#@satinea
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J’aime la simplicité qu’accompagne l’humilité
J’aime ceux qui savent écouter le vent sur la peau
sentir les odeurs, en capturer l’âme
Parce que là est la vérité,là est la douceur,
là est la sensibilité, là est encore l’amour.
Alda Merini
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Nyt kuulkaas meikä poika teki taidetta. Varmaan kauneimmat miähet mitä oon ikinä piirtäny. Tää on siis MoRo! AU:ta vieläkin, kohtaus sen jälkeen kun Kimaltelevien Timanttien lopussa Lehto pyörtyy. Ja huhhuh pojat kyllä olen ylpeä.
Nyt ensimmäiseksi tässä on mun Määtän rooli reveal. Le Chocolat on elokuvassa tosi vähän eikä se puhu melkeen yhtään, mut se suojelee Satinea niin isovelimäisesti niin meinasin ensin että Hietsuhan siihen menis. Sitten tajusin että helvetti, Määttä kantamassa Lehtoa ja vetämässä Lammiota turpaan on liian herkullinen konsepti torjuttavaksi, joten tässä sitä ollaan. Myös Lehdon mekon hörhelö puuhkat oli tuskaa piirtää. Mut ainakin meil on Määttä sideboobs, just like God intended.
Tässä on meidän jumalainen tuberkuloosia poteva Lehto. On se semmonen Ruusunen. Kyllä tuli kaunista. Musta tuntuu että ihan hirveenä omaa työtäni näin julistan mutta kyllä tuli sen verran kaunis Toivo että kyl mää kauhiast ihmettelen.
Tästä viimosesta ruudusta olen erityisen ylpeä. Yhdistin mielessäni Jussi Vatasesta ja Risto Tuorilasta täydellisen Koskelan ja samperi pojat kyllä onnistuin. Olen häntä silitellyt ja jumaloinut tän koko ajan kun on ollut valmiina. Nyt kyllä saan olla ylpeä. Koskela roolittamassa siis Marieta, elokuvassa näiden can can-tanssijoiden epämääränen matron. Koskela röyhelöissä tuo iloa. Korvakorun kanssa vielä päälle. Kyllä nyt pojat on ylpeyden aihetta.
#tuntematon sotilas#sam does art#punainen homo kirja#suomeksi#MoRo! AU#moulin rouge#määttä#lehto#koskela#kyllä tuli pojat komiat#kyl mää kauhiast ihmettelen#näkyykö että oon lukenu tuntsaa viime aikoina#kyllä olen ylpeä
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S’il est vrai que les seuls paradis sont ceux qu’on a perdus, je sais comment nommer ce quelque chose de tendre et d’inhumain qui m’habite aujourd’hui. Un émigrant revient dans sa patrie. Et moi, je me souviens. Ironie, raidissement tout se tait et me voici rapatrié. Je ne veux pas remâcher du bonheur. C’est bien plus simple et c’est bien plus facile. Car des heures, que du fond de l’oubli, je ramène vers moi, s’est conservé surtout le souvenir intact d’une pure émotion, d’un instant suspendu dans l’éternité. Cela seul est vrai en moi et je le sais toujours trop tard. Nous aimons le fléchissement d’un geste, l’opportunité d’un arbre dans le paysage. Et pour recréer tout cet amour, nous n’avons qu’un détail mais qui suffit : une odeur de chambre trop longtemps fermée, le son singulier d’un pas sur la route. Ainsi de moi. Et si j’aimais alors en me donnant, j’étais moi-même puisqu’il n’y a que l’amour qui nous rende à nous-même.
Lentes, pénibles et graves, ces heures reviennent, aussi fortes, aussi émouvantes – parce que c’est le soir, que l’heure est triste et qu’il y a une sorte de désir vague dans le ciel sans lumières. Chaque geste retrouvé me révèle à moi-même. On m’a dit un jour : « C’est si difficile de vivre. » Et je me souviens du ton. Une autre fois, quelqu’un a murmuré : » La pire erreur, c’est encore de faire souffrir. » Quand tout est fini, la soif de vie est éteinte. Est-ce là ce qu’on appelle le bonheur ? En longeant ces souvenirs, nous revêtons tout du même vêtement discret et la mort nous apparait comme une toile de fond aux tons vieillis. Nous revenons sur nous-mêmes. Nous sentons notre détresse et nous en aimons mieux. Oui, c’est peut-être ça le bonheur, le sentiment apitoyé de notre malheur.
Albert Camus - L’envers et l’endroit , 1937
Via darkpandore - via satinea
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Merci, @satinea, pour ce nouveau reblog! Claude.
"Bleu"(série 264)
© Claude Vergoz, 2024- Leave captions and credits, no re-blogs to NSFW/18+
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"On ne dit jamais assez
Aux gens qu´on aime
Par peur de les gêner
Qu´on les aime
On leur dit jamais assez
Que sans eux, sans elles
On serait même pas la moitié
De nous-mêmes"
Louis Chedid
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"L’œil d'une baleine à bosse observé de près, immortalisé par la photographe sous-marine Rachel Moore"
Par mon amie Florence
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ll y a 64 ans jour pour jour, Albert Camus trouvait la mort dans un accident de voiture. René Char lui dédiait alors un poème, "L'Eternité à Lourmarin", dont voici un extrait :
"Toutes les parties — presque excessives — d'une présence se sont d'un coup disloquées. Routine de notre vigilance... Pourtant cet être supprimé se tient dans quelque chose de rigide, de désert, d'essentiel en nous, où nos millénaires ensemble font juste l'épaisseur d'une paupière tirée. Avec celui que nous aimons, nous avons cessé de parler, et ce n'est pas le silence".
René Char, L'Eternité à Lourmarin
« La Parole en Archipel » 1962
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La ligne bleue des Vosges
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Chemin de mémoire
Verdun 11 novembre 2018
#@satinea#original photographers#original photography#photographers on tumblr#armistice#grande guerre#souvenir
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Fruit de l'olivier
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