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Comment Prendre une Année Sabbatique Peut Transformer Votre Vie
✨ Envie de redécouvrir ce qui compte vraiment dans votre vie ? Prenez une pause ! 🛑 Dans mon nouvel article, je partage comment une année sabbatique a transformé mon quotidien de maman et femme. Osez vivre vos rêves ! 🌟 #AnnéeSabbatique #DevPerso
Dans une époque où tout va à 100 à l’heure, nous nous laissons souvent happer par un quotidien fait de to-do lists interminables, d’objectifs professionnels à atteindre, et de rôles à assumer. Mais que se passerait-il si, au lieu de continuer à courir, nous décidions de tout arrêter ? Prendre une année sabbatique, c’est bien plus qu’une simple pause : c’est une prise de pouvoir sur son temps,…
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illustration source: Toile
".../...La question n'est pas pour ce régime, d'organiser une société, d'établir en ce sens des formes de pouvoir, mais de mettre en oeuvre une idée fixe, on pourrait dire maniaque: l'obsession d'ouvrir la voie au jeu sans obstacle du profit, et d'un profit toujours plus abstrait, plus virtuel. Obsession de voir la planète devenir un terrain exclusivement livré à une pulsion après tout très humaine, mais que l'on n'imaginait tout de même pas devenue- du moins tenue de devenir- l'élément unique, souverain, le but final de l'aventure planétaire: ce goût d'accumuler, cette névrose du lucre, cet appât du profit, du gain à l'état pur, prêt à tous les ravages, accaparant l'ensemble du territoire ou plutôt l'espace en son entier, non limité à ses considérations géographiques. L'un des meilleurs atouts, l'une des meilleures armes de cette razzia? L'introduction d'un terme pervers, celui de "globalisation", supposé définir l'état du monde mais qui l'occulte en vérité, "englobant" en un terme vague et réducteur, sans signification réelle, du moins précise, l'économique, le politique, le social, le culturel, qu'il escamote pour s'y substituer et soustraire ainsi cet amalgame à l'analyse comme aux constats. Le monde réel semble happé, englouti dans ce globe virtuel donné, lui, pour la réalité. Et nous avons l'impression d'être, nous aussi, capturés au creux de ce globe, dans un piège sans issue../...."
".../...Cela revient à dire que nous vivons au sein de politiques en apparences diverses, mais qui toutes répondent d'une politique mondiale assise sur un principe unique et sous-jacent, réputé indiscutable: celui de la priorité plus ou moins clandestine accordée au profit privé, sacré sources d'emplois; principe contre lequel il est entendu qu'il n'y a pas de recours et selon lequel quiconque n'admet pas l'"économie de marché comme modèle unique de société, comme la définition même de la démocratie, est un autiste retardataire doublé d'un excité dangereux.../..." extraits de: "Une étrange dictature" de Viviane Forrestier-
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Tu as expliqué le problème de manière très précise. Je suis revenue sur le sujet et il se trouvent que le groupe a interprété ce tweet et son auteure comme étant une suprémaciste nationaliste blanche qui serait prête à laisser crever les femmes du tiers-monde parce qu'elle voulait renvoyer les immigrés chez eux. A ceci viennent se rajouter des insultes à caractère religieux comme "ghoule" ou "démon" comme si elle faisait partie du Mal. Puis d'autres commentaires disant que le féminisme (Pt1)
radical est foutu à cause de femmes comme elle, etc... Une attitude sectaire me rappellant le transactivisme et ses servantes, mais autour de la race + pays d'origine. Une Sud-Africaine a même traité une meuf noire anti-immigration de traitre à la race en appuyant que les mecs (et femmes au vu des événements) blancs ne la verront jamais comme humaine ou une personne à part entière. Je pense que la propagande autour de Gaza joue une part importante.
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Je pense que la situation internationale sert de catalyseur, mais après c’est une idéologie qu’on entend depuis des années. J’ai toujours dit, quand on a commencé à parler d’intersectionalité, que c’était un concept qui ne pouvait pas fonctionner de la manière dont il était interprété, parce que n’importe quel mouvement a besoin de définir des priorités et qu’à partir du moment où tu dis que toutes les causes se valent en fait les priorités vont se définir toutes seules, et pas en fonction de critères logiques.
En réalité, quand tu refuse de définir des priorités, tu fais rentrer le loup dans la bergerie. Tu te rends compte qu’à partir du moment où tu fais rentrer des hommes, peu importe ce qui leur arrive, les priorités des hommes vont devenir celles du mouvement, c’est comme ça que tu te retrouves avec des mouvements féministes qui défendent la prostitution, les migrations de masse d’hommes, issus de pays extrêmement misogynes, le trans-activisme, la GPA, etc…
Et il faut pas oublier que les femmes sont de toutes façons éduquées à prendre soin des autres et à être les gardiennes de la famille et de la communauté. Si tu les mets en position de devoir se défendre elles-mêmes ou de défendre des hommes, malheureusement tu vas trouver la majorité qui défendra les hommes ou qui trouvera que les problèmes des hommes sont plus graves que les leurs ou sont prioritaires. Dans une certaine mesure on a aussi besoin de se protéger de nous-mêmes.
Après, concernant la situation actuelle, je pense qu’on paye aussi très cher la naïveté qui a consisté à penser pendant des années que ces population n’avaient pas d’opinion politique. C’est quelque chose que j’ai entendu même il y a maintenant une quinzaine d’années quand j’étais en fac. C’était très ancré aussi bien à gauche qu’à droite que ce sont des populations non politisées qu’il fallait éduquer. En fait c’est totalement faux.
C’est juste qu’on a perdu la capacité à penser l’adhésion totale à une religion comme une opinion politique, puisque la marche du progrès en Occident est allée vers la séparation du politique et du religieux. En fait ce qu’on observe dans le monde Arabo musulman c’est que c’est exactement l’inverse qui s’est produit, il y a eu un refus de la modernité à partir des années 70 qui a des causes évidemment complexes.
Mais le fait est que les mouvements qui ont pris l’ascendant sur ces pays et qui sont arrivés chez nous par les migrations, ce sont des mouvements fondamentalement anti modernes et extrêmement politisés puisque c’est ce sont des mouvements qui ont un agenda politique qui est international. Mais on a pas eu en France et ailleurs en Occident la clairvoyance de comprendre justement ce qui était à l’œuvre politiquement.
Il est évident qu’on a pêché par racisme, en voyant ces personnes comme incapables d’adhérer à une idéologie conquérante de masse, et là ce qu’on est en train de voir, notamment avec les manifestations qui ont lieu partout dans le monde, avec les prises de position guerrières de gens comme le président turc, c’est qu’il y a vraiment une conception politique de la communauté au sens international et que cette communauté peut potentiellement se retourner complètement contre ses pays d’accueil.
La question de l’allégeance va très vite se poser quand les attentats vont reprendre - car je crains qu’on en soit qu’au début. Parce qu’il y a une minorité agissante mais il y a aussi une majorité qui depuis une dizaine d’année maintenant soit reste silencieuse soit excuse des comportements qui vont d’anti-sociaux à meurtriers en accusant les états d’accueil de ne pas en faire assez.
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Séduis-moi sans te presser.
Ne le fais pas avec ton corps, mais avec tes pensées, avec tes actions, avec les faits.
Fais de moi ta priorité, pas un employé de ton corps, que ta peau soit un complément de l’amour, pas seulement du désirs.
Là où les vraies envies de l’esprit illuminent nos jours et pimentent nos nuits, je ne veux pas être une option mais une réalité de sens où la véritable attraction va au-delà du physique et du caractère et qui est pourtant si difficile à définir.
Vivre cette magie authentique entre nous, écrite dans une lecture émotionnelle des cœurs qui entrent en harmonie en se comprennant mutuellement.
C’est ce genre de fusion dont on ne se libère même pas en fermant les yeux qui explose à chaque contact en une ivresse de passion.
je souhaite avec l’âme que tu sois mon univers entier, que quand nous faisons l’amour,cela soit l’expérience la plus belle remplie de sensations comme la plus belle étoile du firmament.
je ne prétends pas faire partie d’un verset, mais d’une romance passionnée faisant partie d’un journal pour voir les pages tomber du calendrier années après années.
Envoûtes-moi ton rire, avec ton regard chameur avec cet amour qui brille dans tes yeux, écrivant sur moi la plus belle histoire d’amour qui n’ait jamais été écrite avec tes intentions pleines de futur et non de passé avec un coucher de soleil dans tes bras attendant la nuit avec son ciel étoilé.
Car je veux sentir la lave de ton Amour dans mes veines pour vibrer sous tes caresses et tes baisers comme un volcan voulant prêt à entrer en éruption et faire jaillir tous nos sentiments pour te savoir à jamais à mes côtés.
Tous droits réservés
SensuElle'ment Toi
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Forspoken. Le jeu qui a trop dit "Fuck". *
Forspoken a été accueilli dans un marasme d’indifférence, de notes moyennes voire médiocres, le tout un peu saupoudré de mini shitstorm éphémère. Un développeur du jeu a bien voulu répondre à quelques questions de Jeux Incompris Magazine. Il parut évident à notre testeur qu’il y avait anguille sous roche autour de cette sortie et, surtout, la façon dont le jeu a été vendu. Laissons donc la parole au seul membre de l’équipe qui hésite encore entre démissionner ou se pendre.
Jeux incompris magazine : Bonjour M. le développeur de Forspoken. Comment allez-vous ?
M. le développeur de Forspoken : A votre avis ?
J.I.M : Je vois. Avant de mettre fin à vos jours, pouvez-vous nous pitcher votre jeu ? Mais le vrai pitch s’il vous plaît, pas le faux marketing basé sur le mystère et le non spoil à la con (vous savez, cette communication qui cherche à dire sans dévoiler, et qui fait plus de mal qu’autre chose à des jeux comme le vôtre…). Surtout au point où vous en êtes !
MLDDF : Forspoken est l’Origin Story d’une superhéroïne nommée Frey. Elle est une SDF New Yorkaise qui s’est construite toute seule. Donc son horizon personnel et ce qui la définit se résument à peu de choses. Un petit appartement abandonné (un « refuge »), quelques livres contant l’histoire de personnes propulsées dans un monde imaginaire, son chat à qui elle s’adresse sans arrêt. Et une aspiration à s’échapper de sa vie « de merde », comme elle le dira souvent.
Etant donné que dans les histoires de super-héros, ce sont les faiblesses du protagoniste qui vont définir les piliers de l’histoire et de son évolution, Frey est égoïste (ou plutôt disons absolument « non-altruiste »), incrédule, vulgaire ; et obsédée par le fait de juger au jour le jour l’endroit où elle se trouve afin de décider, comme une sans-abri, s’il vaut la peine de rester « ici ». Ce seront les fils conducteurs. Ses « thèmes » de superhéroïne, si vous voulez.
J.I.M : Il est très surprenant de vous entendre parler d’ « Origin Story » et de « Superhéroïne ». Comment cela se fait-il que pas un mot n’ait été dévoilé quant à cet aspect qui, lorsqu’on termine le jeu, est clairement la facette principale de Forspoken ?
MLDDF : Vous savez, ce projet a de nombreuses années. Nous commencions à avoir cette idée à l’époque où la Terre entière nous détestait déjà à cause du fait que les restes de l’annulation de Versus XIII nous soient tombés dessus. A cette époque, la mode était aux superhéros. Marvel cartonnait au cinéma, les jeux Batman montraient que des adaptations de superhéros pouvaient être bonnes. Et Square Enix était encore dans sa logique de conquérir l’Ouest, avec Crystal Dynamics et Eidos. Malheureusement, l’opération de damage control lunaire et foireuse qu’a été Final Fantasy XV est passée en priorité, malgré les envies de suicides au sein de notre équipe. Imaginez : vous vous retrouvez avec le cadavre du Final Fantasy le plus attendu depuis plus de 10 ans sur les bras, et le Monde entier vous déteste pour ça avant même que vous n’esquissiez le moindre geste. FFXV est finalement sorti, une partie de l’équipe a pratiqué l’immolation collective autour d'un portrait de Testuya-sensei, et on nous a mis une cible sur la tête. Hajime a quitté le bateau ; ce qu’il restait de l’équipe a pu se remettre sur le projet Athia.
J.I.M : L’éclaircie poignait à l’horizon, au bout du compte. Je veux dire, enfin vous pouviez repasser sur votre projet qui n’était pas une commande ni une suite de franchise. Qu’est-ce qui s’est passé ensuite ?
MLDDF : La suite vient d’un problème que nous avons chez Square Enix.
Deux écoles s'affrontent au sein de notre hiérarchie. Certains sont ouverts aux projets un peu borderlines et avec une vraie identité. Ce sont eux qui donnent le feu vert à des développements comme projet Athia, Diofield Chronicles ou, il y a des années de cela, des tentatives comme Last Remnant.
Et l’autre tendance dans la boîte, c’est l’équipe « pépouzes, only pépouzes » ; ceux-là souhaitent conquérir l’Ouest, vous savez, comme cette souris, Cortex, qui toutes les nuits fomente un nouveau plan nul pour conquérir le Monde. L’ennui c’est que ces mêmes personnes mesurent les tendances du net au jour le jour, comme un météorologue souhaite étudier le changement climatique mais n’a comme seule méthode que son doigt mouillé pour sentir le vent. Ils ont pris pour habitude de couper au dernier moment le budget et les délais de jeux risqués, et ordonnent au marketing de les faire disparaître des radars quelques semaines avant leurs sorties.
Comment tout cela s’est traduit pour nous ? Quand la mode des jeux services est arrivée, Square Enix a sauté dedans des deux pieds. Et comme en plus, la hype autour des superhéros était arrivée à son paroxysme, alors cela a donné Marvel’s Avengers, par Crystal Dynamics. Et tout cela n’est qu’une affaire qui se joue à deux ans près. Alors que Projet Athia était aux ¾ de son développement, Square Enix devenait la risée de la galaxie avec Marvel’s Avengers, et se voyait obligé de dire adieu à son catalogue de jeux occidentaux en revendant Crystal Dynamics et Eidos.
Dès lors, il n’était plus question de dire que notre jeu racontait l’Origin Story de, peut-être, la première vraie superhéroïne directement née en jeu vidéo. N'oublions pas qu'au même moment, le MCU avait du mal à redémarrer après avoir conclu son premier grand cycle ; et Arkham Knights, la suite des jeux Batman, démontrait que tout avait peut-être été dit à ce sujet… "Superhéros" passait de mot magique à mot interdit. Surtout chez nous, à cause de Marvel’s Avengers.
J.I.M : Et Sony dans tout ça ? Forspoken était un fer de lance pour sa politique d’exclusivité, non ?
MLDDF : Cela a constitué un autre boulet dans notre processus.
Vu que nos dirigeants vendraient leur père et leur mère à Sony à la moindre occasion (conquérir l’Occident ok, mais pactiser pour des exclusivités plus prometteuses que Last Remnant au concurrent américain, ils ne sont pas prêts en fait), le contrat d’exclusivité a été sécurisé alors que le jeu était encore à l’état de prototype. Or, notre approche de l’open world et le commentaire sur le jeu vidéo que constitue son écriture et certains choix risqués de game design ne sont arrivés qu’après. Le problème, c’est que les exclusivités AAA de Sony doivent toujours répondre à certains standards de ton, de qualité finale et de gamedesign formatés afin de maximiser les notes et les ventes.
Concilier tout cela avec les deux auteurs américains qui ont collaboré sur le jeu a entraîné une nouvelle vague de suicide dans l’équipe.
J.I.M : Et il y a Spider Man…
MLDDF : Exactement. Sony possède la licence du super héros le plus bankable de l’Histoire, qui n’a que faire des modes et des cycles de popularité auprès du public. Le jeu d’Insomniac a d’ailleurs réussi à faire démarrer une franchise pérenne, assez déconnectée, en fait, de ce qu’on pourrait appeler la « mode ». Alors quand notre prototype s’est transformé en un autre départ de franchise de super héros exclusif à Playstation… Les choses ont commencé à mal tourner. Il n’y avait pas de place pour notre jeu, tout simplement.
Et si vous voulez qu’on parle du dernier clou dans notre cercueil…
J.I.M : Je n’osais pas en parler. Vous pensez vraiment que…
MLDDF : Bien sûr.
J.I.M : J’avoue que là ce n’était vraiment pas de chance. Comme si l’univers ne voulait pas de vous. MLDDF : Je ne vous le fais pas dire. Le premier jeu Sonic potable en plus de quinze ans, et il vient empiéter sur nos plates bandes... Avec sa map désolée et minérale, et son personnage lâché là-dedans doté de ses super déplacements pour égrener des activités génériques. L’allumette alors que nous étions déjà morts trois fois, noyés dans une piscine d’essence, vous voyez ?
J.I.M : Et surtout avec une opération marketing fomentée de longue date. On parle quand-même de deux films et d'un merchandising digne de Star Wars.
MLDDF : Vous avez compris.
J.I.M : Arrêtons de tirer sur votre pauvre ambulance, et entrons dans le vif du sujet. Vous parliez de choix risqués et d’une approche borderline.
MLDDF : Tout d’abord, il faut partir de notre vision de départ. Dompter cette usine à gaz innommable qu’est le Luminous Engine nous a amenés aux conclusions suivantes. Le moteur est très performant pour quatre choses : rendre visuellement de grands espaces ponctués par des excroissances géologiques, détailler des vêtements au style fantasy mais avec un rendu très réaliste et très détaillé, modéliser des architectures abandonnées de très grande échelle ; et enfin vous mettre une race en pleine gueule pour les effets de pouvoirs basés sur des éléments tels que l’eau, le feu, etc… De là est né un prototype où l’on voyait des bribes d’un Monde désolé et déserté par toute vie, simplement peuplé de factions au style vestimentaire fantaisiste et parcouru par un personnage féminin dont les déplacements tiraient partie de l’échelle des espaces, ainsi que de la physique que ce moteur arrive plutôt bien à gérer.
Quand l’exclusivité a été sécurisé par Sony, Amy Hennig a été contactée pour travailler sur un scénario usant ces éléments à bon escient. Comme je l’ai dit précédemment, à cette époque la hype des superhéros battait son plein, tous médias confondus. L’idée est apparue évidente : nouvelle franchise, donc nouvelle superhéroïne. Premier épisode, donc Origin Story. De notre point de vue, tout cela coulait de source.
J.I.M : C'est bien beau tout ça, mais l’open world et les choix risqués de game design alors ?
MLDDF : Tout découle de ce que je viens d’expliquer. Frey est une superhéroïne qui, d’abord, doit trouver sa motivation et dompter ses pouvoirs. Amy Hennig, rompue à l’écriture de jeux vidéos depuis plus de trente ans, y a vu l’occasion de questionner les codes du AAA moderne organisé en open world.
Frey n’aime pas Athia, elle ne souhaite pas y rester parce qu’elle ne s’y sent pas chez elle. Alors pourquoi ne pas envisager une histoire d’une quinzaine d’heures aspirant le joueur vers la « vérité », et au bout de laquelle notre héroïne est devenue « super » ; puis, dans cette optique de personnage nouvellement doté de superpouvoirs à dompter, laisser les activités annexes disséminées sur la map pour « l’après » Origin Story ?
J.I.M : Vous parlez de cette conclusion qui arrive très tôt, où Frey se tient en haut de cette tour et dis face caméra « ça en fait du terrain à parcourir et à nettoyer...» ( cf « …des restes de dangers causés par la Brume (la menace du jeu) », NDLR)
MLDDF : Exactement. Chaque superhéros a sa ville où maintenir la paix. D’où le titre du chapitre dédié au postgame d’ailleurs : « Maintien de la paix ».
Quand Frey arrive à Athia, c’est en citoyenne moyenne et impuissante (même si elle vient d’un autre Monde, mais nous y reviendrons plus tard) qu’elle découvre une terre en état de, et ce sont les mots de Frey, « vrai bordel ». En ce sens, il était important que tous les points d’intérêts et toutes ces « choses » à faire existent, grouillent de part et d’autre de son cheminement dès le début de l’aventure. C’est tout le travail qui l’attend une fois devenue superhéroïne.
Athia, c’est la New York de Spider Man, la Gotham de Batman. Eux aussi, avant de devenir ce qu’ils sont, arpentent en tant que citoyen ordinaire une terre où pullulent la criminalité et les problèmes à résoudre. Ils en sont d’abord témoins, puis y reviennent avec une nouvelle optique : celle du justicier.
J.I.M : L’optique de Frey, justement, parlons-en.
MLDDF : C’est là tout l’enjeu. Amy a estimé qu’en 2022, l’heure n’était plus aux héros ou héroïnes motivés dès la découverte de leur pouvoir — et même avant —, par un sens inné et gratuit de la justice. Les récents films Batman on suffisamment fait le tour de la question. Pendant que Batman se débat, adaptation après adaptation, avec ses dilemmes de justice indépendante et se voit condamné à prouver en vain qu’il n’est pas fasciste, nous avons décidé de faire de Frey une superhéroïne plus badass, terre-à-terre et ordinaire que ça : elle ne voit pas l’intérêt de défendre Athia tant qu’elle ne s’y sent chez elle. C’est profondément égoïste, et c’est ce qui rend le personnage beau à nos yeux.
L’un des premiers évènements du plot, est le fait qu’elle souhaite venger la mort d’une petite fille d’Athia qu’elle connaît à peine. C’est la raison pour laquelle elle décide d’aller tuer Tanta Sila. Or, une fois ceci accompli, elle n’en tire aucune satisfaction. Et décide de n’avoir plus pour objectif que le fait de repartir.
Nous voulions une superhéroïne montrant qu’il n’est pas nécessaire d’être altruiste pour faire le bien. On peut le faire pour des tas de raisons. En 2023, il n’est plus d’actualité de clamer « Faites le bien, parce que c’est bien », mais plutôt « faites le bien pour la raison qui est la vôtre, en accord avec ce que vous êtes. » Frey, de par son histoire personnelle, a besoin de se trouver des attaches et se sentir chez elle en Athia pour décider d’y rester et de mettre à contribution son pouvoir. Elle en a parfaitement le droit !
J.I.M : Justement, cette notion de "superhéroïne qui n’a que faire des autres". Comment l’avez-vous traduit ? Athia n’est pas très peuplée, mais elle l’est quand-même.
MLDDF : On arrive sur l’un des choix les plus mal perçus. Frey est une New Yorkaise moderne qui arrive dans un Monde arriéré. En littérature, cela se serait traduit par un contraste entre le personnage principal et les autochtones au niveau du langage et des capacités de raisonnements . Dans un film de cinéma, il y aurait eu les costumes, le jeu d’acteur, le rythme des répliques.
Et dans un jeu vidéo, il nous a paru pertinent de marquer la différence moderne/arriéré par ce qui saute le plus aux yeux dans notre média : l’évolution technique et les stratégies de game design. En ce sens, quoi de plus normal que de faire se confronter Frey à des personnages que l’on croirait issus d’anciens JRPG, tant en termes d’animation, de modélisation, jusqu’à même la façon de mettre en scène les interactions et les dialogues avec ces derniers ?
J.I.M : Vous poussez un peu là. Vous voulez dire que le résultat est aussi uncanny et cringe… par un fait exprès ?
MLDDF : Rien n’est tout blanc ni tout noir dans un développement, vous savez. On nous a donne les moyens de rendre le personnage de Frey par Performance Capture ; puis des coupes dans le budget (parce que la hiérarchie ne croyait plus en la pertinence de notre projet) nous ont empêchés de le faire pour tous les autres personnages du jeu... Nous savions alors que sous-traiter les autres PNJ et les animer à la main allait entraîner un contraste difficile à justifier… Sauf par cette raison-là. Frey est une Alice de Jeu vidéo projetée dans un Pays des Merveilles arriéré de jeu vidéo. D’où ces PNJ et ces interactions d’un autre âge.
Ce qui vous met sur la piste est l’enchaînement très haché des situations quand Frey arrive à Cipal. Jusqu’à cette évasion d’une cellule de prison, passage obligé de n’importe quel JRPG grande époque. La séquence d’évasion est archaïque, ridicule et innocemment mise en scène. Comme le ferait une saga comme Tales.
Et n'oubliez pas le commentaire que fait Frey, lors du second passage à New York, sur la pauvreté graphique de Cipal. Ceci achève de vous signifier que vous avez entre les mains un jeu qui a conscience de "lui-même."
J.I.M : Il n’empêche qu’il y a tous ces fondus au noir pour les transitions entre séquences. Ce qui fait vraiment peu dynamique et parfois presque bâclé. Ils rappelleraient des procédés de — par exemple — Persona 5. Ce n’est pas un mal. Mais il y a quand-mêmes des coupes brutales qui, même si elles n’impactent pas la compréhension du récit, donnent l’impression qu’il manque des séquences ou que cela a pu être assemblé, disons-là, à l’arrache…
MLDDF : Il y a là la confluence de deux choses qui n’auraient pas dû coexister. Il y a notre volonté de faire très vieux JRPG au niveau des transitions de plans et d’animations des dialogues une fois Frey arrivée en Athia. Au passage, vous remarquerez que lors des deux séquences où elle se trouve à New York, les transitions sont instantanées, propres, sans fondus et rythmées de manières satisfaisantes. Ce n’est pas du Naugthy Dog, mais le constraste est évident avec l’arrivée à Athia. Le problème, c’est que le récit a été amputé voire remanié à plein d’endroits par la volonté de l’éditeur : il fallait retirer tous les bouts qui suggéraient de manière trop explicite que Frey était une superhéroïne en devenir. Ce qui a multiplié les coupes et les fondus au noir. Voilà qui a foutu en l’air le parti pris initial, où ces transitions à l’ancienne sur une direction artistique de AAA réalistes étaient vraiment dosées et censées signifier quelque chose.
Heureusement, il reste la cape comme pièce majeure d’équipement pour démontrer de manière irréfutable que Frey a quelque chose à voir avec une superhéroïne… (NDLR : et la musique, qui est un thème de superhéroïne s’enrichissant au fil de l’histoire. Classique.)
Pour revenir à ce sentiment assez négligé, débraillé que peut transmettre le récit, ses coupes brouillonnes, le nom terre-à-terre des chapitres… Même à ce degré de développement tourmenté, nous estimions que cela fonctionnait encore. Dans ce type d’histoires, l’univers, l’aventure : il faut que cela ressemble à l’héroïne. Frey est simpliste, vulgaire, désordonnée. Vous voyez l’idée ? Les quatre provinces d’Athia, cette map, c’est Frey aussi : désespérément ordinaires en début d’aventure, puis délivrant leur vrai potentiel en postgame.
J.I.M : Revenons aux PNJ. L’ennui avec cette approche, ces quêtes secondaires inintéressantes et stéréotypées… c’est que ça n’incite pas le joueur à s’attacher aux PNJ, ni ne lui donne envie d’intéragir avec eux. C’en est même désagréable.
MLDDF : Certes. Vous n’avez pas envie d’accéder aux requêtes nulles de ces personnages non joueurs nuls. Vous êtes, à ce moment-là, en total accord avec votre personnage.
Frey n’est pas altruiste, elle ne voit pas de raisons d’aider les autres. Elle veut juste partir. Ces PNJ qu’elle ne veut pas aider, ces terres grouillantes d’un trop grand nombre de choses à « clean », au point où vous n’avez qu’envie de suivre la balise de l’histoire principale sans regarder ni à droite ni à gauche… Vous êtes en phase avec Frey. Puis elle s’accomplit au bout d’un cheminement de 15h. Et là, la perspective change.
J.I.M : Et ce gameplay alors. Critiqué lui aussi pour sa simplicité, l’absence de système de build et de combos convaincants. Et un gamedesign plus basé sur le surnombre de mobs plutôt que des rixes stratégiques.
MLDDF : Cela fait aussi partie des détails que nous avons voulu garder en cohérence avec le reste.
Dans Forspoken, vous n’êtes pas en train de perfectionner un personnage de JRPG. Vous incarnez une superhéroïne qui cherche à maîtriser sa puissance.
Nous avons donc designé le système de façon à transmettre l’idée selon laquelle Frey « éveille » son pouvoir au fur et à mesure. Un système de build n’aurait aucun sens ici. Frey découvre son pouvoir, et va devoir le dompter. Et quoi de mieux que des vagues d’ennemis pour mettre cela en valeur, plutôt que des combats puzzles ou un système d’expérience et de build classique ?
Vous noterez en plus que nous avons implémenté un système d’amélioration des sorts, et cela passe par le fait que Frey s’améliore en lisant des livres dans les refuges. Dans notre scénario, il s’agit d’un vrai éveil personnel.
J.I.M : D’où ce postgame. La superhéroïne qui s’en va soigner ces terres de toutes les hordes d’ennemis qu’il reste à éradiquer, nettoyer ces ruines à explorer afin de faire reculer la « Brume ».
MLDDF : Et c’est aussi à partir de là que nous offrons un fantasme nourrit par beaucoup de gens… Enfin, nous semblait-il en tout cas. Jouer un superhéros surpuissant qui s’en va éradiquer le mal dans un monde ouvert. L’appropriation de l’espace ultime, si vous préférez, sans contrainte ni contrepartie.
Avec ce postgame, vous verrez que plus vous nettoierez des points d’intérêts, plus Frey sera puissante, plus ses déplacements gagneront en spectaculaire et en fluidité ; et donc, plus vous arrivez vite au point suivant pour défaire les hordes d’ennemis avec toujours plus d’efficacité et de satisfaction.
Au bout d’un moment, vous aurez le jeu Superman dont les gens rêvent, mais qui n’a jamais été réalisé pour des raisons évidentes : quel est l’intérêt d’incarner le héros ultime, indestructible et qui dispose déjà de toute sa puissance à sa naissance ? Avec Forpoken nous vous offrons cette possibilité, mais en fin de boucle et après l’Origin Story que constitue le scénario.
A cela, s'ajoute ce lore. Naïf, simpliste au premier abord. Il vous surprendra vraiment par son originalité, sa profondeur ; par les archives et les peintures que vous découvrirez dans cette phase d'exploration à postériori.
A partir du moment où Frey se sent chez elle en Athia, alors elle va s'intéresser à son Histoire. Tout comme vous, elle n'a montré que peu d'intérêt à tout cela au cours de la campagne. Beaucoup de ses commentaires vont dans ce sens. De lignes du type "Ce qui est arrivé à ces gens est triste, mais ça montre encore plus à quel point cet endroit craint. Vivement que je rentre à New York", on passera, à chaque découverte de drame du passé, aux répliques d'empathie classique de l'héroïne préoccupée par le Monde qu'elle souhaite défendre : son nouveau "chez soi".
Pour le reste, vous découvrirez rapidement à quel point notre map est travaillée pour vous offrir des séquences de gameplay et des parcours très étudiés qui se révèleront. C’est un deuxième jeu qui s’offre à vous, en réalité. Et nous avions besoin que vous « méprisiez » tout cela durant les premières heures, puis que le potentiel vous apparaisse dans un deuxième temps, exactement comme et quand nous le voulions.
Quand les gens ont découvert la première vraie vidéo montrant Frey se déplaçant telle Wonder Woman dans ces grands espaces, tous se sont posés la question du prétexte à cela. Qu’est-ce qui pourrait justifier et rendre satisfaisant de faire se déplacer de cette manière un personnage dans ce type de paysages "vides" ?
J.I.M : Une réponse que vous venez d'exposer, mais que la campagne de communication n'a jamais donnée…
MLDDF : Comme mon travail consistait à modéliser les chats dans le jeu, je n’ai jamais assisté aux réunions entre mes supérieurs et le marketing. Donc toutes les questions autour du chemin médiatique du jeu sont des suppositions de ma part. Mais une chose est sûre. A partir du moment où l’idée a été de cacher qu’il s’agissait d’un jeu de superhéroïne, c’était terminé. Ce jeu ne fonctionne pas si vous n'avez pas cette information.
A votre avis pourquoi le titre du jeu a-t-il été dévoilé si tardivement ? Si vous souhaitez faire monter la hype autour d’un jeu, vous devez marteler le net, faire que tous connaissent son nom, son logo, le visage de son héroïne.
Regardez Hogwart Legacy, à propos duquel tous les sites et youtubeurs font une news par jour depuis deux mois.
Maintenant, tentons quelque chose. Imaginez la campagne suivante pour notre jeu :
D’abord la vision de Frey virevoltant en Athia, et l’exécution de quelques pouvoirs.
Puis, dans un second temps de la campagne, vous dévoilez qu’il s’agit de l’Origin Story d’une nouvelle superhéroïne. Mais vraiment, vous prononcez ce mot-clé.
Dans un troisième temps, comme le font Rockstar ou autres machines de guerres, vous faites des showcase qui expliquent de façon intelligible et claire les enjeux de votre histoire : une superhéroïne dont les motivations sont modernes, badass. Qui ne souhaite pas rester en Athia, puis qui finit par s’y sentir chez elle. Vous dites que votre jeu aura une structure qui prend le game à contre-courant : une Origin Story comme scénario court, concis, qui va droit au but. Et ce, avant de vous lâcher le contenu d’open world qui s’offre à vous selon la perspective suivante : l’opportunité de jouer une superhéroïne qui va nettoyer sa Terre du Mal. Ce dans un dispositif de bac à sable surpuissant, sans compromis : dompter vos pouvoirs et vous approprier ces terres par des déplacements jouissifs. Et, soyons fous, dans l’un des showcase, vous expliquez (avec une vidéo disons satyrique ou auto-parodique) en quoi votre jeu allie écriture US et japonaise par ce choc entre ce personnage moderne, motion capturé, et ces PNJ de JRPG à la technique archaïque et datée. Vous saupoudrez cette idée des nombreuses répliques qui font de Frey une héroïne unique et qui reste authentique en toutes circonstances : « Ce n’est pas aider ces gens que je veux, c’est partir d’ici » ; « Chez moi c’était pourri, mais ici ça l’est encore plus » ; « On aurait pas quelque chose d’intéressant à faire pour une fois ? » Vous faites comprendre que l'une des forces du jeu réside dans le commentaire qu'il s'adresse à lui-même ainsi qu'au média jeu vidéo.
Il y aurait eu matière à vendre un vrai projet à contre-courant, intrigant et qui donne envie aux gens de découvrir un départ de franchise questionnant frontalement les codes. Il y a un public pour ce jeu, j'en suis persuadé.
J.I.M : Vous le pensez vraiment ?
MLDDF : Square Enix pense que non, mais ce public existe.
Ils croient qu’il y a d’un côté le public de God of War, The Last of Us et Red Dead Redemption 2, et sur la rive opposée, le public de Persona 5 et de la trilogie Xenoblade. Et ils refusent de penser qu’il existe toute une frange qui aime autant aller tuer en masse sur fond d’écriture « mature » à l’américaine que suivre durant 100 heures un lycéen qui parle avec un chat caché dans son sac d’école (chat qui reluque et fait souvent des commentaires très limites sur le boule de la jolie fille du groupe).
Avec cette logique à la noix, un jeu comme le nôtre fait complètement perdre les pédales à notre service marketing et nos décisionnaires. Une direction artistique photoréaliste, une héroïne new yorkaise ; et à côté de ça, un récit basé sur le destin qui aspire vers un « tunnel » principal, le chat comme symbole du compagnon fidèle, etc… Risquer de parler à la fois à ces deux publics, (et notre jeu était une occasion extraordinairement intéressante de le faire) quitte à essuyer quelques plâtres pour un premier essai et s’améliorer pour la suite — après tout, quelle franchise a démarré par un premier opus irréprochable ? — : impossible pour nos décisionnaires.
J.I.M : Vous pensez vraiment que, pour toutes les raisons que vous énumérez depuis le début, l’idée a été de faire disparaître votre jeu ?
MLDDF : « Forspoken ». Tout est là. Répétez-le à voix haute. Vous voulez que votre jeu passe inaperçu et n’intéresse personne ? Vous lui collez ce titre qui n’évoque rien. Vous saisissez l’idée ?
J.I.M : Bon mettons. Mais une bonne campagne marketing n’aurait pas caché les soucis de finition ou les cache-misères dus aux désaccords quant au positionnement du jeu durant le développement. Vous êtes au moins d’accord avec ça ? Le jeu a des vraies carences, des modélisations vraiment parfois ridicules, une histoire d’une quinzaine d’heures, loin des standards AAA. Au fond, on pourrait se demander si le vendre au prix fort n’a pas été l’estocade ; et ce qui a pu générer en grande partie ce mépris traduit par les tests. MLDDF : Soyons clairs. Vendre un jeu vidéo à plus de 50 euros, c'est beaucoup trop cher de toutes façons Pour le reste, vous savez, tout cela n’est pas mesurable. Vous pouvez prendre le problème dans tous les sens... il n’y a pas de réponse.
Tant de joueurs n’ont jamais hésité à payer au prix fort la mise à jour annuelle d’un FIFA, par exemple. Des franchises comme Assassins Creed, une fois leur public trouvé, ont réussi à vendre une itération annuelle au prix maximal durant une décennie. Quand bien-même il s’agissait de maintenir un même squelette actualisé de quelques features, de nouvelles villes modélisées et d’une narration qui, je pense, n’a jamais laissé une marque impérissable aux joueurs.
Pour les soucis techniques, de caméra ou de finition… Rappelez vous du Hameau du Crépuscule dans Dark Souls ou du framerate de Witcher 3 à sa sortie.
Un jeu très reconnu comme The Last of Us se terminait en une quinzaine d’heures, sa suite une moyenne de vingt heures.
Death Stranding s’est fait très vite une réputation de jeu vide et inintéressant.
Mass Effect Andromeda a inondé le net par des mèmes à propos de ses modélisations faciales…
Où je souhaite en venir avec tous ces exemples disparates ? Il n’y a pas, en réalité, de facteur objectif de qualité (ni en terme technique, ni en termes de durée ou de contenu) sur lesquels s’alignent les joueurs quand ils décident s’ils vont mettre ou non le prix fort dans votre jeu. Regardez la saga Final Fantasy. Combien de joueurs ne vont pas sourciller à précommander l’épisode XVI pour 80 euros, quand les deux derniers épisodes solos du canon ont été plutôt des déceptions qu’autre chose ?
Tout cela est irrationnel. La seule question est : si votre éditeur décide ou non de mettre les moyens pour le martelage marketing. Les soucis techniques ou couacs de votre jeu qui vont être sortis de leur contexte pour faire le buzz : cela n’a que très peu d’importance en réalité. Encore une fois, regardez Death Stranding. Comme son gameplay constituait une expérience quasiment inmontrable en vidéo ou en live Twitch, alors le game du net s’est concentré sur ses défauts et ses moments d’écritures qualifiés de « gênants ».
Pareil pour les modélisations faciales de Mass Effect Andromeda.
Au bout du compte, cela n’a pas duré, et ces jeux ont trouvé leur public. Et parmi les joueurs qui ont aimé ces jeux, aucun ne remet en question le prix qu’il y a mis.
Tout simplement car ceci ne se mesure, je pense, qu’à la satisfaction et l’attachement que le jeu vous aura procuré une fois que vous en aurez terminé avec ce qu’il vous propose.
Si vous donnez les clés au public et à l’espace médiatique de ce que veut transmettre votre jeu, il trouvera preneur. Et un jeu qui résonne en phase avec votre sensibilité… Vous lui passez ses défauts.
Au contraire, vendez un jeu complètement à l’envers, le système, les gens sur Twitch et tous ceux qui fomentent déjà leur jugement alors qu’ils sont encore à la deuxième heure de découverte de votre jeu, ne parleront que de ses défauts.
J.I.M : Vous oubliez le paramètre des ventes. Si un jeu ne trouve pas assez de preneurs, c'est un échec non ?
MLDDF : Pour un investisseur comme Sony, assurément. Ceux-là considèrent que toutes leurs franchises ne peuvent exister que si elles sont des millions sellers qui parlent au plus grand nombre (et une moyenne metacritic au sommet). Même si le jeu se forge une bonne réputation et trouve malgré tout un public, ce n'est pas suffisant et la franchise est annulée. Les fans de Days Gone en savent quelque chose. Mais on parle là de proportions et de dérives du systèmes qui, de toutes façons, sont allées beaucoup trop loin pour qu'il soit possible d'en tirer la moindre conclusion.
J.I.M : Tiens comme vous parlez du Twitch game et du Youtube Game…
MLDDF : C’est ce qui ne nous a pas non plus aidé.
Maintenant quand vous concevez un jeu, vous devez absolument prendre en compte les agendas de toute le monde, joueurs comme testeurs et influenceurs.
Concernant les joueurs, vous devez les convaincre non seulement que votre jeu a sa place (en terme de temps à lui consacrer et aussi de budget) parmi les sorties qu’il a prévu de faire, mais aussi qu’il sera justifié de faire attendre un backlog toujours plus chargé.
A ce niveau-là, le rapport au consommateur n’a pas vraiment changé ; sinon, on va dire, en vertu de la frénésie et la surabondance de l’actualité avec des dizaines de jeux qui sortent tous les jours.
Pour les influenceurs, c’est une autre histoire. Pour eux, la problématique n’est pas de savoir si votre jeu est bon ou non ; mais de quelle façon il faudra en parler pour rentabiliser l’audience.
Un bon exemple fut Death Stranding. Imaginez que vous êtes un Twitcher avec une communauté de centaines de milliers de followers. Vous avez rendez-vous avec votre public pour streamer le dernier jeu de Kojima-San. Sauf que le gamplay du jeu s’avère ne pas être très « Twitch-génique », et vous savez que votre chaîne va connaître un déficit d’audience lors de vos prochains streams. Que faites-vous ? Alors vous jouez les indignés sur les défauts du jeu, vous poussez le moteur dans ses retranchements les plus absurdes et vous en sortez des vidéos best of parodiques ou de moment WTF.
En l’occurrence, notre jeu, en tant qu’exclusivité Playstation d’envergure, nécessitait d’être couvert. Il s’agissait bien d’un rendez-vous. Or, nos partis pris ne délivrant leurs sens et ne donnant satisfaction qu’après plusieurs heures jeu (et encore, ceci si vous êtes attentifs aux détails), il plombait les agendas d’influences.
J.I.M : Pourtant on ne peut pas dire qu’il y ait eu une vraie shitstorm non plus.
MLDDF : Ce qui est plutôt bon signe. Notre jeu n’est pas suffisamment mauvais pour alimenter le buzz et faire de l’audience. A partir de là, il valait mieux l’oublier. Et faire le jeu de l’éditeur et de Sony.
Forspoken n’est pas un jeu honteux, ni le type de badbuzz qui poursuivra ceux qui ont été impliqués (sauf nous, le développeur, assurément, et l’actrice qui a joué Frey).
C’est un jeu embarrassant de par son placement et son contexte. En ce sens, le marketing a fonctionné : le jeu est tombé dans l’oubli. Comme son titre qui n’évoque rien. Il démontre que, pour disparaître du net, il y a pire qu’être un mauvais jeu. Faites juste en sorte que personne ne sache CE QU’EST votre jeu. Et comme personne n’a le temps de pousser une expérience dont il ne sait rien afin de « vérifier » par lui-même, l'affaire est vite pliée.
Les gens ont ouvert la map, ont vu scintiller pléthore de points d'intérêts et un début de récit apparemment cousu de fil blanc, ont grincé des dents face à ce qu'ils ont pris pour des maladresses d'écriture, et puis voilà. C'était déjà au tour du jeu suivant.
Tenez, un détail qui ne trompe pas. Nous parlons d'open world depuis le début. Mais vous avez remarqué, non, que la map ouverte ne débute qu'à partir du pivot majeur que représente la fin du scénario ? En réalité, les quatre zones du jeu s'ouvrent les unes après les autres au fur et à mesure qu'avance le scénario. Vous êtes donc, avant toutes choses, dans une aventure se déroulant dans des grandes zones semi ouvertes à l'image d'anciens Zelda ou autre. Vous voyez ? Si même un point aussi fondamental n'a pas été décelé par la majorité des testeurs, qu'attendre quant aux autres facettes de Forspoken ?
J.I.M : Certains aspects génériques n’ont pas forcément aidé à la bonne perception de votre jeu. Un dernier mot là-dessus ?
MLDDF : Juste : faites-le un jour. Vous verrez que nous avons travaillé afin que beaucoup d’éléments aient l’air génériques afin de mieux questionner, justement, leur usage galvaudé et machinal dans ce type de jeu.
Regardez, pourquoi croyez-vous que nous ayons fait le choix de faire apparaître sur la map, non seulement les points d'intérêts et les coffres, mais aussi le contenu de chacun de ces coffres et la récompense de chaque tâche ? C'est un véritable indice concernant notre démarche. Durant la campagne, le joueur choisira le "détour" (le nom donné à la moindre activité secondaire dans Forspoken, NDLR) qu'il souhaite faire à un instant T de sa progression ; ce seront les moments ponctuels durant lesquels il choisira de passer outre la grosse balise permanente et non désactivable qui indique la prochaine étape de l'aventure.
En voici trois autres, des indices qui prouvent le recul que Forspoken prend sur son média.
D’abord, la première rencontre avec un mob, mise en scène (sans subtilité aucune) comme la première rencontre d’ennemi mortel la plus légendaire du jeu vidéo japonais.
Ensuite, vous tomberez, comme d’habitude, sur ce premier boss insurmontable qui sert de tutoriel pour les commandes. Ce qui a l’air d’être un départ de récit cousu de fil blanc, trouve une vraie explication plus tard dans le scénario. Ce dragon vient trouver Frey à ce moment pour une raison précise.
Enfin, il m’est impossible de ne pas mentionner la relation avec Krav, le bracelet. Il fallait que ces échanges soient verbeux, forcés. Beaucoup de jeux ont recours à cette feature pour prendre le joueur par la main. Dans Forspoken, ce n’est pas que cela. Frey a besoin de parler avec Krav et Krav a besoin de gagner la confiance de Frey. Pour des motifs que l’on découvre plus tard.
Encore une fois, Amy Hennig a travaillé sur des scénarios très efficaces comme celui d’Uncharted 2. Elle sait parfaitement comment fonctionne un jeu vidéo. Forspoken était l’occasion, pour elle, de donner une perspective différentes aux réflexes habituels de game design modernes.
Vous verrez que ce jeu, sa désinvolture, son côté cavalier, sans fioritures pour cacher son jeu, ni artifices pour se faire aimer à tout prix. Avec le temps, il finira par être apprécié.
J.I.M : "Désinvolte". C'est effectivement un mot qui représente bien Forspoken.
MLDDF : Et surtout, avec l'âge, il fera taire la principale critique à son égard : le fait qu'il soit un open world "générique."
Terminez ce jeu, et posez vous la question en toute honnêteté : de Forspoken (et même Sonic Frontières) ou de, au hasard, Spider Man par Insomniac. Dans quel cas vous retrouvez vous avec une approche fondamentalement générique ? Pour que mon propos n'ait l'air péjoratif envers personne, laissez-moi vous poser la question autrement. Et si une approche fraîche, risquée, en 2023 en terme de monde ouvert, était, justement ce que proposent à leur façon Sonic Frontiers et Forspoken (au vu du tronc commun constitué des Marvel Spiderman, Horizon ou Assassins Creed récents) ?
J.I.M : Un futur jeu culte incompris, donc ?
MLDDF : Je ne sais pas si ça ira jusque-là. Il se trouvera bien une ou deux personnes en qui le jeu résonnera.
Vous savez, le type de personnes qui détestent, en réalité, l’approche machinale des open worlds à contenu secondaire parasitant l’histoire plus qu’autre chose… Cette sensibilité sachant déceler tout de suite la plus-value de jeux à contre-courant comme ceux de Taro-sensei malgré leurs défauts « objectifs » (graphismes, technique, allers-retours incessants, et j'en passe) ; qui jubile à mesure de la découverte que tout a un sens en terme de détails et de volontés de gamedesign. Et — par rapport �� Frey et aux instants où le récit peut choquer par sa naïveté et sa désinvolture, justement — , cerise sur le gâteau : si en plus ce joueur a besoin que le personnage soit authentique à chaque seconde, bien dans son caractère. Comme ces fans de Final Fantasy X ayant adoré un protagoniste comme Tidus, vous voyez, envers et contre la mauvaise réputation du personnage...
En bref, cet esprit libre pour qui l'expérience que lui procure un jeu à l'âme unique, imparfait mais sincère, a autant de valeur que les heures passées sur un chef d'oeuvre, vous voyez.
Les institutions et la "guilde des guides d'achats" ont beau faire, je suis persuadé que l'on trouve toujours de ces personnes sur qui ces injonctions à adorer ou à détester un jeu — souvent trop unanimes pour ne pas être suspectes — n'ont aucun impact.
Voilà le profil qui passera assurément un bon moment en jouant à Fropo... Korspofr... Forspoken, voilà, Forspoken (sérieusement, ce nom...)
J.I.M : En tout cas sur ces deux huluberlus potentiels, on trouve notre testeur. Et encore, il est expatrié en Espagne.
Quant à vous ? Et votre équipe ? Que va-t-il se passer maintenant ?
MLDDF : Déjà, cet après-midi il est prévu que nous enterrions nos morts dans la même fosse commune que les gens de Crystal Dynamics ayant bossé sur Marvel’s Avengers. Après quoi, nous tirerons au sort pour savoir qui aura le droit de se pendre ou qui avalera une pilule de cyanure.
J.I.M : Sur quoi préféreriez-vous tomber ?
MLDDF : Oh moi, comme mon travail sur les chats dans le jeu s’est avéré plutôt réussi, j’ai eu droit au flingue. C’est celui qui est posé là, sur le guéridon. Tiens, vu que vous êtes assis à côté, passez-le moi.
J.I.M : D’accord. Vous pouvez attendre qu’on parte, s’il vous plaît ?
*Tous les passages mentionnant le développement et les coulisses du jeu ne relèvent que de la fiction pour donner un certain ton au texte. En revanche, tous les éléments relevés concernant le jeu y sont vraiment et ne laissent que peu de doute quant à la façon de les interpréter.
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Paul Pogba n'a aucune envie d'aller en Arabie Saoudite ou aux Etats-Unis. L'international français de 31 ans, Paul Pogba, entrevoit enfin la possibilité d'un retour au plus haut niveau. Libre de tout contrat depuis son départ de la Juventus Turin, il est désormais en mesure de choisir le club qui relancera sa carrière. Les prochains mois s'annoncent décisifs pour ce joueur dont l'ambition reste intacte malgré l'épreuve traversée. Paul Pogba est de retour, mais ni en Arabie Saoudite ni aux Etats-Unis Paul Pogba veut bien joueur, mais pas en Arabie Saoudite, et pas aux États-Unis. Éloigné des terrains depuis septembre 2023 en raison d'un contrôle positif à la testostérone, Paul Pogba a vu sa suspension initiale de quatre ans réduite à dix-huit mois, ce qui lui permet un retour à la compétition dès mars 2024. Cette sanction laisse présager une reprise progressive, avec une première phase d'entraînement autorisée dès janvier. Pour Paul Pogba, ce sera l'opportunité de reprendre un rythme d'entraînement intensif et de préparer le terrain pour son retour. Lire aussi : Qui est Zulay Pogba, celle qui partage le cœur de Paul Pogba ? L’Europe comme terrain de jeu annonce Paul Pogba Malgré les offres de clubs prestigieux d'Arabie Saoudite et des États-Unis, Paul Pogba reste catégorique : il vise un retour dans un des cinq championnats européens majeurs. Ce choix n'est pas anodin. En s'imposant dans une ligue européenne de haut niveau, il souhaite prouver qu'il est toujours l'un des meilleurs à son poste. L'international français, qui compte 91 sélections avec les Bleus, mise sur une compétition exigeante pour retrouver le rythme nécessaire et reconquérir sa place dans le football mondial. L'Équipe de France en ligne de mire La priorité de Paul Pogba n'est pas uniquement de se réintégrer au sein d'un grand club européen ; il aspire aussi à revenir parmi les Bleus, trois ans après sa dernière sélection. Après une absence prolongée, il désire montrer à Didier Deschamps et à la Fédération Française de Football qu'il est prêt à reprendre son rôle en équipe nationale. Avec l'Euro 2024 à l'horizon, Paul Pogba souhaite faire partie des discussions et prouver que son talent et sa compétitivité sont toujours à leur apogée. Paul Pogba veut rétablir sa réputation Cette année d'absence et la suspension pour dopage ont, sans aucun doute, terni l'image de Paul Pogba. Ce retour au jeu constitue pour lui une opportunité de redorer son blason. En janvier, lorsqu’il reprendra les entraînements, les regards seront tournés vers sa condition physique, son attitude et sa capacité à surmonter cet épisode controversé. La volonté de Paul Pogba de se mesurer aux meilleurs d'Europe témoigne de son désir de se rétablir en tant que joueur d'élite, cela renforce sa réputation mise à l'épreuve. Des clubs intéressés pour relancer la carrière de Paul Pogba Malgré les incertitudes, de nombreux clubs européens restent attentifs à la situation de Paul Pogba. En tant que joueur libre, il représente une opportunité intéressante pour plusieurs équipes à la recherche de renforts au milieu de terrain. Paul Pogba, qui a déjà refusé des offres de clubs de la MLS aux États-Unis, souhaite maximiser son potentiel en rejoignant un club compétitif qui lui permettra de retrouver la haute intensité des ligues majeures. La décision concernant son futur club pourrait définir les contours de sa relance et renforcer sa stature de joueur ambitieux. Le choix de Paul Pogba en ce qui concerne sa future équipe est attendu avec impatience par les fans et les observateurs du football. Son retour sur le terrain après une année difficile marquera un tournant, tant pour sa carrière que pour le club qui le recrutera. La quête de Paul Pogba pour un nouveau départ en Europe témoigne de sa détermination à rester un acteur clé dans le football de haut niveau. La saison à venir pourrait bien être celle du renouveau pour ce milieu de terrain talentueux, prêt à prouver qu'il peut encore exceller. Bien qu'il ne soit plus au début de sa carrière, Paul Pogba garde un objectif de compétitivité élevé. Avec l'expérience accumulée au fil des années et des compétitions internationales, il a désormais un profil complet qui peut bénéficier à toute équipe ambitieuse. Ses capacités techniques, alliées à une vision de jeu unique, font de lui un joueur précieux, et il semble déterminé à montrer qu'il a encore beaucoup à offrir. Paul Pogba, oui pour l'Europe, non aux États-Unis et à l'Arabie Saoudite Paul Pogba voit en ce retour en Europe une double opportunité : redorer son image et renforcer sa position pour une possible sélection en Équipe de France. En renouant avec le haut niveau, il espère que ses performances le replaceront dans les discussions pour les prochaines échéances internationales. Un retour dans l’un des cinq grands championnats européens renforcerait non seulement sa compétitivité mais aussi sa notoriété auprès des observateurs et des sélectionneurs, un pari que Paul Pogba semble prêt à relever. Voir également : Avant Pogba, quels sont les joueurs suspendus pour dopage ? Un défi de taille pour un retour en grâce Pour Paul Pogba, l'année 2024 pourrait bien être celle de la renaissance. Alors que son avenir demeure incertain, l'international français aborde cette nouvelle étape avec détermination. Ses choix de carrière dans les mois à venir auront un impact significatif, non seulement pour son parcours personnel mais aussi pour l'image qu'il souhaite laisser dans l'histoire du football. Le monde du sport, quant à lui, attend avec impatience ce nouveau chapitre d’un joueur résolu à retrouver les sommets et à faire taire les doutes qui entourent sa carrière. Read the full article
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32 % des acheteurs français privilégient la livraison en point relais from ITRtv on Vimeo.
En France, les consommateurs abordent les dépenses de fin d’année avec prudence, dans un contexte économique marqué par une croissance modeste mais un pouvoir d’achat en légère amélioration. Seuls 40 % des Français prévoient d’augmenter leurs dépenses, bien en deçà de la moyenne européenne, malgré une inflation en zone euro qui a chuté sous la barre des 2 %. Cependant, la génération Z se démarque par une dynamique de consommation plus forte : 55,1 % des jeunes prévoient d’augmenter leurs dépenses, montrant une préférence notable pour les produits physiques, comme les vêtements et les jouets. Selon Axelle Fossier de Packlink, ce trimestre est une opportunité pour les entreprises du e-commerce d’adapter leur offre aux nouvelles priorités de consommation. Les jeunes, déterminés, semblent redessiner les perspectives de consommation dans un marché incertain mais plein de potentiel.
En parallèle, le Black Friday continue d’occuper une place centrale dans les habitudes de consommation en France. En 2024, 90,4 % des Français le connaissent et participent, avec un budget moyen en hausse de 13 %, atteignant 282 € cette année. La tendance du « Black Month » prend de l’ampleur, avec des promotions s’étendant sur tout le mois de novembre et culminant le 29 novembre, jour emblématique pour les bonnes affaires et les achats de Noël. Pourtant, 58,3 % des Français craignent une hausse artificielle des prix avant cette période. Anna Perret, porte-parole d’idealo, rappelle que le Black Friday reste une date clé pour des réductions allant jusqu’à 52 %, invitant les consommateurs à comparer les prix et à définir un budget pour optimiser leurs dépenses.
Dans le domaine de la cybersécurité, octobre a été marqué par le Mois européen de la cybersécurité, visant à sensibiliser le public et à renforcer la protection des infrastructures critiques. En France, les autorités ont présenté un projet de loi pour renforcer la résilience face aux cybermenaces, s’appuyant sur trois directives européennes essentielles : REC pour les entités critiques, NIS2 pour la cybersécurité commune et DORA pour la résilience des services financiers. Malgré des ambitions claires, Jean-Michel Tavernier d'Armis souligne que ces directives nécessitent un investissement accru et une gestion rigoureuse des risques. Pour lui, la cybersécurité ne peut se limiter à la conformité : elle impose un changement culturel et un investissement stratégique dans des solutions de pointe pour atteindre une résilience durable.
Le marché du crédit en France, lui, se redynamise face à un environnement incertain. En octobre 2024, le taux moyen de crédit immobilier s’établit à 3,44 %, avec un apport moyen de 71 286 € pour une durée de prêt de 277 mois. Face aux conditions d’accès au crédit toujours plus strictes, les primo-accédants adoptent des solutions d’allongement des durées de prêt pour maintenir une capacité d’achat. Le secteur du crédit à la consommation, quant à lui, reste dominé par des projets liés aux équipements de maison et aux véhicules, pour un montant moyen de 10 433 €. Ludovic Laborde, CEO d’Eloa, note que l’intérêt pour les prêts est bien là, mais la fenêtre d’opportunité pourrait être de courte durée, avec des changements budgétaires à venir en 2025.
Enfin, la livraison Hors Domicile prend de l’ampleur en réponse à la demande croissante des consommateurs pour plus de flexibilité. Près de 50 % des Français envisageraient de faire leurs achats ailleurs si cette option n’était pas proposée. La popularité des points relais et des consignes automatiques continue de croître, répondant aux attentes de commodité et de contrôle des consommateurs. Avec 32,6 % des acheteurs optant pour les points relais et 27,9 % pour les consignes, l’attrait pour les alternatives à la livraison à domicile ne cesse de croître. Selon Sabi Tolou de Sendcloud, offrir cette flexibilité devient une exigence incontournable pour rester compétitif dans un marché e-commerce en pleine mutation.
Ces tendances montrent une transformation marquée des habitudes de consommation et des attentes en matière de flexibilité et de sécurité, renforçant l’importance pour les entreprises de s’adapter rapidement.
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Augmenter la productivité grâce à l'organisation
Pour chaque individu sur le lieu de travail, la pratique de bonnes compétences organisationnelles contribue à augmenter la productivité et à réduire les niveaux de stress. Bien que certains puissent penser qu'ils ne sont pas naturellement organisés, il est possible de développer ces compétences et de commencer à ressentir les avantages d'une méthode de travail plus ordonnée et plus efficace. Mettre en œuvre des moyens pratiques pour devenir plus organisé est plus simple qu'il n'y paraît.
Il est plus facile de réaliser plus de choses et d'accomplir plus de tâches lorsque l'on sait où se trouvent les choses et que l'on peut décider quelles sont les tâches prioritaires, comme peut en témoigner Emile Salame.
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Suivi des tâches et mesure des progrès
Les listes sont essentielles pour ne pas perdre de vue les tâches importantes ; l'utilisation d'une liste pour suivre les objectifs quotidiens, hebdomadaires et mensuels permet de déterminer ce sur quoi il faut se concentrer et à quel moment. De même, un planificateur ou un calendrier est essentiel pour s'assurer qu'aucun engagement n'entre en conflit avec un autre. Il existe des logiciels qui peuvent être utiles pour définir des projets à long terme. Il convient également de noter que l'automatisation des processus peut contribuer à accroître l'efficacité, en attribuant les tâches aux bonnes personnes et en réduisant le risque de manquer des échéances.
Il est important de penser à long terme, mais les objectifs plus importants doivent également être divisés en petites étapes. Cela favorise le sentiment d'accomplissement en permettant aux collègues d'observer des progrès mesurables. Si l'on néglige de le faire, les gens risquent d'être dépassés par les événements.
Le PDF ci-joint examine de plus près les avantages de se fixer de petits objectifs.
Le suivi des tâches individuelles et des projets à long terme doit également être effectué dans un seul programme, accessible à toutes les personnes concernées. Lorsque les membres de l'équipe sont en mesure de mettre à jour et de partager leurs progrès, leurs collègues savent exactement quand il leur incombe de faire avancer le projet.
Désencombrement et définition des priorités
S'il est important d'utiliser des logiciels et des calendriers pour garder le cap sur les tâches quotidiennes et les objectifs à long terme, l'espace physique doit également être pris en compte. S'efforcer de ne garder en vue que les éléments les plus importants permet de conserver un espace de travail plus organisé et plus clair. Les objets rarement utilisés doivent être placés dans un endroit plus judicieux, tandis que le matériel obsolète ne fait qu'occuper de l'espace et doit être jeté.
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Nous sommes dans un monde où la culture de la performance est à haute dose. On nous pousse continuellement à faire beaucoup de choses, et plus de choses, à multiplier les activités, au point où on peut finir par se perdre. Dieu n’encourage évidemment pas la paresse ou la médiocrité, par contre Il ne veut pas qu’on passe notre vie à courir après la performance. Son but n’est pas de nous submerger par un maximum d’activités. Nous devons plutôt apprendre d’abord à discerner ce qu’Il attend de nous et nous y atteler tout simplement.
Quelle est ta mission de vie ou ton appel ? Dans quels domaines précis Dieu t’appelle ? Qu’est-ce que Dieu attend de toi en cette saison ? Quelles sont les priorités en cette année précisément ? Quels sont tes objectifs pour ce mois-ci ? Apprends à définir un cadre dans lequel tu sais que tu dois évoluer, sans bien sûr oublier de demeurer flexible à la direction de Dieu. Ta valeur n’est pas dans le nombre d’activité que tu fais, et Dieu ne considère ta fidélité que par rapport à ce qu’Il t’a demandé de faire. Si tu multiplies toi-même les activités, si tu ne sais pas dire non aux sollicitations des autres et tu t’engages dans tout et rien, tu risques même d’être infidèle devant Dieu !
La recherche de la performance sans discernement peut représenter une grande distraction qui t’empêche de t’investir dans le domaine précis de ton appel, tout en pensant malheureusement que tu fais ce qu’il faut et en t’épuisant inutilement. Dieu a préparé pour toi de bonnes œuvres, de bonnes actions à accomplir, et c’est là qu’Il t’attend. N’essaie pas de jouer au super héros en voulant tout faire pour être acclamé(e).
La performance n’est pas le but, apprends d’abord à aimer Dieu. Ensuite demande Lui de te communiquer Sa vision pour ta vie.
Pasteur Dédé KANTI
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Pour optimiser votre expérience de location de voiture, il est essentiel d'examiner en détail plusieurs aspects qui vous permettront de faire le bon choix et d’éviter les pièges courants. Le développement approfondi des différents points ci-dessous vous permettra de mieux comprendre les stratégies à adopter pour une location réussie, tout en minimisant les coûts et les imprévus.
1. Définir vos besoins avant de louer : choisir la voiture idéale
Le choix de la voiture dépend de plusieurs facteurs : le type de trajet, le nombre de passagers, la distance à parcourir, et les conditions de conduite. Une réflexion détaillée sur ces aspects vous aidera à choisir le véhicule le mieux adapté.
a. Trajet urbain ou rural
Les caractéristiques de votre itinéraire influenceront le type de véhicule à louer.
Voyage en ville : Optez pour des véhicules de petite taille, comme les citadines, qui sont plus maniables dans les rues étroites et faciles à garer. Les citadines sont aussi économiques en carburant, ce qui réduit les frais d'essence, surtout si vous prévoyez de faire beaucoup de petits trajets dans une ville comme Lausanne ou Genève. Des modèles comme la Fiat 500, la Smart ForTwo ou la Peugeot 208 sont souvent recommandés pour les déplacements urbains.
Voyage en région rurale ou montagneuse : Si votre trajet inclut des routes rurales ou montagneuses, un véhicule avec une bonne traction et une suspension solide sera indispensable. Dans ce cas, privilégiez un 4x4 ou un SUV équipé de pneus adaptés aux conditions climatiques, surtout si vous voyagez en hiver ou dans des zones avec des routes moins entretenues. Les modèles comme la Subaru Forester ou la Jeep Renegade sont parfaits pour ce type de trajets.
b. Capacité de chargement et confort des passagers
Si vous voyagez en groupe ou avec beaucoup de bagages, le confort et l’espace doivent être une priorité.
Famille nombreuse ou groupe : Pour un voyage en famille ou avec des amis, un monospace ou un SUV avec 5 à 7 sièges est souvent nécessaire. Un véhicule comme le Renault Espace ou le Skoda Kodiaq offre assez d’espace pour les passagers et les bagages, tout en conservant un bon niveau de confort.
Voyage seul ou à deux : Si vous voyagez seul ou à deux, un véhicule plus petit mais confortable comme une berline (par exemple une Audi A4 ou une Volkswagen Passat) pourrait suffire. Ces véhicules offrent un bon compromis entre confort, espace pour les bagages et consommation de carburant.
c. Consommation de carburant et autonomie
Le coût du carburant peut rapidement s'accumuler, surtout si vous prévoyez de parcourir de longues distances. Il est donc crucial de choisir un véhicule adapté à vos besoins en matière de consommation.
Voitures électriques ou hybrides : Si vous vous déplacez principalement en ville et que vous avez accès à des stations de recharge, envisager la location d’une voiture électrique comme une Tesla Model 3 ou une Renault Zoe peut être une option économique et écologique. Les véhicules hybrides comme la Toyota Prius offrent également un bon équilibre entre autonomie et consommation pour les trajets combinés ville/autoroute.
Véhicules essence ou diesel : Pour les longs trajets autoroutiers, les véhicules diesel peuvent être plus économiques que les modèles essence. Toutefois, si vous ne parcourez pas beaucoup de kilomètres, les véhicules essence sont souvent plus abordables à la location.
2. Comparer les offres des agences de location : maximiser votre budget
Il est essentiel de comparer les différentes agences de location pour trouver l’offre la plus avantageuse. Mais le prix de la location ne doit pas être le seul critère à prendre en compte.
a. Prix et options incluses
Les prix affichés peuvent sembler attractifs à première vue, mais il est important de vérifier ce qui est réellement inclus dans l'offre.
Prix de base vs coûts supplémentaires : Beaucoup d’agences affichent un tarif de base très compétitif, mais ajoutent des frais supplémentaires pour des services essentiels tels que le kilométrage illimité, les sièges bébé, ou l'assurance. Lorsque vous comparez les prix, faites attention aux conditions spécifiques de chaque offre. Par exemple, une agence pourrait offrir un prix de base inférieur mais facturer chaque kilomètre supplémentaire, tandis qu'une autre inclurait un kilométrage illimité pour un coût légèrement plus élevé mais plus avantageux à long terme.
Frais d'ajout de conducteur : Si plusieurs personnes conduiront le véhicule, certaines agences ajoutent des frais pour les conducteurs supplémentaires. Ces frais peuvent varier considérablement entre les agences, donc vérifiez ce point avant de réserver. Si vous voyagez en famille ou en groupe, certaines agences incluent le deuxième conducteur gratuitement, une option à rechercher pour faire des économies.
b. Programmes de fidélité et abonnements
Certaines agences de location de voitures proposent des programmes de fidélité ou des offres spéciales qui peuvent réduire considérablement vos frais.
Programmes de fidélité : Si vous louez régulièrement des voitures, rejoindre un programme de fidélité peut être très avantageux. Des agences comme Hertz Gold ou Avis Preferred offrent des réductions spéciales aux membres, des surclassements gratuits, ou encore la possibilité de gagner des journées de location gratuite après un certain nombre de locations.
Abonnements de location à long terme : Pour ceux qui ont besoin d’une voiture pendant plusieurs mois, certaines agences proposent des abonnements mensuels ou des formules de location longue durée. Ces formules sont souvent plus économiques qu'une location standard prolongée et peuvent inclure des services supplémentaires comme l'entretien régulier du véhicule ou une assurance à tarif réduit.
3. Lire attentivement les termes du contrat : éviter les mauvaises surprises
Avant de signer un contrat de location, prenez le temps de lire toutes les clauses, surtout celles qui concernent l’assurance, le carburant, et les frais de restitution.
a. Franchise d’assurance et couverture
La franchise est la somme que vous devrez payer de votre poche en cas de dommages au véhicule, même si l'assurance est incluse dans le contrat.
Réduction ou suppression de la franchise : Certaines agences offrent des options pour réduire ou supprimer complètement la franchise en cas d’accident ou de vol. Cela peut sembler être un coût supplémentaire, mais si la franchise initiale est élevée (plusieurs milliers de francs), cela pourrait s’avérer être un bon investissement pour vous protéger financièrement en cas de problème.
Assurance complémentaire via des tiers : Si vous trouvez les options d’assurance proposées par l’agence de location trop coûteuses, vous pouvez souscrire une assurance complémentaire auprès d'un tiers. Des entreprises spécialisées comme Allianz ou AXA offrent des assurances de location qui couvrent les franchises à des tarifs souvent inférieurs à ceux proposés par les agences de location.
b. Politique de carburant
Les politiques de carburant varient d'une agence à l'autre. Il est important de choisir celle qui vous offre la meilleure flexibilité.
Option plein à plein : C’est l’option la plus avantageuse car elle vous permet de payer le carburant au prix du marché en faisant le plein vous-même. Si vous choisissez cette option, assurez-vous de bien faire le plein avant de rendre la voiture, car les agences facturent généralement le carburant à un tarif bien plus élevé si vous ne le faites pas.
Option plein à vide : Bien que cette option puisse sembler plus pratique, elle est souvent plus coûteuse car il est rare que vous rendiez la voiture avec le réservoir complètement vide. Vous paierez donc pour du carburant que vous n'aurez pas consommé.
4. Inspection du véhicule : être méticuleux avant de prendre la route
Une inspection minutieuse avant de quitter l'agence de location est cruciale pour éviter tout litige lors de la restitution de la voiture.
a. Inspection extérieure et intérieure
Prenez le temps de bien vérifier la voiture à la fois à l’extérieur et à l’intérieur.
Dommages existants : Notez toutes les rayures, bosses ou dommages visibles sur le véhicule et signalez-les à l’agence avant de partir. Utilisez votre téléphone pour prendre des photos et/ou vidéos de l’état de la voiture sous différents angles. Ces preuves seront essentielles si l’agence vous reproche des dommages que vous n’avez pas causés lors de la restitution.
État des pneus et niveaux : Vérifiez que les pneus sont bien gonflés et en bon état. Assurez-vous également que les niveaux d’huile, de liquide de refroidissement et de lave-glace sont adéquats, surtout si vous prévoyez un long trajet. Cela vous évitera des ennuis mécaniques durant votre location.
b. Vérifier les équipements
Testez tous les équipements essentiels avant de prendre la route.
GPS et systèmes de navigation : Si la voiture est équipée d’un GPS, vérifiez qu’il fonctionne correctement et qu’il est à jour. Si vous avez loué un GPS portable, assurez-vous qu’il est inclus dans la voiture et en bon état de marche.
Climatisation, essuie-glaces et éclairage : Testez la climatisation, les essuie-glaces, les phares, et les clignotants pour vous assurer qu’ils fonctionnent. En cas de problème, signalez-le immédiatement à l'agence.
5. Restitution du véhicule : éviter les frais imprévus
La restitution de la voiture est une étape où des frais imprévus peuvent apparaître si certaines règles ne sont pas respectées.
a. Heure de retour
Respectez scrupuleusement l'heure de retour indiquée dans le contrat.
Retard dans la restitution : Les agences de location appliquent souvent des frais pour tout retard, même s’il s’agit de quelques heures. Si vous savez à l'avance que vous serez en retard, il est préférable de contacter l’agence pour prolonger la location. Certaines agences offrent une tolérance d’une heure, mais d'autres facturent une journée entière si vous êtes en retard.
b. Restitution avec inspection finale
Avant de rendre la voiture, effectuez une dernière inspection visuelle et préparez la voiture pour la restitution.
Nettoyage du véhicule : Bien que les agences se chargent du nettoyage de base, elles peuvent appliquer des frais de nettoyage si la voiture est rendue en très mauvais état (par exemple, avec beaucoup de saleté, des déchets ou des taches). Si nécessaire, faites un nettoyage rapide de l’intérieur avant de rendre la voiture pour éviter ces frais.
Preuve de restitution avec le plein : Si vous avez choisi l’option plein à plein, gardez le reçu de la station-service où vous avez fait le plein avant de rendre la voiture. Cela vous permettra de prouver que vous avez respecté les termes du contrat si l’agence vous réclame des frais de carburant.
Conclusion
En développant ces aspects essentiels, il est évident qu'une location de voiture réussie demande une planification minutieuse, une compréhension des termes du contrat, et une attention particulière aux détails à chaque étape. En anticipant les frais cachés, en choisissant un véhicule adapté à vos besoins et en respectant les conditions de location, vous pouvez profiter pleinement de votre expérience de location de voiture tout en évitant les mauvaises surprises. Que vous voyagiez pour affaires, pour le plaisir ou pour des besoins ponctuels, ces conseils vous guideront pour faire de votre location un processus fluide, économique et sans stress.
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Retrouver du Temps pour Soi : Je suis Interviewée par Magdalena !
✨ Découvrez mon interview exclusive avec Magdalena ��️ ! Je partage mes secrets d’organisation pour simplifier ma vie et retrouver du temps au quotidien ! 🚀 #Organisation #Maman
J’ai eu le plaisir d’être interviewée par Magdalena, du blog Archi Mini Orga, pour parler d’organisation et de minimalisme ! Regardez la première partie de cette interview, placée sous le thème suivant : “Retrouver du Temps pour Soi” ! Cliquez ci-dessous pour la découvrir ! Comment retrouver du TEMPS pour SOI ⏰️ – Interview d’experts 🎙️ (youtube.com) Retranscription Ana : Merci beaucoup de…
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Voici un guide encore plus détaillé sur le choix d'une voiture en location en prenant en compte le style de conduite, toujours au nom de Donilocation.ch. Le style de conduite peut avoir un impact direct sur le confort, la sécurité et le plaisir de conduite. Que vous soyez un conducteur prudent, adepte de longues routes ou plutôt citadin, le choix du véhicule doit correspondre à vos habitudes de conduite. Voyons cela plus en détail.
1. Définir son style de conduite
Le choix d’un véhicule de location dépend en grande partie de la manière dont vous aimez conduire. Voici les principaux styles de conduite et les véhicules qui y correspondent :
Conduite urbaine et dynamique : Si vous êtes habitué à la conduite en ville, avec de fréquents arrêts aux feux rouges et dans la circulation, votre véhicule devra être maniable et compact. Vous apprécierez un véhicule avec une bonne réactivité et des fonctionnalités comme l’assistance au stationnement.
Conduite sur route ou autoroute : Pour les conducteurs qui passent beaucoup de temps sur les autoroutes ou les grandes routes, un véhicule confortable avec une bonne stabilité et des fonctionnalités de sécurité est essentiel.
Conduite sur terrain varié ou accidenté : Si vous devez vous aventurer sur des routes de montagne, dans des régions rurales ou sur des chemins non asphaltés, un véhicule avec une bonne traction comme un 4x4 ou un SUV est indispensable.
Conduite écologique : Si vous privilégiez une conduite écologique et responsable, il existe des options hybrides ou électriques qui allient confort, respect de l’environnement et économie de carburant.
2. Conduite en ville : fluidité et maniabilité
Pour ceux qui conduisent principalement en ville, la maniabilité et la compacité sont des critères essentiels. Une voiture facile à garer, agile dans les rues étroites et économique en carburant sera votre meilleure alliée.
Petite taille et agilité : Les citadines comme la Fiat 500, la Peugeot 208, ou la Toyota Aygo sont parfaites pour se faufiler dans le trafic urbain et se garer dans des espaces restreints. Elles sont également économiques en termes de consommation de carburant, ce qui est un avantage pour les trajets courts et fréquents.
Technologie pour le confort en ville : Si vous conduisez souvent en ville, privilégiez une voiture avec des technologies embarquées comme la caméra de recul ou le système de stationnement assisté. Ces options facilitent grandement les manœuvres dans les rues animées et les parkings bondés.
Boîte de vitesses automatique : La conduite urbaine implique souvent des arrêts et redémarrages fréquents. Une voiture avec une boîte automatique, comme la Renault Clio Automatique, peut rendre la conduite plus fluide et moins fatigante, surtout dans les embouteillages.
Consommation : La consommation est un élément crucial pour les trajets urbains, où l’on passe beaucoup de temps à l’arrêt. Les petites citadines à essence ou hybrides comme la Toyota Yaris Hybride consomment généralement moins et permettent de réduire vos coûts.
3. Conduite sur autoroute : stabilité et confort
Si vous devez parcourir de longues distances sur autoroute, votre priorité sera le confort et la stabilité. Un véhicule avec un bon maintien de route, une bonne insonorisation et des options de sécurité sera indispensable.
Confort de conduite sur longues distances : Les berlines comme la BMW Série 3, l’Audi A4 ou la Mercedes Classe C offrent un confort inégalé pour les trajets sur autoroute. Elles sont équipées de sièges ergonomiques, d’une insonorisation de qualité et de nombreuses options technologiques pour rendre la conduite plus agréable.
Puissance et performances : Si vous êtes habitué à conduire à des vitesses élevées sur autoroute, un véhicule avec une bonne puissance moteur sera un atout. Les modèles comme la Volkswagen Passat ou la Skoda Superb allient puissance et contrôle, ce qui est particulièrement utile pour les dépassements ou les montées.
Régulateur de vitesse : Un régulateur de vitesse adaptatif est une fonctionnalité clé pour les longs trajets sur autoroute. Il permet de maintenir une vitesse constante tout en ajustant automatiquement votre vitesse en fonction des véhicules devant vous. Cela réduit la fatigue du conducteur et rend la conduite plus sécurisée.
Économie de carburant : Pour des trajets de longue distance, privilégiez un véhicule diesel ou hybride pour une meilleure efficacité énergétique. Les véhicules comme la Peugeot 508 Hybrid ou la Toyota Prius sont conçus pour réduire la consommation de carburant tout en offrant une bonne performance.
4. Conduite tout-terrain ou sur routes sinueuses : traction et sécurité
Si vous conduisez sur des routes variées ou accidentées, comme des chemins de montagne ou des terrains non asphaltés, un véhicule avec une bonne traction et une garde au sol élevée sera essentiel.
Véhicules tout-terrain : Les SUV et les 4x4 comme le Land Rover Discovery, le Toyota Land Cruiser ou le Subaru Forester sont des options parfaites pour ce type de conduite. Ces véhicules sont dotés de systèmes de traction intégrale, qui offrent une meilleure adhérence et une stabilité accrue sur les surfaces glissantes ou irrégulières.
Suspension renforcée : Sur des terrains accidentés ou des routes en mauvais état, la suspension joue un rôle crucial. Les SUV modernes sont équipés de suspensions renforcées qui permettent d’amortir les chocs et d’offrir un confort de conduite optimal, même sur des routes dégradées.
Sécurité : Lorsque vous conduisez sur des routes sinueuses ou difficiles, la sécurité est primordiale. Privilégiez un véhicule équipé d’aides à la conduite comme l’aide à la descente ou l’alerte de franchissement de ligne. Des modèles comme le Volkswagen Tiguan ou le Jeep Cherokee disposent souvent de ces fonctionnalités.
5. Conduite écologique : économies et responsabilité
Si vous êtes soucieux de l’environnement ou que vous cherchez à réduire votre empreinte carbone, vous pouvez opter pour une voiture électrique ou hybride. Ces véhicules permettent une conduite fluide tout en respectant les normes écologiques actuelles.
Véhicules électriques et hybrides : Si vous faites beaucoup de trajets en ville ou sur des distances courtes, une voiture électrique comme la Tesla Model 3 ou la Nissan Leaf est un excellent choix. Elle vous permet de réduire considérablement vos émissions de CO2 et d'économiser sur le carburant.
Autonomie et recharge : Si vous choisissez une voiture électrique, assurez-vous que l’autonomie du véhicule correspond à vos besoins. Pour de longs trajets, préférez une hybride comme la Toyota Prius Hybride qui bascule automatiquement entre électricité et essence pour optimiser la consommation.
Aides fiscales et écologiques : En Suisse, certains cantons offrent des aides ou des réductions fiscales pour l’utilisation de véhicules électriques ou hybrides. Renseignez-vous auprès de Donilocation pour savoir si des offres spéciales sont disponibles pour la location de ces véhicules.
6. Adapter le choix du véhicule à votre style de conduite
En fonction de votre style de conduite, vous devrez choisir un véhicule qui correspond non seulement à vos habitudes, mais aussi à vos attentes en matière de performance, de confort et de sécurité.
Conducteurs prudents et calmes : Si vous adoptez une conduite plutôt prudente et calme, privilégiez des véhicules qui offrent une bonne stabilité, une bonne visibilité et des systèmes d'aide à la conduite. Des modèles comme la Skoda Octavia ou la Volvo XC40 offrent une conduite fluide, tout en mettant l'accent sur la sécurité et le confort.
Conducteurs dynamiques et sportifs : Si vous aimez les voitures avec une bonne accélération, un comportement dynamique et une conduite plus sportive, une voiture de location plus puissante comme une Audi A5 ou une BMW Série 4 serait idéale. Ces modèles offrent des performances élevées tout en maintenant un contrôle précis du véhicule.
7. Technologies pour améliorer l’expérience de conduite
Peu importe votre style de conduite, certaines technologies peuvent améliorer votre expérience sur la route et vous offrir une conduite plus agréable et plus sécurisée.
Systèmes d’assistance à la conduite : Aujourd’hui, de nombreux véhicules de location sont équipés de systèmes d’assistance à la conduite comme le freinage d’urgence, l’assistance au maintien de la voie ou encore la reconnaissance des panneaux de signalisation. Ces fonctionnalités sont particulièrement utiles pour les conducteurs qui ne sont pas familiers avec la région ou qui veulent minimiser les risques d'accident.
Confort et divertissement : Si vous partez pour un long voyage, un bon système de divertissement et des sièges confortables peuvent rendre la conduite plus agréable. Des modèles comme la Tesla Model S ou la Mercedes Classe E offrent des systèmes de son premium, des sièges massants et des écrans tactiles de qualité.
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Rénovation complète d’une cuisine
Avant de se lancer dans la rénovation complète d’une cuisine, il est essentiel de bien planifier les étapes et d’avoir une idée claire des coûts, du design, des matériaux, et des contraintes logistiques. Une rénovation réussie demande une préparation minutieuse pour éviter des dépenses imprévues ou des retards importants. Voici les points les plus importants à prendre en compte avant de commencer un tel projet.
1. Établir un budget réaliste
La première étape avant de rénover une cuisine consiste à établir un budget réaliste. Ce budget doit inclure tous les aspects de la rénovation : les matériaux, la main-d’œuvre, les frais imprévus, les appareils électroménagers et les accessoires. Il est crucial de prévoir une marge d’erreur d’environ 10 à 20 % pour faire face aux imprévus. Il est courant que des problèmes cachés, tels que des problèmes électriques ou de plomberie, soient découverts lors des travaux, ce qui peut augmenter les coûts.
Conseil : Faites plusieurs devis avec des entrepreneurs ou artisans afin de comparer les prix et d’avoir une idée précise du montant nécessaire.
2. Définir clairement ses besoins et priorités
Avant de commencer les travaux, il est essentiel de définir ses besoins en fonction de son mode de vie. Par exemple, une grande famille aura besoin de beaucoup d’espace de rangement, tandis qu’un cuisinier passionné pourrait vouloir investir dans des appareils haut de gamme. Posez-vous les bonnes questions : Avez-vous besoin de plus de plan de travail ? Souhaitez-vous un espace de repas intégré ? Quelle est l’importance de la circulation dans la pièce ?
Conseil : Faites une liste des éléments indispensables et des éléments souhaités. Cela vous permettra de faire des compromis si nécessaire tout en gardant vos priorités intactes.
3. Choisir un style et un design adaptés à son espace
Le choix du design est crucial, car il affecte non seulement l’esthétique de la cuisine mais aussi sa fonctionnalité. Il existe plusieurs styles : moderne, traditionnel, industriel, scandinave, etc. Le design de la cuisine doit aussi s’harmoniser avec le reste de la maison.
Il est aussi important de tenir compte de la disposition de la cuisine. Il existe principalement trois configurations : la cuisine en ligne, la cuisine en L, et la cuisine en U. Chaque configuration a ses avantages et ses inconvénients en fonction de la taille de la pièce et des besoins.
Conseil : Utilisez des logiciels de conception 3D ou faites appel à un designer d’intérieur pour visualiser l’agencement de votre future cuisine.
4. Sélectionner des matériaux de qualité et durables
Les matériaux que vous choisirez pour les plans de travail, les armoires, les sols, et les murs doivent non seulement être esthétiques, mais aussi durables. La cuisine est une zone à fort trafic et très sollicitée, il est donc important de choisir des matériaux résistants à la chaleur, aux éclaboussures, et aux chocs.
• Plans de travail : Les matériaux populaires incluent le quartz, le granit, le marbre, et le stratifié. Chaque matériau a ses avantages : le quartz est résistant et facile d’entretien, tandis que le marbre offre un aspect luxueux mais nécessite plus de soin. • Armoires : Le bois massif est un choix durable, mais coûteux. Les armoires en MDF ou en contreplaqué sont plus abordables, mais moins résistantes sur le long terme. • Revêtements de sol : Le carrelage est un classique pour les cuisines en raison de sa durabilité et de sa facilité de nettoyage. Le bois peut aussi être utilisé, mais il nécessite plus d’entretien.
Conseil : Misez sur la qualité, surtout pour les éléments les plus sollicités, comme les plans de travail et les armoires.
5. Penser à l’ergonomie et à l’aménagement fonctionnel
Une cuisine doit avant tout être fonctionnelle. L’ergonomie de l’espace est donc essentielle pour rendre l’utilisation quotidienne agréable. Il est recommandé de respecter le “triangle d’activité” en cuisine, c’est-à-dire l’agencement des trois zones principales : l’évier, la plaque de cuisson, et le réfrigérateur. Ce triangle doit permettre une circulation fluide pour limiter les déplacements inutiles.
• Hauteur des plans de travail : Ceux-ci doivent être adaptés à la taille des utilisateurs pour éviter des douleurs au dos. • Espaces de rangement : Assurez-vous d’avoir assez de rangement à portée de main. Les tiroirs coulissants ou les placards à systèmes rotatifs permettent d’optimiser l’espace. • Éclairage : Un bon éclairage est essentiel dans une cuisine. Prévoyez des luminaires au-dessus des plans de travail, ainsi qu’un éclairage d’ambiance pour un confort visuel optimal.
Conseil : Réfléchissez aux mouvements que vous effectuez le plus souvent en cuisine et optimisez l’aménagement en fonction de cela.
6. Prendre en compte les aspects techniques : électricité et plomberie
La rénovation d’une cuisine implique souvent des modifications du système électrique et de la plomberie, surtout si vous changez l’emplacement des appareils. Assurez-vous de prévoir ces coûts et de faire appel à des professionnels qualifiés pour réaliser ces travaux en conformité avec les normes de sécurité.
• Électricité : Vérifiez que vous avez suffisamment de prises pour tous vos appareils et que le tableau électrique supporte la charge. Les cuisines modernes nécessitent souvent plus de prises qu’auparavant (four, micro-ondes, lave-vaisselle, etc.). • Plomberie : Si vous déplacez l’évier ou installez un lave-vaisselle, il faudra adapter la plomberie. Veillez aussi à vérifier l’état des tuyaux pour éviter des fuites à long terme.
Conseil : Ne négligez pas ces aspects techniques. Des erreurs dans ces domaines peuvent engendrer des problèmes coûteux à l’avenir.
7. Choisir des appareils électroménagers éco-énergétiques
Les appareils électroménagers sont un investissement majeur dans une cuisine. Ils consomment une grande partie de l’énergie utilisée dans une maison, il est donc judicieux d’investir dans des modèles éco-énergétiques. De plus en plus d’appareils sont aujourd’hui classés A+++ (ou équivalent), garantissant une consommation réduite d’électricité et d’eau.
Conseil : Comparez les étiquettes énergétiques et optez pour des appareils qui vous feront économiser sur le long terme.
8. Gérer les contraintes de temps et la logistique
Une rénovation complète de cuisine prend du temps. Il est essentiel de planifier en conséquence et de prévoir une cuisine temporaire si les travaux doivent durer plusieurs semaines. En fonction de la complexité du projet, une rénovation de cuisine peut prendre de quatre à six semaines, voire plus.
• Démolition : Si vous devez abattre des cloisons ou retirer des meubles encastrés, cette étape peut être bruyante et poussiéreuse. Assurez-vous de protéger le reste de votre maison. • Livraisons : Les matériaux et appareils doivent être commandés à l’avance pour éviter des retards dans les travaux.
Conseil : Élaborez un calendrier avec votre entrepreneur pour suivre les étapes du projet et éviter des retards.
9. Connaître les réglementations locales et obtenir les autorisations nécessaires
Certaines rénovations, notamment celles impliquant des modifications structurelles ou des changements dans la plomberie ou l’électricité, peuvent nécessiter des permis ou autorisations de la part de la municipalité. Informez-vous sur les règles locales avant de commencer.
Conseil : Vérifiez auprès de votre mairie ou des autorités locales quelles autorisations sont nécessaires pour éviter des problèmes juridiques à l’avenir.
10. S’entourer de professionnels qualifiés
Bien que certains travaux puissent être effectués soi-même, il est conseillé de faire appel à des professionnels pour certaines étapes clés, comme la plomberie, l’électricité, et la pose de carrelage. Cela garantit non seulement un travail de qualité, mais vous protège aussi en cas de problème.
Conseil : Vérifiez les certifications et l’expérience des artisans que vous engagez pour vous assurer qu’ils sont qualifiés pour le travail.
Conclusion
La rénovation complète d’une cuisine est un projet ambitieux qui demande une planification rigoureuse et un budget bien pensé. En tenant compte des besoins, du design, des matériaux, et des aspects techniques, vous pourrez créer un espace fonctionnel et esthétique. En vous entourant de professionnels compétents et en restant réaliste sur les coûts et les délais, vous maximiserez vos chances de succès et vous profiterez d’une cuisine qui répond à toutes vos attentes.
BTP-Design's insight:
Avant de se lancer dans la rénovation complète d’une cuisine, il est essentiel de bien planifier les étapes et d’avoir une idée claire des coûts, du design, des matériaux, et des contraintes logistiques. Une rénovation réussie demande une préparation minutieuse pour éviter des dépenses imprévues ou des retards importants.
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de l'accessibilité du métro parisien
(mon intervention à l'occasion de la présentation d'une motion sur le "métro pour tous")
Nous soutenons sans réserve l’ambition d’un métro plus accessible.
Dans cette motion, vous nous faites un satisfecit sur la mise en accessibilité du réseau de transports IDF, alors que pour le métro parisien, ça n’a pas progressé d’un poil depuis que vous êtes à la tête de la région. Cet été, le monde est venu à Paris, et y a malheureusement constaté notre retard en la matière. Car c’est bien un revirement de votre politique. Exemple flagrant : la rénovation de la Gare d’Austerlitz financée par la région, ne prévoit pas la mise en accessibilité du métro ou du RER. Les amendements écologistes ont tous été rejetés. Autre exemple : le budget Accessibilité de notre Région n’était consommé qu’à moitié à la fin 2023 : 25 M€ affectés à la fin de l’année alors que 50 M€ étaient prévus.
Idem pour la planification. Ni le CPER, ni le SDRIF-E, ni le plan des mobilités n’envisage un tel plan de mise en accessibilité du métro parisien, que ce soit en termes financiers, de calendrier, de stratégie, de méthode ou d’approche technique.
Nous saluons donc l’initiative prise, mais regrettons toutefois son caractère tardif, alors que l’échéance des Jeux Paralympiques aurait dû être un catalyseur d’action publique.
Je vous demande également de ne pas promettre l’impossible. L’accessibilité du métro ce n’est pas qu’une question de priorité budgétaire et de bonne volonté politique : beaucoup de stations ne peuvent pas techniquement être accessibles pour diverses raisons matérielles : présence d'égouts, terrains instables, enchevêtrement de tunnels, manque de place sur la voirie pour la sortie, etc. On estime que cela concerne près de 50% des stations !
L'honnêteté en politique ce n’est pas promettre l’impossible. Il faut une accessibilité partielle et graduée en priorisant les principales correspondances, de manière à assurer un réseau suffisamment maillé pour couvrir le territoire.
Nous souhaitons aussi que soit étudiée sérieusement la possibilité de passer à un modèle “sans portillons” à l’instar de Berlin, Hambourg ou Copenhague
Nous rappelons également que l'accessibilité concerne aussi la voirie, les bus et tramway. Il est aussi important de réduire la circulation automobile et de poursuivre la mise en place des voies réservées sur les autoroutes pour que les PMR qui ont réellement besoin de leur voiture pour se déplacer soient prioritaires.
Vous avez fait de ce sujet une polémique avec la Mairie de Paris, notamment sur le financement. Nous déplorons vraiment les récupérations et ce débat politicien, là où on devrait au contraire chercher le consensus. Le CPER constitue le meilleur moyen de définir le qui paye quoi. Force est de constater que le CPER signé aujourd’hui devra être revu pour trouver le meilleur financement et faire de cette accessibilité plus qu’un vœu pieux.
Traduction :
CPER = Contrat de Plan Etat Région, qui définit tous les investissements à cofinancer pour une période de 4 ans environ
SDRIF-E = Schéma Directeur de la Région Ile de France et Environnemental, schéma d'aménagement du territoire, au dessus de tous les documents d'urbanisme.
PMR = Personne à Mobilité Réduite, c'est à dire les personnes en fauteuil roulant, ou avec béquilles, ou avec poussette, ou avec valises etc.
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Comment réussir son déménagement en Belgique ?
S'installer en Belgique est une aventure excitante, que ce soit pour des raisons professionnelles, personnelles ou pour les études. Ce pays, au cœur de l'Europe, offre une grande qualité de vie, des villes dynamiques comme Bruxelles, Anvers ou Gand, et une diversité culturelle impressionnante. Mais avant de profiter pleinement de ce nouveau chapitre, il est important de bien préparer son déménagement. Voici quelques conseils pour réussir votre installation en Belgique.
1. Préparez vos documents administratifs
La première étape avant de déménager en Belgique est de vous assurer que vous avez tous les documents nécessaires. Si vous êtes citoyen de l'Union Européenne, vous n'avez pas besoin de visa, mais il vous faudra une carte de résident une fois sur place. Assurez-vous d'avoir :
Votre passeport ou carte d'identité valide,
Les documents liés à votre contrat de travail ou inscription universitaire,
Un justificatif de domicile (location ou achat).
Dès votre arrivée, il est important de vous enregistrer à la commune de votre lieu de résidence. Cela permet d'obtenir votre carte de séjour et de vous enregistrer officiellement en tant que résident.
2. Trouver un logement
La recherche de logement en Belgique peut varier selon les villes. Bruxelles, par exemple, offre une grande variété d'options, allant des appartements en centre-ville aux maisons plus spacieuses en banlieue. Pensez à définir vos priorités : proximité avec votre lieu de travail ou d'études, transports en commun, quartier calme ou dynamique. Des sites web comme Immoweb ou Zimmo peuvent vous aider à explorer le marché immobilier belge.
3. Organisez votre déménagement
La logistique du déménagement est cruciale. Si vous venez de loin, il peut être judicieux de faire appel à une entreprise de déménagement internationale, habituée aux procédures douanières et au transport longue distance. N'oubliez pas de planifier à l'avance les démarches d'assurance pour vos biens, et de vérifier les réglementations belges concernant l'importation de vos affaires personnelles.
4. Connaître les particularités culturelles
La Belgique est un pays trilingue, avec trois langues officielles : le français, le néerlandais et l'allemand. Bruxelles est principalement francophone, mais dans les régions flamandes, le néerlandais est la langue dominante. S'adapter à cette diversité linguistique est un atout pour une meilleure intégration. De plus, le système de santé belge est réputé pour sa qualité, mais il est essentiel de s'inscrire à une mutuelle dès votre arrivée pour bénéficier des services de soins.
5. La vie quotidienne en Belgique
S'installer en Belgique, c'est aussi découvrir un mode de vie unique. Les Belges sont connus pour leur accueil chaleureux, leur amour pour la gastronomie (frites, gaufres, chocolat et bières artisanales), et leur sens de la communauté. Les infrastructures de transport sont modernes, ce qui rend les déplacements faciles entre les villes, et le pays regorge d'activités culturelles et sociales.
Conclusion
Déménager en Belgique est une expérience enrichissante, mais elle nécessite une préparation minutieuse pour que tout se passe dans les meilleures conditions. En prenant le temps de bien planifier votre installation, vous pourrez vous intégrer facilement et profiter pleinement de tout ce que la Belgique a à offrir. Bienvenue dans votre nouveau chez-vous !
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Paul Pogba n'a aucune envie d'aller en Arabie Saoudite ou aux Etats-Unis. L'international français de 31 ans, Paul Pogba, entrevoit enfin la possibilité d'un retour au plus haut niveau. Libre de tout contrat depuis son départ de la Juventus Turin, il est désormais en mesure de choisir le club qui relancera sa carrière. Les prochains mois s'annoncent décisifs pour ce joueur dont l'ambition reste intacte malgré l'épreuve traversée. Paul Pogba est de retour, mais ni en Arabie Saoudite ni aux Etats-Unis Paul Pogba veut bien joueur, mais pas en Arabie Saoudite, et pas aux États-Unis. Éloigné des terrains depuis septembre 2023 en raison d'un contrôle positif à la testostérone, Paul Pogba a vu sa suspension initiale de quatre ans réduite à dix-huit mois, ce qui lui permet un retour à la compétition dès mars 2024. Cette sanction laisse présager une reprise progressive, avec une première phase d'entraînement autorisée dès janvier. Pour Paul Pogba, ce sera l'opportunité de reprendre un rythme d'entraînement intensif et de préparer le terrain pour son retour. Lire aussi : Qui est Zulay Pogba, celle qui partage le cœur de Paul Pogba ? L’Europe comme terrain de jeu annonce Paul Pogba Malgré les offres de clubs prestigieux d'Arabie Saoudite et des États-Unis, Paul Pogba reste catégorique : il vise un retour dans un des cinq championnats européens majeurs. Ce choix n'est pas anodin. En s'imposant dans une ligue européenne de haut niveau, il souhaite prouver qu'il est toujours l'un des meilleurs à son poste. L'international français, qui compte 91 sélections avec les Bleus, mise sur une compétition exigeante pour retrouver le rythme nécessaire et reconquérir sa place dans le football mondial. L'Équipe de France en ligne de mire La priorité de Paul Pogba n'est pas uniquement de se réintégrer au sein d'un grand club européen ; il aspire aussi à revenir parmi les Bleus, trois ans après sa dernière sélection. Après une absence prolongée, il désire montrer à Didier Deschamps et à la Fédération Française de Football qu'il est prêt à reprendre son rôle en équipe nationale. Avec l'Euro 2024 à l'horizon, Paul Pogba souhaite faire partie des discussions et prouver que son talent et sa compétitivité sont toujours à leur apogée. Paul Pogba veut rétablir sa réputation Cette année d'absence et la suspension pour dopage ont, sans aucun doute, terni l'image de Paul Pogba. Ce retour au jeu constitue pour lui une opportunité de redorer son blason. En janvier, lorsqu’il reprendra les entraînements, les regards seront tournés vers sa condition physique, son attitude et sa capacité à surmonter cet épisode controversé. La volonté de Paul Pogba de se mesurer aux meilleurs d'Europe témoigne de son désir de se rétablir en tant que joueur d'élite, cela renforce sa réputation mise à l'épreuve. Des clubs intéressés pour relancer la carrière de Paul Pogba Malgré les incertitudes, de nombreux clubs européens restent attentifs à la situation de Paul Pogba. En tant que joueur libre, il représente une opportunité intéressante pour plusieurs équipes à la recherche de renforts au milieu de terrain. Paul Pogba, qui a déjà refusé des offres de clubs de la MLS aux États-Unis, souhaite maximiser son potentiel en rejoignant un club compétitif qui lui permettra de retrouver la haute intensité des ligues majeures. La décision concernant son futur club pourrait définir les contours de sa relance et renforcer sa stature de joueur ambitieux. Le choix de Paul Pogba en ce qui concerne sa future équipe est attendu avec impatience par les fans et les observateurs du football. Son retour sur le terrain après une année difficile marquera un tournant, tant pour sa carrière que pour le club qui le recrutera. La quête de Paul Pogba pour un nouveau départ en Europe témoigne de sa détermination à rester un acteur clé dans le football de haut niveau. La saison à venir pourrait bien être celle du renouveau pour ce milieu de terrain talentueux, prêt à prouver qu'il peut encore exceller. Bien qu'il ne soit plus au début de sa carrière, Paul Pogba garde un objectif de compétitivité élevé. Avec l'expérience accumulée au fil des années et des compétitions internationales, il a désormais un profil complet qui peut bénéficier à toute équipe ambitieuse. Ses capacités techniques, alliées à une vision de jeu unique, font de lui un joueur précieux, et il semble déterminé à montrer qu'il a encore beaucoup à offrir. Paul Pogba, oui pour l'Europe, non aux États-Unis et à l'Arabie Saoudite Paul Pogba voit en ce retour en Europe une double opportunité : redorer son image et renforcer sa position pour une possible sélection en Équipe de France. En renouant avec le haut niveau, il espère que ses performances le replaceront dans les discussions pour les prochaines échéances internationales. Un retour dans l’un des cinq grands championnats européens renforcerait non seulement sa compétitivité mais aussi sa notoriété auprès des observateurs et des sélectionneurs, un pari que Paul Pogba semble prêt à relever. Voir également : Avant Pogba, quels sont les joueurs suspendus pour dopage ? Un défi de taille pour un retour en grâce Pour Paul Pogba, l'année 2024 pourrait bien être celle de la renaissance. Alors que son avenir demeure incertain, l'international français aborde cette nouvelle étape avec détermination. Ses choix de carrière dans les mois à venir auront un impact significatif, non seulement pour son parcours personnel mais aussi pour l'image qu'il souhaite laisser dans l'histoire du football. Le monde du sport, quant à lui, attend avec impatience ce nouveau chapitre d’un joueur résolu à retrouver les sommets et à faire taire les doutes qui entourent sa carrière. Read the full article
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