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Faire du sport tard nuit à votre sommeil ; trauma ; reins et tissu adipeux
NOUVEAU PODCAST 👉 Faire du sport tard nuit à votre sommeil ; trauma ; reins et tissu adipeux. 🎙Pour écouter mon podcast : - Recherchez « la pause fitness » sur votre plateforme de podcast préférée - Ou rendez-vous en bio @fitnessmith, cliquez sur le lien, fitnessmith.fr/news puis dans « les nouveautés» - Ou rendez-vous dans votre boite mail pour les fidèles auditeurs #sport #fitness #sommeil #exercice #entraînement #santé #bienêtre #musculation #dormir #récupération #équilibredevie #santémentale #motivation #routinefitness #routinesommeil #bienetresportif #étudesport #prévention #sommeilprofond #motivationfitness #habitudesportive #formetard #routineexercice #entraînementsanté #neurogenèse #surpoids #résultatsfitness #performancephysique #alimentationéquilibrée #sommeilr��parateur #sportetbienetre
Dans ce podcast, nous allons parler de problème de sommeil, le sport est le meilleur psy, la santé des reins et le tissu adipeux. Nouveau ! Comment rester en forme après 50 ans Sommaire du podcast : Faire du sport tard peut nuire à votre sommeil Une nouvelle étude de l’Université Concordia montre que l’exercice intense en soirée peut avoir des effets contradictoires sur le sommeil. Faire de…
#amélioration sommeil sport#éviter sport tard#exercice avant coucher#exercice nuit repos#faire sport tard#impact sport sommeil#performance musculation#Podcast musculation#problèmes sommeil sport#sommeil et sport#sport effet sommeil.#sport intense sommeil#sport tard nuit sommeil#timing sport sommeil
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Journal
Il y a 20 ans, tout commençait entre nous. Nous nous sommes connus sur un site de discussion, comme il y en avait beaucoup au début des années 2000. J'étais en vacances dans le sud et nous avons dialogué jusqu'à mon retour en Normandie. Mon divorce venait tout juste d'être prononcé. Nous nous sommes rencontrés au début du mois d'aout et cela a tout de suite fonctionné entre nous. Mais ce mois ci, il y avait les jeux olympiques et ta passion pour le sport est passé avant ton envie de me voir. Vexée, je t'ai dis que je préférais qu'on en reste là. Le 29 aout, tu m'as envoyé un message pour me souhaiter ma fête et le dialogue a reprit. Tu es venu me voir le 6 septembre et nous ne nous sommes plus jamais quitté. Les premiers mois ont été superbes. Nous sortions beaucoup, tu m'emmenais faire des choses que je n'avais jamais faites comme voir un concert d'artiste que je ne connaissais pas (Mes souliers sont rouges) aller à La nuit du Zapping au Zenith de Caen, ou voir des matchs de Hockey sur glace. Nous aimons les choses simples alors nous faisions des pique niques en bord de mer, avec juste du pain et du camembert. Nous allions aussi dans pas mal de restaurant découvrir la cuisine du monde. Et comme je vivais toujours sous le même toit que mon ex-mari, nous allions dormir à l'hotel régulièrement. Tu prévoyais toujours une surprise. Un soir, je suis arrivée après toi et tu avais pavé le couloir de l'hotel de pétales de roses, jusqu'à la chambre ou je devais te retrouver. Quelques mois plus tard, j'ai emménagé dans ta ville, dans la même rue. Mais comme mes 3 enfants vivaient avec moi et que toi, tu n'avais jamais eu d'enfant, nous avons préféré garder chacun notre appartement au cas où. En 2007, nous avons eu notre fils mais nous avons tout de même conserver nos appartements. La naissance de notre fils a changé beaucoup de chose dans notre couple et 3 ans plus tard, afin d'éviter la rupture, nous avons pris la décision de nous laisser la liberté de vivre d'autres choses. Nous avons vécu ainsi quelques années. En 2020, mes 3 premiers enfants étant partis de la maison et le confinement arrivant, tu es venu t'installer chez moi. Nous avons continuer à faire chambre à part. De toute façon, il y avait déjà quelques années qu'il n'y avait plus de relation sexuelles entre nous. Nous sommes des amis, des parents mais plus des amants et probablement plus des amoureux. Nous aimons la façon de vivre de l'autre, le calme, la tranquillité et l'âge venant, nous avons décidé de nous marier, pour mettre à l'abri celui de nous deux qui restera en vie le plus longtemps. Demain, je porterai ton nom. Même si nous sommes très différents dans nos gouts et nos passions, nous en avons une qui nous lie depuis près de 18 ans, notre fils ! Je sais, parce que tu me l'a prouvé, qu'en cas de coup dur, mes enfants et moi nous pouvons compter sur toi. Désormais, nous avons un petit-fils qui, même s'il est le fils de mon fils t'appelle Papi et se moque bien qu'il n'y ait pas de lien du sang entre vous. Alors oui, il me manque la tendresse, la passion, l'amour, les mots doux, les compliments, les câlins, la sensualité, le sexe, la séduction, les projets, les voyages à deux et tout ce qui se rattache au sentiment amoureux. Mais je sais à quel point les sentiments sont éphémères. On dit "Marriage plus vieux (et non pas pluvieux) mariage heureux" parce que justement, on a souvent fait une croix sur la folie de la passion que recherche encore les plus jeunes. Ce qui est important désormais, c'est la stabilité et la confiance et cela, tu me l'apporte jour après jour depuis 20 ans. Merci d'avoir pris soins de moi et de mes enfants. Merci d'être l'homme que tu es, avec tes qualités et tes défauts. Demain, ce sera OUI, pour le meilleur et pour le pire, jusqu'à ce que la mort nous sépare.
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"Un autre problème : la catastrophique éducation scolaire chrétienne, y compris la soi-disant école privée hors-contrat (comme si cela garantissait quoi que ce soit) tenue par importantes dondons hurleuses et petits précieux efféminés, entièrement débilitante, républicaine, africaine, gaffeuse, inoffensive. Autoritaire mais par procédé, sans le tact que confère un vécu sensible (chose que les enfants même jeunes perçoivent très bien chez les adultes qui leur parlent). Bienveillante, mais maternante et castratrice et toujours nimbée de la lâche crainte du jugement des mères, seules véritables directrices (par proxy) des écoles tratras, les désastreuses mères quadras démusclées à tennis violettes en plastique étouffant des soupirs de porteur d'eau même pour monter dans la voiture. L'éducation chrétienne actuelle même très-très-tratra est une manière de se raconter des histoires entre administrateurs "membres du haut conseil" chevaliers de la dînette complètement cocufiés et féminisés. Ils ont trop lu, trop ressassé le moyen-âge, trop visité de monastères détruits en s'extasiant sur le plan alors que la guide devant eux a des faux-cils, des faux ongles, des faux seins. Ils ne voient jamais ces faux-culs le concret des choses.
[...] Quel être physique reste-t-il dans un enfant après formation religieuse par animatrice pastorale ? Quelle force, quel rapport au monde, quel nécessaire fanatisme, quelle énergie, quelle estime de soi, quelle certitude métaphysique peut-il rester à un garçon après s'être fait inculqué la déférence envers une dame dont la place sociale est en elle-même une usurpation? La réponse arrive 10 ans plus tard lors des premières confrontations physiques avec la racaille et avec la gent féminine amatrice de racaille. Ce jour-là il n'y a plus l'animatrice pastorale "dame respectée" pour rendre des comptes sur les résultats de sa formation. Mais "elle était très gentille madame Lebrouneux hein?" Nous avons grandi sous propagande contre les pères, désignés comme alcooliques, abusifs, frappeurs à coup de ceinture. Nous n'avons jamais rien vu de tel dans les faits nulle part en 18 ans de salle d'attente de l'âge adulte. Nous n'avons vu partout et toujours dans les familles françaises que la mère abusive, la mère mauvaise, la mère indigne, la mère déshonorante, la mère hurleuse, la mère dégueulasse de manœuvres, la mère cinglée profiteuse destructrice effroyable et qui se fout absolument des conséquences de ses actes, entièrement protégée par les tribunaux et célébrée par les médias.
Mais les choses les plus sérieuses en matière d'éducation commencent exactement lorsque l'éducation scolaire vient de finir et que l'enfant doit faire sa place dans un monde qui lui est soit indifférent soit hostile. Toutes ces écoles à la con soi-disant tratra forment des intellectuels sur le modèle franc-maçon vieux de 150 ans le plus inepte imaginable, quand la seule voie porteuse, tracée par Thomas Arnold, consiste à forger le caractère dans une stricte séparation garçons/filles, loin des désastreuses mères surtout, dans une ascèse de Grec ancien, dans une apologie absolue de la Providence, de la génération de famille nombreuse, de la xénélasie et de l'excellence, dans le chant, le sport, le discernement professionnel d��s 13 ans, dans la mise à l'épreuve par "devoirs" comme dans la scène du Starbucks dans Fight Club. Forger le caractère consiste à faire coïncider le tempérament personnel de l'enfant avec la Tradition : la Nature lui a donné de naître et de vivre, la Tradition lui donnera de bien vivre. En l'état actuel des choses qu'iront faire ces pauvres gamins une fois leur éducation finie, une fois au pied du mur pour "choisir des études" après des années de crétinisation sous maîtresses et chapons ? À votre avis quelle est l'espérance de vie de l'âme d'un garçon de 18 ans logé en résidence étudiante d'une ville lointaine pour y "faire une école de commerce"? Et d'une fille ?"
Lounès Darbois, août 2023.
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J’ai honte!
Ce matin, dans mon lit, je crois que j’ai poussé un petit cri en me réveillant, une drôle de sensation entre les jambes, et surtout, une petite flaque sur mes cuisses et sur les draps. Ce n’est pas du pipi, c’est un peu collant. Mon zizi est encore un peu dur. J’espère que maman ne va pas voir la tâche sur mes draps.
Je me lève, il y a école aujourd’hui. Depuis la rentrée, je suis au collège, tout neuf, plusieurs bâtiments tout rectangulaires de trois étages, bleu et blanc.
Maman a acheté du Nesquik pour mon petit déjeuner, avant c’était toujours du Van Houten, je crois que je préférais avant. Trois tartines beurrées et de la confiture de fraises. Un coup de brosse à dents rapide, car j’aime pas trop ça et direction le garage pour sortir le mini-vélo que papa a rafistolé après l’avoir récupéré chez ma grand mère.
Dans mon sac à dos en cuir, il y a mes cahiers, livres et trousses. Au collège, on fait des mathématiques modernes, je n’aime pas du tout ça, alors que j’aime bien le calcul mental, mais ça n’a rien à voir. Je crois que je n’aime pas l’école, car je n’attends qu’une chose, la récréation.
Là je sors mon tac-tac, un nouveau jeu où il faut taper deux boules, mais on se détruit les poignets avec. C’est aussi la première année où je suis en classe avec des filles. Devant moi, il y a Véronique, elle est heureuse, ça fait une semaine qu’elle met un soutien-gorge, comme mes sœurs.
À midi, je repars manger à la maison. Il reste du poulet du dimanche.
Puis retour à l’école. Sport cet après-midi. Course sur le stade et grimper à la corde. Je suis nul à ça.
Papa a acheté une nouvelle voiture, une Simca 1100. Maman râle parce qu’il ne fait que de rouler avec et l’essence coûte cher. Moi ça me fait rire. La R8, c’est l’abruti qui traîne avec ma sœur qui l’a achetée.
Le soir après le supplice des devoirs, on va faire les fous avec Patrick et Thierry en vélo dans les chemins de la forêt. Évidemment, je rentre sale comme un cochon, il va falloir passer du temps à se débarbouiller dans l’évier de la cuisine, et subir les moqueries des frangines. On a le droit de prendre un bain que le samedi.
Après le dîner, j’ai pas le droit de regarder la télé, à part le samedi. A 9 heures, direction la chambre que je partage avec ma sœur la plus jeune, mais qui a le droit de se coucher plus tard.
J’entends PopCorn à la télé, c’est chouette cette musique. Je sors le catalogue de la redoute que j’ai caché dans mon armoire pour regarder les femmes en soutien-gorge et culotte. Ça me fait durcir le zizi. C’est drôle, parce que quand je vois maman en soutien-gorge, ça fait pas pareil.
La tâche sur les draps à séché, c’est tout raide maintenant, on dirait une carte. Maman a rien dit, elle a pas dû la voir en faisant le lit. Mais j’aimais bien la sensation que ça m’a fait, j’aimerais bien que ça recommence demain matin ou même ce soir... Peut-être que je deviens grand! On est quand même en 1972.
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saga: Soumission & Domination 326
João
Il attend 2 jours avant de me rappeler. J'aurais même attendu une semaine pour l'avoir. Heureusement sa réponse est positive. L'aide qu'il reçoit de l'association qui l'a tiré de sa favela est tout juste suffisante pour vivre même s'il est très reconnaissant à cette dernière. Et son côté catho le rends pas très à l'aise avec ses " protecteurs " ! Il m'assure qu'il sera plus libre avec ce que je lui propose qu'avec leur bienveillance surannée. Je lui dis qu'il est totalement libre envers moi. Même s'il refuse ma proposition, on restera en contact s'il le veut.
Il me dit que c'est la meilleure offre qu'on ne lui ait jamais faite. Je lui donne l'adresse du labo d'analyse et lui dis de me rappeler dès qu'il aura les résultats. 48 plus tard, il me dit être nickel et m'envoie la photo de la feuille de résultats.
On se revoit rapidement. Il veut savoir quand il commence, et quelles sont les conditions exactes de mon offre.
Dossier João :
Age : 20ans
Taille : 1m78
Poids : 78Kg de muscles sous une peau dorée/cuivrée en permanence (génétique : indien + black + blanc)
Sexe : 22 x 6, frein cassé
Parents : orphelin sorti de sa favela par une organisation caritative française
Pratique sexuelle : gay depuis sa puberté, quasi abstinent depuis son arrivée en France il y a 5 ans.
Sport : Capoeira en club, enseignant des premiers niveaux
Etude : 1ère année de Fac de Science (retard dû à son intégration en France et à la reprise de niveau scolaire)
Même si je connais maintenant son corps, je lui demande de se remettre nu devant moi. Je lui dis que même s'il ne se laisse déjà que peu de poil, je souhaiterais qu'il coupe court ceux qu'il laisse au-dessus de son sexe. Les aisselles, si cela ne le dérange pas de les épiler aussi, il conviendra mieux au standard de ma société. Comme il est OK, nous passons de suite à la salle d'eau du premier où il y a tout pour entretenir les surfaces de mes escorts. Je me charge de tondre à 5mm la touffe de João et épile ses aisselles. Le temps de faire quelques photos et il se rhabille. Je lui fais remarquer que ses vêtements sont trop cheap pour ma clientèle. Il s'excuse mais son budget est assez limité et à part les sous-vêtements qui sont neufs, il s'habille avec des vêtements fournis par l'association. Je comprends mieux sa touche ! Je lui dis qu'il n'y aura aucun problème. Avec ce qu'il va gagner, il va pouvoir se vêtir de neuf et de façon personnelle. Pour le travail, je lui dis que c'est moi qui habille en costume et en smoking avec bien sur les sous-vêtements qui vont bien avec (sa morphologie pas avec les fringues !!), les chemises et les chaussures. Il ouvre de grands yeux, il n'avait pas pensé à ça. Ayant un véritable stock de boxers, shortys et autres trunks de différentes marques, je vais en chercher une douzaine (ES, Addicted, Aussiebum, CK, CR7, 2xi...) et lui dis de choisir. Il connait quelques marques pour les avoir matées sur internet mais n'en avait jamais eu en main. Il se remet à poil et les essaye. J'ai bien choisi, ils lui vont tous, mettant en avant son service trois pièces et son fessier rond. Je prends un sac et les mets tous dedans avant de lui tendre. Il me remercie et vient m'embrasser pour. Comme il n'est pas habitué, je lui dis de passer samedi prochain pour qu'on fasse les boutiques ensemble.
Samedi : En fait PH et Ludovic nous accompagnent. On passe en premier chez mes vendeurs de " vêtements de travail ". On y passe une heure et demi à choisir 2 costumes, pour le smoking c'est plus rapide, il n'y a que la longueur de jambes à épingler. Nous en profitons pour acheter les chemises, cravates et noeuds papillon. Je me laisse tenter par trois nouvelles cravates que j'acquière pour nous même. La carte chauffe et ils me promettent de me livrer tout ça dans la semaine. On file ensuite dans des magasins plus casual et nous y restons 2 heures à " jouer à la poupée ". Quand on termine notre shoping, nous avons les bras chargés de sacs. João a bien essayer de nous freiner mais c'était peine perdue ! Il est habillé pour l'hiver, en jeans de marque comme en polos, pulls et blousons.
En partant, nous passons à la colocation. Nous y trouvons mes deux " Com ". Ils ne s'étonnent pas que je ramène un autre escort. Ils nous font visiter. Ils ont mis de leurs identités dans la déco. João me demande si c'est là que je lui propose de vivre au lieu de sa cité U. Comme je confirme, les deux autres l'accueillent plus chaleureusement. Ils l'abreuvent de tant d'informations sur leur organisation de vie que je mets le holà. Ils lui demandent dans quelle fac il va et, sachant laquelle, ils lui donnent déjà la ligne de bus à prendre pour y aller. En attendant qu'il s'y installe définitivement, nous rangeons ses nouvelles affaires dans le placard de sa nouvelle chambre. Puis nous rentrons au Blockhaus. Je compte bien garder João tout le WE.
S'il est prêt coté poil, il ne l'est pas encore pour la relation sexuelle avec mes clients. Comme la nouveauté qu'il introduit dans mon équipe est suffisante pour que sa première fois soit lucrative, je peux le préparer sérieusement coté sodomie. Je ne veux pas qu'on me le casse à sa première prestation !
Il ne sait comment me remercier pour tout ce que je fais pour lui. Il comprend quand je lui dis que c'est juste un investissement. A ce propos, je vais l'inscrire au permis il ne pourra pas toujours se déplacer par des transports en commun. En attendant il utilisera les services des Taxis. Ça passera en charge comme les voitures. La soirée se passe à l'écouter parler de son pays. Même s'il est sorti de sa favela, il y a passé de bons moments, même s'il n'avait qu'un seul vieux short à se mettre sur les fesses.
Ludovic lui demande comment il avait su pour son homosexualité Il nous raconte alors sa prise en charge, lors de la mort de ses parents, par un clan auprès duquel il a appris la Capoeira et l'amour auprès de son chef, un métis de 25 ans. Il l'a protégé des drogues et des tatouages tribaux, de la délinquance armée et de l'exploitation sexuelle dans lesquelles, les gens de son type tombent souvent. Il l'avait même inscrit à l'école du curé. Quand il s'était fait descendre par un clan adverse et que seul survivant du clan, il avait été attrapé par la police, il avait échoué à 100% dans les pattes du curé local. C'est par lui qu'il s'est retrouvé en France. D'origine française contrairement aux autres prêtres souvent portugais, il s'était arrangé avec cette association pour trouver une place en France. Tant mieux pour moi !
Ludovic, toujours curieux, lui demande comment il arrivait à maitriser ses pulsions depuis son arrivée. João est en confiance. Il nous explique que beaucoup de branlettes et quelques pipes quand dernièrement il osait aller dans les lieux de dragues. Mais que c'était quand même un peu la misère sexuelle. Il regrettait souvent sa vie avec son chef de gang. Gentiment il ajoute " un peu moins depuis que je vous connais ". C'est gentil !
Samir a cherché sur internet des recettes de là-bas et nous sert ce soir-là un premier essai. João est touché par l'intention même si le résultat n'est pas à la hauteur de ce que notre cuisinier espérait. C'est pas mauvais mais pas fantastique non plus. João lui donne quelques conseil et lui dit que la prochaine fois, il cuisinera avec lui.
Nous passons la soirée tous les 4. Pas de film sur la télé ni de cinéma. Nous passons 4 heures à faire l'amour et à le baiser. Il kiffe trop ça et nous aussi. Sa peau est douce et ses lèvres appellent le baiser. Elles sont aussi très " chaudes " quand une bite les écarte ! Sa rondelle est pareille quand on s'enfonce dedans. Il apprécie de plus en plus la sodo. Faut dire que nous nous y mettons tous les trois pour lui rappeler combien c'est bon. Il nous a pris tous les trois bien longuement avant de jouir. Sa résistance augmente et il reprend confiance en lui. Ses 22 sont aussi très agréables à prendre dans le cul et Ludo comme PH sont d'accord avec moi. Il a une façon de bouger en vous très excitante, son roulé de hanche !! Et si on ne se concentre pas un peu, il vous ferait jouir en 10/15mn !
Nous avons juste le temps de nouer les kpotes avant de nous écrouler de fatigue. Le réveil est poisseux ! Bousculades pour nous doucher alors qu'il y a la place pour nous 4 sans problème. C'est seulement avec une serviette autour des reins que nous montons prendre le petit déjeuner. Jona nous rejoint vers 10h30 pour établir le programme sportif de João et voir avec lui comment intégrer des cours de Capoeira.
Je les présentes. João sent très vite à qui il a à faire. Alors que je n'ai rien dit concernant les activités particulières de mon coach sportif, João a pris sa mesure et son comportement change imperceptiblement. Quand Jona lui demande une démonstration de Capoeira version " survie ", João se lâche et il est heureux que Jona se soit encore amélioré cet été. Les coups pleuvent et Jona encaisse, parant et reculant quand il n'avait pas le choix. C'est autre chose que les passes que j'ai pu voir au club. Là-bas, elles ressemblaient plus à une chorégraphie qu'à un combat. Jona demande un temps mort. João se redresse en sueur. Il s'excuse d'avoir été pris par le " jeu " mais c'était la première fois qu'il pratiquait façon " favela " depuis qu'il avait quitté Rio. Jona écarte les excuses qui n'avaient pas lieu d'être et commence à discuter technique. João peine parfois un peu avec les termes techniques mais ils finissent par bien communiquer tous les deux. On les laisse et entamons nous aussi notre décrassage physique. Tout en soulevant des poids, je laisse trainer mon oreille de leur côté. Jona est déjà en train d'intégrer la Capoeira. C'est d'autant plus facile qu'il retrouve une bonne part de ce qu'ils ont appris l'été dernier. Et quand il me demande comme partenaire pour une démo devant João, ce dernier confirme. Il retrouve certaines parties propres à son sport de combat. Il capte vite ce que les autres techniques apportent en efficacité et dangerosité. En riant il nous dit qu'il ne doit pas falloir nous embêter quand on nous croise en groupe ou même tout seul ! Sans entrer dans les détails, Ludovic confirme que nous réglons nos problème nous-même. C'est plus rapide et plus économique pour la société, pas d'enquête ni de procès à rallonge. João se tourne vers moi pour avoir confirmation. Je lui dis qu'il n'est pas tombé dans un nouveau gang. C'est juste que quand ce n'est pas nécessaire de faire participer la police c'est mieux. Et que c'est vrai, ce n'est pas parce qu'on est gay qu'on se laisse marcher sur les pieds.
Il me dit que ça lui va aussi. Par contre son visa temporaire l'oblige a plus ce circonspection. Je le comprends bien.
Je me promets de voir avec l'organisation qui l'a fait venir si on peut trouver une solution plus permanente.
La séance de sport nous laisse ne sueur. Je sonne la fin et nous passons sous les douches avant d'aller tremper dans la piscine de cet étage. L'eau y est plus chaude que dans les autres car elle ne nous sert plus que comme énorme jacuzzi depuis que la piscine de la serre a été construite. Les bras sur les rebords, nous nous détendons. J'entends João dire que c'est le paradis. Quand même pas, mais pas loin peut être !!
François nous rejoint pour déjeuner. De retour d'un contrat, il arrive direct et porte encore son smoking de la veille. Il monte nous dire bonjour avant de descendre au premier se changer. Comme Jona l'accompagne, je leur dit de ne pas prendre trop de temps quand même, sinon le repas serait froid. Ils auront été brefs et nous reviennent après 20mn seulement.
Pendent le repas, François nous parle de sa prestation. João l'écoute, concentré sur ce qu'il dit. Je lui demande s'il avait eu une gratification supplémentaire. Il sort alors une enveloppe de sa poche et la fait passer à Jona qui s'interrompt de manger pour compter les billets. Quand il annonce 1000, João s'écrie " en plus du salaire ? ". François lui répond en riant que bien sûr c'est en plus. Et qu'il ne s'inquiète pas. Lui, avec sa tête, s'il n'était même que moitié aussi bon qu'eux autres, il est sûr de s'en faire autant. Sans compter le bonus de sa première prestation.
Comme je ne lui en avais pas encore parlé, je précise ce que François entendait par là. Il hallucine quand j'avance un montant probable et que je lui dis que c'est net pour lui.
Ludovic appelle sa mère pendant le café. Il voulait savoir si elle ne connaissait pas quelqu'un dans l'association caritative, après tout elle passe une bonne partie de son temps dans ce genre d'occupation elle aussi. C'est tout content qu'il nous annonce que non seulement elle en connait le président mais qu'en plus elle en fait partie. Avant qu'il coupe, je lui demande de me prendre un rendez-vous avec elle. Je n'ai que 2 ans de plus que lui mais je me sens une âme de grand frère avec lui. (Et oui, même si nous baisons ensemble de temps en temps. C'est pas moi qui aie inventé l'inceste mais ça existe !).
La fin d'après-midi est étrangement non sexuelle, juste reposante pour bien démarrer la semaine.
Durant cette semaine-là, João informe l'association de son changement d'adresse. Et intègre la colocation. Il est très content de revivre en communauté. C'est là chose qui lui manquait le plus de sa vie d'avant. Jamais il n'avait été aussi seul que depuis son arrivée en France. Au Brésil, il était le 5ème de sa famille et après, il n'y avait jamais moins de 10 personnes autour de lui et du chef.
Les deux autres sont contents aussi, il leur a déjà cuisiné un plats de chez lui qu'ils ont trouvé trop bon. Ils se chargent aussi de corriger ses fautes de français mais pas son accent chantant. Le déménagement de sa chambre a été rapide, deux valises plus ses livres de cours ! La 300C a suffit et en un seul voyage !
J'accompagne Ludovic un soir pour voir sa mère. Elle m'explique en quoi consiste l'association qui s'est chargée de faire venir João. Ludovic lui explique que je lui ai trouvé un petit travail et qu'il va bientôt être indépendant financièrement. Elle s'étonne et nous dit qu'il doit quand même poursuivre ses études jusqu'au bout. Là-dessus je m'y engage. D'un autre côté cela va dégager des fonds pour un autre cas.
Elle me dit qu'elle en fera part à la secrétaire et que João n'aura qu'à passer leur signifier sa nouvelle adresse, pour qu'ils puissent continuer à le suivre. Je laisse glisser. Il sera toujours temps pour João de couper les ponts plus tard. Quand nous allons pour partir, Enguerrand dévale l'escalier pour nous saluer. Il me tombe dans les bras et me fait un gros bisou. Sa mère l'excuse et me dis que depuis trois semaines, elle ne le reconnaît plus ou plutôt elle retrouve son enfant qui a enfin terminé sa crise d'adolescence. Comme il est encore contre moi, je passe ma main dans ses cheveux et les ébouriffe en ironisant "hé bien mon petit, on s'est finalement calmé ". Il éclate de rire et passe dans les bras de son frère. Le jeudi soir, je suis avec João dans mon bureau. Il m'a pressé pour que je le fasse travailler. Il me dit qu'il vit à mes crochets et que ça le gène. J'ai beau lui dire de ne pas s'inquiéter, il m'a tanné jusqu'à ce que j'accepte. Il voit sa fiche pour la première fois. Il trouve les photos bien faite et me demande en rigolant qui est le mec dessus. La fiche est envoyée à mes clients. Les retours sont rapides, je les avais prévenus qu'un nouvel escort atypique venait d'intégrer ma boite. Même si le rendez-vous est pour dans 2 semaines (le temps de finir de préparer mon João), les offres se bousculent. Son physique brésilien affole le réseau ! Comme d'habitude, un ralentissement se produit après une demi-heure. La relance est facile, j'ajoute deux nouvelles photos où il apparait nu de face comme de dos. Nouvelle demi-heure de folie. A mes côtés João est scié par le montant qui ne cesse de croitre au bas de l'écran. Quand les chiffres s'arrêtent de bouger, ils ont atteint la plus belle enchère de puceau jamais réalisée. Par contre le client est dans la partie haute du classement en taille de bite. Je devrais le préparer pour un calibre 25x6,5.
Je sors la fiche client et la donne à João. Il la lit et s'aperçois du boa qu'il va devoir apprivoiser. Lui est un brésilien des favela pas de la forêt amazonienne et les boas c'est pas son truc, même s'il m'avoue qu'il ressemble assez à celui de son " mentor " en blanc puis il ajoute en plus gros quand même.
Je le rassure et lui dis qu'il n'y a rien qu'une bonne préparation ne peut arranger. Quand nous remontons et que PH apprend le nom du gagnant, il dit à João qu'il aurait pu tomber pire. Mais qu'il doit quand même bien se préparer.
Pendant les 15 jours qui vont suivre, il viendra 6 fois pour qu'on le mette à niveau. Là ce sera passage au sous-sol et il fera connaissance avec le donjon et sa collection de gode. Lavements plus graissage en quantité, plus poppers qu'il ne connaissait pas et sodos plus godes, il est rapidement au point où il s'en sortira sans difficultés le jour du rendez-vous. J'en profite aussi pour lui faire ouvrir un compte à la banque d'André et lui obtient une Visa en créditant le compte d'une avance sur honoraires.
Pour le rassurer, je l'emmène et l'attend. Il se débrouille comme un pro. Ses pipes sont convaincantes et sa rondelle élargie juste ce qu'il fallait pour que le client soit quand même serré dedans. La performance lui vaudra comme souvent un bonus intéressant. Quand je lui remets les billets dans les mains, il me les rend et me dit que ça couvrira une partie de ce qu'il me doit. J'éclate de rire et me dit que ça c'est déjà fait avec mon pourcentage. C'est donc tout pour lui. Il n'en revient pas. Nous repassons par le Blockhaus. Tout fier il dit à PH combien le mec lui a donnée en plus. PH sourit et lui dit que c'est uniquement parce qu'il a été très bon. João se tourne alors vers moi et me roule une pelle de remerciement. Puis il s'écarte violemment et s'excuse auprès de PH. Eclats de rire de ce dernier qui lui dit qu'il n'y a pas de malaise, il sait bien que mes escorts m'aiment tous un peu.
Les 3 semaines en immersion presque totale avec João nous ont fait l'apprécier encore plus. Sa simplicité toute brésilienne, la chaleur qu'il met dans ses rapports humains (et oui pas que sexuels), réchauffe le blockhaus plus sûrement que le chauffage au sol. Son accent ensoleille la maison et lui-même semble heureux de sa nouvelle situation. Je crois qu'il retrouve un peu de cette ambiance de groupe masculin dans lequel il a passé sa jeunesse. Il se sent aussi protégé du monde extérieur par notre présence et sait qu'il peut compter sur des amis qui le comprennent vraiment. Pas juste des gens pleins de compassion pour son état d'orphelin de favela. Il a passé 5 ans sous ce régime de " protégé de l'église " et ça lui pesait beaucoup, même s'il leur en était reconnaissant.
Il s'épanoui avec nous comme il ne le pourrait pas avec eux. Même le dirigeant du club où il officie n'avait pu percer sa carapace comme nous, nous avons pu le faire. Méfiant et un peu timide, il n'avait jamais osé se confier avant nous.
C'est un honneur qu'il nous fait et il ne m'en est que plus cher à mon coeur.
Jardinier
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La lettre T
Tache
Désigne une personne qui impose sa présence, qui importune.
Taleur
Contraction de "toute à l'heure"
Tanner
Synonyme de "fatiguer" ou "agacer". Être tanné, c'est être agacé.
Tannant
-> décrire une personne turbulente, qui dérange les autres, qui les importune.
-> peut aussi posséder une connotation affectueuse. Nous parlons alors d’une personne espiègle, sans malice.
Tantôt
-> (à): À bientôt, à tout à l'heure
-> (un autre): Une prochaine fois, plus tard
Taouin
Imbécile, idiot
Taponner
-> Perdre son temps, hésiter
-> Tâter
Tataouiner
Tergiverser inutilement
Tiguidou
Très bien, c'est super, tout va bien, c'est excellent
Tiraillage
Querelle, dispute, accrochage
Toton
-> Idiot
-> Sein (version québécoise de « nichon »)
Toune
Chanson
Tourlou
Au revoir. Peut aussi vouloir dire bonjour, mais c'est plus rare
Traffic
Circulation
Traite (payer la)
S'offrir ou offrir des plaisirs
Exemple: Quand j'ai vu Carole je lui ai fait des tas de calins, j'me suis payée la traite!
Trâlée
Longue suite, grand nombre de personnes ou de choses, multitude
Trente sous
Une pièce de 0.25$
Triper
Éprouver un vif plaisir, kiffer
Truck (avoir son)
En avoir marre
Tsé
Contraction de "tu sais"
Tuque
Bonnet
Turlute
Une forme d'expression musicale folklorique qui consiste à chanter des onomatopées sur des airs traditionnels de violon.
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Expressions
Ti-Joe Connaissant
Prétentieux
Tirer la couverte de son bord
S'approprier des avantages au détriment des autres, prendre plus que sa juste part.
Ton chien est mort
Ne plusa voir de chance, plus d'espoir, être condamné à l'échec
Tour du chapeau
Marquer 3 buts dans un match (sport)
Tourner les coins ronds
Prendre des racourcis ou faire les choses de manière rapide ou peu couteuse en sacrifant la qualité ou la sécurité
Tu t'en vas où avec tes skis?
Façon très rude de demander à quelqu'un ce qu'elle fait ou de lui faire savoir que ses actions sont absurdes.
Les déclinaisons d'expressions avec le mot "tomber"
Tomber dans l'oeil
Plaire à quelqu'un. Taper dans l'oeil
Tomber dans la face de quelqu'un
Agresser verbalement quelqu'un, l'insulter
Tomber en amour
Devenir amoureux
Tomber en bas de sa chaise
Grande surprise, étonnement, tomber à la renverse, tomber des nues
Tomber sur les nerfs/la rate/le système
Énerver quelqu'un, l'exaspérer
Pour les plus courageux, je vous invite à tenter une autre chanson à turlute niveau expert 🤣
youtube
Et voici les paroles (pcq oui elle dit des mots ^^)
https://moniquejutras.com/wp-content/uploads/2017/11/TurluteDesLittleDelisleParolesCompletes.pdf
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Découvert !
Je vais vous partager ici un moment intime qui m'a attiré des moqueries et de l'incompréhension...
J'étais étudiant, j'avais mon logement, et depuis maintenant plusieurs années, je m'achetais mes culottes. Elles étaient féminines, avec de la dentelle, du satin... et je les portais au quotidien. J'avais pris soin aussi de m'acheter un lot de "Sloggi" pas trop féminines que je portais pour faire du sport.
J'allais de temps en temps à la piscine avec les copains et cela ne me posait pas de problème, je trouvais toujours une cabine individuelle pour me changer en toute discrétion.
Sauf, qu'une fois, je ne sais plus pour quelle raison, les cabines n'étaient pas disponibles et il m'a fallu partager les vestiaires collectifs.
Pour le déshabillage, j'ai réussi à me faire discret, prétextant avoir perdu mes clefs à l'accueil, je me suis changé lorsque les autres avaient quitté le vestiaire.
Lors de notre retour du bain, il n'en a pas été de même. J'ai tenté tant bien que mal d'enfiler discrètement ma culotte en me cachant sous ma serviette. Mais elle est tombée ! J'étais de dos, en culotte blanche et je priais pour que personne ne remarque le petit décors de la ceinture.
Trop tard !
Un des garçons a dit tout haut : "Mais ! C'est un slip de fille ! Ma sœur a les mêmes !"
J'ai tenté de me justifier, dire que je m'étais trompé de tiroir avec ma copine du moment... Rien n'y a fait. J'ai été le sujet de toutes les moqueries possibles.
Depuis ce jour là, j'ai changé de copains car aucun ne m'a compris, et je ne suis plus jamais retourné à la piscine sans m'assurer de la disponibilité des cabines.
**************************************************
DISCOVERED !
I'm going to share with you here an intimate moment that attracted mockery and incomprehension…
I was a student, I had my accommodation, and for several years now, I had been buying my underwear. They were feminine, with lace, satin… and I wore them every day. I also took care to buy myself a set of not-too-feminine “Sloggi” that I wore when doing sports.
I went to the swimming pool with friends from time to time and that didn't pose a problem for me, I always found an individual cabin to change in complete discretion.
Except, once, I don't remember why, the cabins were not available and I had to share the collective changing rooms.
When undressing, I managed to be discreet, pretending to have lost my keys at reception, I changed when the others had left the locker room.
When we returned from the bath, it was not the same. I tried as best I could to discreetly put on my panties by hiding under my towel. But she fell! I was facing away, in white panties and I prayed that no one would notice the little decoration on the belt.
Too late !
One of the boys said out loud: "But! Those are girls' underwear! My sister has the same ones!"
I tried to justify myself, to say that I had gone to the wrong drawer with my current girlfriend… Nothing worked. I was the subject of every possible mockery.
Since that day, I changed friends because none of them understood me, and I never went back to the pool without checking that the cabins were available.
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Nous sommes en juillet 2024, et les Jeux Olympiques de Paris battent leur plein. La ville lumière est un melting-pot de cultures et de célébrations, accueillant des millions de visiteurs du monde entier. Mais derrière les festivités, une ombre inquiétante plane. Le député britannique Andrew Bridgen, lors d'une réunion secrète au Parlement, apprend l’existence d’un complot d'une portée inédite. Un groupe de conspirateurs au sein de l'OTAN élabore un plan diabolique pour orchestrer une attaque sous faux drapeau pendant les Jeux. Leur objectif est de faire exploser une bombe nucléaire au cœur de Paris, en accusant la Russie de l’attaque. Cette explosion serait un prétexte pour déclencher une intervention militaire massive contre la Russie, justifiée par la défense de l’Europe. L'attentat est minutieusement planifié pour se produire lors de la cérémonie de clôture, un moment où les yeux du monde entier seront rivés sur la capitale française. Alors que la date fatidique approche, Andrew Bridgen, rongé par l’angoisse, décide de révéler la vérité. Il contacte un journaliste de confiance et lui remet des documents confidentiels prouvant l’existence du complot. Le journaliste, à la recherche de la vérité, commence à enquêter, mais il est rapidement poursuivi par des agents des services secrets qui veulent étouffer l’affaire. À Paris, la tension monte alors que les autorités mettent en place des mesures de sécurité sans précédent pour les Jeux. Des indices commencent à émerger, mais ils sont immédiatement dissimulés ou dénigrés comme étant des théories du complot. La panique commence à s’emparer de la population lorsque des rumeurs d’une attaque nucléaire se répandent. Le jour de la cérémonie de clôture arrive 11 août 2024. La ville est en effervescence, les athlètes et les spectateurs se préparent pour un moment historique, inconscients du danger qui les guette. Tandis que la bombe est secrètement transportée à travers Paris, Andrew et le journaliste se lancent dans une course contre la montre pour exposer la vérité. Ils doivent faire face à des poursuites effrénées, des trahisons et des obstacles presque insurmontables. Finalement, alors que la bombe est sur le point d’être déclenchée, Andrew et le journaliste parviennent à pénétrer dans la zone de sécurité. Dans une confrontation dramatique, ils parviennent à révéler l'existence de la bombe aux autorités à la dernière seconde. Mais il est trop tard. L'explosion retentit, semant la panique et la désolation dans la capitale française. Les radiations se propagent, plongeant Paris et le monde entier dans un chaos sans précédent. Dans un contexte de panique mondiale après l'explosion, tout le monde crie au complot. Les médias et les réseaux sociaux sont saturés de théories accusant les gouvernements et les agences internationales de manipulation. Les fact-checkeurs démentent ces rumeurs, les qualifiant de pure fantaisie et de paranoïa infondée. Cependant, dans un retournement de situation stupéfiant, des preuves irréfutables émergent, démontrant que la conspiration était bel et bien réelle. Les démentis se révèlent alors embarrassants pour les fact-checkeurs, pris au piège de leur propre certitude. Le complot est enfin révélé, mais les ramifications politiques sont énormes. Les responsables de l’OTAN impliqués dans le complot sont arrêtés, et un débat international s'ouvre sur la transparence et la sécurité. Paris, tout en étant marquée par la catastrophe, se retrouve au centre d'une controverse mondiale sur la manipulation et la vérité. À suivre.
Les Jeux Olympiques de Paris 2024 seront le plus grand événement jamais organisé en France. Ils se tiendront du 26 juillet au 11 août 2024, durant 16 jours hors du temps pendant lesquels Paris 2024 sera le cœur du monde. Les Jeux, c’est du sport, mais tellement plus encore… Une combinaison de rendez-vous culturels, de programmation artistique, et de performances diverses qui créent une expérience unique en son genre. Les Jeux, c’est un festival populaire et multiculturel qui s’adresse au monde entier. C’est une aventure qui va embarquer la France entière pour une expérience inédite. Et Paralympiques le 13 septembre 2017
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en vérité quelquefois je regrette d'avoir arrêté l'athlétisme, même si ce n'était pas de ma faute j'aurais pu reprendre plus tard, j'ai jamais été la plus nulle, jamais la meilleure non plus mais c'était pas le but, j'aimais mon entraîneur qui me le rendait bien (il me motivait avec des bonbons mdr privilège de chouchoute) j'aimais les gens et ce sentiment de famille, ça me faisait du bien de sortir de ma tête et ça me manque un peu d'être douée et reconnue dans quelque chose, ça me manque d'aimer faire du sport, d'imaginer que je tue quelqu'un que je n'aime pas avec mon javelot et de me jeter dans le sable le plus loin possible après avoir compté mes marques tant bien que mal avec quelqu'un qui chante dans mes oreilles pour que je perdre le compte, puis ça me manque d'avoir un corps plus fonctionnel, même le stress des compétitions que je détestais me manque, petite j'allais assez souvent m'entrainer à reculons mais le peu d'autres sports que j'ai pu tester ne m'ont jamais permis de me dépasser comme l'athlétisme et ne m'ont jamais fait autant de bien je crois, à part la boxe peut-être mais ce n'était pas pareil et je n'ai pu en faire que trop peu de temps car mon dojo s'est effondré à peu près au même moment que mon dos, puis ce que j'aimais dans l'athlétisme c'était que même si c'est un sport assez solitaire il y avait quand même une notion d'équipe assez forte, bref depuis je fais plus vraiment de sport (euphémisme, en même temps fut un temps on m'a dit qu'il fallait en faire le moins possible ou bien des trucs nuls genre nager dans une piscine) je n'arrive plus à courir sans avoir atrocement mal aux poumons (et aux ovaires mdr ou un truc par là) je n'ai plus d'endurance et ça c'est franchement un drame et une honte, j'ai le corps cassé, mon esprit ne peut plus se défouler non plus et j'ai peur de refaire du sport avec des gens que je ne connais pas (mais j'ai un peu envie quand même)
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La fresque de l'été
C’est toujours la même rengaine. Entre 18h et 20h, le dernier dimanche des vacances, je me mets à paniquer. Je regarde mon bureau du coin de l’œil, je sais que je vais le retrouver dès le lendemain et j’essaie de voler du temps au temps pour faire tout et n’importe quoi — tout sauf travailler. Alors je coupe à la va-vite ce chemisier que j’ai envie de coudre depuis quelques jours, j’ajoute deux points à ma broderie Glazig, j’attrape un livre qui traîne sur ma table de nuit depuis trop longtemps (Dîner à Douarnenez de Claude McKay). J’essaie de ne pas penser aux romans de la rentrée littéraire qui s’empilent dans ma bibliothèque, à mon livre sur la comédie musicale que j’ai décidé de jeter à la poubelle et que je dois reprendre de zéro (ça devient presque un sketch cette histoire). Comme à (presque) chaque vacance, je constate sans savoir quoi en penser que je n’ai pas écrit un mot. Enfin si, j’en ai écrit un tas mais dans ma tête, ce qui reste ma manière préférée de m’adonner à cette activité en préservant son caractère éphémère, spontané. J’ai écrit toute une critique de Maestro de Bradley Cooper en flottant dans les eaux bretonnes rafraîchissantes. J’ai commencé une fiction et repris un chapitre sur Chantons sous la pluie en brodant. Mais mon ordinateur est resté éteint et les stylos n'ont pas quitté mon pot à crayons. J’ai fait la paix avec le fait que j’ai besoin, régulièrement, de faire des pauses et de laisser les mots et les sentiments repousser en moi comme les framboisiers du jardin qui renaissent plusieurs fois dans la saison. Il n’y a pas assez de mouvements intérieurs pour permettre de moissonner des textes quotidiennement. Alors on attend.
Anyway. Je n’avais pas prévu de faire ce petit bilan estival mais pendant les vacances je suis allée prendre un café avec une personne que j’ai rencontrée sur Instagram (coucou Marine) et avec qui j'ai eu une conversation qui m’a fait beaucoup réfléchir sur l’écriture personnelle, l’écriture collective, sur le fait d’écrire un premier jet qu’on peaufinera plus tard et sur quelques névroses partagées. J’ai râlé toutes les vacances sur le fait que j’étais tellement mieux quand je ne regarde pas 172 stories par jour sur Instagram (et c’est vrai), mais je suis vraiment reconnaissante de toutes ces rencontres que les réseaux permettent. Je suis contente de tout ce qu’Internet arrache à mon introversion naturelle. Bref, Marine au hasard de la conversation m’a dit qu’elle aimait bien lire mon blog, et je me suis rendue compte que je l’avais beaucoup délaissé ces derniers temps par l’habituel de cocktail de travail / autres projets / « à quoi bon » divers et variés. Alors voilà que je me suis assise à mon bureau pour écrire ces quelques lignes et raconter ce que j’avais vu, lu, aimé (ou non).
Pendant mes vacances je suis allée faire un stage de broderie pour apprendre à manier le crochet de Lunéville, qui permet de poser des perles, des paillettes et de beaux fils dorés. J’ai tout de suite adoré le geste répétitif, adoré la sensation du crochet qui perce l’organza, adoré voir se dessiner des motifs ultra bling. J’essaie très fort de ne pas théoriser quoi que ce soit de la broderie, pourtant je n’ai pas pu m’empêcher de constater à quel point elle ressemble à l’écriture. Un exercice de patience, de répétition, point après point, mot après mot. Un exercice d’humilité, aussi, car il faut sans cesse défaire, refaire. Quand je brode je suis dans un état mental étrange, j’ai l’impression de ne penser à rien et de penser à tout dans un même mouvement. Les pensées s’entrechoquent, comme toujours, mais je ne les attrape pas forcément. Je les laisse passer, et c’est assez grisant. Je suis tout à mes mains, tout à mon corps (c’est peut-être ce que ressentent les sportifs, mais je n’ai pas la chance d’aimer le sport donc je ne le saurai probablement jamais).
Au retour du stage, j’ai rattrapé Maestro de Bradley Cooper sur Netflix. Je n’avais pas un a priori très positif sur ce film, n’ayant pas aimé sa variation molle autour de A Star is Born (la version Cukor / Garland / Mason étant à mes yeux un chef d’œuvre inégalé), trop centrée autour du personnage masculin à mes yeux. Mais comme j’aime beaucoup Leonard Bernstein, j’ai quand même eu envie de découvrir Maestro. Outre les partis-pris esthétiques qui m’ont laissée perplexe (l’usage du noir et blanc, les travellings étranges, la seule séquence de comédie musicale qui tombe à plat…) j’étais très étonnée par son choix de ne s’intéresser presque qu’au volet intime de la vie du compositeur et chef d’orchestre. J’aurais pu être contente que le film n’efface pas le côté « grand Artiste torturé » de Bernstein, qui a fait souffrir ses proches et notamment sa femme. Mais ce n’était pas forcément une raison pour complètement occulter ce qui a rendu sa vie et sa carrière intéressante (et notamment ce tiraillement entre musique classique et culture populaire/comédie musicale, et j'en ai évidemment beaucoup voulu au film de ne pas parler de West Side Story). Bref, un biopic qui donne l’étrange sentiment de passer à côté de son sujet et m’a fait me dire qu’il fallait peut-être arrêter de se vautrer dans la vie des grands artistes torturés pour montrer autre chose, enfin. J’ai aussi revu Le parrain qui m’a touchée aux mêmes endroits qu’à l’époque où je l’ai découvert. J’avais cependant complètement oublié à quel point les personnages féminins étaient des concepts plus que des personnes. Comme de simples chevilles dans le récit qui servent à faire avancer tel ou tel arc narratif. La mère, l’épouse battue par son mari et Apollonia, l’idéal féminin muet. J’ai repensé à la série The Offer, vue récemment, qui raconte l’écriture et le tournage mouvementés du film. On y voit Coppola et Puzo écrire le film, deux hommes autour d’une piscine.
Dans mon Year of Reading de chez Shakespeare and Co, j’ai reçu la BD This Country de Navied Mahdavian, qui m’a émue aux larmes. C’est un récit autobiographique qui raconte comment l’auteur, sa femme et son chien quittent tout pour s'installer au milieu de nulle part en Idaho après avoir vécu des vies de citadin. Il explore la manière dont il apprend à vivre au rythme de la nature, à connaître les animaux, à planter des légumes, à se passer de certains conforts. Mais aussi la violence sourde de se frotter, en tant que personne racisée, à une Amérique raciste et conservatrice. J’ai eu le sentiment qu’il évitait absolument toutes les facilités de son sujet (du "retour à la nature"), qu’il avait dans son regard une poésie, un respect pour son sujet, une vraie honnêteté qui lui permettent de questionner la signification profonde du foyer. C’est venu appuyer à un endroit très sensible de mon cœur, dans cette petite alcôve au fond de moi où je range la grande question : comment vivre, comment être heureux·ses dans ce monde ? Elle vit là, avec les interrogations sans réponses. Mahdavian ne m’a pas apporté de réconfort mais une bouffée de poésie, une respiration après une longue apnée.
Comme chaque été, je suis restée chez moi en Bretagne pendant les vacances. Les gens s’en étonnent, souvent, de l'idée que l'on peut ne pas partir. Pourtant ces quelques semaines étaient pleines d’aventures. Manger un burger vegan à la librairie l’Autre Rive avant de marcher dans la forêt de Huelgoat. Chanter du Céline Dion en regardant le soleil se coucher avec mes sœurs. Faire la planche sur l’une des plages de notre enfance. Lire dans le jardin. Et plein d’autres choses qui sont si petites qu’on ne les raconte même pas, qu’on se contente de les coller sur les murs de sa maison intérieure comme les minuscules carreaux d’une mosaïque. À la fin de l’été, ces souvenirs forment une magnifique fresque, mais il faut savoir faire un ou deux pas en arrière. La BD de Mahdavian m’a fait penser à tout cela, à ma famille, à ma maison, à une fragilité, aussi, avec laquelle il faut savoir composer.
Avant la fin des vacances, j’ai lu Dîner à Douarnenez de Claude McKay (Héliotropismes, traduit par Jean-Max Guieu), un récit très court écrit par cet auteur de la Harlem Renaissance dont je ne connaissais pas du tout l’œuvre. Il y raconte l’histoire d’une rencontre dans la ville du Finistère. Je l’ai lu le dernier dimanche des vacances et la première phrase m’a beaucoup émue : « Lorsque j’ai vu Douarnenez, je suis retombé amoureux ». Il continue et décrit la baie, les bateaux, les couleurs de la Bretagne, l’expérience d’être un homme noir dans cette ville en 1925. Je me suis dit, en le refermant, que c’était probablement le premier été où je ne retournais pas dans cette ville qui était celle de mes grands-parents. Ma grand-mère est morte il y a un peu plus de deux ans. J’ai ressenti comme un vide de ne pas avoir arpenté les Plomarc’h, de ne pas avoir contemplé la « plus belle baie du monde », de ne pas être passée devant la maison à la porte bleue. Porte repeinte depuis. J’ai ressenti comme le poids d’une absence. Le temps du petit récit, j’ai eu l’impression de colmater ce vide et de remonter le temps.
Quoi de mieux qu’un petit film de Preston Sturges pour finir les vacances ? Un film de Preston Sturges avec Barbara Stanwyck ET Henry Fonda. Je n’avais jamais vu The Lady Eve (Un cœur pris au piège, je déteste vraiment ces vieux titres VF) même si je me souvenais d’avoir lu à son sujet dans Pursuits of Happiness – The Hollywood Comedy of Remarriage, l'essai de Stanley Cavell sur la comédie du remariage. J’adore le cinéma hollywoodien des années 40, Barbara Stanwyck et la screwball comedy j’ai donc été enchantée par ce film, qui m’a malgré tout semblé plus sombre que d’autres du même genre. Bien que pourvu de l’habituelle happy ending, c’est une fable assez cruelle sur l’amour, les classes sociales (plus grave par exemple que le Holiday de George Cukor, un de mes films favoris) et sur les standards impossibles auxquels les femmes doivent se mesurer (être de bonne famille, riche, "vertueuse",...). On y retrouve une de mes dynamiques préférées du cinéma de l’époque : une femme brillante et vive tombe amoureuse d’un homme un peu mou agité par une passion étrange (ici, les serpents). Il y a quelque chose dans ces dialogues rythmés et ces situations décalées qui m’apporte vraiment une joie profonde.
Et maintenant, back to work !
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Je suis un chien du 21ème siècle.
Je suis un Malinois.
Surdoué parmi les chiens, je brille dans toutes les disciplines et je suis toujours prêt à travailler. Aujourd’hui, on me demande de me prélasser sur le canapé toute la journée.
Je suis un Akita Inu.
Chien de chasse hors pair, mes ancêtres ont aussi été employés pour les combats de chiens. Aujourd’hui, on me demande d’être tolérant avec mes congénères, et on me reproche ma réactivité quand l’un d’eux s’approche de moi.
Je suis un Beagle.
Quand je poursuivais ma proie, je donnais de la voix pour que les chasseurs puissent me suivre. Je menais la danse. Aujourd’hui, on me met un collier électrique pour que je me taise, et on voudrait que je revienne au rappel en un claquement de doigts.
Je suis un Yorkshire Terrier.
J’étais un redoutable chasseur de rats dans les mines anglaises. Aujourd’hui, on pense que je ne suis pas capable de me servir de mes pattes et on me garde toujours dans les bras.
Je suis un Labrador Retriever.
Ma vision du bonheur, c’est un plongeon dans un étang pour ramener à mon maître le canard qu’il vient de tirer. Aujourd’hui, on a oublié que j’étais un chien de sport, je suis obèse et je dois jouer la nounou des enfants.
Je suis un Jack Russel.
Je suis capable de tenir tête à un renard plus gros que moi dans son propre terrier. Aujourd’hui, on me reproche mon fichu caractère et on voudrait faire de moi un chien de manchon.
Je suis un Husky Sibérien.
J’ai connu les grands espaces du Nord de la Russie, où je pouvais tracter des traîneaux à une vitesse impressionnante. Aujourd’hui, je n’ai pour seul horizon que les murs du jardin, et pour seule occupation les trous que je creuse dans le sol.
Je suis un Border Collie.
Je suis fait pour travailler huit heures par jour, et je suis un artiste incomparable du travail au troupeau. Aujourd’hui, on m’en veut parce que, faute de brebis, j’essaie de contrôler les vélos, les voitures, les enfants de la maison, et tout ce qui est en mouvement.
Je suis un chien du 21ème siècle.
Si je te plais, si tu rêves de moi depuis toujours, si mes beaux yeux azur ou mon look d’athlète te font envie, mais que tu ne peux pas m’offrir une vraie vie de chien, une vie qui vaut vraiment la peine d’être vécue, et si tu ne peux pas me proposer le travail que réclament mes gènes... alors renonce à moi. Si mon allure te plaît mais tu n’es pas prêt à accepter mes traits de caractère issus d’une sélection génétique rigoureuse, et que tu penses pouvoir les changer avec ta seule bonne volonté... alors renonce à moi. Je suis un chien du 21ème siècle, oui. Mais, tapi au fond de moi, sommeille encore celui qui combattait, celui qui chassait, celui qui tirait des traîneaux, celui qui guidait un troupeau. Et, tôt ou tard, il s’éveillera. Pour le meilleur ou pour le pire.
Article d'Elsa Weiss
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Alexis Ren, la bombe californienne dans tous ses états
Alexis Ren est une jeune surfeuse et mannequin d'origine américaine. Elle est née en Californie en 1996 et a grandi a Santa Monica. Pratiquant le surf depuis son plus jeune âge, sport pour lequel elle a un certain talent, elle s'est rapidement dessinée une silhouette avantageuse. Son physique attire plusieurs agences de mannequinat, et ce dès l'âge de 13 ans. Sa carrière de mannequin lui permet de devenir l'une des égéries de Calvin Klein pour la ligne de lingerie du créateur, « My Calvin's ». Alexis Ren est une adepte des réseaux sociaux, et adore poster des photos d'elle dans le plus simple appareil, simplement vêtue de bijoux ou d'accessoires. Elle a été Maxim's cover girl pour le mois d'août 2017 et Maxim's cover girl pour le mois de mars 2018. Elle possède 15,6 millions de followers sur Instagram et 1,5 million de followers sur Twitter. Son histoire avec Jay Alvarrez Ils ont rompu définitivement après 6 mois de rumeurs. Tout a commencé après qu'Alexis ait dit à un fan qu'elle avait rompu avec Jay parce que la relation n'était plus bonne pour son entreprise. Dans une conversation animée sur Twitter, elle a dit que Jay n'était qu'un passe temps et qu'il avait un petit engin. Elle a supprimé les messages mais Internet n'oublie jamais. Jay a répondu en disant que faire en sorte que quelqu'un se sente mal à propos de ce qu'il est ne fait que montrer votre faiblesse. A lire également : Anais Pouliot; le top canadien à suivre Régime alimentaire d'Alexis Ren PAS de pain. Duh, elle est sans gluten. PAS de restauration rapide. Tant mieux pour elle ! Plus de place pour les bols d'açaï. Pas d'alcool. Je ne sais pas quoi dire à propos de celle-ci à part qu'elle boit 2 litres d'eau chaque jour. PAS de viande rouge. Détendez-vous, elle mange encore d'autres viandes, juste une petite quantité. PAS de repas après 19h. Je suppose qu'elle n'est pas une couche-tard. PAS beaucoup de sucre. C'est une donnée. AUCUN fruit après le déjeuner. Étrange, je devrais lui poser des questions sur celui-ci. Fruit. Beaucoup d'ananas, de fraises, de pastèque, de papaye et de mangue pour des smoothies et des bols d'açaï à n'en plus finir. Kale Chips. "Oh, chou frisé ouais!" Poudre de protéine végétalienne. Pshh, comme son programme d'entraînement, ça ne suffit pas ? ! Mélange montagnard (sans M&M's). Allez, c'est comme la seule partie que je mange. Glace à la banane. Elle l'appelle de la crème glacée, tandis que je l'appelle comme je le vois - des bananes mélangées à du lait d'amande. Salade (avec citron et poivre). À ce stade, il n'y a pas assez de salades dans le monde pour ce genre de corps. Burgers végétariens (enveloppés de laitue avec avocat). Read the full article
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Je viens de comprendre quelque chose, des années plus tard, en regardant un film.
Synopsis : C'est une femme qui fuit son passé et qui est très forte pour cacher ses émotions. Il lui reste le Kung Fu pour seul remède.
Mon frère me dit souvent "mais apprends toi à te battre ! Petit gabari que tu es".
Je réponds tout le temps que je ne supporte pas la violence.
Je viens de comprendre que c'est surtout autre chose aussi dont j'ai peur.
Faire ressortir le colère, la rage que j'essaie de faire taire depuis des années. Peur de ne pas me reconnaître en faisant un sport de combat.
Ce soir je pense à 2016. J'ai une haine profonde envers lui. Haine que je réfute depuis toutes ces années. Ce qui me blesse le plus c'est l'absence du mot "pardon" ou encore d'un "désolé". Comment entendre ça de quelqu'un qui ne comprend pas ce qu'il a fait de mal, qui n'a aucune conscience ?
C'était fin avril 2016, qu'il est devenu violent. Que j'ai éprouvé cette peur. La peur de mourir sur place. Rien de pire que d'être impuissante face à cette haine. Et chaque année cela revient comme un flash. D'ailleurs, c'est la musique qui m'a sauvée. Je me suis accrochée à autre chose que tes hurlements. La musique -Faded,Allan Walker-.
Mais passons. Ce qui m'énerve le plus, c'est que j'éprouve des émotions pour quelqu'un qui m'a laminé et souillé malgré toutes ces années.
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saga: Soumission & Domination 336
Enguerrand et Max -1
Je suis devenu le confident d'Enguerrand. Depuis que je l'ai sorti des griffes de XX de XXX et que je l'ai dépucelé pour sa 2ème fois le 1er janvier, il me garde une confiance aveugle. Le fait qu'il ait trouvé chez moi son copain Max ajoute à ces sentiments.
La rentrée de janvier s'est bien passée et il me dit que ses professeurs l'ont complimenté pour sa tenue en classe. Il me dit que le soir, il rattrape son retard avec Max. Ses premières notes montrent la transformation du gamin. Là où péniblement il atteignait les 6 à 8, il est maintenant autour de 16. Comme ses deux frères, Enguerrand est loin d'être bête et il pourra surement choisir ce qu'il veut faire plus tard sans difficulté. C'est en français que les remarques sont les plus élogieuses. Il faut dire que sa " mésaventure " l'avait rendu très " noir " et que c'est dans cette matière que cela se voyait le plus. De même ses tenues négligées qui lui valait des avertissements ont laissé place à ce que la direction demande. Là où les surveillants devaient se battre avec son agressivité, ils trouvent un gamin ouvert, souriant et de bonne volonté.
Avec les parents de Max, il est le gamin idéal. Serviable, poli, prévenant, il confirme la stabilisation de leur propre rejeton. Max me dit qu'après avoir voulu les mettre dans deux chambres séparées, ils avaient vite capitulé à force de voir l'un sortir de la chambre de l'autre chaque matin. La grande chambre de Max avait été reconfigurée. Un 2ème grand lit est mis à l'instigation de madame qui n'a pas encore ouvert les yeux sur la sexualité de son rejeton, un 2ème bureau avait été installé à côté de celui de Max et un 2ème PC mis dessus. Enguerrand me dit que son Max est trop bon aussi. Et là, ce n'est pas de ses connaissances en math ou en physique qu'il parle, mais de leurs performances aux lits. Il me confie qu'avec Max, il apprend à être actif et à y prendre du plaisir. Surtout il est content de donner ainsi du plaisir à Max.
De son côté, Max me dit exactement la même chose. Des fois il est encore surpris par certains gestes de son ami mais se souvient aussitôt de l'expérience traumatisante qu'il a vécue. Il me dit qu'il attend un peu avant de lui proposer des plans à trois avec Daniel avec qui il a eu une relation un peu plus poussée alors que j'étais " cassé ". De la campagne nous arrivent à Ludovic et moi, d'aussi bonnes nouvelles. La remontée des notes d'Enguerrand y est pour beaucoup et surtout la bonne tenue de Max, sa gentillesse et sa prévenance envers leur fils a conquis leurs coeurs. Ils ont encore parfois des scrupules de n'avoir rien vu. Plusieurs fois, mon " beau-père " m'en parle. Dans l'intimité de son bureau, il cherche ce qu'il aurait dû faire. Il me prend à témoin qu'à l'époque personne ne pouvait parler avec son fils. Je lui avoue que je n'ai appris son histoire qu'en faisant faire une enquête sur lui. Heureusement il ne relève pas ! J'ai eu chaud, je me vois mal expliquer le comment du pourquoi. Il me demande si j'ai des nouvelles de XX de XXX. Je lui dis juste que je garde un oeil sur lui et qu'il a l'air de s'amender. Il est avec des cousins à lui dans un hôpital Ebola et d'après mes renseignements, il s'y donne vraiment. Mon " beau-père " me dit qu'il aura quand même du mal à lui pardonner ce qu'il a fait à son fils. Je le comprends, j'ai dû moi-même me retenir de ne pas aller plus loin. Et je ne suis pas son père ! En attendant les deux " petits " sont attendrissants et ils en profitent pour intégrer les séances de sport du blockhaus. Max argumente qu'en tant qu'homos, ils ont plus de risque de se faire casser la gueule et qu'ils doivent donc suivre nos cours de lutte et de self défense. Quand j'avance que la boxe française d'Enguerrand devrait les mettre à l'abri des importuns, il me rétorque que ça n'a rien à voir avec la capacité de se défendre des casseurs de PD. Comme les résultats scolaires sont là, j'accepte !! Ils s'int��grent sans problème. Je décèle même une prise en charge par mes Escorts à l'instar de véritable " petits frères ". Même João qui n'a que deux ans de plus à un comportement protecteur avec eux deux. C'est lui qui prend le plus de temps à leur inculquer les basiques de l'auto-défense. Jona et François suivent leurs progrès et leur enseignent les gestes nécessaires pour arrêter un " boeuf " de plus de 100Kg.
Après quelques semaines, je n'aimerais pas être celui qui viendra les embêter. Je surprends aussi nos deux jeunes à avoir des conversations sur le taf des uns et des autres. Sur leurs études aussi, eux même ne savent pas encore vers quels métiers se destiner. Alors que nous sommes tous en jock, ils sont les seuls que j'oblige à porter un short complet. Après négociation, ils ont accepté seulement s'ils étaient près du corps. Comme ceux que je leur avais fournis ne l'était pas assez, ils sont arrivé un soir avec sur les fesses des boxers de chez Olaf Benz. Plus moulant ce n'est pas possible et sans slip dessous, ils sont plus impudiques que les jocks avec leurs grosses mailles élastiques. Content de leur petit effet, ils ont passé les 3 heures de sport à se faire mater par tous ceux présents, des nageurs aux lutteurs, sans compter tous ceux qui poussent de la fonte, pour les " assurer " bien sûr ! Ils font bander plus d'un escort et moi-même j'ai la barre quand je vois leurs petits culs moulés par le tissu élastique jusqu'à rentrer entre leurs fesses. Quand je leur dis de se calmer s'ils ne voulaient pas se faire violer par tous les mecs présents, je ne reçois pour toute réponse que c'est peut-être le but cherché. Pour garder un semblant de maîtrise, je hurle tout haut que celui qui voudra enculer Max ou Enguerrand devra me le demander avant. Les deux jeunes me traitent d'esclavagiste, ils me disent qu'ils ont déjà un père chacun et que ce n'est pas moi. Je m'en fous, ils sont sous ma responsabilité ! Morgan rigole et me dit que j'étais moins regardant le WE du 1er janvier. Il croit même qu'en 3 jours ils ont du se prendre tout ce qui bandait au blockhaus.
Quand je me retourne vers eux deux, ils regardent le plafond avec un faux air innocent. Je me rapproche, les prends chacun par une oreille et, tirant pour les obliger à se mettre sur la pointe des pieds, leur demande si c'était vrai. Max me dit que c'était pas humain d'avoir toutes ces belles bites devant les yeux et de ne pas y toucher. Enguerrand en même temps dit qu'après m'avoir quitté (c'est vrai que j'ai été le premier à le sodomiser), il avait testé ses capacités à plaire et avait aussi vérifié que c'était bien les mecs qui l'attiraient. Bravo la mauvaise foi !! La semaine suivante, le père de Max m'appelle des urgences de l'hôpital. Ses collègues l'avaient prévenu qu'ils avaient son fils et un de ses copains ainsi que 4 mecs un peu plus amochés encadrés par un commissariat entier. Il préférait m'appeler plutôt que d'inquiéter le père d'Enguerrand. Avant de les rejoindre, je contacte DGSE pour savoir s'il avait ses entrées dans la police locale. Il me dit qu'il me rappelle. Ludovic m'accompagne évidemment. Aux urgences, il se présente aux flics et ça nous permet de voir son frère. En quelques mots, Enguerrand nous dit que les 4 mecs d'à côté les ont cherché et qu'ils s'étaient fait traiter de sales PD et autres joyeusetés avant qu'ils essayent de leur casser la gueule. Ils avaient des témoins c'est pour ça qu'eux n'étaient pas menottés.
Ludovic pendant ce temps-là l'a inspecté sous toutes les coutures. A part une petite ecchymose à la pommette gauche, il n'a rien. Avec un doigt je tourne son visage vers moi et lui demande si c'est pour récolter ça qu'on leur a enseigné à se défendre. Je lui demande comment s'en est sorti Max. Réponse : comme moi, mais dans les côtes, un gros bleu pas de fêlure. Il rit et, avec une grimace, me dit qu'ils avaient attendu qu'ils frappent les premiers pour pouvoir leur casser la gueule en légitime défense. Le flic qui était resté avec nous lui dit qu'ils avaient été malins sur le coup. Ils n'avaient d'ailleurs rien contre eux deux puisque leurs dépositions correspondaient à celles des autres clients du bar. La seule chose qu'il leur conseillerait serait d'être un peu moins " enthousiaste " à se défendre. Sans témoins, ils auraient risqué d'être poursuivis pour coups et blessures. Ludovic reste avec son frère et je discute avec le flic. C'est un lieutenant, je lui demande comment s'en sortent leurs agresseurs. Un peu moins bien est sa réponse. Il énumère : quelques côtes cassées, deux luxations d'épaules plus une jambe cassé et un genou déboité. Je siffle de surprise. Il ajoute qu'ils sont peut-être jeunes mais que lui-même ne s'y frotterait pas pour de mauvaises raisons. Je le regarde. Beau mec dans les 30 ans, carré, mains vierges de tous anneaux, jeans remplis de ce qu'il faut, il parait tout à fait baisable ! Je réponds que dans un combat régulier, il aurait effectivement du mal à les mettre au sol, l'un ou l'autre. Il me confirme alors que je lui demande s'il leur faut un avocat qu'ils ne seront pas inquiété, le caractère homophobe de l'agression étant constitué et témoigné. Il me dit qu'il s'assurera personnellement que ce soit porté à la connaissance du juge. Un " il faut bien protéger notre nouvelle génération " me fait penser qu'il doit être de notre bord.
Appel de DGSE. Je m'écarte et lui dis avec qui je suis. Il prend quelques secondes puis me confirme que le mec en question est bien de notre bord. Ludovic nous rejoint avec Enguerrand et Max sort d'un autre box avec son père. Les deux jeunes se roulent une pelle, soulagés de ne pas être inquiétés avant de s'apercevoir qu'on n'est pas qu'entre nous. Ils se décollent et remercient le lieutenant. Il leur répond qu'il ne fait que son travail et avec le même geste que moi, son index droit sous le menton d'Enguerrand, il fait tourner son visage pour examiner le bleu qui commence à virer de couleur. Il se montre rassurant et dit que ce ne sera qu'une question de jours avant que ça disparaisse. Il ajoute, " fait attention à ton visage, ce serait dommage de l'abimer par une cicatrice ". Son doigt remonte le long de la mâchoire, un peu intime comme geste ! Enguerrand s'en trouble d'ailleurs. Max qui se tient les côtes lui dit qu'il fallait bien qu'ils se fassent taper en premier non ?
Le lieutenant acquiesce. Il ajoute qu'il faut dévier le premier coup vers une zone moins risquée. Là, si le mec avait été plus fort, Ludovic aurait pu se faire casser l'os de la pommette. Je prends note, nous apprenons à nous battre avec efficacité, ce qui vient d'être démontré mais personne n'avait encore pensé à cette facette de l'engagement. Alors que le père de Max embarque les deux petits pour les ramener chez lui, je prends la carte de visite du policier. Pendant le retour je dis à Ludovic que DGSE m'avait dit que ce dernier était gay comme nous. Je lui demandais ce qu'il pensait de l'idée qui m'était venue : comment faire en sorte que notre défense ne passe pas pour l'agression en cas de rencontre avec des homophobes, et de voir cette problématique avec le lieutenant. Il me dit que cela l'aurait étonné que je ne fasse pas une fixation sur ce représentant de l'ordre. Il me dit que je suis qu'un obsédé qui saute sur le moindre mec baisable qui passe à ma portée. Il ajoute que ce sera risqué avec ma société d'escorts. Je lui dis qu'il ne viendra que pour Max et Enguerrand. Ce sera à eux de transmettre ce qu'ils auront appris.
Il n'est pas convaincu et me dit que PH sera de son avis. C'est effectivement le cas mais PH étudie la façon de présenter les choses pour que le risque de problème avec le lieutenant soit minime. Ludovic ne comprends pas jusqu'à ce que PH lui explique qu'avec moi, il est plus simple de m'aider que de me contredire. J'appelle donc le lieutenant lors d'une pause entre deux cours. Je lui dis que je souhaiterais qu'il enseigne à ces deux têtes brulées où prendre le premier coup pour s'est tirer sans mal, et lui propose deux soirs à son choix. Il préfère le vendredi soir puisqu'il n'est pas de permanence le samedi suivant. Du coup je lui dis qu'il restera diner. Comme c'est un ordre plus qu'une invitation, il accepte. Les deux " gamins " seront présents.
Jardinier
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title: "Projet de Vie / Project of Life" source: charlesleclerc.com, as archived by the wayback machine format: website page season: 2008, karting
"À l’heure où beaucoup d’enfants ne savent pas encore ce qu’ils ont vraiment envie de faire plus tard, certains ont la chance d’avoir pris la décision très tôt de tout essayer pour faire de leur passion un métier, sans pour autant négliger les essentiels que sont les études, l’éducation, et toutes ces petites choses qui rendent la vie intéressante."
Cette petite phrase simplement pour comprendre que ce projet n’est pas la passion d’un instant, mais bien une véritable volonté de mener à bien une entreprise que nous savons terriblement difficile, et qui sans l’implication totale du pilote, de ses partenaires, de son team, de sa famille, ne resterait qu’un projet sans avenir, ou un jouet bien trop cher.
"At a time when many children do not yet know what they really want to do later, some are lucky enough to have made the decision very early on to try everything to make their passion a profession, without neglecting the essentials of studies, education, and all those little things that make life interesting." This little sentence simply to understand that this project is not the passion of a moment, but a real desire to carry out a company that we know is terribly difficult, and which without the total involvement of the pilot, of his partners , of his team, of his family, would remain only a project without a future, or a far too expensive toy.
La décision d’accompagner Charles dans « son projet de vie », a été motivée par plusieurs éléments :
Tout d’abord, les résultats sportifs exceptionnels qu’il a collectionné depuis ses débuts en 2005.
La lucidité et la maturité dont il a fait part lors de nos differents entretiens, notamment concernant l’importance des études, la correction, la politesse, l’immense travail nécessaire , et surtout la détermination incroyable de tout faire pour réussir.
Enfin, le charisme et le charme naturels qu’il dégage, sans jamais chercher à se mettre en avant, mais restant plutôt discret sur son parcours.
The decision to accompany Charles in "his life project" was motivated by several factors: - First of all, the exceptional sports results he has collected since his debut in 2005. - The lucidity and maturity he shared during our various interviews, particularly concerning the importance of studies, correctness, politeness, the immense work required, and above all the incredible determination to do everything to succeed. - Finally, the natural charisma and charm he exudes, without ever trying to put himself forward, but remaining rather discreet on his journey.
Après être devenu le plus jeune vice champion de France minime en 2008 à seulement 10 ans, l’année 2009 s’annonce passionnante avec le passage dans la catégorie supérieure (cadet).
After becoming the youngest vice champion of France in 2008 at only 10 years old, the year 2009 promises to be exciting with the passage to the higher category (cadet).
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7 février
ras le cul ras le cul ras le cul je viens de regarder un documentaire sur pomme et un documentaire sur november ultra et j'en ai marre de rien faire de ma vie. aujourd'hui c'était l'anniversaire de r. oui encore il est là oui j'aurais tant aimé oublier que c'était son anniversaire mais mon cerveau me l'a rappelé toute la journée alors évidemment j'ai passé l'après-midi à m'entrainer à chanter you still believe in me des beach boys au piano en remplaçant toutes les paroles par joyeux anniversaire parce que c'est ma spécialité de faire des cadeaux d'anniversaire adorables aux gens qui m'aiment pas cf. mon zine pour a. avec des dessins aux crayons de couleur de son chien qui fait un road trip à travers les états-unis. l'année d'après je lui ai fait une playlist, et l'année dernière elle m'a même pas répondu, alors cette année je me suis rabattue sur r. je me suis enregistrée mille fois et j'ai fini par lui envoyer la moins nulle, en voice memo pas en vidéo parce que je me sentais moche. il a répondu merciii et c'est tout. ça m'apprendra à écouter mon gros coeur de merde. enfin non ça m'appendra pas puisqu'année après année je recommence. en ouvrant fb j'ai vu que c'était l'anniversaire de ludvig aujourd'hui aussi. évidemment qu'ils sont nés le même jour. je suis sûre qu'il aurait eu un petit mot sympa pour ma chanson lui.
8 février
j'ai rêvé qu'on me disait que je devrais faire du cinéma parce que ce que j'avais à dire et ma sensibilité se prêtaient bien à l'image, à ce médium-là, un truc comme ça. j'essaie de faire une vidéo pour le festival videoex mais je sais pas ce que j'ai à dire. en revenant de delhaize sous la pluie je me disais que j'aimerais bien travailler sur quelque chose qui me sorte de moi-même. ça me ferait du bien.
quand m. est arrivée elle m'a demandé ça boume ça gaze? et j'ai dit non et toi? et elle m'a répondu un petit ça va. elle m'a pas demandé pourquoi ça allait pas mais rien que de dire non ça m'a fait du bien. de le poser devant moi. on a passé l'après-midi à discuter dans la cuisine en se faisant écouter des nouveaux morceaux et je sais pas comment je survivrais sans voir m. de temps à autre. elle m'a ramené une pierre transparente de sel cristallisé qu'elle a trouvée dans le désert en espagne, elle date de quand y avait la mer dans le désert, ça me fascine. j'arrêtais pas de la tripoter dans tous les sens. elle a un endroit qui est tout lisse comme du verre et sur la tranche on voit plein de petites strates comme des grands escaliers en cristal. je l'ai laissée en bas sur l'évier mais j'ai envie de l'avoir près de moi pour dormir. le jour où j'aurai une table de nuit c'est le premier truc que je mettrai dessus.
cécile et gauthier sont arrivés un peu plus tard, ils ont ramené des gobelets en plastique que jeanne avait fait faire pour les trente ans de thibaud avec son nom, 30 ans et autour du 30 plein de petits objets qui le caractérisent: des baskets de sport, un chat, des billets de banque, une bouteille de vin, un ballon de foot, des cartes de poker, et plein d'autres trucs nuls. elle lui avait organisé un weekend surprise dans une grande maison à la campagne avec tous leurs amis. j'ai un peu de mal à concevoir qu'y a des gens pour qui les anniversaires sont synonyme de joie et de fête et de surprises et de bons souvenirs. bon mes trente ans étaient loin d'être mon anniversaire le plus pourri, mais quand je compare avec les gens qui ont des vraies vies avec des amis et des copains et des copines qui leur font des surprises, je me dis que je suis pas au même niveau. et la seule raison pour laquelle j'étais pas déprimée pour mes trente ans c'était que j'étais amoureuse de a. et qu'elle m'avait dit qu'elle m'enverrait un cadeau. qu'elle n'a jamais envoyé, ou il est jamais arrivé, le mystère demeure, j'ai jamais osé lui demander.
quand je suis arrivée à la maison trempée jusqu'aux os en revenant de delhaize j'avais deux messages de r. qui me disait qu'il avait enfin écouté ma chanson et que c'était trop mimi avec beaucoup de i. comment font les gens pour avoir des vies si occupées? et pourquoi moi je suis si peu occupée que j'ai le temps de passer une après-midi entière à répéter you still believe in me au piano pour un garçon que j'ai vu deux fois dans ma vie? bon je l'ai pas apprise pour lui, j'étais déjà en train de la jouer, mais quand même. je savais pas si y avait quelqu'un dans la maison d'à côté et je m'imaginais la voisine à bout de nerfs à force de m'entendre chanter joyeux anniversaire qui se disait j'espère qu'il va l'apprécier sa putain de chanson des beach boys. désolée madame mais il l'a même pas écoutée le jour-même, non mais vous y croyez?
10 février
j'ai enfin bu un jus d'ananas ce soir dans le cadre d'une piña colada sans alcool parce que j'en ai marre d'avoir la tête qui tourne. je suis contente qu'ils soient tous là pour me distraire. ce matin je me suis levée d'une humeur exécrable et j'ai cherché un morceau d'arnold schönberg avec le mot flowers dans le titre parce que dans mon rêve c'était marqué sur mon ordonnance: flowers d'arnold schönberg, mais apparemment ce morceau n'existe pas. peut être que c'était juste des fleurs de bach. j'ai du me mettre devant un épisode de newport beach avec une grosse tranche de brioche tartinée de chocolat pour faire remonter mon moral (ç'a marché) et puis on est partis au resto dans la forêt où j'étais pas retournée depuis que j'étais petite et j'ai mangé une grosse escalope viennoise avec des frites (bof) et une glace vanille-fraise en dessert pour faire les choses jusqu'au bout. j'arrête pas de manger des beignets de carnaval aussi, j'arrête pas de dire que je vais prendre mon corps en main mais je le fais pas.
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