#mi cléo
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#PRIMER ENCUENTRO / @vekemvns
“si me das media hora puedo hacerte el mejor retrato que te han hecho en la vida” presume con una sonrisa acercándose a la joven, observando sus facciones muy atentamente. “y gratis… los artistas no regalamos nuestro trabajo pero puedo hacer una excepción”
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# starter para @yungbeefz.
primera gira había resultado un éxito, lo suficiente como para asegurarse un puesto de trabajo en el cuerpo de baile permanente de la famosa artista, y asimismo para requerir necesarias vacaciones. y por supuesto que regresaría a casa, a disfrutar con su familia y reencontrarse con su hogar una vez más, pero no antes de una semana en soledad en las calles italianas. último show había sido en dicho país, y la idea de aprovechar sus bellísimos paisajes resultó demasiado tentadora; motivo por el cual alquiló una habitación de hotel en la toscana, con una increíble vista al mar y toda la tranquilidad necesaria. en su segundo día allí, recibe un llamado desde el lobby del hotel que resulta curioso, dicen que alguien desea verla pero no hablan de su nombre. mientras baja por las escaleras, lo único que desea es no encontrarse con algún representante o alguien que exija regresar a trabajar ( ni tampoco periodistas, de esos que la han contactado en numerosas oportunidades luego de el escándalo de alabaster y condena de émile ). lo que se encuentra, sin embargo, le arrebata una risita, genuina e incrédula. “estás completamente loco.” definitivamente no conocía a ninguna otra persona que se tomara tan enserio un desafío como el jodido dani covarrubias, que estaba ahora en su campo de visión, a pocos metros, en italia, en su hotel.
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la semana se ha ido en un desfile interminable de personas que, ellos piensan, tienen cosas importantes que decirle; revelaciones trascendentales de odio, si tuviera que designar una frase para describirlo seria esa. y es que nunca se trata de jack y ella, si no de émile y ella, lo cual lo hace una situación aún más desesperante. cleo no podría ser la excepción, concluye, mientras la observa con el rostro apoyado en la mano y el brazo, a su vez, descansando en la encimera. las cejas se arquean en su dirección, por lo demás, mantiene rostro inexpresivo. “te estas comportando como una tonta” .
𝖕𝖆𝖗𝖆 : @unapitcda .
#* dione quarshie / 𝖎𝖓𝖙𝖊𝖗𝖆𝖈𝖈𝖎𝖔𝖓𝖊𝖘 .#𝖊𝖙. cléo vekemans#por favor; que le pegue :$#en mi mente; están de vuelta en alabaster#en la sala común :$#pero como dije antes; i'm just a girl
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Automne 1926 - Champs-les-Sims
3/3
J'espère pouvoir t'annoncer une bonne nouvelle sous peu, et qui sais, peut-être que cela te fera plaisir car tu ne pense pas (comme Antoine), que j'ai en quelques sortes gâché ma vie. J'ai été surprise, car de tous mes proches, c'est sans doute lui qui l'a pris le plus mal. Papa a estimé que j'étais un peu jeune pour déjà me marier, mais il n'a pas insisté quand je lui ai dit que c'était mon souhait.
J'ai heureusement pu rencontrer mes petites soeurs ! Elles sont adorables, surtout Julienne, et elles se ressemblent autant que Cléo et moi. C'est vraiment étrange de les voir et de constater que mes propres enfants auront sensiblement le même âge.
Je voulais conclure en revenant sur ce que tu mentionnais à propos de vos problèmes financiers. Par expérience, je sais que ce n'est pas facile à admettre comme genre de problème. Je suis flattée que tu te confies à moi et je veux que tu saches qu'en cas de besoin, je peux y pourvoir. Je ne pense pas me vanter ou être impudente en affirmant que les affaires familiales vont assez bien pour entretenir le nouveau foyer de mes parents à Alexandrie, les chambres d'Antoine et Cléo à Paris, le pensionnat de Jean-François ou encore les besoins de Sélène (en tous cas jusqu'à son mariage). Sache que tu n'as qu'à demander.
Je te souhaites le meilleur,
Ta cousine, la nouvellement nommée Arsinoé Le Bris de Chastel
P.S. Vois-tu, je porte une particule désormais ! Je pense que si notre ancêtre commun en était témoin, il ne le croirait pas.
Transcription :
Arsinoé « Antoine. Je comprends tes inquiétudes. Mais tu n’étais pas là. Il fallait que je réagisse rapidement. »
Marc-Antoine « Pourquoi tu ne m’a pas appelé ? Nous aurions trouvé une solution tous les deux… Tu sais que je suis là, que tu peux me demander ce que tu veux et que j’aurais fait n’importe quoi... »
Arsinoé « Tu n’aurais rien pu faire. Il faut que tu acceptes que cette fois-ci, tu ne pouvais rien pour moi. Tu ne m’as ni trahie, ni laissée tomber. Sans compter que la situation aurais pu être pire. Cette solution est idéale, même si elle ne te convient pas. »
Marc-Antoine « C’est juste que voir Grand-Mère jubiler à ce point, ça m’a mis tellement en colère. »
Arsinoé « Mais pourquoi ? »
Marc-Antoine « Je… ça ne semblait pas bien. C’est ta vie, pas la sienne. »
Arsinoé « Antoine… Accepte qu’il n’y avait pas d’autre solution. Tu sais, nous avons discuté avec Ange. Longuement. De toute ce qui allait se passer, de ce que nous voulions tous les deux. Nous sommes satisfaits. »
Marc-Antoine « Alors… C’est vraiment ce que tu veux ? »
Arsinoé « Oui, vraiment. Mais de toute façon, ce serait un peu tard pour renoncer. J’aurais pu te le dire si tu m’avais parlé avant plutôt que de bouder comme un enfant jusqu’à la cérémonie. »
Marc-Antoine « Pardon... »
Marc-Antoine « Et maintenant ? »
Arsinoé « Maintenant ? Je vais retourner à mon travail jusqu’à ce que je sois trop fatiguée, puis je prendrai de longues semaines de repos dans le jardin d’hiver jusqu’à la naissance. Et après, je commencerai ma vie de mère. Et toi alors ? »
Marc-Antoine « Et bien… Je vais retourner à Paris terminer l’école. Puis je reviendrai ici le plus tôt possible. Pour Aurore bien sur, mais aussi parce que Kleber et Raoul veulent créer une liste communiste pour la mairie et que je pense saisir ma chance. Avec mes connaissances à Paris, je vais gagner une vraie légitimité. »
Arsinoé « Avec un tel programme, tu seras député avant trente ans. »
Marc-Antoine « N’exagère rien ! Mais je pense qu’il faut faire une différence, se battre pour ses convictions. Et t’épauler bien sur. Il ne sera jamais dit que je laisse tomber ma grand-sœur, jamais ! C’est ce que Grand-Père Maximilien a toujours fait, veiller sur sa famille, et je vais prendre le relai. »
Arsinoé « Alors c’est formidable ! Tous les enfants Le Bris vont suivre leur rêve. Oh, ne me regardes pas comme ça, je m’incluais dans le lot ! »
#lebris#lebrisgens5#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#eugénie le bris#Arsinoé Le Bris#Lucien Le Bris#Marc-Antoine Le Bris#Aurore Laroche#Constantin Le Bris#Julienne Le Bris#Jeanne Marie Le Bris#Cléopâtre Le Bris#Sélène Le Bris#Jean-François Le Bris#Ange de Chastel#Maximilien Le Bris#Raoul Musclet#Kleber Musclet
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Like a Tattoo sneak peak!
“Well,” She sighed. “First things first. We need to have a talk about this.”
Talk could come later. His rut was still burning and pulling him towards licking her from head to toe.
“Don’t look at me like that.” She frowned at the rumbling in his chest and dark look.
Carlos sighed. She was right. “¿Hablar de que?” (Talk about what?)
“¿De que mas?” She lifted a brow. “Si vamos a completar el lazo, necesitamos hablar de nuestro futuro.” (Of what else? If we’re going to complete the bond, we need to talk about our future.)
“Lo que tu quieras.” If she wanted one child or a hundred. If she wanted to get married tomorrow or in ten years. (What ever you want.)
“No soy ama de casa. Trabaje demasiado para quedarme asi.” (I’m not going to be a housewife. I worked so much to end up like that)
“Mi madre–” Annoyance rose up within him, but she had that stubborn look to her eye that made him rethink his argument. “Por supuesto.” (My mother– Of course.)
“Quiero hijos pero en el futuro. Estoy muy joven para eso ahorita.” (I want children in the future. I’m much too young for that right now.)
A couple of years? He could do that. “Cuando quieras.” (Whenever you want.)
“Podemos hablar de casarnos y vivir juntos despues pero–” She took in a deep breath like the next words she was going to say might shock him. “ Despues de nuestro celo– Quiero tomar nuestra relacion lenta.” (We could talk about getting married and living together afterwards but– After our heat/rut– I want to take our relationship slow.)
It stopped his heart. Slow. He could be patient but he didn’t think he could live if they weren’t touching each other for the majority of their shared time together. “¿Que tan lento?” Starting from scratch. (How slow?)
She shrugged like she didn’t just saw the single most devastating thing in the world. “No se– Solo quiero salir y conocerte mejor.” (I don’t know– I just want to go out and get to know you better.)
“¿De nuevo?” (From the beginning?)
“No.” She looked as troubled as he felt. Huffing like she couldn’t express her thoughts the way she wanted to. Her feelings.
He felt bad about making her nervous in front of him.
So he held her close. Allowing her sweet caramel scent to soothe him into a calmer state. Cradling her head so he could look into those warm brown eyes.
“Cléo.”
“Carlos.” She imitated his tone.
“Lo que quieras. Si te–” He didn’t want to put it that way. “Yo me casaria manana si quisieras. Si quieres tomarlo lento, tambien.” (What ever you want. If you– I would get married tomorrow if you wanted. If you want to take it slow, too.)
She gave him a watery grateful smile in response.
“Pero te advierto que te voy a estar pidiendo que te cases conmigo cada dia hasta que digas que si.” He sounded like he was joking and she giggled sweetly at the sentiment, but she didn’t understand that he was very serious. (But, i’ll warn you that i’ll be asking you to marry me every single day until you say yes.)
Saying that he wanted to marry her outloud. So close to completing their bond. With her body in his arms.
He was getting upset with himself on how he almost managed to ruin the chance for himself. “Si vamos a completar el lazo ahora– y espero que si.” (If we’re going to complete the bond right now– and I hope that we do.)
Her head moved up and down between his hands.
“Todo va despues.” (Everything can come after.)
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Raphaël est de retour chez Sandrine depuis lundi et nous avons vite repris les bonnes habitudes. Il était très content de retourner au marché et au parc ce matin, même sans les copains et les copines.
Et voilà les vacances sont terminées pour certains et certaines, pour d'autres elles continuent.
Surtout n'oubliez pas de copier les photos de vos enfants en temps et en heure car à chaque départ les photos sont effacées pour garder le site à jour et dans les meilleures conditions et le respect des contrats.
Donc le site sera mis à jour début septembre, car Cléo, Emma et Lucie rentrent à l'école.
Bonne fin de vacances à toutes et tous.
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Cléo Sénia dans le "Music-Hall Colette" mis en scène par Léna Bréban - librement inspiré de la vie tumultueuse de Colette (1873-1954) - au Théâtre Tristan Bernard, Paris, avril 2024.
#spectacles#style#broderie#inspirations bijoux#enfilage#plumes#eventail#Colette#Senia#Breban#TheatreTristanBernard
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* @vekemvns envió : # HABITACIÓN para un starter situado en la habitación de mi personaje.
“ ¡pasa! ” grita al sentir los golpes en su puerta, asumiendo que se trataba de cléo, que era la visitante más frecuente de esta misma. “ no me pienso levantar de esta cama. ” anuncia, con cierto dramatismo. “ la cama y yo ahora somos una. ”
#* &⠀◞ ⠀𝒄𝒉𝒊𝒏𝒆𝒔𝒆 𝒔𝒂𝒕𝒆𝒍𝒍𝒊𝒕𝒆 › ⠀ interacción.#* &⠀◞ ⠀𝒄𝒉𝒊𝒏𝒆𝒔𝒆 𝒔𝒂𝒕𝒆𝒍𝒍𝒊𝒕𝒆 › ⠀ con cléo.#vekemvns#hola tqm gracias por enviar :$
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vekemvns:
pregunta que brota de labios ajenos provoca que incisivos se presionen apenas sobre propio inferior, gesto es de sutil nerviosismo. “claro que no, koen.” es honesta, porque en verdad lo siente así. no está molesta por elección contraria, no puede negar que comprende motivos por los cuales escogería compañías femenina en tal evento. bien es cierto que no se siente capaz de negar que le hubiese gustado recibir invitación, más después de alegar lo mucho que ansiaba verla y todo el contacto que habían tenido durante las vacaciones. eso sí, tampoco lo admitiría. “aún así podemos bailar, ¿verdad?” no contesta, no le dice que le hubiese gustado, porque la única verdad es que él no quiso. lo entiende, por supuesto, nunca podría enojarse por algo así, no es ese tipo de persona. extiende su mano en dirección a masculino, en espera de que acepte o no su propuesta.
facciones se suavizan una vez que recibe respuesta sobre primera preocupación, pero de todas formas no puede sacudir la sensación de que no es completamente cierto. “ claro que sí. ” acepta propuesta con facilidad, recibiendo su mano y dirigiéndose a la pista de baile. agradece que la melodía que esté sonando en ese momento sea una suave, porque les permite la oportunidad de dialogar sobre lo que parecía ser un problema entre ambos. lleva una de sus manos a descansar sobre su hombro mientras que la otra se dirige a su cintura, comenzando a menearse al ritmo de la música. “ cléo… ¿quieres hablarlo? ” pregunta, con genuino interés. si de verdad no le molestaba, entonces podían dejarlo hasta ahí, pero koen creía que lo mínimo que le debía era honestidad sobre propios enredos sentimentales.
#* &⠀◞ ⠀𝒔𝒄𝒓𝒂𝒘𝒏𝒚 › ⠀ interacción.#* &⠀◞ ⠀𝒔𝒄𝒓𝒂𝒘𝒏𝒚 › ⠀ con cléo.#vekemvns#bueno es vdd :/#pero yo soy fiel a mi objeto de estudio#y todos los hombres son iguales
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FUTURO — @gomezst sent : starter donde gómez le ofrece una bebida a cléo.
“no puedo creer lo que ven mis ojos, st. lucas.” expresa con un deje de diversión al momento en que se apodera de vaso que contrario extiende, para luego acercarse hacia él y rodearlo en un corto pero sentido abrazo. cuando se aparta, mirada se concentra en facciones que reconocería en cualquier lado. “es una locura estar de vuelta, ¿no crees?”
#gomezst#* 𝐟𝐫𝐮𝐭𝐢𝐥𝐥𝐚 𝐢𝐧𝐦𝐚𝐝𝐮𝐫𝐚 ❪ diálogos ❫.#* 𝐟𝐫𝐮𝐭𝐢𝐥𝐥𝐚 𝐢𝐧𝐦𝐚𝐝𝐮𝐫𝐚 ❪ au: un viaje en el tiempo ❫.#peppy#gritando estoy peppy
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# intervención : un amigo de oro / @lacupulaint
* 📁 DIONE QUARSHIE . primera sesión .
aquella sala es un mundo estéril, sacado de un catálogo de oficina minimalista, dione piensa, en lo que mirada se pierde en los cuadros insubstanciales que adornan las parades, situación le recuerda a aquel verano que hizo la pasantía en el departamento de recursos humanos, una habitación casi idéntica, su pregunta favorita para los jóvenes inexpertos, temblorosos, a quienes les tocaba la entrevista con ella era; ‘¿si tuvieras que describir el color amarillo a una persona nunca lo ha visto, cómo lo harías?’, y los veía boquear, sumergidos en la incertidumbre, asustados, los veía boquear pensando que nunca sería como ellos, nunca siente nervios, nunca se enfada, nunca está a la defensiva, nunca le tirita el corazón.
así que cuando linda wallace aparece, cuando le sonríe, cuando la llama señorita quarshie, evidencia que sabe quién es, no solo en alabaster, sino el mundo, y le corresponde el gesto, cree, dione está convencida, que los papeles deberían estar invertidos, ella misma debería ser ese personaje que juzga las acciones de los demás, que los califica, quien promete ser una confidente, con la malicia de por medio, la ironía recayendo en que, aun así, está dispuesta jugar, por supuesto. se pregunta, durante un instante, si alguno de sus compañeros verá en la situación lo que ella encuentra, oportunidad perfecta, que no entiende los desagrados y aflicciones, que siempre que mira a alguien como linda wallace tiene el mismo reconocimiento, a fin de cuentas, son sus empleados, fichas en el tablero y están colocados a su disposición.
¿estas bien si te llamo dione?
pregunta predecible, aunque también profética, terapia durante la semana de que volvió a casa, un poco más en las vacaciones de acción de gracias y una pizca más antes de navidad, han sido suficiente para desentrañar el patrón, cuestión acerca del nombre es la primera oportunidad para probar los limites de desacuerdo y compromiso. “por supuesto” responde, entonces, sin prisas, sonrisa gentil aun presente, lo que sea que te haga sentir más cómoda, quisiera agregar, con cierta perversidad, pero en su lugar desvía la mirada, luciendo tímida en la espera de la siguiente pregunta, que llega casi de inmediato.
confirmaste tu estancia para este curso un poco con el tiempo en contra, dione, sé que has expresado no querer volver para este semestre, ¿qué te ha hecho cambiar de opinión?
le invade una emoción que no sabe identificar, aunque no cree que el hecho este oculto entre la nebulosa, es fascinante, extremadamente ridículo, que decida comenzar con este tema, como si rebuscara alguna clase de culpa, lo asesinos siempre vuelve a la escena del crimen, es lo que dicen, se pregunta si será eso, rumor le sigue rondando en la cabeza, cada día estoy más seguro que dione mató a jack. “sentí que me lo debía a mi misma” fragmento de la verdad.
también era frankie que le pareció desconsoladoramente triste durante los mensajes que intercambiaron en navidad, que invito a cléo a baile porque le pareció que las dos necesitaba un escape, que dani le dijo que quería que se siguieran viendo, que geonwu le pidió que se quedara, que recuerda santhiago con expresión confusa en el techo de la comisaria, que no sabe qué haría si no vuelve a ver a mozzie, pero nada de eso le parece relevante la historia que quiere contar esa tarde durante se sesión con la consejera, así que retrae.
“mis padres siempre dicen, un quarshie siempre debe terminar lo que inicia” y sabe que frase capta su interés, los quarshies tan emblemáticos en la cultura americana, tan herméticos entre ellos, que nadie sabe más de las frases bien intencionadas de las revistas y los periódicos, portadas en el forbes un par de veces al año, la mansión de estilo griego en el architectural digest, que sus padres gastan millones para que los secretos menos agradables no salgan a la luz, y a las personas les encanta, los pequeños atisbos a su vida privada, esa pequeña esfera de perfección de la ninguno de ellos ni siquiera alcanzaría a comprender.
tu familia, han sido empresarios importantes desde hace generaciones, ¿no es verdad?, imagino que debes sentir presión por seguir con la tradición.
dione sonríe, que la consejera estaba siguiendo el camino de migajas, sonríe porque ha percibido el en tonillo de preocupación que todos los profesionistas de su campo se esfuerzan en poner, así que es el momento de dejarle entender, consciente de que guarda curiosidad, ¿quién es dione quarshie?, le preguntaría si se tratara de una persona menos preparada, siente el revoloteo en el pecho al encontrarse con alguien tan dispuesto a atender la historia que ha creado. “mis padres, sus padres antes de ellos, y sus abuelos, dieron todo para lleguemos a donde estamos” historia verídica, sueño americano, consultable en cualquier publicación que se encargara de hablar de ellos en las últimas décadas.
“es mi responsabilidad, ¿no le parece?, corresponder a lo que se me ha concedido” que también se le da de maravillas, no es de esas personas que resienten el pasado familiar, es una chica feliz, sensata, competente y encantadora, como la ha descrito el terapeuta anterior, lo que siempre ha sido y siempre podría ser, su lamentable comportamiento errático de los últimos meces era un desliz provocado por un lapsus estúpido, espectáculo de lo más atroz, decide en lo que se toma un segundo para continuar “son mi familia, son lo que soy, aun cuando se torna un poco” titubea “fatigoso” y piensa que a linda wallace debe encantarle, que luzca tan dispuesta a poner el corazón sobre el escritorio para ella tome notas en el papel amarillo a líneas, como hace en ese instante.
¿así es como te sientes en este momento?, ¿cansada?, el semestre pasado te tomaste una semana fuera de clases y este semestre hiciste un cambio de especialidad, ¿es por lo mismo?, ¿podrías nombrar otras emociones recurrentes?
palabras apuradas que le dejan entrever el interés, un pez que ha mordido la carnada, y que bien, considera, que esta apunto de volver su triste trabajo de consejera de niños ricos y perturbados en algo mucho más interesante “lo del cambio de especialidad” comienza, recordando inevitablemente a mozzie, con ella echo con cándido balbuceo, frases empapadas de sinceridad, que de nada sirve ese día, que lo que es cierto y falso esta dictado por la necesidad, la realidad es lo que sea que dione decida, reconociendo a medias la cuestión de las emociones, continua “en ocasiones, me entra la tristeza por todas las personas en las que no me convertí” algo poético, sopone, algo para que linda recordara luego de la sesión, que es como tirarte un hueso a un can “quería intentar algo diferente” que de todas formas tiene el titulo de negocios de standford, por si las cosas fallan, pero no va a fallar. “¿usted piensa que hice mal?” rostro cristalino, distorsionado por la preocupación ficticia.
la mayor se toma unos instante para responder, la observa, mirada amable, pero con un deje distante, supone que está barajeando las respuestas, a ella misma le pase en ocasiones, tal vez es una pregunta inesperada, aunque funge un propósito, claro, dione es una chica hermosa que sufre con una delicadeza noble, la doncella de la torre, criatura inofensiva, asustada de lastimar a alguien, de equivocarse, definitivamente no la clase de persona que se pone violenta cuando erra en un juego que no tiene un premio real, definitivamente no la clase de persona que le expone a un compañero durante la gala de invierno que debería asesinarlo. así que cuando la respuesta llega en forma de:
no me parece que hayas hecho algo malo, es nuestro primer encuentro, pero puedo percibir que te preocupa el bienestar de los demás, también debes cuidar de ti misma, eso nunca va a estar mal.
entonces asiente, agradecimiento silencioso, pareciendo abochornada en el consuelo, respiración ligera mientras la vergüenza se queda atoradas en las pestañas. “volví a casa luego de lo que sucedió lo de la tormenta” explica, bajo la mirada paciente de la mujer “les tengo miedo… a las tormentas, quiero decir” confiesa, porque prefiere ser ella misma la que trazar el camino de las conjeturas, y así tiene la oportunidad que salga el tópico que sabe, esta segura, es de lo realmente desean hablar, le da la oportunidad de no ahondar en su vida “y la muerte de jean aun estaba muy presente” con eso, la conversación ha de volcarse en las tragedias, con eso empieza el verdadero juego, dione observa a linda removerse en el asiento, para apuntar mejor, supone, para estar más cómoda al ponerte atención, ya entonces, cuando apareció en la habitación, le ha parecido una mala actriz representando un papel, de pronto, le resulta más evidente.
¿qué piensas de ello? ¿de los acontecimientos ocurridos en alabaster?
jack, jean y anastasia, piensa en ellos, el primero nunca le pareció una persona real, estaba en el mismo equipo, los infames crimson, nunca fueron cercanos, algo similar a lo de émile, quizá, que se han reconocido como similares, sin embargo, en ese entonces le preocupaba más andar en malas compañías, antes de comprobar que aun con eso cae bien parada, no se le acercaría de la misma forma que rowland nunca intentaría nada con ella, cada uno feliz en sus pequeños reinados, hasta aquel fatídico día en el laberinto, por supuesto, dione recuerda, considerar que quizá ella era la siguiente, los rumores que también hablaban de ello, que tuvo pánico, pero jack era lo ultimo que ocupaba su mente, a pesar de las lágrimas edulcoradas del día del memorial, del conmovedor pésame escrito en letras no tan prolijas para que sintiera lo abrumada que estaba y el arreglo floral que ha conseguido para absolver los deslices.
luego venia jean, lo que recuerda del día de su muerte es discutir con santhiago por lo sucedido con el comodín, que al inicio le había dicho que se quedaría en caso de que necesiten una cuartada, mirando hacia atrás, le parece de lo más curioso, que, en efecto, para esa noche sí les hiciera falta una explicación de lo que había hecho las ultimas horas. recuerda los momentos siguientes, frank le dijo que al menos así nadie recordaría lo de la descalificación, terminó siendo cierto, que le ha dicho a dani que a lo mejor debió ser ella, que le tenía miedo a la que sigue, le respondió de todas formas se va a morir, que también es cierto, y mozzie, cuando discutieron, que le ha dicho que ella ama que la amen, que le dijo la verdad, que todo ha sido cierto, considera, jean tampoco le parece una persona real, sino un conducto, porque cuando piensa en ella nunca es realmente acerca de ella.
a quien sí conoció fue a anastasia, que le invito un té el día de la comisaria aunque nunca fueron amigas, que ninguna tenía algo agradable que decir el día que se encontraron en la feria, a quien sí conoce es a frankie, que le pareció temblorosa, como una hoja olvidada a su merced al viento durante la gala, a quién conoce es a agatha, que no son cercanas, pero siempre se la antojo algo ensimismada en la nostalgia y ahora un poco más, por supuesto, a quien conoce es a mozzie, que daría cualquier cosa por borrar ese sentimiento desconsolador que a veces percibe en su semblante. anastasia fue una persona real ahora recudida a un recuerdo triste, atormentando las vidas de las personas que la quieren.
“no debió suceder” que les han robado a todos de algo, la oportunidad de salir a una fiesta sin considerar tal vez, que esa noche les toque a ellos, desaparecer para ser hallados horas después, mirada vacía y cuerpo que perdió la calidez, ella que cada vez se vuelve más insensible al pánico que le provocó alguna vez, piensa que la muerte no esta tan mal mientras no sufra, piensa que sus padres recibirían hermosos arreglos florares en la puerta y gozaría de un velo de trágico glamour por el resto de sus vidas, ella sería un ángel, un mártir, la chica a la que le arrebataron el futuro brillante, por siempre incrustada en la historia en lo que decidían en donde poner un monumento con su rostro tallado en oro, no obstante, como si fuera un comando, unos lagrimones le caen por las mejillas, wallace se encomienda a acercarle una caja de pañuelos de papel, momento satisfactorio para ambas, mientras acepta el ofrecimiento con una floritura elegante “me preocupa…” comienza, palabras perdidas en la falta de aliento, dione echa una mirada a la puerta del cubículo, incomodidad implícita, como quien desea escapar, suave negación, linda wallace se inclina en su dirección, ahora con aire secretista.
¿qué te preocupa en este momento, dione?
apenas palabras alcanzan los tímpanos, imita el acercamiento, seriedad que es requerida por lo que esta apunto de decir, la conclusión de los motivos que la llevaron a ser tan cooperativa “me preocupa que aquí en alabaster hay personas-” pausa deliberada, como si verdad dudara en sus acciones, se pregunta en qué sesión podría ponerse a trinar los nombres, no es que quiera incriminar a alguien en un asesinato, pero ¿por qué no?, y son asesinatos, porque luego de lo que mozzie le confió en la gala no cabe duda, hecho evidente cuando sucedió lo de jean, y ahora confirma. linda wallace ha de tener sus sospechas, su propias fuentes, razón de establecer un vínculo del que se pueda beneficiar, que a la consejera no le parezca extraño si algún día se aparece por ahí, pretendiendo que en serio necesita una charla con las segundas intenciones bien ocultas en una sonrisa apologética, es que no puede seguir con su vida si no entiende lo que sucesos que azotan en lugar “tengo la horrible impresión de que aquí en alabaster hay personas que no dudarían en hacerle daño a otros, tengo la impresión de que- no se detendrían hasta que no quede nada”. dione observa a wallace, ojos calvados los unos en los otros, un silencio para procesar lo que se ha dicho, a dione la parece dudar, como deseando seguir en indagaciones al respecto, pero temerosas de presionar demasiado, a lo mejor recordando que hay otras cuestiones a resolver en los escasos minutos que compartirán juntas.
¿le has hablado a alguien más acerca de esto? ¿sientes que puede confiar en los demás, que tienes algún apoyo?
“confiar es complicado cuando no sabes quienes son tus verdaderos amigos” cierta honestidad en las palabras, dione reconoce que ha confiado en santhiago, que ha confiado en dani, que nunca debió suceder, error suyo, que querer a las personas te vuelve un ser imperfecto, inestable, considera que debe detenerse, que extraña que la chica que era previamente, nunca fue feliz, pero nunca se sintió tan miserable, en realidad, concluye, confiar en los demás le interesa nada, lo que sí quiere lograr es que confíen en ella, que resulta un estado más provechoso, ella que es consciente que conocer los secretos de otros te confiere poder, y el poder siempre sería poder, signo y herramienta de un vencedor “supongo que me es más práctico y lógico lidiar con las cosas por mi cuenta, supongo que no estoy acostumbrada a confiar” entonces desvía la mirada al regazo, sabe que esta haciendo un trabajo porque se sonroja sin querer, como quien reconoce que esta en aprietos y necesita ayuda, un marinero perdido en altamar, linda wallace no pierde tiempo en agregar, muy complaciente:
puedes confiar en mí, dione.
la consejera hace amago de querer tocarle el hombro por en cima del escritorio, gesto reconfortador, dione se pregunta si lo habrá intentado con alguien más, se pregunta si ese ultimo recordatorio la convierte en un ser especial, si ha sacado una calificación extraordinaria en su primer día como sujeto de estudio en la consejería, al tiempo que el segundo y último par de lágrimas le escurren por las mejillas, expresión regia que le aparece en el rostro segundos después, reflejando un sentimiento sincero, inocente, como queriendo decir; por supuesto, consejera wallace, por supuesto que confío en usted, aquí no hay nada que ocultar, no hay ningún monstruo aquí, eso es lo que dice su sonrisa, aun cuando el brillo en sus ojos, seguramente, indique lo contrario.
#* forever 𝒕𝒉𝒂𝒕 𝘨𝘪𝘳𝘭 : memorias .#tw mencion de siucidio#tw en general#ayura; no sé quien le esta haciendo g*slight a quien#no sé quien esta m*nipulando a quién; jaja#entrando a su gone girl era#saben que estaba comprometida con esto porque volví a leer algunos convos#volví y leí algunos post de las acts y yo no sé leer :$#termina de hacer todo esto y se va a tomar una malteada como cualquier otro jueves; la demencia
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¿Con quiénes harían un trío?
* # @𝗰𝗮𝘀𝗲𝘆𝗰𝗮𝗽𝗮𝗹𝗱𝗶 𝗵𝗮 𝗿𝗲𝘀𝗽𝗼𝗻𝗱𝗶𝗱𝗼 :
ASUMIENDO que dejaría que otra tocara lo que es mío 🤨🤨🤨🤨🤨🤨........... con fiona porque fue la primera en pedírmelo, con cléo..... si koen no nos mata en el juego previo, o con electra porque es lindísima. con rully no porque me da miedo enamorarme, y con ningún hombre porque para decepcionarme ya está mi marido 🙏 ( es broma lindito 🫣 )
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# starter para @hipnagoticos based on this : sender brings food over to receiver's house.
“sabes que mis madres ya te adoran, ¿verdad? no tienes que seguir haciendo estas cosas…” entona en cántico entretenido una vez que cierra la puerta detrás de él, habiendo ingresado a su hogar. cléo es más que consciente de que intenciones ajenas no son las de hacer buena letra con sus madres, ni con ella, sino que realmente dichos gestos nacen de su interior, aquel que siempre se ocupa y preocupa por ella. lo ayuda a cargar alguna que otra cosa en camino hacia la cocina, confesándose una vez allí. “aunque debo admitir que estoy muriendo de hambre.” y como forma de agradecer sin palabras, se acerca hacia él, dejando un suave beso sobre su mejilla, deteniéndose en íntimo gesto durante unos largos segundos. “y ellas no están, así que podemos cenar en el sofá.” propone, con cierta picardía.
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las palmas de las manos le hormiguean, ansiosas por tocarla, es la proximidad entre ambos que le lleva a pensar en cosas que seguramente estén de más en ese momento, y como de costumbre, no puede evitarlo. su propio cuerpo que se inclina hacia el de ella. las yemas de sus dedos rozan las cienes, tacto delicado, en lo que trata de acomodar los mechones rubios, y luego se anclan en su mentón. marrones que se dedican a estudiar el rostro femenino, tratando desesperadamente de tener un indicio a la siguiente pregunta. “¿te encuentras bien, cléo?” apenas un susurro, acercando los labios a su oído, sin poder evitar que la preocupación entinte las palabras.
𝖕𝖆𝖗𝖆 : @unapitcda .
#* gómez st lucas / 𝖎𝖓𝖙𝖊𝖗𝖆𝖈𝖈𝖎𝖔𝖓𝖊𝖘 .#𝖊𝖙. cléo vekemans#buenas tardes & compermiso#en mi mente esto es antes que volvieran del viaje; pero#literalmente no tengo idea de la linea del tiempo :$
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Automne 1924 - Champs-les-Sims
3/3
J'aurai du également vous le dire au début de ma lettre, mais il se trouve que je vais sans doute organiser mon mariage sous peu. Oui, je sais bien que je suis encore très jeunes, mais je suis aussi très amoureuse de Jean. Et si cela peut me faire échapper à un mariage arrangé par ma grand-mère (oui c'est d'un autre temps, mais elle en est tout à fait capable, d'ailleurs, elle est elle-même d'un autre temps), je ne vois pas où serait le mal. Après tout, comme me l'a répété mon père lors de mon anniversaire, c'est à présent à mon tour de produire le prochain maillon de la chaîne : un héritier. Grand-Mère lui a drôlement bien appris sa leçon. Serais-je la même un jour ? A sermonner mon fils ou ma fille pour qu'il ait des enfants au plus vite ? Je ne l'espère pas, d'ici là je prie pour que les temps aient changé.
J'attends avec impatience de vos nouvelles.
Noé
Transcription :
Jean « Tu es magnifique ! Cette coupe te va bien mieux qu’à Cléo ! »
Arsinoé « Tu trouves ? Quand j’ai vu les mèches par terre, j’ai presque été prise de vertiges. J’ai regretté, mais trop tard. »
Jean « Ne regrette pas, c’est inutile. Ton visage est vraiment mis en valeur. »
Arsinoé « Je n’en peux plus d’attendre la fin de ces rencontres clandestines dans l’obscurité. »
Jean « Et sous la pluie pour couronner le tout ! »
Arsinoé « Pour te voir, j’affronterai les pires tempêtes ! Qui se préoccupe de quelques gouttes franchement ? »
Jean « Moi. Tes robes toutes neuves vont être trempées, et tu risques de tomber malade de plus. Et puis je vois d’ici que tu frissonnes. »
Arsinoé « Alors tiens moi chaud ! »
Arsinoé « Je ne comprends pas pourquoi tu as quitté la Butte au Chêne. On ne voit bien moins qu’avant, et la paie était pourtant meilleure. »
Jean « J’avoue que fréquenter la patronne est plutôt avantageux pour ma fiche de paie, mais ça me mettait trop mal à l’aise vis-à-vis des gars. Et puis, je n’ai pas envie de bénéficier d’un traitement de faveur, je ne le mérite vraiment pas. Non, crois moi. C’est mieux de travailler à l’épicerie. »
Arsinoé « Kleber est un ami de mon frère, tu le sais ? »
Jean « Vous avez des amis partout Noé ! En tous cas, il me fait trimer comme un galérien, mon argent est bien mérité. »
Arsinoé « Et de toute façon, quand nous serons mariés, tu travailleras avec moi à diriger l’entreprise. »
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📚 Pff, me pegó el bloqueo lector de mitad de año, asi que solo terminé una novela cortita, «A Magical Girl Retires», y la disfruté muchito.
📺 Además de estar sintonizando HotD y haber visto lo que se estrenó de la última temporada de Cobra Kai, vi la tercera de «The Bear», que no llegó al peak que fue su segunda, pero igual continúa siendo arte; coincido con todo mundo en que Napkins y Ice Chips fueron los mejores episodios. También vi la T2 de «A Kind of Spark», serie feel-good bien bonita basada en la novela homónima de Elle McNicoll; tras su primera temporada —estrenada el año pasado— no pensé que habría más, y pues yo felíz de volver a Addie Darrow y compañía.
🎬 «20th Century Women» llevaba mucho tiempo en mi watchlist y no decepcionó. Luego iniciaron los JJ.OO. y realmente dije ✨french cinema✨; lo que se tradujo, por supuesto, en aventarme dos de Céline Sciamma, además de «Cléo de 5 a 7» y «Amélie».
🎶 Anduve escuchando lo nuevo de las (G)I-DLE y también lo nuevo de mis queridos BASTILLE, y amo todo. Y otra canción que no solté fue "Homecoming" de Green Day —después de rato sin escucharla— y nobody likes you everyone left you they're all out without you ha-vin' fun!
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