#faire sport tard
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Faire du sport tard nuit à votre sommeil ; trauma ; reins et tissu adipeux
NOUVEAU PODCAST 👉 Faire du sport tard nuit à votre sommeil ; trauma ; reins et tissu adipeux. 🎙Pour écouter mon podcast : - Recherchez « la pause fitness » sur votre plateforme de podcast préférée - Ou rendez-vous en bio @fitnessmith, cliquez sur le lien, fitnessmith.fr/news puis dans « les nouveautés» - Ou rendez-vous dans votre boite mail pour les fidèles auditeurs #sport #fitness #sommeil #exercice #entraînement #santé #bienêtre #musculation #dormir #récupération #équilibredevie #santémentale #motivation #routinefitness #routinesommeil #bienetresportif #étudesport #prévention #sommeilprofond #motivationfitness #habitudesportive #formetard #routineexercice #entraînementsanté #neurogenèse #surpoids #résultatsfitness #performancephysique #alimentationéquilibrée #sommeilréparateur #sportetbienetre
Dans ce podcast, nous allons parler de problème de sommeil, le sport est le meilleur psy, la santé des reins et le tissu adipeux. Nouveau ! Comment rester en forme après 50 ans Sommaire du podcast : Faire du sport tard peut nuire à votre sommeil Une nouvelle étude de l’Université Concordia montre que l’exercice intense en soirée peut avoir des effets contradictoires sur le sommeil. Faire de…
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saga: Soumission & Domination 370
Novembre en France-2
Blockhaus Jour 2
Pendant le déjeuner j'essaye d'en savoir plus sur notre nouveau voisin mais PH et Ludovic me disent qu'ils ne savent pas qui il est.
Du coup je les charge de voir à qui appartient l'immeuble de droite qui est du même type avec mission de le racheter si c'est possible.
Dans la soirée je fais visiter le second étage (celui dédié à ma société) à Dane.
Il mate la frise de mon bureau. Il ne pensait pas que ma " petite affaire " représentait autant de mecs. Je le vois fixer son intérêt sur notre petit Maxou !
Pour le remercier de s'être occupé de moi pour mon retour en catastrophe, j'appelle mon escort et lui demande de venir nous rejoindre illico. Quand je raccroche, Dane se rend compte que je le fais venir pour lui. Pour avoir discuté avec Tyler et lui de ma société et des tarifs que je pratiquais, il me demande combien il va me devoir.
Evidemment rien bien sûr !! Je ne fais pas payer mes amis même si moi, je rétribuerais Maxou, mais ça je ne lui dis pas.
Maxou arrive après ses cours et nous rejoint en salle de sport. Il y a déjà une 10aine de mes escorts à s'entrainer avec nous.
Comme je m'étonne de l'absence de Jona et de François, PH me glisse qu'ils ont été rappelés au " service ". Du coup le coaching muscu et combat a échu à nos deux gymnastes fraichement intégrés avec surveillance de Ludovic pour la partie fighting. Le tout sous la gestion de notre Maitre-nageur. Pour les prestations d'Escorting, PH a pris l'affaire en main. Je ne peux qu'admettre que cette organisation est la plus efficiente.
Le temps que je me mette à jour, Maxou s'est attaqué à Dane en le provoquant à un combat sur le tatami de la serre. Arrêt de quasiment tous les entrainements pour voir le défi.
Si au départ Dane avec sa carrure d'adulte n'y allait pas trop fort au regard du format toujours crevette de son adversaire, quand il a gouté pour la deuxième fois le tapis, il s'est aperçu que le niveau de son adversaire valait bien le sien. Après quelques 15 minutes, profitant de son allonge et de son poids supérieur, il réussit à coincer Maxou sur le tapis. Jusqu'à ce que déloyalement, ce dernier ne lui roule un patin ! Fin d'entrainement pour tous, douche et évidement c'est parti en touze !! Dane, nouveau pour beaucoup, s'est retrouvé très sollicité et après avoir profité de Maxou, s'est laissé entrainer par mes autres escorts.
Une bonne heure et demi plus tard, il me rejoint et épuisé me dit que mes mecs sont trop bon. Il a particulièrement apprécié le fait qu'ils utilisent leurs potentiels physiques comme des pros. Puis il se rend compte que c'est évidement à des pros qu'il avait eu à faire !
Je garde Maxou alors que les autres nous quittent. Dane et un peu gêné et il lui demande si cela ne l'embête pas trop de rester pour lui.
Réponse de l'intéressé : " quand il bosse, il ne prend pas en compte ses avis personnels, mais là en plus il n'a aucunement à se forcer pour me faire plaisir " (à moi Sasha). Il ponctue sa déclaration d'un bisou sur ses lèvres.
Pendant le diner la conversation passe des évènements Parisiens à notre vie à San Francisco. Maxou est super intéressé et quand il apprend que le petit frère de Dane viendra en France pour la fin d'année, il n'a de cesse d'en savoir plus sur ce dernier.
Pour faire cesser le harcèlement de question, je lui dis de s'adresser à Enguerrand ou à Max, car je suis sûr que ces deux-là l'ont pris en photo au minimum. Pas garanti qu'ils n'aient pas réalisé en plus une sextape !!
Dane, qui depuis le passage de la triplette, s'est rapproché de son frère notamment sur le sujet du sexe et de son utilisation, confirme que ces derniers en ont même fait plusieurs lors de leur passage en Californie.
La soirée se passe calmement, enfin à recouvrer des forces !
La nuit nous restons de part et d'autre. Moi je retrouve mes deux amours et nous faisons l'amour. Comme cela fait longtemps que nous ne nous étions retrouvés tous les trois seuls, cela prend un parfum de tendresse rarement présent quand nous sommes plus nombreux.
A côté je suis sûr que Maxou donne à notre yankee un aperçu des petits Français qu'il ne sera pas près d'oublier.
Retour
Les quelques jours passent rapidement et quand nous remontons à Paris pour prendre notre avion, nous trouvons Kev chez Henri (pas question qu'il reste seul dans son duplex). Un infirmier beau comme un dieu s'occupe de lui dans la journée quand Henri est au travail.
Que voulez-vous ? On ne se refait pas et nous ne quittons l'appartement qu'après que j'ai sodomisé le corps m��dical.
Déjà en blouse et pantalon blanc relativement large, il paraissait canon mais à poil (enfin nu) il l'est vraiment ! Une bouche bien profonde idéale pour abriter les 21x5,5 de Kev, et une musculature lui permettant de s'occuper de tout lors des sodos. Il m'en fait une démonstration alors que, couché sur le dos, il se plante sur mes 20x5 et me les pompe avec sa rondelle sans que j'aie à faire de mouvement.
Pour les plus curieux, il fait dans les 1m80 et porte au moins 70Kg de muscles secs. Une belle bite de 18/19 épaisse et surtout un petit cul bien rond cachant une rondelle souple mais nerveuse.
Alors que nous quittons l'appart d'Henri pour l'atelier d'Alban, Kev me demande comment j'avais trouvé son " garde malade ". Réponse " avec lui tu ne vas pas être en manque de tes potes " !! Il me dit que pendant que je m'amusais avec son " garde malade ", il avait profité de mon américain. Un simple 69 mais qui avait tenu toutes ses promesses.
Quant à ses copains habituels de baises, Kev me réponds que certains passeront quand même le voir pour éviter la routine. Je le reconnais bien là, aussi chaud que moi !
Passage chez Alban. Il héberge encore Ric que son père est venu voir quelques jours plus tôt. Avec juste un bandage autour du biceps, Ric est tout content de nous voir. Il nous dit s'être inscrit pour un mois à la salle de gym de Kev, puisqu'ils ont décidé qu'il ferait sa convalescence à Paris. Déjà la semaine et demi d'arrêt lui pèse et il va vite reprendre au moins le cardio et tout ce qu'il peut travailler. Les cuisses, les abdos et tout le haut avec son bras droit avant de reprendre doucement avec le gauche en fonction de l'autorisation de la faculté.
Le taxi nous dépose à Roissy juste à temps pour l'enregistrement. Pas de bagages de soute, cela rend l'enregistrement plus rapide. Mais du coup le passage de la douane est plus fouillé. Si Dane passe rapidement, c'est limite si les douaniers ne m'auraient pas mis à poil. Bon j'aurais bien aimé car un des mecs qui me palpait était tout à fait baisable. J'ai eu le plaisir de le voir rougir alors qu'il s'apercevait avec sa mains tout le bien que je pensais de lui (bandant comme un âne, il aurait eu du mal de ne pas capter !).
J'ai eu l'espoir un moment que la barre dure qui déformait mes jeans allait l'amener à me faire une fouille au corps, mais non, dommage !!
Attente dans le salon des premières, puis embarquement. Compagnie américaine, personnel de bord charmant, à nos petits soins mais loin d'être de première jeunesse !!
A l'arrivée Tyler nous attend. On se raconte notre petite semaine en France. Dan est le plus disert. Je m'aperçois que notre passage à Paris l'avait fortement impressionné (surtout mes amis Henri, Kev et la musculature hors norme de Ric). Il lui décrit aussi le blockhaus comme un endroit de folie et les mecs qui y passent.
Du coup Tyler est pressé que l'on soit un mois plus tard !!
Quand il apprend que Duke a fait des sextapes avec mes " petits frères ", il est surpris tout en étant pas plus étonné que ça venant de 4 obsédés de la bite !!
Duke nous attendait chez Tyler. Lui aussi voulait des nouvelles et surtout de ses nouveaux copains Frenchies. Dan répète pour lui. C'est à son tour de devenir impatient d'arriver à Noël !!
Le mois passe vite et les nouvelles de France qui me parviennent régulièrement sont bonnes. Tellement que mes deux amis blessés le 13 novembre pourront être des nôtres en fin d'année.
Coté immobilier, PH me prévient qu'il a pu acquérir l'immeuble qui nous jouxte pour une bouchée de pain et me propose de transformer le rez-de-chaussée en garage d'entretien pour nos motos dont Cyril prendrait la charge et l'étage pour faire un grand appartement pour Samir et Ammed. Même s'ils restent à notre service, ils auront ainsi un peu plus d'intimité.
Quant à la cour, il comptait, si j'étais d'accord, la raccorder à la nôtre en y organisant un jardin toute saison avec quelques fruitiers.
J'accepte toutes ses propositions et le questionne sur ce qu'il se passe de l'autre côté du blockhaus chez notre nouveau voisin.
Là, les travaux seraient finis avec en copie une verrière comme la nôtre mais 2 étages plus basse.
Ça m'intrigue que l'on ne réussisse pas à savoir qui est le propriétaire !!
Coté sexe, j'ai repris mes apartés qui ne le sont plus trop vu le nombre de mecs qui participent à ceux-ci. Depuis nos virées " touristiques ", je suis le point focal des deux groupes de sportifs (arts martiaux et natation) du moins pour les plus Pd d'entre eux ! Heureusement que quelques-uns sont originaires de cet état, ça nous permet de nous retrouver en dehors de l'université. Même si nous avons trouvés des coins où nous pouvons baiser sans trop de risque de nous faire surprendre !
Les installations sportives sont nos préférées. Ce sont les vestiaires, les douches, certaines salles un peu isolées qui abritent nos turpitudes.
Ça me rappelle un peu les touzes que je faisais en France après nos séances de sport au Blockhaus. La seule différence c'est que j'entends plus " Fuck me " que " vas-y défonce moi ".
Je me fais plaisir aussi bien à défoncer les rondelles américaines qu'à me faire prendre.
Sans qu'ils soient prudes, mes partenaires étaient plutôt à baiser par deux parfois trois qu'à touzer comme des bêtes en rut ! Maintenant ce n'est plus le cas et j'ai l'impression qu'ils aiment ça.
Il n'est pas rare que je me prenne deux ou trois bites dans le cul (pas toutes en même temps !!) et que je fasse subir à autant de cul mes coups de rein. J'aime particulièrement à m'accrocher aux épaules hypertrophiées des nageurs alors que je les encule en levrette. Épaules larges associées à des tailles fines bien cambrées et de beaux fessiers ronds, que demander de plus pour bander comme un âne ? Avec les " combattants ", c'est plus hard. On ne peut s'empêcher inconsciemment de voir qui sera le " dominant " de la relation. Les embrassades sont plus rudes et les préliminaires plus musclés jusqu'à ce que l'un d'entre nous cède ou décide d'être cette fois-là le passif du moment.
Je ne suis pas le dernier à me mesurer aux autres et grâce à l'entrainement de Don j'ai le dessus quand je veux. Ce qui ne m'interdit pas de laisser couler quand je suis en manque de saillie !!
Hé, on ne se refait pas, je suis recto/verso et je prends mon pied dans toutes les relations sexuelles possibles (entre mecs).
Au tout début de mon séjour, quelques filles m'ont dragué. Je pense dans l'idée de se faire un petit français. Mais de ce côté-là je suis fidèle à Emma !! Elles ont dû se rendre à l'évidence que pour moi c'était mecs uniquement.
Un des derniers plans a eu lieu dans une des salles de sport du campus. Un des fighters nous a emmenés dans une salle de boxe et nous avons pu baiser sur le ring. Les cordes et les 4 coins ont bien servis à soutenir les corps en train de se faire défoncer. Je pense que ces installations n'avaient encore jamais vu ça depuis leurs installations.
Je me souviens m'être fait défoncer par un nageur alors que je me tenais, les jambes écartées et les bras accrochés autour d'un sac de sable, alors qu'un autre des mecs me pompait la bite. Chaque coup de rein qui enfonçait la belle queue de mon assaillant au fond de mon trou, faisait progresser mon gland derrière la glotte de mon pompeur. A nos côtés, les couples, trio ou plus ne se retenaient pas de bruits significatifs.
Nous avons été tellement discrets qu'à un moment j'ai vu la tête de l'entraineur principal des sports de combats passer la tête par une des portes. Trop emporté par mon plaisir je n'ai pas réagi ni prévenu mes potes. Mais il n'est pas entré nous faire cesser. Il nous a matés quelques instants puis s'est retiré sans bruit.
Le lendemain matin je séchais un de mes cours pour aller le trouver. Avant même que je n'essaye de le convaincre de ne pas divulguer notre touze, il me dit comprendre le besoin des étudiants de se détendre et de faire tomber la pression que les études peuvent produire. Il ajoute que nous devrions les prochaines fois prendre soin de bloquer les issues, tous les encadrants n'ayant pas la même tolérance envers nos pratiques, même si nous étions en Californie.
Jardinier
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Journal
Il y a 20 ans, tout commençait entre nous. Nous nous sommes connus sur un site de discussion, comme il y en avait beaucoup au début des années 2000. J'étais en vacances dans le sud et nous avons dialogué jusqu'à mon retour en Normandie. Mon divorce venait tout juste d'être prononcé. Nous nous sommes rencontrés au début du mois d'aout et cela a tout de suite fonctionné entre nous. Mais ce mois ci, il y avait les jeux olympiques et ta passion pour le sport est passé avant ton envie de me voir. Vexée, je t'ai dis que je préférais qu'on en reste là. Le 29 aout, tu m'as envoyé un message pour me souhaiter ma fête et le dialogue a reprit. Tu es venu me voir le 6 septembre et nous ne nous sommes plus jamais quitté. Les premiers mois ont été superbes. Nous sortions beaucoup, tu m'emmenais faire des choses que je n'avais jamais faites comme voir un concert d'artiste que je ne connaissais pas (Mes souliers sont rouges) aller à La nuit du Zapping au Zenith de Caen, ou voir des matchs de Hockey sur glace. Nous aimons les choses simples alors nous faisions des pique niques en bord de mer, avec juste du pain et du camembert. Nous allions aussi dans pas mal de restaurant découvrir la cuisine du monde. Et comme je vivais toujours sous le même toit que mon ex-mari, nous allions dormir à l'hotel régulièrement. Tu prévoyais toujours une surprise. Un soir, je suis arrivée après toi et tu avais pavé le couloir de l'hotel de pétales de roses, jusqu'à la chambre ou je devais te retrouver. Quelques mois plus tard, j'ai emménagé dans ta ville, dans la même rue. Mais comme mes 3 enfants vivaient avec moi et que toi, tu n'avais jamais eu d'enfant, nous avons préféré garder chacun notre appartement au cas où. En 2007, nous avons eu notre fils mais nous avons tout de même conserver nos appartements. La naissance de notre fils a changé beaucoup de chose dans notre couple et 3 ans plus tard, afin d'éviter la rupture, nous avons pris la décision de nous laisser la liberté de vivre d'autres choses. Nous avons vécu ainsi quelques années. En 2020, mes 3 premiers enfants étant partis de la maison et le confinement arrivant, tu es venu t'installer chez moi. Nous avons continuer à faire chambre à part. De toute façon, il y avait déjà quelques années qu'il n'y avait plus de relation sexuelles entre nous. Nous sommes des amis, des parents mais plus des amants et probablement plus des amoureux. Nous aimons la façon de vivre de l'autre, le calme, la tranquillité et l'âge venant, nous avons décidé de nous marier, pour mettre à l'abri celui de nous deux qui restera en vie le plus longtemps. Demain, je porterai ton nom. Même si nous sommes très différents dans nos gouts et nos passions, nous en avons une qui nous lie depuis près de 18 ans, notre fils ! Je sais, parce que tu me l'a prouvé, qu'en cas de coup dur, mes enfants et moi nous pouvons compter sur toi. Désormais, nous avons un petit-fils qui, même s'il est le fils de mon fils t'appelle Papi et se moque bien qu'il n'y ait pas de lien du sang entre vous. Alors oui, il me manque la tendresse, la passion, l'amour, les mots doux, les compliments, les câlins, la sensualité, le sexe, la séduction, les projets, les voyages à deux et tout ce qui se rattache au sentiment amoureux. Mais je sais à quel point les sentiments sont éphémères. On dit "Marriage plus vieux (et non pas pluvieux) mariage heureux" parce que justement, on a souvent fait une croix sur la folie de la passion que recherche encore les plus jeunes. Ce qui est important désormais, c'est la stabilité et la confiance et cela, tu me l'apporte jour après jour depuis 20 ans. Merci d'avoir pris soins de moi et de mes enfants. Merci d'être l'homme que tu es, avec tes qualités et tes défauts. Demain, ce sera OUI, pour le meilleur et pour le pire, jusqu'à ce que la mort nous sépare.
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"Un autre problème : la catastrophique éducation scolaire chrétienne, y compris la soi-disant école privée hors-contrat (comme si cela garantissait quoi que ce soit) tenue par importantes dondons hurleuses et petits précieux efféminés, entièrement débilitante, républicaine, africaine, gaffeuse, inoffensive. Autoritaire mais par procédé, sans le tact que confère un vécu sensible (chose que les enfants même jeunes perçoivent très bien chez les adultes qui leur parlent). Bienveillante, mais maternante et castratrice et toujours nimbée de la lâche crainte du jugement des mères, seules véritables directrices (par proxy) des écoles tratras, les désastreuses mères quadras démusclées à tennis violettes en plastique étouffant des soupirs de porteur d'eau même pour monter dans la voiture. L'éducation chrétienne actuelle même très-très-tratra est une manière de se raconter des histoires entre administrateurs "membres du haut conseil" chevaliers de la dînette compl��tement cocufiés et féminisés. Ils ont trop lu, trop ressassé le moyen-âge, trop visité de monastères détruits en s'extasiant sur le plan alors que la guide devant eux a des faux-cils, des faux ongles, des faux seins. Ils ne voient jamais ces faux-culs le concret des choses.
[...] Quel être physique reste-t-il dans un enfant après formation religieuse par animatrice pastorale ? Quelle force, quel rapport au monde, quel nécessaire fanatisme, quelle énergie, quelle estime de soi, quelle certitude métaphysique peut-il rester à un garçon après s'être fait inculqué la déférence envers une dame dont la place sociale est en elle-même une usurpation? La réponse arrive 10 ans plus tard lors des premières confrontations physiques avec la racaille et avec la gent féminine amatrice de racaille. Ce jour-là il n'y a plus l'animatrice pastorale "dame respectée" pour rendre des comptes sur les résultats de sa formation. Mais "elle était très gentille madame Lebrouneux hein?" Nous avons grandi sous propagande contre les pères, désignés comme alcooliques, abusifs, frappeurs à coup de ceinture. Nous n'avons jamais rien vu de tel dans les faits nulle part en 18 ans de salle d'attente de l'âge adulte. Nous n'avons vu partout et toujours dans les familles françaises que la mère abusive, la mère mauvaise, la mère indigne, la mère déshonorante, la mère hurleuse, la mère dégueulasse de manœuvres, la mère cinglée profiteuse destructrice effroyable et qui se fout absolument des conséquences de ses actes, entièrement protégée par les tribunaux et célébrée par les médias.
Mais les choses les plus sérieuses en matière d'éducation commencent exactement lorsque l'éducation scolaire vient de finir et que l'enfant doit faire sa place dans un monde qui lui est soit indifférent soit hostile. Toutes ces écoles à la con soi-disant tratra forment des intellectuels sur le modèle franc-maçon vieux de 150 ans le plus inepte imaginable, quand la seule voie porteuse, tracée par Thomas Arnold, consiste à forger le caractère dans une stricte séparation garçons/filles, loin des désastreuses mères surtout, dans une ascèse de Grec ancien, dans une apologie absolue de la Providence, de la génération de famille nombreuse, de la xénélasie et de l'excellence, dans le chant, le sport, le discernement professionnel dès 13 ans, dans la mise à l'épreuve par "devoirs" comme dans la scène du Starbucks dans Fight Club. Forger le caractère consiste à faire coïncider le tempérament personnel de l'enfant avec la Tradition : la Nature lui a donné de naître et de vivre, la Tradition lui donnera de bien vivre. En l'état actuel des choses qu'iront faire ces pauvres gamins une fois leur éducation finie, une fois au pied du mur pour "choisir des études" après des années de crétinisation sous maîtresses et chapons ? À votre avis quelle est l'espérance de vie de l'âme d'un garçon de 18 ans logé en résidence étudiante d'une ville lointaine pour y "faire une école de commerce"? Et d'une fille ?"
Lounès Darbois, août 2023.
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Le séjour d’Anne Hidalgo, maire socialiste de Paris, en Polynésie française entre octobre et novembre 2023, continue de faire des vagues. À une facture déjà jugée onéreuse pour les contribuables parisiens de 59 500 euros d’argent public, s’ajoute une dépense inattendue : un hors forfait téléphonique de 30 000 euros. Cette somme, prise en charge par la Ville de Paris, résulterait d’une négligence technique. Selon les informations publiées par Le Canard Enchaîné, la maire aurait utilisé son téléphone comme si elle se trouvait encore à Paris, sans anticiper les besoins d’un forfait adapté aux communications depuis Tahiti. Du 16 au 22 octobre, elle s’était rendue en Nouvelle-Calédonie puis à Tahiti, accompagnée de cinq personnes, dont ses adjoints aux sports et aux outre-mer, pour, notamment, approfondir les relations culturelles avec ces territoires ultramarins et visiter le site de surf de Teahupo’o à Tahiti, dans le cadre de la préparation des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024. Une plage qu’elle n’a finalement pas foulée car la visite avait été décalée d’une journée… Trop tard pour l’élue, qui avait déjà pris son billet d’avion pour rendre visite à sa fille, durant les quinze jours suivants, à titre privé cette fois, sur l’île de Raiatea, située à quarante-cinq minutes de Tahiti.
Allo! Ah, ah, je rigole!! Alors les bobos, payez, payez...! contents de vous être fait mettre bien profond :
Bien fait pour la gueule des électeurs parigots, connards socialistes, macronards , escrolos et autres insoumis qui votent pour ces vermines...
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J’ai honte!
Ce matin, dans mon lit, je crois que j’ai poussé un petit cri en me réveillant, une drôle de sensation entre les jambes, et surtout, une petite flaque sur mes cuisses et sur les draps. Ce n’est pas du pipi, c’est un peu collant. Mon zizi est encore un peu dur. J’espère que maman ne va pas voir la tâche sur mes draps.
Je me lève, il y a école aujourd’hui. Depuis la rentrée, je suis au collège, tout neuf, plusieurs bâtiments tout rectangulaires de trois étages, bleu et blanc.
Maman a acheté du Nesquik pour mon petit déjeuner, avant c’était toujours du Van Houten, je crois que je préférais avant. Trois tartines beurrées et de la confiture de fraises. Un coup de brosse à dents rapide, car j’aime pas trop ça et direction le garage pour sortir le mini-vélo que papa a rafistolé après l’avoir récupéré chez ma grand mère.
Dans mon sac à dos en cuir, il y a mes cahiers, livres et trousses. Au collège, on fait des mathématiques modernes, je n’aime pas du tout ça, alors que j’aime bien le calcul mental, mais ça n’a rien à voir. Je crois que je n’aime pas l’école, car je n’attends qu’une chose, la récréation.
Là je sors mon tac-tac, un nouveau jeu où il faut taper deux boules, mais on se détruit les poignets avec. C’est aussi la première année où je suis en classe avec des filles. Devant moi, il y a Véronique, elle est heureuse, ça fait une semaine qu’elle met un soutien-gorge, comme mes sœurs.
À midi, je repars manger à la maison. Il reste du poulet du dimanche.
Puis retour à l’école. Sport cet après-midi. Course sur le stade et grimper à la corde. Je suis nul à ça.
Papa a acheté une nouvelle voiture, une Simca 1100. Maman râle parce qu’il ne fait que de rouler avec et l’essence coûte cher. Moi ça me fait rire. La R8, c’est l’abruti qui traîne avec ma sœur qui l’a achetée.
Le soir après le supplice des devoirs, on va faire les fous avec Patrick et Thierry en vélo dans les chemins de la forêt. Évidemment, je rentre sale comme un cochon, il va falloir passer du temps à se débarbouiller dans l’évier de la cuisine, et subir les moqueries des frangines. On a le droit de prendre un bain que le samedi.
Après le dîner, j’ai pas le droit de regarder la télé, à part le samedi. A 9 heures, direction la chambre que je partage avec ma sœur la plus jeune, mais qui a le droit de se coucher plus tard.
J’entends PopCorn à la télé, c’est chouette cette musique. Je sors le catalogue de la redoute que j’ai caché dans mon armoire pour regarder les femmes en soutien-gorge et culotte. Ça me fait durcir le zizi. C’est drôle, parce que quand je vois maman en soutien-gorge, ça fait pas pareil.
La tâche sur les draps à séché, c’est tout raide maintenant, on dirait une carte. Maman a rien dit, elle a pas dû la voir en faisant le lit. Mais j’aimais bien la sensation que ça m’a fait, j’aimerais bien que ça recommence demain matin ou même ce soir... Peut-être que je deviens grand! On est quand même en 1972.
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La lettre T
Tache
Désigne une personne qui impose sa présence, qui importune.
Taleur
Contraction de "toute à l'heure"
Tanner
Synonyme de "fatiguer" ou "agacer". Être tanné, c'est être agacé.
Tannant
-> décrire une personne turbulente, qui dérange les autres, qui les importune.
-> peut aussi posséder une connotation affectueuse. Nous parlons alors d’une personne espiègle, sans malice.
Tantôt
-> (à): À bientôt, à tout à l'heure
-> (un autre): Une prochaine fois, plus tard
Taouin
Imbécile, idiot
Taponner
-> Perdre son temps, hésiter
-> Tâter
Tataouiner
Tergiverser inutilement
Tiguidou
Très bien, c'est super, tout va bien, c'est excellent
Tiraillage
Querelle, dispute, accrochage
Toton
-> Idiot
-> Sein (version québécoise de « nichon »)
Toune
Chanson
Tourlou
Au revoir. Peut aussi vouloir dire bonjour, mais c'est plus rare
Traffic
Circulation
Traite (payer la)
S'offrir ou offrir des plaisirs
Exemple: Quand j'ai vu Carole je lui ai fait des tas de calins, j'me suis payée la traite!
Trâlée
Longue suite, grand nombre de personnes ou de choses, multitude
Trente sous
Une pièce de 0.25$
Triper
Éprouver un vif plaisir, kiffer
Truck (avoir son)
En avoir marre
Tsé
Contraction de "tu sais"
Tuque
Bonnet
Turlute
Une forme d'expression musicale folklorique qui consiste à chanter des onomatopées sur des airs traditionnels de violon.
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Expressions
Ti-Joe Connaissant
Prétentieux
Tirer la couverte de son bord
S'approprier des avantages au détriment des autres, prendre plus que sa juste part.
Ton chien est mort
Ne plusa voir de chance, plus d'espoir, être condamné à l'échec
Tour du chapeau
Marquer 3 buts dans un match (sport)
Tourner les coins ronds
Prendre des racourcis ou faire les choses de manière rapide ou peu couteuse en sacrifant la qualité ou la sécurité
Tu t'en vas où avec tes skis?
Façon très rude de demander à quelqu'un ce qu'elle fait ou de lui faire savoir que ses actions sont absurdes.
Les déclinaisons d'expressions avec le mot "tomber"
Tomber dans l'oeil
Plaire à quelqu'un. Taper dans l'oeil
Tomber dans la face de quelqu'un
Agresser verbalement quelqu'un, l'insulter
Tomber en amour
Devenir amoureux
Tomber en bas de sa chaise
Grande surprise, étonnement, tomber à la renverse, tomber des nues
Tomber sur les nerfs/la rate/le système
Énerver quelqu'un, l'exaspérer
Pour les plus courageux, je vous invite à tenter une autre chanson à turlute niveau expert 🤣
youtube
Et voici les paroles (pcq oui elle dit des mots ^^)
https://moniquejutras.com/wp-content/uploads/2017/11/TurluteDesLittleDelisleParolesCompletes.pdf
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Découvert !
Je vais vous partager ici un moment intime qui m'a attiré des moqueries et de l'incompréhension...
J'étais étudiant, j'avais mon logement, et depuis maintenant plusieurs années, je m'achetais mes culottes. Elles étaient féminines, avec de la dentelle, du satin... et je les portais au quotidien. J'avais pris soin aussi de m'acheter un lot de "Sloggi" pas trop féminines que je portais pour faire du sport.
J'allais de temps en temps à la piscine avec les copains et cela ne me posait pas de problème, je trouvais toujours une cabine individuelle pour me changer en toute discrétion.
Sauf, qu'une fois, je ne sais plus pour quelle raison, les cabines n'étaient pas disponibles et il m'a fallu partager les vestiaires collectifs.
Pour le déshabillage, j'ai réussi à me faire discret, prétextant avoir perdu mes clefs à l'accueil, je me suis changé lorsque les autres avaient quitté le vestiaire.
Lors de notre retour du bain, il n'en a pas été de même. J'ai tenté tant bien que mal d'enfiler discrètement ma culotte en me cachant sous ma serviette. Mais elle est tombée ! J'étais de dos, en culotte blanche et je priais pour que personne ne remarque le petit décors de la ceinture.
Trop tard !
Un des garçons a dit tout haut : "Mais ! C'est un slip de fille ! Ma sœur a les mêmes !"
J'ai tenté de me justifier, dire que je m'étais trompé de tiroir avec ma copine du moment... Rien n'y a fait. J'ai été le sujet de toutes les moqueries possibles.
Depuis ce jour là, j'ai changé de copains car aucun ne m'a compris, et je ne suis plus jamais retourné à la piscine sans m'assurer de la disponibilité des cabines.
**************************************************
DISCOVERED !
I'm going to share with you here an intimate moment that attracted mockery and incomprehension…
I was a student, I had my accommodation, and for several years now, I had been buying my underwear. They were feminine, with lace, satin… and I wore them every day. I also took care to buy myself a set of not-too-feminine “Sloggi” that I wore when doing sports.
I went to the swimming pool with friends from time to time and that didn't pose a problem for me, I always found an individual cabin to change in complete discretion.
Except, once, I don't remember why, the cabins were not available and I had to share the collective changing rooms.
When undressing, I managed to be discreet, pretending to have lost my keys at reception, I changed when the others had left the locker room.
When we returned from the bath, it was not the same. I tried as best I could to discreetly put on my panties by hiding under my towel. But she fell! I was facing away, in white panties and I prayed that no one would notice the little decoration on the belt.
Too late !
One of the boys said out loud: "But! Those are girls' underwear! My sister has the same ones!"
I tried to justify myself, to say that I had gone to the wrong drawer with my current girlfriend… Nothing worked. I was the subject of every possible mockery.
Since that day, I changed friends because none of them understood me, and I never went back to the pool without checking that the cabins were available.
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Nous sommes en juillet 2024, et les Jeux Olympiques de Paris battent leur plein. La ville lumière est un melting-pot de cultures et de célébrations, accueillant des millions de visiteurs du monde entier. Mais derrière les festivités, une ombre inquiétante plane. Le député britannique Andrew Bridgen, lors d'une réunion secrète au Parlement, apprend l’existence d’un complot d'une portée inédite. Un groupe de conspirateurs au sein de l'OTAN élabore un plan diabolique pour orchestrer une attaque sous faux drapeau pendant les Jeux. Leur objectif est de faire exploser une bombe nucléaire au cœur de Paris, en accusant la Russie de l’attaque. Cette explosion serait un prétexte pour déclencher une intervention militaire massive contre la Russie, justifiée par la défense de l’Europe. L'attentat est minutieusement planifié pour se produire lors de la cérémonie de clôture, un moment où les yeux du monde entier seront rivés sur la capitale française. Alors que la date fatidique approche, Andrew Bridgen, rongé par l’angoisse, décide de révéler la vérité. Il contacte un journaliste de confiance et lui remet des documents confidentiels prouvant l’existence du complot. Le journaliste, à la recherche de la vérité, commence à enquêter, mais il est rapidement poursuivi par des agents des services secrets qui veulent étouffer l’affaire. À Paris, la tension monte alors que les autorités mettent en place des mesures de sécurité sans précédent pour les Jeux. Des indices commencent à émerger, mais ils sont immédiatement dissimulés ou dénigrés comme étant des théories du complot. La panique commence à s’emparer de la population lorsque des rumeurs d’une attaque nucléaire se répandent. Le jour de la cérémonie de clôture arrive 11 août 2024. La ville est en effervescence, les athlètes et les spectateurs se préparent pour un moment historique, inconscients du danger qui les guette. Tandis que la bombe est secrètement transportée à travers Paris, Andrew et le journaliste se lancent dans une course contre la montre pour exposer la vérité. Ils doivent faire face à des poursuites effrénées, des trahisons et des obstacles presque insurmontables. Finalement, alors que la bombe est sur le point d’être déclenchée, Andrew et le journaliste parviennent à pénétrer dans la zone de sécurité. Dans une confrontation dramatique, ils parviennent à révéler l'existence de la bombe aux autorités à la dernière seconde. Mais il est trop tard. L'explosion retentit, semant la panique et la désolation dans la capitale française. Les radiations se propagent, plongeant Paris et le monde entier dans un chaos sans précédent. Dans un contexte de panique mondiale après l'explosion, tout le monde crie au complot. Les médias et les réseaux sociaux sont saturés de théories accusant les gouvernements et les agences internationales de manipulation. Les fact-checkeurs démentent ces rumeurs, les qualifiant de pure fantaisie et de paranoïa infondée. Cependant, dans un retournement de situation stupéfiant, des preuves irréfutables émergent, démontrant que la conspiration était bel et bien réelle. Les démentis se révèlent alors embarrassants pour les fact-checkeurs, pris au piège de leur propre certitude. Le complot est enfin révélé, mais les ramifications politiques sont énormes. Les responsables de l’OTAN impliqués dans le complot sont arrêtés, et un débat international s'ouvre sur la transparence et la sécurité. Paris, tout en étant marquée par la catastrophe, se retrouve au centre d'une controverse mondiale sur la manipulation et la vérité. À suivre.
Les Jeux Olympiques de Paris 2024 seront le plus grand événement jamais organisé en France. Ils se tiendront du 26 juillet au 11 août 2024, durant 16 jours hors du temps pendant lesquels Paris 2024 sera le cœur du monde. Les Jeux, c’est du sport, mais tellement plus encore… Une combinaison de rendez-vous culturels, de programmation artistique, et de performances diverses qui créent une expérience unique en son genre. Les Jeux, c’est un festival populaire et multiculturel qui s’adresse au monde entier. C’est une aventure qui va embarquer la France entière pour une expérience inédite. Et Paralympiques le 13 septembre 2017
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La Première Alfa Romeo 33 Stradale Moderne Prend Vie
Un jalon important a été franchi dans le monde de l'automobile de luxe : la première Alfa Romeo 33 Stradale de l'ère moderne est désormais prête à être livrée à son heureux propriétaire. Cet événement marque l'aboutissement d'un projet ambitieux, mené à bien dans un délai remarquablement court.
La date du 17 décembre revêt une signification particulière. Ce jour commémore un moment clé de l'histoire de la 33 Stradale originelle : en 1966, c'est à cette même date que Carlo Chiti confiait à Franco Scaglione la mission de concevoir la carrosserie de ce qui allait devenir une légende. Aujourd'hui, 58 ans plus tard, l'histoire se répète avec la finalisation du premier exemplaire de la nouvelle génération.
Le premier acquéreur de cette 33 Stradale nouvelle génération, membre d'un cercle exclusif, le Club 33, s'est impliqué dans le projet dès son annonce officielle lors du Grand Prix d'Italie de Formule 1 à Monza en 2022. Depuis lors, il a collaboré étroitement avec la Bottega Alfa Romeo pour personnaliser sa voiture, la transformant en une pièce véritablement unique.
La réalisation de cette première voiture symbolise le retour d'Alfa Romeo sur le marché des automobiles sur mesure, un domaine où l'artisanat italien et l'élégance transparaissent. Cette renaissance rend hommage à l'héritage d'un modèle emblématique qui continue de fasciner les amateurs de voitures de sport et de design intemporel.
Limitée à une production de seulement 33 exemplaires, cette nouvelle interprétation du coupé deux places allie harmonieusement tradition et innovation. Chaque véhicule est une œuvre d'art roulante, façonnée selon des méthodes artisanales qui intègrent des technologies de pointe et une personnalisation poussée, répondant aux exigences spécifiques de chaque client. L'objectif est clair : offrir une expérience de conduite inégalée tout en préservant l'aura de cette icône automobile pour un public privilégié.
Le premier propriétaire, un membre du prestigieux Club 33, a suivi le développement du projet depuis son annonce. Par respect pour la confidentialité, aucune information personnelle ni aucun détail concernant la configuration de son véhicule ne seront divulgués. Dès l'annonce, un dialogue constant s'est instauré entre le client et l'équipe d'Alfa Romeo, à travers des rencontres virtuelles et des échanges en personne, afin de définir chaque aspect de la personnalisation.
La Bottega Alfa Romeo, un espace créatif où designers, ingénieurs et historiens de la marque travaillent en étroite collaboration avec les acheteurs, a vu naître cette nouvelle 33 Stradale. Cette approche rappelle les ateliers artisanaux de la Renaissance et les ateliers de carrosserie italiens du XXe siècle, où Alfa Romeo a créé ses chefs-d'œuvre en partenariat avec des maisons de renom, dont la Carrozzeria Touring Superleggera, qui a marqué l'histoire avec certaines des plus belles Alfa Romeo et qui joue aujourd'hui un rôle crucial dans la production de cette nouvelle 33 Stradale.
La 33 Stradale se présente ainsi comme un véritable manifeste du savoir-faire d'Alfa Romeo, conjuguant style et performances exceptionnelles. Plus qu'une simple voiture, elle se positionne comme une source d'inspiration pour les futurs modèles de la marque italienne, tout en rendant un vibrant hommage à son passé glorieux.
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Eleventh Gear (FR)
(This is a French version - for @sashley1912 who’s under the weather recently. The original can be found just below this)
Ce que vous êtes sur le point de voir est l'épisode pilote de Tom's Eleventh Gear, l'émission de sport automobile la plus absurde jamais conçue, qui se déroule dans le chaos glorieux de 2018.
Tom a rencontré pour la première fois son « ami » nord-américain, Powder, en 2017. Leur partenariat a rapidement dégénéré en chaos lorsque Tom a développé une double obsession pour les voitures et la musique plus tard cette année-là. Au même moment, il faisait des vagues avec le groupe de mascottes le plus emblématique du Brésil, Divertidos por Natureza. Parce que, naturellement, il y a toujours de la place pour les hymnes rock et les quêtes secondaires ridicules dans le monde de Tom.
L'idée d'une émission de sport automobile est venue environ un mois après que Tom ait commencé à prendre des cours de conduite, un processus qu'il ignorait systématiquement. Confiant dans ses compétences pas si solides, il a décidé de se tester en conduisant Vinicius (oui, la mascotte des Jeux olympiques de Rio) de leur maison dans la forêt de Tijuca au stade olympique Nilton Santos. Les choses ont mal tourné comme prévu. En chemin, Tom a réussi à percuter le panneau de signalisation de la rue Vinicius de Moraes.
Mais au lieu d'avoir honte, Tom a eu une révélation : « Et si je créais une émission de sport automobile... et que je la rendais stupide ? » Et c'est ainsi que la folie a commencé.
En 2019, la série a été reprise par une chaîne de télévision locale, devenant un succès culte instantané. Ce que Tom ne savait pas, cependant, c'est que Powder est partie en secret à la fin de 2019 pour poursuivre une carrière de scientifique en Arizona. En son absence, elle avait créé une série de clones génétiquement modifiés pour la remplacer dans l'émission. Tom, inconscient comme toujours, n'a jamais remarqué le changement.
Soyons clairs : cette émission de sport automobile est plus que ridicule. Vous ne devez en aucun cas tenter l'une des cascades que vous voyez ici, même pas avec des professionnels. Nous déclinons toute responsabilité pour votre stupidité.
N'oubliez pas : Tom est un idiot adorable, et Powder, que ce soit en personne ou sous forme de clone, a toujours été la plus intelligente. Attachez vos ceintures.
Ouah ! Bonjour à tous ! Bienvenue au CRAZEE BONKERZ MOTORSPORT SHOW !!! Le spectacle le plus ÉPIQUE qui implique un moteur enveloppé dans une feuille d'aluminium ! Cette semaine, nous allons mettre à l'épreuve tout ce qui touche au sport automobile ! Combien de machines à glace fonctionnelles pouvons-nous trouver jusqu'à ce que le carburant s'épuise ? Restez à l'écoute pour le savoir !
Défi de haut-parleurs fous et fous !
Alors, Swifty (c'est Powder, mais je l'appelle Swifty parce que ça la rend FOLLE et c'est DRÔLE) et moi, Tom, votre beau narrateur, venons de nous acheter un Toyota Land Cruiser Prado 2011. Pourquoi ? PARCE QUE NOUS LE POUVONS. Et ce bébé a des FONCTIONS. Comme... un HAUT-PARLEUR. Au singulier. Une véritable merveille d'ingénierie.
Maintenant, moi, le génie que je suis, j'ai eu une pensée révolutionnaire : et si nous faisions exploser la musique à plein volume ? Pourrions-nous, oh, je ne sais pas, FAIRE EXPLOSER LA VOITURE ??? Une expérience scientifique était NÉE.
Swifty, dans son infinie laideur, dit : « Jouons cette chanson de Rick dont tout le monde parle. » Et moi, supérieur à tous égards, j'ai crié : « OUI. 'THE CUP OF LIFE' DE RICKY MARTIN. ALLEZ, ALLEZ, ALLEZ ! » Swifty a accepté à contrecœur parce que, soyons honnêtes, je suis trop chaud pour discuter avec lui.
J’ai donc sorti mon ancien mais emblématique Samsung Galaxy Note 7 (un appareil de légende, LITTÉRALEMENT EXPLOSIF) et j’ai mis en marche le chef-d’œuvre de Ricky Martin. Nous avons poussé le volume au MAXIMUM dans la nouvelle voiture de Swifty. Le son ? BOMBASSANT. Nos tympans ? BRISÉS. Nos voisins ? HORRIFIÉS.
Et puis – BOOM ! – la voiture s’est transformée en une boule de feu métallique de pur carnage !!! Des éclats d’obus ont jailli majestueusement dans les airs, oblitérant la façade du stade. Les gens ont crié. Quelqu’un a probablement pleuré. C’était de l’ART.
Et voilà le hic : Swifty a essayé de me faire porter le chapeau du désastre. Vous le croyez ? MOI. Je lui ai ri au nez parce que, de toute évidence, c’était sa voiture. Elle est maintenant endettée, et je suis toujours diablement beau. La science RÈGNE.
Défi de remorquage de voiture fou et bon !
Nous y étions, quelques minutes après que la première voiture de Swifty, une Toyota Land Cruiser Prado 2011, soit tombée en panne avec un véritable bang, grâce à mon expérience scientifique révolutionnaire. Elle faisait toujours les cent pas, hurlant des choses comme : « Je ne peux pas te CROIRE ! » et « C’est pour ça que personne ne te fait confiance, Tom ! » Et moi ? Je me suis demandé quelle était la meilleure façon de détendre l’atmosphère ? Évidemment, en faisant une autre farce.
Sa voiture flambant neuve, une Honda Civic 2006 équipée de la mort thermique de l’univers, était là, ne demandant qu’à être remorquée. Et qui de mieux pour m’aider avec ce chef-d’œuvre que Sam l’aigle ? Parce que rien ne dit mieux le « patriotisme chaotique » qu’un oiseau de proie avec une dépanneuse.
« Sam, j’ai besoin d’une faveur », ai-je dit en l’appelant.
« Pour la liberté, la justice et le mode de vie américain, je vais aider ! » Sam a poussé un cri de joie en s'arrêtant dans sa magnifique dépanneuse étoilée.
Pendant que Swifty était à l'intérieur du magasin, toujours en train de discuter avec les mécaniciens (« EN QUOI EST-CE MA FAUTE ?! PARLE À TOM ! »), Sam et moi avons attelé sa voiture avec une précision militaire. « C'est un acte d'héroïsme », a-t-il déclaré, alors que nous foncions avec sa nouvelle voiture en remorque.
Nous l'avons garée derrière un entrepôt douteux, couvert de graffitis - l'endroit le moins américain que Sam pouvait tolérer - et je lui ai envoyé un petit message :
Moi : « Hé, euh, ta voiture n'est pas en danger ou quoi que ce soit... probablement. »
L'explosion de rage qui a suivi était meilleure qu'un feu d'artifice. Swifty est sortie en trombe du magasin, criant déjà : « TOM, JE LE JURE DE... » et s'est arrêtée net lorsqu'elle a vu la place de parking vide.
« OÙ EST-ELLE ?! » a-t-elle crié en se retournant vers moi.
« Peut-être qu'elle... est partie ? » ai-je dit, en me retenant à peine.
« Tu es vraiment morte. »
Elle s’éloigna en trombe, marmonnant des menaces, et suivit les traces de pneus à peine visibles comme un détective en mission. Sam, toujours patriote, la salua pendant que nous attendions dans l’allée, sa voiture parfaitement déplacée. Quand elle la vit enfin, elle se figea.
« TOM. POURQUOI MA VOITURE EST-ELLE ICI ? »
Avant que je puisse répondre, une vraie dépanneuse arriva. Il s’avère qu’on ne peut pas se garer devant un entrepôt condamné. Le chauffeur ne se souciait pas de ses protestations, de sa colère ou de son langage très coloré. Il colla une amende sur son pare-brise et recommença à remorquer sa voiture.
« Attends ! NON ! Ce n’est même pas mon… TOM ! »
J’essayai de m’échapper, mais Swifty m’attrapa par le col. « Tu payes pour ça ! »
« Euh, non ? Ta voiture, ton problème », dis-je en riant en m’écartant de son emprise.
Elle a dû s'occuper de l'amende pendant que je m'échappais patriotiquement avec Sam qui criait : « Que Dieu bénisse l'Amérique ! »
FARCE RÉUSSIE. La liberté règne.
Défi fou et bonkerz dans l'Ohio !
Swifty et moi, deux idiots aventuriers qui n'avaient rien à perdre (sauf la raison), avons décidé de relever le défi ultime du courage : survivre trois minutes entières dans l'Ohio. Pour pimenter le tout, nous avons fait un pari au préalable : celui qui se dégonflerait en premier devrait payer. Payer quoi ? Peu importe.
« De l'argent facile », ai-je dit avec assurance alors que nous traversions la frontière de l'État dans notre vieille voiture de location.
« Tu sous-estimes l'Ohio », a répondu Swifty en me regardant comme si je venais d'insulter toute sa famille.
00:00: L'air a immédiatement changé. Ce n'était pas seulement du vent ; c'était un hurlement, comme si un loup et un kazoo s'étaient fusionnés en un son terrifiant. « Belle ambiance », ai-je dit. Swifty a levé les yeux au ciel.
00:30: Un type dans une chaise de jardin est passé devant nous à toute vitesse sur une fusée artisanale. « Tu as vu… » commença Swifty, mais un deuxième passa à toute vitesse, cette fois en tirant un réfrigérateur. « Non, je ne veux pas savoir », dis-je en serrant plus fort le volant.
01:00 : Le GPS commença à avoir des problèmes, affichant « Faire demi-tour » en lettres rouges en gras. « C'est réconfortant », marmonna Swifty en jetant un œil par-dessus mon épaule. La route devant moi se transforma soudain en un champ de maïs… sauf que le maïs marchait. « CE SONT DES ZOMBIES DU MAÏS ?! » hurla-t-elle.
« Reste calme », dis-je en les traversant comme si nous étions dans un jeu d'arcade. « Ce ne sont que… des habitants excentriques de l'Ohio. »
01:45 : Un panneau se profila devant nous : « BIENVENUE DANS L'INCONNU. VEUILLEZ CRIEZ DE MANIÈRE RESPONSABLE. » Swifty déglutit bruyamment.
« Oh, quel est le pire qui pourrait arriver ? » dis-je en essayant de paraître courageux.
C'est alors qu'un homme portant un masque de citrouille est apparu sur le capot de la voiture. Swifty a poussé un cri qui aurait pu briser du verre alors que je faisais un écart sauvage, jetant Pumpkin Guy dans un fossé.
"JE DÉTESTE CET ENDROIT !" a crié Swifty, agrippant le tableau de bord.
02:30 : Le ciel est devenu vert. Un essaim de ratons laveurs chevauchant des drones est descendu du ciel, bombardant la voiture de glands. Swifty vibrait pratiquement de terreur. "Nous allons mourir, et c'est entièrement de VOTRE FAUTE !"
"Il nous reste trente secondes !" J'ai crié.
02:59 : Juste au moment où le chronomètre s'écoulait, les ratons laveurs ont disparu, le champ de maïs est redevenu asphalte et le ciel est devenu bleu. Nous avons traversé la frontière de l'État vers *Not Ohio*, et tout semblait... normal à nouveau.
Swifty a laissé échapper un souffle tremblant. "Plus jamais", a-t-elle dit en s'affaissant sur son siège.
« Tu as crié », dis-je en souriant.
« Non, je ne l’ai pas fait. »
« Si, tu l’as fait. Là-bas. Le type citrouille. »
« Ça ne compte pas ! » s’exclama-t-elle, mais son visage la trahit.
« Paye », dis-je en souriant jusqu’aux oreilles.
Elle gémit et enfouit son visage dans ses mains. Ohio : 1, Swifty : 0. Défi terminé.
Crazee bonkerz donne des pourboires aux gens au défi Maracana !!!
Quand Swifty a suggéré que nous organisions un « Crazee Bonkerz Challenge » pendant que nous traînions à Rio, elle a eu l’idée folle d’en faire un sur le sport automobile.
« Le sport automobile ? Près du Maracanã ? Qu’est-ce que ça veut dire ? » ai-je ricané. « On ne fait pas ça. C’est ennuyeux. »
« Très bien », a dit Swifty en croisant les bras. « Quelle est ta grande idée alors ? »
« On donne des pourboires aux gens », ai-je annoncé en souriant.
Swifty a cligné des yeux. « Genre… les pousser ? »
« Non, non. On leur donne de l’argent sans raison. »
« Pourquoi ? »
« Parce que je ne m’intéresse pas au sport automobile », ai-je répondu en haussant les épaules. Et c’est ainsi qu’est né le défi Crazee Bonkerz « Donner des pourboires aux gens près du Maracanã ». Nous avons fait un pari, bien sûr : le perdant paie, sans poser de questions.
Alerte spoiler : Swifty a perdu. Encore une fois.
Le départ : Armés d'une poche pleine d'argent (et d'un manque total de bon sens), nous nous sommes garés devant le Maracanã, où la foule se rassemblait pour un grand match de football. L'ambiance était électrique - des maillots du Brésil partout, de la musique de samba à fond, des vendeurs de churros criant des offres - c'était l'endroit idéal pour déchaîner notre folie.
Premier tour : le vendeur de churros
J'ai commencé en marchant vers un vendeur de churros et en posant un billet de 20 R$ sur son chariot. « Pour toi, amigo », ai-je dit, rayonnant.
« Obrigado ! » a-t-il répondu, confus mais heureux.
Swifty a levé les yeux au ciel. « C'est tout ? »
« Ton tour », ai-je dit en souriant.
Elle s'est approchée d'un gars qui vendait du pop-corn. « Tiens, prends ça », a-t-elle marmonné en lui tendant de l'argent.
« Pourquoi ? » a-t-il demandé avec méfiance.
« Parce que je suis gentil ! » a rétorqué Swifty en s'éloignant à grands pas.
J'ai ri. « Waouh, quelle générosité. »
Deuxième round : les fans de foot
Ensuite, j'ai repéré un groupe de fans de Flamengo qui chantaient à tue-tête. Je me suis approché, j'ai tendu de l'argent à l'un d'eux et j'ai dit : « C'est pour chanter faux. »
Le gars a ri et l'a pris en me tapant dans le dos. « Valeu, frère ! »
Swifty, quant à elle, a choisi un enfant qui jonglait avec un ballon de foot. Elle lui a tendu quelques notes et a dit : « Tu es meilleur que, euh… Ronaldo. » (Ronaldo de Lima, pas Cristiano)
L'enfant la regardait, les yeux écarquillés. « Vraiment ?! »
« Non », a-t-elle marmonné en revenant.
Troisième round : L'artiste de rue
Pour la grande finale, j'ai trouvé un gars déguisé en perroquet, qui distribuait des tracts sur des échasses. Sans hésiter, je lui ai glissé de l'argent. « C'est pour ton courage », ai-je dit solennellement.
« Obrigado ! » "C'est bizarre", marmonna-t-il en faisant une petite danse sur échasses. La foule applaudit.
Swifty, désespérée de ne pas perdre, essaya de donner un pourboire à un vendeur de hot-dogs. "Tiens, prends ça", dit-elle.
Le type la regarda d'un air absent. "Tu n'achètes rien ?"
"Non, prends-le !"
"... Bizarre", marmonna-t-il en empochant l'argent.
Les conséquences : lorsque le temps imparti expira, je déclarai victoire.
"Comment ?!" demanda Swifty.
"Facile. J'ai donné un pourboire avec style. Tu as donné un pourboire maladroitement", dis-je, les bras croisés.
"Ça n'a même pas de sens !"
"Ça n'a pas d'importance. Tu as perdu."
"Ugh, je déteste ça", gémit-elle en sortant à contrecœur son portefeuille pour payer le pari.
Et moi ? J'ai fait signe au Maracanã au loin, me sentant comme un roi. Le sport automobile ? Toujours sans importance. Défi terminé.
Crazee bonkerz fait exploser des voitures avec le défi SPEED !
Nous étions donc là, toujours en train de nous remettre de notre dernière escapade (et le compte en banque de Swifty déjà en train de boiter à cause de toutes ses pertes), quand j'ai eu une idée incroyable.
"Swifty", dis-je, m'appuyant nonchalamment contre sa fierté et sa joie - une Honda Civic 2006 qui, pour une raison quelconque, était équipée de la mort thermique de l'univers. (Ne demandez pas pourquoi. Acceptez-le simplement.), "et si nous, euh, augmentions les choses d'un cran ? Comme... SPEED UP ?"
"Qu'est-ce que c'est censé vouloir dire ?" demanda-t-elle, louchant vers moi avec la lassitude de quelqu'un qui a perdu trop de paris.
"Je veux dire", souris-je, "nous trouvons des voitures... et les faisons exploser à grande vitesse. Métaphoriquement. Aucune victime, bien sûr."
"C'est tellement stupide", dit-elle catégoriquement.
"Alors tu es partant ?"
"... Très bien."
Et c'est ainsi que le « Blast Cars with SPEED Challenge » de Crazee Bonkerz est né. Mêmes règles : le perdant paie. Swifty n'apprend jamais.
Le montage
Armés d'une voiture télécommandée, d'une boîte de confettis, de ballons d'eau, d'un klaxon et d'une Honda Civic équipée d'un système de protection contre la chaleur dont on ne sait pas si elle est scientifiquement valable, nous avons jalonné un coin de rue très fréquenté. La victoire était inévitable (pour moi, évidemment).
Premier round : Honda Guy contre RC Car
J'ai commencé fort, en envoyant ma voiture télécommandée, équipée de feux d'artifice, sous la Honda Fit d'un inconnu au feu rouge.
Pétillant, pétillant, crépitant ! Les feux d'artifice ont projeté des étincelles inoffensives partout.
"QUOI ?!" a crié le conducteur en passant la tête par la fenêtre.
"Tu es SPEED maintenant !" ai-je crié, souriant comme un idiot alors qu'il démarrait, les pneus crissant.
Swifty est passé ensuite. Elle a essayé de viser une berline noire brillante avec un ballon d'eau, mais elle a raté sa cible et a heurté un chariot de nourriture à proximité. Le vendeur n'a pas été amusé.
"Beau coup !" dis-je en applaudissant sarcastiquement.
"Tais-toi", marmonna-t-elle.
Deuxième round : le Speedster et les pouvoirs de la Civic
Ensuite, j'ai démarré les... euh, fonctions spéciales de la Honda Civic. J'ai appuyé à fond et soudain, l'air a scintillé comme si nous venions d'ouvrir un portail vers l'entropie elle-même. Une décapotable roulant à toute vitesse sur la voie d'à côté a soudainement ralenti au ralenti, comme si le temps se courbait autour d'elle.
"SCIENCE, BÉBÉ !" criai-je par la fenêtre.
Le conducteur de la décapotable a regardé autour de lui avec confusion avant de s'éloigner à toute vitesse comme si sa vie en dépendait.
Swifty, pour ne pas être en reste, a décidé d'utiliser le klaxon à air comprimé. Elle l'a fait retentir sur un type qui faisait ronfler sa moto à un feu rouge. Le motard lui lança un regard noir, accéléra plus fort et s'éloigna sans se retourner.
« Solide effort », dis-je en souriant.
« Tais-toi », siffla-t-elle.
Troisième round : la finale
Pour la grande finale, j'ai équipé la voiture télécommandée d'une boule à facettes, d'un lanceur de confettis et d'un haut-parleur diffusant The Cup of Life de Ricky Martin. Je l'ai envoyée à toute vitesse vers une voiture garée, des feux d'artifice scintillant tandis que des confettis explosaient dans les airs.
Le conducteur, sortant d'un café, s'est figé de pure perplexité. « Qu'est-ce que c'est que ça ?! »
« UN CADEAU DE SPEED ! » criai-je en prenant une pose triomphante.
Swifty, en mode désespoir de cause, a attrapé trois ballons d'eau et les a lancés sur un camion de livraison qui passait. L'un a raté sa cible, un autre a heurté le côté du camion et le dernier a ricoché sur le toit et a atterri directement sur sa propre tête.
J'ai tellement ri que j'ai failli tomber.
Les conséquences
Lorsque le chronomètre s'est écoulé, il était clair qui avait gagné. (Spoiler : moi. Toujours moi.)
"C'était truqué !" a crié Swifty, trempée et furieuse.
"Non, tu es juste nulle en VITESSE", ai-je dit, savourant ma gloire.
"D'accord ! Peu importe. Je déteste ce jeu", a-t-elle grommelé, sortant une fois de plus son portefeuille pour payer la mise.
"Défi Crazee Bonkerz SPEED : COMPLET", ai-je déclaré, m'appuyant triomphalement contre la Honda Civic équipée pour la mort par la chaleur.
Et Swifty ? Toujours fauchée. Toujours salée. Toujours perdante.
Crazee bonkerz, le défi de trouver une machine à glaces qui fonctionne !
Quand j'ai suggéré notre prochain défi, Swifty m'a regardé comme si j'avais finalement perdu la tête.
"Vous dites", a-t-elle commencé lentement, "que nous allons faire le tour de Rio de Janeiro… à la recherche d'un McDonald's… avec une machine à glaces qui fonctionne ?"
"Exactement !", ai-je dit, débordant de confiance.
"C'est impossible", a-t-elle répondu d'un ton impassible.
"Pas avec le POUVOIR de la détermination !", ai-je déclaré, le poing levé. "Et aussi notre Honda Civic 2006 scientifiquement inexacte, équipée de la mort thermique de l'univers."
Swifty a gémi. "D'accord. Mais si je gagne, vous payez."
"Vous voulez dire si vous perdez", ai-je corrigé en souriant.
Et donc, le défi Crazee Bonkerz "Trouvez une machine à glaces qui fonctionne chez McDonald's" était LANCÉ.
McDonald's n°1 : aucun espoir ici
Nous nous sommes arrêtés au premier McDonald's. Swifty, déjà agacée, a fait irruption à l'intérieur pendant que je me penchais en arrière dans la voiture, en faisant exploser The Cup of Life.
Elle est ressortie deux minutes plus tard, la mine renfrognée.
"Alors ?" ai-je demandé.
"La machine est en panne pour maintenance", a-t-elle imité la voix de la caissière avec un ricanement.
"Classique", ai-je dit en secouant la tête. "Au suivant !"
McDonald's #2 : Mensonges et tromperies
Au deuxième arrêt, j'ai décidé d'entrer. Avec mon meilleur sourire de service client, j'ai demandé : "Salut ! Votre machine à glaces fonctionne-t-elle ?"
"Oui", a répondu gaiement la caissière.
"Super ! Je prendrai un cornet à la vanille."
Cinq minutes plus tard, on m'a remis un reçu et puis... plus rien.
"Euh, où est ma glace ?"
"Oh, désolé", a dit la caissière. "La machine vient de tomber en panne."
"QUOI ?!" ai-je crié en levant les mains.
Swifty a gloussé quand je suis revenu les mains vides.
McDonald’s #3 : L’espoir est un mensonge
A présent, Swifty était au volant, déterminée à prouver qu’elle pouvait réussir. Elle est entrée dans le McDonald’s suivant avec l’énergie de quelqu’un prêt à se battre contre un manager.
Dix minutes plus tard, elle est revenue. « Ils ont dit que la machine était en panne depuis trois semaines. »
J’ai tellement ri que j’ai failli tomber de la Civic. « Swifty, tu es maudit ! »
Elle m’a lancé un regard noir. « Je déteste ce défi. »
McDonald’s #4 : La victoire impossible
A ce stade, le moral était bas. La Civic gémissait comme si elle voulait s’arrêter, et l’humeur de Swifty était aussi brisée que celle de toutes les machines à glaces de Rio. Mais je n’abandonnais pas.
« ENCORE UNE ! » ai-je crié en claquant le tableau de bord. « Allons-y ! »
Lorsque nous sommes arrivés au McDonald's n°4, j'ai couru à l'intérieur, sans même laisser Swifty quitter la voiture.
« Dites-moi que votre machine fonctionne », ai-je supplié la caissière.
« Elle fonctionne », ont-ils répondu.
« ... Vous me mentez ? »
« Non. Que voulez-vous ? »
« Cône de glace à la VANILLE ! » ai-je crié.
Deux minutes plus tard, je suis sorti triomphalement, tenant le plus grand trésor que l'humanité ait jamais connu : un cornet de glace McDonald's.
Swifty m'a regardé, bouche bée. « Pas question. »
« Victoire ! » ai-je crié, levant le cornet haut comme une torche paralympique.
Les conséquences
De retour dans la voiture, Swifty m'a regardé fixement pendant que je savourais chaque bouchée de ce cornet.
« Vous ne m'avez même pas laissé une chance de gagner », a-t-elle grommelé.
« Vous pouvez revenir et essayer », ai-je proposé.
« Oubliez ça », a-t-elle dit en croisant les bras.
« Oh, et à propos du pari… » commençai-je.
« JE SAIS », dit-elle sèchement, sortant son portefeuille pour payer encore une fois.
Une autre victoire pour Tom. Une autre défaite pour Swifty. Et un cône glorieux pour les dominer tous.
Défi terminé.
Défi final de Crazee Bonkerz en mode free-for-all !
Swifty était absolument furieuse. Et honnêtement, je ne pouvais pas lui en vouloir. Après tout ce chaos, ses pertes totales s'étaient élevées à 329 095,76 $, ce qui était sans compter le futur budget télévisuel dont nous rêvions.
"C'est de ta faute", a-t-elle grogné, debout, les poings serrés, alors que nous nous préparions pour notre confrontation finale dans un terrain abandonné.
"Correction", ai-je dit en souriant, "c'est du divertissement".
Son regard était assez perçant pour couper des diamants, mais je pouvais dire qu'elle était prête pour une dernière tentative pour sauver sa fierté.
Et donc, nous avons lancé le défi de la grande finale de Crazee Bonkerz en mode free-for-all. Les règles ? Aucune. Les enjeux ? Absolument tout.
PREMIER TOUR : LA COURSE DE POULET
Nous avons commencé fort avec un jeu de poulet à haut indice d'octane, en utilisant la Honda Civic 2006 (toujours alimentée par la mort thermique de l'univers) et en visant une montagne de vieux matelas.
Swifty est passée en premier, en s'élançant avec toute la détermination de quelqu'un qui a perdu beaucoup trop de paris.
À mi-chemin du parking, je me suis penchée et j'ai mis The Cup of Life sur la chaîne stéréo.
"TU ES SÉRIEUSE ?!" a-t-elle crié, momentanément distraite alors que la voiture a dévié de sa trajectoire et s'est écrasée dans une pile de pots de peinture.
"Point pour Tom !" ai-je déclaré en riant alors qu'elle émergeait, dégoulinant de ce qui semblait être de la peinture rose fluo.
DEUXIÈME TOUR : LA BATAILLE DE BALLONS
Ensuite : une véritable guerre de ballons.
Mon arsenal comprenait des bombes à paillettes, des grenades à confettis et la pièce de résistance : un ballon rempli de pudding. Swifty, de son côté, avait des ballons remplis d’eau étrangement salée.
« Dites adieu à votre dignité ! » a-t-elle crié en me frappant directement la poitrine.
J’ai riposté avec une bombe à paillettes qui lui a donné l’air d’avoir assisté à une audition disco ratée.
Mais la situation a changé lorsque j’ai lancé le ballon de pudding.
« C’EST QUOI ÇA ?! » a-t-elle crié en s’agitant tandis que du tapioca coulait sur son visage.
« Pudding de la victoire ! » ai-je crié en me pliant de rire.
TROISIÈME RONDE : LA CIVIC CONTRE-ATTAQUE
Pour la dernière manche, nous avons libéré la puissance ultime de la Civic.
« Celui qui survit à cela gagne », ai-je annoncé de manière dramatique alors que le moteur rugissait.
La réalité s’est déformée, la gravité s’est inversée et pendant un moment, nous avons eu l’impression de nous précipiter dans une dimension alternative. Quelque part dans le chaos, la radio continuait à diffuser en boucle La Coupe de la Vie.
« C'EST LA CHOSE LA PLUS BÊTE QUE NOUS Ayons JAMAIS FAITE ! » a crié Swifty.
« NON, C'EST LA MEILLEURE ! » ai-je crié en retour, gloussant alors que la voiture s'arrêtait en dérapage dans un nuage de fumée.
Swifty est sortie en titubant, l'air hébété et vaincu. « J'abandonne. »
LES CONSÉQUENCES
Alors que je me tenais au-dessus des décombres de notre journée, victorieux une fois de plus, je n'ai pas pu m'empêcher de rappeler à Swifty ses nouvelles pertes totales : 360 921,89 $.
« Sans compter le budget télé », ai-je ajouté d'un air suffisant.
Son gémissement a résonné dans le parking. « POURQUOI est-ce que je continue à faire ça ?! »
« Oh, ça empire dans le prochain épisode », ai-je dit avec désinvolture, planifiant déjà mon prochain plan.
« ... Attendez, QUOI ?! »
Défi terminé. Restez à l'écoute.
Est-ce qu'on en a fini avec cette folie ? Oh non non non, pas question. On va continuer à faire ça toute notre vie, alors continuez à regarder pour encore plus de folie comme « Crazee bonkerz LA traffic challenge ! », « Crazee bonkerz stack cars challenge ! » et mon préféré : « Crazee bonkerz drive a go kart in public challenge ! » Ça va être INCROYABLE.
Dédié à @kurosaiko12 et @sashley1912. Bon rétablissement.
Repose en paix John Lennon.
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La fresque de l'été
C’est toujours la même rengaine. Entre 18h et 20h, le dernier dimanche des vacances, je me mets à paniquer. Je regarde mon bureau du coin de l’œil, je sais que je vais le retrouver dès le lendemain et j’essaie de voler du temps au temps pour faire tout et n’importe quoi — tout sauf travailler. Alors je coupe à la va-vite ce chemisier que j’ai envie de coudre depuis quelques jours, j’ajoute deux points à ma broderie Glazig, j’attrape un livre qui traîne sur ma table de nuit depuis trop longtemps (Dîner à Douarnenez de Claude McKay). J’essaie de ne pas penser aux romans de la rentrée littéraire qui s’empilent dans ma bibliothèque, à mon livre sur la comédie musicale que j’ai décidé de jeter à la poubelle et que je dois reprendre de zéro (ça devient presque un sketch cette histoire). Comme à (presque) chaque vacance, je constate sans savoir quoi en penser que je n’ai pas écrit un mot. Enfin si, j’en ai écrit un tas mais dans ma tête, ce qui reste ma manière préférée de m’adonner à cette activité en préservant son caractère éphémère, spontané. J’ai écrit toute une critique de Maestro de Bradley Cooper en flottant dans les eaux bretonnes rafraîchissantes. J’ai commencé une fiction et repris un chapitre sur Chantons sous la pluie en brodant. Mais mon ordinateur est resté éteint et les stylos n'ont pas quitté mon pot à crayons. J’ai fait la paix avec le fait que j’ai besoin, régulièrement, de faire des pauses et de laisser les mots et les sentiments repousser en moi comme les framboisiers du jardin qui renaissent plusieurs fois dans la saison. Il n’y a pas assez de mouvements intérieurs pour permettre de moissonner des textes quotidiennement. Alors on attend.
Anyway. Je n’avais pas prévu de faire ce petit bilan estival mais pendant les vacances je suis allée prendre un café avec une personne que j’ai rencontrée sur Instagram (coucou Marine) et avec qui j'ai eu une conversation qui m’a fait beaucoup réfléchir sur l’écriture personnelle, l’écriture collective, sur le fait d’écrire un premier jet qu’on peaufinera plus tard et sur quelques névroses partagées. J’ai râlé toutes les vacances sur le fait que j’étais tellement mieux quand je ne regarde pas 172 stories par jour sur Instagram (et c’est vrai), mais je suis vraiment reconnaissante de toutes ces rencontres que les réseaux permettent. Je suis contente de tout ce qu’Internet arrache à mon introversion naturelle. Bref, Marine au hasard de la conversation m’a dit qu’elle aimait bien lire mon blog, et je me suis rendue compte que je l’avais beaucoup délaissé ces derniers temps par l’habituel de cocktail de travail / autres projets / « à quoi bon » divers et variés. Alors voilà que je me suis assise à mon bureau pour écrire ces quelques lignes et raconter ce que j’avais vu, lu, aimé (ou non).
Pendant mes vacances je suis allée faire un stage de broderie pour apprendre à manier le crochet de Lunéville, qui permet de poser des perles, des paillettes et de beaux fils dorés. J’ai tout de suite adoré le geste répétitif, adoré la sensation du crochet qui perce l’organza, adoré voir se dessiner des motifs ultra bling. J’essaie très fort de ne pas théoriser quoi que ce soit de la broderie, pourtant je n’ai pas pu m’empêcher de constater à quel point elle ressemble à l’écriture. Un exercice de patience, de répétition, point après point, mot après mot. Un exercice d’humilité, aussi, car il faut sans cesse défaire, refaire. Quand je brode je suis dans un état mental étrange, j’ai l’impression de ne penser à rien et de penser à tout dans un même mouvement. Les pensées s’entrechoquent, comme toujours, mais je ne les attrape pas forcément. Je les laisse passer, et c’est assez grisant. Je suis tout à mes mains, tout à mon corps (c’est peut-être ce que ressentent les sportifs, mais je n’ai pas la chance d’aimer le sport donc je ne le saurai probablement jamais).
Au retour du stage, j’ai rattrapé Maestro de Bradley Cooper sur Netflix. Je n’avais pas un a priori très positif sur ce film, n’ayant pas aimé sa variation molle autour de A Star is Born (la version Cukor / Garland / Mason étant à mes yeux un chef d’œuvre inégalé), trop centrée autour du personnage masculin à mes yeux. Mais comme j’aime beaucoup Leonard Bernstein, j’ai quand même eu envie de découvrir Maestro. Outre les partis-pris esthétiques qui m’ont laissée perplexe (l’usage du noir et blanc, les travellings étranges, la seule séquence de comédie musicale qui tombe à plat…) j’étais très étonnée par son choix de ne s’intéresser presque qu’au volet intime de la vie du compositeur et chef d’orchestre. J’aurais pu être contente que le film n’efface pas le côté « grand Artiste torturé » de Bernstein, qui a fait souffrir ses proches et notamment sa femme. Mais ce n’était pas forcément une raison pour complètement occulter ce qui a rendu sa vie et sa carrière intéressante (et notamment ce tiraillement entre musique classique et culture populaire/comédie musicale, et j'en ai évidemment beaucoup voulu au film de ne pas parler de West Side Story). Bref, un biopic qui donne l’étrange sentiment de passer à côté de son sujet et m’a fait me dire qu’il fallait peut-être arrêter de se vautrer dans la vie des grands artistes torturés pour montrer autre chose, enfin. J’ai aussi revu Le parrain qui m’a touchée aux mêmes endroits qu’à l’époque où je l’ai découvert. J’avais cependant complètement oublié à quel point les personnages féminins étaient des concepts plus que des personnes. Comme de simples chevilles dans le récit qui servent à faire avancer tel ou tel arc narratif. La mère, l’épouse battue par son mari et Apollonia, l’idéal féminin muet. J’ai repensé à la série The Offer, vue récemment, qui raconte l’écriture et le tournage mouvementés du film. On y voit Coppola et Puzo écrire le film, deux hommes autour d’une piscine.
Dans mon Year of Reading de chez Shakespeare and Co, j’ai reçu la BD This Country de Navied Mahdavian, qui m’a émue aux larmes. C’est un récit autobiographique qui raconte comment l’auteur, sa femme et son chien quittent tout pour s'installer au milieu de nulle part en Idaho après avoir vécu des vies de citadin. Il explore la manière dont il apprend à vivre au rythme de la nature, à connaître les animaux, à planter des légumes, à se passer de certains conforts. Mais aussi la violence sourde de se frotter, en tant que personne racisée, à une Amérique raciste et conservatrice. J’ai eu le sentiment qu’il évitait absolument toutes les facilités de son sujet (du "retour à la nature"), qu’il avait dans son regard une poésie, un respect pour son sujet, une vraie honnêteté qui lui permettent de questionner la signification profonde du foyer. C’est venu appuyer à un endroit très sensible de mon cœur, dans cette petite alcôve au fond de moi où je range la grande question : comment vivre, comment être heureux·ses dans ce monde ? Elle vit là, avec les interrogations sans réponses. Mahdavian ne m’a pas apporté de réconfort mais une bouffée de poésie, une respiration après une longue apnée.
Comme chaque été, je suis restée chez moi en Bretagne pendant les vacances. Les gens s’en étonnent, souvent, de l'idée que l'on peut ne pas partir. Pourtant ces quelques semaines étaient pleines d’aventures. Manger un burger vegan à la librairie l’Autre Rive avant de marcher dans la forêt de Huelgoat. Chanter du Céline Dion en regardant le soleil se coucher avec mes sœurs. Faire la planche sur l’une des plages de notre enfance. Lire dans le jardin. Et plein d’autres choses qui sont si petites qu’on ne les raconte même pas, qu’on se contente de les coller sur les murs de sa maison intérieure comme les minuscules carreaux d’une mosaïque. À la fin de l’été, ces souvenirs forment une magnifique fresque, mais il faut savoir faire un ou deux pas en arrière. La BD de Mahdavian m’a fait penser à tout cela, à ma famille, à ma maison, à une fragilité, aussi, avec laquelle il faut savoir composer.
Avant la fin des vacances, j’ai lu Dîner à Douarnenez de Claude McKay (Héliotropismes, traduit par Jean-Max Guieu), un récit très court écrit par cet auteur de la Harlem Renaissance dont je ne connaissais pas du tout l’œuvre. Il y raconte l’histoire d’une rencontre dans la ville du Finistère. Je l’ai lu le dernier dimanche des vacances et la première phrase m’a beaucoup émue : « Lorsque j’ai vu Douarnenez, je suis retombé amoureux ». Il continue et décrit la baie, les bateaux, les couleurs de la Bretagne, l’expérience d’être un homme noir dans cette ville en 1925. Je me suis dit, en le refermant, que c’était probablement le premier été où je ne retournais pas dans cette ville qui était celle de mes grands-parents. Ma grand-mère est morte il y a un peu plus de deux ans. J’ai ressenti comme un vide de ne pas avoir arpenté les Plomarc’h, de ne pas avoir contemplé la « plus belle baie du monde », de ne pas être passée devant la maison à la porte bleue. Porte repeinte depuis. J’ai ressenti comme le poids d’une absence. Le temps du petit récit, j’ai eu l’impression de colmater ce vide et de remonter le temps.
Quoi de mieux qu’un petit film de Preston Sturges pour finir les vacances ? Un film de Preston Sturges avec Barbara Stanwyck ET Henry Fonda. Je n’avais jamais vu The Lady Eve (Un cœur pris au piège, je déteste vraiment ces vieux titres VF) même si je me souvenais d’avoir lu à son sujet dans Pursuits of Happiness – The Hollywood Comedy of Remarriage, l'essai de Stanley Cavell sur la comédie du remariage. J’adore le cinéma hollywoodien des années 40, Barbara Stanwyck et la screwball comedy j’ai donc été enchantée par ce film, qui m’a malgré tout semblé plus sombre que d’autres du même genre. Bien que pourvu de l’habituelle happy ending, c’est une fable assez cruelle sur l’amour, les classes sociales (plus grave par exemple que le Holiday de George Cukor, un de mes films favoris) et sur les standards impossibles auxquels les femmes doivent se mesurer (être de bonne famille, riche, "vertueuse",...). On y retrouve une de mes dynamiques préférées du cinéma de l’époque : une femme brillante et vive tombe amoureuse d’un homme un peu mou agité par une passion étrange (ici, les serpents). Il y a quelque chose dans ces dialogues rythmés et ces situations décalées qui m’apporte vraiment une joie profonde.
Et maintenant, back to work !
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saga: Soumission & Domination 359
Espagne 2015-1
Le départ en vacances.
On récupère les jeunes la veille de notre départ. Nathan arrive avec une valise énorme. Il nous dit que sa mère l'a obligé à prendre des vêtements pour toutes les circonstances même la pluie. Il est désolé ! Je l'accompagne à la chambre qu'il va partager avec Max et Enguerrand. Ils sont avec nous. On ouvre le " coffre " et je sors tout pour trier et ne garder que le nécessaire.
On trouve 4 jeans + 2 pantalons de toile beige, 4 shorts Adidas et Nike neufs, 4 maillots de bain sans marque mais pas trop moches, des t-shirt, slips et polos en pagaille et 2 pulls en cotons. On y trouve même des socquettes, une cravate, des chaussures de ville et d'autres de sport.
J'isole 1 jeans et 1 pantalon de toile, 2 shorts (1 de chaque marque) après essayage, j'envoie Max chercher 4 maillots dans ceux qu'il utilise habituellement pour les ajouter au tas. Une demi-douzaine de t-shirt est suffisante puisque là-bas, il y a quand même machine à laver et sèche-linge ! Comme nous passons notre temps sans ou en maillot de bain, je sélectionne 3 slips en sus. Un seul pull devrait suffire et on laisse les chaussures de ville. J'ajoute sa trousse de toilette et j'ai réduit des 3/4 la masse à emporter. Enguerrand trouve une valise avion moyenne et tout rentre dedans.
Il s'inquiète un peu que ça fait quand même pas beaucoup pour 3 semaines. Il n'a jamais eu ce type de vacances ! Je lui dis qu'au pire il pillera les affaires de Max ou d'Enguerrand puisqu'ils sont quasiment du même format. Je vois un sourire apparaitre sur son visage perplexe. Je l'attrape par le cou, baisse sa tête au niveau de mes pecs et lui frotte la tête avec mon poing. Puis je le relâche et lui roule une pelle. Il ressort de mon intervention en titubant et est retenu de tomber par ses deux acolytes.
Au pire on achètera sur place ce qui nous manque.
Nous sommes 8 à partir. Marc et Hervé arriveront directement à Barcelone de leur déplacement en Asie.
La veille du départ et malgré le réveil prévu à 8h le lendemain, nous nous faisons une minitouze sur la terrasse. Nos analyses étant récentes et bien sûr négative, les kpotes restent dans leurs blisters et nous pouvons profiter des contacts directs entre nous.
João et Romain s'intègrent bien à ma petite " famille " et ils utilisent autant les rondelles des trois jeunes que nous et ne rechignent pas à leur laisser l'accès aux leurs. Après un petit temps d'adaptations aux dimensions supérieures de nos deux invités, la triplette profite sans retenue de leurs sexes. Même après une première éjaculation, nous restons tous chauds et remettons le couvert immédiatement. La seconde jouissance est plus longue à venir. Nous profitons de ce délais pour nous caresser, tenter des combinaisons multiples. On a même le temps de se faire un " petit train " Enguerrand est en début d'enculage, sodomisé par son Max, lui-même défoncé par Nathan, labouré par Ludovic qui se prend PH dans la rondelle. Romain s'enfonce dans l'intimité de mon mec et je me " venge " en lui enfonçant mes 20x5 au plus profond de son trou. Je me suis gardé João pour mon plaisir personnel et accueille ses 23x6 avec un plaisir non dissimulé. Commencé en levrettes, nous basculons vite sur le côté pour gagner en stabilité. Cette enfilade nous excite bien et nous entraine dans notre seconde prise de plaisir.
Je m'aperçois que c'était ce dont les jeunes avaient besoin. Ils sont stressés par les trois semaines à venir. Si Max est déjà parti à l'étranger c'était avec ses parents et bien sûr, ce n'est pas le cas d'Enguerrand et encore moins de Nathan. João n'avait plus voyagé aussi loin depuis son arrivée en France et Romain est comme Nathan.
Avec PH et Ludovic, nous faisons en sorte que nos 5 jeunes se détendent et se sentent vraiment en vacances. C'est fait 2 heures 30 plus tard alors que nous sommes tous étalés sur le dos à regarder le ciel étoilé, les couilles vides et certains le cul plein, que je les sens tous détendus !
Pour ne pas retarder Samir et Ammed en partance pour la campagne où ils vont retrouver Jimmy, j'ai commandé deux taxis pour nous emmener à l'aéroport.
Arrivés très en avance, nous avons le temps de prendre un verre dans un des bars. Les serveurs sont mignons et différents des habituels. Des étudiants probablement ! Comme il fait beau et qu'à Barcelone il fait encore plus chaud, nous sommes déjà en tenues estivales (pas en maillots quand même !). Nos physiques sont bien visibles et ils attirent les regards. Les jeunes sont tout excités par les mecs qui se retournent sur nous.
Notre vol passe à l'enregistrement. Les valises sont pesées étiquetées et partent en soute. Nous passons dans le salon d'attente des premières classes. Ce n'est pas parce que le vol est court qu'il faut se serrer.
Les " petits " essayent d'avoir l'air dégagé mais ils n'y arrivent qu'à moitié et nous voyons leurs yeux s'arrondir devant le luxe qui nous entoure.
Quand nous entrons dans l'avion, nous sommes cernés d'hommes d'affaire. Seule une jeune femme avec deux jeunes enfants tranche dans cette partie de l'appareil, avec nous bien sûr !
Les stewards et hôtesses sont à nos petits soins. Ils ont bien vu que pour certain c'était une première et s'attachent à rendre l'expérience inoubliable. Un des stewards nous drague un peu, même beaucoup tout en faisant attention aux autres passagers. Mais le vol est rapide et nous sommes bientôt en approche de Barcelone.
Espagne-1
On récupère nos valises et rejoignons Ernesto. Embrassades sans attendre, roulages de pelle entre lui et chacun de nous. Il est content que nous ayons emmené tout le monde. Il est en short de surf, marcel large et tongs.
On le suit jusqu'à un Renault boxer 9 places. Le temps de sortir de l'aéroport et nous sommes déjà en direction de la villa. Ernesto nous annonce que Marc et Hervé sont déjà en train de bronzer autour de la piscine et que Paco a pris ses fonctions.
Je dois expliquer que ce dernier est notre cuisinier et qu'il est monté comme un âne (23.5 x 7). Et là, on entend de l'arrière " et on a droit d'y toucher ? ". Je n'ai pas le temps de mettre un bémol qu'Ernesto répond " bien sûr, j'ai déjà testé et il est trop fort en plus ". Bon ! Hé bien c'est dit !
Du coup à l'arrière ils sont impatients d'arriver. Javier s'est surpassé cette année. La villa est encore mieux qu'en photo. Toute de plain-pied, elle fait dans les 400m² toutes les chambres donnent par des portes vitrées sur la terrasse qui fait le tour de la maison. Comme j'avais demandé, une salle de muscu est bien équipée et la piscine est superbe.
Le temps de décharger les valises et nous sommes rejoints par Marc et Hervé à poil tous les deux. Ils sont plus blancs que nous mais enduit de protection, il s'attaquent à nous rattraper. Bisous ou pelle selon le récipiendaire puis Paco arrive. En maillot moulant, il sidère les nouveaux. Et pourtant il ne bande pas encore ! Ses 85Kg de muscles participent aussi à l'effet " Paco ". Il roule des pelles aux anciens et me félicite du choix de mes nouveaux amis. Sans se gêner, il passe ses grandes mains sur les fessiers de la triplette avant de se coller à João de le maintenir collé contre lui et de lui rouler un patin qui laisse mon brésilien sur le cul !
J'observe Romain. Pas de jalousie mal placée, un vrai mec selon mon coeur.
Paco nous dit de nous installer, que le déjeuner ne sera pas servi avant 14h. Je pousse la triplette dans une chambre et les deux autres dans celle d'à côté. Marc nous indique celle qu'il nous avait réservée. C'est la plus grande et il a fait installer 2 grand lit de plus afin qu'on puisse coucher tous ensembles (lui, PH, Ludovic, Hervé, Ernesto et moi). On vide rapidement les valises et enfilons un maillot. Sauf les trois petits qui ont décidé de vivre à poil. Enfin, Nathan s'est fait un peu forcé la main !
Plongeons dans la piscine. L'eau est à bonne température et nous glissons dedans avec plaisir. Marc et Hervé nous rejoignent. On joue plus qu'on ne fait des longueurs bien sûr. Les plus jeunes font du bruit, se poursuivent, chahutent en fait. Ça fait plaisir à voir. Pas de regrets de les avoir emmenés avec nous tellement ils ont l'air d'apprécier.
Nous restons dans l'eau jusqu'à ce que Paco nous annonce le repas. Les jeunes sortent de l'eau et Marc les prévient que pour les repas, il faut un slip ou un maillot de bain au minimum.
Paco s'est surpassé pour notre arrivée. Ernesto nous dit que Paco était à la villa depuis la veille pour réceptionner les provisions. Il nous dit que cette année il était encore célibataire. Il n'avait pas eu le temps de se trouver un petit mec à planter sur sa grosse bite.
Max qui entend ça, annonce tout fort que pour les 3 semaines à venir, avec Enguerrand et Nathan, ils se dévoueront pour que notre cuisinier n'ait pas les couilles engorgées. Ludovic remarque qu'il fallait pas attendre autre chose de trois obsédés sexuels.
Paco arrive juste à ce moment-là. Il a entendu les jeunes et alors qu'il sert une salade de fruit avec de la glace il les remercie et leur promet de se partager quand il aura trouvé son prochain petit copain.
Nathan est déchainé. C'est lui qui demande à Paco son type de petit mec et lui propose qu'avec ses deux amours, ils lui en cherchent un sur la plage.
Paco s'amuse de sa proposition et les met au défi de lui en trouver un qui soit acceptable.
Un bon café et nous partons faire une petite et vraie sieste. Malgré la chaleur, nous nous collons et sombrons dans le sommeil. Réveil une heure plus tard. Je me lève et passe la tête par à la porte des gamins. Ils sont tout nus, collés tous les trois et encore endormis. Quand je fais pareil à celle du petit couple, je les trouve en train de se câliner soft. Je profite en m'intercalant entre eux. Là c'est moi qui bénéficie des papouilles et des bisous. Eux aussi sont contents d'être avec nous. Je ressors tout bandant de leurs bras avant que ça tourne " bien ". Je me coule dans la piscine et suis rejoint par mes trois amours Ernesto, PH et Ludovic.
On discute des trois semaines à venir. Ernesto me dit qu'il a déjà fait du repérage pour nos touzes. Les touristes commencent à arriver et on ne devrait pas avoir de mal à trouver ce qu'on cherche. Il me demande ce qu'il en est de Baz et Gaz les deux jeunes que nous avions levés l'année passée. Je lui dis qu'ils sont là mais pendant deux semaines encore avec leurs parents. Donc ils pourront passer mais ne seront pas aussi dispo.
Les jeunes arrivent un peu rouge sous leurs bronzages. Marc leurs dit qu'ils ne sont pas obligés de rester isolés quand ils baisent. C'est romain que la remarque gène le plus alors qu'il est un de mes Escorts. Quelles salopes mes " petits frères ", ils ne se sentent pas concernés !
Pour plus de pratique dans mes récits, Max + Enguerrand + Nathan = la " triplette ", les " gamins " ou les " petits frères ". João et Romain = le " jeune couple " ou les " Escorts "
Ils sautent dans l'eau pour nous rejoindre. Ils nous demandent quand ils vont descendre en ville et aller draguer sur les plages Pd.
On décide qu'on verra ça demain. Là, on prend nos marques, possession de la maison. Max ajoute " et de ses occupants ".
Hervé m'étonne. Il appelle Max et quand ce dernier est au bord du bassin, il le sort de l'eau, le soulève de terre et le serre dans ses bras. Instinctivement, Max entoure la taille d'Hervé avec ses jambes et pose ses fesses sur sa bite bandée.
Pour le côté pratique et plaisir, on s'est tous refaits analyser afin de pouvoir baiser entre nous sans kpote. Ces dernières ne sortiront qu'avec les mecs hors de notre cellule de base.
Il s'est vraiment libéré notre Hervé. Lui qui s'était longtemps suffit/contenté/repus d'Ernesto exclusivement, ne se gêne plus et se sert lui-même. Ernesto est le premier à applaudir avant d'attraper Nathan qu'il ne " connait " pas encore. Il cri à son mec qu'il peut y aller et nous voyons alors les 21x5,5 de sa bite disparaitre comme avalée par la rondelle de Max. Vu comme c'est rentré facile, il avait dû être parmi les passifs de leur petite sauterie privée.
Ça excite nous autres et nous sortons aussi de l'eau pour jouer avec nos sexes.
Je commence avec Marc. Ça fait 15 jours qu'ils étaient partis et malgré tous les autres, il me manque et pas que sa bite ! Je retrouve ses bras et la sécurité qu'ils me procurent. Quand il me pénètre, je sais à nouveau pourquoi -lui-. En levrette, je me cambre un maximum, tourne la tête et tends mes lèvres à son baiser. Nous faisons l'amour. Quand il le veut, je me retourne et mes jambes autour de lui, je l'attire vers moi. Là, nous pouvons nous rouler une vraie pelle bien profonde pendant que sa bite continue de m'échauffer la rondelle.
Dans le lointain, j'entends Nathan apostropher ses deux amours pour leur dire de me regarder faire " l'Amour ". C'est vrai que c'est différent de baiser à 5 ou 6 et de le faire avec son mec. Marc aussi l'entend. Il se redresse et lui dit qu'il avait trouvé le mot juste nous concernant. Nous nous aimons et même si on adore faire l'amour avec d'autres mecs, ça ne change pas.
On se termine tous les deux ensembles. Quand je rejoins le monde, je m'aperçois qu'il manque Enguerrand. J'enfile un maillot et déambule dans la maison. Mais j'ai ma petite idée. Je le trouve dans la cuisine empalé sur le mat de Paco assis sur une chaise. Je crois voir dans ses yeux une certaine gêne d'être surpris dans cette position. Je m'approche d'eux. Comme il me fait face, je le regarde dans les yeux et lui dis " y a pas de malaise ", je lui roule un patin avant d'ajouter " pas de jugements, que du plaisir pour tous et chacun ". Je en peux m'empêcher d'ajouter " je t'aime toi ". Il me fait un grand sourire avant de me sortir un " moi aussi, toujours ".
Je retourne vers la piscine et croise Max et Nathan qui cherche le dernier membre du trio. Je les envoie à la cuisine. Je les suis de loin curieux de leurs réactions.
Elles font honneur à la maison. Nathan lui roule un patin alors que Max s'intercale entre le dos d'Enguerrand et le torse de Paco pour rouler une pelle à ce dernier.
Je retourne sur la terrasse et annonce au reste de la " famille " que la triplette est en train d'essorer les couilles de Paco. Rire généralisé.
Jardinier
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Je suis un chien du 21ème siècle.
Je suis un Malinois.
Surdoué parmi les chiens, je brille dans toutes les disciplines et je suis toujours prêt à travailler. Aujourd’hui, on me demande de me prélasser sur le canapé toute la journée.
Je suis un Akita Inu.
Chien de chasse hors pair, mes ancêtres ont aussi été employés pour les combats de chiens. Aujourd’hui, on me demande d’être tolérant avec mes congénères, et on me reproche ma réactivité quand l’un d’eux s’approche de moi.
Je suis un Beagle.
Quand je poursuivais ma proie, je donnais de la voix pour que les chasseurs puissent me suivre. Je menais la danse. Aujourd’hui, on me met un collier électrique pour que je me taise, et on voudrait que je revienne au rappel en un claquement de doigts.
Je suis un Yorkshire Terrier.
J’étais un redoutable chasseur de rats dans les mines anglaises. Aujourd’hui, on pense que je ne suis pas capable de me servir de mes pattes et on me garde toujours dans les bras.
Je suis un Labrador Retriever.
Ma vision du bonheur, c’est un plongeon dans un étang pour ramener à mon maître le canard qu’il vient de tirer. Aujourd’hui, on a oublié que j’étais un chien de sport, je suis obèse et je dois jouer la nounou des enfants.
Je suis un Jack Russel.
Je suis capable de tenir tête à un renard plus gros que moi dans son propre terrier. Aujourd’hui, on me reproche mon fichu caractère et on voudrait faire de moi un chien de manchon.
Je suis un Husky Sibérien.
J’ai connu les grands espaces du Nord de la Russie, où je pouvais tracter des traîneaux à une vitesse impressionnante. Aujourd’hui, je n’ai pour seul horizon que les murs du jardin, et pour seule occupation les trous que je creuse dans le sol.
Je suis un Border Collie.
Je suis fait pour travailler huit heures par jour, et je suis un artiste incomparable du travail au troupeau. Aujourd’hui, on m’en veut parce que, faute de brebis, j’essaie de contrôler les vélos, les voitures, les enfants de la maison, et tout ce qui est en mouvement.
Je suis un chien du 21ème siècle.
Si je te plais, si tu rêves de moi depuis toujours, si mes beaux yeux azur ou mon look d’athlète te font envie, mais que tu ne peux pas m’offrir une vraie vie de chien, une vie qui vaut vraiment la peine d’être vécue, et si tu ne peux pas me proposer le travail que réclament mes gènes... alors renonce à moi. Si mon allure te plaît mais tu n’es pas prêt à accepter mes traits de caractère issus d’une sélection génétique rigoureuse, et que tu penses pouvoir les changer avec ta seule bonne volonté... alors renonce à moi. Je suis un chien du 21ème siècle, oui. Mais, tapi au fond de moi, sommeille encore celui qui combattait, celui qui chassait, celui qui tirait des traîneaux, celui qui guidait un troupeau. Et, tôt ou tard, il s’éveillera. Pour le meilleur ou pour le pire.
Article d'Elsa Weiss
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Alexis Ren, la bombe californienne dans tous ses états
Alexis Ren est une jeune surfeuse et mannequin d'origine américaine. Elle est née en Californie en 1996 et a grandi a Santa Monica. Pratiquant le surf depuis son plus jeune âge, sport pour lequel elle a un certain talent, elle s'est rapidement dessinée une silhouette avantageuse. Son physique attire plusieurs agences de mannequinat, et ce dès l'âge de 13 ans. Sa carrière de mannequin lui permet de devenir l'une des égéries de Calvin Klein pour la ligne de lingerie du créateur, « My Calvin's ». Alexis Ren est une adepte des réseaux sociaux, et adore poster des photos d'elle dans le plus simple appareil, simplement vêtue de bijoux ou d'accessoires. Elle a été Maxim's cover girl pour le mois d'août 2017 et Maxim's cover girl pour le mois de mars 2018. Elle possède 15,6 millions de followers sur Instagram et 1,5 million de followers sur Twitter. Son histoire avec Jay Alvarrez Ils ont rompu définitivement après 6 mois de rumeurs. Tout a commencé après qu'Alexis ait dit à un fan qu'elle avait rompu avec Jay parce que la relation n'était plus bonne pour son entreprise. Dans une conversation animée sur Twitter, elle a dit que Jay n'était qu'un passe temps et qu'il avait un petit engin. Elle a supprimé les messages mais Internet n'oublie jamais. Jay a répondu en disant que faire en sorte que quelqu'un se sente mal à propos de ce qu'il est ne fait que montrer votre faiblesse. A lire également : Anais Pouliot; le top canadien à suivre Régime alimentaire d'Alexis Ren PAS de pain. Duh, elle est sans gluten. PAS de restauration rapide. Tant mieux pour elle ! Plus de place pour les bols d'açaï. Pas d'alcool. Je ne sais pas quoi dire à propos de celle-ci à part qu'elle boit 2 litres d'eau chaque jour. PAS de viande rouge. Détendez-vous, elle mange encore d'autres viandes, juste une petite quantité. PAS de repas après 19h. Je suppose qu'elle n'est pas une couche-tard. PAS beaucoup de sucre. C'est une donnée. AUCUN fruit après le déjeuner. Étrange, je devrais lui poser des questions sur celui-ci. Fruit. Beaucoup d'ananas, de fraises, de pastèque, de papaye et de mangue pour des smoothies et des bols d'açaï à n'en plus finir. Kale Chips. "Oh, chou frisé ouais!" Poudre de protéine végétalienne. Pshh, comme son programme d'entraînement, ça ne suffit pas ? ! Mélange montagnard (sans M&M's). Allez, c'est comme la seule partie que je mange. Glace à la banane. Elle l'appelle de la crème glacée, tandis que je l'appelle comme je le vois - des bananes mélangées à du lait d'amande. Salade (avec citron et poivre). À ce stade, il n'y a pas assez de salades dans le monde pour ce genre de corps. Burgers végétariens (enveloppés de laitue avec avocat). Read the full article
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Je viens de comprendre quelque chose, des années plus tard, en regardant un film.
Synopsis : C'est une femme qui fuit son passé et qui est très forte pour cacher ses émotions. Il lui reste le Kung Fu pour seul remède.
Mon frère me dit souvent "mais apprends toi à te battre ! Petit gabari que tu es".
Je réponds tout le temps que je ne supporte pas la violence.
Je viens de comprendre que c'est surtout autre chose aussi dont j'ai peur.
Faire ressortir le colère, la rage que j'essaie de faire taire depuis des années. Peur de ne pas me reconnaître en faisant un sport de combat.
Ce soir je pense à 2016. J'ai une haine profonde envers lui. Haine que je réfute depuis toutes ces années. Ce qui me blesse le plus c'est l'absence du mot "pardon" ou encore d'un "désolé". Comment entendre ça de quelqu'un qui ne comprend pas ce qu'il a fait de mal, qui n'a aucune conscience ?
C'était fin avril 2016, qu'il est devenu violent. Que j'ai éprouvé cette peur. La peur de mourir sur place. Rien de pire que d'être impuissante face à cette haine. Et chaque année cela revient comme un flash. D'ailleurs, c'est la musique qui m'a sauvée. Je me suis accrochée à autre chose que tes hurlements. La musique -Faded,Allan Walker-.
Mais passons. Ce qui m'énerve le plus, c'est que j'éprouve des émotions pour quelqu'un qui m'a laminé et souillé malgré toutes ces années.
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