#poupée de son
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coffeetodraw · 1 year ago
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musicandoldmovies · 2 months ago
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France Gall - Poupée de dire, poupée de son
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belladonna-tristesse · 1 year ago
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pompadourpink · 1 month ago
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Children's story - Corduroy
Corduroy is a bear who once lived in the toy department of a big store. Day after day he waited with all the other animals and dolls for someone to come along and take him home. The store was always filled with shoppers buying all sorts of things, but no one ever seemed to want a small bear in green overalls. Then one morning a little girl stopped and looked straight into Corduroy's bright eyes. “Oh, Mommy!” she said. “Look! There's the very bear I've always wanted.” “Not today, dear.” Her mother sighed. “I've spent too much already. Besides, he doesn't look new. He's lost the button to one of his shoulder straps.” Corduroy watched them sadly as they walked away. “I didn't know I'd lost a button,” he said to himself. “Tonight I'll go and see if I can find it.”
Corduroy est un ours qui vivait autrefois dans le rayon jouets d'un grand magasin. Jour après jour, il attendait, avec tous les autres animaux et poupées, que quelqu'un vienne le chercher pour le ramener chez lui. Le magasin était toujours rempli de clients qui achetaient toutes sortes de choses, mais personne ne semblait vouloir d'un petit ours en salopette verte. Un matin, une petite fille s'arrêta et regarda droit dans les yeux brillants de Corduroy. « Oh, maman ! dit-elle. « Oh, maman, dit-elle, regarde ! Voilà l'ours que j'ai toujours voulu ! « Pas aujourd'hui, ma chérie ». Sa mère soupire. « J'ai déjà dépensé trop d'argent. En plus, il n'a pas l'air neuf. Il a perdu le bouton d'une de ses bretelles ». Corduroy les regarda tristement s'éloigner. « Je ne savais pas que j'avais perdu un bouton », se dit-il. « Ce soir, j'irai voir si je peux le retrouver. »
Late that evening, when all the shoppers had gone and the doors were shut and locked, Corduroy climbed carefully down from his shelf and began searching everywhere on the floor for his lost button. Suddenly he felt the floor moving under him! Quite by accident he had stepped onto an escalator – and up he went! “Could this be a mountain?” he wondered. “I think I've always wanted to climb a mountain.” He stepped off the escalator as it reached the next floor, and there, before his eyes, was a most amazing sight – tables and chairs and lamps and sofas, and rows and rows of beds. “This must be a palace!” Corduroy gasped. “I guess I've always wanted to live in a palace.” He wandered around admiring the furniture. “This must be a bed,” he said. “I've always wanted to sleep in a bed.”
Tard dans la soirée, lorsque tous les clients furent partis et que les portes furent fermées et verrouillées, Corduroy descendit prudemment de son étagère et commença à inspecter le sol pour trouver son bouton perdu. Soudain, il sentit le sol bouger sous lui ! Tout à fait par hasard, il était monté sur un escalator - et il montait ! « Est-ce que c'est une montagne ? se demande-t-il. « Je crois que j'ai toujours voulu escalader une montagne ». Il descendit de l'escalator au moment où celui-ci atteignait l'étage suivant, des tables, des chaises, des lampes, des canapés et des rangées de lits. « C'est sûrement un palais ! s'exclame Corduroy. « Je crois que j'ai toujours voulu vivre dans un palais. » Il se promène en admirant les meubles. « C'est sûrement un lit », dit-il. « J'ai toujours voulu dormir dans un lit. »
And up he crawled onto a large, thick mattress. All at once he saw something small and round. “Why, here's my button!” he cried. And he tried to pick it up. But, like all the other buttons on the mattress, it was tied down tight. He yanked and pulled with both paws until POP! Off came the button – and off the mattress Corduroy toppled, bang into a tall floor lamp. Over it fell with a crash! Corduroy didn't know it, but there was someone else awake in the store. The night watchman was going his rounds on the floor above. When he heard the crash he came dashing down the escalator. “Now who in the world did that!” he exclaimed. “Somebody must be hiding around here!” He flashed his light under and over sofas and beds until he came to the biggest bed of all. And there he saw two fuzzy brown ears sticking up from under the cover. “Hello!” he said. “How did you get upstairs?”
Il s'est mis à ramper sur un grand et épais matelas. Tout à coup, il vit quelque chose de petit et de rond. Il s'écria : « Voilà mon bouton ! » Et il essaya de le ramasser. Mais comme tous les autres boutons du matelas, il était bien attaché. Il tira avec ses deux pattes jusqu'à ce que POP ! le bouton se détache et Corduroy tomba du matelas, heurtant de plein fouet un grand lampadaire. Celui-ci tomba avec fracas ! Corduroy ne le savait pas, mais il y avait quelqu'un d'autre d'éveillé dans le magasin. magasin. Le veilleur de nuit faisait sa ronde à l'étage du dessus. Lorsqu'il entendit le fracas, il descendit précipitamment l'escalator. « Qui diable a fait ça ? s'exclama-t-il. « Il doit y avoir quelqu'un de caché dans les environs ! » Il passa sa lampe en dessous et au-dessus des canapés et des lits jusqu'à ce qu'il arrive au plus grand des lits. Et là, il vit deux oreilles brunes et duveteuses qui sortaient de la couverture. « Bonjour ! » lui dit-il. « Comment est-ce que tu es arrivé à l'étage ? »
The watchman tucked Corduroy under his arm and carried him down the escalator and set him on the shelf in the toy department with the other animals and dolls. Corduroy was just waking up when the first customers came into the store in the morning. And there, looking at him with a wide, warm smile, was the same little girl he'd seen only the day before. “I'm Lisa,” she said, “and you're going to be my very own bear. Last night I counted what I've saved in my piggy bank and my mother said I could bring you home.” “Shall I put him in a box for you?” the saleslady asked. “Oh, no thank you,” Lisa answered.
Le gardien a mis Corduroy sous son bras et a pris l'escalator pour le ramener à l'étage en dessous et l'installa sur l'étagère du rayon jouets avec les autres animaux et poupées. Corduroy se réveillait à peine lorsque les premiers clients entrèrent dans le magasin le matin. magasin le matin. Et là, le regardant avec un large et chaleureux sourire, se trouvait la même petite fille qu'il avait vue la veille. « Je m'appelle Lisa, dit-elle, et tu vas devenir mon ours rien qu'à moi. Hier soir, j'ai compté ce que j'avais économisé. Hier soir, j'ai compté ce que j'avais économisé dans ma tirelire et ma mère m'a dit que je pouvais te ramener à la maison. « Est-ce que je vous l'emballe ? » demande la vendeuse. « Oh, non merci », répond Lisa. And she carried Corduroy home in her arms. She ran all the way up four flights of stairs, into her family's apartment, and straight to her own room. Corduroy blinked. There was a chair and a chest of drawers, and alongside a girl-size bed stood a little bed just the right size for him. The room was small, nothing like that enormous palace in the department store. “This must be home,” he said. “I know I've always wanted a home!” Lisa sat down with Corduroy on her lap and began to sew a button on his overalls. “I like you the way you are,” she said, “but you'll be more comfortable with your shoulder strap fastened.” “You must be a friend,” said Corduroy. “I've always wanted a friend.” “Me too!” said Lisa, and gave him a big hug.
Et elle a ramené Corduroy chez elle en le tenant dans ses bras. Elle monta en courant les quatre étages, entra dans l'appartement de sa famille et se rendit directement dans sa propre chambre. Corduroy cligna des yeux. Il y avait une chaise et une commode, et à côté d'un lit de petite fille se trouvait un petit lit de la bonne taille pour lui. La chambre était petite, rien à voir avec l'énorme palais du grand magasin. « C'est sûrement une maison », dit-il. « Je sais que j'ai toujours voulu avoir une maison ! Lisa s'assit et mit Corduroy sur ses genoux et commença à coudre un bouton sur sa salopette. « Je t'aime comme tu es, dit-elle, mais tu seras plus à l'aise avec ta bretelle attachée. « Tu es sûrement mon amie », dit Corduroy. « J'ai toujours voulu avoir un ami. » « Moi aussi », dit Lisa, et elle le serra dans ses bras.
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haveyouheardthisband · 1 year ago
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kilfeur · 24 days ago
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J'ai enfin pu trouver le temps de regarder l'épisode "Sublimation" et en vrai il y a pas mal de choses à dire. Déjà avec Marinette qui n'est pas rassurée car elle veut être amie avec Sublime car elle est la petite amie d'Adrien. Et c'est en soit en mauvais état d'esprit, parfois il peut arriver que les amis de leurs proches ne vont pas forcément être à la même longueur d'onde. Mais Marinette voit Sublime comme quelqu'un de meilleure et capable mais semble oublier qu'elle a fait tout un tas de trucs : Elle a organisée la fête sur la tour eiffel avec Zoé, elle a fait les lunettes de Jagged, ses parents ont participé à son émission et elle s'est occupée des tenues de Kitty Section ! Mais comme elle réagit au quart de tour et a de nouveau cette vision du tunnel (Je sais pas si il y a un autre terme en français.). Elle se focalise que sur Sublime et comment l'approcher.
Après je n'étais pas spécialement gênée par les tentatives de ratés. Peut être que c'est parce que je suis trop habituée au comportement de Marinette ou que j'ai dû voir plus gênant que ça. Mais je trouve que ça reste un progrès ! Car au début, Marinette avait voulu saboter le moment entre Kagami et Adrien avec Chloé. Ou bien dans Mr Pigeon où elle vient voir Kagami pour la consoler après sa rupture (bien qu'il y a un peu de projection sur cette situation). Elle a de bonnes intentions, le souci est juste l'approche ! Ça fait aussi écho à quand Marinette et toute la classe ont découvert que Rose était malade et du coup la chouchoutait comme une poupée fragile jusqu'à comprendre qu'il fallait faire comme d'habitude. Même si Adrien parle de Marinette à Sublime, je sentais un peu un côté gêné. Et Sublime était prête à lui parler. Mais tout comme Marinette, Sublime a aussi un état d'esprit qui n'est pas bon. Sa mère la pousse à être trop indépendante alors que son père lui fait comprendre que c'est normal d'échouer et que la perfection n'est pas quelque chose d'atteignable. La scène dans les toilettes pour l'empêcher de trembler oui ça marche pour quelques secondes mais on sent qu'elle tremble à nouveau au départ de la course.
Et le coup de Sopinator, en vrai j'avais pas l'impression que l'eau ou le savon faisait quelque chose aux prothèses. Mais dans la course on peut voir les gouttes mais je pense que c'est surtout l'arrivée de Ladybug qui l'a fait tombé. Et c'est là que justement, Ladybug voit les conséquences, elle s'en veut et elle doute. Chat Noir lui dit même qu'on a le droit de faire des erreurs. Ce même Chat Noir qui était conditionné avant d'être parfait, de pas faire d'erreur, c'est important ! Je pense que c'est par ses doutes, sa culpabilité mais sa reprise de confiance en elle par Chat Noir que l'attaque de Sublimation n'a pas marché pareil pour son partenaire. Et au final, c'est vrai, Marinette aurait dû simplement la voir pour lui parler comme l'avait suggéré Alya. Sauf que la première fois, c'était pas le moment mais cette seconde fois, ils ont pu se poser et enfin parler.
I've finally found the time to watch the “Sublimation” episode and there's actually quite a lot to say. Already with Marinette who's not reassured because she wants to be friends with Sublime because she's Adrien's girlfriend. And that in itself is a bad state of mind: sometimes it can happen that friends of people close to them aren't necessarily going to be on the same page. But Marinette sees Sublime as a better and more capable person, but seems to forget that she's done a whole lot of stuff: she organized the party on the Eiffel Tower with Zoé, she made Jagged's glasses, her parents took part in his show and she took care of Kitty Section's outfits! But since she's so quick on the mark, she's got that tunnel vision again. She focuses solely on Sublime and how to approach her.
I wasn't particularly embarrassed by the failed attempts. Maybe it's because I'm too used to Marinette's behavior, or I must have seen something more embarrassing than that. But I still think it's progress! Because at the beginning, Marinette wanted to sabotage the moment between Kagami and Adrien with Chloé. Or in Mr Pigeon, where she comes to see Kagami to console her after her break-up (although there's a bit of projection on that situation). She has good intentions, the problem is just the approach. It also echoes the time when Marinette and the whole class discovered that Rose was ill, and so pampered her like a fragile doll until they realized they had to do as usual. Even though Adrien talks to Sublime about Marinette, I could sense a little embarrassment from him. And Sublime was willing to talk to her. But like Marinette, Sublime also has a mindset that's not good. Her mother pushes her to be too independent, while her father makes her understand that it's normal to fail, and that perfection is not something to be achieved. The scene in the toilet to stop her shaking works for a few seconds, but you can feel her shaking again at the start of the race.
And the Sopinator thing, in truth I didn't have the impression that water or soap did anything to the prostheses. But in the race you can see the drops, but I think it was mainly Ladybug's arrival that made her fall. And that's when Ladybug sees the consequences, blames herself and doubts. Black Cat even tells her that it's okay to make mistakes. The same Chat Noir who was conditioned beforehand to be perfect, not to make mistakes, that's important! I think it's because of her doubts, her guilt, but her regaining of self-confidence by Chat Noir that the Sublimation attack didn't work the same way for her partner. And in the end, it's true, Marinette simply should have seen her to talk to her, as Alya had suggested. Except that the first time, it wasn't the time, but this second time, they were able to settle down and finally talk.
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whoisinterestedbythis · 5 months ago
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Daniel Balavoine Part 1
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Daniel Balavoine is a French singer-songwriter and musician.
As a young beginner at the end of the 1960s, he began by covering Bob Dylan but also hard rock, such as Deep Purple or Uriah Heep, before joining multiple local rock groups where he wrote his first compositions.
His musical career really began in 1973 when he decided to settle in Paris. Very inspired by the progressive rock of the time (especially Queen and Genesis) Daniel nevertheless found himself reduced to simple figuration for several years ( Balavoine served as a credited AND uncredited choir for other singers : Laurent Voulzy, Patrick Juvet and Alain Bashung )
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During this slow period, Balavoine released his first albums which went rather unnoticed in the eyes of the public… and yet it was thanks to one of his songs (the only title of the last album having succeeded in breaking through) broadcast on television that Michel Berger, amazed, will find his Johnny Rockfort: :
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The great success of the album Starmania (and later its short stage adaptation) made Daniel a celebrity thanks to three songs from the show :
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But ESPECIALLY :
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... while waiting for the next part , is my Masterlist :
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aisakalegacy · 10 days ago
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Printemps 1937, Hylewood, Canada (5/27)
Nous entrâmes tous dans la pièce, les uns après les autres, comme des automates. La chambre était chaude, j’eus l’impression d’étouffer en passant le seuil de la porte. Nous contournâmes le corps en nous serrant contre le mur, comme pour nous en éloigner le plus possible. Il ne serait venu à l’idée de personne de la déplacer. Sonia guida Layla sur la banquette de mon petit salon pour qu’elle reprenne ses esprits. Lola n’eut même pas la force de s’asseoir, elle s’écroula à même le sol, comme une poupée désarticulée, et se mit à sangloter. À ce stade, nous n’étions même pas certains que Lorita était bien morte. Agathon, celui d’entre nous qui gardait la tête la plus froide, prit finalement la décision que personne ne voulait ni n’osait prendre et s’agenouilla près d’elle pour tâter le pouls à la carotide. Il en conclut le décès. Je reprenais doucement mes esprits et le choc se retrouvait remplacé par un sentiment de panique qui commençait à m’habiter, me paralysait, me rendait à fleur de peau. Avec tout ce qu’il s’était passé ces dernières années, j’avais eu à gérer beaucoup de choses. La crise, les conséquences du décès de chacun de mes parents… Un meurtre. Voilà où se trouvait donc ma limite. Irène, qui n'avait pas entendu crier et s’étonnait de ne trouver personne en bas, finit par nous rejoindre. Elle n’avait pas voulu laisser notre fille sans surveillance dans la nurserie et je pouvais l’entendre gazouiller insouciamment à travers la porte. Je l’enjoins à ne pas entrer - têtue comme elle l’est, elle n’en fit rien et se joignit à nous, non sans faire remarquer l’écœurante odeur de chair brûlée qui flottait dans la pièce. Dans l’état de choc où je me trouvais, je ne l’avais même remarquée, mais à partir du moment où j’en pris conscience, elle me saisit au ventre. Gizelle fut la dernière à nous rejoindre, silencieuse comme une ombre, muette et inexpressive.
Nous cherchâmes à établir les causes de sa mort. L’hypothèse de la chute avait été rapidement écartée. Rien n’était renversé - si Lorita avait heurté la table basse, tout le service à thé aurait valsé à travers la pièce et n’aurait pas manqué de se briser sur le sol. De plus, Lorita ne portait aucun hématome ou blessure qui eussent laissé penser qu’elle soit morte en se cognant la tête. Nous conclûmes initialement qu’elle avait dû s’électrocuter en nettoyant la prise de mon gramophone, et nous en serions sûrement resté là si Agathon n’avait pas fait remarquer quelque chose. Lorita ne montrait pas les signes d’une personne qui serait morte électrocutée. Elle était étendue sur le sol, elle sentait le brûlé, elle avait de toute évidence été électrifiée… mais ce n’était pas la raison de sa mort - la preuve étant qu’elle n’en avait pas souffert, et son corps, ses mains, parfaitement détendues au lieu de s’être refermées en la contraction douloureuse habituelle des victimes d’électrocution, en témoignait. L’évidence, terrible, s’imposa à nous. Quelqu’un avait assassiné Lorita et avait confectionné toute une mise en scène pour faire passer cela pour un accident.
[Transcription] Lucien LeBris : Agathon, ne commence pas à faire peur à tout le monde ! Layla LeBris : Oh, non… Est-ce que je vais me faire accuser ? C’est moi qui l’ait découverte. Agathon LeBris : Personne ne va t’accuser, Layla. En tout cas pas sans preuves. Que tout le monde reste calme. Lucien, j’ai de très bonnes raisons de le penser. Regardez sa main. Lucien LeBris : Qu’est-ce que nous sommes censés voir ? Agathon LeBris : Si vous vous étiez pris 200 milliampères à travers le corps, vous seriez détendus, vous ? Gizelle LeBris : Elles ne présentent aucune contraction musculaire. Ses doigts sont parfaitement lâches. Layla LeBris : Oui… Les personnes mortes électrocutées contractent leurs mains, les muscles se contractent violemment et on dirait que la personne est morte en donnant un coup de poing. Fabien m’en a parlé, il a vu le cas à l’hôpital ! Agathon LeBris : Tout juste. On peut donc en conclure… Lucien LeBris : … qu’elle était déjà morte quand elle a été électrifiée.
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"Poupée de cire, poupée de son" France Gall.
In memoriam Isabelle Geneviève Marie Anne Gall (9 October 1947 – 7 January 2018)
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camisoledadparis · 4 months ago
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saga: Soumission & Domination 326
João
Il attend 2 jours avant de me rappeler. J'aurais même attendu une semaine pour l'avoir. Heureusement sa réponse est positive. L'aide qu'il reçoit de l'association qui l'a tiré de sa favela est tout juste suffisante pour vivre même s'il est très reconnaissant à cette dernière. Et son côté catho le rends pas très à l'aise avec ses " protecteurs " ! Il m'assure qu'il sera plus libre avec ce que je lui propose qu'avec leur bienveillance surannée. Je lui dis qu'il est totalement libre envers moi. Même s'il refuse ma proposition, on restera en contact s'il le veut.
Il me dit que c'est la meilleure offre qu'on ne lui ait jamais faite. Je lui donne l'adresse du labo d'analyse et lui dis de me rappeler dès qu'il aura les résultats. 48 plus tard, il me dit être nickel et m'envoie la photo de la feuille de résultats.
On se revoit rapidement. Il veut savoir quand il commence, et quelles sont les conditions exactes de mon offre.
Dossier João :
Age : 20ans
Taille : 1m78
Poids : 78Kg de muscles sous une peau dorée/cuivrée en permanence (génétique : indien + black + blanc)
Sexe : 22 x 6, frein cassé
Parents : orphelin sorti de sa favela par une organisation caritative française
Pratique sexuelle : gay depuis sa puberté, quasi abstinent depuis son arrivée en France il y a 5 ans.
Sport : Capoeira en club, enseignant des premiers niveaux
Etude : 1ère année de Fac de Science (retard dû à son intégration en France et à la reprise de niveau scolaire)
Même si je connais maintenant son corps, je lui demande de se remettre nu devant moi. Je lui dis que même s'il ne se laisse déjà que peu de poil, je souhaiterais qu'il coupe court ceux qu'il laisse au-dessus de son sexe. Les aisselles, si cela ne le dérange pas de les épiler aussi, il conviendra mieux au standard de ma société. Comme il est OK, nous passons de suite à la salle d'eau du premier où il y a tout pour entretenir les surfaces de mes escorts. Je me charge de tondre à 5mm la touffe de João et épile ses aisselles. Le temps de faire quelques photos et il se rhabille. Je lui fais remarquer que ses vêtements sont trop cheap pour ma client��le. Il s'excuse mais son budget est assez limité et à part les sous-vêtements qui sont neufs, il s'habille avec des vêtements fournis par l'association. Je comprends mieux sa touche ! Je lui dis qu'il n'y aura aucun problème. Avec ce qu'il va gagner, il va pouvoir se vêtir de neuf et de façon personnelle. Pour le travail, je lui dis que c'est moi qui habille en costume et en smoking avec bien sur les sous-vêtements qui vont bien avec (sa morphologie pas avec les fringues !!), les chemises et les chaussures. Il ouvre de grands yeux, il n'avait pas pensé à ça. Ayant un véritable stock de boxers, shortys et autres trunks de différentes marques, je vais en chercher une douzaine (ES, Addicted, Aussiebum, CK, CR7, 2xi...) et lui dis de choisir. Il connait quelques marques pour les avoir matées sur internet mais n'en avait jamais eu en main. Il se remet à poil et les essaye. J'ai bien choisi, ils lui vont tous, mettant en avant son service trois pièces et son fessier rond. Je prends un sac et les mets tous dedans avant de lui tendre. Il me remercie et vient m'embrasser pour. Comme il n'est pas habitué, je lui dis de passer samedi prochain pour qu'on fasse les boutiques ensemble.
Samedi : En fait PH et Ludovic nous accompagnent. On passe en premier chez mes vendeurs de " vêtements de travail ". On y passe une heure et demi à choisir 2 costumes, pour le smoking c'est plus rapide, il n'y a que la longueur de jambes à épingler. Nous en profitons pour acheter les chemises, cravates et noeuds papillon. Je me laisse tenter par trois nouvelles cravates que j'acquière pour nous même. La carte chauffe et ils me promettent de me livrer tout ça dans la semaine. On file ensuite dans des magasins plus casual et nous y restons 2 heures à " jouer à la poupée ". Quand on termine notre shoping, nous avons les bras chargés de sacs. João a bien essayer de nous freiner mais c'était peine perdue ! Il est habillé pour l'hiver, en jeans de marque comme en polos, pulls et blousons.
En partant, nous passons à la colocation. Nous y trouvons mes deux " Com ". Ils ne s'étonnent pas que je ramène un autre escort. Ils nous font visiter. Ils ont mis de leurs identités dans la déco. João me demande si c'est là que je lui propose de vivre au lieu de sa cité U. Comme je confirme, les deux autres l'accueillent plus chaleureusement. Ils l'abreuvent de tant d'informations sur leur organisation de vie que je mets le holà. Ils lui demandent dans quelle fac il va et, sachant laquelle, ils lui donnent déjà la ligne de bus à prendre pour y aller. En attendant qu'il s'y installe définitivement, nous rangeons ses nouvelles affaires dans le placard de sa nouvelle chambre. Puis nous rentrons au Blockhaus. Je compte bien garder João tout le WE.
S'il est prêt coté poil, il ne l'est pas encore pour la relation sexuelle avec mes clients. Comme la nouveauté qu'il introduit dans mon équipe est suffisante pour que sa première fois soit lucrative, je peux le préparer sérieusement coté sodomie. Je ne veux pas qu'on me le casse à sa première prestation !
Il ne sait comment me remercier pour tout ce que je fais pour lui. Il comprend quand je lui dis que c'est juste un investissement. A ce propos, je vais l'inscrire au permis il ne pourra pas toujours se déplacer par des transports en commun. En attendant il utilisera les services des Taxis. Ça passera en charge comme les voitures. La soirée se passe à l'écouter parler de son pays. Même s'il est sorti de sa favela, il y a passé de bons moments, même s'il n'avait qu'un seul vieux short à se mettre sur les fesses.
Ludovic lui demande comment il avait su pour son homosexualité Il nous raconte alors sa prise en charge, lors de la mort de ses parents, par un clan auprès duquel il a appris la Capoeira et l'amour auprès de son chef, un métis de 25 ans. Il l'a protégé des drogues et des tatouages tribaux, de la délinquance armée et de l'exploitation sexuelle dans lesquelles, les gens de son type tombent souvent. Il l'avait même inscrit à l'école du curé.  Quand il s'était fait descendre par un clan adverse et que seul survivant du clan, il avait été attrapé par la police, il avait échoué à 100% dans les pattes du curé local. C'est par lui qu'il s'est retrouvé en France. D'origine française contrairement aux autres prêtres souvent portugais, il s'était arrangé avec cette association pour trouver une place en France. Tant mieux pour moi !
Ludovic, toujours curieux, lui demande comment il arrivait à maitriser ses pulsions depuis son arrivée. João est en confiance. Il nous explique que beaucoup de branlettes et quelques pipes quand dernièrement il osait aller dans les lieux de dragues. Mais que c'était quand même un peu la misère sexuelle. Il regrettait souvent sa vie avec son chef de gang. Gentiment il ajoute " un peu moins depuis que je vous connais ". C'est gentil !
Samir a cherché sur internet des recettes de là-bas et nous sert ce soir-là un premier essai. João est touché par l'intention même si le résultat n'est pas à la hauteur de ce que notre cuisinier espérait. C'est pas mauvais mais pas fantastique non plus. João lui donne quelques conseil et lui dit que la prochaine fois, il cuisinera avec lui.
Nous passons la soirée tous les 4. Pas de film sur la télé ni de cinéma. Nous passons 4 heures à faire l'amour et à le baiser. Il kiffe trop ça et nous aussi. Sa peau est douce et ses lèvres appellent le baiser. Elles sont aussi très " chaudes " quand une bite les écarte ! Sa rondelle est pareille quand on s'enfonce dedans. Il apprécie de plus en plus la sodo. Faut dire que nous nous y mettons tous les trois pour lui rappeler combien c'est bon. Il nous a pris tous les trois bien longuement avant de jouir. Sa résistance augmente et il reprend confiance en lui. Ses 22 sont aussi très agréables à prendre dans le cul et Ludo comme PH sont d'accord avec moi. Il a une façon de bouger en vous très excitante, son roulé de hanche !! Et si on ne se concentre pas un peu, il vous ferait jouir en 10/15mn !
Nous avons juste le temps de nouer les kpotes avant de nous écrouler de fatigue. Le réveil est poisseux ! Bousculades pour nous doucher alors qu'il y a la place pour nous 4 sans problème. C'est seulement avec une serviette autour des reins que nous montons prendre le petit déjeuner. Jona nous rejoint vers 10h30 pour établir le programme sportif de João et voir avec lui comment intégrer des cours de Capoeira.
Je les présentes. João sent très vite à qui il a à faire. Alors que je n'ai rien dit concernant les activités particulières de mon coach sportif, João a pris sa mesure et son comportement change imperceptiblement. Quand Jona lui demande une démonstration de Capoeira version " survie ", João se lâche et il est heureux que Jona se soit encore amélioré cet été. Les coups pleuvent et Jona encaisse, parant et reculant quand il n'avait pas le choix. C'est autre chose que les passes que j'ai pu voir au club. Là-bas, elles ressemblaient plus à une chorégraphie qu'à un combat. Jona demande un temps mort. João se redresse en sueur. Il s'excuse d'avoir été pris par le " jeu " mais c'était la première fois qu'il pratiquait façon " favela " depuis qu'il avait quitté Rio. Jona écarte les excuses qui n'avaient pas lieu d'être et commence à discuter technique. João peine parfois un peu avec les termes techniques mais ils finissent par bien communiquer tous les deux. On les laisse et entamons nous aussi notre décrassage physique. Tout en soulevant des poids, je laisse trainer mon oreille de leur côté. Jona est déjà en train d'intégrer la Capoeira. C'est d'autant plus facile qu'il retrouve une bonne part de ce qu'ils ont appris l'été dernier. Et quand il me demande comme partenaire pour une démo devant João, ce dernier confirme. Il retrouve certaines parties propres à son sport de combat. Il capte vite ce que les autres techniques apportent en efficacité et dangerosité. En riant il nous dit qu'il ne doit pas falloir nous embêter quand on nous croise en groupe ou même tout seul ! Sans entrer dans les détails, Ludovic confirme que nous réglons nos problème nous-même. C'est plus rapide et plus économique pour la société, pas d'enquête ni de procès à rallonge. João se tourne vers moi pour avoir confirmation. Je lui dis qu'il n'est pas tombé dans un nouveau gang. C'est juste que quand ce n'est pas nécessaire de faire participer la police c'est mieux. Et que c'est vrai, ce n'est pas parce qu'on est gay qu'on se laisse marcher sur les pieds.
Il me dit que ça lui va aussi. Par contre son visa temporaire l'oblige a plus ce circonspection. Je le comprends bien.
Je me promets de voir avec l'organisation qui l'a fait venir si on peut trouver une solution plus permanente.
La séance de sport nous laisse ne sueur. Je sonne la fin et nous passons sous les douches avant d'aller tremper dans la piscine de cet étage. L'eau y est plus chaude que dans les autres car elle ne nous sert plus que comme énorme jacuzzi depuis que la piscine de la serre a été construite. Les bras sur les rebords, nous nous détendons. J'entends João dire que c'est le paradis. Quand même pas, mais pas loin peut être !!
François nous rejoint pour déjeuner. De retour d'un contrat, il arrive direct et porte encore son smoking de la veille. Il monte nous dire bonjour avant de descendre au premier se changer. Comme Jona l'accompagne, je leur dit de ne pas prendre trop de temps quand même, sinon le repas serait froid. Ils auront été brefs et nous reviennent après 20mn seulement.
Pendent le repas, François nous parle de sa prestation. João l'écoute, concentré sur ce qu'il dit. Je lui demande s'il avait eu une gratification supplémentaire. Il sort alors une enveloppe de sa poche et la fait passer à Jona qui s'interrompt de manger pour compter les billets. Quand il annonce 1000, João s'écrie " en plus du salaire ? ". François lui répond en riant que bien sûr c'est en plus. Et qu'il ne s'inquiète pas. Lui, avec sa tête, s'il n'était même que moitié aussi bon qu'eux autres, il est sûr de s'en faire autant. Sans compter le bonus de sa première prestation.
Comme je ne lui en avais pas encore parlé, je précise ce que François entendait par là.  Il hallucine quand j'avance un montant probable et que je lui dis que c'est net pour lui.
Ludovic appelle sa mère pendant le café. Il voulait savoir si elle ne connaissait pas quelqu'un dans l'association caritative, après tout elle passe une bonne partie de son temps dans ce genre d'occupation elle aussi. C'est tout content qu'il nous annonce que non seulement elle en connait le président mais qu'en plus elle en fait partie. Avant qu'il coupe, je lui demande de me prendre un rendez-vous avec elle. Je n'ai que 2 ans de plus que lui mais je me sens une âme de grand frère avec lui. (Et oui, même si nous baisons ensemble de temps en temps. C'est pas moi qui aie inventé l'inceste mais ça existe !).
La fin d'après-midi est étrangement non sexuelle, juste reposante pour bien démarrer la semaine.
Durant cette semaine-là, João informe l'association de son changement d'adresse. Et intègre la colocation. Il est très content de revivre en communauté. C'est là chose qui lui manquait le plus de sa vie d'avant. Jamais il n'avait été aussi seul que depuis son arrivée en France. Au Brésil, il était le 5ème de sa famille et après, il n'y avait jamais moins de 10 personnes autour de lui et du chef.
Les deux autres sont contents aussi, il leur a déjà cuisiné un plats de chez lui qu'ils ont trouvé trop bon. Ils se chargent aussi de corriger ses fautes de français mais pas son accent chantant. Le déménagement de sa chambre a été rapide, deux valises plus ses livres de cours ! La 300C a suffit et en un seul voyage !
J'accompagne Ludovic un soir pour voir sa mère. Elle m'explique en quoi consiste l'association qui s'est chargée de faire venir João. Ludovic lui explique que je lui ai trouvé un petit travail et qu'il va bientôt être indépendant financièrement. Elle s'étonne et nous dit qu'il doit quand même poursuivre ses études jusqu'au bout. Là-dessus je m'y engage. D'un autre côté cela va dégager des fonds pour un autre cas.
Elle me dit qu'elle en fera part à la secrétaire et que João n'aura qu'à passer leur signifier sa nouvelle adresse, pour qu'ils puissent continuer à le suivre. Je laisse glisser. Il sera toujours temps pour João de couper les ponts plus tard. Quand nous allons pour partir, Enguerrand dévale l'escalier pour nous saluer. Il me tombe dans les bras et me fait un gros bisou. Sa mère l'excuse et me dis que depuis trois semaines, elle ne le reconnaît plus ou plutôt elle retrouve son enfant qui a enfin terminé sa crise d'adolescence. Comme il est encore contre moi, je passe ma main dans ses cheveux et les ébouriffe en ironisant "hé bien mon petit, on s'est finalement calmé ". Il éclate de rire et passe dans les bras de son frère. Le jeudi soir, je suis avec João dans mon bureau. Il m'a pressé pour que je le fasse travailler. Il me dit qu'il vit à mes crochets et que ça le gène. J'ai beau lui dire de ne pas s'inquiéter, il m'a tanné jusqu'à ce que j'accepte. Il voit sa fiche pour la première fois. Il trouve les photos bien faite et me demande en rigolant qui est le mec dessus. La fiche est envoyée à mes clients. Les retours sont rapides, je les avais prévenus qu'un nouvel escort atypique venait d'intégrer ma boite. Même si le rendez-vous est pour dans 2 semaines (le temps de finir de préparer mon João), les offres se bousculent. Son physique brésilien affole le réseau ! Comme d'habitude, un ralentissement se produit après une demi-heure. La relance est facile, j'ajoute deux nouvelles photos où il apparait nu de face comme de dos. Nouvelle demi-heure de folie. A mes côtés João est scié par le montant qui ne cesse de croitre au bas de l'écran. Quand les chiffres s'arrêtent de bouger, ils ont atteint la plus belle enchère de puceau jamais réalisée. Par contre le client est dans la partie haute du classement en taille de bite. Je devrais le préparer pour un calibre 25x6,5.
Je sors la fiche client et la donne à João.  Il la lit et s'aperçois du boa qu'il va devoir apprivoiser. Lui est un brésilien des favela pas de la forêt amazonienne et les boas c'est pas son truc, même s'il m'avoue qu'il ressemble assez à celui de son " mentor " en blanc puis il ajoute en plus gros quand même.
Je le rassure et lui dis qu'il n'y a rien qu'une bonne préparation ne peut arranger. Quand nous remontons et que PH apprend le nom du gagnant, il dit à João qu'il aurait pu tomber pire. Mais qu'il doit quand même bien se préparer.
Pendant les 15 jours qui vont suivre, il viendra 6 fois pour qu'on le mette à niveau. Là ce sera passage au sous-sol et il fera connaissance avec le donjon et sa collection de gode. Lavements plus graissage en quantité, plus poppers qu'il ne connaissait pas et sodos plus godes, il est rapidement au point où il s'en sortira sans difficultés le jour du rendez-vous. J'en profite aussi pour lui faire ouvrir un compte à la banque d'André et lui obtient une Visa en créditant le compte d'une avance sur honoraires.
Pour le rassurer, je l'emmène et l'attend. Il se débrouille comme un pro. Ses pipes sont convaincantes et sa rondelle élargie juste ce qu'il fallait pour que le client soit quand même serré dedans. La performance lui vaudra comme souvent un bonus intéressant. Quand je lui remets les billets dans les mains, il me les rend et me dit que ça couvrira une partie de ce qu'il me doit. J'éclate de rire et me dit que ça c'est déjà fait avec mon pourcentage. C'est donc tout pour lui. Il n'en revient pas. Nous repassons par le Blockhaus. Tout fier il dit à PH combien le mec lui a donnée en plus. PH sourit et lui dit que c'est uniquement parce qu'il a été très bon. João se tourne alors vers moi et me roule une pelle de remerciement. Puis il s'écarte violemment et s'excuse auprès de PH. Eclats de rire de ce dernier qui lui dit qu'il n'y a pas de malaise, il sait bien que mes escorts m'aiment tous un peu.
Les 3 semaines en immersion presque totale avec João nous ont fait l'apprécier encore plus. Sa simplicité toute brésilienne, la chaleur qu'il met dans ses rapports humains (et oui pas que sexuels), réchauffe le blockhaus plus sûrement que le chauffage au sol. Son accent ensoleille la maison et lui-même semble heureux de sa nouvelle situation. Je crois qu'il retrouve un peu de cette ambiance de groupe masculin dans lequel il a passé sa jeunesse. Il se sent aussi protégé du monde extérieur par notre présence et sait qu'il peut compter sur des amis qui le comprennent vraiment. Pas juste des gens pleins de compassion pour son état d'orphelin de favela. Il a passé 5 ans sous ce régime de " protégé de l'église " et ça lui pesait beaucoup, même s'il leur en était reconnaissant.
Il s'épanoui avec nous comme il ne le pourrait pas avec eux. Même le dirigeant du club où il officie n'avait pu percer sa carapace comme nous, nous avons pu le faire. Méfiant et un peu timide, il n'avait jamais osé se confier avant nous.
C'est un honneur qu'il nous fait et il ne m'en est que plus cher à mon coeur. 
Jardinier
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eurovision-facts · 7 months ago
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Eurovision Fact #714:
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Luxembourg's first two winning songs, "Nous Les Amoureux" from 1961 by Jean-Claude Pascal and "Poupée De Cire, Poupée De Son" by France Gall from 1965, were deemed controversial at the time. This was because Pascal's song discussed homosexuality via the usage of vague pronouns and Gall's song was jam packed with double entendre.
[Source]
Luxembourg, Eurovision.tv.
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kaivalafougere · 5 months ago
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Day 19 : That's not funny
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Je pense que Nightmare ne doit pas trop kiffer que Error fasse des poupées de son frère et encore moins qu'il s'intéresse à lui x)
Le Errortober est de @fanienchu-blog :0
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lepalaisdeslarmes · 1 year ago
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Un nouveau capitaine
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@somewhereonthegreensea
En quelques semaines tout avait changé au sein de l'unité de police. On avait nommé un nouveau capitaine, et quelle ne fut pas la surprise lorsque tous découvrirent qu'il s'agissait d'une femme. Sous ses airs de poupée, Gamze était une redoutable combattante. Et elle entendait bien remettre de l'ordre dans la ville. A peine avait-elle investit le bureau que l'un des officiers fit irruption dans son bureau. Il voulait la mettre en garde. Des trucs pas nets se passaient et souvent, trop souvent le nom d'Eric Königberg revenait au coeur des affaires. Hors de questions pour Gamze de se laisser impressionner, même si elle demanda discrètement quelques informations sur ton compte. Elle détermina que sa meilleure option était de se présenter à toi, afin de mettre les choses au clair. Si, pour l'heure elle ignorait pourquoi tu intervenais sur certaines affaires et pas d'autres, Gamze se fit la promesse de découvrir pourquoi. Après qu'on lui ait donné l'adresse de ton cabinet, elle ne perdit pas un instant de plus pour débarquer. Face à la secrétaire, elle montra sa plaque, avec son plus beau sourire. - Bonjour mademoiselle, j'aimerai parler à maître Königberg. Qui le demande ? Le capitaine de police de la ville.
La secrétaire semblait surprise d'avoir affaire à une femme, mais elle ne pipa mot et s'empressa de t'informer de la venue du capitaine Özberk.
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transparentgentlemenmarker · 11 months ago
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La chaise Inception est un meuble unique conçu par Vivian Chiu, diplômée de la Rhode Island School of Design. Il a été créé dans le cadre d’un court projet expérimental et construit en seulement quatre semaines. La chaise se compose de dix cadres de chaise individuels en bois de frêne, allant de la taille adulte standard à une taille humoristiquement petite. Chaque cadre comporte des rainures découpées à la main sur les bords intérieurs du cadre du siège et des chevilles à l'arrière, leur permettant de s'insérer dans la rainure du cadre d'une taille plus grande. Cette conception permet aux cadres de chaise d'être démontés et réassemblés, fonctionnant comme une seule chaise une fois assemblés. Outre son aspect fonctionnel, une fois démonté, il peut également être considéré comme une œuvre de sculpture. Le nom « Inception Chair » a été choisi plutôt que « Matryoshka Chair » pour refléter le concept d'une chaise dans une chaise, rappelant les poupées russes imbriquées. Le nom fait également un parallèle avec le film « Inception », où les choses ne sont pas toujours ce qu’elles paraissent à première vue.
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selidren · 4 months ago
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Eté 1928 - Champs-les-Sims
2/2
Ce que tu dis de Lola me rappelle beaucoup Cléo à son âge, si ce n'est que son penchant pour les arts dramatiques tenaient plus de son caractère que d'une vraie passion pour le théâtre. Quand je vois ce que tu décris, je me représente presque la scène et cela me donne un peu envie de partager votre quotidien. En revanche ici, personne ne chante et surtout pas moi. Enfin, pour être parfaitement honnête, Ange adore pousser la chansonnette et il chantonne des berceuses et des petites chansons enfantines pour les petites. J'avais bien raison, je n'aurai pu rêver d'un mari plus dévoué à son rôle de père. Il passe parfois une semaine entière à Paris, mais il revient les bras chargés de poupées, de sucreries et d'autres jouets, et je remarque que ses escapades sont de plus en plus espacées. Il m'a avoué qu'Anna et Elisabeth lui manquent horriblement quand il est loin trop longtemps, et c'est réciproque.
Pour revenir à Cléopâtre, elle continue à publier des romans feuilletons, mais elle est de plus en plus remarquée sur la scène littéraire. Dans sa dernière lettre, elle mentionnait qu'elle était sur le point de signer un contrat avec une maison d'édition qui va publier ses nouvelles policières en recueil dans sa nouvelle collection. Elle est aux anges, et il me semble aussi qu'elle rencontre beaucoup d'hommes et qu'elle vit des aventures amoureuses tumultueuses comme elle en a toujours rêvé. Quand à Sélène, si tu veux de ses nouvelles, ouvre le journal à la page des sports à la fin du mois, car elle s'est qualifiée au tournoi de Wimbledon. Ma soeur va visiter l'Angleterre et peut-être revenir avec une coupe ! Je suis si fière d'elle !
Oncle Adelphe me demandait justement des nouvelles de ton père, et il semble un peu inquiet pour lui. Je sais qu'ils se sont rencontré à une occasion et qu'ils ont pu échanger quelques lettres. Il me demande de lui transmettre ses amitiés ainsi que son soulagement de le savoir heureux et bien portant. Ton père et Adelphe ont à peu près le même en plus il me semble. Je lui suggéré d'écrire une lettre, donc dis à ton père de vérifier la boite aux lettres de temps à autres, je sais que Papa ne lui écrit plus du tout, même si je ne sais toujours pas vraiment pourquoi.
Avec toute mon affection,
Noé
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eurovision-song-bracket · 5 days ago
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Welcome to the Eurovision Song Bracket!
I've decided, probably way too late, that I should make a main pinned post for this blog. Whoops. I'll be editing this post as the tournaments progress to keep things as accurate as possible.
What is this blog about?
This is a tournament style blog, focusing on songs from the Eurovision Song Contest. There will be various themes for tournaments, but only one theme will be going on at a time.
Addressing concerns about boycotting Eurovision over Israel: We do not support genocide. However, the previous artists from Israel are not responsible for current world events. I do not wish to punish artists for things their government is doing. Thus, I've decided that songs from Israel pre-Oct 7, 2023 will still be allowed to participate, but songs from Israel after that date will not be allowed in any of my tournaments. This blog will run as if Israel is not participating in Eurovision, much like Russia. Songs from Russia pre-2022 will still be allowed, because once again the artists are not their governments. Please do not let current events influence your votes. Please continue to vote for your favorite song, not country.
What is the current theme?
We are currently running the Decades Tournament! Songs will compete against other songs from their own decades. Once all decades are complete, the winners will have a final showdown. As of right now, we are on the 80s
Can I submit songs?
Yes and no. As the Decades tournament is currently ongoing, spots are extremely limited. Each decade may only have 32 entries for this tournament. The 80s is currently ongoing, which means the next rounds are for the 90s, 2000s, 2010s, and 2020-2023. all of which are now full! 2024, and 2025, will not be included simply because that bracket had already filled up before the 2024 contest took place. If this blog grows, and people want the 2020s to be a bigger bracket, then I'll consider it.
Once the Decades tournament is over, we'll do something else. I do have some ideas, but I am open to suggestions on tournament themes, and of course when that happens I will make the appropriate forms and you can submit songs again.
Decades Tournament Winners:
The 50s: 1958 - "Lilla stjärna" by Alice Babs (Sweden) The 60s: 1965 - “Poupée de cire, poupée de son” by France Gall (Luxembourg) The 70s: 1974 - “Waterloo” by ABBA (Sweden) The 80s: [Ongoing] The 90s: [Not Started] The 2000s: [Not Started] The 2010s: [Not Started] 2020-2023: [Not Started]
Current live polls:
1988 - “Ne partez pas sans moi” by Céline Dion (Switzerland) vs 1982 - “Ein bißchen Frieden” by Nicole (Germany)
Who runs this blog?
Hello! You may call me Cyrus, I am a transman, he/him, and I am in my 30s. This is a side blog, so you will not see any likes or follows from this blog. I am, unfortunately, a USAmerican (please save me) However I am learning Norwegian and would absolutely love to move to Norway or somewhere else in Europe some day. Preferably soon. That being said, English(and US spelling just because of habit) is the main language that this blog will be using, although you are welcome to send asks/comments/etc in your own language and I'll do my best to translate. Obviously, as previously stated, it will be easier for me to translate Norwegian and sometimes Danish and Swedish, but any language is welcome, not just European languages.
Do you vote in the polls?
After much thought put into it, yes. I do vote on every single poll, because at the end of the day I am also a fan of these songs... and I don't like having to wait a week to see how the polls are doing. However, I have decided that if a poll comes to tie, I will consider my vote void, and the one that I did not vote for will move on.
Tagging @tournament-announcer (no pressure, ily <3)
and here's the current 90s lineup as promised:
1990 - “Insieme: 1992” by Toto Cutugno (Italy)
1991 – “Fångad av en stormvind” by Carola (Sweden)
1992 - “Why Me?” by Linda Martin (Ireland)
1993 - “In Your Eyes” Niamh Kavanagh (Ireland)
1994 - “Rock 'n' Roll Kids” Paul Harrington and Charlie McGettigan (Ireland)
1995 - “Nocturne” by Secret Garden (Norway) 
1996 - “The Voice” by Eimear Quinn (Ireland)
1997 - “Love shine a Light” by Katrina and the Waves (UK)
1998 - “Diva” by Dana International (Israel)
1999 - “Take Me to Your Heaven” by Charlotte Nilsson (Sweden)
1991 - “Anoixi” by Sofia Vossou (Greece)
1997 - “Minn hinsti dans” by Paul oscar (Iceland)
1990 - “Eitt lag enn” by Stjornin (Iceland)
 1998 - “Hemel en aarde” by Edsilia rombley (Netherlands)
1998 -”Aava” by Edea (Finland)
1999 - “Marija Magdalena” by Doris Dragović (Croatia)
1998 - “Where Are You” by Imaani (UK)
1998 - “Guildo Hat Euch Lieb” by Guildo Horn (Germany)
1997 - “Fumi Di Parole” by Jalisse (Italy)
1996 - “Ninn Kaunis On Taivas” by Jasmine (Finland)
1997 - “Stemmen I Mit Liv” by Kølig Kai (Denmark)
1993 - “Eloise” by Arvingarna (Sweden)
1993 - “A Cidade Até Ser Dia” by Anabela (Portugal)
1995 - “Vuelve conmigo” by Anabel Conde (Spain)
1996 - “I evighet” by Elisabeth Andreassen (Norway)
1993 - “Sva bol svijeta” by Fazla (Bosnia and Herzegovina)
1996 - “den vilda” by one more time (Sweden)
1993 - “Vrede” by Ruth Jacott (Netherlands)
1999 - “All out of luck” by Selma Björnsdottir (Iceland)
1997 - “Keelatud maa” by Maarja-Liis Ilus (Estonia)
1997 - “Dinle” by Şebnem Paker & Etnic (Turkey)
1994 - "To nie ja!" by Edyta Górniak (Poland)
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