#orange mond

[altherasart]

Vintage Halloween Design: Süße Hexe, Kürbis, Vollmond von AltherasArt

Ein charmantes Vintage-Halloween-Design mit einer süßen Hexe, einem Kürbis und dem Vollmond im Hintergrund. verziert mit Fledermäusen

[firelise]

♪ Gotta watch how you whisper when you 'round me, though // Give a fuck what you prefer I'm too profound to go back and forth with no average dork ONLY FRIENDS as SZA Lyrics 6/6 -> FORGIVELESS

[ryansjane]

I'm hyped, my off looks so good 🥰 so sad gawin isn't a main for basketball though 🥲

[angebleue2]

Fleur de Hoya 🧡🌿🧡🌿🧡

[brainrotandbedrot]

okay. im a perfume nerd and i just can’t get this out of my head and these are all my own little brainworms so 🤪

perfume scents that every man in the 141 loves.

price is a classy man. but i also think he isn’t a huge fan of anything strong — he likes how you smell naturally. anything light, airy, a little floral but not like grandma rose perfume floral. price is the type of guy i see having fresh laundry scented candles in his house and a “fresh and clean” air freshener for his car. this man is tired and approaching middle age and he just wants his shit to smell good. including you. i hc something along the lines of maison margiela replica’s lazy sunday morning edt, glossier’s you edp, dedcool’s fragrance 03 blonde edp. for something more recognizable, gingham and sweet pea from bath & body works.

i feel like he’d also like chanel no. 5 just because of the name. his mum wore it. it’s sentimental for him.

notes: crisp fruits (pear, apple), light floral (jasmine, rose, lily of the valley, lilac), light musk, milk

gaz loves when you smell like a cashmere sweater. warm, sweet, but soft and homey. he wants to come home and just sit there and sniff you because you smell like a warm hug after a long day (it makes sense in my head okay). he’s the type to come along to sephora and ulta and hold the bottle while you spray the testers and he’ll tell you if something smells good (everything smells good, he likes seeing you smile & he’s paying anyway). philosophy’s fresh cream edp, ariana grande’s cloud intense edp, byredo’s slow dance edp, and skylar’s fall cashmere edp are all scents i think he’d love. i also feel like ivory cashmere from bath & body works is a given.

notes: almond, warm vanilla, berries (juniper, cranberry), cinnamon bark, sandalwood, light musk

johnny. johnny is a man of taste, okay? this man loves a unisex fragrance. (they all do. but like. johnny truly just loves a scent that is just a scent. no feminine or masculine packaging.) literally anything that smells good has his paws all over you. i feel like he’s a woody, earthy scents kind of guy. just smell like a forest and he’s head over heels. like le labo’s santal 33 edp, tom ford’s oud minerale edp, zodica perfumery’s eau de dallas edp, dossier’s ambery saffron and woody oakmoss edp. mahogany teakwood & into the stars from b&bw will also get this man’s heart rate wild.

notes: bergamot, oud, amber, musk, sandalwood, cedarwood, spices (cardamom, ginger), fir balsam

simon is a gourmand man. change my mind (you can’t). this man will get a whiff and have to stop himself from nibbling on you like a cat. or he doesn’t. you just smell too good, love. i don’t think he has a specific preference in terms of general scent, but anything that smells yummy has him drooling. sweet, warm, similar to gaz but more in the food direction than the cozy warm direction. i think le monde gourmand’s crème vanille edp, kayali’s yum pistachio gelato intense edp, billie eilish’s eilish 1.0 edp, sol de janiero’s brazilian crush cheirosa '71 fragrance mist. sweet whiskey and viva vanilla from b&bw are also delicious to layer with.

notes: gourmand (warm vanilla, brown sugar, marshmallow, caramel), amber (and ambery musk), florals (jasmine, orange blossom), nutty (almond, hazelnut, pistachio)

sorry simon’s scent notes are so long gourmand fragrances just have so many and they all smell good

[theungracefulpasterie]

Second part of @imaushisimp 's request !

A/N : Sorry for the long time I took, I got a lot of exams and I had a hard time finding inspiration. Anyways, hope you'll like it !! (It'll still be in French as you have requested)

P.O.V : You throw a surprise party for him (Dazai)

Warning : get a tiny tiny bit heated towards the end.

Dazai

Ça fait 2 ans que tu fais partie de l'Agence, 2 ans qu'un certain homme parsemé de bandages sur tout le corps est entré dans ta vie. L'année dernière, lors de votre anniversaire, c'est Dazai qui a tout organisé. Mais cette année, tu as décidé que c'était ton tour de faire de cette journée la meilleure. Tu décida donc de faire de cette fête une surprise et de convié tout les membres de l'Agence.

~~little timeskip~~

Tu avais tout prévu. Vous alliez passer toute une après-midi à fêter votre amour avec tout vos amis, puis une balade au parc entre amoureux au crépuscule pour admirer le coucher du soleil et enfin pour finir la soirée chez toi.

"Bon, c'est quand que je peux voir ?", dit-il impatiemment. Tu lui avais mis les mains devant les yeux et essayait de le guider tant bien que mal à le guider jusqu'au bureau.

"Oh mais attends !!", tu soupiras parce que t'avais l'impression de parler à un enfant. Vous étiez enfin arrivé devant la porte et tu lui enlevas tes mains de ses yeux. "C'est bon, tu peux ouvrir la porte !".

Il ouvrit la porte quand tout le monde cria "Surprise !!" et sauta sur lui, à ça de l'écraser au sol avec leur poids. Tu éclatas de rire et il se leva endolori.

"C'est pas drôle !", dit-il en faisant semblant de faire des yeux de chien battu pour attiser ta pitié. Il reprena son air sérieux et admira toute la décoration. "C'est... c'est toi qui a fait ça ?", dit-il en te regardant comme si il te croyait pas.

"Et oui ! Avec l'aide de tout le monde bien sûr...", tu répondis en regardant ailleurs et en rougissant. Dazai venu vers toi, entoura ta taille avec un de ses bras et te pris par le menton et approcha son visage du tien et dit d'une voix suave et séducteur comme il sait bien le faire : "C'est magnifique, ça te reflète parfaitement chéri." Et il t'embrassa tendrement. Tu entouras tes bras autour de son cou et tu te laissas faire par ce baiser envoûtant. Tout le monde sifflait et vous disait de réserver pour ce soir, à quoi tu leur répondis tout rouge "CE N'EST PAS VOS AFFAIRES !!".

Vous passiez une après-midi fabuleuse avec tout le monde quand tu remarquas que le ciel était déjà d'un orange doré. "Osamu, ça te dit une balade au parc ?", demandas-tu en lui tendant ta main. Il la prit et se leva. "Avec plaisir, mon amour~", répondit-il, plus amoureux que quiconque. Ton cœur palpitait tellement il était sexy en paroles et en apparence. Tu pouvais pas croire que la vie t'avait béni avec un homme comme ça.

Vous marchiez dans le parc main dans la main, en parlant de tout et de rien et en admirant la nature. Ce que Dazai aimait chez toi était ton amour pour la nature, c'était peut-être le seul domaine dans lequel tu le dépassais, lui et son gros cerveau. Et c'était ça le problème, tu savais que son intellect le permettait de prédire carrément l'avenir.

Vous vous asseyez donc sur un banc, admirant le coucher du soleil. Tu posas ta tête sur son épaule et lui dis :

"Tu le savais depuis le début pour cette surprise, hein ?"

Après quelques secondes, il disa avec de l'embarras dans sa voix :

"Haha... malheureusement...", il était également très nerveux. "Mais pour être honnête, même si je l'avais déjà prévu, les moments qu'on a passé ensemble et avec tout le monde m'ont beaucoup touché et ça, tu vois, c'est quelque chose que je n'arrive jamais à prédire."

Tu lui souris et répondis :

"Merci d'avoir jouer le jeu, vraiment... c'est ça que j'aime chez toi, Osamu. Même si tu sais déjà ce que je veux faire avec toi, tu ne laisses jamais ton intelligence gâcher le moment et tu laisses libre cours à tes sentiments et aux sentiments des autres. Et ça, je te suis à jamais reconnaissant. Je t'aime, Osamu."

Il sourit à ta réponse et te regarda tendrement.

"Moi aussi je t'aime." Il posa ses mains sur ton visage et t'embrassa. Il inséra sa langue dans ta bouche et domina ta langue. Tu te laissas faire et vous commenciez à vous allonger sur le banc, Dazai au-dessus de toi, continuant à te rouler une pelle. Ton pantalon commença à devenir trop inconfortable au niveau de ton entrejambe, pareil pour Dazai. Quand tu te rendis compte que ça commençait à devenir torride et que vous étiez encore en public, tu te rappellas de la dernière étape de ta surprise. Tu séparas tes lèvres des siennes, à son grand désarroi, et dis :

"Chez moi ?~"

Il sourit sournoisement et répondit :

"J'ai cru que tu le demanderais pas~"

A/N : At last, it's over !! My first time writing a more heated story, I'm not too good at this yes but I wanted to try, so I would like feedback ! Don't hesitate y'all to request more things, I'd be happy to make them !!

[c-t-r-l14]

See You Again

“I said I’m ‘bout to go to war,

And I don’t know if I’ma see you again.”

————————-🧡————————————

Synopsis: You find yourself wide awake, thinking about Dontis.

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“The sky was a shade of purple yesterday”.

A knot formed in your chest, and your whole body felt hollow. Heat bloomed throughout your entire being, and beads of sweat formed on your forehead as you typed.

“Yes, but the clouds rolled into orange hues.”

The overwhelming feeling of dread formed in the pit of your stomach, and you swayed slightly where you stood. You sucked in a deep, shaky breath and your whole body began to shake. You never would’ve guessed how two seemingly harmless sentences had such a profound effect on you. But, it made sense. Those words were the harbinger of war, and your beloved Dontis was in the very heart of the battlefield. With war, comes pain, and with pain, comes death, and it was a very likely possibility that Dontis could end up as a casualty. And, although this was something you’ve already realized, this stark, and very possible reality hasn’t hit you yet.

Feeling strangely detached from your own body, you started to get ready for bed.

……..

By the time you’ve emerged from the shower, night had fallen. The moon was out—its white radiance illuminating the midnight blue sky. There weren’t many stars peeking overhead that night, but the beautiful lights of the city that lived underneath the vast sky made up for it. You sighed inwardly, feeling hollow yet again. He would’ve loved this.

You remembered the first time you stayed in New Orleans with him. It was such an unfamiliar place—the city was bustling—full of rich culture, and people from many backgrounds, humans and supernatural beings alike. It was there where you finally saw what Dontis was trying to tell you when you two first met. There IS a place where everyone could live in harmony—without threat or fear. Without needing to hide. And that place was New Orleans. You remembered how Dontis beamed with absolute delight as he planned out what exactly you guys were going to do there, figuring out ways on how to make your stay so memorable, “that you’d never want to leave”—or however he put it. And if it were anyone else, they would’ve been smiling from ear to ear, eager to help with the planning, trying to find what days to go sightseeing at what time, and at what place; but all you could really think about was the recent revelations you’ve come to know, and how you’ve spent so many years of your life living a lie. Your hands were stained with the blood of so many people just to get this far—to finally catch the incubus who made your father go “missing.” And now the same incubus that you worked so hard to find stood before you, happily ranting about how exquisite Cafe du Monde’s cuisine was, and how you two should totally stop there for lunch tomorrow when he takes you on a tour around the city.

You let out a loud, hearty laugh—one that came from the very pit from your stomach, one so strong that it bounced from the back of your throat and reverberated against the buildings and streets. You couldn’t find the irony any more hilarious.

“What is so funny?” Dontis inquired, a bit confused as to why you were laughing seemingly out of nowhere.

“It’s just really crazy how just a little while ago, I had you tied up and chained in my basement. I never would’ve guessed that our lives—our relationship would go from that, to you planning on taking me on a grand tour around the city,” you chuckled, wiping a tear from your eye.

Dontis smiled—a smile that you grew fond of. A smile you’ve come to love.

“Ah, yes. Life could be crazy and unpredictable. But it could also be beautiful and exciting. Filled with anticipation and a bit of wonder. It’s for us to enjoy, if we allow ourselves to do that.”

You stared deeply into his eyes—his irises as gray as storm clouds, flecks of gold and brown peeking its way through the grey colored ocean that was his eyes. Soft and sweet. Warm and inviting. Loving and kind. And that was the first time you truly got to admire how gorgeous Dontis was. Your lips stretched into a toothy grin.

“Well,” You said, running your hand into your hair, “I’m glad you’re here to show me just how great life can be.”

And on this night, the moon was out, its white radiance on display for all to see.

The sky tinted in the shade of midnight blue.

Not a single star peeking overhead. The streets lined with city lights, and a bustling city that lived under the vast sky.

And it was a night just like this one, where you found love.

Your eyes began to sting and you crossed your arms, your nails digging into your skin to prevent yourself from falling into pieces. The reality struck you so hard that it almost knocked you over. Dontis may never come back, and that reality was too much to bear. And although you’ve made the decision to stay behind, you found yourself wishing that you went with him. You spent so many years of your life using your skills to hurt people, and it all amounted to nothing. But, this could’ve been your chance to actually put those skills to good use—to help and protect the ones you love instead of hurting and killing people for them. But it was all too late now. You let out a loud, forceful sob—one that came from the very pit of your stomach, one that clawed its way out of your throat, and made your chest tighten and burn. You sunk to the bed, your nails digging deeper and deeper into your skin. You had no idea what you’d do without him. He was the only person you actually gave a damn about. He was the only person you had ever truly loved. Being alone again in this world was a reality that you couldn’t handle. It was a reality that you weren’t willing to accept.

You laid in bed, although, you weren’t getting any sleep tonight.

Because Dontis had gone to war, and he had taken your heart with him.

———————————🧡——————————-

A/N: I remember listening to the audio where Dontis was saying goodbye to listener, and honestly his whole interaction with them just killed me inside. Dontis was the whole reason why listener was able to settle down in the first place—and he gave them the opportunity to actually live a life that didn’t have anything to do with violence and death. So, to see that the one person who taught you how to live your life now going off to risk their own, with a very big possibility of not coming back—just made me feel for them so bad.

I’m trying to get better at writing dialogue for these characters, so if there is any improvement that needs to be made, don’t hesitate to let me know!

That you so much for reading, ya’ll! 🧡

Masterlist

[prophctic]

the anthology | coven

ivy was certain she'd never felt heat quite like this before.

it was hot in the summers in new england, certainly; closer to the coast the humidity was higher than it was inland, and summer nights on the cape were often made warmer due it the proximity to water. but new england summers, even at the coast, were nothing compared to summers in new orleans. they were deeper south than she had ever been, so close to the gulf they could walk to it's shores, and the moment she stepped outside she found herself sweating. she found herself sticking to the merciful shade of the spanish moss-draped oak trees during the daytime, hesitant to step out from under their branches even to cross the street, and nighttime came as a blissful relief.

another blessing, aside from the shade cast by the massive, romantic trees that lined the streets, was the fact that the city seemed to take air conditioning very seriously. the moment she stepped inside a building, she was instantly cooled down. even the insulation on containers seemed somehow superior to anything she'd experienced on the east coast; the cup of frozen coffee she'd gotten at cafe du monde earlier in the day stayed icy cold for hours, it's to-go cup protecting it somehow from the oppressive summer heat.

ivy suspected magic was involved, not only because of the impressive insulation on the cup, but because of the twinkle in the baristas eye as she'd paid.

magic was everywhere here, but so different from the way it was imbued within society in salem. residents of salem who were human still believed in witchcraft, certainly, and seemed well aware it was a part of their city's history. here, though, even humans seemed to openly not only be aware of, but embrace, the supernatural. sigils were carved into planters, and people left offerings at the voodoo temple or shopped for candles to cure their ills or sorrows; people returning from the bayou openly spoke of hearing a rougarou call or seeing the lights of a fifolet. they were a part of things, not just aware of things; even if they were not supernatural themselves, the people of this city seemed aware of it and respectful of it; open to the help of the paranormal, yet aware of it's boundaries. it was fascinating in a beautiful way.

a third blessing came from the originals, who, despite the salem refugees insistence on paying their own way once they could, were looking out for them nevertheless. clothes appeared in their wardrobes overnight; comfortable shorts and shirts that would keep them cool in the summer heat. a few dresses even appeared, including a vintage dolce and gabbana slip dress that made gemma squeal, and that had left her spinning on the balcony and jumping up and down with excitement.

gemma wore the same dress now as they traipsed to the new orleans library under the blazing sunset, all vibrant reds and pinks and oranges silhouetted behind palm trees. it was so different than anything ivy had grown up seeing; it was all so beautiful.

"won't the library be closed when we get there?" willow inquired hesitantly, still afraid to break the rules.

"ajani said they were staying open late for us," ivy said, feeling almost as hesitant as they approached the steps. as if on cue, ajani opened the door, smiling out at them.

"ah, there you are! come in, come in! i have a friend who works here; she offered to let us have the place to ourselves tonight for research purposes." ajani held the door for the coven members as they filtered inside, ivy's eyes widening as she took in the vast collection of books before her.

"a few more friends will be joining us, so i will wait by the door to let them in. please, feel free to browse until then if you would like."

[thebusylilbee]

C’est la deuxième vague de chaleur de l’année. Après une flambée des températures qui a touché le pourtour méditerranéen français le 9 août, puis un mercure qui a atteint hier les 40 °C sur le littoral aquitain, ce sont quarante départements qui ont été placés sous vigilance orange canicule par Météo-France lundi 12 août. Des températures maximales de 36 °C à 38 °C sont attendues en Île-de-France, en Centre-Val-de-Loire ou encore en Bourgogne. [...]

« On s’habitue : on oublie qu’avoir 40 degrés c’était presque impossible dans les années 2000 », a réagi auprès de Mediapart Magali Reghezza-Zitt, géographe et maîtresse de conférences à l’École normale supérieure. [...]

Une planète en ébullition

Alors que le changement climatique augmente à « un rythme sans précédent », la planète vient d’enregistrer treize records mensuels consécutifs de température à la surface de la Terre. Le globe a battu les 23 juillet le record de la journée la plus chaude sur Terre jamais mesurée. 

Enfin, l’Antarctique, actuellement en plein hiver austral, a, toujours en juillet, connu des températures au sol en moyenne de 10 °C au dessus de la normale de saison – et de 28 °C certains jours.

« À un climat réchauffé à + 1 °C comme actuellement, il y a une chance sur cinquante pour que des épisodes caniculaires pareils arrivent. Une chance sur quatre à + 1,5 °C de réchauffement et une chance sur deux à + 2 °C, précise Magali Reghezza-Zitt. Ça veut dire que ça n’arrivera pas tous les ans mais que ces épisodes seront rentrés dans la normalité. »

Or, la France est tout particulièrement vulnérable aux dérèglements climatiques. L’Europe se réchauffe en effet deux fois plus vite que le reste du monde. Et Paris est la capitale européenne au risque de surmortalité le plus élevé en cas de vague de chaleur. 

Quant à la Méditerranée, elle est une des régions mondiales les plus impactées par le réchauffement, comme l’a souligné le dernier rapport du Giec. La semaine dernière, des températures avoisinant les 30 degrés ont été mesurées en mer au large de la Corse et de la Côte d’Azur – une canicule marine avec une anomalie de température de l’ordre + 4 °C.

Les plus vulnérables en première ligne

Dans son sixième rapport annuel publié en juin dernier, le Haut Conseil pour le climat, organisme indépendant placé auprès des services du premier ministre, a souligné que les inégalités d’exposition face au dérèglement du climat « risquent de s’aggraver », notamment pour les enfants et les ménages les plus précaires. C’est que si l’inaction climatique perdure, les enfants nés en 2020 subiront sept fois plus de vagues de chaleur qu’une personne née en 1960.

Par ailleurs, sur les périodes estivales de 2014 à 2022, les chaleurs extrêmes ont déjà causé la mort de près de 33 000 personnes dans notre pays, d’après Santé publique France.

« Une inquiétude qui commence à poindre est l’augmentation des épisodes de nuits tropicales, qui peut être dangereux pour les patients à risque puisque leurs organismes ne peuvent plus se reposer la nuit, poursuit Magali Reghezza-Zitt. L’autre inquiétude, et on commence à avoir des signaux faibles d’alerte sur la côte méditerranéenne, c’est la chaleur humide. Ce sont des conditions climatiques qui empêchent la peau de transpirer, et ça réchauffe le corps. »

Face à cet épisode caniculaire, le docteur Grégory Emery, directeur général de la Santé, a déclaré auprès de Mediapart miser sur la territorialisation de la prévention : « Les messages nationaux ne peuvent pas refléter la situation météorologique de chaque région, détaille ce dernier. Il y a quelques semaines, quand je parlais du risque de vague de chaleur depuis Paris mais qu’il faisait 20 degrés, le message n’a pas trop imprégné. Et en santé publique, c’est un peu comme Pierre et le loup : quand on répète des messages de prévention inadaptés à la situation locale, les gens n’écoutent plus. »

Le ministère de la santé incite tout particulièrement à inscrire les personnes fragiles sur les registres communaux, afin qu’elles soient surveillées de près par les services sociaux municipaux en cas de chaleur extrême.

« Il y a un enjeu de responsabilité individuelle face à ces risques,avertit le docteur Grégory Emery. On doit s’attendre à faire face dans les prochaines années à des vagues de chaleur plus tôt et plus tard, avant ou après l’été. »

Déficit d’adaptation

Si l’État français doit gérer l’urgence durant ces épisodes caniculaires et continuer à diminuer les émissions de gaz à effet de serre du pays, le Haut Conseil pour le climat a également rappelé dans son rapport de juin 2024 que les impacts du chaos climatique croissent plus vite que les moyens mis en œuvre par le gouvernement pour s’y adapter.

Alors que les vagues de chaleur devraient être deux fois plus nombreuses d’ici à 2050, l’organisme estime que certains territoires français « ont déjà atteint les limites de leurs capacités d’adaptation au changement climatique ». 

« Sur l’adaptation au climat qui se réchauffe, il n’y a pas de discours politique et médiatique, il n’y a pas de récit, résume Magali Reghezza-Zitt. On s’adapte désormais à un climat qui n’existe déjà plus. »

Après que le gouvernement a dans un premier temps, en février, amputé de 2,2 milliards d’euros le budget dédié à l’écologie, la présidente du Haut Conseil pour le climat a été jusqu’à écrire en avril dernier au premier ministre, Gabriel Attal, pour se préoccuper « du risque de recul de l’ambition de la politique climatique » du pays. 

C’est que, en dépit des obligations législatives, ni la loi de programmation énergie et climat, ni la Stratégie française énergie et climat, ni la troisième Stratégie nationale bas carbone (SNBC), ni le troisième Plan national d’adaptation au changement climatique (Pnacc) n’ont encore été adoptés.

En janvier dernier, Christophe Béchu, ministre de la transition écologique, avait pour exemple annoncé en fanfare le nouveau Pnacc pour adapter la France à + 4 °C d’ici 2100, grâce à une cinquantaine de mesures pour répondre entre autres aux impacts des vagues de chaleur.

Prévu initialement pour cet été, ce document-cadre climatique, pourtant techniquement prêt, ne sera publié, contexte politique oblige, que vers la fin de l’année. Quant à Christophe Béchu, sa communication sur les réseaux sociaux s’est quasiment entièrement focalisée sur les médailles des Français au Jeux olympiques, malgré les deux canicules. 

En attendant, selon l’observatoire européen du changement climatique Copernicus, il est déjà « tout à fait possible » que 2024 soit l’année la plus chaude jamais enregistrée.

Mickaël Correia et Manuel Magrez

[francaistoutsimplement]

Ça c’est Raphaël Glucksmann

Raphaël c’est avant tout un héritage, fils du philosophe André Glucksmann, il grandit dans le confort d’une famille aisée dans un milieu d’intellectuels de gauche. Son père sera notamment signataire d’une pétition sur la dépénalisation des rapports majeurs/mineurs.

Raphaël c’est une formation élitiste, après un passage au lycée Lamartine, il est en classe préparatoire au lycée Henri IV.

Raphaël c’est le coeur sur la main, il fonde Études sans frontières avec l’aide de son papa pour permettre à des jeunes tchétchènes d’étudier en France, il réalise un documentaire sur le génocide des Tutsis où la responsabilité de la France est selon lui exclusive, puis un autre sur la révolution orange en Ukraine.

Raphaël c’est les relations, il arpente le monde à la recherche de causes à défendre, il traîne ainsi ses savates en Géorgie, après que Bernard Henri-Lévy grand ami de son père et de sa famille lui arrange le coup, il ouvrira à Tbilissi une « Maison de l’Europe » et devient conseiller du président Saakachvili.

Raphaël c’est aussi le besoin de briller, lors de l’intervention russe en Géorgie en 2008, il se considère comme seul intermédiaire entre Nicolas Sarkozy et Vladimir Poutine, en réalité il ne servira strictement à rien.

Raphaël c’est le mondialisme, se disant issu d’un milieu « mondialisé » il fera en sorte d’apporter les joies du mondialo-nazisme en Géorgie à grands coups de tentatives d’adhésion à l’UE mais aussi à l’OTAN.

Raphaël c’est aussi le pacifisme, après avoir servi de manche à air en Géorgie, il va en Ukraine, nouveau terrain qui va lui permettre de se nourrir. Il va alors conseiller « gratuitement » Vitali Klitschko à grands coups d’européisme et d’atlantisme. Il se décrit alors comme « conseiller en révolution » il ne servira là encore, à rien.

Raphaël c’est la défense des opprimés mais avec sélection, il prend fait et cause pour les Ouïghours massacrés par le pouvoir chinois. Il est en revanche muet sur le cas des Palestiniens qui se font massacrer depuis 75 ans.

Raphaël c’est aussi l’engagement, il s’engage auprès de Génération.s le mouvement de son ami Benoît Hamon, puis participe au lancement de Place Publique, il parvient en 2019 à se faire élire comme député européen et apporte son soutien à la NUPES en 2022.

Raphaël c’est l’homme de l’arrière, grand ami de Zelensky, il veut plus de soutien pour l’Ukraine, avec des déploiements si nécessaire mais sa géniale cervelle doit être utile à l’arrière, le front c’est pour les gueux.

Raphaël c’est le petit père des immigrés, il est favorable à une immigration de travail, ainsi on envoie des ONG chercher des noirs dans des villages avant d’entasser ces malheureux dans des bateaux pour qu’ils aillent booster le capital chez des patrons véreux. Un peu de traite négrière ne fait jamais de mal.

Raphaël c’est aussi le pourfendeur de souveraineté, ainsi il ne faut plus raisonner en termes de visas, mais d’aller-retours entre les pays.

Raphaël c’est le parfait exemple de la crapule du système et du WEF, anti-France, il ne ressent rien pour ce pays sinon au mieux de l’indifférence au pire du mépris.

Raphaël, les identités doivent être détruites.

Raphaël vous plongera dans son enfer.

(source X_UNP)

[altherasart]

Gruseliger Zombie mit Kürbissen und Mondvon AltherasArt

Entdecken Sie unseren gruseligen Zombie in Cartoonform, der von Kürbissen umgeben ist, während der Mond orangefarben scheint. Eine Fledermaus vervollständigt das schaurige Ambiente. Holen Sie sich jetzt dieses Halloween-Motiv!

[lesillusionsterrestres]

Le vendeur de roses

© Photographie de Steve McCurry

Il y a ce vendeur de roses qui traîne tout le temps dans le quartier, avec des fleurs plein les bras. Il arpente les terrasses de restaurant à la recherche d’amoureux transis dînant aux chandelles.

Mais Ravi – c’est son prénom, enfin, c’est celui que je lui ai inventé, en espérant qu’il le soit un jour – fait tout le temps la tête. Comme si le flot d’amour qu’il tenait contre son corps à longueur de journée, manquait à sa vie. Est-ce qu’il offre des roses à sa femme, Ravi ? Est-ce qu’il a une femme, Ravi ? J’imagine que non, autrement, il aurait un peu plus de soleil sur le visage.

Mais il est fort, Ravi, parce qu’il arrive quand même à fabriquer une lumière artificielle lorsqu’il se poste devant des clients potentiels. « Rose, 2 euros. Rose, 2 euros. » Et souvent, sa lumière halogène fait illusion auprès des touristes – déjà éblouis par les lumières clinquantes d’un Paris qui n’aurait pour atouts que la Tour Eiffel et les Champs-Élysées.

Après avoir fait sa vente, Ravi s’éteint de nouveau. Son regard est sombre, et de toute évidence, si l’on criait « Âllo, y a quelqu’un ? », au fond de la cavité de son cœur, l’écho de notre voix nous reviendrait en plus triste, en plus désespérée.

Je me suis souvent demandé : « C’est quoi son histoire à Ravi ? » Mais Ravi ne parle pas français. Il maîtrise tout juste les quelques mots qui lui servent à présenter ses roses sur les terrasses. Je crois qu’il sait aussi baragouiner quelques mots en anglais. Mais comme c’est une langue que je ne sais moi-même pas baragouiner, c’est pas demain qu’on va pouvoir se parler. On peut pas aller bien loin avec Hello, Thank you et I love you, quoi que, on peut quand même aller quelque part : saluer, remercier, et dire l’amour. Tu m’diras, c’est un peu la base.

La base, mais pas assez pour raconter toute une vie. Alors, comme nous n’avions pas les mots pour nous parler, avec Ravi, je me suis mis à imaginer son histoire.

*

Ravi n’a pas toujours vendu des roses. Quand il avait 20 ans, dans son pays, au Pakistan, il vendait des oranges. Il était pauvre et vivait dans un bidonville avec ses parents et ses deux frères.

Dans une décharge, il avait dégoté une carcasse de voiture toute rouillée dont il ne restait quasiment rien, sinon le squelette décharné, simple et piteux. Mais c’était tout ce qu’il fallait à Ravi, qui avait accès à la beauté de cette épave, invisible aux yeux de tous. Avec son grand frère, ils ont ramené le trésor jusqu’à leur bidonville. Ravi savait déjà ce qu’il allait en faire. Il avait déjà tout imaginé et, dès le lendemain, il mettrait en place son projet. Il irait au grand marché acheter des oranges, négociées au meilleur prix. (Ravi était le plus grand négociateur de tous les temps : il négociait sans parler. Son sourire adoucissait tous les prix). Il viendrait ensuite revendre les oranges dans le quartier. La carcasse de voiture serait le meilleur des présentoirs.

C’est comme ça que le commerce florissant de Ravi a commencé, et qu’il a gagné en peu de temps le titre de : « Vendeur d’orange à la carcasse ».

Un jour, une jeune fille est venue près de son étal pour admirer ses oranges. Elle les regardait avec un émerveillement inconnu pour Ravi, comme s’ils étaient des petits soleils rangés dans un écrin d’obscurité. Alors, lui, regardait ses yeux à elle, et un nouvel émerveillement naissait encore. Il la trouvait belle comme le jour. Comme un jour prodigieux qui annonce le monde. Mystérieuse aussi, comme la nuit. Comme une nuit majestueuse qui promet l’infini.

Que faisait-elle là ? Qui était-elle ? Est-ce qu’elle venait lui murmurer un secret ? Qu’elle avait trouvé la clé du mystère des rêves ? Les mains de Ravi étaient moites tout à coup, sa gorge sèche, et son corps tremblant. Il ne comprenait pas grand-chose à ce qui était en train de lui arriver. Il ne savait pas comment s’appelait ce sentiment qu’il observait s’épanouir en lui. Il souriait. C’est ce qu’il savait faire de mieux, de toute façon. Et elle lui souriait en retour. Elle faisait ça encore mieux que lui, pensa-t-il. Et cela lui réchauffa le cœur. Elle a pris une orange. Il a refusé sa pièce.

Elle est revenue le lendemain, avec son mystère et ses yeux qui nourrissent toutes les misères. Il a osé lui demander son prénom. Elle a osé lui donner. Shala. Il était heureux de pouvoir la prononcer. Shala. Cette fois il aurait voulu la retenir, sauf que les mains moites, la gorge sèche et le corps tremblant. Il l’a regardée partir avec son orange. Il aurait voulu lui donner toutes les oranges du monde.

Ravi a sursauté de bonheur lorsqu’elle est revenue le troisième jour. Elle avait une question. Une de celle qui marque sans qu’on le remarque. Une de celle qu’on ne pose jamais à un inconnu, parce qu’à la fois trop banale et trop intime, trop légère et trop profonde, trop drôle et trop sérieuse. Une de celle qui fait mine de rien, mais qui a le pouvoir de faire jaillir de la poésie.

« Pourquoi vends-tu des oranges ? Et pas des fraises ou des bananes ? »

Et Ravi avait répondu, sans trop réfléchir : « Parce que l’orange de l’orange flatte ma carcasse, comme nul autre fruit. L’orange rend les choses belles et magiques. »

Shala avait aimé la réponse de Ravi, et elle était repartie avec son orange belle et magique. Ravi aurait voulu la retenir, encore, mais elle s’était éclipsée comme une lune trop pressée de rejoindre sa nuit.

Il a espéré qu’elle revienne le lendemain. Une quatrième fois. Et cette fois, « je la retiendrai » s’était dit Ravi, pour de bon. Je lui dirai combien elle est belle, je lui dirai que je veux la connaître, que je veux passer mes journées près d’elle, à admirer au fond de ses yeux, toutes les beautés cachées de ses ombres, qu’elle est un grand soleil, et surtout, il lui dirait, qu’il voudrait l’embrasser. Oui, il s’était dit que cette fois, il oserait lui dire qu’il rêve de l’embrasser. Qu’il se ficherait d’avoir les mains moites, la gorge serrée et le corps tremblant, qu’il arrêterait d’avoir peur et qu’il lui dirait tous les jolis mots qui lui sortent du cœur.

Mais Shala n’est pas revenue le lendemain, ni le jour d’après, ni les autres jours, ni aucun autre jour. Shala n’est jamais revenue. Et Ravi a arrêté de vendre des oranges. Le cœur n’y était plus.

Peut-être que Shala n’aimait pas les oranges, après tout. Peut-être qu’elle préférait les fraises ou les bananes. Oui, c’est ça qu’il aurait dû lui demander. Peut-être qu’elle préférait les fraises, qu’elle préférait les bananes. Peut-être qu’elle n’aimait pas les fruits ? Peut-être qu’elle rêvait de roses.

Alors, quand son grand frère lui a parlé du business de vente de roses à Paris, Ravi s’est tout de suite dit : « Mais oui, les roses ! Shala rêve de roses ! » Et peut-être qu’en vendant des roses à Paris, il la recroiserait de nouveau… et il pourrait enfin lui dire tous les jolis mots qu’il n’a pas su lui dire. Il lui offrirait des roses, par milliers. Et ils pourraient enfin s’embrasser. Ils pourraient enfin s’aimer.

*

Mais bien sûr, c’est pas du tout ça l’histoire de Ravi. Sa vraie histoire est moins jolie, moins tristement jolie. Plus dur. La carcasse, les oranges, Shala, et tout et tout, très loin de la réalité. La réalité c’est que Ravi est parti loin de sa famille, se fait exploiter parce qu’il n’a pas de papier, partage une minable chambre de bonne avec 8 autres colocataires dans la même situation que lui. La réalité, c’est que Ravi travaille comme un acharné pour un salaire de misère. C’est Sofiane qui m’a raconté tout ça un jour, et il m’a même donné le vrai prénom de Ravi. À une lettre prêt, j’y étais. Mais il faut croire qu’une lettre change tout. Avec une lettre, on passe du conte féerique à la réalité sordide.

Quoi qu’il en soit, je souhaite toujours qu’il soit ravi, le vendeur de roses, qui s’appelle Raki.

// Dédé ANYOH //

[catto-ohno]

With the concept of pranking the archons...

Aether is quiet, subtle, and meticulous.

He will go and paint the archon statues in the wrong colours. Anemo statues? He painted them orange. Geo statues? Teal. Electro? Red. Hydro? Purple. It's weird at first until the paints.. Charge in the sunlight. And then at night the large, massive statues in most reigons- like the statue in front of the church in Mond, and the statue of Makoto in Inazuma... Are then painted obnoxiously bright colours.

Lumine on the other hand is obnoxious, she makes sure everyone knows SHE did the prank and she takes pride in it, unlike her brother who's terrified of repercussions. She's the one who will go put a geo tower in the middle of the Mondstadt statue's crotches and hide pranks in every corner of the Archon's daily routines.

The one chair zhongli sits on when he goes to sip tea and listen to stories? Whoopee cushion.

The windrise tree where venti relaxes at? Fake spiders fall down from string tied onto branches.

She can do a whole lot with Ei.... Who doesn't even leave her house.

The possibilities are endless with these two...

But I'm sure the archons fear what the twins came up with together

[decarabiandivorce]

#imagine Amos having to grieve the fact that she is the only human in mond that remembers the sunny skies of the rolling mountains

nb, writing a song for the rebellion: Under the skies of blue and sun with strength, the grass stands tall in relentless winds—

Amos, helping him brainstorm: You know, grass doesn't work like that. It doesn't stand in winds

nb: ?

Amos: No, on a windy day the grass bends and whole fields ripple like the seas. In the lush fields of grasslands, you'd be knee deep as you wade through, the sound of your own footsteps masked not just by the whistling of the winds through the reeds but also the bugs and the birds. Sections of the grass shake, contrasted by the impression of the wind currents, betraying the boar's location and you draw your bow......

nb: whoa :0

Amos (lost in her memories): ...I miss it

YEAHYAHEYAYEAAHHHH!!!!!

Amos is reminiscing over the time she took for granted. You worded it wonderfully!!!! She talks about how the breezes uses to be so gentle. How at times it was like a dream to just lay in the sun with clouds over head. The blue of the sky more vibrant than any dye. She tells him of sunsets and sunrises.

Nb has never yearned for the dawn until he learns how it could be red or orange. How at times of the day the clouds can turn pink. How its was so full of color.

He lightens the mood by jokingly calling her an old lady <3 she ruffles his hair

[kaeyas-beloved]

Rolling Fields, Dazzling Sights

Characters: Venti

Summary: Picnic Dates!!!

Genre: Fluff + Fic

CWs: gn!reader, petnames (love, my Windblume (used more so because of the Windblume festival), alcohol

a/n: This is my white day gift for @serenity-ren-bliss! I hope you like it :D I would've written them all for you if I could... especially Pantalone because I really wanna write him and the new harbingers bUT DON'T KNOW HOW

Also, I split this into two posts because they were getting long,,, Wanderer's is here!

The bard merrily giggled as he held your hand, practically dragging you against your will further into the grasslands, the hustle and bustle of the city quieting with each step you took, "come on love! I promise nothing with happen this time! Don't you trust your darling lover at all?"

A bark of laughter threatened to leave you when you heard that. Yes, you do trust Venti with all your heart, but to deny that many of his previous outings with you led to... less-than-favourable outcomes would be a lie. Whether it was him finding trouble or trouble finding him, you were always the one saddled with tending to his injuries (or hearing him cry the blues for hours). So, it shouldn't be a surprise to any that you're feeling wary.

“Awww, don’t give me that face! Is it so wrong to do something for my Windblume during this festive season?”

You note that you're also deeply in love with the wine-loving, green-clad bard. And, to his credit, Venti always kept you safe when things went south. Therefore, it should also be to no one's astonishment that you continue to go along with him. So, with a quiet no mumbled from you, your lover resumes his journey over the rolling fields of Mondstadt with you in tow.

At first it was easy to recognize a few land points here and there. There was the hillichurl camp that never seems to disappear, then comes the clearing that has the funky-looking tree, but the longer you both walked, the less you began to know. By time you yourself were completely lost, Venti slowed to a near stop.

With a flourish only he could have, you watch as the male proclaims you've both made it to your destination, gesturing to the... ordinary greenery. Silence prevails as you step forward, taking a moment to look around - maybe you missed something? - yet finding nothing, you turn back with a raised brow.

“Uh, Venti…? What am I looking at exactly?” It's as if the very question offends him, a pout forming on the bard's face. Before he could say anything you try again, inspecting harder only to grasp as a loose straw, "is it the... the cecilias??? They're very pretty...?" Letting your voice fade away, unable to stand making a fool of yourself anymore, you let Venti give you a hint. Silently, he shoos you forward, towards the peak of the hill, his way of telling you to find out yourself.

Resisting the urge to roll your eyes, you take his prompting and take one step, then two, until you finally begin to see what he wanted to show you.

You hadn’t even realized it, but the sun was close to setting, oranges and reds painting the sky above. Just before the dead drop off of the cliff sits a lone tree, a small basket sat against the trunk. Gently picking it up, you peek inside, spotting your lover's favourite wine and an apple pie. With a little more looking there also seemed to be a favourite or two of yours tucked away as well.

The call of his name is on the tip of your tongue, questions of what this all is and why mixed in, but the feeling of arms wrapping around you quiets you down. You let him speak first, “I hope you don’t mind, but I thought a picnic would be a good way to celebrate today.” Still a little taken aback you can only stay frozen in place, watching as Venti slinks away from you, taking a seat against the tree trunk.

Plucking the wine bottle from the basket and a glass, Mond's resident alcoholic pops the cork with an ease and expertise only he could have. Just before the dark liquid falls into the glass, the mouth of the bottle is tilted in your direction, "care for a glass? There are other refreshments too, so you can say no."

Shaking your head to rid yourself of its daze, you finally take a seat beside him, reaching for your own drink, slowly sipping as you glance around. There's nothing but sky, grass and sea. "There's no danger," Venti pipes up, seeing your skepticism, "I made sure of it!" He's already pouring himself another glass, but he really can't help it, you still make him nervous no matter how much time passes.

Opting to believe him - just this once - you try and relax a little more. Ever the talkative, Venti leaps into conversation, telling you about his latest adventures as a bard, asking you if you've been up to anything recently. When your stomach decides it wants to say its opinion your lover laughed a little, digging through the basket for a snack you'd like no he is not an option. You realize the moment he holds it up to you that he didn't intend on handing it to you.

"Venti, I can feed myself..." you whine, attempting to grab it from him, yet he just leans away.

"Please? It's not a picnic date if I can't feed you at least once!" There's some back and forth before you reluctantly relent, if not only to get him to stop. And you hate to admit it, but being fed wasn't half bad.

The next hour or so continues the same, with lively chatter, good food and a wonderful view. From the corner of your eye, you see the sun has almost completely set. About to point it out, the sound of rustling cuts you off. "If I may," standing as if he hasn't drank half a bottle of wine, you watch as he steps away, lyre materializes in his hands.

Giving it a couple test notes, Venti finds it up to his standards, turning his back to the setting sun, pretty teal eyes looking right at you, "I've prepared a melody for this occasion. It would bring me great joy if you allowed me to play it for you." Speaking with the softness of flower petals, he captivated you as soon as the first word left his mouth. The breeze picks up then and you find yourself nodding easily, sinking into the tree behind you. Soon, the delicate sounds of his song take up the space, the warm colours making the moment all the more breathtaking.

As the final notes close the piece off you're quick to your feet, enveloping Venti in a hug. "That way beautiful," you whisper, kissing his cheek.

"I'm glad you liked it my Windblume," he smiles, planting his own kiss to your skin, smiling tenderly, "but we should head home now. It's getting late." Leaving you with one last kiss, Venti moves to pick up the remains of your picnic, returning to your side, his free hand finding yours.

While walking back home, you lean in close, dropping your voice so only you two could hear, even when no one else was around, "by the way, you have some jam on your nose. I didn't want to interrupt you earlier, but I thought it best to tell you now. You know, before we got back to town."

Honestly, for all the gifts you got today, his embarrassed flush was the cherry on top.

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[airplanetunez]

[ID: a digital drawing of Dolores Dei from disco elysium. She is drawn from the waist up as she appears in the mural from the church. The background is orange with a yellow glow surrounding her, and their are orange clouds surrounding the edges of the piece. On the top are the words “AFTER LIFE, DEATH. AFTER DEATH, LIFE AGAIN” written in white, and on the bottom “AFTER YHE WORLD, THE PALE. AFTER THE PALE, THE WORLD AGAIN.” End ID.]

Après la vie, la mort. Après la mort, la vie encore! Après le monde, le gris. Après le gris, le monde encore!