#une affaire de famille
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Paris aux approches de Noël à l'époque, il y a longtemps, combien c'était beau. Les porches, les entrées éclairées, les hautes fenêtres avec leur rideaux là-haut, la branche qui dépasse d'un sapin décoré, les moulures aperçues d'un plafond illuminé. Je regardais tout cela enfant depuis en bas, depuis la rue. Et en arrière-plan le soir était la pénombre des parcs avec leurs feuillages balancés au vent derrière les grilles en fer. Émergeant ça et là, les gens, les familles surtout, une chose rare aujourd'hui, les gens étaient en famille. Des pères à l'allure fringante, de jeunes mères avec chacune plusieurs enfants, très rangés, très élégants, très heureux. Un monde comme mon monde, chez mes grands-parents. Le monde comme un prolongement tranquille de mon monde. Le décor des logements bourgeois dans des films comme Les Visiteurs, Opération Corned-Beef, Le père Noël est une ordure, étaient tous semblables au logement principal et secondaire de mes grands-parents, ainsi la vie future serait une tranquille continuité entre la vie privée et la vie publique, et la France remise à l'endroit par ces visites chez ces Anciens aurait forcément raison bientôt de la montée des "voyous" comme on les appelait alors. J'avais une famille. Un havre de paix gratuit quelque part, un refuge avec une place à mon nom, une base. Quand j'ai compris avec le temps que c'était ma seule famille, vu mes origines, alors que tous mes amis en avaient deux, cette base est devenue alors un idéal à reconstruire pour la vie adulte future.
La fête que c'était, Paris, enfant, avant Noël. La foule variée des restaurants, des cafés, tout cela inondé de lumière qui devait ne jamais s'éteindre. Il y avait la vie quelque part, cela existait, il suffisait de le savoir pour s'en retourner rassuré dans sa banlieue éteinte affronter la montée des "voyous", épreuve temporaire qui finirait bientôt, car les méchants finissent au bagne disait Le Bouillon. Paris, les grands magasins. Le Printemps. Les Galeries Lafayette. Le métro avec ses publicités immenses pour La Samaritaine. Le Trocadéro. Les églises. Les gares pleines de voyageurs avec des skis. Et partout où l'on allait dans la ville les sapins ceinturés de girandoles, constellés de lumières dans les entrées d'immeuble, dans les halls de palace, dans les magasins, partout, comme une symphonie unanime dans le pays où chacun joue sa partition privée spontanément, partout. Les avenues bordées d'immeubles en pierre, illuminés du dedans, peuplés de familles françaises qui attendaient Noël comme nous. Les guirlandes électriques dans les rues. Les publicités pour les spectacles, les salles de spectacle avec leurs portes en or qui donnaient 3 représentations par jour d'un Molière ou d'un Feydeau, bondées de foule française heureuse, pendant ces jours qui précédent Noël, pendant la montée progressive vers cette réjouissance, 19 Décembre, puis l'entrée dans les chiffre des vingtaines, le 20, le 21, de mieux en mieux le 22, le 23, puis le 24 et le parachevèment du 25, point final et point d'orgue de l'année. Les libraires, les bistrots, les brasseries avec leurs étalages d'écailler mirifique, les pancartes "arrivage d'escargots", les teinturiers derrière leurs comptoirs assiégés, les écoles encore encore occupées, les salons de coiffure pleins de dames, les marchands de gravure et leur air compassé, les détaillants en spiritueux. Partout la vie. Et chez nous, se retrouver à 20 convives, accomplir les préparatifs, réserver les huîtres, cuisiner des plats, allumer des lumières partout dans un appartement spacieux où chaque pièce devenait habitée, ici pour s'habiller, ici pour emballer en secret des paquets, là pour parler affaires, chacun à sa place. 1995. 1990. 1988, et avant. Larmes fréquentes rien que d'y penser. Cette lugubre, hideuse impression de fin de tout aujourd'hui, dans l'indifférence dépeuplée, cynique, impie, technologique. Tout cela beaucoup trop violent, beaucoup trop méchant quand on est seul, quand on est loin, quand le train qui vous dit "complet" part sans vous et qu'on s'essouffle à le rattraper. Parti au vent le parc Monceau, et le Ranelagh, le manège en bois, la boulangerie, le marchand de caddies à motifs écossais en bas de la rue. Cette ville grise à l'extérieur et si chaude, si lumineuse, si proprette dès que l'on entrait quelque part. Auteuil, l'arrêt "Jasmin" sur la ligne du 9, la légende, la ligne qui mène aux Champs-Elysées et au virage Boulogne, à la bourgeoisie et au combat. Et le musée de la marine, et l'aile Denon au Louvre d'où l'on revenait plein d'histoires à raconter, le théâtre de Chaillot, et Guimet, et les petits cinémas du 16ème qui donnaient Maman j'ai raté l'avion en 1990. Et les vieux appareils électriques oranges, notamment le presse-agrume, le couteau électrique qui fait des fines tranches de rôti, le hachoir à jambon, la yaourtière. Et la noble charité filiale, légère, facile, dégagée, qui nimbait tout cela dans un ordre qui avait toujours été, qui serait toujours, grâce auquel nous n'aurions jamais à nous inquiéter de rien.
Et aujourd'hui... À six heures du matin rugit le hurlement des poids-lourds qui redémarrent au feu rouge (visages effondrés des routiers moldaves à la proue de 20 tonnes de béton sur métal qu'ils ont conduit toute la nuit). Les embouteillages, les rues défoncées, les palais noircis qui s'enfoncent dans la boue du sol détrempé. Plus de jobs. Plus de prolétariat. Plus rien. Recommencer à "gagner sa vie" là-dedans seul, abandonné en rase campagne. Sueurs froides et halètement. Réminiscences de Houellebecq, Soral, de ces lectures de 2000-2010, de phrases comme "la société où vous vivez à pour but de vous détruire", ou "ils ont été emasculé par la violence du système", ou encore "vous étudiants, êtes voués à un monde de mensonge, de saloperie et de violence". Dire que cela nous semblait exagéré à l'époque... Tout est contre nous et personne ne fait rien. Et puis un pays noir. Des rues noires sous un temps noir. Population rare, verdâtre, visages froncés, bouches mal fermées, dents avides. Société excrémentielle. Pluie noire sur les dos voûtés, lavés à l'eau sale, qui rentrent par des cages d'escalier aveugles dans des bâtiments opaques aux vitres fumées d'où ne sort ni lumière ni branche de sapin, ni familles rangées. À côté de cela, les "consultants" badge au cou dans leur voiture payée par la prétendue union, prétendument européenne, et les "double paye sans enfant". Il n'y en a plus que pour les sournois suceurs. Un tel degré de saloperie, une entreprise aussi monstrueuse, devrait se payer par vingt Sinn Fenn par jour, méthodiques, fanatiques de justice en faveur des pauvres.
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saga: Soumission & Domination 359
Espagne 2015-1
Le départ en vacances.
On récupère les jeunes la veille de notre départ. Nathan arrive avec une valise énorme. Il nous dit que sa mère l'a obligé à prendre des vêtements pour toutes les circonstances même la pluie. Il est désolé ! Je l'accompagne à la chambre qu'il va partager avec Max et Enguerrand. Ils sont avec nous. On ouvre le " coffre " et je sors tout pour trier et ne garder que le nécessaire.
On trouve 4 jeans + 2 pantalons de toile beige, 4 shorts Adidas et Nike neufs, 4 maillots de bain sans marque mais pas trop moches, des t-shirt, slips et polos en pagaille et 2 pulls en cotons. On y trouve même des socquettes, une cravate, des chaussures de ville et d'autres de sport.
J'isole 1 jeans et 1 pantalon de toile, 2 shorts (1 de chaque marque) après essayage, j'envoie Max chercher 4 maillots dans ceux qu'il utilise habituellement pour les ajouter au tas. Une demi-douzaine de t-shirt est suffisante puisque là-bas, il y a quand même machine à laver et sèche-linge ! Comme nous passons notre temps sans ou en maillot de bain, je sélectionne 3 slips en sus. Un seul pull devrait suffire et on laisse les chaussures de ville. J'ajoute sa trousse de toilette et j'ai réduit des 3/4 la masse à emporter. Enguerrand trouve une valise avion moyenne et tout rentre dedans.
Il s'inquiète un peu que ça fait quand même pas beaucoup pour 3 semaines. Il n'a jamais eu ce type de vacances ! Je lui dis qu'au pire il pillera les affaires de Max ou d'Enguerrand puisqu'ils sont quasiment du même format. Je vois un sourire apparaitre sur son visage perplexe. Je l'attrape par le cou, baisse sa tête au niveau de mes pecs et lui frotte la tête avec mon poing. Puis je le relâche et lui roule une pelle. Il ressort de mon intervention en titubant et est retenu de tomber par ses deux acolytes.
Au pire on achètera sur place ce qui nous manque.
Nous sommes 8 à partir. Marc et Hervé arriveront directement à Barcelone de leur déplacement en Asie.
La veille du départ et malgré le réveil prévu à 8h le lendemain, nous nous faisons une minitouze sur la terrasse. Nos analyses étant récentes et bien sûr négative, les kpotes restent dans leurs blisters et nous pouvons profiter des contacts directs entre nous.
João et Romain s'intègrent bien à ma petite " famille " et ils utilisent autant les rondelles des trois jeunes que nous et ne rechignent pas à leur laisser l'accès aux leurs. Après un petit temps d'adaptations aux dimensions supérieures de nos deux invités, la triplette profite sans retenue de leurs sexes. Même après une première éjaculation, nous restons tous chauds et remettons le couvert immédiatement. La seconde jouissance est plus longue à venir. Nous profitons de ce délais pour nous caresser, tenter des combinaisons multiples. On a même le temps de se faire un " petit train " Enguerrand est en début d'enculage, sodomisé par son Max, lui-même défoncé par Nathan, labouré par Ludovic qui se prend PH dans la rondelle. Romain s'enfonce dans l'intimité de mon mec et je me " venge " en lui enfonçant mes 20x5 au plus profond de son trou. Je me suis gardé João pour mon plaisir personnel et accueille ses 23x6 avec un plaisir non dissimulé. Commencé en levrettes, nous basculons vite sur le côté pour gagner en stabilité. Cette enfilade nous excite bien et nous entraine dans notre seconde prise de plaisir.
Je m'aperçois que c'était ce dont les jeunes avaient besoin. Ils sont stressés par les trois semaines à venir. Si Max est déjà parti à l'étranger c'était avec ses parents et bien sûr, ce n'est pas le cas d'Enguerrand et encore moins de Nathan. João n'avait plus voyagé aussi loin depuis son arrivée en France et Romain est comme Nathan.
Avec PH et Ludovic, nous faisons en sorte que nos 5 jeunes se détendent et se sentent vraiment en vacances. C'est fait 2 heures 30 plus tard alors que nous sommes tous étalés sur le dos à regarder le ciel étoilé, les couilles vides et certains le cul plein, que je les sens tous détendus !
Pour ne pas retarder Samir et Ammed en partance pour la campagne où ils vont retrouver Jimmy, j'ai commandé deux taxis pour nous emmener à l'aéroport.
Arrivés très en avance, nous avons le temps de prendre un verre dans un des bars. Les serveurs sont mignons et différents des habituels. Des étudiants probablement ! Comme il fait beau et qu'à Barcelone il fait encore plus chaud, nous sommes déjà en tenues estivales (pas en maillots quand même !). Nos physiques sont bien visibles et ils attirent les regards. Les jeunes sont tout excités par les mecs qui se retournent sur nous.
Notre vol passe à l'enregistrement. Les valises sont pesées étiquetées et partent en soute. Nous passons dans le salon d'attente des premières classes. Ce n'est pas parce que le vol est court qu'il faut se serrer.
Les " petits " essayent d'avoir l'air dégagé mais ils n'y arrivent qu'à moitié et nous voyons leurs yeux s'arrondir devant le luxe qui nous entoure.
Quand nous entrons dans l'avion, nous sommes cernés d'hommes d'affaire. Seule une jeune femme avec deux jeunes enfants tranche dans cette partie de l'appareil, avec nous bien sûr !
Les stewards et hôtesses sont à nos petits soins. Ils ont bien vu que pour certain c'était une première et s'attachent à rendre l'expérience inoubliable. Un des stewards nous drague un peu, même beaucoup tout en faisant attention aux autres passagers. Mais le vol est rapide et nous sommes bientôt en approche de Barcelone.
Espagne-1
On récupère nos valises et rejoignons Ernesto. Embrassades sans attendre, roulages de pelle entre lui et chacun de nous. Il est content que nous ayons emmené tout le monde. Il est en short de surf, marcel large et tongs.
On le suit jusqu'à un Renault boxer 9 places. Le temps de sortir de l'aéroport et nous sommes déjà en direction de la villa. Ernesto nous annonce que Marc et Hervé sont déjà en train de bronzer autour de la piscine et que Paco a pris ses fonctions.
Je dois expliquer que ce dernier est notre cuisinier et qu'il est monté comme un âne (23.5 x 7). Et là, on entend de l'arrière " et on a droit d'y toucher ? ". Je n'ai pas le temps de mettre un bémol qu'Ernesto répond " bien sûr, j'ai déjà testé et il est trop fort en plus ". Bon ! Hé bien c'est dit !
Du coup à l'arrière ils sont impatients d'arriver. Javier s'est surpassé cette année. La villa est encore mieux qu'en photo. Toute de plain-pied, elle fait dans les 400m² toutes les chambres donnent par des portes vitrées sur la terrasse qui fait le tour de la maison. Comme j'avais demandé, une salle de muscu est bien équipée et la piscine est superbe.
Le temps de décharger les valises et nous sommes rejoints par Marc et Hervé à poil tous les deux. Ils sont plus blancs que nous mais enduit de protection, il s'attaquent à nous rattraper. Bisous ou pelle selon le récipiendaire puis Paco arrive. En maillot moulant, il sidère les nouveaux. Et pourtant il ne bande pas encore ! Ses 85Kg de muscles participent aussi à l'effet " Paco ". Il roule des pelles aux anciens et me félicite du choix de mes nouveaux amis. Sans se g��ner, il passe ses grandes mains sur les fessiers de la triplette avant de se coller à João de le maintenir collé contre lui et de lui rouler un patin qui laisse mon brésilien sur le cul !
J'observe Romain. Pas de jalousie mal placée, un vrai mec selon mon coeur.
Paco nous dit de nous installer, que le déjeuner ne sera pas servi avant 14h. Je pousse la triplette dans une chambre et les deux autres dans celle d'à côté. Marc nous indique celle qu'il nous avait réservée. C'est la plus grande et il a fait installer 2 grand lit de plus afin qu'on puisse coucher tous ensembles (lui, PH, Ludovic, Hervé, Ernesto et moi). On vide rapidement les valises et enfilons un maillot. Sauf les trois petits qui ont décidé de vivre à poil. Enfin, Nathan s'est fait un peu forcé la main !
Plongeons dans la piscine. L'eau est à bonne température et nous glissons dedans avec plaisir. Marc et Hervé nous rejoignent. On joue plus qu'on ne fait des longueurs bien sûr. Les plus jeunes font du bruit, se poursuivent, chahutent en fait. Ça fait plaisir à voir. Pas de regrets de les avoir emmenés avec nous tellement ils ont l'air d'apprécier.
Nous restons dans l'eau jusqu'à ce que Paco nous annonce le repas. Les jeunes sortent de l'eau et Marc les prévient que pour les repas, il faut un slip ou un maillot de bain au minimum.
Paco s'est surpassé pour notre arrivée. Ernesto nous dit que Paco était à la villa depuis la veille pour réceptionner les provisions. Il nous dit que cette année il était encore célibataire. Il n'avait pas eu le temps de se trouver un petit mec à planter sur sa grosse bite.
Max qui entend ça, annonce tout fort que pour les 3 semaines à venir, avec Enguerrand et Nathan, ils se dévoueront pour que notre cuisinier n'ait pas les couilles engorgées. Ludovic remarque qu'il fallait pas attendre autre chose de trois obsédés sexuels.
Paco arrive juste à ce moment-là. Il a entendu les jeunes et alors qu'il sert une salade de fruit avec de la glace il les remercie et leur promet de se partager quand il aura trouvé son prochain petit copain.
Nathan est déchainé. C'est lui qui demande à Paco son type de petit mec et lui propose qu'avec ses deux amours, ils lui en cherchent un sur la plage.
Paco s'amuse de sa proposition et les met au défi de lui en trouver un qui soit acceptable.
Un bon café et nous partons faire une petite et vraie sieste. Malgré la chaleur, nous nous collons et sombrons dans le sommeil. Réveil une heure plus tard. Je me lève et passe la tête par à la porte des gamins. Ils sont tout nus, collés tous les trois et encore endormis. Quand je fais pareil à celle du petit couple, je les trouve en train de se câliner soft. Je profite en m'intercalant entre eux. Là c'est moi qui bénéficie des papouilles et des bisous. Eux aussi sont contents d'être avec nous. Je ressors tout bandant de leurs bras avant que ça tourne " bien ". Je me coule dans la piscine et suis rejoint par mes trois amours Ernesto, PH et Ludovic.
On discute des trois semaines à venir. Ernesto me dit qu'il a déjà fait du repérage pour nos touzes. Les touristes commencent à arriver et on ne devrait pas avoir de mal à trouver ce qu'on cherche. Il me demande ce qu'il en est de Baz et Gaz les deux jeunes que nous avions levés l'année passée. Je lui dis qu'ils sont là mais pendant deux semaines encore avec leurs parents. Donc ils pourront passer mais ne seront pas aussi dispo.
Les jeunes arrivent un peu rouge sous leurs bronzages. Marc leurs dit qu'ils ne sont pas obligés de rester isolés quand ils baisent. C'est romain que la remarque gène le plus alors qu'il est un de mes Escorts. Quelles salopes mes " petits frères ", ils ne se sentent pas concernés !
Pour plus de pratique dans mes récits, Max + Enguerrand + Nathan = la " triplette ", les " gamins " ou les " petits frères ". João et Romain = le " jeune couple " ou les " Escorts "
Ils sautent dans l'eau pour nous rejoindre. Ils nous demandent quand ils vont descendre en ville et aller draguer sur les plages Pd.
On décide qu'on verra ça demain. Là, on prend nos marques, possession de la maison. Max ajoute " et de ses occupants ".
Hervé m'étonne. Il appelle Max et quand ce dernier est au bord du bassin, il le sort de l'eau, le soulève de terre et le serre dans ses bras. Instinctivement, Max entoure la taille d'Hervé avec ses jambes et pose ses fesses sur sa bite bandée.
Pour le côté pratique et plaisir, on s'est tous refaits analyser afin de pouvoir baiser entre nous sans kpote. Ces dernières ne sortiront qu'avec les mecs hors de notre cellule de base.
Il s'est vraiment libéré notre Hervé. Lui qui s'était longtemps suffit/contenté/repus d'Ernesto exclusivement, ne se gêne plus et se sert lui-même. Ernesto est le premier à applaudir avant d'attraper Nathan qu'il ne " connait " pas encore. Il cri à son mec qu'il peut y aller et nous voyons alors les 21x5,5 de sa bite disparaitre comme avalée par la rondelle de Max. Vu comme c'est rentré facile, il avait dû être parmi les passifs de leur petite sauterie privée.
Ça excite nous autres et nous sortons aussi de l'eau pour jouer avec nos sexes.
Je commence avec Marc. Ça fait 15 jours qu'ils étaient partis et malgré tous les autres, il me manque et pas que sa bite ! Je retrouve ses bras et la sécurité qu'ils me procurent. Quand il me pénètre, je sais à nouveau pourquoi -lui-. En levrette, je me cambre un maximum, tourne la tête et tends mes lèvres à son baiser. Nous faisons l'amour. Quand il le veut, je me retourne et mes jambes autour de lui, je l'attire vers moi. Là, nous pouvons nous rouler une vraie pelle bien profonde pendant que sa bite continue de m'échauffer la rondelle.
Dans le lointain, j'entends Nathan apostropher ses deux amours pour leur dire de me regarder faire " l'Amour ". C'est vrai que c'est différent de baiser à 5 ou 6 et de le faire avec son mec. Marc aussi l'entend. Il se redresse et lui dit qu'il avait trouvé le mot juste nous concernant. Nous nous aimons et même si on adore faire l'amour avec d'autres mecs, ça ne change pas.
On se termine tous les deux ensembles. Quand je rejoins le monde, je m'aperçois qu'il manque Enguerrand. J'enfile un maillot et déambule dans la maison. Mais j'ai ma petite idée. Je le trouve dans la cuisine empalé sur le mat de Paco assis sur une chaise. Je crois voir dans ses yeux une certaine gêne d'être surpris dans cette position. Je m'approche d'eux. Comme il me fait face, je le regarde dans les yeux et lui dis " y a pas de malaise ", je lui roule un patin avant d'ajouter " pas de jugements, que du plaisir pour tous et chacun ". Je en peux m'empêcher d'ajouter " je t'aime toi ". Il me fait un grand sourire avant de me sortir un " moi aussi, toujours ".
Je retourne vers la piscine et croise Max et Nathan qui cherche le dernier membre du trio. Je les envoie à la cuisine. Je les suis de loin curieux de leurs réactions.
Elles font honneur à la maison. Nathan lui roule un patin alors que Max s'intercale entre le dos d'Enguerrand et le torse de Paco pour rouler une pelle à ce dernier.
Je retourne sur la terrasse et annonce au reste de la " famille " que la triplette est en train d'essorer les couilles de Paco. Rire généralisé.
Jardinier
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⚜ Le Cabinet Noir | Episode III, N°6 | Francesim, Versailles, 26 Thermidor An 230
The Emperor called a meeting of his Council of State, anxious to know what to do with his grandfather Louis. His advisors assured him that only the descendants of Napoleon IV and the imperial prince Henri Simparte could accede to the imperial dignity. His grandfather was therefore legally excluded from the imperial family. His Imperial Majesty was relieved by this news, and turned his attention to the next matter: his training at the Ecole Navale. The training required him to be away for at least 15 months, which meant that a regency had to be prepared. The Council of State approved the appointment of the Empress as Regent, assisted by Prince Imperial Henri Simparte and his son Philippe.
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⚜ Traduction française
L'Empereur a réuni son Conseil d'Etat, anxieux de savoir quoi faire de son grand-père Louis. Ses conseillers lui assurent que seuls les descendants de Napoléon IV et du prince impérial Henri Simparte peuvent accéder à la dignité impériale. Le grand-père est donc juridiquement écarté de la famille impériale. Sa Majesté Impériale est soulagée par cette nouvelle, et s'occupe de la prochaine affaire : sa formation à l'Ecole Navale. Sa formation demande 15 mois d'absence, ce qui oblige la préparation d'une régence. Le Conseil d'Etat approuve la nomination de l'impératrice comme régente, secondée par le prince impérial Henri Simparte et son fils, Philippe.
(Casimir) Dans tous les cas, Sire, Louis Simparte est un ascendant de Napoléon IV, donc il n'est pas un prince français. Même si vous l'aviez souhaité (Joachim) Et nous pourrons facilement le faire enfermer s'il agite le pays
(Napoléon) C'est rassurant. Et à propos de la régence ?
(Elise) Selon les articles 3 et 4 du sénatus-consulte du 8 juillet 2001, l'impératrice exerce la régence, sinon le prince impérial. La régence est exercée en votre nom, et le conseil de régence est constitué des deux princes les plus proches dans l'ordre de succession. Le conseil ne peut être changé par l'impératrice ou quiconque.
(Grégoire) Combien de temps la régence doit-elle durer ? Ca ne risque pas d'éveiller des critiques ?
(Casimir) Non ! Pourquoi serait-elle critiquée ? (Joachim) L'Empereur sera entraîné par l'armée et complètera ses études, le peuple comprendra
(Elise) L'Impératrice est plutôt populaire, malgré son jeune âge. Avec l'aide du prince impérial Henri, ça devrait fonctionner
(Joachim) Avez-vous discuté de la durée de votre formation avec l'armée, Sire ?
(Napoléon) 15 mois
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Hiver 1930, Hylewood, Canada (2/3)
Il s’est passé beaucoup de choses ces derniers temps. Papa est mort deux semaines avant le mariage de Marie. Il n’aura jamais assisté aux noces d’aucun de ses enfants, étant donné que celles de Louise n’ont jamais abouti… Cela me fait me sentir un peu coupable. Je lis bien tes railleries, mais je ne suis pas d’humeur à y répondre, je sais exactement ce que tu vas m’écrire, et tout ce que je peux te dire, c’est que tu n’as pas complètement tort mais que c’est plus compliqué que cela. N’insiste pas, tu n’auras rien de plus.
Toutes mes félicitations d’ailleurs pour les fiançailles d’Antoine. Très clairement, je n��y croyais plus. Avait-il donc si peur de la réaction de votre arrière-grand-mère qu’il a attendu que sa période de deuil soit terminée avec de faire sa demande ? Aurore est bien patiente, d’autres filles n’auraient pas attendu si longtemps. Va-t-elle être remplacée ? Nous avons dû nous aussi engager quelqu’un d’autre pour remplacer notre bonne. En effet, nous avons bien failli y passer aussi : il y a eu un incendie dans la maison. Heureusement, il a été rapidement maîtrisé. Il est dû à la négligence de notre ancienne bonne, Clothilde, parce qu’elle était trop alcoolisée pour faire attention à ce qu’elle faisait. Elle n’en est pas à son premier coup d’éclat… Son peu de diligence dans les tâches ménagères nous avait causé une invasion de rats peu après la mort de Maman. Nous la gardions parce que ses talents culinaires compensaient ses autres défauts (elle cuisine vraiment très bien). Mais cette affaire d’incendie va trop loin, j’ai perdu suffisamment de membres de ma famille comme cela ces dernières années. Pour tout t’avouer, je m’en veux un peu de la licencier dans cette période difficile, malgré les circonstances, donc je lui ai fait une belle lettre de recommandation qui passe sous silence sa tentative d’homicide involontaire…
[Transcription] Marie LeBris : S’il tente de me faire le même coup que le fiancé de Louise, je connais deux ou trois personnes qui… Napoléon Bernard : Il va certainement arriver… Tenez, le voilà ! Georges Rumédier : Tu es splendide. Une vraie reine des glaces. Napoléon Bernard : Georges Rumédier, voulez-vous cette femme comme épouse… Marie LeBris : Tu es en retard ! Georges Rumédier : Pardon ! J’avais quelques vérifications à faire, pour installer… Eh bien, pour ce que tu sais. Napoléon Bernard : …dans le bonheur et les épreuves, dans la santé et la maladie, dans la richesse et la pauvreté… Marie LeBris : Georges, c’est mon affaire, pas la tienne. C’est important que tu comprennes ça. Si je tombe et que tu es impliqué, tu tomberas aussi. Tu en as bien conscience ? Napoléon Bernard : …pour le meilleur et pour le pire, jusqu’à ce que la mort vous sépare ? Georges Rumédier : Oui. Napoléon Bernard : Marie LeBris… Marie LeBris : Je le veux.
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Automne 1926 - Champs-les-Sims
3/3
J'espère pouvoir t'annoncer une bonne nouvelle sous peu, et qui sais, peut-être que cela te fera plaisir car tu ne pense pas (comme Antoine), que j'ai en quelques sortes gâché ma vie. J'ai été surprise, car de tous mes proches, c'est sans doute lui qui l'a pris le plus mal. Papa a estimé que j'étais un peu jeune pour déjà me marier, mais il n'a pas insisté quand je lui ai dit que c'était mon souhait.
J'ai heureusement pu rencontrer mes petites soeurs ! Elles sont adorables, surtout Julienne, et elles se ressemblent autant que Cléo et moi. C'est vraiment étrange de les voir et de constater que mes propres enfants auront sensiblement le même âge.
Je voulais conclure en revenant sur ce que tu mentionnais à propos de vos problèmes financiers. Par expérience, je sais que ce n'est pas facile à admettre comme genre de problème. Je suis flattée que tu te confies à moi et je veux que tu saches qu'en cas de besoin, je peux y pourvoir. Je ne pense pas me vanter ou être impudente en affirmant que les affaires familiales vont assez bien pour entretenir le nouveau foyer de mes parents à Alexandrie, les chambres d'Antoine et Cléo à Paris, le pensionnat de Jean-François ou encore les besoins de Sélène (en tous cas jusqu'à son mariage). Sache que tu n'as qu'à demander.
Je te souhaites le meilleur,
Ta cousine, la nouvellement nommée Arsinoé Le Bris de Chastel
P.S. Vois-tu, je porte une particule désormais ! Je pense que si notre ancêtre commun en était témoin, il ne le croirait pas.
Transcription :
Arsinoé « Antoine. Je comprends tes inquiétudes. Mais tu n’étais pas là. Il fallait que je réagisse rapidement. »
Marc-Antoine « Pourquoi tu ne m’a pas appelé ? Nous aurions trouvé une solution tous les deux… Tu sais que je suis là, que tu peux me demander ce que tu veux et que j’aurais fait n’importe quoi... »
Arsinoé « Tu n’aurais rien pu faire. Il faut que tu acceptes que cette fois-ci, tu ne pouvais rien pour moi. Tu ne m’as ni trahie, ni laissée tomber. Sans compter que la situation aurais pu être pire. Cette solution est idéale, même si elle ne te convient pas. »
Marc-Antoine « C’est juste que voir Grand-Mère jubiler à ce point, ça m’a mis tellement en colère. »
Arsinoé « Mais pourquoi ? »
Marc-Antoine « Je… ça ne semblait pas bien. C’est ta vie, pas la sienne. »
Arsinoé « Antoine… Accepte qu’il n’y avait pas d’autre solution. Tu sais, nous avons discuté avec Ange. Longuement. De toute ce qui allait se passer, de ce que nous voulions tous les deux. Nous sommes satisfaits. »
Marc-Antoine « Alors… C’est vraiment ce que tu veux ? »
Arsinoé « Oui, vraiment. Mais de toute façon, ce serait un peu tard pour renoncer. J’aurais pu te le dire si tu m’avais parlé avant plutôt que de bouder comme un enfant jusqu’à la cérémonie. »
Marc-Antoine « Pardon... »
Marc-Antoine « Et maintenant ? »
Arsinoé « Maintenant ? Je vais retourner à mon travail jusqu’à ce que je sois trop fatiguée, puis je prendrai de longues semaines de repos dans le jardin d’hiver jusqu’à la naissance. Et après, je commencerai ma vie de mère. Et toi alors ? »
Marc-Antoine « Et bien… Je vais retourner à Paris terminer l’école. Puis je reviendrai ici le plus tôt possible. Pour Aurore bien sur, mais aussi parce que Kleber et Raoul veulent créer une liste communiste pour la mairie et que je pense saisir ma chance. Avec mes connaissances à Paris, je vais gagner une vraie légitimité. »
Arsinoé « Avec un tel programme, tu seras député avant trente ans. »
Marc-Antoine « N’exagère rien ! Mais je pense qu’il faut faire une différence, se battre pour ses convictions. Et t’épauler bien sur. Il ne sera jamais dit que je laisse tomber ma grand-sœur, jamais ! C’est ce que Grand-Père Maximilien a toujours fait, veiller sur sa famille, et je vais prendre le relai. »
Arsinoé « Alors c’est formidable ! Tous les enfants Le Bris vont suivre leur rêve. Oh, ne me regardes pas comme ça, je m’incluais dans le lot ! »
#lebris#lebrisgens5#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#eugénie le bris#Arsinoé Le Bris#Lucien Le Bris#Marc-Antoine Le Bris#Aurore Laroche#Constantin Le Bris#Julienne Le Bris#Jeanne Marie Le Bris#Cléopâtre Le Bris#Sélène Le Bris#Jean-François Le Bris#Ange de Chastel#Maximilien Le Bris#Raoul Musclet#Kleber Musclet
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palestine holocauste isra hell
19.02.24 - Le ministre des Affaires étrangères Israel Katz a déclaré le président brésilien Luiz Inácio Lula da Silva persona non grata condamnant sa comparaison de la guerre d'Israël contre le Hamas à l'Holocauste.
Debout au mémorial de l'Holocauste Yad Vashem à Jérusalem, Katz, le fils des survivants de l'Holocauste, a dit à l'ambassadeur du Brésil Federico Mayer qu'Israël « n'oubliera pas et nous ne pardonnerons pas. »
« En mon nom, et au nom de tous les citoyens israéliens », a déclaré Katz, « dites au président Lula qu'il est une personne non reconnaissante en Israël jusqu'à ce qu'il rétracte ses déclarations. »
« Je vous ai amené dans un endroit qui témoigne plus que tout ce que les nazis et Hitler ont fait aux Juifs, y compris les membres de ma famille », a-t-il poursuivi. « La comparaison entre la guerre juste d'Israël contre le Hamas et les atrocités d'Hitler et des nazis est une honte et une attaque antisémite sévère. »
Exceptionnellement pour une réprimande diplomatique, les deux ont également visité Yad Vashem ensemble, et Katz a montré à Mayer les noms de ses grands-parents qui ont été tués dans l'Holocauste dans le Livre des noms.
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Le petit monde de Chao Planoy
Quand je commence le visionnage de la série Blank, quelque chose m’amuse beaucoup.
Le personnage principal de cette série s’appelle Nueng, appartient à une famille noble et sa sœur s’appelle Sam. C’est marrant parce que dans Gap, il y a Sam, femme d’une famille noble qui a une sœur qui s’appelle Nueng. Ce qui est encore plus drôle, c’est que Nueng signifie « un » et Sam, « trois » et dans les deux séries, elles ont une troisième sœur qui se prénomme Song, c’est-à-dire « deux ».
A ce moment-là, je me dis simplement que cela doit être commun dans les familles nobles thaïlandaises d’appeler leur enfant Nueng, Song et Sam.
Mais lorsque, dans Blank, Nueng rend visite à sa sœur, on apprend qu’elle vit avec une femme se prénommant Mon. Ça commence à faire beaucoup de coïncidences.
Dans les deux séries, Gap et Blank, il y a une grand-mère abusive, Sam aime les femmes et la sienne s'appelle Mon, Nueng est peintre, une artiste sans-le-sou... C’est là que je me demande si les deux dramas ne se dérouleraient pas dans le même univers ?
Après quelques recherches sur internet, je découvre que oui, Blank et Gap sont deux séries se passant dans le même univers. Les deux séries sont adaptées de romans de Chao Planoy, une autrice thaïlandaise à l’origine de plusieurs romans GL qui ont été adaptés en série ou le seront dans un futur plus ou moins proche. Toutes ses histoires sont interconnectées par leurs personnages. Ce que nous allons appeler le Chao Planoy Univers.
Je vais essayer de vous décrire les différentes connexions que nous pouvons voir entre les séries du Chao Planoy Univers. Je dois préciser que j’écris ce billet le 11 novembre 2024 et ne me base que sur les séries que j’ai vues et les informations que j’ai pu collecter sur MyDramaList.
Il y a tout d’abord Gap où Nueng, personnage principal de Blank, est la sœur ainée de Sam.
On retrouve d’ailleurs Sam, mais aussi sa petite amie Mon dans la série Blank.
Wan, le docteur Wanwiwa, est l’une des seules amies de Nueng et le personnage principal de Affair. Nueng va d’ailleurs faire une courte apparition dans Affair.
Pleng, second personnage principal de Affair, est une chanteuse qui tournera un clip dans la série Dream (My Marvellous Dream Is You) avec Wan (Dawan), personnage principal de la série précédemment cité.
Karn, personnage principal de Apple (Apple My Love), sera d’ailleurs la co-star du clip.
La série Us, qui devrait sortir d’ici peu, nous contera l’histoire de Dokrak et Pam, qui sont allées au lycée avec Dawan et qu’on a donc vu dans Dream.
En ce moment, est diffusée Pluto dans laquelle nous n’avons pas encore rencontré de personnages du Chao Planoy Univers et sont annoncées deux nouvelles adaptations de ses romans, Mate et Ryhthm.
Tous ces personnages reliés les uns aux autres me rappelle la toile d’Alice Pieszecki dans la série The L Word. Le projet du personnage, autrement appelé The Chart, est un élément central des premières saisons qui représentent toutes les relations amoureuses et sexuelles entre femmes lesbiennes et bisexuelles de Los Angeles. Cette conception des relations humaines nous rappelle à quel point le monde est petit.
Cette interconnexion des histoires de Chao Planoy n’est finalement pas si étonnante, puisqu’elles se déroulent toutes dans notre monde moderne, les protagonistes orbitent toutes autour de Bangkok et, encore une fois, le monde est petit.
Les séries n’étant pas adaptées par les mêmes équipes, on peut constater que Nueng a été interprétée par trois actrices différentes depuis 2022.
Mind Sawaros Nekkham dans Gap
instagram
Faye Peraya Malisorn dans Blank
instagram
Anna Sueangam-iam dans Affair.
instagram
Chao Planoy est donc une autrice en vogue dans les adaptations sérielles en Thaïlande, on peut même parler d’un starter pack pour un bon drama GL Thaï, mais on verra cela dans un prochain billet.
#gap the series#blank the series#chao planoy#thai drama#gl drama#my marvellous dream is you#affair the series#apple my love#us the series#the l word#the chart#faye malisorn#faye peraya#faye#Mind Sawaros Nekkham#Anna Sueangam-iam#chao planoy univers
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I want to talk about the following quote that is supposedly from a letter of the 18th of October 1771 from d'Eon to the Duke of Aiguillon:
Since it is required for the welfare of my country and an august personage, I agree to pass for a woman and promise to give no living soul evidence to the contrary. But what I cannot accept is to wear the clothing of the other sex, although for a time I did wear it in my youth in obedience to my king. To resume this disguise permanently, or even temporarily, would be beyond me; the mere idea appals me so much that nothing could overcome my revulsion.
This quote seems to have come Dr. John M. Mitchell's translation of Joseph Boulogne, called Chevalier de Saint-Georges by Emil F. Smidak. Smidak cites Mémoires du Chevalier d'Éon by Frédéric Gaillardet.
Mémoires du Chevalier d'Éon (1836) by Frédéric Gaillardet is a fictionalised novel that was loosely based on d'Eon's life. Gaillardet himself clarifies that much this book is fictional in his later nonfiction book Mémoires sur la Chevalière d'Éon (1866).
In his novel Gaillardet also includes a letter from the Duke of Aiguillon to d'Eon of the 6th of November 1773 in which Aiguillon informs d'Eon that if she wished to return to France she must do so as a woman.
Michel de Decker includes these two letters in his biography on d'Eon. However he points out Gaillardet doesn't include these letters in his 1866 nonfiction book only his 1836 fictional one. "Il faut bien se résoudre à admettre que lorsque Gaillardet ne trouvait pas une pièce du grand puzzle qu'est son roman historique, il la fabriquait!" [We must resolve to admit that when Gaillardet could not find a piece of the great puzzle that is his historical novel, he made it!]*
In fact in Gaillardet's 1866 nonfiction book he writes:
Nous n'avons trouvé, ni dans les papiers de sa famille, ni dans les archives des affaires étrangères, aucune preuve à l'appui de son assertion que Louis XV et le duc d'Aiguillon aient demandé sa métamorphose. Quant à Louis XVI et à M. de Vergennes, ils n'ont demandé, comme on le verra, la reprise de ses habits de femme qu'après la confession inattendue de son prétendu sexe, faite spontanément par d'Éon à Beaumarchais. [We have found, neither in the papers of her family, nor in the archives of foreign affairs, any proof to support her assertion that Louis XV and the Duke of Aiguillon requested her metamorphosis. As for Louis XVI and M. de Vergennes, they only asked, as we will see, for her to wear women's clothes again after the unexpected confession of her alleged sex, made spontaneously by d'Éon to Beaumarchais.]*
So it seems the letters are in fact fictional.
*google translate
#chevalière d'eon#frédéric gaillardet#someone posted this on tumblr witch caught my attention but the post is a few years old#and I didn't want to seem like I was calling them out on a years old post#they seem to have gotten a lot of their info from Gaillardet (perhaps indirectly)
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La lettre P
Pacane
Noix de pécan
Pain doré
Pain perdu
Palette
-> incisive
-> extrémité aplatie d’un bâton de hockey
-> visière
-> (de chocolat) tablette
-> (de bois) même définition que chez vous
Pantoute
Pas du tout, vraiment pas. (Habituez vous a celui-ci parce que vous allez l’entendre 24/7)
Paqueté
Ivre, saoul 🥴
Paqueter
Remplir
Exemples: j’ai paqueté mon char / la salle était paquetée.
Parenté
Groupe de personnes ayant un lien de parenté, famille élargie
Parlable
A qui on peut parler facilement. Facile d’approche, ouvert à la discussion.
Partisans
Supporteurs
Patente
Objet difficile à nommer ou à décrire. Un bidule. Un objet quelconque.
Patenter
Bricoler, réparer, fabriquer quelque chose avec des moyens limités
Patenteux
Bricoleur ingénieux
Patiner
Ne pas répondre aux questions, de trouver des excuses ou faire diversion.
Peinturer
Peindre un mur. (NDLR: peindre sera utilisé presque exclusivement pour décrire l’art de peindre une toile, une fresque…)
Perler
Parler avec l’accent français.
Petit bonhomme
-> terme affectueux pour s’adresser à un garçon
-> insulte s’il s’adresse à un adulte (peu utilisé)
-> (au pluriels) dessins animés
Exemple: Écoute moi ben mon p’tit bonhomme! Si mon p’tit bonhomme a envie de regarder ses p’tits bonhommes à 6h le matin c’est pas toi qui va l’empêcher s’tu clair!
Piasse / piastre
Dollars
Pichou
Personne au physique ingrat, très laid.
Picosser
Agacer, lancer des pointes
Picosseux
Quelqu’un de désagréable, qui picosse 🤣
Piler
-Poser pied, marcher sur
Pissant
Très drôle, amusant
Pissou
Peureux, craintif, lâche
Piton
Jeton, touche, bouton
Pitoune
-> (par un homme envers une femme) femme bien roulée. (Par une femme envers une femme) pétasse
-> (petite) affectueux pour une petite fille
-> tronc d’arbre qui flotte (googlez: drave. C’est super intéressant)
Placoter / placotage
-> Bavarder de choses sans importance
-> médisance, ragot, tenir des propos peu aimables
Planter
-> tomber tête première
-> cesser d’être fonctionner
Plaster
(Prononcer « plast-heure ») provient du terme anglais pour sparadrap, pansement
Plate
-> Monotone, ennuyant, barbant, désagréable
-> dommage, décevant
Exemple: Ah c’est ben plate qu’Edith a pas pu venir voir le dernier film de Gilles Lellouche. Mais bon, elle a pas manqué grand chose c’était vraiment plate. 😈
Pleumer
Perdre une couche superficielle de peau, généralement après un coup de soleil. Peler, desquamer.
Poche
-> nul, maladroit, incompétent
-> grand sac
-> scrotum
-> jeu
Pogner
(Je viens de me rendre compte que ce mot a beaucoup trop de définitions🤣🤣. Attachez vot tuque avec d’la broche on part)
Attraper, avoir du succès, coller, comprendre, devoir, être obligé de, émouvoir, être populaire, être coincé, être timide, être victime de (contracter), prendre, recevoir, rester pris, séduire, se faire attraper, se quereller, surprendre.
(Ouf! J’pense que j’ai fait l’tour)
Poisson
Personne bernée, dupée, crédule, naïve.
Polyvalente
Lycée (cours secondaire qui dure 5 ans, entre 12 et 17 ans)
Poudrerie
Blizzard, neige emportée par le vent
Pourriel
Traduction de « spam » « Junk mail ». Il s’agit de la contraction de « pourriture électronique » et « courriel »
Présentement
Actuellement, aujourd’hui, maintenant.
Mot du jour : pied
Outre le fait de définir la partie du corps, le mot pied est utilisé dans plusieurs expressions. En voici quelques unes.
Être pied
Être maladroit, gauche, nul, mauvais.
Être bête comme ses pieds
Être brusque, impoli, grossier… Parisien quoi! 😬🤣
Se tirer dans l’pied
Se nuire
En pied de bas
Être en chaussette.
Avoir le pied pesant
Conduire vite
Se placer les pieds
Se mettre en position avantageuse
Expressions
Se paqueter la fraise
Boire (alcool) à l’excès.
Paqueter ses p’tits
Ramasser ses affaires et s’en aller
Partir comme un p’tit poulet
Mourir doucement (peu utilisé, mais trop mini)
Partir sur une balloune
-> s’enivrer, parfois durant plusieurs jours (se dit aussi: partie sur une brosse)
-> avoir une lubie soudaine
Pas de chicane dans ma cabane
On ne veut ni querelle ni engueulade dans la maison
Pas si pire
Pas si mal, pas trop mauvais
Passer dans l’beurre
Passer inaperçue, passer dans le vide, rater son coup
Pelleter dans cour du voisin
De débarrasser d’un problème en le refilant à quelqu’un d’autre.
Péter au frette
Mourir subitement
Péter d’la broue
Se vanter
Petit train va loin
C’est en prenant soin de faire les choses correctement qu’on l’assure du succès d’un projet.
Pleuvoir à boire debout
De fortes averses, pluies intenses
Prend ton gaz égal
Façon de dire à quelqu’un de se calmer.
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Après les quatre familles d'anciens chaebols, c'est l'heure de découvrir les quatre dernières familles. Elles règnent sur le pays depuis une vingtaine d'années pour la plupart et ont réussi à se faire un nom et un statut très rapidement, grâce à l'exploitation des nouveaux domaines technologiques et des nouvelles avancées de ces dernières années.
NOUVEAUX CHAEBOLS, DEVENUS PUISSANTS AU COURS DE CES 20 DERNIÈRES ANNÉES
HALLYU MEDIA GROUP Création : 5 décembre 2000. Fondateur : Shin Donghyun.
Autre dirigeants : Shin Mansik (dirigeant actuel, cousin du précédent).
Fondé au début des années 2000, ce groupe a su exploiter la vague "Hallyu" qui a propulsé la culture coréenne sur la scène mondiale à travers la musique k-pop et les dramas. Hallyu Media Group possède plusieurs chaînes de télévisions coréenne populaires, reconnues pour diffuser certains des programmes les plus regardés du pays. Hallyu Media Group détient également l'une des plus grandes agences de talents de Corée, NW (Next Wave) Entertainment, qui regroupe certains des plus grands noms de la K-pop ainsi que des acteurs et mannequins de renommée.
FAMILLE SHIN
Les nombreuses conquêtes de Shin Mansik ne manquent jamais de faire réagir la presse. En plus d'avoir divorcé de sa première femme alors enceinte, pour épouser une seconde à qui il avait déjà fait un enfant, le CEO de Hallyu Media Group est connu pour avoir épousé la veuve de son cousin dont il a hérité de l'entreprise, dès la seconde où celui-ci s'est éteint. Malgré des repas de famille assez particuliers et quelques accrochages entre demi-frères et demi-sœurs, les enfants de Shin Mansik, tous mélomanes, danseurs, modèles, ou acteurs, participent activement à l'œuvre familiale : deux des plus âgés assistent leur père dans la direction de son agence de talent sous l'égide du Hally Media Group et ont recruté et débuté certains des idols et des acteurs les plus en vogue du pays. Les autres aiment mettre leur talent au profit de l'agence VividStar Agency, en tant que chorégraphe, acteurs ou producteur de musique. Deux des plus jeunes sont des idols déjà débutées ou sur le point de l'être, et sont en passe de devenir les it girl et it boy de leur génération. Mais peut-on réellement faire confiance à une agence bâtie sur la trahison, le mensonge, la rivalité et le piston ?
Shin Mansik (M, 59 ans). Marié à Lee Jinhee (F, 60 ans). - Shin Prénom au choix (F, 32 ans). - Shin Prénom au choix (M, 30 ans). Remarié à Park Haejin (F, 52 ans). - Shin Prénom au choix (M, 31 ans). - Shin Prénom au choix (M, 27 ans). - Shin Prénom au choix (F, 24 ans). Remarié à Kang Junga (F, 45 ans). - Shin Prénom au choix (M, 23 ans). - Shin Prénom au choix (F, 21 ans). - Shin Jisoo (F, 12 ans).
NEOMMA INNOVATIONS Création : 6 août 1998. Fondateur : Yun Seungho (dirigeant actuel).
Autre dirigeants : /
Fondé dans les années 2000, Neomma Innovations est l'un des nouveaux chaebols les plus influents du pays. Spécialisé dans l'électronique et les télécommunications, ce groupe est l'illustration de l'essor technologique rapide en Corée du Sud. Neomma Innovations possède la marque d'électronique Neomma, concurrent direct de Hyeonmi Electronics, qui se distingue par des smartphones et des tablettes au design épuré. Le groupe a également fondé Yeoboline, un opérateur téléphonique et fournisseur d'internet apprécié pour ses prix abordables, et développé plusieurs jeux mobiles très populaires chez les jeunes sud coréens. Enfin, Neomma Innovations est à l'origine de l'application de messagerie instantanée Yeobotalk, et du réseau social NeoSpace, largement utilisés dans tout le pays. Neomma Innovations investit actuellement dans la recherche et le développement et espère lancer prochainement des réseaux 6G.
FAMILLE YUN
Depuis qu'il a fêté ses 75 ans en décembre dernier, Yun Seungho prépare soigneusement sa retraite et met en ordre les affaires de son entreprise qu'il souhaite laisser entre les mains les plus honnêtes et compétentes possibles. Sa relation avec son fils aîné, Jinhwan, n'a jamais été très bonne, et semble ne se déchirer que plus au fil des années. Homme particulièrement dur et distant avec ce fils qu'il considère médiocre malgré la place importante qu'occupe ce dernier au sein de Neomma Innovations, Seungho préfère fonder tous ses espoirs sur sa petite-fille aînée pour qui il éprouve beaucoup d'affection et d'estime, et qu'il considère comme une jeune femme prometteuse. Quant à la sœur jumelle de cette dernière, elle semble plutôt se ranger du côté de Jinhwan avec qui elle partage une relation très fusionnelle, et qui préférerait la voir reprendre le flambeau. Le petit dernier de la famille cache quant à lui beaucoup d'insécurités liées à son manque d'engagement et à sa naïveté, chacun des deux camps souhaitant l'accaparer. Si cette famille ne parvient pas à trouver un terrain d'entente, les jumelles sont déchirées entre la loyauté qu'elles éprouvent pour leur mentor respectif et l'entreprise familiale, et ce lien indéfectible qui les lie entre elles.
Yun Jinhwan (M, 45 ans). Marié à Kang Hyejin (F, 46 ans). - Yun Prénom au choix (F, 23 ans). - Yun Prénom au choix (F, 23 ans). - Yun Prénom au choix (M, 20 ans).
SANGHO CORP
Création : 6 juillet 1999. Fondateur : Ong Joonsuk. Autres dirigeants : Ong Joonho (dirigeant actuel, frère du précédent)
Avec une présence marquée dans le secteur de la santé, Sangho Corp est impliqué dans la recherche pharmaceutique, la production de médicaments et la gestion d'établissements de soins. Le groupe a notamment racheté, modernisé et agrandi le Namsin Private Hospital, un centre médical privé dans la capitale, réputé pour la qualité de ses soins, ses médecins renommés, et ses technologies médicales. Plus récemment, Sangho Corp a choisi d'investir dans le secteur de l'hôtellerie par la création d'une série d'hôtels de luxe en Corée du Sud, ainsi que dans le secteur de l'éducation, en créant quelques institutions académiques qui forment notamment leurs étudiants à la médecine.
FAMILLE ONG
TW : MALADIE INCURABLE
Si tous les membres de la famille Ong sont de talentueux médecins ou de brillants étudiants, c'est avant tout grâce à leur travail acharné et à leur formation de qualité. Chirurgien esthétique ambitieux, particulièrement fier de son œuvre et très impliqué dans son hôpital privé de Namsin, Ong Joonho a à cœur de former chacun de ses enfants à devenir des médecins de renommée. Mais lorsque le plus jeune enfant de la famille est atteint d'une maladie incurable en raison de son caractère inconnu, la famille doit faire face à des choix difficiles et à de nombreux sacrifices. Les enfants de Ong Joonho choisiront-ils la fidélité et l'amour qu'ils éprouvent pour leur famille ou privilégieront-ils leur bonne conscience ?
Ong Joonho (M, 47 ans). Marié à Kim Sookja (F, 49 ans). - Ong Prénom au choix (F, 24 ans). - Ong Prénom au choix (M, 20 ans). - Ong Yujin (F, 15 ans). - Ong Jihoon (M, 11 ans).
NAMU CORP Création : 26 octobre 2002. Fondateur : Nam Joonseok (dirigeant actuel).
Autres dirigeants : /
Reconnu pour ses activités diversifiées dans les domaines de la banque, la finance, les assurances et le commerce, Namu Corp est aujourd'hui un acteur clé du secteur économique sud-coréen. Fondée en 2002 par Nam Joonseok, l'entreprise a connu une rapide expansion. A la tête de plusieurs banques, banques en ligne et institutions financières, Namu Corp offre des services bancaires tels que des prêts, comptes d'épargne, cartes de crédit et investissements. Namu Corp est également actif dans le secteur des assurances. En 2004, le groupe a lancé Solara, une plateforme de commerce en ligne mondiale. Plus récemment, Namu Corp a développé Namu Ride et Namu Eats, des services de covoiturage et de livraison de nourriture.
FAMILLE NAM
TW : HOMICIDE INVOLONTAIRE, MORT INFANTILE
Homme d'affaire brillant et ambitieux, Nam Joonseok s'est construit seul et a permis à sa famille de profiter largement de la réussite de son entreprise. Bien qu'étant un père et un mari aimant, il souffre des problèmes de santé de son épouse, soignée dans le meilleur hôpital privé de la capitale depuis 2010. Cette année là, le couple a tragiquement perdu leur plus jeune fils, alors âgé de quelques mois, dans un accident impliquant l'aîné de la famille, âgé de 11 ans au moment des faits. Bien que l'accident ne fut pas intentionnel, Nam Joonseok garde en lui beaucoup de rancœur à l'égard de son fils qu'il considère malgré lui responsable des problèmes de santé de son épouse. Leur relation est particulièrement difficile et Joonseok peine à montrer son amour et son soutien à ce fils qui vient pourtant de faire ses premiers pas dans l'entreprise familiale, préférant se concentrer sur sa fille cadette. L'aîné de la famille est aujourd'hui hanté par la culpabilité de son geste et vit dans l'espoir d'être remarqué et d'attirer la fierté d'un père qui ne lui montre que de la froideur.
Nam Joonseok (M, 49 ans). Marié à Park Haekyung (F, 47 ans). - Nam Prénom au choix (M, 25 ans). - Nam Prénom au choix (F, 20 ans). - Nam Taehyun (M, 2009-2010).
#avatars rpg#forum rpg#forumactif#projet forumactif#pub forum rpg#pub rpg#rp#rpg#rpg asiatique#rpg forumactif#chaebol#annexe#ressources rpg#faceclaim rpg#pub rpg forumactif#pub forumactif
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In collaboration with @corinthy Chapters : 1/? Fandoms : Cult of the Lamb (Video Game) Rating : General Audiences Warnings : No Archive Warning Apply Relationship : The Lamb/The One Who Waits | Narinder, The Lamb & Ratau (Cult of the Lamb) Characters : The Lamb (Cult of the Lamb), The One Who Waits | Narinder, , Ratau (Cult of the Lamb), Aym (Cult of the Lamb), Baal, Original Follower Character(s) (Cult of the Lamb), Sozo (Cult of the Lamb) Additional Tags : Alternate Universe - Modern Setting, Comedy, Humor, Fluff and Crack, Slow Burn, Found Family, Fluff, Crack Fic, Love At First Sight, Other Additional Tags To Be Added, Tags May Change, Denial of Feelings
Lambert, issu d’une bonne famille, vit dans un quartier bourge de Lille. Malheureusement, son travail en tant que flic le force à essayer de démanteler un réseau de drogue où un certain Sozo serait à la tête.
Pour mener à bien son affaire, Lambert décide de rejoindre un clan de cassos de la street afin d’arriver jusqu’à son objectif. Cependant, le policier risque de découvrir ce qui n’a jamais vécu auparavant, il tomba in love de Narinder, le leader du clan qu’il a rejoint. Dont ce dernier découvre également son homosexualité. Une affaire haute en couleurs vous attend : drogues, frites, scooters, pétards. Surtout n’oubliez pas le maroille !
Les deux amants arriveront-ils à faire face à leurs sentiments ? Narinder assumera-t-il son homosexualité ? Lambert saura-t-il déceler cette affaire ? Ou se trahira-t-il envers lui-même et son travail ?
For my english followers : I will make a translation of this fic, I just need some time thanks <3
#cult of the lamb#cotl#narilamb#cult of the lamb narinder#cult of the lamb lambert#cotl lamb#cotl narinder#cult of the lamb fanfic#narinder x lamb#ao3 link#ao3 writer#ao3 fanfic#fanfic#cult of wazemmes fr#cult of wazemmes
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Alors j'ai remarqué des différences dans le passage d'Alastor dans la chanson "Hell's Great Dad". Dans la version anglaise, quand il dit "I'm truly honored that we build such a bound" dans la version française "On a un lien que rien ne peut remplacer" (We have a bond that nothing can replace). Je sais que ça implique Lucifer mais aussi j'ai aussi l'impression qu'il écarte Vaggie aussi dans cette ligne en vf.
On continue en anglais avec "You're like the child that I wish I had" mais en français ça dit "On devient une famille grâce à cette affaire" (We're becoming a family thanks to this affair.) Déjà les deux réplique implique l'idée d'écarter la famille Morningstar en isolant Charlie. Mais la ligne en français, pourrait aussi renforcer l'idée qu'Alastor travaille pour Lilith dans cette réplique. Puis en anglais "I care for you like the daughter I spawned" en français c'est "Je veille sur toi et je vais même jusqu'à te border" (I'll watch over you and even tuck you in). Ouais, ça va pas juste à garder à un oeil sur elle, ça va jusqu'à ce qu'elle s'endort et qu'elle fasse des cauchemars avec Alastor qui les regarde avec plaisir.
On continue avec Alastor aidant Charlie en anglais "they say when you're looking assistance it's smart to pick the path of least resistance." Et là pour le coup je me demandais si c'était une expression. Une rapide recherche semble dire que c'est le cas vu que c'est plus rester dans sa zone de confort. En vf ça dit "Si le poids de tes soucis est immense tu pourras toujours compter sur ma puissance" (If the weight of your worries is immense you can always count on my power). Je pense que c'est pareil dans le sens que ça reste dans la zone confort mais qu'Alastor parle plus de puissance que de résistance en va. Puis dernière ligne en anglais Alastor dit "Sadly, there are times a birth parent dud. They say the family we choose is better" en vf il dit "Malheureusement on ne choisit jamais ses parents alors qu'on choisit toujours ses amis." (Unfortunately, we never choose our parents, but we always choose our friends) Ce que je trouve un peu plus rude dans la vf mais les deux se valent bien.
So I noticed some differences in Alastor's part in the song "Hell's Great Dad." In the English version, when he says "I'm truly honored that we build such a bound" in the French version "On a un lien que personne ne peut remplacer" (We have a bond that no one can replace). I know it implies Lucifer, but I also have the impression that he's dismissing Vaggie in this line too.
We continue in English with "You're like the child that I wish I had" but in French it says "On devient une famille grâce à cette affaire" (We're becoming a family thanks to this affair.) Already both lines imply the idea of sidelining the Morningstar family by isolating Charlie. But the French line could also reinforce the idea that Alastor is working for Lilith in this line. Then in English "I care for you like the daughter I spawned" in French it's "Je veille sur toi et je vais même à te border" (I'll watch over you and even tuck you in). Yeah, it doesn't just go to keeping an eye on her, it goes all the way to her falling asleep and having nightmares with Alastor looking with pleasure.
We continue with Alastor helping Charlie in English "they say when you're looking assistance it's smart to pick the path of least resistance." And here I was wondering if it was an expression. A quick search seems to say it is, since it's more about staying in your comfort zone. In French it's "Si le poids de tes soucis est immense tu pourras toujours compter sur ma puissance." (If the weight of your worries is immense you can always count on my power). I think it's the same in the sense that it stays in the comfort zone but Alastor talks more about power than resistance in goes. Then last line in English Alastor says "Sadly, there are times a birth parent dud. They say the family we choose is better" in French he says " Malheureusement on ne choisit jamais ses parents alors qu'on choisit toujours ses amis." (Unfortunately, we never choose our parents, but we always choose our friends) Which I find a little rougher in the French version, but both are equally good.
#hazbin hotel#hazbin hotel spoilers#lucifer morningstar#charlie morningstar#alastor#translation#I didn't notice a change for Lucifer part but I could be wrong#I would have probably more to say for more than anything#but we'll see
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Né le 8 juillet 1831 à Knoxville, en Géorgie, John Stith Pemberton est entré dans l'histoire en tant qu'inventeur de l'une des boissons les plus populaires au monde : le Coca-Cola. Décédé le 16 août 1888 à Atlanta, sa vie fut marquée par l'innovation et la transformation d'une simple idée en un phénomène global.
John Pemberton, issu d'une famille modeste avec son père James Clifford Pemberton et sa mère Martha L. Gant, a montré très tôt un intérêt pour la chimie et la médecine. Après avoir terminé ses études au Wesleyan College, il a choisi de poursuivre une carrière en pharmacie, une décision qui allait s'avérer révolutionnaire. En 1853, il épousa Ann Eliza Clifford Lewis. Le couple eut un fils, Charles Ney Pemberton, qui fut plus tard impliqué dans les affaires de son père. La vie familiale de Pemberton, bien qu'importante pour lui, était souvent éclipsée par ses expériences et découvertes en pharmacie. Avant de créer sa recette mondialement célèbre, Pemberton avait déjà fait preuve d'innovation dans le domaine pharmaceutique. En effet, il fut un des premiers à formuler ce qu'on appelle des "sodas médicinaux", des boissons conçues pour soulager divers maux en utilisant des extraits de plantes. L'histoire de Coca-Cola commence réellement dans les années 1880, lorsque Pemberton cherchait à créer un remède contre les maux de tête et la fatigue. Le contexte était celui d'une Amérique en pleine transformation, où l'urbanisation et le changement de mode de vie créaient de nouveaux besoins chez les citoyens. La première version de ce qui deviendra le Coca-Cola était initialement une boisson alcoolisée à base de vin de coca, connue sous le nom de "French Wine Coca". Toutefois, avec l'introduction des lois de prohibition à Atlanta en 1886, Pemberton a été contraint de reformuler sa boisson pour en retirer l'alcool, remplaçant le vin par un sirop sucré mélangé à de l'extrait de feuille de coca et à de la noix de kola, d'où le nom Coca-Cola. Le nouveau breuvage fut d'abord vendu en pharmacie comme un remède exotique pour divers maux, mais son goût unique et rafraîchissant en fit rapidement une boisson appréciée à sa propre valeur. Pemberton n'avait pas les moyens de commercialiser massivement son invention, mais il a vu le potentiel de son produit. Il s'est associé avec des hommes d'affaires locaux et a commencé à vendre le sirop aux pharmacies de la région, où il était mélangé à de l'eau gazeuse et servi au comptoir. Malheureusement, Pemberton ne verra pas le succès mondial de son invention. Affaibli par des années de dépendance à la morphine, une conséquence de blessures subies pendant la guerre de Sécession, il vendit les parts restantes de son entreprise à Asa Candler, un entrepreneur local. Candler fut celui qui transforma Coca-Cola en un géant mondial de l'industrie des boissons, utilisant des techniques de marketing innovantes pour rendre la marque synonyme de rafraîchissement et de plaisir. Il mourut en 1888, laissant derrière lui une boisson qui deviendrait un symbole de la culture américaine et un produit consommé par des millions de personnes dans le monde. Sa vie et son œuvre restent un témoignage de l'ingéniosité et de l'entrepreneuriat, démontrant comment une simple idée peut évoluer pour devenir une partie intégrante de la vie quotidienne globale.
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Été 1925, Hylewood, Canada (4/4)
Je relis ce que tu m’écris sur ta reprise de l’entreprise familiale. Tu me dis que tu n’es pas prête. Ton oncle ne s’est-il pas assuré que tu connaisses toutes les ficelles du métier ? Il travaille pour vos vignobles depuis son enfance. Avec une telle carrière, c’est attendu qu’il souhaite se mettre en retrait. Tu parles de ton oncle avec beaucoup d’admiration, tu sais que tu peux te fier à ses jugements. Et s’il juge que tu es prête, étant donné sa connaissance aiguë du métier, c’est que tu l’es sûrement. La question de ta capacité étant écartée, demande-toi : est-ce réellement ce que tu veux faire ? Maman me dit que vous êtes riches. Avec votre fortune, tu serais sûrement en mesure de payer quelqu’un pour gérer vos affaires à ta place. Le vrai bénéfice de la fortune, c’est qu’elle donne le choix. En fin de compte, ta grand-mère, ton oncle, tout le monde te donne l’impression que ce choix, tu ne l’as pas. Mais tu l’as. Ton père a fait le choix de refuser cette vie pour suivre ses passions. Tu m’écris l’envie que tu ressens quand tu vois toute ta famille, tes frères et tes sœurs, suivre leur voies et leurs désirs. Mais, si je peux me permettre… Et toi, Noé ? Que souhaites-tu ?
Tu écris que tu ne sais pas ce que cela veut dire que d’être adulte. En vérité, cela ne veut rien dire du tout. Être adulte, c’est la plus subtile des hypocrisies. On nous le présente comme le triomphe de la maturité, du contrôle, comme l’abdication de tout ce qui rend la vie délectable, comme la complaisance dans la morne discipline du quotidien et de la respectabilité. Ça serait plier son esprit aux conventions, brider ses désirs, étouffer ses rêves sous les impératifs du devoir, les sacrifier sur l’autel de la sagesse factice. On nous parle de responsabilité, mais quel mot effroyablement ennuyeux ! Mon père n’a jamais tenu une responsabilité de sa vie ; il s’enthousiasme à l’idée de l’Égypte comme ma petite sœur s’enthousiasme des cônes de neige de la foire ; doit-on dire qu’il n’est pas adulte ?
Je crois, Noé, que tu te poses tellement de question sur ce qui pourrait être, que tu en oublies de vivre. En cela, je suis plus enfant que toi. Quand je pêche le doré jaune, les deux pieds dans la rivière, je ne pense plus aux cargos, et aux contrats et aux chèques à encaisser. Je pense à ma ligne et je pense au soleil sur ma peau. C’est probablement ce que tu ressens quand tu es avec ton Jean. Puis je retourne à mes cargos de charbon, mais je ne suis pas angoissé. Je sais que je ne ferai pas cela toute ma vie, et je me sens tranquille. Toi, Noé, tu es tellement accaparée par tout cela que tu en oublies de vivre. Ça t’obsède, ça te poursuit partout, et dès que tu trouves un échappatoire, tu te précipites dedans pour ne pas te confronter à cette question que tout le monde semble - avec la plus grande bienveillance - t’empêcher de te poser : que souhaites-tu faire de ta vie ? Je te la pose, mais je n’attends aucune réponse. D’ailleurs, tu n’en auras peut-être aucune avant des années. On est jeunes, on a le temps de se tromper et de changer d’avis. Regarde, cette année, notre ancienne bonne, Mlle Carreau, a démissionné parce qu’elle a été recrutée pour le tournage d’un film. Elle a notre âge. Elle s’est rendue compte que cette vie ne lui plaisait pas, et elle en a changé.
Réponds-moi vite. Je t’embrasse affectueusement. Ton cousin,
Lucien LeBris
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Eté 1926 - Champs-les-Sims
4/10
J'ai pensé que ce serait dur les premiers jours. J'ai été naïve : ça a été très déstabilisant. Au lendemain, j'étais comme hors de mon corps, cela m'a un peu rappelé la façon dont Tante Rose endort ses patients (elle est chirurgien et elle adore parler de son métier). J'étais hors de moi, mais consciente, comme si j'étais une autre personne, et que ce problème n'était pas vraiment le mien. Comme si c'était arrivé à quelqu'un d'autre et que j'étais désolée pour lui. Cet état étrange a duré un bon moment. Oncle Adelphe a été très inquiet, mais il m'a dit que c'était le choc, que certains gars revenus de la guerre avaient un peu le même regard, et que ça finissait toujours par passer. Puis, il s'est passé une chose vraiment étrange.
Un jour où nous étions lui et moi dans le bureau à faire la comptabilité, quelques jours avant le mariage d'Anne, j'ai réalise quelque chose de grave. Et je l'ai réalisé à voix haute. Once Adelphe en a fait tomber les registres de l'étagère sous le saisissement. Puis je suis allée voir ma Grand-Mère, car il n'y avait qu'elle qui pouvait régler ce nouveau problème.
Transcription :
Arsinoé « Grand-Mère ? Je peux vous parler un instant ? »
Eugénie « Cela peut-il attendre, jeune fille ? Le livre de ta sœur est passionnant et j’aimerais au moins conclure ce chapitre. »
Arsinoé « C’est que… c’est vraiment urgent. »
Eugénie « Une urgence d’une nature précise ? »
Arsinoé « On peut dire ça. Je pense que je n’exagère pas en disant qu’il s’agit de l’avenir de la famille. »
Eugénie « Bon, fort bien ma petite. Qu’est-ce qui peut être si grave ? Tu n’as pas l’air si heurtée que cela. »
Arsinoé « Je ne sais pas vraiment pourquoi Grand-Mère, mais depuis ce matin, je me sens comme loin de mon corps. C’est toujours grave, mais c’est comme si je le ressentais moins. »
Eugénie « C’est étrange ce que tu me décris là ! Enfin bon, tu n’es pas la fille de ton père pour rien. Allons ne soit pas timide, qu’est-ce qui te préoccupe ? »
Arsinoé « C’est que… je ne sais pas comment le dire ! Vous allez vous fâcher ! »
Eugénie « Seigneur, puisque tu viens me voir c’est que tu le sais n’est-ce pas ? Et tu es venue quand même, je devine donc que c’est aussi grave que capital. Allez, crache-donc le morceau. »
Arsinoé « Il y a… ce garçon. »
Eugénie « Tu fréquentes un garçon. Je n’étais pas au courant, c’est déjà très agaçant pour moi. »
Arsinoé « Vous n’auriez pas approuvé Grand-Mère. C’était un garçon du commun, comme vous dites. »
Eugénie « Et bien voyons… Quelle malédiction pèse donc sur ma descendance pour que nous soyons tous des sots à même de se marier avec le premier laborieux venu ou la première souillon dont on croise le regard ? Je note cependant que tu utilises le passé. Tu ne le vois plus ? »
Arsinoé « Non Grand-Mère. Je ne veux plus le voir, et Oncle Adelphe y veille. »
Eugénie « Dieu merci ! Ce garçon est de loin le membre de cette famille qui a toujours le mieux veillé à nos intérêts. Et qui a fait le plus raisonnable des mariages ! »
Arsinoé « Il a épouse sa cousine ! »
Eugénie « Oui, c’est bien ce que je dis. »
Eugénie « Peu importe. Si tu ne vois plus ce garçon, le problème est réglé n’est-ce pas ? »
Arsinoé « Pas vraiment Grand-Mère. Il va épouser Cousine Anne. »
Eugénie « Adelphe est bien trop laxiste avec ses enfants, mais il ne s’agit pas de tes affaires si tu ne veux plus de lui. Alors dis moi une bonne fois pour toutes, où est le problème ? »
Arsinoé « ... »
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INDIGNE FILS
CHAPITRE 2
Je me souviens de ce 8 septembre, comme si c’était hier, Pas une seule journée sans que je me rejoue la scène ; examine le scénario à la loupe :
Si ma robe de cocktail avait été plus sobre ?
Mon décolleté moins profond ?
Mon rire plus pudique ?
Moins de coupes de Champagne ?
Moins aguichante ?
Et si, et si….
Mais Dieu en avait décidé ainsi, c’était ma destinée.
J’avais alors 33 ans et le soleil rayonnait.
L’après-midi, Paula et moi avons géré les derniers détails de la réception :
Accueillir le traiteur, le fleuriste, passer en revue les serveurs embauchés pour l’occasion. Une soixantaine de personnes avait été invitée.
Paula vantait, sans cesse, les qualités de leur hôte. Un bel homme qui portait beau. Il s’était engagé dans l’armée bien que sa qualité de juge l’en eut dispensé.
Il était né dans une famille d’exploitants agricoles. Un vrai gars du coin qui connaissait parfaitement les habitants de son état.
Vers 19 heures, il arrivât et Paula me le présenta. Il avait le verbe haut et se targuait d’être un patriote convaincu. C'était aussi un fervent croyant, certes il était catholique, nul n'est parfait.
Nous avons échangé sur la fin de la guerre et sur le retour de nos boys. Il avait été blessé lors d’une bataille, il était mitrailleur arrière. Je trouvais admirable son engagement alors que son adversaire était, tranquillement, resté au pays, planqué à Washington.
Nous avons échangé un long moment sur nos opinions politiques communes puis il alla saluer d’autres personnes.
la soirée suivit son cours. Je discutais avec Paula et les épouses de ses convives. Les hommes s’entretenaient de leurs affaires, de politique et d’argent tout en fumant des cigares.
Vers 22 h la soirée se rafraichit soudainement, j’allais donc chercher un châle dans ma chambre. J’avais bu quelques coupes de champagne et ressentais une légère ivresse. Je me dirigeais d’un pas dansant vers l’armoire.
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