#port-des-barques
Explore tagged Tumblr posts
Text

Rocks in Port-des-Barques, Saintonge region of France
French vintage postcard
#rocks#postcard#ansichtskarte#briefkaart#france#saintonge#photography#carte postale#vintage#postkarte#photo#historic#postkaart#ephemera#sepia#port#barques#region#french#port-des-barques#tarjeta#postal
11 notes
·
View notes
Text

Bosco…
#photography#original photography#original photography on tumblr#corsedusud#port de pêche#barque#Ajaccio
83 notes
·
View notes
Text







Marseille. L'entrée au Vieux-Port : une barque ramant sous les falaises du Pharo ; de l'autre côté, le Fort Saint-Jean et enfin le port et ses vieux gréements en face de l'Hôtel de Ville.
2 notes
·
View notes
Video
L' AMETLLA DE MAR-PINTURA-ART-PORT-VAIXELLS-BARQUES-PESCADORS-MARINES-TARRAGONA-MEDITERRANI-LLUM-CEL BLAU-PINTOR-ERNEST DESCALS por Ernest Descals Por Flickr: L' AMETLLA DE MAR-PINTURA-ART-PORT-VAIXELLS-BARQUES-PESCADORS-MARINES-TARRAGONA-MEDITERRANI-LLUM-CEL BLAU-PINTOR-ERNEST DESCALS- Puerto de L' AMETLLA DE MAR en Tarragona, Catalunya marinera, la atmósfera luminosa en los puertos del mar Mediterráneo tiñe de azul el cielo, la fuerza de la luz del sol ejerce un gran contraste entre las blancas casas con el campanario y el resto del paisaje en que las barcas de los pescadores cobran protagonismo junto a los astilleros y sus estructuras. Cuadros de marina, Pintura del artista pintor Ernest Descals sobre papel de 50 x 70 centímetros.
#L' AMETLLA DE MAR#PORT#HARBOUR#PORTS#PUERTO#PUERTOS#BARQUES#BARCAS#BOATS#VAIXELLS#BARCOS#TARRAGONA#CATALUNYA#CATALONIA#CATALUÑA#MAR#SEA#CONTRASTE#PESCADORES#PESCADORS#FISHERMEN#PESCA#PAISATGE#PAISATGES#MARINA#MARINES#MARINAS#CIELO#SKY#LUZ
0 notes
Text

Today we're heading into the eternal ice of Antarctica and keeping a special lady company. The beautiful Endurance is waiting for us in door no. 7

More about her here:
The three-masted schooner barque designed by Ole Aanderud Larsen (1884-1964) was built by the Framnæs shipyard in Sandefjord, Norway. When she was launched on 17 December 1912, she was named Polaris. She was 43.8 m long, 7.62 m wide and weighed 350 tonnes. In addition to square sails on the foremast and gaff sails on the main and mizzen masts, she had a 260 kW steam engine, which allowed a maximum speed of 10 knots (19 km/h). The ship was designed for polar conditions and constructed to minimise the pressure of the ice masses. With a thickness of 28 cm, the frames were made of greenheart wood, a particularly stable type of tropical wood, and were twice as thick as on conventional sailing ships of this size. The hull of the Endurance was designed to be relatively straight-sided, as it was only intended to sail in loose pack ice. She was therefore calmer in the sea than ships with a spherical hull, such as the Fram; however, this came at the cost of not being lifted significantly out of the pressure line in ice pressures and was therefore unsuitable for encasements in pack ice.
The ship was commissioned by the Belgian polar explorer Adrien de Gerlache and the Norwegian whaling magnate Lars Christensen, who actually wanted to use it for polar cruises of a more touristic nature. However, due to financial problems, Christensen was happy to sell his ship to Shackleton for 11,600 pounds sterling (approx. 934,000 euros, as of 2010) - an amount that was less than the original construction costs. Shackleton renamed her Endurance after his family's motto ‘Fortitudine vincimus’ (‘Through endurance we shall conquer’).
The Endurance left the port of Plymouth on 8 August 1914, around a week after Great Britain's entry into the First World War, and completed the journey to Antarctica with a stopover in Buenos Aires without any problems.
Before the crew of the Endurance could cross to the Antarctic mainland to cross the Antarctic as planned, the ship was trapped by the pack ice of the Weddell Sea in January 1915 like ‘an almond in a piece of chocolate’ - as the much-used comparison goes. After resisting the force of the pack ice for 281 days, the Endurance was crushed by the ice on 21 November 1915. The expedition team had previously saved themselves on a safe ice floe. Thanks to a masterly feat of seamanship and navigation, Shackleton and his crew managed to get out of this desolate situation without any losses with the help of three lifeboats that were salvaged from the Endurance.
Initially continuing with the pack ice and later on ice floes, the castaways drifted northwards in their camps along the Antarctic Peninsula until the floes broke into small pieces. They finally reached Elephant Island in their lifeboats. There, one of the boats was converted and set off for South Georgia with 6 men to fetch help, which was successful. Months later, the remaining men who were still stuck on Elephant Island were rescued by a Chilean navy guard boat.
In 2019, a private expedition attempted to locate the wreck of the Endurance, but was unsuccessful.
In January 2022, the Endurance 22 expedition began the search. The S. A. Agulhas II brought the expedition, in which marine physicist Stefanie Arndt from the Alfred Wegener Institute took part,[3] to the last coordinates of the Endurance mentioned. From the historical records, the expedition members knew that the ship must have sunk at ♁68° 39′ 30″ S, 52° 26′ 30″ W. According to the rules of the Antarctic Treaty, the wreck is a protected historical site that may not be touched.
On 5 March 2022, the expedition found the ship with a diving robot at a depth of 3008 m, 7.7 km from the recorded position. Photographs showed the wreck standing upright in excellent condition.
#naval history#tall ship#endurance#ernest shackleton#early 20th century#antarctica#advent calendar#day 7
158 notes
·
View notes
Text


Automne 1930 - Champs-les-Sims
1/4
Cher Lucien,
J'ai suivi les déboires de l'Amérique dans les journaux. C'est un miracle que cela ne soit pas encore arrivé chez nous, mais je pense malgré tout que la crise finira par venir. En prévision, j'ai mis énormément de nos liquidités à l'abri. En cas de soucis, j'espère au moins transmettre à mes filles un pécule assez confortable. Ange est plutôt confiant, mais de son propre aveu, il ne comprend pas grand chose à l'économie, si ce n'est celle des cabarets parisiens.
En revanche, j'ai été ravie de recevoir tes photographies. Ce port est vraiment superbe et je suis également contente que toi tu en sois fier. En tous cas, Oncle Adelphe est d'accord avec moi, c'est un grand accomplissement. Il m'a raconté les lettres qu'on lui lisait dans son enfance, où on racontait les trajets en barque que faisaient ton père, ton oncle et tes tantes pour aller à l'école, ce qui n'avait pas l'air bien pratique. Avec ton port, ce sera plus confortable et sans doute plus rapide. J'espère que la crise finira par cesser pour vous, que vous puissiez vous sortir de cette période d'incertitude qui doit beaucoup vous peser.
Mes filles continuent de grandir, elles ont eu quatre ans cette année. C'est fou ce qu'elles poussent vite. Je joins à cette lettre une photographie prise par moi d'Ange et des filles. C'était à sa demande, et il a d'ailleurs glissé un petit billet à ton attention, que je n'ai évidemment pas lu. Je crois que c'est en rapport avec ta truite. D'ailleurs, je n'entends pas grand chose à la pêche, mais je pense que je dois te féliciter.
#lebris#lebrisgens5#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#Arsinoé Le Bris#Lucien Le Bris#Anna Le Bris de Chastel#Elisabeth Le Bris de Chastel#Ange de Chastel#Adelphe Le Bris#Jules Le Bris#Virgile Le Bris#Françoise Le Bris#Jeanne Marie Dorothée Le Bris#Marie Le Bris
7 notes
·
View notes
Text

"Cette part instinctive de l’homme, cette part animale de lui-même, le ramène sans cesse à lui et par là elle lui sert de défense, elle est même sa terre d’élection à la fois contre les dénaturations intellectuelles qu’on cherche à lui imposer et aussi contre le gigantisme et les cancers qui naissent de la civilisation industrielle. Elle lui rappelle sa vocation paysanne, sa vocation familiale, sa vocation de défenseur et de petit souverain de sa maison et de son champ, elle le remet à tout moment à "l’échelle humaine". Et, par ce rapport et ce retour, elle le protège contre l’inondation qui naît périodiquement des passions des hommes, contre le déchaînement planétaire de la cupidité ou des idéologies. Nous avons tous en nous la barque de Noé, mais nous n’avons qu’elle. C’est cet appel au plus profond de nous-mêmes qui a été brisé à notre insu en même temps qu’on dévaluait les qualités par lesquelles il s’exprime. Au contraire, le vainqueur dans la guerre de religion qui s’est déroulé est le pédantisme progressiste. Il nous impose, pour commencer, une définition abstraite et rationnelle de l’être humain, il en déduit les croyances qui doivent alors logiquement s’imposer à tous et créer chez tous les hommes des réactions communes, il définit une conscience équipée et guidée artificiellement et, pour ainsi dire, industriellement, et enfin, en application de ces croyances, il élabore les modes de vie que l’homme doit accepter s’il veut devenir un produit normalisé de la société industrielle, et aussi la mentalité qu’il doit acquérir pour être parfaitement dépersonnalisé et devenir l’homme grégaire dont une civilisation fonctionnelle a besoin. C’est cette refonte totale de notre vie que la plupart des gens n’aperçoivent pas, car ils ne voient pas les liens entre ces deux domaines du pédantisme progressiste. L’uniformisation des existences leur paraît un effet inéluctable de la civilisation industrielle, l’alignement conformiste, un effet transitoire de la propagande. En réalité, ces deux résultats proviennent de l’application d’un même mécanisme de l’abrutissement, il s’agit dans les deux cas, d’une rationalisation de l’être humain, qui porte sur la vie extérieure d’une part et sur la vie intérieure d’autre part, et qui a pour objectif le descellement, l’extirpation et la destruction de toute personnalité."
Maurice Bardèche, Sparte et les Sudistes, 1969.
7 notes
·
View notes
Text
Été 1928, Hylewood, Canada (3/3)
Layla s’est mise à la peinture. Elle a passé l’été sur un coin de l’île où les touristes ne s’aventurent pas trop à peindre des aquarelles. Je crois que chaque génération produit son lot d’artistes. Ma grand-mère écrivait, ma Tante Marie était sculptrice… Il parait même qu’une de mes grandes-tantes était chanteuse d’opéra. Peut-être que Layla sera peintre ! Enfin, si Maman le permet. Après ce qui est arrivé à la Tante Marie, je doute qu’elle laisse facilement une jeune fille poursuivre une carrière artistique…
Ils ont ouvert un pont, le Pont de la Paix, à Fort Erie sous Toronto, qui relie l’Ontario à la ville de Buffalo aux Etats-Unis. La conséquence de cela est que cette année, la quantité de touristes dans les Mille Îles est massive. Avec tous ces touristes, Maman ne sait plus où donner de la tête. De nombreux restaurants et hôtels fleurissent un peu partout sur les différentes îles en ce moment. Je crois que je n’ai jamais vu autant de pensionnaires au sanatorium, ce qui a l’air de déranger ses gérants plus qu’autre chose, sûrement parce qu’ils ne sont ni habitués, ni équipés pour un tel influx. En fait, quand on y pense, ce problème est général à Hylewood : nous n’avons pas les infrastructures nécessaires pour accueillir tout ce monde…
Je vais donc te partager le projet que je mûris depuis quelques années : je pense que je suis prêt à le mettre en place. L’Ontario connait une forte croissance économique grâce aux progrès réalisés dans des secteurs tels que la manufacture, l'exploitation minière et l’agriculture - produits que ma compagnie transporte à travers le fleuve. Les villes de la provinces sont en train de s’étendre : de très nombreux campagnards viennent s’installer à la ville pour travailler dans les très nombreuses manufactures qui fleurissent un peu partout. Autant te dire qu’en ce moment, les affaires prospèrent pour la CSL. J’ai même reçu une augmentation récemment. Je ne veux pas qu’Hylewood soit laissée de côté par ce bond en avant.
Alors voilà ce que j’aimerais faire… J’ai demandé un crédit à la banque, car je voudrais construire un port. Il n’y a pas de vrai port à Hylewood, juste une plage sur laquelle les barques accostent de façon anarchique. Les malles des touristes sont jetées sur la plage, certaines sont emportées par la rivière, c’est une horreur. Ce que j’aimerais, c’est construire une plateforme qui permettrait à des bateaux, peut-être même des ferrys, de pouvoir s’amarrer de façon plus confortable. Cela aurait nécessairement des retombées positives pour l’île. A l’heure actuelle, chaque famille possède sa barque. Si nous avions un port, alors peut-être qu’une liaison quotidienne entre Gananoque et Kingston pourrait être installée…
Le banquier a dit qu’il allait étudier ma demande, j’attends sa réponse. Je n’en ai pas encore parlé à ma famille, alors je te conjure de ne rien en dire, parce que ta mère ne manquerait pas d’en parler à la mienne, et alors j’aurais honte si ce projet ne fonctionnait pas. J’aurais peur qu’elle essaye de m’en dissuader, car c’est un risque, et étant donné la situation financière de ma famille, ce n’est peut-être pas le moment de prendre des risques… Mais je m’encrasse à la CSL ! J’en ai ras-le-bol des trajets en voiture quotidiens. Je ne me vois pas aménager de façon permanente à Kingston, déjà parce que les loyers y sont trop chers, et d’autre part parce que j’aime trop les Mille Îles. Je ne veux plus travailler pour autrui, j’ai envie d’être mon propre patron, et avec ce que cela me rapporterait si je réussissais, j’aurais de quoi sortir ma famille du besoin pour de bon. Vraiment, je t’en prie, n’en dis rien à personne.
Permets-moi de t’embrasser affectueusement.
Lucien LeBris
[Transcription] Dolorès LeBris : Je pense que la langue allemande enlève l’authenticité de mes sentiments. Plutôt que de chanter, je devrais scander. Ou alors, ne garder que les parties chantées qui passeraient également en français. Vous êtes d’accord, Papa ? Jules LeBris : Oui oui, ma chérie, c’est bien. Dolorès LeBris : ♩ Ô AaAaAaAlgiiiiiiiiiiii ♫ Agathon LeBris : Qu’est-ce qu’il se passe ici ? Il est encore tôt pour égorger le cochon. Dolorès LeBris : Sans TOI, je ne peux PAS VIVRE !!! Je ne peux PAS mourir. Agathon LeBris : La mort serait un doux répit si elle me délivrait de ce vacarme de l’enfer. Dolorès LeBris : ALGI ! Tu LAVES mon âme et mon CORPS !!! Agathon LeBris : Et mes oreilles. Dolorès LeBris : Merci, cher public, merci. Je souhaiterais avant tout remercier mon père, ma mère, et mon grand-frère Agathon grâce à qui cette performance a été possible. Agathon LeBris : Par pitié, ne me crédite pas dans cette tentative d’assassinat du bon goût…
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen4#Lucien Le Bris#Jules Le Bris#Eugénie Bernard#Agathon Le Bris#Dolorès LeBris#Joséphine Le Bris#Jacqueline Rumédier#Louise Le Bris II
8 notes
·
View notes
Text
L’air est frais, le fond de l’air humide, le « fond de l’air » : étrange expression…
C’est un matin sans soleil et d’une grande clarté, avec des nuages pâles et immobiles, pâles et immobiles comme moi probablement.
J’ai dans la tête un champ de fleurs où tu m’avais conduite, je n’en avais jamais vu de tel. Nous nous sommes arrêtés, nous avons contemplé le cadeau, inespéré, éphémère, radieux comme toi probablement.
J’ai dans la tête une forêt clairsemée, sur les hauteurs d’un plateau venté. Des troncs noirs et nus, comme calcinés, dressés dans un bout d’immensité. Nous avons marché, côte à côte, dans un silence recueilli et attentif, comme moi probablement.
J’ai dans la tête une route qui défile au milieu des bois et des prés, de temps en temps une buse s’envole et croise notre trajectoire, c’est à qui la montrera à l’autre. On suit son vol ample, majestueux et solitaire, comme toi probablement.
J’ai dans la tête une barque qui grince, un fleuve calme et profond, un air humide et frais, les rames plongent et remontent, le clapotis est doux, léger et limpide, comme moi probablement.
J’ai dans la tête une danse à tes côtés, nous sommes légers, l’air nous porte, nous élève, nous croisons les oiseaux, nous avançons sans effort, juste un peu moins vite qu’eux, ils restent à distance mais ils ne s’effarouchent pas, le haut air sent vif comme une terre lavée par la pluie et il est accueillant, tu poses ta main dans mon dos et tu m’apprends à voler.
Le poids de la brindille,
Extrait du récit "QUARANTE JOURS"
Carole Dailly.

23 notes
·
View notes
Text


Vieux port du Gros du Roi - France
Les jouteurs sur la tintaine : plateforme au-dessus de la barque bleue
41 notes
·
View notes
Text

Ville maritime à la situation privilégiée, Villefranche-sur-Mer est un des ports majeurs de la Côte d’Azur et un lieu d’escale de nombreux navires de croisières
Son petit port de pêche au pittoresque sans cesse renouvelé, abrite également une flottille de bateaux de plaisance et de pointus (barques traditionnelles de pêche). De par la courbe majestueuse de son rivage, sa Citadelle du XVIème siècle et ses façades colorées, Villefranche-sur-Mer est aussi devenue une cité prisée des peintres et des artistes.
Daily inspiration. Discover more photos at Just for Books…?
6 notes
·
View notes
Photo






Nouveau retour à mon projet de présenter la plupart de mes 55500 photos (et des brouettes). Plus trop loin du présent….
2016. Marseille en été. Le Vieux-Port : le Ferry-Boat qui le traverse, le “Gyptis”, reconstitution à l’identique d’une barque massaliote du VIème s. av. J-C., la tour du Fort Saint-Jean, et l’Hôtel de Ville, tristement pavoisé en honneurs aux victimes de l’attentat de Nice...
#souvenirs#marseille#vieux-port#ferry-boat#gyptis#barquette#barque#archéologie#massalia#massaliote#hôtel de ville#fort saint-jean
2 notes
·
View notes
Video
CALELLA DE PALAFRUGELL-GIRONA-PINTURA-ART-PLATJA-PORT-BO-BARQUES-ARCS-MARINA-PINTOR-ERNEST DESCALS por Ernest Descals Por Flickr: CALELLA DE PALAFRUGELL-GIRONA-PINTURA-ART-PLATJA-PORT-BO-BARQUES-ARCS-MARINA-PINTOR-ERNEST DESCALS- Rincones de CALELLA DE PALAFRUGELL en Girona, Costa Brava de Catalunya, la Platja del PORT-BO con sus barcas reposando sobre la arena y algunos de los arcos que distinguen la población costera, una vez más he pintado por la tarde este paisaje de marina con contraste de luces y colores, la sombra bajo la pared de piedra alberga muchas personas que acuden a sus cafeterías con toldos y sombrillas. Calidez de tonos en un ambiente tranquilo. Pintura del artista pintor Ernest Descals sobre lienzo de 40 x 40 centímetros, paisajes de verano.
#CALELLA DE PALAFRUGELL#GIRONA#COSTA BRAVA#RINCONES#PLAYA#PLATJA#BEACH#PLATJA DEL PORT-BO#BARQUES#BARCAS#ARCS#ARCOS#BOATS#ARENA#CATALUNYA#CATALONIA#CATALUÑA#MARINA#MARINES#MARINASS#GENTE#PEOPLE#CAFETERIAS#TOLDOS#SOMBRILLAS#PAISATGE#PAISATGES#PAISAJE#PAISAJES#LANDSCAPE
0 notes
Text

HNLMS Soembing on arrival in Nagasaki 1854 by Arnold de Lange.
Kankō Maru (観光丸, Vision) was Japan's first steam-powered warship. She was the Dutch HNLMS Soembing, which was presented to the Tokugawa shogunate ruling Japan during the Bakumatsu period as a gift from King William III of the Netherlands to assist Janus Henricus Donker Curtius, head of the Nederlandsche Handel-Maatschappij (Netherlands Trading Society) in Japan in his efforts to establish formal diplomatic relations and the opening of Japanese ports to Dutch merchant vessels.
When she was given to the Japanese in 1855 a naval detachment of 22 instructors was also temporarily stationed at Deshima to train Japanese crews, officers, etc. Captain-lieutenant at sea G.C.C. Pels Rijcken was given command of this detachment. 'Master' Pels Rijcken and his detachment combined group teaching of Japanese students at the naval school with the construction of a sloop building yard, a forge and a sail making shop. An eight-oar sloop and a 60-ton cutter were built on site. Steam mechanics was demonstrated by on-site repairs and maintenance of the engines of the Kanko Maru.
Kankō Maru was a three-masted jackass-barque-rigged sailing vessel, with an auxiliary single-cylinder coal-fired 150HP reciprocating steam engine turning a side paddlewheel. She had an overall length of 66.8 metres and a displacement of 781 tons. Her armament consisted of six muzzle-loading cannons.
She was decommissioned in March 1876 and was scapped that year.
54 notes
·
View notes
Text

Aujourd'hui, passage à Guéthary...
Dès le moyen âge, les ports de la côte basque, et Guéthary en fait partie, sont réputés pour la Chasse à la Baleine.
Le blason de la commune de Guéthary qui représente un guetteur sur un promontoire ainsi qu’une chaloupe de chasseurs en train d’harponner une baleine, rappelle fièrement cette tradition séculaire

Aujourd’hui, le Port abrite une vingtaine de barques colorées et solidement amarrées aux 29 anneaux de la cale.
Ces canots sont utilisés surtout pour la pêche de loisir, chipirons, langoustes, merlus...
Ce Port a su conserver le caractère sauvage de son passé pour le grand plaisir de ses habitants et des voyageurs, bien loin du côté huppé et festif des autres villes de la Côte Basque !

3 notes
·
View notes
Text









Jean Hugo (1894-1984), Blevézet à la femme en bleu (Aveyron), 1978 + La Rue à la chaise, L'Estartit, 1953 + Les Mazets d'algues-mortes, 1954 + Le Pré aux vaches, s/d + Paysage de Normandie, 1960 + Le Thouet aux oies, 1955 + Les Barques noires, 1960 + Le Salon blanc, 1959 + Le Port de Sète, le bateau blanc, 1971 ; Sète, Musée Paul-Valéry, Jean Hugo : entre ciel et terre, June 29-October 13, 2024.
July 16, 2024. I was thinking recently about some of the preconceptions I had about adulthood when I was growing up.
I think it was back in May, I was walking from the train station to work at the museum and I was carrying my lunchbox with a backpack on my back and it occurred to me that I could very well have been little again, on my way to school. Nothing's really changed. Not that I have any issue with that, I was just surprised by the revelation.
Another preconception, this one fully pushed by magazines and beauty gurus on YouTube, was the need to touch up makeup during the day / "going from day to night". I have never ever ever ever been inclined to do the latter, moreover once I've done my makeup in the morning, that's it, that's what I'm rolling with for the day. The goal has always been to use products that can stand up to the day, I am far too lazy to have to think about packing them up with me and then reapplying "as needed".
All of that to say, one of the things I didn't expect would carry over into adulthood is field trips, and let me tell you, I am not only delighted but I believe we should be doing more of it. This morning, the museum team piled into two cars and drove an hour to the coastal town of Sète, to visit the last of the three exhibitions dedicated to the artist Jean Hugo in the region.
#phd life#studyblr#art history#jean hugo#day in the life#south of france#museums#100 days of productivity#spilled thoughts#field trip#art exhibition#summer
2 notes
·
View notes