#Droit anglais
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lebibliographedudroit-21 · 2 years ago
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Parution du 22/06/23
Cyril Vidal, L'avenir de la fonction de notaire, Réalité(s) ou simulacre ?, éd. EMS, « Business science institute », 2023, 238 p.
Le notaire est à la fois un chef d'entreprise et un officier public. De cette complémentarité naît pourtant un paradoxe : comment concilier une exigence de rentabilité compétitive pour l'entreprise et une mission de service public en dehors de tout cadre concurrentiel et de toute recherche de rentabilité ? Par quel moyen cela est-il possible ? Sans doute grâce à la réglementation de la profession de notaire. Or, la loi pour la croissance, l'activité et l'égalité des chances économiques dite « loi Macron » est venue redéfinir les règles en libéralisant le cadre d'exercice de la fonction de notaire. Au dire de certains notaires, on aurait « changé les règles du jeu en cours de route ! ». Le notaire chef d'entreprise se trouve donc face à une (re)réglementation de sa profession et doit affronter une incertitude managériale. Grâce à une prise de recul, et une (re)construction de ce qu'est la réalité, l'auteur de cet ouvrage propose, par une approche de la discipline du droit sous l'angle du management stratégique, d'apporter au notaire des recommandations managériales lui permettant de repenser sa fonction. Cyril VIDAL. L'auteur dirige plusieurs sociétés dans le domaine de l'informatique notariale depuis plus de 22 ans. Il mène des travaux de recherche sur l'avenir de la fonction de notaire et s'intéresse à l'incidence et au rôle des outils informatiques sur l'évolution de la pratique notariale. La valorisation de ses travaux se fera par la création d'une deep tech et le développement d'outils informatiques open source. Docteur en administration des affaires du Business Science Institute et de l'iaelyon School of management de l'université Jean Moulin Lyon 3, il est également titulaire d'un Master of Business Administration de l'ESC Clermont Business School, d'un master finance de l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et d'un master droit des affaires de l'université Paris 2 Panthéon-Assas.
Code civil 2024, annoté, Dalloz, 123e éd., 2023, 3462 p.
Code de commerce 2024, annoté, Dalloz, 119e éd., 2023, 3970 p.
Code de procédure civile 2024, annoté, Dalloz, 115e éd., 2023, 3554 p.
Code de procédure pénale 2024, annoté, Dalloz, 65e éd., 2023, 3456 p.
Code pénal 2024, annoté, Dalloz, 121e éd., 2023, 3322 p.
Jean Sliwa, L'import-export présenté, expliqué et commenté pour les TPE et PME, Éd. du Puits Fleuri, 2e éd., 2023, 400 p.
Cet ouvrage propose des réponses techniques, juridiques et pratiques basées sur l'expérience de personnes de terrain (dirigeants d'entreprise, comptables, chargés export, acheteurs et vendeurs, commissionnaires en douane, transporteurs, banquiers...) afin de répondre aux interrogations légitimes de tout dirigeant de TPE ou PME, ou ses représentants, tenté de passer à l'acte. Jean Sliwa est ancien cadre supérieur des douanes où il a exercé notamment des fonctions de responsable de bureaux de douane, de comptable public, d'enquêteur, de fondé de pouvoir.
Jean-Michel Bruguière, Le droit du copyright anglo-américain, Dalloz, « Connaissance du droit », 2023, 250 p.
Le copyright est l'ensemble des droits exclusifs de nature économique conférés par la loi à des personnes, physiques ou morales, sur certaines catégories d'oeuvres et de produits culturels. Le copyright, objet de ce livre, est le copyright anglo-américain. Sa finalité est de mettre en valeur la richesse de ce système, sans ignorer, lorsque cela est possible, les liens qu'il entretient avec le droit d'auteur continental, à travers des questions aussi variées que l'objet des prérogatives, les conditions et les titulaires de la protection, la nature du droit, son exploitation, sa violation et les moyens de défenses. La deuxième édition de cet ouvrage introduit un nouveau chapitre sur les droits dits voisins et plus particulièrement celui des artistes-interprètes. Il revient sur les grands arrêts récents du droit du copyright (fair use, droit de communication au public, work made for hire...) et les réformes notoires (CASE Act, Music Modernization Act...), sans oublier les conséquences du Brexit pour le Royaume-Uni (European Union (Withdrawal) Act). Jean-Michel Bruguière est professeur à l'Université Grenoble-Alpes, directeur du CUERPI (CRI), avocat Of Counsel Cabinet Deprez, Guignot & Associés.
Aloïse Quesne (dir.), Quel(s) droit(s) pour les animaux ?, Mare & Martin, « Droit & Science Politique », 2023, 176 p.
« On reconnaît le degré de civilisation d’un peuple à la manière dont il traite ses animaux », affirmait Gandhi. En conséquence, notre civilisation ne gagnerait-elle pas à accorder des droits aux animaux ? Dans le sillage de La sensibilité animale. Approches juridiques et enjeux transdisciplinaires, le présent ouvrage explore des sujets complexes sous un angle pluridisciplinaire et comparé : la découverte de l’individualité animale et sa traduction juridique, l’octroi de la personnalité juridique aux animaux ou encore la reconnaissance de droits fondamentaux, à l’image de ceux destinés à protéger les animaux qui accomplissent un travail. Les droits des animaux sont mis en perspective avec les droits de la Nature, dans la mesure où plusieurs États ont déjà attribué la personnalité juridique à des entités naturelles comme des fleuves, des montagnes ou des forêts. Les questions relatives à la formation des magistrats, la juste application des textes qui répriment la maltraitance animale, ainsi que la création d’un Défenseur des droits des animaux sont également abordées au sein de cet ouvrage, dans l’objectif de garantir leur bien-être et de défendre leurs intérêts. Aloïse Quesne est maître de conférences en droit privé à l’université d'Évry Val d’Essonne, membre du Centre de Recherche Léon Duguit et membre associée de l’Institut Caennais de Recherche Juridique. Lauréate 2014 du Prix de Droit de la Fondation Droit Animal, Éthique & Sciences, elle est responsable de la ligne de recherche "Vers la reconnaissance de droits aux animaux" au sein de la Chaire Normandie pour la Paix. Contributions de Éric Baratay, Florence Burgat, Georges Chapouthier, Jean-Paul Costa, Marine Lercier, Michaël Lessard, Michèle Lis-Schaal, Pauline Malléjac, Stphane Pessina, Aloïse Quesne, Gilles Raoul-Cormeil, Laëtitia Romeiro Dias.
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woestruckalex · 1 year ago
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uuuuugggghhh j'arrive pas à me concentrer waaaaaeuuuggh
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chic-a-gigot · 2 months ago
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La Mode nationale, no. 52, 27 décembre 1902, Paris. Toilette simple et robe de visite (4, 5) Supplément au no. 52 du 27 décembre 1902 de la Mode Nationale. Bibliothèque nationale de France
(4.) — Toilette simple en zibeline rouge clair. Jupe plate devant et sur les côtés, s'évasant derrière en plis élégants. Le tablier est découpé vers le bas en une patte dentelée et fixée par trois boutons de velours. Boléro ajusté et finissant en pointe. Le devant droit est découpé comme le tablier et boutonné sans croiser. Col de castor. La manche très évasée du bas se retrouve à la religieuse; le retroussis boutonne en harmonie avec les dentelures de la jupe et du corsage. Cette toilette, de coupe fort simple, est de jolie allure et fort suante. Elle serait très coquette en core en velours côtelé ou même en velours anglais.
(4.) — Simple dress in light red sable. Skirt flat in front and on the sides, flaring out behind in elegant pleats. The apron is cut towards the bottom in a serrated tab and fastened with three velvet buttons. Fitted bolero ending in a point. The right front is cut like the apron and buttoned without crossing. Beaver collar. The very flared sleeve at the bottom à la religieuse; the turn-up buttons in harmony with the serrations of the skirt and the bodice. This dress, of very simple cut, is pretty and very sweet. It would be very flirtatious in corduroy or even in English velvet.
Matériaux: 5m,50 de zibeline.
Chapeau de feutre rouge rouleauté de velours noir. La calotte s'entoure d'une draperie de chantilly noir retombant en chute sur la nuque; deux ailes noires complètent la garniture.
Red felt hat rolled with black velvet. The crown is surrounded by a drapery of black chantilly falling in a cascade on the nape of the neck; two black wings complete the trim.
(5.) — Robe de visite en drap satin gris fer, ou en homespun, ou en drap de Paris. La jupe s'orné d'un biais piqué posé de façon à simuler une tunique. Le corsage est une petite veste à basque découpée de chaque côté et ouverte sur un plastron de panne émeraude. Des biais composent toute la garniture; ils soulignent le bord de la veste, se posent en chevrons de chaque côté; entre les biais se piquent des boutons de velours noir. Un col arrondi en velours noir sur dépassant gris complète l'ornementation. La manche, un peu pagode, est bordée par une large bande de velours noir découpée de façon à simuler des dents. Elle s'écourte sur un bouffant en liberti blanc monté dans un petite poignet.
(5.) — Visiting dress in iron-gray satin cloth, or in homespun, or in Paris cloth. The skirt is decorated with a stitched bias laid so as to simulate a tunic. The bodice is a small jacket with a basque cut out on each side and open on a plastron of emerald panne. Bias makes up the entire trim; they emphasize the edge of the jacket, are laid in herringbone on each side; between the biases are stitched black velvet buttons. A rounded collar in black velvet on gray overhang completes the ornamentation. The sleeve, a little pagoda-shaped, is bordered by a wide band of black velvet cut out so as to simulate teeth. It is shortened on a bouffant in white liberti mounted in a small cuff.
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willcmsv · 6 months ago
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Soft Launch - Alain Laubrac x Fem Reader (FR)
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The story that follows is in French for my French Voltaire High's fans, English version is posted there!
Requested by @babydeersblog
Synopsis: Alain et toi aviez fait connaissance au début de l’année et aviez été associé à plusieurs travaux de groupes, ce qui a permis de faire évoluer votre relation au fur et à mesure. Cependant, après avoir été moqué lorsque tu as avoué des sentiments à un garçon, tu as décidé de les garder pour toi et de ne plus faire transparaître des traces d’amour. Mais Alain te fait malheureusement ressentir quelque chose que tu aimerais découvrir davantage.
Warnings: petits changements dans l'histoire de base.
Notes: n’hésitez pas à me recommander des idées de oneshots — j’écris en anglais et français!
Depuis le début de l’année, Alain et toi vous échangez des mots durant vos heures de cours. Tu as l’habitude de lui faire des petits dessins pendant qu’il t’écrit des citations ou des farces, dépendant de son humeur. Depuis son combat avec Joseph il y a quelques mois, tu es devenue la sorte d’ange gardien d’Alain, tu l’empêches de déraper et tu le défends lorsque tu en as l’occasion devant Joseph et ses amis.
Cependant, depuis ces dernières semaines, Joseph ne peut s’empêcher de vous taquiner en rappelant comment vous êtes proches et en assumant que vous vous aimez comme si cela était un jeu. Mais Joseph était comme ça. Tout était drôle pour lui et tout n’était pas grave.
Lorsque tu rentres à la maison les week-ends, tu as le droit à l'interrogatoire privé de ton frère Jean-Pierre, comme si les questions bidons de Joseph ne suffisaient pas. Pour Jean-Pierre, tu étais et resteras toujours sa petite sœur qu'il doit chérir et protéger. Il a arrêté de te voir grandir à l'âge de neuf ans.
"C'est qui Alain ?" Demanda Jean-Pierre la seconde où tu déposas ton pied à l'intérieur de ta maison.
"Un ami. Question suivante ?" Tu répondis.
Jean-Pierre fronça les sourcils. Pour lui, hors de question que tu sortes avec un garçon. Simone lui avait rappelé plusieurs fois que tu avais dix-sept ans et que tu étais assez grande pour avoir un copain, mais il était têtu et ne voulait rien savoir concernant ce sujet.
"Apparemment non, ce n'est pas ce que Joseph prétend dire."
"Joseph ! Tu le crois vraiment lui ?! C'est un idiot et il aime lancer des rumeurs sur tout ce qui bouge. Je te croyais plus intelligent…" Tu affirmas en attrapant un verre que tu remplis soigneusement d'eau.
Après ton échange avec ton frère, tu te dirigeas vers ta chambre et découvre une lettre déposée sur ton lit. Elle est signée A.L.
Tu as reconnu tout de suite l'écriture de l'expéditeur et ses phrases toujours si originales que captivantes. Tu ne pus t'empêcher de sourire à chacune de ses lettres, à chacun de ses mots, de ses actions. Mais bien que cela devrait te rendre heureuse, au contraire, cela t'angoissait.
Chaque soir avant de dormir, tu réfléchissais à ce que tu voulais vraiment. Tu avais deux choix qui se présentaient à toi : lui avouer tes sentiments et risquer de te faire humilier comme auparavant, ou les garder secrets et peut-être perdre l'amour de ta vie.
L'amour de ta vie, c'est peut-être un grand mot.
Le lundi matin, après avoir quitté ton domicile, tu arrivas au lycée un peu plus tôt. Tu espérais surtout voir Alain.
"Matinale." Une voix masculine t'interpella.
Sans même te retourner, tu pus reconnaitre cette voix entre cents, même si ce n'était pas réjouissant pour toi.
"Joseph, qu'est-ce que tu me veux encore ?"
"Qu'est-ce que je te veux ? Qu'est-ce que tu me veux plutôt."
Tu leva ton sourcil, lançant inconsciemment un regard noir à Joseph.
"Même si le lycée ne me connait pas encore sous ce nom, je suis ravi de me présenter, Joseph le Cupidon." Il se baissa en mimant une révérence.
"Joseph le quoi ?!" Tu pouffas de rire à cette nouvelle imprévisible. "Tu te moques de moi, c'est ça ?"
"Est-ce que j'en ai l'air ?"
Mon sourire s'effaça immédiatement de mon visage lorsque je compris qu'en effet, il était complètement sérieux. Mais Joseph, sérieux ou non, n'est pas quelqu'un de confiance.
"Va te chercher un autre client." Tu répondis en tournant les talons.
"Tu n'as pas envie de savoir ce que ton cher Alain pense de toi ?" Un sourire narquois se forma sur les lèvres du blond.
"Pas forcément, et sûrement pas grâce à ton aide." Tu déclares.
"C’est dommage, je connais beaucoup de choses à son sujet et des choses qui pourraient t’intéresser-" Joseph s’arrêta dans sa phrase lorsque Alain arriva.
"Ça va Y/n ? Joseph…" Alain lança un coup d’œil confus à Joseph. "On peut déjà se préparer à aller en cours, t’en dis quoi ?"
Tu acquiesces et tous les deux partirent jusque dans les couloirs. Alain s’adossa au mur.
"Si Joseph t’embête, dis-le-moi."
"C’est Joseph, il est comme ça." Tu déclares.
Alain baissa son regard, comme s'il était contrarié, et contrarié par ce qui venait de se passer.
Lors du premier cours de la journée, tu ne pouvais t’empêcher de jeter de nombreux coups d’œil à Alain qui paraissait tellement concentré sur le cours. Tu étais aussi concentrée sur lui que lui sur son cours que tu ne te rendais pas compte que son regard était maintenant tourné vers toi.
Ses yeux bleus étaient encrés sur toi. Il ne bougea même pas lorsque ton regard rencontra le sien. Tes joues prirent soudainement une teinte de rose pendant qu’un sourire narquois se dessina sur le visage d’Alain.
À la sortie des cours, tu croises à nouveau la route de Joseph qui te supplia de t’accompagner jusqu’à chez toi puisque vous habitez près l’un de l’autre.
Alain, qui marchait quelques mètres plus loin, a pu apercevoir ta silhouette et celle de Joseph marcher côte à côte. Il ne put s’empêcher de ressentir de la jalousie. Pourquoi Joseph était-il toujours obligé d’être avec toi alors qu’il rêvait seulement d’être à sa place.
***
Le lendemain, Alain et toi aviez un travail de science à terminer, un travail qui t’obligeait à travailler pendant une durée indéfinie avec lui. Tu te réjouissais déjà d’avance de te retrouver avec lui, mais bizarrement, tu ressentais de la pression, comme si cela allait mal se passer.
Tu marches rapidement vers la salle de science en apercevant Alain qui était déjà assis sur une chaise au fond de la salle.
"Je suis en retard ?" Tu demandas.
"On va plutôt dire que je suis en avance." Alain te sourit avant de te tirer une chaise.
Le travail avança plus rapidement que prévu, tous les deux étiez concentrés, mais prenaient quelques poses afin de discuter de choses plus divertissantes et amusantes que les cours de sciences.
"Toi et Joseph, il y a…" Alain commença.
Tu écarquillas les yeux avant de répondre.
"Non, non ! C’est seulement un ami, il ne m’intéresse pas." Tu t’empressas de répondre.
Alain lança un coup d’œil à son cahier sans dire un mot, comme si ta réponse ne lui convenait pas.
Ses doigts tenaient fortement son crayon avec lequel il gribouillait dans le coin de son cahier.
Tes yeux parcouraient tout son visage, de ses boucles brunes jusqu'aux courbes fines de sa mâchoire.
"Ça ne va pas ?" Tu demandas finalement.
Les yeux d’Alain se fixèrent une nouvelle fois sur toi. Ils descendirent jusqu’à tes lèvres avant de remonter à tes yeux. Bien qu’il ne parlait pas, son regard en dévoilait tellement plus.
Tes battements de cœur s’accélèrent et tes lèvres te démangeaient de l’envie de l’embrasser.
Son visage se rapprocha doucement du tien, ton cœur manqua presque un battement.
"Ça bosse dur ?" Une voix masculine lâcha.
Alain et toi vous retournez en un sursaut avant d’apercevoir Joseph dans l’embrasure de la porte. Il te souriait de manière espiègle comme s'il avait fait ça exprès. Et tu étais sûre que c’était le cas.
"Je vais te laisser, Y/n. On se remet en commun demain." Alain remballa ses affaires et te lança un bref sourire avant de s’en aller, frôlant légèrement Joseph.
"Ça t’amuse ?!" Tu déclares.
"J’ai cru que tu n’étais pas intéressée ?" Un sourire narquois apparut sur les lèvres de Joseph.
***
L'après-midi, tu t'étais rendue à l'infirmerie pour prendre des médicaments pour soigner ton mal de ventre irrépressible. Avant que tu puisses à nouveau enfiler ton gilet, la porte s'ouvrit sur Alain.
"Hey..."
"Je- Je ne pensais pas voir quelqu'un ici à cette heure." Il affirma.
Son nez saignait légèrement et tu pouvais remarquer du sang sur ses phalanges.
"Tu t'es battu ?" Tu demandas directement.
Il ne répondit pas, ses lèvres se pincèrent et il détourna le regard. Des fois, le silence est plus fort que les mots.
Tu mouillas un coton avant d'attraper doucement sa main pour la désinfecter.
"C'était pas moi… Je n'ai pas commencé." Il murmura.
"C'est trop simple de dire ça à chaque fois, Alain."
Il inspira et expira un 'oui' silencieux et serra les dents lorsque tu appuyais sur sa plaie.
La proximité entre vous deux te permettait d'entendre les battements de son cœur et de sentir son regard sur toi pendant que tu désinfectais soigneusement sa blessure.
En déposant le coton sur la table à côté de vous, tu sentis la main immobile d'Alain frôler légèrement ta cuisse lorsque tu te déplaças.
Tu mordilles ta lèvre pour dissimuler ta préoccupation. Chacun de ses mouvements, de ses regards ou de ses mots te procurait toujours une sensation qui était impossible à décrire.
Il était devenu de plus en plus compliqué pour toi d'assumer tes sentiments sans toujours imaginer le pire. Cependant, tu voulais que ça marche avec Alain. Tu sentais toujours des papillons dans ton ventre lorsque tu le voyais te sourire dans la cour, ou lorsqu'il dissimulait des lettres dans ton sac. Sans compter les fois où tu pouvais croiser son chemin, comme dans l'infirmerie par exemple.
Tout te menait à lui et tu ressentais quelque chose de différent, quelque chose de captivant.
***
Le lendemain, après la fin des cours, Alain t’avait invité pour faire un tour en ville. Au début, vous marchiez en silence. Tes interactions avec lui n’étaient jamais aussi gênantes, et l’ambiance était presque pesante actuellement.
"Désolée pour hier…"
Alain tourna sa tête, presque étonné que tu t’excuses.
"Ce n’est pas ta faute." Il répondit brièvement.
Tu te mordais les lèvres, tu ne savais pas comment rendre l’ambiance plus joyeuse ou seulement moins morbide.
"Joseph est-" Tu commences avant de te faire interrompre par Alain.
"C’est toujours Joseph, Y/n. Sauf que Joseph prend un malin plaisir à t'embêter, je le remarque très bien. Il faut que tu l'ignores, parce qu'il ne va pas s'arrêter si rapidement. Alors arrange toi pour qu’il arrête, ou je vais m’en occuper moi-même."
Lorsqu’il finit de s’exprimer, tu n'as pu t’empêcher de sortir un court ‘non’ de ta bouche. Tu ne voulais pas qu’ils s’en prennent aux mains comme toujours.
Tu attrapes son bras pour le pousser légèrement vers toi. Soit tu attendais et tu risquais peut-être que la situation dégénère ou se finisse autrement que prévu, soit tu prenais ton courage à deux mains.
Alain te regardait de nouveau avec un regard rempli de désir. Tu ne savais pas ce que ce regard voulait exactement dire, mais bien que tu ne veuilles pas te tourner des films, il n’était en aucun cas amical.
"J’aimerais t’avoir à moi pour une fois… pour pouvoir agir sans que quelqu’un me coupe à chaque fois…" Alain affirma.
Vous arrivez dans une petite ruelle. Vous marchez de plus en plus lentement et vos corps se rapprochaient au fur et à mesure que vous avancez, jusqu'à ce que vos mains se frôlèrent à plusieurs reprises.
Vos deux regards se croisèrent lorsque vous sentez la main de l’autre. Alain s’avança devant toi et s’arrêta soudainement, ce qui mena à ton arrêt à toi aussi.
"Y/n, j'aimerais tellement que tu sois plus confiante, tu es jolie et intelligente. Ne te cache pas et ne te laisse pas marcher dessus par qui que ce soit."
Tes sourcils se levèrent lorsque tu entendis ses mots. Tes joues devinrent immédiatement rouges malgré le fait que tu essayais de les cacher.
Alain se pencha lentement vers toi, sa main se tendait vers ton bras. Il n’osait pas la poser autre part et attendait surtout une réponse de ta part pour le faire. Ses yeux se baissèrent de nouveau vers tes lèvres. Cependant, cette fois-ci, il ne détourna pas le regard. Malgré l’hésitation, il posa enfin ses lèvres sur les tiennes et tu répondis immédiatement au baiser. Ses lèvres douces s’appuyèrent contre les tiennes et bougeaient à la même allure que les tiennes.
Quelques secondes plus tard, vous reculez tous les deux vos visages et vous regardèrent dans les yeux avant qu’Alain t’affiche un sourire doux.
"Je n’aurais pas pensé faire ça ici… mais c’est même mieux." Il sourit et posa enfin une main sur ta taille.
Tu fus prise par les émotions et atteins à nouveau ses lèvres pour l’embrasser. Il appuya fermement sur ta taille en même temps que ses lèvres s’enfoncèrent dans les tiennes.
Sa respiration chaude soufflait contre ta peau et tu la sentais s’accélérer doucement.
Tu sentis ses lèvres former un sourire contre les tiennes et tu ne pus t'empêcher de sourire à ton tour.
De nouveau, tu sentais comme une sensation de flottement dans ton estomac. Sa main qui caressait tendrement ta taille et les mouvements de vos lèvres les unes contre les autres ne faisaient qu'empirer ton cas.
Cependant, ce que tu ne pouvais pas savoir était que du côté d'Alain, des tonnes d'émotions et de sensations envahissaient également son corps et faisait palpiter son cœur en rythme avec les battements du tien.
1758 mots.
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nando161mando · 3 months ago
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Le 6/11/2009, Ivan Khutorskoy activiste antifasciste de la scène punk/redskin est assassiné de plusieurs balles en bas de son immeuble par des néonazis.
Les groupes d'extrême droite en avaient fait une cible et avaient déjà tenté de le tuer à coups de couteau.
Ni oubli ni pardon
🇬🇧 On 6/11/2009, Ivan Khutorskoy, an antifascist activist from the punk/redskin scene, was shot several times at the bottom of his building by neo-Nazis.
The far-right groups had made him a target and had already tried to kill him with knives.
Neither forgotten nor forgiven
🇮🇹 Il 6/11/2009, Ivan Khutorskoy, un attivista antifascista della scena punk/pellerossa, è stato colpito più volte da neonazisti davanti al suo palazzo.
Gruppi di estrema destra ne avevano fatto un bersaglio e avevano già tentato di ucciderlo con un coltello.
Non dimentichiamo, non perdoniamo.
🇪🇦 El 11 de junio de 2009, Ivan Khutorskoy, un activista antifascista de la escena punk/piel roja, recibió varios disparos de neonazis fuera de su edificio.
Los grupos de extrema derecha lo habían convertido en un objetivo y ya habían intentado matarlo con un cuchillo.
Ni olvido ni perdón
Via AIM FR
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t.me/primalinea161
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equipe · 5 months ago
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Notes de mise à jour
🌟 Nouveautés
Comme nous l'évoquions ce mercredi, de nouveaux opérateurs de recherche avancée sont à présent disponibles sur toutes les plateformes. Un petit pas pour l'Homme, un grand pas pour la recherche de billets !
Il est maintenant possible de désactiver le compteur de billets non lus d'une communauté en utilisant le menu ●●● situé dans le coin supérieur droit de cette dernière via l'option "Annuler notif.".
Un nouveau réglage permet aux administrateurs d'autoriser les modérateurs à inviter de nouveaux membres dans une communauté.
Sur le Web, la fonctionnalité intégrant les communautés aux recherches est désormais accessible à tous. Ainsi, une nouvelle option dans le menu déroulant des résultats d'une recherche permet d'étendre cette dernière aux communautés en lien avec le(s) terme(s) recherché(s), et cette option sera prochainement disponible dans l'application. Enfin, une zone “Communautés apparentées” est également proposée sur le côté de la page sur le Web.
Les utilisateurs ayant d'ores et déjà rejoint des communautés se voient recommander de nouvelles communautés dans davantage de sections, notamment via un nouveau carrousel du flux "Pour vous".
De la même manière que jouer avec le continuum espace-temps pourrait provoquer un paradoxe temporel, antidater des billets comporte toujours quelques risques que nous vous détaillons dans cet article.
🛠️ Correctifs
La version 36.4 de l'application iOS corrige le bug qui faisait que certaines pubs pouvaient interrompre les pistes audio lues en arrière-plan.
Après avoir rédigé une longue réponse sur le Web (et en de plus rares occasions sur le Web mobile ou sur Android), le curseur ne se positionne plus de façon abrupte et inattendue dans la zone suivante.
Le 18 septembre dernier, des e-mails de vérification concernant les domaines personnalisés n'ont pas pu être envoyés durant une courte période du temps. Le problème a été rapidement corrigé et les e-mails en attente ont bien été envoyés. Plus de peur que de mal.
🚧 En cours
Pas d'incident en cours à signaler cette semaine.
🌱 Prochainement
R.A.S. non plus de ce côté-ci cette semaine.
Vous rencontrez un problème ? Consultez les problèmes connus ou écrivez-nous (en anglais) et nous reviendrons vers vous aussi vite que possible.
Vous souhaitez nous faire part de vos commentaires ? Rendez-nous visite sur le blog Work in Progress et participez aux discussions de la Communauté (en anglais).
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La batterie est un ensemble d’instruments à percussion. Le nombre d’éléments peut varier mais on rencontre 2 types d’instruments, la batterie a été “inventée” au début du 20ème siècle par les premiers musiciens de jazz qui ont assemblé divers instruments qui existaient déjà séparément. A l’origine: une grosse caisse, une caisse claire et une cymbale. La grosse caisse est frappée par un ‘marteau’ actionné par une pédale au pied droit. La caisse claire. Elle possède un timbre sur la peau inférieure. Les toms (aigu, medium et basse). Les cymbales. Le charleston (ou ‘hi-hat’ en anglais) est un assemblage de 2 cymbales accrochées sur un socle et actionné par une pédale (pied gauche). Le métal qui constitue les cymbales est un bronze (alliage de cuivre et d’étain). Les fûts sont en bois ou en matières plastiques. Les peaux étaient autrefois en vraie peau. Aujourd’hui en matières plastiques. Les supports sont en acier  (alliage de fer et de carbone). On peut accorder chaque membrane en la tendant plus ou moins sur le bord du fût. Plus la peau est tendue et plus sa fréquence de vibration est élevée, et plus le son est aigu. Levier pour actionner le timbre. La caisse claire est formée d’un fut cerclé de métal sur lequel sont tendues 2 membranes (une  de chaque côté. Un timbre peut se plaquer sur la peau inférieure à l’aide d’un levier. Deux plaques métalliques de mêmes dimensions n’émettent pas le même son: l’une est en cuivre, l’autre en aluminium. La baguette: un manche et une petite tête en bois en forme d’olive. La mailloche: un manche prolongé par une tête arrondie et rembourrée. Le balai: un manche prolongé par un faisceau de brins (en métal ou en plastique). Elle est présente dans (presque) toutes les musiques actuelles. Elle forme avec la basse la section rythmique.
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perduedansmatete · 11 months ago
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dimanche ennui donc liste (certainement pas exhaustive) de moi à moi des artistes que j'ai déjà vu en concert, de ceux que je vois bientôt, de ceux que j'aimerais voir et de ceux que je RÊVE de pouvoir écouter en live un jour:
concerts faits dans un ordre totalement approximatif:
julien doré (petite, j'étais amoureuse de lui et je me souviens d'avoir eu mal au cœur quand il chantait winnipeg)
jeanne cherhal (petite aussi, j'étais absorbée car elle avait chanté quelques chansons suspendue à un cercle en l'air)
olivia ruiz (toute mon enfance)
la grande sophie
the dedicated nothing (ils ont fait un album on en a plus jamais entendu parler et je les avais vu dans une boutique longboard comme c'était des surfeurs mdr)
the dø (dans un festival paumé en vendée, j'étais la plus heureuse)
george ezra
the black lilys
radio elvis 2x
feu! chatterton 3x (j'ai l'impression de faire l'amour quand j'entends arthur teboul chanter en live, un des trois concerts était en plein air vers l'océan c'était beau et poétique)
grand blanc
jumaï
chevalrex
pr2b
clarika (toute mon enfance, dans la voiture avec ma mère)
the limiñanas (inattendu, jamais écouté avant de les voir mais si cher à mon cœur maintenant)
girls in hawaii (souvenirs d'adolescence)
genghar (concert avec mon père dernièrement, j'écoutais beaucoup adolescente aussi)
sallie ford 2x
norma 2x (elle fait fondre mon cœur j'aimerais qu'elle perce)
mattiel
the twilight sad
las aves
prudence (la chanteuse de the dø, on avait gagné un concours avec ma sœur!!)
cate hortl
clara luciani 3x
pomme 2x
franz ferdinand 2x
arctic monkeys 2x (dont une fois catastrophique à rock en seine, des amitiés se sont brisées, des crises d'angoisses, un son merdique)
the strokes (son merdique et problèmes techniques car rock en seine mais j'étais au max)
ledher blue
the cure (que dire de plus??? 3h de the cure en live c'est le paradis)
depeche mode (que des bangers, je m'en remets pas encore)
pi ja ma (choupette, je l'aime depuis la nouvelle star)
delilah bon (à la fin de son concert on a eu droit à tous les chants de manifs de gauchos sans aucune raison pendant 20 minutes et c'était génial)
kalika
fontaines dc (je veux les revoir)
ethel cain (c'était thérapeutique)
angel olsen
lucy dacus (très vite)
tamino 4x (je l'adore de tout mon cœur mais je fais une pause je l'ai trop vu)
ko ko mo 7x ou plus?? (découverts dans un festival paumé en vendée, depuis on les voit tous les ans)
jesse jo stark (trop sexy)
clemence violence
hachiku
jen cloher (lesbiennes australiennes je vous aime)
dynamite shakers
odezenne (j'ai pu chanter je veux te baiser en live c'était fantastique)
georgio (marque le début de la fin d'une amitié mais j'étais tellement heureuse ce soir là)
slowdive
frank carter and the rattlesnakes (ma sœur qui se fait une entorse dans un pogo)
the mysterines
yeule (premier concert toute seule, il m'a fait du bien)
sorry (chanteuse toute timide toute choupi mais génial et j'ai pu crier les paroles de there's so many people that want to be loved)
alexandra savior (écoutez là c'est un ordre)
sarah maison
sextile (concert génial soirée traumatisante)
wunderhorse (de vrais anglais qui s'en branlent de tout c'était cool)
no elevator
emma peters (j'écoute pas mais sympa)
skip the use (j'y allais en mode souvenirs, j'avais jamais écouté ses récents albums et le gars est trop chaud en live)
agar agar
nada surf (le chanteur est trop gentil <3)
hoorsees
adrien gallo (à défaut d'avoir pu voir les bb brunes... et j'étais aussi amoureuse de lui petite)
therapie taxi
nova twins (un de mes meilleurs concerts elles avaient une énergie trop folle)
la femme (mes meilleurs pogos)
tori amos (concert avec ma mère, icone)
l'impératrice 3x (2 fois sans que je veuille vraiment juste ils étaient dans des festivals et j'en peux plus leur scéno c'est toujours la même et c'est mou)
terrenoire
snail mail (mou)
parcels (j'écoute pas mais en concert c'est fou)
tame impala (l'impression d'avoir pris du lsd pendant 1h30)
gaz coombes (le chanteur de supergrass!!)
inhaler
idles (de loin mdr)
foals (mouais)
wet leg (absolument génial premier rang à crier toutes les paroles, tellement qu'il a plu et qu'on a fini le concert dans la boue)
yeah yeah yeahs
izia
the murder capital (amoureuse)
suzie stapleton
maddy street (une copine de ma sœur, c’est trop bien)
origine club renommé bonne nuit (à revoir c’est des vendéens et j’adore les vendéens pas fachos)
alice et moi
prochains concerts:
stoned jesus
dionysos (cadeau de noël pour mes parents, ils nous ont bercé avec)
air
ethel cain (encore)
mannequin pussy
cherry glazerr
lana del rey!!!!!!!!!
ko ko mo (pour la millième fois mdr)
eartheather (j'ai eu une place alors qu'il n'y en avait plus??? yaayyy)
artistes que j'aimerais voir:
yoa
the marias (ils avaient annulé la seule date qu'ils faisaient en france alors qu'on avait nos places avec ma meilleure amie, on leur en veut encore)
anna calvi
bar italia
the last dinner party
coco & clair clair
dora jar
king krule (on m'a empêché de prendre une place la dernière fois car apparemment il chante mal en live)
beach house
lebanon hanover
japanese breakfast
mitski
sally dige
deerhunter
tove lo (je l'ai raté à rock en seine...)
tv girl
sir chloe
hooverphonic
tomberlin
portugal. the man
last train
baxter dury
sophie meier
thao & the get down stay down
fka twigs
elita
yelle (je serai une femme accomplie le jour où je l'aurai vu)
artistes que je rêve de voir dans mes rêves les plus fous:
lush
soko (elle soignerait tous mes maux)
pulp
garbage
fiona apple (c'est beau de rêver)
the smashing pumpkins
courtney barnett (c'est une nécessité je connais tout par cœur)
siouxsie sioux
björk (ratée en septembre dernier...)
eels (mes parents y sont allés sans moi et sans me le dire????)
alt-j (j'écoute depuis trop longtemps pour ne jamais les avoir vu)
cults
pixies
iggy pop (icone, il faut, et je suis amoureuse de lui)
new order
interpol
massive attack (si je craque pour rock en seine...)
emiliana torrini
deftones
she wants revenge
hope sandoval
sigur rós
arcade fire (je crois que le chanteur est un agresseur sexuel. bon.)
the last shadow puppets
the white stripes mais bon... ou jack white
madonna...... mais je suis pauvre
si une âme charitable a tout lu et veut me fournir de quoi me payer des places de concerts je suis preneuse lol merci
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selidren · 9 months ago
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Printemps 1920 - Champs-les-Sims
2/5
Pour changer de sujet (je pense que vous avez saisi que mon mari peut être compliqué sur de nombreux points), je n'ai pu m'empêcher de rire de la mésaventure de votre fils. Il devait se sentir penaud quand vous l'avez réprimandé, il n'est guère charitable de calomnier les souffreteux, ils ont bien d'autres choses dont se soucier sans qu'un jeune adolescent n'amène les torches et les fourches. Que voulez-vous ? C'est une jeune génération passionnée. Ces dames dont vous me parlez ont cependant l'air adorable. Si elles ont demandé à emprunter la photographie, cela ne m'étonnerait pas qu'elles aient perdu un fils à la guerre. J'imagine que cela suffit pour s'en rendre sévèrement malade.
J'ai fortement pensé à vous ces derniers temps. Selon Madame Eugénie, il fut un temps où Monsieur Auguste parlait à notre famille des anglais qui s'installent à Hylewood, et que les questions évoquant francophones et anglophones sont parfois tendus au Canada. Chez moi aussi, ces maudits anglais ont déclenché un incident diplomatique !
Il y a peu de temps, un jeune gallois (à ce qu'il semble, je ne peux me vanter de savoir différencier un gallois d'un anglais ou d'un écossais), s'est présenté chez une jeune veuve, Anne Barthélémy (ses relations font que nous la connaissons pas le biais de Jeanne, la soeur de Jules). La pauvre jeune femme a perdu son mari en 1916, et il se trouve que le nouveau venu, Monsieur Norton, dis n'avoir eu sa vie sauve que grâce à son mari. Il a mis un moment à la retrouver, et s'est mis à la disposition de la jeune femme, affirmant qu'il devait bien cela à l'homme qui avait donné sa vie pour sauver la sienne. Il est arrivé avec de nombreux cadeaux venus du Royaume-Uni et d'Amérique, et parmi tous ces cadeaux, il y avait des enregistrements magnétiques de chansons américaines pour télégraphones. Ces enregistrements ont fait le tour du village. Je ne sais pas Madame Barthélémy va laisser Monsieur Norton la courtiser encore longtemps, mais en tous cas, la musique l'a séduite. L'enregistrement est donc arrivé chez nous et a beaucoup plu aux filles. Un certain Monsieur Gershwin, à ce qu'il parait, qui commence à devenir très populaire aux Etats-Unis. Peut-être est-il déjà connu au Canada ?
Il a en revanche moins plu à Madame Eugénie qui se plaint d'une invasion de tuniques rouges dans son salon. Cela pourrait prêter à sourire si elle n'avait pas, par ce biais, ramené ses vieilles obsessions et perturbé encore une fois mes enfants.
Transcription :
Eugénie « Que faites-vous jeunes filles ? »
Sélène « Tante Juliette nous a appris la valse la dernière fois qu’elle est venue. »
Arsinoé « Nous nous sommes dit que ce serait intéressant de pratiquer un peu pour ne pas perdre le peu que nous avons assimilé. »
Eugénie « Ce n’est pas précisément une musique adaptée à la valse. Qu’est-ce d’ailleurs ? »
Sélène « De la musique américaine. Je ne me souviens plus du nom de l’artiste. Ils l’ont joué chez les Hurelle la semaine dernière, c’est un cadeau d’un anglais je crois. »
Eugénie « Mmh… Et de quoi ça parle ? »
Arsinoé « Pas la moindre idée. »
Eugénie « Jeunes filles, si vous souhaitez pratiquer la valse, il faut une musique adaptée. Changez immédiatement. »
Eugénie « Voilà qui est mieux. D’ailleurs, comment cette satanée musique s’est retrouvée en ta possession jeune fille ? »
Sélène « Et bien l’anglais l’a joué à Anne pour essayer de l’égayer un peu. »
Eugénie « Oh oui, pauvre enfant. »
Arsinoé « Puis La petite Léone l’a entendue. Elle en a parlé à Simon à l’école, qui a eu envie de l’écouter. Il l’a fait écouter à la mère et à sa grand-mère aussi. »
Eugénie « Jeanne a apprécié ? »
Sélène « Je ne sais pas. »
Eugénie « Ah… Sélène, tiens donc tes grandes jambes plus droites et suis le rythme ! »
Sélène « Mais c’est si lent ! »
Eugénie « C’est normal, il faut commencer lentement. Redresse toi donc un peu ! Seigneur, on dirait ton père quand il a commencé à marcher ! »
Arsinoé « Aïe ! »
Sélène « Oh mince, je suis désolée ! Tu as mal ? »
Eugénie « Que tu es maladroite ! »
Arsinoé « Non, ça va. C’est n’est pas si grave. »
Eugénie « Tu es encore bien trop maladroite pour danser avec ta sœur, Sélène. Je demanderai à tes cousins de te donner des leçons. En attendant, demande donc à Cléopâtre de venir, elle sera plus à même de danser. C’est une enfant qui, à défaut d’être convenable, a un indéniable sens de l’élégance. »
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lepartidelamort · 3 months ago
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Victime de l’expérimentation gauchiste de ses parents, un redditeur fait le récit de sa vie ruinée.
Rappel : Augusto Pinochet n'a rien fait de mal.
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Voilà un moment Reddit fr particulièrement Reddit et particulièrement fr.
Reddit :
J’ai des parents de gauche. Plutôt éduqués. Ma mère a fait 2 ans de fac et a passé sa vie dans la fonction publique, mon père a lui passé la sienne dans l’industrie avec France Inter ou France Culture en arrière plan. On a eu des livres à la maison, mais on avait quand même droit à pas mal de télé. A la maison, nos parents n’étaient pas suuuper disponibles pour compléter notre éducation, en revanche. Ça casse un peu le mythe de la réussite scolaire héréditaire : papa rentrait claqué du travail à 20h30 pour mettre les pieds sous la table, maman s’occupait de la maison pendant ce temps, puis travaillait parfois jusqu’à minuit parce que, contrairement à mon père, elle ne pouvait pas « fermer la porte et éteindre la lumière. » Il fallait trimer à la maison aussi, parfois une partie des week-ends. Pour moi comme pour mes frères, le primaire s’est bien passé. Petite école de banlieue relativement paisible de Marseille, un peu piégée entre deux quartiers très, très chauds. Ce sera important pour plus tard.
Note : « très, très chauds » veut dire saturés d’Algériens, mais le redditeur étant une créature humainement médiocre et lâche, il préfère utiliser des euphémismes pour ne pas être maudit et banni par les autres redditeurs.
C’est pour notre entrée en 6e que les choses se sont gâtées. On n’avait beau ne pas avoir été des enfants bulle complètement déconnectés qui débarquent au collège avec un pull noué autour des épaules, mais mes frères et moi avons juste été… complètement inadaptés. Anti-intellectualisme, violence, harcèlement de quiconque franchissait le portail avec un livre dans le sac à dos (en pleines annees Harry Potter, j’étais littéralement le seul à lire). Un de mes grands frères a été tellement harcelé qu’il en a fait des dépressions. L’autre se battait à peu près une fois par semaine. J’ai été le seul à aller au lycée. Ce collège, donc, se trouvait dans un des quartiers chauds. Pas le plus chaud, et c’était loin d’être la misère, mais c’était loin d’être jouasse. Il ne se trouvait pourtant qu’à 1km de mon école primaire. Je n’ai découvert que très, très récemment que ce n’était pas mon collège de secteur. Ni celui de mes frères. Ils avaient demandé une dérogation. Sinon, nous aurions été envoyés dans un autre collège peu ou prou aussi glauque. Mais tant qu’à faire, pourquoi ne pas m’avoir envoyé au collège affilié au collège lycée où j’allais être reçu en seconde ? Il était infiniment, mais alors infiniment meilleur. Ma mère m’a répondu : à l’époque, on tenait beaucoup à la mixité sociale.
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Ruine la vie de ses enfants par conformisme social et idéologique. Estime qu’ils doivent faire preuve de gratitude pour les avoir plongés dans un enfer quotidien. Conscience aussi légère qu’une plume et aussi dure que de l’acier trempé allemand. Votera à gauche quoi qu’il arrive pour les droits de l’homme et sa retraite. N’a pas envie de voir ses petits-enfants plus d’une fois par mois et seulement deux heures.
Alors, parlons de la mixité sociale. Ou plutôt, de la mixité des niveaux culturels et, par conséquence, des attentes des profs. Quand je suis arrivé au lycée, j’avais eu plus de 18 dans la plupart des matières, et même 20 en anglais. En seconde, au premier trimestre, j’ai eu une moyenne de 12. Et c’était un lycée normal, public, pas spécialement sévère. Sauf qu’il me manquait à peu près la moitié des acquis. En anglais on avait passé 4 ans à faire en boucle les 150 verbes irréguliers (j’ai découvert bien plus tard qu’il y en avait plus, de surcroît…). Rien sur les phrasal verbs , aucun travail de compréhension orale, on regardait Mr Bean (c’est MUET) avant Noël… n’importe quoi. En français, on a bien fait le programme de grammaire, à la marge, mais alors la culture littéraire… je suis arrivé au lycée avec pour seul bagage culturel Giono, Pagol (lus jusqu’à la nausée parce qu’on était en Provence), Harry Potter, et la collection de SF des années 50 que mon père avait accumulée dans sa jeunesse. Même les élèves les moins instruits connaissaient au moins un Flaubert, un Zola, et peut-être 2 ou 3 poètes classiques. Moi, nada. Même pas un Victor Hugo. Dans les autres matières, c’était mitigé. On finissait le programme ni en SVT, ni en histoire géographie à cause des problèmes de discipline. En seconde, donc, je me découvre si médiocre qu’on envisage de m’envoyer en lycée pro. Moi qui avais, l’année précédente, 17 de moyenne ! Je l’ai extrêmement mal vécu. Il a fallu que je convainque mes profs, de langues notamment, de me laisser une chance et de me faire passer en L. J’ai dû trimer comme un malade. Mais je n’ai jamais rattrapé mon retard en culture G. Une fois qu’on est derrière, on ne repasse jamais plus devant les autres. Toutes les bibliothèques du monde, même à 4 bouquins par mois, ne font pas en 3 ans ce qu’on aurait dû faire en 7. Je ne savais même pas qui étaient Balzac ou Maupassant. À la fac, j’étais toujours le clampin de province qui n’avait pas lu Sartre, Simenon, la Bible, Huysmans ou que sais-je. J’ai bien développé mon propre répertoire au gré de mes lectures plus personnelles, des noms un peu moins connus comme Troyat, N’Diaye, Zamiatine ou Gombrovitz qui m’ont permis de ne pas complètement passer pour une bille pendant mes partiels. Ma stratégie, c’était d’être au moins capable de me démarquer. S’il a fait de tels détours, c’est qu’il maîtrise bien ses fondamentaux.
Le type raconte un peu n’importe quoi pour justifier sa glande intellectuelle.
Une personne avec un cerveau fonctionnel peut s’astreindre à un programme de lecture solide et avoir une culture générale raisonnable au bout de deux ans, sans problème. Le plus complexe est de comprendre ce qu’on lit et surtout le contexte dans lequel il a été écrit, mais ce n’est pas surhumain.
Ceci dit, la culture générale n’a pas d’utilité en dehors de la navigation mondaine. On peut vouloir naviguer en société pour diverses raisons, bonnes ou mauvaises, mais la plupart des gens n’en a rien à faire. Certainement pas les gens du peuple en général. Après, certains veulent se dégager des horizons intellectuels, découvrir des champs de la pensée, mais ce n’est pas le cas de ce gars. On apprend pourquoi ensuite, mais c’est un détail.
Arrivé à la moitié de son récit, ce mec n’ose toujours pas parler de la raison pour laquelle les profs cultivent le sur place chez les élèves de son secteur, raison pour laquelle ça l’a rendu durablement inculte : les bicots et les nègres.
Ça relève de l’exploit mental.
Le déni reste intact, la peur de subir l’excommunication de son milieu social est toujours aussi forte.
Estimez-vous heureux d’être totalement dégagé de ce genre de prison psychologique, cher lecteur raciste.
Alors, quand ma mère m’a dit que tout cela, toutes ces épreuves, c’était un sacrifice sur l’autel de la mixité sociale, j’ai eu matière à réfléchir. Parce que sur le papier je ne suis pas contre.
Mais concrètement, ça a donné quoi ? À quoi ma présence dans ces classes a servi ? À donner aux autres un modèle « d’excellence » qui avait pour seul mérite de faire docilement ses devoirs sous le sifflement de la cocotte minute tous les soirs ? Quelqu’un qui apprenait avec plus d’application ses putains de 150 verbes irréguliers ? Quelqu’un qui lisait jusqu’au bout la version ultra abrégée de l’Odyssee qu’on a étudiée 2 fois en quatre ans ? Est-ce que j’ai tiré qui que ce soit vers le haut en m’ennuyant à mourir dans un bordel infernal ? En étant le seul à participer ? A attendre avec trépidation qu’on me donne quelque chose, n’importe quoi, à faire. Quelque chose de vaguement intéressant, de vaguement difficile. Non. Je n’ai servi rien. Mon sacrifice a été parfaitement vain et j’aurais pu aller beaucoup plus loin dans mes études. Aujourd’hui, une partie de mes amis qui n’ont eu aucun mal à faire prépa, ma femme y compris, s’étonnent tendrement de la différence de culture G. Parce que trop occupé à découvrir au moins superficiellement les russes, les penseurs des Lumières ou les grands philosophes et poètes antiques, c’est dans un café que j’entends parler pour la première fois de François Villon ou de Louise Michel ou de Gramschi ou du Futurisme ou de Primo Levi ou de Fitzgerald ou des sœurs Brontë.
Louise Michel, Gramsci, Primo Levi : ce gars est cerné de bourgeois de gauche qui cultivent leur judéo-marxisme dominical confortablement installés dans leur quartier écolo-décroissant.
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Tu connais pas Louise Michel ?!
Il en a même épouser une.
Imaginez l’emprise mentale. Il n’en sortira jamais. C’est comme une secte.
Me voilà papa d’une petite fille de deux ans et demi qui baigne dans les livres, qui apprend sans effort les plus courts par cœur et qui les « lit » à ses poupées, qui utilise correctement la particule négative et la première personne du pluriel. Elle vit dans un appartement rempli de livres de tous genres, dans un quartier où, au milieu de chaque parcs, il y a des boîtes à livres remplies à ras bord de bouquins intéressants et originaux. Bref. Une enfant de presque trois ans qui, avec la mere qu’elle a, et dans une moindre mesure le père, aura dans sa vie un immense privilège en termes de culture générale. Et en mentionnant cela à ma mère, rebelotte. « Dommage, là où elle est, on aura moins besoin d’enfants comme elle. » C’est peut-être parce que c’est ma fille, ou parce que j’ai du recul sur ma propre expérience, mais je n’en peux plus de cette vision utilitariste de l’éducation des enfants. Ma fille n’est pas une goutte de javel à diluer dans l’eau la plus sale possible. Elle a le droit d’avancer au rythme qui lui convient dans la vie, et il m’est complètement contre-intuitif, en tant que parent, de la contraindre à la stagnation par idéologie. Pour moi, à ce stade, c’est comme essayer de nourrir un bébé avec un régime vegan.
Bref. Voilà. Je pose ça là, sans vraiment avoir de conclusions politiques ou sociétales, sans non plus avoir de solutions pour les milliers de gamins qui savent à peine lire en 4ème. La seule chose dont je suis à peu près certain, c’est que la « mixité sociale » sous la forme de « un ou deux enfants de bobos au premier rang qui essaient de se concentrer malgré les chaises qui volent » est loin d’être la solution.
Mais pourquoi ta fille a-t-elle un « rythme » bien supérieur à celui de Boubacar et Abdelkader ? Et pourquoi ta catin de mère qui a déjà ruiné ta vie veut absolument la noyer à son tour dans cette boue raciale ?
Notre redditeur n’est pas prêt pour ce saut qualitatif.
Quant aux redditeurs qui lui répondent, c’est nous qui ne sommes pas prêts à les calculer. Parmi les solutions offertes : « dispatcher » les bouègres partout.
Du Manuel Valls dans le texte.
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Pour conclure ce sujet sans fin (en vue), une réponse à la hauteur de l’hypocrisie criminelle de ces gens.
Asseyez-vous :
Mon 2eme a failli vivre la même histoire que toi. Primaire en centre ville d’une ville huppée mais un découpage de la carte scolaire et un déménagement ont fait qu’il s’est retrouvé dans un collège à 150m de la cité la plus craignos de tout le département. Et lui qui était dans une bulle s’est retrouvé confronté à cette mixité sociale dont tu parles. En plus, c’était le seul de son école primaire à se retrouver dans ce collège. Au bout d’un mois de cours, ils avaient quasi un mois de retard dans à peu près toutes les matières d’après leur prof principal. Un tiers des gamins était « en grande difficulté scolaire » et foutait le bordel absolu, menaçait et insultait les profs. Après la première réunion parents-profs j’avais l’impression d’avoir échoué en tant que parent et d’avoir mis mon fils en danger. Mon fils rentrait terrorisé de l’école et y allait à reculons. Il n’a pas voulu qu’on prenne la photo de classe parce qu’il ne voulait garder aucune trace de son passage dans cette classe. En fin de 6eme, son prof de maths a donné 17 pages de trucs non vus en cours à cause de leur retard sur le programme. À la fin de la 6eme on pensait avoir trouvé la parade. « Tu feras Allemand LV2, mon fils. Et Latin. Comme ton papa. T’as pas le choix. Pourquoi ? Parce qu’il n’y a pas d’Allemand LV2 dans ton collège. Chat GPT nous a rédigé une très jolie lettre qui explique pourquoi l’Allemand est une langue importante dans ton éducation, déjà parce que tu es blond aux yeux bleus et qu’on aime bien l’Argentine comme pays, et donc pourquoi tu vas devoir changer de collège. » Mais… On en a parlé aux parents de son seul ami. Big Mistake. Eux en ont parlé à d’autres parents et la principale a donc trouvé la parade pour éviter la fuite de ses meilleurs élèves : elle a ouvert une classe d’Allemand LV2. Pour 8 élèves. Donc mail de remerciement à la principale. « T’as intérêt à cravacher en Allemand, mon fils. Ils ont ouvert la section à cause de nous. » La rentrée de 5eme avait l’air de bien se passer, les 10 premiers jours l’ambiance était calme dans sa classe mais en fait y’avait une raison. Les éléments les plus agités étaient rentrés en Algérie pendant l’été et ont fait leur rentrée plus tard. Grâce aux élections de délégués de parents d’élèves dont tout le monde se branle, moi le premier, la mère de l’élève le plus compliqué à gérer est devenue déléguée des parents et a fait la guerre aux profs. Les histoires que nous racontait mon fils en rentrant de l’école étaient ahurissantes. La proviseure du lycée de mon aîné nous a fait un laïus de 15mn sur les élèves qui arrivent de ce collège quand on lui a dit que notre 2eme y était.
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L’élève « le plus compliqué à gérer » éternel
En fin de premier trimestre j’étais presque prêt à le mettre dans le privé, alors que ça allait à l’encontre de tout ce en quoi je croyais (mère et sœur profs dans le public) mais finalement la lumière est venue d’ailleurs. Une des pistes était de le mettre dans le collège de secteur de là où moi j’habitais (sa mère et moi sommes séparés) mais elle avait été écartée parce que le collège en question était situé à peu près de la même façon, pas loin d’un quartier tendu de la ville d’à côté. Mais après avoir parlé avec des parents d’élèves il s’est avéré que ce collège était infiniment plus calme parce que l’équipe pédagogique était extrêmement à cheval sur la discipline et avait une tolérance zéro. Dans le collège problématique c’était dingue à quel point l’équipe était laxiste sur la discipline. Donc changement de collège en pleine année en prétextant que mon fils habitait maintenant à temps plein chez moi, l’opération a pris très peu de temps entre la demande et le changement effectif et depuis mon fils revit. Ses notes qui avaient chuté en début de 5eme sont remontées en flèche, il était clairement en retard sur le programme dans certaines matières mais tout va bien, il va à l’école avec plaisir. Mais donc, au-delà de la mixité sociale elle-même, y’avait aussi clairement un souci dans la gestion des élèves pénibles dans son collège précédent. Le nouveau collège n’est pas spécialement moins mixte et pourtant il est beaucoup beaucoup plus calme. Y’a peut-être moins de cas désespérés scolairement, mon fils n’a pas l’air d’avoir d’élèves qui maîtrisent mal les bases de la lecture dans sa classe.
Ouf, tout va bien.
À présent que son gosse n’est plus bolossé par les bougnes, le père de gauche radicalisé va pouvoir reprendre sa vie normale d’électeur mélenchoniste et dénoncer le fascisme la conscience tranquille.
Et quand finalement tout le pays ne sera plus qu’un vaste « quartier prioritaire », ils prendront l’avion avec leurs gosses pour un pays sûr et sans Algériens. Là-bas, ils recommenceront le cycle en accusant les autochtones d’être racistes.
Aucun compromis n’est possible avec le Sentier Lumineux.
Seules les balades en hélicoptère peuvent résoudre ce problème.
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Démocratie Participative
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marie-swriting · 2 days ago
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Toujours - Stiles Stilinski
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Masterlist
Résumé : Tu viens juste d'être transformée en loup-garou et Stiles t'aide à t'ajuster à cette nouvelle vie.
Warnings : librement basé sur la saison une, un peu d'angst, fin heureuse, mention de la mort de la mère de Stiles et de la mort d'un animal de compagnie, peur de tuer des gens, Pleine Lune, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 2.3k
Version anglaise
Request : faite par une personne anonyme, voici le lien vers la request en anglais. A la personne qui a fait cette request, j'espère que tu apprécieras le one shot que j'ai fait d'après ta demande et désolée d'avoir pris autant de temps pour l'écrire 🫶
Une vive douleur se répand dans ton avant-bras droit tandis que tu hurles à plein poumons. Tu essayes d’enlever ton poignet de la gueule du loup-garou en face de toi, mais il te tient en place. Les larmes coulent sur tes joues alors que tu espères que ça se finisse bientôt, ça te semble durer une éternité. Le loup-garou finit par te lâcher et à fuir dans la nuit. Tu halètes et ramènes ton bras contre ta poitrine. Sans perdre une seconde de plus, tu te relèves et cours jusqu’à ta voiture qui est à côté de la pompe à essence. Tu ignores la douleur et te concentres sur ta conduite tandis que tu quittes la station désertique. L’adrénaline encore présente dans ton corps, tu ne respectes pas le code de la route, restant seulement concentrée sur ta destination: un endroit sûr. 
Quand tu arrives chez Stiles, tu te gares mal avant de quitter ta voiture et de courir jusqu’à la porte d’entrée où tu frappes jusqu’à ce qu’on t’ouvre. Quand Stiles apparaît, il ouvre grand les yeux en voyant ton poignet ensanglanté.
-Mon Dieu, qu’est-ce qui s’est passé ? Tu vas bien ? 
-Ton père est là ?
-Non, il travaille, répond-il, perdu pendant que tu entres chez lui. Y/N, qu’est-ce qui t’es arrivée ?
-Un loup-garou m’a attaquée. 
Stiles jure avant de fermer la porte derrière toi. Il te tire jusque dans la salle de bain où il prend la trousse de premier secours afin d’appliquer un bandage jusqu’à ce que ta blessure… guérisse ? Disparaisse ? Il l’ignore, mais il ne peut pas te laisser saigner sans rien faire alors il prend le nécessaire. Connaissant ton meilleur ami à la perfection, tu peux voir qu’il fait tout pour ne pas s’évanouir actuellement, alors tu décides de t’occuper de ta blessure tandis qu’il te questionne.
-T’es blessée autre part ?
-Non, il m’a juste mordu puis, il est parti.
-Tu as vu qui c’était ? Tu penses que c’est le même que celui qui a attaqué Scott ? 
-Je ne sais. Peut-être ? 
-Où est-ce que ça s’est passé ? T’étais dans la forêt ?  
-Je mettais l’essence, expliques-tu en te remémorant l’évènement. J’allais retourner dans ma voiture quand j’ai entendu un bruit et comme l’idiote que je suis, je suis allée vérifier et il m’a attaqué. Il y avait personne pour m’aider. J’ai peur, Stiles, ajoutes-tu, ta voix se brisant. Scott a déjà du mal à se contrôler et j’ignore si j’arriverais. 
-Tu vas y arriver, t’assure Stiles en te regardant droit dans les yeux.
-Comment tu peux être sûr ? Et mes parents, et s’ils le découvraient ? Et si le loup-garou les retrouvait ?
-Ne t’inquiète pas, on va les protéger comme on le fait actuellement.
-J’appelle pas ça “protéger”, on improvise au fur et à mesure.
-Et jusqu’à présent, on s’en est bien sorti, non ? réplique-t-il et tu ne peux pas le contredire. T’inquiète pas, Scott et moi, on est là. Si ça continue comme ça, je pourrai mettre que j’ai l’expérience en baby sitting de loup-garous, blague Stiles, ce qui te fait lâcher un petit rire. 
-T’es bête. 
-Allez, viens, tu dois être fatiguée, dit-il en te guidant dans sa chambre. 
Le jour suivant, tu as cours et autant dire que tu appréhendes. Ton audition étant plus fine maintenant, le moindre bruit te fait sursauter. Tu as même eu du mal à dormir la nuit dernière à cause de ça, ce qui ne fait pas tes affaires comme tu avais déjà le sommeil léger  en tant qu’humaine. 
Au lycée, vous expliquez brièvement à Scott ce qui t’est arrivé. Scott a de la peine pour toi, sachant très bien ce qui t’attend, toutefois, au fond de lui, il est rassuré de savoir qu’il n’est plus tout seul à s’ajuster à cette nouvelle vie. 
En attendant que les cours commencent, vous restez à l’extérieur où vous discutez de ton attaque, cherchant désespérément un indice. Tandis que Stiles exprime sa théorie, tu vas à la fontaine pour boire. Tu es penchée, ta main appuyant sur le bouton pour faire sortir l’eau quand soudain, la cloche retentit. Effrayée, ta prise se referme sur le robinet et le casse alors qu��un jet d’eau plus fort sort. Alertés par le bruit, Scott et Stiles regardent dans ta direction et te voient une expression choquée sur le visage et le robinet dans ta main. Tu essayes de remettre le robinet sur la fontaine pendant que Scott et Stiles courent vers toi pour t’aider. Chaotiquement, vous tentez d’arrêter l’eau de couler tout en vous criant dessus pendant que vos vêtements deviennent de plus en plus mouillés. 
-Bilinski ! McCall ! Y/L/N ! Qu’est-ce que vous fichez ? questionne le Coach en vous rejoignant. 
-Coach ! On a trouvé la fontaine comme ça ! On a rien fait, ment Stiles tout en continuant à essayer d’empêcher l’eau de couler.
-Oh, si vous dites que vous n’avez rien fait, alors je vous crois, commence le Coach, vous surprenant.
-C’est vrai ?
-Bien sûr que non ! réplique-t-il. Comment vous avez fait ? Vous allez devoir payer pour ça ! On va prévenir vos parents.
-Non, Coach, s’il vous plaît, ne les appelez pas, supplies-tu, stressée.
-Fallait réfléchir avant de casser des biens de l’école. 
-Mais on vous a dit qu’on a rien fait ! rétorques-tu en faisant face au Coach.
Devinant que ta panique se transforme doucement en colère, Stiles se place devant toi au cas où tes yeux changeraient de couleurs. Scott, le dernier qui tentait encore de réparer la fontaine, abandonne le robinet et te tire en arrière, laissant Stiles gérer la situation avec le Coach.
-Coach, ils y sont pour rien. Je l’ai cassé, confesse Stiles.
-Toi ? T’arrives à peine à porter ton poids ! répond le professeur, les sourcils froncés.
-Euh… Eh bien, le robinet était déjà bien abîmé. Si les établissements avaient plus de moyens financiers, on en serait pas là ! Je l’ai à peine touché et pouf… cassé. 
-Je ne veux pas perdre plus de temps donc on va dire que je vous crois, dit le Coach en se massant les tempes. Heure de colle, Bilinski et ton père sera prévenu. Maintenant, allez en cours, je veux plus vous voir ! 
Pour donner plus de poids à ses mots, le Coach utilise son sifflet, te faisant grimacer de douleur. Stiles te prend par le bras et t’amène à l’intérieur du bâtiment, Scott juste derrière. 
-Pourquoi tu as menti ? Tu vas avoir des problèmes maintenant alors que c’est de ma faute ! t’énerves-tu. 
-J’avais peur que tu perdes le contrôle. Puis, je suis à peu près sûr que le Coach pensait déjà que c’était moi.
-Même, tu n’aurais pas dû ! 
-On règlera ça, plus tard, interrompt Scott. Si on continue, on va avoir encore plus de problèmes. On a déjà pas le temps de mettre des vêtements secs, on doit aller en cours. Stiles, on te revaudra ça.
-J’y compte bien. Je suis pas assez payé pour m’occuper de vous ! dit-il avec sarcasme.
Si seulement casser la fontaine du lycée était la seule fois où tes nouvelles capacités de loup-garou t’avaient causé des problèmes… 
Chaque jour est une bataille permanente pour ne pas perdre le contrôle, ne pas laisser tes émotions prendre le dessus. Certains jours sont plus faciles que d’autres, mais quand tu as un petit frère de huit ans qui a pour seul but dans la vie de t'embêter, les jours faciles sont rares, si ce n’est inexistant.
Tu es dans ta chambre avec Stiles. Vous faites vos devoirs quand des bruits d’un tambour vous interrompent. Tu devines facilement que ton frère est en train de taper le plus fort possible tout en se collant contre le mur que vous partagez. 
-Y/N, contrôle-toi, déclare Stiles, voyant ton agacement arriver.
-Dis ça au gamin qui me sert de frère ! Je vais le…
Avant de pouvoir exprimer ta colère à haute voix, tu te lèves de ta chaise de bureau et quittes ta chambre en grognant, Stiles sur tes talons tandis qu’il essaye de te rattraper. Tu ouvres la porte d’à côté avec force et tu vois ton petit frère le bras en l’air alors qu’il allait taper le tambour. Comme tu l’avais deviné, il est collé au mur.
-Ferme-la ! On bosse ! cries-tu en t’approchant de lui. 
-Je m’amuse. Je fais rien de mal, répond-il avec un faux air innocent.
-Tu t’amuses pas, tu fais du bruit exprès.
-T’as qu’à bosser plus tard, si ça te dérange tant. 
-Ecoute-moi bien, je…, commences-tu, mais Stiles se positionnant en face de toi t’arrête. 
-Y/N, on devrait bosser ailleurs. Ça sera plus simple tu crois pas ? dit Stiles sur un ton calme avant de t’indiquer de regarder en bas et de murmurer : Tes mains. 
Tes yeux se posent sur tes mains et avec frayeur, tu remarques que tes griffes sont sorties. Ton cœur s’emballe tandis que tu quittes la pièce avec hâte. Stiles court après toi alors que tu tiens tes mains contre ta poitrine et regardes tes pieds au cas où tes yeux sont devenus jaunes. Tu pars de ta maison, ayant besoin d’aller le plus loin possible pendant que Stiles t’appelle. Quand tu es à bonne distance, tu arrêtes de marcher, permettant à Stiles de te rattraper. 
-J’aurais pu le blesser, déclares-tu, les larmes aux yeux.
-Tu ne l’as pas fait.
-Mais j’aurais pu. Il m’énervait et mes griffes sont sorties. Qui sait ce qu’il serait produit si tu n’avais pas été là ? Stiles, je peux pas vivre comme ça, sanglotes-tu. Je peux pas vivre dans la peur de blesser des gens à chaque fois qu’ils m’énervent. Mon Dieu, je suis vraiment un monstre, souffles-tu en cachant ton visage dans tes mains. 
-Tu ne l’es pas, te promet Stiles en te prenant dans ses bras. Tu as juste besoin de contrôler. Quand tu sauras le faire, ça sera plus simple. 
-Mais quand ? t’exclames-tu en faisant un pas en arrière. Je peux pas rester comme ça plus longtemps ou je vais vraiment faire du mal à quelqu’un. Scott a déjà failli te tuer et je veux pas que ça m’arrive aussi.
-Il l’a pas fait. Tout doucement, il sait ce qu’il faut faire pour rester humain. Tu y arriveras aussi. 
-Comment tu peux être aussi sûr ?
-Parce que tu es forte et que j’ai confiance en toi, mais aussi parce que je te ne laisserai pas tomber. On va travailler sur ton contrôle tous les deux, affirme-t-il, mais tu n’es toujours pas convaincue.
-Et si je te blessais ?
-T’inquiète, je commence à savoir ce qu’il faut faire en cas d’attaque de loup-garou. Ça va aller.
-Et pendant la Pleine Lune ? Ça sera sûrement pire. 
-On gérera. 
-Tu ne peux pas rester avec moi et Scott. On ne sait pas à quel point on va être dangereux. 
-Je vais trouver une solution.
Et quelle est sa solution ? Vous attacher, toi et Scott, à un radiateur, dans des pièces différentes, bien évidemment, au cas où votre soif de sang serait trop forte. La première Pleine Lune, Stiles avait opté pour de simples menottes. Quand tu l’avais vu arriver avec les menottes, tu ne savais pas si tu devais rire ou t’énerver. Tu doutais que ça soit suffisant pour vous retenir et tu avais vu juste alors maintenant, ça fait deux Pleines Lunes que vous avez préféré passer aux chaînes. 
En plus d’avoir trouvé une solution pour vous restreindre, vous avez compris que vous avez besoin d’un point d’ancrage pour vous contrôler. Depuis, dès que tu as le temps, tu t’entraines. Tu as essayé différents ancrages, mais tu as vite compris que ton amitié avec Stiles est le plus efficace. 
Enchaînée à cause de la nouvelle Pleine Lune, ta rage de loup-garou a pris possession de ton corps. Tu ne peux retenir tes griffes de sortir ou même tes yeux de briller, tu es complètement transformée. Ta peur habituelle de la Lune a laissé place à ta soif de sang. Tu tires sur les chaînes, tentant de te libérer tout en grognant. Alerté par le bruit, Stiles vient te voir avec prudence.
-Libère-moi, t’écris-tu. 
-Je ne peux pas.
-Libère-moi ou je te tue ! repètes-tu avec force. 
-Attends ton tour, le loup-garou de la pièce d’à côté veut aussi ma peau. 
Pour simple réponse, tu lâches un cri de frustration. Stiles a mal au cœur de voir ses deux meilleurs amis ainsi sans pouvoir rien faire. Alors, il s’assoit simplement à côté de la porte, te regardant au loin. En remarquant Stiles à terre, sans défense, tu te débats avec plus de fureur tout en continuant à le menacer.  
-Respire, essaye de te calmer, conseille Stiles, espérant t’aider. 
-Je vais te calmer quand je vais me libérer, tu vas voir ! 
-Pense à ton ancrage, ajoute-t-il, ne tenant pas compte de ta colère.
Malgré la haine qui t’habite, tu tentes d’écouter Stiles. Tu prends une grande inspiration et penses à ton amitié avec Stiles. Tu repenses à la façon dont vous êtes devenus amis quand vous aviez sept ans, car vous étiez tous les deux nuls en sport. Tu repenses à la première fois où tu es venue jouer chez lui et qu’il t’a fait découvrir Star Wars. Tu repenses à la façon dont tu as été là pour lui quand sa mère est décédée et lui pour toi quand tu as perdu ton animal de compagnie. Plus tu penses à votre relation, plus la rage de loup-garou devient comme un bruit de fond. Tu prends de profondes inspirations, les yeux fermés tout en continuant à te remémorer des souvenirs avec Stiles. Au bout d’un moment, ton cœur bat plus lentement et ta respiration se stabilise. Tu ouvres les yeux et regardes tes mains; tes griffes ont disparu. Tu relèves le regard vers Stiles et le découvres en train de sourire.
-Tu l’as fait. Je t’avais dit que tu y arriverais.
-J’ai réussi ?
Pour simple réponse, Stiles hoche la tête. Tu lâches un soupir de soulagement alors que tu as les larmes aux yeux. Tu souris à Stiles qui se rapproche de toi et te prend dans ses bras. Tu le sers fort contre toi, espérant lui partager toute la gratitude que tu ressens envers ton meilleur ami. Tu te sépares légèrement de lui avant de plonger ton regard dans le sien. 
-Merci. Merci d’avoir été là pour moi et d’avoir cru en moi.  
-Toujours.
Masterlist
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submissivegayfrenchboy2 · 14 days ago
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28 / 01 / 2025
🇬🇧🇺🇲 ENGLISH / ANGLAIS 🇬🇧🇺🇲
Mathieu Bedini - Mister France 2025 🏔️
A few days ago I told you that there was going to be the Mister France 2025 competition, an annual (although very recent) male beauty contest, reserved for men between 18 and 30 years old.
It was therefore Mathieu Bedini, 24 years old, who represented the Rhône-Alpes region.
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“It’s a lot of emotion, it’s a great pride”, he said after the election. Real estate agent, but also DJ, Mathieu Bedini is originally from Sallanches in Haute-Savoie.
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Here with the previous winner, Charles Samper, on the right.
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He is as beautiful dressed with a suit or naked 😍
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Passionate about bodybuilding, running and swimming, he also takes advantage of the peaks in his region to go hiking.
Mathieu Bedini is committed to eco-responsibility, because having a cause to defend is valued in the competition.
Hotter barefoot or with shoes?
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Being attracted to blond, tall and muscular men, I find him very handsome, and I put him in my favorites as I have explained to you.
You know me, I love his tongue 🤪
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Mathieu Bedini is so muscled 😍
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🏔️❄️🏔️❄️🏔️❄️🏔️❄️🏔️❄️🏔️❄️🏔️❄️🏔️❄️
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🇲🇫 FRANÇAIS / FRENCH 🇲🇫
Mathieu Bedini - Mister France 2025 🏔️
Il y a quelques jours je vous ai dit qu'il y allait y avoir le concours Mister France 2025, concours de beauté annuel (quoique très récent) de beauté masculine, réservé aux hommes entre 18 et 30 ans.
C’est donc Mathieu Bedini, 24 ans, qui représentait la région Rhône-Alpes. « C’est beaucoup d’émotion, c’est une grande fierté », a-t-il indiqué à l’issue de l’élection.
Il est aussi beau avec un costume que nu 😍.
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Ici avec le précédent Mister France, Charles Samper, à droite :
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Agent immobilier, mais aussi DJ, Mathieu Bedini est originaire de Sallanches en Haute-Savoie. Féru de musculation, de course à pied et de natation, il profite également aussi des sommets de sa région pour faire de la randonnée.
Étant attiré par les hommes blonds, grands et musclés, je le trouve très beau, et je l'avais mis dans mes préférés comme je vous l'avais expliqué.
Mathieu Bedini est engagé en faveur de l’eco-responsabilité, car avoir une cause à défendre est valorisé au concours.
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aisakalegacy · 9 months ago
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Printemps 1919, Al Simhara, Égypte (2/3)
Totalement, ou presque. Une femme s’y était réfugiée, et c’est elle qui m’a tenu au courant des dernières nouvelles. C’est d’ailleurs grâce à sa mère que vous recevez ce courrier, et j’ai eu beaucoup de chance de tomber sur une femme mariée à un étudiant en droit et éduquée qui parle bien l’anglais et avec laquelle j’ai pu communiquer aisément.
Le 20 mars, le leader nationaliste égyptien Saad Zaghlul a été arrêté par les Britanniques, conduisant à des manifestations et des émeutes sévèrement réprimées. Un couvre-feu a été instauré. Mon interlocutrice avait participé au matin même à une manifestation de femmes devant l’une de ses résidences à Louxor. Elles ont été dispersées par les Britanniques, certaines arrêtées mêmes, et ma bienfaitrice avait dû fuir afin d’éviter plus de répercussions. Elle m’apprit également l’exécution de mon ami le cheikh Fahad Madbouli, qui m’avait hébergé il y a vingt ans et m’avait ouvert sa bibliothèque. Elle n’a pas su me dire ce qu’il est advenu de la cheikha. Ce pauvre cheikh était un homme de culture, un polyglotte, je n’ai jamais croisé de ma vie quelqu’un de meilleure conversation. Je ne comprends pas quels sauvages ont pu ordonner son exécution.
Les Egyptiens, furieux de ces répressions, s’en prennent à tous les Blancs qu’ils croisent, puisqu’ils nous assimilent tous à des Anglais - même les Franco-canadiens, vous rendez-vous compte ? Nous qui luttons plus ardemment que tout autre contre leur dominion ! Mais écoutez, c’est ainsi. Ne souhaitant être tué à vue, même par erreur, j’ai fait comme les Britanniques qui ont déserté le chantier de fouilles où ils étaient exposés et je me suis caché en attendant de rencontrer le frère de Nephty - c’est le nom de ma bienfaitrice, qui, m’avait-elle dit, pourrait peut-être me venir en aide.
[Transcription] Nephty Hosni : You came. (Vous êtes venu.) Jules LeBris : I don’t have that many options, do I. Is that your brother? Who’s the woman? (Je n’ai pas beaucoup d’autres options. Est-ce votre frère ? Qui est la femme ?) Nephty Hosni : She’s my mother. Wait, I’ll introduce you. (C’est ma mère. Attendez, je vais vous présenter.) Helmi Hosni : Ma kinnash lazmeen nekoon hena. Di fikra sayya'a gedan. Wa kull dah 'ashan eih? 'Ashan nennaweez Ingleezi a'war? (On ne devrait même pas être ici. C’est une très mauvaise idée. Et tout ça pour quoi ? Pour sauver un Anglais unijambiste ?) Amina Hosni : Dah mesh Ingleezi, dah Kandi. (Ce n’est pas un Anglais, c’est un Canadien.) Helmi Hosni : Dah nefes el-haga. (C’est la même chose.) Amina Hosni : Ta'ala… kant zayy el-full ennak ta'mel safqaat ma'a 'ulama' al-athar. (Allons… Ça t’arrangeait bien de faire des affaires avec les archéologues.) Helmi Hosni : Lazem teghumi bittahkom fi bintik, ya ommi. Heeya hatwadeena kullina lil-qatl! (Tu devrais contrôler ta fille, Mère. Elle va tous nous faire tuer !)
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chic-a-gigot · 2 months ago
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Le Petit écho de la mode, no. 51, vol. 18, 20 décembre 1896, Paris. 20. — (1) Robe en lainage vert fougère, velours noir et dentelle. (2) Toilette en drap gris et velours matelassé dans le ton. (3) Robe en faille et soie brochée noires plumes. (4) Robe en drap bleu marine anglais vison et soutache. (5) Toilette en drap bleu de l’Inde, bengaline blanche et soutache. (6) Toilette en drap et velours aubergine et satin blanc. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
(1) Robe en lainage vert fougère, velours noir et dentelle. — Jupe ronde unie, corsage en velours forme blouse, serré par une ceinture ornée de deux choux; le haut est recouvert d’une dentelle de jais perlée, retombant sur un volant de dentelle formant coquillé. Col drapé avec ruche de dentelle. Manche unie au bas, très peu ample du haut, dos comme devant.
(1) Dress in fern green wool, black velvet and lace. — Plain round skirt, blouse-shaped velvet bodice, tightened by a belt decorated with two choux buns; the top is covered with pearl jet lace, falling over a lace flounce forming a shell. Draped collar with lace ruffle. Plain sleeve at the bottom, very little loose at the top, back as in front.
Matériaux: 8 mètres lainage 3 mètres velours, 2m,50 dentelle.
(2) Toilette en drap gris et velours matelassé dans le ton. — Jupe corselet lacée derrière ou agrafée de côté. Petit figaro en velours fantaisie, ouvert devant sur le devant dû corsage de dessous en satin blanc, revers de satin devant. Col drapé et froncé, garni de fourrure. Garniture de fourrure en haut de la jupe corselet, motifs de passementerie devant. Manche toute unie ornée fourrure et satin.
(2) Dress in gray cloth and quilted velvet in the same tone. — Bodice skirt laced behind or hooked on the side. Small figaro in fancy velvet, open in front on the front of the under bodice in white satin, satin cuffs in front. Draped and gathered collar, trimmed with fur. Fur trim at the top of the bodice skirt, passementerie motifs in front. Plain sleeve decorated with fur and satin.
Matériaux: 6 mètres drap, 1m,50 fourrure, 2m,50 satin.
(3) Robe en faille et soie brochée noires plumes. — Jupe garnie d’une ruche. Corsage ajusté avec petit coquillé de velours devant et ceinture de velours. Petit figaro garni de plumes, il est découpé en bretelles devant et dans le dos. Col droit garni de plumes. Manche d’une seule pièce garnie de deux bracelets de plumes, le bas terminé par une dentelle.
(3) Dress in black faille and brocaded silk with feathers. — Skirt trimmed with a ruffle. Fitted bodice with small velvet shell in front and velvet belt. Small figaro trimmed with feathers, it is cut into straps in front and back. Straight collar trimmed with feathers. One-piece sleeve trimmed with two feather bracelets, the bottom finished with lace.
Matériaux: 12 mètres faille, 4 mètres soie brochée.
(4) Robe en drap bleu marine anglais vison et soutache. — Jupe ronde garnie en cerceaux de deux rangs de fourrure avec passementerie intercalée entre. Petit corsage figaro croisé de côté et boutonné par deux boutons, revers ornés passementerie et fourrure, plastron garni passementerie. Col droit bordé fourrure. Manche garnie de fourrure.
(4) Dress in English navy blue cloth, mink and soutache. — Round skirt trimmed in hoops with two rows of fur with braid inserted between. Small figaro bodice crossed on the side and buttoned with two buttons, lapels decorated with braid and fur, plastron trimmed with braid. Straight collar edged with fur. Sleeve trimmed with fur.
Matériaux: 8 mètres tissu.
(5) Toilette en drap bleu de l’Inde, bengaline blanche et soutache. — Jupe ronde garnie au bas d’un biais de velours surmonté d’une petite passementerie. Corsage uni ouvert devant sur un gilet en bengaline crème encadré par une bande de vison qui se continue autour du col marin. Col droit garni fourrure. Manche entièrement soutachée, garnie fourrure.
(5) Dress in blue Indian cloth, white Bengaline and soutache. — Round skirt trimmed at the bottom with a velvet bias topped with a small braid. Plain bodice open in front over a cream Bengaline waistcoat framed by a mink band that continues around the sailor collar. Straight collar trimmed with fur. Sleeve entirely braided, trimmed with fur.
Matériaux: 8 mètres tissu, 5 mètres fourrure, 0m,50 soie.
(6) Toilette en drap et velours aubergine et satin blanc. — Jupe unie, corsage en velours agrafé au milieu du devant et garni de deux choux de satin revers de velours, garni de satin plissé, plastron en satin blanc, col en velours bordé de fourrure, deux galons de jais ornent le plastron, manche unie avec double bouffant, le bas garni de velours et jais.
(6) Dress in aubergine cloth and velvet and white satin. — Plain skirt, velvet bodice stapled in the middle of the front and trimmed with two satin choux buns, velvet reverse, trimmed with pleated satin, white satin plastron, velvet collar edged with fur, two jet braids adorn the plastron, plain sleeve with double bouffant, the bottom trimmed with velvet and jet.
Matériaux: 7 m. tissu, 2m,25 velours, 2m. satin.
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alain-keler · 29 days ago
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Lundi 13 janvier 2025
Mariés, vous avez dit mariés !
Réédition du journal du 20 avril 1997. Nous sommes à deux jours du premier tour de l'élection présidentielle.
Jeudi 20 avril 2017.
J – 3 avant le premier tour de l'élection présidentielle.
En cet fin d’après-midi ensoleillé, je ne voulais plus entendre parler politique. Alors je me suis promené, appareil photo à la main.
Le soleil, abondant de cette lumière si belle de fin de journée, ne parvenait plus à réchauffer l’atmosphère. Un vent frais balayait le parvis où se dresse resplendissante la pyramide du Louvre.
Des jeunes mariés chinois se font photographier.  Ils sont accompagnés par une photographe et son assistante, chinoises aussi toutes les deux.
Les mariés sont très beaux. Enfin surtout la mariée. Je les suis. Aucun d’entre eux ne parle anglais. Le marié sourit lorsqu’il me voit prendre des photos. J’aide un instant l’assistante en jetant le voile blanc en l’air, de ma main gauche et en photographiant de ma main droite.  Paris semble très calme, comme avant une tempête que l’on devine. 
Elle s’est déclenchée quelques heures plus tard, avec un attentat, comme si le terroriste voulait participer à la campagne électorale. Un policier assassiné, un autre gravement blessé. Des voix de plus pour le parti extrémiste qui prêche la haine.
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nando161mando · 10 months ago
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🔴 NE LAISSONS PAS PARIS AUX NEONAZIS - RDV LE 11 MAI 📆
Le samedi 11 mai, rassemblons-nous sur la place du Panthéon à partir de 14h pour tenir un village antifasciste contre la manifestation du C9M et plus largement contre les attaques de l'extrême droite en France et dans le monde, sur tous les fronts, des groupuscule d'extrême droite jusqu'au tournant autoritaire et raciste de l'Etat néolibéral.
Plus de détails dans les slides et à venir dans les prochains jours, restez informé-es sur les pages des différentes organisations participant au village antifasciste, nous ne sommes pas à l'abri de rebondissements et d'une éventuelle tentative d'interdiction par la préfecture !
🇬🇧 Important antifascist mobilization against a nazi gathering in Paris on 11th of May.
🇮🇹 Importante mobilitazione antifascista contro un raduno nazista a Parigi l'11 maggio.
🇪🇦 Importante movilización antifascista contra una concentración nazi en París el 11 de mayo.
@antifainternational @anarchistmemecollective @radicalgraff @kropotkindersurprise
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