#Un métier sérieux
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Un métier sérieux, le film sera là ! Le film Un métier sérieux est sorti le mercredi 2 septembre 2023. Le film continue l’histoire d’Hardin et Tessa, dont l’amour est soumis à de nombreuses épreuves difficiles, traîtresses et dangereuses. Ces deux amoureux auront-ils une fin heureuse ? En attendant de savoir si le film a été acclamé par les fans, il y a de bonnes nouvelles : Un métier sérieux va sortir ! Cela a été confirmé le 3 septembre 2023 par les deux stars de la série dans une vidéo postée sur le profil Instagram officiel d’Un métier sérieux. Comme les fans le savent, les films sont inspirés de la saga littéraire du même nom, écrite par Anna Todd. La série Un métier sérieux est composé de 4 livres.
L’intrigue du film Un métier sérieux L’amour d’Hardin et Tessa est encore une fois mis à l’épreuve. Ces deux adolescents vont devoir affronter leur passé. Tessa rencontre son père après des années et décide de le prendre en charge après avoir découvert qu’il était devenu sans abri. Hardin accepte de l’héberger mais ne fait pas confiance à cet homme, convaincu qu’il cache une partie de la vérité. Mais ce n’est pas le seul obstacle. À travers une série de quiproquos, les deux amoureux vont s’éloigner l’un de l’autre après que Tessa ait découvert qu’Hardin a passé toute la soirée en compagnie d’une amie de la famille, appelée Lillian
Le manque de communication conduit le protagoniste à chercher du réconfort dans de vieilles amitiés, dont Zed et Steph, mais la sortie ne se déroule pas comme comme prévu. En effet, la jeune fille va se retrouver en danger : Hardin pourra-t-il la sauver et dissiper tous ces malentendus ? Concernant l’intrigue du film, Castille Landon, le réalisateur d’Un métier sérieux nous assure qu’il sera fidèle au roman du même nom.
Le casting du film Un métier sérieux : qui sera là ? Nous verrons probablement le retour de deux personnages principaux : Héro Fiennes-Tiffin et Josephine Langford, comme Hardin et Tessa, Un métier sérieuxivement. Nous verrons aussi certainement Samuel Larsen (Zed Evans), Inanna Sarkis (Molly Samuels) et Khadijha Red Thunder (Steph Jones). Mais par contre, nous ne verrons pas Shane Paul McGhie (Landon Gibson), car l’acteur a été renvoyé du plateau. Dylan Sprouse, dont le rôle est Trevor ne revient pas non plus.
Mais il y a aussi une nouvelle de dernière minute : d’autres acteurs ne reviendront pas dans le troisième film, d’où la nécessité d’un renouvellement. Déjà dans Un métier sérieux 2, on se rend compte que le père d’Hardin n’est plus joué par Peter Gallagher (Andy Cohen pourquoi es-tu parti ?) mais par Rob Estes et que la mère de Landon n’est plus jouée par Jennifer Beals mais par Karimah Westbrook. Nous verrons également beaucoup de changements dans Un métier sérieux. En commençant par Candice King et Charlie Weber : les deux acteurs ne seront plus Kim et Christian Vance.
L’actrice que nous avons appris à aimer dans The Vampire Diaries comme Caroline est enceinte de son deuxième enfant ! Sa grossesse l’empêche donc de retourner sur le plateau pour filmer Un métier sérieux. Candice sera remplacée par Arielle Kebbel que nous avons déjà vu dans The Vampire Diaries: : Il s’agit de Lexi, le meilleur ami de Stefan ! Charlie sera remplacé par Stephen Moyer. Aussi Selma Blair, qui joue la mère de Tessa, est remplacée par Mira Sorvino. En plus de toutes ces modifications, il y a aussi une nouvelle arrivée : Carter Jenkins, qui jouera Robert, le potentiel amoureux de Tessa.
La raison de tous ces changements est que le fait de tourner deux films ensemble empêche aussi certains des acteurs principaux de participer à d’autres engagements professionnels ou autres.
6 septembre 2023 en salle / 2h 03min / Thriller De Yann Gozlan Par Yann Gozlan, Michel Fessler Avec Diane Kruger, Mathieu Kassovitz, Marta Nieto
Synopsis et détails : Pilote de ligne confirmée, Estelle mène, entre deux vols long-courriers, une vie parfaite avec Guillaume, son mari aimant et protecteur. Un jour, par hasard, dans un couloir d’aéroport, elle recroise la route d’Ana, photographe avec qui elle a eu une aventure passionnée vingt ans plus tôt. Estelle est alors loin d’imaginer que ces retrouvailles vont l’entraîner dans une spirale cauchemardesque et faire basculer sa vie dans l’irrationnel…
. Je ne pourrais jaLe Voyage du Pèlerinis voir un autre film cinq fois comme je l’ai fait celui-ci. Retournez voir une seconde fois et faites attention. RegarderIp Man 4 : Le dernier combat Movie WEB-DL Il s’agit d’un fichier extrait sans erreur d’un serveur telLe Voyage du Pèlerin, tel que Netflix, ALe Voyage du Pèlerinzon Video, Hulu, Crunchyroll, DiscoveryGO, BBC iPlayer, etc. Il s’agit également d’un film ou d’une éUn métier sérieux ion télévisée téléchargé via un site web comme on lineistribution, iTunes. La qualité est assez bonne car ils ne sont pas ré-encodés. Les flux vidéo (H.264 ou H.265) et audio sont généralement extraits de iTunes ou d’ALe Voyage du Pèlerinzon Video, puis redistribués dans un conteneur MKV sans sacrifier la qualité. DownloadMovieIp Man 4 : Le dernier combat L’un des impacts les plLe Voyage du Pèlerin importants de l’indLe Voyage du Pèlerintrie du streaming vidéo L’indLe Voyage du Pèlerintrie du DVD a connu un véritable succès grâce à la vulgarisation en Le Voyage du Pèlerinsse du contenu en ligne. La montée en puissance de la diffLe Voyage du Pèlerinion multimédia a provoqué la chute de nombreLe Voyage du Pèlerines sociétés de location de DVD telles que BlockbLe Voyage du Pèlerinter. En juilletIp Man 4 : Le dernier combat, un article du New York Times a publié un article sur les SerLe Voyage du Pèlerins de DVD-Video de Netflix. Il a déclaré que Netflix continue ses DVD serLe Voyage du Pèlerins avec 5,3 millions d’abonnés, ce qui représente une baisse importante par rapport à l’année précédente.
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Delon nous a quitté dimanche dernier. Fin de bobine.
La salle s’éclaire, les yeux piquent, les assises se rabattent sèchement sur les dossiers, les gens piétinent vers la sortie. Le bel Alain s’en est allé pour de bon, lui qui – semble-t-il – avait déjà quitté le monde sensé, laissant ses glorieux enfants se déchirer autour d’un terril d’or.
Journalistes, politiques, pipoles et piplettes : ils n’ont tous que des superlatifs à la bouche. Machin y va de son “c’était le dernier monstre sacré”, Bidule nous rappelle que “c’était un vrai prince”. La presse idiote rivalise en putasserie unière, à qui la plus belle photo, à qui le plus pathétique titre en guimauve pur sucre.
Mais moi je me souviens, bande de hyènes. J’ai rien oublié du tout. Je me rappelle bien de la ringardisation à marche forcée du ci-devant Delon Alain, coupable de choix politiques impardonnables. Fallait les voir se pincer le nez, les tenanciers de ce merdique show-biz gavé de thunes. Tu citais Delon et voilà qu’ils avaient grave la gerbe, ces gauchistes gueulards et ces soixante-huitards pédos. Beuark ! Macho réac ! Machine à cash ! Vieux beau qui s’accroche ! Tout le catalogue des amabilités en travers de sa belle gueule, le Delon. Ah ça oui, fallait les voir tortiller du cul quand on leur faisait remarquer que son fric, lui, il allait le chercher à Caracas et à Kyoto en vendant des clopes et du cognac pendant qu’eux tapinaient sous les lambris des ministères comme des putes de chantier pour se gaver d’argent public. Et pour quoi faire ? Des films de merde labellisés gauche-xanax où des couples idiots s’engueulent à la cuisine pour des histoires d’adultère foireux tristes à mourir.
Je n’ai jamais pris Delon très au sérieux. Ça n’était pas un vrai soldat, pas complètement un tapin, plutôt un assez mauvais comédien... mais quel acteur ! Quel talent, le félin ! Au-delà de sa belle gueule, il y avait son charme infini de scorpion astralement pur : intransigeant, égocentré, jaloux, lumineux, charmeur, menteur. Elles ont été quelques-unes à y laisser des larmes. Et pas qu’un peu : par bonbonnes entières ! Mais lui s’en foutait. Il aimait, il vivait, il partait. C’est comme ça qu’il les a tous et toutes bluffé(e)s pendant plus de quatre-vingt ans. Au final, c’est la caméra qui l’a le mieux aimé. Cinégénique à en crever, le bonhomme. Pas un angle, pas une ombre pour nuire à sa beauté solaire – ce qui est le comble pour un aussi ténébreux Narcisse.
Tous les plans qui éclairent Delon sont une ode à la masculinité. Même avec un imper trop grand et un bitos rivé sur le crâne, il est crédible. Je veux bien croire qu’il y en a quelques-uns que ça a vraiment du faire bisquer, dans le métier.
Avez-vous remarqué que “masculinité” lui va bien mieux que “virilité” ? Je dis cela parce que Delon n’inspirait pas le cul – il n’y avait rien chez lui de léger en bagatelle ou d’ostentatoire en braguette. C’était un dominateur silencieux, une emprise, un orage. Les femmes – et surtout les plus inaccessibles d’entre elles – ne s’y trompaient pas. Elles cédaient et lui, tranquillement, disposait. Avec tact et élégance sans doute, en tout cas jusqu’à son départ.
Et le voilà parti pour de bon. Un de plus, un de moins, peut-être le dernier. En tout cas, c’est bien raccord avec cette époque qu’il vomissait, à juste titre.
J.-M. M.
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⚠️ CW : pensée colonialiste ⚠️
Printemps 1924, Hylewood, Canada (5/14)
Jules a ce quelque chose d’impressionnant qui fait que personne n’ose lui faire des reproches, ou s’opposer à lui d’aucune manière. Il n’est pas violent, il ne l’a jamais été, ni avec moi ni avec les enfants. Il a cette force d’esprit qui fait que les gens l’admirent, parce qu’il faut de la force d’esprit pour résister à des ours du Pôle Nord, faire la guerre et en revenir, et survivre dans le désert. Mais cette même force d’esprit qui est sa plus grande qualité, c’est également ce qui le rend inaccessible à la discussion. On ne négocie pas avec Jules LeBris. Il peut être très brute dans sa manière de parler (je suppose que c’est nécessaire quand on fréquente des hommes qui ont des modes de vie claniques, qui ne respectent que la loi du plus fort), et je sais qu’il veut ce qu’il y a de mieux pour nos enfants, mais je ne suis pas sûre que la manière dont il s’y prend est la meilleure… Il a bien conscience que son mode de vie n’est pas tenable pour nos enfants, et je ne crois pas qu’il souhaite que nos fils deviennent comme lui. Il aimerait en faire des Auguste Le Bris : des self-made mans forcenés de travail, qui ont tout appris par la pratique. Mais le monde change… Le monde d’aujourd’hui n’a rien à voir avec celui de l’enfance de son père, et il le saurait, s’il avait été là ces trente dernières années…
[Transcription] Jules LeBris : Tu fais tes devoirs ? Agathon LeBris : Non, je suis en train de faire des arrangements sur une partition. J’ai pu me procurer Rhapsody In Blue de Monsieur Gerswhin, et… Jules LeBris : Tu n’as pas autre chose à faire ? Il serait peut-être temps que tu commences à réfléchir sérieusement à ton avenir. C’est bien joli, la musique, mais ce n’est pas ça qui va te nourrir. Jules LeBris : Tes sœurs vont partir quand elles se marieront. Lucien va hériter de la maison. Toi, par contre, quand tu deviendras adulte, tu seras démuni si tu n’as pas un vrai métier. Jules LeBris : Tu ne vas pas pouvoir rester un parasite qui vit aux crochets de son frère. Concentre ton énergie sur quelque chose de plus sérieux. Tu n’as pas l’expérience de la vraie vie, tu ne te rends pas compte, mais le monde est rude en dehors de cette île. Je dis ça pour ton bien, Agathon. Agathon LeBris : … Oui, Papa.
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Pierre Fournier
Tradition: n. f. Transmission de faits historiques, de doctrines religieuses, de légendes, d'âge en âge par voie orale, sans preuve authentique écrite.
Le Littré
Le détaillant et modéliste de vêtement Pierre Fournier a dirigé les magasins Globe dans les années 1970, Hémisphères dans les années 1980, Anatomica depuis 1993. Toujours actif de nos jours il est âgé de 80 ans cette année.
La création de vêtement repose sur l'esthétique et le fonctionnel, deux critères qui renvoient respectivement aux métiers de styliste et de modéliste. Oiseau rare, monsieur Fournier additionne les deux compétences et a bâti le renom de ses magasins sur des vêtements "anatomiques" les mieux pensés possible, adaptés au corps, résistants à l'usure. Un sens du modélisme concentra dès l'époque de Globe son attention sur les vêtements de base, les "basiques" auxquels il conféra le plus de classicisme possible dans le but de les rendre indémodables, au-dessus des modes. La chemise d'ouvrier aura des coutures, des poches, des lignes les plus adaptées à la morphologie et aux mouvements requis par le travail, critères qui ne sont pas à chercher dans un "techwear" futuriste ni dans un "vintage" caduque mais dans la partie de la culture occidentale qui traverse les époques, la Tradition. Savons-nous combien de vêtements ont-été réellement inventés au 20ème siècle ? 4... Et combien de boissons? Une seule (le coca). Il n'y a pas de créateur de vêtement, tant mieux!
Pierre Fournier appliquera les principes traditionnels aussi en matière de chaussure, lorsqu'il fera faire par la firme Alden une gamme spécifique. Le critère étant ici le "chaussant", Fournier va au fond de questions que ni les artisans ni les clients ne se posent plus en matière de confort et de maintien, et ose prescrire aux clients un nouvel étalonnage des pointures appuyé par un argumentaire fruit de 30 ans de pratique du métier. Les clients chausseront désormais 2 à 3 pointures au-dessus de leur taille usuelle. Libérant de l'espace derrière le talon et devant les orteils la chaussure est conçue pour serrer davantage le cou-de-pied, notamment dans la largeur, et demeurer plus lâche sous les contreforts et trépointes. Cette manière de chausser supprime les frottements et soutient la voûte plantaire, et au plan esthétique elle donne une chaussure étroite et longue qui est l'idéal en la matière.
Produire une chaussure pensée pour s'adapter à la forme du pied, un vêtement pensé pour suivre les lignes du corps, aboutissent à une forme définitive à laquelle tout ajout devient un excédent et tout retranchement une amputation. La tradition populaire française s'est toujours tenue à équidistance de deux écueils : d'abord de la mode qui spécule sur une suspension du jugement des masses abruties par le prêt-à-porter (soumission par pression horizontale), ensuite du sartorialisme qui est au contraire l'expression tapageuse d'élites visant à se singulariser (snobisme par les musts).
La qualité suppose l'appelation d'origine contrôlée, qui elle même suppose un terroir protégeant une fabrication locale par un prolétariat choyé. Lorsque l'on comprend le modèle économique que suppose le Made in France on veut relire les théoriciens des modèles économiques durables, organisés au bénéfice des producteurs et des consommateurs compris comme un seul et même peuple.
Le sujet du vêtement de qualité ouvre tant de perspectives : esthétiques certes mais encore économiques et politiques. Quand nous comprenons la quête esthétique de Pierre Fournier nous percevons que ce standard de qualité renvoie, pour des raisons de coût de fabrication aux thèses de William Morris (L'art et l'artisanat, Comment nous vivons) et à celles de tous les syndicalistes français transcourant : George Sorel, Joseph Proudhon, Charles Maurras, Joseph Fourrier, Edouard Berth. C'est-à-dire le retour aux sujets sérieux, aux questions fondamentales : comment produire dans le pays, par le peuple du pays, pour le peuple du pays. Comment produire local, qualitatif, en circuit court, sans gaspillage, en rémunérant correctement les travailleurs locaux? Quelles sont les pré-requis qu'un Made in France généralisé suppose au plan de l'émission de monnaie, au plan fiscal, au plan des prix de l'immobilier ? Une ébauche de réponse tient dans le discours de George Marchais (PCF) à Montigny en 1981 : protection du prolétariat, arrêt de l'invasion migratoire et éviction des clandestins (xénélasie), hausse des salaires par une baisse des charges sur les entreprises. Mesures de bon sens pourtant déclaration de guerre à la Bourse qui a besoin d'un sous-prolétariat invasif pour abaisser les salaires et le niveau de conscience du prolétariat du pays… Mais mesures nécessaires pour que la veste en flanelle de chez Anatomica qui dure 20 ans vous coûte 80 euros et non pas 750 euros comme aujourd'hui.
Dans un Made in France bien pensé, l'ouvrier a les moyens d'acheter pour lui-même les produits de qualité qu'il fabrique par son savoir-faire et c'est justice: voiture, maison, vêtement, sont à lui non parce qu'il est un consommateur interchangeable mais parce qu'il en est le producteur exclusif.
Voila l'un des fruits de l'idéal syndical, ou chrétien, ou corporatiste, ou libertarien, ou fasciste, ou socialiste, appelez le comme vous voudrez: vêtir le peuple avec intelligence, avec des pièces sobres, élégantes, fonctionnelles, vêtir un peuple mis en mesure de discerner le vrai du faux, ayant recouvré sa propre tradition que les marchands de drouille lui avaient confisqué, et lui offrir des garde-robes réduites en quantité mais haussées en qualité donc en durabilité. Opposer au trop-plein des armoires, au côté malsain de l'accumulation, la saine épure de quelques pièces très pensées que l'on portera 30 ans, rapées jusqu'à la doublure. Charme d'une patine qui raconte une histoire, la nôtre.
(écriteau de porte d'entrée du magasin Anatomica)
La création de vêtement est un sujet propice aux transpositions et analogies: stylisme morphologique, modélisme anatomique, sont la recherche non d'une forme éternelle, mais de l'esprit éternel d'une forme idéale, la plus exacte, la plus fonctionnelle, la mieux ajustée, une forme adaptée tant au mouvement qu'à l'immobilité. "Il n'existe pas de voiture éternelle, le mythe de la 2 CV n'est pas intemporel du tout" me dit un jour Pierre Fournier. Il existe toutefois selon l'usage et le mode de production disponible, une voiture la plus fonctionnelle possible à un moment donné. La différence entre Anatomica et The Kooples par exemple, est la même distance qui a séparé Gabriel Voisin d'André Citroën au début du 20ème siècle: d'un côté l'aristocratie ouvrière où chaque travailleur maîtrise la totalité du travail à accomplir, de l'autre côté l'assembleur de pièces précalibrées dont le modèle industriel repose sur la division des tâches, la parcellisation, le contrôle panoptique, qui aboutira au Fordisme.
Enfin Pierre Fournier a fait montre d'une certaine attitude devant la vie. Nous aimons ces paris tenus, ces investissements risqués, l'insolence d'ouvrir Avenue de la Grande-Armée en 1980 un magnifique magasin racheté à un monsieur de 1900. Nous aimons le goût très sûr pour le vêtement français ancien vendu aux "branchés" de l'époque, pour cette manière de chercher dans le passé les meilleures pièces et de les replacer dans le sens du temps présent. Nous aimons que Fournier n'ait jamais fait de marketing mais que le seul bouche à oreille l'ait placé comme la référence du style français à l'étranger, notamment en Angleterre et surtout au Japon où il est aujourd'hui abondamment distribué (3 magasins là-bas contre 1 seul en France).
Un vrai tailleur étudie l'anatomie puis le modélisme aussi sûrement qu'un séminariste étudie la philosophie puis la théologie. L'un s'occupe du corps, l'autre prend soin de l'âme. Mais si la philosophie est la servante de la théologie, c'est bien le vêtement qui est au service du corps... Dans un temps où le monde inverti proclame l'exact contraire, Pierre Fournier est l'un des seuls détaillants à avoir cru en la Tradition et à l'avoir mise en pratique. Merci monsieur Fournier!
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Delon nous a quitté dimanche dernier. Fin de bobine.
La salle s’éclaire, les yeux piquent, les assises se rabattent sèchement sur les dossiers, les gens piétinent vers la sortie. Le bel Alain s’en est allé pour de bon, lui qui – semble-t-il – avait déjà quitté le monde sensé, laissant ses glorieux enfants se déchirer autour d’un terril d’or.
Journalistes, politiques, pipoles et piplettes : ils n’ont tous que des superlatifs à la bouche. Machin y va de son “c’était le dernier monstre sacré”, Bidule nous rappelle que “c’était un vrai prince”. La presse idiote rivalise en putasserie unière, à qui la plus belle photo, à qui le plus pathétique titre en guimauve pur sucre.
Mais moi je me souviens, bande de hyènes. J’ai rien oublié du tout. Je me rappelle bien de la ringardisation à marche forcée du ci-devant Delon Alain, coupable de choix politiques impardonnables. Fallait les voir se pincer le nez, les tenanciers de ce merdique show-biz gavé de thunes. Tu citais Delon et voilà qu’ils avaient grave la gerbe, ces gauchistes gueulards et ces soixante-huitards pédos. Beuark ! Macho réac ! Machine à cash ! Vieux beau qui s’accroche ! Tout le catalogue des amabilités en travers de sa belle gueule, le Delon. Ah ça oui, fallait les voir tortiller du cul quand on leur faisait remarquer que son fric, lui, il allait le chercher à Caracas et à Kyoto en vendant des clopes et du cognac pendant qu’eux tapinaient sous les lambris des ministères comme des putes de chantier pour se gaver d’argent public. Et pour quoi faire ? Des films de merde labellisés gauche-xanax où des couples idiots s’engueulent à la cuisine pour des histoires d’adultère foireux tristes à mourir.
Je n’ai jamais pris Delon très au sérieux. Ça n’était pas un vrai soldat, pas complètement un tapin, plutôt un assez mauvais comédien… mais quel acteur ! Quel talent, le félin ! Au-delà de sa belle gueule, il y avait son charme infini de scorpion astralement pur : intransigeant, égocentré, jaloux, lumineux, charmeur, menteur. Elles ont été quelques-unes à y laisser des larmes. Et pas qu’un peu : par bonbonnes entières ! Mais lui s’en foutait. Il aimait, il vivait, il partait. C’est comme ça qu’il les a tous et toutes bluffé(e)s pendant plus de quatre-vingt ans. Au final, c’est la caméra qui l’a le mieux aimé. Cinégénique à en crever, le bonhomme. Pas un angle, pas une ombre pour nuire à sa beauté solaire – ce qui est le comble pour un aussi ténébreux Narcisse.
Tous les plans qui éclairent Delon sont une ode à la masculinité. Même avec un imper trop grand et un bitos rivé sur le crâne, il est crédible. Je veux bien croire qu’il y en a quelques-uns que ça a vraiment du faire bisquer, dans le métier.
Avez-vous remarqué que “masculinité” lui va bien mieux que “virilité” ? Je dis cela parce que Delon n’inspirait pas le cul – il n’y avait rien chez lui de léger en bagatelle ou d’ostentatoire en braguette. C’était un dominateur silencieux, une emprise, un orage. Les femmes – et surtout les plus inaccessibles d’entre elles – ne s’y trompaient pas. Elles cédaient et lui, tranquillement, disposait. Avec tact et élégance sans doute, en tout cas jusqu’à son départ.
Et le voilà parti pour de bon. Un de plus, un de moins, peut-être le dernier. En tout cas, c’est bien raccord avec cette époque qu’il vomissait, à juste titre.
J.-M. M.
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Moi vs Le Beauf eud' Cambrousse
Je sais, je pense trop à ça et je suis désolé, mais prenons par exemple cette photo qui a presque dix ans. Cela faisait déjà environ 1 an et demi que j'étais considéré comme un maître absolu en composition, ce qui n’était pas le cas avant, puisque la composition, ça se découvre. Au début, on "prend des choses". C'est ce que nous "expliquait" (entre guillemets car ni évidemment moi ni Anne n’avions besoin de ces explications) aussi un ancien ami en 2 015 sur la Plaça de la Villa de Gracia à Barcelone devant le campanile, avec un autre ami qui lui est un génie (JA Zamarripa aka Dabnotu) mais qui avait bien besoin de ces conseils, qu'il n'a pourtant jamais appliqués.
L'ancien ami est devenu un sérieux harceleur, y compris dans l'affaire du pédo US, juste par ultra-gauchisme, alors qu'il savait pertinemment que le harceleur délirait. Le type s'est excusé récemment, entre temps je l'avais chopé dans la rue en 2 019. Revenons à notre "mouton barbare" : pensez-vous que le cinglé croit que j'ai "raté le truc bleu" qui était "la chose que je voulais prendre"?
Comment peut-on être aussi fou et dénué de connaissance esthétique ? Je crois que je continuerai avec d'autres exemples. C'est édifiant. Sur cette photo, il y a à peu près 9 éléments. L'ombre en haut à droite et le rectangle gris clair en bas à droite sont eux aussi exactement calculés. Le "sujet' n'a aucun sens dans ce genre de photos. La plupart des gens prennent UNE chose ("le sujet"), avec souvent du matos très cher qui leur permet notamment d'avoir des bokehs.
N'importe quel beauf de cambrousse qui prend du piaf à tire-larigot me méprise parce qu'il croit que je "prends n'importe quoi", que je "rate mes cadrages" et/ou que je "prends au hasard".
Comme il ne comprend pas même si on lui explique, il pète les plombs et dit que je suis un "artiste content pour rien" qui "se prend pour un génie". Puis, il me classe dans la catégorie gauchiste s'il ne me connaît pas, et m'oppose aux "vrais artistes" qui "remettent cent fois leur oeuvre sur le métier". Il considère que je "fais le malin" parce que je "refuse les bases", alors que, tout simplement, prendre du piaf à tire-larigot ne m'intéresse absolument pas. BP.
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La ''transition climatique'' -- suite ''n + x'' (pour le moment...).
C'est assez souvent qu'il m'arrive de pester (les mots sont faibles !) devant l'incapacité chronique de nos dirigeants à ''piger'' le monde, les évolutions en cours, les grandes tendances porteuses d'avenir : il leur paraît plus facile de s'agenouiller devant tout ce qui n'est porteur que de rien, de mauvais, ou de pire. Ils (se) racontent qu'ils sont progressistes, or ils n'aiment que le changement pour le changement : par système, ils visent à côté de la cible et sont incapables de se remettre en cause, de revoir leur copie, de corriger leur tir...
Dans une levée de boucliers comme on n'en a jamais vu dans l'Histoire, tous les peuples de tous les pays européens descendent dans les rues, par paysans interposés mais très majoritairement soutenus par des 80 et 90 % de chaque population. ''Les petits, les obscurs, les sans grade'' (cf. l'Aiglon) ont vraiment marre que quelques pervers, sans culture et sans cœur mais beaucoup trop payés, élus par personne mais puissants à faire peur, les méprisent sans même se cacher et décident, contre la volonté de tous ou peu s'en faut, la suppression de notre Histoire, de notre Patrie, de nos terroirs, de nos richesses... et de nos métiers, le tout au ''profit'' sans intérêt d'une soi-disant ''mondialisation'' dont personne ne veut... Finalement, leur projet-fou se réalise : trois ou quatre millions de paysans courageux l'ont faite, cette Europe dont ces malhonnêtes voulaient. Manque de bol pour eux, ils sont si odieux, si antipathiques, si stupides et si néfastes... que c'est contre eux, qu'elle s'est réalisée ! Et c'est peut-être un premier pas vers notre salut !
Leur idéologie –qui ne peut être qu'un cauchemar pour toute personne normale-- relative à une ''refonte'' du monde autour de quelques idées idiotes, assassines, mal ficelées et sans aucune raison d'être, paraît tellement fou qu'il est permis de se demander si eux-mêmes parviennent à y croire. Ils partent de la manipulation de données (vraies à l'origine mais tordues à force d'être triturées) et font exclusivement dépendre un changement climatique indéniable en cours de la faute de l'homme blanc et de la civilisation occidentale (Et ils croient que ça leur donne l'air intelligent !). A partir de ce point de départ absurde, des génies de la falsification des données arrivent à démontrer n'importe quoi, (ils auraient pu choisir de démontrer exactement le contraire, ce qui aurait été bien plus proche de la vérité. Ils sont partis dans la mauvaise direction).
Et là... second facteur inexplicable : une majorité de chefs d'Etat, voyant sans doute dans cette prostitution une moisson potentielle de voix ''à Gauche, toute'', ils ont suivi cette pente de la facilité, et –comme ils l'avaient fait pour le covid-- ils sont partis, bille en tête, sur les chemins de la perte de leur honneur, vers une fausse écologie punitive qui ne peut déboucher sur rien... qu'à prétendre poursuivre des chimères terriblement coûteuses et destructrices de toute harmonie, qui apportent le chaos jusque dans les familles. Et pour ''cornaquer'' tout cette fureur déchaînée de passions stériles, il y a... la grande ombre du Berlaymont et les effrayants spectres cannibales de la grosse Commission soi-disant ''européenne'', en réalité ''tout, sauf... ''.
Cette grossière erreur d'évaluation des conséquences (soi-disant terrifiantes) d'une affirmation indémontrable –contrairement à sa critique qui, elle, se démontre comme un ''allant de soi'' , ne peut que faire très mal : à partir du moment où l'Occident, maître-à-penser pluri-séculaire, se met à ''déconner'' dans les grandes largeurs, l'envie de le suivre et de profiter de son sillage diminue très vite. Et d'autre part, les coûts, exactement ''monstrueux'' qui sont ponctionnés sur la richesse des états et ne peuvent donc pas être investis dans des projets plus sérieux, plus utiles et plus nécessaires, jouent un rôle important dans la perte de leadership de l'Occident... ce qui peut se lire, hors de tous les cris d'orfraies qui tiennent lieu de ''pensée'' à nombre de nos contemporains, comme annonçant un effondrement prévisible de toute ''civilisation'' sur la Terre...
Année après année, les résultats tombent, dramatiquement semblables à eux-mêmes, quels que soient les discours intermédiaires et les larmes de crocodile de Fabius : la production de CO² se fout complètement de toutes nos mesures (purement intellectuelles et sans aucun rapport intelligent avec la réalité) et de nos efforts pour mettre un ordre rationnel dans un processus où la rationalité n'est pas une mesure significative. L'immense majorité des pays qui font acte de présence aux ''Cop'' (ces grand messes sans raison autre que d'envoyer des dizaines de milliers de copains-profiteurs et de co-prébendiers --pas loin de 90 000 à Dubaï, récemment !-- se goinfrer aux dépens de plus naïfs qu'eux) reconduit les mêmes chiffres à peu de choses près, d'un an sur l'autre.
Quant à la France, son ''plus jeune président jamais élu à ce poste'' (NB : il paraît que ce serait bien, nonobstant l'expérience permanente des 7 dernières années... et les prédictions, jamais contredites, de l'Ecclésiaste !) déverse ''H 24'' des ''sommes dingues'' ���le mot est de lui !-- pour faire baisser encore plus un taux qui, compte tenu de la taille du pays et de sa désindustrialisation pour l'instant irréversible, ne représente qu'une infime fraction, dans le genre ''epsilon pour cent'', du faux problème mal posé. Si j'osais un très mauvais jeu de mot, j'écrirais que les taux après lesquels on nous force à courir bêtement, sans arrêt mais évidemment sans le moindre résultat, sont... ''u-taux-piques''!). Je ne vais pas le faire. Quoi que...
Les chiffres sont cruels : notre ''participation'' à ce phénomène (la production de CO²) atteint péniblement 0,9% de ce qui se passe sur Terre (Oui, oui... Vous avez bien lu : ''zéro virgule neuf pour cent'', autrement dit : l'équivalent à la barre en bas de l'addition du ''problème'' total. C'est fou, non ?). Et nos ''Experts du 20 heures'', mélangeant tout, racontent que ''80% des émissions mondiales de gaz à effet de serre associées à l'énergie proviendraient du CO² dégagé par la combustion d'énergies fossiles''. Sur ce total, le ''transport routier et urbain'' (càd : ''la bagnole'', au sens le plus large possible) contribue pour un tiers à notre pollution ''nationale''. En supposant que toutes les mesures absurdes lancées marchent, on va donc, au mieux, diminuer le chiffre total de... peut-être 10 % … ou à peine plus. C'est payer très cher... pour rien.
Un calcul simple donne tout de suite le résultat : ''On emmerde les français'' (dixit Macron) ''H 24'' et 365 jours par an pour l'équivalent de quelques minutes de la consommation quotidienne chinoise. [NB : Et si on abandonne tout le secteur ''automobile'', au ''profit'' (?) d'une énergie électrique qui ne sera jamais (c'est-à-dire : JAMAIS) produite en quantités suffisantes, fabriquant une méga-panne mondiale.Ça, c'est l'autre arnaque du siècle !]. De toute manière, partant de ''0,9 %'', tous nos efforts ne seront jamais perceptibles, quoi qu'il se passe. Certains (dont moi...) qualifient cette attitude de masochiste. D'autres (dont moi, aussi !) de complètement idiote.
Une autre interprétation de ces chiffres est : si la France tout entière était brusquement rayée de la carte (je ne sais pas, moi... un séisme géant qui l'engloutirait toute entière... ou une méga-bombe jetée par un Poutine excédé par les rodomontades et les ''provocs'' du petit coq gaulois), cette perte, énorme pour nous, ne serait même pas ressentie, à l'échelle du CO² ! Et pendant ce temps là, d'autres pays –qui savent optimiser leurs temps et leurs ressources-- utilisent les sommes ''dingues'' que nous jetons par les fenêtres... pour investir, pour rester au contact des mouvements du monde et pour préparer des lendemains non pollués par des théories périmées... Comme disent nos jeunes : ''Tout faux'' !
H-Cl.
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Des vœux ? Je veux continuer le travail que j'ai entamé. Je veux que Dieu ne me casse pas de trop — mais tout n'est-il pas que justice ?... Je veux, oui, je veux continuer le travail que j'ai entamé. En juin prochain je serai enfin libre, libéré du monde de la scolarité, de la formation, pour de vrai et cette fois-ci j'espère pour de bon. Il était temps. La trentaine est là, toute proche, déjà. Et j'ai perdu du temps quoi que les autres me disent. Mais c'était mon destin. J'ai évité le pire. Je n'ai peut-être pas fini de l'éviter. Car la vie est tout, et pour certains, pour moi entre autres, éprouvante, angoissante — un combat à mort. Les questions que je me pose deviennent de plus en plus pratiques, mais le fond reste existentiels. La question de se projeter à deux, de fonder un foyer, le flou quant à où vivre, quant à où travailler. La difficulté de ne pas s'oublier, soi, dans le couple, car le couple est un monstre et le mythe d'Aristophane est tenace. Une tendance naturelle veut que l'on se perde dans l'autre. S'y prémunir exige dignité, confiance en soi et rigueur d'esprit. Et puis, bien sûr, au milieu de tout ça, le doute, sur tout. Et si, au final, je n'étais pas davantage ? Et si je ne serais pas mieux seul ? Et si ce n'était pas elle ? Et si ce n'était pas le bon métier pour moi ? Et si, et si ? Mais je sais maintenant tordre le cou aux doutes, je n'en ai plus très peur. La majorité des gens vivent sans douter, sans trop se remettre en question, et ils meurent comme ça. La plupart des gens ne prévoient rien dans leur vie. Il y a une vague qui nous emporte et que nous devons apprendre à aimer, car cette vague c'est nous-même, poussée par la vie. Nous avons en notre possession quelques leviers d'actions, à nous de les trouver, à nous de les actionner si le cœur nous en dit. Le tout c'est de s'aimer, et s'aimer c'est s'accepter. Tout ça pour dire quoi ? Pas grand chose. Pour faire court, ou pas, oui, j'ai des vœux, quand même, non pas des résolutions, car elles sont déjà prises (deux mois sans alcool ni tabac et des années d'introspection et de tentatives pour devenir meilleur), des vœux, j'aimerais, justement, mieux aimer, me faire davantage confiance, cesser de prendre les choses trop au sérieux, cesser, en fait, d'avoir peur, et ne jamais perdre de vue, à toute instant, la gaieté, le rire, la vie qui est toujours et à chaque instant possible. Et je souhaite à tous la même chose pour cette nouvelle année et celles à venir.
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''T'as fait une faute, ça fait pas sérieux." Encore une croyance solidement ancrée. L'orthographe n'est pas nécessairement un critère de professionnalisme. Ça dépend. Si c'est utile au métier, oui, forcément. Sinon ? Non. Que manque-t-on à s'élever au-delà des mots ? L'intelligence et la compétence, car elles se cachent aussi derrière les "fautes" apparentes je préfère le mot "erreur". Oui, l'orthographe est importante pour une communication fluide, mais ce n'est qu'un aspect parmi tant d'autres. On en parle de la clarté, de la créativité et de la capacité à résoudre un problème ? En s'accrochant excessivement à l'orthographe, on passe à côté de l'essentiel. Quel sens y-a-t-il à se focaliser exclusivement sur la forme écrite, à une époque où la communication passe de plus en plus par l'image et la vidéo ? Surtout qu'une langue, c'est avant tout l'oralité. Prétendre que l'orthographe est un gage de sérieux et de professionnalisme peut être dangereux. On prend le risque de favoriser une culture d'exclusion et de discrimination, en écartant ceux qui ont des difficultés ou pour qui ce n'est simplement pas un critère pertinent. Alors où sont le vrai sérieux et le professionnalisme ? Dans la capacité à vivre et à travailler ensemble, à s'écouter et à se comprendre. Quelqu'un qui a des idées novatrices, qui sait mener des projets avec succès et qui fait preuve d'empathie n'est pas moins professionnel ou sérieux simplement parce qu'il fait des fautes d'orthographe et n'a certainement pas moins d'empathie que quelqu'un qui lui fait ouvertement remarquer ses erreurs. On ne mesure pas des valeurs à des lettres parfaitement alignées, mais bien dans les actions et les réalisations. Je suis pour une vision plus éclairée qui saura nous libérer des préjugés orthographiques.
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Eté 1901 - Champs-les-Sims
23/25
Vous l’avez sans doute constaté par vous même, il ne comprend pas toujours les codes tacites par lesquels s’entendent les hommes de notre milieu, tout comme ceux du milieu des savants j’imagine. J’ai pu également me rendre compte par moi-même que les milieux exclusivement masculins ont des façons bien à eux de stimuler la bonne entente et l’esprit de connivence. J’essaie dans mes mots de rester poli, mais il n’est pas rare que des plaisanteries inconvenantes au sujet de la gent féminine, et des épouses en règle générale, soient échangées. J’ai découvert cet humour bien malgré moi, ayant été éduqué dans un milieu très féminin où cet humour m’a pas cours. Si je dirai que mon oncle Maximilien m’a apporté tout ce qui est nécessaire à mon métier, je dois tout le reste de mon caractère à mes tantes Clémence et Lucrèce et à ma grand-mère. Elles étaient les maîtresses du domaine du foyer et je sais que ce genre de boutades leur aurait fortement déplu. J’imagine que c’est par effet de mimétisme que cet humour me déplait à moi également.
Constantin pour sa part a été éduqué durant des années dans un pensionnat pour garçon, mais son caractère étant ce qu’il est, j’ai remarqué que tout cela n’avait pas tant que cela déteint sur lui. Cependant, j’ai peur que ses confrères aient du mal à comprendre qu’il ne reproduise pas cet espèce de rite social et que cela lui pose problème. Il est déjà suffisamment particulier pour que n’importe quel homme le prenne en grippe. C’est sans doute pour cela qu’il a toujours refusé de me dire quels étaient ses rapports avec les autres garçons du pensionnat.
Transcription :
Martial : Je... et bien... jeune homme, êtes vous étranger aux plaisirs... terrestres dirons nous ?
Constantin : Je ne comprend pas bien ce genre de choses Monsieur, c’est tout. Mais j’apprendrai si c’est votre souhait.
Martial : Hum... ce ne sera pas un problème. Je n’étais pas sérieux bien sur, il n’est pas nécessaire de connaître des plaisanteries grivoises pour bien travailler.
Constantin : Vous me rassurez Monsieur. Je ne veux pas me sentir exclu pour des motifs aussi triviaux.
Martial : Tout vient à point qui sait attendre. Bref, tenez vous bientôt prêt au départ. Je vous ferai parvenir la liste des biens à empaqueter dans la semaine. J’imagine que cela ne représentera pas un problème pour vous de réserver un billet de train vers Paris pour me rejoindre.
Adelphe : Pas du tout Monsieur, je demanderai à Adelphe. C’est lui qui gère nos affaires.
Martial : Mais... n’est-ce pas vous le chef de famille ? Votre cousin m’a pourtant assuré que vos étiez l’aîné de votre fratrie.
Constantin : En théorie c’est le cas. Mais dans les faits je préfère me consacrer aux sciences et laisser tout cela à Adelphe. En outre, il est bien plus doué que moi.
Martial : Votre passion ne pourrait me paraitre plus sincère mon garçon. Vous et moi sommes faits pour nous entendre.
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"RAINIER III par lui-même"
Lorsqu'il monte sur le trône en 1949, le prince Rainier hérite d'une principauté "à bout de souffle" qui a échappé de justesse à une annexion par la France à la fin de la guerre. D'apparence timide, le jeune souverain est déterminé. "Cette légende d'un pays d'opérette, je voudrais que cela disparaisse. Je voudrais qu'on nous prenne au sérieux!". Il va faire l'apprentissage du métier de prince. "Un métier isolé, solitaire. De tous temps, et surtout ici où nous sommes sur les bords de la Méditerranée, où il y a quand même un peu l’esprit d’intrigues des cours florentines. Il faut se méfier, aussi bien de ses flatteurs que de ses détracteurs."
Rainier III va transformer son économie, tenir tête aux grands de ce monde comme le Général de Gaulle ou le milliardaire Aristote Onassis, et réussir à placer son petit pays sur la carte du monde. Il va consacrer sa vie à une chose : "être respecté".
De son enfance solitaire à l'ovation qu'il a reçue lors de son ultime apparition publique au Festival international du cirque, le souverain monégasque raconte lui-même les grandes étapes de sa vie dans ce film exceptionnel, grâce aux enregistrements sonores réalisés tout au long de son règne.
Durée 52mn
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Je crois que j'ai trouvé une merveilleuse technique pour répondre aux questions et réflexions gênantes pendant les repas sur ma situation "amoureuse" (dont je me contrefous) : je l'ai appelé la technique du/de la ✨ partenaire imaginaire ✨
Alors, quand on vous parle du fait que vous n'avez pas ramené quelqu'un, ou qu'on vous sort un "toi ton futur copain il va..." Répondez "Ah, je ne vous l'ai pas dit, mais j'ai un copain/une copine"
Ensuite, inventez lui un prénom et un nom ringard mais réaliste, un métier à la con, un passe temps favori, et "votre histoire". Le plus important : pour vous foutre de la gueule de votre auditoire dites des trucs farfelus mais réaliste et surtout quelques détails gênants.
" Mon petit ami s'appelle Hubert Bøl. Il est responsable marketing à la COGIP. Il aime les échecs, le jeu de société et les échecs en général. C'est pour ça qu'il a craqué pour moi. Son vêtement préféré est la chemisette à manches courtes je lui en ai offert une à Noël. Nous nous sommes rencontrés il y a deux semaines. Ce qui m'a fait craquer chez lui tout de suite quand je l'ai vu ? Son grain de beauté à la fesse gauche"
Drôle à faire (inventer des conneries en direct avec un air sérieux procure une bonne montée d'adrénaline) + pas trop agressif quand même + on devrait vous foutre la paix
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"Un Métier Sérieux" de Thomas Lilti avec Vincent Lacoste, Adèle Exarchopoulos,François Cluzet, William Lebghil, Louise Bourgoin, Lucie Zhang, Léo Chalié, Théo Navarro-Mussy, Mustapha Abourachid, Hubert Myon et la partipation de Bouli Lanners, septembre 2023.
#films#spirit#Lilti#Lacoste#Exarchopoulos#Cluzet#Lebghil#Bourgoin#Zhang#Chalie#NavarroMussy#Abourachid#Myon#Lanners
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Printemps 1924, Hylewood, Canada (12/14)
L’avenir de Lucien semble assuré. Je ne m’inquiète pas vraiment pour Marie, elle est jolie, elle trouvera de quoi se marier. Par contre, je ne sais pas ce que nous allons faire d’Agathon. C’est un excellent élève, il est sérieux et consciencieux la plupart du temps (malgré sa tendance à se laisser entrainer par sa sœur dans toutes sortes d’histoires), mais il n’en a que pour son piano et sa musique. Il a quatorze ans, il serait temps qu’il commence à apprendre un métier, mais rien ne semble l’intéresser… Il va finir comme certains cousins de ma mère, qui ne faisaient rien de la journée et restaient oisifs en suçant la fortune de sa famille, et dont la totalité des compétences se résumaient à bien se faire voir lors des mondanités saisonnières. Ma mère ne supportait pas ce genre de personnes. Si elle le voyait, elle se retournerait dans sa tombe !
[Transcription] Marie LeBris : J’ai des œufs avec moi… Agathon LeBris : Des œufs ? Qu’est-ce que tu fais avec des œufs ? Marie LeBris : J’ai pensé que les façades de nos voisins avaient besoin d’une nouvelle décoration… Tu viens m’aider ? Agathon LeBris : On va être en retard pour le cours de littérature, et Mlle Rumédier va encore nous disputer. Marie LeBris : Franchement, vu la note qu’elle m’a mise en latin la dernière fois, je ne vois pas à quoi servent ses cours. Agathon LeBris : En même temps, tu n’avais appris que la moitié de ta leçon… Marie LeBris : Bah ! Elle devrait nous remercier, on lui rend service. En séchant son cours, on lui laisse un peu de temps libre… La pauvre, elle n’a pas de vie. Je n’aimerais surtout pas être comme elle quand j’aurai son âge. Elle est si austère ! Agathon LeBris : Tu exagères. Si tu n’étais pas constamment en train de la provoquer, elle serait plus gentille avec toi. Marie LeBris : Si tu veux, chouchou. Bon, tu m’aides ou pas ? Franchement, on mérite bien une petite journée de vacances… Il fait tellement beau ! Agathon LeBris : Bon… Je suppose qu’on peut avoir un peu de retard. Marie LeBris : Hop ! Agathon LeBris : Bien visé. Marie LeBris : Vite, cours ! Marie LeBris : Ce parasite de Louis Rumédier mérite une bonne leçon lui aussi. Hop ! Agathon LeBris : D’accord, c’est vrai que c’est très drôle. Louis Rumédier : Mais qu’est-ce que vous faites ? Ça ne va pas ? Marie LeBris : Monsieur Rumédier, les affreux gamins qui ont sali votre porte sont partis en courant quand ils nous ont vu arriver ! Ils ont couru le long de la jetée et ont disparu dans le bois ! Louis Rumédier : Attendez que je les attrape !!
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen3ter#Jules Le Bris#Eugénie Bernard#Lucien Le Bris#Marie Le Bris III#Agathon Le Bris#Louis Rumédier#Lucrèce Le Bris
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