#billet

[fidjiefidjie]

Petit jeu 🧔 💶 👧 entre amis !

Source: X

[pastelpaillette]

[mariannaszymanska]

La cour de récré mondiale

Notre société mondialisée me semble bien étrange souvent. Chaque jour apporte son lot de sidération. Le matin, je me lève et j’ouvre mon appli France Inter. J’avoue, je suis une transfuge radiophonique, mes parents écoutaient RTL.

Vaquant à mes occupations matinales, mon oreille est agressée par cette info :

Trump veut faire de la bande de Gaza, une « côte d’Azur » du Moyen-Orient mais sans les Palestiniens  et sous contrôle étasunien !

« Ouaouhhhh ! » est la seule réaction de mon cerveau. Je suis sidérée. Même Netanyahou l’a regardé, hébété, lors de cette déclaration. Pourtant, il lui a bien maché le travail ces derniers mois, destruction totale de tous les bâtiments, défrichage. Efficace, le mec ! Il a, certes, laissé quelques Gazaouis. Mais bon, ils iront habiter chez les voisins ! (Humour noir)

Le monde ressemble de plus en plus à une grande cour de récré. C’est mon côté prof qui ressort, sûrement !

Donald joue aux billes avec Vlad, Manu et quelques autres. Pas de filles. C’est dégoutant les filles et ça ne sert à rien ! Ils jouent à d’autres jeux aussi, des jeux de garçons, comme à celui qui fait pipi le plus loin. Plus tard, au collège et au lycée, ce sera, celui qui a la plus grosse.

Donald adore inventer de nouvelles règles du jeu, on ne s’ennuie jamais avec lui. Parfois, les autres protestent car les changements lui profitent toujours. De plus, lorsqu’on le contrarie, il devient tout rouge et menace de frapper. Vlad est celui qui parle le mieux le «Donald », il l’observe depuis la crèche. Il s’approche doucement du petit gros et lui susurre à l’oreille :

« Tu as raison, ce sont tous des couilles molles, toi tu es le plus fort, c’est normal que tu sois le chef, mais laisse-leur un petit truc », en lui glissant un petit sac de billes discrètement.

Donald, admire Vlad, il l’a vu un jour faire du cheval torse nu : un homme, un vrai. Alors, Donald s’adoucit, prend la parole et à témoin, la cour entière :

« Bon, d’accord, je change un peu mes nouvelles règles ! 

Ouaiiiis !!! Merci Dodo ! C’est toi le plus fort ! » clament tous les enfants.

Quelquefois, le petit Manu se rebelle, il prend une chaise, monte dessus et déclame en feignant la colère. Manu, quand il sera grand, il veut être acteur :

« Donald, tu heurtes mon âme éprise de justice et d’égalité. Songe à tous nos camarades, ils méritent d’avoir autant de billes que toi. Au fond de mon être, je suis convaincu que tu es bon, altruiste… !»

Les autres le laissent déblatérer un certain temps, puis ils éclatent de rire :

« Hé, Manu, tu descends ! » (Réf de Boomer, ou plutôt de génération X !)

Il quitte alors son piédestal, l’air digne et indigné et s’en va donner sa contribution à Donald. Vlad, le roi de la discrétion, lui file en douce un petit sac, en lui tapant gentiment sur l’épaule, d’un air entendu.

Xi régulièrement, s’approche du groupe et demande :

- « Hé, les gars, je peux jouer avec vous ?

- Nannn, va jouer aux billes avec ta mère ! », gloussent-ils en lui balançant quelques billes en aumône.

Xi les ramasse la tête basse. Il retourne dans son petit coin de cour, argileux. Il façonne alors des billes en terre, en rageant intérieurement :

« Vous verrez, quand je serai grand, ce sera moi le roi des billes ! »

Dans, le coin des filles, une blonde intrigue particulièrement Donald. Elle s’appelle Ursula et elle joue aux Legos dans la cour.

« Comment, ose-t-elle ? peste Donald, C’est un truc de garçon et le seul jeu autorisé, ce sont les billes. » Bien que dans le secret de sa chambre, il construise des "côte d’Azur" en Legos.

A une récré du matin, Donald, entouré de ses acolytes, s’approche sournoisement d’Ursula et crie, bien fort pour que tout le monde entende :

« Hé, tu sais, que les Legos, je n’en veux pas ici et puis c’est pas un jeu de filles, donne-les moi ! »

Ursula aimerait hurler NON, toujours est-il qu’un seul oui quasi inaudible sort de sa bouche. Elle sait, en tant que fille que si elle n’obéit pas, les insultes et les coups pleuvront. Alors, elle serre les dents et tend son sac à Donald, violemment et en pleurant intérieurement.

Donald est définitivement le roi de la cour de récré.

Dans les prochains épisodes :

Jean-Luc et Olivier se réconcilieront-ils ou une nouvelle guerre des boutons est inévitable ?

Vlad harcèle le petit Zelinsky. Donald lui accordera-t-il sa protection ? A quel prix ?

[johnotaku1977]

Kurt, l'écho des âmes brisés

Moi, Kurt Cobain, il me touche. Il me transperce.

Il me renvoie à moi-même, à ce garçon laissé pour compte, cet enfant à qui personne n’a appris à s’aimer.

On dit que l’identité se construit dans le regard des autres. Mais quand ce regard est absent, vide ou pire, méprisant, que reste-t-il ? Un miroir brisé, une image de soi morcelée, et ce putain de silence intérieur où ne résonne que l’écho du rejet.

Kurt chantait cela, même sans mettre de mots dessus.

Sliver, c’est l’histoire d’un môme qu’on balance chez ses grands-parents, sans explication, sans tendresse, comme un paquet encombrant.

Even in His Youth, c’est la douleur d’un fils qui comprend qu’il ne sera jamais assez bien aux yeux de son père.

Paper Cuts, c’est l’isolement, l’enfermement, la rage étouffée.

Something in the Way, c’est ce mur invisible qui sépare les êtres, cette frontière de douleur qui rend impossible l’amour, impossible l’espoir.

Negative Creep, c’est l’auto-destruction, la colère tournée contre soi-même, ce moment où l’on devient son propre bourreau parce qu’on n’a pas trouvé mieux.

Je l’observe, Kurt. Et ceux qui, comme moi, ont grandi dans la négligence savent observer.

Il y a une manière de bouger, de détourner le regard, de sourire sans y croire. Une douceur abîmée, une mélancolie en embuscade, une révolte fatiguée. C’est une sensibilité extrême, une perception exacerbée du monde, mais sans mode d’emploi pour y survivre.

Alors on crée.

On crie, on chante, on se scarifie l’âme en musique, en peinture, en mots.

Mais Kurt, toi et moi, on sait bien que tout ça ne guérit rien.

On sublime, on transforme, mais au fond, on porte toujours en soi la douleur de l’enfant jamais consolé.

Et pourtant, il y a quelque chose de beau dans cette souffrance transfigurée. Comme chez Michael.

Lui aussi, enfant perdu.

Lui aussi, âme brisée.

Vous aviez ce feu intérieur, ce génie qui ne trouvait pas sa place dans la banalité du monde. Mais ce génie-là, il est lourd. Il brûle. Il consume.

J’ai compris tout ça en regardant le documentaire "Trop jeune pour mourir".

Ce documentaire a fait basculer quelque chose en moi.

Il m’a révélé à Kurt, et en même temps, il m’a révélé à moi-même.

Ce n’était plus seulement une voix, une silhouette voûtée derrière une guitare. C’était un frère d’âme, un reflet tordu dans un miroir fêlé.

J’ai vu ses douleurs. J’ai entendu ses silences.

J’ai reconnu ses regards.

Et j’ai su.

J’ai su qu’on appartenait à la même famille, celle des cœurs écorchés qui battent un peu trop fort, un peu trop vite, un peu trop seuls.

Je vous imagine là-haut, quelque part, dans un studio céleste.

Kurt, la guitare en bandoulière.

Michael, improvisant un pas de danse, un sourire triste sur les lèvres.

Est-ce que vous avez trouvé la paix ?

Est-ce que la musique résonne encore en vous ?

J’espère que oui.

Parce qu’ici, sur Terre, elle résonne encore en moi.

Et c’est peut-être ça, la seule victoire sur l’abandon :

Survivre dans le cœur de ceux qui comprennent.

Salut les gars.

[supplyside]

shaping and forming

[f-yeahimpalass]

[renardstmpk]

J’ai décidé de désinstaller Instagram et de venir ici

Je vous présente donc mon premier billet

[witekspicsbanknotes]

Fantasy commemorative banknotes for collectors from FRANCE.

[tinyshe]

billet

noun

A local English name of the coal-fish, especially when one year old.

A small stick of wood; especially, a stick of wood cut for fuel.

In heraldry, a bearing in the form of a small rectangle, usually set with the long sides vertical.

The Century Dictionary • More at Wordnik

Billet

A billet is a living-quarters to which a soldier is assigned to sleep. Historically, a billet was a private dwelling that was required to accept the soldier. Wikipedia

Billet Definition & Meaning - Merriam-Webster

Billet can be a noun or a verb with different meanings, such as an official order directing lodging, a chunky piece of wood, or a bar of metal. See synonyms, examples, etymology, and related words for billet in the online dictionary of Merriam-Webster.

BILLET Definition & Usage Examples | Dictionary.com

Billet can mean a lodging for a soldier, student, etc., an official order directing lodging, a place assigned for a soldier, or a written note. It can also mean a small chunk of wood, a metal bar, or an ornament. See synonyms, origin, and usage examples of billet.

BILLET | definition in the Cambridge English Dictionary

Billet can be a noun or a verb, meaning a place for soldiers to stay in for a short time or a place for soldiers to stay in for a short time. See synonyms, antonyms, and examples of how to use billet in sentences.

Billet - definition of billet by The Free Dictionary

Define billet. billet synonyms, billet pronunciation, billet translation, English dictionary definition of billet. n. 1. a. Lodging for troops. b. A written order directing that such lodging be provided. 2. A position of employment; a job. 3. Archaic A short letter; a...

BILLET definition and meaning | Collins English Dictionary

A billet is a house where a member of the armed forces has been billeted, or a lodging for them. It can also mean a metal bar, a wood chunk, a job, or a letter. See synonyms, word forms, and examples of usage from various sources.

billet - Wiktionary, the free dictionary

A billet is a short informal letter, a written order, a ticket for a draw or lottery, or a place where a soldier is assigned to lodge. The word comes from Latin bulla, meaning "document". See also translations, etymology, and related terms in different languages.

[but YET when looking at images, they are all paper/plastic monies/euro, francs and usa dollars]

[fauxbillet24]

Faux billets et Yescard

[detournementsmineurs]

Exposition “Sublimes Sécrétions” avec les bijoux de Marine Billet et Marine Rehbinder à la Galerie Anne Marie Zahar dans le cadre de Parcours Bijoux, octobre 2023.

[pastelpaillette]

Rando sportive, il a fait chaud, ça glisse un peu et ça se termine en mettant les mains sur les rochers puis vue sur la capitale qui accueille au moins 40 % des habitants de l’archipel

[chonchon-et-chocolat-marrakech]

Chez Transavia, votre valise cabine est gratuite !

Quand vous réservez un vol avec Transavia, votre valise cabine est incluse gratuitement dans le prix de votre billet. C’est aussi ça, de vous proposer des destinations qui vous sont chères, moins chères.

[johnotaku1977]

Le mur

Quand j’étais gamin, je regardais la télé en solo, le cœur en vadrouille dans un monde qui me paraissait foutu.

J’étais paumé devant cet écran qui balançait sans arrêt guerres, violences, atrocités, comme si c’était normal de voir le sang et la misère en boucle.

Même des années plus tard, rien n’a changé. Qu’est-ce que c’est que ce putain de monde ?

Dans quoi on se fait élever, dans quoi on se fait formater, jusqu’à croire que la violence est la norme ?

On t’a bourré le crâne avec des mots à répétition, des slogans qui te transpercent l’âme, te martèlent que la réalité, c’est ça : une succession de coups de massue verbaux.

On t’a inculqué des vérités de pacotille, des croyances bidon, jusqu’à ce que t’oublies qui t’étais vraiment.

Si j’avais grandi ailleurs, dans une forêt sauvage, parmi des gens qui vivaient autrement – des pygmées, des touaregs, des âmes libres – j’aurais sans doute vu la vie autrement.

J’aurais ressenti un monde plus humain, plus tendre, où donner sa chemise pour l’autre ne serait pas une utopie, mais une évidence.

Je rêve d’un putain de renversement, d’une société où la générosité et l’amour du prochain remplaceraient l’avidité et la violence médiatisée.

et l’amour du prochain remplaceraient l’avidité et la violence médiatisée.

Un monde où les mots ne seraient plus des coups assénés à répétition, mais des ponts vers une véritable humanité.

Alors, pose-toi la question : si t’avais été élevé autrement, loin de cette propagande télévisuelle qui te bourre le crâne, qui serais-tu vraiment ?

Accepterais-tu cette réalité factice ou aurais-tu le cran de te battre pour une vie plus authentique ?

Le défi : réapprendre à voir le monde sans les lunettes sales qu’on t’a imposées, et peut-être, enfin, te reconnecter à une vérité qui ne se résume pas à des mots répétés en boucle.

[mariannaszymanska]

Dans mon automobile,

Je ne prendrai pas l'A69.

Dans mon automobile,

J'entends ronchonner les camionneurs.

Dans mon automobile,

en catamini,

Sur les petites routes, je file

Le coeur réjouit :

L'A69 est enfin abolie.

[f-yeahimpalass]