#Enfants en ville
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fitnessmith · 2 years ago
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Villes, sucre et sommeil : enjeux santé pour tous
NOUVEAU PODCAST 👉 Villes, sucre et sommeil : enjeux santé pour tous
Dans cet épisode, nous allons parler d’enfants urbains, sucre réduit, sommeil actif et de défis santé actuels **NOUVEAU** : Dompter l’hyperphagie : 5 solutions efficaces à découvrir   Sommaire du podcast : Vivre en ville n’est plus une bonne solution pour les enfants  “Diminishing health benefits of living in cities for children and teens” souligne que les avantages traditionnels pour la…
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detragefietser · 7 months ago
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denisenini · 1 year ago
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Le vrai Charles Ingalls
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chic-a-gigot · 18 days ago
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La Mode nationale, no. 4, 27 janvier 1900, Paris. No. 12. — Groupe de toilettes et de manteaux pour dames et enfants. Bibliothèque nationale de France
(1) Manteau de promenade ou de voyage pour fillette de 8 ans, en drap gris zinc, à deux pèlerines. Au bord deux biais de 2 centimètres. Col et poignets en velours gris sours.
(1) Walking or traveling coat for 8-year-old girl, in zinc gray cloth, with two capes. On the edge two 2-centimeter biases. Collar and cuffs in sour gray velvet.
Matériaux: 3 mètres de drap.
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(2) Robe pour fillette de 8 et 10 ans, en cover-coat mousse clair. Jupe en forme unie; corsage blousé décolleté en carré sur un plastron en taffetas mousse plissé. Revers en velours mousse foncé; même col et ceinture. Deux pattes ferment le corsage avec deux boutons de nacre.
(2) Dress for girls aged 8 and 10, in light moss cover-coat. Plain skirt; bloused bodice with square neckline on a pleated moss taffeta bib. Lapels in dark moss velvet; same collar and belt. Two tabs close the bodice with two mother-of-pearl buttons.
Matériaux: 3m,50 de lainage.
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(3) Redingote pour jeune femme, en drap bois, bordé de biais piqué. Cette redingote très ajustée forme jupe et collet. Trois bandes de fourrures posées en V l'ornent à mi-hauteur. Le collet court est fait d'un col très montant etd'un plastron de fourrure à larges revers, d'un volant de drap en forme, et d'un volant de fourrure en forme également.
(3) Young woman's frock coat, in wood cloth, edged with stitched bias. This very fitted frock coat forms a skirt and collar. Three fur strips placed in a V adorn it halfway up. The short collar is made of a very high collar and a fur plastron with wide lapels, a shaped cloth flounce, and a shaped fur flounce.
Matériaux: 6m,50 de drap.
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(4) Robe de dîner pour dame d'âge moyen, en velours glacé turquoise. La tunique princesse, drapée à la taille tombe sur une jupe bordée d'un haut volant plissé. Cette tunique est richement ornée de Venise el fermée par des pattes de velours bleu foncé et des boutons de strass. Le grand col forme berthe et s'ouvre en fichu sur un drapé de mousseline de soie bleu turquoise. En faisant monter le drapé jusqu'au cou, on aurait une très jolie toilette de ville.
(4) Dinner dress for a middle-aged lady, in turquoise glazed velvet. The princess tunic, draped at the waist, falls over a skirt edged with a high pleated flounce. This tunic is richly decorated with Venice lace and closed with dark blue velvet tabs and rhinestone buttons. The large collar forms a berthe and opens into a fichu on a drape of turquoise blue silk muslin. By raising the drape to the neck, one would have a very pretty city outfit.
Matériaux: 18 mètres de velours.
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(5) Dos de la figure 6.
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(6) Collet mi-long en drap rouge brique. Grand col en châle et revers en astrakan; bord dentelé en astrakan. Trois biais piqués suivent les contours de la bordure. Haute frange de mongolie.
(6) Mid-length cape in brick red cloth. Large shawl collar and lapel in astrakhan; serrated edge in astrakhan. Three stitched biases follow the contours of the border. High Mongolian fringe.
Matériaux: 2 mètres de drap.
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(7) Tailleur en drap prune. La tunique bordée d'un biais piqué de blanc recouvre la jupe ornée de deux volants en forme. Jaquette courte derrière et sur les côtés, les pans de devant un peu plus longs. Col et revers découpés en deux pointes; parements crispins doubles. Col montant en velours.
(7) Plum cloth suit. The tunic edged with a white stitched bias covers the skirt decorated with two shaped flounces. Short jacket at the back and sides, the front panels a little longer. Collar and lapels cut into two points; double crispin facings. High velvet collar.
Matériaux: 7m,50 de drap.
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(8) Dos de la figure 7.
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sabinerondissime · 5 months ago
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Journal
Le mariage est passé et la pression qui l'entourait aussi. Me voilà avec un nouveau nom et pas mal de paperasse à faire. Cette journée de samedi 07 septembre restera dans ma mémoire. Même si mon mariage était petit, il était à mon image. Pourtant, je n'y suis pas pour grand chose, ce sont mes enfants et en particulier ma belle-fille et ma fille qui se sont occupées de tout. Ma fille m'a coiffé et elle m'a rendu plus jolie et plus sûre de moi dans ma robe champêtre. Mon mari quand à lui, était tellement paniqué à l'idée de ne pas porter de veste sur sa chemise, qu'il est allé en acheté une 1 heure avant la cérémonie. Il a aussi prit une autre chemise, celle que nous avions choisit étant trop cool pour être porté avec une veste de costume. Nous avons rejoins nos invités sur le parking de la mairie et tous mon complimenté sur ma robe, pourtant simple et peu cher (acheté sur Temu, c'est dire ! ) mais qui m'allait à ravir et me correspondait tout à fait. Nous avions demandé aux invités de ne pas s'habiller exprès mais les témoins étaient magnifiques. Mes fils en chemise rose pale et nœud papillon bleu et ma fille et ma belle-fille en robe longue rose. Avant que la cérémonie ne commence, je me suis renseignée sur un point avec l'adjointe au maire qui me regarde et me dit : Mais ce n'est pas vous la mariée ? ... Pour elle, une mariée doit forcément porter une robe blanche et être âgée de moins de 50 ans, je présume. Ensuite, elle s'est trompée dans le prénom du mariée et elle n'a pas vu que les 4 témoins n'ont pas tous signés sur les documents. Mais elle nous a fait une belle photo avec mes 12 invités alors, je lui pardonne ! Nous sommes allés boire un café et faire des photos avant d'aller au restaurant à midi. Les enfants avaient préparé une voiture ballait, celle qui ferme le cortège, avec des plumeaux colorés sur les rétroviseurs et un déambulateur gonflable sur le coffre ! Après un délicieux déjeuner, nous étions tous invités chez mon fils et ma belle-fille pour manger les gâteaux préparé par ma belle-fille. Mon mari a fait duré le plaisir en passant en voiture dans le centre ville, tout en klaxonnant. Les autres ont suivit. Un petit cortège mais un cortège bruyant tout de même . Chez mes enfants, le salon avait été merveilleusement décoré, dans les tons rose et or. Il y avait des ballons partout, une table avec des gâteaux dont une pavlova en forme de cœur, un livre d'Or, deux mariées en résine (encore plus vieux que nous), un coin photo avec des accessoires pour se déguiser et un fond musicale année 80. C'était vraiment génial et l'ambiance était super. Ma tant redouté belle-mère, la femme de mon père, m'a même dit s'être plus amusée à mon mariage qu'à celui de sa petite-fille, quelques semaines auparavant. Ce fut un mariage tout simple, à notre image, entouré des gens que nous aimons, même si tous n'ont pas pu être présent, car nous vivons très loin de ma famille. Mais mes enfants étaient là, mon petit fils aussi, mon père avait également fait le déplacement ainsi que la sœur de mon mari et tous ont contribués à faire de ce jour une belle réussite que nous garderons à jamais dans nos cœurs.
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lounesdarbois · 14 days ago
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Gustave Doré dessine les ouvriers de Londres
Les commentaires les plus profonds sur l'Angleterre sont l'œuvre de Français. Jules Vallès, Céline, Morand, Hippolyte Taine et bien d'autres ont compris ce pays et ses mœurs comme si c'étaient les leurs. Nul n'est prophète en son pays. Le grand peintre figuratif de l'ère victorienne est le français James Tissot, mais c'est Gustave Doré qui demeure avec son album de 1872 London a pilgrimage, le principal sociologue par le dessin de l'envers du décor d'une société au sommet de son empire sur le monde.
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Tout français qui assume sa sensibilité d'artiste, une fois introduit dans les centres décisifs de Londres est un enfant dans un magasin de jouets. Pour visualiser ce qu'était cette ville en 1872 il faut d'abord imaginer son fleuve large comme quatre fois la Seine. Une eau verte et grise battue par les vents, vaste comme la mer. Sur cette étendue avancent à pleines voiles des bateaux de toutes tailles, dans toutes les directions, penchés sur l'eau par la force du vent, des myriades de bateaux qui vont chacun leur chemin, et d'autres amarrés par grappes ensemble ça et là au hasard, immobiles avec leurs gréements nus, chaque rive garnie de colonnes de navires au mouillage alignés par dizaines comme des voitures au péage. Si bien qu'en levant le regard sur ce paysage dantesque ce sont des centaines de bateaux qui apparaissent, et qui deviennent des milliers de bateaux jusqu'à l'horizon.
Et sur chaque rive de ce fleuve s'étend une ville, et dans cette ville voici une population de travailleurs qui circule, qui entre et sort des bâtiments, une colonie humaine innombrable qui fourmille sous tous costumes, uniformes, fardeaux, qui est là dans les rues bondées, dans les étages, par les fenêtres, sur les quais, sur les bateaux. Partout la vie, le travail, l'avenir.
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De 1560 à 1960, quatre siècles ont nourri Londres la chétive, à la petite cuillère. Cette cuillère fut l'arrivage continuel des navires coloniaux chargés de marchandises, régime qui fortifia un corps entier, développant les muscles l'un après l'autre. Les quais. Les hangars. Une Venise rationalisée. La ville était creusée de rues aquatiques garnies d'installations inventées pour fluidifier le trafic des bateaux : débarcadères douaniers, entrepôts étanches, péniches grutières, corderies, leviers sur pivot hydraulique, tourelles de mâtage, guichets d'examen d'échantillons, stations de pesage, zones de tri, wagonnets de transbordement. Des quais longs comme des routes, les hangars les plus hauts jamais vus, des murailles de 10 mètres pour empêcher les voleurs d'attenter au trésor de l'Angleterre. Et pour servir ces équipements était la foule immense des travailleurs prolétaires de tous âges, avec leur famille.
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Peu d'hommes ont ce don du témoignage exact. Pascal l'avait pour la condition humaine, Doré pour les sociétés vivantes. Ses illustrations de Dante et des Fables sont connues. Son art culmine dans son Pèlerinage à Londres au moment où cette ville était le premier port du monde, le convecteur de millions de tonnes de marchandises par jour. C'est cette accumulation du capital par l'accumulation de marchandise qui engendra en ce même endroit à la fois Rotschild et Marx, le keynésianisme et Mosley, Charles Darwin et John Wesley, les Lords du commerce et les cockneys manutentionnaires. Tous les contraires, toutes les dualités radicales se sont forgées ici sans pourtant se heurter jamais. Extériorisant sur le continent ses contradictions comme un corps fiévreux sue pour guérir, l'Angleterre n'était plus la proie d'aucun trouble interne majeur depuis Cromwell, deux siècles auparavant.
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Le cœur du monde bat calmement. Cette scène de déjeuner à Epsom, improvisé sur les calèches arrêtées au milieu des foules allant et venant, le rappelle. Chaque visage y est comme la nuance amusante et spéciale d'un type physique général. Amusantes jeunes femmes tête couverte dans leur chale de laine, gracieux attelages, chevaux comme des cygnes à l'encolure courbée. Mais pour qu'une seule de ces dames en leur maison georgienne capitonnée de tapisseries afghanes, puisse prendre son thé indien dans une tasse Wedgwood, il a fallu que se lèvent aux aurores des milliers d'ouvriers, de porteurs, de sherpas, de soldats, de matelots. Des hommes payés pour trouver, acheminer, façonner, sécuriser, entreposer. Doré rend justice à ces hommes.
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Observez ces portefaix qui ploient sous leur fardeau. Il s'agit de ballots de thé du Sri-Lanka, de sacs de sucre de Jamaïque, de rouleaux de tapis d'Iran, de caissons de marmelades d'Égypte, de piles de peaux de bêtes du Canada, de tonneaux de vin cuit du Portugal, de mille articles nouveaux dont la nouvelle bourgeoisie raffole. D'autres navires arrivent chaque jour d'Australie, de Fidji, de Singapour. Ces hommes en vident les cales puis les chargent à nouveau de laine, de gin, de houblon avant que ces cargos reprennent la mer vers l'Inde, la Chine, la Tanzanie.
Londres est une grande roue et ce rude prolétariat est attelé à ses rayons. La rotation continue qu'ils impriment projette le surplus au dehors et attire les nutriments à l'intérieur, force giratoire véloce en son pourtour et tranquille en son centre. Le cœur du monde bat son rythme.
Londres serait restée une banale cité-pirate comme l'ont été Tyr, Nhatrang, Alger ou Istanbul à certaines époques, si elle n'avait pris le parti de retravailler les matières premières obtenues à l'étranger en des produits manufacturés à vendre. En cela Amsterdam avait précédé Londres dans le grand idéal colonial d'une ville européenne à la fois enracinée dans son monde propre et irriguée de ce que le monde alentour offre de meilleur (l'exact contraire d'aujourd'hui). Idéal assez fort pour partir fonder outre-mer d'autres Londres: Singapour, Hongkong, Sydney.
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Ces hommes se laissent pousser la barbe et rasent la moustache, précepte religieux observé encore de nos jours par les Amish et les Salafi.
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Et ce manutentionnaire de troisième étage de hangar de Millwall, arc-bouté sur son palan à 12 mètres au-dessus du sol, pour l'attirer dans la chambre de stockage, n'est-il pas là, présent devant nous? Gustave Doré a su voir l'extraordinaire dans l'ordinaire de son époque.
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Doré dessine non pas la foule dépareillée, bordéleuse et rapace que nous coudoyons de nos jours mais un peuple au travail. Un peuple physique, religieux, pauvre, heureux, un peuple chantant, varié, et blanc (albe, albinos, "Albion"). L'Angleterre est la synthèse de l'Europe, l'estuaire de la Tamise a tamisé les hommes du continent venus remonter son courant, et ce fleuve est le déduit filtrant du continent dont il n'a gardé que le suc, d'où cette grammaire simplifiée qui est la partie visible, audible, de soubassements plus profonds.
Londres est le pèlerinage continuel des européens initié par le peuple français dès 1066, et quelque ennemi que l'on puisse être de ses Whigs, des cruelles manœuvres de son Foreign Office, de l'Intelligence Service activateur de guerres, de ses Churchill bouffis et autres donneurs d'ordre par téléphone, un Français peut regarder Londres comme une partie de lui-même enfuie ailleurs il y a longtemps. L'expatriation ressemble parfois au remembrement, ou au souvenir (to remember).
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Les professeurs gauchistes nous ont rebattu les oreilles avec la notion d'exploitation du travailleur. Le style crayonné et grisaillant de Doré semble parfois forcer le trait en ce sens. Pourtant sommes-nous mieux ou moins biens lotis que ces bougres dessinés par Gustave Doré? Il a dépeint tout ce dont nous manquons aujourd'hui. Un peuple autour de soi, nombreux, cohérent. Du travail assuré. Dix enfants par foyer. Le mouvement, l'entraide, l'action concrète sur les choses. Gustave Doré montre la vie vivante comme nous ne l'avons jamais vue. Elle a existé. Autant d'éléments impensables en nos temps d'abstraction et de dépeuplement qui n'en finissent plus. Rappelons que depuis 30 ans un Français peut à peine trouver du travail dans son propre pays, ou se marier avec une femme de chez lui, ou enfanter, ou acheter un foyer décent. Les rues sont vides, les villages morts, les gens éteints, et pour chaque Français qui se tient bien dix hyènes venues de l'enfer convoitent son pain, son travail, sa maison, sa femme, sa voiture, son argent.
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Revoyons la richesse objective des travailleurs pauvres de 1872, cent fois plus substantielle que notre fausse monnaie actuelle. Richesse d'enfants nombreux, abondance d'avenir meilleur, profusion de chansons de marins et de territoire à soi, ressources de bon sens paysan et de religion stable. Le moindre immeuble accueillait dix familles blondes autour d'un feu sous une marmite suspendue. Un simple manutentionnaire avait un logement comprenant sous-sol, étage et grenier, il était père de sept enfants et la vie portait tout cela. À bien y regarder, la pauvreté d'hier est un luxe aujourd'hui. Ces prolétaires logeaient en plein centre-ville dans des maisons individuelles avec jardinet. On les voit manger des huîtres chaque jour, le plat du pauvre. Ils circulent en confiance dans des rues à eux. Ces joies devenues payantes sont aujourd'hui des privilèges de millionnaires.
Dieu a voulu des inégalités, pas des injustices. Gustave Doré montre en 1872 une société très inégalitaire et assez juste. La société actuelle est à la fois égalitaire et injuste. Que le tout-venant s'installe chez vous à égalité avec vous comporte une note d'obscènité en plus du degré d'extrême injustice. Le pouvoir le sait, le veut. Tout est là.
Pour accomplir un travail très physique la classe ouvrière se sélectionnait elle-même dans la partie la plus saine du peuple. Elle avait l'éthique du travail bien fini, la fierté de sa maîtrise physique, technique, d'outils de production d'importance vitale pour la survie commune. L'Angleterre a tôt choyé ce précieux capital humain: maisons individuelles, viande abondante, premiers systèmes d'entraide mutuelle pour les accidentés. Il y eut un Proudhon anglais un peu plus tardif que le nôtre, ce fut William Morris.
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Que reste-t-il de ce peuple ouvrier aujourd'hui ? Il reste la Culture. Tout d'abord leurs clubs de football, montés à partir de 1868. West Ham United pour les ouvriers des forges et l'emblème des deux marteaux croisés, Millwall Football Club pour les manutentionnaires des docks de Millwall, Arsenal FC pour les fondeurs de canons etc. Tout le mouvement skinhead, l'esthétique Fred Perry, Ben Sherman, butcher coat, gingham shirt, et avant eux les Black Shirts, les Teddy boys, les Mods, et tant de chansons, tout cela provient de l'héritage ouvrier d'une période légendaire. Londres est la seule ville connue où le prolétariat fut producteur d'une Culture. C'est un fruit involontaire et magnifique d'une Monarchie chrétienne donné aux pauvres: la stabilité. Au contraire la république soi-disant française, avec ses neuf révolutions et guerres par siècle a sadiquement forcé l'extinction d'un peuple notoirement plus beau que l'anglais.
Le Romantisme, grande passion française, est un mouvement étrange qui active chez l'artiste la nostalgie d'une époque qu'il n'a pas connu. En célébrant l'Angleterre Gustave Doré chante en réalité la France et elle seule, les notes de ce qu'elle aurait pu être, les accords encore muets de ses potentiels sous cloche. Quand nous passons la Manche pour voir dans les stades soixante mille gaillards chanter des airs anciens debouts les bras en croix nous n'avons d'émotion que pour notre pays à nous. C'est de moi que je parle. J'ai la nostalgie de Montorgueil Sport contre Louvre-FC, de Villette Abattoir contre AS-Vincennes, et du tournoi des quinze clubs franciliens remporté par les Flèches Noires de Paris devant cent mille Dupont-Dubois qui chantaient dans les graves "Rien de rien, non je ne regrette rien". Nostalgie de ce qui n'a pas été porte en soi le monde à venir qui veut être.
Si Gustave Doré a le mieux dessiné Londres c'est qu'il faut être extérieur à l'objet pour le bien voir. De la même façon, c'est un étranger, l'anglophone David Crosby qui a le mieux chanté notre Carillon de Vendôme, mélodie du Moyen-Age, complainte émue des villages restés fidèles au royaume de France envahi, réduit à portion congrue. Que reste-t-il à ce Dauphin si gentil? Orléans, Beaugency, Notre Dame de Cléry, Vendôme, Vendôme. Elle ferait une très belle chanson de stade, en canon, dans les graves.
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elodiecsu · 1 year ago
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Ce matin nous déjeunons après avoir déposer les enfants.
Puis canapé ou je m’allonge en mettant mes pieds sur tes jambes, tu es assis .
Tu masse pieds , jambes, cuisses, mes seins.
Te voilà sur moi , entre mes cuisses, ta bouche sur mon cou , une protubérance presse mon entrejambe.
Tu enlèves ton sweat-shirt, sors mes seins de mon soutif et les lèches.
Tes fesses sont précieuses dans mes mains et mon bassin gigote contre ton pantalon.
Tu sors ta verge par ta braguette, je n’ai pas le temp de la saisir que tu ecarte mon body et remonte ma robe .
Un missionnaire de père et mère s’en suit puis affaler , jambe sur tes épaules, ta verge est maintenant une queue large qui me fait couiner comme une amante .
Cette queue devient une bite affamée qui s’engouffre dans mon petit trou en me rappelant que tu dois te vider, telle est ton devoir de féconder.
Tu m’embrasse, referme ta braguette , ta verge et toi doivent aller en ville .
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aurevoirmonty · 17 hours ago
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Le 13 février 1945, la ville de Dresden est réduite en cendres lors de l’attaque « tempête de feu » menée par les anglo-américains, provoquant la mort de plusieurs dizaines de milliers de civils.
Dans les dernières semaines de la guerre, la ville avait vu affluer des centaines de milliers de réfugiés, portant sa population à près d’un million de personnes.
En l’espace de quelques heures, 7000 tonnes de bombes incendiaires sont larguées sur la ville. L’intensité des incendies engendre des températures dépassant les 1000 degrés Celsius, tuant de nombreux civils, majoritairement des femmes, des enfants et des vieillards dans leur sommeil.
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clhook · 5 months ago
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Ces derniers temps je pense beaucoup à ma meilleure amie d'enfance et d'adolescence avec qui j'ai plus trop de contact parce qu'elle sera pas à mon mariage et ça me travaille beaucoup, pas parce que j'aurais aimé l'inviter mais plutôt par nostalgie de la relation qu'on avait petites, quand on pensait à l'avenir on était persuadées qu'on vivrait dans la même ville je serais bibliothécaire et elle fleuriste (ça ça s'est bien réalisé pour le coup mdr) et on serait témoin au mariage l'une de l'autre et on serait marraine des enfants de l'autre mais ça s'est pas passé comme ça je suis partie et elle est restée là où on a grandi, on voulait plus les mêmes choses de la vie et surtout j'ai commencé à assumer de vouloir des trucs qu'elle ne voulait pas alors qu'avant je m'écrasais pour faire comme elle. Je pense pas que la relation était spécialement toxique mais en tout cas très déséquilibrée elle était la meneuse extravertie jolie etc et moi la suiveuse réservée un peu cheum lol je pense que ça la flattait d'avoir toujours quelqu'un avec elle qui la rendait encore mieux par comparaison. Moi je disais rien parce que j'avais trop peur d'être seule mais maintenant j'ai ma vie ma maison mon keum mon travail et je suis loin donc on s'est pas quittées en mauvais termes mais juste on s'est éloignées et maintenant se suivre sur instagram c'est le seul aperçu de la vie de l'autre qu'on a. Bref tout ça pour dire que je rumine beaucoup sur le fait de vivre mon mariage sans elle tout en étant sûre que j'ai pas envie qu'elle soit là non plus c'est difficile à appréhender mais j'étais trkl dans mon coin avec mes pensées sauf que ma mère m'a dit hier qu'elle avait laissé une lettre pour moi chez mes parents et ça m'a mis dans un état d'angoisse pas possible parce que j'ai peur de lire cette lettre et d'être assaillie de sentiments pas sains pour moi ou être obligée de reprendre contact (parce que j'ai clairement pas envie, je suis très bien maintenant avec seulement la nostalgie de ce qu'on avait) et en même temps ne pas la lire me rendrait foldingue parce que je suis la meuf la plus curieuse de la terre bref je sais pas quoi penser de cette histoire 🤪🤪🤪 oui vous avez lu jusque là pour cette conclusion je suis bien désolée pour vous
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transparentgentlemenmarker · 3 days ago
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Si tu parles à un animal, tu es bizarre. Si tu interroges les étoiles, tu es étrange. Si tu écoutes le vent, tu es farfelu. Si tu embrasses les arbres, tu es loufoque. Si ta plus douce compagnie est le silence, tu es ridicule. Si tu contemples la nature, tu es toqué. Si tu danses sous la pluie, tu es fou. Si tu rêves éveillé, tu es déconnecté. Si tu crois encore en la magie, tu es un enfant. Si tu préfères la Lune à la lumière des écrans, tu es dépassé. Si tu trouves de la poésie dans une goutte d’eau, tu es perdu. Si tu traces des chemins invisibles dans l’herbe, tu es rêveur. Si tu vois des personnages dans les nuages, tu es naïf. Si tu chantes sans raison, tu es dérangé. Si tu préfères les murmures de la forêt au brouhaha des villes, tu es asocial. Si tu collectionnes les éclats de lumière dans les yeux des passants, tu es étrange. Si tu fais confiance à l’intuition plutôt qu’à la logique, tu es imprudent. Si tu trouves des trésors dans les petites choses, tu es excentrique. Peu importe ce que les autres pensent de Toi. Il n’y a pas de plus grande Liberté que d’exprimer ce qui nous fait du bien. Rappelle-toi : la plus belle folie est celle d’être soi-même. Le monde appartient à ceux qui osent être différents, à ceux qui parlent aux étoiles et écoutent leur cœur chanter. C’est dans ces singularités que réside ton trésor. Ce que certains appellent bizarrerie est souvent une sensibilité au monde, un élan vers l’essentiel, une danse avec l’authentique. Continue de parler aux étoiles et de danser sous la pluie. Continue de voir la beauté là où d’autres passent sans regarder. Parce que ce sont ces âmes libres qui donnent au monde sa profondeur et ses couleurs. Et souviens-toi : ce qui te rend différent est aussi ce qui te rend indispensable.
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Anne V. Besnard
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jeanchrisosme · 11 days ago
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Si tu parles à un animal, tu es bizarre. Si tu interroges les etoiles, tu es étrange. Si tu écoutes le vent, tu es farfelu. Si tu embrasses les arbres, tu es loufoque. Si ta plus douce compagnie est le silence, tu es ridicule. Si tu contemples la nature, tu es toqué. Si tu danses sous la pluie, tu es fou. Si tu rêves éveillé, tu es déconnecté. Si tu crois encore en la magie, tu es un enfant. Si tu préfères la Lune à la lumière des écrans, tu es dépassé. Si tu trouves de la poésie dans une goutte d’eau, tu es perdu. Si tu traces des chemins invisibles dans l’herbe, tu es rêveur. Si tu vois des personnages dans les nuages, tu es naïf. Si tu chantes sans raison, tu es dérangé. Si tu préfères les murmures de la forêt au brouhaha des villes, tu es asocial. Si tu collectionnes les éclats de lumière dans les yeux des passants, tu es étrange. Si tu fais confiance à l’intuition plutôt qu’à la logique, tu es imprudent. Si tu trouves des trésors dans les petites choses, tu es excentrique. Peu importe ce que les autres pensent de Toi ! Il n’y a pas de plus grande Liberté que d’exprimer ce qui nous fait du bien. Rappelle-toi : la plus belle folie est celle d’être soi-même. Le monde appartient à ceux qui osent être différents, à ceux qui parlent aux étoiles et écoutent leur cœur chanter. C’est dans ces singularités que réside ton trésor. Ce que certains appellent bizarrerie est souvent une sensibilité au monde, un élan vers l’essentiel, une danse avec l’authentique. Continue de parler aux étoiles et de danser sous la pluie. Continue de voir la beauté là où d’autres passent sans regarder. Parce que ce sont ces âmes libres qui donnent au monde sa profondeur et ses couleurs. Et souviens-toi : ce qui te rend différent est aussi ce qui te rend indispensable.
Anne V. Besnard
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yohannklucem · 8 months ago
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Petit extrait de l'introduction du livre "Le Pouvoir Secret de la Cage de Chasteté"
Tout a commencé il y a environ cinq ans. Cadre moyen dans une entreprise moyenne, je vis avec ma femme Lyana et mes enfants dans une ville de province moyenne. Nous fêtons à cette époque notre 45ème anniversaire et nos 25 ans et quelques de vie commune. Sur le plan sexuel, nous nous retrouvons également dans la moyenne: il y a des hauts et des bas, comme dans tous les couples, mais les périodes vraiment difficiles qui ont suivi la naissance des enfants sont désormais derrière nous. Certes, après 25 ans de routine, le désir s’est quelque peu émoussé, mais la volonté partagée de continuer à avancer ensemble nous permet heureusement d’entretenir la flamme. Encore mieux, nous restons tous les deux animés par une bonne dose de curiosité et d’attrait pour la nouveauté, qui se conjuguent avec une grande ouverture d’esprit, un certain mépris pour les conservatismes et les tabous. Cette complicité et cette liberté nous ont poussé à explorer (et souvent à abandonner aussitôt faute d’y trouver un plaisir commun) certaines pratiques « originales ».
C’est ainsi qu’une cage de chasteté a fait un jour son apparition dans le tiroir de notre chambre à coucher au milieu de quelques autres gadgets achetés sur un site de vente en ligne. Au début, il ne s’agissait que d’un jeu sexuel occasionnel et de courte durée, destiné seulement à « faire monter la pression » pour pimenter une soirée. Jusqu’au jour où j’ai franchi le pas en portant la cage pendant toute une journée au travail.
Premier effet waouh: l’excitation d’avoir cet objet accroché autour de la partie la plus sensible de mon anatomie, l’anticipation de la soirée érotique qui allait suivre, avec en plus le supplément d’adrénaline causé par la peur que quelqu’un ne se doute de quelque chose; toutes ces choses se sont révélées produire un summum d’excitation et de tension sexuelle. Pourtant, paradoxalement, je ne me suis jamais senti aussi efficace pour faire mon job. C’était comme si toute mon énergie sexuelle, à défaut de pouvoir se déployer dans une érection, venait doper ma concentration et ma vivacité. Progressivement, j’ai appris à porter la cage de plus en plus longtemps. Finalement, un jour, j’en ai confié la clé à Lynia.
Deuxième effet waouh: alors que nous étions habitués à faire l’amour entre une fois par semaine et une fois tous les quinze jours, nous sommes brutalement revenu au stade « jeune couple » avec des moments intimes trois ou quatre fois par semaine. Quand Lyana m’a lâchée, après un orgasme incroyable, d’une intensité inédite, « si j’avais su que ça produisait cet effet, j’aurais mis ta bite sous clé beaucoup plus tôt! », j’ai compris que ce jeu sexuel ne ressemblait à aucun autre.
Enfin, le troisième effet waouh a été provoqué par notre fille, âgé d’une douzaine d’années à cette époque –la vérité sort toujours de la bouche des enfants, même quand ce sont déjà des pré-ados. « C’est vraiment super, papa, tu es beaucoup beaucoup plus cool en ce moment, plus patient et plus disponible pour nous. Il y a quelque chose qui a changé au boulot ou quoi? ».
Lyana m’a fait un clin d’oeil avant de me glisser discrètement: « La cage de chasteté, une méthode de développement personnel qui vous étonnera… il y a un bouquin à écrire, là ».
Le titre a un peu évolué en cours de route...
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detragefietser · 4 months ago
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camisoledadparis · 3 months ago
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saga: Soumission & Domination 327
Sosthène
Le second Escort de diversification est d'origine martiniquaise. Né à Fort de France en 2006, il est arrivé en France tout petit et n'a pas l'accent chantant de là-bas. Il est déjà en 2ème année d'études de lettres (doué le petit) et pratique la course à pied. Famille de fonctionnaire (parents professeurs, lui de français, elle des écoles), il est le second d'une famille de 4 enfants (soeur 20ans, lui 18 ans, frère 17ans, soeur 11 ans). Le rapport me souligne qu'il est homo outé dans sa famille et parmi ses amis. Sans petit copain actuellement, il change souvent de partenaires sans non plus en consommer 20 par mois ! Il utilise plus facilement internet que les lieux de drague, même s'il lui arrive de sortir dans certains bars gays.
Le portrait me va. Je compte y aller direct avec lui. Premièrement je ne cours pas le marathon même si j'ai bien récupéré de mon accident et deuxièmement je me fatigue à chercher des approches discrètes.
Muni de son dossier, je me pointe à la sortie de sa fac un soir de semaine. Je l'aborde et direct je lui montre mon dossier. De voir son nom sur un carton l'intrigue. Je lui dis que j'ai sa vie dedans et que j'aimerai lui proposer un travail en relation avec ses capacités. J'ajoute pour qu'il ne se méprenne pas qu'il ferait un escort superbe. Je n'ai plus qu'à attendre sa réaction.
Elle ne tarde pas. Après m'avoir scruté bien 5 mn, il me dit qu'on peut aller boire un verre et que c'est moi qui paye. Ça me va.
Même s'il y a toujours un café à côté de l'entrée des facs, il me demande d'aller plus loin, il y connaitra moins de monde susceptible de troubler notre conversation. Dixit Sosthène dans le texte !
Quand on arrive devant ma voiture, il me demande si c'est celle de mon père. Je ne réponds pas et lui dis de monter. Il hésite mais accepte quand je dis qu'il y aura plein de monde pour décrire la caisse dans laquelle il est parti au cas où je voudrais le kidnapper. Il rit et monte dedans. On roule pour trouver un bar en centre-ville. Puisqu'il est "out ", je choisi un bar gay.
Il accepte un demi et je prends pareil. Il me demande alors d'éclaircir ma proposition. Je lui explique les prestations de ma société et lui dit clairement que je suis à la recherche de diversifications ethniques. J'ajoute en riant qu'il fait partie d'un programme de discrimination positive. Il me demande son dossier. Je le lui tends. Il le lit consciencieusement, revenant sur certains paragraphes. Il me demande qui a fait ce travail et m'avoue qu'il est très complet. Il trouve les infos sur ses parents et l'analyse de leur situation financière un peu intrusif et limite illégal. Je le rassure et lui dit qu'il sera détruit dès qu'il m'aura donné sa réponse, qu'elle soit positive comme négative. Je lui dis que ce dossier me permettait juste de contacter les personnes les plus susceptibles d'accepter.
On vide un peu nos verres. Je le laisse réfléchir. Il me pose quelques questions concernant le temps que ça risque de lui prendre. Il ne veut pas que ça interfère trop avec ses études. Je l'assure que bien qu'il sera sûrement très demandé, je serais en mesure de limiter ses prestations à 1 par semaine si cela lui convient. Il me demande alors combien il se ferait dans cette configuration de travail. Quand j'annonce le chiffre, il n'en revient pas. Je précise que c'est le tarif en cas de prestations classiques ++. Il me demande si ce que j'entends par ++ serait de type sexuel. J'acquiesce. Avec des mecs ? Re-acquiescement de ma part. Ouf de sa part, il avait craint devoir assurer avec des cougars !     
Il accepte et me dit que ça fera du bien qu'il s'assume tout seul vu qu'avec ses 3 frère et soeurs, ses parents comptent leurs dépenses.  Je lui donne ma carte et on fixe un rendez-vous. Je le ramène chez lui car il se déplace en Tram. Il me fait le lâcher au coin de sa rue.
Il passe au Blockhaus le jour prévu. Il me téléphone du trottoir, persuadé que je lui ai fait un plan foireux. Je descends le chercher. Quand il entre, il regarde partout. Quand il voit le parc de véhicules, motos comprises, il me demande combien il y a d'appart. Je lui dis qu'il n'y a qu'un seul logement, tout ici est à moi. Il a du mal à le croire. Je le pousse dans le monte-charge et nous allons à mon bureau. Depuis peu, à l'instigation de mes Escorts, j'ai décoré ses murs blancs par une frise de leurs photos, toutes prises dans la même position avec le même maillot Aussiebum. En plan rapproché, ils remplissent bien le format A4 (photo en pied).
Ça accroche le regard de Sosthène qui ne me parle qu'après avoir maté toute la série. Il me dit qu'il comprend. Ça manque un peu de couleur tout ça. Il ajoute qu'il ne devrait pas faire tâche sauf côté couleur bien sûr ! Je remplis le dossier des infos qui me manquent. Notamment la taille exacte de sa queue. Pour cela je lui demande de se mettre nu. Il s'exécute avec assez de grâce. J'en profite aussi pour voir sa pilosité. Il la maitrise déjà beaucoup, son torse et ses membres sont glabres. Ses dessous de bras sont tondus à 2 ou 3 mm tout comme son pubis proprement taillé. Ses couilles sont lisses et aucun poil ne sort de sa raie du cul. Sa queue pend entre ses cuisses. Le gland circoncis dépasse ses couilles de bien 6cm. A la mesure, au repos il fait dans les 14cm. Mais le fait de le prendre ne main change sont état. Il bande vite et se redresse à la verticale et pourtant y'a de quoi faire ! Je garde ma main dessus tant la sensation est agréable. Quand il me dit qu'il ne fera pas mieux, je mesure à nouveau. Le nombril est couvert depuis déjà quelques minutes, j'utilise ma main gauche pour tirer la hampe vers l'horizontale (ce qui n'es pas chose aisée) et pose le mètre ruban. En pleine forme mon nouvel ami développe un engin de 23cm x 5,8 de diamètre après un gland dont la couronne affiche un 6,2cm elle.  Couleur de l'ensemble plutôt foncée avec éclaircissement de la circoncision au gland et ce dernier d'un violet tirant vers le rose.     Je lui demande de confirmer sa " recto/verso bilité ". Il le fait et je lui demande quel côté il apprécie le plus. Pas de préférence c'est selon. Ça me va.
Je lui demande son statut sérologique, à sa dernière analyse il était séronég. Je lui dis qu'il ne pourra travailler qu'après une nouvelle analyse. J'en profite pour lui donner les principes de l'entreprise : rapports SSR exclusivement. Il prend l'adresse du labo.
Je lui brosse aussi le portrait type de mon client :
Particularité : de nombreux " neveux " !
Il tique sur la taille des bites. Je balaye son appréhension d'un revers de main et lui dis qu'avec un peu d'entrainement c'est faisable, qu'il regarde bien tous les mecs qui nous entourent. A part les quelques qui sont sur le marché féminin, tous les autres ne s'en portent pas plus mal. D'autant qu'à un rythme moyen d'une fois par semaine, il n'y a pas surutilisation.
A poil devant moi, son excitation commence seulement à retomber bien que cela fasse presque 5mn que nous discutons. Je lui demande comment il se trouve question " self défense ". Sa réponse est rapide, " nothing " ! Je lui dis qu'il y a une habitude dans ma société c'est d'être en capacité de se défendre de tout un chacun, du client qui outrepasse son contrat à la petite frappe qui croit que taper du PD c'est valorisant en passant par l'homophobe convaincu pour qui c'est un devoir que de nous casser la gueule. Il me dit n'avoir jamais été concerné jusqu'à présent. Je lui indique que je mets à disposition mes installations sportive (plateau muscu et combat + piscines) deux soir par semaine pour l'entretien du physique. L'encadrement est réalisé en interne. En natation par un vrai maitre-nageur et en sports de combat par des pratiquants de haut niveau en Karaté, Krav Maga, Capoeira et même par deux Commandos.
Il me demande où j'ai trouvé tous ces mecs. J'élude et lui propose de visiter les installations. On se lève et comme je m'approche du monte-charge, il me dit qu'il ne va peut-être pas y aller à poil. Je lui lance son slip et il l'enfile comme la porte s'ouvre.  Au second je lui fais visiter la partie muscu et son tatami central dédié au combat, les sanitaires et la piscine/jacuzzi. Puis nous descendons dans la serre.
Quand on arrive au rez-de-chaussée, PH entre en moto. J'attends qu'il la mette sur sa béquille pour approcher et présenter Sosthène. Il lui serre la main comme si ce dernier était tout habillé. J'ai l'impression que cela le trouble le nouveau ! PH me roule une pelle dès qu'il a retiré son casque, puis nous accompagne dans la serre/jardin. Le bassin surprend Sosthène surtout quand je lui dis qu'elle fait 25m.
Nous remontons ensemble au premier. PH nous laisse et continue vers les hauteurs.
Il est convaincu et signe le contrat que je lui mets sous le nez (il y a un codicille annulatif en cas d'analyse non conforme) . J'ajoute que j'ai oublié que le contrat comprenait aussi un véhicule de fonction. Il rit et me dit d'arrêter de plaisanter. J'ouvre le contrat au paragraphe et il lit que le véhicule est mis à disposition permanente avec sa carte de carburant pour l'équivalent de 300 € / mois. La marque et le modèles est à la discrétion de l'employeur. Il me demande si c'est pareil pour tous les contrats. Je lui explique qu'il n'est pas question que mes escorts se trimballent dans de vielles caisses pourries, il en va du standing de ma société. De même les transports en commun sont prohibés pour des raisons de pratiques, horaires, ligne... Donc il devra passer à ce garage (dont je lui fournis l'adresse) pour prendre sa voiture. Comme pour les autres, il a droit à une RCZ. Il hallucine quand je lui dis le modèle.
Quand il me demande quand il commence et que je lui dis mardi prochain. Réaction " déjà ? " Je complète par " entrainement physique ".
Avant qu'il ne parte, je lui demande pourquoi il a accepté de discuter avec moi. Après tout mon entrée en matière était un peu brusque. Il me dit que si j'avais été moche il aurait coupé court. Mais là, je l'ai intrigué et il s'était dit que si ça finissait par un " coup " il aurait pas tout perdu. Je m'approche alors et je lui roule une pelle pour le remercier d'avoir pensé cela. Je lui dis que la dernière étape, le test physique rapproché, aura lieu dès l'obtention de ses résultats même si on baise sous kpote.
72h plus tard, il me téléphonait pour me demander un rendez-vous pour " étudier " ses résultats d'analyse.
Quand il entre dans mon bureau, je remarque qu'il s'est vêtu avec un peu plus de recherche. Plutôt il a laissé ses vêtements de tous les jours à la fac pour des un peu plus branchés et de marque. Il me tend la feuille. Comme prévu tous les résultats sont négatifs, ce qui est positif pour son admission dans ma troupe. Alors que je lis il est déjà en train de se déshabiller. Quand je relève les yeux de mon papier, il est en boxer blanc ES. Et son début d'excitation le rempli bien !
C'est lui qui fait le premier pas. Il s'approche de moi, se colle contre moi et me roule une pelle des plus agréable. Ses lèvres pulpeuse mais pas trop grosses sont douces et contrastent avec sa langue râpeuse et exigeante. Il cherche le mienne et se bat avec elle dès qu'il la trouve. Cet échange me fait bander et je sens sa bite se développer entre nos deux corps. Elle court vers la droite, empêchée de se redresser à la verticale par l'élastique du boxer. Je glisse une main entre nos deux corps et décolle la ceinture du boxer de ses abdos. Sa bite des redresse immédiatement et je relâche. Il entreprend de me mettre nu. Le retrait de mon t-shirt lui permet d'attaquer mes tétons et sa bouche délaisse la mienne pour venir les lécher, sucer, aspirer et pour finir les mordiller. Je suis sensible et ma queue bande encore plus, comprimée par mes jeans. Il le sent bien mais me laisse dans cet état le temps de bien dresser et faire gonfler mes deux tétons. Seulement alors, il glisse contre moi pour se retrouver à genoux et les yeux en face de mon bassin, il s'attaque enfin à mon pantalon. Il prend son temps pour l'ouvrir, bouton par bouton. La surprise, c'est lui qu'il l'a quand ma bite sort comme un diable de sa boite. Oups ! J'avais oublié de mettre un slip !!
Elle passe rapidement d'un emballage de toile par un en muqueuse naturelle et vivante. Très vivante même ! Il fait en sorte que ses joues collent ma hampe alors qu'il m'aspire vers sa gorge. Sa langue au passage tourne autour de mon gland, repousse encore plus mon prépuce alors qu'elle parcourt le dessous de sa corole. Ses mains posées sur mes fesses, il me pousse vers lui et je vois ma bite disparaitre en totalité. Bien callé entre ses amygdales, mon gland se fait masser par des déglutitions rapides qui l'attirent vers son estomac. Putain que c'est bon ! A part la question des dimensions, il maîtrise bien la pratique. Je pose enfin mes mains sur sa tête. Ses cheveux courts glissent entre mes doigts. J'affermis ma prise pour le diriger un peu. Mais ce n'est pas nécessaire vu comme il se donne.
Je dois même le calmer pour ne pas me mettre à jouir aussitôt.je le prends par les épaules et le relève. Il colle sa langue sur ma peau de mon gland jusqu'à ma bouche. L'effet est agréable. Quand il me donne sa langue, j'y retrouve un très léger goût de ma bite. Alors qu'on s'embrasse encore, il enjambe ma bite et la coince sous ses couilles. Ses balancements de bassin font frotter mon gland contre sa rondelle. Je mouille et ça lubrifie les glissements. Il se tourne brusquement prend appuis de ses avants bras sur mon bureau, cambre les reins et balance du cul pour m'appeler. Je n'y résiste pas et m'accroupis pour lui bouffer la rondelle. J'aime les gémissements de plaisir que ça lui fait sortir. Sa rondelle s'assouplie vite et je me redresse prêt à le planter. Vite une kpote et je m'enfonce d'un seul et long mouvement. Le temps de me pencher sur lui, d'attraper ses épaules et je donne le coup de rein final qui enfonce mon dernier cm. Bien qu'il se soit préparé, je le sens, il serre bien ma queue et de son côté semble apprécier la prise. Ses halètements me le prouvent. Alors que je me retire pour encore mieux y retourner, il me prend de vitesse et recule pour se planter lui-même. 
On se fait du bien mutuellement un bon moment dans cette position avant que je le tourne et ses chevilles sur mes épaules, son dos sur mon bureau, je mène à mon tour la danse. Il s'accroche au plateau alors que je l'encule virilement. Les coups de bassins secs et profonds alternent avec de lents mouvements qui me font sortir le gland de son cul. J'aime ses gémissements qui me signalent qu'il prend du plaisir. Comme leur fréquence est en train de raccourcir, je lui dis de se retenir je voulais qu'il m'encule à son tour. Je veux voir son côté actif. De mon côté je ralentis aussi mes va et vient avant de sortir complètement. Je lui tends une kpote et alors qu'il l'enfile, à mon tour je prends la position. En levrette, j'attends son assaut. Je suis grave excité mais il prend quand même le temps de me lécher l'anneau. Il fait même plus puisqu'il fait pénétrer sa langue d'au moins un cm dedans. Rapidement je me sens prêt et lui dis d'y aller. Ses mains se posent sur mes hanches (comme si j'avais envie de lui échapper !) et son gland se présente à ma porte arrière. Je pousse un peu et il me met ses 23cm entiers. J'ai bien senti le passage du léger bourrelet de son gland et chaque cm qui a suivi.
23cm c'est long mais c'est bon ! En même temps qu'il s'enfonce, je le sens basculer le bassin en de lentes rotations qui aident son avancée. Quand il est bien au fond, je passe mes mains en arrière agrippe ses fesses et recule brusquement pour m'assurer que j'ai bien tout en moi. C'est le cas et je relâche ma pression pour le laisser gérer. Il n'a que 18ans mais il me baise avec une science consommée du plaisir. Nous sommes de même taille et alors qu'il me laboure le cul, il se penche sur moi et ses lèvres posées sur mon cou me donnent des frissons supplémentaires. Il joue de sa langue avec mes oreilles. Quand je tourne la tête nos lèvres se collent et bien que nous nous roulions une pelle profonde, il ne cesse de me limer la rondelle. J'aime ça aussi. Je me décolle et lui demande depuis combien de temps il baise et qui l'a initié pour qu'il soit aussi bon. Je me tourne sur le dos et on se retrouve face à face. Il me fait un clin d'oeil et me dit que non ce n'est pas un pro plus âgé qui l'a initié mais qu'il a bien étudié sur internet et qu'il a adapté lors de ses mises en pratique avec des mecs de son âge.
Nous continuons à baiser et il me fait jouir. Le frottement à chacun de ses passages du renflement de son gland sur ma prostate a vite fait eu raison de ma résistance. Je me couvre de mon sperme et mes contractions anales qui bloquent ses va et vient de façon discontinue le font exploser dans sa kpote. Quand il se retire, je note une dose plus importante que la moyenne. Il n'y a pas que son sexe qui soit plus que la norme !
Sous la douche, je lui parle du fait qu'il n'a jamais baiser avec un " vieux " et lui demande s'il ne craint pas de blocage. Il me dit que non mais par précaution je vais le faire tester par Marc puisqu'il rentre le WE prochain. Avec ses 47 ans, et ses 22cm qui adorent les jeunes mecs, j'aurai une certitude sur ma nouvelle acquisition.
Je lui en fais part. Il est d'accord bien sûr. Comme je lui dis qu'il sera rémunéré comme une prestation normale, il se récrie que c'est encore une phase de test, qu'il n'a pas à être déjà payé. Je lui dis juste qu'avec Marc, il m'aura aussi ainsi que deux autres de mes hommes. Donc ce sera aussi une petite touze à 5. Il rit et me demande combien j'ai d'amant. Je compte sur mes doigts et par ordre d'apparition dans ma vie je liste : Marc 47ans, PH 21ans, Ernesto 21ans aussi et Ludovic 18ans. J'ajoute que ce sont tous mes maris aussi. Dans le sens où l'on s'aime tous. Il trouve ça spécial et me dit que lui n'a encore pas trouvé le grand amour, ni même l'amour tout court.
Une fois secs, je le félicite sur son boxer, il me dit que c'est celui qu'il porte quand il part en " sexe ". Il n'en a qu'un parce qu'ils ne sont pas donnés. Ça me donne l'occasion de parler de ses vêtements. Il n'a pas de costume et encore moins de smoking. Comme aux autres je lui donne l'adresse de mon fournisseur officiel. Pour les sous-vêtements, je l'emmène piocher dans le stock. Il hallucine de voir toutes les marques sur lesquelles il a bavé sur internet. Alors qu'il hésite entre deux boxers (ES et Addicted), je lui mets les deux entre les mains et l'oblige à en choisir d'autres. Il est comme un gamin devant ses cadeaux de Noël !
Il me dit qu'il n'a pas encore été chercher la voiture, il voulait que je sois sûr de l'embaucher. Du coup je téléphone au garage et leur dis de préparer une RCZ, qu'on venait la chercher. Quand on arrive, le concessionnaire est là. C'est vrai que cela fait un moment que je ne l'ai vu, on s'arrange au téléphone. Son fils est avec lui et c'est lui qui a préparé la voiture. Beau jeune homme d'une vingtaine d'année, il me dit que c'est lui qui est maintenant en charge de ma flotte de voiture. Je ne perds pas au change. Son bleu de mécanicien, propre, ouvert sur son torse glabre et très musclé, le rend très désirable. Désolé, c'est plus fort que moi, je dois être un peu obsédé ! Il nous conduit jusqu'à la voiture. Elle est noire et son polit la rend plus brillante qu'un diamant. On fait le tour et je ne peux m'empêcher de chercher son reflet sur la tôle. Je remarque quand même que je ne suis pas le seul intéressé par le mécano. Je vois mon Sosthène boire littéralement les paroles du beau mec. C'est sûr que ça le change des minets de sa Fac. Je me dis qu'il est temps de les laisser entre-eux. Justin me raccompagne à ma voiture. Alors qu'il ferme ma porte, il me demande si c'est aussi un employé de ma société. Je confirme son intuition et j'ai droit à un dommage qui sort du fond de son coeur. Je repousse la portière et le rappelle. Il se rapproche et je lui glisse que je ne gère pas leurs vies personnelles, s'il tenait à le savoir. Il me quitte avec un grand sourire. Serait-il des " nôtres " ce joli jeune homme ?
Curieux comme une vieille chatte, je ne peux m'empêcher d'appeler Sosthène une bonne heure après. Sous prétexte de savoir si tout va bien avec sa nouvelle voiture, je lui demande incidemment s'il avait réussi à avoir le n° perso de mon mécano. Je l'entends s'étouffer à l'autre bout ! Je lui rappelle qu'il fait ce qu'il veut de son cul entre les prestations mais avec toujours en tête le SSR. J'ajoute que s'il n'avait pas été avec moi, c'est moi qui me le serais fait avant de rentrer. Il se choque. Je lui demande alors s'il était rentré tout bandant ? S'il n'avait pas profité de mon départ pour visiter les toilettes du garage ? Il me dit qu'il n'est pas comme ça. Je me moque un peu et lui dit qu'il a peut-être loupé le coup du siècle. Le mec m'avait l'air très intéressé par lui et je lui avais quasiment donné ma bénédiction quand il m'avait raccompagné.
Sosthène me rappelle le lendemain midi pour me remercier. Quand je lui demande de quoi, il me dit qu'il avait osé rappeler Justin et qu'il avait fini la nuit chez lui. Que c'était trop bon et qu'il croyait être tombé amoureux. Je lui dis de ne pas s'emballer. Ce doit être l'effet " encanaillage ", opposition de milieu et de type de vie. L'un travail avec un boulot manuel, l'autre est en fac et de lettre en plus ! Difficile de faire plus éloigné. Il me dit que non, avec moi c'était très bon mais avec lui c'était comme ça n'avait jamais été avant.
Soudain, je pense qu'il a peur que je crois qu'il va me quitter parce qu'il m'assure que cela ne change pas notre contrat. Ils en ont parlé Justin et lui. Je le remercie pour la discrétion. Il rigole et me lance qu'avec tous les mecs que j'ai envoyé chercher une caisse dans ce garage, je n'avais pas fait non plus preuve de cette même discrétion que je lui reprochais d'avoir oubliée. Justin savait pertinemment ce que faisaient mes employés.
En attendant il me dit qu'ils sont d'accord pour qu'il honore son contrat de travail. Ouf ça l'aurait embêté de perdre un escort prometteur avant même qu'il n'ait commencé.
Jardinier
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chic-a-gigot · 3 months ago
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La Mode illustrée, no. 45, 7 novembre 1869, Paris. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Grand corset en coutil gris.
Grand corset en coutil blanc. Corset court en coutil gris.
Corset en coutil blanc. Corset court. Corset en coutil gris.
Corset paresseux.
Corset pour petite fille de 8 Ă  10 ans. Corset pour enfant de 1 Ă  2 ans. Corset pour fillette de 12 Ă  14 ans.
Corset extérieur (vu à l'envers) pour petite fille de 8 à 10 ans.
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sabinerondissime · 5 months ago
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Aujourd'hui, je fais mon 4em tatouage. Enfin, le 5em si je compte le petit G que je me suis moi même tatouée avec une aiguille et de l'encre de chine quand j'avais 18 ans ! La dernier fois que je me suis faite tatouée, c'était il y a 6 ans, à Florence, en Italie. Ce n'était pas prévu mais j'étais accompagné d'un homme que j'aimais passionnément et qui a eu la "bonne idée" de me proposer de faire un tatouage commun. J'ai donc le Lys de Florence tatoué sur mon bras et heureusement que j'aime cette ville du plus profond de mon cœur car sinon ce tatoo me ferait penser à cet homme chaque fois que je le vois. Et là où il est placé, c'est celui que je vois le plus ! Mon 3em tatouage était aussi pour cet homme, sans qu'il n'ait rien demandé cette fois. Mais il se trouve sur le revers de mon poignet et je le remarque peu. Le 1er tatouage se trouve sur mon omoplate gauche, je l'ai fais lorsque j'avais 30 ans. Il représente un serpent qui entoure une pomme. Tout un symbole. Celui d'aujourd'hui, c'est mon fils, le plus jeune, qui m'a proposé de le faire avec lui. Il voulait que nous ayons un tatouage commun. Nous avons choisit le tournesol car c'est la fleur qu'il aimait m'offrit quand il était enfant. Et ce sera certainement pour nous deux, le tatouage le plus symbolique et sentimental de nos vies.
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