#voies nerveuses
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drchristophedelongsblog · 3 months ago
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Anatomie du cerveau : Un voyage au cƓur de notre centre de contrîle
Plongeons-nous dans les méandres de notre cerveau, cet organe fascinant qui régit toutes nos pensées, émotions et actions.
Le cerveau humain est une structure complexe composée de milliards de neurones interconnectés. Ces neurones communiquent entre eux grùce à des voies spécialisées, formant un réseau complexe qui nous permet de percevoir le monde, de penser, d'apprendre et d'agir.
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Les grandes régions du cerveau
Le cerveau peut ĂȘtre divisĂ© en plusieurs grandes rĂ©gions, chacune ayant des fonctions spĂ©cifiques :
Le cortex cérébral: C'est la couche externe du cerveau, constituée de matiÚre grise. Il est responsable des fonctions supérieures telles que la pensée, le langage, la mémoire et la perception.
Le systÚme limbique: Impliqué dans les émotions, la mémoire et l'apprentissage.
Le tronc cérébral: Connecte le cerveau à la moelle épiniÚre et contrÎle les fonctions vitales comme la respiration et le rythme cardiaque.
Le cervelet: Impliqué dans la coordination des mouvements, l'équilibre et le maintien de la posture.
Les structures clés pour la transmission de l'information
Au sein de ces grandes régions, de nombreuses structures jouent un rÎle crucial dans la transmission de l'information :
La substance blanche: Composée principalement d'axones myélinisés, elle assure la communication entre les différentes régions du cerveau.
Les noyaux gris centraux: Impliqués dans le contrÎle des mouvements, l'apprentissage et les émotions.
Le thalamus: Sert de relais pour la plupart des informations sensorielles en direction du cortex cérébral.
L'hypothalamus: Régule de nombreuses fonctions vitales telles que la température corporelle, l'appétit et le sommeil.
Les voies de communication
Les informations circulent dans le cerveau grùce à des voies nerveuses spécifiques. Parmi les plus importantes, on retrouve :
La voie pyramidale: Responsable du contrĂŽle volontaire des mouvements.
Les voies de la sensibilité: Transmettent les informations sensorielles du corps vers le cerveau.
Les voies associatives: Connectent différentes régions du cortex cérébral, permettant l'intégration des informations et la réalisation de fonctions cognitives complexes.
Les neurotransmetteurs : messagers chimiques du cerveau
La communication entre les neurones se fait grùce à des molécules appelées neurotransmetteurs. Ces substances chimiques transmettent les signaux d'un neurone à l'autre, permettant ainsi la transmission de l'information.
En conclusion, le cerveau est un organe complexe et fascinant, dont le fonctionnement repose sur une organisation précise et une communication efficace entre ses différentes structures. Comprendre les mécanismes de la transmission de l'information dans le cerveau est essentiel pour mieux appréhender les bases de notre comportement et de nos capacités cognitives.
Aller plus loin
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mrsines · 4 months ago
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Il ne te mérite pas
Lilia Calderu X Reader
Le silence de la bibliothÚque était seulement interrompu par le grattement léger des plumes sur le papier. Reader, le dos voûté sur un parchemin, était concentrée sur une incantation complexe que Lilia lui avait assignée. Mais ce jour-là, quelque chose d'invisible semblait peser sur ses épaules.
Lilia l'observait du coin de l'Ɠil, son cƓur battant plus fort que d'habitude. Depuis des mois, elle se surprenait Ă  chercher des prĂ©textes pour rester prĂšs d'elle, pour Ă©couter sa voix ou simplement croiser son regard. Pourtant, elle savait que ses sentiments Ă©taient vouĂ©s Ă  rester silencieux. Reader Ă©tait dĂ©jĂ  engagĂ©e ailleurs.
Mais aujourd'hui, tout semblait différent. Reader posa sa plume avec un soupir tremblant et, soudain, ses yeux s'emplirent de larmes.
Lilia se leva immédiatement, laissant de cÎté son propre travail. Elle s'assit prÚs de Reader, une main légÚre mais réconfortante sur son épaule.
— Reader, qu'est-ce qui se passe ? demanda-t-elle doucement.
Reader secoua la tĂȘte, mordillant nerveusement sa lĂšvre. AprĂšs quelques secondes, elle murmura :
— Il... il m'a quittĂ©e.
La confession semblait dĂ©border de douleur, et Lilia sentit son cƓur se serrer pour des raisons bien diffĂ©rentes de celles qu'elle aurait imaginĂ©es. Elle aurait dĂ» se rĂ©jouir, peut-ĂȘtre, mais tout ce qu'elle voulait Ă  cet instant, c'Ă©tait allĂ©ger la peine de Reader.
— Oh, mon enfant... Viens ici, murmura Lilia en l'attirant doucement dans ses bras.
Reader hésita, mais la chaleur et la sincérité du geste la firent céder. Elle se blottit contre Lilia, les larmes coulant librement. Lilia caressa doucement ses cheveux, murmurant des mots réconfortants dans une langue ancienne.
— Tu n'as rien fait de mal, dit-elle. Certaines personnes ne savent pas reconnaĂźtre ce qu'elles perdent. Mais moi... moi, je vois ta force, ta gentillesse, ton incroyable intelligence. Tu es bien plus prĂ©cieuse que tu ne le crois.
Les mots semblaient résonner dans l'esprit de Reader. Elle leva les yeux vers Lilia, ses joues rougies par les larmes, mais un soupçon de soulagement visible dans son regard.
— Merci, Lilia, murmura-t-elle. Je ne sais pas ce que je ferais sans toi.
Lilia esquissa un sourire triste, retenant les mots qu'elle mourait d'envie de dire : Et moi, je ne veux jamais te perdre.
Mais pour l'instant, elle se contentait d'ĂȘtre lĂ , le pilier dont Reader avait besoin. Peut-ĂȘtre qu'un jour, quand le temps aurait apaisĂ© leurs blessures, elle pourrait lui avouer ce qu'elle ressentait rĂ©ellement. Mais pour l'instant, tout ce qui comptait, c'Ă©tait que Reader sache qu'elle n'Ă©tait pas seule.
Lilia maintint son regard sur celui de Reader, ses yeux empreints de douceur et de conviction. Elle essuya une mÚche de cheveux qui s'était échappée du chignon de Reader, la touchant d'une maniÚre presque imperceptible. Un frisson parcourut le corps de Reader, mais elle n'osa bouger, comme si le moment était suspendu dans l'air, à la fois délicat et intense.
— Il ne te mĂ©rite pas, dit Lilia, sa voix calme mais ferme, avec un Ă©clat de certitude. Quelqu'un qui ne voit pas ta beautĂ©, ta valeur, n'est pas digne de t'avoir Ă  ses cĂŽtĂ©s.
Reader sentit une chaleur envahir son cƓur, un mĂ©lange d'Ă©motions qu'elle ne parvenait pas tout Ă  fait Ă  saisir. Les paroles de Lilia rĂ©sonnaient en elle, comme un baume apaisant, mais aussi comme un lĂ©ger dĂ©fi qu'elle n'avait pas vu venir. Un dĂ©fi Ă  se voir autrement, Ă  ne plus se rabaisser face Ă  la perte.
Lilia se pencha un peu plus prÚs, jusqu'à ce que l'air entre elles semble s'électrifier. Ses doigts effleurÚrent doucement la peau délicate du visage de Reader, traçant la ligne de sa mùchoire avec une tendresse infinie. Reader inspira profondément, sentant la proximité de Lilia éveiller quelque chose en elle qu'elle n'avait jamais vraiment exploré.
— Tu es magnifique, Reader, murmura Lilia d'une voix plus basse, plus intime, alors que ses yeux s'attardaient sur les lùvres de la jeune femme. Ne laisse personne te faire croire le contraire.
Les paroles étaient un souffle, une promesse presque intime, qui fit se tendre les muscles de Reader. Un frisson plus fort qu'auparavant secoua son corps. Leurs visages étaient si proches maintenant qu'il semblait que le moindre mouvement les rapprocherait encore davantage. Reader se sentit emportée par la chaleur de la situation, par l'intensité de ce regard qui ne quittait plus ses lÚvres, comme une invitation muette.
Elle n'osa pas bouger, comme paralysĂ©e par la tension, par l'envie sourde et conflictuelle qui naissait en elle. Elle voulait lui rĂ©pondre, lui dire que tout Ă©tait confus dans sa tĂȘte, mais avant mĂȘme qu'elle puisse dire un mot, Lilia posa dĂ©licatement ses lĂšvres sur son front. Un simple baiser, lĂ©ger, mais chargĂ© d'une Ă©motion inexplicable.
— Reste avec moi, chuchota Lilia contre sa peau. Laisse-moi te montrer Ă  quel point tu es prĂ©cieuse.
Lilia se recula lĂ©gĂšrement, ses mains effleurant les Ă©paules de Reader, la laissant respirer, mais la connexion entre elles Ă©tait plus forte que jamais. Reader, les yeux fermĂ©s un instant, se laissa submerger par cette Ă©trange chaleur qui montait en elle. Elle n'avait jamais ressenti une telle proximitĂ©, une telle tendresse, mĂȘlĂ©e Ă  une attirance indĂ©niable qui la perturbait.
Elle rougit légÚrement, mais ses lÚvres se pinçaient dans une expression incertaine, avant de s'ouvrir timidement.
— Je... je ne sais pas si je mĂ©rite tout ça, rĂ©pondit Reader, sa voix tremblante d'Ă©motions contradictoires. Mais je sais que... je me sens bien ici, avec toi.
Lilia sourit doucement, mais cette fois, il y avait quelque chose de plus dans son regard, un éclat de compréhension et de désir silencieux qui passait entre elles. Le monde autour d'elles semblait s'effacer, et seule l'intensité de ce moment, suspendu entre leurs respirations, existait encore.
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uneessencesensible · 9 days ago
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ℕ°𝟚𝟛𝟜𝟙 – 𝕍𝕖𝕟𝕕𝕣𝕖𝕕𝕚 𝟙𝟜 đ•—đ•–Ìđ•§đ•Łđ•šđ•–đ•Ł 𝟚𝟘𝟚𝟝
La Saint Valentin est une fĂȘte commerciale et je l’ai toujours pensĂ©. Certains partagent mon avis et d’autres voient cette journĂ©e comme une occasion de fĂȘter leur amour partagĂ©. Personnellement, au dĂ©but, nous l’avons fait. Nous avons prĂ©parĂ© cette journĂ©e, comme si c’était un Ă©vĂšnement particulier. Avec cadeaux, repas de fĂȘte et j’en passe. Mais aujourd’hui, je ne vois plus les choses de la mĂȘme maniĂšre. Le romantisme n’a jamais Ă©tĂ© mon truc, au contraire, cela me gĂȘne. Je ne suis pas Ă  l’aise avec ces choses-lĂ . Je ne suis pas Ă  l’aise avec les personnes qui rendent tout ce qu’elles touchent en romantisme. Alors, je suis rassurĂ©e de voir que je partage ma vie avec quelqu’un qui est sur la mĂȘme longueur d’onde. En vrai, notre couple rythme nos journĂ©es et nous nous disons les choses rĂ©guliĂšrement. Nous n’attendons pas une telle journĂ©e pour se prouver les choses, pour se faire plaisir ou mĂȘme, pour partager un moment. Nous vivons nos moments comme nous le ressentons sur l’instant T et c’est tout ce que j’aime dans notre couple. Il n’y a rien de prĂ©parer la plupart du temps. Je dirais mĂȘme les trois quarts du temps. Et pour quelqu’un comme moi, qui prĂ©voit tout Ă  l’avance ; des jours Ă  l’avance, parfois mĂȘme des semaines Ă  l’avance, ça change et cela fait beaucoup de bien. Quand j’étais jeune, le moindre imprĂ©vu me rendait nerveuse. DĂ©sormais, cela me rend heureuse. Il a eu un effet trĂšs positif sur moi depuis que nous sommes ensemble. Il m’apporte ce dont je recherchais et surtout, ce dont je ne pensais pas avoir besoin. Rien que pour ça, je comprends mieux mes craintes de la veille de le perdre. Il me rend si heureuse que le perdre m’anĂ©antirai.
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sofya-fanfics · 1 year ago
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Je t’ai toujours aimĂ©
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Fandom : Spy x Family
Relationship : Damian x Anya
Voici ma participation pour le Flufftober 2023 pour le prompt : « Attends, tu m’aimes ? » « Je t’ai toujours aimĂ©. »
J’espùre que ça vous plaira.
RĂ©sumĂ© : Damian Ă©tait assis seul au fond de la salle et remuait nerveusement sa jambe de plus en plus. Il en avait assez. Il voulait partir et broyer du noir. Mais Anya avait insistĂ© pour qu'il soit lĂ  et il n'avait pas pu refuser. Ils venaient d'obtenir leur diplĂŽme et Becky voulait fĂȘter cela en organisant une fĂȘte. Toute leur classe Ă©tait prĂ©sente. En particulier James, pensa Damian en fronçant les sourcils. Ce garçon l’énervait au plus haut point. En particulier lorsqu’il se montrait trop proche d’Anya.
Disclaimer : Spy x Family appartient Ă  Tatsuya Endo.
@flufftober
AO3 / FF.NET
Damian Ă©tait assis seul au fond de la salle et remuait nerveusement sa jambe de plus en plus. Il en avait assez. Il voulait partir et broyer du noir. Mais Anya avait insistĂ© pour qu'il soit lĂ  et il n'avait pas pu refuser. Ils venaient d'obtenir leur diplĂŽme. AprĂšs toutes ces annĂ©es Ă  l'acadĂ©mie Eden, ils Ă©taient enfin diplĂŽmĂ©s et Becky voulait fĂȘter cela en organisant une fĂȘte. Toute leur classe Ă©tait prĂ©sente. En particulier James, pensa Damian en fronçant les sourcils.
Ce garçon l’énervait au plus haut point. En particulier lorsqu’il se montrait trop proche d’Anya. Lors de leurs premiĂšres annĂ©es Ă  l’acadĂ©mie, Damian n’avait jamais vraiment fait attention Ă  lui. Ils Ă©taient dans la mĂȘme classe, mais ils ne s’étaient jamais vĂ©ritablement parlĂ©s.
Un jour, alors qu’ils avaient douze ans, James et Anya s’étaient retrouvĂ©s en binĂŽme pour un exposĂ©. Cela les avaient rapprochĂ©. Ils parlaient, ils riaient, ils passaient leur temps libre ensemble. Bien sĂ»r, Becky Ă©tait toujours avec eux, mais Damian Ă©tait bien trop jaloux pour la remarquer. MĂȘme Ă  ce moment prĂ©cis, ils Ă©taient ensemble, entrain de rire. Ewen et Emile se mirent devant lui, lui bloquant la vue d’Anya et de James.
« Damian, pourquoi tu restes tout seul ? Demanda Ewen.
-On est diplĂŽmé ! Viens t’amuser ! Continua Emile. »
Tous deux affichaient un immense sourire et ils voulaient que leur meilleur ami profite de la soirĂ©e. C’est vrai qu’il Ă©tait diplĂŽmĂ© et c’est vrai qu’il devait fĂȘter cela. Pourtant, il avait cette boule Ă  l’estomac qui l’empĂȘchait de s’amuser. Mais ce n’était pas parce qu’il Ă©tait de mauvaise humeur qu’il devait gĂącher la fĂȘte de ses amis. Il se leva soudainement.
« Je vais y aller, dit-il. »
Il se dirigea vers la sortie, ignorant ses deux amis qui lui demandaient de rester. Il sortit et l’air frais le saisit. Il pouvait sentir la diffĂ©rence de tempĂ©rature comparĂ©e Ă  la chaleur qui rĂ©gnait Ă  l’intĂ©rieur. Peut-ĂȘtre qu’un peu d’air frais l’aiderait Ă  calmer ses nerfs.
« Damian ! »
Il sentit son cƓur s’accĂ©lĂ©rer. Anya ? Qu’est-ce qu’elle faisait là ?
« Est-ce que tout va bien ? Demanda-t-elle. Tu es parti tellement vite.
-Ça va, rĂ©pondit-il en feignant l’indiffĂ©rence. »
De toute façon, pensa-t-il, comment pouvait-elle savoir s’il allait bien oĂč pas, puisqu’elle passait tout son temps collĂ©e Ă  James. Anya Ă©carquilla les yeux comme si elle Ă©tait surprise. Est-ce qu’il lui avait rĂ©pondu trop brusquement sans s’en rendre compte ? Il voulut s’excuser, mais Anya le coupa.
« Pourquoi est-ce que tu n’aimes pas James ? »
Pendant une seconde, Damian ne sut quoi rĂ©pondre. Il s’attendait Ă  tout, sauf Ă  ça.
« Qu’est-ce qui te fait dire ça ? RĂ©ussit-il Ă  demander.
-Tu n’es pas trĂšs gentil avec lui. MĂȘme si tu n’es pas toujours trĂšs gentil avec tout le monde. »
Damian grimaça en repesant à la maniÚre dont il avait traité Anya quand ils étaient enfants. Mais elle ne lui en avait jamais voulu et était devenue son amie.
« Avec James, c’est diffĂ©rent, continua Anya. Je vois bien que tu ne l’aimes pas. Si tu apprenais Ă  le connaĂźtre... »
Damian leva les yeux au ciel. Elle voulait qu’il devienne ami avec James, mais c’était quelque chose qu’il refusait.
« Tu verras qu’il est trĂšs gentil.
-Laisse tomber Anya.
-Je suis sûre que vous pourriez devenir ami.
-Je t’ai dit de laisser tomber ! »
Pourquoi est-ce qu’elle insistait comme cela ? Pourquoi est-ce qu’elle ne comprenait pas qu’il ne voulait pas devenir ami avec James ? Pourquoi est-ce qu’elle ne voulait pas voir ce qu’il ressentait ? Il sentait la colĂšre et la tristesse monter en lui. Il porta sa main Ă  sa poitrine et serra le poing, espĂ©rant faire passer la douleur. S’il devenait ami avec James, il devrait supporter de le voir avec Anya et cela lui Ă©tait impossible.
« Pourquoi est-ce que tu réagis comme ça ?
-Anya, arrĂȘte.
-Aide-moi Ă  comprendre.
-Parce que je t’aime ! »
Le silence s’installa entre eux. Les mots de Damian rĂ©sonnĂšrent dans leurs oreilles. Il avait l’impression que son cƓur allait exploser. Il n’aurait jamais cru lui avouer qu’il l’aimait de cette façon. Anya le regardait, surprise. Elle ouvrit et ferma la bouche plusieurs fois, avant de dire :
« Attends, tu m’aimes ? »
Damian soupira et s’ébouriffa les cheveux. Cela ne servait plus Ă  rien de le cacher.
« Je t’ai toujours aimĂ©. »
Étrangement, il se sentait bien. Bien sĂ»r, il avait peur de sa rĂ©action, mais il se sentait aussi libĂ©rĂ© de lui avoir avouĂ© ses sentiments. MĂȘme s’il aurait voulu que les choses soient diffĂ©rentes et qu’il ne lui ait pas dit qu’il l’aimait Ă  cause de sa jalousie envers James. Il observa Anya qui Ă©tait perdue dans ses pensĂ©es. Il l’entendit marmonner :
« Je comprends mieux ce qu’il y avait dans tes pensĂ©es.
-Quoi ? »
Anya revint Ă  la rĂ©alitĂ© et Ă©carquilla les yeux, comme si elle avait Ă©tĂ© prise la main dans le sac. Ce n’était pas la premiĂšre fois qu’elle agissait ainsi, pensa Damian.
« Rien, répondit-elle.
-Tu n’es pas obligĂ© de me rĂ©pondre quoi que se soit.
-Pourquoi est-ce que tu ne me l’as jamais dit ?
-La peur d’ĂȘtre rejetĂ©, de te perdre et que les choses soient diffĂ©rentes entre nous.
-C’est pour ça que tu Ă©tais jaloux de James ? »
Il fallait encore qu’elle parle de lui. Comme si elle savait à quoi il pensait, elle lui prit la main pour le rassurer.
« Tu n’as pas Ă  ĂȘtre jaloux de lui. C’est mon ami, comme Becky. Et mĂȘme si tu es aussi mon ami, ce que je ressens pour toi est diffĂ©rent de ce que je ressens pour Becky ou James. »
Elle rougit et sa main trembla lĂ©gĂšrement. C’était la premiĂšre fois que Damian la voyait ainsi. Il se demanda si elle aussi ressentait la mĂȘme chose que lui. Il sentit l’espoir monter en lui. Il lui serra la main, espĂ©rant lui transmettre ce qu’il pouvait ressentir. Sans Ă  ce qu’il ne s’y attende, Anya se mit sur la pointe des pieds et posa ses lĂšvres sur les siennes. Cela n’avait durĂ© qu’une seconde, mais pour Damian, cela avait Ă©tĂ© la plus belle seconde. Anya s’écarta lĂ©gĂšrement.
« Je t’aime aussi. »
Elle l’embrassa Ă  nouveau et Damian rĂ©pondit Ă  son baiser. Il passa timidement ses bras autour d’elle et la serra contre lui. Plus rien ne comptait Ă  part Anya. Il l’aimait et elle venait de lui avouer qu’elle l’aimait aussi et c’était tout ce qui importait.
Fin
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marie-swriting · 10 months ago
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Perte De Temps - Jake "Hangman" Seresin [1/2]
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Top Gun Maverick Masterlist
Emails I Can't Send Masterlist
Partie deux
Partie une - deux (version anglaise)
RĂ©sumĂ© : Tu n'arrĂȘtes pas de repenser Ă  ta relation avec Jake, malgrĂ© votre rupture.
Warnings : angst, fin triste, Jake est un connard, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 2k
Chanson qui m'a inspiré : Things I Wish You Said par Sabrina Carpenter
Assise sur ton lit, tu tiens ton tĂ©lĂ©phone en face de toi avec la photo de contact de Jake sur l’écran. Tu as un grand sourire Ă  l’idĂ©e d’enfin pouvoir lui parler. Tu es actuellement en dĂ©ploiement donc tu n’as pas pu communiquer avec ton petit ami ces derniers jours. 
AprĂšs quelques secondes, tu dĂ©couvres le visage de Jake et tu vois qu’il est sur son canapĂ©. 
-Hey, je suis dĂ©solĂ©e de ne pas t’avoir appelĂ© avant, c’est la folie ici, t’excuses-tu.
-C’est pas grave, je suis bien placĂ© pour comprendre que ça peut ĂȘtre compliquĂ© d’appeler.
-Bon, qu’est-ce que tu as me dire de beau ? 
-Pas grand chose, c’est assez calme, dit Jake en Ă©vitant rapidement ton regard. En fait, je voulais te parler.
-D’accord, tu veux me parler de quoi ?
-Je
 Écoute, commence-t-il, nerveusement et tu te redresses, craignant la suite, je ne sais pas comment le dire alors je vais le faire d’un coup, on devrait se sĂ©parer.
-Quoi ? Qu’est-ce que tu racontes ?
-Ce n’est pas toi, je te le promets, c’est moi. 
-C’est quoi cette excuse de merde ! t’énerves-tu, perdue. Tout va bien entre nous. Je ne comprends pas pourquoi tu veux tout arrĂȘter. J’ai fait quelque chose ?
-Non, comme j’ai dit, ce n’est pas de ta faute. C’est juste que je veux me concentrer sur ma carriùre et

-Et quoi ? Je suis une distraction ? Tu peux pas avoir une relation et travailler comme un grand garçon ? rétorques-tu, agacée. 
-Je comprends que tu puisses ĂȘtre Ă©nervĂ©e, mais c’est mieux comme ça, rĂ©pond calmement Jake, ce qui a le don de te rendre encore plus en colĂšre. 
-Clairement. 
-Y/N, tu es quelqu’un de bien, je ne veux pas que t’en doutes pendant une seule seconde.
La phrase de Jake qui se veut rĂ©confortante te braque un peu plus. Tu ne regardes mĂȘme plus ton tĂ©lĂ©phone, un million d’émotions traversant ton corps. Tu n’arrives pas Ă  savoir si tu es plus Ă©nervĂ©e ou dĂ©vastĂ©e. Comprenant que ça ne sert Ă  rien d’insister, Jake soupire avant de parler une derniĂšre fois : 
-Je vais te laisser tranquille.
Tu reposes les yeux sur ton tĂ©lĂ©phone, t’attendant Ă  ce que Jake dise quelque chose d’autre, mais rien. Jake n’ajoute mĂȘme pas un “dĂ©solĂ©â€ avant de raccrocher, te laissant dans ta chambre, seule et dans un silence lourd. Tu gardes les yeux rivĂ©s sur ton tĂ©lĂ©phone, toujours sous le choc par ce qui vient de se passer. Tu n’arrives pas Ă  comprendre. 
Tu as rencontrĂ© Jake il y a environ quatre mois et tout s’est fait rapidement, mais ça ne semblait pas vous dĂ©ranger. Certaines personnes avaient bien essayĂ© de te prĂ©venir en te parlant de la rĂ©putation de Jake avec les femmes, mais tu les avais ignorĂ©es. Jake et toi, vous vous Ă©tiez tout de suite bien entendus et c’était ce qui comptait. Et puis, tu ne vas pas mentir, il a su te rendre accro en une conversation. Tu avais l’impression que c’était pareil pour lui, que Jake Ă©tait autant attachĂ© Ă  toi que tu l’étais Ă  lui, maintenant tu en doutes. Ce qui te perturbe le plus dans cette histoire, c’est que votre relation devenait de plus en plus sĂ©rieuse, jusqu’à maintenant. Vous vous voyiez dĂšs que vous pouviez, vous aviez mĂȘme parlĂ© de prendre une maison ensemble. Vous aviez commencĂ© Ă  imaginer un futur ensemble et un coup de fil, Jake vient de tout jeter aux oubliettes. 
Ce soir-lĂ , tu n’arrives pas Ă  lĂącher une larme. Tu te dis que tu as sĂ»rement rĂȘvĂ© ce coup de fil. Cependant, le lendemain, quand tu ne te rĂ©veilles pas avec le message habituel de Jake te souhaitant une bonne journĂ©e, tu prends conscience de la rĂ©alitĂ© et tu fonds en larmes lorsque tu finis ta journĂ©e. Jamais ton cƓur n’avait connu une telle dĂ©tresse, n’ayant rien vu arriver. 
Cinq mois se sont Ă©coulĂ©s depuis ce sinistre appel. Tous les soirs, votre derniĂšre conversation tourne dans ta tĂȘte, tu repenses Ă  ta relation avec Jake, Ă  la recherche de ce que tu as pu faire de mal et plus tu rĂ©flĂ©chis, plus tu rĂ©alises que tu as toujours mis plus d’énergie dans cette relation que Jake. Maintenant, tu te trouves idiote pour avoir espĂ©rĂ© quelque chose de beau alors qu’on t’avait prĂ©venu que Jake ne savait pas s’engager. Tu pensais ĂȘtre diffĂ©rente. Tu ne l’es pas. Tu te trouves encore plus pathĂ©tique car Jake est toujours dans ta tĂȘte. MĂȘme quand il n’est plus avec toi, il arrive encore Ă  te faire perdre ton temps. 
Ce soir en est encore une preuve. Tu as recroisĂ© Jake lors d’une soirĂ©e spĂ©ciale pour la Navy. Tu as malheureusement revu Jake et te voilĂ  maintenant allongĂ©e dans ton lit Ă  repenser Ă  lui et Ă  cette soirĂ©e, mais surtout au moment oĂč tu l’as vu dans le parking en partant, un moment qui ne quittera pas tes pensĂ©es pendant plusieurs jours.   
Tu t’es rendue Ă  cette soirĂ©e, sans grande conviction. Tu as Ă©tĂ© accompagnĂ© par ton nouvel ami Scott que tu as rencontrĂ© lors de ta derniĂšre mission. 
Au dĂ©but, tu n’avais juste aucune envie d’ĂȘtre lĂ , puis tu as vu Jake et Ă  la seconde oĂč tu as reconnu son rire au loin, tu as voulu fuir la soirĂ©e. Scott, en bon ami qu’il est, est restĂ© Ă  tes cĂŽtĂ©s et a su te divertir. Il a rĂ©ussi Ă  te faire rire, mĂȘme si intĂ©rieurement, ton cƓur se brisait Ă  nouveau. Tu n’as pas parlĂ© de Jake toute la soirĂ©e. En fait, tu ne t’es pas approchĂ© de lui, tu l’as Ă©vitĂ© comme la peste. Enfin, jusqu’à ce que ça devienne acceptable de quitter la soirĂ©e. À la seconde oĂč la soirĂ©e a commencĂ© Ă  se conclure, tu as vite quittĂ© les lieux. En marchant vers ta voiture, tu es tombĂ©e face Ă  face avec Jake. Au dĂ©but, vous ĂȘtes restĂ©s lĂ , Ă  vous regarder dans le blanc des yeux sans vous parler, puis n’étant pas prĂȘte Ă  le confronter, tu as commencĂ© Ă  te diriger vers ta voiture quand Jake t’a retenu.
-Est-ce qu’on peut parler, s’il te plait ?
-Je n’ai pas grand chose à te dire, Jake, avais-tu dit, sur tes gardes. 
-J’imagine que me parler est la derniùre chose que tu veuilles faire, mais j’ai besoin de te dire quelque chose.
-Tu en as assez dit la derniÚre fois, avais-tu déclaré en te tournant pour aller dans la direction opposée à lui.
-Justement, je n’en ai pas assez dit. Tu mĂ©rites que je m’excuse.
À sa phrase, tu t’es retournĂ©e, choquĂ©e. Avoir des excuses de Jake Ă©tait bien la derniĂšre chose Ă  laquelle tu t’attendais. Tu t’es mis face Ă  lui, les bras croisĂ©s sur ta poitrine afin de montrer que tu ne te laisserais pas attendrir facilement alors qu’en rĂ©alitĂ©, ça te demandait un effort surhumain.
-Je suis dĂ©solĂ© d'avoir rompu de cette façon en donnant si peu d’explications. Je suis dĂ©solĂ© d’avoir sorti la carte du “c’est moi, ce n’est pas toi”. Ce n’était pas rĂ©glo. Et je suis
, avait soupirĂ© Jake, tu mĂ©rites de vraies excuses, mieux que celle-ci, mais je me devais de te dire au moins ça. Peut-ĂȘtre que je vais aller trop loin, mais je serais ravi de me faire pardonner comme il faut si on se revoyait un de ces quatre. 
-Jake, je ne pense pas que ça soit une bonne idĂ©e, avais-tu refusĂ© en baissant les yeux pendant une seconde. Mais merci pour ce que tu m’as dit, ça fait du bien de l’entendre.
Suite à ta phrase, tu pensais que la conversation était finie alors tu as sorti tes clés de ton sac quand la voix de Jake a résonné à nouveau dans le parking : 
-C’est Ă  cause du gars avec qui tu Ă©tais ce soir que tu refuses ? Ça fait longtemps que vous ĂȘtes ensemble ?
-Scott ? C’est un ami. 
-La maniùre dont il t’a fait rire
, avait dit Jake en riant jaune, ce n’est pas l’impression que j’ai eue.
-Pourtant, il n’y a rien, avais-tu rĂ©pliquĂ©, sur la dĂ©fensive. Et puis, pourquoi ça t’intĂ©resse ? On est sĂ©parĂ©s, c’était ta dĂ©cision, je te rappelle.
-Et c’était con. Tu me manques, putain ! s’était-il exclamĂ© avec un air coupable sur le visage. Tu n’as pas idĂ©e. Le moindre dĂ©tail me fait penser Ă  toi. Quand une de tes artistes prĂ©fĂ©rĂ©es passe Ă  la radio, je te revois en train de chanter les paroles, un grand sourire au visage. Qu’est-ce que je donnerais pas pour revoir ce sourire ! avait-il ajoutĂ© plus faiblement. Encore maintenant, quand je suis dans la voiture, il m'arrive de tendre le bras pour le poser sur ta cuisse puis, je rĂ©alise que tu n’es plus lĂ  parce que j’ai merdĂ©. Je m’assure toujours d’entendre tes derniers exploits. J’ai toujours su que tu Ă©tais une pilote hors pair et tu continues encore Ă  m'impressionner. J’aurais dĂ» rĂ©aliser la chance que j’avais de t’avoir avant de la gĂącher. Je n’arrive pas Ă  avancer et je n’arrive mĂȘme pas Ă  m’imaginer aimer une autre personne que toi, avait avouĂ© Jake avant de faire un pas vers toi. 
Quand tu l’as vu proche de toi, tu n’as pu t’empĂȘcher de regarder ses lĂšvres, ses lĂšvres qui t’ont tant manquĂ©. En le regardant avec plus d’attention, tu as bien vu que, lui aussi, il avait voulu te toucher. Ses mains Ă©taient prĂȘtes Ă  prendre les tiennes, mais il s’était retenu, ne voulant sĂ»rement pas ruiner ce moment en agissant encore plus impulsivement. Entendre la confession de Jake a presque rĂ©ussi Ă  te faire craquer et Ă  te faire oublier la douleur qu’il t’avait causĂ©e. Toutefois, tu es restĂ©e mutique, sachant que si tu ouvrais la bouche, tu n’aurais su lui rĂ©sister. D’une voix dĂ©sespĂ©rĂ©, Jake a tentĂ© le tout pour le tout en dĂ©clarant une derniĂšre fois :
-Je te jure que si tu me laissais une nouvelle chance, je saurais mieux agir avec toi. Je saurai ĂȘtre l’homme que tu mĂ©rites, je ne te briserai pas le cƓur. J’ai appris de mes erreurs, je te le promets.
-Jake, tu m’as fait du mal, avais-tu dit d’une voix faible. 
-Je comprends, mais si tu changeais d’avis, je serais toujours libre. Encore une fois, je suis dĂ©solĂ©. 
Sur cette derniĂšre excuse, Jake t’a laissĂ© tranquille et tu es montĂ© dans ta voiture, les larmes aux yeux. Tu les as retenues jusqu’à ce que tu aies quittĂ© le parking. 
Malheureusement, ça ne s’est pas passĂ© de cette maniĂšre. 
Tu as bien croisĂ© Jake sur le parking, mais il est restĂ© mutique. À un moment, tu as pensĂ© qu’il allait te dire quelque chose, mais il a juste quittĂ© les lieux, un air coupable sur le visage. 
Et te voilĂ , maintenant, dans ton lit Ă  imaginer les choses que tu aurais aimĂ© qu’il te dise. MalgrĂ© ces cinq mois de sĂ©paration, tu es toujours aussi dĂ©sespĂ©rĂ©e pour son amour. MalgrĂ© la douleur qu’il t’a causĂ©e, tu te languis d’excuses de sa part, mais surtout, tu voudrais qu’il te veuille encore et mĂȘme si dans le scĂ©nario que tu as rĂȘvĂ©, tu as refusĂ© de revoir Jake, tu sais qu’en rentrant chez toi, tu l’aurais appelĂ©. Tu l’aimes encore et tu souhaiterais que ça ne soit plus le cas. Il joue encore avec tes sentiments alors qu’il ne te parle plus. Ton cƓur complote contre toi en te torturant et en te faisant imaginer un Jake qui saurait rĂ©parer ses erreurs et ĂȘtre l’homme que tu mĂ©rites. Cependant, ça ne sert Ă  rien. Jake ne changera jamais et s’il revenait, ça serait juste pour jouer un peu plus avec tes sentiments avant de te jeter Ă  nouveau. Tu perds ton temps sur des choses futiles. C’est une perte de temps d’espĂ©rer qu’il change, c’est une perte de temps de penser aux choses qu’il aurait pu te dire et aux choses qu’il ne te dira jamais. Jake est une perte de temps et tu t’en veux de dĂ©dier autant ta vie pour un homme qui ne pense plus Ă  toi depuis longtemps. Tu espĂšres juste qu’un jour tu arriveras Ă  avoir l’esprit plus lĂ©ger, loin de Jake et de tes sentiments pour lui.
Partie deux
Top Gun Maverick Masterlist
Emails I Can't Send Masterlist
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simonrileyfiction · 1 year ago
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Inattendu - 1 (Simon Ghost Riley)
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Je tiens à préciser que cette fiction s'inspire de l'idée de départ de SigLoverofWords. Il s'agit d'une rencontre entre Simon et un personnage féminin fondée sur un échange de messages.
Le reste de l'histoire est bien Ă©videmment Ă©crit Ă  ma sauce :) !
[0161765 4321] : Demain, 5h tapantes, ne soit pas en retard.
[Moi] : ?
[0161765 4321] : J’dĂ©conne pas Johnny, je t’attendrais pas.
Perplexe, je regarde l’écran en fronçant les sourcils. L’expĂ©diteur de ce message s’est sans doute trompĂ© de numĂ©ro. En tout cas, il ne semble pas de trĂšs bonne humeur.
[0161765 4321] : J’suis pas ton putain de baby-sitter. Si t’es pas là à l’heure j’te laisse rentrer à pied.
Je rĂ©alise qu’il s’agit sans doute de quelque chose d’important. Si ce fameux Johnny ne reçoit pas le message, il risque de passer une sale journĂ©e. Je dĂ©cide alors d’appeler ce fameux numĂ©ro afin de prĂ©venir l’expĂ©diteur de ce sms.
L’inconnu dĂ©croche dĂšs la premiĂšre sonnerie, ce qui me prend un peu de court.
"Qu’est-ce que tu veux encore ?!" me rĂ©pond une voix grave teintĂ©e d’un fort accent britannique.
"Euh
 Excuse-moi
 Je ne suis pas la personne que tu essaies de contacter", je balbutie en jouant nerveusement avec mes doigts, "tu as fait un faux numéro."
L’inconnu ne me rĂ©pond pas mais il respire avec difficultĂ©, ce qui m’interpelle instantanĂ©ment.
"Je voulais m’assurer que tu n’attendes pas Johnny pour rien demain matin", je continue la voix tremblante.
"C’est gentil Ă  toi", me rĂ©pond-il en murmurant d’une voix rauque.
Cet homme ne semble pas aller bien.
"Est-ce que tout va bien ?"
L’inconnu ne rĂ©pond pas mais je l’entends toujours respirer bruyamment.
"Monsieur ?"
"Oui."
"Je m’appelle Maya", je continue d’une voix qui se veut plus posĂ©e.
"Maya, je suis dĂ©solĂ© de t’avoir dĂ©rangĂ©."
"Tu ne me dĂ©ranges pas !" Je m’empresse de rĂ©pondre. "Comment tu t’appelles ?"
L’inconnu semble hĂ©siter.
"Simon."
"Enchantée Simon ! Alors comme ça, tu fais le taxi ?" Je lance sur un ton plus léger.
Simon ne me répond pas tout de suite. Sa respiration est toutefois moins saccadée.
"Je dois prendre un de mes collùgues devant chez lui pour aller au travail demain matin", m’explique-t-il, "sa voiture est au garage."
"Et ça arrive souvent Ă  ton collĂšgue d’ĂȘtre en retard ?" je demande, curieuse.
"Tout le temps, je passe ma vie à l’attendre", rñle-t-il.
Je ne peux m’empĂȘcher de retenir un petit rire : "Il a l’air d’ĂȘtre un sacrĂ© personnage."
"Ah ça
 "soupire-t-il.
"Je peux te demander ce que vous faites tous les deux comme métier ?"
"Oui, tu peux, mais je ne peux pas te répondre."
Surprise, je hausse les sourcils.
"Pas de problĂšme", je rĂ©ponds rapidement. "Ça fait trĂšs James Bond comme rĂ©ponse."
Simon lĂąche un ricanement Ă©touffĂ© et je souris, heureuse de voir qu’il semble aller un peu mieux.
"Et toi Maya ? ça t’arrive souvent de discuter avec des inconnus au beau milieu de la nuit ?"
"Eh bien non-figures-toi ! J’étais en train de travailler sur mon TD au moment oĂč j’ai reçu tes messages. J’ai profitĂ© de la distraction pour penser Ă  autre chose qu’à mon commentaire d’arrĂȘt."
"Tu es étudiante ?"
"Yep !"
"Qu’est-ce que tu Ă©tudies ?" me demande-t-il avec curiositĂ©.
"Le droit pĂ©nal et les sciences criminelles", je rĂ©ponds en m’étirant sur ma chaise, "pour mettre les mĂ©chants en prison."
"Oh je vois, une Ăąme de justiciĂšre donc", lĂąche-t-il sur ce que je comprends ĂȘtre un ton de plaisanterie.
"Venant de James Bond lui-mĂȘme je prends ça pour un compliment", je rĂ©torque en baillant.
"Il est 3h du matin, tu devrais dormir", souligne-t-il d’une voix plus douce.
"Pas de repos pour les justiciers !" Je lance sur un ton faussement enjouĂ©. "J’ai travaillĂ© toute la soirĂ©e pour gagner un peu d’argent alors je me retrouve Ă  me pencher sur mes cours un peu tard, je l’admets."
"Qu’est-ce que tu fais comme boulot ?"
"Je travaille dans une station service."
"Je vois."
"Ouais, c’est moins passionnant que ton travail d’agent secret", dis-je en ricanant.
Un silence confortable s’installe, je baille de nouveau.
"Je suis dĂ©solĂ©e !" je m’exclame en rĂ©alisant, je te tiens Ă©veillé !
"C’est pas un souci", me rĂ©pond Simon.
"Mais tu dois récupérer Johnny à 5h ! Comment tu vas faire ?"
"Je ne vais pas dormir, je dois me lever dans peu de temps."
"Oh, je suis vraiment désolée", je balbutie.
"Ne t’excuse pas. Je vais devoir te laisser Maya. Repose toi bien."
"Merci Simon, bon courage pour ta journée."
Il raccroche.
Je prends le temps d’enregistrer son numĂ©ro et j’éteins la lampe qui se trouve Ă  mon chevet.
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maesparrow · 2 years ago
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One-shot MarcoLeo | Marco Verratti x Leo Messi | Neymar's birthday
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PDV MARCO :
C'est l'anniversaire de Neymar, ce gros gamin Ă  31 ans, j'ai mĂȘme pas l'impression que c'est rĂ©el carrĂ©ment.
Il y a du monde partout, au point oĂč je connais presque personne.
Il connaĂźt trop de monde lui c'est abberant ! Il parle tous portugais.
Du coup je parle avec monsieur Lionel Messi.
Leo... J'aurais beaucoup de choses Ă  dire Ă  son sujet mais je vais m'abstenir je pense car on va me prendre pour un gros psychopathe.
Au bout d'un moment on nous demande de prendre des photos donc on va rejoindre Neymar et Achraf pour poser.
Et je sais pas comment, mais en tout cas j'ai eu un excÚs de confiance et j'ai posé ma main sur le cuisse à Leo.
MĂȘme moi je suis choquĂ©, il me fait un peu trop d'effets je crois...
Faut dire que la fois oĂč on parlait de mon short pour je ne sais plus quelle raison il m'a pas laissĂ© indiffĂ©rent ou encore la fois oĂč on a rattrapĂ© un ballon en mĂȘme temps et que j'ai touchĂ© sa main...
Je me rappellerai toujours les frissons que j'ai ressenti ces jours lĂ ...
J'étais littéralement tomber amoureux de lui et ça je ne pouvais pas me le cacher.
On fini la photo et je retire ma main plus que gĂȘnĂ©.
Faites qu'il ne m'en veuille pas...
Je prend une coupe de champagne sur une table et m'éclipse. Je pars dans un coin de la salle que j'avais repéré dÚs mon arrivée puisqu'il n'y avait presque personne.
Je m'adosse contre le mur et boit en silence mon verre tout en regardant les gens faire la fĂȘte en face de moi.
Je vois au loin Leo venir vers moi.
Je ne m'en rends pas compte tout de suite mais je rougis, le voir dans son ensemble noir marcher vers ma direction me provoque des picotements dans le bas du ventre.
Il va vraiment finir par me faire bander ce fou.
- Ça va ? T'es parti d'un coup.
- Oui... Oui ça va... lui dis-je
- T'es sûr ? Tu es tout rouge.
Il pose sa main sur mon front.
Je vais exploser.
Qui aurait cru qu'un homme, qui en plus est Lionel Messi, pouvait me faire autant d'effets ?
- T'es vraiment chaud.
- Je t'assure que ça va Leo ne t'inquiÚtes pas... C'est juste que... Je suis désolé pour tout à l'heure...
- Pour ?
- A-Avoir posée ma main sur ta cuisse... Bégayais-je d'une voix basse
- O-Oh ça... Ça m'a pas dĂ©rangĂ©...
Comment ça ?
- Enfin euh... Ouais... BĂ©gaya t'il Ă  son tour
Il agit comme si il avait dit une bĂȘtise...
- Au fait... J'aime bien ta tenue... Me dit-il pour changer de sujet
- Moi aussi j'taime-, j'aime ! J'aime bien la tienne...
Oh lĂ  lĂ ... C'est la catastrophe.
- M-Merci...
Je le regarde et il me regarde, dans le plus profond des silence.
Il se rapproche de moi, mais qu'est-ce qu'il fait !?
Son regard se pose sur mes lĂšvres.
Je rĂȘve, c'est pas possible, jamais il ferait ça !
Il posa sa main, sur une de mes joues...
Il finit par rompre le peu d'espace entre nous et posa doucement ses lĂšvres sur les miennes.
Je réponds rapidement au baiser en passant ma main dans ses doux cheveux brun.
Si quelqu'un m'aurait dit que j'allais embrasser l'homme qui envahit mes pensées depuis plusieurs mois à cette soirée, j'aurai ri au nez de cette personne.
J'inverse nos positions pour que lui se retrouve contre le mur, il fait peut-ĂȘtre 4 centimĂštres de plus que moi mais ce n'est pas une raison pour que ce soit moi qui se retrouve contre le mur.
Je me sépara finalement de ses lÚvres pour respirer et on rit nerveusement avant que je finisse par l'embrasser plus doucement.
Ce serait vous mentir si je vous disais que j'étais rentré seul à cette soirée...
Et autant dire que j'ai trĂšs peu dormi cette nuit...
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franckdoutrery · 2 years ago
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Choses entendues
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- Non, pas encore ! Il doit dĂ©marrer seulement dans une dizaine de minutes, Ă  11h59 selon mon billet. Donc j’ai le temps de m’installer. Non, c’est pas le Thalys, c’est l’Eurostar. Tu sais bien que pour Londres, c’est l’Eurostar. Qu’est-ce que j’irais faire Ă  Paris ? C’est Londres the place to be, tu le sais bien. De la friture sur la ligne ? Qu’est-ce que tu me racontes ? D’ailleurs avec les portables, y a plus de ligne. On dirait que t’es pas encore bien rĂ©veillé ? T’as encore picolĂ© hier soir ? Bon, si c’est comme ça, je te laisse. On se rappelle ?!
- Oui, Minou, c’est moi. Je te dĂ©range pas ? Le train vient de dĂ©marrer lĂ . Non, ça s’est bien passĂ© au contrĂŽle. Ils sont sĂ©vĂšres mais c’est pour notre sĂ©curitĂ©. Du monde ? M’en parle pas ! Plus un siĂšge de libre. Et ils sont tous lĂ  avec leur ordinateur, leur tablette, leur iPhone, les Ă©couteurs sur les oreilles. Non, tu penses, ils m’entendent pas. Trop occupĂ©s avec leurs smart toys. C’est le genre connectĂ©, tu vois. Oui, je voulais te dire : pour le chat. Non, pas le ChatGPT, le chat ! Minette si tu veux. Maximum 70 gr de croquettes par jour. Et renouveler l’eau tous les matins. Oui, moi aussi ! Bisous, bisous !
- Salut Roger, comment tu vas ? Tant mieux, moi aussi, merci ! Je t’appelle pour le C.A. Oui, le Conseil d’administration de la semaine prochaine. Tu sais qu’il y aura Duchemin cette fois. Lui-mĂȘme ! Et lui, quand il vient, c’est pas pour les jetons de prĂ©sence, tu sais. Faudra bien prĂ©parer la comptabilitĂ©. Demande Ă  Paul, il connaĂźt toutes les ficelles. Surtout la partie cash flow. Faut pas que nos crĂ©anciers doutent de la solvabilitĂ© de la boĂźte. Oui, je sais ! L’autofinancement est sauf, mais faut voir avec Paul ce qu’on pourra distribuer comme dividendes aux actionnaires. Oui, la City est un peu nerveuse en ce moment. Je te fais confiance ! Mais je te rĂ©pĂšte : ce Duchemin est une teigne. Tu t’en occupes ? Merci d’avance et bise Ă  ta femme. 
- Hi Phil ! What’s the matter ? You mean Bojo himself ? You must be kidding ! Are you sure ? Those old boys of Parliament are going mad. Yes, I think so ! Did you read the FT this morning ? I tell you, Phil, you’ll have to work like crazy to get that task finished. I don’t bother about that, but you should. Thanks for calling. See you ! Bye !
- Lui-mĂȘme ! Ah, c’est toi, Yvan ? J’avais pas reconnu ta voix. On vient juste de sortir de l’Eurotunnel. Tu as essayĂ© de m’atteindre avant ? Oui, ça c’est l’avantage des portables. Non, juste quelques jours Ă  Londres. Un petit trip pĂ©pĂšre, tu vois. Quelques balades au centre, peut-ĂȘtre le long de la Tamise, Tate modern, Tower Bridge, ce genre. Oui, j’te le fais pas dire, on a du bol. En plus on promet une bonne mĂ©tĂ©o. C’est ça ! Merci ! De ton cĂŽtĂ© aussi, amuse-toi bien. Tchao !
- Allo George ! Dis donc, t’en as mis du temps pour dĂ©crocher. J’espĂšre que je ne te rĂ©veille pas. Au petit coin ? Oui, je prĂ©fĂšre ça. Tu ne devineras jamais pourquoi je t’appelle. Non ! Non ! Non plus ! LĂ  tu chauffes. Pas encore ! J’te donne une indication : chuis dans l’Eurostar. Toujours pas ? Tu donnes ta langue au chat ? Alors, t’es bien assis ? Ecoute ça : j’ai un nouvel iPhone ! J’te jure : l’iPhone 12. Tu t’imagines ? Tu es le premier que j’appelle avec. Oui, encore plus plat que le prĂ©cĂ©dent. Plus lĂ©ger aussi. Ton AndroĂŻd ? Ça n’a rien Ă  voir ! Attends ! Attends ! Te fĂąche pas ! Je t’envoie tout de suite une photo que je viens de faire du compartiment. Hop, c’est parti ! Tu verras la dĂ©finition. Tu m’en diras des nouvelles ! En plus j’ai l’enregistrement vidĂ©o HD. Avec mode ralenti et accĂ©lĂ©rĂ©. Qu’est-ce que tu veux de plus ? Tu m’entends bien là ? Moi je t’entends 5 sur 5. Non, c’est pas parce que t’as un AndroĂŻd. Moi je file Ă  plus de 200 Ă  l’heure et on discute malgrĂ© tout comme si on Ă©tait Ă  la mĂȘme table au cafĂ© de la Grand-Place. Fabuleux, non ? J’te dis pas le contraire. Le Samsung Galaxy, le HTC One et d’autres, c’est pas mal, mais l’iPhone 12 c’est quand mĂȘme le top ! Bon, il faut que je te laisse lĂ  parce qu’on arrive bientĂŽt. En plus, faut que je le recharge un peu tant qu’on a du courant. 
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manue-ringo · 5 months ago
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Chapitre 135 : Le poids des non-dits
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En arrivant chez Parker, ils entrĂšrent dans la maison, encore amusĂ©s par leur conversation prĂ©cĂ©dente. Parker se dirigea vers la cuisine pour prĂ©parer du cafĂ©, tandis que Mulder s’installait sur le canapĂ©, observant avec curiositĂ© son amie qui semblait s'affairer Ă  quelque chose.
Que dirais-tu d'une bonne tasse de cafĂ© ? Demanda Parker en sortant deux tasses de la cuisine, ses yeux pĂ©tillants d’une lueur complice.
Volontiers, merci, Répondit Mulder, un sourire aux lÚvres, se réjouissant de ce moment partagé.
Alors qu’elle prĂ©parait les boissons, Parker ne pu s’empĂȘcher de repenser Ă  leur conversation. Elle se demandait si elle avait bien fait de l’inviter Ă  rester. Ses sentiments pour lui Ă©taient de plus en plus confus, et elle redoutait de franchir une ligne invisible qui pourrait tout changer entre eux.
Mulder, de son cĂŽtĂ©, se sentait nerveux. Il repensait Ă  cette soirĂ©e qu'ils avait passĂ© ensemble. Il ne put s'empĂȘcher de se demander ce que Parker avait en tĂȘte cette fois. MĂȘme si au fond, il connaissait la rĂ©ponse et cette idĂ©e lui faisait un peu peur. Il ne voulait pas perdre son amitiĂ©. Mais il savait aussi que cette ambiguĂŻtĂ© entre eux n’était pas simplement un jeu, mais plutĂŽt le prĂ©lude Ă  quelque chose de plus profond et inĂ©vitable.
Parker revenu avec les tasses de café pour se joindre à ses cÎtés sur le canapé. Ils sirotÚrent en silence pendant un moment, chacun perdu dans ses pensées. Finalement, Mulder prit une profonde inspiration et décida de briser le silence :
Il est bon ce café. Dit-il poliment, tentant d'entamer la conversation avec elle.
Parker eut un petit sourire moqueur et répondit :
D'accord. Ça va ? Tu ne me sembles pas trĂšs Ă  l'aise. Ce n'est que moi, dĂ©tends-toi.
Mulder ria bĂȘtement en se massant nerveusement la nuque, visiblement embarrassĂ©. Parker, un peu agacĂ©, tenta de dĂ©tendre l'atmosphĂšre en disant :
Tu sais, tu n'es pas obligĂ© de prendre au premier degrĂ© ce que j'ai dit tout Ă  l'heure. Dit-elle lui jetant un clin d’Ɠil, un sourire espiĂšgle aux lĂšvres.
Mulder, un sourire timide aux lÚvres répondit, cherchant ses mots :
C'est toi qui vois. Dit-il sur le ton de la plaisanterie.
D'ailleurs en parlant de ça, je crois que je ne vais pas tarder à piquer du nez. Avoua-t-il à son amie avec un sourire maladroit, espérant que l'humour masquerait son embarras.
Parker le regarda, un éclat complice dans les yeux, et répondit simplement :
D'accord, vas y je te rejoins je vais prendre une douche.
Elle se leva avec une Ă©lĂ©gance naturelle, se dirigeant vers la salle de bain. Mulder la suivit du regard, son cƓur battant la chamade, conscient que chaque seconde qui passait le rapprochait d’une dĂ©cision qu’il Ă©tait prĂȘt Ă  prendre. Il se sentait tiraillĂ© entre l’angoisse et l’excitation, mais une chose Ă©tait certaine : il voulait que cette soirĂ©e les rapproche encore un peu plus.
Il mit un certain temps Ă  trouver le courage de s'installer dans la chambre de la jeune femme. Bien qu'ils Ă©taient devenus proches, l'idĂ©e de franchir cette nouvelle Ă©tape dans leur relation le rendait hĂ©sitant. Il se sentait comme piĂ©gĂ© entre ses dĂ©sirs et ses peurs. Il tenta de chasser cette stupide pensĂ©e de son esprit afin de se dĂ©tendre un peu. Il ne voulait pas gĂącher ce moment d'intimitĂ© avec elle. Peut-ĂȘtre avait-il peur de ne pas ĂȘtre Ă  la hauteur, de ne pas savoir quoi dire ou comment agir dans une situation si dĂ©licate. Pourtant, une partie de lui se disait qu'il devrait se sentir chanceux d'avoir pu en arriver lĂ . AprĂšs tout, il Ă©tait lĂ , dans sa chambre, un endroit qu'il avait imaginĂ© des centaines de fois, mais jamais comme ça. Les battements de son cƓur s'affolĂšrent tandis qu'il s'installait confortablement dans ses draps. Parker entra dans la piĂšce, ses cheveux encore humides embaumant l'air d'un parfum de shampoing floral. Elle portait la mĂȘme nuisette en satin que la nuit derniĂšre et Mulder ne pouvait dĂ©tacher ses yeux d’elle, se perdant dans la sensualitĂ© de la tenue qui soulignait son charme naturel. Son cƓur s'emballa une fois de plus, son esprit oscillant entre admiration et apprĂ©hension. La jeune femme Ă©tait consciente de l'effet qu'elle avait sur lui. Elle avait perçu l'intensitĂ© dans ses yeux, le rythme prĂ©cipitĂ© de sa respiration. Chaque dĂ©tail avait Ă©tĂ© soigneusement choisi pour lui faire comprendre qu'elle savait exactement ce qu'elle faisait. Parker semblait vouloir le tester, bousculer un peu les choses entre eux, et peut-ĂȘtre, espĂ©rait-elle, briser les barriĂšres qui les sĂ©paraient encore. La chambre Ă©tait imprĂ©gnĂ©e d'une tension palpable, chaque geste de Parker soigneusement orchestrĂ© pour provoquer une rĂ©action.
Elle s’approcha de lui avec une grĂące naturelle, un sourire malicieux en coin. En le fixant de ses yeux clairs, mĂȘlant curiositĂ© et provocation, elle murmura :
Alors c'est confortable ? Demanda-t-elle à son amie, en le fixant intensément.
C'est parfait. RĂ©pondit-il en la dĂ©shabillant du regard, un sourire en coin. Parker, se sentant frissonner sous l’intensitĂ© de son regard, sentit une chaleur monter en elle. Elle tenta de garder le contrĂŽle de ses Ă©motions, serrant les poings pour se donner du courage.
La tension entre eux Ă©tait Ă©lectrique, chaque mouvement et chaque mot chargeant l'air d'une sensualitĂ© palpable. Mulder se battait contre une vague de frustration, ses pensĂ©es embrouillĂ©es par l'intensitĂ© de la situation. Parker Ă©tait lĂ , Ă  la fois provocante et dĂ©sespĂ©rĂ©ment attirante, et il sentait son cƓur tambouriner dans sa poitrine.
Parker, elle aussi, luttait contre ses émotions. Elle avait l'impression que chaque regard échangé était une bataille, une danse entre leur désir et leurs réticences. Elle inspira profondément, tentant de se calmer, mais ses mots précédents avaient déjà ouvert la porte à une confrontation inévitable.
C'est tout ce que tu trouves à dire ? Demanda Parker, sa voix teintée de sarcasme.
"C'est parfait ?" Vraiment ? J’attendais plus que ça venant de toi, beaucoup plus.
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drchristophedelongsblog · 3 months ago
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Les voies du cerveau : une autoroute de l'information
Comprendre le réseau neuronal
Le cerveau, véritable chef d'orchestre de notre organisme, est un réseau complexe de milliards de neurones interconnectés. Ces neurones communiquent entre eux grùce à des voies spécialisées, appelées voies nerveuses. Ces voies sont essentielles pour transmettre l'information sensorielle, motrice et cognitive à travers tout le corps.
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Les principales voies du cerveau
1. La voie pyramidale
RÎle: La voie pyramidale est principalement responsable du contrÎle volontaire des mouvements. Elle relie le cortex moteur primaire aux motoneurones de la moelle épiniÚre, permettant ainsi d'initier et de contrÎler les mouvements précis des muscles squelettiques.
Composantes: Elle comprend le faisceau corticospinal et le faisceau corticobulbaire.
Fonctionnement: Les signaux nerveux issus du cortex moteur descendent le long de cette voie pour activer les muscles concernés.
2. Les voies de la sensibilité
RĂŽle: Ces voies transmettent les informations sensorielles du corps vers le cerveau.
Types de sensibilité:
Sensibilité tactile: Permet de percevoir le toucher, la pression et la vibration.
Sensibilité thermique: Permet de percevoir le chaud et le froid.
Sensibilité profonde: Permet de percevoir la position des membres dans l'espace (proprioception) et les mouvements articulaires.
Sensibilité douloureuse: Permet de percevoir la douleur.
Parcours: Les informations sensorielles sont transmises par les nerfs périphériques jusqu'à la moelle épiniÚre, puis remontent vers le cerveau via différentes voies ascendantes.
3. Les voies sensorielles spécifiques
Voie visuelle: Transmet l'information visuelle de la rétine au lobe occipital.
Voie auditive: Transmet l'information auditive de l'oreille interne au lobe temporal.
Voie olfactive: Transmet l'information olfactive des récepteurs olfactifs au bulbe olfactif.
Voie gustative: Transmet l'information gustative des papilles gustatives au cortex gustatif.
4. La voie de la proprioception
RĂŽle: La proprioception est le sens qui nous permet de connaĂźtre la position de notre corps dans l'espace.
Fonctionnement: Les récepteurs proprioceptifs situés dans les muscles, les tendons et les articulations envoient en permanence des informations au cerveau sur l'état de contraction des muscles, l'angle des articulations et la position des membres.
Importance: La proprioception est essentielle pour la coordination des mouvements, l'Ă©quilibre et la posture.
Troubles liés aux voies nerveuses
Des lésions ou des dysfonctionnements au niveau de ces voies peuvent entraßner divers troubles neurologiques, tels que :
Hémiplégie: Paralysie d'un cÎté du corps.
Paresthésie: Sensation d'engourdissement ou de picotements.
Ataxie: Perte de coordination des mouvements.
Cécité: Perte de la vision.
Surdité: Perte de l'audition.
En conclusion
Les voies du cerveau sont des réseaux complexes qui assurent la communication entre le cerveau et le corps. Comprendre leur fonctionnement est essentiel pour appréhender les mécanismes sous-jacents à de nombreux processus physiologiques et pathologiques.
Aller plus loin
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charlastorfrenchlove · 3 months ago
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M'as tu piégés Princesse ? Chapitre 6
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Chapitre 6: Un marché est un marché aprÚs tout
Finalement Charlie se rĂ©signa Ă  attendre le lendemain pour parler de son idĂ©e Ă  sa compagne n'ayant pas trouver le courage de lui dire car elle savait trĂšs bien que l'Ă©quilibre de son couple Ă©tait encore bien prĂ©caire et elle craignait une nouvelle dispute .Mais bon ce n'est pas une dĂ©cision qu'elle pouvait prendre sans demander son avis car aprĂšs tout toutes les deux formait une Ă©quipe depuis trois ans .Enfin si on peut vraiment qualifier un couple d'Ă©quipe . C'est donc aprĂšs un bon dĂ©jeuner concoctĂ© par Lucifer lui-mĂȘme , que ce dernier avait de nouveau rĂ©galĂ© tout le monde avec ses dĂ©licieux pancakes . La blonde lance donc un petit regard Ă  sa compagne pour lui faire comprendre qu'elles doivent toutes les deux discuter . Charlie se lĂšve lui faisant signe de la suivre de ce fait l'ancienne exorciste la suit sans trop se poser de question , pour le moment le stresse de la princesse Ă©tait palpable .Une fois qu'elles furent suffisamment Ă©loignĂ©es de la salle Ă  manger Charlie prit donc une profonde inspiration pour se donner du courage . Elle joue nerveusement avec ses doigts craignant le pire car mĂȘme le fait que l'autre soir , le fait qu'elle est une une longue conversation avec Alastor la princesse n'en a pas fait part Ă  sa compagne . De ce fait pour cela elle se sent un peu honteuse car elle n'avait pas de rĂ©elle raison de le cacher , c'Ă©tait juste une discussion comme pourrait avoir entre deux simples amis.
-Vaggie hier j'ai pris la dĂ©cision d'aller me soulager de mon contrat que j'ai avec Alastor , d'une part le fait que je lui dois quelque chose me pĂšse beaucoup sur la conscience et puis l'autre soir il a su m'Ă©couter sans la moindre once de jugement . J'aimerai le remercier et si par la mĂȘme occasion je peux me dĂ©barrasser de cet engagement je me sentirais beaucoup mieux * fit la princesse un peu hĂ©sitante*
L'ange fronce les sourcil , bien évidemment cette derniÚre n'était pas au courant de cela et elle ne pouvait que s'imaginer le pire tout simplement parce que sa compagne lui avait caché cela . Elle serre les poings mais tente de garder son calme , Charlie pouvait sentir son irritation chose qui fit monter un peu plus son stress mais bon elle s'y attendait un peu que ce ne soit pas réellement appréciée par l'ancienne exorciste
-Tu n'as pas jugĂ©s bon de m'en parler , on parle d'Alastor quand mĂȘme si il est venu te parler c'est parce qu'il a eut une idĂ©e derriĂšre la tĂȘte * fit Vaggie*
-Pourquoi tu vois toujours le mal ? Il n'a quasi pas parler il a surtout Ă©couter puis c'est trop tard j'ai un engagement envers lui* rappelle la princesse*
-Je suis contre que tu ailles directement lui demander , si ça se trouve il a oublier votre petit contrat autant ne pas lui raviver la mémoire * déclare la ange*
Charlie lĂšve un sourcil voyant bien l'absurditĂ© de sa compagne , elle sait trĂšs bien qu'Alastor n'est pas le genre de dĂ©mon Ă  oublier ce genre de dĂ©tail .Surtout quand ça va dans son sens , Vaggie lui lance un regard suppliant de renoncer mais trop tard . La princesse Ă©tait quand mĂȘme assez tĂȘtue comme son pĂšre .
-Tu n'es pas sĂ©rieuse quand tu dis ça , tu sais comme moi que c'est impossible qu'il est oubliĂ© un truc comme ça . Je suis juste venue t'en avertir mais mĂȘme si je change d'avis je lui serai toujours redevable .Puis si j'ai cette dette lĂ  c'est bien ta faute , si tu nous en aurait parlĂ© depuis le dĂ©but je serais pas dans cette situation aujour'hui * rappelle Charlie*
La remarque de la princesse lui fit mal mais elle avait raison malheureusement , de ce fait la femme doit s'incliner sur ce point là mais elle avait bien trop de méfiance envers l'homme en rouge pour laisser Charlie risquer de perdre son ùme.
-Tu as raison mais c'est mesquin de remettre ça sur le tapis on a dit qu'on en parlait plus * fit remarquer Vaggie *
-Oui mais bon tu ne veux pas entendre raison comme quoi j'ai une obligation avec lui , je n'ai pas eut d'autre choix * répond froidement la princesse*
-Je...je suis désolée pour ça , c'est vrai * s'excuse l'ange semblant baisser les armes*
Charlie la regarde froidement , étant lassé des excuses qu'elle pouvait lui présenter. Tout ce qu'elle voulait entendre venant d'elle concernant cette histoire c'est pourquoi elle a caché la vérité . Les excuses passent seulement accompagnées de leurs explications sinon ces derniÚres sont vides de sens et ont peu de valeur . C'est donc sans un mot que la princesse s'éloigne donc de sa compagne.
....
L'une des ombres d'Alastor avait tout vu et tout entendu de la conversation des deux femmes et cette derniĂšre jubilait de la tournure que prenait les choses c'est-Ă -dire en faveurs de son maĂźtre. Ca allait grandement lui faciliter la tĂąche que les deux filles se prennent la tĂȘte comme ça et dire qu'au dĂ©but tout le monde avait cru que la princesse avait mis cette histoire de cĂŽtĂ© on dirait bien que non. Elle est plus susceptible qu'il n'y paraĂźt la princesse .
De ce fait la crĂ©ature infernale vient en prĂ©venir son maĂźtre aprĂšs tout se serait le moment pour lui de lui faire sa demande concernant le stupide marchĂ© Ă  moins qu'il ne le dĂ©sire de le garder pour plus tard mais ce serait stupide de ne pas profiter du moment qu'elle semble ĂȘtre bien disposĂ©e . L'ombre dĂ©crit donc toute la scĂšne dans les moindres dĂ©tails , Alastor en sourit tout Ă  fait ravi et le trait de caractĂšre de la princesse semble lui plaire lui prouvant qu'elle pouvait ne pas ĂȘtre que cruche.
-Tu as fait de l'excellent travail je suis fier de toi , tu peux donc disposer * déclare le cerf*
"-Merci beaucoup maĂźtre ce fut un pur rĂ©gale d'Ă©pier cette scĂšne de mĂ©nage et tout cela part car vous vous ĂȘtes montrĂ© gentil avec elle "* fit remarquer l'ombre*
Oui , la princesse n'était pas totalement cruche mais assez pour croire qu'il avait fait vraiment preuve de bonté ce soir . Il voulait juste se satisfaire de la tristesse de la blonde rien de plus, bien qu'en apparence il avait tout l'air de l'ami qui était là pour entendre .En somme c'est ce qu'elle a voulu voir en lui rien de plus .
Il se lÚve et part donc à la rencontre de sa proie , le seigneur sûpréme va devoir savoir rester le plus naturel possible face à la femme. Au bout de quelques minutes de recherche il tomba par " hasard " face à la princesse de l'enfer , cette derniÚre en le voyant lùche un soupir de soulagement comme si elle le cherchait depuis un bon moment déjà. Le cerf savait que c'était effectivement le cas mais il fit mine de rien .
-Oh bonjour ma chÚre Charlie qu'est ce que tu cherches comme ça ? * demande -t-il innocemment *
-Toi je voudrais te parler , je voudrais te remercier pour l'autre jour et je pense qu'il est grand tant de parler de notre accord passé . Tu sais celui du mois dernier * rappelle -t-elle*
Son sourire s'Ă©largit encore plus , on y Ă©tait enfin .
-Oui je m'en souviens trÚs bien pourquoi il a un problÚme ? *voulu s'assurer le démon de la radio*
-Si tu as une idée demande moi tout ce que tu veux , je le ferais * déclare Charlie sans la moindre once d'hésitation *
Nous y voila enfin , Alastor ne pouvait plus attendre plus longtemps . Bien qu'Ă  l'origine l'existence mĂȘme de ce marchĂ© Ă©tait lĂ  pour une tout autre demande , poussĂ© par la curiositĂ© de ses sentiments il dĂ©cida de changer sa demande. Ainsi il n'aurait plus besoin de suivre le conseil de Rosie et de se montrer patient, c'est tout bĂ©nĂ©f pour lui.
-TrÚs bien tu l'auras voulu Charlie , devient mienne * demande -t-il sur un ton des plus sérieux*
.....
Note de l'auteur: Oui j'arrĂȘte au pire moment du chapitre !! XD
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usudpatechecklio12 · 7 months ago
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Thérapie au laser pour les addictions : Une approche novatrice
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La thĂ©rapie au laser pour les addictions est une mĂ©thode Ă©mergente qui suscite de plus en plus d'intĂ©rĂȘt pour aider les personnes Ă  surmonter leurs dĂ©pendances. Cette technique innovante utilise la lumiĂšre laser pour cibler des points prĂ©cis du corps, dans le but de rĂ©duire les symptĂŽmes de sevrage et de diminuer les envies de consommer. Mais comment fonctionne-t-elle rĂ©ellement, et quels sont ses avantages et ses limites ?
Principe de la thérapie au laser pour les addictions
La thérapie au laser pour les addictions est inspirée de l'acupuncture, mais au lieu d'utiliser des aiguilles, elle emploie un laser de faible intensité. Ce laser est appliqué sur des points spécifiques du corps, généralement situés sur les oreilles, le visage, les mains, et les pieds. Ces points sont associés aux voies nerveuses qui influencent les comportements addictifs.
Le laser stimule ces points, provoquant une libĂ©ration accrue d'endorphines, les hormones du bien-ĂȘtre. Cette augmentation des endorphines peut aider Ă  rĂ©duire les envies de substances addictives et Ă  attĂ©nuer les symptĂŽmes de sevrage, comme l'anxiĂ©tĂ© et l'irritabilitĂ©. En agissant sur les neurotransmetteurs du cerveau, la thĂ©rapie au laser pour les addictions vise Ă©galement Ă  rĂ©tablir un Ă©quilibre Ă©motionnel, ce qui est crucial dans la lutte contre les dĂ©pendances.
Avantages de la thérapie au laser
L'un des principaux avantages de la thérapie au laser pour les addictions est qu'elle est non invasive et indolore. Contrairement à d'autres traitements, elle ne nécessite pas de médicaments ou d'interventions chirurgicales, ce qui la rend plus accessible et moins contraignante pour les patients.
Les séances de thérapie sont généralement courtes, durant environ 30 minutes, et les patients peuvent ressentir une sensation de relaxation immédiate. De plus, la thérapie au laser est souvent utilisée en complément d'autres méthodes de traitement, comme la thérapie cognitivo-comportementale ou les groupes de soutien. Cela permet d'offrir une approche plus holistique et personnalisée pour chaque individu.
Autre avantage notable, la thérapie au laser pour les addictions a peu ou pas d'effets secondaires. Les patients peuvent reprendre leurs activités normales immédiatement aprÚs une séance, sans aucun inconfort notable.
Limites de la thérapie au laser
Malgré ses nombreux avantages, la thérapie au laser pour les addictions n'est pas sans limites. L'un des principaux inconvénients est le manque de preuves scientifiques robustes qui confirment son efficacité à long terme. Bien que de nombreux patients rapportent des résultats positifs, les études sur le sujet sont encore limitées, et davantage de recherches sont nécessaires pour valider cette méthode.
De plus, le coĂ»t des sĂ©ances peut ĂȘtre Ă©levĂ©, et plusieurs sĂ©ances sont souvent nĂ©cessaires pour obtenir des rĂ©sultats durables. Il est Ă©galement important de noter que cette thĂ©rapie ne doit pas ĂȘtre utilisĂ©e comme une solution unique, mais plutĂŽt comme une partie d'un plan de traitement global.
Conclusion
La thĂ©rapie au laser pour les addictions  reprĂ©sente une approche prometteuse pour ceux qui cherchent Ă  se libĂ©rer de leurs dĂ©pendances. Bien qu'elle offre de nombreux avantages, elle doit ĂȘtre considĂ©rĂ©e comme un complĂ©ment Ă  d'autres formes de traitement. Comme pour toute mĂ©thode thĂ©rapeutique, il est essentiel de consulter un professionnel de la santĂ© pour dĂ©terminer si cette approche convient Ă  la situation individuelle du patient.
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lilydaffodilx · 7 months ago
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**L'Airbnb des Bois**
Émilie et Maxime, un couple de trentenaires en quĂȘte d’aventure, avaient dĂ©cidĂ© de s’offrir une escapade romantique pour s’éloigner du tumulte de la ville. Émilie avait trouvĂ© un Airbnb parfait : un chalet isolĂ© au milieu des bois, promettant paix et tranquillitĂ©. Les photos montraient une charmante maison en bois entourĂ©e de forĂȘt, idĂ©ale pour se dĂ©tendre.
AprĂšs quelques heures de route, ils arrivĂšrent au bout d’un chemin de terre qui semblait s’enfoncer Ă  jamais dans les bois. Le GPS les avait abandonnĂ©s il y a bien longtemps, mais ils avaient fini par trouver leur destination. Le chalet, bien que pittoresque, semblait vieux et un peu dĂ©labrĂ©. Émilie et Maxime, nĂ©anmoins, Ă©taient ravis.
« On dirait que c’est encore plus authentique que sur les photos », plaisanta Maxime en descendant de la voiture.
« Oui, je trouve que ça a son charme », rĂ©pondit Émilie, mĂȘme si une vague d’inquiĂ©tude la traversa briĂšvement. Elle haussa les Ă©paules et attribua ce malaise au fait d’ĂȘtre si loin de tout.
Ils dĂ©ballĂšrent leurs affaires et entrĂšrent dans le chalet. À l'intĂ©rieur, la dĂ©coration Ă©tait rustique mais confortable, bien que recouverte de poussiĂšre et d’une odeur de renfermĂ©. Maxime alluma un feu dans la cheminĂ©e pour rĂ©chauffer la piĂšce tandis qu’Émilie explorait les lieux. En montant Ă  l’étage, elle remarqua une petite porte fermĂ©e Ă  clĂ©, mais n’y prĂȘta pas attention. Le reste du chalet Ă©tait assez ordinaire, et ils dĂ©cidĂšrent de s’installer pour la soirĂ©e.
AprĂšs avoir dĂźnĂ©, ils s’assirent prĂšs du feu avec une bouteille de vin. Dehors, la nuit Ă©tait tombĂ©e rapidement, et le silence des bois Ă©tait oppressant. Seul le craquement du feu et le hululement occasionnel d’une chouette brisaient la quiĂ©tude.
« C’est vraiment tranquille ici », dit Maxime, brisant le silence.
« Oui, c’est presque trop calme », rĂ©pondit Émilie en souriant nerveusement. « Mais ça fait du bien d’échapper Ă  la ville. »
Vers minuit, alors qu’ils se prĂ©paraient Ă  aller se coucher, ils entendirent un bruit sourd provenant de l’extĂ©rieur, comme si quelque chose ou quelqu’un avait frappĂ© contre le mur du chalet. Ils se regardĂšrent, surpris.
« Tu as entendu ça ? » demanda Émilie, son cƓur battant plus vite.
« Probablement un animal », répondit Maxime en essayant de se montrer rassurant, mais il ne pouvait cacher son inquiétude.
Ils restĂšrent immobiles, Ă©coutant attentivement. Puis un autre bruit, plus fort cette fois, retentit, suivi de murmures Ă©touffĂ©s. Cela semblait provenir de la forĂȘt environnante. Émilie se rapprocha de Maxime, ses mains tremblantes.
« On devrait peut-ĂȘtre aller voir », dit Maxime Ă  contrecƓur. Il prit une lampe torche et sortit prudemment, Émilie sur ses talons.
Dehors, la nuit Ă©tait noire comme du charbon. Maxime balaya la forĂȘt avec la lampe torche, mais tout semblait normal. Ils firent quelques pas en avant, scrutant les arbres, mais ne virent rien d’inhabituel.
« C’était peut-ĂȘtre juste le vent », murmura Maxime.
Soudain, des chants Ă©tranges montĂšrent du sous-bois, un murmure guttural et rythmique, comme une priĂšre chuchotĂ©e. Ils tournĂšrent la tĂȘte vers la source du bruit et virent des lueurs de torches au loin, se dĂ©plaçant lentement entre les arbres.
« Qu’est-ce que c’est que ça ? » murmura Émilie, les yeux Ă©carquillĂ©s.
« Je ne sais pas, mais ça ne me dit rien qui vaille », rĂ©pondit Maxime. « Rentrons Ă  l’intĂ©rieur. »
Ils retournĂšrent prĂ©cipitamment au chalet, fermant la porte derriĂšre eux et verrouillant toutes les fenĂȘtres. Les chants Ă©tranges se rapprochaient, devenant plus clairs, et Émilie put entendre des mots indistincts dans une langue inconnue.
Le couple resta silencieux, tendu, Ă©coutant les bruits de l’extĂ©rieur. AprĂšs quelques minutes qui semblĂšrent durer des heures, les chants cessĂšrent soudainement, laissant place Ă  un silence lourd et menaçant. Puis, des coups frappĂ©s Ă  la porte les firent sursauter.
Maxime saisit un tisonnier de la cheminĂ©e, sa main tremblant de peur. « Qui est lĂ  ? » cria-t-il, sa voix pleine d’inquiĂ©tude.
Aucune réponse. Juste le silence.
Puis, une voix grave et autoritaire s’éleva de l’autre cĂŽtĂ© de la porte : « Ouvrez, nous savons que vous ĂȘtes lĂ . »
Émilie agrippa le bras de Maxime, terrifiĂ©e. « Ne fais pas ça ! »
Mais Maxime, dĂ©terminĂ© Ă  protĂ©ger Émilie, ouvrit la porte d’un coup sec. Devant eux se tenait un groupe d’hommes et de femmes, vĂȘtus de robes noires, les visages cachĂ©s sous des capuches. Ils tenaient des torches et avaient une expression froide et inexpressive.
« Que faites-vous ici ? » demanda Maxime, tentant de masquer sa peur.
L’un des hommes, apparemment le chef, s’avança. « Ce chalet est sur notre terre sacrĂ©e. Vous n’auriez jamais dĂ» venir ici. »
Émilie et Maxime Ă©changĂšrent un regard paniquĂ©. « Nous ne savions pas, on va partir tout de suite ! » dit Émilie d’une voix tremblante.
Le chef secoua la tĂȘte lentement. « Il est trop tard. Vous avez perturbĂ© notre rituel. »
Avant qu’ils ne puissent rĂ©agir, les membres de la secte les saisirent, les traĂźnant hors du chalet. Émilie et Maxime se dĂ©battirent, criant et suppliant, mais leurs ravisseurs Ă©taient implacables. Ils les emmenĂšrent plus profondĂ©ment dans les bois, jusqu’à une clairiĂšre oĂč un grand feu brĂ»lait, entourĂ© d’un cercle de pierres.
Au centre du cercle, une grande croix de bois avait Ă©tĂ© Ă©rigĂ©e, et des symboles Ă©tranges Ă©taient gravĂ©s dans le sol autour. Les membres de la secte commencĂšrent Ă  chanter Ă  nouveau, un chant sourd et menaçant qui semblait rĂ©sonner dans toute la forĂȘt.
Maxime et Émilie furent attachĂ©s Ă  la croix, leurs cris Ă©touffĂ©s par les chants envoĂ»tants. Le chef de la secte s’avança, portant un couteau cĂ©rĂ©monial, et commença Ă  rĂ©citer une incantation dans la langue ancienne et gutturale qu’ils avaient entendue plus tĂŽt.
Le couteau s’éleva lentement dans l’air, reflĂ©tant la lumiĂšre des flammes. Émilie pleurait, ses larmes coulant silencieusement le long de ses joues. « S’il vous plaĂźt, laissez-nous partir ! » supplia-t-elle, mais sa voix se perdit dans les chants.
Alors que la lame descendait, Maxime ferma les yeux, murmurant un dernier « Je t’aime » Ă  Émilie.
Le silence retomba brutalement sur la forĂȘt lorsque le cri final d’Émilie et Maxime s’éteignit dans la nuit. Les membres de la secte se dispersĂšrent silencieusement, laissant derriĂšre eux les corps sans vie des deux amoureux.
Le lendemain, le propriĂ©taire du chalet reçut un appel d’un nouveau locataire, se plaignant que la maison Ă©tait « dans un Ă©tat Ă©pouvantable, comme si personne ne l’avait nettoyĂ©e depuis des mois ». Quand les autoritĂ©s arrivĂšrent, elles ne trouvĂšrent rien d’autre que du sang sĂ©chĂ© et des symboles Ă©tranges gravĂ©s dans les murs.
Émilie et Maxime avaient disparu sans laisser de trace. Leurs affaires personnelles Ă©taient restĂ©es dans le chalet, mais de leur prĂ©sence, il ne restait plus rien. Dans les semaines qui suivirent, des rumeurs circulĂšrent sur un groupe mystĂ©rieux vivant dans les bois, et le chalet fut retirĂ© du site de location, laissant place Ă  une lĂ©gende sombre et oubliĂ©e des bois maudits.
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marie-swriting · 2 years ago
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AprÚs Tant D'années - Emily Prentiss
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Masterlist
RĂ©sumĂ© : quand tu reçois un appel de l'hĂŽpital t'informant qu'Emily a Ă©tĂ© blessĂ©e, tu abandonnes tout pour la retrouver, mĂȘme si ça signifie la revoir pour la premiĂšre fois depuis dix ans.
Warnings : mention d'Emily qui se fait battre et tirer dessus, un tout petit peu d'angst, fluff, fin heureuse, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 3.1k
Version anglaise
Prompt utilisĂ© : "They haven’t seen each other in a long time, but Person A realizes they are still Person B’s emergency contact, when they get a call from the hospital." (Iels ne sont pas vu.e.s depuis un long moment, mais personne A rĂ©alise qu'iel est toujours le numĂ©ro d'urgence de personne B quand iel reçoit un appel de l'hĂŽpital.) numĂ©ro 3, de cette prompt list faite par @creativepromptsforwriting
Ton tĂ©lĂ©phone sonne alors que tu es en train de marcher vers ta voiture. Instinctivement, tu fouilles dans ton sac avant de dĂ©crocher sans regarder qui t’appelle. Quand tu entends une voix inconnue te rĂ©pondre, tu arrĂȘtes tout mouvement lui donnant toute ton attention.
-Bonjour, c’est l’hĂŽpital, est-ce bien Y/N Y/L/N, le numĂ©ro d’urgence d’Emily Prentiss ? 
-Oui, c’est moi. Qu’est-ce qui lui est arrivĂ© ? questionne-tu, la panique perceptible dans ta voix. 
-Madame Prentiss a reçu de nombreux coups et on lui a Ă©galement tirĂ© dessus. Heureusement, elle a Ă©tĂ© prise en charge Ă  temps, mais elle doit rester Ă  l’hĂŽpital cette nuit en observation, t’informe la femme et tu pousses un rapide soupir de soulagement.
-TrĂšs bien, merci de m’avoir prĂ©venue. Je serai lĂ  dans une trentaine de minutes.
Tu raccroches et cours jusqu’à ton vĂ©hicule. Tu jettes ton sac sur la place passager et conduis sans attendre. À un feu, tu appelles ton boulot pour expliquer ton absence. Tu essayes de conduire prudemment tout en te rendant aussi vite que possible Ă  l’hĂŽpital. 
Quand tu arrives, tu te gares Ă  la premiĂšre place avant de te prĂ©cipiter jusqu’à l’accueil. Tu dĂ©clines ton identitĂ© et la femme t’indique dans quelle chambre se trouve Emily. Tu la remercies et reprends ta course jusqu’au troisiĂšme Ă©tage. Dans l'ascenseur, tu t’autorises enfin Ă  calmer ta respiration. MĂȘme si l’infirmiĂšre t’a assurĂ© qu’Emily n’était pas en danger de mort, tu ne peux empĂȘcher l’anxiĂ©tĂ© de te ronger de l’intĂ©rieur. À cette peur s'ajoute le fait que tu vas revoir Emily pour la premiĂšre fois depuis dix ans. MĂȘme si votre sĂ©paration s’était faite d’un commun accord, tu angoisses Ă  l’idĂ©e de te retrouver dans la mĂȘme piĂšce qu’elle. Elle compte pour toi. Tu savais que le jour de votre sĂ©paration ne serait pas la derniĂšre fois que tu la verrais, mais tu n’imaginais pas que vous vous retrouveriez car Emily serait Ă  l’hĂŽpital. 
L’ascenseur ouvrant ses portes, tu trottines en regardant chaque numĂ©ro de chambre jusqu’à trouver le 327. Tu frappes lĂ©gĂšrement Ă  la porte et la voix d’Emily t’invite Ă  entrer. Quand elle te voit, ses sourcils se froncent.
-Y/N, qu’est-ce que tu fais ici ?
-Apparemment, je suis toujours ton numĂ©ro d’urgence, rĂ©ponds-tu en rigolant nerveusement. 
-Oh
 euh, dĂ©solĂ©e, je ne pensais pas qu’ils allaient t’appeler alors que tu Ă©tais probablement au travail, s’excuse Emily en essayant de remettre ses cheveux en place.
-Ne t’en fais pas, ils m’ont appelĂ© avant donc j’ai pu venir ici rapidement. Emily, j’ai eu si peur quand j’ai eu l’appel, avoues-tu en te rapprochant d’elle. Tu vas bien ? Tu as mal quelque part ?
-Ils m’ont donnĂ© des anti-douleurs alors ça va, te rassure-t-elle avant de montrer la chaise Ă  cĂŽtĂ© du lit, assieds-toi, je t’en prie.
-Merci. 
Une fois installĂ©e, tu poses ton regard sur Emily. Tu ne tentes mĂȘme pas de cacher ton inquiĂ©tude alors que tu cherches les diffĂ©rentes blessures sur son corps. Tu vois les diffĂ©rents hĂ©matomes sur son visage et son bras gauche est dans une Ă©charpe d’immobilisation. MĂȘme si elle est en vie face Ă  toi, tu ne peux Ă©viter d’imaginer ce qui aurait pu arriver si elle n’avait pas eu autant de chance. Perdue dans tes pensĂ©es alors que tes yeux sont toujours sur ses blessures, les peurs que tu avais autrefois concernant son mĂ©tier se font de plus en plus fortes. Tu te rappelles Ă©galement pourquoi tu n’aimais pas son mĂ©tier quand vous Ă©tiez ensemble. 
-Tu peux arrĂȘter d’y penser et le dire, tu sais. Tu veux que je dĂ©missionne, dĂ©clare Emily, te sortant de tes pensĂ©es. 
-Tu aimes ton job et on n’est plus ensemble, je suis personne pour te le dire.
-Mais tu le voudrais.
Le regard d’Emily te fait comprendre qu’elle ne te croit pas. Tu ne tentes pas de nier plus et Ă©vites ses yeux pendant une seconde avant de la regarder Ă  nouveau.
-Je veux juste que tu sois en sĂ©curitĂ©, prĂ©cises-tu avant de marquer une pause. Et puis mĂȘme si je le voulais, je ne te pousserais pas Ă  dĂ©missionner. Je sais Ă  quel point ce travail est important pour toi, mĂȘme s’il peut ĂȘtre dangereux. Tu aides aussi Ă  mettres derriĂšres les barreaux des meurtriers et sauves des vies, ça serait idiot de te dire d’arrĂȘter. Mais je dois avouer que je serais rassurĂ©e si ton job n’impliquait pas des balles et des tueurs.
-Si seulement c’était possible ! s’exclame-t-elle en s’esclaffant. 
-Le fait est que peu importe ce que je pense, tu tiens à ce que tu fais, c’est le plus important pour moi
, poursuis-tu en serrant sa main, juste, fais plus attention la prochaine fois. Je ne veux pas avoir un autre appel du genre de sitît. 
-Je ferais de mon mieux, te promet Emily avec un sourire. DĂ©solĂ©e de t’avoir fait peur.
-Tu vas bien, c’est ce qui compte. Dis-moi si tu as besoin de quelque chose, dis-tu et tu vois les yeux d’Emily s’illuminer. 
-LĂ , tout de suite, j’aurais besoin de tes dĂ©licieux cookies.
-Dommage pour toi, je n’en n’ai pas, informes-tu en rigolant et elle fait semblant de bouder. Je n’avais pas vraiment prĂ©vu qu’on se revoie aujourd’hui car tu te serais blessĂ©e. Mais je peux toujours aller Ă  la cafĂ©tĂ©ria t’en acheter et demain, je peux en faire et aprĂšs que tu sois rentrĂ©e chez toi, je peux te les amener. 
-Tu es la meilleure, s’exclame Emily. 
Tu serres lĂ©gĂšrement sa main avant de prendre ton porte-monnaie et d’aller acheter les cookies. Quand tu retournes dans sa chambre, elle tend son bras valide vers toi avec un grand sourire. Tu lui donnes les cookies et Emily commence Ă  les dĂ©guster sans attendre. Elle t’en donne quelques-uns que tu acceptes avec joie. Pendant que vous mangez vos gĂąteaux, vous parlez, rattrapant rapidement le temps perdu. À certains moments, vous rigolez et tu as l’impression que vous n’avez jamais Ă©tĂ© sĂ©parĂ©es. Votre discussion semble si naturelle tout comme le sourire sur ton visage. MalgrĂ© la raison de vos retrouvailles, tu n'as pas Ă©tĂ© aussi heureuse depuis dix ans.
Quand le soleil commence Ă  se coucher, une infirmiĂšre frappe Ă  la porte. Elle vĂ©rifie rapidement qu’Emily va bien avant de t’informer que tu dois partir, car les heures de visites sont terminĂ©es.
-Est-ce que je pourrais rester s’il vous plaĂźt ? Je suis sa fiancĂ©e, je ne voudrais pas la laisser seule pour cette nuit.
-Oh bien sĂ»r, il n’y pas de problĂšmes, confirme-t-elle avant de se diriger vers la porte. Bonne soirĂ©e.
-FiancĂ©e, hein ? questionne Emily avec un sourire narquois quand l’infirmiĂšre est sortie.
-C’était la seule solution pour qu’elle m’autorise Ă  rester, te dĂ©fends-tu. Je pense que si j’avais dit “ex”, elle m’aurait dit de partir tout de suite.
-Elle aurait sĂ»rement pensĂ© que tu Ă©tais l’ex folle qui aurait essayĂ© de me tuer cette nuit.
-Probablement, ris-tu avec Emily avant de la regarder avec plus d’attention. Tu as des petits yeux, tu devrais dormir.
-Tu as raison, mais tu vas pas rester sur cette chaise inconfortable ?
-Ils vont sĂ»rement m’amener un petit lit ou quelque chose d’autre. Dors, ne t’inquiĂšte pas.
Tu vois Ă  son visage qu’elle est sceptique, mais Emily est trop fatiguĂ©e pour se disputer avec toi, alors elle ferme doucement les yeux pendant que tu tiens sa main droite et la caresses doucement avec ton pouce. Tu continues Ă  la regarder alors qu’elle sombre un peu plus dans le sommeil. Lentement, tes paupiĂšres s’alourdissent et tu finis par poser ta tĂȘte sur le bord du lit tout en tenant la main d’Emily.
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JJ ouvre la porte de la chambre d’hĂŽpital et trouve Emily paisiblement endormie et une femme inconnue Ă  ses cĂŽtĂ©s. La brune ouvre les yeux en entendant la porte se refermer mĂȘme si la blonde a fait attention Ă  ne pas faire de bruit. Emily la salue silencieusement. Elle veut passer une main sur son visage pour se rĂ©veiller un peu plus, mais ton poids l’en empĂȘche. Elle pose ses yeux sur toi et te secoue lĂ©gĂšrement avec sa main sous ton corps. En te relevant de ta position quand tu es rĂ©veillĂ©e, son visage est la premiĂšre chose que tu vois. Emily te fait un signe t’invitant Ă  regarder derriĂšre toi et tu dĂ©couvres JJ. Sentant tes joues chauffĂ©es, tu te lĂšves et lui prĂ©sentes ta main.
-Bonjour, je suis Y/N
, commences-tu avec une hĂ©sitation, l’amie d’Emily.
-JJ, je suis sa collĂšgue, salue-t-elle en serrant ta main avant de se tourner vers Emily. On m’a dit qu’ils allaient vĂ©rifier une derniĂšre fois que tout allait bien avant de t’autoriser Ă  sortir. Tu veux que je te ramĂšne chez toi comme c’était prĂ©vu ou peut-ĂȘtre que tu veux le faire, Y/N ? demande JJ et tu secoues la tĂȘte.
-Tu t’es dĂ©placĂ©e exprĂšs, je ne vais pas perturber toute votre organisation. Et puis, j’ai des cookies Ă  faire de toute façon.
-Ses cookies sont les meilleurs, commente Emily.
-Je vais y aller, du coup, mais on se revoit tout à l’heure, informes-tu en prenant ton sac au pied de la chaise.
-Avec plaisir.
Automatiquement, tu embrasses la joue d’Emily et pars de la chambre. En refermant la porte, tes yeux s’ouvrent en grand, rĂ©alisant ce que tu viens de faire. De son cĂŽtĂ©, Emily a presque oubliĂ© de respirer, car elle ne s’attendait pas Ă  ce touchĂ© plus qu’agrĂ©able.
-Oh, tu vas tellement tout me raconter dans la voiture, s’exclame JJ avec des yeux pĂ©tillants. 
Quand Emily peut rentrer chez elle, les deux femmes montent dans la voiture de JJ. Sur la route jusqu’à chez Emily, JJ attend avant de bombarder son amie de questions. Emily espùre au fond d’elle qu’elle n’aura pas à parler de votre relation, ne sachant pas vraiment quoi dire. Aprùs dix minutes à conduire, JJ finit par craquer.
-Bon, tu vas me dire ce qui s’est passĂ© entre toi et ton “amie” Y/N ou pas ?
-Rien de spĂ©cial, ment Emily d’un air nonchalant.
-Tu dormais paisiblement Ă  ses cĂŽtĂ©s et t’as arrĂȘtĂ© de bouger la seconde oĂč t’as senti ses lĂšvres sur ta joue. Quelque chose s’est passĂ© entre vous deux.
-On est sorties ensemble il y a dix ans, c’est tout, explique Emily comme si c’était normal. 
-Ça a durĂ© longtemps ?
-Cinq ans.
-Pourquoi vous vous ĂȘtes sĂ©parĂ©es ? questionne JJ, perdue. Parce que clairement vous avez toujours de l’affection l’une pour l’autre.
-A cause de mon job, dit-elle en se repositionnant sur son siĂšge. J’étais toujours dans un autre pays ou sous couverture donc on ne pouvait pas se parler pendant des mois et les rares fois oĂč je rentrais, son job lui prenait tout son temps. Ce n’était clairement pas idĂ©al, comme situation. On s’aimait, mais ça ne fonctionnait pas alors on a prĂ©fĂ©rĂ© en rester lĂ  avant que notre relation se dĂ©tĂ©riore. Je ne l’avais pas revue depuis notre sĂ©paration.
-Comment ça se fait qu’elle est venue te voir alors ?
-Je n’ai toujours pas changĂ© mon numĂ©ro d’urgence. Au dĂ©but, je n’osais pas le faire puis, j’ai fini par oublier et puis, avant hier, elle n’avait jamais Ă©tĂ© prĂ©venue des autres fois oĂč j’avais Ă©tĂ© blessĂ©e. Autant dire que je ne m’attendais pas Ă  la voir hier, mĂȘme si j’en suis plus contente, admet Emily en regardant par la fenĂȘtre. 
-C’est ce que j’ai cru comprendre, mĂȘme quand tu dormais, t’avais un sourire idiot sur le visage.
-C’est faux, s’offusque-t-elle en se tournant vers son amie.
-Je dis juste ce que j’ai vu.
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En fin d’aprùs-midi, tu te rends chez Emily avec tes cookies dans tes mains. JJ t’ouvre la porte avec un grand sourire. Tu lui donnes un des deux tupperwares avec quelques-uns de tes gñteaux que tu as fait exprùs pour elle. 
-Tu n’aurais pas dĂ», te remercie JJ, touchĂ©e par ton geste.
-Je suis sĂ»re que depuis que tu travailles avec elle, tu la protĂšges un maximum quand vous travaillez, je me devais de t’offrir quelque chose en remerciement, explicites-tu avec un air sincĂšre. 
-C’est un travail d’équipe. Dis-moi, tu pourrais rester avec Emily cette nuit ? Je dois rentrer m'occuper de mon fils. 
-Si ça ne dĂ©range pas Emily, il n’y a pas de soucis.
-Je suis sûre que ça ne va pas la déranger, affirme-t-elle, confiante avant de récupérer ses affaires. Je te laisse la prévenir, je dois filer. Passez une bonne soirée.
JJ file en coup de vent alors que tu tentes de comprendre ce qu’il vient de se passer. Quand tu te remets de tes Ă©motions, tu enlĂšves tes chaussures et tu retrouves Emily allongĂ©e dans son lit. Quand elle vous voit, toi et tes cookies, elle se relĂšve lĂ©gĂšrement et t’invite Ă  t'asseoir Ă  cĂŽtĂ© d’elle. Elle n’attend pas avant de manger tes cookies, fermant les yeux pour apprĂ©cier le goĂ»t.
-Mon dieu, ils sont encore meilleurs que dans mes souvenirs.
-Je t’avoue que j’ai eu le temps d’amĂ©liorer la recette depuis la derniĂšre fois.
-Comment tu as pu le faire ? Elle Ă©tait dĂ©jĂ  parfaite Ă  l’époque, interroge Emily, incrĂ©dule.
-J’ai juste ajoutĂ© un ingrĂ©dient secret.
-Peu importe ce que c’est, je valide. OĂč est JJ ?
-Elle a dĂ» partir, car elle m’a dit qu’elle devait s’occuper de son fils, donc ça sera que toi et moi.
En entendant ta rĂ©ponse, Emily fronce les sourcils. Elle sait que Will est Ă  la maison et qu’il est plus que capable de s’occuper d’Henry. En rĂ©flĂ©chissant un peu plus, Emily comprend que JJ a menti pour qu’elle puisse passer du temps avec toi. Elle se retient de lever les yeux au ciel et tente de la jouer cool.
-Oh, trùs bien, alors. Ça sera comme au bon vieux temps.
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Depuis ce soir-lĂ  avec Emily, tu l’évites. Tu sais que ce n’est peut-ĂȘtre pas la rĂ©action la plus mature, mais tu ignores comment rĂ©agir. La soirĂ©e que vous avez passĂ©e ensemble Ă©tait Ă  la fois spĂ©ciale et ordinaire. Elle Ă©tait spĂ©ciale, car c’était la premiĂšre que tu Ă©tais seule chez depuis votre sĂ©paration. Mais elle Ă©tait ordinaire, car vous aviez agi comme si vous n’aviez pas arrĂȘtĂ© de vous parler ces dix derniĂšres annĂ©es. Contrairement Ă  ce que vous pensiez, vos sentiments sont toujours prĂ©sents et aussi forts. Tu as toujours su que tu aurais de l’affection pour Emily jusqu’à ton dernier souffle, mais tu peux dire sans te tromper que tu l’aimes encore. Tu as essayĂ© de rien laisser paraĂźtre, mais Emily te connait par coeur. Tu espĂšres juste qu’avec le temps, elle a oubliĂ© comment tu caches ce que tu penses, mĂȘme si son mĂ©tier de profiler l’avantage. Tu ne sais pas si elle a remarquĂ© quelque chose, elle n’a rien dit. Si c’est le cas, elle n’a rien dit parce que, peut-ĂȘtre, malgrĂ© ce qu’elle peut ressentir pour toi, elle ne souhaite toujours pas ĂȘtre avec toi Ă  nouveau. Tu ignores quelle est la rĂ©elle raison et tu ne veux pas la savoir, surtout si elle peut te briser le cƓur. 
Par consĂ©quent, tu as repris ta vie normale. Tu travailles, retournes dans ton appartement et regardes tes sĂ©ries habituelles. Toutefois, quand tu es devant ton Ă©cran, ton esprit dĂ©rive trop souvent vers Emily, sans que tu le rĂ©alises. Tu luttes mentalement pour regagner le pouvoir sur tes sentiments. Tu ne peux pas te permettre de retomber dans ses bras, car elle ne te rattrapera pas. Tu dois faire ce que tu aurais dĂ» faire depuis de nombreuses annĂ©es : l’oublier. 
Tu rentres du boulot, fatiguĂ©e de ta journĂ©e. Tu n’as qu’une hĂąte, te mettre en pyjama et t’allonger sur ton canapĂ©. Tu planifies mentalement ce que tu vas faire ce soir pour Ă©conomiser un maximum de force. Cependant ta planification est arrĂȘtĂ©e quand tu retrouves Emily frappant Ă  ta porte. Tu marques un temps d’arrĂȘt comme pour ĂȘtre sĂ»re que tes yeux ne te jouent pas un tour. En t’entendant arriver derriĂšre elle, Emily se tourne vers toi. Elle te fait un signe de sa main valide avant de sourire, gĂȘnĂ©e.
-Em, qu’est-ce que tu fais lĂ  ? Et comment t’as eu mon adresse ? J’ai emmĂ©nagĂ© ici il y a seulement six ans, questionnes-tu.
-Je travaille au FBI et avec une experte en informatique, c’était facile.
-Si je ne te connaissais pas, j’aurais peur d’ĂȘtre le sujet d’une de tes futures enquĂȘtes avec ce que tu viens de me dire.
-Désolée, je voulais pas que ça paraisse bizarre, ajoute-t-elle, embarrassée. 
Tu balayes l’air de la main pour signifier que ce n’est pas grave.
-Du coup, qu’est-ce que tu fais ici ? Et tu vas mieux ? Tu ne devrais pas te reposer plutît que rester debout ici, à m’attendre ?
-Je vais mieux, ne t’inquiĂšte pas. Je ne peux pas encore travailler, soupire-t-elle en montrant son Ă©charpe, mais au moins, je peux bouger. Je voulais qu’on parle. Depuis la derniĂšre fois, on ne s’est pas reparlĂ©es et tu n’as pas rĂ©pondu Ă  mes appels.
-J’étais occupĂ©e avec le travail, je m’excuse.
-Je ne peux pas te blĂąmer pour ça, t’assure Emily avant de plonger son regard dans le tien. Ecoute, je
 Je sais que si on s’est sĂ©parĂ©es c’est pour une raison, mais tu ne peux pas nier que lorsqu’on s’est vues, il y a eu quelque chose. Pendant un moment, j’ai presque oubliĂ© qu’on n’avait pas Ă©tĂ© ensemble pendant dix ans. Y/N, je sais que mon mĂ©tier me fait encore aller Ă  droite, Ă  gauche, mais au moins je reviendrai toujours ici et je n’ai plus Ă  faire de missions sous couverture. Je pourrai vraiment revenir Ă  la maison, Ă  toi. Je ne demande pas qu’on se remette ensemble tout de suite, on pourrait y aller doucement, rĂ©apprendre Ă  se connaĂźtre, voir comment notre relation Ă©volue, mais je ne veux pas te voir partir Ă  nouveau, avoue-t-elle en prenant ta main avec son bras droit. Le jour de notre sĂ©paration a Ă©tĂ© le pire. MĂȘme si c’était ce qu’il y avait de mieux Ă  faire Ă  l’époque, j’ai dĂ©testĂ© chaque seconde. Je ne pensais pas que j’aurais l’occasion de te revoir un jour et quand tu as passĂ© la porte de la chambre d’hĂŽpital, j’ai cru rĂȘver. Je ne sais pas si tu tiens Ă  moi autant que je tiens Ă  toi, mais si c’est le cas, j’aimerais qu’on se laisse une nouvelle chance. Je t’aime toujours Y/N.
Emily lĂąche ta main pour caresser ta joue. Ton cƓur loupe un battement pendant que tu te remets de tes Ă©motions. Quand tu rĂ©alises que ce qu’elle a dit est rĂ©el, un sourire attendri prend place sur ton visage.
-Je t’aime toujours aussi, Emily.
Sans rĂ©flĂ©chir, Emily se jette dans tes bras et t’embrasse avec fougue. Tes mains se perdent dans ses cheveux, voulant la rapprocher le plus de toi. Ses lĂšvres t’avaient tant manquĂ© ! Tu te demandes comment tu as bien pu faire ces derniĂšres annĂ©es sans les sentir contre les tiennes. Emily approfondit un peu plus le baiser jusqu’à ce que vous manquiez d’air. Vous vous sĂ©parez Ă  peine, vos fronts continuant Ă  se toucher. Vous vous regardez avec amour, contentes de pouvoir enfin ĂȘtre dans les bras de l’une de l'autre, aprĂšs tant d’annĂ©es.
Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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zestdinfo · 10 months ago
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Le lien Ă©troit entre sommeil et Ă©pilepsie : « Je dois faire super attention Ă  mon sommeil alors qu'avant je m’en fichais »
Le témoignage de Théo Caruso, 23 ans, met en lumiÚre les défis quotidiens auxquels sont confrontés les jeunes épileptiques, en particulier en ce qui concerne le sommeil. Son histoire souligne l'importance de la gestion de la maladie et de l'adoption de bonnes habitudes pour améliorer la qualité de vie et réduire la fréquence des crises.
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Chaque individu est touché de façon unique par la maladie, elle rassemble un tas de facteurs différents. Photo illustration DR.
À 23 ans, ThĂ©o Caruso vit avec l'Ă©pilepsie depuis ses 17-18 ans. Le Messin raconte son parcours avec la maladie et l’importance du sommeil dans son combat au quotidien.
Avant chaque crise, ThĂ©o ne ressent aucune diffĂ©rence dans son sommeil. "Le sommeil ne change pas avant que je fasse une crise," explique-t-il. "C'est comme si j'allais faire une journĂ©e normale." Cependant, aprĂšs une crise, c'est une autre histoire. "La crise va me prendre tellement d’énergie pour plusieurs jours. Je suis KO, et aprĂšs je dors comme si j'avais fait une sĂ©ance de sport intensive." Une crise lui prend toute son Ă©nergie.
Des crises dans le sommeil
Les crises peuvent survenir pendant le sommeil, bien que ThĂ©o n'en ait pas conscience. "Mes amis m’ont dĂ©jĂ  vu en faire, je ne savais mĂȘme pas," prĂ©cise le jeune homme. Louis, un ami proche, se souvient d'un Ă©pisode particuliĂšrement perturbant aux dĂ©buts de la maladie de ThĂ©o. "Il venait d’ĂȘtre diagnostiquĂ© et prenait des mĂ©dicaments qui n’étaient pas tout Ă  fait adaptĂ©s. Un jour aprĂšs une soirĂ©e, je me rĂ©veille Ă  cause d’un bruit et je vois ThĂ©o torse nu, debout dans l’appartement. Il allait dans tous les sens et Ă©tait irrationnel dans ses propos.» Cette crise aurait durĂ© prĂšs de deux heures. Louis a mis longtemps avant de me rendre compte de ce qu’il se passait. Il n’a pas su gĂ©rer. «C’était terrifiant.»
Des facteurs déclencheurs
Les crises d'Ă©pilepsie du jeune homme peuvent ĂȘtre dĂ©clenchĂ©es par divers facteurs, notamment la fatigue et l'exposition Ă  des lumiĂšres vives. Il admet Ă©galement que ses habitudes de jeu nocturnes n'ont probablement pas aidĂ© sa condition. "Je suis un peu insomniaque depuis toujours. J’ai du mal Ă  m'endormir, je m'endors entre 1h30 et 3h du matin, peu importe que j'ai fait la fĂȘte ou que je travaille le lendemain."
Il existe des facteurs gĂ©nĂ©tiques Ă  l’épilepsie, mais ThĂ©o pense que sa photosensibilitĂ© et ses sessions prolongĂ©es de jeux vidĂ©o dans le noir sont les vecteurs de sa condition. "J'Ă©tais dans le noir complet et je jouais des heures jusqu'au bout de la nuit. AprĂšs c’est compliquĂ© de savoir exactement d’oĂč ça vient."
Une fois diagnostiqué, que se passe-t-il ?
Pour gĂ©rer sa maladie, ThĂ©o consulte un neurologue tous les six mois et ajuste constamment ses mĂ©dicaments pour trouver le traitement le plus efficace. Aujourd’hui, il est traitĂ© au Lamital (un mĂ©dicament inhibant la libĂ©ration du glutamate dans le cerveau, une substance impliquĂ©e dans le dĂ©clenchement des crises d'Ă©pilepsie). Les mĂ©dicaments sont nĂ©cessaires et essentiels mais ils ne sont pas une solution miracle.
L’hygiĂšne de vie compte Ă©normĂ©ment au quotidien. "Je dois faire super attention Ă  mon sommeil alors qu'avant je m’en fichais, je pouvais faire nuit blanche sur nuit blanche. Si je fais une nuit sans dormir, le lendemain je ne me sentirai vraiment pas bien", confie le jeune homme. Par exemple, lorsqu’il connaissait encore mal la maladie, une nuit, aprĂšs une soirĂ©e, ThĂ©o dĂ©cide d'attendre le prochain train du matin. En chemin vers la gare, il a eu une crise. Cette expĂ©rience lui a montrĂ© l'importance de maintenir un train de vie plus stable pour Ă©viter les crises.
Mieux comprendre l’épilepsie : le point scientifique
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D’aprĂšs la dĂ©finition du Larousse, l’épilepsie correspond Ă  une «affection caractĂ©risĂ©e par la rĂ©pĂ©tition chronique de dĂ©charges (activations brutales) des cellules nerveuses du cortex cĂ©rĂ©bral». Photo DR
D’aprĂšs le site officiel Ameli.fr, l’épilepsie est « une affection neurologique caractĂ©risĂ©e par des crises rĂ©currentes et imprĂ©visibles rĂ©sultant d'une activitĂ© Ă©lectrique cĂ©rĂ©brale anormale ». Les crises d'Ă©pilepsie peuvent se manifester de diffĂ©rentes maniĂšres, allant de « brĂšves absences de conscience Ă  des convulsions sĂ©vĂšres ».
Le diagnostic de l'Ă©pilepsie repose sur un examen clinique dĂ©taillĂ© et des tĂ©moignages de l'entourage du patient. Des examens complĂ©mentaires, tels que l’électroencĂ©phalogramme (EEG), l'imagerie par rĂ©sonance magnĂ©tique (IRM) et des analyses biologiques, sont souvent nĂ©cessaires pour confirmer le diagnostic et en identifier la cause.
Sommeil et maladie : quel rapport ?
Comme l’indique l’article « Le lien Ă©troit entre le sommeil et l’épilepsie » publiĂ© par SOSoxygene, le sommeil et l’épilepsie entretiennent une relation « complexe et bidirectionnelle ». Les troubles du sommeil peuvent exacerber les crises d’épilepsie, tandis que l’épilepsie peut perturber les cycles de sommeil. Les crises nocturnes, ou les crises qui surviennent pendant le sommeil, sont courantes et peuvent passer inaperçues.
D’aprĂšs FondationSommeil.com « Chez certains, les crises ne se dĂ©clencheront que durant le sommeil. » Par ailleurs, un sommeil insuffisant ou de mauvaise qualitĂ© est un « facteur dĂ©clenchant bien connu des crises Ă©pileptiques ». Une bonne hygiĂšne de sommeil, comprenant des horaires de sommeil rĂ©guliers et des environnements de sommeil propices, est cruciale.
AngĂšle Poillet
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freelance-informatique · 10 months ago
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Les bienfaits du CBD dans le traitement des maladies neurodégénératives
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En raison de leur impact dĂ©vastateur sur le systĂšme nerveux central et la qualitĂ© de vie des patients, les maladies neurodĂ©gĂ©nĂ©ratives, telles que la maladie d'Alzheimer, la maladie de Parkinson et la sclĂ©rose en plaques, reprĂ©sentent des dĂ©fis mĂ©dicaux majeurs. Alors que la recherche mĂ©dicale progresse, le cannabidiol (CBD) est de plus en plus perçu comme une substance prometteuse dans le traitement de ces pathologies complexes. Ce composĂ© non psychoactif, extrait du cannabis sativa, suscite un intĂ©rĂȘt croissant en raison de ses propriĂ©tĂ©s neuroprotectrices et anti-inflammatoires. Nous abordons dans cet article les vertus du CBD dans le traitement des maladies neurodĂ©gĂ©nĂ©ratives. Les propriĂ©tĂ©s neuroprotectrices du CBD Le cannabidiol (CBD) est largement reconnu pour ses propriĂ©tĂ©s neuroprotectrices, qui sont essentielles dans le traitement des maladies neurodĂ©gĂ©nĂ©ratives. Des Ă©tudes prĂ©cliniques ont dĂ©montrĂ© que le CBD peut prĂ©venir la dĂ©gradation des neurones en agissant sur plusieurs mĂ©canismes cellulaires et molĂ©culaires. Il rĂ©duit l'apoptose neuronale en modulant les voies de signalisation de la cellule et en diminuant le stress oxydatif. De plus, le CBD interagit avec les rĂ©cepteurs cannabinoĂŻdes de type 1 et 2 (CB1 et CB2) du systĂšme endocannabinoĂŻde, ce qui contribue Ă  la rĂ©gulation de la neurotransmission et Ă  la protection des cellules nerveuses. Ces propriĂ©tĂ©s font du CBD un candidat prometteur pour le dĂ©veloppement de nouveaux traitements destinĂ©s Ă  ralentir ou Ă  prĂ©venir la progression des maladies neurodĂ©gĂ©nĂ©ratives. Le rĂŽle du CBD dans la modulation de la neurogenĂšse La neurogenĂšse, ce processus par lequel de nouveaux neurones sont formĂ©s dans le cerveau, est essentielle au maintien de la fonction cognitive et Ă  la rĂ©cupĂ©ration aprĂšs des lĂ©sions neuronales. Des recherches ont rĂ©vĂ©lĂ© que le CBD peut jouer un rĂŽle significatif dans la modulation de la neurogenĂšse, notamment dans l'hippocampe, une rĂ©gion clĂ© pour la mĂ©moire et l'apprentissage. Par ailleurs, le CBD favorise la prolifĂ©ration des cellules progĂ©nitrices neurales et leur diffĂ©renciation en neurones matures, en partie grĂące Ă  son interaction avec les rĂ©cepteurs du systĂšme endocannabinoĂŻde. Ainsi, le CBD pourrait non seulement contribuer Ă  la rĂ©paration neuronale aprĂšs des blessures ou des maladies, mais aussi amĂ©liorer les fonctions cognitives chez les patients souffrant de troubles neurodĂ©gĂ©nĂ©ratifs. En consultant les sites de rĂ©fĂ©rence, vous pourrez dĂ©couvrir de vrais codes promo avantageux sur le CBD pour profiter des meilleures offres sur vos produits prĂ©fĂ©rĂ©s. RĂ©duction de l'inflammation neuronale par le CBD L'inflammation neuronale est un facteur dĂ©terminant dans de nombreuses maladies neurodĂ©gĂ©nĂ©ratives, telles que la maladie d'Alzheimer, la sclĂ©rose en plaques et la maladie de Parkinson. Les chercheurs s’intĂ©ressent de plus en plus aux effets du CBD sur les maladies neurodĂ©gĂ©nĂ©ratives, comme vous pouvez le constater ici. En effet, le CBD a dĂ©montrĂ© des effets anti-inflammatoires puissants qui peuvent aider Ă  attĂ©nuer l'inflammation neuronale et protĂ©ger les cellules nerveuses. Lire aussi : Top 10 des plantes aromatiques Ă  cultiver dans votre jardin pour des recettes cet Ă©tĂ© En se liant aux rĂ©cepteurs du systĂšme endocannabinoĂŻde, prĂ©sents principalement dans les cellules immunitaires, le CBD rĂ©duit la production de cytokines pro-inflammatoires et inhibe l'activation des cellules gliales responsables de l'inflammation. En outre, le CBD influence les voies de signalisation inflammatoire telles que la voie ‘’NF-ÎșB’’, diminuant ainsi l'expression des gĂšnes responsables de l’inflammation. Cette capacitĂ© Ă  moduler l'inflammation rend le CBD particuliĂšrement utile dans la gestion des maladies neurodĂ©gĂ©nĂ©ratives caractĂ©risĂ©es par une inflammation chronique du cerveau. Read the full article
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