#Ecclesiastical Latin Fest
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ecclesiasticallatinfest · 1 year ago
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In our first ever Our Flag Means Non-English Fanworks Fest!
Rolls off the tongue, doesn't it.
As we all know, the Our Flag Means Death fandom community is spread across the globe (Awesome map set up by the RenewAsACrew team and filled in by the fans!)
So how about we celebrate how international we are and focus on non-English languages with a fanworks fest that will run from the 7th of February 2024 until the 15th of February!
And by fanworks, I mean:
Fanfic
Fanart/fancomics
Fanvids
Meta on translation/subtitling/dubbing choices!
Schedule and rules under the Read More:
Schedule:
7th & 8th of February: Write fic in a non-English language OR translate a fic into a non-English language. (If you want to do the latter and translate someone else's fic, check the fic author's profile to see how they feel about translations!)
9th & 10th of February: Make fanart or a fan comic in a non-English language.
11 & 12th of February: Make an OFMD fanvid to a non-English language song. (Hard mode: Don't use Con's French version of La Vie En Rose. Bonus points if you make a supercut of all the different dubs of Oh Daddy for some multilingual awkwardness)
13th & 14th of February: Write meta on the translation choices made when it comes to dubbing and subbing to a non-English language you speak, OR write about meta about the use of non-English in the show.
For example, here is some meta from a while ago on the German dub and how it handles the formal and informal form of address, and here's one that does the same with French.
15th of February: Catch-up day and also AO3's International Fanworks Day!
This is both a catch-up day for posting fanworks mentioned above OR catching up on commenting on those fanworks! And obviously you can also comment on non-English fanworks that were posted outside of the fest!
Rules:
All characters and pairings welcome.
All ratings welcome.
All non-English languages welcome - AO3 supports the following languages.
Please post your fanwork to the AO3 Collection (if possible and if you like) to make it easy for everyone to see the fanworks made for the event.
Please use either Ecclesiastical Latin Fest and/or EcclesiasticalLatinFest if you post about it on Tumblr or Twitter or elsewhere to make it easy for everyone to see the fanworks made for the event.
You can use a few sentences of English in your fic here and there, same as English fics often have Jim saying some words or sentences in Spanish.
You can start posting your fanwork when it is the correct day in your timezone.
You can participate if you're a native English speaker, so break out your best secondary school/Duolingo German/French/Spanish! There's no foreign language practise like reading and writing fic.
Don't be a dick.
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krystal280791 · 11 months ago
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[OFMD] Ed & Stede - Il Leone e la Gazzella (Eng Sub)
Last entry for the @ecclesiasticallatinfest. This funny video is the result of the collaboration between my friends from the OFMD Italia discord server *! 😊
For this we used a dialogue taken from the movie "Così ù la Vita" by the comic trio Aldo, Giovanni and Giacomo where one of the main characters, to impress his date, tells a story suggested by his friends and despite the terrible attempt the scene ends with a passionate kiss between the two of them! 😁
* ↓
Se sei un fan italiano +18 di OFMD e vuoi unirti a noi, puoi accedere da qui: DISCORD 😉
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amuseoffyre · 11 months ago
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Written as part of the @ecclesiasticallatinfest, behold my first fic written entirely in Scots. Of course it's about Buttons :D
Snippet:
E’en as a wean, Nathaniel had a love for the sea. They bided in a wee hoose doon near Leith. His paw spent all his days oot on the waves and his maw gaithered up the catch in her creels to tak them tae the mairket. Salt and fish and the slap o’ the waves was as much a pairt of his life as breathing.
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wistfulcynic · 11 months ago
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savez-vous pourquoi on a les tournesols
i learnt about @ecclesiasticallatinfest um, yesterday, but i thought it was a great idea and wanted to participate so i knocked up a quick translation of my shortest fic. i'm an experienced translator but i always do french to english so going the other way was a challenge. Fortunately i knew exactly what the author meant by everything though she is a bitch for the flowery prose. i may have taken a few liberties with the french language, including disposing entirely with the passé simple because i cannot be arsed, so i hope gentle readers you will be kind.
original fic is here
translation is here
Stede Bonnet ressemble parfaitement Ă  un des hommes dans son tableau prĂ©fĂ©rĂ©. Un jour, il rencontre l'homme qui ressemble Ă  l'autre. Ça donne l'impression d'ĂȘtre destinĂ©.
(Il l'est.)
savez-vous pourquoi on a les tournesols
Stede Bonnet adore les musées. 
C’était toujours comme ça, depuis sa premiĂšre visite, lors d’un voyage scolaire. Un voyage qui Ă©tait, Ă  tous les autres Ă©gards, bien peu mĂ©morable. Les tourments habituels des jumeaux Badminton et de leur cohorte, la solitude habituelle de Stede, lui seul avec ses livres et ses pensĂ©es. 
Mais il se souvient du tableau. 
Il se souvient de ces deux hommes sur le pont de leur navire, si vivement rendus par touches d’huile qu’il avait l’impression de sentir lui-mĂȘme le vent qui fouettait dans leurs cheveux et gonflait les voiles de leur vaisseau. Il se souvient de la fiertĂ© de leur posture, l’absence total de peur. Il se souvient de leur unitĂ©, le fil de leur lien impossible de nier, palpable mĂȘme depuis une peinture et Ă  travers trois cents annĂ©es. Il se souvient du dĂ©sir ardent qui animait sa jeune poitrine. C’était ça ce qu’il voulait. Cette unitĂ©. Ce lien. Ce quelqu’un qui le regarderait du maniĂšre dont les pirates du tableau se regardaient. 
Personne n’avait jamais regardĂ© Stede Bonnet comme ça. 
MĂȘme aujourd'hui personne ne le regarde comme ça. Ni ses parents, ni son ex-femme. MĂȘme pas ses enfants. Il traverse la vie comme il traverse les rues de Londres, seul parmi les foules bouillonnĂątes des gens—familles, amis, amants. Mais pas pour lui. Jamais pour lui. 
Mais il adore toujours les musées. 
Il est aujourd’hui le conservateur de l’aile du XVIII siĂšcle de la National Gallery de Londres, un boulot de rĂȘves pour lequel il a travaillĂ© toute sa vie. Il devrait se sentir triomphant, et il l’est, vraiment. Mais
 doucement triomphant, et pour la plupart Ă  soi-mĂȘme. Le fait qu’il n’ait personne avec qui le partager ne fait rien, pas vraiment. Aller chaque jour au musĂ©e, savoir que c’est sa place, une place qu’il a mĂ©ritĂ©e, c’est ça qui lui rend heureux. Plus heureux qu’il n’a jamais Ă©tĂ©. Ça suffit. 
Lorsqu’il acquiert le tableau, le tableau, celui qu’il a vu pour la premiĂšre fois Ă  Auckland il y a tant d’annĂ©es, son bonheur est complet. Chaque jour il va dans sa gallĂ©rie et se tient debout en face de ce tableau et le regarde. Il se tient debout et il regarde et il ressent Ă  nouveau ce dĂ©sir presque douloureux dans sa poitrine. 
Peu à peu il se rend compte de quelque chose, une quelque chose trùs particuliùre dont il ne sait pas trop quoi faire. Un des hommes du tableau, celui du droit, l’homme blond à la barbe courte et pointue et à l’allure fringante, sa chemise blanche flottante et sa ceinture en soie turquoise autour de la taille, cet homme
 il ressemble à Stede. 
Exactement comme Stede. À tel point que c’en est bizarre. Il ne l’a jamais remarquĂ© autrefois, Ă©videmment, comment aurait-il pu? Mais maintenant qu’il est plus Ăągé—du mĂȘme Ăąge, semble-t-il, que l’homme du tableau—le ressemblance est indĂ©niable.
Il se laisse pousser la barbe, par curiositĂ© acadĂ©mique, il se dit. Juste pour voir si la ressemblance est renforcĂ©e ou entravĂ©e. Il se laisse pousser Ă©galement ses trĂšs courts cheveux, afin de mieux ressembler les boucles du tableau. Il introduit de la couleur dans sa garde-robe, les bleus vifs et les verts joyeux, mĂȘme un petit jaune impertinent, de temps en temps. Il dĂ©couvre qu’il adore la couleur, et la mode, et qu’elles l’adorent en revanche. S’habiller le matin devient un plaisir et non plus un corvĂ©e. 
Ne plus il se heurte les gens dans la rue parce qu’ils ne le remarquent pas. PlutĂŽt, les inconnus hochent la tĂȘte Ă  son passage et lui rendent ses sourires amicales. Ils arrivent mĂȘme de faire la bavardage dans les queues. Ils gloussent s’il tente une petite blague. Il commence Ă  faire des blagues exprĂšs. Les gens rient. Ils rient d’amusement et pas de moquerie. Pour Stede, ça change tout. 
Ce Stede avec plus de confiance, plus de couleur, dĂ©bordant d’une exubĂ©rance naturelle enfin libĂ©rĂ©e et tellement ravi de se ressembler si parfaitement Ă  l’homme du tableau, commence Ă  tourner plus frĂ©quemment envers l’autre. Cet homme que, mĂȘme enfant, il a trouvĂ© presque trop magnifique pour apercevoir. Cet homme grand, beau, tout vĂȘtu en cuir, sa barbe et ses cheveux longs fouettĂ©s par le vent et glorieux, qui contemple le doppelgĂ€nger peint de Stede avec le regard le plus doux qu’il n’ait jamais vu. 
Ce regard. La douleur dans sa poitrine devient insupportable lorsqu’il y pense, mais il y pense tout de mĂȘme, et frĂ©quemment. 
MalgrĂ© sa confiance en lui rĂ©cemment trouvĂ©, il n’existe toujours personne qui a jamais regardĂ© Stede Bonnet comme ça. 
--
“SacrĂ© tableau, n’est-ce pas, mon pote?” 
Stede se dĂ©tourne de sa contemplation matinale du pirate vĂȘtu en cuir, surpris et ravi d’entendre la cadence d’un accent familier. C’est rare qu’il rencontre un autre Kiwi Ă  Londres, mĂȘme si la ville accueille des gens venus des quatre coins du monde.
“Vous savez, c’est drĂŽle,” reprend la voix. Elle est profonde et rĂ©sonnante et elle caresse la peau de Stede comme du cachemire. “Je me souviens une fois, lorsque mon enfance en Nouvelle-ZĂ©lande, j’ai vu ce tableau. J’y suis restĂ© en regardant pendant une bonne vingtaine de minutes. Les autres gamins se sont partis sans moi et le prof a dĂ» revenir m’emmener pratiquement Ă  l’écart. Je me rappelle plus le nom du prof mais je n’ai jamais oubliĂ© ce tableau.” Il se tourne vers Stede qui peut maintenant voir tout son visage. “Peut-ĂȘtre que ça vous paraisse fou, mais diriez-vous—pensez-vous que cet homme, celui de la gauche
 vous pensez qu’il me ressemble?” 
Stede rest sans voix, bouche bĂ©e. Parce que oui, il dirait, oui. L’homme du tableau te ressemble vachement et s’il existe personne qui peut le dĂ©clarer avec autoritĂ© c’est Stede. C’est lui, aprĂšs tout, qui avait regardĂ© ce tableau chaque jour et tous les jours pendant tout de l’an dernier. L’homme Ă  son cĂŽtĂ© a la mĂȘme taille, les mĂȘmes cheveux longs et barbe magnifique. Et lorsqu’il se retourne et leurs yeux croisent, Stede a le souffle coupĂ©. Les yeux aussi se ressemblent, ce marron doux et chaleureux. Ils traversent le visage de Stede et ils s’écarquillent, signe de reconnaissance d’abord, puis d’émerveillement. 
“C’est toi,” il chuchote. “Cet homme, l’autre. C’est—c’est toi.”
Stede sait qu’il doit dire quelque chose, n’importe quoi, et donc il lance les premiers mots qui lui viennent de l’esprit. 
“Es-tu rĂ©el?” 
C’est une question de merde et il se sent ridicule pour la poser, mais les beaux yeux de l’homme se plissent sur les bords et il rit. Il rit d’amusement et non de moquerie. Le Stede d’aujourd’hui connait la diffĂ©rence. 
“Aussi rĂ©el que toi, mon pote. Je m’appelle Ed.” Il lui tend la main. 
“Stede,” rĂ©pond Stede, en la prenant. Un frisson Ă©lectrique parcourt sa peau, du point de contact jusqu’à l’extrĂ©mitĂ© de toute terminaison nerveuse qu’il possĂšde. Il retient Ă  peine son souffle. “Je suis le, um, conservateur. Du musĂ©e. Fin, pas du musĂ©e entier, seulement l’aile du dix-huitiĂšme siĂšcle, mais c’est pas important en fait, ce que c’est important c’est que moi aussi.” 
“Toi aussi?” rĂ©pĂšte Ed. 
Stede hoche la tĂȘte avec enthousiasme. “Moi aussi, j’ai vu ce tableau lorsque mon enfance en Nouvelle-ZĂ©lande. J’arrivais pas Ă  me dĂ©tourner, moi non plus. Et je—” 
“Ne l’a jamais oubliĂ©?” 
“Ne l’ai jamais oubliĂ©! Je l’ai acquis Ă  la premiĂšre occasion. Ce n’était quïżœïżœaprĂšs que je me suis rendu compte que, er—que l’homme dedans avait—” 
“Ton visage?” 
“Ouais.” Stede hausse lĂ©gĂšrement les Ă©paules. “Mon visage.” 
“C’est un bon visage,” dit Ed. La frisson Ă©lectrique s’intensifie. Il dĂ©couvre qu’il tient toujours la main d’Ed. 
“Sais-tu ce que j’aime le plus?” il demande. 
“À propos de ton visage?” 
“Non!” Stede proteste, avant de se rendre compte qu’Ed le taquine. Il sent ses joues rosir mais il continue. “Non, pas à propos de mon visage. Dans le tableau.” 
“Qu’est-ce que tu aimes le plus dans le tableau?” 
“C’est la maniĂšre dont ils se regardent,” dit Stede. “Ils sont si connectĂ©s et les expressions sur leurs visages, c’est—” 
“L’amour,” finit Ed. Sa voix est bourrue. “Ils se sont amoureux.” 
“C’est ça.” Les mots se coincent dans sa gorge. “En tant que garçon je ne pouvais pas le voir. C’est Ă  dire, je l’ai vu mais je ne savais pas ce que c’était. Tout ce que je savais c’était que je voulais quelqu’un Ă  me regarder comme ça. Mais personne ne l’a jamais fait.” 
“Jamais?” 
“Non. Pas—” Stede s’arrĂȘte, happĂ© par les yeux d’Ed. Ce regard lui coupe le souffle. 
Ed maintient son regard tout en relĂąchant la main de Stede, tout en entourant la mĂąchoire de Stede de sa main, ses doigts s'enfonçant dans ses cheveux, s'enroulant autour de l'arriĂšre de sa tĂȘte et l'attirant plus prĂšs de lui. 
"Pas jusqu'à ce moment,” murmure-t-il, puis ses lùvres se posent sur celles de Stede. 
Le baiser est d'abord doux, hĂ©sitant. Stede n'a jamais vraiment aimĂ© embrasser ; il est peu expĂ©rimentĂ© dans ce domaine et mĂȘme moins enthousiaste, malgrĂ© ses dix ans de mariage. Mais ce baiser, ce baiser, l'illumine de l'intĂ©rieur ; ce picotement Ă©lectrique travers sa peau et s’infiltre dans ses os. Il se retrouve penchĂ© sur le corps d'Ed, agrippant sa taille, poussant un petit gĂ©missement impuissant qui attire un gĂ©missement plus profond de la part d'Ed. Le baiser devient chaud, humide, tout Ă  fait inappropriĂ© pour un mardi matin pluvieux sur son lieu de travail, mais Stede s’en fout pas la gueule.
AprÚs, ils restent en se regardant, yeux écarquillés et haletants, et puis en unisson parfait ils se tournent comme tirés par un fil, vers le tableau. 
Les deux hommes leur sourient, leur sourient, il n’existe pas la moindre doute. Le sosie d’Ed leur fait un clin d’oeil, tandis que celui de Stede hoche sa tĂȘte avec un sourire fier et content. “J’étais sĂ»r que tu l’aurais trouver,” Stede entend dire sa propre voix, dans sa tĂȘte Ă©videmment mais les mots sont aussi clairs que comme s’il les avait dit lui-mĂȘme. 
Il se retourne vers Ed. “T’as entendu—” 
“Ouais,” rĂ©plique Ed. “J’ai entendu.” 
Ils regardent à nouveau le tableau, qui est précisément comme il a toujours été. 
“Viens dĂ©jeuner avec moi,” dit Ed, abruptement. 
“Il est dix heures et demie du matin!” 
“Un brunch, alors. Je sais un bon lieu, pas loin d’ici.” 
“Ah, oui?” Stede est tellement heureux qu’il a l’impression que son sang a Ă©tĂ© remplacĂ© par du champagne. “C’est oĂč ça?” 
“Mon restaurant.” Ed lui sourit. “Je viens de l’ouvrir. Blackbeard’s Bar and Grill, il s’appelle.” 
“Ooh, nom fabuleux. Et donc tu
 vises rester à Londres?” 
“Aussi longtemps que Londres veut bien de moi,” dit Ed, et Stede sait qu’il ne parle pas seulement de Londres. “Et bien. Brunch? J’ai de la marmelade.” 
Stede reste bouche bĂ©e. “Comment—comment sais-tu que j’aime la marmelade?” 
“J’ai eu de la chance,” dit Ed. Ses yeux pĂ©tillent, de chaleur et affection et interĂȘt et reconnaissance, et oui c’est enfin rĂ©el, ça se passe vraiment. Quelqu’un regarde Stede Bonnet Comme Ça. 
Ici au milieu de son musĂ©e bien-aimĂ©, devant son tableau le plus prĂ©cieux, le plus bel homme qu’il ait jamais vu, soit peint ou en personne, lui regarde de la maniĂšre dont il a si longtemps rĂȘvĂ© mais n’aurait jamais pensĂ© savoir. 
Et dans sa poitrine il se sent Ă  nouveau cette douleur mais ce n’est plus la douleur exquise. C’est la douleur d’une joie trop forte d’ĂȘtre exprimĂ©e. C’est le bonheur complet. 
C’est l’amour. 
“Le brunch serait super,” dit Stede. “C’est parfait.” Ça donne l’impression du dĂ©but de quelque chose de spectaculaire. 
Et c’est ça qu’il est.  
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denizbevan · 11 months ago
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Obviously I am curious about the untitled language fest fic :D
It's my first time trying to write something in two languages at once! 👀
And hope that it's intelligible to English readers, even without a full translation...
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thepastisalreadywritten · 1 year ago
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The word for Christmas in late Old English is Cristes Maesse, the Mass of Christ, first found in 1038, and Cristes-messe in 1131; in Latin, Dies Natalis.
Early Celebration
Christmas was not among the earliest festivals of the Church.
Saints Irenaeus and Tertullian omit it from their lists of feasts. Origen, glancing perhaps at the discreditable imperial Natalitia, asserts that in the Scriptures, sinners alone, not saints, celebrate their birthday.
Arnobius can still ridicule the "birthdays" of the gods.
The first evidence of the feast is from Egypt.
About A.D. 200, Clement of Alexandria says that certain Egyptian theologians "over curiously" assign, not the year alone, but the day of Christ's birth, placing it on 25 Pachon (May 20), in the twenty-eighth year of Augustus.
The December feast therefore reached Egypt between 427 and 433.
In Rome, the earliest evidence is in the Philocalian Calendar, compiled in 354, which contains three important entries.
In the civil calendar, December 25 is marked "Natalis Invicti."
In the "Depositio Martyrum," a list of Roman or early and universally venerated martyrs, under December 25 is found "VIII kal. ian. natus Christus in Betleem IudĂŠ."
De Santi (L'Orig. delle Fest. Nat., in CiviltĂŠ Cattolica, 1907), following Erbes, argues that Rome took over the Eastern Epiphany, now with a definite Nativity colouring and, with increasing number of Eastern Churches, placed it on December 25.
Later, both the East and West divided their feast, leaving Ephiphany on January 6 and Nativity on December 25, respectively.
The earlier hypothesis still seems preferable.
Origin of Date
Concerning the date of Christ's birth, the Gospels give no help.
Upon their data, contradictory arguments are based. The census would have been impossible in winter: a whole population could not then be put in motion.
Again, in winter, it must have been, then only field labour was suspended. However, Rome was not thus considerate.
Authorities, moreover, differ as to whether shepherds could or would keep flocks exposed during the nights of the rainy season.
Natalis Invicti
The well-known solar feast, however, of Natalis Invicti, celebrated on December 25, has a strong claim on the responsibility for our December date.
For the history of the solar cult, its position in the Roman Empire and syncretism with Mithraism have collected the evidence for the feast, which reached its climax of popularity under Aurelian in 274.
In 1700, Filippo del Torre first saw its importance.
It is marked, as has been said, without addition in Philocalus' Calendar.
It would be impossible here to outline the history of solar symbolism and language as applied to God, the Messiah, and Christ in Jewish or Chrisian canonical, patristic, or devotional works.
Hymns and Christmas offices abound in instances; the texts are well arranged by Cumont.
Liturgy and Custom
The fixing of this date fixed those too of Circumcision, Presentation, Expectation, Annunciation of the Blessed Virgin Mary, Nativity, and Conception of the Baptist (cf. Thurston in Amer. Eccl. Rev., December, 1898).
Till the tenth century, Christmas counted, in papal reckoning, as the beginning of the ecclesiastical year, as it still does in Bulls.
Boniface VIII (1294-1303) restored temporarily this usage, to which Germany held longest.
The Crib (creche) or Nativity Scene
In 1223, Saint Francis of Assisi originated the crib of today by laicizing a hitherto ecclesiastical custom, henceforward extra-liturgical and popular.
The presence of ox and ass is due to a misinterpretation of Isaias 1:3 and Habakkuk 3:2 ("Itala" version), though they appear in the unique fourth-century "Nativity" discovered in the Saint Sebastian catacombs in 1877.
The ass on which Balaam rode in the Reims mystery won for the feast the title Festum Asinorum (Ducange, op. cit., s.v. Festum).
Hymns and Carols
The degeneration of these plays, in part, occasioned the diffusion of noels, pastorali, and carols, to which was accorded, at times, a quasi-liturgical position.
Prudentius, in the fourth century, is the first (and in that century alone) to hymn the Nativity, for the "Vox clara" (hymn for Lauds in Advent).
"Christe Redemptor" (Vespers and Matins of Christmas) cannot be assigned to Ambrose.
"A solis ortu" is certainly, however, by Sedulius (fifth century).
The earliest German Weihnachtslieder date from the eleventh and twelfth centuries, the earliest noels from the eleventh, the earliest carols from the thirteenth.
The famous "Stabat Mater Speciosa" is attributed to Jacopone da Todi (1230-1306).
"Adeste Fideles" is, at the earliest, of the seventeenth century.
These essentially popular airs, and even words must, however, have existed long before they were put down in writing.
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malec-ao3feed · 10 months ago
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Delineador de olhos e verniz de unhas
read it on AO3 at https://ift.tt/bA7lBts by bidaisyfandom24 Como ele Ă© o primeiro a sair de casa, esperando pelos irmĂŁos, sĂł para sempre acabar andando sozinho, ainda Ă© um mistĂ©rio para ele. Uma daquelas coisas que provavelmente nunca serĂŁo explicadas, assim como os batimentos cardĂ­acos rĂĄpidos e borboletas que ele recebe quando pensa em Magnus Bane. Words: 647, Chapters: 1/1, Language: PortuguĂȘs brasileiro Fandoms: Shadowhunters (TV) Rating: Teen And Up Audiences Warnings: Creator Chose Not To Use Archive Warnings Categories: F/M, Gen, M/M Relationships: Magnus Bane/Alec Lightwood, Clary Fray/Jace Wayland, Simon Lewis/Isabelle Lightwood Additional Tags: Our Flag Means Death Ecclesiastical Latin Non-English Fanworks Fest, Alternate Universe - High School, School read it on AO3 at https://ift.tt/bA7lBts
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crystalthatattractsdemons · 11 months ago
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Made for the Ecclesiastical Latin - An OFMD Non-English Fanworks Fest
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dracothelizard · 11 months ago
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Obviously I had to write something for @ecclesiasticallatinfest:
Inspired by the Dutch subtitles on the S2 trailer.
Pairing: Ed/Stede
Additional tags: Episode: s01e07 This Is Happening, Alternate Universe - Canon Divergence, Liefdesbrieven, Geen betas we sterven als mijn reputatie in dit fandom, Lucius Spriggs Deserves a Raise, Oblivious Stede Bonnet
Summary:
Lucius knikte. “Een brief, ja, dat is wel een goeie. Zal ik even mijn boek halen? Dan kunnen we beginnen. En jij kunt ondertussen bedenken wat je allemaal leuk vindt aan Blackbeard.”
“Ja, ga maar snel!” Ze moesten onmiddellijk die brief schrijven.
Maar er was Ă©Ă©n probleem.
Stede vond namelijk alles aan Ed leuk.
Wat nou als Stede al in aflevering 7 van seizoen 1 een brief had laten schrijven waarin hij opsomde wat hij allemaal leuk vond aan Ed?
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ecclesiasticallatinfest · 11 months ago
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It's Catch-up Day! And also AO3's International Fanworks Day!
This is both a catch-up day for posting fanworks OR catching up on commenting on those fanworks!
Here's the collection!
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krystal280791 · 11 months ago
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Our Flag Means Crack - Italian Songs (Eng Sub)
My entry for the @ecclesiasticallatinfest: a crack video, with italian songs, of (almost) all OFMD characters! 😀 I added the english sub of the lyrics in the video so you can understand the scenes! 😉 List of the songs used under the cut!
Songs in order of appearance: Mina - Tintarella di Luna Massimo Ranieri - Perdere l'Amore Zero Assoluto - Per Dimenticare Julio Iglesias - Sono un Pirata, Sono un Signore Edoardo Bennato - Il Gatto e la Volpe Marco Masini - Vaffanculo Fred de Palma - Ti RaggiungerĂČ Toto Cutugno - L'Italiano Lunapop - Vorrei Sfera Ebbasta, Mahmood, Fabri Fibra - Calipso Piccolo Coro dell'Antoniano - Il Cuoco Pasticcione Studio 3 - Forse un Angelo Irene Grandi - Per fare l'Amore Ricchi e Poveri - SarĂ  perchĂš ti Amo
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ecclesiasticallatinfest · 11 months ago
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Meta day!
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13th & 14th of February: Write meta on the translation choices made when it comes to dubbing and subbing to a non-English language you speak, OR write about meta about the use of non-English in the show!
Do you have opinions on Jim's usage of Spanish?
Did you notice anything interesting about dubbing/subbing in s1 and s2? Any changes?
How did the different non-English Max accounts promote the show?
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ecclesiasticallatinfest · 1 year ago
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The Ecclesiastical Latin Fest is less than a month away!
7th & 8th of February: Write fic in a non-English language OR translate a fic into a non-English language. (If you want to do the latter and translate someone else's fic, check the fic author's profile to see how they feel about translations!)
Post with the rules and full schedule.
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ecclesiasticallatinfest · 11 months ago
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The Ecclesiastical Latin Fest is less than a month away!
11th & 12th of February: Make an OFMD fanvid to a non-English language.
Post with the rules and full schedule.
If there are any non-English songs you think would work great for an OFMD vid, or just fit a specific character or ship perfectly, reblog or reply with the song!
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ecclesiasticallatinfest · 11 months ago
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Non-English Fanworks Count on AO3
Since Ecclesiastical Latin Fest is starting tomorrow - FULL DETAILS HERE - I figured I'd update the Non-English Fanworks Count on AO3.
I say 'fanworks' because as I went through it, I also saw some fanart and fanvids!
Results from the 28th of December.
Russian 542
Spanish 119
French 87
Ukrainian 77
Chinese 67
Italian 26
Japanese 23
Brasilian Portuguese 12
Czech 10
Polish 10
German 6
Dutch 5
Finnish 5
Vietnamese 5
Belarusian 2
Farsi 2
Catalan 1
Welsh 1
Filipino 1
Swedish 1
Turkish 1
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ecclesiasticallatinfest · 11 months ago
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9th & 10th of February: Make fanart or a fan comic in a non-English language.
Tag @ecclesiasticallatinfest or throw your art/fan comic in the AO3 collection! We currently have six works in there, three in French, one in Dutch, one in Italian, and one in Slovenian!
(Since the collection is open, people are also free to add fic, btw.)
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