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L'Art de Bien Accueillir Bébé : 5 Conseils pour Célébrer la Vie
Bébé est là, et tout change… mais pour le meilleur 🌸👶 Accueillir un nouveau-né, c’est aussi une aventure pour toute la famille 🌱👨👩👧👦. Comment transformer les défis en moments inoubliables ? 💫 Découvrez mes 5 meilleurs conseils ci-dessous 👇
Accueillir un nouveau-né est un moment intense et transformateur dans une vie. Non seulement vous ouvrez la porte à un être fragile qui a besoin de tout votre amour et de vos soins, mais cet être est aussi une âme qui a choisi de s’incarner dans VOTRE famille précisément, pour partager avec vous un chemin mutuel d’apprentissage et de croissance. Cette vision spirituelle donne une dimension plus…
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😁 Humour du jour 🤣
Attrape-le ! 👶
👋 Bel après-midi
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Cary Grant
Métier : acteur
Né(e) le : 18/01/1904
Date de décès : 29/11/1986
Pays : Royaume-Uni
Signe : Capricorne
Biographie
Cary Grant (Archibald Alexander Leach de son vrai nom) naît le 18 janvier 1904 au Royaume-Uni. Adolescent turbulent, il quitte Bristol pour Broadway afin de tenter sa chance dans le milieu de la comédie musicale. En 1931, il s’envole pour Hollywood et rêve de conquérir le grand écran.
La Paramount l’enrôle sous le nom de Cary Grant, et la carrière du jeune acteur est lancée. Aussi charmant que redoutable, Cary Grant parvient à imposer ses choix de films et à échapper à la tyrannie d’alors des studios. Il devient l’un des acteurs emblématiques de la “screwball comedy” (comédie de boulevard), donnant la réplique à Katharine Hepburn dans L’Impossible monsieur bébé ou à Marilyn Monroe dans Chérie, je me sens rajeunir. Physique et sensible, il est l’un des acteurs phares de son temps. Sa collaboration avec Alfred Hitchock lui fait atteindre la gloire (Mort aux trousses, La Main au collet) : il est le seul acteur que le réalisateur ait déclaré avoir aimé. Il obtiendra un Oscar d’honneur pour sa carrière en 1970.
Ian Fleming s’est inspiré de ce véritable séducteur pour créer le personnage de James Bond. Cary Grant a en effet multiplié les conquêtes et s’est marié cinq fois. Après un premier divorce en 1934, Cary épouse la richissime Barbara Hutton. Il la quitte en 1945 mais demeure très proche de la belle mondaine. Il s’unit ensuite à l’actrice Betsy Drake, qui l’initie aux drogues et à la méditation. Le couple se sépare en 1962 et Cary convole avec la jeune Dyan Cannon, qui l’accuse rapidement de violences conjugales. Le divorce est prononcé en 1968 et Cary épouse Barbara Harris, qu’il ne quittera plus jusqu’à sa mort en 1986.
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Napoléon V: It was wonderful, diving overseas is incomparable with my dives in mainland Francesim Charlotte: It's true, it was very beautiful. Although all this equipment makes me a little uncomfortable
Napoléon V: You're not a mermaid yet, darling Charlotte: Yet? As a child, I imagined I was. Like many little girls Napoléon V: I'm glad you enjoyed diving, I was a bit worried
Charlotte: I don't think I'll dive anywhere other than Bora-Bora, we'll have to come back… Napoléon V: I promise
Charlotte: It would make a great family vacation spot in the summer, don't you think? Napoléon V: I agree, maybe we could buy a property here
Charlotte: Would you? Napoléon V: Yes, of course, I'd love to!
Napoléon V: A beautiful villa on the island, which would remind us of our honeymoon. And we could do lots of activities with the children here Charlotte: I'm thinking the same thing
Charlotte (sighs): I'm aching all over. I hope I didn't hurt the baby Napoléon V: I hadn't thought about it, but it's true that diving can be inadvisable for pregnant women. How are you feeling? Charlotte: I'm tired Napoléon V: Settle in, we'll go back to the villa for a rest
⚜ Le Cabinet Noir | Honeymoon at Bora-Bora, 6 Messidor An 230
Beginning ▬ Previous ▬ Next
Napoléon V and his wife discuss their diving experience in Polynesian waters. Delighted with their stay, the couple are thinking of buying a property on the island. After the dive, Charlotte is very tired and worried about her baby.
⚜ Traduction française
Napoléon V et son épouse discutent de leur expérience de plongée dans les eaux polynésiennes. Ravis de leur séjour, le couple pense acheter une propriété sur l'île. Après la plongée, Charlotte est très fatiguée et inquiète vis-à-vis de son bébé.
Napoléon V : C'était merveilleux, la plongée en outre-mer est incomparable avec mes plongées en Francesim métropolitaine Charlotte : C'est vrai, c'��tait très beau. Bien que tout ce matériel me mette un peu mal à l'aise
Napoléon V : Tu n'es pas encore une sirène, chérie Charlotte : Enfant, je me figurais l'être. Comme beaucoup de petites filles Napoléon V : Je suis content que tu aies apprécié la plongée, j'avais quelques craintes
Charlotte : Je ne pense pas plonger ailleurs qu'à Bora-Bora, il nous faudra revenir Napoléon V : Promis
Charlotte : Ca ferait un superbe lieu de vacances en famille l'été, tu ne crois pas ? Napoléon V : Je suis d'accord, nous pourrions peut-être acheter une propriété ici
Charlotte : Tu le ferais ? Napoléon V : Oui, bien sûr, cette perspective me plaît beaucoup
Napoléon V : Une belle villa sur l'île, qui nous rappellerait la lune de miel. Et nous pourrons faire beaucoup d'activités avec les enfants ici Charlotte : Je pense à la même chose
Charlotte (soupire) : J'ai mal partout. J'espère que je n'ai pas fait de mal au bébé Napoléon V : Je n'y ai pas pensé, c'est vrai que la plongée peut être déconseillée pour les femmes enceintes. Ca va ? Charlotte : Je suis fatiguée surtout Napoléon V : Installe toi, on va rentrer se reposer à la villa
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You're a call to motion / Neva & Ennio
Où? : Dans un bar New Yorkais branché. Quand?: Aux alentours de minuit. Qui?: Neva et Ennio.
Il se rend bien compte qu’il doit avoir l’air particulièrement pathétique, recroquevillé sur le comptoir du bar, en train de se noyer dans un ultime verre de whisky pur qui lui fait passer le stade du gars un peu éméché au gars complètement torché. Ennio relève la tête pour zieuter les alentours. Des filles qui dansent, des gens qui discutent. Personne de plus seul que lui. L’enterrement de vie de jeune fille d’une dénommée Emily (ou un truc comme ça) bat son plein à côte. Il sait qu’elle s’appelle à peu près Emily puisqu’elle est venue le draguer deux heures plus tôt quand il n’était pas encore au stade ridicule de son alcoolémie. Pas encore mariée qu’Emily-truc-chouette se lâche sur le premier venu ! Et bien… Il a répondu à ses avances par un « Tu verras, ça coûte cher le divorce, tiens la carte de mon avocat », qui comme tout le monde aurait pu s’y attendre, n’a pas vraiment plu à Emitruc qui a rapidement déserté. Le business man déprimé s’est de nouveau retrouvé seul avec ses propres pensées, avec seulement son téléphone pour lui tenir compagnie. iPhone tout neuf qu’il sort de nouveau de sa poche pour reproduire encore une fois la boucle de cette soirée : pour ouvrir Instagram, se rendre sur le profil de Mia, et regarder encore un coup cette photo pour se rappeler que tout est bien réel. Mia, ses beaux cheveux blonds sublimes qui recouvrent sa poitrine voluptueuse, et la main de cet enculé de Roman sur son ventre bombé. Sa femme allait avoir un bébé… Oui, son ex-femme... certes. Il avait un peu de mal à se faire au divorce. En plus, évidemment Mia avait tout fait pour rendre ça instagramable et esthétique. Le couple parfait qui fait rêver. Ennio en est littéralement dégoûté. Ou est-ce que c’est l’alcool ? Non… Peut-être plutôt qu’il n’a pas assez bu pour que ça ne lui fasse plus rien. « Je peux avoir la même chose, s’il-vous-plaît ? » Il demande au barman, alors qu’il laisse retomber son téléphone sur le plan de travail après l’avoir éteint pour de bon pour ne plus être tenté de jeter un nouveau coup d’oeil. Ce qui est complètement con puisqu’il va avoir besoin de le rallumer après son verre pour appeler son chauffeur. « Je suis complètement con, je vais avoir besoin de le rallumer après mon verre pour appeler mon chauffeur. » … Oui. Il l’a dit à voix haute. A la jolie brune juste à côté qui a l’air bien plus fraîche que lui. C’est bien, comme s’il n’avait pas suffisamment l’air d’un crétin. Il replace sa cravate qui est de toute façon de travers pour occuper sa gêne. « Je me parle. » Il précise, comme si c’était nécessaire.
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14 avril
rebel wilson l'actrice australienne a perdu sa virginité à 35 ans, je l'ai vu dans mes suggestions youtube rebel wilson talks losing virginity at 35, clickbait suprême s'il en est, je me suis jetée dessus en espérant que ce soit pas une blague ou un coup de marketing. elle l'a révélé dans le cadre de la sortie de son autobiographie. elle a juste mis beaucoup de temps à se rendre compte qu'elle était lesbienne en fait. c'est toujours la même histoire. aujourd'hui elle a 44 ans elle est fiancée et elle a un bébé qu'elle a eu via une mère porteuse. moi je suis à deux ans d'avoir 35 ans et je pleure dans mon lit parce que r. vient de me dire qu'il était attiré par adrianne lenker et que je serai jamais cool et androgyne comme adrianne lenker. il a dit en plus elle est habillée comme moi et j'ai dit t'es attiré par les filles qui s'habillent comme toi? et il a dit eh bien je remarque que oui et j'ai failli lui dire alors je sais comment je vais m'habiller la prochaine fois qu'on se voit mais heureusement je me suis retenue.
après m'avoir dit bonne nuit j'ai vu un moucheron sur ma jambe et j'avais envie qu'il me mange. qu'il fasse un trou dans ma cuisse et me dévore petit à petit jusqu'à ce que j'existe plus. je peux même plus écouter adrianne lenker maintenant. elle est en couple avec une fille en plus, elle est censée être là pour me réconforter. peut être que je ressemble tout simplement pas assez à une lesbienne pour que r. tombe amoureux de moi. j'arrive pas à croire qu'on est attirés par le même type de filles. il manquerait plus qu'il soit attiré par les garçons qui lui ressemblent. et là je peux encore moins concourir. je suis courte sur pattes et dodue j'ai des gros seins et je suis moche avec les cheveux courts.
il va la voir en concert en mai juste après son propre concert, il connait sa violoniste elle lui a filé une place gratuite, j'ai dit ohlala la soirée de rêve et il m'a dit viens!!! mais c'est la veille du mariage de s. et adrianne lenker c'est complet depuis longtemps et surtout SURTOUT hors de question de faire la potiche-groupie amoureuse toute seule dans le public à son concert. et lui il va probablement pas faire comme moi à la maison poème et sacrifier sa vie sociale pour rester discuter avec moi dans un coin. non mais le culot. jamais de la vie j'aurais osé l'embarquer dans une conversation sur les traumas de mon enfance, en pleine gloire de post-représentation, non mais c'est pas vrai. j'en ai marre que notre relation soit déséquilibrée. il représente trop pour moi. pour lui je suis une parmi. pour moi il est le.
cet après-midi je suis partie me promener toute seule le long des champs et à un moment j'étais un peu en hauteur à la croisée de deux chemins et le vent faisait voler mes cheveux au soleil et je me suis rappelé d'un moment de dimanche dernier, juste après la fin des lectures quand je nous ai servi des verres d'eau sur un coin de la scène pendant qu'on se congratulait mutuellement et puis je me suis retournée et j'ai vu r. assis tout seul dans les gradins presque vides et je lui ai souri en lui faisant un pouce en l'air et il m'a répondu en faisant je sais plus quoi et puis il faisait semblant de jouer le solo de guitare qui était en train de passer et je le regardais en souriant, c'était comme si on bouclait la boucle, ou qu'on recommençait depuis le début, mais cette fois tu tombes amoureux de moi ok?
à chaque fois que je croisais des gens pendant ma ballade cet après-midi j'étais l'amoureuse. quand je me promène dehors j'endosse toujours une occupation, selon mes préoccupations du moment. parfois je suis l'écrivaine, parfois je suis la serpillère, parfois je suis la winneuse parfois je suis la loseuse, parfois je suis la paumée, etc. aujourd'hui j'étais l'amoureuse. si mon crâne était transparent les gens que j'ai croisés n'auraient vu que r.
15 avril
j'ai accompagné maman et m. au centre commercial pour me changer les idées cet après-midi mais bof j'étais assise sur un fauteuil mauve avec le regard perdu dans le vide à me demander si je devais arrêter de porter des robes pendant que maman essayait des doudounes fines à petits bourrelés et que m. la conseillait. dans le supermarché j'arrivais tellement plus à me porter que je me suis appuyée contre un bout de rayon en semi catatonie. à chaque fois j'oublie que les centres commerciaux m'aspirent l'âme. en passant devant la librairie j'ai vu deux de mes anciennes collègues. j'ai oublié leurs noms parce que je les mentionne pas dans mon texte. ça m'a rappelé dimanche dernier et ça m'a un peu remonté le moral. quand j'y travaillais je me demandais ce que je pourrais en tirer, artistiquement, je voulais en faire un film, un court-métrage, mais finalement j'en ai fait un poème. mon ancien responsable serait fier de moi.
aujourd'hui je me suis dit que peut être que je devrais arrêter d'écrire. j'ai déjà perdu le raisonnement qui m'a menée à cette conclusion, c'est plutôt que j'ai réalisé que je pouvais pas me contenter d'avoir juste l'écriture dans ma vie. je suis pas comme laura vazquez par exemple. au bout d'un moment ça me monte trop à la tête et je vois plus que des mots et des phrases et des choses qu'on dit et qu'on redit comme ça ou comme ça mais c'est toujours la même chose. au bout d'un moment je sature et tout me semble ridicule. donc il me faut autre chose. pour contrebalancer. qu'est-ce que je ferais si j'arrêtais complètement d'écrire? par quoi je me définirais? il faudrait bien que je me trouve une autre destinée. j'ai envie d'arrêter rien que pour voir ce que je ferais, même si je ferais très probablement rien du tout.
ce matin par exemple j'étais allongée sur mon lit au soleil avec la fenêtre grande ouverte à lire mon journal de 2004 en écoutant le premier album de muse pour me mettre dans le contexte et j'interrompais régulièrement ma lecture pour chanter avec matthew bellamy et aussi avec sa guitare en me tortillant sur mon lit, c'était cathartique, c'était mieux qu'une séance de psy ou n'importe quoi vraiment, peut être que je devrais faire ça tous les matins, pour purifier mon âme. bon mais je lisais mon journal en vue de l'écriture d'un texte sur l'été 2004, donc ça reste une occupation liée à l'écriture.
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Mon amour,
Si je devais te dire à quel point je t’aime, je ne pense pas pouvoir trouver des mots assez puissants pour décrire à quel point l’amour que je te porte est incommensurable. Tu es rentrée dans ma tête et tu as changé ma vie comme personne d’autres ne l’avais fais avant toi. Je suis dingue de toi, j’aime tout de toi, j’aime autant tes défauts et tes qualités. Je ne pourrais jamais me lasser de t’entendre me dire combien du m’aime, j’ai besoin de ça pour me sentir bien. Tu es ma bouffée d’oxygène au quotidien et je remercie le bon dieu chaque jour de t’avoir mis sur mon chemin.
Notre couple n’a rien de conventionnelle, je dirais même que nous sommes bancales à notre façon, mais qu’est-ce qu’on s’en branle ? Après tout qui souhaiterait une histoire d’amour parfaite avec plein de moment cul-cul ? Sûrement pas moi.
Je suis fier de notre parcours, je n’ai pas honte de dire haut et fort que je n’ai pas su t’aimer comme tu le méritais avant, j’ai été con et je le serais sûrement encore, mais crois moi sur parole maintenant, je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour te rendre la plus heureuse possible. Je ne pourrais jamais te promettre que notre relation deviendra aussi belle que celle dans les romans, mais je peux te promettre qu’elle en sera tout autant vraie et sincère.
Tu m’as rendu accro à toi, je te déteste parfois pour ça d’ailleurs, car je sais que tu es bien plus qu’une simple fille de passage, je te veux, je te veux même quand nous sommes en colère l’un contre l’autre, je te veux quand tu pleures devant un film et que tu me casses les pieds. Je ne désire personne d’autres que toi, et ce, jusqu’à la fin de ma vie. Je suis convaincu que tu es bien plus que ma simple copine, tu es mon âme-sœur, celle qui m’est destinée depuis toujours. Merci à toi d’avoir été plus rapide que moi à comprendre que toi et moi, c’était une évidence, merci de ne pas avoir baissé les bras et d’avoir continué à croire en nous. Merci d’être toi, cette fille à la fois si douce et pourtant tellement forte. Putain je t’aime tellement, tellement que ce texte est naze comparé à ce que tu représentes pour moi, tellement pas représentatif des battements de mon cœur dans ma poitrine quand je pense à toi. Je t’aime tellement mon amour, je te souhaite un très beau et très joyeux anniversaire, que cette journée qui est la tienne te donne autant de bonheur que tu en mets dans ma vie.
Joyeux anniversaire, je t’aime plus que tout au monde bébé. @livoocado
(Désolé j’aime trop cette photo)
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Interview de Alexa Bliss pour E! News, à propos de la naissance de son premier enfant.
Alexa Bliss de la WWE est enceinte et attend son premier bébé avec son mari Ryan Cabrera.
Un peu plus d'un an après s'être mariés, Alexa Bliss et Ryan Cabrera abordent un nouveau chapitre : la star de la WWE et le chanteur attendent leur premier bébé.
Alexa Bliss et Ryan Cabrera sont toujours sur le point de célébrer leur dernier sommet. Un peu plus d'un an après s'être mariés, la star de la WWE et l'interprète de "True" attendent leur premier bébé, a déclaré le couple en exclusivité à E! News. Comme Alexa l'a partagé, le couple a été "choqué" lorsqu'ils ont découvert qu'ils attendaient plus tôt cette année.
"C'était une surprise totale, car nous n'essayions pas du tout (ndlr: d’avoir un enfant", a noté la lutteuse professionnelle de 31 ans.
Quant à Ryan, 40 ans, il a expliqué que même s'ils étaient "surpris à un million de pour cent", le couple "ne pouvait tout simplement pas être plus excité".
"Nous avons immédiatement contacté ma mère par Facetime", a ajouté Alexa. "Et ensuite, j'ai partagé la nouvelle avec la famille de Ryan."
Quant à la façon dont le couple, qui s'est marié en avril 2022 après plus de deux ans de fréquentation, a célébré la grande nouvelle avec ses proches ?
"Parce que nous avons des amis et de la famille sur les deux côtes, nous avons organisé une soirée de révélation à L.A.", a expliqué Ryan, "et une à Orlando."
Mais le plaisir ne s'est pas arrêté là, car les deux – dont le bébé devrait arriver en décembre – ont décidé de partager également un aperçu de leur voyage passionnant avec les fans d'une manière spéciale.
"Nous avons tourné une vidéo avec notre ami Neil Fernandez, qui est une parodie de l'épisode Friends où Rachel dit à Ross qu'elle attend", a expliqué l'artiste "On the Way Down". "Friends est l'une de nos émissions préférées et, comme vous l'avez vu avec notre vidéo de bal, nous aimons faire nos annonces de manière unique et amusante."
Traduction de l’article par Alexa Bliss France.
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youtube
Très joli film déconcertant.
J’avais adoré Eva en août vu en 2021, alors j’étais heureuse de voir un autre film de ce réalisateur, toujours avec son actrice fétiche, Itsaso Arana.
Le film est court, et ressemble un peu à un documentaire. En gros, on pourrait dire qu’il y a deux scènes ; ce qui est exagéré, mais pas loin. Scènes qui paraissent filmées en temps réel, qui épousent complètement le temps réel du déroulé de la scène, avec ses longueurs inhérentes.
Acte 1 : deux couples se revoient après un bon moment sans s’être trop parlé, c’est en hiver, ils écoutent un concert de piano, et un des couples annonce qu’il attend un bébé. Ce couple là vient de déménager hors de Madrid, où l’autre continue de vivre. Les futurs parents proposent au couple urbain de venir les voir (cf titre).
Acte 2 : six mois plus tard, le couple urbain va les voir, dans leur maison de banlieue. Tout ne s’est pas déroulé exactement comme prévu. Le repas et la journée se déroulent dans l’amitié et la complicité, avec quelques silences, ou au contraire, quelques tirades (les rats de ville lisent un livre sociologique qui les travaille et qu’ils citent abondamment sur la nécessité de muter pour s’adapter aux changements climatiques et inventer une façon nouvelle de vivre ensemble).
Pas de psychologie, juste une façon un peu rohmérienne de raconter le quotidien, une forme de légèreté trompeuse. On devine que l’annonce de la grossesse a été un mini séisme pour le couple qui n’en était pas là, ils s’interrogent confusément : doivent-ils aussi faire un enfant, doivent-ils aussi quitter la ville ? Les couples fonctionnent en miroir. Ils représentent des choix cruciaux que l’on doit faire, le problème c’est qu’ils posent les questions à des moments où on n’a pas forcément envie d’y répondre. Il y a donc comme un flottement entre ces quatre personnages. Le couple «rats des champs » fait face finalement à une sorte de désillusion, la banlieue n’est pas l’Eldorado. Chacun s’apprécie, des dynamiques souterraines semblent, au cours de cette journée un peu étrange, déplacer les duos, les décaler juste un peu.
On sort du film sans trop savoir ce qu’il adviendra des personnages, mais en ayant un sentiment de proximité avec eux, avec cette banalité des hésitations humaines, banalité rendue jolie par le souci de justesse du personnage principal, Elena, son regard attentif aux vacillements intimes.
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2022 ambiance cheloue
cette année j'ai eu mes premiers partiels en présentiel et c'était aussi les derniers (j'ai tout niqué), j'ai bu trop de tequila alors que j'aime pas la tequila, fumé trop de shit comme si j'avais de nouveau 16 ans et ça m'a pas trop réussi souvent, j'ai un peu trop vomi car je veux jamais m'arrêter et que je dois plus boire de ni de tequila ni de bières immondes à 9 degrés, j'ai embrassé énormément de mecs et pas assez de filles, j'ai mis mes doigts dans beaucoup de nez sans aucune raison, eu des techniques d'approches beaucoup trop nazes qui ont toutes beaucoup trop bien marché, j'ai fait des bêtises en vendée, en normandie mais jamais autant qu'à bordeaux, d'ailleurs je suis tombée amoureuse de cette ville j'y pense tout le temps j'exagère trop, on m'a tej et j'ai eu le seum mais j'ai aussi tej et j'avais moins le seum, j'ai passé beaucoup beaucoup de temps à attendre quelque chose mais quoi ? j'ai beaucoup baisé mdr et ça n'a jamais été aussi cool, je me suis souvent affamée parce que j'avais pas la force de manger, j'ai fait beaucoup de choses "pour l'expérience" ou variante "parce que c'est drôle" et c'était souvent effectivement drôle sur le moment mais regrettable en y repensant
j'ai vu plein de concerts super cool genre the cure !!!!? odezenne et la femme, j'ai cru que j'allais mourir dans des pogos mais c'était marrant, je suis allée dans des festivals paumés trop nice, j'ai accepté des choses que j'aurais pas du accepter, j'ai cru que j'allais pas finir l'année, j'ai enfin vu no', j'ai pleuré au cinéma, j'ai pleuré en boule dans mon lit, j'ai pleuré dans les rues de bordeaux, j'ai pleuré dans des parcs sous mes lunettes de soleil comme une drama queen et sur la tombe de papy pour la première fois, j'ai vraiment cru que j'étais enceinte, donc j'ai dit que je ferai plus de conneries mais j'en ai refais, j'ai eu des discussions sérieuses alors que j'étais trop bourrée, j'ai essayé de communiquer mais ça a pas toujours bien marché, mon dos a encore fait des siennes mais on m'a confirmé qu'au moins j'ai pas le gène maudit de la famille, j'ai vu des CSP+ danser sur bella ciao et ça m'a fait rire, j'ai acheté plein de trucs grenouilles à ma soeur, j'ai vu grandir bébé tokyo et vieillir ma vieille falia, on a fait des gâteaux d'anniversaire moches, j'ai volé quelques tee-shirts trop grands pour moi et un body que je rendrai jamais à sa propriétaire
j'ai eu ma licence avec mention très bien mais j'ai pas eu la force et la confiance de postuler à des masters et je regrette lol, j'ai vu mes copines se mettre dans des états pas possible pour des mecs et après je me suis rendue compte que j'étais mal placée pour penser ça, j'ai survécu à mes vacances dans le sud, et aux mezzanines sous 40 degrés, on m'a fait du mal mais bien, j'ai dit que je ferai des trucs et je les ai pas fait, on a déchiré des draps et taché d'autres, on m'a pris très fort dans ses bras et j'ai eu l'impression qu'on me réparait un peu, j'ai fait tomber un mec dans les pommes et j'ai eu très peur, j'ai aussi fait beaucoup de siestes au lieu de bosser quand j'étais dans le rush ou que j'étais trop dans le mal comme si ça allait tout régler, j'ai eu envie de manger des riches et puis j'ai eu envie d'être riche, j'ai souvent rêvé d'un accident bête et mortel car rien ne m'intéresse vraiment, on a découvert qu'on avait hérité d'un inconnu et j'ai visité sa maison il avait l'air trop cool dommage que tu sois mort mec, j'ai cru que j'étais amoureuse et en fait non, j'ai joué à pou et j'ai fait des colliers de perles aux gens que j'aime parce que j'ai 4 ans
j'ai été énervée que les gens soient cons et de droite, j'ai vu plein d'expos trop cool qui ont nourri mes pupilles, on m'a dit que j'étais paumée et malsaine mais on m'a dit je suis fier de toi, je suis tombée amoureuse un soir d'un bel anglais qui m'appelait belle mathilde mais il était en couple, j'ai fait une raclette alors que j'aime pas le fromage et c'était cool en fait my bad, j'ai pleuré la mort de gaspard ulliel beaucoup trop premier degré, je me suis pissée dessus de rire plusieurs fois, j'ai été trop gentille, j'ai pas assez osé puis j'ai trop osé, j'ai failli ken dans des buissons (ça c'était trop osé), j'ai récupéré une guitare qui prend la poussière chez moi parce que je sais pas comment en jouer et que j'ai tej celui qui aurait pu m'apprendre, j'ai écrit des lettres mignonnes et j'en ai reçu d'autres, on m'a oppressé et ça m'a cassé les couilles, on m'a beaucoup appelé sans que je réponde alors que j'avais vu, j'ai appris des choses terrifiantes sur ma famille en parlant avec ma cousine et d'autres super tristes en lisant les mémoires de mon arrière grand-mère, j'ai préféré le monde dans ma tête
j'ai souvent dit que je cherchais du taff sans en chercher, on m'a pris pour une conne et j'ai fait comme si je savais pas et j'ai pris des gens pour des cons comme si de rien n'était, j'ai été heureuse de plus remettre les pieds à la fac puis j'ai été un peu nostalgique car mon cerveau aime trop me faire croire que de mauvais moments sont de bons souvenirs, je me suis rendue compte que j'étais myope et que la mangue c'était super bon, on m'a dit "je me sens super bien avec toi" et on m'a demandé trop de fois à mon goût "et tu fais quoi alors cette année ?", j'ai passé beaucoup de temps à fixer mon plafond en me sentant vide, j'ai vu la vénus de botticelli en vrai, j'ai eu tellement mal aux tripes d'avoir à ce point envie de mourir tout en sachant que j'étais là pour rester, j'en ai voulu à mon cerveau d'être aussi ravagé, on m'a envoyé beaucoup d'animaux mignons en me disant "us" et ça fait toujours autant fondre mon cœur, j'ai attrapé une souris à main nue alors que je voyais tout flou, j'ai perdu le k-way de mon grand-père et ça m'énerve, on m'a volé des lunettes trop cool et ça m'énerve encore plus, j'ai fait des choses d'adulte et j'ai trouvé ça bizarre
je me suis pas sentie à ma place puis je me suis souvenue que je me sentais jamais à ma place donc ça m'a rassuré un peu finalement, j'ai pas pleuré le jour de mon anniversaire et c'était pas arrivé depuis longtemps, on a écrit des poèmes à mes fesses, j'ai pensé beaucoup de choses très fort sans oser les dire, j'ai pris des rdv chez des psy que j'ai toujours annulé, j'ai ramassé des objets insolites par terre car la rue c'est le meilleur des magasins, je me suis souvent trouvée dégueulasse et des fois trouvé trop belle pour ce monde, j'ai beaucoup joué et rigolé avec mes amis et j'ai rencontré quelques nouvelles personnes que je veux connaitre plus, je me suis sentie utilisée et c'était cool, je me suis sentie utilisée et c'était pas cool, on m'a fait découvrir de belles musiques, j'ai trouvé un taff et j'ai un peu été payée à rien foutre ce mois-ci c'est super, j'ai eu des envies d'HOMME-icides à intervalles réguliers, j'ai essayé de me remettre vraiment à lire sans énormément de succès, j'ai menti dans mon propre intérêt, et on m'a demandé plein de conseils alors que je suis incapable de bien gérer ma vie
en vrai j'ai rien compris à cette année, il s'est passé plein de choses très vite, mais d'autres semblaient ne jamais vouloir s'arrêter, j'ai été intensément triste mais j'ai vécu quelques pics de vie très drôle et qui m'ont fait du bien au cœur, le stress m'a pourri la vie comme d'hab que dire j'ai peur de tout des gens des premières fois de l'inconnu de l'administration du futur et de mon futur du jugement des autres qui est en fait surtout celui que je me porte, mes rencontres ont été autant positives que négatives, je me suis éloignée de certaines personnes que j'aime mais je me sens bien entourée de mes meilleurs cops sinon j'angoisse déjà de l'année prochaine car comme l'année dernière je suis pas plus avancée sur ce que je veux faire de ma vie et sur ce que je vais faire pour continuer mes études je pense à tous les dossiers que je vais devoir remplir je sens que je vais pleurer beaucoup de larmes de rage et de larmes tout court car je fais nimp de ma vie et que je respecte jamais mes limites mais bon j'imagine qu'il y aura aussi des trucs sympa j'ai déjà plein de concerts prévus, des week-end avec mes cops, je gagne des thunes donc je vais pouvoir m'acheter de nouvelles dr martens, je vais me relancer dans la couture j'ai plein d'idées et puis j'ai des relations à approfondir, des choses à accomplir et surtout je vais continuer de passer mon temps à râler sur tumblr et ça c'est cool (pour moi pas pour vous désolée si vous avez lu jusque là fallait pas, de toute façon vous n'existez pas)
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Comment Retrouver sa Confiance en Soi en Post-Partum
La maternité met parfois notre confiance en soi à rude épreuve ! Découvrez des astuces pratiques et concrètes pour retrouver confiance en soi après bébé 🌈. Reprenez les rênes de votre bien-être 💪💛. #ConfianceEnSoi #PostPartum
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Les Quatre Filles March, Chapitre 44
Milord et Milady
« S’il vous plaît, Madame Mère, pourriez-vous me prêter ma femme pour une demi-heure ? Les bagages sont arrivés, et je suis en train de ruiner les babioles parisiennes d’Amy en cherchant quelques choses dont j’ai besoin », dit Laurie, venu le lendemain pour trouver Mrs. Laurence assise sur les genoux de sa mère, comme si elle était redevenue « le bébé » de la famille.
« Certainement. Va, trésor, j’oubliais que tu avais une autre maison que celle-ci », et Mrs. March pressa la main blanche qui portait l’alliance, comme pour s’excuser de son égoïsme maternel.
« Je ne serais pas venu si ce n’était nécessaire, mais sans ma petite femme, je ne suis bon à rien, comme —
— Une girouette sans vent », suggéra Jo, tandis qu’il cherchait une comparaison. Jo avait retrouvé de son impertinence depuis que Teddy était rentré.
« Exactement, car Amy me maintient pointé vers l’ouest la plupart du temps, avec parfois seulement un souffle du sud, et je n’ai pas connu le vent d’est depuis que je me suis marié. Je ne connais rien du nord, mais profite d’un air sain et tempéré, n’est-ce pas milady ?
— Le temps est très agréable, jusque-là. Je ne sais pas combien de temps cela durera, mais je ne crains pas les tempêtes, car j’apprends à manœuvrer mon navire. Viens à la maison, très cher, et je trouverai ton tire-botte. Je suppose que c’est ce pour quoi tu fouilles dans mes affaires. Les hommes sont vraiment empotés, Mère », dit Amy avec un air de matrone qui ravit son époux.
« Qu’allez-vous faire pour vous occuper, une fois que vous serez installés ? » demanda Jo, en boutonnant la cape d’Amy comme elle lui boutonnait autrefois ses tabliers.
« Nous avons des plans. Nous ne voulons pas trop en dire pour l’instant, parce que nous sommes tout juste mariés, mais nous n’avons pas l’intention de rester inactifs. Je vais me lancer dans les affaires avec un zèle qui fera la joie de Grand-père, et lui prouver que je ne suis pas gâté. J’ai besoin de quelque chose de la sorte pour me garder à flot. Je suis fatigué de me prélasser, et j’entends travailler comme un homme.
— Et Amy, que fera-t-elle ? » demanda Mrs. March, satisfaite de la décision de Laurie et de l’énergie avec laquelle il parlait.
« Après avoir rendu visite à tout le monde, et aéré notre plus beau bonnet, nous allons vous étonner par l’hospitalité élégante de notre demeure, la brillante société que nous attirerons autour de nous, et l’influence bénéfique que nous exercerons sur le monde. C’est à peu près ça, n’est-ce pas, Madame Récamier ? » demanda Laurie avec un regard interrogateur vers Amy.
« Le temps le dira. Viens, Impertinence, et ne choque pas ma famille en te moquant de moi devant eux », répondit Amy, résolue à être une bonne épouse dans son foyer avant de tenir salon comme une reine de la société.
« Comme ces enfants sont heureux ensemble ! » remarqua Mr. March, qui trouvait difficile de se replonger dans Aristote une fois le jeune couple parti.
« Oui, et je pense que ça durera », ajouta Mrs. March, avec l’expression sereine d’un pilote qui a mené son navire en sûreté dans le port.
« J’en suis certaine. Heureuse Amy ! » et Jo soupira, puis sourit largement car le Professeur Bhaer ouvrait le portail d’un geste impatient.
Plus tard dans l’après-midi, une fois que le sujet du tire-botte ne le tracassa plus, Laurie dit soudain à sa femme :
« Mrs. Laurence.
— Milord !
— Cet homme a l’intention d’épouser notre Jo.
— Je l’espère. Pas toi, très cher ?
— Eh bien, mon amour, je le considère comme un phénix, dans tout ce que cette expression imagée a de plus flatteur, mais j’aurais bien aimé qu’il soit un peu plus jeune et beaucoup plus riche.
— Allons, Laurie, ne sois pas si délicat et mondain. S’ils s’aiment, peu importe leur âge ou leur pauvreté. Les femmes ne devraient jamais se marier pour de l’argent— » Amy buta sur les mots à l’instant où ils lui échappaient, et regarda son mari, qui répondit, avec une gravité malicieuse,
« Certainement, même si, parfois, vous entendez de charmantes jeunes filles dire qu’elles en ont l’intention. Si mes souvenirs sont exacts, tu croyais qu’il était de ton devoir d’épouser quelqu’un de riche. Cela explique, peut-être, que tu aies épousé un bon à rien comme moi.
— Oh, mon chéri, non, ne dis pas ça ! J’avais oublié que tu étais riche quand j’ai dit “Oui”. Je t’aurais épousé si tu étais sans le sou, et parfois je souhaiterais que tu sois pauvre pour pouvoir te montrer combien je t’aime. » Et Amy, qui était très digne en public et très affectueuse en privé, offrit des preuves très convaincantes de la véracité de ses mots.
« Tu ne penses pas vraiment que je suis une créature aussi vénale que j’ai essayé de l’être autrefois, n’est-ce pas ? Cela me briserait le cœur si tu ne croyais pas que je ramerais avec joie dans le même canot que toi, même si tu devais gagner notre vie en ramant sur le lac.
— Suis-je un idiot et une brute ? Comment pourrais-je le penser, quand tu as éconduit un homme plus riche pour moi, et ne me laisse pas t’offrir la moitié de ce que je voudrais, quand j’en ai le droit ? Cela arrive tous les jours à bien des filles, les pauvres, à qui on a enseigné d’y voir leur unique salut, mais tu as eu de meilleures leçons, et même si j’ai tremblé pour toi, pendant un temps, je n’ai pas été déçu, car la fille a été fidèle à l’enseignement de sa mère. Je l’ai dit hier à Mamma, et elle a eu l’air aussi heureuse et reconnaissante que si je lui avais donné un chèque d’un million à dépenser dans des œuvres de charité. Vous n'écoutez pas mes observations morales, Mrs. Laurence.
— Si, j’écoute, et j’admire le grain de beauté sur ton menton en même temps. Je ne souhaite pas te rendre vain, mais je dois confesser que je suis plus fière de mon beau mari que de tout son argent. Ne ris pas, mais ton nez est un tel réconfort pour moi », et Amy caressa le nez bien dessiné avec une satisfaction artistique.
Laurie avait reçu bien des compliments dans sa vie, mais aucun qui lui fasse plus plaisir, comme il le montra clairement même s’il rit effectivement des goûts étranges de sa femme, tandis qu’elle dit lentement,
« Puis-je te poser une question, mon chéri ?
— Bien sûr que tu peux.
— Est-ce que cela te dérange, si Jo épouse Mr. Bhaer ?
— Oh, c’est là le problème, n’est-ce pas ? Je me disais qu’il y avait quelque chose dans ma fossette qui ne te convenait pas tout à fait. Sans aucune mesquinerie, mais en étant l’homme le plus heureux au monde, je t’assure que je pourrai danser au mariage de Jo, le cœur aussi léger que les pieds. En doutes-tu, mon amour ? »
Amy leva les yeux vers lui, et fut satisfaite. Sa petite peur jalouse s’évanouit pour toujours, et elle le remercia, pleine d’amour et de confiance.
« J’aimerais que nous puissions faire quelque chose pour cet épatant vieux Professeur. Ne pourrions-nous pas inventer un riche parent, qui mourrait bien commodément en Allemagne, et lui laisserait une jolie petite fortune ? » dit Laurie, quand ils commencèrent à arpenter le petit salon de long en large, bras dessus bras dessous, comme ils aimaient à le faire en souvenir des jardins du château.
« Jo nous percerait à jour, et gâcherait tout. Elle est très fière de lui tel qu’il est, et a dit hier qu’elle pensait que la pauvreté était une très belle chose.
— Béni soit son bon cœur ! Elle n’en pensera pas autant quand elle aura un mari littéraire, et une dizaine de petits professeurs et professeures à élever. Nous n’allons pas interférer maintenant, mais attendre notre chance, et les aider malgré eux. Je suis redevable à Jo d’une partie de mon éducation, et elle est d’avis que l’on se doit de payer ses dettes honnêtement, donc je l’amadouerai de cette façon.
— Comme c’est agréable d’être capable d’aider les autres, n’est-ce pas ? Ça a toujours été un de mes rêves, avoir le pouvoir de donner librement, et grâce à toi, le rêve est devenu réalité.
— Ah, nous allons faire quantité de bonnes actions, n’est-ce pas ? Il y a une sorte de pauvreté que j’aimerais particulièrement aider. Les mendiants purs et durs trouvent de l’aide, mais les pauvres de bonne famille s’en sortent moins bien, parce qu’ils ne demandent rien, et on n’ose pas leur offrir la charité. Il y a pourtant mille façons de les aider, si l’on sait comme s’y prendre avec suffisamment de délicatesse pour ne pas les offenser. Je dois l’admettre, je préfère aider un gentleman déchu qu’un miséreux beau parleur. Je suppose que c’est mal, mais c’est ce que je pense, même si c’est plus difficile.
— C’est parce qu’il incombe à un gentleman de le faire », ajouta l’autre membre de la société d’admiration domestique.
« Merci, j’ai peur de ne pas mériter ce joli compliment. Mais ce que j’allais dire, c’est que pendant que je traînassais en Europe, j’ai vu bien des jeunes gens talentueux faire toutes sortes de sacrifices, et endurer de vraies épreuves, pour espérer réaliser leurs rêves. Des gars épatants, pour certains, qui travaillent comme des héros, pauvres et sans amis, mais si pleins de courage, de patience et d’ambition que j’avais honte de moi-même, et me languissais de leur donner un coup de main. Il y a des personnes qu’on éprouve de la satisfaction à aider, car s’ils ont du génie, c’est un honneur que d’avoir le privilège de les servir, et ne pas le laisser perdre ou être retardé par manque de bois pour faire bouillir la marmite. S’ils n’en ont pas, c’est un plaisir de réconforter les pauvres âmes, et de les empêcher de sombrer dans le désespoir quand ils s’en rendent compte.
— Oui, tout à fait, et il y a une autre classe qui ne peut réclamer, et souffre en silence. J’en sais quelque chose, car j’en faisais partie avant que tu ne fasses de moi une princesse, comme le roi le fait de la mendiante dans l’ancien conte. Les filles ambitieuses ont la vie dure, Laurie, et doivent souvent voir leur jeunesse, leur santé et de précieuses opportunités leur passer sous le nez, par manque d’une aide opportune. On a été très bon avec moi, et quand je vois des filles en difficulté, comme nous l’étions, j’ai envie de leur tendre la main et de les aider, comme j’ai été aidée.
— Et tu le feras, ange que tu es ! » s’écria Laurie, résolu, dans un éclair de zèle philanthropique, à fonder et financer une institution au bénéfice des jeunes femmes aux visées artistiques. « Les gens riches n’ont pas le droit de rester assis à profiter, ou à laisser leur argent s’accumuler pour que d’autres le dépensent. Il n'est pas moitié si raisonnable de laisser un héritage à sa mort qu’il ne l’est de dépenser cet argent avec sagesse de son vivant, et se réjouir de rendre nos camarades créatures heureux avec. Nous allons bien nous amuser, et pimenter notre propre plaisir en en offrant de généreuses portions à d’autres. Voudras-tu bien être une petite Dorcas, qui va en vidant son grand panier plein de douceurs, et le remplit de bonnes actions ?
— De tout mon cœur, si tu joues le brave Saint Martin, en chevauchant galamment à travers le monde et en t’arrêtant pour partager ton manteau avec le mendiant.
— Marché conclu, et nous aurons la meilleure part ! »
Et le jeune couple échangea une poignée de mains, et reprit gaiement sa marche, avec la sensation que leur plaisante demeure était d’autant plus accueillante parce qu’ils espéraient illuminer d’autres foyers, avec la croyance que leurs pas seraient d’autant plus aisés sur l’allée fleurie au-devant d’eux parce qu’ils comptaient aplanir les chemins difficiles pour d’autres pieds, et avec le sentiment que leurs cœurs étaient plus sûrement enchevêtrés par un amour qui pouvait se rappeler avec tendresse ceux qui n’étaient pas aussi bien lotis qu’eux.
#les quatre filles du docteur march#little women#amy march#theodore laurence#french translation#mes trads
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Ingrid a fait une petite fête chez elle pour son mariage avec David. Adriano, son père, a regardé la cérémonie depuis la baignoire Folamour, a bu le champagne en maillot de bain et est parti avec la fin. ça me rappelle tant la désinvolture de son grand-père Don, qui s'était marié en costume débraillé ! Il faut dire qu'Adriano est sans doute un peu fatigué car Hugo vient d'avoir des jumeaux, et être 3 fois grand-père en si peu de temps, c'est épuisant.
A 4 heures du matin, après quelques heures de sommeil pour reprendre des forces (et mettre en route le bébé), Ingrid et David ont fini le champagne et repris du gâteau, en toute intimité.
Hugo n'avait pas pu venir mais il a offert à sa soeurette tous les meubles et objets qu'il avait pu acheter avec les sous de ses bourses d'étudiant et de réussite à ses examens. Le jeune couple a largement de quoi démarrer dans la vie.
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Matrixé
Ça a été comme une étincelle
Un éclair dans une vie en plein sommeil
Ses yeux dans les miens
Mon corps contre ses seins
Et ma main dans sa main
Il a fallu d’un instant
Pour que d’un simple enfant
Je devienne une bête
Prête à rugir sous la couette
Elle n’a rien laissé transparaître
Il n’y avait rien à promettre
Pas de plans sur la comète
Juste une tension palpable
Un plaisir inaltérable
Un baiser coupable
Je n’ai rien dit
Elle n’a rien dit
Mais c’est moi qui me suis enfui
Tellement pétrifié
Par cette fille que je désirais
Me demande pas pourquoi
J’ai réagi comme ça
J’ai raté le coche
Je suis reparti mains dans les poches
Plus lourd que la roche
Bébé, j’espère que tu m’as pas oublié
Je sais j’ai complétement déconné
On s’est embrassé et je t’ai quittée
Parce que tu m’avais possédé
Et je savais pas que ce que c’était
D’être à ce point matrixé
Bébé, j’espère que tu m’as pas oublié
Je sais j’ai complétement déconné
On aura même pas couché
On aura même pas transpiré
Et pourtant je ne cesse d’en rêver
Chaque nuit je ne fais qu’imaginer
Ce qu’on aurait fait
Si j’avais été moins lâche
Moins tâche
Plus cash
Plus trash
Moins perdu dans l’orage
Putain ce que ça aurait été
Si je m’étais pas dégonflé
Bébé, j’espère que tu m’as pas oublié
Je sais j’ai complétement déconné
On s’est embrassé et je t’ai quittée
Parce que tu m’avais possédé
Et je savais pas que ce que c’était
D’être à ce point matrixé
Bébé, j’espère que tu m’as pas oublié
Je sais j’ai complétement déconné
La vérité c’est que j’étais en couple
Et j’imaginais mal l’idée d’un trouple
Mais ce moment repasse en boucle
Si j’avais été plus souple
Peut-être qu’aujourd’hui on serait deux
Peut-être que j’aurais pas été foudroyé par les cieux
Mais ça je ne le saurai point
D’ailleurs je ne sais pas si tu t’en souviens
C’était tellement furtif, planqué dans un coin
Pour moi c’était marquant
J’étais parti en courant
Tu m’as juste dit désolé sur les réseaux
Et après ça notre histoire était enterrée dans le caniveau
Bébé, j’espère que tu m’as pas oublié
Je sais j’ai complétement déconné
On s’est embrassé et je t’ai quittée
Parce que tu m’avais possédé
Et je savais pas que ce que c’était
D’être à ce point matrixé
Bébé, j’espère que tu m’as pas oublié
Je sais j’ai complétement déconné
Si tu t’en souviens
Fais-moi signe un matin
J’aimerais reprendre ta main
Peace.
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SAMEDI 23 NOVEMBRE 2024 (Billet 1 / 5)
« LA PLUS PRECIEUSE DES MARCHANDISES » (1h 21min)
Un film de Michel Hazanavicius, avec les voix de Jean-Louis Trintignant, Dominique Blanc, Denis Podalydes…
Critiques sur le Site AlloCiné Presse : 4,0 / Spectateurs : 4,1
Vous lirez ce que nous en avons pensé juste après cette critique « Pro ».
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Premier film d’animation présenté en compétition à Cannes depuis « Valse avec Bachir », ce conte sur la Shoah est principalement porté par une ambition pédagogique, certes non des moindres : il s’agit pour Hazanavicius de faire éprouver aux enfants l’horreur de l’Holocauste, à travers l’histoire d’un couple de bûcherons qui recueille un bébé « tombé » d’un train en route vers Auschwitz.
Adapté d’un livre de Jean-Claude Grumberg, le film anonymise tous les noms propres (des pays, des camps, des personnages) et remplace les Juifs par les « sans-cœur ». Cet enrobage parfois ridicule dans sa propension à la guimauve (comme lorsque les personnages répètent en boucle « les sans-cœur ont un cœur ! ») n’est toutefois que scénaristique : visuellement, le film ne triche pas. Quand il passe les portes du camp, on reconnaît bien les pyjamas rayés, les étoiles jaunes, les cheminées des chambres à gaz, les corps décharnés et même les cadavres rachitiques.
L’animation permet au cinéaste de contourner l’impératif moral de l’infilmable, en reproduisant les images traumatiques de « Nuit et brouillard ». Sur le terrain de la représentation de la Shoah, déjà amplement défriché par Lanzmann, le film emprunte une voie sinueuse : s’il n’y a effectivement aucun acteur qui incarne pour de faux ces visions devant une caméra, des anciens élèves de l’école des Gobelins ont bien dû animer image par image les os apparents des prisonniers, et le tout est noyé par les insupportables violons d’Alexandre Desplat (le compositeur de la bande-son – NDLR du Blog), qui « fictionnalisent » avec une certaine lourdeur l’horreur du génocide.
Il serait sans doute exagéré de pointer du doigt Hazanavicius sur cette question, tant on le sent absolument sincère dans ses intentions, mais ces dernières n’en font pas pour autant un bon cinéaste d’animation. Hormis quelques belles apparitions (le train dans la nuit) et une poignée de segments muets, le style et la mise en scène s’avèrent assez génériques : les personnages, avec leurs traits épais et leurs mouvements lissés, semblent particulièrement dénués de vie. Ni beau ni laid, le film n’est jamais vraiment déshonorant, mais il paraît reposer davantage sur un savoir-faire que sur un regard d’auteur.
(Source : « critikat.com »)
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Nous y sommes allés le premier jour de sa sortie, à la première séance de l’après-midi. On dit que c’est cette séance qui prédit le succès qu’aura le film. La salle n’était pas archi pleine mais bien remplie. Le film devrait donc bien marcher. Les critiques « Pro » et « Spectateurs » sont excellentes… mais nous, malheureusement, nous avons été déçus.
Rien à dire sur les dessins, ils ont leur style, et sur les décors du dessin animé (réalisés par Michel Hazanavicius him-self), excellents… mais c’est le scénario qui nous a semblé « bancal ». Ça commence très classiquement comme un conte pour enfants, la voix-off est parfaite (nous avons toujours ADORÉ la voix de Jean-Louis Trintignant). On rentre dans l’histoire sans problème. Très vite, on s’attache à l’enfant, on est à fond du côté de la « bucheronne » et totalement contre le « mari bucheron », tout en se doutant que le « vilain mari » va, à un moment, être conquis par la « Plus Précieuse des Marchandises ». Et puis, le scénario (adapté du Conte écrit par Jean-Claude Grumberg) capote, à plusieurs moments… et pas du tout parce qu’on nous montre des choses tragiques. Non, paradoxalement, le film, à part le début, manque d’émotion. Peut-être que le réalisateur pensait que la musique allait être signifiante à ce sujet mais c’est tout le contraire. Certes, elle est très présente… mais surtout, trop bavarde !
A la fin, on reste sur sa faim. Le réalisateur n’y est pour rien, c’est l’histoire qui, à notre (humble) avis, est mal écrite. Une chose est sûre, contrairement à ce qui a été dit, ce n’est pas du tout un film pour enfants. Il y a trop de longueurs (au cinéma, on appelle ça des tunnels), on finit, c’est un comble avec un tel sujet, par s’ennuyer ! A noter, dans la dernière partie, une série de plans fixes (on n’en dit pas plus, on ne veut pas spolier), trop noirs, dans une séquence trop longue, qui pourrait les effrayer.
Marina donne au film ❤️❤️,5 cœurs sur 5 et JM, PAR RESPECT, préfère ne lui donner aucune note.
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Jean-Philippe (partie 3)
Je lâche tout.
Quoi? Un bébé?
Je ne comprends rien. Tout ce flirt hier, toutes ces limites castrantes aujourd’hui. Il ne sait pas sur quel pied danser. J’aurais bien aimé le guider.
Et je suis dans un dilemme moral extrême. Je continue ou je pars? On a vu des affaires bien plus insignifiantes en philosophie au cégep, j’aurais aimé me pratiquer en vue de cette situation fâcheuse.
Ma raison me dit de ne pas toucher à ça avec une pôle de 120 mètres. Ma raison a terriblement raison. Je ne devrais pas y aller. Il ne faut pas que j’aille là. Il est en train de fabriquer une autre vie humaine. Avec quelqu’un qu’il aime.
Mais ce diable, ce petit diablotin qui veut s’amuser me dit de continuer. Me dit que « hey, c’est pas ta réalité à toi. » Mon féminisme est mis à mal, je pense à la blonde. Je vais toujours penser aux blondes, même si c’est le couple le plus ouvert qu’il soit. Mais ma curiosité! Ma maudite curiosité me pousse à tenter l’exercice. Quitte à ce que je coule l’examen.
Bref. Faudrait que je réponde, hein.
Je dis que je comprends, même si je comprends fuck all, et que j’apprécie l’honnêteté. Ça, c’est vrai. Je lui dis que ce n’était pas ce que j’avais compris hier, parmi la horde de messages séduisants qu’on s’était envoyés.
Il me répond sur le champ.
« Je me sens poche de te dire ça ce matin. Je me suis laissé aller hier et honnêtement, j’hésite à refermer cette porte-là avec toi pour le moment parce que tu m’attires beaucoup (terriblement). »
My god, JP. Pour une fille insécure qui a envie de se laisser porter par ses pulsions, qui a envie de vivre des amourettes, qui a envie de goûter l’autre, de vivre nos passions communes, je suis conquise.
Fuck. Je suis conquise. Il m’a eu. Il m’écrit bien.
Je réponds qu’il est (terriblement) mon genre de personne et que je lui ferais passer des beaux moments. Ha. Tiens. Il veut entretenir quelque chose à un cellulaire de distance. Ça ne marche pas pour bibi, désolée. Geneviève doit se respecter et le réquisitionner en date. À chacun ses limites castrantes.
On se dit à plus tard si le p’tit Jésus le veut. Qu’on laisse une tite craque dans’ porte si jamais. Le « si jamais » a le dos large ce matin. Je n’aime pas cette fin. Moi, j’aime les bonnes histoires. Et il est un bon personnage.
Je suis laissée sur ma faim et j’ai une faim de loup. J’ai le goût de lui.
Ma journée de travail est un vrai pain in the ass. Désolée à mon employeur, mais j’ai beaucoup d’émotions à gérer en ce moment.
15h40
Je lui réécris. Fuck it. Je sacre beaucoup aujourd’hui.
« Je pense encore à toi, ça me gosse. Encore un peu ébranlée de ce qu’on s’est dit ce matin (j’t’une crisse de sensible). J’ai quand même le goût de toi. »
Dans la vie, je n’ai peur de rien. Encore moins de quelque chose d’aussi excitant.
« Fuck » « Je suis dans le même mood » « Ça joue dans la tête pareil hein »
On est sur la même longueur d’onde. On se comprend. On vit la même chose, chacun chez soi, épris de nos tourments passionnels respectifs.
Faut que j’aille au bout de ça. Pas le choix.
On se dit que nos cœurs battent, qu’on a les mains moites, qu’on est on the edge. Ça y est: on doit se voir. Je lui dit que j’ai envie de lui jaser ce soir.
JASER LE SOIR Déf.: Être sur le sofa, verre de vin à la main, pour jaser de nos vies respectives, jusqu’à temps que la tension soit si intense qu’on finisse par s’embrasser et peut-être… faire autres choses.
Il accepte. J’ai un souper et lui aussi, mais on conclut qu’on se soit tout de suite après.
Parfait. Je ne vais pas être capable de vivre jusqu’à ce moment, mais all good. Je vais me gérer.
Ma journée de « travail » se termine enfin. Je prends une douche et je m’en vais chez mes voisin·es pour mon fameux souper. Je leur déverse toutes mes pensées, mes ressentis, en mangeant des huîtres. Aphrodisiaque. Je n’ai même pas besoin de ça, je suis déjà chatte. Je suis dans le mood, rien ne peut m’arrêter.
Mes ami·es me disent de quitter le souper. Je les aime. Je ne peux pas les contredire, même si les huîtres étaient délicieuses. Mon amie me dit que je ne peux pas perdre le momentum. Maudit, elle a raison.
Je texte à Jean-Philippe: « Dans 15 chez nous ».
C’est faisable de son côté. Il va courir. Il me dit qu’il est motivé.
Ouf. La panique s’installe en traversant le parc.
J’arrive chez moi et les seuls mots qui sortent de ma bouche sont:
omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg omg.
Ça sonne à la porte.
Je le vois à travers la vitre et je pense que mon cœur va arrêter. L’adrénaline embarque. (J’écris ces lignes avec les mains moites.)
Je lui ouvre, on se fait la bise. Il a apporté le vin. Une belle pensée. Il me demande un verre d’eau avant que je lui en propose un. D’accord.
Je le sens un brin stressé, je le suis aussi. Mais je suis bonne en performance et là je sens que ce soir, c’est soir de première. Je donne tout.
Je porte une légère camisole, qui dévoile malheureusement les bleus que j’ai sur mon bras. Ces bleus-là viennent d’une autre histoire d’un soir. En espérant qu’il ne me pose pas de question là-dessus.
Il est beau. Dans toute sa simplicité. Il ne sent pas quoi que ce soit précisément, mais la fragrance de ce soir c’est Sexe no. 5. Faut que je me calme.
On est sur le sofa, comme prévu, on parle de nos vies, comme prévu. Je m’étais jouée ce scénario, j’avais répété. J’étais prête. On parle de ses shows, de la difficulté d’être un artiste. Je lui dis que je n’ai pas de la difficulté à imaginer.
Il me pose peu de questions, mais je m’en fous. Ce n’est pas le but ce soir. Peut-être veut-il en savoir le moins possible sur moi, pour ne pas tomber en amour. Je me dis ça, imaginez. On devient tranquillement complices dans les blagues qu’on se lance. Ma répartie est aiguisée et elle fait des ravages.
Je lui demande c’est quoi son deal avec sa blonde. (Faut croire que c’est ma marque de commerce.) Il me répète ce qu’il m’a dit précédemment, que leurs libertés occasionnelles sont plus serrées vu qu’ils planifient donner la vie, éventuellement.
« Ok. Mais t’es là ce soir. »
« Je suis là ce soir », me réplique-t-il.
Nos regards se transpercent. Je me perds dans le gris-bleu de ses yeux, qui sont particulièrement pétants ce soir. Comme si je l’avais vu avant. Comme si je le connaissais bien.
On s’embrasse. Avec passion. Dévotion. Comme la première et la dernière fois. Ce french est une tragédie grecque. C’est une tragédie. Tout est une tragédie ce soir. La blonde est loin dans ma tête.
On se déshabille. Rapidement. Intensément. On veut se manger tout rond. Il commence avec une entrée en matière pas piquée des vers: un cuni. Et il le fait bien. Doucement, avec la langue aussi dure que son sexe en ce moment, probablement. Je suis tellement excitée que tout coule de partout. Je suis sur le point de venir, rapidement. Wow, il fait mauditement bien ça. Je viens. Ayoye, ok, ça part bien.
Je m’attable à un art que j’ai eu la chance de pratiquer à *hum hum* quelques reprises: sucer. Je m’applique, je m’occupe bien de lui. Il aime ça. Il ne se gêne pas pour me le dire. Je crois entendre: « Wow » quelques fois. Je l’enrobe de tout mon être. Ça bave. On se veut. Je le veux.
Terriblement.
On décide de passer à l’autre étape. Disons qu’en protégeant sa fleur, elle a malheureusement fanée. Qu’est-ce que tu veux, ça arrive. Je ne le prends pas personnellement, même si je reste sur ma faim. On va se goûter autrement. On s’embrasse encore avec ferveur.
Puis on décide de jaser, nus dans mon lit. Mes jasettes préférées. Je lui demande s’il fume, il me dit non, mais qu’il m’accompagnerait dehors. Toute cette tension a besoin d’être relâchée avec un peu de tabac, pour ma part.
On continue à parler, à jacasser, à se faire rire. Il décide de quitter peu de temps après. Oh, ok? J’aurais eu plusieurs services à ce délicieux repas.
Shit.
What’s next?
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