#ma vie rêver
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Lorsque la chaleur cède la place à des températures plus fraîches, l'envie de cuisiner et de pâtisser revient comme par magie. Voir des pommes me donne envie de faire des tartes, tandis que la présence de noix m'incite à les incorporer dans mes plats. Je consomme les œufs de mes poules par douzaines ! La farine et le sucre figurent toujours sur ma liste de courses. La gourmandise est une excellente façon de compenser le manque de soleil et les journées qui raccourcissent.
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Éveille-toi que je suive tes traces J’ai un corps pour t’attendre, pour te suivre Des portes de l’aube aux portes de l’ombre Un corps pour passer ma vie à t’aimer
Un cœur pour rêver hors de ton sommeil.
Paul Eluard
Ph. Antonio Palmerini
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si vous m'offriez - ne serait-ce que vos lèvres - (oserais-je ?) - ne serait-ce que... les voir, les humer - sentir leur souffle sur les miennes, que les lécher, les laper, les manger. ne serait-ce qu'avidité ? de ma part... embraser, dévorer, relécher, ne serait-ce qu'engloutir, qu'avaler - tous ces mots - embrassés, embrochés, ébréchés... au sortir de ma bouche, à la brèche du baiser, à la broche du désir ? au coin de ce visage dans les rues rencontrés. (le voulions-nous ? mais qu'avons-nous cherché ?) avidité, supplice, impatience quémandée. que soif, envie, plaisir. que soupirs expirés. jusqu'où vouloir... vers où languir... en quels hasards... et qu'exiger encore, que repentir, que fuir... par où... que dire - de vos baisers de vos brasiers de vos délires de mes délices de mes caresses de nos histoires de nos paresses des nuits ivoires.
et qu'espérer encore ? que rechercher en vain ? aller toujours plus loin ? en rexcitant les cendres de nos chairs calcinées. et répétant nos corps et ranimant les cieux, nous empoignons les flammes, nous mâchons les étoiles allongées dans nos ombres, elles aussi dévêtues, elles aussi cœurs à nu.
nos lèvres refermées - plus qu'atteintes, contentées.
lors nos envies perdues ? et nos désirs passés ? ... je ne saurais vouloir à la fin ce désastre ! pour déborder ma bouche, refermer les ravins, pour apaiser mes lèvres et rassasier ma faim - il faudrait plus qu'une vie. je rouvrirais - avec mes doigts - avec mes dents - les plaies de nos désirs - pour désirer encore - pour désirer toujours... être avide - et sublime. insatiable. insensée. pour revouloir encore, à vos lèvres rêver, à vos lèvres goûter et contenter ma peine et raviver la joie au feu et au festin de nos bouches en sang de nos dents criminelles de nos soifs carnassières de nos fièvres désirables.
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Vieillir, c'est chiant.
J’aurais pu dire :
vieillir, c’est désolant,
c’est insupportable,
c’est douloureux, c’est horrible,
c’est déprimant, c’est mortel.
Mais j’ai préféré « chiant » parce que c’est un adjectif vigoureux qui ne fait pas triste.
Vieillir, c’est chiant parce qu’on ne sait pas quand ça a commencé et l’on sait encore moins quand ça finira.
Non, ce n’est pas vrai qu’on vieillit dès notre naissance.
On a été longtemps si frais, si jeune, si appétissant.
On était bien dans sa peau.
On se sentait conquérant. Invulnérable.
La vie devant soi. Même à cinquante ans, c’était encore très bien. Même à soixante.
Si, si, je vous assure, j’étais encore plein de muscles, de projets, de désirs, de flamme.
Je le suis toujours, mais voilà, entre-temps –
mais quand – j’ai vu le regard des jeunes, des hommes et des femmes dans la force de l’âge qu’ils ne me considéraient plus comme un des leurs, même apparenté, même à la marge.
J’ai lu dans leurs yeux qu’ils n’auraient plus jamais d’indulgence à mon égard.
Qu’ils seraient polis, déférents, louangeurs, mais impitoyables. Sans m’en rendre compte, j’étais entré dans "l’apartheid de l’âge".
Le plus terrible est venu des dédicaces des écrivains, surtout des débutants.
« Avec respect »,
« En hommage respectueux »,
« Avec mes sentiments très respectueux ».
Les salauds ! Ils croyaient probablement me faire plaisir en décapuchonnant leur stylo plein de respect ?
Les cons !
Et du « cher Monsieur Pivot » long et solennel comme une citation à l’ordre des Arts et Lettres qui vous fiche dix ans de plus !
Un jour, dans le métro, c’était la première fois, une jeune fille s’est levée pour me donner sa place.
J’ai failli la gifler....
Puis la priant de se rassoir, je lui ai demandé si je faisais vraiment vieux, si je lui étais apparu fatigué.
« Non, non, pas du tout, a-t-elle répondu, embarrassée.
J’ai pensé que… » Moi aussitôt :
«Vous pensiez que…?
-- Je pensais, je ne sais pas, je ne sais plus, que ça vous ferait plaisir de vous assoir.
– Parce que j’ai les cheveux blancs?
– Non, c’est pas ça, je vous ai vu debout et comme vous êtes plus âgé que moi, ç’a été un réflexe, je me suis levée…-
- Je parais beaucoup beaucoup plus âgé que vous?
–Non, oui, enfin un peu, mais ce n’est pas une question d’âge… --Une question de quoi, alors?
– Je ne sais pas, une question de politesse, enfin je crois…»
J’ai arrêté de la taquiner, je l’ai remerciée de son geste généreux et l’ai accompagnée à la station où elle descendait pour lui offrir un verre.
Lutter contre le vieillissement c’est, dans la mesure du possible, Ne renoncer à rien.
Ni au travail, ni aux voyages,
Ni aux spectacles, ni aux livres,
Ni à la gourmandise, ni à l’amour, ni au rêve.
Rêver, c’est se souvenir tant qu’à faire, des heures exquises. C’est penser aux jolis rendez-vous qui nous attendent.
C’est laisser son esprit vagabonder entre le désir et l’utopie.
La musique est un puissant excitant du rêve.
La musique est une drogue douce.
J’aimerais mourir, rêveur, dans un fauteuil en écoutant
soit l’adagio du Concerto no 23 en la majeur de Mozart,
soit, du même, l’andante de son Concerto no 21 en ut majeur, musiques au bout desquelles se révèleront à mes yeux pas même étonnés les paysages sublimes de l’au-delà.
Mais Mozart et moi ne sommes pas pressés. Nous allons prendre notre temps.
Avec l’âge le temps passe, soit trop vite, soit trop lentement. Nous ignorons à combien se monte encore notre capital.
En années? En mois? En jours?
Non, il ne faut pas considérer le temps qui nous reste comme un capital.
Mais comme un usufruit dont, tant que nous en sommes capables, il faut jouir sans modération.
Après nous, le déluge? Non, Mozart.
Les mots de ma vie de Bernard Pivot.
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Automne 1933 - Champs-les-Sims
4/4
Chère Dolorès,
J'ai été très émue en lisant ta lettre. Ce que tu as fait était incroyablement généreux et courageux. Je ne sais pas si j'en aurais été capable moi-même, après tout, je suis tombée tête la première dans les pièges de l'amour.
Je comprends que tu n'ai pas osé à parler à Lucien, ou à qui que ce soit dans ta famille d'ailleurs, c'était une situation très délicate. Il ne faut pas avoir honte de ses sentiments, c'est quelque chose de tout à fait naturel, mais il faut également faire appel à sa raison. Je sais que c'est bien plus compliqué à appliquer qu'à penser. Je le sais par expérience, l'amour confère un sentiment de toute puissance qui donne parfois une foi aveugle en son propre discernement. J'ai aimé un garçon il y a quelques années, et malgré les avertissements de Lucien, d'Antoine et d'Ange, je n'ai pas pu anticiper qu'il me brisé le coeur en préférant épouser une autre fille. Tu fais preuve d'un bon discernement, c'est bien.
Je peux également tenter de relativiser ta situation, ce qui peut paraître un peu cruel de ma part c'est vrai, mais on comprend en vieillissant. Je sais qu'Hylewood a un marché matrimonial, disons, limité. On n'y croise ni l'homme de sa vie ni un bon parti tous les jours. Ce Fabien m'a l'air d'être un homme très bien, mais rien ne dit que vos deux caractères se seraient accordés sur le long terme. L'amour est doué pour nous faire flamboyer de mille feux, il brille si fort que parfois il nous aveugle quand aux défauts ou mauvaises habitudes que l'on perçoit chez l'autre.
De même, tu es encore jeune, et des garçons, tu vas encore en voir passer encore quelques uns. Des garçons que tu pourras apprendre à connaître avant de trouver chaussure à ton pied. J'ai l'impression de parler comme une ancêtre en te disant ceci, mais je pense qu'on ne peut pas rêver d'un meilleur mari que celui avec lequel tu établit une profonde relation de confiance avant un amour fort. Et rien ne dit que l'amour ne peut pas venir ensuite. Ne le dis pas à Lucien, car il a déjà ironisé sur le sujet, mais avec les années, je pense que je suis en train de tomber amoureuse d'Ange. C'est terrible, car je sais qu'il ne s'intéresse que peu aux femmes, et qu'il connait à Paris des personnes au caractère bien plus intéressant et flamboyant que le mien. Je te comprends mieux que tu ne crois, même si nos situations ne font que vaguement se ressembler.
Tu n'en parle pas vraiment, mais j'espère que cela ne t'affecte pas gravement. Je me doute que cela n'a pas du être facile, et que quand tu es seule avec tes pensées, cela doit être amer. Sache en tous cas que, de l'autre côté de l'Atlantique, tu as une lointaine cousine qui te comprends et te soutiens. Elle lira également tes lettres avec plaisir si tu ressens le besoin d'en écrire une autre.
Bien à toi et avec tout mon soutient,
Arsinoé
#lebris#lebrisgens5#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#Arsinoé Le Bris#Dolorès Le Bris#Lucien Le Bris#Marc-Antoine Le Bris#Ange de Chastel#Fabien Bernard
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14 et 15 mai 2024
Je venais de quitter ma mère au téléphone lui disant que j'allais certainement rentrer à l'auberge ou bien me faire un trajet de métro et rentrer à pieds (j'adore me faire des tours de métro sachez-le).
Dans la station, je remarque un garçon qui m'a interpellé : son charme, ses nombreux tatouages et ce qu'il dégageait. J'écris directement à une amie "Je viens de trouver l'amour de ma vie, il est juste à coter de moi". Le métro arrive, peu de place on se serre tous, lui et moi comprit. Deux stations plus loin le métro se vide un peu, je savais que j'avais beaucoup de temps devant moi avant le terminus alors je décide de sortir mon livre "Rêveries du promeneur solitaire" de Rousseau. Je le vois se pencher, tentant de lire le titre. Alors, tout naturellement je lui montre ce que je lis. Puis il me dit "Tu lis ça pour la fac ou pour les cours" EN FRANÇAIS ? Je lui réponds que c'est pour le plaisir, lui me dit que personne ne lit du Rousseau pour le plaisir, que ce n'est pas possible.
On commence désormais à faire connaissance, me demandant qu'est-ce que je fais dans un métro à Vienne et à cette heure-ci (il devait être 21h30). On discute pendant deux trois arrêts jusqu'à que le chauffeur annonce que le métro a un soucis et que nous sommes tous obligés de descendre à la prochaine station. On se dit que c'est le destin, qu'on doit continuer cette conversation. Alors, on marche, on parle de nos vies, de nos auteurs préférés, de nos lectures.
On tombe sur un bar, par chance il fermait dans 30 min mais on a pu quand même commander. Heureusement, cet inconnu parle français car sa mère est née en France, qu'il a été au lycée français à Vienne et qu'il avait fait deux ans de prépa à Paris. Mais ce qui voulait dire qu'il était bilingue allemand (merci la vie j'en pouvais plus de commander et de commander en anglais surtout). Dès qu'on s'assoit, il sort son carnet et écrit directement la date du jour, mon prénom, la ligne de métro où on s'est rencontrés et écrit "couleur de cheveux inconnu" (nous n'avions pas réussit à déterminer si j'étais rousse ou si j'avais les cheveux rouges).
Je passe les détails sinon ce post ferait 10000 lignes. On finit par partir du bar, on marchait et il me lance un "Mais en fait on est dans Before Sunrise, on vit un rêve Leyan, je suis sûr que demain quand on va se lever rien de tout ça n'aura exister". Je lui avoue que je n'ai jamais vu ce film, film qui raconte l'histoire de deux inconnus qui se rencontrent dans le train et l'américain demande à la française si elle veut rester avec lui à Vienne le temps d'une nuit. C'était totalement nous, sauf que nous, l'amour était platonique. Comme il m'a dit "C'est la rencontre de nos deux âmes, pas de nos deux corps". Et, je pense que c'est la chose la plus merveilleuse que nos corps ne se soit pas rencontrés. De toute façon, on ne c'est pas parler pour se draguer. C'était spéciale.
Finalement, on se décide d'aller regarder le film dans le hall de mon auberge. Trop de bruits. Il réserve une chambre privative juste pour qu'on regarde le film. On a parler durant tout le film, on coupait le film pour se dire que par moment c'était vraiment nous. Après l'avoir vu, on s'est demandés "Et qu'est-ce qu'on fait quand le soleil va se lever ?". On a beaucoup réfléchit, on s'est dit que le meilleur moyen de continuer ce rêve ce n'était pas de prendre nos contacts. Juste un rendez-vous après ses examens de médecine. Il m'a écrit un poème de Pablo Neruda en espagnol, pour me montrer que je n'ai pas rêver de cette rencontre juste spectaculaire. Personnellement, je lui ai laissé une petite lettre, le remerciant d'avoir une âme aussi pure et saine. On avait l'impression de se connaître depuis toujours et en même temps pas du tout c'était très étrange. Je l'ai laissé dormir, je suis partie au lever du soleil. J'espère qu'il a prit mon message, qu'il a prit cette lettre. J'espère qu'il va venir au rendez-vous. Si un de nous deux ne peut pas finalement, on s'est dit qu'on allait se recroiser un jour de façon anodine, c'était sûr et certain. J'ai quand même mit à la fin de ma lettre "Et si on ne se revoit pas, souviens toi que tu as un visage pour être aimé". Car, c'est totalement vrai. Cet inconnu à un visage pour être aimé (et puis aussi lui rappeler qu'il doit lire du Paul Eluard).
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La grande beauté de ma vie c'est que je vis ce que les autres ne font que rêver, discuter, analyser. Je veux continuer à vivre le rêve non censuré, l'inconscient libre.
- Anaïs Nin
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N°2226 – Dimanche 30 juin 2024
J’ai passé une journée superbe avec lui. Ce que j’aime, c’est que nous n’avons pas besoin de faire de grandes choses pour être bien l’un avec l’autre, bien au contraire. Notre quotidien n’est ni lassant, ni changeant. Il est entre les deux. Je n’ai pas de mots pour le dire, mais je ne m’ennuie pas. Jamais. Je n’ai pas la sensation de ne pas être à ma place. Je n’ai pas le sentiment que nous avons fait le tour. Tout ce que nous faisons, chaque petit détail, m’apporte beaucoup de bonheur et de paix. C’est pour ça que je suis certaine dans ce que je ressens. Que je n’ai pas peur de mes pensées intrusives, car elles n’arrivent qu’à des moments clefs dans ma vie. Elles surviennent lors de moments difficiles, quand je suis trop fatiguée ou que la nervosité et l’anxiété me gagnent peu à peu. Le reste du temps, je me sens bien. Je n’ai toujours pas changé d’avis sur ce que je veux plus tard avec lui. Au contraire. Plus le temps passe et plus mes idées prennent racines dans mon cœur. Bientôt trois ans de pacs. En fin d’année, cela fera six ans de relation et rien qu’à l’écrire, ça me laisse sans voix. J’ose rêver que cela aille le plus loin possible. Et pourquoi pas, pour l’éternité.
#french#love#quotes#life#vintage#write#poetry#picture#poety#Bae#Love to love#My eternity#artist on tumblr
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C’est sûr, L'Hôtel de la Poste c'est pas la Villa Florentine. Au zinc, y'a Robert, le taulier. Un gars pas méchant, mais une gueule toujours bougonne, comme s'il avait mâché du gravier au petit-déj. Un matin, alors que Lyon s’éveille sous le crachin, une dame débarque. Elle est sapée comme pour un bal, mais sa binette dit qu'elle n'est pas là pour danser. C’est le genre de fille qui n'a pas mordu dans le gâteau de la vie du côté de la crème. « Bonjour beau brun, je cherche la chambre 12. Paraît qu'elle a vue sur le grand théâtre du monde », lance-t-elle avec un regard qui claque comme un coup de feu dans une ruelle sombre. Robert la zieute avec des mirettes qui ont l'air de fouiller jusqu’au fond de son âme et lui répond sur un ton grimaçant : « La 12, ma belle, c'est tout un poème. Fais gaffe, par contre, y'a des souvenirs accrochés aux rideaux qui pourraient te filer le cafard. C'est pas Versailles, hein, faut pas rêver. Les araignées sont les seules locataires qui râlent pas sur le loyer. La dernière fois qu'on a vu de l'espoir ici, c'était dans les yeux d'un poivrot qui avait réussi à remonter dans sa chambre sans trébucher. » Elle esquisse un sourire qui dit qu'elle en a vu d'autres. Le bonhomme ajuste ses binocles comme s’il allait plonger dans le grand bain des mots croisés et ajoute : « Au deuxième, ma p'tite dame. Mais je te préviens, les murs ont parfois des oreilles et la moquette capte les confidences mieux qu'une appli d'espionnage installée sur un smartphone. » Un sourire malicieux aux lèvres, elle rétorque : « T’en fais pas, la discrétion, c’est mon fonds de commerce. » Puis elle grimpe l'escalier en colimaçon. Ses jambes dessinent des ombres qui dansent sur les marches usées. Le bois grince sous ses pas. Ça sonne comme la mélodie d'une chanson que personne n'écrira jamais. Robert lâche un soupir et se remet à compter les miettes de son existence en se disant que si les chambres de ce rafiot pouvaient parler, elles feraient la nique aux meilleures pipelettes du quartier.
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Quelques trucs bien. Juin 2024
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode.
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme.
Enfin entendre les cigales chanter le début de l’été
Découvrir une coccinelle égarée à l’intérieur de la maison puis la libérer à l’extérieur
Prendre le temps d’une soirée entre collègues, loin de la pression professionnelle. Retrouver avec grand plaisir le Dr M. inchangée et apaisée par la retraite
Découvrir mon petit Mateo marcher à quatre pattes, monter et descendre les escaliers, se mettre à genoux derrière la porte fenêtre, essayer de dire papa maman et de faire des bisous sonores
Acheter un petit livre plein de poésie pour mon petit Mateo
Apprécier le temps de pluie pour le temps de lecture
Me faire tirer les cartes et envisager plutôt de retourner voir un psy
Rendre honneur à l’été qui se fait languir avec la fête de la musique malgré la fatigue de fin d’année scolaire
Soigner maman en essayant de la motiver pour qu’elle soit en forme pour le premier anniversaire de Mateo
Réaliser que c’est (enfin) la dernière réunion de projet d’accompagnement pour cette année scolaire
Fêter l’anniversaire de ma fille sous la pergola en apéro improvisé au Prosecco. Lui offrir des boucles d’oreilles de sa couleur préférée
Passer tout un week-end à m’occuper de mon petit Mateo. Être attendrie par les retrouvailles des jeunes parents avec leur bébé
Planter et réorganiser les plantations sur ma terrasse où il manque toujours un pot
Participer au bal guinguette des familles avec mon petit Mateo. Danser avec lui la polka et la ronde au son de l’accordéon
Être accueillie dans le jardin par un Machaon, papillon grand porte-queue
Rêver d’un baiser et me réveiller à l’érotisme
Recevoir par courrier une désignation provisoire pour être jurée à la cour d’assises du tribunal de Nice. Être impressionnée
Continuer à fleurir la terrasse avec des plumbagos bleus
Installer les canisses sur la pergola et préparer le jardin pour l’été
Échanger du sens de la vie avec mon collègue psychologue
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tagged par @briselegeredansletemps (merci, c'est la première fois de ma vie qu'on me tag -osekour-, c'est un honneur !)
When was the last time you cried: Vendredi soir. J'ai fait une big crise d'angoisse, j'étais en larme, accoudée à mon balcon, une clope à la main en train de remettre l'entièreté de ma vie en question. Caricatural mais véridique.
Do you have kids: pas biologique non, en revanche, mon mec se comporte comme tel, ça compte je pense.
What sports do you play/have you played: J'ai fait de la danse classique 8 ans avant de réaliser que j'aimais pas. De la gym 5 ans puis jme suis pétée le yep. Ensuite, j'ai opté pour un mode de vie sédentaire parsemé de séance de yoga et de courses le samedi matin.
Do you use sarcasme: mon identité est construite sur/autour/avec ce concept.
Whats the first thing you notice about people: les yeux, ça en dit toujours plus que ce que les gens veulent bien (se) l'avouer. Tout ment, tout trompe, tout illusionne, sauf le regard.
Whats your eyes color: marron. Aller noisette pour le body positive. Franchement, anecdotique.
Scary movie or happy ending: je préfère les scary movies aux happy ending (parce que quel ennui sérieusement) mais je préfère tout le reste du spectre pas représenté ici aux scary movies.
Any talents? : je sais faire la grenouille avec ma bouche. Je sais tenir mon arbre droit autant de temps je veux.
Where were you born: dans un hôpital ? (Aller c bon l'humour pour aujourd'hui, en France)
What are your hobbies: j'ai pas de préférence particulière pour des trucs en particulier.
Do you have any pets: 2 chats chez mes darons, 1 (mon mec) en alternance à mon appart.
How tall are you: 1.60m
Favorite subject in school: j'ai bien aimé la psychologie cognitive au semestre dernier, très intéressant, assez intuitif.
Dream job: ça ne m'a jamais fait rêver de travailler navrée (peut-être thanatopractrice)
So now tag other people:
J'ai aucun pote sur Tumblr mdrr, je vais donc identifier des personnes que je vois souvent passer et qui sont intéressantes (désolée si vous êtes déjà taggué.e ailleurs et désolée si on se connait pas):
@perduedansmatete, @frenchpatate, @quandvientlapluie, @unjournalasoi, @lekintsugihumain
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youtube
Couplet 1 :
L'océan m'appelle
Je déploie mes ailes
Je traverse les mers
Vers ce bleu lumière
Mon aventure m'attend
Je fais face aux vents
Pour sauver ma famille
Couplet 2 :
Au bout du rêve
Je déploie mon glaive
J'affronte chaque obstacle
Pour accomplir mon miracle
Je n'ai pas le temps de danser
Mais t'invite à goûter mes beignets
Refrain :
Si nous sifflons en travaillant
Hakuna Matata apaise nos tourments
Avec un peu de poussière de fée
L'infini et l'au-delà saura nous guider
Au sein de la maison Disney
Tiana et Ella sont vos princesses préférées
Sous les traits des oeuvres Pixar
Vaiana et Elsa sont vos princesses phares
Couplet 3 :
Libérée ! Délivrée !
Je n'ai pas besoin de régner
Je déploie ma magie
Je vis enfin ma vie
L'hiver m'ouvre ses bras
Pour que je sois enfin moi
Couplet 4 :
Tendre rêve
Un nouveau jour se lève
Je quitte mes haillons
Je sors de ma prison
C'est ça l'amour !
Pour que je vive ces nouveaux jours
Refrain :
Si nous sifflons en travaillant
Hakuna Matata apaise nos tourments
Avec un peu de poussière de fée
L'infini et l'au-delà saura nous guider
Au sein de la maison Disney
Tiana et Ella sont vos princesses préférées
Sous les traits des oeuvres Pixar
Vaiana et Elsa sont vos princesses phares
Pont :
L'océan m'appelle
J'irai au bout du rêve
Personne ne pourra m'interdire de rêver
Je serai Libérée ! Délivrée !
Refrain :
Si nous sifflons en travaillant
Hakuna Matata apaise nos tourments
Avec un peu de poussière de fée
L'infini et l'au-delà saura nous guider
Au sein de la maison Disney
Tiana et Ella sont vos princesses préférées
Sous les traits des oeuvres Pixar
Vaiana et Elsa sont vos princesses phares
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En ces heures ou le paysage est une auréole de vie,et où rêver n'est que se rêver soi même, j'ai élevé, mon amour, dans le silence de mon intranquillité, ce livre étrange où s'ouvrent, tout au bout d'une allée d'arbres, les portes d'une maison abandonnée.
J'ai cueilli pour l'écrire l'âme de toutes les fleurs et, des instants éphémères de tous les chants de tous les oiseaux, j'ai tissé un réseau d'éternité et de stagnation.
Telle la tisseuse(),je me suis assis à la fenêtre de ma vie et oubliant que j'habitais la et que j'existais, j'ai tissé des linceuls pour un tiède ensevelissement, dans de chastes toiles de lin destinées aux autels de mon silence.
Et je t'offre ce livre,car je le sais beau autant qu'inutile. Il n'enseigne rien, ne fait croire à rien, ne fait rien sentir. Simple ruisseau coulant vers un abîme cendreux que le vent disperse, et qui n'est ni fertile ni nuisible.
Fernando Pessoa
&
[📷 Belvoir ~ patrimoine en devenir]
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Automne 1926 - Champs-les-Sims
2/3
En y repensant, je me rends compte que dans ma panique, je n'ai même pas répondu aux éléments que tu mentionnais dans ta lettre. Excuse moi je t'en prie. J'ai bien reçu ta carte et j'avoue que voir ces musiciens m'a fait un peu rêvé. Je ne suis jamais vraiment sortie du village, et je suis allée à Paris quelques rares fois, mais Ange m'a promis qu'il m'emmènerait dans un club de jazz pour y voir un concert dès que je le pourrai. Et bien sur, j'ai été surprise d'apprendre pour le nouvel emploi de ta mère. J'avoue que je n'imaginais pas cela possible pour une femme. Grand-Mère a eu un commentaire un peu grognon, mais il faut l'excuser, c'est du à son âge.
Je suis aussi heureuse de voir tes frères et soeurs trouver leur voie. Chez nous, cela commence à prendre forme également. C'est étrange, car j'ai vraiment l'impression que nous étions encore en pleine enfance il y a quelques temps. Avec mon mariage, la sortie du premier livre de Cléo (dire que je ne l'ai même pas mentionné, je suis une piètre soeur !), les projets politiques d'Antoine et Sélène qui s'entraine pour le tournoi doubles dames de l'année prochaine, les projets vont bon train.
Transcription :
Arsinoé « Attends Antoine ! Tu as fait la tête pendant presque toute la cérémonie. Il y a quelque chose qui ne va pas ? »
Marc-Antoine « Ce n’est pas vraiment le moment pour en parler. »
Arsinoé « Si, au contraire. Je te connais, si on ne crève pas l’abcès maintenant tu vas aller bouder dans ton coin puis faire comme si tout allait bien. Sans compter que… qu’est-ce que c’est que cette odeur ? »
Marc-Antoine « Pardon ? »
Arsinoé « Tu sens la poussière et le naphtalène à plein nez ! Mais où es-tu allé chercher ce costume ? Au fond du grenier ? »
Marc-Antoine « En fait, oui. Comme je n’avais pas de smoking à ma taille pour l’occasion, j’ai été chercher le costume de Grand-Père Maximilien dans les vieilles armoires. C’est le costume avec lequel il s’est marié. »
Arsinoé « C’est élégant, c’est certain. Mais tu aurais peut-être du le faire laver et repasser avant de le porter. Je ne serais pas étonnée de découvrir une colonie d’araignées dans une des poches. Il n’a pas été porté depuis… au moins cinquante ans ! »
Marc-Antoine « Cinquante et un ans précisément. Ce costume est un morceau d’histoire ! Et de toute façon, je ne l’ai trouvé que ce matin, alors Aurore n’aurait pas eu le temps de s’en occuper. »
Arsinoé « Grand-Mère sait que tu l’appelle Aurore maintenant ? »
Arsinoé « Ecoute, je sais que tu n’es pas ravi de ce mariage mais... »
Marc-Antoine « Mais quel euphémisme ! Bien sur que non ! Je croyais que tu ne voulais pas que Grand-Mère contrôle ta vie et regarde toi ! »
Arsinoé « Je n’avais pas précisément le choix. Et je ne pourrais rêver meilleur mari qu’Ange. »
Marc-Antoine « Et comme par hasard, ce mariage exhausse les rêves les plus précieux d’Eugénie Le Bris. Noé, j’ai l’impression que tu as été piégée... »
Arsinoé « Par ma bêtise oui certainement ! »
Marc-Antoine « J’apprécie beaucoup Ange, tu le sais, mais lui ne fréquente que des hommes ! Tu seras malheureuse comme les pierres ! »
Arsinoé « Il fréquente « majoritairement » des hommes. Et ce n’est pas le sujet. Au moins, ton neveu ou ta nièce aura un père. Oncle Adelphe dit que… »
Marc-Antoine « Je me fiche de ce que dit Oncle Adelphe. C’est à toi que je pense ! »
Arsinoé « Alors écoute moi un peu bon sang ! »
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Ah! Te dirai-je, ma fille, Ce pourquoi mon cœur vacille. Quand de travail je déborde, Comme l'évier de vaisselle, Larmes me tire sans corde La tourbe sous tes semelles. Ce qui cause mon tourment, Tu l'ignores, douce enfant. Amère est ma vie; moi seule Ai une place en cuisine. L'on me dit: « Ferme ta gueule! » Mais mon ventre crie famine. Papa veut que tu raisonnes Mais moi, que ta voix résonne. Ma fille, dans un bureau, La mienne étouffe avec moi. Comment, entre des barreaux, Délivrer un air de joie? Comme une grande personne, Il me faut, pour être bonne, Rêver petit sous un ciel Qui arrache mon plumage, Voler de mes propres ailes Tout en restant dans ma cage. Moi, je dis que les bonbons Auront, plus tard, goût de plomb. Tu sauras qu'ils font grossir Et amincissent l'émail, Qu'une femme doit grandir En hauteur et non en taille. Valent mieux que la raison Les jouets dans la maison. Mais, dans le monde des grands, Sont punis ceux qui partagent; Qui vole un rêve d'enfant, Sa peluche, est nommé sage. Poésie: extrait de "Ah! Te dirai-je, ma fille", à lire dans "Genèse d'une femme" par Marine Mariposa, disponible gratuitement sur https://sites.google.com/view/papillondusublime/gen%C3%A8se-dune-femme
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31 août
je viens de me baigner en culotte dans une rivière et comme à chaque fois que je me baigne dans une rivière (jamais) je me disais: je fais des progrès en nature!! j'avançais assise dans l'eau en me servant de mes bras parce que j'avais peur de glisser debout sur mes jambes incertaines. l'eau était agréablement fraiche et je suis allée m'assoir sur un caillou sur l'autre rive pour réfléchir à l'ombre. pourquoi je me baigne pas plus souvent dans des rivières? à chaque fois que je le fais c'est une histoire d'amour.
quand on est arrivées sur le plateau de l'aubrac ce matin j'avais envie de pleurer en voyant les grandes étendues vertes et dorées et les rochers sérieux parsemés entre les murs de pierre et les vaches. et puis y a la musique de para one de bande de filles qui est passée et j'ai commencé à pleurer comme une fontaine, en silence parce que je savais que maman ne comprendrait pas et je voulais pas qu'elle gâche tout. j'ai dit ah il me tarde de venir vivre ici!! et elle a fait un petit pff au lieu de rêver trouve des solutions réalistes lara. je pensais qu'elle serait contente de voir qu'il existe un avenir qui me donne envie parce que pour moi c'est une bonne nouvelle. personne me prend au sérieux quand je dis que je veux vivre à la campagne mais c'est dans la nature que je me sens le mieux et comme j'ai pas de plan de vie ni de carrière ni d'enfants ni rien, pourquoi me forcer à aller vivre en ville alors que la campagne me rend heureuse?
hier à moulins à la visite guidée de la maison mantin j'avais un petit crush sur un type blond qui faisait la visite avec sa fille qui devait avoir le même âge que la fille de r. on attendait le début de la visite sur un banc dehors sous le grand cèdre et il arrêtait pas de me jeter des coups d'oeil. le guide lui a dit je vous ai déjà vu vous et il lui a dit qu'il avait fait la visite il y a dix ans mais que peut être il l'avait croisé au crédit agricole et ça a emballé mon imagination. un jeune père blondinet en short bleu pétrole et baskets en toile blanche immaculés employé du crédit agricole de moulins, what if?? tellement exotique après berlin. dans la chambre de monsieur mantin on était tous les deux dos au grand lit en bois massif avec des têtes de diables sculptées dans les poteaux du baldaquin. j'ai frôlé son bras avec mon coude pendant que le guide nous expliquait que le mot flirt venait de compter fleurette. y a rien que j'aime plus dans la vie que les petits flirts discrets comme ça. tellement discrets qu'ils existent à peine. ce serait comment la vie à moulins avec un garçon qui travaille au crédit agricole et une petite fille de cinq ans? ma vision de l'enfer à priori, mais hier au musée ça me semblait être une vie potentiellement très très douce. il avait l'air incroyablement doux. et puis bon il avait une fille ce qui me rappelait r. j'avais envie qu'elle m'aime bien. je lui faisais des petits sourires comme si j'étais déjà sa belle-mère essayant de se faire adopter. je pensais au décalage entre moulins et berlin et je me suis dit que je pourrais pas aimer moulins sans berlin comme je peux pas aimer berlin sans moulins. je dis moulins parce qu'on y était et parce que ça rime, mais ça s'applique à n'importe quelle ville ou village de province. j'ai besoin du kontrapunkt.
1er septembre
j'ai rêvé du jeune père de moulins. il habitait dans un appart tout neuf très grand très moderne et quand il a essayé de m'embrasser il était plus doux du tout et j'ai du me réveiller pour pas me faire agresser. ensuite le ciel s'est rempli de tornades, c'était très sérieux, un gros engin moderne s'est écrasé devant nous et je me demandais s'il était pas inquiet pour sa fille. il m'a demandé si je pouvais lui passer des poils de ma moustache pour se les rajouter à sa barbe inexistante. il ressemblait à ted de schitt's creek.
2 septembre
à la plage. le pain est mou, ça veut dire que c'est marin. je suis déjà nostalgique de l'aubrac et de l'herbe et des rochers et de la rivière et du pont au dessus de la rivière et des vaches et des collines rondes vertes et dorées. c'est un peu les mêmes que celles en auvergne en 2019 où je disais qu'elles ressemblaient à des seins parce que j'étais dans ma période écoféministe. après ma baignade dans la rivière j'ai écrit à f. pour lui souhaiter son anniversaire je lui ai envoyé un selfie en mettant joyeux anniversaire de moi et de l'aubrac (my girlfriend). je crois que j'ai un rapport amoureux avec les endroits. la mer reste mon amante numéro un mais avec la nature c'est pas comme avec les humains, je peux aimer plusieurs endroits à la fois. je me suis baignée en chantonnant le générique de h2o mais dans ma tête j'étais encore dans l'aubrac à me faire embrasser sur la bouche par une abeille en chantant mes chansons toute seule au milieu des pâturages. hier matin au marché de saint-urcize maman a demandé à la maraichère bio s'ils prenaient des saisonniers en précisant c'est pas pour moi c'est pour ma fille.
je viens de sortir de l'eau. c'est moyen l'amour là. peut être que je l'ai trop fantasmée à berlin. je me fantasmais sur ma serviette le matin avec maman cécile et hélène à leur raconter mes malheurs berlinois mais ce matin dans l'eau quand hélène m'a demandé si je me plaisais à berlin j'ai dit moyen et j'ai pas développé et on est passées à autre chose. hier soir quand cécile m'a posé la question sur le parking j'ai dit qu'y avait trop de monde trop de bruit et trop de gens bizarres. je sais pas pourquoi j'ai dit ça. pourquoi c'est ça qui me vient à l'esprit et j'oublie complètement l'autre moitié de moyen, la moitié bien, la moitié culture excursions dans la nature bords de la spree écriture au cimetière coloc sympa tout ça.
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