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#Je voudrais tellement (tellement !) que
kalyria1674-blog · 1 year
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Quelques Idées sur les Falmer
Les Falmer actuels pourraient vénérer Malacath. Selon moi, cela correspondrait mieux à leur état culturel actuel que, par exemple, Mephala et/ou Boethia comme j'ai pu le voir ailleurs. Sans compter que ce Prince, celui des Ostracisés et des Serments Brisés, est connu pour être particulièrement protecteur envers ses fidèles. Et, franchement ? Je pense que les Falmer le mérite.
Et, attention, pas dans le sens d'un peuple vengeur et assoiffé de sang. Pas quand on parle de quelques choses s'étant déroulés des générations auparavant et que même les Orques, ses plus fidèles adeptes, ne le sont pas.
Non, je les verrais plus le vénérer comme celui qui comprends la douleur de la trahison... mais aussi la volonté de se relever malgré cela et d'aller de l'avant. C'est pourquoi, je considère souvent Malacath comme étant le Prince le plus proche (sans tout a fait le faire) d'incarner les valeurs du Courage et de l'Espoir, celles-ci n'ayant pas besoin d'être départies d'une certaine fureur (que ce soit la vengeance ou la simple soif de vivre) pour fonctionner.
Celui qui voit les Ostracisés, les Mutilés, ceux dont on ne veut pas et qui n'ont plus nul part où aller... et qui les accueille auprès de lui. Qui les motive à se relever et a transformé la source de leur ignominie précédente en marque de fierté ! Cela irait bien avec ses tendances protectrice, je pense.
D'ailleurs, je ne suis pas du tout sûre de moi là-dessus mais Malacath n'implique-t-il pas le Changement dans le sens de l'Adaptation pour surmonter les obstacles ? Après tout, les Falmer ont survécus aux Anciens Nordiques (qui ont vu leur Culte Draconique, puis leur Empire, s'effondrer) et aux Dwemer (qui ont tout simplement disparus) qui avaient tout les deux tentés de les détruire.
... Et si leur apparence actuelle n'était pas une ''malédiction'' au sens péjoratif du terme ou une ''dégénérescence'' comme le prétendent les érudits et/ou Gélébor mais le présent offert par Malacath pour leur permettre de se relever de cette trahison ? Après tout, ne dit-on pas qu'il a changer son culte Altmeri de l'époque en Orsimer ? Et n'est-il pas le ''Prince des Malédictions'' ?
Et il y a de la poésie dans le fait que des Falmer changés se mettent à adorer Malacath quand Trinimac était dans leur ancien panthéon...
Pour ce qui est d'Hermeaus Mora, c'est plus compliqué... je pense que les Anciens Falmer auraient pu le vénérer mais les actuels ? Il est le Prince des Connaissances Interdites alors, selon moi, ça peut aller dans deux sens : un ''non'' car cette idée de Connaissances Interdites pourraient se rapporter aux Dwemer dans leur imaginaire... ou un ''oui'' avec, dans l'idée, que la Connaissance qui leur actuellement inconnue serait celle de ce qu'était leur peuple auparavant.
Pas dans l'idée d'un retour en arrière comme l'espère (naïvement ou désespérément ? Il doit se sentir si seul et impuissant...) Gélébor mais plus comme une façon d'appréhender pleinement leurs racines et comprendre comment ils sont arrivés là et ce qu'ils vont faire maintenant.
J'aime l'idée des Falmer du Val Oublié ou autres régions de la Crevasse capables d'être en contact avec les Parjures. Je pense que ce serait vraiment exceptionnel, compte-tenu de l'ouverture d'esprit des Crevassais (quelque chose de beaucoup trop sous-estimé et méprisé dans les TES !) vis-à-vis de leurs fréquentations de tout bords... ainsi que leurs points communs, ayant été déshumanisés par les société modernes et chasser de leurs terres par les nordiques.
[Attention, je ne dis absolument pas que les Crevassais sont un peuple doux, gentillet et incompris et j'espère que vous en avez conscience. Par ouverture d'esprit, je voulais dire qu'ils sont, dans les TES, ceux qui reconnaissent le plus facilement les différents potentiels propres à chaque races et n'hésite pas à les accueillir dans leur lignée, indiquant une posture d'amélioration constante et recherchée plutôt que d'eugénisme.]
Est-ce que les Falmer se déplacent vraiment dans leur position accroupie au quotidien ? Parce que, ce que je remarque, c'est que celle-ci est la même que la position de furtivité du joueur. Alors, ne serait-ce pas plutôt les Falmer qui se déplacent furtivement car, même sans pouvoir exactement le localiser, ils savent que le joueur est là ? Après tout, on les voit sortir de leur cachette en hauteur même quand nous ne sommes pas repérés et, pourtant, ils agissent comme si c'était un moyen de défense...
Pour ce qui est de l'ancienne langue falmeri, elle n'a ni ponctuation ni espace clairement définit entre les mots et les phrases car l'écrit n'était qu'un support à la lecture orale (un peu comme le latin, en fait) et sa transmission de part et d'autres du pays. Notamment en ce qui concerne les ordonnances religieuses, politiques et/sociétale d'importance. Du moins, en ce qui concerne leur apogée où ce n'était pas nécessaire. Durant le génocide nordique, cependant, l'écriture se serait généralisée, dans un dernier sursaut, afin de lutter contre l'oubli auquel voulait les condamner leurs ennemis. Avec un succès très modeste. Ce qui explique également le peu de matière que possède les historiens pour travailler.
J'aime l'idée de Vyrthur considéré par la plupart des Falmer comme une sorte de protecteur, se débarrassant de ceux, envoyés par Gélébor, qui viendraient troubler la paix de la Chantrie jusqu'à ce qu'il soit temps. Parce que, s'il est vrai qu'il a gelé plusieurs falmer, rien ne dit que ce n'est pas arriver pendant l'invasion mais que les choses n'ont pas évolué par la suite. Surtout quand on voit que les falmers gelés semblent physiquement moins dégénérés que les autres. Ou plus si on compte le vampirisme mais c'est encore autre chose.
Parce que, ce que je remarque, en entrant dans la Chantrie, c'est que la plupart des Falmer gelé sont ceux qui ont possiblement attaqué la Chantrie toute ces années où qui pourraient être responsables des offrandes envers Auri-El qu'on retrouve aux pieds de la statue... qu'il n'a jamais détruite, cela dit.
Et il s'excuse, parfois, quand on le tue. Je pense qu'il est un bel exemple de l'adage ''les plus seuls sont souvent les plus tristes''...
Il n'y a aucune trace de purge et/ou d'assaut nulle part ailleurs dans le Val. En fait, une colonie falmer habite carrément au pied du bâtiment ou presque et, pourtant, il ne semble pas que notre vampire résident ait jamais eu à se battre pour sa vie. Car sinon, il aurait certainement finit submergé par le nombre depuis un moment...
Sans parler du fait que Vyrthur aurait eu besoin de se nourrir régulièrement pour ne pas devenir fou à cause de la soif.
Et, égoïstement, j'ai envie d'imaginer, même en étant familière de la violence de Tamriel et TES, un monde où les Falmer et Vyrthur auraient tous pu trouver un semblant de paix.
Donc Vyrthur protégerait les Falmer du Val des envahisseurs et, en échange, ceux-ci le protégerait, voir le nourrirait en remerciement. L'un voulant accomplir son devoir (de protecteur de son peuple, pas de serviteur d'Auri-El) tout en éprouvant un mélange de pitié et d'attachement pour des êtres qui sont, finalement, aussi misérables que lui et les autres voulant lui montrer, sans, probablement, parvenir à communiquer, que même dans les ténèbres les plus profondes où il se trouve, il n'est pas seul ou abandonné.
Auri-El l'a peut-être laisser tomber, mais eux sont toujours là et ils ne le laisseront pas.
Encore que, pour l'abandon en question, lui faire croire ça serait tout a fait dans les cordes de Molag, surtout avec l'arc d'Auri-El en jeu, mais bon... ce n'est pas comme si Auri-El était connu pour sa miséricorde non plus donc je ne sais vraiment pas.
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ooomael · 6 days
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Qu’est-ce que ça veut dire d’être ensemble, si on n’est pas ensemble?
Est-ce que ça suffit de rassembler nos souvenirs?
Je voudrais partir maintenant
Te retrouver,
Tu me manques tellement...
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chifourmi · 16 days
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On est sorties avec mes potes ce soir et c'était une trop chouette soirée... Jusqu'à la fin où l'une de mes potes m'a sorti "franchement t'as parlé avec 3 mecs différents durant la soirée, si j'étais ton mec j'apprécierais pas". Comment vous dire que j'ai eu instantanément envie de pleurer. Pleurer parce qu'elle m'a fait culpabiliser d'un truc qui n'avait pas à me faire culpabiliser. Pleurer pcq ces mecs dès le début je leur disais que j'étais en couple et pas intéressée. Pleurer pcq j'ai essayé de les brancher avec elles dès la première occasion. Pleurer parce que je suis fatiguée. Fatiguée de devoir me justifier. Comment elles peuvent juger sans savoir ce qu'on s'est dit. J'ai aussi envie de pleurer à cause du sexisme qui est ancré bien profondément dans les têtes, même celles des filles. Comment tu peux avoir si peu confiance en ta pote? C'est évident que je n'ai rien tenté ni quoi que ce soit et ça me répugne d'avoir l'impression de devoir me justifier. Elle m'a sorti "je les aurais stoppé direct". Mais cocotte je l'ai fait!!! L'un est parti juste après et les 2 autres respectaient et ça n'allait absolument pas plus loin?? J'étais tellement contente de rencontrer des gens putain et elles m'ont donné un goût amer de tout ça. J'ai aussi sympathisé avec des filles et après je les cherchais partout mais là évidemment mes potes ne se sont rien dit. Je suis tellement fatiguée qu'on voit les femmes comme des grosses putes en manque quand elles PARLENT à un garçon. C'est tellement toxique. Comment on va changer les mentalités si absolument tout le monde pense qu'une femme qui parle à un homme c'est forcément pour de la tchatche?? Elle m'a vraiment dit ça comme si j'avais trompé mon copain, limite avec du dégoût dans la voix. Je suis tellement déçue et énervée en fait, je me sens trahie. J'ai toujours été une girls girl et c'est vraiment un truc que je prends trop mal quand les filles ne le sont pas. Vraiment je suis trop triste j'ai l'impression d'avoir reçu un couteau dans le cœur. J'aime trop le musicien et je ne voudrais pour rien au monde lui faire du mal. Franchement c'est trop injuste ça me fait trop mal au cœur ce qu'elle m'a dit. Et mon autre pote a sorti "mais pourquoi tu le prends si mal?" en sous-entendant que si je le prenais comme ça c'était que quelque part je culpabilisais ou j'avais quelque chose à me reprocher mais non ce qui me fait mal c'est que j'ai senti qu'elles se sont complètement désolidariser de moi à cause de ces 3 mecs random. J'en reviens pas qu'elles m'aient juger sans savoir. Et si je le prends mal c'est pcq je suis ultra sensible aussi??? Bref.
(07/09/2024)
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e642 · 2 months
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Peut-être que la chose que j'ai le plus de mal à accepter c'est que les gens ne changent pas à moins de vouloir changer. Il y a toujours cette teinte de volonté, cette impulsion de l'autre qui fera que ce sera possible mais pas la nôtre. C'est un deuil énorme à faire je trouve et j'ai toujours trouvé. Je pensais à minima pouvoir donner envie de changer mais je sais que non. En fait, c'est même pas vraiment changer, les gens ne changent fondamentalement pas j'en suis persuadée, mais de revoir leur position. Prendre en compte. Considérer. Considérer ce qu'on te dit même si tu n'es pas d'accord c'est énorme parce que ça donne de la valeur au propos en face mais sans considération alors.. alors on ne fait rien. Je n'ai jamais voulu que les gens évoluent uniquement dans le but de m'aller parfaitement, d'être là version parfaite que je voudrais qu'ils soient pour moi, j'ai toujours voulu qu'ils évoluent pour tout le monde et eux avant tout. On ne peut aller nulle part avec quelqu'un qui ne voit que son chemin, même pas le tien, et encore moins ceux à côté. Ça me fait mal au cœur parce que je sens que c'est la fin. Qu'il faut que ce soit la fin. Les relations, peu importe lesquelles, les gens, leur personnalité, leur comportement, leur propos, leur avis sont des deuils constants à faire. Je n'ai pas l'impression d'avoir arrêté de faire des croix sur tellement de choses qui me semblaient si précieuses et vitales. Je me sens réellement triste de toute cette incompréhension, tout ce désamour, toute cette déception. Il fait si chaud dehors mais ça me fait frissonner. Ça me fait peur ce dialogue de sourd constant où la faute ne pourrait être que dans un camp, juste à côté des reproches.
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lilias42 · 28 days
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Hellooooow ! Puisque tu m'a demander du SANG!!! Je me permet de t'en demander aussi !!🔥🔥🔥. Je voudrais ton opinion sur la 7, 8 9 , 22 et ( pour le lol) la 2 !!! Merci beaucoup 😊!
Salut ! Merci beaucoup les questions ! Et du SANG !!! Le peuple veut du SANG !!!
PS : j'ai mis la 2 en dernier vu que je ne suis pas sûre d'avoir bien compris et vu le sujet, ça me gênait un peu alors, c'est en bas.
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7 - Quel personnage avez-vous commencé à détester non pas à cause du canon mais à cause de la façon dont le fandom réagit à leur égard ?
Question déjà répondu dans ce billet ! :D
8 - opinion commune des fans selon laquelle tout le monde a tort
👹 Pour commencer, le très classique "El-chan est une anti-héroïne / gentille légèrement borderline / la seule vraie gentille qui fait évoluer Fodlan dans le bon sens" et toutes les autres opinions qui vont avec telle que "CF est une route héroïque où on tue la méchante papesse et les gens n'avaient qu'à pas se défendre d'une invasion" et "l'histoire entre El-chan et Byleth est tellement ROMANTIQUE !!!". Je pense en avoir déjà bien assez radoté là-dessus mais, CF est une route de méchants qui ne s'assume pas et étant assez mal écrit car bon, quand on est conscient de ce qu'on fait (soit conquérir deux pays indépendant depuis 400 ans et finir un génocide d'une race n'ayant rien demandé en aidant une secte glauque de taupe maléfique), les moments qui se veulent tendre sont juste ultra cringe et dérangeant alors que c'est censé être des scènes mignonnes (scène du portrait, je te regarde) et avec une relation principale vraiment malaisante vu que bon, en version, dans leur soutien C, Byleth est censé roder dans le monastère avec une référence aux yobai / voleur de sous-vêtement. Voilà quoi. On a connu mieux comme top de l'écriture.
👹 Autre opinion commune de fans qui semblent un peu trop répandu dans ce fandom, c'est que la fanfiction n'est pas assez sérieuse et que c'est mieux de faire de la méta car c'est plus sérieux. Je pense à une certaine fic d'un type sur un bateau tape-à-l'oeil (oui, je cherche comment traduire un truc histoire de planquer les traces pour que la horde de stans ne trouvent pas ce billet, alors qu'on a pas vraiment de traduction de ce mot qui est un anglicisme) qui se prétend être une méta alors qu'elle fait encore plus de modification que dans un canon divergente en piquant des évènements des autres routes. J'ai l'impression que c'est pour donner un air important à un travail x pour dévaloriser les autres car, cette "méta" serait plus profonde, plus réfléchie qu'une "simple" fanfiction alors que c'est quelque chose qui peut être très travaillé et recherché, voir avec plus de liens avec le canon bien réalisé.
En plus, à mon avis, une méta s'exprime assez mal en fanfiction. On peut faire des études de personnages en fic, on est d'accord mais, je trouve que ça passe mieux dans un billet construit, avec des références claires au canon et avec des renvoies clairs et nets aux phrases / moment dont on parle et sur lesquels ont s'appuie pour construire notre raisonnement et opinion, ainsi qu'une structure plus proche d'une démonstration que d'un récit fictif. ça doit être mon côté très carré qui ressort mais bref, la méta ne laisse aucune place à ce qui est vraiment créatif. On peut s'appuyer dessus afin de mieux comprendre le canon et afin de voir si ne part pas complètement en live mais, la fanfiction est comme une adaptation, il faut forcément modifier le canon afin de l'adapter aux idées de l'auteur (comme je l'ai surement déjà dit quelque part, un français et un américain n'auront surement pas la même vision de la monarchie ou de la féodalité ou ne feront pas agir des personnages de la même manière). Je ne comprends donc pas la raison pour lesquels certains dans le fandom préfère clamer faire de la méta plutôt qu'une fanfiction.
👹 Sinon, je dirais que Lambert est un personnage positif et un bon roi avec une présomption de bien faire / innocence alors que le gars a tout fait n'importe comment dans ce qu'on en voie de lui, que ce soit dans FE3H ou FEW3H dans ce que j'ai vu. J'en parle dans la réponse de recurringdragon alors, je renvoie à cet billet.
9 - La pire partie du canon
Bon, on va pas revenir sur CF, je radote déjà suffisamment alors, on va plutôt dire l'histoire de Patricia.
Aux noms des Dieux, par où commencer dans ce bazar ?
Bon, déjà, son histoire n'a vraiment aucun sens et je ne voie pas vraiment comment bien l'intégrer à l'univers et comment la mettre en place à part en disant que Lambert a une chance sans nom tout du long de son règne, puis a épuisé sa jauge de chance à Duscur. Car bon, si on tente de résumer :
Anselma a rencontré Ionius à un moment X (pas à Garreg Mach vu que Delagarde est la première membre de la famille impériale à étudier au monastère depuis des générations)
Anselma a eu Delagarde avec lui et c'est l'avant-avant-dernier enfant d'Ionius qui avait déjà eu huit autres gosses avec d'autres femmes puis en aura encore deux autres avec d'autres concubines (ce qui doit signifier qu'ils ont une grosse différence d'âge et bonjour le harem, comment tuer le romantisme de la petite histoire à l'eau de rose de Delagarde à la Tour de la Déesse)
pour une raison inconnu, Hubert, le fils unique des Vestra de 6 ans, devient le valet personnel de Delagarde quand elle a 4 ans (pourquoi pas de son frère / soeur ainé, on sait pas, le jeu non plus, la fratrie impériale est implanté dans l'histoire avec les pieds) et on ne sait pas si Anselma fait encore partie du tableau à ce moment-là car aucun des deux n'en parle
à un autre moment X, Anselma doit fuir Embarr car elle a été prise dans un complot au sein du harem. Elle trouve refuge dans le Royaume grâce à la vraie Cornélia qui l'aide
elle rencontre Lambert vu que vraie!Cornélia travaille pour lui à ce moment-là et après un certain temps, ils se marient ensemble dans le plus grand secret (donc, surement de manière morganatique, elle n'est pas reine) et prend le nom de Patricia pour ne pas se faire choper. On sait juste que c'est avant les 8 ans de Delagarde vu qu'elle rejoint sa mère dans le Royaume lors d'une nouvelle crise à Embarr quand Hubert a 10 ans vu qu'il a tenté de la rejoindre à cet âge, et qu'elle est dans la famille royale de Faerghus pendant longtemps vu que Dimitri la considère comme sa mère.
Pendant ce laps de temps, personne du saint-personne à part le cercle le plus intime du roi sait que Patricia = Anselma, la concubine impériale qui s'est barrée d'Embarr et du harem et le secret réussi à tenir jusqu'à après la mort de Lambert qui a emmené le secret dans la tombe.
à encore un autre moment X, vraie!Cornélia est remplacé par agarthan!Cornélia qui commence à manipuler Patricia et s'impose entre les deux époux et Lambert ne fait rien pour empêcher sa médecin (qu'il pourrait tout à fait renvoyer ou arrêter vu que c'est le roi) de le séparer de sa femme en s'imposant entre eux deux, ce qui veut surement dire qu'agarthan!Cornélia manipule aussi Lambert
A un autre autre moment X, Patricia sait qu'agarthan!Cornélia faisait des expériences tordues sur Hapi et en était triste mais, n'a rien fait pour l'aider (et dans sa situation, elle n'en avait surement pas les moyens, surtout avec Lambert qui gobe tout ce que lui raconte Cornélia, le mec sert vraiment à rien à part ficher les problèmes partout !)
Peut-être à peu près au même moment, c'est toujours pas clair, agarthan!Cornélia commence à comploter pour assassiner Lambert et à un moment, Patricia est dans le complot. Elle s'éloigne de Dimitri aussi vu qu'elle est dans sa bulle et triste (vu ce qu'elle s'est pris dans la tronche, tu m'étonnes !)
Le complot se concrétise lors du voyage à Duscur où agarthan!Cornélia, ses alliés à Kleiman et surement dans le reste du sud, et les agarthans assassinent Lambert et toute sa suite en manquant Dimitri. On sait juste que le carrosse de Patricia n'a pas été touché et qu'il n'y a aucune trace de sa présence sur les lieux de l'attaque
Dans le présent ! On a aucune idée d'où elle est, si elle est en vie, ce qu'elle a fait après Duscur, si Delagarde est au courant que sa mère était la femme du roi ou si elle en a quoi que ce soit à battre, ce que ça veut dire pour le Royaume, si elle peut réapparaitre, ce qui se passera... vu que seul Dimitri en a quelque chose à faire d'elle. Le tout avec PERSONNE DU SAINT-PERSONNE qui n'a jamais remarqué la relation entre elle et le roi ou qui soupçonne la moindre chose donc, elle a l'air d'avoir réussi à planquer sa présence dans le Royaume pendant 5 ans minimum vu qu'El y est allé à 8 ans et que la Tragédie a eu lieu 4 ans avant l'histoire soit quand Dimitri avait 13-14 ans, voir plus vu que personne ne parle de sa vie au harem vu que sa fille ne se souvient pas de l'époque avant son exil de la capitale (elle dit avant ça qu'elle "regrette que ce genre d'histoire ait pris fin après ma naissance." alors, est-ce que ça veut dire que Patricia a perdu sa faveur peu de temps après avoir accouché ? On sait pas, l'histoire veut pas trancher).
Et c'est sans parler de la lettre débile d'Anselma dans 3 nopes où elle demande de l'aide à un noble du sud pour les aider dans leur complot, alors qu'elle est censé être isolée du reste de la cour, personne ou presque ne connait son existence et encore moins sa relation avec le roi alors, qu'est-ce que ce type en aurait à battre de son appel à l'aide et meuf ! T'es censé être discrète !
Au nom des dieux, c'est un BORDEL SANS NOM ! Faut un tableau de détective pour arriver à suivre ! Et il faut sortir tous les supports des personnages pour naviguer entre les points de vue imparfaits, les biaisés et les mensonges de Delagarde la mytho et le support d'Hapi censé éclaircir sa situation ne fait que la compliqué encore plus !
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Sérieusement, aucune idée à part un miracle cosmique de la Déesse ou de Satan (c'est à dire la magie du scénario) pour expliquer comment personne dans le Royaume n'est flairé l'arnaque, découvert le pot aux roses, que Lambert (soit pas une foudre de guerre) ait réussi à cacher son existence à la première belle-famille quand il venait voir le petit-fils / leur neveu (vu que bon, c'est la famille de la reine officielle, ça ne doit pas être n'importe qui), s'assurer qu'aucune servante ne vende la mèche, que Dimitri ne lâche rien de trop suspect pour quelqu'un d'un peu méfiant qui se mettrait à fouiner pour comprendre les mots du petit et au cas où quelqu'un tournerait trop autour du jeune et seul prince (je sais, Dimitri nous dit qu'il ne savait pas que Delagarde était la fille de Patricia lors de son passage à Fhirdiad mais, il aurait pu le savoir après coup et vu que même son meilleur ami de l'époque Félix ne savait pas pour Patricia et sa relation avec le roi, il a dû vraiment bien tenir sa langue et caché tout ce pan de sa vie à ses amis [et s'il était au courant et l'a caché en connaissance de cause, t'es raiment un connard Lambert pour imposer à ton gosse de mentir en permanence à ses propres amis]), prier très fort pour que personne d'Adrestia n'aille la chercher, que personne dans la confidence finisse par trahir pour x ou y raison (car c'est un crétin et un roi incompétent qui ne pense qu'à lui).
Car bon, imaginons que Rodrigue en ait sa claque de Lambert et de ses conneries, il vend la mèche à la population de Fhirdiad et vu qu'il est quand même un duc très respecté (société d'honneur, quelqu'un considéré comme le "Bouclier de Faerghus" serait forcément un minimum écouté par respect envers sa parole), on le croit, c'est fini pour Lambert :
les gens vont juste exploser d'apprendre que le roi a une maitresse qui bouffe sans doute à leurs frais sans rien faire pour le Royaume car ce n'est pas la reine et qu'elle est recluse alors, elle peut difficilement faire quoi que ce soit pour eux donc, ils vont surement aller frapper à la porte à coup de marteau et faux pour demander une explication à Lambert
+ la famille de la première reine va surement leur donner un coup de main car, on remplace leur fille et que c'est quand même des privilèges à eux qui sont en jeu, avec le risque que Patricia donne un autre enfant à Lambert qui pourrait être un concurrent à Dimitri s'il a un emblème ou pire un emblème majeur
+ d'autres nobles qui sont en mode "Bordel ! C'est une concubine de l'empereur ! Il apprend qu'elle est ici, on est mort ! Rendez-lui tout de suite !" et se mêle à la révolte générale pour juste la renvoyer de l'autre côté de la frontière en s'excusant histoire d'éviter une guerre
+ quelqu'un, un juriste ou un curé, qui invalide le mariage si son union avec Ionius n'a jamais été défaite dans la précipitation et ajoute au bazar que le mariage est illégale car c'est de la bigamie
+ et si vraiment, Lambert a épuisé toute sa jauge de chance, les srengs profitent du bordel général dans le Royaume causé par le scandale pour lancer des raids sur Faerghus afin de récupérer un maximum de terres ou de butin
Autant dire que c'est pas avec Gustave et Rufus qu'il va aller bien loin.
Vraiment, cette partie du scénario est un véritable bazar sans nom qui ne sert qu'à lier Dimitri et Delagarde pour expliquer pourquoi il ne veut pas la défoncer à la fin de l'histoire d'AM, c'est sa demi-soeur et une amie d'enfance alors, il veut l'épargner car comme le dit Ashe "tuer un membre de sa famille... c'est mal" alors que c'est un des personnages qui a le plus de raison de vouloir sa peau dans tout le jeu. Heureusement qu'il y a des auteurs comme Ladyniniane qui sont vraiment motivé et arrive à faire de cette situation compliquée une excellente histoire avec Patricia / Anselma qui est un personnage attachant et tragique mais sinon, c'est une des pires parties du canon pour moi : il est inutilement compliqué et tordu, tout ça pour justifier que Dimitri ne veuille pas exploser Delagarde même une fois remis car, elle a littéralement ruiné sa vie et profiter du chaos de Duscur et dans le Royaume pour avancer ses pions, tout en reniant l'indépendance de son pays en voulant les coloniser à nouveau.
22 - votre partie préférée du canon que tout le monde ignore
Je ne sais pas si c'est une partie ignorée du canon mais, j'aime beaucoup toutes les possibilités qu'offre l'histoire du jeu car, même si son lore peut être très grand et riche, il est complètement mité et peu développé à part ce qui est un minimum nécessaire pour l'histoire. J'aime beaucoup utiliser ces trous pour les combler avec des OC, je trouve que ça permet de laisser libre court à sa créativité avec chacun qui fait ce qu'il veut comme il le souhaite et selon ses gouts et thèmes préférés (dans le respect des versions de chacun et en assumant que c'est de la fanon bien sûr), le tout en renouvelant les situations et les relations possibles en sortant des limitations du canon.
Par exemple et même si à force, je tire sur une ambulance déjà accidentée, je n'aime pas du tout la dynamique entre L*mbrigue en fic car je n'aime pas Lambert et même si on en fait un perso potable en fic, la dynamique tourne souvent en rond avec Rodrigue qui se languit en silence et Lambert qui le remarque à peine, soit ils ne peuvent pas être ensemble officiellement et sont amants avec ou sans le consentement des silhouettes qui leur sert de ventre à bébé Dimitri / Félix et Glenn. Avoir un vrai OC construit pour jouer le rôle de leur femme permet d'avoir d'autres dynamiques et d'explorer les possibilités de leur couple, que ce soit pour montrer l'influence toxique de Lambert qui est juste un vampire et donc un couple qui ne fonctionne pas, soit pour en faire un couple sain et équilibré qui s'aime sincèrement pour Rodrigue car cet homme mérite d'être heureux !
Autre exemple, j'aime beaucoup la partie de la Guerre des Héros / Antiquité de Fodlan, notamment car je peux imaginer ce que je veux vu qu'il y a assez peu d'information dessus (qui peuvent même être contradictoire entre elles) et mettre des personnages comme je les aime avec des histoires que je trouve cool dans un univers que j'aime beaucoup avec mes Braves (je vais arriver à m'y remettre pour le billet de Pyrkaïa, je vais y arriver ! Même si son billet fait déjà 50 pages de Word et j'en suis qu'à son enfance / adolescence... oui je sais...). On nous dit que les Braves étaient très appréciés de leur peuple et vu comme des héros puis, ils ont pété une durite et rejoint le camp du mal ? Ok, il y a en fait deux générations, celle des parents qui étaient de très puissants héros bienveillants ayant tout donné pour leur peuple, et celle des enfants tombés dans la spirale de la vengeance quand ils ont été assassinés qui prévoie de tuer Seiros et les autres puis Némésis car ils sont responsables de la mort de leur parents, et je peux broder dessus.
Ce serait un peu ça ma partie préférée du canon que tout le monde ignore : l'antiquité de l'histoire qui permet d'avoir énormément de possibilité, et les zones d'ombres qui permettent de glisser facilement des OC attachants qui agrandissent les possibilités d'histoires !
2 - un argument convaincant pour expliquer pourquoi votre favori ne serait jamais en haut ou en bas
Vu que mes deux personnages favoris sont Rodrigue et Félix, on va partir sur Rodrigue vu qu'il n'est pas ultra populaire et je voie deux manières d'interpréter la question donc, je vais me pencher sur ma première manière d'interpréter la question avant de me rendre compte de l'autre sens (en espérant ne pas me tromper vu que ce serait vraiment gênant autant pour toi que pour moi) : pourquoi il ne sera pas le plus populaire ou le pire perso selon les fans.
Il ne sera jamais premier car il est un PNJ et devient jouable que dans un spin-off avec une écriture pourrie + subi les conséquences des narrateurs peu fiable de FE3H où ado!Félix en pleine crise d'adolescence le décrit comme le pire père du monde et est trop pris au pied de la lettre par le public.
Mais il ne sera pas non plus le pire des personnages car il reste très sympathique quand on ne s'aveugle pas à ses qualités en étant un homme bon, responsable, faisant tout pour tenir malgré les tragédies qu'il vit, très bon père qui fait autant qu'il peut pour maintenir sa famille en entier et un personnage très appréciable !
(Et pour la deuxième façon dont je comprend la question, c'est pourquoi le perso serait top / bottom au sens intime des termes et, on va dire que quand il est avec Félicia, les deux veulent surtout passer un bon moment ensemble et se font surtout des calins et ils s'embrassent tendres dans leur lit. Puis quand Félicia meurt, étant donné qu'il l'aime toujours même une fois son deuil fait, ne s'intéresse pas aux autres de cette manière, à d'autres choses à penser [comme élever ses fils et s'occuper de son fief] et histoire qu'on lui fiche la paix quand une autre grande famille veut nouer une alliance avec les Fraldarius chapeauté par une alliance matrimoniale, il fait officiellement voeu de fidélité à sa femme devant la Déesse. Comme ça, il est tranquille. Et désolé si ce n'est pas très détaillé mais, ce genre de question me gêne un peu, surtout quand je ne suis pas sûre du sens de la question)
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lorienn-art · 7 months
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FR [Let it rage]
Heyy! J'ai voulu revenir à l'aquarelle donc voici quelques croquis à l'aquarelle jsjs
Je ne pense pas que l'on reconnaît assez l'importance de la rage, en particulier à propos des femmes et personnes fem-presenting.
Je dois beaucoup à la rage concernant mon art actuel (même si cela ne se voit probablement pas dans mon travail) car la rage a été un des premiers moteurs de mon obsession envers Florida Woman. Dans ma vie quotidienne, j'ai parfois tellement de rage en moi que je voudrais l'exploser sur le monde tout autour de moi.
Au travers de l'histoire, notre colère a été vilipendée et souillée: vues comme des êtres incapables d'appréhender la réalité au delà de nos émotions, traitées d'hystériques quand nos cris étaient trop forts. Maintenant, l'heure est venue de l'embrasser : qu'elle vienne avec des cris ou des larmes, ne les laissez plus jamais vous dire que vous êtes sales, ne soyez plus silencieuses. Faites votre rage votre.
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EN [Let it rage]
Heyy! I wanted to use watercolour again so here are some watercolour sketches jsjs
I don't think we stress out enough how important rage is, especially regarding women and fem-presenting people.
I own rage a lot regarding my current art (even though it may not be visible in my work) because rage has been one of the first fuels of my obsession for Florida Woman. In my daily life, I sometimes have so much rage in me that I want to burst it on the world around me.
Through history, our anger has been vilified and soiled: seen as beings unable to grasp reality beyond our emotions, called hysterics when shouting to loud. Now is the time to embrace it: whether it comes with screams or tears, never let them call you dirty again, never be silent. Make your rage your own.
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valerielemercier · 11 months
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Ce matin, François Morel a écrit une lettre pour Valérie Lemercier Chère Valérie Lemercier, Je vous écris cette lettre que je ne vais pas poster vu que je vais directement vous la lire ce matin. Moi, ça m’économise un timbre et peut-être ça fera parler de votre film Aline, qui sans doute n’en a pas besoin, mais quand même le bouche à oreille, c’est encore la manière la plus efficace d’inciter à partager ce qu’on aime et vu que je suis une bouche derrière un micro qui parle à des oreilles qui écoutent la radio, ce serait bête de ne pas en profiter étant donné que je voudrais que tout le monde aille voir votre film vu qu’il est beau, tellement drôle et tellement bouleversant, tellement populaire et tellement singulier.  Valérie, cette chronique n’est pas un exercice de copinage, je vous connais sans vous connaître, je vous ai découvert il y a de ça une trentaine d’année, quand nous étions dans les studios de Boulogne, dirigés par Jean-Michel Ribes, vous étiez Lady Palace et j’étais Alfred le Groom. Je sais, ça ne rajeunit personne. Depuis, nous nous sommes peu vus. Moi, j’allais voir vos spectacles et chaque fois j’étais scié, par votre inspiration, vos talents multiples, votre culot. La dernière fois, c’était au Châtelet, vous traversiez le plateau avec une valise à roulettes et c’était beau comme un dessin de Sempé. Hier, je suis allé vous voir dans Aline. Avant vous, je crois, de ma vie je n’avais jamais pensé à Céline Dion et puis vous m’avez présenté à Aline Dieu et depuis je crois en Dion. Ce que vous avez tourné, ce n’est pas un biopic parce que pendant tout le film on ne voit que vous, Valérie Lemercier. Ce que vous avez filmé, ce n’est jamais une parodie, vous ne vous moquez jamais, vous rigolez pourtant comme on rigole avec ceux qu’on aime.  On ne sait pas si vous êtes Aline ou Céline ou Valérie, ou les trois à la fois mais ça n’a aucune importance. C’est un truc à part que vous avez réalisé, qui parle de plein de choses, de la volonté de chanter qui se confond avec le désir de vivre, du courage, de la famille, du couple, des enfants, de la naïveté, de l’amour, de la vie. Vous êtes toujours là où on ne vous attend pas Il faudrait dire du bien de chaque actrice, de chaque acteur qui vous entoure, de Sylvain Marcel, de Danielle Fichaud, de Roc La Fortune, de Jean-Noël Brouté, d’Elsa Tauveron, de tous les autres, il faudrait citer aussi le nom de la coiffeuse, de la costumière. J’espère que les spectateurs qui iront voir Aline resteront jusqu’au bout du générique en signe de reconnaissance à tous ceux qui ont œuvré pour votre film.  C’est un film tellement épatant, tendre, drôle mais jamais moqueur, complétement premier degré et intégralement subtil. C’est un film France Inter, Laurence Bloch s’engage à rembourser chaque spectateur à qui le film, par erreur, ne plairait pas. Valérie, je vous embrasse. Peut-être qu’on se tutoie, auquel cas, je t’embrasse.
Merci François
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magdalena-mojennarmor · 2 months
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La morale de cette histoire est qu'il n'y a pas de morale dans les histoires.
J'ai tellement vécu que je pourrais m'arrêter à une table et écrire un livre.
Je voudrais mettre la vie en suspens pour la saisir.
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frenchdrarry · 2 months
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Draco Malfoy avait toujours eu ce qu’il voulait et il en avait conscience. Il était privilégié par sa position d’héritier, de fils unique, d’enfant voulu et chéri par ses parents. Privilégié par la nature même, par sa beauté, par son intelligence. Il savait qu’il faisait énormément d’envieux. Qu’y pouvait-il ? Il était né comme ça. Une cuillère d’argent dans la bouche. Littéralement, qui plus est, car il ne se souvenait pas d’un repas familial sans que l’argenterie ne soit sortie.
Que penserait Harry de l’argenterie ? Draco n’était pas aveugle, loin de là. Il avait remarqué les tenues usées du fleuriste. Sa maigreur qui peinait à être corrigée. Son âge. Draco avait demandé à Luna Lovegood depuis combien de temps Harry travaillait pour sa mère, atterré d’avoir tant de fois manqué le bel homme durant ses achats express. Mais fort heureusement, cela ne faisait que quelques mois lorsqu’il s’est rendu compte de sa présence. Cela faisait donc trois ans, à présent. Et s’il avait été embauché à 22 ans, il n’avait sûrement pas fait d’études. Son travail n’était définitivement pas un temps partiel et lorsque Draco parlait de ses examens, Harry ne renchérissait jamais sur les siens. Tous ces éléments ne menaient qu’à une seule conclusion : il était pauvre. Draco irait jusqu’à dire qu’il était plus pauvre que la moyenne, même si ça ne changeait rien à ses yeux.
Il y avait longuement pensé. Très longuement.
Mais presque trois ans plus tard, le fait demeurait : il était diablement attiré par Harry Potter. Tout lui plaisait. De sa beauté sauvage à sa folle impertinence, de son habilité à son talent de composition. Draco en voulait plus. Qui sait, peut-être qu’une fois en rendez-vous, il découvrirait des aspects de Harry qu’il n’aimait pas et il cesserait d’être obsédé par le fleuriste. La sensation de sa peau rugueuse lui revint en mémoire malgré les mois qui le séparaient du 31 juillet. C’était la première fois qu’il avait baisé une main aussi sèche. Rude.
—Tu es bien pensif, nota sa mère.
Elle se déplaça gracieusement à ses côtés, admirant à son tour le sublime jardin à la française à travers les baies vitrées. Il hésitait à lui en parler. Elle n���avait pas été désappointé en apprenant qu’elle n’aurait jamais de belle-fille et son père s’en était également vite accommodé. En revanche, ils s’attendaient clairement à un riche parti. Un Blaise Zabini, un Théodore Nott. À la limite, un Neville Longbottom. Ce serait un déplaisir, mais cela resterait un parti convenable pour un Malfoy.
Un Harry Potter, fleuriste, sans le sou ? L’affaire s’annonçait mal. Ce n’était pas pour rien que Draco, sûr de lui et tellement habitué à obtenir ce qu’il voulait qu’il n’avait guère de patience, avait pourtant patienté plus de deux ans dans l’espoir que son attirance se fane d’elle-même. Mais il devait se rendre à l’évidence : loin de s’étioler, il devenait de plus en plus attiré Harry. Ce n’était plus seulement pour ses yeux d’un vert presque surnaturel, pour son sourire tordu ou pour sa silhouette qui ne demandait qu’à être découverte. Plus encore, c’était pour sa facilité à le faire rire, à le surprendre, à renchérir intelligemment à chacune de ses boutades que Draco était irrémédiablement sous le charme.
C’était décidé, il inviterait Harry Potter à un rendez-vous. Avec un peu de chance, il serait déçu, son attirance s’effondrerait d’elle-même et il trouverait un bel homme riche que ses parents approuveraient.
Il le fallait.
—Sûrement. Mais l’objet de mon trouble n’est pas digne de votre intérêt, mère. Il n’y a guère d’inquiétude à avoir.
Narcissa Malfoy lui jeta un regard acéré. Un regard tellement Black que Draco se sentit immédiatement recomposer son masque d’aristocrate.
—Pourtant, je ne me sens pas sereine. Peut-être voudrais-tu me confier l’objet de tes pensées, afin d’apaiser la mère inquiète que je suis ?
—Je vous assure, tout va bien. Je ne désire guère m’appesantir sur le sujet. Toutefois, soyez certaine que je viendrais à vous si le problème persiste.
Elle le détailla longuement avant de reporter son regard sur le jardin.
—Fais attention à toi, Draco. Nous serons toujours là pour toi.
J’ai comme l’impression que je vais vite tester cette assertion.
—Je sais. Je vous aime.
—Nous aussi, Draco. Nous aussi.
Et elle sourit, de ce sourire tendre et maternel qu’il était le seul à connaître.
Faites que Harry Potter soit décevant, par pitié.
*
Il n’était pas décevant, il était désespérant.
Frustrant, irritant, irrémédiablement chiant et incroyablement attachant. Merde.
Premier signe que cela s’était mal annoncé pour Draco Malfoy : avant d’entrer dans la boutique, il avait été légèrement angoissé. S’il fallait être parfaitement honnête avec soi-même, Draco avait été à deux doigts de faire demi-tour tant il avait eu peur, mais il était hors de question de se l’avouer, même à soi-même. Il était donc entré, les mains légèrement moites et le cœur battant la chamade.
Les autres signes s’étaient succédés : Harry avait été accaparé par un client, c’était madame Lovegood qui était venu le voir. Il avait dû refuser son aide, gêné, car il voulait parler à Harry. Le sourire moqueur sur le visage de cette femme était quelque chose qu’il voulait oublier de façon définitive. Il ne l’inviterait définitivement pas à leur mariage.
Wait, what ?
Concentre-toi !
Harry enfin devant lui, le cerveau de Draco s’était mis sur pause. Il avait été extrêmement tenté de faire mine de rien et d’acheter un quelconque bouquet avant de prendre les jambes à son cou. Finalement, il avait enfin eu le courage de se jeter à l’eau et demander un rendez-vous à Harry — sans bégayer, s’il vous plaît — quand Harry avait eu l’audace de refuser.
Oh, le pauvre bougre. Draco avait oublié un léger détail : Harry était incapable d’accepter quoi que ce soit. Foutu connard. Draco s’était tardivement rappelé la peine qu’il avait eu à acheter un bouquet à Harry pour son anniversaire.
Alors maintenant, entre une allée de tulipes et une autre de bégonias, il avait en face de lui un fleuriste rougissant plus têtu qu’une mule.
—Tu mens, déclara posément Draco.
Il était intérieurement très loin d’être aussi calme qui le prétendait.
—Non, répondit brièvement Harry entre ses dents en détournant le regard.
C’était le plus mauvais menteur de la planète. Même un enfant de trois ans mentait mieux que ça.
—Si. Je sais que tu es attiré par moi, tout comme je le suis par toi. Et tu es officiellement bisexuel, donc je te le redemande : pourquoi refuses-tu mon rendez-vous ?
Draco commençait à avoir une petite idée du problème.
—Je n’ai pas de temps à te consacrer.
—Trouves-en.
Effaré par ce culot, Harry lui jeta un regard noir qui était immédiatement démenti par ses prunelles brillantes d’amusement et son petit sourire.
—Tu es l’audace incarné, Malfoy. Pourquoi voudrais-je faire cet effort ? Tu ne m’intéresses pas. Accepte mon refus et va voir ailleurs si j’y suis.
—C’est un compliment que l’on me fait souvent. Qu’as-tu à faire de plus important que passer du temps avec moi ? se moqua-t-il en retour.
—Une sieste. La vaisselle. Une lessive.
—Faisons cela ensemble, alors.
Interloqué, Harry resta un moment sans voix avant de rire, légèrement hystérique.
—Alors toi…Non, certainement pas. Je n’en reviens pas. Qu’est-ce qui t’intéresses donc tant chez moi ?
Tout, bordel.
—Tes vêtements propres, apparemment.
Harry roula des yeux.
—Dit-il en allant probablement au pressing toutes les semaines…
—Mieux, j’ai un employé. J’aimerais que tu le prennes en stage. Tu aurais sûrement beaucoup à lui apprendre.
—Oh, c’est donc un rendez-vous professionnel que tu me proposes ?
Les yeux verts brillaient de malice. Il rayonnait d’humour et de tendresse. Draco ne s’en lasserait jamais.
—Oui. Tu dois bien connaître tes futurs employés, quand nous vivrons ensemble dans une immense maison de compagne avec trois chiens, deux chevaux et six chats.
Harry entrouvrit les lèvres avant de les refermer, les joues à nouveau rouges. Niveau carnation, Draco espérait s’en sortir mieux.
—Woah. Je te savais ambitieux, mais je te découvre visionnaire.
—Je suis un homme aux multiples talents. D’ailleurs, j’ai une autre vision : toi, acceptant ma demande de rendez-vous.
—J’ai toujours détesté les voyants. Je vais donc refuser.
—S’il te plaît…?
C’est la technique qui avait le mieux fonctionné le 31 juillet. Comme s’il avait conscience de sa faiblesse, Harry le fusilla du regard mais peinait à réitérer son refus. Draco sentait que ses réserves n’avaient rien à voir avec lui et tout à voir avec l’aspect monétaire, donc il poursuivit. Ça faisait plus de deux ans qu’ils se tournaient autour, après tout. Il n’allait pas abandonner maintenant.
—Un simple dîner. Je paye, je n’attends rien de toi, d’aucune façon.
—Je sais, mais non.
—Un café, alors ? Le Serdaigle. C’est un café-librairie très sympa.
—Non !
Devant le froncement de sourcils de Draco, Harry poursuivit :
—C’est celui de Cho. Mon ex. On est en bons termes mais je ne veux pas du tout avoir un rendez-vous galant là-bas, ce serait vraiment gênant.
Note à moi-même : ne plus jamais foutre les pieds au Serdaigle.
Deuxième note : demandez des informations à Chang.
—Un autre café ?
Harry baissa les yeux sur ses mains et passa un ongle sous un autre pour enlever un peu de terre. Ses mains étaient à des milliers de kilomètres des mains d’un Zabini ou d’un Nott. Pas soignées, griffées, tachées, abîmées, tannées par le soleil. À l’opposé des mains délicates de Draco. Il avait une folle envie de lier ses mains aux siennes.
—Et pourquoi pas une promenade ? Jusqu’à la colline d’Helga. Le coucher de soleil est magnifique là-bas.
Il a proposé quelque chose !!! OUI OUI OUI
—Marché conclu. Où se rejoint-on ?
Harry mâchouilla l’intérieur de sa joue.
—Ici, à 19h30. Ça te va ?
—Honnêtement, Potter. J’aurais accepté même si tu m’avais dis 2h du matin à la gare.
Le sourire de Harry transperça son visage.
–Mince, c’est ça que j’aurais dû faire. Je suis sûr que ce joli visage se vendrait très cher sur le marché noir.
Niveau carnation, Draco ne répondait plus de rien. Ses joues étaient probablement plus rouges qu’aucune des fleurs de la boutique.
*
Quand Draco avait aperçu Harry au loin, il avait immédiatement été intrigué. Il avait un sac à dos qui avait l’air bien chargé et des baguettes de pain sous le bras. Mais surtout, il faisait du skateboard. Harry lui avait souri timidement avant de sauter de sa planche et, d’un fort appui sur une extrémité, elle avait atterri dans sa main avec une aisance pratiquée.
—Salut.
—Salut.
Harry, comme à son habitude, comprit immédiatement la tonne de questions qu’avait Draco et en réponse, un sourire narquois chassa son air auparavant timide. Draco avait toujours été fasciné par la facilité avec laquelle Harry le comprenait.
—J’ai apporté le pique-nique. Pas grand-chose, mais…Je me suis dis que ça pouvait être chouette.
Oh, le fourbe. Il refusait les cadeaux de Draco mais lui offrait un pique-nique. Draco sourit malgré lui. Il se vengerait.
—C’est une excellente idée.
Ils se mettaient en route quand Draco ajouta d’un ton moqueur :
—Pour quelqu’un qui n’était pas intéressé, tu es très investi.
—Il faut soigner sa clientèle.
—T’es payé en heures supplémentaires pour pique-niquer avec moi ?
—Oui. Merci d’arrondir mes fins de mois.
Draco abandonna cette joute verbale pour détailler Harry et celui-ci, captant son regard, se laissa faire avec des yeux brûlants. Comme s’il se préparait au rejet et qu’il le défiait de le faire.
Mais il n’y avait aucun monde où Draco Malfoy rejetterait Harry Potter.
—Nous formons une drôle de paire, toi et moi, lâcha finalement Harry.
Draco essaya de se figurer à quoi ils ressemblaient, de loin. Un homme aux cheveux d’ébènes emmêlés, aux lunettes légèrement de travers, chemise trop large sur un vieux t-shirt à l’effigie d’un groupe de rock, sac à dos usé sur le dos, skateboard sous le bras et un pantalon de cargo taché de peinture. À ses côtés, un homme grand aux traits fins, vêtu d’un costard bleu foncé qui soulignait sa taille élégante et son teint clair.
—Tu n’as pas l’habitude d’attirer les regards ? taquina Draco en retour.
—Pas vraiment, non. J’ai plutôt tendance à les éviter.
Encore ce sourire tordu que Draco aimait tant. Mais la lueur des émeraudes indiquait une confidence. Il en prit note.
*
Bon, Draco était foutu. Il en avait pris conscience au moment même où le coucher de soleil avait fait rougeoyer les cheveux de jais de Harry et que celui-ci s’était tourné vers lui, la peau revêtu d’or solaire, pour lui adresser le plus heureux des sourires.
À présent, Draco réfléchissait à une autre façon d’inviter Harry à sortir. Comme un idiot, il n’avait pas pensé à prendre son numéro et il ne l’avait pas trouvé sur les réseaux sociaux. Néanmoins, avant de se quitter, Harry l’avait remercié pour cette soirée. C’était bon signe, n’est-ce pas ? Draco ne voulait pas se précipiter, mais chaque seconde passée auprès de Harry était incroyable. Il ne devait pas faire n’importe quoi.
Quel était le temps adéquat pour proposer un nouveau rendez-vous ? Devait-il penser à une activité gratuite, comme ce qu’avait proposé Harry ? Comment faire pour que Harry se fiche de l’argent de Draco ? S’ils étaient amenés à vivre ensemble, Draco se fichait pas mal de tout payer. Il était ridiculement riche, ce n’était pas du tout un problème.
Il se retourna et enfuit la tête dans son oreiller. Jamais, au grand jamais, il s’était autant pris la tête pour des amourettes. Au fond de lui, il savait que c’était différent. Tout, chez Harry, était différent.
Mais surtout, Harry Potter était un défi à part entière. Et Draco Malfoy adorait les défis. Il voulait résoudre le casse-tête qu’était Harry Potter pour le restant de ses jours.
Il était vraiment foutu.
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tealviscaria · 11 months
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L'Effet papillon ou Un manuel sur comment découvrir Le Visiteur du futur
Alors, je suis pas francophone, donc je trouve que ça pourrait être intéressant de raconter comment j'ai découvert cette série française qui est quand même assez niche, même en France.
(*Faut d'abord préciser qu'en ce temps-là, j'étais déjà en train d'étudier le français à l'école, donc j'avais déjà peut-être un niveau A2-B1, je doute que tout ça soit possible au niveau débutant.*)
1) Un jour, je me suis dit: "tiens, je voudrais connaître plus de chansons françaises." Très ingénieusement, j'ai tapé "chansons françaises" sur Youtube. J'ai écouté quelques chansons, genre des playlists comme "top 100 chansons populaires" et franchement, j'ai pas été impressionnée.
2) Donc, for the lolz, j'ai décidé de chercher "chansons français emo".
Et là se trouvait le Graal. L'une des chansons que l'algorithme m'a recommandées, c'était L'Assasymphonie. Tout de suite c'était un coup de cœur. J'écoutais d'autres chansons par ces artistes et je trouvais le groupe tellement stylé. Mais attendez– quoi?? C'est pas un groupe de musique mais une comédie musicale?? Tant mieux! J'adore les comédies musicales!! Évidemment, je l'ai regardée. (Coucou ma profile picture <3)
3) Florent Mothe joue Salieri dans Mozart l'Opéra Rock mais il en a joué d'autres. Et quel rôle pourrait être mieux que le principal, n'est-ce pas? Alors j'ai regardé La Légende du Roi Arthur où il joue notre Pendragon préféré. Dans les commentaires au-dessous d'un clip, quelqu'un a mentionné Kaamelott. La série me paraissait intéressante, en plus les épisodes étaient courts et avec sous-titres sur Youtube, donc win win.
4) Personne ne serait surpris si je dis qu'après j'ai découvert Hero Corp. Que dire de plus, sinon que les Astier ont un lien très fort?
5) Hero Corp contient des épisodes spéciaux, parmi lesquels se trouve un crossover particulier. Pendant que Klaus en a marre et frappe le nouveau-venu, je me dis "mais qui est ce gars??"
Et c'est comme ça que j'ai découvert Le Visiteur du futur :)
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lerefugedeluza · 9 months
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Bonjour 2024.
Tu viens de commencer, mais j’ai déjà beaucoup d'espérances pour toi. 
Je ne voudrais pas te mettre la pression car ça ne fait que quelques jours que tu viens de d’arriver, mais sache que chacune de tes journées risque d’être bien remplies. 
Je sais qu’en 2023, je disais qu’il fallait que j’apprenne à respirer, à prendre mon temps, à lâcher prise. Mais il y a tout simplement beaucoup trop de choses que je veux faire dans la vie. Parce que je la sais courte, parce que tout m’intéresse, parce qu’il y a trop de possibilités mais jamais assez de temps. 2024, prépare-toi bien car tu vas être chargée ! 
Commençons par le travail, car il faut bien un peu gagner sa vie pour avoir la liberté d’en faire ce qu’on veut : je vais sans doute beaucoup travailler cette année aussi, car mon ambition d’acheter une petite maison à la campagne un jour ne m’a toujours pas quittée. J’espère ne pas trop ressembler à ce vieil oncle Picsou passant son temps à recompter toutes ses piles de piécettes, mais je vais essayer d'économiser comme je peux. 
Maintenant, passons à tous mes plans sur la comète, à tout ce qui me tient vraiment a cœur.
D’abord, il y a mes projets d’écriture, j’ai un roman pour lequel j’ai déjà tracé beaucoup de lignes, et cette année, j’aimerais au moins en terminer le premier jet. Je voudrais aussi essayer d’écrire quelques nouvelles et des poèmes, mais ma priorité pour les textes courts, c’est surtout d’écrire mes vidéos. Une par semaine je l’espère. Ce qui fait 52 vidéos de prévu pour toi, 2024. 
D’ailleurs questions vidéos, j’ai plein plein plein d’idées. Tiens-toi prêt 2024, car sache que j’ai déjà prévu le sujet de mes vidéos jusqu’à mi-juillet. Il y a aussi deux concepts auxquels j’aimerais faire voir le jour, mais je ne sais pas encore trop comment. Tu vas te dire que je suis folle et je sais que mon imagination est quelque peu débordante, mais je t’assure que ce sera une année merveilleuse ! Pleine de passions et de créativité. 
Ensemble, on va dessiner, écrire, lire, tricoter, jouer de la musique, danser et voguer vers mille et une autres aventures exaltantes !
J’adore les débuts de nouvelles années car cette idée de nouveau départ me donne un regain d’énergie et d’enthousiasme énorme et me donne l’impression que je peux tout faire, tout entreprendre. Et d’ailleurs, cette année, j’ai décidé de laisser carte blanche à mon esprit créatif et je n’ai pas vraiment pris d’autre résolution que de suivre les élans de mon cœur.
2024, je ne sais pas ce que tu as prévu pour moi, mais comme tu peux le voir, j’ai déjà prévu beaucoup trop de choses pour toi. Je sais bien que je n’aurais sans doute pas le temps de tout faire et que ça va certainement beaucoup me frustrer, mais peu m’importe. Là tout de suite, je suis tellement heureuse d’avoir tous ces projets dans la tête et dans le cœur, et je compte bien réussir à en réaliser quelques uns ! 
2024, j'espère qu’on s’entendra bien et que, contrairement à ton prédécesseur 2023, tu ne prendras pas un malin plaisir à me mettre plein de bâtons dans les roues. S’il te plaît, donne-moi du courage et de la détermination et je t’assure qu’on passera 366 merveilleux jours ensemble. 
Alors je te dis à très vite, car nous avons tant de moments à vivre tous les deux ! J'espère sincèrement que tu seras une année exceptionnelle, pour moi, et pour tous les autres aussi ♡ 
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lisaalmeida · 10 months
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Depuis que je la connais, je ressens des trucs hallucinants
Et je me dis souvent que j'ai eu de la chance de lui avoir plu, sinon
J'aurais jamais su qu'un rire pouvait arrêter la Terre tourner
J'aurais jamais su qu'un regard pouvait habiller mes journées
Je comprends pas tout ce qui se passe, y'a pleins de trucs incohérents
Depuis qu'elle est là rien a changé, mais tout est différent
Elle m'apporte trop de désordre, et tellement de stabilité
Ce que je préfère c'est sa force, mais le mieux c'est sa fragilité
Ce n'est pas un texte de plus, ce n'est pas juste un poème
Parfois elle aime mes mots, mais cette fois c'est elle que mes mots aiment
Je l'ai dans la tête comme une mélodie, alors mes envies dansent
Dans notre histoire rien est écrit, mais tout sonne comme une évidence
J'ai redécouvert comme ça réchauffe d'avoir des sentiments
Et si tu me dis que c'est beaucoup mieux de vivre sans, tu mens
Alors je les mets en mots et tant pis si mes potes me chambrent
Moi je m'en fous, chez moi y'a une sirène qui dort dans ma chambre
J'avais une vie de chat sauvage, elle l'a réduite en cendres
J'ai découvert un bonheur tout simple, c'est juste qu'on aime être ensemble
On ne calcule pas les démons du passé, on n'a pas peur d'eux
Moi si un jour j'suis un couple, je voudrais être nous deux...
Grand corps malade
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iranondeaira · 3 months
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Combien j’ai apprécié chaque moment passé avec toi ...
Pardon .
J’aurais voulu avoir une autre chance de te dire combien je t’aime quand bien même il est trop tard maintenant que l’histoire n’est apparemment plus à suivre ...
Notre histoire ...
Je me réveille la nuit, une douleur liquide qui coule dans tout le corps, cherchant l’erreur que j’ai pu commettre... les jours sont restés les mêmes, ils se suivent ... les nuits se sont transformées en vertige, ton absence est trop présente pour que je puisse tenir ton souvenir hors de moi , la vie est courte mais lente et donne à espérer ...
je ne te cherche pas ... tu es là ... oui certains soirs tu me fais mal ... je m’imagine marchant dans les rues, nos rues ... à la recherche de ton fantôme ... Je sais qu’une part de ma vie d’homme vient de marquer le pas, elle restera là... longtemps... à ne plus pouvoir passer la porte de ces lieux ... à attendre que le temps efface les traces ... à attendre ... de sentir imperceptiblement l’indifférence atténuer la douleur ... avec le temps ...
Je sais que je ne pourrais plus dire je t’aime, je me sens étranger à moi-même, une part de moi est partie avec toi ... je t’ai laissé aller là où personne n’avait trouvé le chemin ... j’en étais moi-même heureux de la surprise de me découvrir à travers tes yeux, sentir mon corps devenir vivant sous ta chaleur... j’y ai cru si fort ...
Toi seule pouvait te faufiler là où j’étais ... Toi seule pouvait trouver le chemin de ce jardin que la vie m’avait donné à fermer ... j’y ai cru à cette promesse ... nous étions amants ... j’y ai cru à nos cœurs à corps ... j’y ai cru à cet amour, il venait de tellement loin ...
je porterai le deuil de cette histoire, un bout de mon histoire ... ce sont les choses de la vie paraît-il ... je vais apprendre à vivre sans toi, je me souviendrai de ton goût de pommes de cerise et de lilas, je me souviendrais du parfum de verveine, de vanille de ce petit bonheur tout doux ... Je dois vivre sans tes bras, avec le souvenir de ton sourire, de tes yeux ... Ma raison renoncera mais je sais que ma mémoire est marquée au fer rouge tel le tatouage qui coure sous ma peau ... oui je t’ai dans la peau , les jolies danses sont rares , tu étais, tu es ma plus belle danse ... notre histoire est, était ... un moment ... bien.
Il me faudra du temps pour ne plus être frappé par cette panique de la raison si je devais te revoir même par hasard ... Je te vois danser sur les quais dans cette petite robe noire ... je sais que je n’aurai pas la force et pourtant je voudrais te revoir .
Avons-nous bien vécu la même histoire ? Oui, parfois je reste immobile les yeux dans le vide et de me demander si ce n’était pas un rêve, juste un joli rêve .
Mon amour est abîmé ... tu n’aurais qu’à ouvrir les bras pour tout recommencer... tout reconstruire ... une nouvelle histoire ... Nôtre histoire ...
Toi sinon personne
.. .’ ....
🎨 : Gleb Gloubetski
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e642 · 3 days
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Actuellement je suis dans une période de déséquilibre hormonal dû au stress c'est assez fou et c'est doublé par une crise de dermatillomanie assez puissante. Je dois me laver et aller dans la salle de bain avec la lumière éteinte pour éviter de ravager mon visage. Du coup, je ravage mes jambes et ma poitrine et c'est assez navrant. J'en souffre depuis des années, voire même une décennie et je prends peu à peu conscience réellement qu'aucun produit de beauté n'aidera ma peau si je continue à la dégrader comme ça. Chaque année je me dis que ma peau est dans le pire état possible et l'année d'après je me surprends à envie ma peau d'avant car j'ai réussi a faire pire. J'y pense souvent mais si je n'avais qu'un vœu à faire ce serait repartir à zéro pour ma peau et je trouve ça triste. Je m'en voudrais sûrement toute ma vie d'avoir causé autant de dommages irréversibles et je parle même pas de la mutilation que j'accepte paradoxalement anormalement bien. Sûrement parce que j'ai décidé pour la mutilation, je veux dire, j'avais vraiment conscience de ce que je faisais et que ce serait irréversible mais pas pour ma peau. Aujourd'hui je sais que mon regard sur moi ne sera plus jamais le même et mettra du temps à devenir agréable. Le complexe est tellement fort que j'arrive même pas à détester autre chose tellement ça me prend de l'énergie de détester toutes mes cellules épithéliales.
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rollinginthedeep-swan · 8 months
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Bouteille à la mer, matelot !
C'est ouf. J'ai terriblement envie de rejouer De Niro dans sa cinquantaine et j'ose pas trop. C'est tellement le genre de personnage difficile à lier. Juste, si vous avez de la place pour un vieux bougon probablement un peu bandit sur les bords avec des gens qui accepteraient de se lier avec, pour des vrais rps en folie et qui ne sont pas bloqués par le fait que non, ça peut pas finir en ship - quoique, si vous jouez un personnage du même âge on sait jamais - , ce serait ouf ? (Forum uniquement, pas de discord, majeur et thèmes sombres avec un brin de folie préférables. Si possible du surnaturel, par contre ?) J'ai aussi des problèmes aux yeux et les thèmes blancs non ajustables me font très mal aux mirettes, malheureusement. Mais si j'ai un coup de cœur ça peut s'ajuster. )
Peut-être que cette bouteille va se perdre dans le néant et ne jamais trouver son étagère, mais tant pis, j'ai tenté !
Merci infiniment pour toutes vos propositions, je barre le sujet pour éviter les nouvelles propositions, pour le moment j'en ai bien plus que je ne pouvais l'espérer et je ne voudrais pas me disperser. <3
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claudehenrion · 6 months
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De l'âme
Une surprise : plusieurs lecteurs, sans doute ébranlés par le vide abyssal qui caractérise notre temps –et avec une inquiétante tendance à l'aggravation– m'ont demandé récemment de “parler de l'âme”. Mais si je me sens très capable de donner un avis –qui n'est que le mien, corrigé par nombre de lectures et d'emprunts– … je tiens à préciser que je suis évidemment tout-à-fait incapable de répondre à la question multiple “Existe-telle ? Quelle est-elle ? Que recouvre-t-elle –ou pas ?”, et surtout de me livrer à cet exercice… en une page “A4’‘ ! Mais quel meilleur moment qu'une Semaine Sainte pour esquisser un début de réponse 
Le mot ’'âme” lui-même, tiré du latin (“anima = l'air, le souffle, la vie”), recouvre tant de notions différentes que “ne pas y croire” ne peut avoir aucun sens : qui parle de “croire” à l'air, au ciel bleu, au chocolat… ? S'agit-il de l'Ame des peuples (André Siegfried) ? de l'Ame des choses (Auguste Blondel) ? des “objets inanimés” de Lamartine ? de l'Ame du monde (Frédéric Lenoir) ? (NB : je pourrais continuer longtemps). Ecoutons plutôt Camus : “Ne pas croire à l'âme est une absurdité”.
A ce moment où l'humanité semble “flirter” avec sa chute dans des abîmes qu'on peut craindre définitifs, l'âme –qui était un peu sortie de nos préoccupations consumérisées– semble faire un retour sur le devant de la scène, et nos lecteurs ne s'y sont pas trompés, en m'en parlant. Il faut reconnaître que sa définition a bien varié à travers les siècles : dans l'Antiquité, les grecs en avaient une vision bipartite (“corps et âme”)… alors que pour la tradition biblique, la vision était tripartite (“corps, esprit –pneuma en grec et spiritus en latin–, et âme –psychè, en grec et anima en latin, ce dernier mot animant la vie intérieure et la personnalité, mais aussi ce qui donne vie au corps. Ne ’‘rend-on pas son âme”, au moment du grand départ ? Mais n'allons pas trop vite : avant de la “rendre”, il faut la définir.
Pour les philosophes, l'âme est souvent une notion qui permet de parler de l'être humain dans sa totalité. Pour Platon, l'âme est en conflit avec le corps qui l'emprisonne, alors qu'Aristote insiste sur une conception non dualiste entre “âme” et “corps”, chacun étant plus ou moins indépendant de l'autre. Plus tard, pour le christianisme, qui tient un rôle de toute première importance dans cette “dissertatio” (que je voudrais tellement ne pas être une “disputatio”!), le mot “Ame” veut décrire comment est formé un être humain dans et par ses expériences fondamentales : la vie, l'amour, le désir, la maladie et la souffrance, le questionnement sur “après la vie –ou après la mort”, et l'âme se définit donc comme “autre” que l'esprit : d'un côté, un principe de vie, “ce qui anime le corps”, siège des émotions et des passions, et de l'autre, vie intérieure, et personnalité. On peut dire : raison, ici et liberté, là…
Mais en 1621, Descartes introduit une rupture dans la conception traditionnelle, en traduisant “âme” par “mens” : l'homme est d'abord un être pensant, et le mens latin, qui désigne d'abord le cerveau, l'intelligence, la raison, l'esprit… va peu à peu replacer l'ancienne “âme” au profit de ce nouvel arrivant, le “cogito’' . Une nouvelle logique bipartite est née, le corps et la pensée, séparés mais liés : ’'Cogito, ergo sum”.
Le mouvement phénoménologique, qui se targue d'appréhender la réalité telle qu'elle se donne ou se montre, considère que le corps, seul, joue un rôle (“Le monde n’est pas pour moi autre chose que ce qui existe et vaut pour ma conscience”, écrit Husserl en 1937), ce contre quoi réagit la grande Edith Stern, juive devenue carmélite et morte à Dachau : “On ne peut vivre sans âme, c'est-à dire avec une âme paralysée ou en sommeil’’… phrase où nous retrouvons ce qui est visible tout autour de nous… et ce dont l'humanité est en train de crever
Il fallut attendre 1953 pour que Crick, Watson et Rosalind Franklin, découvrent l'ADN, cette part d'éternité qui est en chacun de nous. Inséparable de nous, elle nous contient tout entiers et nous résume, tout en nous rattachant à nos origines… Question jamais posée mais qui me taraude depuis longtemps : ’'Se pourrait-il que cet acronyme, l'ADN, soit, en fin de compte, le support matériel de notre âme ? Son caractère ’'iso-éternel’'et son identité parfaite avec notre ’'être”, notre “avoir été” mais aussi notre “devoir être”, en font une parfaite réponse à ce que pourrait être ce “Corps glorieux” si difficile à imaginer mais sous lequel, disent les chrétiens, nous entrerons un jour dans notre éternité
En 1979, Joseph Rätzinger, grand théologien et futur grand Pape Benoît XVI, posa (“La Mort et l'au-delà” )que “il n'y a aucune raison sérieuse de rejeter le mot âme , cet outil verbal indispensable dans la foi des chrétiens… ce qui se vérifie à travers la prise de conscience actuelle… que une conscience, justement, ne peut exister sans objet pour la percevoir et sans sujet pour la traduire et l'expliquer”. Et voilà l’ “âme” qui fait à nouveau partie du vocabulaire de la philosophie, le besoin de cet éditorial en étant un début de preuve en soi.
Un dernier point, peut-être : en 2016, l'académicien François Cheng avait écrit un fort beau “De l'Ame” (Albin Michel) où il écrivait “A part le bouddhisme dans sa version la plus extrême, toutes les grandes traditions spirituelles ont pour point commun d'affirmer une perspective de l'âme située au-delà de la mort corporelle : l'âme de chaque être est reliée au souffle primordial qui est le secret de la vie-même. Animée par un authentique désir d'être, elle nous rappelle donc, quelle que soit notre croyance –ou notre non-croyance– combien notre vie participe d'une aventure unique, le Tao –la Voie– qui ne connaît pas de fin, contrairement à la vie”.
J'admets que tout cela n'est pas simple… Mais le moyen, s'il vous plaît, de parler de sujets eschatologiques avec nos seuls mots humains, et en un temps et un espace si réduits ? Par prudence, je vais donc demander à d'autres que moi de conclure. D'abord George Meredith : ’ L'âme est tout, ici-bas; le reste n'est qu'illusio'n’’… Puis Rivarol : “Sans le corps, l'âme n'aurait pas de sensations, mais sans l'âme, le corps n'aurait pas de sentiment”... Libre à ceux qui ont décidé de ne pas y croire, de vivre “sans”. Mais qu'ils ne comptent pas sur moi : je suis si bien, “avec”, surtout en cette Semaine, qui est Sainte pour un bon tiers de l'Humanité.
H-Cl.
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