Tumgik
#mais maintenant ça va aller
neiyuu · 4 months
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Pour la première fois je comprends vraiment le terme de "s'épanouir" dans un contexte de travail.
J'adore mon stage. Je veux bosser là bas. Je veux y aller tous les jours. Svp gardez moi plus longtemps, rajoutez moi des heures.
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idereahellyeah · 1 year
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Quand décidément 2023 est une année pour l'instant aléatoire, que j'ai enfin sorti la tête de l'eau et que je vais reprendre un rythme.
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jawnressources · 2 months
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Appliquer le dark mode à une bannière
Il est d'utilité commune désormais d'utiliser un dark mode sur nos forums afin de rendre l'accessibilité la plus complète possible au maximum d'utilisateurices. Cependant un souci se pose souvent; c'est celui de la bannière. Une fois installé dans le panneau d'administration, il est difficile de savoir comment faire en sorte qu'elle change lorsqu'on clique sur le bouton de dark mode. Les couleurs; c'est souvent très bien expliqué mais la bannière, je n'ai personnellement pas trouvé de tuto' explicatif de comment faire. C'est pour ça que nous sommes là aujourd'hui ! Avec quelques petites modifications de template et de rajout de CSS, nous allons apprendre à mettre en place une bannière en deux "couches" afin qu'elle change au click du dark mode.
Il va falloir tout d'abord comprendre comment nous allons procéder. Nous allons tout simplement supprimer la balise dans notre template principal qui correspond à la bannière et en "recréer" une toute nouvelle. Ça semble compliqué de premier abord, mais pas du tout !
Dans votre template "overall_header" (Panneau d'administration > Affichage > Template > Général), vous avez cette ligne là :
<a href="{U_INDEX}" id="logo"><img loading="lazy" src="{LOGO}" alt="{L_INDEX}"/></a>
Cette ligne correspond à la bannière que vous allez entrer dans votre panneau d'administration au niveau des images, et qui est cliquable en renvoyant à l'accueil. Donc si on la supprime, allez-vous me dire, comment avoir une bannière qui s'affiche correctement et qui est ensuite cliquable ? Et bien, on va tout simplement simuler cet effet avec deux couches; un peu comme les calques sur Photoshop. Le premier calque correspondra à notre bannière qui va changer au dark mode et la seconde couche sera une bannière "invisible" à la même taille que l'on va poser par dessus, et qui sera elle, cliquable. C'est donc en décortiquant cet effet pour le reproduire en deux étapes simples que l'on va pouvoir avoir une bannière qui change avec le dark mode.
Alors avant de continuer, il faut que vous ayez d'ores et déjà installé un dark mode (celui de @code-lab, EDISON, est très bien, très bien expliqué et très pratique !) afin d'avoir dans notre CSS le root correspondant au mode de base de notre forum et le "data:root", correspondant aux valeurs du dark mode.
Commençons donc par installer les deux couches de bannière. À la place de votre valeur supprimée qui correspond à la bannière de base de Forumactif, vous allez rajouter ceci à la place :
<div class="dark_bann"></div>                                    <div class="dark_bann_sup"><a href="/"><img src="https://2img.net/i.ibb.co/BTqHhnX/prdbirthday3.png"/></a></div>
Ici, vous pouvez voir que la première div est vide et que la seconde contient une bannière invisible. Votre affichage de forum après avoir enregistré le template sera tout vide en haut de la page d'accueil et c'est parfaitement normal ! On ne panique pas, et on va installer le CSS pour rendre tout ça un peu plus joli.
La première étape est d'aller créer une nouvelle valeur dans le root correspondant à l'image de la bannière de base que vous voulez afficher; comme celle que vous aviez installé dans votre panneau d'admin. Exemple :
:root {   --imgbann:url(VOTREURLD'IMAGEICI); }
Une fois ceci fait, vous allez copier coller cette même valeur dans le dark:root (qui correspond à ce que le dark mode va aller remplacer), mais en changeant l'URL par la bannière en dark mode. Exemple :
[data-color-scheme="dark"]:root {   --imgbann:url(VOTREURLDELABANNDARK); }
D'accord, c'est bien mignon mais rien ne change quand on clique sur le dark mode, oskour ! Pas de panique, c'est parfaitement normal. On vient simplement de configurer le changement d'image au click du bouton de dark mode. Maintenant, il va falloir appliquer cette même image par le CSS dans la bannière dont la div était vide. Et oui, elle servait à ça ! Retournez donc dans votre CSS, et rajouter ceci :
.dark_bann {   width: 800px;   height: 500px;   overflow: hidden;   background-image: var(--imgbann);   background-size: 100%;   background-position: 50% 50%; }
Ici, nous avons donné une largeur de 800px à notre bannière, une hauteur de 500; on a imprimé en image de fond notre bannière de base; on lui a appliqué une taille de 100% pour que ça prenne bien toute la place disponible et on l'a centré totalement. Et là, magie, notre bannière s'affiche bien et change au click du dark mode !
Cependant il reste un souci, notre bannière invisible cliquable apparaît en-dessous de notre "vraie" bannière qui elle n'est pas cliquable. Nous allons donc ajouter à notre CSS :
.dark_bann_sup {   overflow: hidden;   width: 1005px;   height: 500px;   margin-top: -500px; } .dark_bann_sup img {   width:100%; }
Ici, on a donné la même taille à la bannière invisible (vous pouvez essayer de lui mettre un background d'une couleur bien voyante comme le rouge pour bien la voir) et on l'a "remonté" pour qu'elle se superpose à notre vraie bannière. Et là, tout est parfait ! On peut bien la cliquer comme une bannière "normale", et la couche inférieure est notre bannière qui change au dark mode.
Voilà voilà, j'espère que ce tuto pourra aider qui que ça intéressera et que ça ne sera pas trop difficile à utiliser !
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empiredesimparte · 2 months
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⚜ Le Sacre de Napoléon V | N°17 | Francesim, Paris, 29 Thermidor An 230
After midnight, Louis and Charlotte returned to their flats and celebrated the coronation day in private. However, despite the celebrations, Charlotte could not stop thinking about her husband's departure. She would like him to stay with her for the next few months. To reassure her, Louis promises to consult his advisers once more.
Beginning ▬ Previous ▬ Next
⚜ Traduction française
Après minuit, le coupe impérial regagne ses appartements et célèbrent en privé la journée du couronnement. Cependant, Charlotte ne cesse de penser au départ de son époux, malgré ce jour de fête. Elle aimerait qu'il reste auprès d'elle les prochains mois. Pour la rassurer, Louis lui promet de consulter ses conseillers une nouvelle fois.
(ils s’embrassent)
(Charlotte) … Je n’oublierais jamais ce jour extraordinaire (Napoléon) C’était incroyable, n’est-ce pas ?
(Charlotte) … Merci (Napoléon) Pour quoi ?
(Charlotte) Pour tout, tu as tellement fait pour nous (Napoléon) Tu vas bien ?
(Charlotte) Je n’arrive pas à me faire à l’idée que tu partes bientôt (Napoléon) Chérie…
(Charlotte) Non. Promets-moi que nous trouverons toujours du temps pour nous (Napoléon) Charlotte…
(Napoléon) Bien sûr. Je te le promets. Notre famille sera toujours ma priorité
(Napoléon) Rien n'est plus important que toi et notre enfant
(Charlotte) Alors, prouve-le (Napoléon) Je…
(Napoléon) Je dois aller à ma formation, c’est mon rêve depuis toujours. Et cela fait partie de mon devoir, je dois servir à l’armée. Nos enfants le devront aussi
(Napoléon) Ne rends pas le départ plus difficile, chaton (Charlotte) Louis, c’est toi qui compliques tout
(Charlotte) Je devrais avoir mon époux auprès de moi, et à la place, je vais devoir gérer le bébé mais aussi le pays entier. Ton absence sera mal vue, je ne parle pas de moi mais de l’opinion publique
(Napoléon) Mes conseillers m’ont dit le contraire (Charlotte) Ils ne savent pas que l’on attend un enfant
(Napoléon) Tu as réponse à tout (Charlotte) Et toi, tu me fatigues (Napoléon) Attends !
(Napoléon) Il vaut mieux que je parte maintenant plutôt que les premières années du bébé, tu ne crois pas ? Si je repousse éternellement l’occasion, je ne le ferai jamais et tu le sais
(Napoléon) A mon retour, je vous couvrirai de cadeaux et d’histoires palpitantes. Cette expérience nous servira tous les deux toute notre vie
(Charlotte) Je ne peux pas approuver, c’est une mauvaise idée Louis. Je suis honnête avec toi, que ça te plaise ou non
(Napoléon) Ecoute, je vais m’entretenir à nouveau avec mes conseillers et j’écouterai leur avis (Charlotte) C’est le plus sage
(Napoléon) Il faut bien leur annoncer la nouvelle de toute façon (Charlotte) Oui. On a assez attendu
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mizaryrottmnt · 2 months
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"My Dear Puppet"
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FR: Un bon début
(you can use thé internet translation, I simplified my language)
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Unity laisse échapper un soupire long alors qu'elle est seule dans une petite pièce qui ressemble a une chambre a coucher. Un matelas au sol plutôt propre avec des draps couleur saumon aussi propre. une petite boite en bois qui fait office de table de lit avec une vieille petite lampe de chevet. Étonnant quand on sait où elle se trouve. Dans le repaire de la famille Hamato, les égouts plus précisément.
On lui a préparé spécialement cette petite couche pour qu'elle puisse dormir correctement et cela se voit. C'est plus propre que ce qu'elle avait pu imaginer avant d'y être. La jeune femme fait quelques pas en avant, regarde autour d'elle. Il y a des tags aux murs, mais pas ceux grossiers trouvés dans les rues que les tagueurs utilisés pour marquer leur présence contre un mur, mais des dessins vraiment artistiques. De beaux motifs qui semblent exprimer plus qu'une simple signature. Ça change encore de l'idée qu'elle se faisait d'un mur d'égouts. Puis l'odeur, il n'y en a pas. Pas d'odeur de fosse septique qui remonte a ses narines, pas d'odeur de putréfaction quelconque ou d'eau croupie là depuis des mois. L'air est bon.
- C'est propre.
Surprenant.
Alors qu'elle zone, sa mémoire retrace la journée qu'elle vient de vivre.
Se faire remarquer par le fils au bandeau bleu Hamato était facile, elle avait le panel parfait pour attirer son attention. Une Yokai licorne. Il était donc simple d'amorcer un premier contact. Mais elle n'avait pas pensé qu'il n'allait pas juste aller lui parler mais complètement la kidnapper en lui laissant a peine le temps de dire "bonjour". Et peu importe si elle avait des protestations, la tortue avait déjà décider de la ramener a peine avait-elle posé les yeux sur lui. En y repensant, si elle n'avait pas accepté de rester pour que la famille fasse pardonner le geste de leur frère, on aurait pu croire a une prise d'otage. Mais même si elle était devenue une otage, le but était d'arriver ici, et elle avait réussi. Il faut juste qu'elle retienne ce nom d'emprunt qu'elle s'est donné : "Unity". Étonnant qu'ils n'aient pas réagi à un nom aussi singulier.
Drrrring drrrring!
Dans sa pose, son téléphone sonne. Un petit appareil à clapet violet lavande avec un porte-clé en forme d'atome. Vieux, usé et quelque peu rayé.
-Oui... Oui je suis bien arrivée. Bien sûr.
-Je suis impressionnée de te voir réussir aussi facilement alors que mes autres petits laqués n'avaient même pas pu suivre l'un d'eux.
-Que voulez-vous Madame, je... suis juste meilleure qu'eux. Répond Unity avec un ton sans joie ni même fierté.
-Ah ah ah! Bien sûr! C'est certain maintenant que je te vois en action. je ne regrette plus du tout mon choix. Peut être l'un des plus judicieux depuis longtemps. Je compte beaucoup sur toi à présent~
Malgré les mots doux et mielleux, la Yokai a une petite grimace devant cette fausse confiance que lui donne la personne à l'autre bout du fil.
-Bien sur. Je vous les amènerais sur un plateau d'argent, soyez en sûr. Juste le temps de gagner leur confiance et de les sédater.
-Efficace. Mais, il semblerait que je n'ai pas pu suivre ton signal une fois passée une certaine zone, large. As-tu une explication ?
Unity fait silence, se remémore la journée, les détails. Les quelques objets qu'il l'entouraient sur sa route avant de passer par ce portail bleu.
-Je pense, que le traceur a été brouillé par un boîte noire.
-Oh! Ce doit être le fait de cette jeune tortue violette.
-Donatello Hamato?
-Oui c'est bien lui. Gagne sa confiance et trouve le moyen de désactiver son brouilleur. C'est ta mission première.
Gagner la confiance de quelqu'un. Quelque chose qui la fait déglutir d'anticipation. Est-ce qu'elle va y arriver? Est-ce possible ? Même s'ils ont l'air ouverts dans cette famille et... Généreux, celui au bandeau violet lui semble bien plus fermé. Son rythme cardiaque s'intensifie alors qu'elle réfléchit a comment faire alors qu'elle est toujours au téléphone avec sa commanditaire.
-.... Me suis-je bien faite comprendre ?
-O-Oui Madame.
-D'ici là, je te permet un budget illimité, carte blanche pour que la mission réussi et si tu as besoin de quoi que ce soit. Mais j'attendrai des résultats. Je les veux tous face à moi, y compris Lou jitsu, et complètement a ma merci, annonce froidement la voix de l'interlocutrice à travers le téléphone. Faisant grincer des dents la Yokai licorne.
...
-Je ne le ferai pas, Big Mama.
Unity déglutit, et raccroche une fois la discussion close par sa patronne. Elle fixe son téléphone, puis regarde le matelas et jette d'un geste ample son appareil sur le lit avant de retirer son poncho et de se poser sur le lit a son tour. Un long soupire quitte ses lèvres, une pression disparaît avec, mais une autre persiste. Une grosse tension sur ses épaules, une épée de Damoclès.
Je ne veux pas y retourner, je ne veux pas y retourner. Je dois y arriver. Si ça marche, alors je pourrai enfin...
Soupire. Elle s'affale sur le lit, les bras tendu et regarde le plafond. Le sommeil ne devrait pas tarder à la prendre, pourtant quelque chose la dérange. Le manque de bruit. Elle a l'habitude a d'un brouhaha constant autour d'elle, des gens qui parlent, qui crient, qui se battent. C'est trop calme pour elle.
....
Demain, je commencerai par celui au bandeau orange. Il semble plus simplet que les autres. Je dois en profiter.
C'est demain que tout commence.
"TBC"
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grimmcodes · 3 months
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Tutoriel Installation 🛠️⚙️🔧
Je vois que certaines personnes galèrent avec la mise en place du thème que j'ai partagé (notamment pour héberger le css). Alors voici un tutoriel d'installation pas à pas, avec captures d'écran, pour vous permettre de le mettre en place correctement 💗 ⚠️ Pour rappel, le Blank Theme dispose de ses propres explications, que vous retrouverez juste ici. ⚠️ Veillez à bien avoir configuré votre forum comme l'indique le Blank Theme juste ici. ⚠️ Le forum doit impérativement être en version ModernBB.
1️⃣Pour mettre en place tes templates.
Nous allons commencer par copier les templates depuis le github. Ici, ce sont les différentes parties d'HTML qui nous intéressent.
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Nous allons progressivement les coller dans les diverses sections de forumactif (voir screen ci-dessous). 📌Exemple ici avec le template images_list que je vais copier depuis le github : 📁HTML (templates) > 📁general >📄images_list.
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Et coller dans le template images_list de forumactif.
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Les noms des HTML sont exactement les mêmes du github vers forumactif donc vous ne pouvez pas vous tromper. Vous avez juste à copier d'un côté et coller de l'autre, en n'oubliant pas à chaque fois de sauvegarder à droite en cliquant sur le symbole disquette💾(ouais, j'vais rentrer dans les détails à ce point).
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Quand l'ensemble de tes HTML ont été copiés et collés correctement (général, poster & messages privés, profil), tu vas pouvoir passer à l'hébergement de tes divers CSS.
2️⃣Pour enregistrer ton css afin de l'héberger.
Je t'invite à aller sur le github mais dans la section CSS cette fois-ci. L'ensemble des CSS devront être enregistrés sur ton ordinateur puis hébergés en dehors de forumactif car ils sont trop longs. 📁 CSS > 📄CSS_global
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Tu peux copier le code et le coller dans un logiciel qui permet d'éditer du code. Pour moi, ce logiciel sera Notepad++, parce que j'aime me faire du mal, mais sachez qu'il existe aussi SublimeText. Ces logiciels sont gratuits ✅ et indispensables pour pouvoir enregistrer vos feuilles en format .css (comme on le ferait pour une image en format .png ou .jpg quoi).
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Quand j'ai copié mon css depuis github et que je l'ai collé dans mon logiciel d'édition de code, je n'ai plus qu'à lui donner un petit nom en sauvegardant (chez moi ça sera CSS_global) et à l'enregistrer en .css (Cascade Style Sheets File).
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3️⃣Pour héberger ton css en dehors de forumactif après l'avoir enregistré sur ton ordinateur.
Ca y est, à cette étape, tu as normalement l'ensemble de tes CSS (global, instagram, messenger, page d'accueil etc...) d'enregistrés individuellement sur ton ordinateur. Tu peux désormais aller les héberger en dehors de forumactif. Pour cela, j'utilise personnellement Archive Host (parce que j'aime vraiment me faire du mal) mais, tu peux très bien utiliser Dropbox. Il te suffit juste de créer ton compte. Tu arriveras ensuite sur une page où tu pourras ajouter tes fichiers et les stocker dans un dossier. J'aime que mes documents soient rangés donc, je te conseille de créer un répertoire et de l'appeler par le nom de ton forum (comme ça, si t'en as plusieurs, impossible de te tromper !).
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C'est ici que je vais y ranger mes feuilles de CSS préalablement enregistrées. Je clique sur ➕Ajouter des fichiers puis sur ⬆️Démarrer l'envoi quand j'y ai ajouté ceux que je voulais.
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Ca y est ! Ta feuille de CSS est désormais hébergée. Mais ce n'est pas terminé. Il faut maintenant relier ton forum à cette feuille. Et pour cela, rien de plus simple :
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En survolant ta feuille de CSS avec ta souris, une flèche va apparaître en haut à droite ⬇️, clique dessus puis sur 🟦 Informations et Codes.
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Cette fenêtre va s'ouvrir. Je t'invite à cliquer sur l'URL à côté de Principal et de la copier. C'est le lien de ta feuille depuis Archive Host. Tu vas ensuite aller la coller dans ton overall_header sur forumactif. Mais pas n'importe où !
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Ici, les URL vers mes feuilles de CSS sont collées les unes après les autres juste en dessous de <!-- CSS Externes -- > ET sous cette forme : <link href="URL ARCHIVE HOST ICI" rel="stylesheet" type="text/css" charset="utf-8"> Il faut absolument que ces feuilles se trouvent avant la balise </head>. Tu verras, dans le code HTML de l'overall_header (à la ligne 20) j'ai laissé cet endroit vide, tu auras juste à les coller en dessous.
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N'oublies pas de sauvegarder ! Et voilà. C'est tout. Rien de plus simple 💗 Cela te demande juste d'installer un logiciel d'éditeur de code (gratuit) et de te faire un compte sur Archive Host ou Dropbox (gratuit aussi). Si là encore vous êtes paumés.és (parce que ce n'est pas impossible malgré les screens et explications pas à pas), n'hésitez pas à m'envoyer un petit mp. 🌈
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chifourmi · 4 months
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J'ai besoin de parlerparlerparler pour m'enlever cette boule au ventre alors que j'ai déjà énormément parlé
Sur le moment la boule part mais dès que je m'arrête elle revient mais rien que le fait d'écrire ça m'aide purée ça fait du bien limite j'ai envie d'écrire pour ne rien dire en fait dès que je m'arrête de parler et d'écrire je réfléchis trop et des petites pensées autodestructrices arrivent beurkbeurk en 2024 il s'agirait d'arrêter surtout quand on est une bombe atomique comme moi avec un cœur beaucoup trop gros pour mon buste tout frêle
Ce qui est fou c'est de malgré tout savoir que c'était pas l'homme de ma vie et que j'avais aperçu des red flags que je me suis bien retenue de dire ici pcq j'avais la flemme qu'on me dise de fuir mais d'être quand-même blessée genre pourquoi et en plus j'ai aucune raison d'être blessée pcq on a jamais été clair genre j'arrive pas vraiment à savoir où ça me touche exactement, est ce que c'est pcq j'ai archi pas confiance en moi que ça touche à mon ego de me dire que j'étais pas aussi spéciale que je pensais être pour lui? Ça me fait flipper d'avoir fait tout un plat de notre relation genre wtf c'était un plan cul faut se calmer j'ai carrément fait un compte où je parle de lui mais beurk arrêtez moi quoi c'est fou de s'emballer comme ça et puis en même temps il a vraiment agi à l'inverse de mon connard d'ex et ça m'a redonné confiance en moi et je peux pas non plus effacer ça et tous les bons moments et en vrai oui ça sert à quoi d'effacer les bons moments peut être qu'il faut juste que je me contente de ce qu'on a vécu sans penser aux autres meufs pcq peu importe le reste ce qu'on a vécu c'était beau et je sais bien que s'il vient vers moi me faire un câlin c'est pas faux genre ça reste une envie de lui faut surtout pas que je me dise que tout était faux pcq c'est pas vrai aller ça va aller franchement tranquille
La fin sonne si faux mdr mais en vrai je suis sûre que ça va vraiment aller, faut juste que j'accuse le coup et en vrai je suis teellement contente qu'on ait mis les choses au clair
Ma seule question maintenant x'est est-ce que je continue la relation en sachant qu'il verra d'autres meufs? Pcq j'ai l'impression que je pourrais pas me passer de l'attention qu'il m'apporte sur le moment et d'un autre côté je me dis mtn que je sais tout je peux prendre du recul sur ses messages genre vivre ma vie sans les attendre h24 pcq ce qui est positif quand même là dedans x'est que hé crois être plus attachée à ses comportements que lui en lui-même pcq il est vachement égocentrique et trop cash et j'ai horreur de ça je sais qu'on serait pas bien ensemble enfin ce serait explosif et vous allez me dire pourquoi tu voulais lui avouer tes sentiments à la base alors bah écoutez je me suis dit one life jsp ce que ça va donner mais je veux tester ce qui est bien sur ce compte c'est qu'on remarque vraiment à quel point je suis instable après ob se demande pourquoi il m'est impossible de rencontrer des gens ici pcq y a des gens qui se considèrent comme fou ici mais je dois tenir la palme d'or je vous jure ptn quelle instabilité de merde
(17/05/2024)
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kilfeur · 2 months
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Déjà je veux saluer la performance de Youna Noiret et Emmanuel Curtil, car Viren qui essaie de la raisonner et le cri de désespoir de Claudia, ça venait du coeur. Alors j'étais contente de voir que Viren a survécu et le voir heureux avec Terry m'a fait sourire. En revanche, Claudia a pu exécuter le sort Infantis Sanguine et du coup RIP Monsieur Bavetout. Viren voit avec horreur et culpabilité de voir jusqu'où sa fille est prête à aller pour lui. Viren essaie de lui expliquer, qu'il est un homme nouveau et doit faire face à sa vérité et retourner Katolis. Et Claudia ne peut pas le comprendre, Viren a été son phare pendant cette quête. Elle pensait qu'une fois que son père sauvé, ils continueront dans cette voix là mais il refuse laissant sa fille derrière lui. Ce qui est encore plus tragique je trouve. Et Claudia qui a maintenant plus de phare va poursuivre sa quête de libérer Aaravos seule sans Terry. Ce qui fait parallèle avec Viren qui la laisse derrière elle.
I already want to salute the performance of Youna Noiret and Emmanuel Curtil, because Viren trying to reason with her and Claudia's cry of despair came from the heart. So I was glad to see that Viren survived, and seeing him happy with Terry made me smile. Claudia, on the other hand, was able to execute the Infantis Sanguine spell and so RIP Sir Sparklepuff. Viren watches in horror and guilt as he sees how far his daughter is willing to go for him. Viren tries to explain to her that he's a new man and must face up to his truth and return Katolis. And Claudia can't understand it, Viren has been her beacon on this quest. She thought that once her father was saved, they'd continue in that path, but he refuses, leaving his daughter behind. Which I find even more tragic. And Claudia, who now has no beacon, will continue her quest to free Aaravos alone without Terry. This parallels Viren, who leaves her behind.
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olympic-paris · 14 days
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saga: Soumission & Domination 261
Kamal veut devenir Escort
Maintenant que son niveau scolaire est revenu plus que correct, et qu'Eric lui défonce le cul à chaque leçon de pilotage, il veut que je l'embauche comme Escort.
Dans un premier temps, je ne suis pas d'accord. Ce n'est pas parce qu'il s'est remis à niveau qu'il doit penser qu'il est arrivé. Mais il réussit à circonvenir Alexandre qui lui me persuade que c'est la meilleure solution pour encadrer ses envies d'expériences. Ça plus l'intégrer à nos touzes devrait, d'après lui, assouvir ses envies d'explorations sexuelles. Il ajoute même qu'il bossera à l'oeil s'il le faut. Connaissant mes clients, un jeune mec de tout juste 18ans, ça va leur faire ouvrir le porte feuille encore plus que pour mes Espagnols.
Je briefe quand même ce petit con. S'il veut entrer dans mon écurie il faut qu'il sache se tenir. Je lui apprends les principes de ma société de service. Il ne faudrait pas que ses désirs passent devant ceux des clients. Comme ce sera temporaire, je ne le fais pas percer.
Pour mettre la pression, la mise aux enchères de sa première soirée et nuit ne durera que 2h. Comme prévu mes clients sont tous présents (internet) et dès l'ouverture, les chiffres s'envolent. Les photos de Kamal en boxer court y sont pour beaucoup. De plus, avec Jimmy, c'est mon seul beur et son physique finement musclé... La brosse noire qui couvre sa tête est assortie à la couleur de ses yeux mais l'absence de toute autre pilosité le fait paraitre plus jeune encore.
Je démarre au double du tarif de base et les laisse se battre. C'est le boss/amant de Kev qui remporte l'enchère en tuant le suspense après une demi heure seulement et en me proposant le tarif x 6.  Il m'appelle dans les minutes qui suivent et me dit que c'est Kev qui l'avait convaincu de mettre autant. Il me demande s'il les vaut bien. Je le rassure en lui demandant s'il n'avait jamais eu à se plaindre des prestations de mes Escorts. J'ajoute qu'il était jeune mais très volontaire et avide de tester autre chose que la monogamie.
Il me demande de lui envoyer Kamal le WE d'après. Kev l'attendra à la gare de Montparnasse le samedi suivant en début d'après midi.
Récit de Kamal :
Sasha m'a payé un billet de première. C'est la première fois que je voyage comme ça. Les sièges sont larges et la population autour de moi est classe, nous sommes trois, moi et deux quadra en costard. Ma tenue branchée tranche un peu sur leurs tenues ou même les jeans bleus foncés des plus jeunes qui occupent ces wagons.
Je me fais mater grave par un des quadra assis en face de moi. Je devine même la forme de son gland qui repousse le tissu de son pantalon pourtant large. Sasha ma dit de me tenir correctement et c'est ce que je fais, même si je me serais bien laissé aller à le sucer au moins. Quand j'ouvre le TETU que j'ai acheté avant de monter dans le train, le mec me fait un grand sourire et, discrètement, après avoir vérifié que notre voisin est hypnotisé par l'écran de son portable, il appui sur son pantalon pour mouler sa bite. C'est un beau morceau. Mais je dois me montrer respectueux de mon engagement auprès de Sasha. Ne me voyant pas réagir, il allonge la jambe et vient toucher la mienne avec son pied. Il se lève et part dans le couloir vers le bout du wagon. J'hésite, attends un peu et vais le rejoindre pour lui dire de ne rien attendre de moi. Je le retrouve devant le casier à valise. Il me salut et profite que je lui donne la main pour me plaquer contre lui histoire que je sois bien au courant de son envie. Je le remercie de l'intérêt qu'il me porte (Sasha m'a dit d'être toujours bien poli) mais que je ne peux m'occuper de lui étant déjà sous contrat. Il sort alors de sa poche un billet de 100. Je refuse à nouveau. Il ne se démonte pas et replonge sa main dans sa poche et sort un porte billet bien rempli duquel il tire deux autres billets en ajoutant " juste pour une pipe ". Je secoue la tête, pourtant intéressé par l'expérience.  Il finit par me les proposer pour une branlette. Là je me laisse persuader. Je prends les trois billets de sa main et on entre dans les toilettes. Même en première elles sont exigües. Il se penche pour me rouler un patin, je tourne la tête en lui rappelant que c'est juste une branlette qu'il a payé. Il défait sa ceinture, ouvre son pantalon et le baisse avec son caleçon flottant. Effectivement j'avais bien deviné, sa bite doit bien faire dans les 19cm et circoncise avec un gros gland. Je la prends en main et effectue les vas et viens qu'il attend de moi. Pas de chance pour lui, il jute dans la cuvette en moins de 5 mn. Je me lave les mains pendant qu'il referme sa braguette. Quand je me glisse dehors, je dis au mec qui attend que c'est encore occupé et, salope, passe ma langue sur mes lèvres.  Alors que mon quadra sort, j'entends le mec lui demander si ça valait le coup. Ce qui m'étonne c'est que le quadra ne se démonte pas et lui répond que c'était un peu cher mais bien fait. Là, je vois le mec entrer rapidement dans les WC. Quand il rejoint sa place, j'ai quand même droit à un beau sourire.
Sur le quai de la gare, je reconnais Kev que Sasha m'avait montré sur les montages projeté chez lui. Il est encore mieux en vrai. Il me capte quand je me dirige sur lui.
On prend un taxi pour rentrer chez lui. Dans l'ascenseur qui nous monte chez lui, je me rapproche de lui. Il me laisse me coller mais ajoute que c'est pas lui le client principal mais son mec, même si lui-même compte bien profiter de moi.
Quand j'entre chez eux, c'est limite comme dans un musée, des tableaux partout. Le mec qui nous attend au salon c'est celui qui m'a gagné aux enchères. Il est pas mal, même s'il est dans la 50aine.  Je lui dis bonjour, il me demande si je porte le boxer de la photo. Sasha avait prévu le coup et me l'avait fait mettre. Je dis oui et comprends qu'il veut me voir avec lui seulement sur moi. Je suis un peu maladroit mais arrive à me dépoiler sans tomber par terre. Je vois dans ses yeux qu'il ne regrette pas son achat ! Je m'assois à coté de lui et me penche pour défaire sa ceinture. J'ouvre son pantalon et découvre sa bite raide. Je m'incline un peu plus et embouche le morceau. Sans difficulté je lui fais une gorge profonde (qui ne l'est presque pas). Quand je me relève, kev s'est mis nu et est venu nous rejoindre. Lui est mieux monté, dans les dimensions d'Alexandre.
Je me suis retrouver à sucer deux bites. Je fais bien attention à les satisfaire. Sasha m'a bien fait la leçon et je ne souhaite pas lui porter préjudice. Les deux mecs sont quand même pas mal et je n'ai pas de difficultés à m'exciter de la chose et à bander. Bientôt je suis a 4 patte entre les genoux d'Hervé pour le pomper alors que Kev me mange la rondelle pour la préparer à la sodo. Sa main, entre mes cuisses, tire ma bite vers l'arrière et me branle en même temps. C'est Kev qui décide que je suis prêt à me faire sodomiser et il prévient son mec. Je me tourne et vient m'assoir sur sa queue emballé d'une kpote. Il m'avait bien lubrifié puisque la bite glisse toute seul dans ma rondelle et mes fesses se posent sur lui. Il attrape ma taille et me fait sauter sur ses cuisses. C'est pas mauvais mais j'ai connu plus gros ! Après quelques minutes, il me pousse en avant sans déculer. Je m'accroche à la table basse et Kev met sa bite devant ma bouche. Je comprends que je dois le sucer. Je m'exécute. J'aime bien sa queue. Elle glisse dans ma gorge sans me faire vomir. Il me pilonne la gorge alors que son mec fait de même avec mon cul. Je prends du plaisir alors que j'ai toujours en tête l'aspect satisfaction du client. Kev le ressent et me dit de me laisser aller. Il se penche sur mon dos et glisse sa main sous moi pour me branler. Hervé lui dit de continuer car ça resserre mon anneau. J'ai du mal a tenir, le cul excité, la bite " traite " avec expertise et la bouche remplie. Alors que j'allais craquer, Kev serre ma bite derrière les couilles alors qu'Hervé éjacule. Kev me tient jusqu'à ce qu'il sorte de mon cul. Il m'attrape alors par la taille et me jette dos sur le canapé d'en face. Il tire mes jambes vers le haut et les écartant et enfonce sa bite dans mon cul. Bien que chauffée par son mec, ma rondelle doit s'écarter plus pour le laisser pénétrer. C'est bon ! Il bloque mes chevilles sur ses épaules et ses bras autour de mes épaules, il me soulève tout en s'enfonçant encore plus dans mon cul. On se déplace et il me dépose en travers des cuisses d'Hervé qui vient me rouler une pelle.
Je ne sais combien de temps cela dure mais il me baise super bien et je n'arrête pas de bander. Quand Hervé s'occupe de mes tétons, alternance de pincements et mordillements, il me fait rapidement exploser et se redresse juste à temps pour que mon sperme tombe sur mon visage et mon torse. Kev me lime encore quelques coups supplémentaires avant de sortir vite et, kpote retiré, me jute dessus. J'en ai plein partout !
C'est amusant mais c'est Kev qui me conduit à la salle de bain. On prend notre douche ensemble et il me savonne pour faire disparaitre les trace de sperme. Un de ses doigts s'égare dans mon anus et s'enfonce dedans sans difficulté. Il me dit alors de serrer mon cul. J'emprisonne son doigt et il me dit de serrer encore pour l'empêcher de sortir. Je m'exécute. Il est content du résultat. Je le libère et il nous rince. Il enfile un peignoir et m'en tend un autre. Je n'ai jamais vu une telle qualité de tissu éponge. Il tombe sur mes chevilles et j'ai l'impression d'être un nain ! Quand nous revenons au salon, Hervé est en costume et ses cheveux mouillés m'indique qu'il a du se laver dans une autre salle de bain. Il m'annonce qu'il ne sera pas là du reste du WE et qu'il me laisse entre les mains de Kev pour le reste du WE.
Surpris, je lui demande si Sasha est au courant. Il me montre le téléphone et me dit que je peux l'appeler si je veux. Je lui demande d'excuser ma surprise et me retient d'appeler.
Quand il part nous sortons aussi. Kev m'emmène dans son propre appart quelques mètres plus loin. Je préfère la déco du nouvel appartement, plus moderne. La porte d'entrée refermée, il me demande de me déshabiller. Je le fais alors que lui reste en boxer. Il passe quelques coups de fils et je crois comprendre qu'il propose à un de ses amis de venir nous rejoindre.
Il nous sert à boire une bière. Nous ne l'avons pas terminée que ça sonne à l'interphone. Le mec qui arrive est super balaise ! Kev me présente un de ses potes de sa salle de sport. Ce n'était pas la peine de me le dire ! Le mec a des bras plus gros que mes cuisses et ses pecs moulent un t-shirt qui semble être du 12 ans, tellement il est rempli ! Quand il enlève ses vêtements, il est impressionnant, tous ses muscles (sans exceptions et celui difficilement caché derrière les mailles d'un jock aussi) semblent hypertrophiés (encore plus qu'Eric qui est déjà très costaud). Kev ajoute qu'ils allaient me baiser jusqu'au départ de mon train, moi ça me va !
Je n'attends pas les ordres et m'agenouille devant le nouveau venu. Kev lui dit de laisser faire. Je commence par sucer son gland par-dessus le jock. Les mailles écartées par sa bite en cours de bandaison, laissent ma langue toucher sa peau. Il n'est pas encore dur que déjà sa bite est plus grosse que celle de Kev. Ça promet ! elle sera peut être aussi grosse que celle d'Eric ?  Je m'accroche à ses cuisses pour me stabiliser. Il parle à Kev comme si je n'étais pas là. Ça me fait sentir très salope. Je redouble d'attention. Le tissu se déforme et j'arrive à prendre son gland en bouche avec lui et tète. Je sens enfin une réaction. Il pose sa main derrière ma tête et la pousse vers lui. Comme le jock gène la progression, il me repousse, glisse sa bite sur le coté et m'empale la gorge sur sa bite. Il m'étouffe et est encore souple ! Je dégluti ce qui le fait rugir de plaisir. Il me repousse puis se met à me limer la gorge avec régularité. Plus ça va et plus sa queue durcit. Je n'arrive plus à le prendre en gorge tellement il est raide. Heureusement, Eric m'a appris comment faire. Je me couche sur le canapé, la tête rejeté en arrière de l'assise et ouvre la bouche en grand. Le mec comprend tout de suite et s'approche. Il plie un peu les genoux et replace sa bite dans ma bouche puis dans ma gorge. Il s'appui sur le dossier et se remet à me limer les amygdales avec son gros gland. Je les entends discuter des capacités de ma bouche de salope. Kev lui dit de faire attention à ne pas me juter dedans, que ce n'était pas dans le contrat. Quand son pote s'en étonne, Kev ajoute qu'il ne m'a loué que pour le WE. Il demande la place et les voila qui alternent en moi.
Je ne vois pas le temps passé et c'est l'allumage des lampes qui m'indique que cela doit bien faire 1h qu'ils se relaient pour me limer la gorge. J'en ai mal à la mâchoire !  Ils cessent avant de jouir. Pause où ils boivent une bière et Kev me propose un Coca que j'accepte d'une voix plutôt grave qui nous fait rire.
Son pote est curieux de savoir depuis quand je fais la pute. Je le corrige en précisant que je suis Escort et que c'est mon premier contrat. Il s'étonne que je sois aussi " souple ". J'ajoute que c'est mon premier contrat mais pas ma première expérience sexuelle !
L'excitation est toujours là et personne ne débande. Kev prévient son ami qu'il passera le premier dans mon cul, la dilatation par sa bite risquerait de prendre du temps pour venir resserrer la sienne. Il joint l'action aux dires et s'enveloppe d'une kpote avant de me poser en levrette sur sa table basse et de m'enculer. Je m'étais refermé depuis la fois précédente et j'ai bien apprécié le nouveau déplissage de mon anneau.  Il me lime avec rythme jusqu'à ce que je sente 1 puis 2 de ses doigts se glisser le long de sa bite. Je tortille du cul mais il me dit que j'ai intérêt à le laisser faire pour me préparer à son pote. Je le rassure et lui dis que je prends des cours de pilotage moto. Il comprend le sous entendu car il connait Eric.
Il continu à me labourer le trou pendant que je maintiens son pote bien raide à coup de langue et de déglutition. Quand il sort de moi, je suis bien assoupli par ses coups de rein. Alors qu'il kpote son pote, je sniffe le poppers mis à ma disposition. Quand son pote m'enfile enfin, je suis bien prêt et même s'il rentre assez facilement, je sens son gros diamètre élargir encore plus ma rondelle. J'ai l'impression de me faire démonter par Eric. Il s'enfonce doucement pour que je sente bien chaque mm de sa queue. Lui non plus n'est pas un novice de l'enculage ! Je me concentre et serre doucement mon anneau pour qu'il colle au plus près de la hampe. Je sens l'augmentation du diamètre alors qu'il pousse les derniers cm (les plus épais) en moi. Le passage de son gland contre ma prostate ma donner un spasme limite à juter.
Il reste quelques minutes bien calé tout au fond de moi. Comme il est épilé total, je ne sens que sa peau contre la mienne. Kev, qui le regarde faire, lui dit d'y aller franchement puisqu'il m'a préparé. Je me sens pris aux épaules et, avant qu'il ne sorte une première fois, il me tire vers lui. Alors que je le croyais planté au plus profond de moi, je sens mes fesses s'écarter et sa bite progresser encore un peu. Trop bon !
Après c'est un déchainement de sensations. Je me fait labourer, ballotter en tout sens (mes quelques 10aines de kg semblant une plume entre les mains de cet adepte de la muscu). Je pense qu'il m'a enculé plus de temps sans que je touche le sol qu'en levrette. C'est impressionnant de se retrouver plié contre des pecs, planté sur une bite et soulevé régulièrement comme si je n'étais qu'une simple barre d'exercice ! Ma propre bite, coincée contre ses abdos, me fait mal à force de bander. Alors que je suis toujours en suspension dans les bras du musclor, je sens Kev se coller contre mon dos et ses lèvres courir sur mon cou et mes épaules. Je sens aussi son gland buter contre la queue de son pote et ma rondelle. A ce moment là je n'ai qu'une peur c'est qu'il essaye de m'enculer en double ! Heureusement il n'insiste pas et alors que son pote me plante à fond une dernière fois pour s'immobiliser afin de remplir sa kpote, j'explose à mon tour quand je sens le jus de Kev me couvrir le dos. Musclor tombe sur le canapé, m'entrainant avec lui. Je le sens encore raide en moi.
Je me décolle de lui, mon sperme poisse entre nos deux corps. Je veux me relever mais mes jambes ont du mal à me soutenir et Kev me rattrape avant que je tombe par terre.
Le reste de la soirée se passe plus " calmement " même si Musclor reste avec nous.
Jardinier
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sm0keyb0nes · 3 months
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J'ai juste besoin de lui ; rien ne sait compter plus que lui. J'ai besoin de le voir sur la table, à se faire comprendre pour avoir des croquettes ; et puis miauler, parce qu'il sait bien faire maintenant, et miauler parce que ça va pas assez vite ! Je veux le retrouver tout mouillé et que monsieur attend qu'on l'essuie parce que quand même, il va pas se sécher tout seul ! Je veux le sentir frétiller sous la serviette et ronronner même un peu ; et puis le voir descendre de la table, avec sa démarche de danseuse et réclamer à sortir encore, alors qu'il pleut et que je viens de l'essuyer ; de quoi je me plains, c'est un honneur de recommencer ça toutes les dix minutes !
J'ai besoin de le prendre dans mes bras, de l'embrasser partout sur la tête et le sentir serein, bien posé, sentir son tout petit poids relâché, là, dans le creux de mes bras. Même qu'on ronronne un peu mais pas tant, mais je sais que chez lui c'est énorme, qu'il a appris y'a même pas si longtemps ! Parce qu'il s'arrête jamais d'apprendre à être heureux, de comment c'est d'être un petit chat ; un jour, il ira vraiment pour préférer un carton à n'importe quoi d'autre dans une pièce... En attendant il est décidé qu'il dormirait à tel endroit et puis c'est tout ! J'aurais beau le ramener dans le lit, non non, il part directement pour se mettre dans le coin le plus inconfortable de la baraque ! Vraiment sa spécialité ça, alors qu'il a cent autres endroits où se mettre, tous mille fois plus confortables que ça !
Ouais, il a encore beaucoup à apprendre ; il m'impressionne toujours autant, parce que maintenant il fait des progrès de géant ! Alors qu'il est effrayé par les gens, il parvient à leur donner sa confiance maintenant, parce qu'il me croit, parce qu'il me voit aimer et que si j'aime la personne, il peut y aller aussi ! Il a ce grand coeur qui demande que ça dans le fond, comme avec Osiris ; le supporté pas au début et finalement c'est devenu son meilleur pote, à miauler derrière lui pour être sûr qu'il rentre quand on vient ouvrir la porte, qu'on y voit que du feu à se dire que c'était Marvel et en fait non !
Je veux qu'il revienne me faire râler ; en montant sur mes épaules ou sur mes cuisses quand je suis sur le pc ; à dormir sur mes côtes la nuit, à m'obliger de me réveiller un peu pour bouger sans l'écraser ; à le tenir d'une main tout en me tournant, en râlant dans mon sommeil avant de me rendormir, tandis qu'il se réinstalle en s'en fichant bien que je râle !
J'ai oublié ce que c'est, de vivre sans lui.
Parce qu'il m'a fait vivre pour lui.
Parce qu'il a vécu pour moi.
J'ai peur que cette journée se termine. J'ai peur de me réveiller demain. J'ai peur de me dire que ça fera déjà une journée sans lui. J'ai peur. J'en veux pas, de tout ça.
Je voudrais juste retrouver sa chaleur tout contre moi.
Comment on se remet de la perte de son ange gardien ?
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littlefrenchsims · 6 months
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Cela fait un petit moment que je n'ai rien écris..
Le stress de la vie s'est apaisé . La routine est installé, Robyn a maintenant 9 mois , sa cinquième dents est en train de sortir et la sixième ne va pas tarder. Elle est très énergique, elle aime danser , crier . Les nuits sont bonne , la majorité du temps elle dort toute la nuit .
Pour Maribel , elle grandit à une grande vitesse . En ce moment elle ne veut plus aller à l'école, sans doute une phase, elle veut rester à la maison pour jouer. Elle dort bien, elle a également eu une phase moins sage , toujours à chercher le conflit, ne pas écouter, ne pas obéir mais c'est fini.
Pour Batman et moi , ça va également, les soucis de la vie sont terminé. Nous sommes plus sereins , des petites disputes pour des broutilles comme tous les couples. Mais nous profitons un maximum l'un de l'autre. Le printemps arrivent , nous avons hâte d'être dans le jardins et de faire des balades ensemble et avec les enfants aussi .
Nous parlons mariage également, un petit mariage , pas de fleuritures , pas de salle énorme, juste de l'amour sincère et simple .
Pour moi , ça va , je ne travail pas en ce moment malheureusement . Douleurs au genou , j'ai consulté les médecins et un chirurgien, j'ai plusieurs médicament à prendre mais si tout ce passe bien dans un mois c'est fini et je n'aurais pas besoin d'une opération. La douleur a été vraiment difficile à supporter , marcher , monter les escaliers , porter le bébé, conduire à l'école, tout ça été vraiment compliquer . Mais niveau morale aussi, j'ai mal vécu le fait d'être réduite, de me sentir comme un poids pour ma famille, pour mon chéri. J'ai garder ça en moi , j'avais honte de tout ça. Mais je soigne mon genou, ça va passer et je pourrais de nouveau promener marcher faire du vélo, vivre .
Notre maison est toujours emplie d'amour et c'est tout ce qui compte pour nous .
June
letter from June
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lesoreillesouvertes · 6 months
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Vendredi 8 mars : j’ai regardé avec joie les vidéos des manifs féministes en France, en réalisant au fur et à mesure que ça allait être moins la folie ici.
Et il m’a fallu un peu de motivation parce qu’il pleuvait des cordes à Chicago. J’ai foncé au musée de l’architecture histoire d’avoir quelques infos en plus sur cette ville. Maintenant que presque tout est bétonné, le projet est de mettre le plus de verdure partout. Et j’ai vu le projet de réhabilitation de la tour Montparnasse pour la verdire également !
J’ai pris le bus, avec la ficelle le long de la fenêtre sur toute la longueur du bus pour demander l’arrêt :-) pour aller au musée de l’histoire de Chicago.
Ça ne parlait pas des Irlandais mais plutôt des polonais arrivés à Chicago dans les années 1830, pendant la guerre avec la Russie (toujours les mêmes …). Même si certains sont repartis vivre en Pologne, d’autres sont arrivés à chaque nouveau conflit international. Tout ça ressemble à la population dans The Wire 🧐
J’ai rejoins un rassemblement contre une fausse clinique qui va bientôt ouvrir à Chicago. Le genre de clinique qui n’a aucune certification médical mais qui reçoit des femmes et donne son point de vue sur l’avortement par exemple, sans pouvoir prodiguer plus d’aide. Les panneaux sont un peu confus mais j’étais bien avec des pro-choix donc des gens qui soutiennent le droit à l’avortement, à l’accès aux soins pour toustes… Il y a une marche dimanche après midi, j’espère y trouver un peu de l’énergie que jamais vu dans les vidéos françaises !!!
Les vitrines des plombiers français n’ont qu’à bien se tenir ^^, c’était juste à côté de la pizzeria où j’ai dîné avec Kara, une couchsurfeuse. On est allé dans un bar a jeux d’arcades avant d’assister à un show de speed-théâtre-semi-impro-queer (je ne sais pas quoi dire d’autre) plutôt fun!
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sous-le-saule · 1 year
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La lumière sous la porte
Quand elle monte se coucher, il y a encore de la lumière sous la porte de la chambre de son fils. Tous les soirs, il lit jusqu’à pas d’heure. Il devrait dormir, il a école demain, il va être fatigué. Mais à 17 ans, il est assez grand pour décider lui-même de son temps de sommeil.
Elle est loin, l’époque où elle lui lisait une histoire après l’avoir bordé dans son lit. Tous les soirs, sans faute. Elle tire de la fierté d’avoir contribué à en faire un grand lecteur.
Que lit-il d’ailleurs, en ce moment ? La paume de la main contre la porte, sans un bruit, elle hésite. Elle aimerait le lui demander. Et savoir ce qu’il en pense. Mais il est tard. Et dans sa chambre, il a droit à son intimité, elle ne veut pas déranger.
En se démaquillant dans la salle-de-bain, elle dresse la liste mentale des choses à faire demain. Il ne faut pas qu’elle oublie de lessiver son maillot de foot. En revenant du travail, elle pourrait s’arrêter à la pâtisserie pour lui prendre un éclair au chocolat dont il raffole. Un petit plaisir après sa grosse journée de cours.
Il y a toujours de la lumière sous la porte quand elle passe devant la chambre pour aller se coucher. Délicatement, pour ne pas réveiller son mari.
Elle reste allongée longtemps sans trouver le sommeil. Elle sait ce qui la tarabuste, elle voudrait bien ne pas y penser mais c’est peine perdue. Elle n’a jamais été capable de mettre ses angoisses en sourdine – elle ne se souvient d’ailleurs pas de sa dernière bonne nuit de sommeil.
Il a dit que l’année prochaine, il ne partirait probablement plus en vacances avec eux. Il a dit ça gentiment – ils ne se disputent jamais. Juste qu’il aimerait partir avec ses copains, le prochain été.
Elle ne s’y attendait pas si tôt.
Et il n’a plus qu’un an d’études avant l’université – ou ce qu’il voudra faire d’autre. Il n’a pas encore décidé, et ça aussi, ça la tracasse. Peut-être qu’il louera une chambre d’étudiant dans une autre ville.
Elle le revoit bébé, et maintenant il est sur le point de quitter le nid. Elle est fière de lui, bien entendu – c’est la plus grande réussite de sa vie, son enfant – là n’est pas la question. Elle s’inquiète, ça aussi c’est une évidence – cesse-t-on jamais de s’inquiéter à partir de la seconde où on devient parent ?
Mais la pensée qu’elle n’arrive à chasser, là, étendue dans l’obscurité, et qui lui fait verser des larmes silencieuses, c’est la perspective de son inutilité. Le vide qui l'attend. Que devient-on quand la personne autour de laquelle on a organisé sa vie depuis des années n’a plus besoin de vous ?
Que va-t-elle faire lorsqu’il n’y aura plus de lumière sous la porte ?
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wistfulcynic · 7 months
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savez-vous pourquoi on a les tournesols
i learnt about @ecclesiasticallatinfest um, yesterday, but i thought it was a great idea and wanted to participate so i knocked up a quick translation of my shortest fic. i'm an experienced translator but i always do french to english so going the other way was a challenge. Fortunately i knew exactly what the author meant by everything though she is a bitch for the flowery prose. i may have taken a few liberties with the french language, including disposing entirely with the passé simple because i cannot be arsed, so i hope gentle readers you will be kind.
original fic is here
translation is here
Stede Bonnet ressemble parfaitement à un des hommes dans son tableau préféré. Un jour, il rencontre l'homme qui ressemble à l'autre. Ça donne l'impression d'être destiné.
(Il l'est.)
savez-vous pourquoi on a les tournesols
Stede Bonnet adore les musées. 
C’était toujours comme ça, depuis sa première visite, lors d’un voyage scolaire. Un voyage qui était, à tous les autres égards, bien peu mémorable. Les tourments habituels des jumeaux Badminton et de leur cohorte, la solitude habituelle de Stede, lui seul avec ses livres et ses pensées. 
Mais il se souvient du tableau. 
Il se souvient de ces deux hommes sur le pont de leur navire, si vivement rendus par touches d’huile qu’il avait l’impression de sentir lui-même le vent qui fouettait dans leurs cheveux et gonflait les voiles de leur vaisseau. Il se souvient de la fierté de leur posture, l’absence total de peur. Il se souvient de leur unité, le fil de leur lien impossible de nier, palpable même depuis une peinture et à travers trois cents années. Il se souvient du désir ardent qui animait sa jeune poitrine. C’était ça ce qu’il voulait. Cette unité. Ce lien. Ce quelqu’un qui le regarderait du manière dont les pirates du tableau se regardaient. 
Personne n’avait jamais regardé Stede Bonnet comme ça. 
Même aujourd'hui personne ne le regarde comme ça. Ni ses parents, ni son ex-femme. Même pas ses enfants. Il traverse la vie comme il traverse les rues de Londres, seul parmi les foules bouillonnâtes des gens—familles, amis, amants. Mais pas pour lui. Jamais pour lui. 
Mais il adore toujours les musées. 
Il est aujourd’hui le conservateur de l’aile du XVIII siècle de la National Gallery de Londres, un boulot de rêves pour lequel il a travaillé toute sa vie. Il devrait se sentir triomphant, et il l’est, vraiment. Mais… doucement triomphant, et pour la plupart à soi-même. Le fait qu’il n’ait personne avec qui le partager ne fait rien, pas vraiment. Aller chaque jour au musée, savoir que c’est sa place, une place qu’il a méritée, c’est ça qui lui rend heureux. Plus heureux qu’il n’a jamais été. Ça suffit. 
Lorsqu’il acquiert le tableau, le tableau, celui qu’il a vu pour la première fois à Auckland il y a tant d’années, son bonheur est complet. Chaque jour il va dans sa gallérie et se tient debout en face de ce tableau et le regarde. Il se tient debout et il regarde et il ressent à nouveau ce désir presque douloureux dans sa poitrine. 
Peu à peu il se rend compte de quelque chose, une quelque chose très particulière dont il ne sait pas trop quoi faire. Un des hommes du tableau, celui du droit, l’homme blond à la barbe courte et pointue et à l’allure fringante, sa chemise blanche flottante et sa ceinture en soie turquoise autour de la taille, cet homme… il ressemble à Stede. 
Exactement comme Stede. À tel point que c’en est bizarre. Il ne l’a jamais remarqué autrefois, évidemment, comment aurait-il pu? Mais maintenant qu’il est plus âgé—du même âge, semble-t-il, que l’homme du tableau—le ressemblance est indéniable.
Il se laisse pousser la barbe, par curiosité académique, il se dit. Juste pour voir si la ressemblance est renforcée ou entravée. Il se laisse pousser également ses très courts cheveux, afin de mieux ressembler les boucles du tableau. Il introduit de la couleur dans sa garde-robe, les bleus vifs et les verts joyeux, même un petit jaune impertinent, de temps en temps. Il découvre qu’il adore la couleur, et la mode, et qu’elles l’adorent en revanche. S’habiller le matin devient un plaisir et non plus un corvée. 
Ne plus il se heurte les gens dans la rue parce qu’ils ne le remarquent pas. Plutôt, les inconnus hochent la tête à son passage et lui rendent ses sourires amicales. Ils arrivent même de faire la bavardage dans les queues. Ils gloussent s’il tente une petite blague. Il commence à faire des blagues exprès. Les gens rient. Ils rient d’amusement et pas de moquerie. Pour Stede, ça change tout. 
Ce Stede avec plus de confiance, plus de couleur, débordant d’une exubérance naturelle enfin libérée et tellement ravi de se ressembler si parfaitement à l’homme du tableau, commence à tourner plus fréquemment envers l’autre. Cet homme que, même enfant, il a trouvé presque trop magnifique pour apercevoir. Cet homme grand, beau, tout vêtu en cuir, sa barbe et ses cheveux longs fouettés par le vent et glorieux, qui contemple le doppelgänger peint de Stede avec le regard le plus doux qu’il n’ait jamais vu. 
Ce regard. La douleur dans sa poitrine devient insupportable lorsqu’il y pense, mais il y pense tout de même, et fréquemment. 
Malgré sa confiance en lui récemment trouvé, il n’existe toujours personne qui a jamais regardé Stede Bonnet comme ça. 
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“Sacré tableau, n’est-ce pas, mon pote?” 
Stede se détourne de sa contemplation matinale du pirate vêtu en cuir, surpris et ravi d’entendre la cadence d’un accent familier. C’est rare qu’il rencontre un autre Kiwi à Londres, même si la ville accueille des gens venus des quatre coins du monde.
“Vous savez, c’est drôle,” reprend la voix. Elle est profonde et résonnante et elle caresse la peau de Stede comme du cachemire. “Je me souviens une fois, lorsque mon enfance en Nouvelle-Zélande, j’ai vu ce tableau. J’y suis resté en regardant pendant une bonne vingtaine de minutes. Les autres gamins se sont partis sans moi et le prof a dû revenir m’emmener pratiquement à l’écart. Je me rappelle plus le nom du prof mais je n’ai jamais oublié ce tableau.” Il se tourne vers Stede qui peut maintenant voir tout son visage. “Peut-être que ça vous paraisse fou, mais diriez-vous—pensez-vous que cet homme, celui de la gauche… vous pensez qu’il me ressemble?” 
Stede rest sans voix, bouche bée. Parce que oui, il dirait, oui. L’homme du tableau te ressemble vachement et s’il existe personne qui peut le déclarer avec autorité c’est Stede. C’est lui, après tout, qui avait regardé ce tableau chaque jour et tous les jours pendant tout de l’an dernier. L’homme à son côté a la même taille, les mêmes cheveux longs et barbe magnifique. Et lorsqu’il se retourne et leurs yeux croisent, Stede a le souffle coupé. Les yeux aussi se ressemblent, ce marron doux et chaleureux. Ils traversent le visage de Stede et ils s’écarquillent, signe de reconnaissance d’abord, puis d’émerveillement. 
“C’est toi,” il chuchote. “Cet homme, l’autre. C’est—c’est toi.”
Stede sait qu’il doit dire quelque chose, n’importe quoi, et donc il lance les premiers mots qui lui viennent de l’esprit. 
“Es-tu réel?” 
C’est une question de merde et il se sent ridicule pour la poser, mais les beaux yeux de l’homme se plissent sur les bords et il rit. Il rit d’amusement et non de moquerie. Le Stede d’aujourd’hui connait la différence. 
“Aussi réel que toi, mon pote. Je m’appelle Ed.” Il lui tend la main. 
“Stede,” répond Stede, en la prenant. Un frisson électrique parcourt sa peau, du point de contact jusqu’à l’extrémité de toute terminaison nerveuse qu’il possède. Il retient à peine son souffle. “Je suis le, um, conservateur. Du musée. Fin, pas du musée entier, seulement l’aile du dix-huitième siècle, mais c’est pas important en fait, ce que c’est important c’est que moi aussi.” 
“Toi aussi?” répète Ed. 
Stede hoche la tête avec enthousiasme. “Moi aussi, j’ai vu ce tableau lorsque mon enfance en Nouvelle-Zélande. J’arrivais pas à me détourner, moi non plus. Et je—” 
“Ne l’a jamais oublié?” 
“Ne l’ai jamais oublié! Je l’ai acquis à la première occasion. Ce n’était qu’après que je me suis rendu compte que, er—que l’homme dedans avait—” 
“Ton visage?” 
“Ouais.” Stede hausse légèrement les épaules. “Mon visage.” 
“C’est un bon visage,” dit Ed. La frisson électrique s’intensifie. Il découvre qu’il tient toujours la main d’Ed. 
“Sais-tu ce que j’aime le plus?” il demande. 
“À propos de ton visage?” 
“Non!” Stede proteste, avant de se rendre compte qu’Ed le taquine. Il sent ses joues rosir mais il continue. “Non, pas à propos de mon visage. Dans le tableau.” 
“Qu’est-ce que tu aimes le plus dans le tableau?” 
“C’est la manière dont ils se regardent,” dit Stede. “Ils sont si connectés et les expressions sur leurs visages, c’est—” 
“L’amour,” finit Ed. Sa voix est bourrue. “Ils se sont amoureux.” 
“C’est ça.” Les mots se coincent dans sa gorge. “En tant que garçon je ne pouvais pas le voir. C’est à dire, je l’ai vu mais je ne savais pas ce que c’était. Tout ce que je savais c’était que je voulais quelqu’un à me regarder comme ça. Mais personne ne l’a jamais fait.” 
“Jamais?” 
“Non. Pas—” Stede s’arrête, happé par les yeux d’Ed. Ce regard lui coupe le souffle. 
Ed maintient son regard tout en relâchant la main de Stede, tout en entourant la mâchoire de Stede de sa main, ses doigts s'enfonçant dans ses cheveux, s'enroulant autour de l'arrière de sa tête et l'attirant plus près de lui. 
"Pas jusqu'à ce moment,” murmure-t-il, puis ses lèvres se posent sur celles de Stede. 
Le baiser est d'abord doux, hésitant. Stede n'a jamais vraiment aimé embrasser ; il est peu expérimenté dans ce domaine et même moins enthousiaste, malgré ses dix ans de mariage. Mais ce baiser, ce baiser, l'illumine de l'intérieur ; ce picotement électrique travers sa peau et s’infiltre dans ses os. Il se retrouve penché sur le corps d'Ed, agrippant sa taille, poussant un petit gémissement impuissant qui attire un gémissement plus profond de la part d'Ed. Le baiser devient chaud, humide, tout à fait inapproprié pour un mardi matin pluvieux sur son lieu de travail, mais Stede s’en fout pas la gueule.
Après, ils restent en se regardant, yeux écarquillés et haletants, et puis en unisson parfait ils se tournent comme tirés par un fil, vers le tableau. 
Les deux hommes leur sourient, leur sourient, il n’existe pas la moindre doute. Le sosie d’Ed leur fait un clin d’oeil, tandis que celui de Stede hoche sa tête avec un sourire fier et content. “J’étais sûr que tu l’aurais trouver,” Stede entend dire sa propre voix, dans sa tête évidemment mais les mots sont aussi clairs que comme s’il les avait dit lui-même. 
Il se retourne vers Ed. “T’as entendu—” 
“Ouais,” réplique Ed. “J’ai entendu.” 
Ils regardent à nouveau le tableau, qui est précisément comme il a toujours été. 
“Viens déjeuner avec moi,” dit Ed, abruptement. 
“Il est dix heures et demie du matin!” 
“Un brunch, alors. Je sais un bon lieu, pas loin d’ici.” 
“Ah, oui?” Stede est tellement heureux qu’il a l’impression que son sang a été remplacé par du champagne. “C’est où ça?” 
“Mon restaurant.” Ed lui sourit. “Je viens de l’ouvrir. Blackbeard’s Bar and Grill, il s’appelle.” 
“Ooh, nom fabuleux. Et donc tu… vises rester à Londres?” 
“Aussi longtemps que Londres veut bien de moi,” dit Ed, et Stede sait qu’il ne parle pas seulement de Londres. “Et bien. Brunch? J’ai de la marmelade.” 
Stede reste bouche bée. “Comment—comment sais-tu que j’aime la marmelade?” 
“J’ai eu de la chance,” dit Ed. Ses yeux pétillent, de chaleur et affection et interêt et reconnaissance, et oui c’est enfin réel, ça se passe vraiment. Quelqu’un regarde Stede Bonnet Comme Ça. 
Ici au milieu de son musée bien-aimé, devant son tableau le plus précieux, le plus bel homme qu’il ait jamais vu, soit peint ou en personne, lui regarde de la manière dont il a si longtemps rêvé mais n’aurait jamais pensé savoir. 
Et dans sa poitrine il se sent à nouveau cette douleur mais ce n’est plus la douleur exquise. C’est la douleur d’une joie trop forte d’être exprimée. C’est le bonheur complet. 
C’est l’amour. 
“Le brunch serait super,” dit Stede. “C’est parfait.” Ça donne l’impression du début de quelque chose de spectaculaire. 
Et c’est ça qu’il est.  
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aisakalegacy · 3 months
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Printemps 1921, Hylewood, Canada (1/6)
Mers chers cousins,
Ma femme a bien reçu votre lettre, quoiqu’elle ne m’a pas laissé en lire un mot et ne m’a donné que quelques nouvelles vagues. Je suppose que les femmes ont leurs petits secrets, et j’attends donc patiemment la réponse que doit me faire votre mari.
[Transcription] Jules LeBris : Que fais-tu hors du lit à cette heure, jeune fille ? Layla Bahar : Je n’arrivais pas à dormir. Lola fait trop de bruit, alors j’ai décidé de jouer. Jules LeBris : Tu vas être épuisée demain. Au lit ! Layla Bahar : Je suis grande, maintenant, je vais entrer à l'école cette année. Je veux dormir dans la chambre d’enfants. Jules LeBris : Nous avons promis à Marie qu’elle aurait sa propre chambre lorsqu’elle aura quatorze ans. L’année prochaine, tu prendras sa place. Layla Bahar : Mais M. LeBris, je ne veux pas dormir avec Agathon… Je veux rester avec Lola. Ne peut-il pas avoir une chambre lui aussi ? Jules LeBris : Lola est trop petite pour la chambre d’enfants. Elle t’y rejoindra dans deux ans, quand Agathon sera assez grand pour avoir sa chambre à lui, à son tour. Layla Bahar : Et si les autres enfants se moquent de moi parce que je dors encore dans la nurserie ? Jules LeBris : C’est cela qui t’inquiète ? Layla Bahar : Oui… Jules LeBris : Je vois. Je vais te raconter une histoire. Jules LeBris : Quand je fuyais la guerre civile et que je suis arrivé au sud de Bérénice Troglodytique, je me suis jeté à la mer lorsque j’ai aperçu un navire soudanais qui longeait la côte vers le sud. Jules LeBris : C’était mon dernier espoir de quitter l’Egypte. Quand ils m’ont repêché, ils m’ont demandé si j’étais tombé à la mer, et je n’ai pas dit « non ». Layla Bahar : Vous avez menti ? Mais Maman dit qu’il ne faut jamais mentir… Jules LeBris : Je n’ai pas vraiment menti… Qu’est-ce qui différencie « tomber » de « sauter », après tout ? En m’entendant parler, ils ont pensé que j’étais Français, et je ne les ai pas corrigés. Le fait de ne pas dire toute la vérité est ce qui m’a permis de m’en sortir. Jules LeBris : Si j’avais révélé que j’avais été associé à des colons anglais en Egypte, les Soudanais m’auraient peut-être vendu. Tu n’as qu’à faire pareil. Laisse tes camarades se faire leurs propres histoires. Ce n'est pas mentir quand ce sont les autres qui se trompent. Jules LeBris : Ça va aller, maintenant ? Layla Bahar : Je pense, oui… Jules LeBris : Alors bonne nuit, ma f… Layla.
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Un autre souvenir et une anecdote supplémentaire pour vous expliquer mon candaulisme :
"sur la route de l’Espagne..".
Une autre soirée avec Ana, peu de temps après avoir quitté Toulouse et notre adorable amie Elena (je vous raconterai prochainement nôtre dernière soirée commune avant notre départ, mais aussi la suite de cette soirée préhispanique) fut aussi propice a réellement me conforter dans mon attirance, que dis-je ma conversion et ma future dévotion au Candaulisme...
Nous avions promis à Elena de passer au retour sur Toulouse.
Elle était déjà impatiente de nous retrouver et surtout, au vu de nos inclinaisons actuelles, elle comme nous, qu’on puisse se raconter et partager nos aventures de vacances. Ce serait assurément un moment grandiose.
Nous nous mîmes en route tôt pour Perpignan et plus exactement Paulilles, une petite anse de bord de mer magnifique sur le littoral, entre le cap Béar et le cap Oullestrell.
Un site classé en réserve naturelle avec un paysage à couper le souffle et l’immensité d’un parc très agréable d’une ancienne usine désaffectée (Usine Nobel, fabricant de dynamite).
Des plages magnifiques. Bref un petit coin de paradis à côté des immenses et parfois trop impersonnelles stations de la côte Catalane.
L’un de mes amis proches, Robert, y avait été affecté pour l’été à la surveillance des plages.
Je lui avais promis de passer lui dire bonjour et Ana qui avait fait sa connaissance quelque mois plus tôt l’avait beaucoup apprécié.
Aussi avions-nous convenu d’un rendez-vous le soir même en bord de plage où il y avait depuis peu un restaurant et une petite boite de nuit.
Nous avons déjeuné et passé une partie de l’après-midi dans la superbe ville de Perpignan et j’étais réellement fier de m’y promener avec Ana qui pour l’occasion s’était vêtue d’une très belle et courte robe d’été...
Elle était réellement superbe...
Tous les hommes la remarquaient et j’avoue que cela me rendait heureux tout comme elle, qui semblait si heureuse et épanouie. Encore plus me semblait-il depuis l’épisode de sa dernière rentrée universitaire et le fait qu’elle se sache avec moi maintenant complétement libre, libérée et en peine confiance...
C'était ça et aussi surtout ça le Candaulisme pour moi.
Nos dernières soirées Toulousaines et son séjour chez Elena, avaient amplement confirmé nos choix de style de vie : Hot-Wife pour elle et Candaulisme certifié pour moi.
Comme déjà évoqué, nous ne portions jamais de sous-vêtements et si pour moi ce n’était pas si flagrant de le remarquer, pour Ana qui s’amusait si subtilement et savamment à en jouer c’était beaucoup plus évident et nous donna l’occasion de « teaser » un jeune serveur du restaurant où nous avions déjeuné.
Ana bien que ne portant absolument rien avait gardé par habitude et précaution un string blanc et minuscule dans son sac à main.
Aussi lui vint l’idée de faire semblant et d’être surprise à le retirer lorsque le serveur vint prendre la commande...
Elle le fit si bien qu'il en rougit et cela amusa Ana.
J’étais spectateur et si heureux en l’instant de l’être.
Là aussi le Candaulisme me l'avait appris...
À chacun de ses passages à notre table, elle s’amusait à prendre en main ostensiblement ce tissu affriolant mais aussi à en parler suffisamment fort pour qu’il entende (je pense même que les tables voisines entendaient...) quelques phrases du genre :
« Tu vois Chéri, je l’ai fait...Je l’ai enlevé comme tu le souhaitais... Tu sais que je ne peux rien te refuser mon coquin...Tu me veux salope...je suis ta salope... ! »
Mais aussi :
« Il était si mouillé – elle avait versé dessus de l’eau de la carafe avant l’arrivée du serveur à notre table- j’ai tellement toujours envie de toi, tu sais mon Amour... »
Elle termina par lui laisser comme pourboire, bien en évidence sous un billet de cinq Euros...
« Tu crois qu’il va bander, me dit-elle en m’embrassant et tout en le fixant du regard et lui adressant un sourire de vraie chienne... ? Peut-être même aller se branler de suite dans les toilettes... ? Non... ? »
Bref, ça plus quelques autres provocations dans la rue en remontant négligemment sa robe sur ses fesses altières et autres audaces vestimentaires déboutonnant de plus en plus sa robe que ce soit en bas ou en haut, rendaient l'après-midi très savoureux et délicieusement chaud et coquin...
Ses seins magnifiques débordaient d’amour et offraient le vertige aux passants tandis que son déhanché naturel accentuait irrémédiablement l’ouverture du bas de sa robe et la vue quasi immanquable de la naissance du galbe de ses fesses mais également parfois de sa vulve...
Sans trop s’en rendre compte (?), c’est aussi et surtout moi qu’elle avait « teasé » tout au long de l'après-midi... !
Aussi, le reste du parcours après avoir repris la route, je ne pu m’empêcher de la doigter...
Son sexe largement ouvert était d’une chaleur, d’une douceur et d’une moiteur absolument folles...
Elle jouit... Je bandais...
J’avoue que j’aurais aimé et même sûrement mérité qu’on aille plus loin et qu’on fasse l’amour...Mais je n’étais pas si impatient...Je savais que nous en aurions la possibilité très rapidement et j’aimais beaucoup aussi, tout comme elle, à jouer à nous « chauffer » et à rester dans une « zone d’attente », tout à la fois coquine et frustrante mais si délicieuse pour qui sait guetter et attendre l’instant paroxysmique qui en découlait immanquablement à chaque fois...
Nous adorions en jouer l’un et l’autre...C’était trop bon...
 Robert, Bob pour nous, ravi de nous revoir, venait de terminer son service et nous invita au café restaurant de la plage pour nous désaltérer. Il était beau, bronzé, charmant et très attentionné.
Il nous fit part de son idée et de ses projets pour la soirée, nous indiquant qu’il serait vain de vouloir se reposer avant deux heures du matin vu la proximité et les horaires de la boite de nuit jouxtant la cahute où nous devions passer la nuit. Il nous informa également, si cela ne nous embêtait pas, que deux de ses récentes amies se joindraient à nous.
Nous lui avons indiqué, pardon, Ana lui a indiqué que nous étions à sa disposition et que plus il y avait de fous, plus il y avait de plaisirs...
Ana était ainsi et ce dont on aurait fait comme reproche de sans gène à d’autres personnes et dont on aurait pu se moquer, Ana faisait passer cela avec un si beau sourire et avec une telle candeur, qu’on la pardonnait volontiers tous ses lapsus...
Elle avait une mémoire assez approximative et souvent « arrangée » des maximes et interprétait souvent à sa façon les citations...
Parfois même elles se transformaient en suggestions quasi explicites de ses sentiments et cela pouvait être torride...
Je pense que Bob en avait plutôt été amusé et le connaissant, ravi...
Je poussais parfois des petits « oh... ! » devant ses répliques spontanées et dynamiques, mais j’en était absolument toujours amusé et bien souvent même, au final, très heureux.
On ne s’ennuyait jamais avec Ana !
Dans l’attente de l’arrivée de ses amies, Clara et Laura, nous avait-il annoncé, Bob nous emmena faire une balade en zodiac avant de diner.
 Nous en avons apprécié la fraicheur après cette longue journée de route due aux bouchons des vacanciers et touristes – nous étions un samedi - jour des arrivées et départs des locations-
Cependant être bloqué et retardé sur une des plus belles routes en corniche de bord de mer desservant de très nombreux et pittoresques villages, n’avait pas non plus constitué un enfer insurmontable, ce d’autant que je j’avais pu ainsi doigter Ana tendrement et très longtemps.
Nous pûmes, et Ana apprécia réellement, prendre un bain un peu plus au large où la fraicheur de l’eau nous requinquât facilement de cette journée passée dans la ville et la voiture.
Personne n’avait prévu de maillot mais aucun d’entre nous ne fut en peine de se mettre nu pour se baigner.
Je remarquais qu’entre Ana et Bob les regards corporels étaient réciproques et je m’en amusais délicieusement.
Bob était généreusement doté par la nature et son physique entretenu sur un bronzage parfait le rendait réellement sexy...
Je les connaissais tous les deux intimement, j’avais fait beaucoup de sport avec Bob, et si nous devions aller plus avant dans nos échanges, je savais que cela serait plaisant pour tout le monde...
Peut-être même l’espérais-je secrètement...
C’était aussi cela mon Candaulisme...
Oser faire profiter ses amis de ses "trésors" et les partager... !
En serais-je capable ?
Bob était un ami... ! Un très bon ami !
Nous n’en avions pas parlé avec Ana mais depuis cette histoire de la rentrée universitaire passée et tout ce que nous avions vécu à Toulouse, ce n’était pour moi qu’un détail que mes pensées même les plus osées soient parfois devancées par les audaces et l'imprévisibilité d'Ana, tant notre relation avait évolué favorablement vers nos désirs les plus profonds et secrets entre elle et moi.
Il s’était instauré une si belle et tendre complicité, parfois même sans concertation et tout en provocation ou test (l’expérience du serveur de ce midi m’en était la preuve...)
Nous n’en avions nullement discuté. Nous étions sur la même longueur d’ondes et même si ses audaces, que j’appréciais au plus haut point chez Ana et que j’apprécie chez les femmes en général, me surprenaient souvent, je ne tardais jamais à la rejoindre tant cela correspondait à ma nature profonde...Mon éducation m’avait parfois retenu ...Elle, elle savait me toucher au plus profond de mon être, me faire réfléchir et sortir, pour mon bonheur, le sien et celui de notre couple, de ma zone de confort...
Je ne l’ai jamais regretté...
Les amies du moment de Bob, charmantes, étaient arrivée à la cahute à notre retour de Zodiac.
Maître-nageur facilite manifestement les contacts et intérêts, et nous préparâmes pour aller au restaurant avant que la boite de nuit n'ouvre vers 23 heures.
 Elle fermait vers 2 heures du matin, arrêté municipal oblige, Bob nous l’avait indiqué mais les échanges entre les fêtards se produisaient en amont et surtout après sur cette même plage...
Il y avait déjà beaucoup de monde qui attendait...Il devait être un peu plus de vingt et une heures.
Ana était vraiment charmée par Bob, je le voyais. Je m’en réjouissais même.
Bob était vraiment un ami.
Ce que nous avions vécu à Toulouse que ce soit dans le restaurant Tex-Mex et surtout après (je vous le raconterai plus tard) avec Elena et quelques-uns de ses amis m’avait conforté dans mes désirs et envies Candaulistes tandis que je remarquais qu’Ana s’y retrouvait tout autant sinon plus encore que moi ...
Elle aimait être belle et elle l’était, être au centre des attentions, parfois même provoquer...
Elle était belle radieuse, lumineuse, détendue, heureuse...
Je la voyais en permanence rire, sourire et cela me convenait parfaitement. Cela m’enchantait et me faisais en retour le plus grand bien...
Je me sentais tellement heureux, en confiance, encore plus homme... !
C’est assez paradoxal de dire cela tandis qu’on autorise d’autres mâle à courtiser sa femelle et même parfois à la saillir, mais cela me rendait dix fois plus sûr de mon attrait, ce qu’Ana me confirmait jour après jour en me revenant quoiqu’il arrive encore plus et toujours amoureuse.
Je ne doutais plus de moi...Je ne doutais plus d’elle...On partageait tout en confiance et en bonheur...Et même les partages en devenaient plus intenses et s’inscrivaient dans le temps de par les souvenirs tendres qu’ils nous laissaient immanquablement...C’était comme si, au lieu de les vivre une fois, de « consommer » un ou des plaisirs, ils s’additionnaient sans cesse et se potentialisaient.
J’avoue alors que j’étais maintenant sans cesse curieux, voire excité, tant je connaissais les regards de mon amie, ses attitudes, ses envies qui rejoignaient, voire anticipaient, bien souvent les miennes... Je les vivais avant, pendant, après...
Le candaulisme avait pour moi cette vertu de catalyser, d’exacerber nos relations et les rendaient irrésistibles, divines, mille fois plus intense...
C’était comme savoir perdre ou lâcher pour gagner plus encore...Plus encore même que l’on peut imaginer...Oui c’était réellement un bénéficie tel que même nos imaginaires ou plutôt nos habitudes s’en trouvaient chamboulées, rendues caduques devant tant de jouissances et réjouissances proposées et surtout vécues...
Oui, c’était tout cela qui se manifestait à moi et devant moi maintenant, devant Ana, devant nous.
Un espace incommensurable de libertés, de bonheurs, de récompenses...
Mon ami Bob, mâle assuré et extraverti n’avait aucune peine à voir que nous étions heureux.
Il était également heureux que nous nous soyons arrêtés...
Il nous avait indiqué qu’il ne fallait pas s’attendre à un grand confort dans ce qui lui servait de logement, en fait le local SNSM du site, et s’en était par avance excusé nous disant que nous n’aurions que des matelas gonflables dans un espace exigu pour trois pour toute couche et que la douche ne serait que celle de la plage une fois les vacanciers partis où avant qu’ils ne reviennent.
Je connaissais auparavant les lieux car j’y avais moi-même été Maître-Nageur quelques étés auparavant et Ana avait trouvé que cela serait sûrement une expérience intéressante et sympathique, en tout cas certainement un agréable souvenir...
La soirée fut assez arrosée et les esprits ne tardèrent pas à s’échauffer...
Bob nous proposa à l’issue du restaurant et dans l’attente que la boite n’ouvre de goûter un petit Banyuls qu’une charmante plagiste qu’il avait parfaitement comblée et sautée lui avait récemment offert...
Bob était un « chaud-lapin » et un insatiable baiseur.
C’est d’ailleurs ce qui nous avait fait nous rencontrer et même détester dans un premier temps au sein de notre club de musculation puisque nous avions jeté notre dévolu sur la même et accorte jeune femme....
Nous avions à terme sympathisé et fini par proposer à la belle de l’époque un plan à trois qu’elle n’avait pas accepté, nous traitant publiquement et en peine séance de cardio dans une salle pleine, de dépravés, pervers et autres amabilités...
Elle ignorait que c’est ce qui nous fit devenir encore plus amis et même, si elle avait su la belle, nous offrit de multiples occasions de trios et autres parties fines avec quelques femmes ayant assisté à l’esclandre mais qui elles, loin de nous juger, profitèrent pleinement de nos désirs, saisissant l’opportunité de savoir que deux libertins gaillards pouvaient proposer ce genre de chose...
Ce qui me rassurait aussi de lui.
Je savais qu’il était tout autant partageur que moi et que seul le sexe l’intéressait...
Il aurait pu faire un parfait Candauliste s’il n’avait pas accordé trop d’importance au challenge, à la compétition et donc aussi souvent au jugement et à la jalousie...
Un trop plein d’égo jouait aussi en sa défaveur ainsi qu’une culture « machiste » exacerbée par une éducation stricte à l’Italienne donnée par son beau-père pour admettre un instant que d’autres que lui puissent toucher celle qui serait sa « Madonne »).
Dans l’attente de l’ouverture de la piste de danse, il nous invita à nous installer sur une petite digue bétonnée surplombant l’anse un peu à l’écart et permettant d’admirer le coucher de soleil...
Chacun d’entre nous s’installa ainsi sans ordre pré-établi mais pour autant, c’est en quinconce que nous nous retrouvâmes : une femme, un homme (moi), une femme (Ana en l’occurrence), un homme (Bob) et enfin sa seconde amie ...
Nous nous étions serrés du fait de l’angle de vue du soleil couchant à cet endroit et nous étions très proches les uns des autres...
Bob déboucha la bouteille de vieux Banyuls à la couleur mordorée.
Nous admirions la beauté du site et la descente lente et majestueuse du soleil dans la mer... On aimait ainsi toutes et tous la beauté et le charme du lieu. La soirée était vraiment très agréable.
La gourmandise du vin gorgé de sucs et de soleil, d’un bonheur et une douceur incroyable, ne tarda pas à nous enjouer plus encore...
Ana m’embrassait de temps à autre et se lovait tendrement contre mon épaule...
Bob n’était pas en reste avec sa voisine de droite...
À un moment celle-ci osa même caresser et taquiner Bob, d’abord sur ses cuisses fuselées et musclées, puis par-dessus son short au point de le rendre assez visiblement bandant...
Ana s’en aperçu aussi et me demanda à l’oreille si, et c’était son péché mignon que de caresser un sexe offert et tendu près d’elle ou vers elle, elle pouvait se joindre à la belle pour profiter pleinement de l’instant :
« On est là aussi pour ça, non, c’est les vacances ? me dit-elle en me glissant un clin d’œil... ça t’ennuie si c’est avec Bob ? Profite aussi mon chéri...L’autre amie de Bob, Clara je crois, serait déçue de ne pas participer...Tu as vu comment elle te dévorait des yeux pendant le dîner ? Elle est belle non, me dit-elle en riant ? Je sais qu’elle te plait tout comme tu sais que Bob me plait... ! »
Que lui répondre, je n’en eu pas le temps d’ailleurs, si ce n’est qu’en lui adressant un vrai regard complice et un baiser tendre et passionné, lui signifiant entre autres :
« Va ma belle, sois belle...Sois heureuse, fais-toi plaisir...Prends et donne du plaisir...Je suis si amoureux et fier de toi...Que puis-te refuser... ? »
« T’inquiètes...dit-elle partant d’un éclat de rire que tout le monde put entendre, je m’occupe de lui et reviens vers toi aussi, tu connais ma gourmandise... ! »
Aussi, Ana saisi de sa main gauche mon membre qui n’avait pas lui non plus tardé à gonfler au travers de mon léger pantalon de soirée, le sortit de son écrin (on ne portait ni elle ni moi aucun sous-vêtement en été...) et commença à me masturber adroitement et plaisamment.
Dans le même mouvement et alors que l’amie de droite de Bob avait elle aussi dégagé le splendide sexe de Bob de son short trop moulant pour le caresser plus aisément, Ana se pencha et engloutit avidement l’engin de mon ami, grillant un peu la priorité à Laura en impatiente gourmande...
Laura, l’amie audacieuse de Bob ne s’en offusqua pas et caressa même tendrement les cheveux ondulés d’Ana tout en encourageant son initiative en aidant le mouvement de tête de ma belle prenant à pleine bouche l’engin majestueux de mon ami...De son autre main elle dégagea habillement les pointes déjà hautes et acérées des seins sublimes d’Ana pour les caresser en les effleurant...Ana émettait déjà de doux et si plaisants gémissements qui ravissaient tout le monde...
La nuit nous avait fort heureusement déjà légèrement couverte de sa discrétion et peu de personnes malgré le monde présent sur la plage pouvait nous voir ou nous entendre...
Aurait-ce d’ailleurs été un drame tant il me semble que le spectacle que l’on offrait pouvait être assez sensuel et beau...
Ana étant néanmoins de nature partageuse, ne tarda pas à laisser et partager le sexe de Bob qui devenait turgescent et impatient...
Ana revint ainsi comme promis vers moi et m’engloutis à mon tour tout en attrapant la main de Clara, l’autre amie de Bob assise à ma gauche, pour la diriger vers la base de mon sexe complétement sorti et accessible. Elle lui signifia de me caresser les couilles que j’avais par nature fermes et développées...
Pendant ce temps, mes mains avaient elles aussi pris le chemin de la chatte de ma voisine que je trouvais entrouverte et déjà humide sans aucun sous-vêtement sous sa courte jupe d’été...
Ses seins dardaient également sous le mini haut qu’elle portait et mes lèvres furent irrépressiblement attirées par ses pointes majestueuses...
Nous formions alors un îlot et une chaîne d’amour.
Je crois que c’est aussi réellement cette capacité de partage absolu et d’amour du beau qui définissent le Candaulisme...J’en suis convaincu.
Le soleil s’était maintenant éclipsé en grande partie tandis que nous ne commencions qu’à nous élever vers nos plaisirs et jouissances partagées et à nous engouffrer dans une pleine et entière nuit d’amour...
C’était certain...
Bob osa un : « On n’est pas bien là... ? », et la nuit débuta...
Bob s’était levé et les deux belles, Ana et Laura s’étaient mises à genoux devant son mat « bordé » à mort pour l’emboucher et le partager savamment tour à tour...
Il les accueillait dignement et de ses mains les encourageait à venir au plus loin de son bout...
De son côté Clara, à peine Ana m’avait-elle délaissée pour goûter pleinement au fier mât de Bob, s’était directement empalée sur mon dard le recouvrant de son cul et l’insérant adroitement dans sa fente déjà brûlante et inondée...
Je l’aidais délicatement en prenant à pleines et douces mains ses fesses charnues en la levant selon ses désirs et les rythmes qu’elle souhaitait...
Ana se redressa et se mit debout, laissant Bob se laisser dévorer par sa copine et vint placer au plus près de ma bouche sa chatte impatiente : « Dévores-moi mon Amour...Bouffes-moi la chatte comme tu sais si bien le faire...Chauffes-moi...Rends-moi liquide et chaude comme cet après-midi dans la voiture...Je veux que Bob quand il aura joui une première fois dans la bouche de sa copine me prenne en levrette devant toi... Je te sucerai aussi en même temps quand Clara aura bien fini de t’exciter...
Nos copines nous caresserons alors de partout avant que chacune d’elle vienne prendre ma place, que vous les honoriez, les baisiez et qu’on vous fasse jouir comme jamais vous n’avez joui vous les hommes... »
Souvent, les audaces et envies d’Ana dirigeaient les ébats...Il en fut encore le cas ici...
Les deux amies de Bob s’exécutèrent comme captivées et envoûtées par les désirs d’Ana qui venait les encourager tout à tour de ses mots crûs et choisis qu’elle leur glissait à l’oreille et des caresses adroites et précises de ses mains...
Ce fut une apothéose de jouissances avant qu’Ana, une nouvelle fois directrice, nous invite à la suivre dans le noir bleuté de la mer si proche, pour un bain de minuit revigorant...
J’ai pu la prendre tendrement un instant dans mes bras tout en la perforant de mon sexe de nouveau bandant et partageant nos « je t’aime » tout aussi vrais qu’intenses...
Bob s’occupait de ses deux amies pas très loin de nous dans cette mer si belle et accueillante...
Nous nous rhabillâmes tranquillement au milieu d’autres personnes dont la nuit maintenant tombée pouvait à peine nous cacher les ébats et nous dirigeâmes vers la cahute de la SNSM pour tous nous refaire un visage humain à la lumière d’une frontale avant de rejoindre la boite et sa piste bondée où nous nous mirent à danser et de nouveau à picoler...
La soirée n’était visiblement pas terminée...
Il devait être une heure du matin maintenant...
Un peu avant et pendant qu’Ana se refaisait une beauté, elle était incroyable d’aisance dans ce domaine tant en peu de temps et avec peu de chose elle semblait sortir tout droit d’un magasin chic, fashion et à la mode..., je discutais avec Clara et Laura de leurs vacances dans cet endroit...
Elles y étaient pour une semaine et avaient rapidement fait connaissance de Bob qui les avait déjà invitées dans la boite de nuit et s’étaient retrouvées à le câliner à deux, une première pour elles m’avouèrent -elles, dans cette même cahute que nous devions occuper ce soir avec Ana et Bob, un ancien casot de la vigne proche où nous aurions à passer la nuit.
« Ne t’inquiète pas me dit Clara avec son franc sourire et sa confiance tout en adressant un clin d’œil à Laura, il y a de la place pour trois...Il faut juste être comme nous partageurs et visiblement vous l’êtes, me dit-elle, en me caressant l’avant-bras... C’est bien...Ana est superbe, tu as beaucoup de chance »
« Est-elle réellement bi, me demanda innocemment Laura (?) ou est-ce juste par jeu qu’elle nous a caressée ? Clara et moi le sommes. Nous vivons aussi en couple, comme vous, et nous autorisons à draguer les hommes, souvent le même, ce soir étant une exception car vous êtes deux avec une si charmante femme, nous nous ressemblons tellement dans nos goûts... 
Oui, je te demande ça car Ana est vraiment douée pour caresser les femmes...on en a parlé avec Laura et on ne sait pas si elle est bi...Quand nous dragons une femme bi, ce qui est très rare car il faut vraiment qu’elle nous plaise à toutes les deux, nous nous demandons la permission avant et il faut que toutes les deux on accepte...C’est notre code et notre conduite ...Là, vous nous avez un peu surpris et nous ne savions pas toutes les deux si nous pouvions nous lâcher avec elle... Bob ne nous avait parlé que d’amis venant le rejoindre... ! On n’en avait pas parlé avant, Bob et toi étaient là et nous ne savions pas si vous aussi vous aimiez voir et regarder des femmes entre elles...On ne connaissait pas Ana et ne savions pas si elle aimait les femmes... ? Il semble que oui...ou en tout cas ce serait dommage qu’elle ne soit pas bi... Vraiment dommage... !
Elle est si attirante, belle, radieuse et lumineuse...Laura est d’accord aussi pour la draguer et aller plus loin avec elle...Tu penses que c’est possible ?
Que répondre à ces gourmandises ?
Il y a quelques mois, j’aurais pu hésiter mais là non...
Plus du tout même après tout ce qui s’est passé à Toulouse avec Elena et d’autres encore ...
« Oui, oui et oui les filles, mais attention, elle est aussi douée avec et pour les femmes que pour les hommes...C’est à vos risques et périls...Tu as vu tout à l’heure comment elle est capable de prendre les choses en main... »
Cette expression la fit éclater de rire tandis qu’Ana apparaissait effectivement magique et envoûtante...
« On parle de moi..., dit-elle d’un sourire faussement jaloux...Attention, j’aime ou je pourrais aimer !
Tu peux y aller mon Chéri...
Venez les filles, pendant qu’ils se préparent à leur tour, on va dire du mal de nos hommes, de la soirée et pourquoi pas se faire un plan cul entre filles vu qu’on les a déjà sûrement pas mal usés...Et pourquoi pas aller mâter d’autres mecs... ? Il doit bien y en avoir des canons dans cette boite... Et les nôtres sont certainement déjà fatigués », ajouta-t-elle, fidèle à son goût de la provocation...
Laura et Clara étaient rassurées, riaient aux éclats, déjà séduites et impatientes du reste de la soirée...
Oui, c’était vrai que j’étais chanceux d’être le partenaire d’Ana et plus encore depuis cette soirée estudiantine et le début de nos vacances de cette année...
Ana avait franchi un cap vers son épanouissement sexuel dont je profitais et me ravissais avec délectation et gourmandise tant c’était également ce à quoi j’aspirais depuis toujours...
Mon Candaulisme longtemps refoulé et surtout mal cerné m’apparaissait aujourd’hui au grand jour, et vu qu’il était pleinement et entièrement partagé par Ana, que pouvais-je demander de mieux... ?
J’étais aux anges et sur mon petit nuage depuis quelques jours et l’avenir, déjà cette soirée, s’annonçait réellement radieux.
Suite prochaine...
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