#mais je peux me tromper
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Toc ! Toc ! Des bonbons ou un sort ! Un dessin du personnage de ton choix déguisé pour Halloween ? (ou alors quel déguisement choisiraient tes persos si tu n'es pas d'humeur à dessiner ?)
Des bonbons pour tout le monde !!! Ne me faites par traverser le pont du diable !
Et voici ! Pour vous en exclusivité, sur le chemin de la maison de Walter où tout le groupe d'amis se retrouvent pour faire la fête tous ensemble, Loog et Kyphon font le tour des maisons avec Clothilde et Sophie, et Pan fait son premier Halloween avec Lucine très fière de lui d'arriver à demander quelque chose, à s'amuser et pour son costume !
(je rebloguerais ce billet avec la version coloriée pour que ce ne soit plus clair sur qui est qui, je ne voulais pas trop te faire attendre ^^')
Alors, pour les costumes et le déroulé de leur Halloween !
-Loog est déguisé en Bugul-noz, une sorte de croquemitaine breton qui ressemble à un géant afin d'attraper les gens et les mettre dans son chapeau grand comme une roue de charrette, même s'il peut parfois protéger les gens sous son grand manteau blanc. Il a choisit ce costume car il est très grand et que les couleurs lui plaisait. C'est lui qui s'est occupé de cuisinier les différents pains pour la fête d'Halloween, et il adore les pates de fruits, ou les caramel (surtout au beurre salé) pour les bonbons plus classiques. Pour son costume, je me suis basé sur cet habit breton :
Costume de julod conservé au Musée de la Fraise et du Patrimoine à Plougastel-Daoulas.
-Kyphon est déguisé en loup car, il aime beaucoup cet animal (Amandin le surnommait comme ça) mais il ne voulait pas refaire un costume de bête sauvage comme un loup-garou avec une chemise explosée alors, il a opté pour une chemise à volant avec des attributs de loup (oreilles, queue, fourrure sur la poitrine et même si ça ne se voie pas beaucoup, des pattes griffues) pour faire quelque chose de plus élégants et en accord avec le costume de mousquetaire de Clothilde. Il est le responsable de la cuisine du poisson et des légumes à la fête. Il n'est pas très sucre mais, il aime bien les bonbons acidulés et qui pique.
-Pour Pan, il s'est basé sur Edward du film "Edward aux mains d'argent". Dans un monde moderne, je pense qu'il aurait grandi depuis son enfance dans une secte très stricte avant que le groupe soit démantelé et finisse aux services à l'enfance où travaille Loog, où il l'a rencontré et après qu'ils se soient très bien entendu, Loog l'a adopté. Il doit donc apprendre à vivre dans le monde normal, et je pense qu'il se sentait mal d'être autant en décalage avec les autres - surtout que même s'il est arrivé à garder son esprit critique, il était très critiqué par la secte pour être trop créatif et trop curieux de tout - alors, Lucine lui a montré ce film car, même si Edward a une apparence étrange et a grandi isolé des autres, ça ne l'empêche pas d'être quelqu'un de très gentil et créatif. Dans le monde de Fodlan, il aurait aussi un costume avec de longs doigts mais, plus des sluaghs, des revenants avec de très longs doigts palmés qui ressemble à une ombre mouvante rampant pour s'emparer des âmes des morts. Ils ont fait ensemble son costume pour son premier Halloween, fête qu'il aime beaucoup avec ses amis ! Il adore les rouleaux de réglisse qu'il déroule en les mâchonnant, ou les niniches qu'il a trouvé chez Loog vu que c'est un des premiers bonbons qu'il a gouté.
-Lucine s'est déguisé en lamina, des créatures du folklore basque avec des pattes d'animal (non visible ici) qui vivent la nuit et peuvent construire pleins de choses. C'est surement une légende qu'elle a beaucoup entendu pendant son enfance alors, elle voulait refaire un costume inspiré de sa culture (et même dans un monde moderne, elle serait surement originaire de là-bas aussi). Elle a adoré faire son costume avec Pan et s'amuse beaucoup à faire le tour des maisons avec lui pour réclamer des bonbons ! Elle adore les guimauves et les berlingots ! (Pan lui a donné tous les siens et en échange, elle lui donne tous les réglisses qu'elle a récupéré). Pour son costume, je me suis inspiré de cette représentation de lamina (elle aurait pu mettre de la fourrure mais, elle aimait bien faire la robe et a supprimé la coiffe pour raisons évidentes, surtout dans la version moderne où elle serait encore mineure avec Pan) :
"Une lamina, costume de femme d'Ascain au XVIIe siècle [...] (dessin de Jean-Claude Pertuzé)" (source : Wikipédia)
-Clothilde est en mousquetaire ! (avec évidemment le blason de Fraldarius sur sa cape en référence à sa famille !). Ma main au feu, dans un monde moderne, elle a fait découvrir à Pan pas mal d'histoire de cape et d'épée car, elle aime beaucoup cette esthétique et pour le faire rêver un peu, même si elle est plus âgée que lui. A Fodlan, ce serait elle qui aurait le costume le plus différent mais, je pense qu'elle ressemblerait toujours à un épéiste fantôme hantant les routes et attaquant les bandits détroussant les voyageurs afin d'emmener leurs âmes noires en enfers vu qu'elle déteste l'injustice. Elle est plus grande que ses deux parents et elle aide beaucoup pour la décoration ou pour s'occuper des petits (elle a aussi pour mission partagé avec Sybille de ramener Irène sur terre quand elle commence à dire "ouais, Halloween, c'est trop gamin et pas adulte comme fête !!!" [elle est en pleine crise d'ado dans un monde moderne]). Elle est plus bec sucré que Kyphon (elle tient d'Amandin pour ça, tout comme ses cheveux bruns) mais adore les bonbons acidulés, surtout les longues ficelles ! Sinon, elle adore les nounours en guimauve
-Et enfin, la petite Sophie est dans les bras de son papa déguisée en Reine des Neiges ! Même si son costume est différent que dans le film, c'est l'esprit de son costume vu qu'elle voulait absolument un costume bleu alors, Lucine s'est lancé dans un costume comme ça. Elle a également colorié le motif de toile d'araignée sur son sac de bonbon pour que ça ressemble plus à un flocon de neige. Elle a commencé le tour des maisons à pied mais, quand elle a vu de grosses sucettes dans son sac de confiserie, elle n'a pas résisté, l'a ouverte et l'a mise à la bouche toute de suite. Vu que c'est dangereux de marcher avec une sucette à la bouche si elle tombe, Loog l'a prise dans ses bras au cas où, surtout qu'elle a déjà fait une bonne trotte toute seule ! Elle a aussi hâte d'arriver à la maison de Walter car, elle pourra jouer avec tous ses petits-enfants et se coucher un peu plus tard que d'habitude ! Elle aime tous les bonbons mais, les sucettes en sucres ou en guimauve sont ceux qu'elle préfère !
En plus rapide pour tous les autres :
-Walter, c'est lui qui invite tout le monde chez lui avec ses enfants et ses petits-enfants pour faire la fête vu que pour lui, ses amis sont sa famille aussi. Il se déguise en vieux matelots d'un navire fantôme et il se charge d'encadrer tout le monde (quand les petits le lâche deux minutes avec leurs "papi ! On veut une histoire !"). Sa confiserie préférée à lui est le calisson d'Aix et les bonbons ZAN d'Haribo, même si les plus jeunes lui font beaucoup tester des bonbons plus modernes.
-Amaury apporte les boissons et une partie de la nourriture, même si tout le monde est d'accord : pas d'alcool ! Vu que je le voie bien voyager de temps en temps, il ramène aussi des bonbons de son derniers voyages (sauf si c'est des bonbons lyonnais vu qu'ils ne les aiment pas trop). Cette fois, c'était des berlingots, qu'il aime beaucoup. Il est déguisé en vampire pour l'occasion. Il n'y a pas beaucoup de masque aussi à la fête afin qu'il puisse bien lire l'expression et les lèvres des gens.
-Sybille s'est déguisé en dragon musclé ! (elle a joué aux jeux de Tellius ^^) Elle s'est occupée de récupérer les décorations et c'est aussi elle qui fait l'acrobate le plus facilement pour accrocher des décorations un peu partout, que ce soit chez elle ou pour donner un coup de main chez Walter. Elle adore les Boules de Mammouth (surtout qu'elle arrive à les casser) et les Dragibus
-Irène étant en pleine crise, elle râle quand elle vient en disant qu'elle n'est plus une gamine mais, elle a quand même préparé son costume de scientifique fou, et elle montre des réactions chimiques inoffensives mais impressionnantes aux petits (sous bonne surveillance des adultes et elle respecte les protocoles de sécurité à la lettre, évidemment). Elle adore les fraises tagada et les Dragibus elle aussi.
-Gylfe a mixé l'apparence des huldres males et femelles pour son costume : il a une longue queue de renard plus un dos qui semble creux tout en mettant un costume traditionnel suédois avec ses petits et sa femme. Il s'occupe de garder les enfants à l'oeil et sous contrôle, et il a aussi apporté des spécialités suédoises pour faire gouter à tout le monde. Il adore les saltlakrits, des bonbons au gout de réglisse (Pan a adoré malgré le gout très fort).
-Eudoxie s'est déguisé en Ifrit, avec un tissu qui vole facilement sur ses manches pour imiter les flammes. Elle a aussi apporté pleins de bonnes choses à manger grecques et turques (sa famille est originaire des régions frontalières) et elle a aussi surement dû donner un coup de main à Lucine pour tout coudre.
-Rosine s'est déguisé sur le thème des plantes afin de rappeler les ronces des contes de fée et les mauvaises fées. Etant donné qu'elle travaille comme médecin à l'hopital, elle n'a pas eu le temps de préparer quelque chose fait maison en plus de jus d'orange mais, elle s'occupe de veiller à la bonne santé de tous. Elle s'autorise à manger quelques guimauves et du réglisse pour la fête.
-Enfin, Torf et Poppa se sont habillés pour être des opposés : Torf en ange et Poppa en démon ! Ils ont beaucoup aidé Walter a décorer sa maison. Ils sont également ceux qui amusent la galerie pendant le repas ! Leurs bonbons à eux sont les crocodiles avec un dessous qui ressemblent à de la guimauve, ils aiment bien le jeu de texture !
#joyeux halloween !#dame ladyniniane#écriture de curieuse#jeu de questions#dessin de curieuse#des nouvelles de tout le monde de l'époque de la guerre d'indépendance pour Halloween !#C'est rare que je fasse des UA moderne mais pour Halloween ça passe mieux je trouve#alors grande fête générale où toute la famille retrouvée se retrouve !#ça fait une éternité que je n'ai pas vu Edward aux mains d'argents et j'étais en CM1 j'espère ne pas dire n'importe quoi sur le film ^^'#je m'en souviens surtout comme un bon film touchant...#et je trouvais que l'histoire d'Edward aurait pu toucher Pan#mais je peux me tromper#il a beaucoup de film à rattraper mais Lucine et ses nouveaux amis sont là pour l'aider avec enthousiasme !
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jviens d’écouter un chanson dans lequel on a dit "ils te connaissent as-p" et jsuis désolé mais "as-p"???? on dit "as-p" pour dire "pas" maintenant????? le verlan est allé trop loin cette fois. jpp.
#dis moi si j'ai mal compris pcq jveux pas me tromper#mais sinon... comment suis-je censé à vous comprendre si vous respectez meme pas les bases de la grammaire????#c'est la negation!!!!!#déjà je peux comprendre de laisser tomber le ne mais le pas ?????#french posting
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Un homme fait la queue à une caisse au supermarché quand il remarque qu'une blonde canon lui fais signe de la main et lui sourit. Il s'adresse à elle et lui gentiment: - Excusez-moi, on se connaît? Elle répond en lui souriant: - Je peux me tromper, mais je pense que vous êtes le père d'un mes enfants. Les souvenirs du type le renvoient vers la seule fois où il a été infidèle, et il demande: -Nom d'un chien, tu ne serais pas la cochonne que j'ai sautée sur la table devant tout mes potes lors d'une beuverie, pendant que ta copine me fouettait avec du céleri mouillé et me poussait un concombre dans le trou de balle? -Euh... non, je suis l'institutrice de votre fils.
#- Excusez-moi#on se connaît?#Elle répond en lui souriant:#- Je peux me tromper#mais je pense que vous êtes le père d'un mes enfants.#et il demande:#-Nom d'un chien#-Euh... non#je suis l'institutrice de votre fils.
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Tutoriel Installation 🛠️⚙️🔧
Je vois que certaines personnes galèrent avec la mise en place du thème que j'ai partagé (notamment pour héberger le css). Alors voici un tutoriel d'installation pas à pas, avec captures d'écran, pour vous permettre de le mettre en place correctement 💗 ⚠️ Pour rappel, le Blank Theme dispose de ses propres explications, que vous retrouverez juste ici. ⚠️ Veillez à bien avoir configuré votre forum comme l'indique le Blank Theme juste ici. ⚠️ Le forum doit impérativement être en version ModernBB.
1️⃣Pour mettre en place tes templates.
Nous allons commencer par copier les templates depuis le github. Ici, ce sont les différentes parties d'HTML qui nous intéressent.
Nous allons progressivement les coller dans les diverses sections de forumactif (voir screen ci-dessous). 📌Exemple ici avec le template images_list que je vais copier depuis le github : 📁HTML (templates) > 📁general >📄images_list.
Et coller dans le template images_list de forumactif.
Les noms des HTML sont exactement les mêmes du github vers forumactif donc vous ne pouvez pas vous tromper. Vous avez juste à copier d'un côté et coller de l'autre, en n'oubliant pas à chaque fois de sauvegarder à droite en cliquant sur le symbole disquette💾(ouais, j'vais rentrer dans les détails à ce point).
Quand l'ensemble de tes HTML ont été copiés et collés correctement (général, poster & messages privés, profil), tu vas pouvoir passer à l'hébergement de tes divers CSS.
2️⃣Pour enregistrer ton css afin de l'héberger.
Je t'invite à aller sur le github mais dans la section CSS cette fois-ci. L'ensemble des CSS devront être enregistrés sur ton ordinateur puis hébergés en dehors de forumactif car ils sont trop longs. 📁 CSS > 📄CSS_global
Tu peux copier le code et le coller dans un logiciel qui permet d'éditer du code. Pour moi, ce logiciel sera Notepad++, parce que j'aime me faire du mal, mais sachez qu'il existe aussi SublimeText. Ces logiciels sont gratuits ✅ et indispensables pour pouvoir enregistrer vos feuilles en format .css (comme on le ferait pour une image en format .png ou .jpg quoi).
Quand j'ai copié mon css depuis github et que je l'ai collé dans mon logiciel d'édition de code, je n'ai plus qu'à lui donner un petit nom en sauvegardant (chez moi ça sera CSS_global) et à l'enregistrer en .css (Cascade Style Sheets File).
3️⃣Pour héberger ton css en dehors de forumactif après l'avoir enregistré sur ton ordinateur.
Ca y est, à cette étape, tu as normalement l'ensemble de tes CSS (global, instagram, messenger, page d'accueil etc...) d'enregistrés individuellement sur ton ordinateur. Tu peux désormais aller les héberger en dehors de forumactif. Pour cela, j'utilise personnellement Archive Host (parce que j'aime vraiment me faire du mal) mais, tu peux très bien utiliser Dropbox. Il te suffit juste de créer ton compte. Tu arriveras ensuite sur une page où tu pourras ajouter tes fichiers et les stocker dans un dossier. J'aime que mes documents soient rangés donc, je te conseille de créer un répertoire et de l'appeler par le nom de ton forum (comme ça, si t'en as plusieurs, impossible de te tromper !).
C'est ici que je vais y ranger mes feuilles de CSS préalablement enregistrées. Je clique sur ➕Ajouter des fichiers puis sur ⬆️Démarrer l'envoi quand j'y ai ajouté ceux que je voulais.
Ca y est ! Ta feuille de CSS est désormais hébergée. Mais ce n'est pas terminé. Il faut maintenant relier ton forum à cette feuille. Et pour cela, rien de plus simple :
En survolant ta feuille de CSS avec ta souris, une flèche va apparaître en haut à droite ⬇️, clique dessus puis sur 🟦 Informations et Codes.
Cette fenêtre va s'ouvrir. Je t'invite à cliquer sur l'URL à côté de Principal et de la copier. C'est le lien de ta feuille depuis Archive Host. Tu vas ensuite aller la coller dans ton overall_header sur forumactif. Mais pas n'importe où !
Ici, les URL vers mes feuilles de CSS sont collées les unes après les autres juste en dessous de <!-- CSS Externes -- > ET sous cette forme : <link href="URL ARCHIVE HOST ICI" rel="stylesheet" type="text/css" charset="utf-8"> Il faut absolument que ces feuilles se trouvent avant la balise </head>. Tu verras, dans le code HTML de l'overall_header (à la ligne 20) j'ai laissé cet endroit vide, tu auras juste à les coller en dessous.
N'oublies pas de sauvegarder ! Et voilà. C'est tout. Rien de plus simple 💗 Cela te demande juste d'installer un logiciel d'éditeur de code (gratuit) et de te faire un compte sur Archive Host ou Dropbox (gratuit aussi). Si là encore vous êtes paumés.és (parce que ce n'est pas impossible malgré les screens et explications pas à pas), n'hésitez pas à m'envoyer un petit mp. 🌈
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saga: Soumission & Domination 329
Sosthène dans le grand bain
Alors que je vais pour le mettre aux enchères comme toutes mes nouvelles recrues, je reçois un appel d'Henri l'ami d'Emma et " père " de Kev. Il voudrait offrir un mec à son " fils " pour son anniversaire et pour être sûr de ne pas se tromper quant au physique qui le branche vraiment, il me dit qu'il me fait confiance. Pae ailleurs il sait que Kev adore les belles queues et me demande si je n'aurais pas un beau noir pour satisfaire cette exigence.
Je pense aussitôt à Sosthène. Je lui explique le cas mais aussi que j'allais le mettre aux enchères pour sa première vrai prestation dans ma société. Il connait le principe car je crois bien me souvenir qu'il en avait été l'instigateur. Evidemment il me dit que ce n'est pas un problème mais qu'il n'a pas 2 heures à passer pour obtenir ma dernière acquisition. Pour couper court, il me propose un chiffre qui se situe dans le très haut de ces pratiques mais ajoute qu'il le gardera 24h du samedi PM au dimanche PM. Bien sûr il prend les frais de voyage en 1ère à sa charge.
Je ne peux refuser. C'est un ami ! En plus cela retardera d'autant son passage aux bites XXL, même si Kev avec ses 21x5.5 ne fais pas partie des petites bites !
Evidemment la date est fixe et je vérifie vite avec Sosthène sa disponibilité. Je lui annonce aussi les conditions de sa première prestation. Ça l'excite d'être un cadeau d'anniversaires. Que ce soit pour un ami à moi par contre lui met un peu la pression. Je le déstresse. Le fait que ça lui prenne un WE entier (voyages compris) ne le dérange pas. Il me dit qu'il bossera dans le train.
Henri m'envoie un mail pour les détails. Un chauffeur viendra chercher Sosthène à la gare et l'emmènera directement chez lui. Il me demande de lui mettre dans ses bagages un costume chic pace qu'il comptait l'emmener avec Kev dans un des plus grand restaurant de Paris pour fêter son anniversaire.
Le samedi matin, Sosthène passe au Blockhaus faire ses bagages. Je lui choisis le costume qu'il va porter, la chemise et la cravate. Pour le reste il se débrouille et je le vois mettre un soin particulier au choix de ses sous-vêtements. Il emporte aussi des jeans de marques et des hauts fashion qui mettent en valeur son physique. Quand je l'emmène à la gare, je vérifie qu'il a suffisamment de liquide sur lui, qu'il a bien l'adresse d'Henri et ses coordonnées téléphoniques. Ça le distrait. Il emporte aussi son portable pour travailler dans le train. C'est la première fois qu'il voyage en 1ère et me demande comment on fait pour déjeuner. Je lui dis que j'ai pris l'option plateau à la place avec son billet. Il n'aura pas à trainer au wagon bar.
Rapport d'Henri :
L'Escort a été pris en charge par mon chauffeur à l'heure prévu. Quand je le vois entrer dans mon appartement, je suis content. Pas surpris, car je sais que Sasha ne m'aurait jamais envoyé du second choix, mais le garçon parait ouvert et aborde un visage intelligent. Quand nous échangeons quelques mots, je ne me suis pas trompé. Il me dit être en étude de lettre et que sa soeur fait l'école des Chartes. Je lui demande s'il a prévu d'aller la voir ce WE. Il me répond que non, il n'était là que pour moi et ne l'avait même pas contactée. Il verrait s'il lui restait du temps avant son train dimanche soir.
Nous discutons littérature. Il a de bonnes bases en classique et les dernières parutions ne lui sont pas étrangères. Le dernier Nobel de littérature non plus, je note qu'il a lu plusieurs de ses ouvrages. C'est agréable de ne pas avoir à parler économie de marché et vision économique du monde. Le temps passe et Kev ne va pas tarder à revenir des courses que je lui ai demandées de faire. Je lui propose un café et il accepte de m'accompagner.
Coté physique, Sasha me l'a bien choisi. Son jeans serré ne cache pas grand choses de ses " qualités " innées. Je suis sûr que Sasha y a pensé lorsqu'il me l'a recommandé pour Kev. Je sais que mon " fils " qui est surtout actif avec moi aime se faire démonter l'anus de temps à autre.
Kev entre dans l'appartement. Je lui laisse la suite du compte rendu.
Kev :
Quand je rentre chez Henri avec mes paquets plein les mains, je vois en face de lui, en train de prendre un café, un jeune black assez beau. Cela m'étonne parce que depuis que je suis avec lui, c'est la première fois que cela arrive. Peut-être avait il fait appel à des escorts mais jusque-là jamais en ma présence. Sans que cela ne me vexe, je suis peiné qu'il ne m'en ait pas parlé. Il est vrai que nous en faisons plus l'amour autant qu'aux débuts de notre relation. Le fait qu'il m'ait adopté, a aussi participé à ce ralentissement, je m'en aperçois maintenant. Alors que je reste figé devant le tableau, je dois arborer une figure qui en dit long puisqu'Henri se lève, me rejoint et me roule une pelle. J'ai du mal à l'apprécier comme d'habitude. Henri s'écarte et me montrant le black me souhaite un bon anniversaire. L'imbécile, il m'a fait peur !! Je comprends enfin la véritable raison de la présence du tiers. Il se lève et se présente. Sosthène ! Il n'y a que nos Caribéens pour utiliser des noms aussi anciens. Il est jeune mais je sais qu'Henri aura fait attention qu'il soit majeur. Il est canon et le renflement central de ses jeans attire tout de suite le regard.
Henri me dit que c'est un des Escorts de Sasha. Il vient de chez lui, c'est son premier contrat et il est pour lui jusqu'à demain après-midi. Comme je connais les tarifs des premiers contrats chez Sasha, je remercie Henri pour ce cadeau d'une telle valeur. Henri continu en me donnant le programme du soir. Il nous informe qu'il a réservé le restaurant pour 20h30 et souligne que cela nous laisse 3h30 pour que j'installe Sosthène chez moi. Il nous chasse et nous demande de revenir au plus tard vers 20h. Je l'aime trop ! Il se doutait que je bandais et qu'il me serait dur d'attendre la fin de la soirée. Je laisse les paquets en vrac et prends le bagage de Sosthène et lui dis de me suivre. Il me demande de lui laisser les porter mais je ne m'arrête pas. Il est obligé de me suivre. J'aime assez la timidité qui le prend alors que l'ascenseur descend.
Quand nous entrons dans mon immeuble 2° plus loin, il admire l'architecture rénovée. Il trouve très bien aussi mon duplex dans lequel nous entrons. J'accroche son bagage dans l'entrée et le pousse jusqu'au canapé dans lequel je le fais tomber. Sans précaution j'ouvre mon " cadeau ". Son t-shirt vole en même temps que son pull cintré. Pour le pantalon c'est plus dur comme il colle à sa peau. Du coup j'ai juste le temps de voir la marque du slip qui descend avec. Je reconnais un des fournisseurs préférés de Sasha. Un bel Aussiebum, à effet je le parierai ! Quand il se dresse nu devant moi, je lui tends son sous-vêtement pour qu'il le remette. Effectivement le choix était judicieux. Le paquet, soutenu par la poche, son paquet est projeté devant lui et avec son volume de départ... J'adore. Il s'approche alors de moi et commence à me déshabiller. Il prend son temps et je crois bien qu'il s'aperçoit que je bous intérieurement. Il me met torse nu et se plaque contre mes pecs pour me rouler une pelle. J'aime ses lèvres et sa voracité. Souvent les mecs que je trouve refusent de se laisser embrasser et encore plus que je mette la langue ! Quand il quitte mes lèvres c'est pour laisser les siennes glisser sur ma peau jusqu'à mes tétons. Ils sont déjà gros habituellement à force de les travailler mais là, sous la sollicitation de sa langue et de ses dents, ils sont tout gonflés. Il me laisse alors pour s'agenouiller et défaire mon pantalon. Ma bite déforme déjà le tissu et il sait ce qui l'attend ! Comme moi tout à l'heure, il arrache mon boxer avec le chino. Ma queue en jaillit comme un diable à ressort. Mon gland lui frappe la joue alors qu'il se plaque sur mon ventre. Sosthène se penche alors et mes 21cm disparaissent entre ses lèvres. Dieu que c'est bon ! J'ai eu beau m'être fait sucer il y a pas une heure par un vendeur de chez Abercrombie où je faisais quelques emplettes, sa bouche est 10 fois meilleure. Elle est surtout beaucoup plus profonde que celle du minet hypertrophié des épaules. Je ne sais pas où Sasha va les chercher mais les quelques Escorts que j'ai eu l'occasion de pratiquer ont toujours été tops.
Je le laisse faire jusqu'au moment où je vois qu'il compte continuer jusqu'à me faire jouir. Pas si vite, nous avons 3 heures, enfin plus que 2h30 devant nous !
Je le relève avant qu'il n'ait réussit son coup. Je profite un moment de ses lèvres soyeuses. Je suis plus large et plus costaud que lui. Dans mes bras, il ne peut ni fuir ni changer de position. Je sens sa bite gonfler son trunk. Je décolle mon bassin juste le temps de faire tomber ce dernier morceau de tissu qui nous sépare. Sa bite se dresse contre la mienne et j'ai bien l'impression que c'est lui qui gagne à la compétition de qui a la plus longue ! Mes mains quittent sa tête pour ses fesses et tout en le maintenant contre moi je lui fais rouler des hanches. Nos sexes se frottent l'un cotre l'autre et j'aime trop ça. Il décolle ses lèvres et, dans mon oreille, me dit qu'il est recto/verso tout à ma disposition. Ça, je le savais mais c'est toujours bon de l'entendre de sa part. Mes mains s'avancent dans le sillon qui permet de séparer ses fesses. Mes doigts s'enfoncent et je pose mes deux majeurs sur sa rondelle. Pas un poil n'a gêné ma progression en dehors de son buisson hyper taillé au-dessus de sa bite, il est d'une douceur pré-pubértienne. Ça aussi c'est la patte de Sasha.
C'est à mon tour d'honorer sa virilité. Depuis le passage d'Éric dans ma gorge et mon cul, il n'y a pas beaucoup de bite que je ne puisse prendre des deux côtés ! Celle-là va passer toute seule. Son gland vient me gratter les amygdales et je l'entends souffler au-dessus de moi. Ses mains viennent même se poser sur mes épaules pour soutenir sa station verticale. J'aime faire cet effet.
Il me redresse à son tour et toujours tout bas, comme s'il avait peur de sa propre voix, il me dit de l'enculer. Si j'aime préparer longtemps le cul qui va recevoir ma bite, des fois je suis trop excité et alors le mec mange grave ! Ça va être son cas ce soir. Je l'envoie valser sur le canapé. Je lui tire le bassin en arrière et comme je me kpote, il prend la position idéale pour une prise en levrette. Mes kpotes sont quand même bien lubrifiée et la sueur qui coule entre ses fesses vont faciliter la pénétration. Je présente mon gland et alors que je le pose sur sa rosette, cette dernière palpite d'impatience. Sasha l'a bien formé. Il attend patiemment le désir du client. Il ne recule pas avec impatience pour abréger le supplice, il attend, tendu comme une corde de piano. Quand je le pénètre, ce n'est pas un cri de douleur mais un soupir de soulagement qu'il laisse échapper. Sans m'arrêter, je continue ma progression dans ses muqueuses et je ne cesse de pousser que quand je sens mes couilles se coller aux siennes. Là, j'attends, non pas que Sosthène s'habitue à ma bite mais je suis trop bien au fond de lui. Sa rondelle pulse autour de la base de ma queue et me fait comme un effet de pompe. J'attends qu'il n'attende plus pour me déchaîner. Il s'accroche au dossier du canapé pour garantir sa position alors que debout derrière lui, mes mains accrochées à ses hanches, j'utilise la totalité de mes 21cm pour le limer. De temps à autre, j'attends que sa rondelle se referme avant d'y replonger ma bite. Comme il me l'avait confié, il accepte avec plaisir les effets de mon excitation. Je le redresse pour lui tourner la tête et abuser de ses lèvres. Mes reins, totalement indépendants continu leur oeuvre de labourage. Quand j'arrive à me décoller de sa bouche, je le fais pivoter sur ma queue et le repose dos sur l'assise du canapé, ses jambes contre mon torse et reprend le labourage de ses reins. Face à face, je peux voir directement les effets de mon action sur son visage. Mais bientôt je ne vois plus rien car je ne résiste pas à écraser ses lèvres carmin avec les miennes. C'est collé de la bouche au cul que nous prenons notre premier pied intégral. Quand je sens son sperme se diffuser entres nos abdos collés, je jute à mon tour et rempli ma kpote. Ce n'est que totalement vidés, nos corps apaisés que nos bouches se décollent enfin et que nos langues se laissent. Malgré le temps qui passe nous prenons 10mn pour retrouver la réalité. Après c'est la course évidemment. Heureusement ma douche permet de nous laver ensemble. Je l'aide à mettre ses boutons de manchette. Il n'en a manifestement pas l'habitude. De même je lui fais un noeud de cravate Windsor, plus équilibré que celui qu'il s'apprêtait à faire. Nous sommes un peu en retard mais quand même dans les temps quand nous débarquons chez Henri. Il voit nos cheveux encore mouillés et comprend bien ce que nous faisions il n'y a pas longtemps. Il redresse mon propre noeud de cravate et passe une main dans les cheveux de Sosthène pour y mettre un semblant d'ordre avant de donner le départ. Dans l'ascenseur, il me demande si le cadeau que j'ai entamé me plaisait. Il se permet de me demander cela devant Sosthène parce qu'il connait déjà la réponse. Nos yeux brillants étaient de bons indices. Je l'embrasse tendrement et lui dis que je n'aurais pas mieux choisi moi-même. Sosthène rougit !
Le trajet est lent et je vois que Sosthène regarde par la glace le spectacle des parisiens en train de courir sur les trottoirs. La porte de la berline nous est ouverte et nous prenons pied devant le restaurant. Je déstresse Sosthène que je sens tendu. Je lui dis que s'il a un doute, qu'il me regarde faire et qu'il m'imite après.
Nous entrons et sommes dirigés vers notre table. Le restaurant est quasiment plein. Je vois quelques têtes de connaissances et leur fait un léger signe de tête. Henri fait un écart pour saluer un de ses pairs. La table est un peu en retrait même si nous voyons la totalité de la salle. Une coupe de champagne nous est servie afin d'attendre l'entrée. Henri nous dit avoir déjà choisi les plats et demande à Sosthène s'il y a des mets qu'il n'aime pas, dénégations de sa part.
Henri sort deux petit paquets plats de sa poche et m'en tend un en me souhaitant un bon anniversaire avant de poser l'autre devant Sosthène. Je vois bien que ce dernier ne comprend pas. A voix basse, il essai de refuser et tente de repousser le cadeau vers Henri. Mon homme lui dit que lui aussi gardera un souvenir de mon anniversaire.
J'ouvre. Le paquet vient de la place Vendôme. Trop plat pour une montre, et trop gros pour une bague, j'écarte le papier et ouvre l'écrin. Un jonc en or brille sur le fond noir. Je pense à un cockring avant de voir que son diamètre est un peu gros même pour moi. C'est donc un bracelet. Sans attendre je l'enfile à mon poignet droit. Je dois forcer un peu pour passer la main, comme ça je ne risque pas de le perdre. En face de moi, Sosthène est bloqué devant le même présent. Je l'entends souffler à Henri qu'il ne peut accepter. Et ajoute qu'il est déjà payé pour être là. Henri lui dit que c'est pour ça que c'est un cadeau et pas autre chose. Il lui dit de ne pas le vexer et de le mettre à son poignet lui aussi. Avec un peu plus de mal que moi, ses mains sont un peu plus grosses que les miennes, il obtempère. Sur sa peau, l'or rend encore mieux. Ses joues sont noires de son trouble. Pour le détendre je lui dis que je suis très content qu'Henri ait pensé à cela. Mon cadeau principal c'est lui, ce que nous avons au poignet c'est juste pour nous rappeler ce bon moment. Henri confirme que c'est juste cela et que c'est pour ça qu'il a fait graver la date dessus.
Le diner est délicieux, mais c'est l'inverse qui serait étrange dans un tel lieu. La conversation est intéressante. C'est ça qui est bien avec les garçons de Sasha. Ils sont beaux, baisent bien et en plus loin d'être cons ! Son costume est classe et je le lui dis. Il rit et me répond que c'est Sasha qui l'a emmené faire les boutiques car il n'en avait pas. Je comprends mieux ses problèmes pour nouer sa cravate. Le dessert arrive trop vite tellement le moment est agréable. Je sais qu'il l'est aussi pour Henri. Je commence à bien le connaitre mon " père ". Même pour mon anniversaire, il aurait écourté si Sosthène n'avait pas été au niveau. Quand il apprend que c'est son premier séjour à Paris, il décide de rentrer en passant devant les monuments de Paris. C'est touchant. Si dans un premier temps Sosthène se retient, quand on traverse le Louvre, il a le nez collé au carreau et ne le décolle plus. Je me promets que demain je l'emmènerai à la tour Eiffel. Je sais c'est cliché mais c'est à faire quand même.
Nous prenons un dernier café chez Henri. Je profite d'un court séjour de Sosthène aux toilettes, je suggère à Henri qu'on pourrait se le partager cette nuit. Il refuse que c'est mon cadeau à moi tout seul et quand Sosthène réapparait, il nous chasse de chez lui.
La nuit qui suit est très très courte et j'ai profité de mon cadeau jusqu'à m'écrouler de fatigue vidé complet. Son coup de rein pour propulser sa queue en moi m'a fait autant de bien que sa rondelle musclée autour de ma bite. Je crois quand même l'avoir mis dans le même état ! Au réveil j'ai mal partout et si j'en crois la délicatesse avec laquelle Sosthène bouge lui aussi doit avoir un peu mal aux fessiers ! La douche en commun nous redonne vie et une apparence décente. Je me sens rajeunir à ses côtés. Il a encore une fraicheur qui bientôt va disparaitre avec le nombre de prestation ! Je le presse. Il remet ses jeans à se faire violer sur place et je l'imite, après tout mon physique n'a rien à lui envier. Un coup d'oeil à la glace de l'entrée, j'y vois deux beaux jeunes hommes un blanc et un métis que tout homo normalement constitué mourrait d'envie de mettre dans son lit. Ok je ne suis pas modeste, juste réaliste !
Je le pousse dehors. Il croit quelques minutes que nous retournons chez Henri mais non, direction le métro. Il plisse le nez quand on s'engouffre dans la bouche. Comme nous sommes grands, nous respirons au-dessus des autres, descente à Trocadéro.
La descente, la traversée sur le pont d'Iéna donne une belle vue sur la tour Eiffel. Je prends 2 billets et nous faisons la queue. Je l'abandonne le temps d'aller acheter 2 hot dog. La moutarde coule sur sa main et je la lui attrape pour lécher son doigt. Ça ma vaut une remarque désagréable d'un mec plus loin derrière nous. Je l'entends et j'attrape Sosthène pour lui rouler une pelle. Il me laisse faire et quand l'autre réitère ses insultes, je me déplace jusqu'à lui. Il réalise à ce moment-là qu'il est plus petit et bien moins large que moi. Il s'excuse. Je laisse tomber un " t'es trop con mon pauvre " et retourne près de Sosthène. Autour de lui il doit subir les lazzis que son attitude a provoqués au point qu'il se casse avec la meuf vulgaire qui l'accompagnait.
Sosthène est comme un gamin. Nous prenons l'ascenseur jusqu'au premier et montons le reste à pied. Il me met presque un étage dans la vue ! Tout en haut la vue est superbe, pas chaude mais superbe quand même. Il m'attrape et me roule un patin tellement il est content. Puis il s'excuse de m'avoir fait ça. Il est trop ce gamin ! Quand nous descendons il me remercie de l'avoir emmené là. Nous reprenons un deuxième hot dog et le mangeons en marchand. Il me questionne sur Sasha. Il se demande s'il ne lui a pas fait confiance trop vite, même si jusque-là tout s'est bien passé. Je le rassure. Je connais l'animal depuis maintenant 7 ans et jamais il n'a pris quelqu'un en traitre. Il me croit sinon, comme il me dit, il n'aurait pas autant d'amis ni d'escorts.
Nous flânons il n'y a pas de sexe entre nous et c'est soudain très agréable. Par les quais nous rejoignons le Louvre. Nous prenons un café en terrasse. Deux filles à la table d'à côté nous draguent. Elles sont jolies hollandaise d'après leur accent quand elles parlent en anglais. Elles sont un peu lourdes et je me penche vers Sosthène pose mes lèvres sur les siennes juste un instant. Cela suffit pour qu'elles s'excusent en riant de nous avoir " dérangés ".
Soudain il s'affole de son train et s'aperçoit qu'il l'a loupé. Il va pour courir à la gare. Je le retiens, ses bagages !! Il prendra le suivant. Quand il s'inquiète que Sasha lui a payé le billet en première, je l'assure qu'il pourra quand même l'échanger. On repasse vite à l'appart et je l'aide à ranger son costume dans son bagage. Je l'accompagne en taxi. Nous faisons l'échange du billet et j'attends le train avec lui, même s'il me dit que je peux le laisser.
Je ne le quitte qu'après l'avoir mis au train. J'appelle alors Sasha pour lui expliquer que son petit nouveau aura du retard. Ça le fait rire et il me demande de lui envoyer un compte rendu, d'où le texte ci-dessus.
Je récupère Sosthène avec 2 heures de retard. Il s'excuse de m'avoir fait ce coup-là. Je remarque le jonc qu'il a au poignet. Cadeau d'Henri ? Il acquiesce. Je lui montre ma caisse et lui dit que ça ne m'étonne pas. Comme il ne comprend pas je lui dis que la moitié de ma SLS est de sa part. Je le ramène au Blockhaus prendre sa voiture. Il monte faire la bise à PH et Ludovic puis rentre vite chez lui.
Jardinier
Paris Metro
City
Monument
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Été 1925, Hylewood, Canada (4/4)
Je relis ce que tu m’écris sur ta reprise de l’entreprise familiale. Tu me dis que tu n’es pas prête. Ton oncle ne s’est-il pas assuré que tu connaisses toutes les ficelles du métier ? Il travaille pour vos vignobles depuis son enfance. Avec une telle carrière, c’est attendu qu’il souhaite se mettre en retrait. Tu parles de ton oncle avec beaucoup d’admiration, tu sais que tu peux te fier à ses jugements. Et s’il juge que tu es prête, étant donné sa connaissance aiguë du métier, c’est que tu l’es sûrement. La question de ta capacité étant écartée, demande-toi : est-ce réellement ce que tu veux faire ? Maman me dit que vous êtes riches. Avec votre fortune, tu serais sûrement en mesure de payer quelqu’un pour gérer vos affaires à ta place. Le vrai bénéfice de la fortune, c’est qu’elle donne le choix. En fin de compte, ta grand-mère, ton oncle, tout le monde te donne l’impression que ce choix, tu ne l’as pas. Mais tu l’as. Ton père a fait le choix de refuser cette vie pour suivre ses passions. Tu m’écris l’envie que tu ressens quand tu vois toute ta famille, tes frères et tes sœurs, suivre leur voies et leurs désirs. Mais, si je peux me permettre… Et toi, Noé ? Que souhaites-tu ?
Tu écris que tu ne sais pas ce que cela veut dire que d’être adulte. En vérité, cela ne veut rien dire du tout. Être adulte, c’est la plus subtile des hypocrisies. On nous le présente comme le triomphe de la maturité, du contrôle, comme l’abdication de tout ce qui rend la vie délectable, comme la complaisance dans la morne discipline du quotidien et de la respectabilité. Ça serait plier son esprit aux conventions, brider ses désirs, étouffer ses rêves sous les impératifs du devoir, les sacrifier sur l’autel de la sagesse factice. On nous parle de responsabilité, mais quel mot effroyablement ennuyeux ! Mon père n’a jamais tenu une responsabilité de sa vie ; il s’enthousiasme à l’idée de l’Égypte comme ma petite sœur s’enthousiasme des cônes de neige de la foire ; doit-on dire qu’il n’est pas adulte ?
Je crois, Noé, que tu te poses tellement de question sur ce qui pourrait être, que tu en oublies de vivre. En cela, je suis plus enfant que toi. Quand je pêche le doré jaune, les deux pieds dans la rivière, je ne pense plus aux cargos, et aux contrats et aux chèques à encaisser. Je pense à ma ligne et je pense au soleil sur ma peau. C’est probablement ce que tu ressens quand tu es avec ton Jean. Puis je retourne à mes cargos de charbon, mais je ne suis pas angoissé. Je sais que je ne ferai pas cela toute ma vie, et je me sens tranquille. Toi, Noé, tu es tellement accaparée par tout cela que tu en oublies de vivre. Ça t’obsède, ça te poursuit partout, et dès que tu trouves un échappatoire, tu te précipites dedans pour ne pas te confronter à cette question que tout le monde semble - avec la plus grande bienveillance - t’empêcher de te poser : que souhaites-tu faire de ta vie ? Je te la pose, mais je n’attends aucune réponse. D’ailleurs, tu n’en auras peut-être aucune avant des années. On est jeunes, on a le temps de se tromper et de changer d’avis. Regarde, cette année, notre ancienne bonne, Mlle Carreau, a démissionné parce qu’elle a été recrutée pour le tournage d’un film. Elle a notre âge. Elle s’est rendue compte que cette vie ne lui plaisait pas, et elle en a changé.
Réponds-moi vite. Je t’embrasse affectueusement. Ton cousin,
Lucien LeBris
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen4#Lucien Le Bris#Jules Le Bris#Dolorès LeBris#Manuelle Carreau
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Certes, en tant qu'étudiants, nous sommes naturellement impatients de voir les résultats de nos efforts. Pourtant, nous ne pouvons rien accomplir tant que nous n'avons pas maîtrisé notre impatience.
D'un autre côté, simplement lutter contre l'impatience de manière ordinaire ne sert à rien. Cela ne fait que la renforcer. Nous ne ferions que nous tromper nous-mêmes, et notre impatience enfoncerait ses racines plus profondément dans notre âme.
Ce n'est que si nous nous abandonnons de manière répétée à une pensée particulière, en la faisant entièrement nôtre, que nous pouvons accomplir quoi que ce soit. Cette pensée est : « Je dois faire tout ce que je peux pour l'éducation de mon âme et de mon esprit ; mais j'attendrai calmement jusqu'à ce que les puissances supérieures me jugent digne d'illumination. »
Une fois que cette pensée est devenue si puissante en nous qu'elle fait partie de notre caractère, alors nous sommes sur la bonne voie.
Peu de temps après, ce nouveau trait de caractère appose sa signature extérieure sur nous. Notre regard devient calme, notre œil stable, nos mouvements confiants, nos décisions définitives. Toute nervosité que nous ressentions auparavant disparaît progressivement.
À ce stade, certaines petites « règles » apparemment insignifiantes doivent être observées.
Par exemple, disons que quelqu'un nous offense. Auparavant, avant l'entraînement ésotérique, nous aurions tourné nos sentiments contre l'offenseur. L'irritation et la colère auraient bouillonné en nous.
Cependant, maintenant que nous sommes sur le chemin de la connaissance supérieure, la pensée nous vient immédiatement : « Cette insulte n'altère pas ma véritable valeur. »
Nous faisons alors ce qui doit être fait, calmement et avec détachement plutôt que par colère. Cela ne signifie pas que nous avalons simplement les insultes ; nous devons plutôt répondre avec autant de calme et de confiance aux insultes qui nous sont adressées que si nous agissions au nom de quelqu'un d'autre qui aurait été insulté.
Nous devons toujours garder à l'esprit que l'apprentissage ésotérique ne se produit pas à travers de grands événements extérieurs, mais plutôt à travers des changements intérieurs calmes et subtils dans nos vies de pensée et de sentiment.
Rudolf Steiner, Comment acquérir des connaissances sur les mondes supérieurs
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Printemps 1917 - Champs-les-Sims
2/7
Je ne peux m'empêcher de penser à Marie nuit après nuit en me retournant dans mon lit. Elle n'était en définitive pas tant plus âgée que moi (une dizaine d'années il me semble), et la savoir partie si brutalement nous a tous fait un horrible choc. Le seul réconfort que nous puissions avoir est que la petite Jeanne lui a survécut et se porte comme un charme. Elle et ses soeurs ont été recueillies par Jacqueline, la soeur de Marie, qui est elle aussi seule avec une fille depuis que son mari et son fils sont partis au front.
Pour tromper l'ambiance morose nous avons fait l'acquisition d'un gramophone. Les filles en particulier l'adorent, mais avec ce qui vient de se passer, cela a ravivé l'inquiétude des enfants pour leur père. Même Jean-François, qui va avoir six ans cette année (Seigneur que le temps fuit !), sent sans vraiment comprendre le danger et se réveille la nuit après avoir fait des cauchemars.
#lebris#lebrisgens4#history challenge#legacy challenge#sims 3#decades challenge#nohomechallenge#ts3#simblr#sims stories#Albertine Maigret#Jules Le Bris#Marie Ribeaucourt#Jeanne Barbois#Emma Barbois#Anne Barbois#Jacqueline Ribeaucourt#Ferdinand Ribeaucourt#Joséphine Arsenault#Louis Arsenault#Arsinoé Le Bris#Cléopâtre Le Bris#Sélène Le Bris#Marc-Antoine Le Bris#Jean-François Le Bris
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Mon prof de littérature me rend zinzin : j'ai passé les 3/4 de l'après midi a corrigé son cours sur Victor Hugo. Il a donné des mauvaises dates, n'a même pas parlé de la querelle Hernani qui est super importante... Il a parlé de l'engagement politique sans par'er des faits. Vraiment je me suis dit tout le long « mais what the fuck ???? » ok l'erreur est humaine, et c'est pas parce que tu es dans l'enseignement que tu ne peux pas te tromper mais là on parle de TOUT le fucking cours en fait. Et en plus sur Victor Hugo, le monument LE MONSTRE LE BIG BOSS de la littérature française. Comment tu peux autant foiré ton cours sur Victor fucking Hugo à la fac en lisant littéralement tes fiches ? J'hallucine vraiment. J'ai dû tout refaire, tout reprendre... Je n'ai même pas encore fini ! C'est une blague ce prof.
Oui c'est ce prof qui nous a enlevé Flaubert du programme oui. Oui. FLAUBERT. J'ai beau faire des efforts mais je peux plus me le voir. En plus Victor Hugo que je peux pas me l'encadrer celui-là non plus. Heureusement j'ai changé d'avis à force de faire mes recherches sur lui etc. D'où la petite carte postale avec ses petits enfants là... Trop mims.
Vraiment ça me détruit : mon prof a préféré s'attarder sur les funérailles nationales (en donnant les mauvaises dates sinon où est l'intérêt ???) pendant les 15 dernières minutes du cours et se tromper dans l'explication de Notre-Dame de Paris pendant 30 minutes (oui sinon encore une fois où serait l'intérêt right ????). C'est pour nous pranker qu'il fait ça ? Parce que ça ne me fait ABSOLUMENT PAS rigoler. J'ai d'autres trucs à faire, j'ai eu zéro vacances à cause des fucking 3 semaines de partiels et là je reprends et on me sort que des mauvaises informations pendant une heure ?
Je suis affolée. Ça veut dire que les gens de ma classe qui auront pris en notes certains trucs (parce qu'aussi la prise de notes dans son cours c'est un bon gros bordel hein on va pas se mentir sur ça non plus mais on est à la fac alors on va pas chouiner)... S'ils ne vérifient pas ils auront littéralement que de la merde.
C'est génial. Bien joué. J'hallucine vraiment. J'hallucine. Tu m'étonnes qu'il ne met pas ses cours sur cursus le boug. Ça serait mettre à la vue de tous toutes ses fucking erreurs là. VRAIMENT JE N'EN PEUX PLUS.
Et c'est encore que «la reprise» lol.
J'imagine que comme nous sommes jeunes ils se disent qu'on ne sait rien peut-être ? Mais putain heureusement que j'applique la méthode de Descartes.
FUCKING HELL.
Après j'aime bien faire des recherches etc. Normal. Toujours je fais du complément de cours MAIS J'AI AUSSI D'AUTRES MATIÈRES AVEC D'AUTRES LIVRES À LIRE EN FAIT.
When you are young they assume you know nothing.
J'avais tiqué sur des dates, sur les noms des recueils pendant le CM alors que bon, je ne suis pas du tout une pro sur V. Hugo... Mais je pensais pas QUE C'ÉTAIT À CE POINT LA MERDE.
Allô j'ai Plaute à lire, Ovide et Callapée. J'ai mes recherches sur la mythologie greco-romaine ok ? J'ai un million de trucs à faire à côté dans ma vie. J'ai zéro temps pour mes loisirs et après ils viennent nous engueuler parce qu'on finit en burn out ?
Allez c'est bon aussi.
Anyway je suis dans le car pour rentrer j'vais taper un bon run comme d'habitude et essayer de pas péter mon crâne bien que ce ne soit pas l'envie qui manque.
#j'en ai marre#encore#envie de prendre un shot à chaque fois qu'il se trompe mais j'vais finir en coma éthylique#NO PUEDO MAS#en plus il nous prend de haut ??#L'AUDACE.
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Crac ! Boum ! Hue ! (etc...)
Surtout, ne me faites pas dire ce que je ne pense pas : ce titre n'est en rien une revendication de ma part. Non, je n'ai pas, comme Jacques Dutron avait la chance d'en avoir un dans sa jeunesse, ''un piège à filles, un truc tabou, Un joujou extra qui fait crac boum hue''... Et, hélas, ''Les filles ne tombent pas à mes genoux''. En revanche, dans mon immeuble parisien, un voisin a profité de ses vacances pour se lancer dans des travaux iso-hidalguesques. Je ne sais pas à quelles destructions sont destinés les bruits incroyables qui provoquent mon réveil depuis quelques matins, mais ses corps de métiers doivent se prendre pour des décathloniens... ou pour le ''truc'' de Dutron !
Si je vous raconte ça, c'est parce que grâce à une ''pub'' parue dans le quotidien gratuit ''20 minutes'' et transmise par Alain Rémond, de ''La Croix'', je suis tombé sur une proposition d'expérimenter une toute nouvelle technique dite ''de relaxation sonore'' : si je veux vraiment être enfin bien dans ma tête, dans mon corps, et partout ailleurs, il me faut absolument ''des vibrations sonores''. Question à 100 $ (US) : ''C'est grave, docteur ?''. La réponse est : on verra plus tard... car pour le moment, il semblerait que je manque dramatiquement de cette invention ''ultra-quelque chose '' et ''extra-pleine de trucs'', dont une sophrologue-spécialisée-en-relaxation-sonore vante les mérites indubitables (?) dans la dite pub. ''Ces massages sonores, affirme-t-elle sans faiblir, sont la base d'une science nouvelle, la (je cite) sonopuncture'' qui, si j'ai tout compris, serait exactement la même chose qu'une acupuncture dont l'aiguille serait remplacée par des sons (c'est un peu comme un coq au vin, qui serait fait avec des andouilles de vire et des tripes à la mode de Caen !).
''Les vibrations sonores –explique-t-elle-- se propagent à travers les os, et le cerveau est (donc ?) directement atteint sans effort'' (Questions : atteint où, par quoi, venant de qui ?). Le résultat est sans appel : c'est épatant ! On est relaxé dans tous les sens, comme jamais. Et c'est pour qui, toutes ces merveilles ? Mais pour tout le monde, voyons ! Pour vous et pour votre belle-mère... ce qui m'a remis en mémoire une émission récente de FR3, sur le thermalisme : devant l'effondrement du nombre de gens intéressés par ce sport, la station de Bagnères-de-Bigorre a remplacé la fréquentation de ses sources chantantes par... des siestes interminables sur un lit sous lequel des abeilles (par milliers, par trilliers, par ruches entières) font vibrer leurs ailes... ce qui vous guérit de toutes les mêmes choses que ''les eaux'' jusque là (ça me fait penser aux belles-mères à cause de la possibilité d'une erreur d'aiguillage qui donnerait à ces hyménoptères pleins de piquant(s) l'envie de se tromper d'étage... et là, ''Bonjour les dégâts'' !).
Vous allez me dire : quel lien avec ton voisin d'immeuble ? Mais voyons... dans le caractère relaxant et curatif du bruit ! Je veux parler du miracle de la ''sonothérapie'', dont je suis en mesure de mesurer à leur juste mesure les avantages (pour moi rigoureusement introuvables) et les inconvénients (dont je tiens la liste à votre disposition : elle n'entre pas dans les limites fixées par mon fournisseur d'espace !). Mais je peux vous dire que, depuis quelques jours, j'expérimente, à fond la caisse, les massages sonores, les voyages éponymes, la sono- et la -puncture et que, jusqu'à cet instant, cela ne marche pas avec ou sur moi. Mais alors... pas du tout !
En fait, si quelqu'un pouvait être intéressé par mon avis (ce qui est rarement le cas...), je dirais même que ça a un effet rigoureusement inverse : les perceuses et les marteaux-piqueurs semblent créer sur mon système nerveux des dégâts collatéraux qui me foutent un coup de vieux dont je n'avais absolument pas besoin. Je peux même vous dire que le seul fait d'entendre des murs d'habitude protecteurs se mettre à trembler comme un volcan en Islande, et menacer de s'écouler après s'être fissurés comme un hôpital à Gaza, m'angoisse et génère en moi des torrents de gros mots et d'insultes que je n'avais pas éructées depuis les années (à peu près trois, comme toute ma classe d'âge !) où je fréquentais assidûment l'institution militaire en tant que ''Maintenu''.
En fait, j'en ai même tiré une sorte de règle générale : ''Plus ça vibre, et plus je stresse !'', et plus je suis enveloppé, jeté, trimballé, secoué, violenté et j'en passe, dans une solitude généralement réservée aux coureurs de fond, pour paraphraser Alan Sillitoe (''The loneliness of the long distance runner'' –1959). Et, un peu comme les paysans français ou les habitants du Pas de Calais, j'ai une forte impression d'abandon, de ''trop, c'est trop'', et de ''personne ne m'aime''...
C'est d'ailleurs à cette impression d'abandon que vous devez cet édito encore plus ''déjanté'' que les autres : il fallait que je partage ma ''différence ressentie'' entre les textes qui circulent, en cette période où la folie sort de plus en plus souvent des asiles … et le ressenti, justement, d'un pauvre citoyen lambda confronté aux terribles réalités du siècle ! Pour un peu, je deviendrais sartrien (c'est vous dire combien je suis touché, en profondeur !), au point de penser que l'enfer, c'est le bruit des autres ! Bonne sieste et à demain, pour un sujet plus sérieux...
H-Cl.
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@plaidetchocolatchaud raspberry flip, merci pour ce nom. Je suis encore ému de la performance de ce patineur, ça m'arrive pour la première fois. C'est très fort ce qu'il a fait, ce qu'il a donné...
(Je n'ai pas vu ta réponse hier, il y a beaucoup de commentaires sur la vidéo, je préfère te répondre directement, j'espère que c'est OK)
Désolée je viens de voir que je me suis trompée en commentaire, c'est un raspberry twist ! Je suis désolée. Et je t'avoue que même en slow motion c'est compliqué de comprendre précisément le saut, perso je vois un saut papillon, avec une vrille, mais je peux me tromper (edit : je viens de regarder sur internet et ça m'a bel et bien l'air d'un saut papillon vrillé et des tutos sur internet existent) !
Le saut papillon est l'un de mes sauts préférés en gr d'ailleurs, et j'apprenais à le faire, et c'est hyper dur de lui donner de l'amplitude, mais visuellement c'est un saut incroyable (en gif, Margarita Kolosov)
Et oui, je suis fan aussi d'Ilia, c'est pas le patineur le plus artistique (mais ça va venir, par rapport à la saison dernière, il a fait d'énormes progrès sur ce niveau-là). Même si tu ne connais pas tous les détails, regarde le détail sur le plan technique et tous les record qu'il a battu sur cette performance, c'est complètement dingue. J'espère juste qu'il fait attention niveau blessures et qu'il va avoir une carrière longue ( en tant qu'ancienne fan de sasha, ma plus grande crainte est qu'il connaisse la même trajectoire, même si il est dans un milieu beaucoup (mais alors beaucoup) moins abusif).
Si tu en veux d'autres, je te fais une liste (un peu random, il se fait tard désolée, petit guide pour débutant.e fait vraiment à l'arrache) :
Yuzuru Hanyu (jpn) : considéré comme le meilleur patineur de l'histoire, ses sauts sont juste parfait, et sur le plan artistique il a dépassé de très loin tous les autres. C'est, entre autres, le premier patineur à avoir essayé le quadruple axel, qu'Ilia a été le premier à réussir en compétition. Regardes son programme libre des JO de 2018, c'est une dinguerie (il l'a fait en étant blessé)
youtube
Nathan Chen (usa) : Malgré ses costumes horribles, si tu aimes les sauts, il fera ton bonheur
Adam Siao Him Fa (fra): La nouvelle star du patinage français, qui a partagé la vedette avec Ilia pour les mondiaux avec l'incroyable remontée qu'il a faite. Si tu as aimé le raspberry twist d'Ilia, tu pourrais aimer son arabian et son salto arrière. Et il paraît qu'il veut essayer le quadruple axel lui aussi.
Le trio Yuna Kim/Mao Asada/ Carolina Kostner : l'âge d'or du patinage artistique féminin sans aucun doutes. Chacune était différente. Tu pourrais adorer Mao et son programme libre à Sotchi
Kaori Sakamoto (jpn) : La reine du patinage actuelle
Surya Bonaly (fra) : la légende française. Elle a honteusement été volée pendant toute sa carrière
Katarina Witt (ex-rda) : ça remonte à loin, mais son charisme n'a pas vieilli, et ses outfits sont toujours aussi iconiques
Sui/Han (Chine) : je regarde pas trop les couples (pourtant c'est une discipline avec des éléments hyper variés, j'aime bien), mais celui là était vraiment mon préféré
Anissina/Peizerat (fra) : le meilleur couple de danse sur glace français imo. Tous leurs programme ou presque sont des masterclass, ça n'a pas vieilli. Et Marina est la seule femme dans le patinage à avoir porté un homme, ça ne s'est pas refait.
Virtue/Moir (can) : Jettes un œil à leur Tango de Roxanne et à leur gala sur Stay de Rihanna
Papadakis/Cizeron (fra) : Je ne dois pas avoir besoin de les présenter. Leurs meilleurs programmes sont ceux qui sont le moins classique je pense (Fame, leur danse rythmique de 2022). Big up à Gabriella pour avoir le courage de dénoncer les violences dans le patinage chez les femmes.
Gilles/Poirier (can): j'adore leur originalité ( leur programme de cette année sur Les Hauts de Hurlevent est une merveille)
Guignard/Fabri (ita) : (va regarder leur programme sur les flamands roses)
Si tu as envie de regarder de la gymnastique rhythmique (sport beaucoup trop sous-côté, parce qu'en plus des éléments gymniques et de la danse tu as des ENGINS D'ADRESSE)
Anna Bessonova (ukr) : sa routine la plus iconique est Hopak mais toutes, je dis, absolument TOUTES ses routines sont des chef d'œuvre. Elle s'est pris de plein fouet la concurrence russe et ses injustices, mais c'est la meilleure gymnaste
Elena Vitrichenko (ukr) : une icône, malheureusement les juges en avait décidé autrement
Almudena Cid (esp): la reine d'Espagne qui a disputé quatre finales olympiques
Les russes ont dominé la gr pendant deux décennies, mais seulement trois ont vraiment apporté quelque chose à ce sport : Evgenia Kanavea, Margarita Mamun (il y a eu un documentaire terrible sur sa préparation aux JO tu comprendras mieux pourquoi on ne peux plus défendre les russes tant que le système ne change pas) et Yana Kudryavtseva
Melitina Staniouta (blr) : je la mets juste pour son sublime pivot signature
Sofia Raffaeli (ita) : une des principales prétendantes à l'or olympique. Elle a besoin de force, elle s'est fait lâcher à la fin de la saison dernière par sa coach qui l'entraînait depuis toute petite
Polina Berezina et Alba Bautista (esp) : je les aime d'amour. Poli a mon âge et les rubans d'Alba sont des merveilles.
Eva Serrano (fra): Si les russes n'avaient pas falsifié les scores, elle serait la seule gymnaste française à avoir gagné une médaille olympique. Tkt, elle a pris sa revanche en étant juge 20 ans plus tard à Tokyo (quelle reine) où la Russie a été battue après 20 ans de domination sans partage.
Darja Varfolomeev (ger): n'écoute pas ce que ces haters disent sur Internet. si tu as aimé Ilia (et que tu es toujours là !) tu vas l'adorer. Ses difficultés sont folles, et elle est d'une consistance dingue et fait ses meilleurs performances sous pression. Pendant les mondiaux elle dansait sur les musiques des autres en attendant son score, et elle a un sourire plus gros que son visage. C'est la favorite pour les JO.
Takhmina Ikromova (uzb): la révélation des derniers mondiaux, et la gymnaste la plus complète. elle vient de gagner le concours général du grand prix de Thiais ce weekend
Barbara Domingos : première gymnaste brésilienne qui a du succès, tu devrais aimer son ruban et son cerceau sur le roi Lion
Stiliana Nikolova (bul) : La plus expressive de la bande et celle qui a le plus de responsabilité, le jour où elle arrivera à vaincre son stress pour les finales elle sera imbattable
Boryana Kaleyn (bul) : la GOAT. elle s'est essayé et a réussi à TOUS les styles musicaux, du classique au metal, à la K-pop, au folklore sibérien à des morceaux de musiques composés exprès pour elle. Le cycle précédant un nombre incalculable de médailles lui sont passées sous le nez à cause de l'inflation des scores russes.
Ensemble France : voir mon précédant post
Ensemble Bulgare "Les Golden Girls) : le groupe de 2018-2021 (surnommé Les Diamants) est le meilleur de l'histoire, et les petites nouvelles font de très belles routines. Leurs performances dans les années 80, qui leur ont valu leur surnom valent le coup d'œil
Ensemble d'Espagne : leur performance en 2016 sur Vida Carnaval est de l'or
Ensemble d'Ukraine : quand elles sont stables, elles sont merveilleuses. Jettes un œil sur leurs galas : Archangel et Angels and Demons
Ensemble de Chine : des reines
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Qui de nous deux ?...
Je ne suis fondamentalement pas quelqu’un de rancunier ni de vengeur mais forcée de constater que parfois ma déception reliée à un fond de colère n’est pas toujours facile à disparaitre !
J’en reviens toujours au même point et je me sens alors comme un poisson rouge dans son bocal, toujours à tourner en rond de façon machinale et stupide, avec l’envie de me mettre des gifles tant je me sens idiote de réagir ainsi. Je ne digère pas le paradoxe qu’il peut y avoir chez les gens entre leurs paroles et leurs actes. Je peux comprendre les situations exceptionnelles, je peux entendre les motifs valables, je peux accepter les urgences mais les situations qui se répètent trop souvent pour les mêmes raisons ou pire pour des excuses sorties du chapeau là j’ai plus de mal. Je suis quelqu’un qui fait toujours son maximum pour être honnête et cohérente avec mes paroles et mes actes et je ne supporte pas ceux qui font l’inverse c’est normal.
J’ai l’impression d’être un passe-temps pour lui, d’être un alibi ou une raison à son mal-être. Je ne comprends pas ce qu’il peut autant aimer chez moi alors qu’il me fuit ou me rend coupable ? Je me demande si les visions que j’ai eu n’ont pas été faussées…Il arrive à me faire douter de mon instinct primaire et je n’aime pas ça ! Je sais que je peux me tromper mais la plupart du temps j’ai du mal à l’admettre car mon flair ne me trompe jamais. Pour autant si j’étais face à un véritable faux semblant, comment pourrais-je me fier à mes ressentis ?
Que dois-je faire alors ? Ne plus le croire tant qu’il ne saura pas aligner ses paroles et ses actes à la perfection ? Ne plus se fier à ses belles paroles qui savent parfaitement me charmer et ne retenir que les actes ? Continuer à lui faire malgré tout confiance ?
La confiance…quelle notion fragile ! J’avoue ne plus savoir si j’en possède encore…Je n’ai pas confiance en moi déjà alors en donner aux autres c’est délicat ! De plus, quand il disparait de la sorte pour réapparaitre quand ça lui chante je ne peux m’empêcher de faire le rapprochement avec les hommes qui ont plusieurs vies en parallèle.
Je l’aime et je lui en veux…ce n’est pas compatible tout ça…J’ai peur d’admettre que je vais devoir tirer un trait définitivement sur les jolies visions du « nous » que j’ai eu. Je ne suis même pas persuadée qu’il tienne vraiment à les réaliser lui aussi. Il a peur de tout et tout le temps ce qui le rend terriblement maladroit et horriblement destructeur.
Je suis à nouveau perdue et complètement détruite. Mon seul réconfort est ma liberté qui est restée intacte mais à quoi bon m’enorgueillir si je ne peux rien en faire ? Je me sens comme un animal sauvage mis en cage dont la porte serait restée ouverte mais qui a peur d’en sortir afin d’éviter un plus gros prédateur…
Je l’aime mais je lui en veux…Qui de nous deux lâchera le premier ? J’ai déjà la réponse alors je dois d’ores et déjà continuer d’avancer sans regarder en arrière…Aimer c’est ne rien faire pour demander pardon, pourtant même s’il dit m’aimer à la folie il demande constamment mon pardon ! Je préfère laisser le passé dans le passé…La solitude reste toujours dans les miroirs, c’est pour cela que je n’aime pas vraiment m’y regarder !
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est-ce que tu conseillerais le live action de one piece même à quelqu'un qui n'a JAMAIS vu l'anime ni lu le manga?
comme je disais dans mon liveblog je crois pas que quelqu'un qui connait pas le manga appréciera autant, mais je peux me tromper donc go c'est que 8 épisodes au pire ? mdr
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Plus loin je vais dans ce que je crois être ma voie, plus je me sens exilé. Exilé de la source, de l’origine, de moi-même. Et je me demande si je ne serais pas en train de me tromper de chemin. L’impression que toute ma vie est suspendue, en attente. C’est cette ville et cet appartement que je ne peux pas blairer, qui ne me disent rien du tout. Je me demande où est-ce que je pourrais bien aller quand j’aurais terminé ici. Je ne me vois nulle part. Je pense souvent, en ce moment, à tout plaquer, changer de métier. Ce n’est pas le métier que je n’aime pas, c’est ce que la société en fait. J’éprouve, en ce moment, un besoin de confort, de sécurité, d’abandon serein. Or c’est tout le contraire qui m’arrive : l'apprentissage d’un métier difficile qui me pousse à surmonter mes faiblesses (ce n’est pas un mal mais cela reste éprouvant), le fait de vivre seul, sans famille ni amis, dans une ville que je n’apprécie pas, et le fait qu’à côté de cela j’éprouve un ennui intranquille que je ne parviens pas à surmonter. Dans les autres boulots que j’ai fait auparavant, la responsabilité étant moindre, le travail en lui-même étant peu exigeant, vite appris, peu demandeur en initiatives, peu stressant, je me sentais davantage libre mentalement. Je ne sais toujours pas ce que je désire vraiment en vérité. Je sais que j’ai dépassé cette illusion qui me faisait croire que je pourrais arriver à une sorte de métamorphose par le succès de mes entreprises, et qu’au contraire la débauche serait un état invivable. Tout me semble désormais relatif, et je ne sais plus très bien où se trouve le désirable. J’ai compris également qu’il importait peu que je fasse quelque chose ou non de ma vie, l’essentiel étant mon état intellectuel, ma façon d’appréhender mon existence, ma pensée, mes croyances. J’ai acquis la certitude qu’il n’y avait que moi qui comptais, et que je n’envisage pas un futur où je ne suis pas, dans ce que je fais, en quelque sorte le maître. Peu importe ce que je fais, je veux décider comment je veux le faire. Je veux être maître de cette décision. Et je crois comprendre que mon épanouissement et mon bonheur dépendent de cette condition. Le vrai problème dans tout cela est la question du quoi. Quoi faire ? Je n’arrive pas à croire qu’il puisse y avoir quelque chose à faire dans ce monde. Pour résumer : toujours la même frustration face à mon sentiment quasi omniprésent d’ennui, le doute persistant quant à mon avenir professionnel. L’impression, je dis bien l’impression, que je passe à côté de ma vie, que... Que rien. Marre de répéter toujours la même chose. Que je ne vis pas, que j’ai tant à donner, que que que... Tu sais ce que tu as à faire.
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Déclaration D'amour | Réel Et Sincère - Bradley "Rooster" Bradshaw [2/2]
Top Gun Maverick Masterlist
Partie une
Partie une - deux (version anglaise)
Résumé : Après ta relation avec Jake, tu penses avoir enfin trouvé la personne qui te traitera comme il faut.
Warnings : Jake est toujours un connard, mention d'anciennes relations qui étaient nulles, un peu d'angst, fin heureuse, peur de se faire tromper, dites-moi si j'en ai loupé d'autres.
Nombre de mots : 4.2k
Chanson qui m'a inspiré : Daylight par Taylor Swift
Le soleil se couchant doucement, ton rire et celui de Bradley remplissent l’air alors que vous marchez vers ta porte d’entrée. Une fois devant, vous restez face à face, tentant de retrouver votre calme. Un sourire au visage, Bradley te regarde reprendre ta respiration avec tendresse.
Bradley et toi êtes amis depuis votre rencontre il y a deux ans. Il t’a aidé à te remettre de ta rupture avec Jake et il t’a soutenu dans tes autres relations, plus ou moins courtes. Rapidement, il est devenu ton meilleur ami, ton confident. Tes sentiments pour lui ont fini par changer au fur et à mesure, c’est pourquoi tu lui as proposé un rendez-vous quand tu t’étais sentie prête à sauter le pas. Pendant une seconde, tu craignais que votre moment à deux soit embarrassant, mais tout s’est fait naturellement. Toutefois, connaissant ta chance en amour, tu as peur du revers de la médaille. Peu importe si Bradley a l’air d’être un homme bien, tu es terrifiée à l’idée que ça se finisse dans les larmes. Tu as beau t’y préparer, tu sais que tu en souffrirais si tu devais le perdre.
Quand tu as enfin arrêté de rigoler, tu poses tes yeux sur Bradley et tu fais de ton mieux pour cacher ton anxiété naissante. Tout se joue au moment des aurevoirs et tu espères que tu n’as pas trop lu entre les lignes.
-J’ai passé un bon moment avec toi, affirme Bradley en prenant ta main gauche.
-Moi aussi. Je crois que je peux même dire que, commences-tu en évitant rapidement son regard, et ça va sembler cucul, mais c’est le meilleur rendez-vous que j’ai eu.
-Je partage ton avis.
-Je suis surtout rassurée de voir que je ne t’ai pas ennuyé en parlant trop de livres, blagues-tu, tentant de cacher ton embarras.
-Tu ne pourrais jamais m’ennuyer. J’adore quand tu parles de ta passion. Et puis, c’est grâce à toi que j’ai pu me remettre à lire. Ça serait très ingrat de ma part de ne pas t’écouter.
-Quand j’aurais fini de le lire, dis-tu en montrant le livre qu’il t’a offert, peut-être qu’on pourra en parler autour d’un café ?
-J’adorerais ça.
Pensant que votre rendez-vous est fini, tu fais un dernier sourire à Bradley puis tu prends tes clés pour ouvrir ta porte. Avant que tu puisses tourner la clé dans la serrure, Bradley attire ton attention, la nervosité lisible sur son visage.
-Y/N, est-ce… est-ce que ça te dérangerait si je t’embrassais ? Je sais que c’est notre premier rendez-vous, mais j’en meurs d’envie, bégaye-t-il et tu hoches la tête.
-J’en meurs d’envie aussi.
La main droite de Bradley se pose sur ta joue alors que son autre main se place sur ta hanche, t’amenant doucement vers lui. Vous fermez les yeux avant que les lèvres de Bradley se posent sur les tiennes.
Tu t’attendais à un baiser plein de passion, presque pressé, mais il est lent et rempli de tendresse, ce qui est mieux. Bradley prend son temps, bougeant ses lèvres délicatement alors que tu lui réponds. Le baiser n’est pas long, mais il te faut quelques secondes pour t’en remettre.
Quand tu rouvres les yeux, Bradley te regarde amoureusement, sa main droite caressant ta joue pendant qu’un sourire niais prend place sur ton visage. Il te salue avant d’embrasser chastement tes lèvres. Toujours surprise par votre premier baiser, tu peux seulement balbutier un au revoir avant qu’il te laisse au pas de ta porte. Quand tu vois sa voiture quitter ta rue alors que la nuit s’installe dans le ciel, tu arrives enfin à reprendre tes esprits et à rentrer chez toi.
Ton sourire niais devient plus grand en repensant à ton après-midi avec Bradley. Tout a été parfait. Il a été un vrai gentleman avec toi - tu n’en avais pas douté une seule seconde. Tu n’a pas menti quand tu as dit que c’était ton meilleur rendez-vous. Jamais un ancien partenaire ne t’avait traité de cette façon. Être ami avec Bradley depuis deux ans y est peut-être pour quelque chose. Peu importe la raison, tu es contente d’avoir passé le pas avec Bradley. Cependant, tu ne peux t’empêcher de te demander si ta relation avec Bradley est faite pour durer.
Tu es en couple avec Bradley depuis officiellement quatre mois et tout va pour le mieux. Enfin presque.
Tes anciennes relations arrivent encore à hanter ce que tu as avec Bradley. Tu sais qu’il est réellement quelqu’un de bien, mais il y a toujours cette voix dans ta tête qui te dit de faire attention, que tu n’as jamais été l’exception avant et que ça pourrait ne pas être différent cette fois.
Bradley te connaissant et t’ayant vu dans tes précédentes relations sait que tu as tendance à anticiper le pire. Quand il le remarque, il te prouve que tu peux lui faire confiance, qu’il est différent de tes exs. Il arrive à calmer tes peurs pendant un certain temps. C’est un combat de tous les jours et il s’assure de gagner chaque bataille. Malheureusement, il suffit d’un élément, aussi petit soit-il, pour te faire surnalyser ta relation avec Bradley.
Ce soir-là, au Hard Deck avec les collègues de Bradley, c’est la présence de Jake le déclencheur.
Depuis votre rupture, tu l’évites autant que tu le peux. Malheureusement, comme ce soir, tu dois être confrontrée à sa présence. Logiquement, Jake ne devait pas être là. En le voyant arriver, Bradley s’est tout de suite tourné vers toi, voulant savoir si tu voulais partir. Tu l’as embrassé avant de lui assurer que ce n’est pas grave. Après tout, rien ne t’oblige à parler avec Jake.
Pour l’instant, tu as réussi à ne pas échanger un mot avec ton ex, restant avec Bradley, Phoenix et Bob. Vous jouez au billard et comme à chaque fois, Bradley t’aide. Tu es plus douée qu’au début de votre amitié, mais tu as parfois besoin des conseils de ton petit ami - il aime également être proche de toi en te montrant comment jouer. Tu arrives à passer une bonne soirée jusqu’au moment où tu vas aux toilettes. Sans surprise, les toilettes des filles sont occupées donc tu dois attendre une quinzaine de minutes avant de pouvoir y aller. En ressortant, tu vas te laver les mains. Pendant que tu les rinces, la porte s’ouvre sur Jake. Tu lui lances un rapide coup d'œil avant de l’ignorer.
-Alors, toi et Bradley. Ça fait longtemps ? demande-t-il alors que tu t’essuies les mains.
-Qu’est-ce qui te fait croire que tu as le droit de savoir cette information ?
-Range les griffes, dit Jake sarcastiquement. Je suis juste curieux. Il y a déjà eu un truc avant ou c’est vraiment tout récent ?
À sa question, tu ne peux t’empêcher d’ouvrir grand les yeux, choquée par ses propos.
-Est-ce que tu es réellement en train d’insinuer que je t’aurais trompé ? Contrairement à toi, je sais être fidèle et heureusement, j’ai enfin trouvé un homme qui sait l’être aussi.
-Ouais, parce qu’il est différent de moi et de tes autres exs, c’est ça ? rétorque-t-il en te regardant droit dans les yeux.
-Qu’est-ce que c’est censé vouloir dire ?
-Je dis juste qu’à chaque fois que tu penses trouver un mec différent des autres, il finit par être comme les autres. Je dis pas ça pour être méchant. J’expose juste un fait, déclare Jake, cherchant un moyen de t’atteindre. Est-ce qu’il t’a déjà dit qu’il t’aime ?
Tu restes silencieuse pendant une seconde, réalisant que Jake pourrait ne pas avoir tout à fait tort. Peut-être que Bradley partage plus de similitudes avec Jake que tu ne le voudrais. Après tout, Bradley et Jake s’entendent assez bien et il ne t’a jamais dit qu’il t’aimait. Tu aimerais que Bradley te dise ces trois petits mots comme toi tu rêves de les lui dire depuis un moment, mais tu veux qu’il fasse le premier pas.
-Je ne sais même pas pourquoi je continue à t’écouter, lâches-tu, ne voulant pas lui donner satisfaction.
-Y/N, essaye-t-il de te retenir.
-Non ! Je t’ai déjà dit de ne plus me parler, c’était valable il y a deux ans et c’est valable encore pour aujourd’hui. Laisse-moi tranquille, Seresin.
Tu quittes les toilettes avant que Jake puisse ajouter quelque chose. La porte refermée derrière toi, tu prends une profonde inspiration puis, tu retrouves tes amis. En te voyant, Bradley t’embrasse la joue et te tend une queue de billard. Tu secoues la tête en informant que tu ne veux pas jouer cette partie. Bradley fronce les sourcils en remarquant une légère différence dans ta voix. Tu le rassures en disant que tu es juste un peu fatiguée, mais qu’il peut jouer. Bradley accepte ton explication, même s’il n’est pas convaincu.
Les mots de Jake résonnent dans ta tête. Tu n’aimes pas savoir qu’il a encore du pouvoir sur toi, mais il a su dire les mots juste pour te faire douter.
Le reste de la soirée, tu regardes Bradley et Jake intéragir avant de les comparer. Tu te trouves ridicule en le faisant, mais c’est plus fort que toi. Ils ont beau être différents sur de nombreux points, ton cerveau arrive à faire des connexions.
Au moment où tu arrives enfin à faire taire tes inquiétudes, une femme vient aborder Bradley alors qu’il commande une boisson au bar. Tu regardes la scène, une terrible sensation de déjà-vu en tête, pendant que Bradley récupère son verre et lui répond, sans lui prêter plus d’attention. En revenant vers toi, il passe son bras autour de tes épaules et embrasse ton front. Contrairement à il y a deux ans, tu restes silencieuse. Tu n’oses pas poser une question, craignant un potentiel mensonge. Ton cerveau ajoute ce moment aux raisons pour lesquelles Bradley ne serait pas si différent. Tu soupires avant de changer de position sur le tabouret. Bradley prend ce mouvement et ton mutisme comme un signe que tu es réellement fatiguée, il annonce alors que vous allez rentrer. Vos amis vous saluent puis vous montez dans le Bronco de Bradley.
Pendant le chemin, tu ne dis rien. Bradley s’attendait à ce que tu dises quelque chose ou au moins que tu demandes à mettre de la musique - il sait que tu n’aimes pas un trajet silencieux. Ta tête est contre la vitre alors que tu regardes le paysage défiler. Tu ne vois pas grand-chose dans la nuit noire, mais tu es trop perdue dans tes pensées pour que ça te dérange. À ce moment-là, Bradley sait que quelque chose te tracasse et qu’il va devoir te faire parler. Tu as encore du mal lorsqu’il s’agit de communiquer, donc, même s’il déteste le faire, Bradley te force à dire ce qui ne va pas. Il veut juste s’assurer que tu ne te perds pas complètement dans tes peurs au point de t’éloigner, comme tu as déjà pu le faire dans le passé.
En arrivant chez Bradley, tu enlèves tes chaussures et t’apprêtes à monter dans sa chambre quand il te retient. Tu te retournes et le regardes, les sourcils froncés.
-Qu’est-ce que tu as en tête ? questionne Bradley.
-De quoi tu parles ?
-Il y a quelque chose qui ne va pas. Tu as été silencieuse.
-Je suis juste fatiguée, mens-tu en t’apprêtant à aller dans la chambre à nouveau.
-Y/N, je te connais.
-On peut faire ça demain ? J’aimerais aller me coucher.
-Non, dit-il, d’un ton ferme. Quelque chose te tracasse et on ne peut pas éviter la conversation. Est-ce que j’ai fait ou dit quelque chose ? Quelque chose s’est passé au bar ? demande Bradley, mais tu ne réponds pas. Ne m’ignore pas. On doit en parler.
-Parce que la communication est importante, c’est ça ? rétorques-tu.
-Oui, ça l’est.
-Pourquoi tu ne vas pas parler à l’autre femme alors ? propose-tu, cinglante alors qu’il fronce les sourcils, perdue.
-De quoi tu parles ?
-La femme qui est venue te parler au Hard Deck.
Bradley doit réfléchir plusieurs secondes avant de comprendre à qui tu fais référence.
-Je ne vois pas le rapport. Elle m’a juste demandé où étaient les toilettes. Rien de plus. Je ne la connais pas.
“Je ne la connais pas”. La même phrase que Jake t’avait dite en parlant de la femme qu’il voyait dans ton dos. À ce moment-là, tu passes à la défensive, voulant protéger ton cœur d’une potentielle souffrance, connaissance la chanson que trop bien.
-C’est ce qu’ils disent tous.
-Est-ce que ça a un rapport avec Jake ? demande Bradley, commençant à comprendre la situation.
-Je sais pas, dis-moi. C’est lui ton ami. Tu sais, jusqu’à ce soir, je n’avais pas remarqué à quel point vous aviez des points communs, remarques-tu, mesquine.
-Je ne suis pas comme lui et tu le sais.
-Il est ton ami donc vous devez bien être d’accord sur certains points.
-Pas sur la façon dont il t’a traité. Il a agi comme un connard et tu peux demander à Phoenix, elle te dira que je lui en ai fait baver quand j’avais appris ce qu’il t’avait fait. Y/N, je n’ai aucune intention de te blesser, te promet-il en faisant un pas vers toi et tu recules.
-Qu’est-ce qui me prouve que je peux te faire confiance ? Tu es trop beau pour être vrai, il y a forcément un piège.
-Pas forcément. Ecoute, je sais que tu as beaucoup souffert en amour et je comprends que tu puisses avoir des doutes, mais je ne suis pas comme Jake ou tes exs, déclare Bradley d’une voix douce mais ferme.
-Peut-être, mais tu finiras par te lasser, comme tous les autres.
-Ça n’arrivera jamais. Peu importe à quel point tu essayes de me repousser car tu as peur d’avoir le cœur brisé, je continuerai à te prouver que tu peux me faire confiance, que tout se passera bien. Tu en vaux la peine. Je t’aime et je serai prêt à tout pour toi, avoue-t-il en se raprochant de toi et cette fois, tu ne bouges pas, surprise par ses mots. Alors tu peux continuer à me balancer des accusations, mais je resterai là à te prouver que ce qu’on a est réel et sincère.
-Tu m’aimes ?
-Depuis le jour où je t’ai rencontrée.
À sa phrase, tu as des sentiments conflictuels. Tu es heureuse de voir qu’il partage tes sentiments et tu te sens coupable de l’avoir autant blâmé. Bradley est sincère dans ce qu’il dit, tu le sens. Pour une fois que tu tombes sur quelqu’un de bien, tu le traites comme s’il allait te planter un couteau dans le dos à n’importe quel moment.
-Je suis désolée, Bradley. Je n’aurais pas dû te dire tout ça. Je ne sais pas pourquoi je n’arrive pas à différencier les bonnes personnes des mauvaises. Tu es un homme bien, je ne devrais pas te traiter comme si tu étais un connard. Je ruine toujours tout, murmures-tu en sentant les larmes monter.
-Tu ne ruines rien.
-Si, rétorques-tu. C’était cruel de ma part de te comparer à Jake alors que tu fais toujours tout pour moi. C’est juste que Jake a réussi à rentrer dans ma tête et j’ai laissé mes peurs parler. J’aurais dû te faire plus confiance. Je dois te faire plus confiance.
-Hey, c’est pas grave, t’assure Bradley en caressant ta joue. Au moins, maintenant, on en a parlé et tout est réglé.
-Parce que tu m’as forcé et ça n’aurait pas dû être le cas. Je suis désolée pour ça aussi. Je te jure que j’essaye de faire des efforts, même si on dirait pas. C’est juste encore compliqué, confesses-tu, une larme coulant sur ta joue et Bradley l’essuie, un sourire compatissant sur le visage.
-Je sais et je ne m’attends pas à ce que ça devienne simple en une nuit. Et puis, tu t’es améliorée. Avant, il me fallait deux jours pour savoir ce qu’il se passait dans ta tête. Maintenant, c’est seulement quelques heures.
-Avoir un bon petit ami aide à s’ouvrir. Merci d’être aussi patient avec moi, dis-tu en le serrant contre toi. Je t’aime aussi, Brad’.
-Tu n’as pas à le dire juste parce que je l’ai dit en premier.
-Je veux le dire. Ça fait quelques semaines que je veux te le dire, mais… j’avais peur de me porter l'œil en le disant en premier. Je t’aime tellement, Bradley, répètes-tu en le regardant dans les yeux.
-Je t’aime aussi, Y/N.
À sa phrase, un grand sourire prend place sur tes lèvres puis, tu les poses sur celles de Bradley. Votre baiser est autant rempli de passion que d’amour. Tes mains se perdent dans les cheveux de Bradley alors que sa main droite est sur ta nuque et son autre main est sur ta hanche. Vous vous embrassez jusqu’à ce que vous manquiez d’air. Quand vous vous séparez, tu poses ta tête sur le torse de Bradley alors qu’il te serre contre lui. Tu écoutes son cœur, un air paisible sur ton visage. Tes peurs quittent ton esprit temporairement, mais c’est le cadet de tes soucis. Tu as trouvé celui qui se battra pour te garder auprès de lui, celui qui saura te dire les mots justes pour te rassurer ou bien pour te déclarer ses sentiments. Tu arrives enfin à voir la lumière. Cette relation pourrait être la bonne.
Message de Bradley, 10h40 :
Hey, je suis désolé, je ne vais pas pouvoir manger avec toi à midi. Ils vont me faire finir plus tard. Je me rattraperai, je te le promets. Je t’aime ❤️
En lisant le message de Bradley, tu lâches un soupir. Tu lui réponds rapidement que ce n’est pas grave et que tu l’aimes avant de ranger ton téléphone dans ta poche. Sentant les larmes monter, tu te concentres sur les livres que tu dois enlever des rayons. Tu ne vas quand même pas pleurer car il a annulé un rendez-vous ! Ça ne veut pas dire qu’il ne t’aime pas. Il n’est pas Jake. Bradley n’a pas annulé pour te briser le cœur.
Tu continues de travailler alors qu’une partie de ton cerveau imagine tous les pires scénarios quand ta collègue Cora t’appelle. Il faut qu’elle répète ton prénom quatre fois avant que tu tournes ta tête vers elle.
-Tout va bien ? te demande-t-elle, inquiète.
-Oui.
-Problèmes de couple ?
-Non pas vraiment, réponds-tu avant de soupirer. Avec Bradley, on était censés manger ensemble à midi dans un diner à mi-chemin de Top Gun et de la librairie, mais il a dû annuler à la dernière minute à cause du boulot. Ce n’est rien.
-Il n’est pas Jake, affirme Cora, devinant ton anxiété.
-Je sais.
-T’as pas l’air convaincue. Y/N, Bradley est vraiment différent et il t’aime. C’est un bon gars. Autrement, je ne serais pas là à le défendre.
-Je sais.
-C’est la première fois qu’il annule un rendez-vous ?
-Oui, c’est la première fois.
-En presque six mois de relation, c’est plutôt une bonne statistique, observe-t-elle avec un ton positif. Tu n’as pas à t’inquiéter. Bradley est complètement épris de toi. Oublie pas toutes les fois où il est venu commander des livres et où il est revenu le lendemain ou surlendemain pour savoir s’ils étaient arrivés, te rappelle Cora, te faisant lâcher un rire. Est-ce qu’il a lu tous ces livres au moins ?
-Si c’est un vrai lecteur, probablement pas.
-C’est vrai. Le fait est qu’il faisait tout pour te voir tout en respectant tes limites, reprend-elle d’un air plus sérieux. Il ferait tout pour toi. Tu es tombée sur quelqu’un de bien. Tu peux lui faire confiance.
-Je lui fais confiance. Parfois, j’imagine encore le pire, mais je lui fais confiance.
-Tant mieux. Mais si jamais j’avais tort, ce qui n’arrivera pas, j’étais avec toi de 23h à une heure du matin.
-Ça marche, rigoles-tu avant de la prendre dans tes bras pour la remercier.
Quand Cora est sûre que tu vas mieux, elle te laisse retourner à ton travail alors qu’elle va aider un client. Tu continues à vider les rayons, faisant des aller-retours entre les étagères, l’ordinateur et les boîtes à côté jusqu’à ta pause déjeuner.
Lorsque tu reprends le travail, tu ranges les caisses remplis de livres dans l’arrière-boutique une par une, te détruisant le dos en passant. Alors que tu es sur le point de récupérer la troisième boîte, tu entends la porte de la librairie s’ouvrir. Tu te retournes pour saluer le client, mais tu découvres Bradley avec un sourire et sa main droite dans son dos.
-Qu’est-ce que tu fais ici ? Je croyais qu’on ne se voyait pas aujourd’hui, questionnes-tu, perdue.
-Ma pause du midi a peut-être été décalée à maintenant, mais ça ne veut pas dire qu’on ne peut pas se voir, explique Bradley en t’embrassant chastement.
-Mais tu as seulement une heure, tu n’aurais pas dû faire tout ce chemin.
-Je voulais te voir, même si c’est pour cinq minutes et je voulais aussi t’offrir ça pour m’excuser. Je me suis dit que ça changerait des livres, sourit-il en te tendant le bouquet de tulipes roses qu’il tenait derrière son dos.
-Ce sont mes préférées ! Comment tu as su ?
-Tu me l’as dit.
-Non, je ne te l’ai jamais dit, contredis-tu en fronçant les sourcils.
-Si, tu me l’as dit. On s’était retrouvé pour parler du troisième livre que tu m’avais recommandé, c’était un Stephen King, si je ne dis pas de bêtise, informe Bradley, te surprenant.
-Mais c’était il y a longtemps ! Et je ne me rappelle pas avoir parlé de mes fleurs préférées.
-Je ne sais plus de quoi on parlait, mais tu avais rapidement évoqué que les tulipes, les roses plus précisément, étaient tes préférées.
-Et tu t’en es souvenu ? demandes-tu, à la fois choquée et attendrie.
-Bien sûr. Je me rappelle de chaque détail qui te concerne.
Submergée par l’amour que te donne Bradley, tu ne sais pas quoi lui répondre alors tu te jettes sur lui pour l’embrasser. Quand tu te sépares de lui, tu regardes Bradley, les yeux remplis d’amour, admirant son visage illuminé par la lumière du jour.
Pour Bradley, les tulipes ne sont qu’un détail par rapport à toi, mais pour toi, c’est bien plus. Jamais un de tes exs n’avait autant fait attention à toi. Bradley te connaît mieux que n’importe qui et il est honnête avec toi. Il a même pris du temps sur sa pause pour venir te voir. Avant, tu étais toujours celle qui prenait le temps pour voir tes exs, plus maintenant. Peu importe si c’est dix minutes ou une heure, Bradley s’assure toujours de trouver du temps pour te voir.
Ce moment te prouve un peu plus que Bradley est parfait pour toi. Il a beau te rassurer quand tu exprimes tes inquiétudes, ce sont les moments innocents comme celui-ci qui te prouvent que tu peux lui faire confiance, qu’il est honnête quand il te dit qu’il sera toujours là pour toi et qu’il t’aime. Avec Bradley, tu es plus que l’exception, il te fait sentir unique et à ses yeux, tu l’es. Il ne voit que toi et tu ne vois que lui. Tes peurs peuvent officiellement quitter ton esprit, votre couple est fait pour durer. Bradley est le bon. Et pour la première fois de ta vie, tu as hâte de voir comment votre relation va évoluer.
Tu te tournes dans le lit de Bradley et avec ta main, tu cherches le corps de ton petit ami. Sentant une place vide, tu ouvres les yeux et découvres qu’il n’est plus à tes côtés. Tu t’étires et frottes tes yeux avant de quitter la chaleur de la couverture.
En quittant la chambre, tu entends du bruit dans la cuisine. Tu t’y rends en continuant à te réveiller doucement. Une fois dans la cuisine, tu découvres Bradley, torse nu, dos à toi en train de faire des pancakes. La lumière du matin le rend encore plus beau, illuminant chaque centimètre de sa peau bronzée. C’est une vue que tu pourrais admirer toute ta vie. Tu te rapproches de Bradley et l’enlaces par derrière en posant ta tête contre son dos alors que tes mains touchent son torse. Bradley sursaute en te sentant puis il te salue tout en éteignant la plaque.
-Désolé, je faisais trop de bruit ? te demande-t-il en plaçant des pancakes dans deux assiettes.
-Non, tu n’étais plus dans le lit, je te cherchais.
-Je voulais t’amener le petit-déjeuner au lit, explique Bradley en se tournant vers toi et en t’embrassant chastement. Qu’est-ce que tu en dis ?
-Qu’est-ce que j’en dis ? répètes-tu en souriant. Rooster, amène moi au lit ou perds moi pour toujours.
-Montre moi le chemin, chérie.
Sans dire un mot, tu recules en tirant Bradley vers toi. Impatient, il pose ses mains sur tes hanches et te soulève. Tu pousses un petit cri avant d’enrouler tes jambes autour de sa taille. Les pancakes abandonnés, Bradley te ramène dans le lit alors que vous vous embrassez tout en rigolant.
Tu es sereine dans ses bras. Pour une fois, ça ne se finit pas dans les larmes, mais dans les rires et l’amour dans sa forme la plus pure. Tu as réussi à trouver l’amour que tu pensais réel que dans les romans. Tu as enfin trouvé l’homme que tu mérites. Être amoureuse de Bradley est facile et paisible. Bradley t’apporte tellement plus que les déclarations d’amour que tu rêvais tellement d’entendre.
Top Gun Maverick Masterlist
Partie une
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Le Choix - chapitre 7
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Après une micro-seconde de délibération, il se pencha, sans trop savoir lui-même ce qu'il cherchait. Jamais il n'avait eu envie d'embrasser Guenièvre, même à l'époque, même après que les fantômes de Rome s'étaient estompés, même avant que l'aigreur ne se soit installés pour de bon. Mais ce soir-là, après toutes les péripéties qui venaient de s'enchaîner en à peine quelques heures, la pommette encore douloureuse, il trouvait les lèvres fines et roses de Guenièvre soudainement attirantes. Lorsque leurs bouches entrèrent en contact, elle eut cette légère paralysie que peut créer la surprise, mais cela ne dura pas plus d'un instant. Elle répondit à son baiser avec chasteté, incertaine. Avant de le rompre.
- Seigneur Lancelot ! s’exclama-t-elle faiblement.
- Non mais ça va pas la tête, qu'est-ce qui se passe ici !
Arthur fit un bond de trois mètres.
La dame du lac venait de se matérialiser dans la chambre.
- J'espère que vous vous moquez de moi, Lancelot ! Je sais pas bien ce que vous manigancez mais attention hein, je peux très bien me mettre en rogne moi !
Ah très bien. Le sortilège était donc assez puissant pour tromper les dieux, manifestement. Super. Devant son silence stupéfait, la dame du Lac continua.
- Alors vous vous souvenez probablement pas de moi, c'est vrai que vous étiez grand comme trois pommes à l'époque, mais c'est pas parce que vous vous souvenez pas de moi que je peux pas vous en mettre une comme quand vous étiez petit.
Il balbutia, exagérant la surprise. Guenièvre chercha son regard.
- Qu'est-ce qui vous arrive, vous êtes pas bien ?
- Attendez, je... Vous la voyez aussi ?
- Qui c'est que je vois aussi ?
Bien sûr, Guenièvre ne pouvait pas la voir, mais il devait feindre de ne pas comprendre comment marchaient ces choses-là.
- Faites un effort, dit la dame du Lac, rappelez-vous. Je suis Viviane, la dame du Lac. Je m'occupais de vous quand vous étiez petit, je vous apparaissais, et puis des fois vous étiez le seul à pouvoir me voir ? Ça vous dit quelque chose ? Ya une loupiote qui s’allume là-dedans ? Bon alors là, pourquoi maintenant je peux vous apparaître comme ça, bon ça il faudrait que je voie avec les cheffes parce que c'est qu'Arthur normalement... Mais là je vous vois en train de péter un boulon et apparemment je peux intervenir alors je vais pas me gêner pour sauter sur l'occasion !
- La dame du Lac... murmura Arthur, comme s'il mettait du temps à réaliser ce qui lui arrivait.
- La dame du Lac ? dit Guenièvre. Ah bah non pas vous aussi !
Elle plaça ses mains sur ses hanches, habituée à devoir attendre que les visites de Viviane soient finies.
- Alors écoutez-moi bien, mon petit vieux, reprit la fée. Je sais pas ce qui vous a pris d’un coup, je sais que ça fait des années que vous ne pensez qu’à ça, que depuis que vous avez posé les yeux sur elle vous vous dites que c’est la seule et unique élue de votre cœur et blablabla, ça on l’a tous bien compris, mais il faut vous sortir ça du crâne Lancelot !
- Des années ? dit Arthur, ne sachant plus si sa confusion était celle de Lancelot ou la sienne.
- Pardonnez-moi le terme, mais c’est une grosse connerie ce que vous êtes en train de faire ! Et puis la p’tite, c’est pas parce qu’elle se laisse embrasser comme ça une fois, bon, voilà… Mais c’est à Arthur, que les dieux l’ont promise, Arthur, et rien ne changera ça, même si vous avez des sentiments réciproques ou je ne sais quelle autre niaiserie…
Des quoi ? Des sentiments quoi ?
- Enfin bon, réciproques ça j’en sais rien hein, on n’est pas arrivées à un consensus là-haut, même pour elle je crois pas que ce soit très… enfin n’allez pas vous faire des films quoi !
- Euh, elle a bientôt fini ? interrompit Guenièvre. Nan parce que si vous en avez pour la soirée, moi je retourne au plumard hein.
Il resta silencieux.
- Rentrez-vous bien ça dans le ciboulot Lancelot, c’est très important : vous ne pouvez pas vous permettre d’espérer ! Ça finira en désastre. Alors reprenez-vous et faites un effort mon p’tit père ! Pis bon, moi je vais essayer de voir pourquoi c’est avec vous que je suis en communication parce que là Arthur… enfin bon. Que je ne vous y reprenne pas hein !
Et elle disparut.
Guenièvre s’était recouchée et lui tournait le dos, pelotonnée sous les couvertures. Il fit deux petits tours maladroit sur lui-même, ne sachant que faire dans le silence désormais pesant de cette chambre qui ne pouvait plus être la sienne.
- Bonne nuit, seigneur Lancelot. Faites gaffe à croiser personne dans les couloirs en sortant, ce serait dommage de vous prendre une autre mandale dans la même soirée.
Message compris. Il sortit à pas de loup, ruminant les événements de la soirée. Deux personnes avaient surpris – ou cru surprendre – Guenièvre et Lancelot en train de se bécoter, et n’avaient pas paru plus étonnés que ça. En colère, et Léodagan comme la dame du Lac avaient bien raison sur ce point-là, mais pas plus étonnés que ça. Quant à ce que Guenièvre avait dit… Quoi qu’il en soit, la coïncidence qui lui sautait maintenant aux yeux était la suivante : Lancelot nourrissait une passion secrète pour Guenièvre ; Lancelot se retrouvait catapulté dans le corps d’Arthur. L’histoire de sa propre naissance se rappela à lui comme un spectre menaçant.
Même pas besoin de ça, se dit-il amèrement : lorsqu’il l’avait embrassée sous les traits de Lancelot, pris par il ne savait quelle pulsion absurde, elle ne l’avait pas repoussé.
Son instinct lui disait de fuir, de s’isoler, de ne parler à personne pendant trois mois. Il n’avait aucune envie de lutter contre son instinct. Mais il se connaissait, maintenant, il savait qu’hurler sur quelqu’un pouvait lui faire du bien aussi. Alors que le jeune soleil commençait à illuminer le couloir, il repoussa la porte de la chambre où il avait laissé Lancelot.
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