#la guerrière

[yvesmaisonyvesmaison]

Xena, la guerrière

[aforcedelire]

La Guerrière, Helene Bukowski

Je sais pas trop comment résumer ce livre, alors on va y aller comme ça : La Guerrière, c’est l’histoire de Lisbeth. Depuis qu’elle est petite, elle ressent beaucoup (trop) d’empathie pour tout le monde, et elle se gratte jusqu’au sang. Après une scolarité en dents de scie, elle décide de s’engager dans l’armée allemande à tout juste 18 ans. Mais elle n’ira jamais au bout de sa formation, et préférera devenir fleuriste à la place. Mais La Guerrière, c’est aussi l’histoire de son amie, personnage éponyme surnommée ainsi par leurs camarades. C’est une histoire de traumatismes, de résilience, d’amitié. Pendant plusieurs années, les deux femmes vont se retrouver dans un bungalow sur les bords de la mer Baltique, se séparer, se confier, s’écrire des lettres, se retrouver, tenter de guérir ensemble… C’est ça, c’est surtout une histoire d’amitié et de traumatismes.

J’avais adoré Les Dents de lait de la même autrice il y a déjà 3 ans et j’attendais avec impatience de redécouvrir sa plume. Alors j’ai bien aimé, mais l’atmosphère était un peu étrange : parfois la temporalité s’étirait, parfois elle ralentissait, parfois je ne savais plus quand j’étais. Dans l’ensemble, j’ai vraiment apprécié les personnages : ces femmes, amies mais pourtant éloignées l’une de l’autre, qui se sont chacune forgé une carapace pour que rien ne les atteigne, et qui essayent tant bien que mal de s’apprivoiser et de se livrer. Le cœur du roman, outre leurs traumatismes, c’est la violence : celle dont on est victime, celle qu’on exerce, celle qu’on fuit et celle dont on tente de se reconstruire. C’était chouette, et j’étais contente de cette lecture, mais j’ai préféré Les Dents de lait !

29/01/2024 - 01/02/2024

[tomoleary]

Mohamed Aouamri “La Guerrière et l'éléphant” Illustration art (2013) Source

[mmepastel]

C’est en effet un livre audacieux, et très spécial.

Honnêtement, il y a eu des moments où j’ai manqué de me perdre, parce que, précisément, délibérément, l’autrice mêle à son autobiographie les mythes chinois, pour montrer sa confusion, et c’est tellement réussi qu’on s’y perd !

L’écriture est très belle, précise, lyrique, crue parfois. Intense.

Le propos est également dur, car le sort des femmes chinoises n’est guère enviable dans la première moitié du XXe siècle. Naître femme, c’est un peu une malédiction, avec un horizon extrêmement réduit. Le livre commence par raconter le sort malheureux de la sœur du père de l’autrice, ça donne le ton. Ton étonnant en 1975, année où le livre fut écrit avant d’être réédité cette année.

Cependant, sa mère, Orchidée Vaillante, en faisant des études, puis en émigrant en 1960 en Californie, réussit à infléchir un peu le destin ; les histoires de femmes guerrières, édifiantes, aident aussi à se rêver autrement pour ses filles. Mais que de douleurs pour une petite fille qui hérite de cet écartèlement entre l’identité chinoise pétrie de codes et de symboles, et le monde américain, si différent. Pas étonnant qu’il y ait beaucoup de folie qui éclose chez de nombreuses femmes transplantées sans ménagement dans un environnement incompréhensible. On est frappé d’ailleurs en lisant cette éducation atypique par l’absence de paroles autres que principes ou fables, des paroles qui EXPLIQUENT ce que les uns et les autres vivent, ce qu’il se passe. Pas étonnant non plus que le silence frappe les jeunes écolières chinoises dans leurs écoles américaines. La langue, c’est ce qui façonne le monde, comment parler quand celui-ci est opaque et en lambeaux ? Comment oser prendre la parole quand toute votre histoire familiale vous a enjoint à vous taire ?

Il semble que Maxine y soit parvenue, grâce à son intelligence, son courage, et une envie d’affronter plutôt que de subir, même si ce fut terriblement douloureux, psychiquement et physiquement.

Et elle a réussi à faire un livre totalement personnel, et qui a dû parler à un grand nombre des sino-américains, un livre plein de beauté et de rage.

Personnellement, j’ai adoré l’utilisation du terme fantôme dans le livre, qui dépasse largement l’acception habituelle ; ils y sont d’ailleurs très nombreux. Quelle terreur en lisant celui du dortoir de l’école de médecine d’Orchidée Vaillante… cette figure protéiforme de la mort, du mal, de l’inconnu, est très forte, et nous manque bien dans notre culture occidentale si rationnelle j’ai trouvé. La « jeune fille parmi les fantômes » (sous-titre du livre) a bien su composer avec eux, et cela semble être un art bien complexe.

[lisaalmeida]

Une vraie femme est une guerrière du cœur...

Un homme, qui a compris qui il est et a appris à aller à l'intérieur pour faire face à son ego et son caractère, est aussi un homme qui peut lui fournir la profondeur de l'amour qu'elle cherche...

Il est non seulement un homme qui sait comment marcher avec elle dans le jardin secret de son âme mais qui a également la clé pour déverrouiller le réservoir de l'amour qu'elle aspire à déverser sur lui...

Et parce qu'elle est une guerrière du cœur, elle ne saura pas se contenter de moins...

Daniel Nielsen

[ladyniniane]

✨L'ultime chapitre !✨

🌊Nous voilà à la fin de ce voyage.

❧1 an et neuf mois d'écriture, deux ans et demi de travail au total.

❧49 chapitres

❧213,171 mots

❧Quatre héroïnes, quatre héros et de nombreux personnages secondaires. Une grande famille qui vit et évolue.

❧Les zones d'ombre du jeu explorées.

❧Une histoire unique écrite avec amour et motivation !

Alors si vous avez envie de lecture pour l'été et de sortir des sentiers battus...J'ai ce qu'il vous faut !

Un grand merci à tous ceux qui m'ont soutenue jusqu'à la fin !

[les-cris-des-fendues]

John E. Dumont "Listening to the Birds"

"Quand elle rentrait de l'école Poète guerrière montait dans son arbre préféré Avec son carnet de dessins Et de mots. Certains des mots qu'elle essayait se raturaient alors. D'autres s'élevaient dans les airs quand elle les chantait Comme fureur ou amour. D'autres renfermaient tous les lieux où elle voulait se rendre. Les mots jetaient des passerelles vers d'autres mondes Des sentiers qu'elle pouvait suivre sans relâche ni échec. Elles suivait les sons en les dessinant et en les chantant. Elle écrivait les initiales du garçon qui lui plaisait. Elle chantait des chansons sur la fille qui connaissait la poésie Mieux que personne."

P.96

Joy Harjo « Poet Warrior » Ed. Globe

[valardynasty]

Oropher Dynasty

*Arthanïs et Evranï, histoire originale inventée.

OROPHER; Né durant les années des arbres, il fut l'un des Iathrim de la cour de Thingol et Melian. Il passa sa jeunesse à Doriath où il épousa Arthanïs, la mère de Thranduil. En 750 du second âge, il devient le roi du royaume des bois, le grand royaume des elfes sylvain de la forêt noir. Il perdit la vie durant la guerre de la dernière Alliance contre Sauron.

ARTHANÏS; Née durant les années des arbres, elle était l'une des dames de compagnie de la reine Maïa Melian à Doriath. Elle était connue pour ses savoirs en magie que lui avait transmis Melian. Elle épousa Oropher et eut une fils Thranduil. Elle perdit la vie pendant le saccage de Menegroth. Homonyme de Galadriel.

THRANDUIL; Né au cours du premier âge à Doriath, il est le fils d'Oropher et Arthanïs. Après la mort de son père, il devient roi du royaume des bois aux côtés de son épouse Evranï, avec qui il aura un fils Legolas. Son caractère se noircit au décès d'Evranï, il n'a d'ailleurs jamais vraiment surmonté sa perte.

EVRANÏ; Née peu de temps avant la chute de Gondolin, elle fait partie des rares survivants à s'être exilés aux bouches du Sirion. Elle abandonna les exilés et prit la route vers Doriath, peu avant sa chute. Elle y rencontra Thranduil qu'elle épousa. Elle devient à ses côtés, reine du royaume des bois et eut un fils, Legolas. Guerrière notable, elle perd la vie pendant une bataille à Gundabad.

LEGOLAS; Né durant le Second Âge, il est le fils de Thranduil et Evranï, prince du Royaume des bois. Il passe sa jeunesse avec Thranduil, attristé dès le plus jeune âge par la mort de sa mère, Evranï. Vêtu de vert et de marrons, il est un guerrier expert au maniement de l'arc, connu pour ses exploits durant la quête de l'anneau. A la fin de sa vie, il part pour Valinor en emmenant Gimli avec lui.

My OC x Création par Intelligence Artificielle.

[gacougnol]

Patricia Desmarquest

La Guerrière

Sèvres 1988

[aurevoirmonty]

«Nous ne faisons que copier la position américaine»: Orban appelle l’UE à s’émanciper de Washington et de sa position guerrière

«Mon objectif est de comprendre comment nous pourrions changer la position de [Washington et Bruxelles], leur réflexion et leur approche, de la guerre vers la paix», a-t-il expliqué.

Dans la foulée, le dirigeant hongrois s’est rendu à Washington au sommet de l’OTAN pour poursuivre son initiative diplomatique (https://t.me/kompromatmedia_2/932)…

…où il fait face à une montagne puisque l'Alliance, qui vient d'annoncer la livraison imminente (https://t.me/kompromatmedia_2/963) de F-16, s'enfonce toujours plus dans la guerre.

«La crise ukrainienne dure depuis longtemps. Qui jette de l’huile sur le feu ? Qui attise les flammes ? Et qui cherche à en tirer profit ? La réponse est claire pour tout le monde», constate la diplomatie chinoise, qui comme le reste de la planète en dehors des Occidentaux s'active à trouver un plan de paix.

Faible - mais notable - éclaircie pour les partisans de la paix, le Financial Times vient de publier une lettre ouverte (https://www.ft.com/content/90185a02-8107-47c0-ae6f-b06e88b796b5) de plusieurs personnalités britanniques, notamment de diplomates et d'un ex ambassadeur, soutenant l'initiative d'Orban.

[elliottjpg]

Did anyone ask for more Lupin III woodblock prints? No? Well too bad! 😁

Arquebuses were introduced in Japan in 1543 by visiting Portuguese ships. They were quickly copied by Japanese armourers and adopted by samurai warriors, despite a reputation as a coward's weapon. Thirty years later, Oda Nobunaga had already assembled an army of 3000 gunmen. A couple of handguns were also introduced in the country, with less success. The first cannons arrived in 1551, and were massively used by all three of the great unifiers. (source: Samouraï et Kamikaze, la tradition guerrière du Japon, by Constantin Parvulesco)

All of this means we've got a bunch of woodblock prints of samurais with firearms, including this ridiculous and awesome drawing of kabuki actor Nakamushi Utaemon playing the part of Gotobei with a huge-ass teppo gun. Of course, I had to redraw it as my favourite gun-wielding blorbo.

Original under the cut

Kabuki actor Nakamushi Utaemon playing the part of Gotobei, wielding a grotesquely proportionned teppo. Engraving by Kuniyoshi Utagawa.

[petit-atelier-de-poesie]

(...) je me souviens de mes dix-sept ans et du rapport que j'entretenais avec la poésie. Elle était déjà là dans ma vie, disponible comme une source, secrète comme un désir, farouche comme une guerrière. Je lisais de la poésie, j'écrivais des poèmes -, sans savoir que je définissais à jamais les paramètres de mon rapport à la vie et au monde. A l'amour aussi, tant les mots de tous les jours me paraissaient inaptes à restituer le charivari des émotions.

Bruno Doucey. Le paysage, l'intime, la poésie. 2023

[calpurnia612]

Citadelle

Citadelles - désir que sont mille passantes Comme autant d'amazones enamourées de sang De guerrières aux parfums de luxure puissants Se rêvant entourées de pulpes indécentes

Fantasme furieux je n'en suis innocente Le soleil s'est couché l'ange de feu descend Sur la nuit sans sommeil où l'esprit caressant Promet en murmurant une chair jouissante

Elles sont des légions voletant vers le ciel Que les hommes - cochons au regard démentiel Admirent tout bandés d'une folle espérance

Pleut-il cette extatique eau du flux génital Suintant multitude il devient fleuve immense Vers l'océan brûlant du bien-être total

[lisaalmeida]

Laissez la

Laisse la régner.

Comme une Gitane,

Comme une Reine,

Comme une Guerrière.

Laisse la mener.

Comme une enseignante,

omme une visionnaire,

Comme une inspiration.

Laisse la grandir,

Aussi exubérante que les forêts,

Aussi vaste que le ciel dans l’infini divin.

Laisse la être ce pour quoi elle est née.

– Ara (trad: C. Mela)

[ladyniniane]

Chapitre 40 publié ! C'est la fête !!!!

[corinneecrivaine]

Wonder Woman : Symbole Éternel de la Force et de l'Émancipation Féminine

Wonder Woman : Symbole Éternel de la Force et de l'Émancipation Féminine

Wonder Woman n'est pas qu'un personnage de fiction. Elle est bien plus que cela. Depuis sa création, elle incarne la puissance, la liberté et l'indépendance que chaque femme porte en elle, parfois même à son insu. Diana, Princesse des Amazones, n'est pas seulement une héroïne sur grand écran, elle est un symbole intemporel de résilience et de justice dans la lutte des femmes pour leurs droits, leur sexualité et leur place dans un monde souvent gouverné par des forces patriarcales.

Créée à une époque où les représentations des femmes dans les médias étaient souvent réduites à des stéréotypes de douceur et de soumission, Wonder Woman a été, dès le départ, une révolution. Elle brise les normes et inspire. Forte, intrépide, elle se dresse contre l'oppression, non seulement pour sauver le monde, mais pour rappeler à chaque femme qu'elle possède cette même force intérieure. Elle est une guerrière, mais aussi un modèle de compassion, prouvant qu'être puissante ne signifie pas renoncer à la douceur ou à l'empathie.

Sur le plan de la liberté et de l'indépendance, Wonder Woman est un symbole puissant. Issue d'une société d'Amazones où les femmes règnent en maître, elle ne connaît pas la soumission. Elle fait ses choix en toute indépendance, s'éloignant d'une île isolée pour entrer dans le monde des hommes, non pas en quête d'approbation, mais pour imposer sa propre vision de la justice et de l'égalité. Elle n'a jamais eu besoin d'un homme pour la définir. Au contraire, elle remet constamment en question les attentes sociétales et montre que la véritable force réside dans l'authenticité et la conviction.

Quant à la sexualité, Wonder Woman incarne une révolution subtile. Sa force, son pouvoir et son charisme ne sont jamais utilisés pour séduire ou attirer l'attention des hommes. Sa sexualité n'est ni objet de contrôle ni de répression. Elle l’arbore avec une confiance silencieuse, mais inébranlable. Elle est maîtresse de son corps, de ses désirs, et son apparence, tout en étant glamour et séduisante, ne sert jamais à valider son pouvoir. Elle nous rappelle que l'émancipation sexuelle, c'est aussi pouvoir dire non aux normes imposées, et oui à ce que nous choisissons de vivre.

Wonder Woman est donc bien plus qu’une simple super-héroïne, elle est un modèle, un étendard pour toutes celles qui luttent pour l'égalité, pour la reconnaissance de leur valeur et de leur liberté. Chaque combat qu'elle mène est une métaphore des combats réels : celui contre l'injustice, le sexisme, l'oppression et la violence faite aux femmes. Elle nous enseigne que, pour être véritablement libre, il faut savoir se battre avec courage, croire en ses convictions et marcher avec fierté.

En tant que femmes, nous portons en nous un peu de cette Wonder Woman. Son histoire nous inspire à continuer de lutter, à ne jamais plier face aux adversités et à revendiquer ce qui nous revient de droit. Liberté, indépendance, force, sexualité, tout cela nous appartient. Wonder Woman, par son exemple, nous le rappelle constamment.

"Dans chaque femme, réside une guerrière."

Et Wonder Woman est la flamme qui ravive cette vérité en nous toutes.

Image : ma création AI