#- Parce qu'elle n'est pas à moi
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Un colonel de l'armée examine ses hommes, il donne un coup dans le ventre d'un et dit : - Est-ce que tu as mal ? - Non, mon colonel ! - Pourquoi ?! - Parce que je suis un homme, colonel ! Il donne une baffe à un homme et dit : - Est-ce que tu as mal ? - Non, mon colonel ! - Pourquoi ?! - Parce que je suis un homme, colonel ! Le colonel voit un de ses hommes en érection, il lui donne un coup dans sa bite et dit : - Est-ce que tu as mal ? - Non, mon colonel ! - Pourquoi ?! - Parce qu'elle n'est pas à moi, elle est au mec qui est derrière...
#- Est-ce que tu as mal ?#- Non#mon colonel !#- Pourquoi ?!#- Parce que je suis un homme#colonel !#il lui donne un coup dans sa bite et dit :#- Parce qu'elle n'est pas à moi#elle est au mec qui est derrière...
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C'était un être anguleux de corps comme de caractère, sans jamais une formule aimable, ni un geste galant, ni un mot d'humour, préférant la compagnie des chiffres à la société des hommes.
Vraiment, le héros romantique idéal. Ceci dit sans le moindre sarcasme.
#le développement des sentiments d'ophélie et de thorn l'un pour l'autre est une bouchée d'air frais#et ils sont tout deux des héros parfaits pour moi.#ophélie et sa curiosité et sa volonté d'acier et sa maladresse et sa petite voix#et si si facile à sous estimer parce qu'elle n'est pas physiquement imposante#et thorn et sa droiteur son intégrité et sa totale incapacité à se montrer poli ou agréable#des personnages comme çà j'en veux plus souvent
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Entre le vieux sous curatelle, l'autre qui n'est pas raciste parce qu'elle a un dentiste Arabe, celle qui se fait prendre en photo avec une casquette de Nazi et celle qui a fait une prise d'otages à main armée, c'est vraiment la crème de la crème au RN dites-moi, elle est belle la France 'de souche'
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besoin de vos avis
Bonjour la commu 💕 J'espère que vous allez toustes bien en ce troisième jour de décembre, que vous êtes satisfait.e.s de l'année écoulée et si non, sachez que je suis aussi dans la team de ceux qui ont HATE qu'elle se finisse, duh. Mais bon, rentrons dans le vif du sujet.
Depuis quelques temps je pense à ouvrir un Patreon. Je posterai toujours des avatars sur ce tumblr, évidemment, mais le Patreon me permettrait d'arrondir un peu les fins de mois difficiles (elles sont nombreuses) (quelle foutue idée j'ai eu d'aller vivre dans une capitale européenne hein), tout en proposant, pour les personnes qui y seront abonnées, un partage de ressources, pourquoi pas des tutoriels (god bless y'all, je suis pas une bonne prof, sauf pour vous apprendre à faire des cocktails jpp) (ça peut être une option aussi en soit), un système de commandes (surtout pour des designs de forums parce que même si j'adore faire ça, ça me prend un temps FOU, c'est pour ça que je propose très très rarement de le faire), etc.
Le prix ne serait évidemment pas exorbitant, ce serait de £3-4 par mois.
Qu'est-ce que vous en pensez? Est-ce que certain.e.s d'entre vous seraient partant.e.s? 👀 Gardez évidemment en tête que je ne force à RIEN, qu'aucun couteau n'est contre votre gorge, que si vous avez envie, vous le faites, sinon sans rancune! J'y ai surtout pensé encore plus quand on m'a dm récemment pour un travail commissionné donc je me suis dit que ça pourrait aussi être sympa d'offrir cette opportunité aux gens???
(Les asks anonymes sont désactivés donc si vous voulez balancer de la haine comme ça arrive souvent quand il est question d'argent, utilisez vos pseudos <3)
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La semaine dernière un type est arrivé en pétard à la médiathèque parce qu'il avait reçu un mail de relance pour 2 BD et il était vraiment méga énervé lol il me dit "ma fille dit qu'elle a rendu les bd, vous vous rendez pas compte à quel point c'est anxiogène de recevoir ce mail alors qu'on a rien à se reprocher, elle s'est pris une soufflante alors j'espère que c'est pas pour rien !!!" alors. moi aussi je souffre d'anxiété généralisée monsieur je comprends donc à quel point ça peut être angoissant mais il faut doser quand même mdr et puis est-ce ma faute si vous engueulez votre fille sans d'abord nous contacter pour savoir si elle les a rendus ou pas ses livres ? bref c'est la millième fois que ça arrive et dans 99% des cas les livres sont bien encore chez la personne même si elle nous jure que non mais comme on n'est pas là pour se faire souffler dans les bronches souvent on fait genre on les croit et on enlève les doc de leur compte (parce qu'on sait qu'ils vont finir par revenir avec)
donc ce soir le gars revient comme une fleur avec, ça alors 😱, les BD sous le bras et il force sa fille à me dire pardon par contre lui qui m'a hurlé dessus pas un pardon lol visiblement c'est trop anxiogène pour lui bref si un jour votre médiathèque vous dit que vous n'avez pas rendu un livre alors que vous pensez que si je vous en supplie vérifiez quand même chez vous avant c'est ma santé mentale qui est en jeu
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Hier je suis allée rechercher l'ado où il bosse, il est co-animateur de cours de cirque pour des 4/5 ans chaque samedi depuis la rentrée scolaire. Je l'attendais sur le parking en regardant les parents aller chercher leurs enfants et là une maman me dit "il faut aller les chercher à l'intérieur, ils ne les laissent pas revenir seuls sur le parking"
Et je ne sais pas ce qu'il s'est passé mais mon cerveau n'est pas du tout allé chercher le message implicite de ce qu'elle m'avait dit, et j'ai juste répondu en surface "oh ça ira, il va se débrouiller" et mon cerveau ensuite a quand même constaté que le non-verbal avait été un chouia modifié parce qu'elle a fait un truc à peine perceptible avec ses yeux mais moi j'étais dans cette espèce de plénitude à attendre mon fils en sachant qu'il était heureux d'être où il était et qu'il écrivait petit à petit les bases de son avenir professionnel.
J'ai seulement tilté sur le chemin du retour que la maman dans le parking pensait que mon fils avait 4 ans, et avait dû me prendre pour une mère indigne.
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On s'est vus et il m'a sorti que son premier amour lui revenait toujours en tête. C'était il y a 1 an et il n'arrive pas à passer à autre chose depuis. Parce que ça s'est terminé très brutalement. Je l'ai détesté immédiatement. Détesté d'avoir commencé quelque chose en ayant conscience de ça. Et lui qui a osé me dire qu'il avait peur de s'attacher alors que j'étais peut-être pas passée à autre chose avec mon plan cul.
Vous savez comme je fuis dès qu'une difficulté se présente. J'ai eu un sentiment de détachement immédiat et la sensation de vouloir tout arrêter tout de suite. Il me l'a dit parce qu'il sentait que je m'attachais et selon lui j'avais l'air de m'attacher plus vite que lui. Alors que c'est lui qui m'a déjà présenté sa famille et d'autres choses bien trop rapides à mon goût. Mais comme je le sentais s'attacher vite, j'ai laissé tomber mes barrières et je me suis laissée aller.
Actuellement, je sais que pour me protéger je serais capable de ne plus lui parler du jour au lendemain. Parce que j'en peux plus d'être blessée. J'ai été honnête et je le lui ai dit. Il n'était vraiment pas bien.
Je ne sais pas s'il a bien fait de me le dire. Je crois que cette vérité fait partie des vérités qu'il n'est pas nécessaire de dire. Évidemment que le premier amour est impossible à oublier mais tu ne commences pas une histoire si tu ressens encore tout à vif. Il a encore pensé à elle actuellement, c'est pour ça qu'il a eu besoin de me le dire. Je suis trop déçue et là vraiment je n'ai plus envie de garder contact.
"Tu retournerais vers elle si elle revenait vers toi?"
"... Je sais pas"
En plus il n'a vu son premier amour que 2-3 fois, ils se sont surtout rapprochés par messages. Mais ça a été très vite, ça a été ses premiers sentiments, ses premiers contacts physiques. Puis c'est un gars super sensible, qui ressent tout très fort et qui s'attache vite. Ça s'est fini parce qu'elle est partie pour revenir vers son ex, qui en plus de ça était un connard. Il est tombé de 10 étages. Ensuite, il est sorti avec une autre fille, qui a réussi à lui faire oublier la première. Mais après leur rupture, il a repensé à la première. Il arrive à être objectif et à se dire qu'il l'a beaucoup idéalisé et mise sur un piédestal. Il en a conscience mais il ressent quand-même encore toute cette frustration de ne pas avoir pu vivre une vraie histoire. Parce qu'au final ça n'aura duré que 3-4 mois.
J'ai beau réfléchir, j'arrive pas à m'imaginer commencer quelque chose avec quelqu'un qui a toujours une autre fille en tête. C'est inconcevable. Je lui ai dit qu'il devait prendre le temps de l'oublier. Il n'y a que le temps qui fera les choses. Mais ça n'a pas été ma décision finale, il m'a dit qu'il me laisserait le temps de digérer les infos et de réfléchir à ce que je veux faire. "En tout cas saches que si tu décides d'arrêter, ça aura été une belle histoire et je ne t'oublierai jamais".
Tout était trop beau pour ��tre vrai.
(20/06/2024)
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saga: Soumission & Domination 346
Sosthène // Romain
Une des prestations de Sosthène a consisté à accompagner un client dans une manifestation littéraire. Il s'y est montré très pro, discutant aussi bien des dernières parutions que du prix Nobel et avec suffisamment de pertinence pour que certains éditeurs lui donnent leurs cartes. Coté sexe aussi il a assuré et mon client en a été doublement content.
Quand je fais le point avec lui, je vérifie que ça va pour lui. Il est dans ses premières prestations et je veille à sa stabilité psychologique. Il me rassure et me dit de ne pas m'en faire, il sait bien distinguer entre le travail et l'affect et que pour ça il a son Justin. Malgré ses 18ans il est sacrément mûr. Il me fait un peu penser à moi dans mes débuts. J'avais Marc en point fixe et avec mes clients c'était que du taf (ok, sauf avec leurs fils) et en négatif aussi (moi blanc lui black).
A l'occasion d'un entrainement où Justin travaille avec nous, ce qu'il commence à faire de plus en plus souvent pour être un peu plus avec son chéri, je le prends à part (Justin) pour discuter. On monte au 4ème et devant un jus complémenté en minéraux, on se parle de Sosthène.
Justin me dit en être réellement amoureux et que oui, bien sûr, il sait qu'ils ne sont ni du même milieu et qu'ils n'ont pas de points commun. Mais aussi que contrairement à ce que je pourrais penser, il sait lire même s'il est plus Tom Clancy que Kant et Kierkegaard. L'aurais-je vexé ?
Je lui dis que le débat n'est pas là. Il l'est plus dans le travail que fait Sosthène pour moi. Là il se méprend et me demande si c'est parce que lui ne paye pas.
Le con je n'avais même pas pensé à ça ! Je nie bien sûr. Je lui demande juste si le fait que Sosthène encule ou se fait baiser par des clients pour de l'argent ne lui pose, à lui, pas de problème. C'est pas évident d'aimer un escort quand on ne l'est pas soi-même.
Il me dit qu'il a fallu un peu de travail sur lui-même pour au départ extraire cette donnée lors de leurs rapports sexuels. Mais Sosthène en vaut la peine d'après lui. Moi ça me va comme réaction.
Quand je lui demande comment il vit ça avec ses parents. Il me dit qu'indépendant il n'a plus de compte à leur rendre mais que oui, maintenant ils étaient au courant qu'il sortait avec un garçon, que celui-ci était black aussi. Son père lui avait dit que tant qu'il ne faisait pas l'amour au milieu du garage devant les clients, ça ne lui posait pas de problème particulier. Quant à sa mère avec son frère ainé marié avec 3 enfants, elle acceptait ce qu'elle ne pouvait pas comprendre.
Avant que nous rejoignions les autres, il me prend le bras et me retient avant d'entrer dans le monte-charge. Il me dit que lui aussi s'est demandé un bon moment ce que Sosthène pouvait trouver en lui à part une gueule correcte et un sexe de la taille du sien. Mais il avait cessé de se torturé la cervelle et acceptait son amour pour lui.
Moi je commence à deviner ce que Sosthène a pu déceler en lui. Un jeune homme solide, avec les pieds sur terre, manuel mais loin d'être con, acceptant sa couleur sans en faire cas et surtout amoureux de lui.
Quand nous entrons au second, Sosthène nous rejoint aussitôt et me demande ce que je lui voulais à son mec. Je lui dis que Justin en parlera avec lui s'il le veut et part faire de l'exercice.
Avant de partir il me dira que c'est gentil de me préoccuper de lui mais qu'il gère avec Justin.
Romain à fait son entrée officielle dans le groupe. Sa carrure l'a plus fait remarquer que sa taille plutôt réduite par rapport à mes autres escorts.
Le fait qu'inconsciemment João soit à ses côtés n'a échappé à personne et sans qu'ils n'en fassent la remarque, j'ai observé que mes escorts, si chauds habituellement, n'essayaient pas de le draguer.
A la demande de Jona pour montrer aux autres moins au fait du travail au sol des gymnastes, Romain nous fait une démo sur le grand tatami de la serre. Il impressionne ! Que ce soit dans les sauts où dans les parties au sol proprement dit, le travail en force scie les spectateurs. Quand il se remet debout, Jona le prend en exemple pour démontrer l'intérêt d'avoir une ceinture abdominale solide. A ce moment-là, Romain contracte ses abdos et nous voyons chaque carré de sa tablette se détacher encore plus des autres, à croire que l'on avait sculpté subitement son ventre.
Nous sommes tous bien foutu et pas gras mais là, devant nous se trouvait notre maître à tous ! Quand il détaille ce qu'il fait pour garder cette taille, il en décourage quelques-uns dont moi ! La séance continue. Je crois que s'il fait l'affaire, ce dont je ne saurais douter vu ses performances aux tests, je vais devoir passer à des équipements plus spécifiques pour lui.
Si je continue comme ça il ne restera plus que deux rangées de palmiers au fond et sur les côtés !!
Quand j'en discute avec lui ce sont les anneaux qu'il voudrait en premier. Ça et des parallèles ça rentreraient dans l'espace. Y'en a peut-être que ça amuseraient d'essayer après tout.
Je teste Romain pour savoir s'il peut démarrer direct. Un passage au sous-sol me confirme que les gros calibres passent. Pas facilement mais ils passent avec une bonne dose de gel et de poppers.
Comme pour les autres j'organise une mise aux enchères. trois inhabituels se battent pour l'avoir. C'est la première fois qu'ils s'accrochent pour se faire une primo-prestation. Je suis sûr que c'est le physique du mec qui les fait kiffer. Ils se battront encore si j'arrive à en trouver un autre de potable. En attendant j'hallucine quand je vois le chiffre se fixer juste en dessous de celui de Ludovic qui du coup détient toujours le record.
Mon petit Romain est sur le cul quand je lui annonce ce qu'il va gagner. C'est plus que son père et sa mère en 2 ans heures sup comprises ! Il me dit que ça va les aider aussi. Je le préviens d'être discret quand même avec eux. Il en convient.
En plus de ne pas être dans les plus virulents son " gagnant " est moyennement monté enfin pour ma clientèle. Ça le met dans les 24/25 x 6 seulement ! Et en plus pas de phantasmes particuliers, juste une bonne baise bien classique.
Relation de sa prestation par Romain :
Je suis allé à ma première prestation. Savoir le prix que le mec a mis pour m'avoir me stresse un peu, je crois que j'aurais préféré ne pas le savoir avant. Là je n'ai pas le droit à l'erreur.
J'arrive à l'adresse indiquée. Grosse baraque cossue. Je ne suis jamais entré dans ce genre de maison.
Le mec qui m'ouvre est plus que correct, il fait plus jeune que ses 50ans prédisaient. C'est alors que le type me demande de le suivre et m'emmène dans un salon où m'attend un type plus dans la bonne description assis devant un feu. Je capte que le premier mec n'était que le serviteur ! Une première encore pour moi.
Je suis invité à prendre l'autre siège. Le client attend que son serviteur soit sorti pour engager la conversation. Il me demande si je n'ai pas eu de mal à trouver la maison, et me dit de ne pas m'inquiéter pour la suite.
Putain ! Je ne pensais pas laisser paraitre mon stress.
Il me demande mon cursus. Je lui explique que je ne suis qu'en première année de ma fac. Et lui explique qu'on ne fait pas que du sport mais que nous avons aussi des cours de physiologie humaine, d'anatomie, de psychologie et d'économie du sport. On a aussi des cours de méthodologie et de la formation aux premiers secours.
Là c'est lui qui est étonné en bien. Il pensait que nous passions tout notre temps en short à faire du sport. Il me dit qu'il a lu sur l'annonce que j'étais plutôt adepte de gymnastique
Je vois là l'entrée en matière. Je me lève et devant la cheminé entame mon " strip-tease ". Déjà quand je retire ma veste il voit ma carrure hors norme. Quand la cravate et la chemise tombent, il n'a plus de doute. Je continue jusqu'à n'être plus couvert que par un boxer Addicted qui laisse mes fesses à l'air. Et dans l'espace libre devant la cheminée, je fais quelques échauffements et enchaine quelques mouvements en force de travail au sol.
Il se lève et me demande de cesser qu'il est convaincu. Je me remets sur les pieds et reprends mon souffle alors qu'il s'approche. Je le regarde. Il est pas trop mal mais très noir ! C'est ma première prestation mais aussi mon premier noir. Il me domine de plus de 15 ou 20cm et d'au moins 30Kg. Pas de ventre c'est déjà ça.
Le mec passe ses mains sur ma peau. Il suit le contour de mes muscles. Il passe dans mon dos et empoigne mes pecs. Ses mains les couvrent presque entièrement malgré leurs importances ! Quand il se plaque contre moi, je sens sa bite à moitié gonflée contre mes lombaires. Je me retourne et monte mes mains sous sa veste pour la dégager de ses épaules. Elle tombe au sol et je m'attaque à sa chemise. Il me laisse faire.
La cravate rejoint la veste. Les boutons se défont faciles et la chemise s'ouvre sur un torse assez musclé pour son âge. Quand il est torse nu, je m'aperçois que le mec doit s'entretenir un minimum. Pas de ventre et les poignées d'amour sont petites. Je continu avec son pantalon. Ceinture en croco je parierais, le zip descendu le pantalon laisse apparaitre un caleçon en toile large poussé en avant par sa queue bandante. Le gland dépasse de plus de 5cm de la jambe gauche.
Je tombe à genoux, son gland est presque devant ma bouche. J'ai juste à me pencher pour lui donner quelques coups de langue. Du coup c'est de 10cm que sa bite ressort. Avant que cela me gêne, je tire le dernier rempart sur ses chevilles.
Putain que c'est gros ! En plus elle grossit encore. Je n'attends plus et embouche le mastard. Je fais attention à mes dents. Je suce, je pompe, j'en perds la notion du temps. C'est lui qui en m'attrapant par les épaules et en me tirant vers lui interrompt cet hypnotisme.
Il me dit que ce n'est pas une course mais un moment qui doit être agréable pour nous deux. Je me calme, je m'aperçois que j'étais un peu...fébrile !
Il me dit que nous resterons dans cette pièce pour faire l'amour. J'apprécie le distinguo avec " pour te baiser ". Il est fort et mes 68 Kg sont une plume dans ses bras. Une couche de graisse superficielle recouvre tout son corps et masque les muscles qui sont dessous. Il me soulève à bout de bras et vient me sucer à son tour. Je ne m'y attendais pas. Une pensée idiote me vient à l'esprit : heureusement que c'est pas chez moi, j'aurais déjà la tête au premier étage !
Il me repose à terre, j'ai le nez sur ses pecs et ma bouche va ventouser ses tétons. Ils font la taille de mon petit doigt (en diamètre !). Je l'entends gémir, ça lui fait de l'effet.
Il appui sur mes épaules. Je recommence à le pomper mais avec plus de discernement, pas comme un " mort de faim " mais plutôt en douceur. J'alterne le travail du gland qui soulage ma mâchoire mais pas ma langue avec des gorges semi-profondes, vu la bestiole, qui font l'effet l'inverse.
Intérieurement je me dis que j'ai bien fait de me préparer la rondelle avant de venir !!
C'est lui qui mène la danse. Quand il estime que son gland est suffisamment brillant, il me redresse. Un passage rapide sur chacun de ses tétons puis il me plie en deux sur le dossier du canapé. J'ai la tête dans les coussins et le cul bien en évidence. J'attends l'assaut !
Mais c'est une autre sensation qui me parvient au cerveau. Chaude humide, c'est sa langue qu'il passe sur ma rondelle. Elle est pro cette langue. Elle se fait large pour passer sur ma rondelle ou pointue pour la défoncer et lui mettre de la alive dedans. Il me mange le cul un bon moment et c'est très bon. Puis j'entends l'étui d'une kpote se faire déchirer avant que dans un même mouvement, il se redresse, couvre mon dos et, quand son gland arrive au bon endroit, il me pénètre et s'enfonce totalement en moi. La sensation est particulière. Je ne peux pas dire que j'ai eu vraiment mal. Mais c'est très " remplissant " ce genre de sexe !
Il reste couché sur mon dos quelques minute à savourer mon cul avant de se redresser de m'attraper par les hanches et de se mettre à me défoncer. Une véritable saillie ! Quand je pense qu'il n'est pas le plus membré des clients de Sasha, ça promet !!
En attendant il me fait profiter de chacun de ses cm et même des mm de sa grosse et longue bite. Il alterne les sodos rapides avec des moments plus lents où il va jusqu'à sortir complètement sa queue de mon cul avant d'y retourner.
Je viens à penser qu'il me baise comme il baiserait n'importe lequel des escorts de Sasha. Il ne profite pas de mes capacités sportives !!
Doucement je me redresse et colle mon dos contre son torse. Je tourne la tête et présente mes lèvres. Il pose les siennes dessus pour la première fois. J'entrouvre les miennes, il pointe sa langue dans ma bouche. Elle est proportionnée à sa bite et me remplit la bouche !
Sans un mot je m'avance et me dégage de son sexe. Je l'emmène de l'autre côté du canapé pour l'assoir au milieu. Je fais alors un grand écart facial au-dessus de lui, les deux chevilles posées sur les accoudoirs. Et là mes muscles entrent en jeu. Rien qu'en sollicitant ceux de mes cuisses, je m'enfonce son pieu dans le cul puis remonte pour me dégager.
Là il voit ce que c'est que de baiser avec un vrai gymnaste et pas uniquement un sportif ! Mes cuisses chauffent mais je maintiens la position un bon moment, même si ses mains sont venues serrer ma taille. Amusant, il ne manque que quelques cm pour qu'il fasse le tour de ses doigts.
Je fatigue quand même au bout d'un moment et change de position. Passage rapide un genou de chaque côté de lui puis je bascule en arrière tout en l'emmenant avec moi. A la fin, j'ai la nuque sur le tapis, le dos contre le canapé et lui qui me baise en chandelle. Je ne porterais pas ce putain de slip je pourrais me sucer.
C'est lui qui prend l'initiative de faire un 360° pour m'enculer çà l'envers. A l'intérieur ça change beaucoup de chose ! La sensation est tout autre et les pressions ne sont plus dirigées pareil.
Il se replace normalement et me tire vers lui. Quand il se met debout je m'enfonce comme jamais sa bite en moi. Il me tient sous les fesses et me bouge comme s'il se branlait avec moi en remplacement de sa main. Il me fait tomber une dernière fois et je sens sa bite gonfler encore plus en moi. Il jute dans sa kpote ! Je serre le cul. Ça lui donne un dernier spasme. C'est quand il décule et que son gros gland tape une dernière fois ma prostate que je jute dans mon slip. Merde je vais devoir rentrer sans !
Il se désaccouple je serre les fesses, il apprécie. Il attrape deux peignoirs et m'en tend un. On en mettrait deux comme moi dedans. Ce doit être un des siens. Il m'emmène dans sa chambre et puis dans la salle de bain. La douche est grande et nous nous douchons ensemble. Ses mains glissent sur ma peau quand il étale le gel douche. De véritable caresses jusqu'à ce qu'il masse mes muscles. C'est trop bon. Il a des doigts divins et je me laisse aller. Il me sort de l'eau, me couche sur son lit et à cheval sur mes jambes se met à me masser tout le dos. C'est tellement bon que je m'endors.
Quand je me réveille il fait grand jour. Merde !
Je suis seul dans la chambre, nu au milieu du grand lit à la place exacte où j'étais en train de me faire masser la veille ou le matin même. Une enveloppe est posée à côté de moi avec une feuille A4.
Le papier dit qu'il a été obligé d'aller travailler, que son valet est à ma disposition pour le petit déjeuner et que l'enveloppe est pour moi.
J'ai à peine fini de lire que l'homme en question rentre dans la chambre avec mes vêtements pliés sur son bras. Mon slip est propre et sec. Il m'annonce l'heure et qu'un petit déjeuner m'attend.
Je me douche rapidement, il m'attend ! Je me sèche, enfile mes vêtements. J'ai l'impression que ma chemise aussi a été lavée. Il m'emmène déjeuner. La table est couverte de tout ce qui peut être pris le matin. Viennoiseries, oeuf bacon, pancakes...
Avant de manger, j'appelle Sasha. Je lui brosse le tableau comme quoi je me suis endormi chez le client et que maintenant je suis en retard pour mon cours !
Il éclate de rire et me dit de passer chez le docteur XXX pour un arrêt pour la journée.
J'y passe, c'est celui chez qui j'ai été pour le bilan de santé. Il est déjà au courant et me fait un arrêt. La fac de sport c'est plus comme une école qu'une fac où tu peux ne pas venir quand tu veux !
La première de Romain s'est bien passée. A part le fait qu'il se soit endormi alors que la prestation n'était que de la soirée. Il passe me voir le soir même et me remet la lettre et l'enveloppe. Le contenu du message est succinct. Je lui demande si le petit déjeuner avait été bon. Il me dit qu'il n'avait jamais vu une telle table !
J'ouvre l'enveloppe, dedans 1/4 de sa prestation en liquide. Il ne s'est pas foutu de lui.
Je le titille un peu et lui demande s'il a bien fait mettre une kpote au client.
Il s'offusque que j'ai pu penser le contraire. Et il ne lui semble pas avoir été défoncé pendant son sommeil.
Je ris et lui passe son enveloppe bonus. Il n'en revient pas non plus du montant. Il me demande si c'est à cause du grand écart facial sur la bite du mec. J'ouvre de grands yeux et il m'explique la position. J'aime trop !
Je pense qu'il n'a pas fini de recevoir des bonus conséquent ce petit !
Jardinier
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J'ai cherché dans mon téléphone, ce qu'il me reste de toi. Tout est sur l'ordinateur et je n'ai pas le coeur d'aller regarder tes 1.300 photos. Moi, qui pensait atteindre les 2.000 photos de toi. Tu étais tout le temps collé à moi, dans des positions plus qu'improbable. Maman disait toujours que tu étais sans cesse avec moi et qu'elle ne se demandait plus où tu étais, quand j'étais à la maison. Je ne m'en rendais pas compte. Pourtant, c'était véridique.
J'ai cherché pour ta grande sœur, mais je n'ai plus de photos d'elle sur moi. Je devrais en mettre quelques unes. Les plus belles. Je devrais me créer un dossier "Mes plus belles étoiles" et le garder pour toutes ces fois où je ressens le besoin de revoir vos bouilles.
J'ai encore le coeur en miette ce soir, parce que vous me manquez, toi et Cao. Demain, je vais voir le tatoueur pour poser une date. Je vous ai dessiné, tous les deux, côté à côté. Comme à l'époque. J'ai besoin de le mettre sur ma peau, encore une fois. Vos initiales ne me suffisent plus. Le chat ailé tatoué deux jours après ton départ ne me suffit plus.
Ça fait 13 ans que je n'accepte pas les conditions dans lesquels est partie Cao. Mais j'accepte encore moins la tienne. Je n'ai pas pu te dire au revoir, comme j'ai pu le faire pour ta soeur, même si je n'y étais pas préparée. Et ça, ça pèse lourd sur mon coeur. Beaucoup trop lourd.
En écrivant, je pense à quelque chose. J'ai fait une création en ton nom à maman, car je sais ô combien tu lui manques. Mais je vais m'en faire une également, avec Cao. Ca sera mon lieu de recueillement, là où je pourrais vous parler, penser à vous (même si je n'ai pas besoin de ça), ou juste libérer ma peine.
La douleur de votre départ ne part pas, je m'y habitue. Vous étiez mes meilleurs amis, vous l'êtes toujours. Dans mon coeur, vous avez toujours la même place. Personne ne vous remplace.
Il n'est pas vous et pourtant, Pin's est aussi calin, aussi joueur. Il me colle, où que j'aille. Il adore dormir dans mes vêtements, dans mes sacs, dans mes cartons. Comme vous. Il adore venir sur le bureau, se frotter à moi. Il ronronne fort et il veille sur moi quand je vais mal. Comme vous. La relève est assurée et je ferai tout pour qu'il soit aussi heureux que vous. Je veillerai sur lui, comme j'ai veillé sur vous.
Mes meilleurs amis.
Cao, Loustik, Pin's.
#Pensées du soir#Départ#cute cat#french#love#quotes#vintage#life#write#photo personnelle#poety#poetry#cats#cats of tumblr#warrior cats#Tu me manques
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Law & Love
Chapitre 2 : Sous Tension
-ˋˏ✄┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈┈
Le soleil matinal perçait à travers les stores du bureau d'Agatha, projetant des lignes d'ombre et de lumière sur les piles de dossiers empilées sur son bureau. Elle était arrivée tôt, bien avant ses collaborateurs, espérant que le calme relatif du matin l'aiderait à remettre de l'ordre dans son esprit.
Mais le calme ne venait pas.
La nuit avait été longue et agitée, ponctuée de flashbacks du bar, de Victoria et Diane, et, surtout, de la confrontation glaciale avec Jonathan. Le souvenir du regard de Victoria — ce mélange de défi et d'intensité — persistait dans son esprit, s'invitant là où il n'avait pas sa place.
Un léger coup frappé à la porte la sortit de ses pensées. Lilia Calderu entra, un dossier épais dans les mains et un sourire malicieux sur les lèvres.
« Tu es matinale aujourd'hui, Agatha. C'est ton nouveau truc ? Te torturer avec du café tiède et des piles de paperasse avant que tout le monde arrive ? »
Agatha esquissa un sourire fatigué. « Le travail ne se fait pas tout seul, Lilia. Qu'est-ce que tu as pour moi ? »
Lilia posa le dossier sur le bureau d'Agatha, ses sourcils se haussant légèrement comme pour souligner son importance. « Une nouvelle affaire, et pas des moindres. Une grosse société est accusée d'intimidation de témoins et de fraude. Ils veulent que notre cabinet les défende. »
Agatha ouvrit le dossier, parcourant rapidement les premières lignes. Ses sourcils se froncèrent. « Une multinationale accusée de corruption... Ce genre d'affaire attire toujours les projecteurs. Pourquoi on devrait se mouiller pour eux ? »
Lilia croisa les bras, penchant légèrement la tête. « Parce que gagner ce genre de procès pourrait nous apporter des contrats encore plus juteux. Et, je ne vais pas te mentir, battre Victoria et Diane sur ce terrain serait savoureux. »
À l'entente du nom de Victoria, Agatha releva les yeux. « Elles sont sur l'affaire ? »
Lilia hocha la tête. « Elles représentent un témoin clé, une ancienne employée de l'entreprise qui joue les lanceuses d'alerte. C'est une bataille à venir, Agatha, et ça va être intense. »
Agatha referma le dossier d'un geste sec. Son instinct lui disait de refuser, mais sa fierté refusait de laisser une nouvelle victoire à Victoria.
« Très bien. On prend le dossier, » dit-elle finalement, sa voix ferme.
Lilia sourit, puis recula vers la porte. « Je savais que tu ne résisterais pas. Prépare-toi, ça va chauffer. »
Lorsque la porte se referma, Agatha resta un moment immobile. Cette affaire allait être plus qu'un simple affrontement juridique. Elle le sentait déjà.
Le souvenir du regard de Victoria, mêlé à la douleur encore vive de la trahison de Jonathan, formait un cocktail dangereux. Pour la première fois depuis longtemps, Agatha n'était pas sûre d'être totalement en contrôle.
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Le soleil matinal illuminait également le bureau spacieux de Victoria, baigné dans des teintes dorées. Elle était assise derrière son bureau, une tasse de café à moitié vide posée à côté d'un épais dossier. Ses lunettes glissèrent légèrement sur son nez alors qu'elle lisait attentivement un rapport.
Le bruit de talons claquant sur le sol annonça l'arrivée de Diane Lockhart, élégante comme toujours, dans un tailleur crème parfaitement coupé. Elle entra sans frapper, un sourire complice sur les lèvres et un dossier sous le bras.
« Toujours plongée dans ton travail dès le matin, à ce que je vois, » lança Diane en posant son dossier sur le bureau de Victoria.
Victoria releva les yeux et retira ses lunettes. « Et toi, Diane, toujours prête à me donner plus de boulot ? » Elle esquissa un sourire, visiblement de bonne humeur malgré son sarcasme.
Diane s'assit en face de Victoria, croisant élégamment les jambes. « Je préfère appeler ça une opportunité. Notre lanceuse d'alerte a des informations explosives, mais elle n'est pas en sécurité. L'entreprise que nous affrontons joue visiblement très sale. »
Victoria feuilleta rapidement les premières pages du dossier, son expression se durcissant au fur et à mesure qu'elle lisait. « Intimidation de témoins... menaces anonymes... Bien sûr qu'ils jouent sale. Ces gens n'hésiteront pas à tout détruire pour sauver leur réputation. »
Diane observa Victoria avec une lueur d'admiration. « C'est pour ça que je voulais que tu prennes cette affaire. Tu as l'instinct et la ténacité qu'il faut pour gérer ce genre de situation. »
Victoria releva les yeux, un sourire presque timide se dessinant sur ses lèvres. « Merci pour la confiance. Je suppose qu'on va leur montrer ce qu'on vaut. »
Diane s'approcha légèrement, posant une main sur le dossier. « Ce ne sera pas facile, surtout avec Agatha Harkness en face. Elle est redoutable. »
À l'entente du nom d'Agatha, un éclat étrange passa dans les yeux de Victoria. Elle masqua son trouble en buvant une gorgée de café.
Diane ne manqua pas ce détail. Elle pencha la tête, un sourire malicieux aux lèvres. « Oh... Agatha Harkness. Je vois que le nom évoque quelque chose chez toi. »
Victoria releva les yeux, jouant l'indifférence. « Elle est talentueuse, je ne vais pas le nier. Mais c'est une rivale comme une autre. »
Diane haussa un sourcil, pas convaincue. « Vraiment ? Parce que la façon dont tu parles d'elle... ça sonne un peu plus personnel. »
Victoria se contenta de sourire en coin, ne confirmant ni ne démentant l'insinuation. « Peut-être que je trouve int��ressant de la battre, tout simplement. »
Diane rit doucement, se levant de sa chaise. « Très bien, garde tes secrets. Mais sois prudente, Victoria. Ce genre de rivalité peut devenir... distrayante. »
Victoria la regarda partir, le sourire de Diane lui restant en tête. Distrayante ? Elle ne pouvait pas nier que quelque chose chez Agatha la troublait.
Elle reposa son café et se pencha sur le dossier, essayant de se concentrer sur l'affaire à venir. Mais l'image d'Agatha — son assurance, son regard froid, sa prestance dans la salle d'audience — lui revenait sans cesse en mémoire.
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Agatha feuilleta le dossier posé devant elle, son regard aiguisé scrutant chaque ligne avec une attention méticuleuse. Les premières recherches menées par son équipe mettaient en lumière une affaire bien plus trouble qu'elle ne l'avait anticipé.
La multinationale qu'ils devaient défendre n'était pas seulement accusée de corruption, mais aussi de pressions exercées sur plusieurs témoins clés, allant jusqu'à des menaces à peine voilées. Cela ne figurait pas directement dans les documents officiels, bien sûr. Tout était soigneusement dissimulé, mais Agatha savait reconnaître les signes d'un client prêt à tout pour protéger ses intérêts.
Elle referma le dossier avec un soupir, croisant les bras et s'adossant dans son fauteuil en cuir. Un léger froncement barra son front. Défendre une entreprise avec de telles accusations posait une question d'éthique. Cela allait à l'encontre de ses propres valeurs.
Mais le jeu était dangereux, et la tentation de s'opposer à Victoria — de lui ravir une victoire éclatante — pesait lourd dans la balance. La victoire avait un prix, et dans le monde juridique, ce prix impliquait souvent d'enfouir ses scrupules.
Lilia entra à ce moment, tenant une tasse de café et quelques nouvelles pièces pour le dossier. « J'ai des éléments supplémentaires sur l'entreprise, » dit-elle en posant les documents sur le bureau. « On dirait qu'ils ont utilisé des intermédiaires pour éviter que les pressions sur les témoins ne remontent directement à eux. Malin, mais on peut deviner la chaîne. »
Agatha hocha la tête, prenant les documents et les feuilletant rapidement. « Cela reste de l'intimidation. Une zone grise, mais une zone que je n'aime pas traverser. »
Lilia haussa un sourcil, posant ses mains sur le bord du bureau. « Mais on le fait, non ? Tu veux gagner, Agatha. Et battre Grant et Lockhart sur une affaire comme celle-ci, c'est le genre de victoire qui reste dans les annales. »
Agatha releva les yeux, son regard perçant se posant sur Lilia. Elle savait que sa collaboratrice avait raison, mais cela n'effaçait pas les doutes qui grondaient en elle.
« Si on défend cette entreprise, il faudra s'assurer qu'aucune preuve d'intimidation ne refait surface, » dit-elle finalement, sa voix froide et déterminée. « Et il va falloir creuser. Je veux des informations sur le témoin clé de Victoria, cette lanceuse d'alerte. »
Lilia esquissa un sourire satisfait. « Je savais que tu serais prête à jouer le jeu. »
Mais alors qu'elle quittait le bureau, Agatha resta immobile, le regard perdu dans le vide. Une part d'elle-même n'était pas certaine de pouvoir justifier ses choix. Mais une autre, plus profonde, savait que l'affrontement avec Victoria allait dépasser le simple cadre professionnel.
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Agatha frappa doucement à la porte du bureau de Victoria, un épais dossier à la main. Elle savait que ce qu'elle s'apprêtait à faire n'était pas une faveur, mais une obligation juridique. Les preuves récemment découvertes dans le cadre de l'affaire devaient être partagées avec la partie adverse. Pourtant, elle n'était pas particulièrement enchantée à l'idée de se retrouver face à Victoria si tôt dans la journée.
« Entrez, » répondit la voix claire et assurée de Victoria de l'autre côté.
Agatha ouvrit la porte avec son calme habituel, un sourire presque imperceptible sur les lèvres. Victoria était assise derrière son bureau, ses lunettes reposant négligemment sur des papiers qu'elle était en train de lire. En levant les yeux et en apercevant Agatha, elle croisa les bras, affichant une expression sarcastique.
« Eh bien, eh bien, eh bien, si ce n'est pas la personne la plus méprisable de toute cette terre... » lança Victoria, un sourire en coin.
Agatha ferma la porte derrière elle et avança, posant le dossier sur le bureau de Victoria avec un geste contrôlé, mais non dénué d'élégance. Elle pencha légèrement la tête, répondant avec une fausse douceur :
« Chérie, je sais que je suis ta préférée. Pas besoin de faire semblant. »
Victoria arqua un sourcil, amusée par la réplique, mais elle ne se laissa pas démonter. Elle ouvrit le dossier d'un geste lent, feuilletant rapidement les documents. « Alors, c'est quoi cette fois ? Des preuves surprises que vous avez miraculeusement découvertes au dernier moment ? »
« Oh, pas du tout, » répondit Agatha en s'asseyant sur la chaise en face du bureau, croisant les jambes avec aisance. « Juste une preuve de plus que tes témoins n'ont pas les mains aussi propres que tu le prétends. »
Victoria fronça légèrement les sourcils en parcourant les pages. « Intéressant... mais ça ne suffira pas à te faire gagner, Agatha. Tu devrais le savoir. »
Agatha haussa les épaules, le sourire toujours planté sur son visage. « Peut-être pas, mais je crois au pouvoir de la vérité. Même si elle peut être un peu... inconfortable pour certains. »
Victoria referma le dossier et posa ses coudes sur son bureau, appuyant son menton sur ses mains jointes. Elle fixait Agatha, son regard plus doux, mais toujours perçant.
« Tu joues un jeu dangereux, Harkness. Surtout avec cette affaire. »
Agatha se leva, se penchant légèrement vers le bureau, ses yeux bleus fixant Victoria avec intensité. « Et c'est pour ça que tu m'aimes autant, n'est-ce pas ? Parce que je n'ai pas peur de jouer. »
Victoria la regarda partir, incapable de réprimer un sourire malgré elle. Derrière ses airs d'agacement, une étrange admiration — peut-être même quelque chose de plus profond — s'installait. Mais elle savait que tout cela compliquerait davantage une affaire déjà explosive.
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Le tribunal était bondé, l'atmosphère tendue. Agatha Harkness et Victoria Grant se faisaient face dans la salle d'audience, leurs regards rivés l'un sur l'autre, étincelants de défi. Elles étaient comme deux forces opposées, prêtes à s'affronter dans une joute verbale qui promettait d'être mémorable.
Victoria, vêtue d'un tailleur gris perle impeccable, était à la barre, exposant les éléments centraux de son argumentation. Sa voix était calme, posée, mais chaque mot portait une autorité indiscutable.
« Votre Honneur, mon témoin n'a rien à cacher. Elle a agi par conscience morale, mettant en péril sa sécurité personnelle pour révéler des pratiques répréhensibles. Ce tribunal ne doit pas permettre que son intégrité soit remise en question par des insinuations sans fondement. »
Agatha, assise à sa table, croisa les jambes et esquissa un sourire fin, presque moqueur. Puis, se levant lentement, elle s'avança pour s'adresser au juge.
« Objection, Votre Honneur, » déclara-t-elle, sa voix froide et incisive. « Maître Grant confond plaidoirie et argumentation factuelle. Ce tribunal ne se nourrit pas d'émotions, mais de preuves tangibles. »
Le juge haussa un sourcil, observant Victoria. « Objection retenue. Maître Grant, concentrez-vous sur les faits. »
Victoria ne flancha pas, bien que sa mâchoire se soit légèrement crispée. Elle tourna brièvement la tête vers Agatha, lui lançant un regard rempli de défi.
Quelques instants plus tard, Agatha prit la parole pour le contre-interrogatoire du témoin clé de Victoria, une femme visiblement nerveuse qui évitait le regard de l'avocate.
Agatha, droite et imposante, avançait lentement vers la barre, ses talons résonnant sur le sol de la salle. Son ton était neutre, presque doux, mais chacun de ses mots était affûté.
« Mme Greyson, vous avez déclaré avoir été témoin d'intimidations répétées au sein de l'entreprise. À quelle date précise cela s'est-il produit ? »
La témoin hésita, cherchant ses mots. « C'était... en avril de l'année dernière, il me semble. »
Agatha esquissa un sourire calculé, attrapant un document sur la table de la défense. Elle s'approcha, tenant la feuille devant elle comme une arme.
« Avril, dites-vous ? Pourtant, selon vos propres relevés d'emploi, vous étiez en congé maternité durant cette période. Vous ne travailliez même pas pour l'entreprise à ce moment-là. »
Un murmure parcourut la salle d'audience. Victoria, assise à sa table, fronça légèrement les sourcils avant de se lever rapidement.
« Objection, » intervint-elle, sa voix ferme. « La défense dénature les faits. Une simple erreur de date ne saurait invalider l'ensemble du témoignage. »
Agatha se tourna vers le juge, son sourire léger trahissant sa satisfaction.
« Votre Honneur, cette incohérence est essentielle. Si Mme Greyson ne peut pas se souvenir correctement d'un détail aussi crucial, comment peut-on accorder du crédit à son témoignage ? »
Le juge hocha la tête après un moment de réflexion. « Objection rejetée. Vous pouvez continuer, Maître Harkness. »
Agatha inclina légèrement la tête, un triomphe discret dans le regard. Elle jeta un coup d'œil à Victoria, captant l'éclat d'irritation dans ses yeux.
L'audience continua dans une tension palpable, les objections fusant de part et d'autre. Agatha, incisive et calculatrice, cherchait chaque faille possible dans les arguments de Victoria.
Mais Victoria, imperturbable, ripostait avec autant de force, utilisant chaque opportunité pour réaffirmer ses points.
Le combat entre elles n'était pas seulement une affaire de droit. C'était une bataille d'ego, de fierté, et peut-être, quelque part, une danse subtile d'attraction et de rivalité qui dépassait les murs du tribunal.
La salle d'audience était en pleine effervescence. Victoria Grant se tenait debout, droite et confiante, face au témoin clé de l'affaire. Chaque mot qu'elle prononçait était clair, précis, et pesé avec soin, comme si elle jouait une symphonie argumentative.
« Alors, Mme Parker, pour être parfaitement claire, vous affirmez avoir été directement témoin des agissements de votre ex-mari avant sa disparition ? » demanda Victoria, sa voix posée, mais implacable.
Mme Parker, visiblement nerveuse, hocha la tête. « Oui, il était... agressif, verbalement, et parfois même physiquement. C'est pour ça que je— »
« Merci, » coupa doucement Victoria, contrôlant parfaitement le rythme du témoignage. Elle fit quelques pas en arrière pour marquer une pause, laissant les mots flotter dans l'air.
C'est alors que, presque imperceptiblement, son regard glissa vers Agatha. Ce n'était pas un regard moqueur ou empreint de défi, comme elle en avait l'habitude. Cette fois, ses yeux bruns s'adoucirent, quelque chose de presque... admiratif s'y reflétant.
Agatha, qui observait jusque-là les échanges avec son habituel masque de froideur professionnelle, sentit une pointe de chaleur dans ce regard. Une chaleur qu'elle ne s'attendait pas à recevoir de Victoria, encore moins ici, dans cette arène où elles étaient supposées être adversaires.
Cela dura à peine une seconde, mais c'était suffisant pour déstabiliser Agatha. Elle redressa légèrement les épaules, cherchant à réaffirmer son contrôle. Pourtant, un léger tremblement dans ses doigts trahissait l'effet de ce moment inattendu.
Victoria, comme si de rien n'était, reporta son attention sur le témoin, reprenant son interrogatoire avec la même intensité. Mais Agatha, désormais troublée, avait du mal à chasser ce regard de son esprit.
Elle se pencha légèrement vers Lilia, qui prenait des notes à côté d'elle.
« Ça va ? » murmura Lilia, remarquant la tension inhabituelle dans l'attitude d'Agatha.
« Très bien, » répondit Agatha sèchement, bien que son ton manquait de sa froide assurance habituelle.
Le reste de l'audience se poursuivit sans accroc visible, mais dans l'esprit d'Agatha, ce regard de Victoria continuait de résonner. Ce n'était pas un geste calculé, elle en était certaine. Et cela rendait l'échange encore plus perturbant.
Pour la première fois depuis longtemps, Agatha Harkness, la redoutable avocate connue pour son contrôle inébranlable, se sentait vulnérable — et cela venait de son adversaire la plus féroce.
L'audience venait de se terminer, et la victoire d'Agatha était incontestable. Alors qu'elle rangeait ses affaires avec une satisfaction froide, Victoria observait discrètement la scène depuis sa table, son expression indéchiffrable.
Dans les couloirs du tribunal, Agatha marchait d'un pas rapide, le claquement de ses talons résonnant contre le carrelage poli. Elle tenait son sac d'une main ferme, mais ses pensées étaient ailleurs, toujours occupées à savourer sa victoire.
« Bravo, Maître Harkness, » lança une voix familière derrière elle.
Agatha se retourna pour voir Victoria appuyée contre le mur, un sourire en coin. Son allure était désinvolte, mais son regard brillait d'une lueur piquante.
« Ah, Maître Grant, » répondit Agatha avec un sourire aussi glacé que charmant. « Je pensais que vous seriez déjà partie. Mais je suppose qu'il vous fallait une leçon supplémentaire sur comment gagner une affaire. »
Victoria se redressa et croisa les bras, avançant de quelques pas pour réduire la distance entre elles. « Profitez bien de votre victoire, Agatha. Je dois admettre que c'était une belle performance. Mais ne vous habituez pas trop à ça, le tribunal a tendance à préférer les gagnants constants. »
Agatha fronça légèrement les sourcils, piquée par la remarque. « Vous savez, Victoria, votre arrogance est fascinante. J'imagine que ça compense vos récents échecs. »
Le sourire de Victoria vacilla un instant, mais elle se reprit rapidement. Cependant, son ton changea, devenant un peu plus sérieux.
« Peut-être. Mais au moins, je ne joue pas un rôle en dehors du tribunal. Vous êtes aussi rigide dans votre vie personnelle que vous l'êtes ici. Ça ne doit pas être facile. »
Les mots touchèrent une corde sensible chez Agatha. Elle détourna brièvement le regard, son masque d'assurance se fissurant légèrement.
« Rigide ? » répéta-t-elle, sa voix plus basse. « Si vous saviez... »
Victoria, intriguée, fronça les sourcils. « Si je savais quoi ? »
Agatha hésita, se maudissant intérieurement pour avoir laissé paraître une brèche dans son armure. Pourtant, quelque chose dans le regard de Victoria, un mélange d'intérêt sincère et de défi, l'incita à parler, même à contrecœur.
« Disons simplement que jongler entre un mari infidèle et des collègues qui attendent de moi que je sois parfaite, ça ne laisse pas beaucoup de place pour... la flexibilité. »
Victoria resta silencieuse, surprise par cette confession inattendue. Son expression devint plus douce, moins teintée de rivalité.
« Ça ne doit pas être facile, » dit-elle enfin, sa voix presque compatissante.
Agatha redressa immédiatement la tête, se rappelant qu'elle n'avait aucune intention de s'apitoyer sur elle-même devant Victoria. Elle esquissa un sourire froid pour masquer son trouble.
« Oh, ne vous inquiétez pas pour moi, Grant. J'ai l'habitude de gérer des choses bien plus compliquées que des adversaires comme vous. »
Victoria ne répondit pas, mais son regard suivit Agatha alors qu'elle s'éloignait, plus troublée qu'elle ne voulait l'admettre. Pour la première fois, elle avait vu une facette vulnérable de son adversaire — une facette qu'elle ne pouvait pas oublier.
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Agatha ouvrit la porte de son appartement avec un soupir. La journée avait été longue, et même la satisfaction de sa victoire au tribunal semblait fade face au poids qui pesait sur ses épaules.
Dans le salon, Jonathan l'attendait, assis sur le canapé, une expression contrite sur le visage.
« Agatha, » commença-t-il doucement en se levant, les mains tendues vers elle. « Je suis désolé. Je sais que j'ai fait une erreur, mais... on peut arranger les choses, non ? »
Elle posa son sac sur la table d'entrée, le regardant avec une froideur qui semblait geler l'air autour d'eux.
« Une erreur ? » répondit-elle d'une voix tranchante. « Tromper sa femme, c'est une erreur ? »
Jonathan baissa les yeux, visiblement mal à l'aise. « Je ne vais pas me justifier, d'accord ? Mais tu n'es pas parfaite non plus, Agatha. Tu es tellement... distante. Toujours absorbée par ton travail, comme si rien d'autre n'avait d'importance. »
Agatha croisa les bras, la colère grondant en elle. « Oh, alors c'est ma faute maintenant ? Parce que j'ai des ambitions ? Parce que je me bats pour quelque chose qui me tient à cœur ? C'est pour ça que tu es allé dans le lit d'une autre ? »
Jonathan leva les mains en signe de défense. « Ce n'est pas ce que je dis ! Mais tu sais aussi bien que moi que notre mariage n'a pas été une priorité pour toi depuis des années. Tout tourne autour de ta carrière, de tes affaires, de ta fierté ! Et moi, où est-ce que je me situe dans tout ça ? »
Les mots la frappèrent, mais elle ne laissa rien paraître. Elle inspira profondément, son visage un masque d'impassibilité.
« Tu te situes exactement là où tu as choisi d'être, Jonathan, » répondit-elle froidement. « Dans une position que tu as détruite toi-même. Tu veux que je mette ma vie en pause pour te donner toute mon attention ? Peut-être que tu aurais dû y réfléchir avant de me trahir. »
Il secoua la tête, frustré. « Alors quoi ? On abandonne tout ? Tu veux divorcer, c'est ça ? »
Agatha resta silencieuse un instant, les bras toujours croisés, avant de répondre.
« Non, » dit-elle calmement. « On reste ensemble. Officiellement. Mais ne t'attends pas à ce que je fasse semblant. Plus maintenant. »
Jonathan la regarda, choqué, mais elle n'attendit pas sa réponse. Elle tourna les talons et se dirigea vers leur chambre, claquant la porte derrière elle.
Dans le silence qui suivit, Jonathan resta debout dans le salon, seul, réalisant que s'il espérait une réconciliation, il devrait peut-être la chercher ailleurs.
Agatha était affalée sur le canapé, une coupe de vin à la main, les pensées lourdes après la confrontation avec Jonathan. Elle fixait son téléphone posé sur la table basse quand il se mit à vibrer.
Lilia Calderu.
Agatha soupira légèrement, hésitant une seconde avant de décrocher.
« Lilia, » répondit-elle d'un ton neutre.
« Agatha ! » La voix de Lilia était joyeuse, presque chantante. « Félicitations encore pour ta victoire aujourd'hui ! Je savais que tu écraserais Maître Grant. »
Un sourire discret effleura les lèvres d'Agatha. « Merci, mais je n'ai fait que mon travail. Rien de particulièrement extraordinaire. »
« Ne sois pas si modeste, » insista Lilia. « C'était brillant, et tu le sais. »
Agatha bascula légèrement sa tête en arrière, soupirant. « Bon, qu'est-ce que tu veux, Lilia ? Je sens que tu ne m'appelles pas juste pour flatter mon ego. »
« En effet, » répondit Lilia avec malice. « Tu vas sortir avec moi ce soir. »
Agatha fronça les sourcils, s'asseyant un peu plus droite. « Sortir ? Pourquoi est-ce que je ferais ça ? »
« Parce qu'il faut célébrer cette victoire, évidemment ! Un dîner entre collègues, rien de plus. Tu as besoin de te détendre, Agatha. Et ne commence pas à trouver des excuses. »
Agatha roula des yeux, déjà exaspérée. « Lilia, je n'ai pas la tête à ça. J'ai eu une journée épuisante, et franchement, je préfère rester chez moi. »
Lilia ne se laissa pas décourager. « Écoute, je ne te laisse pas le choix. Tu as besoin de prendre l'air, et je refuse de te laisser t'enfermer dans ta grotte avec une bouteille de vin. Ce n'est pas négociable. »
Agatha haussa un sourcil, impressionnée malgré elle par l'insistance de sa collaboratrice. « Et si je te dis non ? »
« Alors je viens te chercher chez toi, et je te traîne dehors, » répliqua Lilia, déterminée.
Un éclat de rire involontaire échappa à Agatha. « Tu es impossible. »
« Et toi, tu es bien trop sérieuse, » répliqua Lilia sans hésiter. « Allez, une heure, pas plus. Je promets de te laisser tranquille après. »
Agatha soupira, réalisant qu'elle n'allait pas gagner cette bataille. « Très bien, mais uniquement parce que je n'ai pas envie que tu débarques chez moi. »
« Parfait ! Je passe te prendre dans une heure. Habille-toi bien, je t'emmène dans un endroit chic. »
Agatha s'apprêtait à protester, mais Lilia avait déjà raccroché. Elle fixa son téléphone, secouant la tête avec un mélange d'amusement et d'agacement.
« Une vraie tornade, » murmura-t-elle en se levant pour se préparer.
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Le restaurant était élégant, éclairé par des chandelles douces qui créaient une ambiance intime. Agatha et Lilia avaient trouvé une table près de la fenêtre, un coin discret où elles pouvaient discuter sans être dérangées. Lilia était, comme toujours, pleine d'énergie, lançant des anecdotes et des blagues pour détendre l'atmosphère. Agatha, bien qu'un peu plus calme, appréciait le répit après une journée aussi intense.
Tout se passait bien jusqu'à ce qu'Agatha aperçoive, du coin de l'œil, une silhouette familière entrer dans la salle. Elle se figea, son regard se durcissant immédiatement en reconnaissant Victoria Grant, suivie de Diane Lockhart, sa complice de toujours.
Diane, avec son élégance habituelle, avait l'air détendue, tandis que Victoria semblait un peu plus concentrée, mais son sourire était indéniablement chaleureux. Agatha sentit une étrange montée de tension dans son estomac. Elle se détourna instinctivement, espérant que les deux femmes ne la remarqueraient pas, mais c'était peine perdue.
« Agatha, » dit Lilia en jetant un coup d'œil vers la porte d'entrée. « Regarde qui voilà. »
Agatha n'eut d'autre choix que de se retourner. Le regard de Victoria croisa le sien à cet instant précis, et un petit sourire curieux s'afficha sur son visage. Diane, quant à elle, sourit poliment à Agatha, mais ce n'était pas le même genre de sourire. C'était plus... distant, comme si quelque chose d'invisible se jouait entre elles.
Victoria, d'un geste fluide, se dirigea vers leur table avec Diane, sans vraiment demander si cela dérangeait Agatha. Elle s'arrêta à quelques pas, son regard fixe, mais cette fois-ci, il y avait quelque chose de plus léger, comme un défi implicite.
« Ma chère Agatha, quelle surprise de vous voir ici, » lança Victoria, sa voix légèrement moqueuse mais douce. « Vous saviez que ce restaurant est un de mes favoris ? »
Diane resta en retrait, observant la scène avec un intérêt discret, ses bras croisés sur sa poitrine.
Agatha se força à sourire. « Je vois. Une coïncidence étrange. Mais je ne vous dérange pas, je suppose. »
Victoria esquissa un sourire en coin, comme si elle avait anticipé la réaction d'Agatha. « Pas du tout. Nous étions justement en train de discuter des dernières affaires. Diane et moi avons quelques idées sur un cas à venir. »
Lilia, perçant l'atmosphère tendue, lança une remarque. « Oh, vous travaillez ensemble, alors ? »
Diane hocha légèrement la tête. « Oui, effectivement. Parfois, une collaboration entre les meilleurs est nécessaire. » Elle s'adressa directement à Agatha, comme pour tester sa réaction. « Vous ne trouvez pas ? »
Agatha sentit la morsure de l'ironie dans les mots de Diane, comme si elle cherchait à l'humilier subtilement. Elle prit une inspiration profonde avant de répondre, le regard plus glacé que jamais. « Oh, je n'en doute pas, Diane. Quand l'occasion se présente, il est en effet intéressant de collaborer avec des... pairs. »
Victoria, perçant l'ambiance tendue, s'avança un peu plus, son sourire se faisant plus doux mais toujours empreint de cette lueur défiant. « Vous avez l'air un peu tendue, Agatha. Un verre pourrait détendre l'atmosphère. Que diriez-vous ? »
Agatha, bien qu'intérieurement perturbée, se redressa fièrement. « Non merci. Ce n'est pas nécessaire. »
Le silence qui s'installa fut lourd de non-dits. Lilia, sentant la tension, posa sa main sur le bras d'Agatha pour la calmer.
Victoria, voyant que l'ambiance n'évoluait pas comme elle l'espérait, tourna alors son attention vers Diane. « Allons nous asseoir, Diane. Nous allons laisser Agatha à ses affaires. »
Diane acquiesça et se tourna vers Agatha. « Peut-être une autre fois, Agatha. » Elle lança un dernier regard à Agatha avant de suivre Victoria vers leur table.
Agatha, bien que soulagée de voir les deux femmes s'éloigner, ne pouvait ignorer la vague de frustration qui déferlait en elle. Elle savait que quelque chose se jouait entre Victoria et Diane, mais la complicité évidente entre elles la dérangeait plus qu'elle ne voulait l'admettre. La soirée n'avait définitivement pas pris le tour qu'elle espérait, et malgré la présence de Lilia à ses côtés, elle ne pouvait chasser cette sensation d'être observée, jugée, et, au fond, de se sentir vulnérable.
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Agatha s'assit dans son salon, les lumières tamisées créant une atmosphère paisible, presque irréelle après la tumultueuse journée qu'elle venait de vivre. L'odeur subtile du vin dans l'air, le bruit lointain de la ville en dehors de sa fenêtre... tout semblait calme, et pourtant, son esprit était en pleine ébullition.
Elle avait quitté le restaurant après avoir croisé Victoria et Diane, mais la soirée n'avait pas eu le goût qu'elle en attendait. Lilia, joyeuse et insouciante, avait voulu célébrer leur victoire au tribunal, mais Agatha n'avait pas pu s'empêcher de penser à autre chose. À Victoria.
Assise seule, ses jambes croisées, Agatha observa ses mains sans vraiment les voir. Elle n'avait pas voulu l'admettre à haute voix, même dans le silence de son appartement. Mais plus la soirée avançait, plus elle se rendait compte de quelque chose qu'elle n'avait jamais envisagé avant : elle était attirée par Victoria Grant.
Le simple souvenir du regard que Victoria lui avait lancé dans le restaurant lui fit frissonner. Ce n'était pas un regard de défi, ni même de mépris, comme elle l'aurait imaginé. Non, c'était un regard de compréhension, de curiosité... de désir ? Agatha secoua la tête, comme pour chasser cette pensée gênante, mais elle savait que ce n'était pas aussi simple.
Elle se leva brusquement, se dirigeant vers la fenêtre. Le monde dehors continuait de tourner, ignorant les tourments internes qui la rongeaient. La lumière des réverbères se reflétait sur les rues mouillées, les voitures passaient, les gens marchaient, comme si rien ne venait troubler l'ordre des choses. Mais Agatha savait que, pour elle, quelque chose avait changé. Elle ne pouvait plus faire semblant de ne pas ressentir cette attirance grandissante.
Elle se tourna vers son téléphone, posant ses yeux sur le message de Jonathan. Il s'excusait à nouveau, encore et encore. Mais à quoi cela servait-il, vraiment ? Leur mariage était déjà brisé, et même si elle se donnait encore des raisons de continuer, quelque chose en elle savait que les fissures ne se refermeraient pas. Elle n'arrivait pas à lui pardonner. Et ce soir, il n'était pas l'homme qu'elle voulait.
La pensée de Victoria, de son regard, de son sourire en coin, fit remonter une vague de chaleur en elle. Elle soupira et se laissa tomber sur le canapé, fermant les yeux un instant. Comment pouvait-elle gérer tout cela ? Son mariage, sa carrière, et maintenant cette attraction pour une autre femme, une rivale ?
Elle s'étira, se relevant enfin, prenant un instant pour se ressaisir. L'espace autour d'elle semblait si vaste, si silencieux, comme si tout était suspendu dans l'attente. Elle n'avait pas envie de repenser à tout ce qui la tourmentait, mais la réalité, aussi désagréable soit-elle, s'imposait. La vérité, c'était qu'elle était perdue, entre la loyauté qu'elle ressentait encore pour Jonathan et l'attirance qu'elle éprouvait pour Victoria.
Agatha se regarda dans le miroir de l'entrée, ses yeux sombres se posant sur son propre reflet. Qui était-elle réellement en ce moment ? Une avocate déterminée, prête à tout pour gagner, ou une femme qui se perdait dans des sentiments qu'elle n'avait jamais voulu laisser émerger ?
Elle se détourna du miroir, en proie à un tourbillon de pensées contradictoires. La soirée avait beau être terminée, la vraie bataille était en train de commencer, dans son esprit.
Le téléphone d'Agatha vibra à nouveau, l'écran éclairant son visage pensif. Elle s'empressa de le saisir, un frisson d'anticipation lui traversant le corps. Le message de Victoria était là, direct, sans détour.
Victoria Grant :
"La prochaine fois, au lieu de nous regarder de travers avec Diane, tu pourrais venir t'asseoir à notre table. On pourrait discuter, sans les jugements habituels. Qui sait, peut-être que tu apprécierais la compagnie."
Agatha sentit un frisson parcourir son dos en lisant ces mots. Ce n'était pas seulement une invitation à discuter. C'était un défi, une manière pour Victoria de jouer avec ses attentes et de brouiller les frontières entre l'amitié et la compétition. Cette proposition de « s'asseoir à leur table » était subtile, presque familière, et laissait entrevoir une complicité qu'Agatha n'était pas sûre d'être prête à explorer.
Elle relâcha son souffle, le regard fixé sur l'écran. Que voulait réellement Victoria ? Et plus encore, que voulait-elle elle-même ? Depuis leur rencontre, Agatha se retrouvait à jongler avec une série de sentiments qu'elle n'avait pas l'habitude d'affronter. De la rivalité professionnelle à l'attirance pure et simple, en passant par une curiosité croissante pour cette femme qui ne cessait de la surprendre.
Agatha :
"Tu sais que ce genre de conversation peut être dangereuse, n'est-ce pas ?"
Elle hésita une seconde avant d'envoyer le message, se demandant si elle venait d'ouvrir une porte qu'il serait difficile de refermer. Mais une part d'elle savait que, qu'elle le veuille ou non, elle se retrouvait face à un choix qui dépassait la simple compétition. Il s'agissait de quelque chose de plus intime, de plus irréversible.
Elle attendit, le pouls battant dans sa gorge. Le message envoyé, elle ne pouvait plus revenir en arrière.
Le téléphone d'Agatha vibra à nouveau presque instantanément. Elle saisit l'appareil, son cœur battant un peu plus vite, et lut la réponse de Victoria.
Victoria Grant :
"Tu as raison, peut-être que ça pourrait être dangereux... mais parfois, ce sont les choses les plus risquées qui sont les plus intéressantes. Et je dois avouer que j'aime l'idée de défier les attentes."
Agatha se mordit la lèvre, sentant la tension grandir. Victoria savait jouer de ses mots, laisser entendre des choses sans jamais les dire explicitement. C'était cette habileté à laisser planer l'incertitude qui la captivait autant que cela l'irritait.
Agatha :
"Tu sembles prendre beaucoup de plaisir à tester les limites. Mais attention, parfois ces jeux peuvent se retourner contre nous."
Elle posa le téléphone un instant, un léger sourire en coin. Elle n'était pas du genre à se laisser entraîner si facilement, mais un certain amusement perçait dans ses mots. Elle aimait l'idée de maintenir l'équilibre, de garder une certaine distance tout en explorant ces échanges délicats.
Quelques secondes plus tard, une nouvelle notification fit son apparition.
Victoria Grant :
"Je pense que tu sous-estimes un peu mes capacités à gérer les risques. Et puis, qui sait, peut-être que nous pourrions trouver un terrain d'entente. Le défi, parfois, c'est aussi une question de timing."
Les mots de Victoria résonnèrent dans l'esprit d'Agatha, et un léger frisson parcourut sa peau. C'était si subtil, mais en même temps si clair. Il n'y avait pas de demande directe, mais l'intention était bien là, fluide et insidieuse.
Agatha :
"Il se trouve que j'ai toujours aimé les bons défis. Mais tout dépend de la récompense au bout, n'est-ce pas ?"
Elle savait que ses paroles pouvaient être interprétées de différentes manières, mais elle aimait l'idée de tenir Victoria en haleine, de lui laisser deviner ce qu'elle pensait vraiment. C'était un jeu subtil, mais un jeu qu'elle semblait prête à continuer.
Quelques instants passèrent avant que Victoria réponde. L'attente était presque insupportable.
Victoria Grant :
"La récompense, Agatha, n'est jamais là où on s'attend à la trouver. Peut-être que nous découvrirons ensemble où elle se cache. À bientôt."
Le dernier message resta suspendu dans l'air un long moment. Agatha se mordit la lèvre, son regard ancré dans l'écran de son téléphone. Ce jeu, cette tension qui se construisait entre elles, n'était plus un simple défi professionnel. Il y avait quelque chose de plus, de plus profond, qu'elle ne pouvait pas encore saisir totalement, mais qui la poussait à répondre, à s'engager dans ce flirt subtil.
Elle posa finalement le téléphone sur la table, son esprit en ébullition. Ces échanges étaient devenus bien plus qu'une simple rivalité.
⋆ ˚。⋆୨୧˚FIN ˚୨୧⋆。˚ ⋆
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J'en profite pour faire un point sur un aspect des dernières lettres qui n'est pas forcément très clair dans le sens où il est impliqué mais pas explicité clairement : l'hypnose.
Lucrèce et Clémence sont des vampires. En tant que vampire du jeu Les Sims 3, elles ont un pouvoir, qui est celui d'hyponose. Dans notre histoire, ça veut dire que concrètement, les vampires savent laver le cerveau des gens. Cela concerne les vampires en forme (= vampires transformés stabilisés et vampires nés qui se nourrissent de sang humain) qui maîtrisent bien leurs pouvois, aka pas Adèle en plein killing spree suite à sa transformation alors que son état n'était pas stabilisé. Il s'agit de modifications ponctuelles de l'état de la psyché de quelqu'un, sur une durée pouvant varier de quelques heures à quelques mois, quelques années tout au plus, pas quelque chose qu'on peut faire durer éternellement. On peut s'en servir pour rendre quelqu'un confus, lui faire oublier quelque chose au moment où l'évènement se produit - comme si le sujet ne prêtait pas attention à l'évènement en cours, de façon à ce qu'il ne s'imprime pas dans sa mémoire. On peut également s'en servir pour faire oublier quelque chose temporairement - le vrai souvenir finira toujours par ressurgir.
Concrètement, voici comment Lucrèce et Clémence s'en servent :
Pour fuir de France sans se faire inquiéter, alors qu'elles étaient recherchées partout par la police.
Pour que les habitants d'Hylewood ne remarquent pas qu'elles n'ont pas pris une ride depuis les bientôt 40 ans qu'elles sont là. Ça demande de réhypnotiser leurs fréquentations régulièrement, soit en leur fournissant des justifications plausibles (tu as connu ma mère qui me ressemblait comme deux gouttes d'eau), soit en les faisant ignorer des choses évidentes (exemple : "... elle a quand même l'air vachement jeune Mlle Rumédier, quand on la regarde, elle ressemble à une jeune femme qui n'aurait même pas vingt ans, elle est bien conservée quand même parce que quand on y réfléchit, depuis le temps que je la connais, elle doit être dans la trentaine... Après, je ne sais plus exactement à quoi elle ressemblait il y a dix ans. Elle devait sûrement avoir l'air plus jeune qu'aujourd'hui").
Pour lire les lettres de leur famille française sans se faire repérer. Forcément... Clémence veut savoir ce que deviennent ses enfants, et Lucrèce a toujours eu beaucoup d'affection pour ses neveux et ses nièces, évidemment qu'elle veut savoir aussi.
Pour faire oublier à Arsinoé d'écrire à Lucien la venue de "Ada Rumédier", l'identité qu'elle a revêtu en se rendant en France. Cela a servi tout simplement à se laisser le temps de rentrer et de préparer le terrain avec Clémence et s'assurer qu'il n'y ait pas de mishap. Ada n'a jamais quitté l'île, par contre il a fallu faire oublier à Lucien quand il la croisait. Bien sûr, les souvenirs finiront par ressurgir un jour, mais comme du temps aura passé, il va tout naturellement se dire qu'il se trompe probablement dans les dates, et que ses souvenirs d'Ada Rumédier sur l'île sont postérieurs ou antérieurs à son voyage.
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Avoir posté sur prd une recherche de forum fantastique ou du moins avec la possibilité d'avoir des pouvoirs (que ce soit de naissance ou une mutation à la X-Men ou Teen titans - oui ici on est Marvel et DC- ) avec pour seule condition pouvoir jouer un personnage handicapé ( les 3 FC que j'ai proposé était toutes atteinte de handicap différents, très visible pour 2 d'entre elle, invisible pour la 3 ème) je n'ai pas trouvé mon bonheur dans les 3 propositions qui ont été faites, ce n'est rien vraiment au pire je jouerai ce personnage sur mon forum quand il ouvrira.
Cependant, qu'elle ne fut pas ma surprise de recevoir un mp (alors que j'avais dit non aux propositions en mps ) me disant (je paraphrase) : "Pourquoi vouloir jouer un personnage handicapé dans un univers magique, alors qu'on peut les guérir comme Alba baptista dans Warrior Nun ou Yennefer dans the Witcher, si tu veux jouer un personnage handicapé inutile à la société faut aller sur un vie réelle de merde"
So :
Professeur X, Scott (qui est tout de même malvoyant hein ), Tirésias (mythologie grecque) Toph ( le dernier maître de l'air) Maugrey Foloeil (oui Rowling est validiste mais au moins ce personnage existe) Daredevil, Barbara Gordon, ,Maya Lopez (allez regarder Écho l'actrice est réellement handicapée et est vraiment géniale) ou encore Tyrion Lannister ainsi que Bran, n'ont aucun droit de représentation dîtes-moi ? Parce que bon ... Il y a probablement d'autres personnages handicapés auxquels je ne pense pas ou que je ne connais pas (si vous avez des recommandations séries/films ou même livres je suis toute ouïe) et quoi ? on est "inutile" donc on a pas droit à nos super-héros ? Ça va on vous dérange pas ?!
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ce que je déteste sur les forums rps
vu que certain(e)s le font, autant que je m'y mette, non ?
Les forums ù y'a zéro diversité (des membres, principalement des nanas blanches), tu regardes dans les scénarios, tu voies que des mecs hétéros attendus, et blancs aussi de surcroit. un petit +1 quand le forum a la prétention de se sentir inclusif. m d r
les forums où el staff avait fixé une limite de 3 comptes. puis quand le staff a eu ses trois comptes, la règle change bizarrement à 6. et quand ils ont atteint les 6 comptes, la règle a changé à 9. tu cliques sur leur profil sur la PA et tu vois leurs 1872 dcs affichés. tu sais que si tu tentes un de leur scénarios, t'auras le droit à une réponse tous les deux mois car ils ont pas le temps (et d'autres rps avant toi).
les nanas qui se prônent comme des social justicières warriors, elles guettent toutes les ouvertures de forum dans l'unique but de placader un message bien salty dans la partie invité le jour de l'opening, histoire de bien afficher les méchants admins. (alors qu'un an avant, c'est elles qui faisaient ça en pire mais du jour au lendemain, elles ont décidé qu'elles seraient prétresses du rpg)
les gens qui vont dans les serveurs discords en attendant la pré-ouverture dudit foru. ça critique h24, remet en question sans arrêt les annexes, etc. ou demande la rédaction de 15 annexes en plus pour au final... ne pas s'inscrire sur le forum. cassez-vous sérieux.
les gens qui ont 4839886 triggers warnings (dont des tws qui sont homosexualité) mais l'homosexualité te trigger ? tu te rends compte de ce que tu dis ? et j'sais pas, le plaisir de la lecture, la rencontre avec l'inconnu. oui, on peut avoir des tws mais si ten as pour tout ou n'importe quoi, sorry not sorry, le rp n'est peut être pas fait pour toi.
les gens qui se jugent supérieurs (par ex. parce qu'ils font pas du smut) et qui adorent faire du slutshaming. bah écoute, chacun ses envies de rp. parfois, je fais du smut, parfois j'en fait pas, du dépend du perso et du contexte. et si t'évites un quelconque lien avec mon perso parce que ta grandeur te l'empêche, tant pis pour toi tho.
les gens avec qui t'as un rp. toutes les 3 semaines t'as une réponse, mais par contre, tu vois l'autre personne répondre 4893729 fois à la personne qui est son lien love interest. et quand tu te demandes où ça en est, elle te rep "beh le rp n'est plus d'actualité, il s'est passé 100 choses depuis". sans blague, j'ai bien vu quand j'attendais.
les gens qui se cachent derrière 10 troubles pour justifier leur mauvaise éducation. non, j'peux pas. bonus pour les personnes qui critiquent un comportement alors qu'une semaine avant/après, elles font la même chose.
les gens qui posent un scénario love en te disant qu'ils finiront endgame mais au bout de 76892 dramas et de 83 années. et donc, tu tentes de prendre et au bout de 5 rps, tu comprends qu'avec eux, ton perso n'évoluera jamais. fin, j'sais pas, des persos peuvent être en couple et avoir du drama, c'est pas incompatible. pourquoi les faire tourner autour pendant 150 ans ? la vie est trop courte.
les gens qui ne rpent et ne commentent les fiches que de leurs copaines. oui d'accord, restez entre vous (et faites vous un foru privé sérieux à ce point là)
bref, je critique, je critique mais heureusement y'a des chouettes forums, des choeuttes rpgistes, oui parfois y'a pas le feeling, oui, on peut pas tous s'entendre (et encore mon coté bisounours me fait dire qu'on est adultes et qu'avec un p'tit peu d'efforts de la part de chacun des cotés, y'aurait aucun soucis) mais bon, y'a encore et toujours de belles rencontres que je fais, même quinze ans après mon arrivée dans la sphère rpgique.
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Tes 5 women's wrongs préférées 💙
Vraiment ce classement a été difficile à organiser donc j'ai abandonné et je vais citer ces cinq dames sans faire de hiérarchie parce qu'elles le méritent
Valeria Garza (Call of Duty)
Fait-on plus women's wrongs que cette femme ? Ses crimes sont innombrables et son kuntenserven irréprochable. La sécurité de l'état mexicain devrait apprécier d'être troublé par elle. Son bisexual bob, son talent de manipulation et sa compréhension aigüe de comment tourner le patriarcat à sa sauce pour mieux dominer les autres en fait une total girlboss et le contraire d'une girl's girl. Cette femme est peut-être attirée par les femmes mais elle n'est pas une alliée. J'adore chaque fibre de son magnifique corps problématique.
De plus, elle a ce petit twist à la Irene Adler où elle bat les héros et s'en tire sans trop de dégâts, prête à repartir pour un tour. Si le monde était parfait elle serait dans tous les call of duty (malheureusement elle n'y est point. Elle a des skins très sexy dans Warzone, cependant, ce que j'accepte comme un compromis pragmatique)
Alicent Hightower (House of the Dragon)
On n'échappe pas au cycle du trauma avec cette délicieuse femme, on le perpétue! à l'infini! Son hypocrisie et son incapacité à comprendre ses propres émotions en font une horrible personne que jamais je n'aimerais côtoyer, mais ses longs cheveux bruns et ses grands yeux pleins de larmes me conduisent à justifier tous ses méfaits. So what si elle a commencé une guerre à cause de paranoia et de slut-shaming probablement induit par le fait qu'elle a fumble l'héritière du trône alors qu'elle avait totalement moyen de l'embrasser passionnément dans leur jeunesse ? God forbid women have hobbies
Aelis (Kaamelott)
Comment ne pas mentionner mon OG women's wrongs, Aelis. Elle tente littéralement de la coercion sexuelle à sa première apparition. Une femme à la morale absolument dans les égouts mais chacune de ses trop rares apparitions me remplit de joie. Astier si tu n'es pas un lâche confirme dans kv3 partie 6 qu'elle a fui la cour pour vivre dans un cottage avec Démétra où elles se menacent de divorce toutes les semaines et se roulent des patins le reste du temps.
Hélène de Sparte (mythologie grecque)
Littéralement mon personnage préféré de toute la mythologie grecque. Elle est tellement fascinante pour moi et à ce jour je n'ai pas encore trouvé de version d'elle en dehors du texte original du cycle troyen qui corresponde à la vision que j'ai d'elle. Elle est tellement ambivalente : à la fois maudite et bénie par sa beauté, avec tellement de relations compliquées avec tout le monde. Ses intentions et son agentivité sont des points d'interrogation permanents. Une ville est tombée pour elle. On a sacrifié des enfants en partant et en retournant de la guerre menée en son nom. Elle-même se traite de chienne quand on lui pose la question. Euripides en a fait sa blorbette et l'a absolue de toute responsabilité dans cette affaire, ce qui est objectivement hilarant.
Pyrrha Dve (The Locked Tomb)
Je suis obsédée par elle depuis que je sais qu'elle a utilisé la possession du corps de son meilleur ami pour avoir une relation avec une terroriste, tout en sachant que ledit meilleur ami était déjà dans une relation avec ladite terroriste. Mais il ne faut pas oublier son implication dans la création d'une société autoritaire et ultramilitarisée aux accents fachistes. Ainsi que le fait qu'elle a au minimum accepté de laisser passer un plan qui impliquait de fracasser un bébé contre un rocher. Quand on voit tout ça, sa relation problématique avec des jeunes gens de 10 000 ans ses cadets passe comme une lettre à la poste. Also, she's a butch
Mention honorable :
Mel Medarda (Arcane)
Elle n'est pas dans la liste des women's wrongs parce que objectivement elle est une personne éthiquement respectable, contrairement à toutes les charmantes femmes citées plus haut. Mais ce que j'aime beaucoup chez elle, justement, c'est qu'elle occupe un rôle qui serait traditionnellement attribué à une women's wrongs (la politicienne, la femme fatale, la mentor du côté obscur) et elle arrive à cependant garder sa morale et ses principes et être un personnage positif. Elle est également sans aucun doute la plus belle femme que j'ai jamais vu de ma vie. Si elle ne revient pas dans la prochaine saison je brûle Netflix.
(sa daronne est totalement une women's wrongs par contre hehehe)
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Automne 1929 - Champs-les-Sims
2/7
Elle n'est pas restée longtemps, mais assez pour que nous ayons pu parler longuement avec elle. Elle nous a raconté votre vie à Hylewood à renfort de nombreux détails sur le quotidien, et ça m'a donné encore plus envie de voir votre île un jour. Elle s'est aussi montrée très curieuse à notre égard et je lui ai raconté mon enfance, comment se portaient les affaires, et ainsi de suite. Elle a été enchantée par notre jardin, même si à cette période de l'année, il n'est pas si eau. Dommage qu'elle ne soit pas restée jusqu'au printemps, c'est le moment de l'année ou je le trouve le plus magnifique. Mais avec un enfant à la maison, je la comprends parfaitement.
Elle s'est montrée également très intéressée par la jeunesse de mon père, et là j'ai béni Oncle Adelphe de nous avoir abreuvé d'anecdotes plus jeunes. Elle a à peine croisé l'un comme l'autre, d'une part parce que le regard de mon père l'a vaguement transpercée quand nous lui avons présenté, mais aussi parce qu'elle portait ce jour là un voile très épais. J'imagine que mon père ne s'est pas grandement intéressé à elle. Elle a également à peine croisé Adelphe, mais j'ai eu la drôle d'impression qu'elle l'évitait. Ce n'est pas quelqu'un de grossier, alors je n'ai aucun mal à comprendre qu'elle n'ait pas osé avouer que la cicatrice de mon oncle est impressionnante pour quelqu'un qui n'est pas habitué.
Transcription :
Lucrèce « C’est joli ici. Ces photographies sont magnifiques ! »
Ange « Oh, vous savez, ces meubles sont plus vieux que mes grands-parents, je les ai toujours connus. Quand aux photographies, c’est l’oeuvre de ma belle-mère. Elle les a prises pendant les chantiers de son mari en Egypte. Mon beau-père est archéologue vous savez. »
Lucrèce « Oui, on m’en a touché un mot. Ils sont là ? »
Ange « Ils doivent déjà dormir. Vous vous en doutez, la journée a été épuisante pour tout le monde. C’est dommage, vous avez manqué votre Tante Jeanne de peu. Elle aurait sans doute été contente de vous rencontrer. A son âge, vous savez… Bref, l’Oncle Adelphe l’a raccompagnée chez elle il y a à peine une heure. »
Lucrèce « C’est dommage oui. Ma mère n’était pas une femme facile, elle a causé de la misère à ma tante à ce qu’on dit. C’est triste qu’elles n’aient pas pu se réconcilier. »
Ange « Vous pourrez toujours y passer demain, mais je vous préviens, la Tante Jeanne quitte rarement le lit avant dix heures. »
Lucrèce « Je n’y manquerais pas, j’ai personnellement toujours voulu la rencontrer. Vous savez, on jase beaucoup sur la famille française à Hylewood. Eugénie me parlait beaucoup d’Albertine et des enfants. »
Ange « La réciproque est vraie. J’ai été triste d’apprendre pour votre tante, je vous présente toutes mes condoléances. »
Lucrèce « Et moi, pour votre arrière-grand-mère. La nouvelle a été choquante, à Hylewood, tout le monde a entendu parler d’Eugénie Le Bris. J’ai entendu parfois des vieux à qui on demandait comment ils allaient répondre « Pas pire, mais j’ai pas la santé d’Eugénie Le Bris moi ! »
Ange « C’est fou ce qu’elle nous manque. Mais je pense que ça lui aurait fait plaisir de savoir qu’un membre de la famille canadienne a fait le déplacement pour elle. »
Lucrèce « C’est bien normal ! C’était ma… enfin, une cousine que nous connaissions depuis si longtemps... »
Ange « Et dire que personne ici n’a fait le déplacement pour votre tante Eugénie… »
Lucrèce « Ce n’est rien. »
Ange « Mais si, la famille canadienne a envoyé quelqu’un et nous... »
Lucrèce « Oh, vous savez, on ne m’a pas vraiment envoyée. C’est bien plus une initiative personnelle, je me disais que je pourrais rencontrer ma tante et voir un peu de pays. »
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IA
Depuis quelques jours, sur Threads, je fais un petit jeu qui consiste à reconnaitre un personnage Disney. A la base, ce n'est pas un humain mais grace à l'Intelligence Artificielle il le devient. Je passe du temps à créée ces images, même si je ne fais que dicter au logiciel les caractéristiques du personnage que je veux qu'il transforme. Ce petit jeu fonctionne si bien, que mes images sont republiées sur d'autres profils qui ne me cite pas et font comme si l'idée venait d'eux. Rançon de la gloire me direz vous ? Certes, et je ne me sens pas légitime d'une certaine façon, de revendiquer ces images qui sont à la base des héros Disney et ensuite imaginé par l'IA. Mais.. C'est tout de même moi qui passe du temps à peaufiner chaque détail, à faire et refaire les descriptions pour que le résultat soit bon. J'ai donc le droit de signer mes images, en y ajoutant la précision qu'elles sont créées avec l'IA. Bien entendu, je me fais descendre par les anti IA qui m'accusent de vol, de plagiat et j'en passe. Je ne gagne pas un centime à créer et publier ces images. Au mieux, cela m'apporte des followers. Mais cette façon de venir descendre quelqu'un, sans rien connaitre de sa vie, alors même que j'ai bien précisé que si je note "créée avec l'IA" c'est par respect pour les véritables artistes, ça me dégoute ! Parce qu'ils sont vraiment méchant dans leur commentaire. Du coup, ma fonction "bloquer" fonctionne à plein régime ! Je ne prend pas la peine d'expliquer ni de répondre, car tout est clair dans ma démarche et expliquer sur mon profil. L'IA fera certainement du mal a certains artistes, j'en ai conscience. Mais l'IA reste détectable ! On voit très bien que ce n'est pas un dessin au feutre ou à la peinture. Ce n'est finalement pas vraiment pire que ceux qui font leur dessin sur tablette, enfin si, un peu quand même, moi je ne fais que mettre des mots. Mais combien de création avons nous dénigrer par le passé avant de finalement ne plus pouvoir nous en passer ? Je ne joue pas avec la bombe atomique quand même ! Et cela reste de la création, quoi que les anti IA en pense.
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