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Faire du sport tard nuit à votre sommeil ; trauma ; reins et tissu adipeux
NOUVEAU PODCAST 👉 Faire du sport tard nuit à votre sommeil ; trauma ; reins et tissu adipeux. 🎙Pour écouter mon podcast : - Recherchez « la pause fitness » sur votre plateforme de podcast préférée - Ou rendez-vous en bio @fitnessmith, cliquez sur le lien, fitnessmith.fr/news puis dans « les nouveautés» - Ou rendez-vous dans votre boite mail pour les fidèles auditeurs #sport #fitness #sommeil #exercice #entraînement #santé #bienêtre #musculation #dormir #récupération #équilibredevie #santémentale #motivation #routinefitness #routinesommeil #bienetresportif #étudesport #prévention #sommeilprofond #motivationfitness #habitudesportive #formetard #routineexercice #entraînementsanté #neurogenèse #surpoids #résultatsfitness #performancephysique #alimentationéquilibrée #sommeilréparateur #sportetbienetre
Dans ce podcast, nous allons parler de problème de sommeil, le sport est le meilleur psy, la santé des reins et le tissu adipeux. Nouveau ! Comment rester en forme après 50 ans Sommaire du podcast : Faire du sport tard peut nuire à votre sommeil Une nouvelle étude de l’Université Concordia montre que l’exercice intense en soirée peut avoir des effets contradictoires sur le sommeil. Faire de…
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saga: Soumission & Domination 381
Dernier trimestre à Berkeley - Marines/2
Je me réveille cette fois ci le premier et avec une belle gaule. Pendant la nuit, nos positions se sont inversées et c'est Chad qui est entre mes bras, les siens entourent Don. J'attrape vite une kpote et du gel sur la table de nuit, enfile le bout de plastique et l'enduit d'une bonne couche de lubrifiant. Je glisse mon gland entre les fesses musclées de Chad et dès que je le sens sur sa rondelle, je donne le coup de rein qui va bien. Contrairement à moi, ça le réveille de suite. J'entends un " bastard " mais il ne se dérobe pas et cambre même les reins pour me faciliter la pénétration.
Pour me faire pardonner, je lui passe une kpote. Il comprend où je veux en venir et s'équipe avant de faire son affaire au dernier occupant du lit. Là, c'est une autre chanson. Le dépucelage a été brutal même si la résistance n'est apparue qu'après la pénétration. Détendue pendant le sommeil, sa rondelle s'était laissée prendre par surprise. Chad bloqué dans Don, j'ai tout le loisir de lui défonce la rondelle.
Même si lui a l'habitude de se faire enculer, j'y suis bien serré. Quand enfin Don se décrispe et accepte la situation, je n'ai plus qu'à laisser faire le jambon (on est en sandwich pour ceux qui ne suivraient pas). Chad fait tout le travail pas toujours pour le plaisir de Don mais ça vient et quand on termine notre " réveil ", Don jute dans les draps sans avoir beaucoup à se branler.
Évidemment on se fait traiter d'obsédés sexuels, de violeur de pauvre petit garçon !! À d'autre ! Avec sa carrure il aurait pu nous éjecter s'il l'avait vraiment voulu. C'est d'ailleurs l'argument que je lui sors, approuvé par Chad qui en rajoute une couche en lui disant que s'il dormait entre ses bras à lui, c'est que lui, Don, espérait bien ce genre de mésaventure au matin.
Ça se règle par un petit combat ou Chad gagne par 3 mises à terre à 2. Don d'expliquer que c'est bien sûr la sodomie dont il avait été victime qui lui avait sapé les forces. Je lui rappelle alors qu'il avait quand même juté sans quasiment se toucher par l'effet ravageur des 23cm de Chad qui pilonnaient sa prostate. Ça finit en franche rigolade.
Petit déjeuner et les 2 militaires m'entrainent dans un footing de 15Km. Je tiens le rythme mais en sort plus fatigué qu'eux, habitués à le faire avec une charge de 20 à 30Kg sur le dos !
Quand nous rentrons, nous trouvons Robert ravi de sa soirée et de sa nuit. Quand il nous dit avoir honoré la dame 3 fois, nous éclatons de rire et lui disons que c'est 1 fois de moins que nous. On se douche puis retour dans l'espace de sport pour un entrainement au combat. Robert nous rejoint en short, enfin jusqu'à ce que nous l'attrapions et le lui ôtions. Tous en Jock, on s'échauffe puis on passe au sérieux.
Pendant 2h1/2 je me prends branlées sur branlées. J'arrive quand même à prendre le dessus sur Robert et arrive exceptionnellement à mettre un des " Navy " au sol. Mais c'est jamais bien longtemps ! Il n'empêche que je progresse quand même.
Déjeuner tardif mais bourré de protéines. L'après-midi est plus calme. On sort boire un coup en ville. Le bar est loin d'être gayfriendly ! On se prend deux bières chacun puis on rentre. Robert reste avec nous. La soirée commence par un BBQ où Don fait griller autant de côte de boeuf que nous sommes. Quelques patates dans les braise et on se gave chacun d'un morceau de viande d'environ 300g.
Sans faire attention, je passe la soirée, où nous discutons, au creux des bras de Chad. Faut dire que c'est pas souvent que je trouve un mec capable de me tenir comme ça. Je me sens bien, en sécurité. D'habitude c'est plutôt moi qui m'occupe des autres.
La nuit qui suit ressemble à celle de la veille. Sauf que Don échappe à la sodo. Il nous remercie de lui avoir fait connaitre ça mais nous dit préférer la position active de ce type de relation. Du coup Chad et moi nous nous dévouons pour le plaisir de notre hôte. Pas de double pour moi, non plus. Mais les deux " Navy " me font quand même mon affaire successivement et aussi en alternance j'aime assez la différence de style qu'ils ont à limer un cul. Entre la saillie un peu désordonnée de Don et celle plus méthodique et aussi plus efficace de Chad, je prends encore une fois un pied monstre sous leur domination. J'arrive quand même à sauter Chad qui est franchement recto/verso.
Alors que nous récupérons, couchés sur le dos à regarder le plafond, je demande à Chad comment il vit sa sexualité dans l'armée. Il nous dit ne pas avoir été un des premiers en couple dans leur unité même s'il savait que certains de ses collègues l'était (en couple). Lui, jusqu'au passage de mes deux escorts, faisait plutôt ses " petites affaires " quand il était en permission ce qui parfois entrainait de longues périodes de branlette. Mais il s'était laisser prendre par mes deux experts ce qui l'avait un peu désinhibé et surtout lui avait fait prendre conscience qu'un mec de son unité avait tout : canon, BM, a/p et qu'en plus il en pinçait pour lui. Les touzes déclenchées par Jona et François les avaient rapprochés et surtout lui avait ouvert les yeux sur ce collègue amoureux.
Il est évident que même si le " don't ask, don't tell " est aboli, un minimum de discrétion reste d'actualité et il ne s'en était pas rendu compte !
Comme ils sont permissionnaires pour une semaine, je reste alors que Robert retourne à Berkeley. Je fais bien car Chad appelle son mec et un autre couple gay de son unité, eux aussi en perm.
Ils arrivent directement de LAX et apprécient le climat comme la piscine que nous n'avions pas encore utilisé nous non plus. Ils s'y détendent de leur vol en classe économique et du trajet en voiture. Je fais donc la connaissance du mec de Chad. Quasiment un clone, tout comme le couple de collègues. Taille identique, musculature idem, je ne parle pas de la coupe de cheveux réglementaire qui gomme tout risque de différenciation par le système pileux, d'autant que pour le reste c'est aussi rasage ou épilation. En attendant son mec est cool et quand Chad lui dit qu'il ne va pas s'ennuyer avec moi, il m'avoue directement être jaloux, mais seulement de son mec qui a pu baiser avec moi.
Ok je ne rougis pas facilement mais là, il me gêne un peu. Il ajoute que Chad lui avait donné un aperçu de mes talents et qu'il était impatient de se faire sa propre opinion.
Les deux autres, en couple depuis plus longtemps lèvent les yeux au ciel en nous disant qu'eux avaient dépassé ce stade de baiser de tous les côtés ! J'espère bien les faire changer d'avais avant leur départ de Californie.
En attendant nous sommes encore en maillot de bain. Ça dure jusqu'au déjeuner BBQ pour changer. Moi, ça me va ! Les 3 nouveaux arrivés me demandent eux aussi de nouvelles de Jona et François. Ils sont surpris mais pas étonnés de leur dernière " aventure ". C'est Chad qui leur explique que je viens de lui apprendre quelques truc du " camp d'en face ". Là ils veullent connaitre tout de suite les clés. On attend un peu que la digestion soit plus avancée et on envahit le garage transformé. Les uns après les autres je les étale grâce à mes dernières connaissances. Comme Chad et Don, ils décortiquent les mouvements qui les ont mis par terre. Ils ne me laissent tranquille que quand ils ont totalement intégré la cinématique des mouvements qui les ont mis au sol. Et là malgré les parades enseignées par Jona, c'est moi qui qui finit le dos. Avant que je me sois relevé, le copain de Chad me couvre de son corps. Il déborde un peu !! Mais sa bouche est au bon niveau et on se roule une méga pelle. Il se décolle de moi pour, la tête tourné vers Chad, lui dire que j'ai déjà un frenchkiss qui déménage.
Je m'aperçois que je lui fais un peu d'effet par sa grosse bite qui déforme son jock. Mon bassin bouge et je me fais traiter de salope !! J'entends Chad au-dessus de nous dire à son mec " vas-y essaye le, il est encore meilleur que Jona et François ".
Moi, je suis partant c'est évident !! Depuis mon dépucelage par une amie de ma mère (cf. les premiers épisodes en 2007), je n'ai jamais refusé une partie de baise. C'est bien à cause ou plutôt grâce à ça que Marc a pu m'initier au plaisir entre mecs et il l'a fait suffisamment bien pour que j'en fasse mon tous les jours.
Bon, en attendant j'ai sur moi un Navy seal tout excité et pr��t à faire ma fête. Il est hyper bandant (enfin pour moi). Musclé, et même beaucoup, imberbe, ça j'adore, et très très chaud, ça me fait fondre !!
Comme il m'écrase, je ne peux pas bouger. Il me roule un patin de fou. Rien qu'avec sa langue, je m'excite à mort et bande ferme. Mon partenaire aussi. Le couple nous a laissé et est sorti avec Don. Les jocks débordent et mon gland entre en contact avec sa bite. Limite ça me fait une décharge électrique. Quand il se relève, Brad me tire vers lui et je me retrouve coincé entre mes deux Navy.sa queue entre mes cuisses est rejointe par celle de Chad. C'est sans peine qu'ils me tiennent les pieds au-dessus du sol !
Ma tête ballotte d'avant en arrière accompagnée à chaque changement d'une pelle bien profonde.
Chad décide de mener le jeu pour que son mec saisisse plus vite de quoi je suis capable. C'est lui qui m'attrape par les hanches pour me décoller de Brad et me pousser à genoux devant lui.
Automatisme, ma bouche s'ouvre et se fait envahir par le sexe de Brad. Bon format lui aussi. Dans les dimensions de son pote peut être légèrement plus fine, enfin, un bon 23x6 quand même !! Il kiffe lui aussi ma capacité à l'avaler entièrement (je crois savoir que ce n'est pas le cas entre eux deux). Du coup il en profite bien et je suis deux trois fois à la limite de l'étouffement. Bon ça me fait bander encore plus dur mais quand même !
Chad est obligé de l'écarter sinon il m'aurait défoncé la gorge jusqu'à juter. Ma position change !! Je me retrouve soulevé, la tête en bas, mes jambes écartées afin qu'il puisse me bouffer la rondelle. J'ai juste à me stabiliser en m'appuyant sur son bassin. Chad m'aide en tirant ma tête en arrière pour profiter de ma bouche à son tour. Pour pouvoir l'avaler profond j'écarte mon torse de Brad en tendant les bras.
La position ne tient que par la nature musculaire exceptionnelle de mes deux partenaires. C'est très bon. Ma rondelle se détend sous les coups de langues de Brad et ma position facilite la pénétration en profondeur de sa salive. Quand il m'estime prêt, il me redescend et sans que la queue de Chad quitte ma bouche, il m'enfile ses 23cm dans mon trou. Un " great " ponctue son mouvement qui écrase mes fesses contre lui. Un peu direct mais très bon quand même. Sa bite me remplit bien l'intestin et le passage de son gland au-delà de ma prostate et frappant cette dernière à chacun de ses passages m'envoi très loin dans l'atmosphère !
Chad continu de me prendre la bouche et surtout la gorge. Je me sens un peu comme l'agneau d'un méchoui. Mais c'est très bon quand ce sont deux beaux mecs qui t'embrochent ! Ils sont suffisamment forts pour me retourner sur le dos en me maintenant à 1 m du sol. Brad me soutient à la taille et Chad par les épaules.
Mais la position est quand même hard et ils me posent assez rapidement au sol pour continuer à " abuser " de mon corps. Je les entends au-dessus de moi commenter la baise et le confort que je leur apporte, quand ils ne sont pas à se rouler des patins. La pression monte et, si Brad est couvert, ce n'est pas le cas de Chad. Il se retient un maximum mais mes effets de gorge ont raison de lui et il sort juste au bon moment pour me couvrir le corps de son sperme, jutant même jusque sur Brad. De voir son pote à du provoquer l'étincelle et il me bourrine rapidement avant de se bloquer tout au fond de mon cul me secouant à chacune de ses éjaculations. Ce n'est que quand il sort et que son gland frotte une dernière fois ma prostate que j'éjacule à mon tour, ajoutant mon sperme à celui de Chad. Très bon ce plan pur Navy-Seal. J'en ai les jambes coupées. Ils sont obligés de me tirer par les bras pour me relever et me soutenir jusqu'aux douches.
J'ai encore les jambes en coton quand nous rejoignons les autres qui nous attendaient avec une bonne bière. Brad est plus brut de décoffrage que Chad et c'est sans gants qu'il donne son avis sur moi alors que je suis présent. Il dit au couple de collègues qu'ils ont eu tort de partir qu'à 4 il était sûr que je me serais éclaté encore plus !
Je le remercie et le prévient qu'au prochain round c'est lui qui y aurait droit. Eclats de rires des 4 copains, si Chad est recto/verso, Brad, lui, n'est qu'actif. Et bien il le sera moins en repartant de son séjour chez Don.
En attendant, on passe quelques heures à discuter une bière à la main.
Pour la nuit je choisi de rester avec Chad et Brad. Don nous laisse. Je me réveille en pleine nuit entre mes deux " armoires ". Brad est nu, sur le ventre contrairement à Chad. Un très léger ronflement m'indique qu'il est en sommeil profond. Je bande et me dis que c'est peut-être le moment de le baiser. Je trouve une kpote sur la table de nuit, l'enfile et la graisse copieusement. Doucement je pose une couche épaisse de gel au-dessus de sa rondelle. Je me place au-dessus de lui en position de " pompes ". Doucement je pose mon gland contre sa rosette. Ça ne le réveille pas, bon signe pour la suite. Par des mouvements de bassin, je teste son sphincter. Il me parait souple pour un puceau du cul. J'hésite entre lui mettre tout en 1 coup rapide ou me faufiler comme un voleur sur la pointe des pieds. Dans le premier cas, je suis sûr de le réveiller mais je serai déjà au fond de la place, dans le second, je peux peut être faire partie d'un rêve et réussir mon coup sans rejet.
Je tente ma deuxième idée, au pire je me retrouve plaqué au matelas avec un bras en travers de ma gorge.
J'y vais donc tout doucement. Mes bras écartés, mes mains de chaque côté de ses épaules, mon bassin descend. Je lui donne une rotation alternative. Je sens son anneau me laisser passer. Quand mon gland y est entier et que son sphincter se resserre derrière ma couronne, je ne bouge plus. Brad laisse échapper un gros soupir et remue un peu du bassin, comme s'il voulait se faire à ma présence. Mes bras tétanisent un peu à rester tendus sans bouger mais ce n'est pas le moment de m'écraser sur son dos.
Je continue ma plongée dans son corps. Quand il ne me reste plus qu'un cm à lui mettre, je m'écrase sur lui mes cuisses enserrant les siennes et mes bras ses épaules.
J'ai bien fait de m'accrocher. Car là il se réveille et je me retrouve écrasé contre le matelas ! Puis il réalise que c'est moi et qu'il m'a bien profond dans le cul. J'échappe donc à, au minimum, une épaule déboitée. Comme il gueule contre moi, Chad se réveille et éclate de rire. Il calme son copain en lui demandant si c'était si désagréable que ça, ce n'était qu'un peu plus gros que les deux doigts qu'il acceptait d'avoir dans le cul.
Mon bassin, vicieux, entame un pilonnage en profondeur qui doit stimuler ce qu'il faut car il se met à bander. Chad l'embouche et le bascule sur le côté. Ouf, je peux respirer de nouveau ! J'ai accompagné le mouvement et peux donc maintenant limer cette rondelle à demi vierge puisque déjà défloré à la main. J'entame de long (enfin 20cm) va et vient. Ça lui fait plus d'effet que je ne pensais car il ne lui faut pas 5mn pour lâcher la purée dans la bouche de son pote. Il me demande de sortir, ce que je fais bien que pas encore vidé. Il me fait glisser jusqu'à pouvoir me faire une pipe. Une vraie pompe à vide !! J'ai l'impression que sous son aspiration mes couilles vont passer par ma bite pour qu'il les gobe. C'est aussi efficace sur moi que ma bite en a eu dans son cul. En 5mn chrono je sens mon jus sortir de mes boules et remonter mon urètre. Brad se rejette en arrière au moment même où mon sperme explose en l'ai tel un geyser pour retomber sur mes pecs. Il ne reste plus que Chad à purger. C'est chose faite en nous y mettant à 2. En fait Brad n'est pas juste un actif bourrin qui encule seulement les mecs mais un balaise qui prenait jusqu'à présent son pied avec toute la panoplie d'actes sexuels autres que sa sodo.
Avant de se rendormir, il nous explique que la seule fois précédente où il s'était fait sodomiser, il avait aussi éjaculé en quelques minutes. C'est ce qui l'avait porté à être seulement actif pour profiter plus longtemps des plans cul.
Si c'est seulement pour ça, ça peut s'arranger. Et puis, vu comme il bandait encore après avoir juté, ça devrait pas le gêner. Il serait juste plus long à venir la deuxième fois.
Chad est d'accord avec moi et lui dit qu'ils vont s'entrainer pour que Brad progresse en endurance. Venant pour un mec comme Brad le mot " endurance " me fait sourire, il doit physiquement pas en manquer !!
Jardinier
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Résolutions 2025 :
Ne plus me forcer à manger pour ne pas avoir de restants ou par simple gourmandise
Essayer plein de nouvelles recettes végétariennes ou asiatiques
Survivre
Agir de manière plus sociale
Faire du sport et de la musculation régulièrement
Survivre
Me laver le visage et mettre une lotion tonique chaque matin
Ne plus dépendre des autres pour être heureux, pour m'aimer, pour valider mes émotions
Survivre
Remplacer partiellement ma consommation d'alcool par des alcools moins forts ou des mocktails
Dormir le soir dès que je suis fatigué et passer de 5h de sommeil à un minimum de 7h
SURVIVRE.
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Pousser la porte et prendre une chaise
Hier soir, troisième semaine de réunion des Alcooliques Anonymes. C'est ma sixième réunion.
La plus belle réunion depuis la première.
Ça fait quinze jours que je suis abstinente, j’en savoure les premiers effets bénéfiques. Je dors le même nombre d’heure mais la qualité de mon sommeil s’est significativement améliorée, si l’on exclue les réveils nocturnes causés par le chat. Je me sens calme, reposée, mon humeur s’est stabilisée : je ne pars pas dans les tours, je n’ai pas l’impression d’avoir besoin de re-fonder ma vie entièrement et sur de nouvelles bases, chaque matin. Je ne me mets pas en colère, je ne panique pas dès qu’un problème se présente, je suis tranquille. Je crois que j’ai cessé d’avoir peur tout le temps, et d’avoir honte. Je n’ai plus cette croix à porter, si lourde sur mes épaules, le lendemain d’une simple bière légère.
Je suis même heureuse, je peux le dire. C’est aussi simple. C’est ce sentiment euphorique qui m’avait convaincu d’arrêter la thérapie. Je me souviens de ce fameux mois de septembre, il y a un an et demi, où tout roulait, mon quotidien, ma vie sociale, mes valeurs, l’intérêt que je portais à la vie, le désir, l’enthousiasme. Sans alcool. J’ai replongé après, mais c’était la première fois de ma vie que je me sentais légère et joyeuse, durablement. J’ai passé un temps infini à livrer une bataille titanesque contre le poison qu’insinuait l’alcool dans mes veines, même quand je ne buvais pas deux jours, et c’est ça que je trouve fascinant aujourd’hui, en écrivant et réfléchissant à mon rapport à l’alcool, c’est que tant qu’on n’est pas abstinent, tant qu’on laisse une place à l’alcool dans notre vie, même quand on ne le consomme pas abusivement, il nous empoisonne l’esprit. Il est présent. Il ravive une petite honte, une fatigue, des souvenirs douloureux, des symptômes physiques. Il reste physiquement et mentalement dans notre système et nous met des bâtons invisibles dans les roues. Il change la face de notre quotidien sans qu’on s’en aperçoive.
J’ai tellement lutté pour dépasser la honte et la culpabilité d’être alcoolique, que j’ai développé à force d’obstination et de persévérance, des attitudes très saines pour compenser cet excès morbide. J’apprenais à lire tous les jours, à faire du sport régulièrement, j’ai mis en place des routines du matin, du soir, essayé des choses, reporté, recommencé, pendant des mois, à installer des habitudes pour bien vivre. J’ai lutté pour ma santé mentale. C’est un cadeau que je me suis fait : après tant d’effort pour les inscrire dans mon quotidien, arrêter l’alcool a suffit. Toutes ces habitudes qui me demandaient tant d’effort face à la petite voix de mon cerveau qui me disait : “tu es nulle”, “tu n’arriveras jamais à rien”, “tu ne sais rien faire”, deviennent infiniment plus simples depuis que j’ai retiré l’alcool de ce même quotidien. Tout est plus simple, alors, juste comme ça, je suis simplement heureuse. J’ai enlevé le bâton de ma roue, et je l’ai fait quand j’ai compris qu’il fallait le faire pour moi. Arrêter de boire, je l’ai fait pour moi, et il n’y a pas d’autre façon d’arrêter de boire.
Le partage de P. Hier en réunion parlait de ça. Pour certains, on arrête pour les autres, pour retrouver un travail, récupérer son permis, son appartement… mais c’est seulement quand on comprend qu’on mérite d’arrêter de boire et d’aller mieux, soi, parce que personne ne le fera pour nous, qu’on passe le cap de l’abstinence. On replongera plusieurs fois, mais on n’attendra plus que la solution viennent de l’extérieur. C’est pas qu’on en est pas capable, mais on arrête de boire seulement quand on se met à penser qu’on le mérite. Parce que nous sommes nos propres parents, nous devons d’abord être aimés par nous même, comme nous aurions aimé être aimé au départ. Toutes les personnes que je croise en réunion ont eu des enfances et des foyers dysfonctionnels. C’est tellement fort d’être parmi les siens. D’être parmi des gens qui comprennent ce que c’est que de vouloir se détruire parce qu’on n’a pas trouvé d’autre voie dans la vie, parce qu’on a pas trouvé de soutien ni de raison, déjà tout petit, de se lever et d’avancer.
Hier soir, j’ai trouvé du soutien. J’ai senti mon appartenance. Comme a dit S. Ici, j’ai ma place, parce que quand j’arrive, j’ai une chaise pour m’asseoir. Je peux m’exprimer. Personne ne va m’interrompre, je vais parler aussi longtemps que je le veux, et ces gens vont m’écouter comme on ne m’a jamais écouté nulle part. Ces gens dont je ne sais rien, à part les lieux sombres de leur addictions, leurs démons, leurs joies aussi dans leur rétablissement, m’ont apporté plus que ne l’a jamais fait ma propre famille.
Il y a trois semaines, c’était Noël. Un événement tellement désacralisé et obligatoire, qu’il ne ressemble plus qu’à un simple repas de famille du samedi midi. Il ne s’est rien passé de différent, mais j’ai mis deux semaines à m’en remettre, à me sentir terriblement vide, blessée, profondément malheureuse, dévastée, déprimée. Je n’arrivais plus à sortir de ce marasme d’idées noires, jusqu’à me dire mais à quoi bon ? À quoi bon vivre, si c’est pour ressentir ça ? Mais alors que s’était-il passé là-bas, pour qu’avec ma propre famille, je me sente si abîmée ? Et bien, il n’y avait rien. Pas de lien, pas de regard, pas de sourire, pas de câlin, pas même une tape sur l’épaule, un compliment ou une parole affectueuse. Que des visages renfrognés derrière des masques de personne qui luttent, qui ne veulent pas montrer leurs émotions, ni les ressentir ni les offrir. Pas d’écoute, pas d’attention, pas d’amour. Pas de connexion. Rien, en vérité. Des mots vides, répétés cent fois, sans foi, des mots qui passent entre les couverts, les verres de vins et s’échouent plus loin au pied de la table. Des ricanements débiles, des moqueries, des humiliations même parfois, de celles qui vous saccagent l’esprit avant même de savoir que vous en avez un.
Hier, T. A dit une phrase qui m’a fait réfléchir. La puissance supérieure des AA, c’est la puissance supérieure que nous avions placé dans l’alcool et qui nous dictait nos façons d’agir. Il suffirait de la déplacer dans autre chose, que ce soit Dieu, que ce soit l’Univers, que ce soit le groupe. Je crois qu’il a raison. Il existe encore quelque part dans mon cerveau une croyance, que je tends à déconstruire à présent grâce au programme, une croyance que l’alcool va m’aider à ne plus ressentir la souffrance d’abandon que m’a fait vivre ma famille, qu’il va m’aider à m’extirper de ma dépendance affective. J’ai déplacé en quelque sorte, ma dépendance désastreuse à ma famille, vers une dépendance désastreuse à l’alcool. Car je souffrais, et je souffre encore profondément, Noël me l’a montré. Renoncer à l’alcool, c’est aussi renoncer à cet amour que je n’aurai jamais, ce soutien que je n’aurai jamais, de leur part. Renoncer à mes dépendances, c’est m’accorder enfin la liberté de vivre sans cela, d’en faire le deuil. C’est vivre librement, sans attendre ce réconfort qui ne viendra jamais, qui n’est qu’illusion, et se change en griffe quand on s’approche un peu trop près.
Les personnes dépendantes cherchent à jamais la nourriture affective dont ils ont manqué, cherchent à jamais la sécurité affective et l’attention qu’on leur a refusé. Jusqu’au jour où ils s’aperçoivent que le produit qu’ils consomment possède la même essence que ce poison d’abandon, que le dépit familial. Consommer à outrance, c’est s’enfoncer un peu plus dans la mort et les idées noires, à rechercher l’oubli et l’aisance que nous aurait apporté cet amour initial. Mais la vie sans eux est plus douce, et c’est cela qui soigne.
Remplacer un vide par un gouffre, mais alors qu’est-ce qui vient après ? Comment remplace-t-on l’alcool ? Je crois que les AA sont effectivement une réponse. Je crois que ça marche. Ils m’apportent, une à deux fois par semaine, une drogue douce, humaine : la connexion, le partage, l’écoute, le soutien, gratuit, inébranlable, inconditionnel. Une drogue de rêve que j’ai désespéré de trouver un jour, alors qu’il suffisait de pousser la porte, et de s’asseoir sur une chaise.
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Coucou Maman,
Tu sais j'ai été beaucoup en colère contre toi dans ma vie, encore maintenant quelques fois mais c'est normal
Pourtant
Malgré tout
Je t'aime très fort
Et je sais quand tu as raison, je sais reconnaître mes erreurs
Mais
Comme tu as dit la dernière fois, c'est compliqué
C'est compliqué d'admettre qu'on s'est trompé, d'admettre qu'on est dans une situation compliquée, d'admettre qu'on a besoin d'aide
C'est vraiment très dur
Tu sais j'aimerais réussir à te parler de tout ça, réussir a t'expliquer
J'aimerais réussir à t'expliquer que je suis terrorisée de partir mais aussi de rester là
Que je suis dans la précarité financière, que je dilapide mes économies parce que j'ai pas le choix
Que je me sens prise au piège
Que si je perds du poids c'est pas parce que je me suis remise au sport mais parce que je saute des repas, parce que les placards sont vides
Que si je suis aussi fatiguée en ce moment c'est pas à cause du temps mais parce que je dors moins de 5h par nuit, parce que j'y arrive pas, parce que mon sommeil est pas réparateur, et puis aussi parce que je prends beaucoup de drogues
Enfin un peu moins récemment mais quand même
J'aimerais réussir à te regarder dans les yeux et te dire que je consomme
J'aimerais réussir à affronter ton regard, ton jugement mais aussi ton inquiétude si je te disais à quoi ressemble mon quotidien ici
J'aimerais réussir à t'expliquer à quel point je m'inquiète pour moi-même
Pour ma santé
J'aimerais réussir à t'expliquer toutes ces choses qui se passent entre lui et moi qui me rongent mais sur lesquelles j'essaye de fermer les yeux vainement
J'aimerais réussir à t'expliquer que j'en suis arrivée à un point où je sais tellement plus quoi faire que j'envisage même de vendre mon corps
J'aimerais réussir à t'expliquer tout ça
T'expliquer que je suis tellement tellement seule et isolée
Réussir à te regarder dans les yeux et te dire que tes inquiétudes étaient justifiées, que tu avais raison
Réussir à te parler de ma peur et de mon inquiétude quelques fois, quand il aborde la violence, quand il parle de l'armée, quand il a envie de se battre
Réussir à te dire que j'ai mis tous mes principes et mes valeurs de côté, que je deviens ce modèle détestable que j'ai toujours voulu éviter, que je suis devenue cette femme que je m'étais juré de ne jamais être parce que ça ne me correspond pas
Parce que je deviens cette femme-objet, cette femme qui met sa vie entière entre parenthèse pour l'autre, cette femme qui renonce à ses ambitions pour entretenir le "foyer" seule
Réussir à te dire que j'ai plus la force, que je veux juste baisser les bras et tout abandonner
Je suis fatiguée de me battre
Réussir à te dire qu'au final
Le silence
C'est tout ce qu'il me reste
Alors je m'emmure dans ce silence
Comme une prison dorée
Parce que c'est plus simple de rien dire que d'admettre tout ça
C'est plus simple de continuer d'avancer en fermant les yeux que de s'en aller
J'aimerais réussir à te dire tout ça maman
Et tellement plus encore si tu savais
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Discrète, mais si sensuelle Samantha Gradoville nue
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Samantha Gradoville est un mannequin américain, née le 1er janvier 1990 à Omaha, Nebraska. Elle a déménagé à New York pour soutenir sa carrière et a participé à des campagnes remarquables avec les versions française et italienne de Vogue Magazine, La Perla, Emporio Armani et Calvin Klein Underwear, et a fait de la publicité pour diverses marques, dont Gas Jeans, Vilshenko, et bien d'autres. Au printemps 2009, Samantha a commencé à travailler en Haute Couture, où elle a présenté des défilés pour Christophe Josse et Zuhair Murad. L'année suivante, son statut de célébrité a commencé à croître avec l'ouverture et la fermeture de la collection Prada automne 2010 à Milan. Elle est apparue au défilé Miu Miu à Paris une semaine plus tard et est devenue l'un des personnages les plus discutés de la saison. Avant de devenir mannequin professionnel, Samantha se consacrait à de nombreux sports, tels que le volley-ball, le baseball, la natation et la piste. Afin de rester en bonne santé, elle privilégie désormais la maîtrise de son régime alimentaire, mais apprécie également faire de longues balades ou des randonnées ponctuelles. Samantha apprécie consommer de l'énergie excessive pendant la journée entre les tournages et avoir un bon sommeil la nuit. Samantha est végétarienne, ce qui signifie qu'elle évitera la plupart des fast-foods, à l'exception du Jamba Juice et du Taco Bell. Lors d'une interview avec FashionTV en 2012, Gradoville évoquait les difficultés de la fashion week : "Certaines personnes te traitent comme un mannequin, comme un morceau de plastique juste là pour les vêtements mais on est aussi très bien traités... C'est un travail difficile, c'est vraiment le cas : nous ne dormons pas, nous ne faisons que manger des sandwichs toute la journée, ce n'est pas la chose la plus luxueuse et la plus glamour de la semaine de la mode, mais il y a des gens qui comprennent. » Carrière de mannequin de Samantha Gradoville Gradoville a été casté plusieurs fois pour Calvin Klein, photographié par Marion Sorrenti et Steven Meisel. Elle a également été choisie pour des campagnes de mode avec Roberto Cavalli, D & G et Emporio Armani. Amis et famille Face aux personnalités parfois difficiles et puissantes du monde de la mode, Samantha revient à ses racines du Nebraska et suit le conseil de sa mère de « les tuer avec gentillesse ». Elle raconte au New York Mag "le soutien de ma mère est ma seule constante". À l'école, on disait que Samantha était une bonne élève, une perfectionniste qui aimait lire des livres et recherchait toujours la note parfaite au test. Enfant, elle était connue pour être réservée et timide, et a choisi le mannequinat comme moyen de sortir de cette coquille. Les amis sont importants, et le champion de Boggle sera repéré en train de faire du shopping vintage avec d'autres amis modèles, ou en train de dîner et de jouer. Pendant son temps libre, Samantha poursuit ses études. En grandissant, elle a été exposée à des artistes comme les Rolling Stones et les Beatles par son père, et sa musique préférée comprend de nombreux Oldies, aux côtés d'artistes rock et alternatifs plus modernes comme Blink 182. L'article le plus cher de son placard sont des chaussures, et elle entretient une grande collection. Vie personnelle, petit ami De décembre 2013 à septembre 2014, Samantha Gradoville est sortie avec le mannequin brésilien Marlon Teixeira, qui a un an et demi de moins qu'elle. Cependant, cette relation n'a pas duré longtemps, et il n'y a pas eu d'autres relations publiques, donc pour le moment, Samantha est célibataire, ce qui est une excellente nouvelle pour tous les gars du monde entier. Faits intéressants sur Samantha Gradoville Samantha Gradoville est amie avec des mannequins, Karlie Kloss, Jac Jagaciak, Ylonka Verheul et Vanessa Hegelmaier. Sam est obsédée par les chaussures et possède une énorme collection de chaussures, il est donc naturel que ses chaussures soient les articles les plus chers de son placard, tandis que lorsqu'elle voyage, elle porte toujours son maillot de bain. Gradoville était très active dans le sport auparavant, car en plus de la natation – elle aimerait également devenir une plongeuse certifiée – elle jouait au volley-ball, au softball et au basket-ball. A lire également : Kendall Jenner, en quelques photos Elle aime cuisiner et le mieux qu'elle puisse faire est des enchiladas, alors qu'elle préfère les aliments sucrés aux aliments salés. Gradoville a un Springer Spaniel anglais nommé Keely. Ses films préférés sont "Léon: The Professional" (1994) et "Eternal Sunshine of the Spotless Mind" (2004); son livre préféré est "The Lizard King" de Jerry Hopkins, ses créateurs préférés sont Gucci, Balmain, Prada, Miu Miu, Versace, Valentino, tandis que ses icônes de style sont Marilyn Monroe et Jim Morrison. Samantha Gradoville nue En maillot de bain Shooting topless A la plage pour une séance photo mode Mode et fashion , shooting magazine Topless pour un shooting mode Read the full article
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Je suis un chien du 21ème siècle.
Je suis un Malinois.
Surdoué parmi les chiens, je brille dans toutes les disciplines et je suis toujours prêt à travailler. Aujourd’hui, on me demande de me prélasser sur le canapé toute la journée.
Je suis un Akita Inu.
Chien de chasse hors pair, mes ancêtres ont aussi été employés pour les combats de chiens. Aujourd’hui, on me demande d’être tolérant avec mes congénères, et on me reproche ma réactivité quand l’un d’eux s’approche de moi.
Je suis un Beagle.
Quand je poursuivais ma proie, je donnais de la voix pour que les chasseurs puissent me suivre. Je menais la danse. Aujourd’hui, on me met un collier électrique pour que je me taise, et on voudrait que je revienne au rappel en un claquement de doigts.
Je suis un Yorkshire Terrier.
J’étais un redoutable chasseur de rats dans les mines anglaises. Aujourd’hui, on pense que je ne suis pas capable de me servir de mes pattes et on me garde toujours dans les bras.
Je suis un Labrador Retriever.
Ma vision du bonheur, c’est un plongeon dans un étang pour ramener à mon maître le canard qu’il vient de tirer. Aujourd’hui, on a oublié que j’étais un chien de sport, je suis obèse et je dois jouer la nounou des enfants.
Je suis un Jack Russel.
Je suis capable de tenir tête à un renard plus gros que moi dans son propre terrier. Aujourd’hui, on me reproche mon fichu caractère et on voudrait faire de moi un chien de manchon.
Je suis un Husky Sibérien.
J’ai connu les grands espaces du Nord de la Russie, où je pouvais tracter des traîneaux à une vitesse impressionnante. Aujourd’hui, je n’ai pour seul horizon que les murs du jardin, et pour seule occupation les trous que je creuse dans le sol.
Je suis un Border Collie.
Je suis fait pour travailler huit heures par jour, et je suis un artiste incomparable du travail au troupeau. Aujourd’hui, on m’en veut parce que, faute de brebis, j’essaie de contrôler les vélos, les voitures, les enfants de la maison, et tout ce qui est en mouvement.
Je suis un chien du 21ème siècle.
Si je te plais, si tu rêves de moi depuis toujours, si mes beaux yeux azur ou mon look d’athlète te font envie, mais que tu ne peux pas m’offrir une vraie vie de chien, une vie qui vaut vraiment la peine d’être vécue, et si tu ne peux pas me proposer le travail que réclament mes gènes... alors renonce à moi. Si mon allure te plaît mais tu n’es pas prêt à accepter mes traits de caractère issus d’une sélection génétique rigoureuse, et que tu penses pouvoir les changer avec ta seule bonne volonté... alors renonce à moi. Je suis un chien du 21ème siècle, oui. Mais, tapi au fond de moi, sommeille encore celui qui combattait, celui qui chassait, celui qui tirait des traîneaux, celui qui guidait un troupeau. Et, tôt ou tard, il s’éveillera. Pour le meilleur ou pour le pire.
Article d'Elsa Weiss
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Je ne sais pas comment développer un esprit propice à l'acquisition et à la mémorisation des connaissances.
Je suis allé me confronter à la chose que j’aime et que je redoute, les sciences. Là où on m’a toujours dis que j’avais du potentiel mais mon manque d’investissement me freinait dans la réussite de cette discipline.
Je vois ceux réussir dans les maths, aussi facilement qu’ils diraient bonjour pendant que moi je galère à avoir un niveau bac s (bon cette prépa veut faire de nous des futurs étudiants en médecine ou ingé alors je suppose que c’est plus que le niveau bac s)
Il y a beaucoup de chose que je ne sais pas faire que des collégiens savent faire.
Pour l'instant j'en suis encore où je récupère un sommeil décent, je mange deux fois par jour, mon hygiène est décente, je vois mes amis, je sors, je me remets au sport, j'améliore mon image.
La prochaine étape c'est les diplômes et tout ce que ça implique dans ce parcours...
J'en ai aucune idée de si j'ai les épaules pour.
J’en doute…
Tout ça me fais douter vraiment de mon intelligence et j'ai aucun moyen de la vérifier c'est ça le pire
Entre les « t'es limité » de l'un et les « jsp si tu es bête en fait » de l'autre. La répétions ça fais assimilation.
J'ai l'impression d'être une personne debile et lente et que je suis le seul à ne pas le voir que je suis comme ça.
C’est pas les maths ni la physique qui est difficile, c’est moi qui est stupide.
Le tda ajouté à tout ça, me désespère encore plus, il est un tel handicap dans ma réussite sur tout les plans.
Suis-je au max de mon potentiel ? En ai-je un btw ? Si j’arrive pas à réussir ça à acquérir ce diplôme comment je vais faire après ? C’est représentatif de ma pauvreté intellectuelle.
Je suis sûr que je suis en dessous de la moyenne en terme de Q.i
Je suis lent, j’arrive pas à comprendre les choses, rien à voir mais suffit de me voir avec ma kiné, j’arrive pas à reproduire la moitié des exercices qu’elles me donne comme si j’avais un problème au niveau psychomoteur, de la motricité, il doit être au niveau d’un nouveau né.
Je suis trop stupide pour ce monde, enfin, le monde du travail, j’ai mis 10 000 ans à mesurer un angle de mur pour y insérer un meuble svp
J’ai envie de me foutre en l’air, premier degré ça fais partie de mes raisons.
Il suffirait que quelqu’un me dise clairement les choses, que oui un lycéen serai faire ce que je n’arrive pas à faire en math, que j’ai un vocabulaire et une expression digne d’un primaire, et que je suis long à la détente.
Vous savez quoi ? Je ne comprend toujours pas comment on trouve la solution à ça
Une baguette et un bonbon coûte 1.10€ au total, la baguette coûte 1€ de plus que le bonbon, combien coûte le bonbon ?
Voilà je crois que j’ai envie de pleurer tellement je suis médiocre et que tout le monde le sait mais personne me le dit
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7 habitudes à mettre en place dès maintenant.
Avoir entre 7h30 et 9h de sommeil ( boost de concentration, zenitude, bonne réflexion...)
Faire au moins 30min de sport par jour ( boost d'énergie, meilleure santé, meilleur sommeil, meilleur condition physique... )
Prendre des douches froides ( meilleures récupération musculaire, meilleur circulation sanguine, renforcement du système immunitaire... )
Lire au moins 15min ( libération des pensés, renseignements sur plusieurs sujet... )
Manger sainement ( meilleur santé, bonne condition physique... )
Travailler au moins 1h par jour sur ses projets ( avancer vers ses objectifs )
Diminuer les réseaux sociaux ( plus de dopamine, plus de motivation, plus de lucidité... )
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La nuit tombe, nous reprenons notre tramway préféré et rentrons manger à l'hôtel.
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Un petit pote devant l'hôtel, il y en a partout ici ! 🦎
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La supérette en mode Halloween 👻 (déso maman et Kim 🫣) sur une télécabine de Grenoble
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Antoine a d'ailleurs fait le bilan de notre périple depuis Washington jusqu'à la Nouvelle-Orléans, et nous avons parcouru 2 793 km 🚌
Petite session sport dans la salle fitness de l'hôtel, la forme n'est pas revenue mais souvent le sport fait passer la douleur. Une bonne nuit de sommeil et demain devrait être vraiment mieux ! Les jours de règles les plus durs sont passés 💪🏼
Et encore un joyeux anniversaire à Adrien 🥳🍄
Et ça c'est une mention spéciale à la passion d'Antoine 🚒🚗
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FR/ENG
Je vais vous partager ma manière de jeûner, parce que je trouve qu'elle fonctionne bien :
je ne prépare jamais mes jeûnes à l'avance, ça me fait binge,
je débute toujours mon jeûne un matin, après une longue nuit de sommeil (5h du mat, 6 du mat, ect.),
je ne me pèse pas avant que les 2 premiers jours soient passés,
je me pèse au réveil, juste après être passée aux toilettes (basique),
je prends mes médicaments (anxiolytique) AVANT mes vitamines,
je prends une bouteille d'eau de 2L (glacée, de préférence) dans laquelle j'ajoute une cuillière à café de vinaigre de cidre. Je bois ces 2L dans la journée (dès que je ressens la faim ou l'envie de manger),
je ne fais que du sport qui me plaise VRAIMENT (marche, dance, corde à sauter, natation (si j'avais assez d'argent…)),
je reste occupée (ménage, m'occuper de mes plantes, de mes animaux, regarder des films/séries (attention : certains d'entres eux peuvent déclencher des envie de binge)),
je tiens un journal (et mon tumblr) sur mon avancé, mes ressentis, durant ce jeûne. Ça aide vraiment,
je ne consulte "life fasting" QUE le matin, et UNE SEULE FOIS.
Voilà ~ je ne dis pas que c'est une bonne technique. Par contre, elle fonctionne sur moi.
—
I'm going to share with you my way of fasting, because I find that it works well :
I never prepare my fasts in advance, it makes me binge,
I always start my fast one morning, after a long night's sleep (5am, 6am, etc.),
I do not weigh myself until the first 2 days have passed,
I weigh myself when I wake up, just after going to the toilet (basic),
I take my medication (anxiolytic) BEFORE my vitamins,
I take a 2L bottle of water (ice cold, preferably) in which I add a teaspoon of cider vinegar. I drink these 2L during the day (as soon as I feel hungry or want to eat),
I only do sports that I REALLY like (walking, dancing, skipping rope, swimming (if I had enough money…)),
I stay busy (cleaning, taking care of my plants, my animals, watching movies/series (warning: some of them can trigger binge urges)).
I keep a diary (and my tumblr) on my progress, my feelings, during this fast. It really helps,
I consult "life fasting" ONLY in the morning, and ONLY ONCE.
There you go ~ I'm not saying this is a good technique. However, it works on me.
#4na fast#4norexi4#@na#ana triggered#ana rambles#ana#ana+trigger#anadiet#bing3 eating#bul1m14#mia#m14#bulimi@#bulimima#disordered eating thoughts#ed bllog#ed disorder#ed not ed sheeran#ed relapse#ed vent#i wanna be weightless#i want to be weightless#i+wish+i+was+thinner#n0t pr0#not ed sheeran#pr0 @na#notprojustusingthetags#pro for me not for thee#pro for myself#relapse
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Villes, sucre et sommeil : enjeux santé pour tous
NOUVEAU PODCAST 👉 Villes, sucre et sommeil : enjeux santé pour tous
Dans cet épisode, nous allons parler d’enfants urbains, sucre réduit, sommeil actif et de défis santé actuels **NOUVEAU** : Dompter l’hyperphagie : 5 solutions efficaces à découvrir Sommaire du podcast : Vivre en ville n’est plus une bonne solution pour les enfants “Diminishing health benefits of living in cities for children and teens” souligne que les avantages traditionnels pour la…
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#alimentation équilibrée#alternatives au sucre#avantages santé urbains#Enfants en ville#espaces verts#exercices physiques#pollution#qualité du sommeil#réduction de sucre#rythme circadien#santé mentale#sport et sommeil
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Départs et arrivées - David Frenkel
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Cette nuit là, Damien sursauta plusieurs fois dans son sommeil, tant il était angoissé à l’idée de ne pas entendre la sonnerie du réveil. Son avion à destination de Londres décollait à 7 heures dix du matin de l’aéroport de Cointrin. Ce voyage était traditionnel. Le 13 avril de chaque année, il se rendait dans cette ville pour se recueillir sur la tombe de son père, mort depuis dix-neuf ans maintenant. Quand le son strident du réveil se déclencha, il sauta du lit, fit sa toilette, puis enfila un jersey de sport flottant, un jean, et chaussa pieds nus ses vieux derbys. Désirant s’éviter les affres d’un parking bien souvent plein, il laissa sa voiture au garage et commanda un taxi. Sac en bandoulière contenant sa subsistance du jour et un petit roman de gare, Damien s’engouffra dans le temple des départs et des arrivées, là où les adieux et les retrouvailles se confondaient en une rumeur joyeuse et éplorée à la fois. Slalomant entre une forêt d’individus tout en évitant la procession des valises à roulettes, il finit par s’agglutiner à la file des gens qui attendaient d’être balayés par les rayons de la défiance. Les yeux rivés sur l’avancement de la colonne, il maudissait les préposés aux contrôles de sécurité dont le rythme de travail était trop lent à son goût. Pour passer le temps, il observa ceux qui peinaient à se séparer avant de se noyer dans la sinueuse file d’attente. Il contempla la nymphette qui ne décollait pas ses lèvres de celles de l’adonis. Les effusions pathétiques d’une femme d’âge mûr l’attendrirent jusqu’aux larmes. Mais ce n’était rien à côté de ces deux personnes chenues qui s’accolaient l’un à l’autre. Les sourires de tristesse et les caresses sur le visage de l’autre le clouèrent sur place d’émotion. Une voix impatiente se fit alors entendre : « Monsieur, avancez s’il vous plaît, ne voyez-vous donc pas que vous freinez la file ? » Il se retourna. C’était un homme qui avait fière allure. Les cheveux soigneusement peignés et laqués, le col d’une chemise blanche orné d’un nœud papillon coloré, un costume qui habillait une silhouette ectomorphe et des chaussures derniers cri lui donnaient une belle élégance. « Oh excusez-moi, j’étais perdu dans mes pensées. – Pensées, vous dites ça, mais je vous ai observé, vos yeux étaient rivés sur les deux vioques, dit-il avec une lueur d’étonnement dans ses yeux marron. – Effectivement, pour m’occuper en attendant de passer la fouille, j’ai dévisagé les gens qui se séparaient avant d’aller vers d’autres cieux. Je n’avais jamais pensé que les émois des séparations pourraient autant me bouleverser. – Bof, dit-il dédaigneux, c’est la vie ! – Oui, mais cela nous interpelle, lorsque l’on sait qu’à l’étage inférieur c’est tout le contraire : on se réjouit de se retrouver sous le même ciel. – Vous savez, je suis médecin. Et croyez-moi lorsque j’étais de garde dans un hôpital de fortune en Afrique, au début, je n’en menais pas large. Devoir prononcer la sentence d’un diagnostic incurable à ceux qui gisent dans des lits alignés en fil d’attente était psychologiquement dur. Il ne s’agissait pas de s’envoler ou d’atterrir mais de la vie ici-bas, peu importait le ciel. Vos sentiments m’indiffèrent donc. – Ah bon, vous êtes médecin ! Vous pratiquez où ? s’intéressa Damien. – Ici même à l’aéroport, je suis de permanence au service de l’infirmerie. – Je comprends alors. En plus, de votre expérience africaine, être quotidiennement confronté aux drames qui se croisent à l’orée des arrivées et des départs, vous rend blindé pour être touché par les états d’âmes de ceux qui se disent au revoir ou qui se retrouvent. Mais ma parole, qu’ils engagent des agents supplémentaires, regardez-moi ça, il y a six postes de contrôle mais seulement trois qui fonctionnent. – Moi, j’ai tout mon temps, remarqua froidement l’homme. Je me suis offert une fin de semaine de détente à Venise. Et pour que le départ se passe dans la décontraction, je suis venu en avance. Mon avion part dans trois heures seulement. J’aurai le temps de flâner et de fixer les individus assaillis par l’angoisse de rater l’avion. – Ne seriez-vous pas un peu sadique sur les bords ? – Quand j’exerce, je ne peux l’être. Mais durant mes loisirs, oui. Étant souvent confronté aux tensions inhérents à ma profession, j’ai un malin plaisir à observer avec détachement le stress des autres. Et vous, vous allez où ? Damien ne put lui répondre, car il fut heurté dans le dos par son interlocuteur, qui lui-même fut violemment poussé par derrière. En se retournant rageusement, celui-ci vit une jeune et grande dame gisant évanouie sur le sol sous la corde de la file d’attente, bouche semi-ouverte. « Oh mon dieu, elle est tombée contre vous, s’entend-il dire.» Il se précipita sur elle, la plaça en position latérale de sécurité, prit son pouls et lui parla : "Madame, madame, vous m’entendez ? " N’obtenant aucune réponse, il lui fit un bouche à bouche, et elle reprit conscience en portant la main sur le côté gauche de la poitrine. L’homme sortit alors son portable, appuya sur une touche et décrivit la situation à quelqu’un. Damien ne s’attarda pas, emporté qu’il fut par le flot humain ; entre temps, deux préposés aux contrôles étaient venus renforcer l’effectif. Quittant à regret l’inconnu, il se dit que l’aéroport était aussi le carrefour des vicissitudes du destin. Arrivé au contrôle de sécurité, il s’empressa de placer les vêtements d’extérieurs ainsi que le contenu de ses poches dans les bacs. Puis, tâtant la poche arrière de son jean, il fut tout retourné de ne pas y trouver son portefeuille. Soudain, il se rappela qu’avant de quitter l’appartement il était allé au salon pour sortir d’une enveloppe cinq mille francs qu’il devait emporter avec lui. J’ai dû le laisser dans cette pièce, espéra-t-il. Il prit donc ses jambes à son cou et se dirigea vers une borne interactive. Il comptait s’y procurer, en naviguant sur le site d’ une quelconque compagnie aérienne, un départ différé dans la journée. Trouvant rapidement un vol en fin de matinée et un retour tard en soirée, il contacta sa belle-sœur pour lui faire part du contretemps. Celle-ci habitait dans la capitale britannique. Le mois dernier, Damien était parti en vacances à Bilbao. Les deux s’étaient rencontrés par hasard dans l’hôtel où elle avait aussi pris ses quartiers. La Providence avait bien fait les choses. En effet, quelques heures avant son retour à la maison, il s’était fait voler ses cartes bancaires et de crédit. Elle lui avait alors avancé la somme cinq mille franc dont il avait besoin pour régler ses frais de séjour. Il comptait les lui rendre en arrivant à Londres. Alors que Damien se rendait vers la sortie, il passa devant une enseigne de bar jouxtant les Arrivées. Un esclaffement de rire attira son attention. Quelle ne fut pas sa surprise de voir attablées au comptoir les deux personnes de tout à l’heure, et deux questions le cinglèrent : la personne qui s’était évanouie comment se faisait-il qu’elle avait déjà l’air si épanouie ? Ce médecin qui devait se rendre à Venise en toute décontraction pourquoi s’attardait-il ? Avant qu’il n’eût le temps de les questionner, l’homme s’adressa à lui et s’exclama, tout étonné : « Vous ne partez plus ? Puis, la femme renchérit : – Mais ne nous regardez pas avec cet air ahuri. Voilà trois mois que j’ai été soignée par mon ami Jacques. Je suis tout de suite tombée amoureuse de lui. Mais lui, malgré mes déclarations répétées, ne m’a témoigné que de l’indifférence. Devant mon insistance, il a fini par me proposer que l’on déjeune ensemble, mais, m’a-t-il avertit, n’y voyez pas autre chose qu’un repas entre amis. Hier, durant le déjeuner, j’ai appris qu’il partait aujourd’hui seul à Venise. Cela n’a fait qu’augmenter mon désir de briser sa résistance amoureuse face à moi. Alors, jouant le tout pour le tout, je l’ai guetté ici, à l’aéroport, et je l’ai suivi. Car, me suis-je dit, cet endroit est si propice aux revirements sentimentaux et aux amours naissants. Certains couples y retrouvent leur passion de jeunesse à l’heure de se séparer ou de se retrouver. Et bien des amours voient le jour dans ce carrefour où tant de vécus s’entrecroisent. Alors, l’idée m’est venue de simuler devant lui un événement dramatique genre malaise, dans l’espoir de l’attendrir et, qui sait, lui insuffler un sentiment pour moi. Bien m’en a pris, car j’ai au moins goûté à son bouche à bouche. » Jacques tourna son regard vers l’énamourée et dit sur un ton entouré de mystère : «J’ai profondément été touché par le stratagème de Martine, je ne sais ce qui en adviendra. Peut-être que comme Venise, elle m’inspirera l’amour ; elle aura tout un week-end pour le faire. Puis, fixant les yeux de Damien, il insista : Mais enfin vous, monsieur, vous n’êtes donc pas parti ? – Je vous répondrai après que vous m’aurez laissé prendre une photo de vous deux, car votre histoire est diablement touchante. – M...m..ais p… p… ourquoi ? Bégayèrent-ils. – Allez, s’il vous plaît, une petite photo, insista-t-il. – D’accord, notre histoire est touchante, mais pourquoi nous prendre en photo ? s’énerva Martine. – Je suis journaliste et je pourrais faire un article sur ce qui s’est passé. Je l’intitulerai : "Comment séduire dans un aéroport ? " Et je le sous-titrerai ainsi : Prendre la queue et tomber dans les pommes, en espérant que l’autre en cueillera une ". – Oh non, nous avons horreur d’être mis en avant, déclarèrent-ils presque en chœur. – Qu’à cela ne tienne, j’écris uniquement pour Le Nouvelliste publié à Port-Au-Prince en Haïti. Se faire connaître là-bas, une ville distante de 4700 kilomètres d’ici, ne portera aucunement atteinte à votre anonymat. » Jacques et Martine se regardèrent quelques instants avec connivence. Finalement, ils acceptèrent de se faire photographier. Puis, la femme, désirant être seule avec son homme, ne voulut pas que Damien s’attardât à raconter les raisons de son non départ. C’est pourquoi, dés la photo prise, elle lança : « Bon ! On nous attend, tu viens ? Avant qu’il n’eût le temps de réagir, elle le prit par le bras et l’entraîna dans le hall de l’aéroport non sans souhaiter bonne chance à Damien. « Mais mon article sur vous ne vous intéresserait-il pas? » leur cria ce dernier. Alors, revenant sur leurs pas, ils lui donnèrent leurs adresses et s’éclipsèrent. Inquiet pour son portefeuille, Damien courut vers la station de taxi et demanda qu’on le conduisit à son domicile. Arrivé chez lui, il ne le retrouva pas. Il téléphona à l’infirmerie de l’aéroport et demanda à parler au médecin dont il donna le nom, on lui répondit que l’on ne le connaissait pas. Ses soupçons se manifestèrent donc avec acuité. Ni une, ni deux, il se précipita au poste de police le plus proche. Il brandit sous les yeux d’un policier la photo et les adresses des deux spécimens qu’il suspectait être des voleurs à la tire. Deux inspecteurs se rendirent séparément chez l’homme et la femme. La moitié du butin fut retrouvé chez chacun d’eux. Les deux, chômeurs de longue durée, avouèrent de suite leurs méfaits. Damien lorsqu’il fut devant les deux malfrats leur dit : Read the full article
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⌚ Définition d’une Montre Connectée – Guide Complet 2025
Les montres connectées, ou smartwatches, sont devenues des accessoires incontournables pour le quotidien. Elles permettent de recevoir des notifications, suivre son activité physique et même passer des appels. Mais qu’est-ce qu’une montre connectée exactement ? Découvrez tout ce qu’il faut savoir sur leur fonctionnement et leurs fonctionnalités.
🔹 1. Qu’est-ce qu’une Montre Connectée ?
Une smartwatch est une montre équipée d’un écran tactile et d’un système d’exploitation, permettant de se connecter à un smartphone ou d’être utilisée de manière autonome. Elle fonctionne généralement via Bluetooth, Wi-Fi ou eSIM pour accéder aux notifications, appels et applications.
✅ Affichage des notifications (SMS, emails, WhatsApp, appels, réseaux sociaux). ✅ Suivi de la santé : fréquence cardiaque, SpO2, ECG, suivi du sommeil. ✅ Suivi sportif : GPS, calories brûlées, nombre de pas, suivi multisport. ✅ Paiement sans contact : Apple Pay, Google Pay, Samsung Pay. ✅ Lecture de musique et contrôle vocal via Siri, Google Assistant ou Alexa.
🔗 2. Comment Fonctionne une Montre Connectée ?
📱 Connexion avec un Smartphone Une smartwatch fonctionne généralement en connexion avec un smartphone Android ou iOS via Bluetooth et une application dédiée :MarqueApplication à TéléchargerApple WatchApple Watch App (iOS)Samsung Galaxy WatchSamsung Wearable (Android & iOS)Google Pixel WatchGoogle Pixel Watch AppHuawei WatchHuawei HealthGarminGarmin ConnectAmazfitZepp App
⚡ Autonomie et Rechargement Les montres connectées utilisent des batteries rechargeables avec une autonomie variant de 1 jour à plusieurs semaines, selon le modèle.
📶 Modèles avec eSIM Certaines montres comme l’Apple Watch Cellular ou la Samsung Galaxy Watch LTE permettent de passer des appels et utiliser internet sans smartphone grâce à une eSIM.
🏆 3. Pourquoi Utiliser une Smartwatch ?
💡 Gain de temps – Plus besoin de sortir son téléphone à chaque notification. 🏃 Suivi santé & sport – Surveillance de l’activité physique et des constantes vitales. 🎧 Musique & divertissement – Lecture de musique et contrôle des podcasts. 💳 Paiement sans contact – Apple Pay, Google Pay, Samsung Pay. 🔋 Autonomie optimisée – Jusqu’à 14 jours sur certains modèles comme la Huawei Watch GT 4.
🛒 Où Acheter une Montre Connectée ?
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Le retour des Nike Air Superfly
Nike transforme un modèle d'athlétisme en paire du quotidien
En l’an 2000, les Air Superfly faisaient partie de la gamme Nike “sport”, en tant que sneakers dédiées à la course et au training sur piste. Après un long sommeil, voilà que le modèle va revenir sur le devant de la scène, Nike le transformant en paire lifestyle pour femme. Une transformation notable, mais toujours dans la même lignée chez Nike, et qui pose question : les femmes n’ont elles pas le…
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Six mois de prison pour vol de boules de pétanque 24/01/2025
Votre tête est malade, votre cœur exténué, de la plante du pied jusqu’à la tête, rien n’est en bon état. Ésaïe 1.5-6
Je n’achète pas le journal local, mais il m’arrive de regarder les gros titres sur Internet. Et, un jour, je suis stupéfait en lisant le titre ci-dessus.
Franchement, même si ce n’est pas bien de voler des boules de pétanque, c’est abusé, me suis-je dit, mais… je vous donne la suite :
« Un homme est surpris dans un magasin de sport en plein vol à l’étalage. La police le cueille à sa sortie. Il a dans ses poches quatre boules de pétanque. En s’intéressant à sa voiture, les policiers remarquent que les plaques avant et arrière ne correspondent pas. Vérification faite, il s’agit d’un véhicule volé. Il faut ajouter à cela qu’il conduisait sans permis puisque ce dernier lui avait été retiré, qu’il avait fait deux fois le plein sans payer. Bref, c’était assez pour qu’il soit présenté à la justice en comparution immédiate. Six mois fermes, a dit le verdict. »
Bon, après avoir lu, on comprend mieux le titre. Ce gars n’a pas cessé d’enchainer les infractions, et s’est forcément trouvé acculé au point de se retrouver à la case prison. Sans moralisme, le verset ci-dessus convient bien à cette situation et m’incite à me poser cette question : est-ce que, moi aussi, je fonce tête baissée dans des chemins qui mènent à une impasse… au niveau spirituel ?
Qu’en est-il de vous ?
Bernard Delépine
__________________ Lecture proposée : Livre des Proverbes, chapitre 4,
L’acquisition de la sagesse
1 Fils, écoutez l’instruction d’un père et soyez attentifs pour connaître l’intelligence ; 2 car je vous donne une bonne doctrine : n’abandonnez pas mon enseignement. 3 Car j’ai été un fils pour mon père, tendre et unique auprès de ma mère. 4 Il m’a enseigné et m’a dit : Que ton cœur retienne mes paroles ; garde mes commandements, et tu vivras. 5 Acquiers la sagesse, acquiers l’intelligence ; ne l’ oublie pas, et ne te détourne pas des paroles de ma bouche. 6 Ne l’abandonne pas, et elle te gardera ; aime-la, et elle te conservera. 7 Le commencement de la sagesse, c’est : Acquiers la sagesse, et, au prix de toutes tes acquisitions, acquiers l’intelligence. 8 Exalte-la, et elle t’élèvera ; elle t’honorera quand tu l’auras embrassée. 9 Elle mettra sur ta tête une guirlande de grâce, elle te donnera une couronne de gloire. 10 écoute, mon fils, et reçois mes paroles, et les années de ta vie te seront multipliées. 11 Je t’enseignerai la voie de la sagesse, je te dirigerai dans les chemins de la droiture. 12 Quand tu marcheras, tes pas ne seront pas gênés, et si tu cours, tu ne broncheras pas. 13 Tiens ferme l’instruction, ne la lâche pas ; garde-la, car elle est ta vie. 14 N’entre pas dans le sentier des méchants, et ne marche pas dans la voie des iniques. 15 Eloigne-t’en, n’y passe point ; détourne-t’en, et passe outre. 16 Car ils ne dormiraient pas s’ils n’avaient fait du mal, et le sommeil leur serait ôté s’ils n’avaient fait trébucher quelqu’un ; 17 car ils mangent le pain de méchanceté, et ils boivent le vin des violences. 18 Mais le sentier des justes est comme la lumière resplendissante qui va croissant jusqu’à ce que le plein jour soit établi. 19 Le chemin des méchants est comme l’obscurité ; ils ne savent contre quoi ils trébucheront. 20 Mon fils, sois attentif à mes paroles, incline ton oreille à mes discours. 21 Qu’ils ne s’éloignent point de tes yeux ; garde-les au dedans de ton cœur ; 22 car ils sont la vie de ceux qui les trouvent, et la santé de toute leur chair. 23 Garde ton cœur plus que tout ce que l’on garde, car de lui sont les issues de la vie. 24 Écarte de toi la fausseté de la bouche, et éloigne de toi la perversité des lèvres. 25 Que tes yeux regardent droit en avant, et que tes paupières se dirigent droit devant toi. 26 Pèse le chemin de tes pieds, et que toutes tes voies soient bien réglées. 27 N’incline ni à droite ni à gauche ; éloigne ton pied du mal.
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