pouvoir de le faire. Ils n’allaient pas passer à côté d’un viol gratuit près de chez eux. Ils ont été biberonnés à la haine des femmes, au mépris qui s’excite de l’impuissance de l’autre. Le sexisme féroce transpire de leur discours. La pornographie violente dont certains collectionnaient les images les plus répugnantes y est sans doute pour quelque chose. La domination absolue les a fait jouir. Ils ne voient pas le problème. Même au tribunal. Même devant vous.
Ils font ce que font la plupart des hommes accusés : ils se victimisent et rajoutent une couche de mépris sur celle qu’ils ont déjà humiliée. Ils sont tombés dans un traquenard. On les a piégés. Vous êtes restée là, à les écouter sans ciller, droite sur le ring. Vous décrivez désormais votre vie comme un combat de boxe. Le combat est déloyal. L’adversaire a les armes du terrorisme patriarcal. Que vous soyez à terre ou debout, cassée ou le poing levé, votre droiture fait craqueler la carapace d’impunité qui les a longtemps protégés.
Ce n’est pas seulement vous, Gisèle, qu’ils ont traitée comme une chose. Ils nous disent, à toutes, notre insignifiance. Votre force nous rend la nôtre. Merci pour ce cadeau immense.
Hélène Devynck, journaliste et autrice d’Impunité, (Seuil, 2022)"
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camisoledadparis · 26 days ago
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saga: Soumission & Domination 344
João-1
Depuis qu'il a intégré la colocation, c'est un autre mec. Là où il restait une attitude compassée, s'est développé une aisance, je dirais même une normalité de comportement. L'association qui l'a fait venir continue à regarder par-dessus son épaule. Même s'il est majeur maintenant, il est toujours en France avec un visa étudiant.
Au contact de mes deux " commerciaux " 1ère année, il rentre enfin dans le monde étudiant français. Il faut dire qu'avec ces deux-là je ne m'étais pas trompé non plus ! Ils sont bosseurs mais aussi de bons fêtards. Ils l'ont même fait venir à quelques-unes des soirées de notre école où son exotisme a fait quelques ravages et pas seulement auprès des filles.
Ça + son nouveau logement + une nouvelle garde-robe + ses entrainements avec ma bande + son nouveau travail = un João tout neuf. Le timide et timoré, bénéficiaire des oeuvres sociales d'une association de bienfaisance a cédé la place à un jeune homme ouvert au naturel gai (aussi). Son directeur du dojo de capoeira est aussi très content de lui. Déjà qu'il passait bien avec les jeunes, il est maintenant aussi à l'aise avec les 16-18.
A la montagne, il s'est bien dérouillé même si c'était pour lui la première fois qu'il montait sur des planches. Avec l'enseignement des Chasseurs Alpins, il a fini la semaine capable de dévaler les pistes bleues rapidement et les rouges avec aisance à défaut de rapidité. Par contre il a su glisser sa grosse queue avec maestria entre leurs fesses en remerciement de leurs bons conseils sur les pistes. Et les militaires ne se sont pas privés non plus de lui donner la réciproque.
Coté Client, il fait toujours un tabac. Son accent Brésilien si spécifique les enchante et je ne reçois que des louanges.
J'ai dû prendre en compte les services que me rend André pour le faire passer dans les premiers. En effet chacun y va de sa surenchère pour faire avancer son nom sur la liste des réservations. Bon j'ai attendu quand même qu'il se fasse trois autres clients ttbm avant. André est parmi ceux qui sont montés les plus larges avec ses 7 cm de diamètre.
Je prends le temps d'accompagner João dans ses premiers " services ". Il m'intéresse et en plus il ne conduit pas encore ! Il donne satisfaction aussi à mes clients blacks. Quand je les vois enfoncer leurs matraques noires entre ses petites fesses dorées, ça me fait bander dur !
Et je peux dire que les leurs sont au maxi de leurs extensions possibles après qu'il se soit mis nu et que sa bouche se soit occupée de leurs glands. Si sa gorge profonde ne l'est pas encore suffisamment plus des sexes de plus de 24 cm, il compense par une science de l'excitation de l'extrémité la plus sensible de l'homme, le gland. Chacun de mes clients l'ont supplié de cesser sous peine de tout recevoir sur le visage. Il a le bonheur de disposer d'une langue plus râpeuse que la normale, limite une langue de chat. Et son mentor brésilien lui a parfaitement appris à l'utiliser pour donner du plaisir. Il arrive à faire monter les clients à quelques secondes de l'éjaculation puis à les maitriser pour qu'ils ne se vident pas trop tôt. En plus quand je le regarde faire, je vois que lui aussi se fait plaisir. Et ça, les clients le ressentent aussi. Avec sa pratique de la capoeira, il est très souple quasiment du niveau des gymnastes professionnels.
C'est assez troublant de le voir esquisser une passe de capoeira (pour ceux qui connaissent) et en fin de mouvement se planter sur la mat tendu vertical. Je l'ai vu faire plusieurs fois. C'est magique !
Ça me fait penser que si j'en avais quelques-uns de gymnastes ça étofferait mon offre. A réfléchir...
Si sa gorge manque parfois un peu de profondeur encore, ce n'est pas le cas de sa rondelle. Je le vois sans problème se prendre les bites de 25 à 27 par 6 à 7. Je sais qu'il se prépare avant car sa rondelle reste bien serrée quand même. Il module selon l'attente qu'il perçoit chez le client. Je l'ai vu se planter brutalement sur leurs pieux comme descendre mm par mm les absorbants jusqu'à poser ses fesses dorées sur leurs cuisses.    
Il n'a pas encore fait de cheval mais sait parfaitement trotter et galoper sur de telles montures. Plus je le mate et plus je vois le travail de son mentor. Il retrouve ses marques et les pratiques qu'il avait apprises. On en discute en rentrant à la colocation. Il me raconte un peu ses années de favela. La vie qui pouvait être aussi belle qu'elle était moche pour d'autre. Les revenus procurés par le trafic de la drogue permettaient à son gang de vivre dans l'aisance. Son chef a veillé à ce qu'il soit instruit. Il l'a protégé même des autres membres qui en auraient bien fait un réceptacle à sperme. Il admire mon tatouage qu'il trouve esthétique contrairement à tous ceux qui ornaient la peau des membres de son clan, le chef compris. De ceux-là, il a une aversion.
Il se rappelle les bons moments passés sur les plages quand, pour lui faire plaisir, son mentor prenait le temps de le sortir de sa favela. Il comprend maintenant qu'il prenait des risques rien que pour lui faire plaisir, pour lui offrir des glaces et qu'il vive comme un enfant normal.
Il me dit que reviennent en mémoire les gestes qu'il faisait afin de lui donner du plaisir. Tout ce qu'il lui avait appris remontait à la surface. Je lui dis que je m'en doutais vu la maitrise qu'il montrait lors de ses prestations.
La première fois où nous en avons parlé j'ai d�� m'arrêter sur le bord du trottoir pour le prendre dans mes bras.  Puis nous sommes revenus au blockhaus. Pas question de le laisser seul (malgré ses colocs).
Il me remercie. Mais c'est normal. Entouré de nous trois (PH et Ludovic aussi), il trouve la chaleur humaine qui lui avait tant manquée depuis le décès de son mentor.
Il reste aussi toute la nuit, je n'avais pas envie de ressortir.
Sans acte sexuel (il avait déjà donné avec le client), il passe la nuit entre nous. Plusieurs fois je me réveille serré par ses bras. La colocation n'est peut-être pas ce qui lui faut finalement.
J'en discute le lendemain avec PH et Ludovic. Ils ont la même analyse que moi. La colocation c'est mieux que sa chambre en cité U mais encore loin de ce qu'il avait perdu. C'est Ludovic qui propose une solution : le prendre avec nous.
Ce n'est pas que je n'y avais pas pensé mais je l'aime plus comme un petit frère et, pour une fois, j'hésitais à imposer ce choix à mes amours.
Ludovic argumente son option. Il ajoute qu'il serait peut-être temps que la chance se penche sur lui. PH est d'accord. On appelle donc Marc pour le prévenir/avoir son accord. Il connait déjà notre nouveau protégé. Quand je lui fais part de notre analyse et de ce que nous projetions de faire, il m'assure de son complet accord.
Il ne reste plus qu'à avoir l'accord de João. Finalement c'est le plus dur à obtenir. Il trouve que j'en fais déjà suffisamment pour lui. Pour clore le débat, j'arrive avec Samir à la coloc et embarque tout ce qu'il a à lui. Les deux autres comprennent mais je les préviens qu'ils auront bientôt un autre résident.
Nous l'installons dans la chambre à côté de la nôtre au 3ème. Samir et Ammed implantent un bureau et on pose dessus son portable et on ajoute une imprimante. Le soir même je vais le chercher à la sortie de ses cours. Il est étonné, c'est la première fois. S'il est gêné par ma voiture, cela ne se voit pas. Il monte surpris de me voir l'attendre. Retour au blockhaus, jusque-là rien que de presque normal puisqu'on est un soir de sport. Par contre l'arrêt au 3ème et l'entrée dans sa nouvelle chambre, lui coupe les jambes. Il reconnaît son ordinateur et les quelques affiches dont il avait commencé à orner ses murs à la coloc. Je lui dis que nous avions tranché pour lui et qu'à partir de ce soir il était chez lui ici. Sur le bureau j'avais mis un post-it avec ses codes personnels d'entrée sur la rue et celui du monte-charge.
Il essaye encore ce me dire que c'est trop, pour lui que la coloc c'était déjà bien. Je lui dis de se taire et de nous rejoindre en tenue au 2ème, il a des conseils à donner en capoeira.
Je descends et j'ai le temps de me mettre en jock avant qu'il n'arrive. Il y a déjà la moitié des escorts d'arrivés. Il arrive porteur de son large pantalon blanc sans rien en dessous comme il aime le porter pour être plus à l'aise. Nous nous entrainons tous une bonne paire d'heures avec ceux qui nous ont rejoints. Puis comme c'est en début de semaine c'est souvent sans touze à la sortie, il remonte avec nous après nos douches prises tous ensemble.
Je le sens plus gêné avec Samir et Ammed que les fois où il était invité. Je me vois donc dans l'obligation de préciser les choses. Ammed et Samir sont nos hommes de service mais pas des larbins pour autant. Ils ont la charge du blockhaus dans son ensemble bouffe et lingerie comprise. Ils font tout pour prendre en charge les contraintes matérielles afin que nous n'ayons que nos cours et nos " vies personnelles " à gérer. S'il a besoin de quoi que ce soit, il leur demande en premier. Mes deux hommes confirment. S'il a besoin de quoi que ce soit, d'un bloc de feuilles à l'encre pour son stylo plume, d'un boxer à une boite de kpotes ou un tube de gel, il n'aura qu'à leur demander. Pour les déplacements, les bus ne passent pas loin et quand les horaires seront raccords, un de nous trois pourront l'emmener aussi.
Il finit par accepter l'état de fait. Il se lève de table et fait le tour pour nous embrasser un par un. Quel émotif ! Je sens ses joues humides alors qu'il presse son visage contre le mien.
Avant de nous endormir, je mets notre TV sur le circuit interne pour veiller sur sa première nuit chez nous. Une heure plus tard je me réveille alors que João tourne et vire dans son lit. Je le regarde. Il est troublé, pas habitué à son nouvel environnement. Après une demi-heure, je me lève et vais le rejoindre. Je me glisse dans son lit et le prend dans mes bras. Il se calme et s'endort aussitôt. Nous finissons la nuit collés, lui protégé de l'extérieur par mes bras.
Je me réveille avant lui. Je le regarde son visage est détendu, ses long cils noirs caressent ses joues. Ses lèvres pulpeuses légèrement entrouvertes, laissent passer son souffle. Il me fait bander ce petit con.
Le développement de ma bite fait s'enfoncer mon gland entre ses fesses. Evidemment puisqu'il est dos à moi au creux de mes bras !
Je sens qu'à son tour il est réveillé quand ses fesses ondulent et que, ce faisant, il se frotte la rondelle sur mon gland luisant de mouille. Je ne bouge pas. Il donne un petit coup de rein et absorbe mon gland, juste lui. C'est trop bon. Sa rondelle se resserre juste derrière la couronne et colle ma hampe. Il ne bouge plus. Puis il tourne sa tête pose ses lèvres sur les miennes, me souffle un bonjour avant de m'enfoncer sa langue à la recherche de la mienne.
Je n'y tiens plus. J'écrase ma bouche contre la sienne et en même temps enfonce le reste de ma queue dans son cul. On se décolle sous l'effet de nos grimaces respectives. Quasiment à sec, ce n'est pas notre meilleur enculage ni pour l'un ni pour l'autre. Je me retire doucement, bascule vers la table de chevet le temps d'attraper une kpote et du gel et reprend ma position. C'est nettement meilleur ! Lentement je lui laboure la rondelle. Je ressens la compression de son intérieur à chaque pénétration et il gémit doucement, surtout quand mon gland vient frotter sa prostate. Il me tend à nouveau ses lèvres. Sa langue cherche la mienne, l'entoure et tente de l'aspirer. Sans se presser mon bassin bascule régulièrement pour lui enfiler puis retirer mes 20cm. Couchés sur nos côtés gauches, j'utilise ma main droite pour branler ses 22cm dont ma main peine à faire le tour. Ça nous achève rapidement. Il me jute dans la main et ses contractions anales me font à mon tour juter mais dans ma kpote.
Nous n'avons pas le temps de nous décoller que mes deux amours nous sautent dessus. Chahut sur le lit, nos spermes se dispersent sur les peaux et les draps. Quand João s'en rends compte, il veut nous calmer mais c'est peine perdue !
Vu l'heure, nous filons tous sous les douches de la salle de bain commune.
Quand Samir demande plus tard à João comment s'est passée sa première nuit chez nous, il lui répond trop bonne. Je lui dis qu'il devra quand même s'habituer à dormir seul. Enfin tant qu'il n'a pas de petit copain.
Jardinier
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??
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oooohhh
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joannerowling · 3 months ago
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Je sais pas si vous avez vu les dernières nouvelles sur le procès de Mazan, mais ce truc c'est vraiment le fond de l'abîme pour la gent masculine. Entre :
Pélicot lui-même (pas besoin de revenir sur le personnage je crois qu'on a fait le tour)
L'avocat de la défense qui tente de nous expliquer la différence entre le bon et le mauvais violeur ("Le mauvais, il voit un truc qui bouge, il bande…")
Le gang des somnophiles anonymes qui jurent tous sur la tête de leur mère qu'ils ont été dupés à l'insu de leur personne tel Richard Virenque
Celui qui pense que tout ça c'est un complot et que Gisèle Pélicot est dans le coup et faisait semblant de dormir parce que "regardez là entre la pipe et la sodomie elle a cligné!"
Le Grand Prix de l'Imaginaire qui affirme qu'il se rappelle de rien après avoir passer la porte et s'inquiète d'avoir été peut-être drogué lui aussi si ça se trouve??? :O
Le cinéphile qui raconte qu'il regardait des vidéos d'abus sur des mômes et des animaux pour "se cultiver"
J'en passe et des meilleurs, on a pas affaire au haut du panier ça c'est sûr
Mais c'était sans compter sur les témoins venus soutenir Gisèle ! Enfin, les héros arrivent !
Le témoignage de Pélicot frère: "Mon frangin il dit n'importe quoi, on a eu une enfance très heureuse, mon père c'était quelqu'un de bien ! Bon, il a un peu violé une enfant handicapée qu'on hébergeait, mais après? C'était les années 70!"
Mec qui a été contacté par Pélicot sur le site où il recrutait mais n'a pas donné suite : "Ben non, j'y suis pas allé, j'avais foot ce soir pis faut être con pour aller chez un inconnu qui t'invite texto à violer sa femme. Tous les violeurs ne sont pas cons- euhh, je veux dire, tous les mecs sont pas des violeurs!… Comment? Pourquoi j'ai pas appelé la police? Euh, je croyais que c'était une blague. Eh, oh, ça va, déjà je viole pas, n'en demandez pas trop bande de salopes."
Beh purée c'est qu'on en viendrait presque à comprendre comment certains en arrivent à vouloir se couper les burnes et porter des talons aiguille.
Edit: j'ai cassé tumblr avec mes gros mots je crois lol
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lacesconfidences · 4 months ago
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Il faut souffrir pour être une fille !
Ma sœur était plus attirée par les filles que par les garçons. Sa première chérie s'appelait Christine, c'était une rousse mignonne et très féminine. Elle avait 16 ans et était la fille d'une esthéticienne divorcée. Elle logeait au dessus de l'institut de sa mère. Nous formions Christine, ma sœur et moi un drôle de trio de gourmandes de plaisirs. Cela a duré un peu plus de deux ans, jusqu'à mon entrée à l'Université. Tous les samedis après-midi et quelquefois en semaine, nous nous retrouvions dans la chambre de Christine qui était devenue notre salle de jeux. Christine n'était pas en reste et le fait qu'elle vive seule avec sa mère lui a donné beaucoup d'avance côté sexe. Après mes premiers essayages de fille chez Christine, et avant de découvrir le plaisir féminin de me faire prendre par un tampon puis un merveilleux vibro, mes deux complices ont voulu me débarrasser de mes poils disgracieux… Ma sœur y était déjà passée, sauf son minou et c'était très simple car Christine empruntait le matériel de sa mère à l'Institut et s'exerçait sur elle. Un après-midi, ma sœur et sa chérie ne se sont pas caressées comme à leur habitude. Elles ont comploté en messes bases… Elisabeth m'a demandé de me mettre en culotte pendant que Christine descendait à l'Institut. Elle est remontée avec un truc à cire chaude, des bandes et un rasoir électrique. Elle m'a dit : C'est pas beau une fille avec des poils, on va s'occuper de toi ! Elles ont mis une serviette éponge sur le lit et m'ont demandé de m'allonger sur le dos. Christine a appliqué de la cire sur mes jambes, c'était chaud et agréable. Elisabeth a pressé des bandes sur la cire… Et ensuite, je ne sais plus laquelle des deux a arraché la première bande 🤐🥴😭 Tout ce que je sais c'est que j'ai poussé un cri tel que la mère de Christine a demandé du bas ce qu'elles me faisaient pour me faire crier ainsi ! Et elles ont continué ainsi devant et derrière puis sur la poitrine où heureusement j'avais peu de poils car j'ai souffert … Ha les garces 🥴 Pour finir, Christine m'a dit : "Baisse ta culotte, on va te dessiner le maillot pour que tu aies un joli minou comme nous." Je me suis exécuté en lui disant de faire gaffe à ne pas me blesser avec sa tondeuse. Je n'ai pas été blessée mais à force de me manipuler le clito et les couilles, je leur ai offert une belle queue bien raide. Elisabeth a dit : on ne peut pas le laisser comme ça, il ne peut même plus remettre sa culotte 🍆🍆🍆. Et Christine d'ajouter qu'après tout ce travail elles avaient droit a une récompense. Elles m'ont branlé et j'ai déchargé dans la main de Christine qui s'est empressée de lécher ma liqueur. Elisabeth était frustrée car elle n'a eu que les dernières gouttes en essorant mon clito qui dégonflait…
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You have to suffer to be a girl!
My sister was more attracted to girls than boys. Her first sweetheart was called Christine, she was a cute and very feminine redhead. She was 16 years old and the daughter of a divorced beautician. She lived above her mother's salon. Christine, my sister and I formed a strange trio of pleasure seekers. This lasted a little over two years, until I entered university. Every Saturday afternoon and sometimes during the week, we met in Christine's room which had become our playroom. Christine was not left out and the fact that she lived alone with her mother gave her a big head start on the sex side. After my first girl fittings at Christine's, and before discovering the feminine pleasure of being taken by a tampon then a wonderful vibrator, my two accomplices wanted to get rid of my unsightly hairs… My sister had already been there, except for her pussy and it was very simple because Christine borrowed her mother's equipment at the Institute and practiced on her. One afternoon, my sister and her sweetheart did not caress each other as usual. They plotted in my basics… Elisabeth asked me to put on my panties while Christine went down to the Institute. She came back up with a hot wax thing, strips and an electric razor. She told me: It's not beautiful a girl with hairs, we'll take care of you! They put a terry towel on the bed and asked me to lie on my back. Christine applied wax to my legs, it was hot and pleasant. Elisabeth pressed strips on the wax… And then, I don't remember which of the two tore off the first strip 🤐🥴😭 All I know is that I screamed so much that Christine's mother asked from below what they were doing to me to make me scream like that! And they continued like this in front and behind then on my chest where fortunately I had little hair because I suffered… Oh the bitches 🥴 To finish, Christine told me: "Pull down your panties, we're going to draw your swimsuit so that you have a pretty pussy like us." I complied, telling her to be careful not to hurt me with her clippers. I wasn't hurt but by dint of manipulating my clit and balls, I gave them a nice stiff cock. Elisabeth said: we can't leave him like this, he can't even put his panties back on 🍆🍆🍆. And Christine added that after all this work they were entitled to a reward. They jerked me off and I unloaded in Christine's hand who quickly licked my juice. Elisabeth was frustrated because she only got the last drops by wringing out my deflating clit…
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jloisse · 6 months ago
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🔴Voici comment l’ennemi sioniste maltraite les corps de martyrs, les dépouilles de civils palestiniens qui tentaient de rentrer chez eux dans le nord de la bande de Gaza.
Tout se paie. Il y aura une réponse.
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adam-lukas-morningstar · 6 days ago
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Il est un peu après 4 heures de l'après midi quand il arrive chez Gabriel. Il l'avait écrit que toute le banda allait se rejoindre à sa maison et qu'après ils allaient au cinéma, suivi d'une sortie dans la vallée pour faire de l'art. Tout le monde dans le groupe d'amis aiment faire de l'art - c'est une des principales raison pourquoi ils étaient devenue amis.
Il tape a la porte, son coeur battant - il est super existé de voir tout le monde, mais surtout Gabriel. La porte s'ouvre et devant lui, se retrouve une fille. Elle est super belle avec ses cheveux longs et blonds, elle avait un style vintage et artiste. En gros elle était le style de Gabe - Adam devrait le savoir, après tout il l'avait été autre fois. Avant de faire sa transition...
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Salut, Annie dit avec un sourire chaleureux. Tu dois être Adam, Gabri m'a tellement parler de toi, je suis si contente de te rencontré. Entre, elle ajoute - on t'attendait.
Et soudainement, Adam a un pensé, elle fait partie de la bande, elle a été accepté par les autres. J'ai pas le droit, de parler mal d'elle. Fuck, c'est ce que je vais faire ?
@gabriel-lumiere
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ascle · 10 days ago
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🎁 CINÉ-CADEAU 🎄
Si vous passez au Québec pendant la période des Fêtes, si vous connaissez un Québécois (né ici) de 55 ans et moins, fort à parier qu'au fil d'une conversation vous entendiez parler de Ciné-cadeau.
Mais qu'est-ce que c'est?
Depuis 1982, Radio-Québéc (devenue télé-Québec en 1996), une chaîne de télévision québécoise publique à vocations éducative et culturelle, diffuse de la mi-décembre aux premiers jours de janvier une programmation spéciale jeunesse pour les Fêtes!
Films et séries, d'ici et d'ailleurs se succèdent. C'est grâce à Ciné-cadeau que ma génération a connu Astérix, Tintin, Lucky Luke, Garfield, Mafalda, Charlie Brown et j'en passe. Chaque année, la divulgation de la programmation engendre l'euphorie. On retrouve avec nostalgie nos premiers coup de coeur et on découvre avec joie les nouvelles trouvailles.
Le film le plus emblématique de Ciné-cadeau est sans AUCUN doute: La guerre des tuques. Premier film de la série "Les contes pour tous" de Roch Demers. Sortie en 1984, a été distribué dans plus de 125 pays. Il raconte l'histoire d'un groupe de jeunes cherchant à s'occuper pendant les vacances de Noël décide de se diviser en 2 groupes et de se faire la guerre de boules de neige. La chanson thème "L'Amour a pris son temps" est tout aussi classique que le film lui-même, chanté par Nathalie Simard.
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Un remake d’animation a été produit en 2015. Il a reçu un bon accueil, mais rien ne surpasse la version originale. Céline Dion a même chanté sur la bande originale de cette version.
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Je ne peux que vous suggérer fortement de voir ce film tellement il est magnifique. Toutes les répliques sont cultes.
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Sur une note plus personnelle, un de mes plus beaux souvenirs de Ciné-cadeau est le film suédois sorti en 1982: Peter le chat sans queue. (J'imagine que ça vous surprend qu'à moitié ^^) C'est tellement un beau film. Si vous avez des enfants ou si vous avez toujours votre coeur d'enfant, regadez-le aussi.
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Sur ce, bonne journée! Et si vous me cherchez à 15:30, je serai devant Astérix chez les Bretons! Parce que oui, malgré mon âge ancien, je regarde toujours Ciné-cadeau!
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yenasmatik · 7 months ago
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Re- French Elections stuff
Yo, les gens qui désespèrent de la dernière fils de puterie de l'ignoble banquier.
SAMEDI, PARTOUT EN FRANCE S'ORGANISENT DES MANIFS ANTI RN.
Alors allez googler le nom de votre ville et les horaires de la manif de votre coin, et par pitié déplacez-vous. J'ose espérer qu'ils auront la cervelle de ne pas mettre ça aux mêmes horaires que la Pride. Touchons du bois.
Je n'ai malheureusement trouvé nulle part une liste pré-faite de tous les rendez-vous. Le site de la LFI a une section "créer/rejoindre un événement" avec une carte, où une partie des événements sont indiqués. Si la grande ville proche de chez vous n'est pas indiquée, googlez [nom de votre ville] manifestation 15 juin. UPDATE: LE SITE DE LA CGT A UNE CARTE DES RENDEZ-VOUS
Rameutez les darons les daronnes les frères les sœurs les potes les collègues les mutuals tout ce que vous pouvez traîner avec vous ! Beaucoup de gens (moi la première je juge pas, ok?) n'osent pas aller en manif seuls ! Lancer le sujet en demandant qui se sent d'y aller en groupe peut leur permettre de venir ! Si vous avez un véhicule, vous pourriez être la personne qui permet à d'autres de participer ! Et comme ça vous pouvez faire un déjeuner / un café / thé / etc de célébration/réconfort en fin de manif !
CONSEILS POUR CEUX QUI NE VONT PAS SOUVENT EN MANIF SOUS LE CUT
- chaussures confortables, vous allez piétiner au départ et puis marcher entre 30 minutes et 1h - Vérifiez la météo. Pensez à un chapeau ou un vêtement de pluie. Dans le doute vaut mieux l'avoir pour rien. - On est en été prenez une bouteille d'eau ! même si vous avez jamais soif vous pourriez vraiment aider un pote
- Au cas où prenez un truc sucré, genre barre chocolatée ou petit paquet de gateaux. Si quelqu'un commence à faire un malaise autour, ça peut être important. - En premiers soins : des pansements à cloques, du doliprane, si vous avez une articulation fragile pensez à une bande de support (chevillère, genouillère) dans le sac au cas où. C'est de la parano jusqu'au jour où vous en avez besoin.
HANDICAP - Vous pouvez TOTALEMENT venir avec des bouchons d'oreilles et un casque anti-bruit !! (Les orgas de manifs sont des boulets sur l'inclusion niveau bruit, mais c'est pas l'école personne va vous les confisquer !) - Les manifs marchent sur la route et je n'en ai jamais vu emprunter d'escaliers. Pour nos amis en fauteuil roulant. N'hésitez pas à contacter une asso/ un collectif d'orgas pour demander le parcours de la manif. - Vous pouvez venir, marcher ce que vous pouvez et quitter le cortège quand vous êtes fatigués. Ca aide de venir même si vous ne pouvez pas être là jusqu'à la fin. Personne ne vous jugera, ni même ne vous remarquera. Pensez à prévenir le groupe avec qui vous venez que c'est une possibilité et discutez à l'avance de ce qui sera fait dans ce cas, pour vous éviter le stress ou la gêne qui empêche de dire "j'ai besoin de m'arrêter". - évitez les panneaux fatigants à porter. Vous pouvez écrire vos slogans au marqueur indélébile sur un vieux T-shirt blanc ou clair, ça marche très bien et c'est plus confortable ! Et si vous ne savez pas quoi écrire, ne vous prenez pas la tête, votre présence aide même sans panneau.
LIMITER LES RISQUES D'EMBROUILLES - Les manifs qui rassemblent des syndicats mainstream et autres institutions nombreuses et blanches sont rarement attaquées par la police, en tout cas hors Paris. Ca n'empêche pas de suivre quelques conseils de bon sens. - Niveau sécurité, évitez la tête de cortège (tout devant) et la queue de cortège (tout tout derrière). - Quand la marche est terminée, si la foule se disperse, ne restez pas sur place. - SI UN GROUPE D’EXCITÉS SE METTENT A CRIER DES INCITATIONS A CASSER DES TRUCS ET/OU BIFURQUENT HORS DU TRAJET DE LA MANIF PRINCIPALE, NE LES SUIVEZ PAS. Les pseudo-casseurs infiltrés ou aux affiliations douteuses ça existe. Restez dans le cortège principal, ne cassez rien, ne taguez pas, c'est plus sûr quand on ne connaît pas les groupes locaux.
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chic-a-gigot · 3 months ago
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La Mode illustrée, no. 41, 9 octobre 1881, Paris. Corsage en cachemire. Modèle de chez Mme Coussinet, rue Richer, 43. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
La jupe de cette toilette est en cachemire violet d'évêque. Sa garniture se compose de bouillonnés en même étoffe et de bandes de surah d'une teinte plus claire, couvertes de broderie anglaise faite avec du cordonnet de soie mauve. La tunique formant paniers, ainsi que le corsage, sont en cachemire. Le devant de celui-ci ainsi que les manches ont plissés, selon les indications du dessin. Col et revers de manches en surah brodé.
The skirt of this ensemble is in purple bishop's cashmere. Its trim is composed of bouillonnés in the same fabric and bands of surah of a lighter shade, covered with English embroidery made with purple silk cord. The tunic forming panniers, as well as the bodice, are in cashmere. The front of it as well as the sleeves are pleated, according to the indications of the drawing. Collar and sleeve cuffs in embroidered surah.
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aurevoirmonty · 2 months ago
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Souvent réduite à ses contacts violents avec l'Occident, l'histoire des peuples du Nord du premier millénaire est pourtant marquée par une remarquable diversité et une grande complexité. La Norvège et ses montagnes, la Suède couverte de vastes forêts, de lacs et de plaines, le Danemark avec ses terres arables, ponctuées de marais et d'îles, puis l'Islande et le Groenland, dans l'Atlantique nord, forment un univers lointain, glacé et quelque peu effrayant, également synonyme d'opportunités. Dès l'époque de l'Empire romain, par leurs expéditions à travers les mers et leurs interactions avec d'autres populations, hommes et femmes du Nord, vikings en tête, sont à l'origine de transformations, politiques, économiques, sociales, culturelles et religieuses, partout où ils sont passés, mais également, et peut-être même avant tout, chez eux. Au cours du XIe siècle, alors que les bandes vikings cèdent progressivement le pas devant les armées royales, le monde scandinave se structure en trois grands royaumes chrétiens et entre pleinement dans le Moyen Âge occidental, ouvrant un nouveau chapitre de son histoire. À l'appui de l'archéologie, des manuscrits occidentaux, des nombreuses pierres runiques, ou encore des sagas islandaises, et nourrie des dernières approches historiographiques, Lucie Malbos retrace, avec détails et nuances, une histoire millénaire de la Scandinavie.
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askkingerthings · 1 month ago
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I’m thinking of animation
I’m not good at animation, I can make touch sketches on traditional then onto digital, but it would be rough and incomplete, and it would take me forever to conplete anyway! But the main songs I wanna do here, and before I go one I’m using songs I know and enjoy, some of them are MLP, some are Hamilton and some are from different musicals! Here are a few keys:
the MLP series-
Battle (of the bands)- equestria girls, rainbow rocks - bubble, Caine and Kinger from game master AU by @chez-cinnamon
What my cutie mark is telling me- MLP - extra’s au
Under our spell- equestria girls, rainbow rocks - the other universe AU
unleash the magic- frienship games - Caroline
Open up your eyes- the MLP movie - Zooble
This day Aria- friendship is magic - remixed- Queenie
welcome to the show - Coraline and Jax
Acadeca - maybe a tumblr user vs Caine
danger, danger- MLP movie - W3ll
tricks up my sleeve - Ragatha
stand for everfree - [[open slot vs super light au]]
Hamilton-
Alexander Hamilton - intro to the extra’s au
non-stop - Caine, Bubble and Coraline (extra’s au)
you’ll be back - Jax
what comes next? - Ragatha (if I can, if I can’t I’ll change it to another extra’s au character-)
Aaron burr, sir - Caine and Coraline (extra’s AU)
your obedient servant - Bubble and Caine
guns and ships - Jax and Kinger
Yorktown (the worlds turns upside down) - Kinger solo
Washington’s on your side - Vex from the extra’s au and well from exra’s au
the room where it happens - gummigoo (I’ll try- I’ll probably make him human for that-)
history has its eyes on you - jax and Kinger, again-
hurricane - Kinger (human au)
The schuyler sisters - Ragatha, pomni and blog owner
Farmer Refuted - hate!Anon (I’m sure there a few bitches like that out there… especially to @shortmomma1993 , she rlly doesn’t deserve it tho so guys FUCKING STOP, anyway-) and blog owner
death note
where is the justice - this seems like an argument between JD (guy from unleash the magic) and the AI’s of the circus
the Heathers
candy store- Jax
seventeen - queenie x kinger animation
Dead girl walking (reprise) - a Caroline and ________ romance
Dead girl walking - Zooble x Gangle
I am damaged - queenie’s abstraction
Freeze your brain - Jax and pomni
Hazbin hotel
whatever it takes -
out for love - Vex and W3ll’s brother to sister bonding-
Respectless - bubble and Caine
loser, baby -
hell is forver - Jax
Desendance
what’s my name - Caine
it’s goin’ down - intro to toy industry au
rotten to the core - Vex and Jax (they have a lot in common-)
Other songs
monster high fright song - W3ll
ready as I’ll ever be - blog owner +[[open slot]]
More..? Coming soon..
so…. Which one should I start? Of course there will be more to the list, maybe several more! Also most of the characters will be made into humans, like Kinger, Queenie, gummigoo, zooble and Jax, not sure abt Jax though-
here’s the order I will go in,:
I
unleash the magic
under our spell
Yorktown
Washington on your side
out for love
seventeen
open up your eyes
since this is a pinned post here’s the intro post
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littlequeenies · 6 months ago
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A STARR’S NEW PLANET
1991, July - People magazine (US)
Ringo Starr’s 20-year-old daughter, Lee Starkey, celebrates the styles of her pop’s generation in her new Hollywood shop.
A STARR’S NEW PLANET
Ringo’s daughter, Lee Starkey, slips back into the ‘60s at her transplanted L.A. store, Planet Alice
Lee Starkey was born in 1970 – the year The Beatles split up. She didn’t see the swooning fans on The Ed Sullivan show and never questioned whether Paul was dead. As far as she was concerned, her father, Ringo Starr, was just another guy in a rock group. “It wasn’t like a really big thing,” she says. “I went to school with lots of people whose parents were in bands. I knew one of the Hollies’ daughters.”
Even now, when other rock legend’s children – Chynna Phillips, Carnie and Wendy Wilson and Gunnar and Matthew Nelson – are building megacareers with their parents’ names, Starkey, 20, doesn’t call attention to her roots. “I generally don’t tell anyone who my father is,” says Lee, who was raised in London by her mother, Maureen, after her parents’ 1975 divorce. “I didn’t know that much about the Beatles, so I kept my mouth shut.”
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Lee communes with Ringo at the boutique's opening bash. "When there's something going on, we're all there," she says of her family.
Starkey is more comfortable talking about her own burgeoning career as co-owner of Planet Alice, a psychedelic boutique she opened last month with partner Christian Paris on L.A.’s trendy Melrose Avenue. Though it is stocked with what she describes as “’90s interpretations of ‘60s styles,” Starkey says, “I didn’t consciously do this because it’s what the Beatles wore in their heyday, but it must have had something to do with it.”
For his part, Ringo is glad that Lee, who didn’t ask him for financial help, “finally found something to put herself into,” he says. “She tried acting school and decided she didn’t like that. She got her diploma from makeup school and wasn’t really enthusiastic about that.” She even tried the drums. “But I wasn’t too good at it,” Starkey admits. Older brothers Zak, 25, and Jason, 23, became the drummers in the family, while Lee persuaded her pal Paris to relocate his Planet Alice shop from London’s Portobello Road to Hollywood. Waiting for her on these shores was her mother, who moved to L.A. last year after marrying Isaac Tigrett, cofounder of the Hard Rock Cafe empire. (The couple have a 4-year-old daughter, Augusta) Lee and Paris, who say their partnership is platonic, are living chez Tigrett until they find places of their own.
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"I've never read a book about The Beatles," says Starkey (sketching at home). "If there's anything I want to know, I can just ask my dad".
“We’ve always been very family oriented,” says Lee, who spent childhood summers with her father at his estate at Ascot, where she occasionally encountered the other Beatles. Her parents remain on friendly terms, and Ringo and wife Barbara Bach, as well as Maureen and Tigrett, were on hand for the Planet Alice opening.
For now, Lee is concentrating on running the shop. She has even arm-twisted Mom into helping out one day a week. Dad hasn’t made that commitment, but his presence will surely be felt every time the cash register goes ring-o. 
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"I feel I'm very lucky at age 20 to find what I want to do in life," says Lee, at Planet Alice,where everything old is new again.
Photographs by Roger Dong.
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