#sommeil et sport
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fitnessmith · 4 months ago
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Faire du sport tard nuit à votre sommeil ; trauma ; reins et tissu adipeux
NOUVEAU PODCAST 👉 Faire du sport tard nuit à votre sommeil ; trauma ; reins et tissu adipeux. 🎙Pour écouter mon podcast : - Recherchez « la pause fitness » sur votre plateforme de podcast préférée - Ou rendez-vous en bio @fitnessmith, cliquez sur le lien, fitnessmith.fr/news puis dans « les nouveautés» - Ou rendez-vous dans votre boite mail pour les fidèles auditeurs #sport #fitness #sommeil #exercice #entraînement #santé #bienêtre #musculation #dormir #récupération #équilibredevie #santémentale #motivation #routinefitness #routinesommeil #bienetresportif #étudesport #prévention #sommeilprofond #motivationfitness #habitudesportive #formetard #routineexercice #entraînementsanté #neurogenèse #surpoids #résultatsfitness #performancephysique #alimentationéquilibrée #sommeilréparateur #sportetbienetre
Dans ce podcast, nous allons parler de problème de sommeil, le sport est le meilleur psy, la santé des reins et le tissu adipeux. Nouveau ! Comment rester en forme après 50 ans   Sommaire du podcast : Faire du sport tard peut nuire à votre sommeil Une nouvelle étude de l’Université Concordia montre que l’exercice intense en soirée peut avoir des effets contradictoires sur le sommeil. Faire de…
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mister-snake · 6 days ago
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Résolutions 2025 :
Ne plus me forcer à manger pour ne pas avoir de restants ou par simple gourmandise
Essayer plein de nouvelles recettes végétariennes ou asiatiques
Survivre
Agir de manière plus sociale
Faire du sport et de la musculation régulièrement
Survivre
Me laver le visage et mettre une lotion tonique chaque matin
Ne plus dépendre des autres pour être heureux, pour m'aimer, pour valider mes émotions
Survivre
Remplacer partiellement ma consommation d'alcool par des alcools moins forts ou des mocktails
Dormir le soir dès que je suis fatigué et passer de 5h de sommeil à un minimum de 7h
SURVIVRE.
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plexussolaire · 1 year ago
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Pousser la porte et prendre une chaise
Hier soir, troisième semaine de réunion des Alcooliques Anonymes. C'est ma sixième réunion.
La plus belle réunion depuis la première.
Ça fait quinze jours que je suis abstinente, j’en savoure les premiers effets bénéfiques. Je dors le même nombre d’heure mais la qualité de mon sommeil s’est significativement améliorée, si l’on exclue les réveils nocturnes causés par le chat. Je me sens calme, reposée, mon humeur s’est stabilisée : je ne pars pas dans les tours, je n’ai pas l’impression d’avoir besoin de re-fonder ma vie entièrement et sur de nouvelles bases, chaque matin. Je ne me mets pas en colère, je ne panique pas dès qu’un problème se présente, je suis tranquille. Je crois que j’ai cessé d’avoir peur tout le temps, et d’avoir honte. Je n’ai plus cette croix à porter, si lourde sur mes épaules, le lendemain d’une simple bière légère.
Je suis même heureuse, je peux le dire. C’est aussi simple. C’est ce sentiment euphorique qui m’avait convaincu d’arrêter la thérapie. Je me souviens de ce fameux mois de septembre, il y a un an et demi, où tout roulait, mon quotidien, ma vie sociale, mes valeurs, l’intérêt que je portais à la vie, le désir, l’enthousiasme. Sans alcool. J’ai replongé après, mais c’était la première fois de ma vie que je me sentais légère et joyeuse, durablement. J’ai passé un temps infini à livrer une bataille titanesque contre le poison qu’insinuait l’alcool dans mes veines, même quand je ne buvais pas deux jours, et c’est ça que je trouve fascinant aujourd’hui, en écrivant et réfléchissant à mon rapport à l’alcool, c’est que tant qu’on n’est pas abstinent, tant qu’on laisse une place à l’alcool dans notre vie, même quand on ne le consomme pas abusivement, il nous empoisonne l’esprit. Il est présent. Il ravive une petite honte, une fatigue, des souvenirs douloureux, des symptômes physiques. Il reste physiquement et mentalement dans notre système et nous met des bâtons invisibles dans les roues. Il change la face de notre quotidien sans qu’on s’en aperçoive.
J’ai tellement lutté pour dépasser la honte et la culpabilité d’être alcoolique, que j’ai développé à force d’obstination et de persévérance, des attitudes très saines pour compenser cet excès morbide. J’apprenais à lire tous les jours, à faire du sport régulièrement, j’ai mis en place des routines du matin, du soir, essayé des choses, reporté, recommencé, pendant des mois, à installer des habitudes pour bien vivre. J’ai lutté pour ma santé mentale. C’est un cadeau que je me suis fait : après tant d’effort pour les inscrire dans mon quotidien, arrêter l’alcool a suffit. Toutes ces habitudes qui me demandaient tant d’effort face à la petite voix de mon cerveau qui me disait : “tu es nulle”, “tu n’arriveras jamais à rien”, “tu ne sais rien faire”, deviennent infiniment plus simples depuis que j’ai retiré l’alcool de ce même quotidien. Tout est plus simple, alors, juste comme ça, je suis simplement heureuse. J’ai enlevé le bâton de ma roue, et je l’ai fait quand j’ai compris qu’il fallait le faire pour moi. Arrêter de boire, je l’ai fait pour moi, et il n’y a pas d’autre façon d’arrêter de boire.
Le partage de P. Hier en réunion parlait de ça. Pour certains, on arrête pour les autres, pour retrouver un travail, récupérer son permis, son appartement… mais c’est seulement quand on comprend qu’on mérite d’arrêter de boire et d’aller mieux, soi, parce que personne ne le fera pour nous, qu’on passe le cap de l’abstinence. On replongera plusieurs fois, mais on n’attendra plus que la solution viennent de l’extérieur. C’est pas qu’on en est pas capable, mais on arrête de boire seulement quand on se met à penser qu’on le mérite. Parce que nous sommes nos propres parents, nous devons d’abord être aimés par nous même, comme nous aurions aimé être aimé au départ. Toutes les personnes que je croise en réunion ont eu des enfances et des foyers dysfonctionnels. C’est tellement fort d’être parmi les siens. D’être parmi des gens qui comprennent ce que c’est que de vouloir se détruire parce qu’on n’a pas trouvé d’autre voie dans la vie, parce qu’on a pas trouvé de soutien ni de raison, déjà tout petit, de se lever et d’avancer.
Hier soir, j’ai trouvé du soutien. J’ai senti mon appartenance. Comme a dit S. Ici, j’ai ma place, parce que quand j’arrive, j’ai une chaise pour m’asseoir. Je peux m’exprimer. Personne ne va m’interrompre, je vais parler aussi longtemps que je le veux, et ces gens vont m’écouter comme on ne m’a jamais écouté nulle part. Ces gens dont je ne sais rien, à part les lieux sombres de leur addictions, leurs démons, leurs joies aussi dans leur rétablissement, m’ont apporté plus que ne l’a jamais fait ma propre famille.
Il y a trois semaines, c’était Noël. Un événement tellement désacralisé et obligatoire, qu’il ne ressemble plus qu’à un simple repas de famille du samedi midi. Il ne s’est rien passé de différent, mais j’ai mis deux semaines à m’en remettre, à me sentir terriblement vide, blessée, profondément malheureuse, dévastée, déprimée. Je n’arrivais plus à sortir de ce marasme d’idées noires, jusqu’à me dire mais à quoi bon ? À quoi bon vivre, si c’est pour ressentir ça ? Mais alors que s’était-il passé là-bas, pour qu’avec ma propre famille, je me sente si abîmée ? Et bien, il n’y avait rien. Pas de lien, pas de regard, pas de sourire, pas de câlin, pas même une tape sur l’épaule, un compliment ou une parole affectueuse. Que des visages renfrognés derrière des masques de personne qui luttent, qui ne veulent pas montrer leurs émotions, ni les ressentir ni les offrir. Pas d’écoute, pas d’attention, pas d’amour. Pas de connexion. Rien, en vérité. Des mots vides, répétés cent fois, sans foi, des mots qui passent entre les couverts, les verres de vins et s’échouent plus loin au pied de la table. Des ricanements débiles, des moqueries, des humiliations même parfois, de celles qui vous saccagent l’esprit avant même de savoir que vous en avez un.
Hier, T. A dit une phrase qui m’a fait réfléchir. La puissance supérieure des AA, c’est la puissance supérieure que nous avions placé dans l’alcool et qui nous dictait nos façons d’agir. Il suffirait de la déplacer dans autre chose, que ce soit Dieu, que ce soit l’Univers, que ce soit le groupe. Je crois qu’il a raison. Il existe encore quelque part dans mon cerveau une croyance, que je tends à déconstruire à présent grâce au programme, une croyance que l’alcool va m’aider à ne plus ressentir la souffrance d’abandon que m’a fait vivre ma famille, qu’il va m’aider à m’extirper de ma dépendance affective. J’ai déplacé en quelque sorte, ma dépendance désastreuse à ma famille, vers une dépendance désastreuse à l’alcool. Car je souffrais, et je souffre encore profondément, Noël me l’a montré. Renoncer à l’alcool, c’est aussi renoncer à cet amour que je n’aurai jamais, ce soutien que je n’aurai jamais, de leur part. Renoncer à mes dépendances, c’est m’accorder enfin la liberté de vivre sans cela, d’en faire le deuil. C’est vivre librement, sans attendre ce réconfort qui ne viendra jamais, qui n’est qu’illusion, et se change en griffe quand on s’approche un peu trop près.
Les personnes dépendantes cherchent à jamais la nourriture affective dont ils ont manqué, cherchent à jamais la sécurité affective et l’attention qu’on leur a refusé. Jusqu’au jour où ils s’aperçoivent que le produit qu’ils consomment possède la même essence que ce poison d’abandon, que le dépit familial. Consommer à outrance, c’est s’enfoncer un peu plus dans la mort et les idées noires, à rechercher l’oubli et l’aisance que nous aurait apporté cet amour initial. Mais la vie sans eux est plus douce, et c’est cela qui soigne.
Remplacer un vide par un gouffre, mais alors qu’est-ce qui vient après ? Comment remplace-t-on l’alcool ? Je crois que les AA sont effectivement une réponse. Je crois que ça marche. Ils m’apportent, une à deux fois par semaine, une drogue douce, humaine : la connexion, le partage, l’écoute, le soutien, gratuit, inébranlable, inconditionnel. Une drogue de rêve que j’ai désespéré de trouver un jour, alors qu’il suffisait de pousser la porte, et de s’asseoir sur une chaise.
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tournesolaire · 10 months ago
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Coucou Maman,
Tu sais j'ai été beaucoup en colère contre toi dans ma vie, encore maintenant quelques fois mais c'est normal
Pourtant
Malgré tout
Je t'aime très fort
Et je sais quand tu as raison, je sais reconnaître mes erreurs
Mais
Comme tu as dit la dernière fois, c'est compliqué
C'est compliqué d'admettre qu'on s'est trompé, d'admettre qu'on est dans une situation compliquée, d'admettre qu'on a besoin d'aide
C'est vraiment très dur
Tu sais j'aimerais réussir à te parler de tout ça, réussir a t'expliquer
J'aimerais réussir à t'expliquer que je suis terrorisée de partir mais aussi de rester là
Que je suis dans la précarité financière, que je dilapide mes économies parce que j'ai pas le choix
Que je me sens prise au piège
Que si je perds du poids c'est pas parce que je me suis remise au sport mais parce que je saute des repas, parce que les placards sont vides
Que si je suis aussi fatiguée en ce moment c'est pas à cause du temps mais parce que je dors moins de 5h par nuit, parce que j'y arrive pas, parce que mon sommeil est pas réparateur, et puis aussi parce que je prends beaucoup de drogues
Enfin un peu moins récemment mais quand même
J'aimerais réussir à te regarder dans les yeux et te dire que je consomme
J'aimerais réussir à affronter ton regard, ton jugement mais aussi ton inquiétude si je te disais à quoi ressemble mon quotidien ici
J'aimerais réussir à t'expliquer à quel point je m'inquiète pour moi-même
Pour ma santé
J'aimerais réussir à t'expliquer toutes ces choses qui se passent entre lui et moi qui me rongent mais sur lesquelles j'essaye de fermer les yeux vainement
J'aimerais réussir à t'expliquer que j'en suis arrivée à un point où je sais tellement plus quoi faire que j'envisage même de vendre mon corps
J'aimerais réussir à t'expliquer tout ça
T'expliquer que je suis tellement tellement seule et isolée
Réussir à te regarder dans les yeux et te dire que tes inquiétudes étaient justifiées, que tu avais raison
Réussir à te parler de ma peur et de mon inquiétude quelques fois, quand il aborde la violence, quand il parle de l'armée, quand il a envie de se battre
Réussir à te dire que j'ai mis tous mes principes et mes valeurs de côté, que je deviens ce modèle détestable que j'ai toujours voulu éviter, que je suis devenue cette femme que je m'étais juré de ne jamais être parce que ça ne me correspond pas
Parce que je deviens cette femme-objet, cette femme qui met sa vie entière entre parenthèse pour l'autre, cette femme qui renonce à ses ambitions pour entretenir le "foyer" seule
Réussir à te dire que j'ai plus la force, que je veux juste baisser les bras et tout abandonner
Je suis fatiguée de me battre
Réussir à te dire qu'au final
Le silence
C'est tout ce qu'il me reste
Alors je m'emmure dans ce silence
Comme une prison dorée
Parce que c'est plus simple de rien dire que d'admettre tout ça
C'est plus simple de continuer d'avancer en fermant les yeux que de s'en aller
J'aimerais réussir à te dire tout ça maman
Et tellement plus encore si tu savais
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au-jardin-de-mon-coeur · 1 year ago
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Je suis un chien du 21ème siècle.
Je suis un Malinois.
Surdoué parmi les chiens, je brille dans toutes les disciplines et je suis toujours prêt à travailler. Aujourd’hui, on me demande de me prélasser sur le canapé toute la journée.
Je suis un Akita Inu.
Chien de chasse hors pair, mes ancêtres ont aussi été employés pour les combats de chiens. Aujourd’hui, on me demande d’être tolérant avec mes congénères, et on me reproche ma réactivité quand l’un d’eux s’approche de moi.
Je suis un Beagle.
Quand je poursuivais ma proie, je donnais de la voix pour que les chasseurs puissent me suivre. Je menais la danse. Aujourd’hui, on me met un collier électrique pour que je me taise, et on voudrait que je revienne au rappel en un claquement de doigts.
Je suis un Yorkshire Terrier.
J’étais un redoutable chasseur de rats dans les mines anglaises. Aujourd’hui, on pense que je ne suis pas capable de me servir de mes pattes et on me garde toujours dans les bras.
Je suis un Labrador Retriever.
Ma vision du bonheur, c’est un plongeon dans un étang pour ramener à mon maître le canard qu’il vient de tirer. Aujourd’hui, on a oublié que j’étais un chien de sport, je suis obèse et je dois jouer la nounou des enfants.
Je suis un Jack Russel.
Je suis capable de tenir tête à un renard plus gros que moi dans son propre terrier. Aujourd’hui, on me reproche mon fichu caractère et on voudrait faire de moi un chien de manchon.
Je suis un Husky Sibérien.
J’ai connu les grands espaces du Nord de la Russie, où je pouvais tracter des traîneaux à une vitesse impressionnante. Aujourd’hui, je n’ai pour seul horizon que les murs du jardin, et pour seule occupation les trous que je creuse dans le sol.
Je suis un Border Collie.
Je suis fait pour travailler huit heures par jour, et je suis un artiste incomparable du travail au troupeau. Aujourd’hui, on m’en veut parce que, faute de brebis, j’essaie de contrôler les vélos, les voitures, les enfants de la maison, et tout ce qui est en mouvement.
Je suis un chien du 21ème siècle.
Si je te plais, si tu rêves de moi depuis toujours, si mes beaux yeux azur ou mon look d’athlète te font envie, mais que tu ne peux pas m’offrir une vraie vie de chien, une vie qui vaut vraiment la peine d’être vécue, et si tu ne peux pas me proposer le travail que réclament mes gènes... alors renonce à moi. Si mon allure te plaît mais tu n’es pas prêt à accepter mes traits de caractère issus d’une sélection génétique rigoureuse, et que tu penses pouvoir les changer avec ta seule bonne volonté... alors renonce à moi. Je suis un chien du 21ème siècle, oui. Mais, tapi au fond de moi, sommeille encore celui qui combattait, celui qui chassait, celui qui tirait des traîneaux, celui qui guidait un troupeau. Et, tôt ou tard, il s’éveillera. Pour le meilleur ou pour le pire.
Article d'Elsa Weiss
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lekintsugihumain · 11 months ago
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Je ne sais pas comment développer un esprit propice à l'acquisition et à la mémorisation des connaissances.
Je suis allé me confronter à la chose que j’aime et que je redoute, les sciences. Là où on m’a toujours dis que j’avais du potentiel mais mon manque d’investissement me freinait dans la réussite de cette discipline.
Je vois ceux réussir dans les maths, aussi facilement qu’ils diraient bonjour pendant que moi je galère à avoir un niveau bac s (bon cette prépa veut faire de nous des futurs étudiants en médecine ou ingé alors je suppose que c’est plus que le niveau bac s)
Il y a beaucoup de chose que je ne sais pas faire que des collégiens savent faire.
Pour l'instant j'en suis encore où je récupère un sommeil décent, je mange deux fois par jour, mon hygiène est décente, je vois mes amis, je sors, je me remets au sport, j'améliore mon image.
La prochaine étape c'est les diplômes et tout ce que ça implique dans ce parcours...
J'en ai aucune idée de si j'ai les épaules pour.
J’en doute…
Tout ça me fais douter vraiment de mon intelligence et j'ai aucun moyen de la vérifier c'est ça le pire
Entre les « t'es limité » de l'un et les « jsp si tu es bête en fait » de l'autre. La répétions ça fais assimilation.
J'ai l'impression d'être une personne debile et lente et que je suis le seul à ne pas le voir que je suis comme ça.
C’est pas les maths ni la physique qui est difficile, c’est moi qui est stupide.
Le tda ajouté à tout ça, me désespère encore plus, il est un tel handicap dans ma réussite sur tout les plans.
Suis-je au max de mon potentiel ? En ai-je un btw ? Si j’arrive pas à réussir ça à acquérir ce diplôme comment je vais faire après ? C’est représentatif de ma pauvreté intellectuelle.
Je suis sûr que je suis en dessous de la moyenne en terme de Q.i
Je suis lent, j’arrive pas à comprendre les choses, rien à voir mais suffit de me voir avec ma kiné, j’arrive pas à reproduire la moitié des exercices qu’elles me donne comme si j’avais un problème au niveau psychomoteur, de la motricité, il doit être au niveau d’un nouveau né.
Je suis trop stupide pour ce monde, enfin, le monde du travail, j’ai mis 10 000 ans à mesurer un angle de mur pour y insérer un meuble svp
J’ai envie de me foutre en l’air, premier degré ça fais partie de mes raisons.
Il suffirait que quelqu’un me dise clairement les choses, que oui un lycéen serai faire ce que je n’arrive pas à faire en math, que j’ai un vocabulaire et une expression digne d’un primaire, et que je suis long à la détente.
Vous savez quoi ? Je ne comprend toujours pas comment on trouve la solution à ça
Une baguette et un bonbon coûte 1.10€ au total, la baguette coûte 1€ de plus que le bonbon, combien coûte le bonbon ?
Voilà je crois que j’ai envie de pleurer tellement je suis médiocre et que tout le monde le sait mais personne me le dit
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jules-bernard · 1 year ago
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7 habitudes à mettre en place dès maintenant.
Avoir entre 7h30 et 9h de sommeil ( boost de concentration, zenitude, bonne réflexion...)
Faire au moins 30min de sport par jour ( boost d'énergie, meilleure santé, meilleur sommeil, meilleur condition physique... )
Prendre des douches froides ( meilleures récupération musculaire, meilleur circulation sanguine, renforcement du système immunitaire... )
Lire au moins 15min ( libération des pensés, renseignements sur plusieurs sujet... )
Manger sainement ( meilleur santé, bonne condition physique... )
Travailler au moins 1h par jour sur ses projets ( avancer vers ses objectifs )
Diminuer les réseaux sociaux ( plus de dopamine, plus de motivation, plus de lucidité... )
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toilou-norvetaxique2023 · 1 year ago
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La nuit tombe, nous reprenons notre tramway préféré et rentrons manger à l'hôtel.
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Un petit pote devant l'hôtel, il y en a partout ici ! 🦎
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La supérette en mode Halloween 👻 (déso maman et Kim 🫣) sur une télécabine de Grenoble
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Antoine a d'ailleurs fait le bilan de notre périple depuis Washington jusqu'à la Nouvelle-Orléans, et nous avons parcouru 2 793 km 🚌
Petite session sport dans la salle fitness de l'hôtel, la forme n'est pas revenue mais souvent le sport fait passer la douleur. Une bonne nuit de sommeil et demain devrait être vraiment mieux ! Les jours de règles les plus durs sont passés 💪🏼
Et encore un joyeux anniversaire à Adrien 🥳🍄
Et ça c'est une mention spéciale à la passion d'Antoine 🚒🚗
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become-skeleton · 1 year ago
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FR/ENG
Je vais vous partager ma manière de jeûner, parce que je trouve qu'elle fonctionne bien :
je ne prépare jamais mes jeûnes à l'avance, ça me fait binge,
je débute toujours mon jeûne un matin, après une longue nuit de sommeil (5h du mat, 6 du mat, ect.),
je ne me pèse pas avant que les 2 premiers jours soient passés,
je me pèse au réveil, juste après être passée aux toilettes (basique),
je prends mes médicaments (anxiolytique) AVANT mes vitamines,
je prends une bouteille d'eau de 2L (glacée, de préférence) dans laquelle j'ajoute une cuillière à café de vinaigre de cidre. Je bois ces 2L dans la journée (dès que je ressens la faim ou l'envie de manger),
je ne fais que du sport qui me plaise VRAIMENT (marche, dance, corde à sauter, natation (si j'avais assez d'argent…)),
je reste occupée (ménage, m'occuper de mes plantes, de mes animaux, regarder des films/séries (attention : certains d'entres eux peuvent déclencher des envie de binge)),
je tiens un journal (et mon tumblr) sur mon avancé, mes ressentis, durant ce jeûne. Ça aide vraiment,
je ne consulte "life fasting" QUE le matin, et UNE SEULE FOIS.
Voilà ~ je ne dis pas que c'est une bonne technique. Par contre, elle fonctionne sur moi.
I'm going to share with you my way of fasting, because I find that it works well :
I never prepare my fasts in advance, it makes me binge,
I always start my fast one morning, after a long night's sleep (5am, 6am, etc.),
I do not weigh myself until the first 2 days have passed,
I weigh myself when I wake up, just after going to the toilet (basic),
I take my medication (anxiolytic) BEFORE my vitamins,
I take a 2L bottle of water (ice cold, preferably) in which I add a teaspoon of cider vinegar. I drink these 2L during the day (as soon as I feel hungry or want to eat),
I only do sports that I REALLY like (walking, dancing, skipping rope, swimming (if I had enough money…)),
I stay busy (cleaning, taking care of my plants, my animals, watching movies/series (warning: some of them can trigger binge urges)).
I keep a diary (and my tumblr) on my progress, my feelings, during this fast. It really helps,
I consult "life fasting" ONLY in the morning, and ONLY ONCE.
There you go ~ I'm not saying this is a good technique. However, it works on me.
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plumedepoete · 2 years ago
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Départs et arrivées - David Frenkel
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Cette nuit là, Damien sursauta plusieurs fois dans son sommeil, tant il était angoissé à l’idée de ne pas entendre la sonnerie du réveil. Son avion à destination de Londres décollait à 7 heures dix du matin de l’aéroport de Cointrin. Ce voyage était traditionnel. Le 13 avril de chaque année, il se rendait dans cette ville pour se recueillir sur la tombe de son père, mort depuis dix-neuf ans maintenant. Quand le son strident du réveil se déclencha, il sauta du lit, fit sa toilette, puis enfila un jersey de sport flottant, un jean, et chaussa pieds nus ses vieux derbys. Désirant s’éviter les affres d’un parking bien souvent plein, il laissa sa voiture au garage et commanda un taxi. Sac en bandoulière contenant sa subsistance du jour et un petit roman de gare, Damien s’engouffra dans le temple des départs et des arrivées, là où les adieux et les retrouvailles se confondaient en une rumeur joyeuse et éplorée à la fois. Slalomant entre une forêt d’individus tout en évitant la procession des valises à roulettes, il finit par s’agglutiner à la file des gens qui attendaient d’être balayés par les rayons de la défiance. Les yeux rivés sur l’avancement de la colonne, il maudissait les préposés aux contrôles de sécurité dont le rythme de travail était trop lent à son goût. Pour passer le temps, il observa ceux qui peinaient à se séparer avant de se noyer dans la sinueuse file d’attente. Il contempla la nymphette qui ne décollait pas ses lèvres de celles de l’adonis. Les effusions pathétiques d’une femme d’âge mûr l’attendrirent jusqu’aux larmes. Mais ce n’était rien à côté de ces deux personnes chenues qui s’accolaient l’un à l’autre. Les sourires de tristesse et les caresses sur le visage de l’autre le clouèrent sur place d’émotion. Une voix impatiente se fit alors entendre : « Monsieur, avancez s’il vous plaît, ne voyez-vous donc pas que vous freinez la file ?  » Il se retourna. C’était un homme qui avait fière allure. Les cheveux soigneusement peignés et laqués, le col d’une chemise blanche orné d’un nœud papillon coloré, un costume qui habillait une silhouette ectomorphe et des chaussures derniers cri lui donnaient une belle élégance. « Oh excusez-moi, j’étais perdu dans mes pensées. – Pensées, vous dites ça, mais je vous ai observé, vos yeux étaient rivés sur les deux vioques, dit-il avec une lueur d’étonnement dans ses yeux marron. – Effectivement, pour m’occuper en attendant de passer la fouille, j’ai dévisagé les gens qui se séparaient avant d’aller vers d’autres cieux. Je n’avais jamais pensé que les émois des séparations pourraient autant me bouleverser. – Bof, dit-il dédaigneux, c’est la vie ! – Oui, mais cela nous interpelle, lorsque l’on sait qu’à l’étage inférieur c’est tout le contraire : on se réjouit de se retrouver sous le même ciel. – Vous savez, je suis médecin. Et croyez-moi lorsque j’étais de garde dans un hôpital de fortune en Afrique, au début, je n’en menais pas large. Devoir prononcer la sentence d’un diagnostic incurable à ceux qui gisent dans des lits alignés en fil d’attente était psychologiquement dur. Il ne s’agissait pas de s’envoler ou d’atterrir mais de la vie ici-bas, peu importait le ciel. Vos sentiments m’indiffèrent donc. – Ah bon, vous êtes médecin ! Vous pratiquez où ? s’intéressa Damien. – Ici même à l’aéroport, je suis de permanence au service de l’infirmerie. – Je comprends alors. En plus, de votre expérience africaine, être quotidiennement confronté aux drames qui se croisent à l’orée des arrivées et des départs, vous rend blindé pour être touché par les états d’âmes de ceux qui se disent au revoir ou qui se retrouvent. Mais ma parole, qu’ils engagent des agents supplémentaires, regardez-moi ça, il y a six postes de contrôle mais seulement trois qui fonctionnent. – Moi, j’ai tout mon temps, remarqua froidement l’homme. Je me suis offert une fin de semaine de détente à Venise. Et pour que le départ se passe dans la décontraction, je suis venu en avance. Mon avion part dans trois heures seulement. J’aurai le temps de flâner et de fixer les individus assaillis par l’angoisse de rater l’avion. – Ne seriez-vous pas un peu sadique sur les bords ? – Quand j’exerce, je ne peux l’être. Mais durant mes loisirs, oui. Étant souvent confronté aux tensions inhérents à ma profession, j’ai un malin plaisir à observer avec détachement le stress des autres. Et vous, vous allez où ? Damien ne put lui répondre, car il fut heurté dans le dos par son interlocuteur, qui lui-même fut violemment poussé par derrière. En se retournant rageusement, celui-ci vit une jeune et grande dame gisant évanouie sur le sol sous la corde de la file d’attente, bouche semi-ouverte. « Oh mon dieu, elle est tombée contre vous, s’entend-il dire.» Il se précipita sur elle, la plaça en position latérale de sécurité, prit son pouls et lui parla  : "Madame, madame, vous m’entendez ? " N’obtenant aucune réponse, il lui fit un bouche à bouche, et elle reprit conscience en portant la main sur le côté gauche de la poitrine. L’homme sortit alors son portable, appuya sur une touche et décrivit la situation à quelqu’un. Damien ne s’attarda pas, emporté qu’il fut par le flot humain ; entre temps, deux préposés aux contrôles étaient venus renforcer l’effectif. Quittant à regret l’inconnu, il se dit que l’aéroport était aussi le carrefour des vicissitudes du destin. Arrivé au contrôle de sécurité, il s’empressa de placer les vêtements d’extérieurs ainsi que le contenu de ses poches dans les bacs. Puis, tâtant la poche arrière de son jean, il fut tout retourné de ne pas y trouver son portefeuille. Soudain, il se rappela qu’avant de quitter l’appartement il était allé au salon pour sortir d’une enveloppe cinq mille francs qu’il devait emporter avec lui. J’ai dû le laisser dans cette pièce, espéra-t-il. Il prit donc ses jambes à son cou et se dirigea vers une borne interactive. Il comptait s’y procurer, en naviguant sur le site d’ une quelconque compagnie aérienne, un départ différé dans la journée. Trouvant rapidement un vol en fin de matinée et un retour tard en soirée, il contacta sa belle-sœur pour lui faire part du contretemps. Celle-ci habitait dans la capitale britannique. Le mois dernier, Damien était parti en vacances à Bilbao. Les deux s’étaient rencontrés par hasard dans l’hôtel où elle avait aussi pris ses quartiers. La Providence avait bien fait les choses. En effet, quelques heures avant son retour à la maison, il s’était fait voler ses cartes bancaires et de crédit. Elle lui avait alors avancé la somme cinq mille franc dont il avait besoin pour régler ses frais de séjour. Il comptait les lui rendre en arrivant à Londres. Alors que Damien se rendait vers la sortie, il passa devant une enseigne de bar jouxtant les Arrivées. Un esclaffement de rire attira son attention. Quelle ne fut pas sa surprise de voir attablées au comptoir les deux personnes de tout à l’heure, et deux questions le cinglèrent : la personne qui s’était évanouie comment se faisait-il qu’elle avait déjà l’air si épanouie ? Ce médecin qui devait se rendre à Venise en toute décontraction pourquoi s’attardait-il ? Avant qu’il n’eût le temps de les questionner, l’homme s’adressa à lui et s’exclama, tout étonné : «  Vous ne partez plus ?  Puis, la femme renchérit : – Mais ne nous regardez pas avec cet air ahuri. Voilà trois mois que j’ai été soignée par mon ami Jacques. Je suis tout de suite tombée amoureuse de lui. Mais lui, malgré mes déclarations répétées, ne m’a témoigné que de l’indifférence. Devant mon insistance, il a fini par me proposer que l’on déjeune ensemble, mais, m’a-t-il avertit, n’y voyez pas autre chose qu’un repas entre amis. Hier, durant le déjeuner, j’ai appris qu’il partait aujourd’hui seul à Venise. Cela n’a fait qu’augmenter mon désir de briser sa résistance amoureuse face à moi. Alors, jouant le tout pour le tout, je l’ai guetté ici, à l’aéroport, et je l’ai suivi. Car, me suis-je dit, cet endroit est si propice aux revirements sentimentaux et aux amours naissants. Certains couples y retrouvent leur passion de jeunesse à l’heure de se séparer ou de se retrouver. Et bien des amours voient le jour dans ce carrefour où tant de vécus s’entrecroisent. Alors, l’idée m’est venue de simuler devant lui un événement dramatique genre malaise, dans l’espoir de l’attendrir et, qui sait, lui insuffler un sentiment pour moi. Bien m’en a pris, car j’ai au moins goûté à son bouche à bouche. » Jacques tourna son regard vers l’énamourée et dit sur un ton entouré de mystère : «J’ai profondément été touché par le stratagème de Martine,  je ne sais ce qui en adviendra. Peut-être que comme Venise, elle m’inspirera l’amour ; elle aura tout un week-end pour le faire. Puis, fixant les yeux de Damien, il insista : Mais enfin vous, monsieur, vous n’êtes donc pas parti ?  – Je vous répondrai après que vous m’aurez laissé prendre une photo de vous deux, car votre histoire est diablement touchante.  –  M...m..ais p… p… ourquoi ? Bégayèrent-ils. – Allez, s’il vous plaît, une petite photo, insista-t-il. – D’accord, notre histoire est touchante, mais pourquoi nous prendre en photo ? s’énerva Martine. – Je suis journaliste et je pourrais faire un article sur ce qui s’est passé. Je l’intitulerai :  "Comment séduire dans un aéroport ? " Et je le sous-titrerai ainsi : Prendre la queue et tomber dans les pommes, en espérant que l’autre en cueillera une ". –  Oh non, nous avons horreur d’être mis en avant, déclarèrent-ils presque en chœur. – Qu’à cela ne tienne, j’écris uniquement pour Le Nouvelliste publié à Port-Au-Prince en Haïti. Se faire connaître là-bas, une ville distante de 4700 kilomètres d’ici, ne portera aucunement atteinte à votre anonymat. » Jacques et Martine se regardèrent quelques instants avec connivence. Finalement, ils acceptèrent de se faire photographier. Puis, la femme, désirant être seule avec son homme, ne voulut pas que Damien s’attardât à raconter les raisons de son non départ. C’est pourquoi, dés la photo prise, elle lança : « Bon ! On nous attend, tu viens ? Avant qu’il n’eût le temps de réagir, elle le prit par le bras et l’entraîna dans le hall de l’aéroport non sans souhaiter bonne chance à Damien. « Mais mon article sur vous ne vous intéresserait-il pas? » leur cria ce dernier. Alors, revenant sur leurs pas, ils lui donnèrent leurs adresses et s’éclipsèrent. Inquiet pour son portefeuille, Damien courut vers la station de taxi et demanda qu’on le conduisit à son domicile. Arrivé chez lui, il ne le retrouva pas. Il téléphona à l’infirmerie de l’aéroport et demanda à parler au médecin dont il donna le nom, on lui répondit que l’on ne le connaissait pas. Ses soupçons se manifestèrent donc avec acuité. Ni une, ni deux, il se précipita au poste de police le plus proche. Il brandit sous les yeux d’un policier la photo et les adresses des deux spécimens qu’il suspectait être des voleurs à la tire. Deux inspecteurs se rendirent séparément chez l’homme et la femme. La moitié du butin fut retrouvé chez chacun d’eux. Les deux, chômeurs de longue durée, avouèrent de suite leurs méfaits. Damien lorsqu’il fut devant les deux malfrats leur dit : Read the full article
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fitnessmith · 2 years ago
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Villes, sucre et sommeil : enjeux santé pour tous
NOUVEAU PODCAST 👉 Villes, sucre et sommeil : enjeux santé pour tous
Dans cet épisode, nous allons parler d’enfants urbains, sucre réduit, sommeil actif et de défis santé actuels **NOUVEAU** : Dompter l’hyperphagie : 5 solutions efficaces à découvrir   Sommaire du podcast : Vivre en ville n’est plus une bonne solution pour les enfants  “Diminishing health benefits of living in cities for children and teens” souligne que les avantages traditionnels pour la…
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valloninfo · 1 month ago
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Centre SAS, espaceVAL, Couvet Val-de-Travers L’activité physique est essentielle pour maintenir un corps et un esprit en bonne santé. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande aux adultes de pratiquer au moins 150 minutes d’activité modérée ou 75 minutes d’activité intense par semaine. En Suisse, l’Office fédéral de la santé publique (OFSP) partage des recommandations similaires, mettant en avant l’importance de bouger au quotidien pour prévenir les maladies cardiovasculaires, le diabète, ou encore l’obésité. Le sport n’est pas seulement bénéfique pour la santé physique. Il joue également un rôle majeur dans la gestion du stress, l’amélioration de l’humeur et le renforcement de l’estime de soi. En pratiquant une activité physique régulière, on réduit les risques de dépression tout en favorisant un sommeil de qualité. Mais comment intégrer ces bonnes pratiques dans notre quotidien ? C’est là qu’un centre de fitness de qualité peut faire toute la différence. Découvrez le Centre SAS : bien plus qu’un simple fitness Centre SAS, espaceVAL, Couvet Val-de-Travers Situé à Couvet, dans les locaux modernes d’espaceVAL, le Centre SAS (Sport Analyse Santé) est l’adresse incontournable pour quiconque souhaite prendre soin de sa santé, améliorer sa condition physique ou tout simplement s’accorder un moment pour soi. Un équipement de pointe pour tous les besoins Centre SAS, espaceVAL, Couvet Val-de-Travers Le Centre SAS se distingue par ses machines de dernière génération, offrant une expérience à la fois efficace et agréable. Que vous soyez novice ou athlète confirmé, vous trouverez des équipements adaptés à vos besoins et objectifs. Des cours collectifs variés et motivants En quête d’un environnement dynamique ? Participez à l’un des nombreux cours collectifs encadrés par des coachs certifiés. De la Zumba au Pilates en passant par des séances de HIIT ou de yoga, il y en a pour tous les goûts et tous les niveaux. Coaching personnalisé et conseils nutritionnels Pour un accompagnement sur-mesure, le personal training est l’option idéale. Les coachs experts du Centre SAS vous guideront pas à pas pour maximiser vos résultats. Le centre propose également des cours de nutrition pour apprendre à équilibrer votre alimentation en fonction de vos objectifs. Un centre labélisé Qualitop : gage de qualité et d’avantages financiers Le label Qualitop, attribué au Centre SAS, garantit un haut standard de qualité en matière d’activité physique pour la santé. Ce label confère non seulement une reconnaissance officielle, mais il permet aussi aux membres de bénéficier de remboursements partiels de leur abonnement par certaines assurances maladies. Une raison de plus pour faire de votre santé une priorité ! Rejoignez le Centre SAS dès aujourd’hui ! Le Centre SAS propose des abonnements à partir de 59 CHF par mois, rendant le fitness accessible à tous. Peu importe votre âge ou votre niveau, il n’y a jamais de mauvais moment pour commencer. Prenez contact dès maintenant pour découvrir les installations, discuter avec les coachs, ou même tester un cours gratuitement. Transformez vos résolutions en actions et laissez le Centre SAS vous accompagner dans votre quête de bien-être et de vitalité. Votre santé mérite le meilleur !
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oelnet · 2 months ago
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Montre intelligente de sport D20 pour hommes et femmes, bracelet de fitness, moniteur de sommeil, montres numériques, montre-bracelet, Y68, A6s, cadeau
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saut3relle · 2 months ago
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Jeudi 21.11.24, 8h16
Humeur : bof. Toujours pareil. Angoisse : légère. Sommeil : j'ai dormi, pas très profondément je pense et j'ai mis du temps, mais je dors. Sport hier ok. Toujours cette déprime en fond de toile de ma vie, ce nuage noir permanent au-dessus de ma tête que je n'arrive pas à chasser. Ca fera bientôt deux mois sans nouvelles. Voilà. Je pose ça là comme ça. Je compte les jours. Mon obsession. Rien ne me détourne. Rien. Sauvez moi, sauvez mon âme. Apaisez moi, apaisez mon âme. Vous voyez bien que sans aide extérieure je galère. Vous voyez bien que je ne le fais pas exprès. Que j'ai toujours ce besoin impérieux d'être deux. Solitude terrible, amère. Suis-je vraiment faite pour être seule ? Sans l'amour ou l'intérêt d'un homme, je me sens vide. Oui, je ressens encore beaucoup ce vide dans ma vie, chaque jour. On dit que le temps guérit tout, le temps est long chez moi. Huit mois que j'ai tout quitté, et je galère toujours à m'en sortir, à me remettre, à aimer ma nouvelle vie. Si j'avais su tout ça avant, j'aurais attendu. Je serais restée, je me serais peut-être remise en question. Qui sait ? Mais cela devait être mon destin, je dois l'accepter. Je le dois parce que je n'ai aucun autre choix. Aucune porte de sortie. Mon salut est en moi, mais moi je suis blessée au fer rouge tout au fond de mes abîmes. Je n'arriverai pas à m'en sortir toute seule. J'ai beau savoir que pleins d'autres gens vivent seuls, avec leurs propres difficultés, cela ne me réconforte pas. Mes pensées me détruisent quand j'aspire à aller mieux. Mes souvenirs me détruisent. Parfois je songe à faire marche arrière, tellement je souffre. Mais je n'en fais rien, quelque chose d'autre me bloque, même si je sais que cela m'enlèverait toute ma souffrance du jour au lendemain de revenir avec mon ex, je ne peux pas. Je ne crois pas que j'arriverais à faire semblant d'être encore amoureuse de lui. Je n'éprouve qu'une très forte affection encore, un besoin de protection et de ne plus être seule. Ce n'est pas de l'amour. Pour Mickaël, je dois me rendre à l'évidence que non plus, si j'ai cru un moment que c'était de l'amour et que je le crois toujours, j'essaie de m'efforcer d'admettre que c'était et c'est toujours de la dépendance affective. Il est libre, je suis emprisonnée dans ma propre geôle. Bloquée pour le moment dans ma vie, et pourtant en sécurité de tout, même affective. Mais pas de celle qui comble mon vide. Une rencontre m'aiderait sûrement, mais je ne fais pas de rencontre. Je pense que cela se produit aussi lorsqu'on est mieux avec soi. On renvoie malgré soi l'image de son état d'esprit aux autres. Je ne dois pas magnétiser ni attirer des masses avec mon état actuel. Puis je sors peu, mon cœur n'est probablement pas prêt, même si mon esprit lui, le croit et n'aspire qu'à retrouver un homme qui s'intéresserait vraiment à moi, et qui me plairait aussi, c'est surtout ça.
Difficile. Très difficile. Tous les jours j'appelle à l'aide. Le ciel, le divin, le spirituel semblent éteints. Même si je recommence à voir des heures miroirs partout tous les jours, je ne saisis pas le message. Suis-je sur la bonne voie ? Ou bien ne le suis-je pas. J'essaie de me convaincre que je suis sur la bonne, malgré tout. Je me prends trop la tête, je réfléchis trop, c'est moi, c'est ma croix à moi. Avant je ne pensais pas comme ça. Avant toi. Ou alors j'ai oublié, car c'était il y a longtemps maintenant.
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ton-sourir · 2 months ago
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18.11.24
Épuisée, rincée, au bout du rouleau. Pas de soutien, personne répond au téléphone. Trop de travail du matin à 4h. 3 jours de compulsion alimentaires causés par le manque de sommeil et les activités physiques trop soutenues comme la marche 30 000 pas par jour + crossfit, le corps ne tient pas.
Demain je parle à mon chef. Pour moi c'est fini de travailler aussi tôt sauf cas exceptionnel. Stop.
Pour le sport, je vais me reprendre un rythme soutenu mais faisable, c'est à dire 20 000 pas par jour, Muscu 4 fois, crossfit 2 fois
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drchristophedelongsblog · 2 months ago
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Renforcez vos muscles, améliorez votre santé !
Le renforcement musculaire est essentiel pour maintenir une bonne santé, améliorer votre posture et prévenir les blessures. En travaillant régulièrement vos muscles, vous renforcez également vos os, ce qui est particulièrement important pour prévenir l'ostéoporose.
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Pourquoi s'y mettre ?
Plus de force et d'endurance: Vous serez moins vite fatigué(e) dans les activités quotidiennes et lors de vos séances de sport.
Meilleure posture: Un dos solide et des muscles abdominaux renforcés vous aideront à maintenir une posture droite et à réduire les douleurs dorsales.
Prévention des blessures: Des muscles forts protègent vos articulations et réduisent le risque de blessures, notamment lors de la pratique d'un sport.
Bien-être général: L'activité physique régulière améliore l'humeur, réduit le stress et favorise un sommeil réparateur.
Comment commencer ?
Intégrez l'activité physique à votre quotidien: Montez les escaliers plutôt que de prendre l'ascenseur, portez vos courses, faites du jardinage...
Variez les exercices: Alternez les exercices pour travailler tous les groupes musculaires (bras, jambes, dos, abdominaux).
Progressez progressivement: Commencez par de courtes séances de quelques minutes par jour et augmentez progressivement la durée et l'intensité.
Écoutez votre corps: Si vous ressentez une douleur, arrêtez l'exercice et consultez un professionnel de santé.
Quelques idées d'exercices:
Les fondamentaux: squats, pompes, planches, fentes.
Le matériel: utilisez des bandes élastiques, un ballon suisse ou des haltères légers pour varier les exercices.
Les activités physiques: marche rapide, course à pied, natation, vélo, danse...
Conseils pour les femmes enceintes:
Si vous êtes enceinte, il est important de consulter votre médecin ou un sage-femme avant de commencer toute nouvelle activité physique. Certains exercices peuvent être contre-indiqués pendant la grossesse. Privilégiez des activités à faible impact comme la marche, la natation ou des exercices de renforcement musculaire doux.
En conclusion, le renforcement musculaire est accessible à tous et présente de nombreux bienfaits pour la santé. Alors, n'attendez plus pour commencer !
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