#ma vie est toute tracée
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La vie dernièrement quoi
Ce tel est tellement villain, à l'aise blaise m'sieur m'appelle de célibataire avec l'appli pour les régles
J'ai que ça à foutre "connaissez-vous couci couça pour partager avec votre mec"
Madame, soyons clair et net je sors avec Mister Nobody
La moindre des choses c'est rester hyper discret
#un homme? pq faire#je suis désolé je ne compte pas devenir une statistique#càd feminicide#et puis dans cette economie catastrophique? non merci ca va aller ouais#faut me laisser seulement#ma vie est toute tracée#je la vois très bien#c'est un chien et deux chats avec moi#pas de branleur à mes côtés#まじ疲れた#馬鹿馬鹿し#le foutage de gueule est monumental#insert tikai voice from rapacinho intentado “MODI???”#same girl#I can't hear that properly#one more time
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l'amour ouf - (brouillon d'état nuage)
ce soir là, c'est comme un magma de sentiment qui cédait en moi. c'était comme découvrir que le père Noël n'existait pas, que la petite souris ne passait jamais. ce soir-là, c'était comme si je découvrais la vérité sur l'amour, ou plutôt de celui qui n'est jamais arrivé à moi. peut-être que je l'ai manqué, peut-être que quelqu'un l'a pris en lui depuis toujours, peut-être qu'il est enfermé dans une boîte à double tour, peut-être qu'il faut être plus intelligente que moi pour pouvoir l'ouvrir. c'est une énigme brisante, qui éclabousse les larmes sur les pages blanches, pourquoi je ne suis jamais celle qu'on choisit ? celle qu'on aime avec volonté de tout son cœur. dis la vie, pourquoi je ne suis pas celle dont on tombe amoureux ? peut-être que cet amour est bloqué dans une vie antérieure avec un homme qui n'autorise personne à m'aimer plus que lui. finalement, c'est comme si chaque conte de fée ne m'était pas destiné. mon corps était orné de l'amour sur chacun de mes membres, mais il n'avait jamais croisé mon chemin. j'étais une amoureuse de l'amour, une amoureuse de l'espoir et j'étais destinée à une vie où l'on ne me choisirait pas, où je serais juste bien, mais pas suffisante, où on ne tomberait pas amoureux de moi, j'étais celle qu'on laisserait dans un coin, celle qui s'habituerait a une vie fade et sans saveur. que c'est déchirant, la vie d'adulte, quand toutes les merveilles qu'on me racontait enfant n'existe plus. que c'est épuisant, la vie d'adulte, quand les âmes-sœurs n'existent qu'au temps de mes parents. que c'est déprimant, la vie d'adulte, quand celle-ci devient toute tracé sans palpitation et sans émotion, que c'est triste d'être malheureux et de ne plus croire en quelque chose qui nous maintenait en vie. que c'est bouleversant d'écrire sur l'amour depuis mes quatorze ans, d'y croire chaque jour comme une lueur d'espoir, de le sentir possible autour de moi sans jamais le rencontré. ma vie depuis le début ne vivait qu'autour de l'amour, de l'état amoureux, des âmes-sœurs, des âmes de plusieurs vies, du coup de foudre de mes parents, de tous les films bouleversants, des livres, de textes hurlant ses théories, ses définitions propres à chacun, de ses insomnies, de la boule dans mon ventre. que c'est humiliant, d'avoir été une âme transparente dans ce monde qu'est l'amour. que ce serait tragique, de mourir, sans avoir goûté au fait qu'on ait été amoureux de nous. courir après l'amour ne m'a rien apporté d'autres que de l'espoir et de la perte de temps. l'espoir n'apporte que le néant. être juste bien ce n'est jamais suffisant.
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J’envisage un avenir avec toi.
Je me projette.
Parfois tard le soir avant de m’endormir, je me prends à imaginer comment sera notre vie plus tard, notre future.
Je me projette.
J’imagine notre maison, nos enfants, la décoration du salon, les fleurs dans le jardin, le quartier voisin.
Je me projette.
Et toi tu me dis que ton métier passion compte énormément, qu’il fait parti de toi et de ton identité. Que ton avenir est déjà presque tout tracé, ici ou ailleurs, en France ou à l’étranger. Que tu partiras pour t’accomplir et continuer de rêver.
Et moi j’arrête de respirer.
Tu le sais je t’en parle depuis longtemps, ma famille, mes amis, mon travail, ma vie, tout pour moi est ici dans ce petit bout de pays. Mais toi, tu es aussi tu en es devenu une grande partie.
Je commence à trembler.
Je te demande, « pourquoi ? alors à quoi ça rime ? » j’en connais déjà l’issu, la vérité c’est que je ne suis pas de celle pour qui on reste. Alors soit je te suis soit je reste. Mais comment faire.
Ma vision se brouille.
Rester mais perdre l’amour. Partir mais perdre mes repères.
Je tombe.
Tu me dis que rien est écrit, tout reste à faire, et moi je me raccroche à ça, aux miettes d’espoir qu’on me laisse sur le côté.
Je (re)chute.
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Assise sur mon lit, dans la pénombre, je rentre par automatisme les dates qui correspondent à mes différents cours magistraux, et travaux dirigés. Je sens l'angoisse qui se diffuse peu à peu. Je décide d'aller sur la terrasse fumer une cigarette. J'ouvre le livre qui est sur la table. La première phrase de la page est "exister c'est désirer du sens". Je me sens blêmir. On en revient toujours à cette question qui rythme ma vie, mes nuits, mes pensées. Une quête de sens qui me semble toujours si peu satisfaite et surtout si pénible. Pourquoi faisons-nous ce que nous faisons ? Quel est l'ultime but de toutes nos actions et de notre avancement dans la vie ? Je vis avec la peur de ne jamais le découvrir mais de constamment tourner autour. Les sortes d'angoisses existentielle que je ressens fréquemment ne sont qu'un symptôme de l'inconfort de mon expérience de vie. Je ne suis qu'indécision et paradoxe parce que j'ai peur du non sens, du non retour, de ne pas être là où il faudrait, de ne pas suivre le chemin qui, en réalité, n'est pas tracé ou du moins pas pré tracé. Je sais pourtant que si je savais déjà exactement quoi faire en temps réel, je me plaindrai de l'inverse. Alors je m'avachis sur la table et j'expire toute l'anxiété. Plusieurs fois. Mais j'ai cette sensation désagréable qu'elle réside sans cesse dans les derniers filets d'air qui ne peuvent pas s'extraire de mes poumons. C'est un parasite qui cohabite avec moi et qui, je le sais, ne s'en ira jamais. Je ne vis pas avec la maladie de Lyme, mais la maladie de l'âme.
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Bonjour 2024.
Tu viens de commencer, mais j’ai déjà beaucoup d'espérances pour toi.
Je ne voudrais pas te mettre la pression car ça ne fait que quelques jours que tu viens de d’arriver, mais sache que chacune de tes journées risque d’être bien remplies.
Je sais qu’en 2023, je disais qu’il fallait que j’apprenne à respirer, à prendre mon temps, à lâcher prise. Mais il y a tout simplement beaucoup trop de choses que je veux faire dans la vie. Parce que je la sais courte, parce que tout m’intéresse, parce qu’il y a trop de possibilités mais jamais assez de temps. 2024, prépare-toi bien car tu vas être chargée !
Commençons par le travail, car il faut bien un peu gagner sa vie pour avoir la liberté d’en faire ce qu’on veut : je vais sans doute beaucoup travailler cette année aussi, car mon ambition d’acheter une petite maison à la campagne un jour ne m’a toujours pas quittée. J’espère ne pas trop ressembler à ce vieil oncle Picsou passant son temps à recompter toutes ses piles de piécettes, mais je vais essayer d'économiser comme je peux.
Maintenant, passons à tous mes plans sur la comète, à tout ce qui me tient vraiment a cœur.
D’abord, il y a mes projets d’écriture, j’ai un roman pour lequel j’ai déjà tracé beaucoup de lignes, et cette année, j’aimerais au moins en terminer le premier jet. Je voudrais aussi essayer d’écrire quelques nouvelles et des poèmes, mais ma priorité pour les textes courts, c’est surtout d’écrire mes vidéos. Une par semaine je l’espère. Ce qui fait 52 vidéos de prévu pour toi, 2024.
D’ailleurs questions vidéos, j’ai plein plein plein d’idées. Tiens-toi prêt 2024, car sache que j’ai déjà prévu le sujet de mes vidéos jusqu’à mi-juillet. Il y a aussi deux concepts auxquels j’aimerais faire voir le jour, mais je ne sais pas encore trop comment. Tu vas te dire que je suis folle et je sais que mon imagination est quelque peu débordante, mais je t’assure que ce sera une année merveilleuse ! Pleine de passions et de créativité.
Ensemble, on va dessiner, écrire, lire, tricoter, jouer de la musique, danser et voguer vers mille et une autres aventures exaltantes !
J’adore les débuts de nouvelles années car cette idée de nouveau départ me donne un regain d’énergie et d’enthousiasme énorme et me donne l’impression que je peux tout faire, tout entreprendre. Et d’ailleurs, cette année, j’ai décidé de laisser carte blanche à mon esprit créatif et je n’ai pas vraiment pris d’autre résolution que de suivre les élans de mon cœur.
2024, je ne sais pas ce que tu as prévu pour moi, mais comme tu peux le voir, j’ai déjà prévu beaucoup trop de choses pour toi. Je sais bien que je n’aurais sans doute pas le temps de tout faire et que ça va certainement beaucoup me frustrer, mais peu m’importe. Là tout de suite, je suis tellement heureuse d’avoir tous ces projets dans la tête et dans le cœur, et je compte bien réussir à en réaliser quelques uns !
2024, j'espère qu’on s’entendra bien et que, contrairement à ton prédécesseur 2023, tu ne prendras pas un malin plaisir à me mettre plein de bâtons dans les roues. S’il te plaît, donne-moi du courage et de la détermination et je t’assure qu’on passera 366 merveilleux jours ensemble.
Alors je te dis à très vite, car nous avons tant de moments à vivre tous les deux ! J'espère sincèrement que tu seras une année exceptionnelle, pour moi, et pour tous les autres aussi ♡
#2024#nouvel an#new year#bonne année#texte#texte français#french#français#projet#écriture#lecture#création#créativité#luza#vidéo#youtube#2023#résolution#bonnes résolutions#bonne santé#bonne soirée#photo
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LECTURE DE 2024 : Cendrillon est morte - Kalynn Bayron
Lecture terminée le 6 novembre 2024 (105/110)
334 pages lues
- Toute ma vie n'a été qu'une suite de préparatifs pour ce bal. Ce n'est pas un détail. Tout ce que je fais, tout ce que je dis, c'est pour le bal. Mon chemin est tracé depuis ma naissance. Mon futur est déjà écrit, et je n'ai pas le moindre mot à dire. - C'est vrai. Et alors ?" Elle me fixe avec une expression vide, comme si elle ne comprenait pas. "Tu ne veux pas que je sois heureuse ? Ce n'est pas ce qui compte le plus ?" Dans le bref instant qui s'écoule avant qu'elle ne répondre, j'imagine qu'elle va dire si et me confier que je ne suis pas obligée d'y aller. J'imagine comment ça pourrait être de l'avoir de mon côté. "Non." Ma mère lâche ma main. Je ressens une amère déception. "Ce qui compte, c'est que tu sois en sécurité. Que nous respections les lois. Elles sont claires comme de l'eau de roche. Et elles sont affichées juste là." Elle indique la porte d'entrée. "Le bonheur est un plus, Sophia. Ce n'est pas un droit, et plus tôt tu l'accepteras, plus ta vie sera facile.
Ma 105ème lecture, cette année, a été le roman Cendrillon est morte, écrit par Kalynn Bayron, une histoire qui va au-delà de la réécriture!
Résumé: Il y a 200 ans, Cendrillon a rencontré le prince Charmant, mais ce qui est raconté comme un conte de fée est devenu le cauchemar de toutes les femmes du royaume. Sophia devrait se trouver un mari, quelqu'un à qui elle appartiendra toute sa vie, mais elle n'en a aucune envie. Elle, elle voudrait fuir, quitter cette ville maudite avec celle qu'elle aime, mais peut-être est-elle vouée à faire plus?
CW/TW: sexisme, homophobie (dont intériorisée), meurtres, manipulation mentale, violences physiques, violences conjugales, incendie, patriarcat, agression sexuelle, prostitution (mentions), cadavre, ...
Pour mon anniversaire, on m'a offert ce livre! Il m'intéresse pas mal depuis un moment, mais je ne voulais pas le prendre dans la maison d'édition De Saxus que j'essaie d'éviter au maximum parce que leur travail de correction n'est pas top du tout. Je n'en ai donc quasiment aucun! Cependant, il s'avère que PAL fait partie de la maison d'édition De Saxus. Bêtement, j'ignorais ça, et on me l'a appris a posteriori.
Bien sûr, le travail de correction n'est pas bon, et vraiment désagréable par moments. CEPENDANT, l'histoire est vraiment cool! Un peu trop simpliste, certes, pas bien difficile à comprendre et on comprend plutôt vite ce qu'il va se passer (au point où j'ai poussé ma réflexion trop loin, ahah), mais ça reste très fort à lire. Sophia est une protagoniste forte, sensible, qui essaie de faire au mieux et qui ne veut pas endurer les injustices de son monde. Elle n'est pas naïve de leur existence, mais elle refuse de s'y plier. Et si le roman est décrit comme une adaptation, une réécriture, je dirais que ça va au-delà de ça. L'autrice avait une base, mais elle a créé une histoire propre à elle-même, et une plutôt bonne histoire!
L'histoire prend très vite des allures sombres, de part les thèmes abordés, mais je recommande chaudement. C'est très bien amené, très intéressant, et plutôt fluide à lire! Par contre, ça peut faire du mal à certains moments, les TW sont très explicites pour certains.
Bref, la lecture est chouette, je l'ai appréciée, n'hésitez pas! Mais si vous savez lire anglais, fuyez cette adaptation française qui est de mauvaise qualité.
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« Elle se laissa tomber sur le dos. Je m'allongeai auprès d'elle. Je lui pris la main. Elle la retira. — Ça y est, dit-elle. Je suis devenue une putain. — Mais, bon Dieu ! Qu'est-ce que tu racontes ? — Une pute. Je suis devenue une pute. Je m'aperçus qu'elle le disait avec beaucoup de satisfaction dans la voix. — Enfin, j'ai quand même réussi à devenir quelque chose ! — Lila, écoute… — Je n'ai aucun talent pour le chant ! — Mais si, seulement… — Oui, seulement. Tais-toi. Je suis une pute. Eh bien, autant devenir la plus grande, la plus célèbre pute du monde. La dame aux camélias, mais sans la tuberculose. Je n'ai plus rien à perdre. Ma vie est toute tracée, à présent. Je n'ai plus le choix. J'avais beau connaître les sautes de son imagination, j'étais épouvanté. C'était presque superstitieux. Il me semblait que la vie nous écoutait et prenait des notes. Je me redressai. — Je te défends de dire des conneries pareilles, gueulai-je. La vie a des oreilles. Et puis enfin, quoi, je n'ai fait que te lé… Elle fit "ah !" et me posa la main sur les lèvres. — Ludo ! Je te défends de dire des choses pareilles. C'est monstrueux ! Monstru-eux ! Va-t'en ! Je ne veux plus jamais te voir. Jamais. Non, reste ici. C'est trop tard, de toute façon. »
Romain Gary, Les cerfs-volants, folio p. 82-83
(-> Suite de...)
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Dix-sept
« Elle avait 17 ans. Elle avait tant et tant de rêves à vivre et si peu l’envie de rêver, comme ces gens âgés qui tuent le temps qu’ils n’ont plus, assis sur des bancs »
Cette chanson me revient souvent en tête quand je pense à mes années d’adolescence, en bascule vers l’âge adulte. Des prises de conscience ambivalentes que tout est possible (en théorie) et que des voies semblent déjà tracées pour nous. Le début de l’autonomie, départ de la maison familiale, d’une indépendance même relative et l’attachement, malgré tout, à ses parents, racines de tout.
La transition heureuse et douloureuse à la fois, du deuil de l’enfance, de l’insouciance… au poids de quelques responsabilités, portée par une sensation de liberté toute nouvelle, infinie.
Expériences, rencontres, permis, nuits blanches, partiels, concerts, marches de nuit, bains de minuit, ruptures, jobs d’été, ivresse, amitié pour la vie...
« Face à tant d'appétit vorace, que vouliez-vous que j'y fasse ? A tant de violente innocence, j'avais pas l'ombre d'une chance »
Je pense aussi à ma fille, 17 ans, qui prend doucettement son envol. Elle s’engage dans un métier avec tellement plus de certitude et de légèreté que je n’ai jamais eues sur le plan professionnel. C’est puissant et touchant à la fois.
« Elle voulait que ses heures dansent au rythme de ses impatiences »
La conviction ancrée que la jeunesse durera à jamais, comme l’énergie de la vie. 30 ans plus tard, retrouver la source, l'élan, la fraîcheur et plonger dans ce bain de jouvence.
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Quelle découverte !
Toujours pas remise de ma lecture de Gorge d’Or, roman finlandais de cette dernière rentrée littéraire, je cherchais un livre qui puisse lui ressembler, au moins un peu… ça m’a conduite, par ricochets divers, à la découverte de cet écrivain norvégien, né à la fin du XIXe et mort en 1970. Tarjei Vesaas. Un inconnu total pour moi… quoique.. j’avais lu dans Télérama une critique au sujet de ce qui est considéré comme son chef-d’œuvre : Les oiseaux, nouvellement traduit aux éditions Cambourakis.
Alors. Le palais de glace n’a rien à voir avec Gorge d’Or. Mais c’est une merveille. Une lecture qui ressemble à une expérience entre veille et sommeil. Les commentateurs l’identifient comme un conte symboliste, ça me paraît pertinent. Cela ressemble à un conte énigmatique qui parle d’enfants, mais ne leur serait pas vraiment destiné. Ou peut-être que si, s’ils lisent avec les yeux fermés (façon de parler), avec leurs rêves accessibles, sans attendre d’action tonitruante, en écoutant leurs émotions les plus incompréhensibles.
Vous avez le résumé de la nouvelle traduction de l’édition la plus récente. Ce n’est pas celle que j’ai lue, j’ai lu le livre dans l’édition GF, plus ancienne. Je ne peux juger de l’amélioration apportée ou non par Jean-Baptiste Coursaud, mais je serais curieuse de lire cette autre version.
Ce que je peux dire pour l’instant, c’est que le style de l’auteur est très simple. Il progresse dans son récit par petites touches, petites phrases plutôt courtes, qui ne sont pas complexes mais qui sont bien souvent énigmatiques. Il semble vouloir rendre compte des émotions successives et étranges que les petites filles éprouvent l’une pour l’autre, puis à l’égard de quelque chose qui les dépasse, ou bien qui les submerge.
L’attention à la nature est admirable. On passe de l’automne au printemps, du début de la formation de ce palais de glace (une cascade gelée) à son effondrement. Siss, l’une des deux fillettes, passe de l’innocence à la tristesse puis à la tentation nouvelle d’une vie autre qui coïncide au printemps où un garçon la trouble, mais elle ne veut pas trahir son amie avec laquelle elle a passé un pacte impérieux.
Je ne vais pas enfermer ce récit dans mon interprétation, mais je me contenterai de lancer quelques pistes. Les deux fillettes qui s’adorent évoque pour moi quelque chose de tout à fait concret, la dévotion enfantine que l’on peut avoir en amitié ne me paraît pas du tout saugrenue. Elle peut aussi revêtir une dimension symbolique puisque les deux fillettes sont apparemment opposées. On peut se demander si la perte de lune par l’autre ne correspond pas au passage de l’enfance à l’adolescence, qui va de pair avec l’envie de r��confort en même temps qu’un malaise soudain vis à vis des parents.
Peu importe, ce sont des fils, des chemins, tracés dans la neige, des lueurs qui vibrent à travers les parois du palais de glace, si beau, si mystérieux ; un refuge, un danger, un lieu de rêve, un secret, un tombeau. Au lecteur de se laisser prendre par la main par le narrateur qui pose des questions et des bouts de réponses comme des cailloux scintillants dans son récit, au lecteur de les ramasser en fonction de la résonance qu’ils créent en lui. La dimension onirique est si présente qu’elle fait du récit un texte qui résiste à l’analyse, ce qui permet sûrement de survivre aux années, et font de lui un joyau qui est célèbre en Norvège, et qui se fraie apparemment enfin un chemin jusqu’à nous. Une lecture marquante.
PS : c’est chouette de le lire fin décembre, dans un monde qui manque singulièrement d’enchantement. Une lecture qui m’a rappelé Michel Tournier ou Karen Blixen.
PS 2 : j’ai mis la 1ère de couverture de l’édition anglaise de Pinguin Books parce que je la trouvais belle.
#Tarjei Vesaas#littérature#livres#litterature#roman#livre#littérature norvégienne#conte#palais de glace
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金马奖
Une légende chinoise raconte qu'au début de l'apparition du monde tel que nous le connaissons maintenant, le premier soleil est apparu comme par enchantement divin en haut à gauche dans le ciel et n'ayant eu le temps que de suivre le tracé d' un arc de cercle dans le ciel, disparu aussitôt, Privant la terre de lumière, de chaleur, d'un cycle de vie et de mort. Le créateur n'avait pas prévu que le soleil s'effacerai du ciel, furieux il commençait à pester contre le maitre du temps qui était le responsable des poulies , engrenages, rouages et manivelles et qu' avait du connaitre un dysfonctionnement. Shíjiān dàshī, maitre d temps, les mains dans le cambouis, boulons tourne vis entre les dents se démenait pour réparer le mécanisme de la machinerie du soleil.
Les plantes , les arbres, les rivières, les rochers, le lichen, les scarabées, les fourmis, les tigres, les serpents, enfin tout ce qui étaient vivants sur ce royaume réclamait le retour du soleil.
Ma jiang, le petit cheval, accompagné de Huǒ niǎo un bel oiseau décidèrent d'aller chercher le soleil. Ils étaient tout deux téméraires, intrépides et courageux. Leur paquetage bien rempli de divers objets dont ils esperaient se servire pour denicher le soleil ( un compas, une equerre, une cane à peche, un echeveau de fil de soie).
Les 2 aventuriers escaladèrent, la plus haute montagne pour s'approcher au plus près du ciel et de l'endroit ou le soleil était apparu.
Au sommet du monde, ils se penchèrent et ils apperçurent le soleil qui etait coincé
Kogane no uma
La légende dit que lorsque la premiere fois que le soleil est apparu sur l'empire du soleil levant, les premiers êtres vivants à recevoir ses rayons prodiguants lumière, chaleur et beauté furent un cheval et un oiseau.
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Il suffit d'y croire
J'ai marché, j'ai couru
Je suis tombée, j'ai perdu
J'ai tracé mon chemin
Dans le brouillard du matin
J'ai porté sur mon dos
Ma vie comme mon fardeau
Qu'on cachait trop souvent
Qui nous brûle dedans
J'ai chialé dans les rues
J'étais brisée et déçue
Qu'on me lâche la main
Et qu'on n'me laisse rien
Que quelques rides sur le cœur
Et les miettes du bonheur
Que les pigeons apportent
Quand je suis presque morte
Pourtant j'ai gravé sur ma peau
À l'encre de mes mots
Il suffit d'y croire
Où que se cache l'espoir
Il suffit d'y croire
Et qu'importe ce que nous renvoie le miroir
Il suffit d'y croire
Tant pis pour les idées noires
On va pas éteindre le soleil
Ni les étoiles dans le ciel
Il suffit d'y croire, oh oh oh
Il suffit d'y croire, oh oh oh
J'ai aimé pour de vrai
J'ai livré tout mes secrets
J'ai juré pour la vie
Mais je crois bien qu'on m'a menti
J'ai tourné toute la nuit
J'ai cherché des réponses à la vie
Soûlés par mes questions
J'ai bien cru toucher le fond
Alors j'ai gravé sur ma peau
J'ai voulu trouver les mots
Il suffit d'y croire
Où que se cache l'espoir
Il suffit d'y croire
Et qu'importe ce que nous renvoie le miroir
Il suffit d'y croire
Tant pis pour les idées noires
On va pas éteindre le soleil
Ni les étoiles dans le ciel
Il suffit d'y croire, oh oh oh
Il suffit d'y croire, oh oh oh
Et même si j'ai mal au cœur
Et même s'il est un peu fêlé
Je sais j'ai commis des erreurs
Mais tout peut se réparer
Il suffit d'y croire, oh oh oh
Il suffit d'y croire, oh oh oh
Il suffit d'y croire
Où que se cache l'espoir
Il suffit d'y croire
Et qu'importe ce que nous renvoie le miroir
Il suffit d'y croire
Tant pis pour les idées noires
On va pas éteindre le soleil
Ni les étoiles dans le ciel
Il suffit d'y croire
Paroliers : Mathilde Gerner / Thomas Caruso
Paroles de Il suffit d'y croire
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Printemps 1918, Al Simhara, Égypte (1/20)
Chers cousins,
Je sais que vous écris avec délais, mais vous allez comprendre en lisant le contenu de cette lettre (et vous devez déjà le comprendre en voyant le tampon de la poste) que ces derniers mois ont été mouvementés, et ne m’ont laissé que peu d’occasions de vous répondre. Pardonnez cette entrée en matière un peu brusque, mais au moment où je vous écris, cela fait bien deux mois que je meurs d’envie de vous l’annoncer et que je n’en ai pas eu l’occasion : ma fille, Louise, a failli se marier. Oui, failli. C’est-à-dire qu’à vingt-cinq ans, elle ne l’est toujours pas, et on commence à désespérer que cela n’arrive jamais… Elle est jolie, mais elle a un fort mauvais caractère qui repousse tout éventuel prétendant, et, il faut bien l’avouer, elle est plutôt malaisante en société… C’est dire à quel point ce presque mariage qui n’a finalement pas eu lieu était inespéré.
[Transcription] Louise Le Bris : Déjà vingt-cinq ans. Je n’ai toujours rien fait de ma vie. rictus acide Malgré les commentaires de Papa, je ne vieillis pas si mal… Louise Le Bris : Papa est toujours si rude avec moi… Il ne s’autoriserait jamais les sortes de réflexions qu’il me fait avec Lucien ou Marie. Louise Le Bris : Je ne peux m'empêcher de me sentir comme une ombre dans ma propre famille… Toujours reléguée au second plan, toujours laissée pour compte. Ils ne réalisent même pas quand je ne suis pas là. Louise Le Bris : Toujours Agathon par ci, Marie par là. « Regarde, Louise, Agathon est déjà tellement doué au piano ! Quel dommage que tu aies abandonné ! Marie est si populaire avec les jeunes filles de son âge, elle est invitée partout, ne voudrais-tu pas sortir un peu ? Et Lucien, as-tu vu les notes que Lucien ramène de son pensionnat trop cher pour qu’on te laisse toi-même poursuivre des études ? ». Pfff… Louise Le Bris : C’est facile, pour eux. Lucien héritera de Papa et il n’a qu’à suivre la voie toute tracée pour lui. Moi, je ne sais pas ce que je veux. Parfois, j'ai l'impression que je ne serai jamais à la hauteur des espoirs placés en moi… alors qu’il n’y a aucun espoir placé en moi. Louise Le Bris : On attend juste que je me marie et que je m’en aille, et même cela, je semble incapable de le faire. Maman me répète toujours que je suis jolie. Papa n’a jamais cru en moi, mais elle, j’ai vraiment l’impression de la décevoir en étant catherinette… Louise Le Bris : Je veux prouver que je suis capable de bien plus que ce que l'on attend de moi… Mais je ne sais même pas par où commencer. Je ne suis pas comme Agathon qui est devenu un génie du piano dès lors qu’on lui a mis un clavier sous les doigts. Louise Le Bris : Je chante faux, mes broderies sont hideuses, je n’ai jamais eu la patience d’apprendre à jouer ou à dessiner… Quoi que j’entreprenne, j’ai l’impression que mes efforts seront vains. Peut-être que je suis condamnée à une vie de déception et de frustration. Louise Le Bris : Mais pourtant, je refuse de me laisser écraser par les conventions sociales et les attentes oppressantes… Je trouverai un moyen de briller par moi-même. Je refuse d'être reléguée à l'ombre de ma propre vie.
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen3ter#Jules Le Bris#Eugénie Bernard#Marie Le Bris III#Agathon Le Bris#Louise Le Bris II#Lucien Le Bris
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Le commencement sans début..
Hello !
Il parait que les premiers mots sont les plus difficiles ... Voici le récit de ma petite histoire de ce qui appel l'éveil spirituel. Ce blog commence car j'ai rencontré beaucoup de difficulté à trouver des enseignements sur ce que je vivais au quotidien dans ma tête. Alors pour mieux comprendre, je dois commencer par un point.
Je suis née dans une campagne profonde, la petite "dernière " d'une famille de filles adorées par leurs parents, tout ce qui a plus normale.
J'ai évolué avec mes petites ou grandes peines de coeur d'ados, et de relations amicales. Une vie plutôt "classique" dans le chemin que mes parents avaient tracé pour moi et je les remercie car il était plutôt confortable.
J'ai fait de belles études en alliant chimie et commerce, arrivé dans la meilleur entreprise qui puisse me convenir. Un petit copain comme sur le papier, avec forces et pas mal de faiblesses, on construit notre vie de jeunes adultes, on adopte un chien, on achète une maison. Cette vie de conte de fée m'existait tellement que je me cachait les yeux pour ne pas voir que je portait beaucoup sur mes épaules.
De nature très curieuse, optimiste et dévoué à évoluer, je me suis mise à écouter des podcast de développement perso.
Et le coup fatale est arrivé : il me quitte...
Hi there!
They say the first words are the hardest … Here's my little story of what spiritual awakening is all about. I started this blog because I found it very difficult to find teachings about what I was experiencing in my head on a daily basis. So to understand better, I need to start with a point.
I was born in the countryside, the youngest of a family of daughters adored by their parents.
I grew up with my little and big teenage heartbreaks and friendships. It was a rather 'classic' life, following the path that my parents had mapped out for me, and I thank them for it, because it was quite comfortable.
I did well in my studies, combining chemistry and business, and ended up in the best company I could find. We built our lives as young adults, adopted a dog and bought a house. This fairytale life was so real to me that I hid my eyes from seeing that I was carrying a lot on my shoulders.
By nature very curious, optimistic and dedicated to evolving, I started listening to personal development podcasts.
And then the fatal blow arrived: he left me…
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le mal n'est pas entendu
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Un premier combat entre les consonnes et les cloches qui sonnent... Mes pensées dans un dédale insondable… Il ne faut pas parler quand je suis à table… Il ne faut surtout pas agir quand je suis capable…
Le simple acte de dire à ma ténébreuse '' j'ai mal au ventre" se transforme en un examen à subir, une rue sombre à parcourir... Les mots se perdent comme les têtes de mes poupées brûlées et effrayées… Je me surprends incapable de former une fausse phrase ou un mot mal prononcé… Alors je me dresse devant elle et toute ma présence est remise en cause, la main levée vers ma tête, l'autre dessinant un cercle sur mon ventre, comme une danse pathétique ou un rituel pour invoquer le hasard...
Un deuxième combat entre mes veines serrées rouges qui m’émeuvent et l'impératif de rester tout le temps calme, même quand on s'acharne sur moi avec une ceinture sélectionnée rien que pour mon cas…
Mes signaux sont des échos en difficultés visuelles... ''Il a encore faim !'' dit-elle... Tout le sac de glace s'effondre entre ses pieds... ''Je dois le tuer.'' pense-t-elle... Derrière le voile, tout son regard s'effondre sur ses lèvres... ''où puis-je l'enterrer ? " confie-t-elle… L’amour s’effondre en larmes dans les tréfonds de sa robe…
La voix de la sorcière résonne dans la cuisine… Aiguë je pense et hystérique comme la conscience… Le mariage de la peste et le déluge s’annonce…
La porte se referme et les claquements d'aiguilles deviennent des tentacules qui me déshabillent… Dans son atelier de couture, les rires s’installent, elle tisse des fils dans le saint noir, des sortilèges à concevoir, des berceuses pour ce soir, pour que je ne dorme pas et que le rêve corrompe l’innocent cauchemar…
Un troisième combat entre la compréhension et la soupe aux choux froide... Suis-je un témoin ou un accusé fatigué qui se tue pour avoir moins ?... Alors je reste dans la flaque cassée à regarder longtemps les spirales de mes doigts tracés... Alors la solution c'est le désespoir… Alors je dois apprendre tout seul à ouvrir les étoiles de ma mâchoire...
Khalid EL Morabethi
[ dans ce texte j'essaie décrire une lutte interne face à la difficulté de communiquer...à un certain moment dans ma vie, surtout durant mon enfance... où les consonnes deviennent des obstacles symboliques... Le bégaiement est représenté par la frustration et l’impossibilité de former des phrases...les métaphores comme la sorcière et les tentacules, illustrent la pression et la gêne associées au bégaiement... finalement, la recherche de solution devient une aventure... ]
w i p
#le mal n'est pas entendu#bégaiement#khalid el morabethi#texte#ecriture#poèsie#poème#en fait j'essaie décrire une lutte interne face à la difficulté de communiquer...à un certain moment dans ma vie#surtout durant mon enfance... où les consonnes deviennent des obstacles symboliques... Le bégaiement est représenté par la frustration et l#illustrent la pression et la gêne associées au bégaiement... finalement#la recherche de solution devient une aventure...
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j’ai plus vraiment l’envie de sortir, du moins je crois que je n’ai envie de voir qu’une poignée de personnes. celles qui me connaissent tellement par cœur que l’on pourrait rester en silence. celles qui me connaissent depuis tellement longtemps maintenant, que je n’ai pas à expliquer certaines choses.
je prends aussi ce temps pour faire du yoga, pour respirer, pour lire, pour jouer. je prends plaisir à flâner, à écouter des podcasts qui me font rire, ou qui me prennent la tête avec des mots que je comprends mal.
je recommence à écrire. la poésie c’est moins mon truc, j’crois bien que je suis sortie de cette phase romantique.. enfin non, j’y suis toujours mais j’ai plus envie de l’écrire. j’ai toujours envie d’embrasser la Lune, de coucher avec le soleil, de boire l’eau des rivières ; je suis toujours absorbée par les sourires, les regards et les peaux mouillées (d’ailleurs écrire sur les corps et les fantasmes recommence à me passionner), mais je n’ai plus envie de faire valser les mots. j’écris sur wordpress a propos des films, séries et animations de ma vie : j’y dresse un message qui me semble fort, j’ai une problématique qui me permet d’avoir un tracé de paragraphes et ça me fait plaisir.
même si évidemment, l’écriture est dure à faire accrocher. parce que qui a encore le temps de lire aujourd’hui ? qui a le temps de se poser pour lire des mots ? les humains, et moi aussi, semblent absorbés par ce nouveau type de format que sont les « réels ». on en regarde peut-être 100 dans une journée et on reçoit 50 de la part de celleux qui nous aiment.
je crois que ça me manque de recevoir un poème, le nom d’un livre ou un album récemment sorti. fin’, ça j’ai encore 2/3 personnes qui le font mais sinon, tout est devenu irréel justement ; tout est devenu renfermé dans 20 malheureuses secondes, rythmées pour l’audience, avec des musiques qui ne sortent plus de mes oreilles — parce que moi aussi je suis devenue accro, j’aime bien aussi critiquer ce que je fais —, et les minutes qui passent sans qu’on s’en rende compte.
mais finalement, je finis par m’en foutre un peu au bout de 3 jours parce que je sais que j’écris surtout pour moi. enfin, qu’est-ce que je raconte? si j’écrivais pour moi, je le garderais dans un brouillon, un journal intime, non? si je le publie, c’est que j’écris peut-être même plus pour les autres que pour moi? ce sont des questions intéressantes auxquelles je n’ai même pas la force de réfléchir.
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"Vers l'Éveil de la Vérité"
(Verse 1)
Dans l'ombre de mes doutes, je cherchais la lumière Perdu dans un océan de questions, sans repères Mais j'ai trouvé en moi la force de me relever Et maintenant, je suis prêt à tout affronter
(Chorus)
Je m'envole vers de nouveaux horizons La peur n'a plus sa place dans ma chanson Je découvre la vérité, pas à pas, jour après jour Et je sais que je suis prêt pour toujours
(Verse 2)
La peur de l'échec me retenait dans l'obscurité Mais j'ai réalisé que chaque chute est une opportunité De me relever plus fort, de grandir en maturité Je suis déterminé à poursuivre ma destinée
(Chorus)
Je m'envole vers de nouveaux horizons La peur n'a plus sa place dans ma chanson Je découvre la vérité, pas à pas, jour après jour Et je sais que je suis prêt pour toujours
(Bridge)
Le soleil se lève chaque matin, apportant sa clarté Et je sais que je peux surmonter tous les obstacles qui se dressent devant moi Je suis résolu à suivre mon propre chemin Car je sais que la vérité est là, et elle ne me quittera pas
(Chorus)
Je m'envole vers de nouveaux horizons La peur n'a plus sa place dans ma chanson Je découvre la vérité, pas à pas, jour après jour Et je sais que je suis prêt pour toujours
(Outro)
Alors je laisse derrière moi mes craintes passées Je marche avec confiance vers un avenir sans limites tracées Car la vérité est en moi, et je laisserai son éclat briller Je suis prêt à embrasser ma vie, et à la vérité, je m'élèverai.
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