#maternité et introspection
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Tarot de Coaching : Un Outil INCROYABLE pour vous Upgrader !
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Devenir maman, c’est entrer dans une nouvelle dimension. Une dimension où les nuits sont courtes, les jours interminables, et où les émotions fluctuent entre extase et épuisement. Mais au-delà des joies de la maternité, il y a les défis souvent tus : la distance qui peut s’installer dans le couple, la perte de repères personnels, ou encore les grandes transitions comme un déménagement ou un…
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Tirage Portail énergétique du 12.12.2021
Ce qui s’ouvre avec ce portail, ce qui nous est donné à voir et à ressentir : La Lune
Réceptivité, patience, retour aux sources. Faire confiance à son intuition, dépasser les peurs. La Lune représente la mémoire, la matrice, elle nous invite à laisser partir toutes les réactions conditionnées par le passé. Remise à zéro. Pour apprendre à marcher dans notre monde d’une nouvelle manière. Se plonger dans l’étang de la Lune c’est accepter de sortir du monde illusoire, se retirer en soi pour tout clarifier en vue du bilan final. L’arcane de la Lune correspond à la lettre QUOPH dans l’alphabet hébraïque qui veut dire Sommeil et qui décrit le sommeil qui précède le réveil de la conscience mortelle. C’est donc un moment d’une intensité particulière, une introspection qui va nous permettre de faire une sorte de bilan (parfait pour la fin d’année ), un moment où l’on accepte aussi chaque partie sombre de nous-même. Où l’on s’autorise à naviguer sur notre océan intérieur.
Ce que nous sommes invités à laisser derrière nous avant de passer le seuil de ce portail : 7 d’épées renversé + Hermite renversé
Cette envie de partager, d’expliquer ce qu’on pense avoir trouvé. L’Hermite renversé a envie d’éclairer les autres, il a fini de se retirer en lui-même et veut retourner dans le monde pour partager sa sagesse mais ce n’est pas le bon timing. Comme si ces deux cartes nous disaient que ce n’est pas le moment de vouloir aider l’autre d’une quelconque manière. Car sur le chemin de la Lune, chacun doit affronter seul ses peurs, ses démons, son passé.
Quelle énergie bénéfique va t-on pouvoir canaliser lors de ce portail ? 7 de bâtons
Dans le tarot Kazanlar cette carte décrit un saint, un ermite que les gens viennent voir afin d’obtenir des conseils sur le sens caché des choses, leur destinée, des décisions à prendre ou encore ce qu’ils doivent faire pour se débarrasser de leur karma. Ce qui induit que nous en sommes nous aussi à ce stade là. C’est aussi une carte qui nous invite à garder notre endurance, tenir bon, qui nous montre que nous faisons nos preuves sur la durée. C’est notre confiance en soi qui est mise à l’épreuve ici et cette épreuve nous aide à prendre conscience de la valeur de ce pour quoi on lutte, de la valeur de nos ambitions et de notre instinct combatif.
Quel changement / shift dans notre niveau de conscience ce portail va-t-il nous permettre d’atteindre, ce qui va pouvoir s’ancrer en nous : Roi de Coupes + Le Chariot
La maîtrise de nos émotions et la conscience de la direction dans laquelle nous voulons aller. De tous les rois c’est le Roi de Coupes qui maîtrise le mieux les plongées en eaux troubles et c’est encore lui qui comprends le mieux les cycles de transformation et de renaissance. C’est lui aussi qui est le plus capable d’aller profondément dans l’émotionnel et tout ceci, nous renvoie d’une certaine manière à la carte de la Lune, à cet étang dans lequel nous sommes invités à plonger. Cette maîtrise émotionnelle nous mène au Chariot, lui qui représente la détermination, le succès, le triomphe, le fait d’utiliser la tension de la dualité pour avancer ( contrairement à L’Amoureux VI qui lui, se trouvait à un carrefour et donc était à l’arrêt ). Avec le Chariot on sait ce qu’on veut et où on veut aller, c’est la capacité à dépasser les obstacles, le progrès, la confiance en soi. On part à la conquête du monde, de notre monde.
Il y a un rapprochement à faire avec la Lune, la matrice, la mémoire, nos sources car le Chariot est rattaché au signe du Cancer qui représente la maternité, la protection, la maison. Le Chariot est protégé, il voyage avec sa maison autour de lui, il se sent en sécurité et peut partir à l’aventure puisqu’il a cette protection autour de lui qui agit comme la carapace du crabe ( symbole du Cancer )
Message des guides, aide que l’on pourra recevoir durant ce portail : 10 d’épées + 5 de bâtons renversé
Les guides nous disent que oui, cette période est éprouvante, fatiguante car nous sommes en fin de cycle, il est temps de passer à autre chose. Le conseil du 10 d’épées : lâcher-prise, se reposer, d’autant qu’avec le 5 de bâtons renversé tout se relâche, nos conflits intérieurs et extérieurs, les moments de désaccords avec les autres. Ce que je vois aussi c’est que tout ces personnages qui s’agitaient en nous et se battaient pour avoir raison s’apaisent, comme s’ils étaient réintégrés totalement dans la tête du personnage au milieu ( je vous invite à regarder la carte pour mieux comprendre) et que le 5 de bâtons représentait donc un moment de confusion et d’égarement. Le 5 de bâtons c’est aussi tout ce qui n’était pas coordonné, qui partait dans tout les sens, le fait de ne pas savoir ce que l’on voulait vraiment etc..
En résumé : Ce portail nous permet de dépasser nos doutes, une étape nécessaire pour que nous puissions prendre confiance en nous, nous affirmer dans nos envies, nos convictions, nos ambitions et que nous puissions entrer dans 2022 en sachant dans quelle direction nous engager. L’impression aussi qu’au niveau énergétique c’est un passage important avec la nécessité de faire ce check-up primitif, mémoriel, matriciel de la Lune, cette introspection avant le « réveil » , cette plongée dans nos eaux intérieures.
La nécessité du silence, de laisser l’autre maturer tranquillement, respecter son évolution, son rythme parce qu’on ne peut pas forcer quelqu’un à avancer plus vite qu’il ne le doit, d’où l’idée d’être dans la réserve de ne rien influencer car chacun doit faire son chemin et ses choix en conscience.
Beau portail à vous !
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G comme groupie (I could have kissed a girl and liked it)
Je suis tombée amoureuse de Carrie Brownstein au premier regard. Et si ça avait été dans la vraie vie, je suis persuadée que ça se serait passé comme dans cet épisode de Broad City où Ilana rencontre son doppelgänger dans la rue. Enfin, disons que j’aime bien m’en persuader. Et aussi que j’espère que vous regardez Broad City. Si vous ne le faites pas, sachez simplement que vous avez un sacré train de retard. Sur quoi ? Sur beaucoup trop de choses pour que je m’amuse à les lister ici. Mais la bonne nouvelle, c’est que vous pouvez toujours vous rattraper, magie du monde globalisé… Et enchaîner dans la foulée avec l’excellent Transparent. C’est là qu’elle était lorsque je l’ai rencontrée. Dans son rôle de Syd Feldman, probablement nonchalamment assise sur un canapé, sarcastique, pertinente, un rien cynique, élégante, lumineuse, séduisante… Désirable. Et je dois bien avouer que je n’avais jamais ressenti ça comme ça pour un personnage féminin au préalable.
L’homme, qui prend un malin et malsain plaisir à entretenir mes lubies de groupie pour que je le laisse vivre en paix avec les siennes, m’a alors procuré toutes les saisons de Portlandia et a déposé au pied de la Luxman tous les LP de Sleater-Kinney. Résultat : cela fait maintenant un petit moment que j’écoute No Cities To Love deux fois d’affilée deux fois par semaine minimum (dix morceaux, dix tubes massifs et fragiles à la fois, bouleversant) et que j’accepte de regarder tous les films avec Michael Shannon – le cinécrush de Monsieur – sans exception et sans poser de questions. Et si je devais faire le bilan (calmement) de ce tacite arrangement, je dirais que, petit 1., contrairement à la légende urbaine initiée par une personne très peu objective dont je tairai ici le nom, la simple présence de Michael Shannon au casting n’est pas capable de sauver n’importe quel scénario (cf. le mollasson Frank & Lola) et que, petit 2., contrairement à d’autres (et la liste est longue, croyez-moi), plus j’en apprends sur Carrie Brownstein, la femme, plus je me dis que j’ai raison de l’aimer.
Il y a quelques mois, entre un film où Michael Shannon livre des colis et un autre où il ouvre des portes, l’homme – toujours à la manœuvre – m’a offert Hunger Makes Me a Modern Girl, les mémoires écrites par ma Carrie chérie. Google Alert et Instagram m’avaient bien entendu dit depuis longtemps qu’il était sorti, mais moi, j’hésitais encore à aller l’acheter… Pouvait-elle raisonnablement, en plus d’être si sexy et so preppy, s’avérer douée pour la musique, la comédie ET l’écriture ? La peur de la déception tant redoutée m’envahissait. Cependant, Internet semblait répondre par l’affirmative à ma question : oui, la belle savait écrire comme elle savait jouer, avec talent et générosité. J’entamais alors l’ouvrage rassurée mais néanmoins fébrile… Et je le reposais quelques jours plus tard, exactement dans le même état. Mais pour d’autres raisons, manifestement. Et principalement parce que ce livre m’a soufflée par son incroyable honnêteté. Il ne dit certainement pas tout, mais tout ce qu’il dit est impitoyablement exposé et décrypté. Carrie Brownstein n’y cache rien de ses fêlures ou faiblesses, et évoque la création, l’évolution et la désintégration de Sleater-Kinney sous une lumière peu flatteuse, celle de la vérité violente et toute crue, offrant au passage une vue plongeante sur les méandres de sa complexe personnalité.
Ses mots m’ont touchée, aussi. Comme mon instinct pouvait me le laisser imaginer, on partage certaines similarités. Pas forcément des plus jolies à regarder. En face, du moins. Pas les plus inavouables non plus, faut pas exagérer. Mais (attention, soft spoiler alert) cette façon qu’elle a d’abord d’identifier puis d’accepter les traits les plus sombres de sa nature profonde m’a méchamment secouée. Ouais, c’est tout con et ça peut paraître plutôt obscur dis comme ça, mais c’est vrai : il est des vérités contre lesquelles il est inutile de lutter. Je sais pas, c’est peut-être l’âge qui fait ça… On a à peu près le même, Carrie et moi (argh, « Carrie et moi », c’est fort probablement la seule et unique fois que j’aurais l’occasion d’écrire ça), et depuis que j’approche de la quarantaine, force est de le constater, je m’efforce plus que jamais à faire preuve d’honnêteté. Envers les autres, bien sûr, même si le nouveau reflet que je renvoie au monde n’est pas forcément reluisant, puis envers moi, surtout. C’est désagréable, c’est éprouvant ; cependant, charité bien ordonnée commence par soi-même, la sagesse populaire a raison. Mais enfin, ça, c’est la partie émergée de l’iceberg, hein ! Parce qu’après, plus moyen de faire machine arrière ! Une fois que l’on sait qui on est, comment continuer à faire des choix de vie malhonnêtes ? Foutu casse-tête…
En plus ou moins trois ans, tous ceux que j’ai pris ont été radicaux. Certains ont été faciles à opérer, d’autres plus douloureux et compliqués à gérer. Et comme pour l’Américaine qui fait battre mon cœur (de rocker), c’est souvent mon corps qui a capitulé avant mon cerveau. D’ailleurs, avec un peu de recul, je suis ébahie par tout ce que j’ai pu psychosomatiser et aussi stupéfaite de la ténacité avec laquelle j’ai pu me mentir à moi-même sur différents sujets pendant de longues années. Le livre de Carrie Brownstein, quant à lui, est décidément arrivé au bon moment : celui d’entériner certaines décisions. Pas comme hésiter entre un film où Michael Shannon porte une valise et un autre où il lèche des timbres… Non, plutôt du genre choix cruciaux. Mais loin de moi l’idée de vouloir noircir le tableau ; depuis que j’ai entamé cette longue introspection, une chose est certaine : plus le temps passe, plus je vis facilement avec moi. Et notamment avec deux ou trois spécificités que j’ai trop longtemps essayé de réprimer ou de nier. Serait-ce ce qu’on appelle la midlife crisis ? Peu importe le nom qu’on veut bien donner à tout ça, Carrie et moi (*soupir*), finalement, on s’en sort pas si mal que ça.
Bon, c’est bien beau tout ça, mais très rapidement, deux nouveaux problèmes se sont posés à moi. Le premier : que lire désormais ? J’en voulais plus et j’avais déjà écumé toutes les interviews données par l’auteure lors de la promotion de ce petit livre déclencheur. Le second : comment écrire maintenant ? Comment reprendre le clavier sans plomber l’ambiance après une telle démonstration d’intégrité ? Ma vie est loin d’être aussi passionnante, c’est un fait et vous l’avez bien entendu déjà remarqué, surtout si c’est le premier post de ce blog que vous lisez, mais – vous l’avez peut-être aussi noté – cela fait maintenant un petit moment que j’ai du mal à traîner par ici. Pas parce que je n’écris pas ou plus, mais parce que j’en arrive invariablement à remiser les textes rédigés, à juger les sujets trop personnels, les points de vue difficilement défendables, le lieu inapproprié. Quand j’écrivais sur mon ancien blog, dans un anonymat quasi parfait, j’avais vingt-cinq lecteurs, dont une grande partie de parfaits inconnus avec lesquels je prenais plaisir à échanger. Depuis que je partage mes billets sur Facebook, la donne a sensiblement changé : j’ai une cinquantaine de lecteurs, mais je ne me suis jamais autant autocensurée. La belle affaire, hein ! N’empêche que, le temps passant, cette histoire a commencé à sérieusement me turlupiner : comment concilier intelligemment intimité et publicité ? J’avais des choses que j’avais envie de raconter, mais aucune envie de devoir crier « MAIS CRÉÉE TON PROPRE BLOG, BORDEL DE MERDE ! » à tous les Leprechaun qui passeraient par là…
La liberté d’expression sur les réseaux sociaux, vaste et vide débat… Mais quoi qu’il en soit, c’est là, alors que je ne m’y attendais absolument pas, que mon premier problème est venu solutionner le second. À la question « Que lire maintenant ? », la faim me tiraillant méchamment, j’ai fini par faire au plus simple et en l’occurrence, à prendre le premier livre sur le haut de la pile en instance, juste là sur ma table de chevet. Le challenger : Le Premier méchant, premier roman de Miranda July (amie de Carrie, tiens donc), lui-même offert pour mon anniversaire par une amie (Laetitia, encore merci !). Je ne veux rien vous spoiler, mais je dois avouer que les premières pages m’ont largement déstabilisée. Puis je me suis laissée faire par cette histoire un peu loufoque avant de me retrouver complètement scotchée, tant l’ouvrage m’est apparu d’une saisissante modernité. D’abord dans la forme (et notamment dans les libertés que prend la narration), puis dans le fond : outre les sujets évoqués (la féminité, la solitude, le couple, le genre, les fantasmes, la maternité…), j’y ai retrouvé cette cruelle et désarmante autant que fascinante acuité envers soi que Carrie Brownstein semblait avoir érigé pour elle et moi (fait chaud d’un coup, là, non ?) au rang de nécessité, bien qu’il s’agisse d’une fiction. Miss July avait peut-être raison, et mon salut pourrait bien passer – pourquoi pas – par un changement radical de format.
Dissimuler l’intime au cœur de la fiction, j’y avais déjà beaucoup pensé, sans jamais réussir à échafauder un plan cohérent, juste quelques idées, quelques fragments, rien de bien convaincant… Mais poussée dans mes retranchements, j’ai fini par décider de me lancer sans filet. Enfin, sans chute, quoi. Une première pour moi. Un peu comme Balzac (toutes proportions gardées, évidemment), sans réellement savoir où cette petite histoire fantaisiste de superstitions et procrastination me mènerait, j’ai rédigé trois chapitres à la troisième personne, laborieusement mais vaillamment… Avant de me retrouver complètement coincée. Puis de commencer un deuxième texte, à la première personne celui-ci, histoire d’évacuer une fois et pour toute une thématique qui me hantait. En tout, une douzaine de pages A4 bien tassées pour ce premier jet. Soit une taille tout à fait acceptable pour une nouvelle (à partir de 7 500 mots environ, à ce qu’il paraît). Et autre nouveauté, je n’avais jamais écrit quelque chose d’aussi développé. Alors, bien entendu, c’est loin d’être terminé ; ce morceau-là me demanderait encore plusieurs relectures et réécritures… Et je ne sais combien de temps pour l’affiner. D’autant plus que depuis, je suis passée à la deuxième mouture de la première histoire commencée. J’ai déjà réécrit la moitié des trois premiers chapitres deux fois, ébauché le suivant, manqué de temps… Écrire au long cours, c’est complètement différent et pour le moment, je n’en suis qu’à prendre la température de l’eau du bout des pieds, timidement. Puis la suite, vous la connaissez : je suis venue m’épancher ici…
Bon, vous voilà bien avancés, hein ! Je vous ai écrit toute une tartine pour vous refiler une piètre excuse quant à mon manque d’investissement en ces pages et vous parler de deux textes pas terminés que vous ne lirez peut-être jamais… Mais si vous avez suivi cette longue digression sans intérêt jusque là, je ne vais pas vous laisser comme ça. Une petite moralité capillo-tractée, ça vous dirait ? Alors, qu’est-ce qu’on a appris aujourd’hui ? Qu’outre m’avoir permis d’accepter ma véritable nature de cheveux (ce qui a littéralement changé ma vie de fille, sans plaisanter), mon obsession pour Carrie Brownstein m’a fait réaliser que : petit 1., j’aurais pu être avec une fille et aimer ça (Sainte Katy, priez pour moi) ; petit 2., il n’est jamais trop tard pour bien faire (si j’ai de la chance, ça me laisse encore une bonne moitié de vie devant moi pour ça) ; petit 3., quand on accepte qui on est, c’est beaucoup plus simple de savoir vers où on veut aller. Est-ce que les coïncidences arrivent par pur hasard ou est-ce qu’on les provoque inconsciemment ? Est-ce que le simple fait d’être fan peut apporter autant de satisfactions ? Carrie Brownstein a écrit de très jolies lignes à ce sujet pour je ne sais plus quel magazine en ligne que je vous encourage néanmoins à chercher à consulter. Pour ma part, je conclurai en vous disant qu’on ne devrait toujours aimer que de cette façon : sans rien attendre en retour et inconditionnellement.
Et puis du coup, j’imagine que je vais voir encore beaucoup de films avec Michael Shannon, fatalement…
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New York, déambulations, mercredi 25 octobre, 08:00 pm (heure locale)
On a parcouru encore pleins de kilomètres, les dernières journées ont été riche en rebondissements ! Nous voilà dans cette grande ville inspirante, étonnante, grouillante, gigantesque... On est allé au Moma où les collections permanentes et temporaires raisonnées parfois avec les recherches sur la symbolique de la grenade !
En effet ce fruit exotique a marqué les civilisations grecques, catholique et musulman, et depuis toujours elle symbolise la vie et la fertilité, mais aussi de puissance, de sang, de mort et de sexualité. Dans la civilisation mésopotamienne antique, la grenade est un fruit associé aux relations sexuelles et en particulier à la procréation. Dans l’église catholique la grenade est rapidement devenue le symbole de Jésus. D’autre part, la grenade est chez beaucoup de peuples symbole d’amour, de fertilité et d’immortalité.
En Chine, elle est le symbole de fertilité et d’un grand nombre d’enfants à cause de ses nombreux pépins.
Cette féminité rejoint les représentations picturales de la femme qu’on retrouve au Moma, avec les seins cubistes peints par Picasso dans ses nombreux portraits de femmes aux corps déstructurés, réinterprétés géométriquement, boulversant. Mais surtout avec le travail de toute une vie de Louise Bourgeois qui aspire à une retranscription de cette sexualité, la torsion du corps, la maternité... Elle exprime une tension, symbolise des émotions profondes de son enfance et de son intimité. Ce qui rejoint la symbolique de la grenade et de mes thèmes abordés dans mes projets personnels. Le volcan peut devenir métaphore de notre intimité comme la grenade de la sexualité féminine. (réflection à poursuivre, voir enregistrement)
Les photographies expriment cette symbolique pertinente, introspective et intime.
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Maîtrisez votre Énergie Féminine pour Équilibrer Votre Vie de Maman
✨ Vous vous sentez épuisée, débordée ? 😓 Et si la clé était dans votre énergie féminine ? 🌸 Découvrez des astuces inattendues pour rééquilibrer votre vie de maman 👩👧👦. Un indice : ça va changer votre quotidien ! C'est ci-dessous que ça se passe 👇
Dans notre quotidien de mamans, nous sommes souvent plongées dans l’action, la gestion des tâches, et la prise de décisions rapides. Entre les couches à changer, les repas à préparer, les rendez-vous à ne pas manquer, et la maison à gérer, il n’y a jamais un moment de répit. Dans cette course effrénée, beaucoup d’entre nous se sentent déconnectées d’elles-mêmes, comme si la femme en nous…
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