#emploi du temps
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cestmoiquand · 1 month ago
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Toute ma vie, on m'a dit d'arrêter de courir derrière les garçons. Ça leur fait peur et ça montre que tu es (trop) sur eux.
Depuis le début de l'année, entre la dépression saisonnière, mon déménagement last min, mon job insatisfaisant, j'ai décidé que quand qn ne me répond pas, tant pis, sa perte. J'ai essayé, ça donne rien tant pis. Je n'insiste plus.
2 mecs en 3 jours qui sont revenus. Ils ont disparu du jour au lendemain sans donner d'explication. Ils reviennent en me disant, qu'ils etaient pad dispo/ont fréquenté qn.
Pourquoi avoir ghoste et ne pas avoir été honnête dès le début?
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fragiledate · 6 months ago
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chui dégouté ça me fait plaisir sah donc oklm en vrai mais là demain à 17h je vais devoir déjà sécher mon cours de svt après mon cours foireux de français (déjà mauvaise humeur avec cette merde de cours là) et aller chanter une chanson dont je connais même ap les paroles devant tout les darons de tout les primaires oskouuur... en plus la chanson est bad longue le moment va s'éterniser... et je dois faire un ptit discours pour le groupe à la maîtresse qui fait l'orchestre là et j'ai rien à dire 💀💀💀 ce discours je DOIS le faire c'est pour protéger mon honneur et montrer à tous ces connards du collège que j'ai des couilles mais wallah là ? ... g riennn foutu MDRR
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origami-mama · 2 months ago
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Retrouver du Temps pour Soi : Je suis Interviewée par Magdalena !
✨ Découvrez mon interview exclusive avec Magdalena 🎙️ ! Je partage mes secrets d’organisation pour simplifier ma vie et retrouver du temps au quotidien ! 🚀 #Organisation #Maman
J’ai eu le plaisir d’être interviewée par Magdalena, du blog Archi Mini Orga, pour parler d’organisation et de minimalisme ! Regardez la première partie de cette interview, placée sous le thème suivant : “Retrouver du Temps pour Soi” ! Cliquez ci-dessous pour la découvrir ! Comment retrouver du TEMPS pour SOI ⏰️ – Interview d’experts 🎙️ (youtube.com) Retranscription Ana : Merci beaucoup de…
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myscoll · 3 months ago
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sloane-allister · 5 months ago
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J'ai pas prévu de le faire, mais crois moi que c'est pas l'envie qui me manque. Tout comme l'envie de t'enfermer quelque part pour plus t'entendre, ce que j'hésiterai pas à faire dès lors que t'auras fait ta part pendant la soirée. Je te laisserai pas trop longtemps le plaisir de m'emmerder.
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T'es toujours aussi peu marrant. Et t'as pas intérêt à m'enfermer où que ce soit parce que tu sais comment je peux être si je décide de taper un scandale. Et tes précieuses oreilles n'auront pas fini d'en entendre parler!
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Pendant vos prochaines interviews, dans vos posts Instagram, ça m'est égal
Mais il faut que vous commenciez à parler de cette réunion. Dès maintenant.
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fitnessmith · 1 year ago
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Quand s'entrainer en musculation ?
NOUVEAU 👉 Quand s'entrainer en musculation ?
Je me souviens qu’en 2010, lorsque j’allais à la salle de sport le matin, c’était soit parce que je travaillais l’après-midi, soit parce que j’étais revigoré d’une énergie soudaine au réveil. À cette heure matinale, la salle était fréquentée par des retraités et quelques sportifs aguerris, mais surtout par le patron de la salle, qui effectuait sa propre séance. Il pratiquait des exercices comme…
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perdrelacellule · 6 months ago
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Journée de merde temps de merde compte en banque de merde règles de merde emploi du temps de merde vent de merde bruit de merde pays de merde politique de merde
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swgzl · 6 months ago
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MIDNIGHT RAIN
Mon dernier projet que j'ai codé pour Midnight Rain et son staff bordeldedebo & ebm1994. Les images sont de ebm1994.
contexte :
8h48. Ses yeux se ferment alors qu’elle lutte contre le sommeil. Nuit difficile, rêves agités. Elle sait qu’elle n’arrivera pas poser son badge sur cette maudite machine à 9 heures pile, lorsqu’elle passera les portes de son travail. Son manager va lui faire remarquer. Elle va s’excuser, s’installer à son bureau, allumer son ordinateur, répondre aux demandes des clients. Tout ça, elle le fera en faisant semblant d’en avoir quelque chose à faire puis elle restera quelques minutes supplémentaires pour se faire bien voir. Enfin, elle décidera par rentrer chez elle, se posera devant la télévision à la recherche d’une série capable de lui faire oublier son quotidien en se demandant comment a-t-elle réussi à se coincer dans cette vie si monotone.
8h49. Il y a lui, coincé debout entre deux inconnu⸱e⸱s habillé⸱e⸱s en tailleurs, alors qu’il tente tant bien que mal de tenir debout grâce à la barre du métro. Il a promis à son petit-ami qu’il ne rentrera pas trop tard, avant 23h à tout casser. Et le voilà à se mélanger à la population aux regards bien trop sérieux, alors qu’il veut continuer à se déchaîner sur les musiques de Dua Lipa. Qu’est-ce qu’il ne les envie pas, celleux-là autour de lui. Pourtant, sa famille lui dit souvent qu’il devrait songer à se poser, trouver un emploi stable au lieu de vagabonder, de festoyer. Lui aussi, il aime parfois s’imaginer une autre vie, à la place des personnes, ces personnes en tailleurs, qui l’entourent dans ce métro. Est-ce qu’un jour il s’ennuiera, comme elleux dans sa vie ?
Mais les deux n’ont pas le temps d’y réfléchir alors que la trame de métro s’arrête brutalement. Il se retrouve projeter contre la barre, elle se cogne la tête contre la vitre. Une panne, paraît-il. Lui souffle, car il n’a pas besoin de cela maintenant. Elle, presque amusée, esquisse un sourire. Au moins, elle aura quelque chose d'inhabituel à raconter à ses collègues. Et si c’était le karma… ou le destin tout simplement ?
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transparentgentlemenmarker · 2 months ago
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C'est terrible. Je suis bien obligé de le reconnaître : Je suis raciste. Je viens de m'en rendre compte en mettant en route ma lessive du jour. J'ai séparé le blanc des couleurs. Affligeant. Et dire que j'agis ainsi depuis des années. Et circonstance aggravante, avec une lessive qui lave plus blanc que blanc. C'est pathétique. Comme Monsieur Jourdain dans un autre domaine, j'étais raciste sans le savoir. Du coup, je suis d'une humeur noire. Ça ne va pas arranger les choses. Oh, je savais que je ne suis pas blanc comme neige. J'ai connu des périodes noires. Dans un précédent emploi, on m'avait donné carte blanche. Résultat, j'ai monté une caisse noire. Quelque temps plus tard, alors que j'étais déjà connu comme le loup blanc, j'ai travaillé au noir. Découvert, j'ai essayé de montrer patte blanche, mais j'ai été placé sur liste noire. Et comme disait le chanteur, noir c'est noir, il n'y a plus d'espoir. Alors que faire ? Pour sûr, j'avais mangé mon pain blanc. Je dirais bien que j'ai pleuré à l'arme blanche, mais ça serait de l'humour noir. Alors dans la glace, je me suis regardé dans le blanc des yeux. Pas question de me retrouver dans une misère noire. L'avenir restait une page blanche. Inutile de voir tout en noir. Je pouvais sortir blanchi de tout ce sombre passé. Finis les noirs projets. Je serais désormais plus blanc que neige. Finie la série noire. Et patatras, voilà que je me découvre raciste. Mais c'était cousu de fil blanc. Je dois être la bête noire de quelqu'un, c'est sûr. Tout de même, ce sera un jour à marquer d'un caillou blanc. Bon, je ne vais pas tout peindre en noir. D'autant que c'est bientôt la semaine du blanc. Inutile de broyer du noir. Ni de me faire des cheveux blancs. Allez, je vais me servir un petit noir. Et puis non, plutôt un petit blanc. Avec un morceau de chocolat noir. Et un peu de fromage blanc ça me remontera. Tiens, il commence à faire nuit noire. Je vais regarder un vieux film en noir et blanc. Chouette, c'est une version originale, sous-titrée. Si, c'est écrit dans le programme. Noir sur blanc. Dans la continuité. On l'appelait : La Tête de nègre... Maintenant on l'appelle '' Meringue chocolat, ou tête de choco ". Ouf ! Ils n'ont pas changé le nom du champignon Tête de nègre, ni le Cap Nègre. On aurait pu aussi se demander s'il est bien « correct » de se taper une religieuse, un Congolais, un Jésuite, un Diplomate, un Financier ? Je ne vous parle pas de la fameuse Forêt Noire qu’il faudra bientôt appeler forêt sombre. La SPA va sans doute un jour nous interdire de manger les langues de chats."
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Raymond Devos
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selidren · 27 days ago
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Automne 1928 - Champs-les-Sims
4/5
En parlant de Mademoiselle Laroche, il me semble qu'elle et mon frère soient passés à une nouvelle phase de leur relation. Une phase dont la discrétion laisse à désirer mais je n'ose vraiment en parler frontalement à Antoine, de peur de me mêler de ce qui ne me regarde pas. Si ils se tournent toujours autour comme deux oiseaux en pleine parade nuptiale, il leur arrive de plus en plus fréquemment de se lancer de petites piques en ma présence ou celle d'Oncle Adelphe. Même Jean-François m'a évoqué son "sentiment de gêne" dans sa dernière lettre. Mon jeune frère a un côté pudique et convenable à l'excès que Grand-Mère adore, et quand il rentre nous voir, Antoine l'appelle "Grand-Père".
Bref, en écrivant ces lignes, je me rends compte que ce n'est pas vraiment la réalité. C'est Antoine qui la provoque bien davantage que l'inverse, et elle a souvent l'air profondément confuse, même si elle répond toujours pas une répartie bien sentie. Je ne sais pas vraiment à quoi joue mon frère, mais j'ai parfois l'impression qu'il ne réalise pas que dans cette relation, Mademoiselle Laroche est bien moins libre que lui. J'en suis un peu inquiète, car j'ai peur qu'il finisse par tout gâcher sans s'en rendre compte, et j'aimerai que leur histoire finisse bien. Que veux tu ? Cléopâtre et son indécrottable et ardent romantisme m'ont contaminés !
Transcription :
Aurore « Mais qu’est-ce qui vous a pris ? »
Marc-Antoine « De quoi... »
Aurore « Tous ces sous-entendus quand je parlais à votre sœur ! Vous voulez vraiment que je me fasse renvoyer ? »
Marc-Antoine « Mais non ! Et vous n’êtes pas non plus toute blanche dans cette affaire il me semble ! De toute façon, je pense qu’elle se doute de quelque chose depuis un moment car elle m’a dit qu’elle parlait de nous dans ses lettres à Cousin Lucien. J’imagine qu’il s’agit de... »
Aurore « Votre cousin ? Même votre cousin du Canada est au courant ? Et j’ai toujours mon emploi ? Mais dans quelle famille j’ai atterri au juste ? »
Marc-Antoine « Les Le Bris sont un peu particuliers c’est vrai. Ceux de France en tous cas. »
Aurore « Une maîtresse de maison qui laisse, comme ça, son frère flirter avec la bonne, c’est sur que ce n’est pas commun. »
Marc-Antoine « Si ça vous gêne, on peut arrêter. »
Aurore « Non, j’apprécie bien nos échanges. »
Marc-Antoine « Vraiment ? Alors je vous manque quand je suis à Paris ? »
Aurore « Je fais mieux mon travail quand vous n’êtes pas là mais… oui, vous me manquez. Faites juste en sorte que ce soit un peu plus discret, ne me cherchez pas comme ça devant votre sœur, même si elle est au courant. Et surtout pas devant Madame Eugénie ! »
Marc-Antoine « Pas besoin de me le dire, je tiens à garder ma tête encore un peu de temps ! Vous savez, tout le monde au village se souvient de la façon dont elle a réagit quand son fils aîné s’est fiancé à la gouvernante quand il était jeune. Je n’ai pas vraiment envie qu’il m’arrive la même chose. »
Aurore « Oh… et il lui est arrivé quoi au juste ? »
Marc-Antoine « Heu… je ne connais pas les détails, mais tout le monde s’accorde pour dire que ça a été terrible. Après tout, on s’en souvient encore même si seulement deux personnes seulement sont assez vieilles pour encore s’en souvenir. »
Aurore « Je vois... »
Marc-Antoine « Ne tirez pas cette mine ! Ils ont pu se marier finalement. »
Aurore « Comment s’appelait ce Monsieur ? »
Marc-Antoine « Il me semble que… Matthieu oui, c’est ça. Mon grand-oncle Matthieu. Mais… qu’est-ce qu’il y a ? »
Aurore « Il fait partie de ceux qu’il est rigoureusement interdit de mentionner en présence de votre grand-mère. Votre mère m’a donné une liste quand je suis arrivée. C’est que ça n’a pas du se terminer si bien que ça. »
Marc-Antoine « Ma famille est compliquée, c’est tout. »
Aurore « Je ne veux juste pas que ça vous créer des histoires. »
Marc-Antoine « Non, ça n’en créera pas Aurore… enfin, Madamoiselle Laroche. Ecoutez, je vous aime beaucoup, et même si c’est encore un peu tôt, j’aimerai tout de même que vous me laissiez une chance de vous prouver que je ne suis pas là pour jouer avec vos sentiments ou simplement pour m’amuser. Tout le monde vous dira de moi que ce n’est absolument pas mon genre ! »
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kittynannygaming · 2 months ago
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[Nuit de l'Écriture] 21/09/2024
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Apparemment, ce coup-ci, ce fut une spéciale Dead Boy Detectives et plus particuli��rement Charles Rowland. AO3 ou ⬇️ (Very Short Stories, you can use Google Translation if French is not your language)
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NUIT DE L’ÉCRITURE 21/09/2024
01- Ce n’est pas humain – Dead Boy Detectives – 246 mots
« Ce n’est pas humain ! » se plaint Charles, exténué. Edwin le regarda, exaspéré
« Évidemment, c’est un Chien de Garde des Cimetières, Charles. »
« Oï ! Tu sais ce que je voulais dire ! Et ce n’est pas un Chien de Garde des Cimetières. C’est un Chiot de Garde. » Charles regarda le chiot au pelage noir qui était assis à ses pieds. « Qui c’est le gentil toutou ? Qui c’est ? »
« Tu sais qu’on ne peut pas le garder ? » Charles prit le chiot dans ses bras et colla son visage à celui du canidé.
« Mais regarde comme il est mignon… » Edwin était à deux doigts de craquer mais il ne pouvait pas.
« Un compromis alors. Nous viendrons le voir tous les jours si notre emploi du temps le permet et tu pourras jouer avec lui. »
« Génial ! Tu entends ça Max ! On va venir te voir tous les jours ! Mission accomplie ! Qui sait, peut-être Edwin trouvera un compagnon à son goût parmi tes amis, hein ? »
« Ses… amis ? » Edwin se retourna vers la direction que Charles pointait avec sa tête. Des dizaines, des CENTAINES de chiots et chiens en tout genre se tenaient là. « Gentils chiens ? » bafouilla t-il.
Et là, se fut la débâcle. Edwin fut littéralement assaillit par une armée de chiens cherchant les câlins et Charles ne fit que s’esclaffer.
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02- Ta réalité n’est pas la mienne – Dead Boy Detectives – 167 mots
Kashi était un modèle de patience et il trouvait la plupart des gens qu’il avait rencontré amusants. Mais cette femme au caractère bien trempé le faisait rire intérieurement.
« Pourquoi tant de rage ? Rien de bien ne vous arrivera dans cet état. »
« Je dois sortir de ce fichu poisson et retourner trouver ces petits morveux pour qu’ils puissent aller où ils sont censés être. »
« Est-ce que ça troublerait à ce point l’Univers s’ils restaient où ils sont ? »
« Chaque chose à une place dans l’Univers, chaque personne une place dans l’au-delà. C’est la réalité des choses. »
« Ta réalité n’est pas la mienne. L’Univers ne va pas succomber et disparaître parce que deux âmes ont décidé de rester sur Terre. » La Veilleuse de Nuit de l’Au-Delà ne répondit pas. Chaque chose avait une place, chaque âme avait un au-delà, c’était le mantra qu’elle se répétait depuis son décès. Si elle n’avait même plus ça, que lui restait-il?
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03- Rencontre avec une divinité – Dead Boy Detectives – 193 mots
Crystal était surprise. Devant elle se tenait Lilith. Après Port Townsend, elle s’était renseigné autant qu’elle put sur elle. Lilith, la première épouse d’Adam, soit-disant une tueuse d’enfants selon les religions traditionnelles. Une déesse de l’indépendance, LA déesse selon la Wicca Moderne.
« En quoi puis-je vous aider ? » demanda la voyante en laissant entrer la divinité.
« Ton plaidoyer, à Port Townsend, a été assez révélateur pour moi. Les temps ont changé. J’ai décidé d’être plus pro-active. Mais j’aimerais quelqu’un qui puisse m’aider dans ma quête. Quelqu’un qui comprenne ce qu’est être une femme à cette époque. » Crystal fit de gros yeux.
« Vous voulez dire, moi ? Vous êtes sûre ? » Lilith sourit.
« Oui. Et en échange, je m’occuperais de ce petit démon dans ton esprit. »
« Vous pouvez l’enlever ? Et il ne fera plus de mal à personne ? » Lilith émit un petit rire.
« N’as-tu pas entendu ? Je suis la mère des Démons et j’en laisse 100 mourir chaque jour. Quelle terrible mère je suis. » Crystal se demandait si elle allait regretter cet accord. L’avenir lui ferait voir que non.
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04- Le cycle de l’abus – Dead Boy Detectives – 289 mots
Charles Rowland n’avait pas toujours été le «muscle de service». En fait, en voyant les photos de ces jeunes années, Charles était un adorable bambin toujours souriant, gentil comme pas deux et absolument contre toute forme de violence.
Puis, vers l’année de ces 8 ans, tout changea. Son père avait perdu son emploi dans l’industrie et il fut très difficile pour lui de retrouver un emploi dans ce secteur. Sa mère avait eu plus de chance, travaillant dans une cantine scolaire. Son père avait donc commencé un cycle infernal d’abus, d’abord verbal puis physique.
Charles avait donc dû apprendre à encaisser les coups, puis à en donner. Il aurait pu devenir abusif, comme son père mais Charles ne voulait pas être comme lui. Alors, ses poings, c’était contre d’autres brutes. Jamais contre des innocents. Cela lui a valu de mourir à 16 ans, mais cela en valait la peine.
Cela en valait la peine quand il vit sa mère finalement dire à son père ses 4 vérités. Ils resteraient mariés mais l’amour était mort en même temps que leur fils. Cela en valait la peine quand il rencontra, 10 ans après, le jeune pakistanais avec sa fille, son premier enfant, qu’il avait nommé Charlotte. Le jeune homme était un professeur et avait fondé une association qui venait en aide aux enfants victimes d’abus, que ce soit à la maison ou à l’école.
Edwin ne comprit pas la raison pour laquelle Charles l’enlaça pendant 5 bonnes minutes après être revenu de sa sortie mais il n’allait pas s’en plaindre. Il n’apprendrait la vérité que bien plus tard. Le cycle de l’abus était vicieux mais il pouvait être rompu. Un jour, peut-être, l’abus ne serait que de l’histoire ancienne.
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05- Partir ou rester - Dead Boy Detectives - 262 mots
Partir avec la Mort ou rester avec le garçon qui lui avait permis de vivre ses dernières heures le plus gentiment possible ? Pour Charles, la question ne se posait même pas. Edwin était un garçon socialement maladroit qui avait probablement dû se débrouiller seul la majeur partie du temps tout en essayant de se conformer à une façon d’être qui n’était pas la sienne. Bref, Edwin avait besoin de Charles. Et en plus, il n’était pas vraiment pressé d’aller dans l’au-delà. Il n’était pas vraiment croyant (quelque soit la religion) donc les promesses de paradis éternel et tout ça, il n’en avait rien à faire.
« Donc, c’est ici que tu vis ? » demanda Charles.
« C’est exact. J’étudie tout ce qui à trait à l’occulte. J’espère ouvrir une agence de d��tectives. »
« Une agence de détectives ? »
« Oui, pour aider les âmes qui restent coincés à cause d’affaires non finies. Où les cas comme le mien. » Edwin lui avait parler de son cas. Raison de plus pour rester avec lui.
« C’est cool. Je serai les muscles, tu seras le cerveau. Hey ! Ce sac a l’air cool ! »
« Techniquement, c’est un sac magique sans fond mais je n’arrive pas à le faire fonctionner correctement. Il est à toi si tu y arrives. »
« C’est cool ! Merci, je vais m’y mettre de suite. » Et effectivement, il lui fallut peu de temps pour s’approprier le sac. Même après 35 ans ensemble, Charles savait qu’il avait pris la meilleure décision en restant.
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alain-keler · 1 month ago
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Jeudi 6 mai 2021
Gibraltar
À 14 heures j’attrape faim. Le truc « Main street bistrot british fish and chips » me voit m’asseoir sur une terrasse qui n’est cependant pas aussi agréable que celle de mes cafés matinaux à la Linea. Quand j’écris matinaux, je me comprends. Mon emploi du temps est libre et fluctuant.
Je commande un « grilled sandwich sausage and fried ognons ». En fait c’est un toast grillé avec des bouts de saucisses alignées entre les tranches. Comme je m’attendais au pire, je commande aussi une portion de frites, juste pour m’assurer de quelque chose de décent. Je rajoute beaucoup de ketchup sur mes saucisses, ferme mon sandwich et lorsque je l’entame le ketchup s’échappe pour atterrir sur mon sac photo, délicatement posé à même le sol. Ce sont des choses qui arrivent quand on voyage et que l’on a faim.
Mais l’endroit est stratégique. La rue se rétrécie à cause des terrasses, et après chaque bouchée de mon sandwich je photographie les passants éclairés par des rayons de soleil qui se fraient le passage au beau milieu de la rue. Une bière fraiche, commandée pour m’accompagner dans mon dur labeur, ralentit un peu mon activité physique et intellectuelle. Je photographie assis. Finalement la position n’est pas mal. C’est comme au cinéma !
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thebusylilbee · 6 months ago
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Mais ce gouvernement de GRANDS MALADES AU SECOURS !!!! Article complet copié collé en entier car réservé aux abonnés sous le "read more", parce qu'il est un peu long :
"Ce ne sont plus des « tours de vis �� mais des coups de marteau que l’exécutif assène sur les droits des chômeuses et des chômeurs. Après avoir réduit, entre 2019 et 2023, les conditions d’accès, les montants et la durée des allocations, le gouvernement en remet trois couches, et sans lésiner.
Le premier ministre l’annonce dans La Tribune Dimanche : de nouvelles règles entreront en vigueur le 1er décembre prochain. Huit mois de travail, au lieu de six, seront nécessaires pour ouvrir des droits ; la durée d’indemnisation sera abaissée à quinze mois contre dix-huit et les règles plus favorables pour les séniors de moins de 57 ans seront supprimées.
La charge est violente. Pour la CGT, c’est même « la réforme la plus violente de tous les temps ».
Le décret sera publié le 1er juillet prochain et contiendra les arbitrages de l’exécutif, après un simulacre de « concertations » avec les partenaires sociaux, reçus tout au long de la semaine par la ministre du travail, Catherine Vautrin. Cette dernière n’a même pas les honneurs d’annoncer les décisions – ses services ont, semble-t-il, été pris de court par Gabriel Attal. Après avoir annoncé en mars dernier la mise en chantier de cette nouvelle réforme, le premier ministre s’est réservé la primeur de ce coup de massue.
Travailler huit mois sur vingt pour ouvrir des droits
À compter du 1er décembre 2024, il faudra avoir travaillé huit mois pour bénéficier d’une allocation-chômage. Huit mois, contre six actuellement. Huit mois, contre quatre en 2019, avant l’entrée en vigueur de la première réforme. En cinq ans, l’exécutif aura donc fait doubler cette durée nécessaire tout en rétrécissant la période dite « de référence » au cours de laquelle des périodes d’emploi sont recherchées. En décembre prochain, les vingt derniers mois seront pris en compte, au lieu de vingt-quatre actuellement (trente-six pour les plus de 53 ans) et de vingt-huit mois jusqu’en 2019.
Tirer autant sur l’élastique permet de restreindre, toujours plus, le nombre de bénéficiaires d’allocations. Le nombre d’ouvertures de droit a ainsi baissé de 14 % entre 2019 et 2023, selon un premier bilan intermédiaire de la réforme, rendu public en février 2024. Cela correspond à30 000 ouvertures de moins par mois.
Si les conséquences du nouveau durcissement à venir ne sont pas encore chiffrées, on sait qu’il percutera en premier lieu les jeunes et les plus précaires, selon une étude d’impact de l’Unédic, gestionnaire de l’assurance-chômage, dévoilée par Le Monde mi-mai. Elle établit que les allocataires de moins de 25 ans et celles et ceux qui ouvrent un droit après une fin de CDD ou de mission d’intérim seront « surreprésentés » parmi les personnes les plus touchées par ce nouveau paramètre.
Interrogé sur cette étude par La Tribune Dimanche, le premier ministre botte en touche et affirme que le passage de quatre à six mois en 2019 « a marché et accéléré le retour à l’emploi ». Gabriel Attal cite là une étude de la Dares (Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques, le service statistique du ministère du travail) figurant dans le rapport intermédiaire de la réforme, mais n’en garde que ce qui l’arrange.
Certes, ce durcissement a eu « un effet positif et significatif » sur « la probabilité de retrouver un emploi dans les deux mois suivant la fin d’un contrat de plus de trois mois », mais il ne s’agit pas d’emploi stable, loin de là. Le rapport le souligne clairement : pour les plus de 25 ans, l’effet de la réforme est « exclusivement porté par une augmentation du retour en emploi peu durable : CDD de durée inférieure à deux mois ou mission d’intérim ».
Mais qu’importe. L’exécutif ne fait même plus semblant, comme en 2018, de vouloir lutter contre l’emploi précaire. Son mantra, c’est la baisse du chômage et l’incitation à la reprise d’activité alors que rien ne démontre que durcir les règles soit efficace. « Si nous ne réformons pas l’assurance-chômage aujourd’hui, nous risquons de caler sur la route du plein emploi », prévient Gabriel Attal. Emmanuel Macron disait peu ou prou la même chose le 22 mai, dans L’Express : « Cette réforme va renforcer l’efficacité de notre système d’indemnisation et les incitations au travail. »
Quinze mois d’indemnisation puis douze ?
Un mauvais coup en entraîne un autre. Réduire la période de référence à vingt mois au lieu de vingt-quatre va mécaniquement diminuer la durée maximum d’indemnisation. Elle passera de dix-huit mois à quinze mois en décembre.
En février 2023, cette durée avait déjà été rabotée de 25 % (de vingt-quatre à dix-huit mois) en vertu du principe de « contracyclicité », c’est-à-dire de modulation de la durée de versement des allocations en fonction de la conjoncture économique. Tant que le chômage est sous les 9 % (il est actuellement de 7,5 %), un coefficient réducteur est appliqué et il va l’être également sur la nouvelle période de référence.
La CFDT a alerté, jeudi 23 mai dans un communiqué, sur cet effet de bord faisant encore chuter la durée d’indemnisation, mais l’exécutif a sciemment maintenu le cap. Gabriel Attal ne s’en cache pas : « Oui, comme nous réduisons la période de référence d’affiliation, il y aura un impact sur la durée d’indemnisation. J’assume de dire que, dans les conditions actuelles, cette durée d’indemnisation passera donc de dix-huit mois à quinze mois. »
Et ce n’est peut-être pas fini… Le premier ministre annonce qu’une nouvelle baisse de la durée est dans le viseur du gouvernement. Si le taux de chômage atteint 6,5 %, les demandeuses et demandeurs d’emploi auront encore moins de droits car un nouveau coefficient réducteur sera appliqué. Matignon précise ce dimanche que la baisse sera de 40 %, soit une durée maximum d’indemnisation portée à douze mois pour les moins de 57 ans. Et à dix-huit mois pour les séniors. 
Fin de l’exception pour les 53-57 ans
Si la filière sénior n’est pas totalement supprimée – c’était le souhait de Bruno Le Maire –, elle va ressortir bien amochée de cette énième réforme de l’assurance-chômage. Actuellement, les 53-54 ans ont droit à une durée d’indemnisation plus longue (vingt-deux mois et demi), quand les 55 ans et plus peuvent percevoir des allocations durant vingt-sept mois maximum. À partir du 1er décembre, seul·es les 57 ans et plus continueront à bénéficier de ce régime d’exception. Ils perdront tout de même des droits, passant à vingt-deux mois et demi de durée de versements. Les autres perdront entre quatre et neuf mois de droits.
Pour inciter les entreprises à embaucher des séniors, le premier ministre dégaine le « bonus emploi » permettant de cumuler salaire et allocations-chômage. « Un sénior au chômage qui reprendra un emploi moins bien rémunéré que son emploi précédent pourra cumuler son nouveau salaire avec son allocation [...] pour atteindre le même salaire qu'il avait avant de tomber au chômage », précise Gabriel Attal.
Rien de coercitif, donc, pour les entreprises qui jettent des salarié·es jugé·es trop âgé·es. Mais tout pour les patrons qui cherchent de la main-d’œuvre, qualifiée et expérimentée, pour pas trop cher. « Je suis une entreprise, je balance tout le monde à 55 ans, et après deux ans de chômage je les récupère à moitié prix », commente dans Libération le président de la CFE-CGC, François Hommeril.
Affreuse réforme, belles économies
Bizarrement, Gabriel Attal n’assume pas les moindres dépenses que va engendrer cette nouvelle réforme. Questionné sur le sujet, il ose même affirmer que « ce n’est pas une réforme d’économie, mais de prospérité et d’activité ».Quelques jours plus tôt, le ministère du travail, pensant encore avoir la main sur le dossier, avait avancé un chiffre : 3,6 milliards d’euros d’économies.
Les deux premières réformes rapportent déjà plusieurs milliards d’euros par an. Selon l’Unédic, l’organisme qui gère les caisses de l’assurance-chômage, elles permettront d’économiser 6,7 milliards par an, une fois qu’elles auront atteint leur plein régime en 2027. Bien utile pour un gouvernement en quête d’économies budgétaires. Tout comme il est bien commode, pour l’exécutif, de taper sur les plus précaires pour faire oublier que ses choix ne favorisent pas les salarié·es ou les classes moyennes.
Le groupe Liot à la rescousse ?
Pour contrecarrer les projets du gouvernement, le groupe Liot à l’Assemblée (Libertés, indépendants, outre-mer et territoires) va profiter, le 13 juin prochain, de sa niche parlementaire pour présenter une proposition de loi visant à « protéger le modèle d’assurance-chômage et soutenir l’emploi des séniors ».
Le groupe, qui avait tenté en 2023 d’abroger la réforme des retraites, est soutenu par les cinq principales organisations syndicales. Le texte entend supprimer le principe de contracyclicité, empêcher le durcissement de l’accès au droit et mettre fin au principe du « document de cadrage » désormais imposé aux partenaires sociaux avant toute négociation des règles de l’assurance-chômage.
Supprimer ce procédé reviendrait à détruire le cœur du réacteur permettant à l’exécutif de décider seul des règles. En 2018, la loi « avenir professionnel » a en effet introduit le concept de « lettre de cadrage » adressée aux partenaires sociaux. Le gouvernement leur précise désormais ce qu’il attend des négociations, en termes de règles et d’économies, et se réserve le droit de reprendre la main si les consignes ne sont pas respectées ou si syndicats et patronat ne trouvent pas d’accord.
Interrogé en début d’année sur « le risque de réveiller la colère sociale », Gabriel Attal avait répondu : « Oui, et ? »
Incapables de s’entendre sur des cadrages aussi stricts, ces derniers ont été contraints de reconnaître l’échec de leurs négociations en 2019 et l’État a décidé tout seul de la première, et brutale, réforme de l’assurance-chômage. Trois ans plus tard, il n’a même pas pris la peine d’envoyer une lettre de cadrage, car le Medef avait enterré toute idée de négociation quelques mois plus tôt. L’exécutif a donc à nouveau pris la main et fait inscrire dans la loi le principe de modulation des allocations en fonction de la conjoncture économique puis organisé un simulacre de « concertations » avec les partenaires sociaux.
En 2024, le scénario est encore différent mais l’issue, toujours la même. Cette fois, les partenaires sociaux ont trouvé un accord sur la lettre de cadrage mais le gouvernement l’a mis de côté, dans l’attente des négociations sur l’emploi des séniors. Ces dernières n’ont pas abouti et l’exécutif a pour la troisième fois repris les choses en main, jurant n’avoir pas d’autre choix et surjouant la déception. « C’est un crève-cœur » pour Catherine Vautrin, ont osé commenter ses services, dans leurs éléments de langage distribués à la presse.
Comme si tout n’était pas déjà écrit d’avance. Comme si le durcissement des règles pour les séniors n’était pas déjà chiffré. Comme si une nouvelle réduction de la durée d’indemnisation n’était pas une volonté du président. Mediapart l’a récemment révélé, les services du ministère du travail ont rédigé, en octobre 2023, une note dans laquelle « le scénario privilégié » d’Emmanuel Macron est évoqué : il s’agissait de baisser à quatorze mois la durée de versement des allocations.
Dans cette note, les propres services du ministère du travail jugeaient par ailleurs « peu opportun » de durcir à nouveau les règles. Précisant que toutes les enquêtes de conjoncture « tablent sur une stagnation du taux de chômage en 2023 puis une augmentation à l’horizon 2024-2025 », les auteurs du document insistaient sur la complexité « de justifier un tel durcissement », mettant en garde sur la « faible acceptabilité politique et sociale » d’une nouvelle réforme.
Mais l’exécutif n’en a que faire. Interrogé en début d’année par le JDD sur « le risque de réveiller la colère sociale » avec de nouvelles baisses de droits, Gabriel Attal avait répondu : « Oui, et ? » 
Le jeu de massacre dure depuis cinq ans et c’est un saccage, quoi qu’en disent les services de la ministre du travail qui avaient reproché à Mediapart l’emploi de ce terme, après un article sur les scénarios de la réforme."
Cécile Hautefeuille
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je-suis-ronflex · 3 months ago
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J'ai reçu mon emploi du temps et il est à l'image de ma vie : une grosse blague.
Ils me font venir le mercredi matin pour 1 seule heure, le jeudi j'ai mon premier cours à 8h (ils n'ont pas compris que le matin c'était non) et mon cours suivant est à 15h ????? mais non wsh j'ai envie de pleurer mais après ça va, j'ai mon vendredi après-midi et je ne bosse pas le lundi et mardi donc ça me fait des gros week-end
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raisongardee · 10 months ago
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"Le stoïcien est comparable à un conducteur qui ne doit pas quitter la route des yeux un seul instant, parce qu’à tout moment peut apparaître un panneau de signalisation ou qu’un incident peut surgir qui menacera sa sécurité ; le conducteur ne doit laisser son attention se relâcher à aucune minute, il doit faire attention sans cesse. Le grand mot est prononcé, celui d’attention, de mise sous tension ou tonus. La première lettre à Lucilius a pour but de mettre tout de suite le disciple en un état d’attention qui ne laissera aucune minute lui échapper distraitement. Le temps n’est pas un fluide gratuit, semble-t-elle dire ; le laisser fuir goutte à goutte par irréflexion, c’est saper le principe d’un emploi du temps planifié. Il faut avoir "l’âme toujours prête et tendue comme celle des athlètes pendant les combats de boxe". Le principe de planification étant posé, la seconde lettre à Lucilius commence à dresser l’emploi du temps : il faudra chaque jour s’habituer à l’idée que la pauvreté et la mort ne sont rien, en s’imprégnant des lectures que l’on fera en ce sens. Une minute de perdue est plus qu’une perte de temps, c’est un début de déshabituation à l’attention. Si l’on décide d’aller faire un tour de promenade, on fera là un acte pleinement vertueux, dès lors que la décision aura été prise avec "prudence", avec discernement. Ne pas perdre son temps veut dire l’employer à n’être plus le jouet des incidents et se tenir ainsi au-dessus du temps. On peut soupçonner sans trop de malice qu’un stoïcien faisait sans cesse trois choses à la fois : il mangeait, par exemple, il se contrôlait en mangeant, il s’en faisait une petite épopée."
Paul Veyne, Sénèque. Une introduction, 2007.
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mochademic · 1 year ago
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100 Days of Productivity [Day: 52] || 100 Jours de Productivité [Jour: 52]
seeking out comfort food while trying not to let the season drown me. every day feels more tired than the last. 2 hours earlier to bed, 1 hour later to rise. the shortening days still feel as melancholic as they did last year.
today I've spent reviewing as much as possible before my last exam. this semester was really rewarding, but with market season upon us I have a lot more to divide my timetable with! good luck to all ye students!
currently listening // Concern by isaur
Je cherche des aliments réconfortants tout en essayant de ne pas me laisser noyer par la saison. Chaque jour me semble plus fatigué que le précédent. 2 heures plus tôt pour se coucher, 1 heure plus tard pour se lever. Les jours qui raccourcissent me semblent toujours aussi mélancoliques qu'ils l'étaient l'année dernière.
Aujourd'hui, j'ai révisé autant que possible avant mon dernier examen. ce semestre a été très enrichissant, mais avec la saison des marchés qui arrive, j'ai beaucoup plus de choses à faire pour diviser mon emploi du temps ! bonne chance à tous les étudiants !
chanson // Concern by isaur
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