#nouveau permis
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Idées de résolutions 2025
Arrêter de fumer - stop smoking
Boire moins de café - drink less coffee
Rager contre la machine - rage against the machine
Se mettre au sport - start working out
Lire deux livres par mois - read two books per month
Manger plus de fromage - eat more cheese
Regarder plus de films - watch more movies
Devenir ami avec un rat parisien - befriending a parisian rat
Apprendre une langue - learn a language
Avoir de bonnes notes à l'école - have good grades at school
Trier son appartement - declutter one's flat
Passer son permis de conduire - get a driving license
Terminer son master - finish one's masters degree
Faire du bénévolat - volunteer
Arrêter de se ronger les ongles - stop biting one's nails
Cambrioler son date Tinder - rob one's Tinder date
Appeler mamie plus souvent - call grandma more often
Plus d'eau, moins d'alcool - more water, less alcohol
Trouver un nouveau travail - find a new job
S'étirer tous les matins - stretch every morning
Adopter cinq chats - adopt five cats
Aller dans un musée chaque mois - go to a museum every month
Ne plus avoir peur du ridicule - no longer fear ridicule
Fanmail - masterlist (2016-) - archives - hire me - reviews (2020-) - Drive
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LE CHAT Un film poignant et radical à la mise en scène fine et terriblement juste. Granier Deferre choisit de tourner ce film dans un Paris apocalyptique, vieux, détruit, à l'image du couple Bouin, à la dérive et pour lequel aucun espoir ne sera plus permis. La désespérance de cette histoire est donc servie par une réalisation extrêmement délicate, qui, sur chaque plan, nous jettera au visage la fin de l'amour, la haine qui s'installe et l'attente si désespérée des personnages, l'attente d'une fin inéluctable déjà délivrée dés le premier plan. Gabin est glacial et Signoret est absolument bouleversante. Un film dur et d'une infinie tristesse qui nous plonge dans le morne quotidien d'un couple au crépuscule de la vie, usé et aigri par le temps. De leur amour, il ne reste plus que de lourds silences et de vains regards qui en disent plus que n'importe quel dialogue. Seuls, diminués et reclus dans leur pavillon au cœur d'un quartier qui n'est plus qu'un vaste chantier de démolition, ils sont trop habitués l'un à l'autre pour se dire qu'ils s'aiment, sont trop vieux pour se séparer et n'ont désormais plus que la confrontation pour briser un tant soit peu l'indifférence qui s'est installée entre eux. Véritable drame humain, Le Chat m'a autant troublé par sa cruauté et son réalisme, qu'il m'a ému par sa pudeur, sa simplicité, la fin d'une vie, le recommencement d'un nouveau siècle. Un film amer mais plein de justesse
![Tumblr media](https://64.media.tumblr.com/2b9ab4fa8427326a94c1707042ab2f55/69e4b6dc41daa702-49/s540x810/89b65b00545cefd95e2e49403f07045242309fea.jpg)
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![Tumblr media](https://64.media.tumblr.com/b446d69a82444d4849018ac89b2c211c/0b76d98cd2389958-f8/s540x810/5524ebf38458a2613b9c643355700c2ed3f7153e.jpg)
Le mercredi, traîner un peu au lit c'est permis ! Le temps de déguster un bon café à la douceur d'un nouveau matin qui nous salue bien, et de lire confortablement, sous le moelleux de la couette !
La vie est belle en sa lumière, elle est bonheur, en sa fleur d'amour !
Bonne dégustation à toutes et tous ! ☕️
#au-jardin-de-mon-coeur ✒️
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NEWS & DATES D'OUVETURE
Bonjour, bonjour ! Meilleurs vœux, d'abord, à souhaiter dans un ciel plus dégagé que celui de Paris. On espère que vous avez passé une bonne fin de mois de Décembre. On revient vers vous pour vous drop les infos de l'ouverture. Nos premiers joueurs ont terminé la fiche, pleins d'autres sont en cours d'écriture ; on a même vu nos premiers PLs voir le jour. Du coup, l'ouverture officielle du forum se fera le samedi 11 janvier. Ce sera dans le début de soirée et pour fêter ça, on vous a prévu 2 - 3 surprises avec :
UN NOUVEAU PL
Les chocard·es, c'est un club fermé de fortuné·es dans les catacombes. Ils ont un cabaret, un grand, avec lequel iels jouent les mécènes à promouvoir l'art et la culture altérés. Ils ont l'air bloqué dans les années 30, bien edith, bien piaf. Leur porte-monnaie sert aussi à protéger les leurs. Dans leur rang, des espions, des diplomates et des mercenaires, des gens qui changent les pièces du jeu pour faire avancer toute la machine de la révolution. On parle pas de grand complot, mais d'actions individuelles : du vol de tableau à la collecte de données compromettantes sur un ennemi politique bruyant. Notre but, c'était de proposer un PL pour intégrer au mieux les personnages aisés aux catacombes. Cela nous a permis de centraliser les mercenaires et espions, deux métiers qui ont eu un petit succès sur LPO.
LA FÊTE DU SOUVENIR ALTÉRÉ
C'est en février, que ça se déroule. Il y a tous les catacombes qui brillent et tout le mois c'est l'effervescence. La dernière semaine de Février, on enchaine soirées sur soirées. Le cabaret enchaine représentation sur représentation, les raves se multiplient, même le Refuge de Bescel organise une Kermesse. C'est le premier event du forum, un truc doux, qui permettra aux nouvelles têtes d'avoir un prétexte facile de fabriquer des liens et de rencontrer d'autres personnes en jeu !
L'ARRIVÉE DE L'OISEAU BLEU
Pour celles et ceux qui passent leur vie à faire des comptes sur les RS à leur perso, on a ajouté notre version du célèbre réseau social à l'oiseau bleu. C'est du fun en plus et c'est un petit cadeau qu'on s'est bien amusé à coder.
Voilà, d'autres ajouts seront à prévoir. On tient à rappeler que toute inscription avant le 11 janvier aura le droit à un DC offert ! On est très impatient d'ouvrir nos portes, de poster nos pubs un peu partout. On se retrouve très prochainement pour un post complet sur nos chocard·es, histoire de vous présenter nos nouvelles têtes adorées avant l'ouverture. En espérant que le projet vous plaise toujours, Putainement votre, Maxeine & Ekkymose.
#forumactif#projet forum#projet rpg#rpg city#rpg fantastique#rpg forum#rpg francophone#rpg faceclaim
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saga: Soumission & Domination 353
Nathan, l'apprenti de Julien-2 + WE à la campagne-1
Je m'occupe de son moyen de transport. Comme son scooter squatte le garage, je demande à Cyril de passer le voir. Analyse : un vieux Peugeot tout pourri, carters rapiécés, moteur à l'article de la mort d'après lui, c'est plus une ruine qu'un scooter digne de ce nom. Je le charge de me remplacer ça de toute urgence.
Dans la soirée il arrive avec la camionnette de son père. Dedans un scooter tout neuf de chez Peugeot aussi, un Speedfight Darkside. Ce n'est qu'un 50cc 4 temps mais sans permis, c'est le maximum qu'il puisse piloter. Toute option plus la sacoche étanche pour PC, et bien sur le casque qui va bien un Shark Race R pro en mat ça ira avec son nouveau blouson en cuir noir lui aussi. Faudrait pas qu'il s'abime maintenant qu'il a rejoint ma petite troupe !
Cyril repart avec le vieux pour le mettre à la casse !
Je fais part à Julien de la surprise qui attend son apprenti. Il me dit vouloir participer et me demande combien j'ai besoin. La réponse est vite faite : rien bien sûr !
Je l'entends gueuler dans sa boutique. J'espère qu'il n'a pas de client. Il me dit qu'il se rattrapera sur les équipements. Quand je lui dis que ça aussi c'est déjà fait. Il abdique. Je lui suggère de le récompenser par une prime, à son âge et avec ses parents, il a sûrement plus besoin d'argent que d'un casque en plus !
A l'entrainement suivant, qui n'en est qu'un, il faut bien de temps en temps être " sérieux " (donc pas de baises pour ceux qui n'auraient pas compris), nous lui faisons la surprise. Au moment du départ, il me dit qu'il va récupérer son scoot pour pouvoir rentrer chez lui le WE. De toute façon Enguerrand et Max doivent aller à la " campagne " et Julien doit bien s'en séparer de temps en temps pour respecter la législation du travail.
Je l'accompagne jusqu'à sa nouvelle monture garée à coté de nos motos. Il cherche son vieux scooter du regard et me demande où je l'ai mis. Je tape sur la selle de son nouveau jouet et lui tends ses nouvelles clefs. En même temps je l'informe qu'il n'avait pas le choix, des engins comme celui qu'il avait avant n'avait pas droit de cité dans mon garage.
Je lui mets son nouveau casque en mains et lui dis de rentrer vite fait chez Julien. Il m'obéi. C'est ça qui est bien avec les jeunes, c'est qu'ils sont obéissants, enfin quand on ne tombe pas sur des " petites frappes " du type de Max ou d'Enguerrand qui n'en font qu'à leurs têtes ! Mais, comme je les adore ces deux-là, j'accepte beaucoup ! Pour preuve, j'abrite leurs amours avec Adam, j'ai intercédé pour que leurs parents acceptent l'organisation de leurs " agendas ". Et ce n'est pas parce que j'ai couché avec les deux. Ils sont justes, gentils, amoureux et ... mignons comme tout !
WE à la campagne :
Premier grand WE du genre. Par-là, j'entends que nous sommes tous ensembles chez les parents de Ludovic.
Pour le compte : Côme bien sûr, Ludovic et moi plus PH, invité n°1, Enguerrand et Max plus Nathan, invité n°2. J'ai pris la 300C et PH son roadster SL.
La maison se trouve envahie de 7 jeunes mecs pour 2 jours. Madame mère est ravie d'avoir ses trois fils avec elle et qu'ils aient invité des amis lui convient également.
Le père est plus circonspect même si son accueil est chaleureux. Depuis les révélations concernant ses deux derniers fils, il est devenu très attentif aux signes. Il ne lui faut pas beaucoup de temps pour voir qu'entre PH et son fils et moi il y a un peu plus que des relations d'amitié. Il remarque la même chose concernant le trio des jeunes.
Vendredi soir :
Nous sommes arrivés pour diner. Juste le temps d'un apéritif rapide qui permet à leurs fils de présenter nos " invités " et nous passons à table. Bien qu'il fasse beau en ce début de printemps, madame nous a fait un pot au feu. Nathan ne peut s'empêcher de la féliciter pour le choix de la viande et l'aromatisation de l'ensemble, défaut professionnel !
Les conversations tournent autour de nos études, de celles des plus jeunes et de nos invités. Les parents de PH sont connus de ceux de Ludovic, ils se sont croisés dans certaines " réunions " de la haute société liée à l'ancienne aristocratie. Ce que j'apprécie de mes " beaux-parents ", c'est qu'ils ne font pas cas des origines modestes de Nathan. Il est questionné avec la même sollicitude que PH. Le diner se termine assez tard et nous regagnons nos chambres respectives.
Mon beau-père me retient quelques minutes. Comme je m'en étais douté, il a subodoré qu'il y avait " plus " entre nous tous. Sans me mettre un ultimatum, il voulait juste savoir. Après avoir loupé autant sur ses deux derniers fils, cela se comprend un peu.
Je joue franc jeu et dévoile nos liens. Je lui avoue que j'étais déjà en couple avec PH quand nous sommes tombés amoureux de Ludovic. Il encaisse quand même le coup. Il me dit qu'il avait juste pensé qu'effectivement il y avait eu sexe entre nous mais pas qu'il y aurait plus que cela. Autant qu'il prenne tout en même temps. J'ajoute que c'est pareil mais à l'inverse pour Enguerrand et Max avec Nathan. Ce dernier est venu s'ajouter au couple de son dernier fils.
Il se sert un alcool fort. Il réfléchit et me dit que pour cette nuit, il va y avoir des ballets dans les couloirs comme aux premiers soirs de ma présence et de celle de Max dans leurs murs ! Je hausse les épaules et lui dis que ce sera probablement le cas.
Nouveau silence entre nous, puis il se lève. J'en fais autant. Il s'approche et me serre dans ses bras avant de me dire qu'il est hors de question qu'il perde ses fils. Puis il me souhaite une bonne nuit. Je retrouve Ludovic qui s'est occupé de mettre nos deux Invités dans les chambres d'amis. Je passe les voir et nous organisons un conciliabule tous ensemble, Côme compris.
Je fais un bref résumé de la conversation que j'ai eu avec le père de nos hôtes. Les fils sont assez estomaqués de sa réaction face à leurs vies sentimentales et sexuelles. Eux même l'adorent mais ils ne le pensaient pas si ouvert d'esprit. A la base c'est quand même un aristocrate catholique pratiquant et on a entre nous des pratiques nous vouant aux enfers !
Après ce conseil de guerre, Côme rentre à sa chambre et les trois jeunes se retrouvent dans celle d'Enguerrand. Comme eux nous allons devoir nous serrer dans un grand lit classique de 140 ! Mais comme nous sommes amoureux, nous pourrions dormir dans un de 90cm de large.
En évitant de faire trop de bruit, nous faisons l'amour comme je suis sûr qu'ils font pareil à côté. Seul Côme doit se contenter d'une branlette je pense.
Cela fait maintenant 6 mois que nous avons intégré Ludovic mais c'est comme au premier jour, comme avec Ernesto aussi. La connaissance de nos corps n'étanche pas la soif que nous en avons et les pipes comme les sodomies sont toujours aussi intenses. Le plaisir qu'on en retire est toujours aussi extatique. Mais là nous devons le faire en silence. C'en est d'ailleurs tellement vrai que nous entendons le trio d'à côté occupé à faire de même mais avec moins de retenue. C'est au point que Ludovic enfile un slip et part leur dire de mettre moins d'enthousiasme.
D'à côté les bruits arrivent plus sourds, quand il revient c'est avec une idée d'emboitement nouvelle. Enfin, nouvelle c'est beaucoup dire mais plutôt une que nous n'avions pas faite depuis quelques temps.
Explication : moi sur le dos, la bite bien verticale s'enfonçant dans les muqueuses accueillantes de mon PH. Ludovic vient enjamber ma taille et présenter sa propre rondelle (et inversement : sa rondelle propre) à l'assaut perforant de la queue de PH.
En me redressant, j'arrive pile à la bonne hauteur pour emboucher sa bite, ce qui ferme le cercle (enfin le mien). Au-dessus de moi, ils se roulent une pelle. La mise en mouvement demande un peu d'adaptation mais quand nous trouvons les rythmes adéquats, ça frise le divin !
En fait c'est simple. Ma tête prise entre les mains de Ludovic pompe son dard selon la cadence et la profondeur qu'il impulse, quant à ma bite elle est " traite " par l'anus de PH au rythme avec lequel il défonce le cul de Ludovic. Moi, je n'ai qu'à me laisser faire et à profiter du moment. Je prends un pied terrible. Et c'est l'arrivée du sperme de Ludovic dans ma bouche qui déclenche ma propre éjaculation. PH, coincé entre nous deux ne tarde pas à son tour à juter et remplir Ludovic.
Gros dodo sans même passer par la case salle de bain !
Samedi :
Réveils discrets. PH rejoint sa chambre et froisse un peu le lit pour donner le change à madame, avant de le refaire. En passant il fait de même dans la chambre de Nathan qui lui n'y avait pas pensé.
Petit déjeuner avec Côme. Les parents se sont levés plus tôt et les petits ne sont pas encore sortis du lit.
Je discute avec Côme de sa dernière prestation. De son côté tout va bien. Les femmes à qui je l'envoie sont toutes ravies de ses performances aussi bien en représentation, car son intellect est du niveau de son physique, qu'au lit (enfin quand il leur laisse le temps d'y arriver). Ses 20x6 les font grimper au 7ème ciel que ce soit par le chemin classique (leurs chattes) que par les voies étroites (leurs rondelles).
Il nous dit juste qu'il craint un peu ! Sa relation avec Jona et François lui fait se poser pas mal de question, même s'il assure avec mes clientes. Il s'est aperçu qu'il n'a plus de " petite copine " depuis quelques mois et qu'il en avait pris conscience hier soir, seul dans son lit à imaginer ce qui pouvait bien se passer dans nos deux chambres.
Ludovic dédramatise et lui dit que c'est parce qu'il n'a pas encore trouvé la bonne fille et qu'en plus il n'en a pas le temps. Quand il la trouvera, tout le reste ne sera plus qu'une expérience parmi tant d'autres. Je regarde Côme qui n'a pas l'air convaincu.
Les trois petits débarquent à ce moment-là. Bruyamment en plus ! Nathan est dans le moule. A voir les vêtements qu'ils ont sur le dos, je dirais qu'il y a eu échange ou osmose.
Madame arrive attirée par le bruit. Elle sert les derniers arrivés après les avoir embrassés indifféremment. Je crois qu'elle est contente d'avoir sa maison pleine, même s'il n'y a pas de fille. Ils se font servir comme des petits princes et quand Nathan veux l'aider, il se fait rassoir d'autorité. La dernière tartine engouffrée, Enguerrand emmène ses amis visiter la propriété, enfin surtout pour Nathan.
Avec les deux autres frères et PH, je rejoins leur père pour aider un peu. On passe se changer et enfiler des cottes et des bottes. Evidement ça part en couilles ! Ludovic se met carrément à poil dessous et nous fait tous bander à tortiller de son petit cul. Je garde mon boxer et mon t-shirt comme les deux autres.
Quand nous arrivons il ne reste plus qu'à distribuer le grain aux vaches et à pailler les box des taurillons. Les fils de la maison se chargent des jeunes mâles et avec PH, nous ne prenons pas de risque en nous occupant de leurs mères. On rejoint les deux frères et nous nous " égarons " dans la réserve de paille. Ludovic bande encore ou de nouveau et il me coince entre deux piles de bottes. PH n'est pas en reste et sans réfléchir se saisi de Côme à qui il roule un patin.
Est-ce l'ambiance ou sa déstabilisation passagère ? Mais ce dernier se laisse faire. Les zips descendent, nos t-shirts volent et c'est rapidement que nous baisons. Côme bande comme un fou et comme par magie, des kpotes sortent des poches de Ludovic ! On se chauffe à grand coups de langues. Elles naviguent des bouches aux bites en passant par les rondelles et les tétons.
Ludovic n'a pas à me chercher longtemps avant que je ne l'emmanche de face, dos sur une botte de paille, ses jambes entourant ma taille. A nos côtés, PH se fait démonter la rondelle par un Côme que j'avais connu plus circonspect. Ludovic pivote jusqu'à pouvoir rouler un patin à PH.
Je le pousse un peu et ils se mettent en 69. Je me penche au-dessus du dos de PH, tire la tête de Côme vers la mienne et lui roule une pelle. L'ensemble est très excitant et c'est exactement ce qu'en pensent les trois jeunes qui nous surprennent dans cette position.
C'est un " Heureusement que c'est nous que maman a envoyé vous chercher, papa aurait quand même été surpris du spectacle ! " sorti, bien sûr, de la bouche d'Enguerrand.
Comme je décolle ma bouche de celle de son frère, il s'immisce entre nous et la sienne vient chercher la mienne. Je saurais un peu plus tard que Max s'est occupé de clore le bec de Côme comme ce dernier allait protester et que Nathan lui s'est glissé entre mes amours pour interrompre leur 69.
Emportés par nos hormones, les jeunes se retrouvent vite fait dans le plus simple appareil et enfilés. Côme se fait Nathan comme je m'occupe d'Enguerrand et que Max se fait prendre par ses deux extrémités, PH à la sortie et Ludovic à l'entrée. Pendant un bon moment on n'entend plus que nos halètements. Ils se transforment en gémissements puis en petits cris de jouissance alors que nos spermes vont se perdre dans la paille.
La " chose " a été heureusement plus rapide qu'elle ne m'avait semblée. Et quand nous arrivons pour déjeuner, les apparences sont sauves !
L'après-midi nous récupérons en post café avachis dans les canapés, mollifiés par la chaleur lénifiante du foyer ouvert. La fin de journée se passe à aider les trois jeunes à bosser leurs cours. Pris en " cours particulier ", ils abattent en 2 heures la totalité de ce qu'ils avaient à faire.
Soirée en famille. C'est étrange et pas que pour moi. PH et Max, fils uniques eux aussi, n'ont jamais connu ce genre de chose. Nous sommes 9 dans le grand salon. Après un café nous nous engageons dans un " Trivial Pursuit ". Nous nous mettons par paire sauf les plus jeunes qui arguent de cet état pour rester ensembles. Les réponses fausses sont aussi et même plus amusantes que les vraies et provoquent de éclats de rires. La bataille dure deux bonnes heures et les parents gagnent d'une très courte tête devant Côme et PH suivis de Ludovic et moi, le trio ayant plus fait rire que des étincelles.
Quand nous montons nous coucher, le père prends son petit dernier à part et lui demande d'être plus discret que la nuit précédente.
Je traine un peu et quand il est seul, je le serre contre moi et le remercie d'être ce qu'il est. Il me tapote le dos et me dit " ce sont mes fils ".
Ces simples mots contiennent tout !
J'ai une chance d'avoir un beau-père pareil, c'est trop, il me cueille !
Jardinier
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Candaulisme
Scène de vie d’un candaulisme ordinaire...
Un soir, au retour d’un apéritif d’entreprise improvisé, ma femme ayant préféré rentrer à la maison pour ne pas me laisser seul (même si lorsqu’elle m’a appelé au téléphone pour me prévenir je lui ai laissé comme d’habitude la décision d’accompagner ses amis ou pas) , vint me rejoindre dans la pièce bureau de notre maison.
« Hello, chéri » m’adressa-t-elle en venant me gratifier d’un baiser rapide sur les lèvres « Tout va bien ? Ta journée ? »
« Oui, et toi ? Tu aurais pu rester tu sais...je travaille à mon prochain livre...Je t’ai préparé le repas...Tu trouveras tout de prêt dans la cuisine... »
« Merci Chéri me glissa-telle à l’oreille tout en m’embrassant à nouveau et en se collant contre moi... »
« Oh...toi... ! lui fis-je remarquer...toi, tu as quelque chose à me raconter...§ Je te connais tellement...Viens... »
En m’embrassant, elle s’était effectivement appuyée assez significativement contre moi ...Son odeur...Sa chaleur...Ses adorables seins qui pointaient au travers de son chemisier un peu plus ouvert qu’à son départ au matin...
« Hummm me fit-elle en minaudant...Euh, oui enfin, pas grand-chose...mais il faut que je te dise... A l’apéro ce soir, à la guinguette à côté de notre boite, il y avait pas mal de monde et on a un peu dansé. »
Ma femme adorait danser et j’adorais la voir danser ou savoir qu’elle avait été heureuse en dansant...Elle était belle et dansait réellement avec grâce et légèreté...ce qui ne manquait pas d’attirer plus encore les regards sur son corps entretenu.
Ce faisant, alors qu’elle continuait à embrasser mes lèvres avec une réelle et non feinte gourmandise, me bécotant, je passais ma main sous sa courte jupe du vendredi, une habitude du "vendredi tout est permis" chez elle, se permettant ainsi de ne rien porter en dessous...Elle était alors si sexy...Elle avait aussi ce soir là ajouté une de mes cravates sur son chemisier pour un effet « woorking-girl » libérée qui lui allait particulièrement bien...
« Oh...toi...C’est bien chaud et bien humide tout ça », lui dis-je en parcourant sa chatte aux lèvres déjà accueillantes et entrouvertes...
« Hummmm...Toi, tu as été coquine ce soir...Coquine... ? Très coquine... ? Raconte-moi !»
Elle s’assit ainsi sur moi en faisant tourner mon fauteuil pivotant...
« En fait, rien de prévu mais après un Mojito et quelques danses avec les collègues, un jeune homme s’est approché de moi et m’a fait du gringue...Imagines-toi qu’il est voisin...Il vient d’arriver dans la boite d’à côté et m’a dit qu’il m’avait souvent vue arriver le matin, que j’étais toujours super habillée et souriante...Il arrivait tôt car débutant et s’installait à une fenêtre de leur espace café en attendant l’arrivée des autres ... On a alors discuté, il m’a proposé un autre verre et on a fait quelques danses car il y avait une série de rock et tu sais que je ne sais pas résister à cette danse... Il danse d’ailleurs très bien pour un jeune d’une autre génération de musiques...D’un pas à l’autre , on a ri, on a discuté et à la fin de la série de danses, il m’a prise par l’épaule pour qu’on discute un peu à l’écart...Là, et j’ai réellement aimé ;, il ne m’a pas caché son attirance, qu’il aimerait me revoir, m’a donné son téléphone...Il est bien bâti comme j’aime, car joueur d’une équipe de rugby du village d’à côté...Son sourire était trop craquant et aussi un peu sa timidité...Il rougissait mais était tellement sincère que s’en était touchant...J’ai craqué... ! Je l’ai embrassé...Il n’en revenait pas... et surtout il m’a indiqué ma bague...Je l’ai rassuré en lui disant qu’il ne risquait rien et que j’avais le plus incroyable et merveilleux des maris qui me laissait totalement libre...Il n’en revenait réellement pas, enchaînant les « Mais... ? » incrédules...Aussi, je lui indiquais de rester là quelques instants , le temps que je t’appelle...Je t’ai appelé et ai décidé de te rejoindre, aussi , en retournant vers lui et en saluant les collègues de bureau, je l’ai pris par la main et entrainé sur le parking...Il faisait déjà nuit et ne lâchant pas sa main, je me suis appuyée sur ma voiture pour l’embrasser de nouveau et lui indiquer que nous ne serions pas sans nous revoir … ».
Pendant que ma femme me racontait son histoire, elle avait aussi remonté sa courte jupe sur ses merveilleuses fesses et se frottait sur mon sexe qui ne cessait de grandir au travers de l’étoffe de mon pantalon...
Je bandais comme un fou...
J’ouvrais adroitement ma braguette pour qu’elle s’empale sur mon dard à son zénith et rapidement elle « dansait » sur ma bite tout en continuant son adorable récit d’adorable salope qu’elle avait su être et plus encore à cet instant, qu'elle était...
Je crois que c’est elle qui me baisait pour être honnête...
Elle se déchainait et je réussi à attraper la cravate, sa cravate, ma cravate pour la tenir comme en laisse ou avec un guide et suivre le rythme qu’elle voulait comme un cow-boy suit le rythme de son cheval déchaîné tout en tentant d’en garder la maîtrise... !
Elle continua en me décrivant comment elle l’avait sucé entre les deux voitures, au risque de se faire voir par ses collègues qui ne devaient pas tarder à quitter l’établissement festif...
Elle me narrât en détail la queue de ce nouvel amant, son poids, sa forme, sa puissance, sa liqueur, son abondance et surtout le plaisir qu’elle avait pris à le sucer sauvagement sur le parking, le garçon toujours aussi incrédule de la bonne étoile de cette soirée...
Elle m’expliqua aussi combien il lui fut difficile d’arrêter sa main pendant le trajet du retour vers la maison et combien son esprit naviguait entre la queue de ce jeune homme et la mienne, impatiente de se faire démonter...
« Chéri...On sort ce soir ! J’ai trop envie...Je suis impatiente de toi, d’autres, des autres et de lundi... Je crois que pendant un moment je vais avoir le sourire en allant au boulot le matin... ! »
Telle était ma femme...
Tel était notre façon de vivre...
Sa façon d’être et de vivre notre Candaulisme...
La soirée était loin, très loin d’être achevée...
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En 2024 :
- j'ai obtenu ma licence 2 de psychologie, avec de plutôt bonnes notes et un classement correct, ça ne m'était jamais arrivé
- je suis allée au total 52 fois au cinéma, bien moins que les années où j'étais seule, dire que je n'ai pas le temps serait mentir mais bon..
- je me suis fait une amie de faculté
- j'ai lu des centaines d'articles scientifiques
- j'ai obtenu le permis alors que je pensais que je ne l'aurai jamais, ça m'a soulagée même si je ne conduis pas parfaitement
- j'ai bossé quasiment tous l'été, ça ne m'a pas fait du bien mais ça m'a remplumée
- je n'ai pas su quitter mon copain et pourtant, à certains moments...il aurait fallu
- j'ai reçu deux fois des fleurs, une de la part de mon copain et une autre de la part d'un mec dans la rue
- j'ai eu un calendrier de l'avent pour la première fois, c'est mon copain qui me l'a offert, il trouvait ça fou que je n'en ai jamais eu
- j'ai trouvé un stage et putain quelle plaie franchement en plus j'ai aussi pris un refus salé
- j'ai donné mon sang pour la première fois, et encore une fois, j'ai pas d'excuse de temps, il faut que je le refasse
- je n'ai pas été trompée à priori, peut-être que ce n'est qu'une question de temps ou d'omission
- j'ai mis enfin un lit dans mon appartement, avant je dormais sur un matelas pas fait pour dormir dessus et wa
- je n'ai quasiment pas pris de Xanax
- je n'ai été pompette que 6 fois dont 2 fois rude mais je bois quasiment plus et c'est pas plus mal
- j'ai conduit à nice et sur l'autoroute alors que ça a toujours été ma hantise et ça le restera
- je ne suis pas allée consulter un psy
- j'ai mangé à presque tous les repas quand j'étais seule alors que j'ai passé des années à sauter des repas justement et mal m'alimenter
- j'ai mangé varié, toujours la même compo certes, rien de recherché mais c'est équilibré
- j'ai fait beaucoup moins de yoga, ça reste un gros regret en réalité j'espère m'y remettre cette année
- j'ai fait 2 sports à la fac, et j'ai tenu le coup, la salle et le badminton, il a fallu que ce soit une obligation pour que je m'y tienne mais c'est pas grave
- j'ai réussi à un peu mettre de l'argent de côté
- je suis partie en vacances avec mon mec, on a fait plein de trucs cools dont des sorties natures et des canyoning de l'extrême
- je ne me suis pas baignée en novembre et décembre, ça me rend triste, je le fais toujours sauf l'année dernière également
- j'ai pas vu la neige mais ça veut aussi dire que j'ai pas skié et c'est bien
- j'ai souvent pleuré (3 fois en moyenne/mois), j'ai énormément chialé cette année pour tellement de raisons, certains plus valables que d'autres je le reconnais
- je n'ai eu que 3 mycoses (victoire un peu), alors qu'en 2023 j'en ai eu une par semaine presque c'était l'horreur
- j'ai pas arrêté la clope ni le RedBull, ma foi, faut bien des vices dans cette vie fade
- j'ai beaucoup bien fait l'amour, je suis toujours très satisfaite de ma vie sexuelle qui est épanouissante et orgasmique
- j'ai cassé mon téléphone pour la première fois de ma vie, je m'en suis beaucoup voulu car j'ai galéré et perdu plein de trucs et les photos de mon nouveau tel sont nulles
- j'ai égaré mes clefs pour la première fois de ma vie, je les ai retrouvées mais du coup j'ai dû être hébergée le temps de
- je suis allée voir des spectacles à l'opéra mais pas de l'opéra à l'opéra
- je me suis fait des faux ongles jolis, je recommencerai je pense
- j'ai continué à gratter ma peau et l'abîmer, ça j'arriverai jamais à arrêter je crois, je la déteste tellement
- je ne me suis pas mutilée, ça date de quelques années déjà mais comme je lutte quasi quotidiennement autant le rajouter
- j'ai réussi à faire des cadeaux à mes parents, pas que j'ai aucune race de base juste j'avais un peu d'argent quoi
- j'ai beaucoup menti, c'est un peu ma marque de fabrique et ça me donne le sentiment d'avoir le contrôle alors qu'en fait, je suis juste malhonnête
- j'ai pas pensé à mon ex, comme depuis quelques années, toujours autant étonnée de voir à quel point la place qui prenait dans mon cœur n'est plus juste une plaie béante mais une plaie cicatrisée
- j'ai beaucoup dit oui alors que je voulais dire non mais pas l'inverse, pour beaucoup de choses, pas le sexe par contre, ça fait plaisir
- j'ai raté des aurores boréales vers nice, plus d'une fois, alors que c'est mon rêve d'en voir
- j'ai pas repris la photographie ni l'astrophotographie pourtant je veux me remettre à l'argentique
- j'ai ressenti moins d'angoisse pendant les périodes d'examens, peut-être parce que ce qu'on me demande est plus dans mes cordes
- j'ai voté plein de fois mais j'ai pas compris à quoi ça avait servi
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Un chouia de ceci ou de cela
ça fait du bien
Un chouia de bonheur
quelques minutes suffisent
et tant pis si l'on se répète
une des plus plates banalités :
La vie est belle !
Un chouia d'espoir
quand le pire est passé
et que le sourire est de nouveau permis
Ah ! la petite lueur
la gredine
qui s'est fait tant attendre
Un chouia de santé
quand il arrive à la douleur
d'être magnanimne
et que le corps s'épanouit
déborde de sève
comme un arbre au mitan du printemps
Un chouia d'amitié
son épaule tellement offerte
qu'on ne sent pas le besoin
d'y poser la tête
ses attentions subtiles
au point d'être déconcertantes
Un chouia de poésie
en amour
cela va de soi
gestes et paroles à l'avenant
clin d'œil à peine perceptible
pointe d'humour pas trop acérée
silences lourds de sensualité
Un chouia de bienveillance
car cela fait du bien à autrui
ne pas juger, condamner
avant de comprendre
tendre la main
sans préjuger du mal et du bien
Un plus que chouia d'indignation
qu'il vente, qu'il pleuve
qu'il neige ou fasse soleil
car les injustices sont permanentes
toujours accablantes
toujours inacceptables
Un chouia d'émerveillement
devant les valeurs sûres de la beauté :
visage glorieux de la femme
sans masque
et même avec
regard tutélaire de l'enfant
qui plonge loin en vous
aube en gésine
au chevet du désert
hanté par le souvenir de la mer
Un chouia de ceci ou de cela
au choix
Un numéro gagnant
après toutes ces pertes
auxquelles on s'habitue
comme aux mauvaises nouvelles du jour
aussi prévisibles que le brouillard
et les précipitations
sur les îles Britanniques
Abdellatif Laâbi
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Eté 1932 - Champs-les-Sims
6/6
Anna est quand a elle une petite fille déjà bien indépendante et avec un fort caractère. Quand elle est indignée ou qu'elle boude, elle me rappelle tellement Ange que c'en est très drôle. Elle a parfaitement copié chacune des mimiques de son père. Elle dirige sa soeur par le bout du nez sans le moindre problème, profitant de sa nature un peu plus douce et taiseuse.
Nous avons décidé de refaire entièrement la chambre d'enfant maintenant qu'elles sont assez grandes pour dormir dans de vrais lits. Antoine et Aurore aiment beaucoup les tons beiges que j'ai choisis, ils disent que cela donnent un air bien plus chaleureux à cette pièce, qui a traditionnellement été en bleu depuis la construction de la maison. Il faut dire aussi que l'ajout des dessins des filles aux murs donne un aspect plus joyeux à la pièce (Grand-Mère ne l'aurait jamais permis) et elles adorent la moquette (une idée d'Ange). D'ici quelques années, elles pourront y jouer avec la petite Louise et ses éventuels petits frères et soeurs. J'attends avec beaucoup d'impatience le jour où cette pièce sera à nouveau pleine d'enfants, comme quand Antoine et moi étions petits.
Avec toute mon affection,
Noé
#lebris#lebrisgens5#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#eugénie le bris#Arsinoé Le Bris#Lucien Le Bris#Anna Le Bris de Chastel#Elisabeth Le Bris de Chastel#Ange de Chastel#Marc-Antoine Le Bris#Aurore Laroche
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«COLLABO: Les situations historiques toujours nouvelles dévoilent les possibilités constantes de l’homme et nous permettent de les dénommer.
Ainsi, le mot collaboration a conquis pendant la guerre contre le nazisme un sens nouveau : être volontairement au service d’un pouvoir immonde.
Notion fondamentale ! Comment l’humanité a-t-elle pu s’en passer
jusqu’en 1944 ? Le mot une fois trouvé, on se rend compte de plus en plus que l’activité de l’homme a le caractère d’une collaboration. Tous ceux qui exaltent le vacarme mass-médiatique, le sourire imbécile de la publicité, l’oubli de la nature, l’indiscrétion élevée au rang de vertu, il faut les appeler : collabos du moderne.» (Milan Kundera, L’art du roman, 1986)
Au XXIe siècle, le cristal de la langue aura permis de repérer la nouvelle forme proliférante des co-labos parmi les hypocondriaques, les semi-habiles, les cyniques postmodernes, les algorithmés du bulbe, ceux qui traitent l’autre de "complotiste"…
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"Si l’Economie a désormais vocation, en lieu et place des anciennes théologies, à définir la voie que l’humanité doit suivre – celle de la Croissance illimitée, ce nouveau "baume à toutes les plaies"-, c’est bien, en réalité, parce que, sous le masque intimidant de la "nécessité", elle ne constitue elle-même rien d’autre, depuis le début, qu’une idéologie invisible et une religion incarnée. N’est-ce pas le Marché, en effet, qui monopolise à présent – à travers son immense industrie du divertissement et son omniprésente propagande publicitaire – le droit d’enseigner à tous les humains, à commencer par leurs enfants, ce qu’ils peuvent savoir, ce qu’ils doivent faire et ce qu’il leur est permis d’espérer ? De leur prêcher, en d’autres termes, la façon dont ils doivent vivre et les raisons "scientifiques" pour lesquelles toute autre manière d’envisager les choses est, dorénavant, privée de sens ? Juste retour des choses en somme. Si l’Etat libéral doit rester à jamais une forme philosophiquement vide, qui d’autre que le Marché pourrait remplir les pages laissées ainsi en blanc et prendre enfin sur lui de faire la morale aux hommes ?".
Jean-Claude Michéa, L’empire du moindre mal, 2010.
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Je suis revenue d'Italie et c'était franchement pas mes vacances préférées. Je le sentais tellement que ça allait être fatiguant. On changeait d'airbnb et de ville tous les jours. En plus Ju' et Lu' se connaissent depuis looongtemps. Je savais que ce serait comme au Canada et que je me sentirais un peu exclue donc je m'y étais préparée. Du coup au début ça allait mais pendant 12 jours noooon stop?? Je n'en pouvais plus à la fin. J'avais juste trop hâte de rentrer. Puis je me suis rendu compte que Lu' avait un caractère que je ne pouvais pas supporter sur la durée. C'est une petite princesse qui veut qu'on fasse exactement comme elle veut sinon elle râle. Puis elle est susceptible comme j'ai jamais vu, pire que mon père. Quand elle fait un constat et qu'on nuance ses propos, ça peut être de la manière la plus gentille du monde, elle va réagir sur la défensive. On ne peut pas avoir de débat avec elle. Dès que tu donnes ton point de vue, c'est MORT. Le pire c'est qu'après t'as beau lui dire que c'était pas du tout pour l'attaquer ou que c'est juste pour donner ton point de vue, elle va de nouveau mal le prendre. Quoi que tu dises à ce moment là, tu sais pas te sortir de cette situation. C'est vraiment horriiiible. En plus quand elle est vexée elle te parle trop mal et avec l'expression faciale qui va avec. J'aime vraiment pas critiquer comme ça surtout qu'elle a des bons côtés mais ses mauvais côtés prenaient teeellement de place, j'en POU-VAIS PLUS. Alors que quand on s'est vues comme ça de temps en temps, ça s'est super bien passé. C'est vraiment le fait d'être h24 ensemble, puis le fait qu'il faisait minimum 30° chaque jour et le fait qu'on bouge tout le temps et qu'on soit exténuées qui a tout empiré je crois.
Sinon tous les paysages qu'on a vu étaient dingues. Mais c'est dommage pcq j'ai vraiment l'impression d'avoir subi ce voyage. J'ai pas le sentiment d'avoir bien profité et de m'être imprégnée de la culture italienne. Le fait de bouger tout le temps ne nous a pas permis de s'imprégner vraiment de l'ambiance de toutes les villes. C'est comme si on avait une liste et qu'on checkait une ville dès qu'on l'avait vue, comme si c'était juste pour le fait de se vanter d'y avoir déjà été. Je ne sais pas comment expliquer mais bref c'était trop rapide à chaque fois.
(28/07/2024)
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Ce soir-là je me suis aventuré le long des routes de campagne de ma région rurale.
Un épais brouillard s'était installé suite aux fortes pluies et à chacun de mes pas sur ces routes sinueuses, la surprise était omniprésente.
Ces routes 'campagnardes' sont souvent l'objet de parcours de rallye improvisés par certains jeunes et moins jeunes qui n'hésitent pas à affronter la mort à chaque virage rencontré.
J'ai moi même parcouru ces chemins à des vitesses vertigineuses accompagné par un voisin défunt et il est vrai que je ressentais une forme d'ivresse à affronter cette mort qui pouvait m'attendre à chaque instant.
Ayant dépassé le demi siècle, je n'ai jamais voulu passer mon permis de conduire et ai toujours privilégié les transports en commun ou la marche, cela m'a certainement été salvateur et peut-être et surtout pour d'autres personnes que j'aurais pu percuter de mon moteur qui n'avait parfois aucune limite.
Parfois je regarde certains reportages sur les sports dits "extrêmes" et cette tendance à vouloir se dépasser dans des défis de plus en plus dingues et avec les montées d'adrénaline que cela doit procurer. Je ressens, de manière complètement différente, ce besoin dans la jeunesse actuelle de trouver cette raison de vivre, de s'écrire dans l'histoire pour des causes souvent extrémistes, comme l'on et le font toujours certains psychopathes ayant commis des meurtres en série.
La peur est alimentée chaque jour par le monde que l'on nous offre ou impose et selon les cas provoque une forme d'immobilisme ou dans le cas opposé un besoin de dépassement qui pousse à trouver un sens à la vie parfois par les armes.
Le sens n'est il pas plus dans notre relation avec la terre, la nature et la contemplation que dans ces provocations à la vie ?
Le spirituel doit-il absolument prendre un sens destructeur et être interprété dans des théocraties créant des enfants martyres ?
J'ai le sentiment profond que notre salut viendra de notre capacité à communier à nouveau avec ce qui nous est offert chaque jour passé et dans les choses que l'on pense "banales" mais si importantes pourtant.
Redevenir acteur de sa vie, même dans le plus grand désespoir et entouré des personnes les plus diverses et chancelantes possible, communiquer nus quel que soient nos origines, ne plus regarder la route la tête baissée mais la redresser et redécouvrir et respirer à nouveau, voilà tout ce qui m'a permis de survivre et me le permet toujours ... En sachant que la route reste sinueuse et quoi qu'on puisse faire, une des choses communes qui nous relie est bel et bien la mort... épicurien je le serai toujours, être sur un fil aussi... mais chaque réveil reste une chance
François
Septembre 2024
#NocturnalLandscapes#MelancholicNights#EtherealNightScenes#LightTrails#DreamyNightScenery#NighttimeAesthetic#FastCarLights#MistyNightHorizons#PoeticNightscapes#SereneNightViews#NightLightTrails#LongExposureNight#EtherealNightVibes#MelancholyInTheDark#WhisperedNight#SilentNightLandscapes#DreamlikeNightTrails#MovingLights#NocturnalEthereal#PastelNightShadows#contemporaryart
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13 : s'adonner à leur passe-temps favori
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Lorenz observe son ancêtre, le Brave de la Terre Mettius Gloucester Paenitens dit les Mains Fertiles, exercer son métier : potier.
Nouveau jour, nouvelle paire d'ancêtre et de descendant avec Lorenz qui rencontre son ancêtre Paenitens, qui n'est pas pas exactement comme il l'imaginait.
Paenitens est un homme très calme, très silencieux et consciencieux qui aime par dessus tout travailler tranquillement seul dans son atelier sans qu'on vienne le déranger, tout en étant très fier de son travail qui est également sa passion (sa relation avec sa sorcellerie a une base... compliquée). Il n'y a pas grand-chose qu'il déteste plus que quelqu'un qui viendrait le voir en lui demandant "mais pourquoi tu n'utilises pas tes pouvoirs pour faire tes pots plus vite et plus ?" car, il considère que c'est bâclé le travail et que ces céramiques faites sans efforts n'ont aucune valeur. S'il vous refile une céramique fait comme ça, c'est qu'il veut vous voir dégager de son atelier, s'il ne vous a pas déjà fait dégager en déplaçant la terre sous vos pieds. Il peut être gentil et il aide son village sans souci en rendant les terres plus fertiles mais, il est juste pas très sociable et aime sa tranquillité, même si sa langue se délie assez facilement pour parler métier et technique. C'est ce qui lui a permis de se lier d'amitié avec Indech (il est l'un des deux seuls Braves à avoir rencontré un nabatéen avant la guerre dans ma fanon), ils pouvaient passer beaucoup de temps à travailler ensemble et ils ont fini par devenir amis avec le temps.
Alors, je vous laisse imaginer le contraste décapant avec Lorenz quand ils se rencontrent !
Si de visage (pour la moitié de visage qui reste à Paenitens), ils se ressemblent beaucoup tous les deux, Lorenz est aussi flamboyant, fanfaron et très fier de son rang que Paenitens discret, taiseux et modeste. Il est également très étonné de sa relative pauvreté : les légendes autour de Gloucester ont gardé le fait qu'il soit potier de base, il est même reconnu pour ça et être un excellent peintre, même si c'est assez peu évoqué pour surtout se concentrer sur sa sorcellerie qui a rendu les sols de Gloucester extrêmement fertiles, et Lorenz s'imaginait plus quelqu'un ayant un atelier avec plusieurs petites mains, et lui ne s'occuperait que de la peinture des pièces les plus prestigieuse. Alors se retrouver avec un homme habillé très simplement qui fait tout lui-même dans son coin et qu'il n'a pas d'employé à part une aide chez lui, et qui se définit lui-même comme étant d'abord un potier, un membre de son peuple puis un sorcier... voilà quoi, d'un côté, il est extrêmement fier d'avoir un ancêtre aussi talentueux mais de l'autre, il ne s'attendait clairement pas à ça.
Autre point qui l'étonne, c'est son handicap très lourd. Paenitens boite vraiment, même avec sa canne (qu'il a fait tenir à Lorenz pour éviter qu'elle ne tombe tout le temps), marche difficilement, et a beaucoup de mal à utiliser le côté droit de son corps, qu'il cache constamment sous ses très longs cheveux de sorciers (la coiffure de Lorenz après l'ellipse viendrait également des représentations de son ancêtre qu'il imite).
En fait, ce qui a rendu infirme Paenitens - Ultor à ce moment-là, littéralement "le vengeur" -, c'est qu'il n'a pas suivi les règles de la sorcellerie dont la règle fondamentale est que le sorcier doit toujours payé le prix de sa sorcellerie lui-même, règle qu'il n'a pas suivi lorsqu'un jour, ivre de colère et de vengeance contre "la créature de feu" et trouvant qu'il ne progressait pas assez vite, il a tenté d'utiliser une petite partie de l'énergie vitale d'un animal pour se renforcer lui-même. Dès qu'il a essayé, sa sorcellerie s'est complètement retourné contre lui et au lieu d'ajouter une fierté, elle s'est mise à dévorer son côté droit. Si Kelon (l'ancêtre de Claude, d'une cité voisine, même si c'est deux peuples différents) ne l'avait pas senti et arrivé aussi vite grâce à ses ailes, Paenitens serait mort à cause de sa transgression. En punition, tout son côté droit est à découvert avec quelques morceaux de muscle qui reste mais, c'est surtout un squelette de métal (qui vient d'une fierté pour le coup, ça a renforcé son corps) qui n'a plus beaucoup de force, d'où le fait qu'il est beaucoup de mal à se mouvoir et a besoin d'aide dans sa vie quotidienne (c'est vieux mais, il ressemble au dernier dessin dessin sous la coupe - attention, horreur corporel -). La sorcellerie, c'est dangereux, il faut respecter les règles sinon, elle ne vous ratera pas, ce qu'il a appris à ses dépends.
Il ne vivait que pour sa vengeance à ce moment-là, il voulait se venger de la "créature de feu" qui avait chassé son peuple de sa ville (même s'il oublie assez vite que si elle a fait ça, c'est parce que son peuple a lui a capturé et asservi tous les hommes de son peuple à elle en son absence - car ils ne l'avaient pas écouté mais ça, c'est une histoire pour plus tard - et qu'elle ne les a pas asservis, elle les a "juste" chassés étant donné qu'une fois vaincu après un coup pareil et vu qu'ils cherchent à s'installer, on met à mort les têtes pensantes et on réduit en esclavage tous les autres afin d'avoir de la main d'oeuvre docile, et au lieu de leur voler tout ce qu'ils avaient, elle les a laissés partir avec une grosse partie de leur bétail et de la nourriture pour éviter qu'ils meurent de faim et grand mécontentement de son propre peuple à elle, elle a pris un sacré risque et a surement dû imposer sa décision aux siens au lieu de la voter) et reprendre ses terres mais là, d'un, il se retrouve lourdement handicapé en pouvant à peine marcher correctement, de deux, ses pouvoirs vont nettement moins bien se développer qu'ils ne le devraient après une telle transgression, et pour finir, Kelon lui dit clairement qu'il ne pourra jamais vaincre sa "créature de feu", elle le fera juste fondre avant et elle est bien trop forte pour lui, tout en lui expliquant que dans sa cité, normalement, quand on s'installe quelque part, s'il y a déjà un autre peuple qui habite-là, on le réduit en esclavage une fois vaincu mais, pas l'esclavage antique classique où vous avez un espoir de vous faire libérer, non, là, y a quasi aucun espoir d'être affranchi un jour, on leur inculque bien qu'ils sont inférieurs et juste des serviteurs avec tout un tas de mesure humiliantes et coercitives et pour faire taire ceux qui se plaignent trop fort ou qui ont un caractère trop fort, il y a la cryptie à la fin de l'agoge (entrainement des enfants de citoyens) des meilleurs élèves, où ils doivent tuer des hilotes sans se faire prendre.
Kelon connait très bien cette "créature de feu" alors, il sait qu'elle est contre l'esclavage et encore plus qu'on traite les hilotes de cette manière et que dans la situation où ils étaient tous, ça devait la meilleure des solutions : les chasser en les laissant en vie avec de quoi survivre pendant un moment, et en empêchant les hommes de sa cité ne les poursuivre pour les asservir. On est chez des grecs pour ces deux-là, c'est très dur d'imaginer qu'on puisse avoir des relations d'égal à égal (c'est quand même eux qui ont inventé le concept d'hégémon qui domine tous les autres et est au sommet tout en profitant bien au passage) alors que deux peuples aussi différents puissent se mélanger, même si Kelon et "la créature" peuvent y penser en se disant "on peut peut-être cohabiter sans s'entretuer tout le temps, même si c'est très difficile" sans que l'un puisse asservir l'autre ou l'écraser, c'est quasi impossible pour leurs contemporains, les cités grecques se battaient entre elles pour des arbres coupés au mauvais endroit quand même.
Même eux, on leur dit que dans le futur, des peuples très différents à leur époque vont se retrouver dans le même pays et que leur continent va être divisé en trois territoires dirigés par de grandes familles de manière héréditaire, ce serait limite lunaire (moins pour elle mais quand même, elle trouverait ça profondément stupide de laisser autant de pouvoir à un seul roi sans un deuxième pour qu'ils s'entretuent tous les deux pour avoir la primauté sur l'autre, et sans les éphores pour les réguler et les calmer quand ils font n'importe quoi, et beaucoup plus pour Kelon qui vit dans une démocratie), surtout que les grecs sont très jaloux de leur indépendance. C'est même assez général cette manière de pensée que "on peut se supporter de loin mais, faire des alliances entre peuples très différents les uns des autres, on va pas pousser, on se connait tous assez peu et on est en concurrence pour le territoire, sauf peut-être des alliances militaires pour dégager un voisin un peu trop agressif et encore, c'est vraiment de circonstance et ça ne dure pas" alors, ça ne vient pas tout seul l'idée de cohabitation entre deux peuples, encore plus entre un qui est de culture grec / spartiate et un de culture bien plus celte et gauloise pour celui de Paenitens (c'est par exemple le cas pour Simplex, Pertinax et Laeta, respectivement ancêtre des Blaiddyd, Fraldarius et Dominic qui sont extrêmement proches, ils ont passé des années comme conservi, des compagnons d'esclavage, ont survécu à la servitude ensemble, sont devenus des sorciers ensembles et même mené une révolution qui abolira l'esclavage dans le peuple de Simplex ensemble mais, ils ne se diront jamais "amis" de leur vie jusqu'à la veille de leur mort car, ils savent qu'il y a toujours un risque que leurs peuples entrent en guerre les uns contre les autres et qu'ils ne veulent pas les trahir, même si ça les déchirerait de s'affronter les uns les autres). Ce qui maintient un semblant de paix entre les cités, c'est souvent qu'il y a des sorciers dans l'une des deux et pas dans l'autre, ce qui impose rapidement un rapport de force et qu'en général, les sorciers sont assez sages pour éviter d'utiliser leurs pouvoirs à la guerre histoire de ne pas faire trop de dégâts, même si c'est un équilibre fragile, et quand Némésis passe, puis les adrestiens passent en interdisant la sorcellerie en les pensant complices de Némésis et des agarthans (et tombant dans le piège de ces derniers au passage visant à brûler tout ce qui les a remplacé à la surface, que ce soit les créations de Sothis ou ses "enfants adoptifs"), ça rabat toutes les cartes avec des peuples qui profitent que le sorcier d'à côté meurt à force de ne pas pouvoir s'entrainer pour venir les terres du voisin plus petits et crée un chaos monumental. Enfin bref, revenons à l'histoire de Paenitens quand Kelon lui explique qu'il ne pourra sans doute jamais vaincre son ennemie et que lui-même se rend compte qu'il ne pourra surement pas faire le voyage.
En plus de tout ça, c'est sans compter qu'il va bientôt avoir une nouvelle arrivante dans leur coin : Daphnel, Brave des Vents surnommée par son peuple (d'origine duscurienne, là où Kelon arrive d'Almyra et est de culture grec pour un équivalent dans notre monde, et celui de Paenitens est descendu de Sreng en quête de meilleures terres et poussé par d'autre peuple, et il est d'inspiration gauloise... oui, ça va être compliqué pour s'entendre, surtout qu'aucun des peuples des trois ne parlent la même langue ou une langue proche pour ne pas arranger les choses) "la Bourrasque enragée" quand elle le retrouvera à cause de son tempérament de feu et plutôt sanguin, également bien remontée contre le peuple de Paenitens après que ce dernier ait souvent attaqué son peuple à elle pour capturer des gens et les réduire en esclavage, elle compris, ce qui a poussé son peuple à quitter leurs terres pour arriver sur les futurs terres de Daphnel - et en ayant plus beaucoup de nourriture à emporter vu qu'ils se faisaient piller tout le temps -, et elle adore cette "créature de feu" qui la libérer de sa cage d'esclave et élevée donc, elle ne le laissera pas trop s'approcher ou passer par ses terres. Comment dire qu'au début et pendant un bon moment, c'est compliqué.
Quand ils se rencontrent ces deux-là et qu'ils finissent par apprendre comme ils peuvent la langue de l'autre pour se comprendre un minimum (même si c'est surtout Paenitens qui doit se mettre au grec vu que c'est la langue maternelle de Kelon et que Daphnel le parle couramment aussi, même si c'est un dialecte différent du sien), elle ne lui fera aucun cadeau, encore plus en voyant bien qu'il a utilisé de la magie interdite, et lui mettra bien la tête au fond du plat pour lui rappeler que ouais, niveau esclavagisme et traitement des esclaves, ils étaient particulièrement horribles, même pour l'époque, et les traitaient aussi comme des animaux, ce qui a poussé son peuple à elle à se barrer à force d'être harcelé et pillé, et sa "créature de feu" a eu des problèmes quand elle les a laissé filer ainsi avec de la nourriture vu que normalement, les vivres, tu les gardes jalousement pour toi, et parce que les siens ont trouvé qu'elle s'était comportée en tyran pour avoir décidé pour tout le monde sans consulter personne. Sous le règne du peuple de Paenitens, Daphnel a quand même fini elle-même dans une cage sans nourriture pendant des jours car elle se débattait trop et qu'elle aurait surement fini tuer à cause de ses tentatives de fuite, tant pis si on gaspille la marchandise, on en récupérera toujours d'autres chez les voisins ! Ils ont surtout goutté à leur propre médecine ce jour-là (en légèrement moins pire vu qu'elle les a laissés partir avec une partie de leur réserve), et étrangement, quand on se retrouve de l'autre côt�� de la barrière, c'est nettement moins confortable. Pour Daphnel, même si elle est d'accord sur le fait que ce soit horrible de se faire chasser de sa maison ainsi - son propre peuple a subi la même chose quand même alors, elle sait à quel point c'est horrible -, au final, ils n'ont fait que subir ce qu'ils ont fait subir aux autres, et c'est pas elle qui va les plaindre pour s'être pris les conséquences de leurs actes en pleine figure, et ils ont évité le pire vu qu'ils auraient pu être tous asservis jusqu'au dernier pour devenir des hilotes.
Alors, après un long moment à réfléchir alors qu'il panse ses blessures et tout ça, même si c'est dur car c'est à quoi il a consacré sa vie pendant tout ce temps, il décide de laisser tomber sa vengeance et de se concentrer sur son peuple. Il se rend compte qu'il a oublié le plus important à cause d'elle et que cela lui a fait faire quelque chose d'atroce car, il ne pensait qu'à ça tout en négligeant son peuple alors qu'il avait besoin de lui, surtout que ses pouvoirs sont bien plus utiles pour aider les autres que pour faire couler encore plus de sang. Il en voudra toujours à cette "créature de feu" et même s'il ne la recroisera jamais de sa vie, ce serait extrêmement tendu s'il la recroise et il la haïra jusqu'à sa mort mais, vu son état et ce que sa soif de vengeance l'a déjà poussé à faire, il préfère se reconcentrer sur son peuple et prend le nom de Paenitens, "qui regrette, qui se repent", pour essayer de réparer toutes ses erreurs, notamment tout ce qui l'a mené à sa transgression.
Il reprend donc son métier de base et devient potier. Il ne s'arrêtera jamais de s'entrainer, autant parce que le jour où il s'arrête, ça le tuera car il a trop de magie en lui pour s'arrêter, mais aussi car il se rend bien compte que sa magie peut aider son peuple. Paenitens maitrise la terre, il fait donc tout ce qu'il peut pour rendre leurs terres les plus fertiles possibles pour qu'ils aient tous ce dont ils ont besoin, et n'ait pas besoin d'avoir recours à de la main d'oeuvre servile en attaquant les voisins. Il se met aussi à voter constamment pour éviter la guerre afin de ne pas recommencer le cycle de violence, surtout qu'avec autant de sorciers puissants, ils risqueraient de transformer leurs terres en enfer à ciel ouvert s'ils s'affrontaient, surtout que même s'il a à peu près le même âge que Daphnel, Kelon est bien plus âgé et pourrait sans trop de problème les vaincre s'il donnait tout ce qu'il avait, même s'il ne veut surtout pas en arriver là. Il a une relation très tendue avec sa propre magie, il est quand même devenu sorcier à la base pour se venger, et la moitié droite de son corps lui rappelle sans cesse ce qu'il a osé faire pour ça mais, il arrive petit à petit à mieux l'accepter quand sa magie devient une source d'aide pour les siens plus qu'un outil de mort et de vengeance.
Au moment de sa vie où il en est dans ce dessin où il rencontre Lorenz, plus de trois cents ans se sont écoulé depuis ses évènements et il s'est bien calmé. Il a fini par accepter sa magie et l'utilise toujours pour fertiliser les champs de son peuple (bénédiction toujours présente dans le présent) mais aussi un peu pour s'aider au quotidien avec son handicap. Les relations avec ses voisins sorciers vont un peu mieux, même s'il ne le montre pas trop étant donné qu'on ne sait jamais ce qui peut arriver entre trois cités aussi différentes et que l'ombre d'une possible guerre plane toujours. Il s'est même fait un ami d'un voyageur un peu étrange qui parcourait ce qu'il appelait "Fodlan" pour étudier les techniques artisanales des différents peuples qu'ils croisent, et qui était très intéressé par la sorcellerie, un certain Indech, un gentil artisan très timide et préférant la solitude de son atelier à la foule, comme Paenitens. Ils vont devenir très amis avec le temps, et jusqu'à la fin, Paenitens s'en fera beaucoup pour lui, surtout après que Némésis l'ait vaincu et forcé à boire du sang de la même couleur que celui d'Indech, ayant très peur que ce soit celui de son ami, avant de le retrouver bien plus tard mais malheureusement pour eux, ce sera sur le champ de bataille mais ça, c'est pour plus tard. Là, il peint tranquillement ses pots avec Lorenz qui est d'abord très étonné par sa personnalité et sa manière d'être, puis apprendra à respecter son ancêtre pour qui il est et son talent, même si ça ne correspond pas forcément à l'idée qu'il s'en faisait à la base.
Comme toujours, un point sur le dessin en lui-même :
Pour les motifs des pots de Paenitens, je me suis basé sur cet article et je m'en étais pas rendu compte à la base mais, c'est un article de Robert Périchon qui parle des céramiques du Crêt Chatelard. Alors, Robert Périchon, ça commence à dater mais, c'est solide en général pour tout ce qui est matériel pur, et vous avez une autre raison de passer dans la Loire : voir Crêt Chatelard et ses fouilles gauloises ! C'est incroyable tout ce que les dianistes ont sorti là-bas ! (et aller à la Diana de Montbrison, c'est très intéressant aussi !) Donc, ça tombait bien !
Pour la coupe de ses vêtements, je me suis inspirée des reconstitutions du Parc Samara comme très souvent. J'ai juste débarrasser Paenitens de tout bijou, motif un peu tape à l'oeil, ornement... pour le rendre plus austère, ce qui colle à sa pénitence, il pense qu'il n'a pas à porter des bijoux aussi voyant, et à sa personnalité plus discrète, tout en le mettant en opposition avec Lorenz qui aime tout ce qui est très vif et soigne beaucoup son apparence.
Je l'ai tourné du côté gauche afin qu'on puisse voir son expression (son côté droit est constamment caché par ses cheveux, il ne le montre que pour mettre en garde les gens), ainsi que ses fiertés : sa peau est assez meubles, un peu comme de l'argile, même si elle craquèle à plusieurs endroits à cause des retombés de sa transgression. Même si c'est surtout son côté droit qui est tombé en lambeau, son côté gauche aurait dû subir le même sort si Kelon n'était pas arrivé à temps.
Enfin, ça ne se voie pas beaucoup mais, sa main droite est entouré dans des bandages afin de cacher qu'il n'a plus qu'un squelette de métal (qu'on peut voir dépassé sur son cou et une partie de son nez) et quelques ligaments pour tenir tout ça. Il peut aussi entourer sa main d'une gangue de terre pour mieux cacher ça et pouvoir mieux utiliser sa main droite mais, il le fait rarement, autant pour de nouveau respecter sa punition, mais aussi parce que ça l'épuise.
#fe3h oc drawcember#fe3h oc#dessin de curieuse#écriture de curieuse#j'espère que ça vous plait surtout !#c'est l'histoire de Brave dont je suis le moins sûre mais j'espère que l'équilibre est respecté...#si vraiment cette histoire là est trop mauvaise ou enlaidit trop les personnages je la changerai#si la plupart des Braves ne se connaissent pas - encore moins tous - ceux qui se connaissent n'ont pas forcément de bonnes relations#le trio de Faerghus s'entend très bien avec Loquax qui est plus à part mais est pacifique alors ça passe...#mais pour Leicester c'est une toute autre histoire et les passifs entre les peuples peuvent être très lourds#il y a de ça à Faerghus même si ça calme mais côté Leicester s'est bien plus vif#et t'as aussi les limitations de l'époque où on peut penser qu'on se supportera les uns les autres surtout en cas de pépin pour tous...#mais finir dans le même pays uni voir pire avec un roi unique... c'est limite le pire des scénarios vu qu'ils perdraient leur indépendance#ce qui est extrêmement important pour eux évidemment surtout vu les différences entre eux#(ils rencontre El dans le présent qui leur dit que c'est SON peuple à ELLE elle va juste se faire attaquer car juste...#...non ! On est indépendant nous ! On a rien à demander à une famille impérial qu'on ne connait même pas !)#Pyrkaïa a pris un gros risque en les laissant partir ainsi vu qu'eux aussi auraient bien pris cette nourriture...#et normalement on ne prend pas une décision seul chez elle- on vote toujours en groupe- seuls les tyrans décident seuls#mais entre ce qu'elle considère les urgences pour son propre peuple et la situation avec ce qu'elle deviendra des hilotes s'ils restent#c'était pas la mieux mais la moins pire des solutions pour tout le monde même si elle déteste ce qu'elle a dû faire#c'est clairement pas une bonne solution mais elle a fait ce qu'elle a pu tout en devant passer en force#et même si les spartiates sont un peuple assez agressif ils vont réussir à se calmer avec elle qui veille au grain et les circonstances#(histoire de ne pas finir comme le peuple d'avant aussi)#Paenitens a évidemment du mal à l'avaler mais il finit par comprendre même s'il la haït toujours#ce serait des relations très compliqué entre eux... même si ironiquement les deux connaissent des nabatéens et s'entendent bien avec eux#et qu'ils aimeraient bien pouvoir s'y rendre un jour... ce serait explosif#Pyrkaïa a même sans doute déjà entendu parler de Paenitens par son mari qui le tient d'Indech#Daphnel a un tempérament très vif mais elle est là pour les têtes dans le plat magistral et pour le coup Paenitens en avait besoin#et de son côté Kelon espère qu'un jour tout le monde s'entendra en pouvant garder ses spécificité#comme il le dit ils sont sorciers c'est les seuls qui savent ce que vivent les uns les autres pendant des siècles
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J’aimerais tellement être omniscient. Je le sent, j’aimerais tellement tout savoir. Tout pouvoir contrôler à tout moment.
Ça m’obsède. C’est plus fort que moi. C’est trop trop trop.
Le lâcher prise fonctionne. En réalité ça me fait du bien, beaucoup de bien. Je vie mieux, sous un nouveau jour.
Mais si j’écris vous vous doutez bien que c’est que ce n’est pas fini. Et ça aurait été utopiste que ce le soit à vrai dire.
Et ça reste toujours aussi compliqué. Aussi prenant. Aussi fort, malgré le chemin parcouru. Je l’avais plus ou moins pressenti, je ne voulais pas sortir. Me refermer sur moi même, laver ma voiture, le couper les cheveux, aller courir.
Je me suis laissé embrigader. Ce n’étais pas difficile de toute manière, et j’ai tout de même passé un bon moment. Tout calme dans mon coin, au milieu des autres. Une petite mine m’a-t’on dit, et je n’ai pas répondu.
Le coucher de soleil sur la mer, cette mer plate et calme, ce ciel dégagé à l’horizon. Apaisant, dans la cohue de mon esprit.
La source ? Reste quelque chose dont je ne veux pas me préoccuper. Je me sens fatigué, non pris par le boulot cette fois, mais les fêtes semble-t-il qui me chamboulent.
Consciemment c’est heureux, comme une période où tout est permis. Les "débordements" sous couvert d’une période de festivités. C’est agréable, une "excuse" valable et que je fais valoir. Qui dédramatise les verres le soir, le rythme moins soutenu au boulot.
Inconsciemment, ça semble plus complexe. Moins heureux, moins chaleureux. Plus fatiguant. Moins attrayant.
Parler des fêtes ne m’enjaille pas. Les préparer ne m’excite pas. Le sapin … c’est jolie et j’ai accompagné sa mise en place, sans plus. Le premier de l’an … pas déplu qu’on ai rien trouvé. On le fêtera chez nous, entre amis.
Les vacances la semaine prochaine, la crémaillère ce samedi, le tikka masala demain …
Je suis fatigué. Et je pense que ça résume le pourquoi du comment je me sens comme ça.
Pourtant, et étrangement, je dors bien. Les yeux sont collés le matin. Je me couche tôt. Je me réveille avant mon réveil, si bien que je pars bien trop tôt au travail ne sachant que faire d’autre.
Il faut que je me repose, que je m’occupe de moi. Je me fasse mes activités, mes petits trucs pour me dégager du bien être.
En attendant pour ce soir, je vais tenter de maîtriser mes émotions. De rester calme, et l’esprit plutôt clair. Ne pas laisser envahir de pensées qui je ne sais d’où elle viennent. De ses questions qui ne sont que des questions, de cette curiosité mal placée, de ce contrôle omniprésent que je semble tant vouloir.
Demain, je me réveillerais pour reprendre les choses en main, et contrôler ce sur quoi j’ai du pouvoir : moi.
Les difficultés d’un mercredi qui sonne comme une fin de semaine.
Le 11 décembre 2024 - Fabien
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Printemps 1921, Hylewood, Canada (2/6)
Eugénie m’a transmis la réponse de Mme Le Bris sur votre absence de parenté avec la Liliane Le Bris de Meudon, et cela a permis à la correspondante de ma sœur en France de venir à bout de son enquête. Jeanne vous a peut-être mis au courant puisque Françoise et moi lui avons écrit en premier pour lui apprendre la nouvelle, qui n’en est plus tant une : nous avons donc le regret et la tristesse de vous annoncer la mort de notre sœur, Marie Liliane Le Bris, il y a quatorze ans, d’une fièvre typhoïde. La pauvre a eu un destin tragique et est morte de le dénuement et l’isolement le plus total, ce qui explique que personne ne nous ait écrit pour nous apprendre son décès.
Mlle Wyle s’est rendue à Meudon et en a exploré le cimetière municipal, jusqu’à dénicher la tombe d’une Marie Liliane Le Bris née en 1872 et morte en 1907, ce qui correspond à notre sœur. Par sa ténacité et ses relations, Mlle Wyle a réussi à en apprendre davantage sur ce qui avait poussé Marie dans cet état de solitude. En arrivant à Paris, elle est devenue l’élève de ce Monsieur Rodin qu’elle admirait tant quand elle était jeune fille, et elle aurait eu une liaison avec lui - comme nombre de ses jeunes élèves hélas. Les choses auraient mal tourné, elle aurait été rejetée par le peintre et par tout son entourage, et sa carrière s’en serait trouvée ruinée. Mlle Wyle a réussi à rencontrer l’ancien propriétaire de son appartement, qui a lui a confirmé la description de Marie, et nous a expliqué l’état de pauvreté dans lequel elle résidait à la fin de sa vie, subvenant à peine à ses besoins par les ventes de quelques sculptures.
[Transcription] Jules LeBris : Je vous ai ramené des roses blanches. Vos préférées. Eugénie LeBris : En quel honneur ? Jules LeBris : La saison des roses a commencé, je me suis dit que ça vous ferait plaisir. Eugénie LeBris : Merci. Jules LeBris : Ecoutez, j’ai fait des erreurs par le passé, et je suis sincèrement navré qu’elles vous ait autant blessée. Mais le désert m’a transformé, je suis désormais un homme nouveau. Allons, Génie. Vous voyez bien que j’essaie. Ne restez pas si froide. Eugénie LeBris : Trente ans de mensonge et de négligence sont trop dispendieuses pour être rachetés par quelques fleurs. Jules LeBris : Non… Ce n'était pas mon intention. Jules LeBris : Génie, cela vous ferait-il plaisir de continuer à écrire à ma cousine ? Eugénie LeBris : Je croyais que maintenant que vous êtes là, ce n’était pas mon rôle de le faire. Jules LeBris : Oui, je sais ce que j’ai dit. Mais je réalise que ces correspondances vous faisaient du bien. Jules LeBris : Et regardez, Albertine continue à vous adresser ses lettres. Il serait incorrect de ma part de lui répondre. Jules LeBris : Alors ? Qu’en dites-vous ? Eugénie LeBris : Je… Oui. Ça me plairait ben de lui écrire.
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen3ter#Jules Le Bris#Eugénie Bernard#Marie Le Bris II
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