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Les plus grands athlètes sont les athlètes paralympiques car les obstacles qu’ils doivent surmonter sont inouïs…
V. H. SCORP
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Nous sommes en juillet 2024, et les Jeux Olympiques de Paris battent leur plein. La ville lumière est un melting-pot de cultures et de célébrations, accueillant des millions de visiteurs du monde entier. Mais derrière les festivités, une ombre inquiétante plane. Le député britannique Andrew Bridgen, lors d'une réunion secrète au Parlement, apprend l’existence d’un complot d'une portée inédite. Un groupe de conspirateurs au sein de l'OTAN élabore un plan diabolique pour orchestrer une attaque sous faux drapeau pendant les Jeux. Leur objectif est de faire exploser une bombe nucléaire au cœur de Paris, en accusant la Russie de l’attaque. Cette explosion serait un prétexte pour déclencher une intervention militaire massive contre la Russie, justifiée par la défense de l’Europe. L'attentat est minutieusement planifié pour se produire lors de la cérémonie de clôture, un moment où les yeux du monde entier seront rivés sur la capitale française. Alors que la date fatidique approche, Andrew Bridgen, rongé par l’angoisse, décide de révéler la vérité. Il contacte un journaliste de confiance et lui remet des documents confidentiels prouvant l’existence du complot. Le journaliste, à la recherche de la vérité, commence à enquêter, mais il est rapidement poursuivi par des agents des services secrets qui veulent étouffer l’affaire. À Paris, la tension monte alors que les autorités mettent en place des mesures de sécurité sans précédent pour les Jeux. Des indices commencent à émerger, mais ils sont immédiatement dissimulés ou dénigrés comme étant des théories du complot. La panique commence à s’emparer de la population lorsque des rumeurs d’une attaque nucléaire se répandent. Le jour de la cérémonie de clôture arrive 11 août 2024. La ville est en effervescence, les athlètes et les spectateurs se préparent pour un moment historique, inconscients du danger qui les guette. Tandis que la bombe est secrètement transportée à travers Paris, Andrew et le journaliste se lancent dans une course contre la montre pour exposer la vérité. Ils doivent faire face à des poursuites effrénées, des trahisons et des obstacles presque insurmontables. Finalement, alors que la bombe est sur le point d’être déclenchée, Andrew et le journaliste parviennent à pénétrer dans la zone de sécurité. Dans une confrontation dramatique, ils parviennent à révéler l'existence de la bombe aux autorités à la dernière seconde. Mais il est trop tard. L'explosion retentit, semant la panique et la désolation dans la capitale française. Les radiations se propagent, plongeant Paris et le monde entier dans un chaos sans précédent. Dans un contexte de panique mondiale après l'explosion, tout le monde crie au complot. Les médias et les réseaux sociaux sont saturés de théories accusant les gouvernements et les agences internationales de manipulation. Les fact-checkeurs démentent ces rumeurs, les qualifiant de pure fantaisie et de paranoïa infondée. Cependant, dans un retournement de situation stupéfiant, des preuves irréfutables émergent, démontrant que la conspiration était bel et bien réelle. Les démentis se révèlent alors embarrassants pour les fact-checkeurs, pris au piège de leur propre certitude. Le complot est enfin révélé, mais les ramifications politiques sont énormes. Les responsables de l’OTAN impliqués dans le complot sont arrêtés, et un débat international s'ouvre sur la transparence et la sécurité. Paris, tout en étant marquée par la catastrophe, se retrouve au centre d'une controverse mondiale sur la manipulation et la vérité. À suivre.
Les Jeux Olympiques de Paris 2024 seront le plus grand événement jamais organisé en France. Ils se tiendront du 26 juillet au 11 août 2024, durant 16 jours hors du temps pendant lesquels Paris 2024 sera le cœur du monde. Les Jeux, c’est du sport, mais tellement plus encore… Une combinaison de rendez-vous culturels, de programmation artistique, et de performances diverses qui créent une expérience unique en son genre. Les Jeux, c’est un festival populaire et multiculturel qui s’adresse au monde entier. C’est une aventure qui va embarquer la France entière pour une expérience inédite. Et Paralympiques le 13 septembre 2017
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(via T-shirt classique avec l'œuvre « france 2024 » de l'artiste botmartshop)
#findyourthing#redbubble#paris#paris 2024#2024#sport#france#france2024#olympics#Paralympiques#illustration#illustrative art#digital art#digital illustration#hot#trend#jeux#tour de france
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#PlopetKanKr#Dessinateur#Dessinatrice#DessinDePresse#EditorialCartoon#Cartoon#Dessin#Actualité#Illustration#Sketch#Art#Artwork#Draw#Artist#Instadraw#DessinHumour#HumoristicDrawing#JeuxParalympiques#Paralympiques#JO#Stade#Vide#ExpositionMédiatique
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Palpitations du cœur
Esaïe 35.4-7, Marc 7.31-37
Esaïe annonce son message pour combattre la peur et pour redonner du courage au peuple.
Dans le petit théâtre Kibelé (Paris X) le spectacle «Histoires pour donner du Courage» par Nathalie Bentolila a connu un grand succès en 2014. Le spectacle dure une heure et elle raconte de très anciennes histoires du Soufisme avec l’aide de quelques ombres, des marionnettes et un être humain. Le petit espace accueille 50 personnes de tous les âges. La scène est baignée d’une lumière douce des bougies, et contient un grand panneau circulaire transparent qu’un faisceau de lumière éclaire de derrière. C’est dans ce cercle que les marionnettes racontent leurs histoires en ombres chinoises.
Nathalie Bentolila amène son auditoire dans un voyage d’histoires à travers nos limitations, peurs, doutes et rêves pour atteindre les rives de l’espoir.
On découvre
un roi qui ne croit pas aux rêves ni aux métaphores
un aigle qui se prend pour une poule jusqu’au moment qu’il s’en vol
une vache qui fait de la trottinette…
Toutes ces histoires nous rappellent notre incroyable étendue de resources intérieures.
C’est ainsi que j’imagine Esaïe, avec ses paroles, ses gestes en mouvement devant le peuple rassemblé. Il arpente un petit monticule d’herbe pour rappeler à son auditoire les incroyables ressources intérieures qu’ils possèdent. Il parle du coeur au coeur.
Nos traductions rend le verset 4 ainsi: «Dites à ceux qui ont le cœur troublé… de ne pas avoir peur».(Ségond) Malheureusement le mot cœur est absent dans la plupart de nos traductions, «dites a ceux qui perdent courage…»(PDV) ou encore, «Dites à ceux qui s’affolent…» (TOB). La traduction la plus littérale serait: «Dites à ceux qui ont des palpitations du cœur…».
Son discours est rempli d’images corporelles, il parle de la vision, des yeux, de la surdité et des boiteux. Nous n’entendons pas assez ces références au corps, notre esprit nous fait passer trop vite sur les détails. Après tout, ils ne sont que des métaphores, des images d’un usage poétique sans grand intérêt pour le message qu’Esaïe veut faire passer. Et nous avons tort!
Les Jeux Paralympiques qui se déroulement actuellement font sortir le corps, ce corps autre que normal, des coulisses sur le devant de la scène. Nous assistons à des incroyables élans et de force cachés dans des corps; sans yeux, sans jambes, bras articulés mécaniquement, qui virevoltent à une vitesse vertigineuse. Le message que nous recevons c’est que le corp mutilé et amputé n’est pas une barrière à la réussite.
Car le message est le vecteur. Esaïe emploie tout ce qui est lui pour communiquer avec son peuple. La réalité d’un cœur qui se bat se trouve à l’intérieur de chacun de nous. Cette réalité est là, entre nos cotes, elle pousse le sang dans nos veines à travers tout notre corps.
Ressentez votre cœur. Ecoutez-le si vous le pouvez. Des palpitations, qui n’a jamais eu des palpitations? Vous connaissez le cœur qui se bat à la chamade, qui tombe amoureux, qui a peur, qui est essoufflé, qui veut sortir hors de vous. Nous savons aujourd’hui que le cœur qui bat à «19 le douzaine» est normal dans le fonctionnement de notre corps, c’est pour que l’hormone adrénaline course dans notre sang. L’adrénaline stimule les muscles et accélère les métabolismes. Elle affecte tous nos sens, les mettant en grand alerte, nous n’entendons pas comme avant et notre vison est réduit au tunnel. Le tout c’est pour mieux nous préparer au combat. Notre corps se focalise sur les ressources dont nous avons besoin pour mener la bataille ou pour fuir: pour dépasser la peur.
Elle peut-être dangereuse, surtout pour les cardiaques: il faut ralentir, il faut se reposer, il faut prendre des médicaments. Il y en a dans ce temple ce matin pour qui entendre et sentir le cœur battre est synonyme de peur: peur de ne pas bien faire, de ne pas faire assez, ne de pas être à la hauteur et de décevoir les autres. Il y en a ici ce matin pour qui les palpitations du cœur sont liées à la course, où on ne s’arrête pas, sautant d’une occupation à une autre, d’un souci à l’autre.
Il y en a aussi qui sont ici ce matin où les battements du cœur annoncent une bonne nouvelle, un espoir renouvelé, un amour retrouvé.
Ce sont ces palpitations dont parle Esaïe, les battements qui fournissent l’énergie de la foi et de l’espoir. Les cœurs des Israélites battaient dans l’espoir de retrouver leur terre, leur pays, leur temple. Esaïe prépare son peuple pour la bataille, non pas militaire d’une reconquête de leur pays, mais d’un retour vers un pays en friche, vers une religion qui a perdu son chemin et pour un peuple qui attend une direction.
Mais juste avant de se mettre en route, il faut aussi entendre un autre mot… un mot que j’aurais préfère ne pas avoir dans nos textes bibliques: vengeance, la vengeance de Dieu.
Dieu vient vous venger, nous dit la traduction de La Bible Parole de Vie. Dieu va venir pour la rétribution, nous annonce la TOB.
Je ne sais pas pour vous, mais ma première réaction est de ne pas m’arrêter sur cette phrase, de faire en sorte que je ne l’ai pas vu. Mais dans ma deuxième lecture de ce passage je me suis trouvé trébuchant sur le mot, au point que je me suis arrêté, comme si tombé par terre. Pourquoi est-il là, ce mot? Dans un passage plein de promesse et de beauté, pourquoi le gâcher?
Le mot naqam est rendu par vengeance ou rétribution, mais en hébreu naqam veut dire «rétribution par une autorité habilitée ou compétente», pour mettre fin à l’oppression et l’injustice et pour rendre la liberté. Nous pouvons parler d’une justice réparatrice, où la punition est remplacée totalement ou partiellement par une justice relationnelle ou restauratrice et participative.
La victime a l’occasion de s’exprimer sur les effets de son tort devant son agresseur, et le criminel peut remettre les choses droites avec la victime (dans les limites du possible) par certaines formes de compensation.
Naqam est l’idée que la rétribution de Dieu est la réponse de Dieu. Donc Esaïe exhorte de tout son cœur le peuple d’accepter cette réponse de la part de Dieu et de vivre dans l’expectation de cet espoir. Il les incite d’ouvrir leurs yeux, reprendre la route et entendre le message.
Ouvrez vos yeux!, c’est ce que Jésus a dit aussi dans le texte de l’Evangile. Effata! Ouvre-toi!
Et c’est salutaire de noter que Marc indique que Jésus lève les yeux au ciel au moment de prononcer ce mot. Comme s’il
suppliait une intervention divine
ouvrait la communication entre le ciel et la terre
établissait un canal pour créer une relation.
Effata! n’est pas juste une parole pour cet homme, pour son infirmité mais plutôt une parole fracassante pour les gens autour, pour les disciples et bien entendu aussi pour cet homme afin de le ré-établir dans les fonctions de pouvoir communiquer: de recevoir et d’émettre.
Et là, nous trouvons toute la force de la promesse d’Esaïe. Esaïe aussi cherche à ré-établir la communication rompue avec Dieu, de réparer la relation cassée entre le peuple et Dieu. Et sa parole est une parole pour nous tous. Effata - ouvres-toi aux ressources cachées, inespérées, inimaginées que Dieu a placé en toi.
Notre réponse à l’initiative de Dieu dans nos vies nous donne des palpitations pour réaliser des choses extraordinaires.
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Les Stars des Jeux Olympiques et Paralympiques, un livre jeunesse publié chez Hugo Jeunesse avec une préface de Tony Estanguet, président du comité d’organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 et triple champion olympique de canoë slalom.
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ACEVES PEREZ HAS WON MEXICOS FIRST PARALYMPICS MEDAL IN 2024 :)
LE FUE INCREÍBLE
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Paris 2024 ✈️ La patrouille de France 🇨🇵 à la cérémonie d'ouverture des Jeux paralympiques
Source: Ministère de l'intérieur
#short video#jo paris 2024#jeux paralympiques#cérémonie d'ouverture#golden hour#patrouille de france#survol la concorde#paris#flamme olympique#spectacle#fidjie fidjie
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Dream As One
(Yasunori Mitsuda, lyrics by myself)
This became a parasports anthem in Japan. Here’s an electro remix by Sanodg♪
youtube
懐かしい
パラリンピック、盛り上げていこう!
#池崎大輔#パラリンピック#車椅子ラグビー#パリ#パリパラ#Dream As One#光田康典#サラ・オレイン#sarah àlainn#sarah alainn#サラオレイン#サラスタイル#パラスポーツ#parasports#paralympics#jeux paralympiques#wheelchair rugby#yasunori mitsuda#Daisuke Ikezaki#Youtube
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Worries for the Future - Life and Times of Ashley the Crow (Crow HRT 2)
Previous/Next
*************
That day Arja visited me for a study date since we had some exams to retake. Nothing we shouldn’t handle. In fact we had to study history, which I would always get into once I started digging really deep. But this time it was obvious that I was not concentrating as much as I could. And Arja really noticed that I wasn’t in the best mood.
“What is going on, birdie?” Arja asked me.
“There’s just a lot on my mind,” I said. “I’m worried about our future. Whenever I read the news I feel like our progress is regressing.”
“What do you mean?” asked Arja.
“I just want people not to look down on us,” I said. “But there has been so much stuff going on recently. You know that scammer pretending to be a monkey recently?”
“Yeah, that was a strange story,” said Arja.
“But wouldn’t it have unforeseen consequences? Our country is already so otherkinphobic that somebody might see it as the last straw.”
“Maybe, but I bet people will forget it soon,” said Arja. “That’s just our little zeitgeist.”
“And have you heard about that scandal with that boxer at the World Pet Fair?” I asked about one more story.
“But she isn’t even otherkin,” said Arja.
“Exactly,” I said. “And if she isn’t then why people won’t even try to find out what dog they are protesting against?”
“Some people just don’t touch grass,” Arja said.
“I don’t think it’s even possible to encourage them to,” I said, sighing.
“I guess we should just focus on the positive, huh?” said Arja.
I tried finding a story I could mention that seemed fitting.
“Hey, there actually is an otherkin tortoise in the World Parapet Fair!” I remembered.
We both celebrated the revelation. But then I relapsed back into doomthoughts.
“I don't know whether I should cheer for her or against,” I said. “I want people to understand that at some point the difference disappears. And for that to happen we need to show that we are playing on equal footing. And does that mean we should just constantly lose?”
“Birdie…,” Arja tried to stop my rambling.
“It just feels rotten that this whole thing revolves so much around gambling and trying to keep things fair so that bets would be interesting…,” I continued.
“Birdie, what did you promise yourself recently?” Arja said suddenly.
I knew exactly what promise Arja was talking about. “That I shall stop worrying about stuff I can’t change with my voting rights.”
“People are always gonna get angry about sports,” said Arja. “About everything. Just enjoy the show and root for your favorites!”
“You know what? You may be right!” I said. “I am gonna root for the tutel!”
“Heck yeah! We’re gonna root for the tutel!” said Arja. “Anything else on your mind?”
There was one more thing worrying me. But that was a bit personal and I didn’t think it was worth sharing.
“Um… Yes, but… This is going to be a little bit silly…,” I said.
“That’s fine, go on,” said Arja.
“Well… There’s that remake of The Raven coming to the cinemas soon,” I said. “The original was kind of my egg cracker and I just really want the remake to be good. But the vox populi is already calling it bird crap.”
“Yeah, that was silly,” said Arja. “I guess there’s only one way to find out if people are right and that is to wait.”
“Hey, you wouldn’t want to get a bad sequel to How to Raise a Dragon, would you?” I noted how Arja might find herself in a situation similar to mine.
Arja opened her eyes more wide than I’d ever suspect her dragon body would let her. “True,” she said and we both laughed.
Maybe laughter is the best weapon against bad news from the world?
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Yeah, the recent stuff around the Olympics made me worried. Same with that remake of The Crow. But I guess sports and movies are about enjoying the show. So yeah, remember to cheer for Valentina Petrillo in the 400m T12 run!
#furry#furry hrt#avian hrt#bird hrt#fantasy hrt#therian hrt#otherkin hrt#crow hrt#dragon hrt#jeux paralympiques#paralympic games#paralympic#writeblr#writers on tumblr#writing#transgender#trans#transblr#transfem#lgbt#lgbtq#lgbt art#lgbtqia
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Affiche Jeux Paralympiques Paris 2024
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Paralympic games Truly inspirational Steetal Devi 17 years old wields her bow with her feet
Gloires à eux
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People who says "Nah I won't watch Paralympics, olympics was enough"
Forghot that thoses disabled person has to fight even more to be recognize even on day to day life and are has skilled has an athlete has the one on the olympics.
Please don't fall on "disable erasure" tendency.
#paralympics#jeux paralympiques#paralympics game#game#olympics#olympics game#disabled#disability#also sometime I see you giy being#racist#has an excuse#and I am not really tolerent toward racism of any kind
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This is the very first Olympics I watched the opening ceremonies via television in its entirety.
Go France 🇫🇷, Go Cameroon 🇨🇲, Go Congo and Democratic Republic of Congo, Go Great Britain 🇬🇧, Go Ireland 🇮🇪, Go United States of America 🇺🇸! These are the countries who made who I am today or at least at birth.
Theme:
Legality, Equality, Fraternity, Sorority, Sportivity, Festivity, Obsecurity, Solidarity, Solemntity, Eternity.
Those minions were the funniest 🤣 😂 ever shown. Another funniest, but important moment was watching the soldier or military band dancing, marching, and singing 🎶 around Aya Nakamura.
How many teachers, professors, or any type of educators agree that World 🌎 Geography needs to be done over? Thanks to Google Maps and Apple Maps for helping me find over twenty (20) new countries. ROTFL 🤣! I discovered that Tavulu not on any map, and Virgin Islands split in two, British and United States.
First time hearing the Olympic Oath, Olympic theme song, and the meaning of the Olympic rings. The integration of Paralympics participation.
Watching Rafeal Nadal, Serena Williams, Carl Lewis, Tony Parker with the torch. Despite wind and rain 🌧️, that Olympic torch did not go out.
Paris 2024 Olympics Opening Ceremonies set the bar for Diversity, Equality, and Inclusion for their own people. Los Angeles 2028, I did not get the volunteer opportunity in Paris, France 🇫🇷 , but USA 🇺🇸 bet not let me down.
Thanks France TV for showing the opening ceremonies without one commercial.
This is why I view life is like the Olympics, but my fight, sportsmanship, and competition is everyday, every year, every season, every decade, and every second of each day.
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It is really over 🥺
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Jeux paralympiques : le prix de la diversité.
[Vous pouvez retrouver cet article sous forme de brochure sous le lien suivant en pleine page, ou en cahier]
Alors que les Jeux Olympiques s’apprêtent à gâcher l’été de milliers de personnes, je me suis dit qu’il pourrait être intéressant de revenir sur une facette dont on parle beaucoup moins : les Jeux Paralympiques. En effet, il est assez simple de trouver des critiques sur le modèle en général, mais assez peu sur les implications pour les personnes handicapées, qu’elles soient ou non athlètes. Si l’on en croit les discours officiels, les Jeux Paralympiques sont une véritable aubaine pour les handiEs. On se félicite de la construction de logements ou de services publics aux normes, sans trop interroger le fait qu’il ait fallu attendre jusque-là.
Extrait du twitter de Fadila Khattabi, Ministre déléguée chargée des Personnes âgées et des Personnes handicapées.
En termes de visibilité, c’est aussi LE moment de l’année où l’habituel paysage audiovisuel donne la place à plus de diversité, notamment pour le de handicap. Malgré toutes ces bonnes nouvelles, les Jeux Paralympiques, comme son équivalent à gros budget, sont une plaie. Ce texte est un rapide tour d’horizon des critiques qu’on peut y adresser.
Contexte
Les Jeux ont été remis au goût du jour en France, dans un contexte impérialiste qui teinte encore ses valeurs aujourd’hui. La vision de sa version moderne est directement basée sur une idéologie raciste et colonialiste. Son créateur, le baron Pierre de Coubertin, y voyait un moyen de démontrer la supériorité de la race blanche et de « discipliner les indigènes ». Par la suite, et pendant plus de 40 ans, les figures majeures du comité olympiques ont partagé très ouvertement des idées similaires, antisémitisme1, franquisme2, impérialisme assum��... Pour cette raison, ainsi que d’autres, évoquées plus loin, des voix se sont élevées pour critiquer et s’opposer à la tenue des Jeux, avant d’être vivement réprimées.
Partout où sont passés les Jeux olympiques et Paralympiques, on observe la même tendance. Les villes hôtes accélèrent leur développement économique au détriment des habitantEs les plus précaires. Destruction de favelas à Rio en 2016, expulsions des Roms à Athènes en 2004, des sans-abris à Londres en 2012, relogements forcés à Beijing en 20083, le schéma se répète. Les travailleurs sans-papiers, nombreux sur les sites de construction, subissent aussi les abus d’un système qui ne leur permettent aucun droits ou sécurités. Depuis des mois, on observe le même processus s’enclencher à Paris et à Marseille, avec l’accélération des expulsions de logements et un « nettoyage » des quartiers où se déroulent les épreuves. Dans les faits, cela implique l’usage plus fréquent des forces policières, des systèmes de surveillance et de contrôle de la circulation des habitantEs. Ces actes sont une menace pour toustes, mais d’autant plus pour les personnes déviantes et psychiatrisées, que les pratiques autoritaires de ce type touchent plus durement.
L’expérience montre que les conséquences de ces bouleversements s’étendent bien après l’événement. L’expulsion des pauvres et des indésirables se fait en même temps qu’une accélération de la gentrification. La spéculation grandissante entraîne une augmentation des loyers, qui poussent les locaux à déserter « leur » ville au profit des touristes.
Sans surprise, les personnes handicapées, vivant en majorité sous le seuil de pauvreté, sont parmi les groupes les plus touchés. Pourtant, si l’on en croit les communications gouvernementales, elles seraient les premières à bénéficier de la modernisation des espaces, peu importe qu’elles ne puissent plus se permettre d’y vivre. La mise en accessibilité devient cet argument massue devant quiconque ose dénoncer l’impact négatif des chantiers olympiques. Car au-delà de l’influence sur les humainEs, les infrastructures (parfois temporaires) détruisent aussi des écosystèmes et sont facteurs de pollutions.
Un corps digne est un corps d’athlète.
Après ce rapide tour d’horizon sur le coût de cette manifestation sportive, il est temps de revenir au cœur du sujet. Les Jeux Paralympiques sont nés dans les années soixante sous l’impulsion d’un neurologue en charge de patients vétérans. Pour reprendre ses termes, l’idée était de redonner aux paraplégiques leur dignité, sous entendue que celle-ci aurait disparu avec leur capacité à marcher. La citation est lisible sur le site des JO aujourd’hui, sans une once de critique ou de nuance. À croire que les handiEs n’auraient droit au respect que s’iels remportent des trophées.
Capture d’écran issue de la page «l’histoire des Jeux Paralympiques», du site officiel de JO2024; février2024, [modifiée depuis]
Pendant longtemps, les Jeux Paralympiques ont concerné exclusivement les personnes en fauteuils, avant d’intégrer une plus grande diversité dans les profils. L’idée qu’il existe une frontière bien définie entre handicapéEs et valides ne fait sens qu’en théorie. Un système d’évaluation est donc nécessaire pour créer la distinction. Les athlètes handicapéEs doivent passer par des examens longs et fastidieux4 pour prouver et mesurer leurs incapacités. Laissées à la discrétion des médecins, les catégories dans lesquelles les athlètes peuvent participer dépendent d’un classement relativement opaque, même pour les premierEs concernéEs. CertainEs ont par exemple vu l’intégralité de leur carrière remise en cause après une évaluation trop positive5... À l’inverse, des athlètes se sont retrouvés face à des adversaires contre lesquelles iels n’avaient aucune chance, compte tenu des disparités physiques. C’est un peu comme si mettre en compétition des personnes avec des diversités corporelles aussi vastes était une idée vouée à l’échec. Puis il y a les entre-deux, trop handicapéEs pour concourir avec les valides, trop valides pour les Jeux Paralympiques. Les déficiences intellectuelles par exemple, ont été admises, puis exclut avant d’être réintégrées dans les Jeux Para.
Sans connaître ce contexte, on pourrait être tentéEs de célébrer la formidable visibilité pour les communautés handicapées. Celle-ci ne concerne en réalité que certains handicaps, à certains degrés, selon les variations des jurés. La communauté sourde par exemple, est exclue des Jeux olympiques qui leur est rendue inaccessible, mais ne répond pas aux critères des Jeux Paralympiques.
Tristement, cet événement reste l’un des rares à montrer le handicap à une large échelle et forge l’imaginaire collectif. Si aujourd’hui encore, la majorité des gens pense qu’un handicap « se voit » forcément, c’est parce c’est l’image vendue, notamment au moment des Jeux. Cette idée est à l’origine de nombreux comportements discriminants envers des personnes constamment obligées de prouver leur handicap dans leur quotidien, faute de correspondre au stéréotype.
La fête à l’inspiration porn,
Les Jeux para participent aussi à entretenir un narratif sur le handicap : la nécessité de le dépasser. Si pour des athlètes encadréEs et aux moyens financiers illimités ça signifie aller rafler des médailles, qu’est ce que ça veut dire pour l’handiE lambda ? Devoir s’épuiser à tenter de vivre dans un monde qui vous exclut en permanence? Sans exiger la moindre adaptation ? En tout cas, c’est une réponse bien pratique pour éviter tout remise en cause. Si les écoles, transports, ou lieu de soin sont inaccessibles, il suffit de dépasser son handicap ! Ça fait des jolies histoires émouvantes en plus de maintenir le statu quo. Les obstacles imposées par une société inadaptée sont réduits à une tragédie individuelle que la ténacité et le courage permettent de surmonter.
Les expériences de vie des athlètes les plus visibilisées sont loin du quotidien de la majorité des personnes handicapées, ce qui ne serait pas un problème si iels ne jouaient pas constamment le rôle de représentantEs. Les manifestations sportives tiennent à leur image « apolitique » qui les cantonne à des messages individualistes et souvent vides de sens à l’épreuve du réel. Les Jeux Paralympiques et les athlètes sont avant tout des sources d’inspirations prouvant que tout est possible, puisque même les handicapéEs y parviennent.
Toute la communication des Jeux para repose sur la célébration de l’exceptionnel, du hors du commun. Paradoxalement, on insistera continuellement sur le fait que ce sont des athlètes «comme les autres» qui méritent les même traitements que leur homologues valides Dans un contexte normalisé, c’est bien la capacité à imiter (voire surpasser) les actions des valides qui est encensée. Un dépassement souvent rendu possible par des technologies auxquelles la plupart des gens n’auront jamais accès (orthèses dernier cri, fauteuil de compétition, infrastructures adaptées...).
Le sport posséderait le pouvoir d’effacer toutes les différences, de régler une fois pour toutes la question de l’inclusion dans la célébration de la performance. Cette fête ne concerne pourtant pas les handiEs coincées dans des institutions médicales ou psychiatriques qui n’auront jamais accès à ces espaces. Tant pis aussi, pour les handiEs qui ne peuvent (ou ne veulent) pas faire de sport. Celleux-là, la majorité donc, n’aura qu’à se contenter en guise de reconnaissance de la pitié qu’elle provoque. Dans un contexte où la pression sur le système de protection des malades s’intensifie (remise en cause des remboursements de frais de santé, difficultés à obtenir des aides, à faire valoir leurs droits), il n’est pas neutre de toujours valoriser les mêmes modèles.
Les Jeux Paralympiques ne créent pas une meilleure acceptation de l’autre dans la société. Ils participent au contraire à normaliser l’idée que les personnes handicapées sont une sous catégorie d’humainEs, « dignes » uniquement lorsque qu’iels accomplissent des exploits.
Hors jeu
En valorisant certains corps au détriment d’autres, les Jeux participent à créer une norme, qui influence bien au-delà de la durée de l’événement. Ici, j’ai particulièrement développé la question des corps handicapés, mais c’est également le cas pour les corps non blancs et/ou qui ne correspondent pas aux normes genrées. Cette normalisation passe par des processus souvent humiliants comme les tests de féminité obligatoires pour les personnes jugées trop masculines par leurs adversaires. Elle passe aussi dans la parole des commentateurices sportifs, qui s’attachent à donner leur avis sur le physique des athlètes (en particulier femme). À noter qu’à ce stade les personnes trans ne font même pas partie de la conversation.
Les Jeux olympiques contribuent à l’exploitation, l’exclusion et l’expropriation des populations les plus marginalisées. Parmi elles, on compte les communautés citées plus haut, souvent condamnées à la précarité du fait de discriminations constantes. Présenter cet événement comme une démonstration d’inclusivité est un mensonge, et une justification hypocrite de plus à la souffrance que génère la tenue des Jeux pour les locaux forcés d’y participer (économiquement, spatialement...). Les Jeux olympiques ne sont pas une trêve internationale dédiée à la célébration du sport, mais un miroir grossissant sur tout ce qui ne fonctionne pas dans cette société. Quant à l’accessibilité, elle ne devrait pas être la caution de l’affaiblissement d’écosystème et de la gentrification des lieux de vie, dont nous sommes ensuite excluEs.
Par ailleurs, rappel que notre dignité ne se juge pas à nos exploits. Notre fierté handie peut reposer sur autre chose que notre capacité à imiter les personnes valides. La compétition entre les êtres, la recherche de la performance à tout prix, le culte de la force sont exactement la raison pour laquelle le handicap est perçu de facto comme une faiblesse. le fantasme de l’inclusion dans un monde régit par ces principes ne peut être qu’hypocrite. Le concept en lui-même repose sur l’idée d’une population «autre» qui faut inclure dans la norme. Nous restons l’autre, dans nos catégories et nos espaces à part. C’est le message des Jeux paralympiques qui font parti du problème, pas de la solution.
L’estropiéE attendrissant ou lea championNEs « hors normes » ne sont pas nos seules options. Il existe des alternatives, bien plus joyeuse à explorer, que celles basées sur des normes éditées contre nous.
Comme Avery Brundage, antisémite et raciste notoire, qui occupera la présidence pendant plus de vingt ans.
Des idées portées par Juan Antonio Samaranch, resté lui aussi 20ans à la présidence,
Voir le rapport « mega-events, olympic games et housing rights, opportunities for the olympic movement and others » ainsi que la brochure, déplacer les pauvres pour les Jeux. sur Saccage 2024.
Voir « Pourquoi on s’oppose aussi Jeux Paralympiques » écrit pas Objectif Autonomie en 2022.
à l’exemple du nageur brésilien Andre Brasil
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