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Faire du sport tard nuit à votre sommeil ; trauma ; reins et tissu adipeux
NOUVEAU PODCAST 👉 Faire du sport tard nuit à votre sommeil ; trauma ; reins et tissu adipeux. 🎙Pour écouter mon podcast : - Recherchez « la pause fitness » sur votre plateforme de podcast préférée - Ou rendez-vous en bio @fitnessmith, cliquez sur le lien, fitnessmith.fr/news puis dans « les nouveautés» - Ou rendez-vous dans votre boite mail pour les fidèles auditeurs #sport #fitness #sommeil #exercice #entraînement #santé #bienêtre #musculation #dormir #récupération #équilibredevie #santémentale #motivation #routinefitness #routinesommeil #bienetresportif #étudesport #prévention #sommeilprofond #motivationfitness #habitudesportive #formetard #routineexercice #entraînementsanté #neurogenèse #surpoids #résultatsfitness #performancephysique #alimentationéquilibrée #sommeilréparateur #sportetbienetre
Dans ce podcast, nous allons parler de problème de sommeil, le sport est le meilleur psy, la santé des reins et le tissu adipeux. Nouveau ! Comment rester en forme après 50 ans Sommaire du podcast : Faire du sport tard peut nuire à votre sommeil Une nouvelle étude de l’Université Concordia montre que l’exercice intense en soirée peut avoir des effets contradictoires sur le sommeil. Faire de…
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Pousser la porte et prendre une chaise
Hier soir, troisième semaine de réunion des Alcooliques Anonymes. C'est ma sixième réunion.
La plus belle réunion depuis la première.
Ça fait quinze jours que je suis abstinente, j’en savoure les premiers effets bénéfiques. Je dors le même nombre d’heure mais la qualité de mon sommeil s’est significativement améliorée, si l’on exclue les réveils nocturnes causés par le chat. Je me sens calme, reposée, mon humeur s’est stabilisée : je ne pars pas dans les tours, je n’ai pas l’impression d’avoir besoin de re-fonder ma vie entièrement et sur de nouvelles bases, chaque matin. Je ne me mets pas en colère, je ne panique pas dès qu’un problème se présente, je suis tranquille. Je crois que j’ai cessé d’avoir peur tout le temps, et d’avoir honte. Je n’ai plus cette croix à porter, si lourde sur mes épaules, le lendemain d’une simple bière légère.
Je suis même heureuse, je peux le dire. C’est aussi simple. C’est ce sentiment euphorique qui m’avait convaincu d’arrêter la thérapie. Je me souviens de ce fameux mois de septembre, il y a un an et demi, où tout roulait, mon quotidien, ma vie sociale, mes valeurs, l’intérêt que je portais à la vie, le désir, l’enthousiasme. Sans alcool. J’ai replongé après, mais c’était la première fois de ma vie que je me sentais légère et joyeuse, durablement. J’ai passé un temps infini à livrer une bataille titanesque contre le poison qu’insinuait l’alcool dans mes veines, même quand je ne buvais pas deux jours, et c’est ça que je trouve fascinant aujourd’hui, en écrivant et réfléchissant à mon rapport à l’alcool, c’est que tant qu’on n’est pas abstinent, tant qu’on laisse une place à l’alcool dans notre vie, même quand on ne le consomme pas abusivement, il nous empoisonne l’esprit. Il est présent. Il ravive une petite honte, une fatigue, des souvenirs douloureux, des symptômes physiques. Il reste physiquement et mentalement dans notre système et nous met des bâtons invisibles dans les roues. Il change la face de notre quotidien sans qu’on s’en aperçoive.
J’ai tellement lutté pour dépasser la honte et la culpabilité d’être alcoolique, que j’ai développé à force d’obstination et de persévérance, des attitudes très saines pour compenser cet excès morbide. J’apprenais à lire tous les jours, à faire du sport régulièrement, j’ai mis en place des routines du matin, du soir, essayé des choses, reporté, recommencé, pendant des mois, à installer des habitudes pour bien vivre. J’ai lutté pour ma santé mentale. C’est un cadeau que je me suis fait : après tant d’effort pour les inscrire dans mon quotidien, arrêter l’alcool a suffit. Toutes ces habitudes qui me demandaient tant d’effort face à la petite voix de mon cerveau qui me disait : “tu es nulle”, “tu n’arriveras jamais à rien”, “tu ne sais rien faire”, deviennent infiniment plus simples depuis que j’ai retiré l’alcool de ce même quotidien. Tout est plus simple, alors, juste comme ça, je suis simplement heureuse. J’ai enlevé le bâton de ma roue, et je l’ai fait quand j’ai compris qu’il fallait le faire pour moi. Arrêter de boire, je l’ai fait pour moi, et il n’y a pas d’autre façon d’arrêter de boire.
Le partage de P. Hier en réunion parlait de ça. Pour certains, on arrête pour les autres, pour retrouver un travail, récupérer son permis, son appartement… mais c’est seulement quand on comprend qu’on mérite d’arrêter de boire et d’aller mieux, soi, parce que personne ne le fera pour nous, qu’on passe le cap de l’abstinence. On replongera plusieurs fois, mais on n’attendra plus que la solution viennent de l’extérieur. C’est pas qu’on en est pas capable, mais on arrête de boire seulement quand on se met à penser qu’on le mérite. Parce que nous sommes nos propres parents, nous devons d’abord être aimés par nous même, comme nous aurions aimé être aimé au départ. Toutes les personnes que je croise en réunion ont eu des enfances et des foyers dysfonctionnels. C’est tellement fort d’être parmi les siens. D’être parmi des gens qui comprennent ce que c’est que de vouloir se détruire parce qu’on n’a pas trouvé d’autre voie dans la vie, parce qu’on a pas trouvé de soutien ni de raison, déjà tout petit, de se lever et d’avancer.
Hier soir, j’ai trouvé du soutien. J’ai senti mon appartenance. Comme a dit S. Ici, j’ai ma place, parce que quand j’arrive, j’ai une chaise pour m’asseoir. Je peux m’exprimer. Personne ne va m’interrompre, je vais parler aussi longtemps que je le veux, et ces gens vont m’écouter comme on ne m’a jamais écouté nulle part. Ces gens dont je ne sais rien, à part les lieux sombres de leur addictions, leurs démons, leurs joies aussi dans leur rétablissement, m’ont apporté plus que ne l’a jamais fait ma propre famille.
Il y a trois semaines, c’était Noël. Un événement tellement désacralisé et obligatoire, qu’il ne ressemble plus qu’à un simple repas de famille du samedi midi. Il ne s’est rien passé de différent, mais j’ai mis deux semaines à m’en remettre, à me sentir terriblement vide, blessée, profondément malheureuse, dévastée, déprimée. Je n’arrivais plus à sortir de ce marasme d’idées noires, jusqu’à me dire mais à quoi bon ? À quoi bon vivre, si c’est pour ressentir ça ? Mais alors que s’était-il passé là-bas, pour qu’avec ma propre famille, je me sente si abîmée ? Et bien, il n’y avait rien. Pas de lien, pas de regard, pas de sourire, pas de câlin, pas même une tape sur l’épaule, un compliment ou une parole affectueuse. Que des visages renfrognés derrière des masques de personne qui luttent, qui ne veulent pas montrer leurs émotions, ni les ressentir ni les offrir. Pas d’écoute, pas d’attention, pas d’amour. Pas de connexion. Rien, en vérité. Des mots vides, répétés cent fois, sans foi, des mots qui passent entre les couverts, les verres de vins et s’échouent plus loin au pied de la table. Des ricanements débiles, des moqueries, des humiliations même parfois, de celles qui vous saccagent l’esprit avant même de savoir que vous en avez un.
Hier, T. A dit une phrase qui m’a fait réfléchir. La puissance supérieure des AA, c’est la puissance supérieure que nous avions placé dans l’alcool et qui nous dictait nos façons d’agir. Il suffirait de la déplacer dans autre chose, que ce soit Dieu, que ce soit l’Univers, que ce soit le groupe. Je crois qu’il a raison. Il existe encore quelque part dans mon cerveau une croyance, que je tends à déconstruire à présent grâce au programme, une croyance que l’alcool va m’aider à ne plus ressentir la souffrance d’abandon que m’a fait vivre ma famille, qu’il va m’aider à m’extirper de ma dépendance affective. J’ai déplacé en quelque sorte, ma dépendance désastreuse à ma famille, vers une dépendance désastreuse à l’alcool. Car je souffrais, et je souffre encore profondément, Noël me l’a montré. Renoncer à l’alcool, c’est aussi renoncer à cet amour que je n’aurai jamais, ce soutien que je n’aurai jamais, de leur part. Renoncer à mes dépendances, c’est m’accorder enfin la liberté de vivre sans cela, d’en faire le deuil. C’est vivre librement, sans attendre ce réconfort qui ne viendra jamais, qui n’est qu’illusion, et se change en griffe quand on s’approche un peu trop près.
Les personnes dépendantes cherchent à jamais la nourriture affective dont ils ont manqué, cherchent à jamais la sécurité affective et l’attention qu’on leur a refusé. Jusqu’au jour où ils s’aperçoivent que le produit qu’ils consomment possède la même essence que ce poison d’abandon, que le dépit familial. Consommer à outrance, c’est s’enfoncer un peu plus dans la mort et les idées noires, à rechercher l’oubli et l’aisance que nous aurait apporté cet amour initial. Mais la vie sans eux est plus douce, et c’est cela qui soigne.
Remplacer un vide par un gouffre, mais alors qu’est-ce qui vient après ? Comment remplace-t-on l’alcool ? Je crois que les AA sont effectivement une réponse. Je crois que ça marche. Ils m’apportent, une à deux fois par semaine, une drogue douce, humaine : la connexion, le partage, l’écoute, le soutien, gratuit, inébranlable, inconditionnel. Une drogue de rêve que j’ai désespéré de trouver un jour, alors qu’il suffisait de pousser la porte, et de s’asseoir sur une chaise.
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Coucou Maman,
Tu sais j'ai été beaucoup en colère contre toi dans ma vie, encore maintenant quelques fois mais c'est normal
Pourtant
Malgré tout
Je t'aime très fort
Et je sais quand tu as raison, je sais reconnaître mes erreurs
Mais
Comme tu as dit la dernière fois, c'est compliqué
C'est compliqué d'admettre qu'on s'est trompé, d'admettre qu'on est dans une situation compliquée, d'admettre qu'on a besoin d'aide
C'est vraiment très dur
Tu sais j'aimerais réussir à te parler de tout ça, réussir a t'expliquer
J'aimerais réussir à t'expliquer que je suis terrorisée de partir mais aussi de rester là
Que je suis dans la précarité financière, que je dilapide mes économies parce que j'ai pas le choix
Que je me sens prise au piège
Que si je perds du poids c'est pas parce que je me suis remise au sport mais parce que je saute des repas, parce que les placards sont vides
Que si je suis aussi fatiguée en ce moment c'est pas à cause du temps mais parce que je dors moins de 5h par nuit, parce que j'y arrive pas, parce que mon sommeil est pas réparateur, et puis aussi parce que je prends beaucoup de drogues
Enfin un peu moins récemment mais quand même
J'aimerais réussir à te regarder dans les yeux et te dire que je consomme
J'aimerais réussir à affronter ton regard, ton jugement mais aussi ton inquiétude si je te disais à quoi ressemble mon quotidien ici
J'aimerais réussir à t'expliquer à quel point je m'inquiète pour moi-même
Pour ma santé
J'aimerais réussir à t'expliquer toutes ces choses qui se passent entre lui et moi qui me rongent mais sur lesquelles j'essaye de fermer les yeux vainement
J'aimerais réussir à t'expliquer que j'en suis arrivée à un point où je sais tellement plus quoi faire que j'envisage même de vendre mon corps
J'aimerais réussir à t'expliquer tout ça
T'expliquer que je suis tellement tellement seule et isolée
Réussir à te regarder dans les yeux et te dire que tes inquiétudes étaient justifiées, que tu avais raison
Réussir à te parler de ma peur et de mon inquiétude quelques fois, quand il aborde la violence, quand il parle de l'armée, quand il a envie de se battre
Réussir à te dire que j'ai mis tous mes principes et mes valeurs de côté, que je deviens ce modèle détestable que j'ai toujours voulu éviter, que je suis devenue cette femme que je m'étais juré de ne jamais être parce que ça ne me correspond pas
Parce que je deviens cette femme-objet, cette femme qui met sa vie entière entre parenthèse pour l'autre, cette femme qui renonce à ses ambitions pour entretenir le "foyer" seule
Réussir à te dire que j'ai plus la force, que je veux juste baisser les bras et tout abandonner
Je suis fatiguée de me battre
Réussir à te dire qu'au final
Le silence
C'est tout ce qu'il me reste
Alors je m'emmure dans ce silence
Comme une prison dorée
Parce que c'est plus simple de rien dire que d'admettre tout ça
C'est plus simple de continuer d'avancer en fermant les yeux que de s'en aller
J'aimerais réussir à te dire tout ça maman
Et tellement plus encore si tu savais
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Je suis un chien du 21ème siècle.
Je suis un Malinois.
Surdoué parmi les chiens, je brille dans toutes les disciplines et je suis toujours prêt à travailler. Aujourd’hui, on me demande de me prélasser sur le canapé toute la journée.
Je suis un Akita Inu.
Chien de chasse hors pair, mes ancêtres ont aussi été employés pour les combats de chiens. Aujourd’hui, on me demande d’être tolérant avec mes congénères, et on me reproche ma réactivité quand l’un d’eux s’approche de moi.
Je suis un Beagle.
Quand je poursuivais ma proie, je donnais de la voix pour que les chasseurs puissent me suivre. Je menais la danse. Aujourd’hui, on me met un collier électrique pour que je me taise, et on voudrait que je revienne au rappel en un claquement de doigts.
Je suis un Yorkshire Terrier.
J’étais un redoutable chasseur de rats dans les mines anglaises. Aujourd’hui, on pense que je ne suis pas capable de me servir de mes pattes et on me garde toujours dans les bras.
Je suis un Labrador Retriever.
Ma vision du bonheur, c’est un plongeon dans un étang pour ramener à mon maître le canard qu’il vient de tirer. Aujourd’hui, on a oublié que j’étais un chien de sport, je suis obèse et je dois jouer la nounou des enfants.
Je suis un Jack Russel.
Je suis capable de tenir tête à un renard plus gros que moi dans son propre terrier. Aujourd’hui, on me reproche mon fichu caractère et on voudrait faire de moi un chien de manchon.
Je suis un Husky Sibérien.
J’ai connu les grands espaces du Nord de la Russie, où je pouvais tracter des traîneaux à une vitesse impressionnante. Aujourd’hui, je n’ai pour seul horizon que les murs du jardin, et pour seule occupation les trous que je creuse dans le sol.
Je suis un Border Collie.
Je suis fait pour travailler huit heures par jour, et je suis un artiste incomparable du travail au troupeau. Aujourd’hui, on m’en veut parce que, faute de brebis, j’essaie de contrôler les vélos, les voitures, les enfants de la maison, et tout ce qui est en mouvement.
Je suis un chien du 21ème siècle.
Si je te plais, si tu rêves de moi depuis toujours, si mes beaux yeux azur ou mon look d’athlète te font envie, mais que tu ne peux pas m’offrir une vraie vie de chien, une vie qui vaut vraiment la peine d’être vécue, et si tu ne peux pas me proposer le travail que réclament mes gènes... alors renonce à moi. Si mon allure te plaît mais tu n’es pas prêt à accepter mes traits de caractère issus d’une sélection génétique rigoureuse, et que tu penses pouvoir les changer avec ta seule bonne volonté... alors renonce à moi. Je suis un chien du 21ème siècle, oui. Mais, tapi au fond de moi, sommeille encore celui qui combattait, celui qui chassait, celui qui tirait des traîneaux, celui qui guidait un troupeau. Et, tôt ou tard, il s’éveillera. Pour le meilleur ou pour le pire.
Article d'Elsa Weiss
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Je ne sais pas comment développer un esprit propice à l'acquisition et à la mémorisation des connaissances.
Je suis allé me confronter à la chose que j’aime et que je redoute, les sciences. Là où on m’a toujours dis que j’avais du potentiel mais mon manque d’investissement me freinait dans la réussite de cette discipline.
Je vois ceux réussir dans les maths, aussi facilement qu’ils diraient bonjour pendant que moi je galère à avoir un niveau bac s (bon cette prépa veut faire de nous des futurs étudiants en médecine ou ingé alors je suppose que c’est plus que le niveau bac s)
Il y a beaucoup de chose que je ne sais pas faire que des collégiens savent faire.
Pour l'instant j'en suis encore où je récupère un sommeil décent, je mange deux fois par jour, mon hygiène est décente, je vois mes amis, je sors, je me remets au sport, j'améliore mon image.
La prochaine étape c'est les diplômes et tout ce que ça implique dans ce parcours...
J'en ai aucune idée de si j'ai les épaules pour.
J’en doute…
Tout ça me fais douter vraiment de mon intelligence et j'ai aucun moyen de la vérifier c'est ça le pire
Entre les « t'es limité » de l'un et les « jsp si tu es bête en fait » de l'autre. La répétions ça fais assimilation.
J'ai l'impression d'être une personne debile et lente et que je suis le seul à ne pas le voir que je suis comme ça.
C’est pas les maths ni la physique qui est difficile, c’est moi qui est stupide.
Le tda ajouté à tout ça, me désespère encore plus, il est un tel handicap dans ma réussite sur tout les plans.
Suis-je au max de mon potentiel ? En ai-je un btw ? Si j’arrive pas à réussir ça à acquérir ce diplôme comment je vais faire après ? C’est représentatif de ma pauvreté intellectuelle.
Je suis sûr que je suis en dessous de la moyenne en terme de Q.i
Je suis lent, j’arrive pas à comprendre les choses, rien à voir mais suffit de me voir avec ma kiné, j’arrive pas à reproduire la moitié des exercices qu’elles me donne comme si j’avais un problème au niveau psychomoteur, de la motricité, il doit être au niveau d’un nouveau né.
Je suis trop stupide pour ce monde, enfin, le monde du travail, j’ai mis 10 000 ans à mesurer un angle de mur pour y insérer un meuble svp
J’ai envie de me foutre en l’air, premier degré ça fais partie de mes raisons.
Il suffirait que quelqu’un me dise clairement les choses, que oui un lycéen serai faire ce que je n’arrive pas à faire en math, que j’ai un vocabulaire et une expression digne d’un primaire, et que je suis long à la détente.
Vous savez quoi ? Je ne comprend toujours pas comment on trouve la solution à ça
Une baguette et un bonbon coûte 1.10€ au total, la baguette coûte 1€ de plus que le bonbon, combien coûte le bonbon ?
Voilà je crois que j’ai envie de pleurer tellement je suis médiocre et que tout le monde le sait mais personne me le dit
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Bon je fais ça et juste après, un bilan de l'année, comme d'hab, ça ne sert à rien de lire, je note ça surtout pour moi.
Et de nouveau, les petites explications d'usage : le level 10 est un outil de développement personnel qui propose de définir 10 domaines de la vie, leur mettre des points le moins subjectivement possible et trouver des moyens d'augmenter ces points pour un ou plusieurs domaines.
Je fais ça depuis des années, régulièrement et ça m'a permis beaucoup de changements parce qu'il y a parfois tellement de trucs qui ne vont pas et qui s'imbriquent les uns dans les autres que c'est parfois compliqué de savoir par où commencer. Le level 10 permet de faire des liens et de noter des solutions et des moyens d'y arriver.
A chaque fois que je le fais, je garde un œil sur la fois précédente pour savoir si j'ai mis en pratique les solutions auxquelles j'avais pensé.
Alors c'est parti:
1. Couple 7/10, on était à 3/10.
Ça va mieux. Des choses ont été mises à plat, la quiétude est de retour chez nous. On passe même un peu plus de temps ensemble. Il a des collègues, un en particulier, dont la femme est hyper chiante et castratrice et il se rend compte que je suis assez cool malgré que je n'entre pas dans la normalité qu'il attend. Il se dit que la normalité est peut-être chiante, finalement.
Autre chose : cette semaine ça va vraiment bien et je pense que mon doigt amoché n'y est pas pour rien. Je suis habituellement très indépendante et organisée, je gère énormément y compris les trucs plus lourds, et cette semaine ma main gauche est +- HS, et je dois demander de l'aide, voire même le laisser faire certains trucs et mon côté perfectionniste doit se mettre en veilleuse un peu. Peut-être que ça lui fait du bien de se sentir plus utile à l'organisation du quotidien. Bon c'est sévère ce que je vais dire mais c'est pas dit qu'il tiendrait comme ça si j'étais dépendante pendant un ou deux mois, là ça ne fait qu'une semaine.
Cette année je vais prendre ma semaine de congés en même temps que lui, c'est dire si ça va mieux...
2. Amitié/famille, ça va ça va. 9/10, comme la dernière fois.
Concernant "les gens", les connaissances, je crois que je commence à me résigner en fait. Les gens viennent et puis s'en vont. Certains restent. Tant mieux, et tant pis pour les autres, et tant pis pour moi, mais ce n'est pas grave, j'en sais rien en fait, c'est mon cœur qui s'endurcit peut-être.
2022 a été la pire année de ma vie au niveau relationnel. J'ai souffert, je souffre encore de l'absence de certaines personnes. J'essaie d'en tirer enseignement mais plus on avance et moins j'ai envie de compter sur les autres. Impossible de savoir si c'est un bon bilan ou pas.
En tout cas, rien n'a changé depuis le dernier level 10: j'ai quelques ami.es précieux.ses, j'ai de bonnes relations professionnelles avec les gens avec qui je bosse, je suis ravie de ma relation avec l'ado, pour l'instant (restons prudents), je n'aime pas particulièrement les fêtes de famille mais la dernière fois qu'on a vu mon frère, je me suis bien entendue avec ma belle sœur, et leur fils est adorable donc on a passé un bon moment. Les points ne changent pas, du coup.
Pas d'objectif ici, j'espère m'adoucir un peu mais c'est un peu reposant aussi d'avoir un coeur de pierre.
3. Santé 7/10, je perds un point, j'ai l'impression d'être en fin de garantie.
C'est pas juste mon doigt ou ma cheville, c'est plutôt un bilan de comment je me sens physiquement. Je manque de sommeil, je manque de temps pour du sport, je manque de courage pour aller marcher seule, j'oublie de boire de l'eau, je n'ai toujours pas vu de cardiologue ni de gynéco. J'ai annulé le dentiste parce que je dois aller chez le médecin pour mon doigt justement ce lundi. Bon 7/10 c'est rien de dramatique et effectivement, des choses relatives à mon corps ont changé positivement en particulier en faisant du trapèze et de l'équilibre mais je ne parviens pas encore à me sentir vraiment bien. S'il fallait mettre des objectifs ici, ce serait de marcher deux fois par semaine quelle que soit la météo (mais je ne vois pas quand), et insister sur le renforcement musculaire et les étirements pour gagner en efficacité au cirque.
4. Environnement 7/10, je perds un point.
La maison est limite vivable en ce moment parce qu'on vide encore et encore l'appartement de mes beaux parents, ça prend une plombe parce qu'on ne sait s'y mettre que le we, mais les objets transitent par chez nous pour être lavés et aller ensuite soit dans une donnerie, soit à l'étage en attendant d'être vendus. Et j'ai du mal avec tous ces vieux brols dans la maison. Je ne suis pas particulièrement feng-shui mais ça me bouffe mon énergie d'avoir autant d'objets autour de moi, j'ai envie de calme pour mes yeux, j'ai envie de prendre la maison et la secouer au dessus d'une grosse poubelle et recommencer à zéro.
On avait comme projet de faire pousser nos légumes à partir du printemps prochain et ça se fera, mais petit à petit. Donc pas d'autosuffisance prévue en 2023 parce que la barre est trop haute et que je préfère y aller doucement.
5. Don de soi. Pfff. Flemme.
C'est toujours le même questionnement sur ce qu'est le don de soi et puis finalement à quoi ça sert? Être sympa ? J'ai plutôt l'impression que plus on donne de soi et plus on se fait marcher dessus. Le must de l'année aura été d'écouter, écouter, écouter, et puis quand même s'en prendre plein la tronche. Écouter écouter, et puis ne pas pouvoir s'exprimer quand c'est à mon tour d'avoir besoin. Être contente pour certains quand ils me parlent de leurs joies, et le jour où c'est moi qui suis contente pour quelque chose qui me concerne, entendre que "non mais le prends pas mal mais ça ne m'intéresse pas ton truc".
Mais c'est mon impression du moment, dans le pessimisme du moment. Je dois apprendre à trouver un juste milieu. Ça va bien avec ce que je disais plus haut dans le point sur les relations avec les gens. S'en foutre, c'est la clé.
6. Loisirs, 7/10 comme l'autre fois.
Le cirque me fait du bien et du mal en même temps, parce que c'est compliqué et ça m'impose pas mal d'abnégation. Je prends sur moi pour continuer, parce que je suis cassée de partout et je suis un peu déçue de ma condition physique, mais c'est surtout relatif à mon impatience. En vrai, j'ai beaucoup progressé mais je veux encore plus.
Je devrais prendre énormément sur moi aussi si je devais arrêter le cirque. Du coup je continue.
Je n'ai pas d'autres loisirs, il faut absolument que je me mette un créneau qqpart pour marcher, faire un peu de muscu et ça rejoint le point "santé".
Suite à l'objectif précédent, j'ai lu un peu plus, donc je vais continuer comme ça.
J'ai aussi commencé la sculpture sur bois mais pour l'instant ça m'a coûté un doigt donc c'est en stand by. Par contre j'aime beaucoup la façon de voir et de réfléchir les choses, qu'on acquiert en entraînant le fait d'imaginer les étapes d'une sculpture. Retirer de la matière pour créer quelque chose, c'est une réflexion inverse à mon habitude.
7. Job: 9/10 encore, voire 12/10.
J'ai beaucoup de boulot, beaucoup de projets, c'est grisant. Le 12 veut surtout dire que j'en ai un peu trop mais c'est pas plus mal, ça occupe l'esprit.
J'ai des patients dans deux bureaux différents, je m'étonne encore régulièrement que mes prises en charge fonctionnent et que les enfants progressent. Bientôt des adultes autistes dans une institution pendant une matinée par semaine. Bientôt aussi des ateliers de jeux sous différentes thématiques pour les enfants, avec ou sans les parents, mais aussi créer et donner des formations pour les professionnels de l'enfance qui souhaitent utiliser des jeux de société de façon pédagogique.
Si tout ça payait bien ce serait génial mais j'ai pas envie de casser l'ambiance dans le point "job", il y aura le point "finances" pour ça ^^
Ah beh justement,
8. Finances : 5/10.
Je perds deux points ici parce que j'ai eu une tuile qui n'est toujours pas résorbée et on est fin décembre. Ça finira bien par s'arranger mais en ce moment c'est plutôt très stressant parce que ça va dépendre de la patience des organismes qui perçoivent toutes les taxes, assurances et frais divers. Et on est fin décembre du coup les délais sont courts et les mutuelles des patients me paient mes honoraires au lance-pierres et de façon très irrégulière. Parfois en deux semaines, parfois en deux mois après avoir envoyé les factures. Pas l'idéal pour planifier des paiements importants comme ceux que j'ai à faire.
9. Philosophie.
J'ai renommé le point "spiritualité", mais j'ai paaaas le teeeemps de penseeeeeer ! Allez hop zéro pointé/10. C'est mal !
10. Lecture : pareil qu'avant et qu'avant et qu'avant, 7/10.
Objectif : lire encore. Lire de la philo, tiens, ça nous fera d'une pierre deux coups.
Et sinon concernant le bilan 2022, je crois que c'est l'année de la sortie de zone de confort:
Les peines qui endurcissent le coeur
Le voyage de deux semaines nomades en Italie
Le trapèze et le fait de malmener mon corps pour mieux le contrôler, mais aussi d'être la dernière arrivée dans un cours et donc d'être la moins douée, et aussi le fait d'être la plus âgée du cours (je déteste ça), ça fait vraiment beaucoup de choses auxquelles je ne suis pas habituée.
Les projets pros relatifs aux deux endroits où j'ai fait des burn-out. C'est pour 2023 mais ça concrétise ma guérison, et ça m'impose aussi de ne pas refoncer dans le mur et donc de ne pas trop donner, rester vigilante, m'analyser beaucoup.
Le projet de créer des formations pour des personnes qui travaillent dans le même domaine que moi, c'est pour 2023 aussi mais rien que le fait d'avoir ce projet règle mes comptes au moins en partie avec mon syndrome de l'imposteur.
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7 habitudes à mettre en place dès maintenant.
Avoir entre 7h30 et 9h de sommeil ( boost de concentration, zenitude, bonne réflexion...)
Faire au moins 30min de sport par jour ( boost d'énergie, meilleure santé, meilleur sommeil, meilleur condition physique... )
Prendre des douches froides ( meilleures récupération musculaire, meilleur circulation sanguine, renforcement du système immunitaire... )
Lire au moins 15min ( libération des pensés, renseignements sur plusieurs sujet... )
Manger sainement ( meilleur santé, bonne condition physique... )
Travailler au moins 1h par jour sur ses projets ( avancer vers ses objectifs )
Diminuer les réseaux sociaux ( plus de dopamine, plus de motivation, plus de lucidité... )
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La nuit tombe, nous reprenons notre tramway préféré et rentrons manger à l'hôtel.
Un petit pote devant l'hôtel, il y en a partout ici ! 🦎
La supérette en mode Halloween 👻 (déso maman et Kim 🫣) sur une télécabine de Grenoble
Antoine a d'ailleurs fait le bilan de notre périple depuis Washington jusqu'à la Nouvelle-Orléans, et nous avons parcouru 2 793 km 🚌
Petite session sport dans la salle fitness de l'hôtel, la forme n'est pas revenue mais souvent le sport fait passer la douleur. Une bonne nuit de sommeil et demain devrait être vraiment mieux ! Les jours de règles les plus durs sont passés 💪🏼
Et encore un joyeux anniversaire à Adrien 🥳🍄
Et ça c'est une mention spéciale à la passion d'Antoine 🚒🚗
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Je fais n'importe quoi de ma vie. Financièrement. Socialement parlant. De mon corps. De ce que je mange. De mon sommeil. Je continue inlassablement de tenter de rectifier le tir, mais putain. Quelle année pourrie finalement. Je dois tout arranger. Je dois m'hydrater comme il faut. Ne plus faire de sorties qui me coûtent de l'argent. Continuer de marcher et faire du sport quand je me sens capable, me donne le temps. Dormir beaucoup plus tôt. Arrêter de donner toute mon énergie aux autres. Arrêter de parler aux gens. Mais j'peux pas. Je me sens seule même quand je le fais, alors si j'arrête, je sais que je tiendrai pas le coup. J'suis capable de tout foutre en l'air. Et je vis, j'existe. Ça se voit pas de la bonne façon. J'ai l'impression qu'on ne voit que le négatif qu'on veut bien voir ou le positif qu'on veut bien prendre. Mais ce qu'il y a de mieux en moi, qui me définit, c'est invisible. Je sais qu'il y a des gens qui me voient. Et ça me fait du bien. Mais même si je connais ma valeur et que quelques personnes me voient sous cet angle également, je peux pas m'empêcher de me demander quand ça va être le moment de trop. Le truc qui me fera faire une connerie. Je tiens et je sais pas comment je fais. Je suis épuisée de penser à ce qu'on pense de moi, de savoir ce qu'on dit à mon propos. Du fait qu'on voit ce qu'on veut, mais pas le tout, ou le positif. Parce que si j'suis là, c'est car je suis une putain d'optimiste. Je sais pas pourquoi, ni comment je fais. Mais c'est là. Je suis là. Mais quand est-ce-que je trouve une stabilité ? Quand est-ce-que je trouve la sécurité que je recherche ? Tout est en train de s'écrouler et je suis au milieu, le pied près de la mine. J'ai jamais eu d'équilibre, et je joue autour d'elle. Mais j'arrive pas à tout contrôler. Et à tout vouloir contrôler, on ne vit pas. On explose à l'intérieur. Et les gens qui sont trop dans leur tête, ça me rend malade. Trop aimer les autres me donne mal à la tête. J'ai une boule au ventre et la nausée en pensant aux gens que j'aime plus que les autres, ces individus que j'aime trop. Je peux pas dire de quoi je parle ou qui je vise. Je sais jamais qui a accès à mon tumblr. Mais putain. J'ai vraiment mal. Et je sais pas pourquoi, mais je me bloque. J'arrive pas à pleurer. Je suis juste bonne à me faire du mal. Dans tous les sens. Et juste en disant ça, j'ai envie de retourner dehors et Je sais pas. Ressentir la douleur ? Tomber suffisamment haut pour avoir mal mais pas assez pour que ce soit grave pour autant. Ou autre. Les méthodes sont multiples. Je manque pas d'idées en général, j'suis imaginative. Mais putain. Même pas foutue d'aller un minimum bien pour être à jour et écrire pour le défi de l'été. Ça me rend malade aussi. J'ai attendu un an pour pas arriver à pondre tous les jours quelque chose. Ça me rend malade. Si je peux plus écrire, il me reste pas grand chose. Et ce que j'ai, est-ce-qu'un jour, ce sera seulement assez ?
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FR/ENG
Je vais vous partager ma manière de jeûner, parce que je trouve qu'elle fonctionne bien :
je ne prépare jamais mes jeûnes à l'avance, ça me fait binge,
je débute toujours mon jeûne un matin, après une longue nuit de sommeil (5h du mat, 6 du mat, ect.),
je ne me pèse pas avant que les 2 premiers jours soient passés,
je me pèse au réveil, juste après être passée aux toilettes (basique),
je prends mes médicaments (anxiolytique) AVANT mes vitamines,
je prends une bouteille d'eau de 2L (glacée, de préférence) dans laquelle j'ajoute une cuillière à café de vinaigre de cidre. Je bois ces 2L dans la journée (dès que je ressens la faim ou l'envie de manger),
je ne fais que du sport qui me plaise VRAIMENT (marche, dance, corde à sauter, natation (si j'avais assez d'argent…)),
je reste occupée (ménage, m'occuper de mes plantes, de mes animaux, regarder des films/séries (attention : certains d'entres eux peuvent déclencher des envie de binge)),
je tiens un journal (et mon tumblr) sur mon avancé, mes ressentis, durant ce jeûne. Ça aide vraiment,
je ne consulte "life fasting" QUE le matin, et UNE SEULE FOIS.
Voilà ~ je ne dis pas que c'est une bonne technique. Par contre, elle fonctionne sur moi.
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I'm going to share with you my way of fasting, because I find that it works well :
I never prepare my fasts in advance, it makes me binge,
I always start my fast one morning, after a long night's sleep (5am, 6am, etc.),
I do not weigh myself until the first 2 days have passed,
I weigh myself when I wake up, just after going to the toilet (basic),
I take my medication (anxiolytic) BEFORE my vitamins,
I take a 2L bottle of water (ice cold, preferably) in which I add a teaspoon of cider vinegar. I drink these 2L during the day (as soon as I feel hungry or want to eat),
I only do sports that I REALLY like (walking, dancing, skipping rope, swimming (if I had enough money…)),
I stay busy (cleaning, taking care of my plants, my animals, watching movies/series (warning: some of them can trigger binge urges)).
I keep a diary (and my tumblr) on my progress, my feelings, during this fast. It really helps,
I consult "life fasting" ONLY in the morning, and ONLY ONCE.
There you go ~ I'm not saying this is a good technique. However, it works on me.
#4na fast#4norexi4#@na#ana triggered#ana rambles#ana#ana+trigger#anadiet#bing3 eating#bul1m14#mia#m14#bulimi@#bulimima#disordered eating thoughts#ed bllog#ed disorder#ed not ed sheeran#ed relapse#ed vent#i wanna be weightless#i want to be weightless#i+wish+i+was+thinner#n0t pr0#not ed sheeran#pr0 @na#notprojustusingthetags#pro for me not for thee#pro for myself#relapse
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Départs et arrivées - David Frenkel
Cette nuit là, Damien sursauta plusieurs fois dans son sommeil, tant il était angoissé à l’idée de ne pas entendre la sonnerie du réveil. Son avion à destination de Londres décollait à 7 heures dix du matin de l’aéroport de Cointrin. Ce voyage était traditionnel. Le 13 avril de chaque année, il se rendait dans cette ville pour se recueillir sur la tombe de son père, mort depuis dix-neuf ans maintenant. Quand le son strident du réveil se déclencha, il sauta du lit, fit sa toilette, puis enfila un jersey de sport flottant, un jean, et chaussa pieds nus ses vieux derbys. Désirant s’éviter les affres d’un parking bien souvent plein, il laissa sa voiture au garage et commanda un taxi. Sac en bandoulière contenant sa subsistance du jour et un petit roman de gare, Damien s’engouffra dans le temple des départs et des arrivées, là où les adieux et les retrouvailles se confondaient en une rumeur joyeuse et éplorée à la fois. Slalomant entre une forêt d’individus tout en évitant la procession des valises à roulettes, il finit par s’agglutiner à la file des gens qui attendaient d’être balayés par les rayons de la défiance. Les yeux rivés sur l’avancement de la colonne, il maudissait les préposés aux contrôles de sécurité dont le rythme de travail était trop lent à son goût. Pour passer le temps, il observa ceux qui peinaient à se séparer avant de se noyer dans la sinueuse file d’attente. Il contempla la nymphette qui ne décollait pas ses lèvres de celles de l’adonis. Les effusions pathétiques d’une femme d’âge mûr l’attendrirent jusqu’aux larmes. Mais ce n’était rien à côté de ces deux personnes chenues qui s’accolaient l’un à l’autre. Les sourires de tristesse et les caresses sur le visage de l’autre le clouèrent sur place d’émotion. Une voix impatiente se fit alors entendre : « Monsieur, avancez s’il vous plaît, ne voyez-vous donc pas que vous freinez la file ? » Il se retourna. C’était un homme qui avait fière allure. Les cheveux soigneusement peignés et laqués, le col d’une chemise blanche orné d’un nœud papillon coloré, un costume qui habillait une silhouette ectomorphe et des chaussures derniers cri lui donnaient une belle élégance. « Oh excusez-moi, j’étais perdu dans mes pensées. – Pensées, vous dites ça, mais je vous ai observé, vos yeux étaient rivés sur les deux vioques, dit-il avec une lueur d’étonnement dans ses yeux marron. – Effectivement, pour m’occuper en attendant de passer la fouille, j’ai dévisagé les gens qui se séparaient avant d’aller vers d’autres cieux. Je n’avais jamais pensé que les émois des séparations pourraient autant me bouleverser. – Bof, dit-il dédaigneux, c’est la vie ! – Oui, mais cela nous interpelle, lorsque l’on sait qu’à l’étage inférieur c’est tout le contraire : on se réjouit de se retrouver sous le même ciel. – Vous savez, je suis médecin. Et croyez-moi lorsque j’étais de garde dans un hôpital de fortune en Afrique, au début, je n’en menais pas large. Devoir prononcer la sentence d’un diagnostic incurable à ceux qui gisent dans des lits alignés en fil d’attente était psychologiquement dur. Il ne s’agissait pas de s’envoler ou d’atterrir mais de la vie ici-bas, peu importait le ciel. Vos sentiments m’indiffèrent donc. – Ah bon, vous êtes médecin ! Vous pratiquez où ? s’intéressa Damien. – Ici même à l’aéroport, je suis de permanence au service de l’infirmerie. – Je comprends alors. En plus, de votre expérience africaine, être quotidiennement confronté aux drames qui se croisent à l’orée des arrivées et des départs, vous rend blindé pour être touché par les états d’âmes de ceux qui se disent au revoir ou qui se retrouvent. Mais ma parole, qu’ils engagent des agents supplémentaires, regardez-moi ça, il y a six postes de contrôle mais seulement trois qui fonctionnent. – Moi, j’ai tout mon temps, remarqua froidement l’homme. Je me suis offert une fin de semaine de détente à Venise. Et pour que le départ se passe dans la décontraction, je suis venu en avance. Mon avion part dans trois heures seulement. J’aurai le temps de flâner et de fixer les individus assaillis par l’angoisse de rater l’avion. – Ne seriez-vous pas un peu sadique sur les bords ? – Quand j’exerce, je ne peux l’être. Mais durant mes loisirs, oui. Étant souvent confronté aux tensions inhérents à ma profession, j’ai un malin plaisir à observer avec détachement le stress des autres. Et vous, vous allez où ? Damien ne put lui répondre, car il fut heurté dans le dos par son interlocuteur, qui lui-même fut violemment poussé par derrière. En se retournant rageusement, celui-ci vit une jeune et grande dame gisant évanouie sur le sol sous la corde de la file d’attente, bouche semi-ouverte. « Oh mon dieu, elle est tombée contre vous, s’entend-il dire.» Il se précipita sur elle, la plaça en position latérale de sécurité, prit son pouls et lui parla : "Madame, madame, vous m’entendez ? " N’obtenant aucune réponse, il lui fit un bouche à bouche, et elle reprit conscience en portant la main sur le côté gauche de la poitrine. L’homme sortit alors son portable, appuya sur une touche et décrivit la situation à quelqu’un. Damien ne s’attarda pas, emporté qu’il fut par le flot humain ; entre temps, deux préposés aux contrôles étaient venus renforcer l’effectif. Quittant à regret l’inconnu, il se dit que l’aéroport était aussi le carrefour des vicissitudes du destin. Arrivé au contrôle de sécurité, il s’empressa de placer les vêtements d’extérieurs ainsi que le contenu de ses poches dans les bacs. Puis, tâtant la poche arrière de son jean, il fut tout retourné de ne pas y trouver son portefeuille. Soudain, il se rappela qu’avant de quitter l’appartement il était allé au salon pour sortir d’une enveloppe cinq mille francs qu’il devait emporter avec lui. J’ai dû le laisser dans cette pièce, espéra-t-il. Il prit donc ses jambes à son cou et se dirigea vers une borne interactive. Il comptait s’y procurer, en naviguant sur le site d’ une quelconque compagnie aérienne, un départ différé dans la journée. Trouvant rapidement un vol en fin de matinée et un retour tard en soirée, il contacta sa belle-sœur pour lui faire part du contretemps. Celle-ci habitait dans la capitale britannique. Le mois dernier, Damien était parti en vacances à Bilbao. Les deux s’étaient rencontrés par hasard dans l’hôtel où elle avait aussi pris ses quartiers. La Providence avait bien fait les choses. En effet, quelques heures avant son retour à la maison, il s’était fait voler ses cartes bancaires et de crédit. Elle lui avait alors avancé la somme cinq mille franc dont il avait besoin pour régler ses frais de séjour. Il comptait les lui rendre en arrivant à Londres. Alors que Damien se rendait vers la sortie, il passa devant une enseigne de bar jouxtant les Arrivées. Un esclaffement de rire attira son attention. Quelle ne fut pas sa surprise de voir attablées au comptoir les deux personnes de tout à l’heure, et deux questions le cinglèrent : la personne qui s’était évanouie comment se faisait-il qu’elle avait déjà l’air si épanouie ? Ce médecin qui devait se rendre à Venise en toute décontraction pourquoi s’attardait-il ? Avant qu’il n’eût le temps de les questionner, l’homme s’adressa à lui et s’exclama, tout étonné : « Vous ne partez plus ? Puis, la femme renchérit : – Mais ne nous regardez pas avec cet air ahuri. Voilà trois mois que j’ai été soignée par mon ami Jacques. Je suis tout de suite tombée amoureuse de lui. Mais lui, malgré mes déclarations répétées, ne m’a témoigné que de l’indifférence. Devant mon insistance, il a fini par me proposer que l’on déjeune ensemble, mais, m’a-t-il avertit, n’y voyez pas autre chose qu’un repas entre amis. Hier, durant le déjeuner, j’ai appris qu’il partait aujourd’hui seul à Venise. Cela n’a fait qu’augmenter mon désir de briser sa résistance amoureuse face à moi. Alors, jouant le tout pour le tout, je l’ai guetté ici, à l’aéroport, et je l’ai suivi. Car, me suis-je dit, cet endroit est si propice aux revirements sentimentaux et aux amours naissants. Certains couples y retrouvent leur passion de jeunesse à l’heure de se séparer ou de se retrouver. Et bien des amours voient le jour dans ce carrefour où tant de vécus s’entrecroisent. Alors, l’idée m’est venue de simuler devant lui un événement dramatique genre malaise, dans l’espoir de l’attendrir et, qui sait, lui insuffler un sentiment pour moi. Bien m’en a pris, car j’ai au moins goûté à son bouche à bouche. » Jacques tourna son regard vers l’énamourée et dit sur un ton entouré de mystère : «J’ai profondément été touché par le stratagème de Martine, je ne sais ce qui en adviendra. Peut-être que comme Venise, elle m’inspirera l’amour ; elle aura tout un week-end pour le faire. Puis, fixant les yeux de Damien, il insista : Mais enfin vous, monsieur, vous n’êtes donc pas parti ? – Je vous répondrai après que vous m’aurez laissé prendre une photo de vous deux, car votre histoire est diablement touchante. – M...m..ais p… p… ourquoi ? Bégayèrent-ils. – Allez, s’il vous plaît, une petite photo, insista-t-il. – D’accord, notre histoire est touchante, mais pourquoi nous prendre en photo ? s’énerva Martine. – Je suis journaliste et je pourrais faire un article sur ce qui s’est passé. Je l’intitulerai : "Comment séduire dans un aéroport ? " Et je le sous-titrerai ainsi : Prendre la queue et tomber dans les pommes, en espérant que l’autre en cueillera une ". – Oh non, nous avons horreur d’être mis en avant, déclarèrent-ils presque en chœur. – Qu’à cela ne tienne, j’écris uniquement pour Le Nouvelliste publié à Port-Au-Prince en Haïti. Se faire connaître là-bas, une ville distante de 4700 kilomètres d’ici, ne portera aucunement atteinte à votre anonymat. » Jacques et Martine se regardèrent quelques instants avec connivence. Finalement, ils acceptèrent de se faire photographier. Puis, la femme, désirant être seule avec son homme, ne voulut pas que Damien s’attardât à raconter les raisons de son non départ. C’est pourquoi, dés la photo prise, elle lança : « Bon ! On nous attend, tu viens ? Avant qu’il n’eût le temps de réagir, elle le prit par le bras et l’entraîna dans le hall de l’aéroport non sans souhaiter bonne chance à Damien. « Mais mon article sur vous ne vous intéresserait-il pas? » leur cria ce dernier. Alors, revenant sur leurs pas, ils lui donnèrent leurs adresses et s’éclipsèrent. Inquiet pour son portefeuille, Damien courut vers la station de taxi et demanda qu’on le conduisit à son domicile. Arrivé chez lui, il ne le retrouva pas. Il téléphona à l’infirmerie de l’aéroport et demanda à parler au médecin dont il donna le nom, on lui répondit que l’on ne le connaissait pas. Ses soupçons se manifestèrent donc avec acuité. Ni une, ni deux, il se précipita au poste de police le plus proche. Il brandit sous les yeux d’un policier la photo et les adresses des deux spécimens qu’il suspectait être des voleurs à la tire. Deux inspecteurs se rendirent séparément chez l’homme et la femme. La moitié du butin fut retrouvé chez chacun d’eux. Les deux, chômeurs de longue durée, avouèrent de suite leurs méfaits. Damien lorsqu’il fut devant les deux malfrats leur dit : Read the full article
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Villes, sucre et sommeil : enjeux santé pour tous
NOUVEAU PODCAST 👉 Villes, sucre et sommeil : enjeux santé pour tous
Dans cet épisode, nous allons parler d’enfants urbains, sucre réduit, sommeil actif et de défis santé actuels **NOUVEAU** : Dompter l’hyperphagie : 5 solutions efficaces à découvrir Sommaire du podcast : Vivre en ville n’est plus une bonne solution pour les enfants “Diminishing health benefits of living in cities for children and teens” souligne que les avantages traditionnels pour la…
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Aizawa mysterious injury (En/Fr)
In English
I have this idea...
That one day Aizawa appeared in the teacher's lounge sporting a black eye and a brocken collarbone. His arm tucked in his own capture weapon, he explained that Recovery Girl wanted him to have more sleep before she heals him.
As Aizawa pours himself a glass of water and take his pill, other teachers prey on Present Mic to get more informations. He won't budge.
Aizawa made him promise not to tell, and Yamada has the intent to use his secret as leverage for later... You never know when you are going to need a favor from Eraser Head!
The truth is Recovery Girl is outraged by the way he hurt himself and is now pestering him about his lifestyle. "You cannot go on patrol every night with a day job ! Naps and coffee are not a substitute for proper sleep !"
Hizashi laughed so much his ears are still ringing... One could expect more support from the love of one's life.
Other heros don't dare ask the terrible Eraser Head what happened, they know how reckless he can be in battle.
They should never know that he was simply too sleepy coming back from a patrol, so he tripped and fell in the stairs. The next step would me Midnight calling him "grandma" and urging him to be careful not to slip in the showers...
En français
J'ai cette idée…
Qu'un jour Aizawa est apparu dans la salle des profs avec un oeil au beurre noir et une clavicule cassée. Son bras calé dans sa propre bande de capture, il a expliqué que Recovery Girl refusait de le soigner tant qu'il n'aurait pas dormi.
Alors qu'il se sert un verre d'eau pour prendre un médicament, les autres profs se précipitent sur Present Mic pour gratter plyus d'informations. Il refuse de céder.
Aizawa lui a fait promettre de ne rien dire, et Yamada a bien l'intention de garder le secret pour s'en servir plus tard… On ne sait jamais quand on aura besoin d'une faveur d'Eraserhead !
La vérité, c'est que Recovery Girl est parfaitement outrée par la façon dont il s'est blessé et à présent elle le harcèle au sujet de son mode de vie. "Tu ne peut pas patrouiller toutes les nuits alors que tu as aussi un emploi de jour ! Les siestes et le café ne sont pas des substituts à une vraie nuit de sommeil !"
Hizashi a rit aux larmes, ses oreilles sonnent encore… On pourrait s'attendre à un peu plus de soutien de la part de l'amour de sa vie.
Les autres héros n'osent pas demander au Terrible Eraserhead ce qui est arrivé, ils savent combien il peut être brutal durant la bataille.
Ils ne doivent surtout jamais apprendre qu'il est simplement rentré trop fatigué d'une patrouille, a trébuché, et est tombé dans l'escalier. La prochaine étape serait que Midnight l'appelle "grand-mère" et l'enjoigne de faire atention à ne pas glisser dans la douche…
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Montre intelligente de sport D20 pour hommes et femmes, bracelet de fitness, moniteur de sommeil, montres numériques, montre-bracelet, Y68, A6s, cadeau
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Jeudi 21.11.24, 8h16
Humeur : bof. Toujours pareil. Angoisse : légère. Sommeil : j'ai dormi, pas très profondément je pense et j'ai mis du temps, mais je dors. Sport hier ok. Toujours cette déprime en fond de toile de ma vie, ce nuage noir permanent au-dessus de ma tête que je n'arrive pas à chasser. Ca fera bientôt deux mois sans nouvelles. Voilà. Je pose ça là comme ça. Je compte les jours. Mon obsession. Rien ne me détourne. Rien. Sauvez moi, sauvez mon âme. Apaisez moi, apaisez mon âme. Vous voyez bien que sans aide extérieure je galère. Vous voyez bien que je ne le fais pas exprès. Que j'ai toujours ce besoin impérieux d'être deux. Solitude terrible, amère. Suis-je vraiment faite pour être seule ? Sans l'amour ou l'intérêt d'un homme, je me sens vide. Oui, je ressens encore beaucoup ce vide dans ma vie, chaque jour. On dit que le temps guérit tout, le temps est long chez moi. Huit mois que j'ai tout quitté, et je galère toujours à m'en sortir, à me remettre, à aimer ma nouvelle vie. Si j'avais su tout ça avant, j'aurais attendu. Je serais restée, je me serais peut-être remise en question. Qui sait ? Mais cela devait être mon destin, je dois l'accepter. Je le dois parce que je n'ai aucun autre choix. Aucune porte de sortie. Mon salut est en moi, mais moi je suis blessée au fer rouge tout au fond de mes abîmes. Je n'arriverai pas à m'en sortir toute seule. J'ai beau savoir que pleins d'autres gens vivent seuls, avec leurs propres difficultés, cela ne me réconforte pas. Mes pensées me détruisent quand j'aspire à aller mieux. Mes souvenirs me détruisent. Parfois je songe à faire marche arrière, tellement je souffre. Mais je n'en fais rien, quelque chose d'autre me bloque, même si je sais que cela m'enlèverait toute ma souffrance du jour au lendemain de revenir avec mon ex, je ne peux pas. Je ne crois pas que j'arriverais à faire semblant d'être encore amoureuse de lui. Je n'éprouve qu'une très forte affection encore, un besoin de protection et de ne plus être seule. Ce n'est pas de l'amour. Pour Mickaël, je dois me rendre à l'évidence que non plus, si j'ai cru un moment que c'était de l'amour et que je le crois toujours, j'essaie de m'efforcer d'admettre que c'était et c'est toujours de la dépendance affective. Il est libre, je suis emprisonnée dans ma propre geôle. Bloquée pour le moment dans ma vie, et pourtant en sécurité de tout, même affective. Mais pas de celle qui comble mon vide. Une rencontre m'aiderait sûrement, mais je ne fais pas de rencontre. Je pense que cela se produit aussi lorsqu'on est mieux avec soi. On renvoie malgré soi l'image de son état d'esprit aux autres. Je ne dois pas magnétiser ni attirer des masses avec mon état actuel. Puis je sors peu, mon cœur n'est probablement pas prêt, même si mon esprit lui, le croit et n'aspire qu'à retrouver un homme qui s'intéresserait vraiment à moi, et qui me plairait aussi, c'est surtout ça.
Difficile. Très difficile. Tous les jours j'appelle à l'aide. Le ciel, le divin, le spirituel semblent éteints. Même si je recommence à voir des heures miroirs partout tous les jours, je ne saisis pas le message. Suis-je sur la bonne voie ? Ou bien ne le suis-je pas. J'essaie de me convaincre que je suis sur la bonne, malgré tout. Je me prends trop la tête, je réfléchis trop, c'est moi, c'est ma croix à moi. Avant je ne pensais pas comme ça. Avant toi. Ou alors j'ai oublié, car c'était il y a longtemps maintenant.
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18.11.24
Épuisée, rincée, au bout du rouleau. Pas de soutien, personne répond au téléphone. Trop de travail du matin à 4h. 3 jours de compulsion alimentaires causés par le manque de sommeil et les activités physiques trop soutenues comme la marche 30 000 pas par jour + crossfit, le corps ne tient pas.
Demain je parle à mon chef. Pour moi c'est fini de travailler aussi tôt sauf cas exceptionnel. Stop.
Pour le sport, je vais me reprendre un rythme soutenu mais faisable, c'est à dire 20 000 pas par jour, Muscu 4 fois, crossfit 2 fois
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