#commie corp
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Anon, please name one difference between CeauÈescu and Hitler, that isnât something CeauÈescu knew went badly when Hitler did it.
I will of course wait while you look up who CeauÈescu is.
Nationalistic, hierarchical, anti-communist, traditionalist, ethno-nationalistic, fascists are left wing now? So when did you become a leftist?
Take a look and see how many of these line up with what leftists want today. Sorry to break it to you sweetie, but national socialism is socialism. Ethno-nationalism and socialism aren't automatically opposed. The only reason Hitler hated the communists is because they were competing for the same membership pool. Two different ways to get to very similar goals. You gotta stop thinking of everything as left vs right, and if one is left wing, then the opposing thing must be right wing.
#also nazis were not hierarchical they were rabble-rousing populists who talked about the bourgeoisie EXACTLY the way commies did#it is not a coincidence almost all the plots against hitler were from the aristocratic officer corps
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đ· RĂ©vĂ©lation des crimes commis par l'occupation Ă proximitĂ© du CollĂšge universitaire de Gaza aprĂšs avoir exĂ©cutĂ© des Palestiniens, laissĂ© leurs corps Ă l'air libre pendant de longues pĂ©riodes et empĂȘchĂ© les ambulances ou les familles de les atteindre.
#stand with palestine#palestine#free gaza#free palestine#palestinian lives matter#stand with gaza#gaza genocide#genocide in gaza#i stand with palestine#gaza strip#gaza under attack#gazaunderattack#gaza under genocide#save gaza#gazaunderfire#gaza#gaza fights for freedom#palestine will be free#palestine will never die#from the river to the sea palestine will be free#genocide in palestine#free free palestine#palestinian genocide#palestine genocide#palestinians#palestinian resistance#save palestine#pro palestine#support palestine#save palestinians
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1/3 Analyse : L'opérateur de Marble Hornets !
Aujourd'hui nous faisons une analyse de l'Opérateur de la série qui a été à l'origine de nombreuses autres ensuite, Marble Hornets !! Il est bon de noter que selon certaines sources (j'ai pas su retrouver l'origine) les créateurs auraient affirmé que l'Opérateur, bien que trÚs inspiré, est une créature différente du Slenderman. Je le traite cependant car cet ARG est un pilier du slenderverse !! Et sans plus tarder, allons dans le vif du sujet !!!
ATTENTION, SPOILERS EN GRANDE QUANTITĂ
~~~~~
L'histoire de Marble Hornets en prenant pour point de départ l'Opérateur :
Le point de dĂ©part humain supposĂ© du Slenderman de cet univers serait Alex Kralie, le rĂ©alisateur du film Marble Hornets dans l'univers en lui-mĂȘme. On peut le penser grĂące Ă l'entrĂ©e #37 oĂč il fĂȘte son anniversaire en 1991 alors encore enfant, le symbole de l'OpĂ©rateur apparaĂźt sur son visage puis il vient lui-mĂȘme apparaĂźtre Ă la fin de la vidĂ©o. On peut aussi considĂ©rer Tim Wright comme un point de dĂ©part diffĂ©rent et plus tardif mais ça relĂšve plus de la supposition puisqu'il est admis en 1995 Ă l'hĂŽpital psychiatrique pour des troubles qu'on connait grĂące au doxxing sans honte de Jay Merrick, et qui ressemblent Ă des symptĂŽmes que l'on pourrait avoir en rencontrant l'OpĂ©rateur, en plus de ses crises d'Ă©pilepsie qui Ă©taient dĂ©jĂ prĂ©sentes.
C'est donc sans trop de risque qu'on peut estimer que l'Opérateur choisit ses victimes enfants avant de les suivre toute leur vie pour propager son influence dans leur entourage. Est-ce que le phénomÚne a été accentué parce que deux victimes se sont rejointes ?? C'est une question à se poser !!!
Suite à ça, l'Opérateur refait son apparition sur le set de Marble Hornets alors que deux infectés dÚs l'enfance sont présents. Jay Merrick confirmera ne pas se souvenir de certains événements pour lesquels l'Opérateur était pourtant présent pendant la période de tournage. La suite, nous la connaissons, l'Opérateur passera le reste de la série à tourmenter le cast jusqu'à leur mort ou leur échappatoire, que ce soit par la paranoïa et les effets néfastes qu'il cause, l'emprise qu'il semble avoir pris sur Alex et Tim lorsqu'il est sous l'identité de l'homme masqué, Brian Thomas complÚtement brisé mentalement au point de prendre l'identité de l'homme à capuche ou simplement sa présence. Tim et Jessica, rencontrée par Jay dans un hÎtel et colocataire de la petite amie d'Alex, en sortent derniers survivants.
Ses pouvoirs avérés et supposés :
- La tĂ©lĂ©portation : On a pu observer qu'il Ă©tait capable de se tĂ©lĂ©porter en emportant mĂȘme des choses avec lui (surtout des corps)
- La "Maladie de l'Operateur" : Les personnes touchées se mettent à tousser fortement et à rejeter une substance sombre qui ressemble à du sang
- Le brouillage d'enregistrements : L'Opérateur peut altérer l'image et le son des enregistrements en les faisant "glitcher"
- La paranoĂŻa maladive : Dur de dire si c'est la consĂ©quence des Ă©vĂšnements traumatique ou de l'OpĂ©rateur en lui-mĂȘme, mais les gens Ă son contact finissent avec une grande paranoĂŻa
- L'amnĂ©sie : Jay a expliquĂ© plusieurs fois n'avoir aucune idĂ©e de ce qu'il a pu faire pendant des pĂ©riodes prolongĂ©es de temps ou mĂȘme avoir oubliĂ© des Ă©vĂšnements passĂ©s
- Le contrÎle mental : Comme vu avec Tim en tant que l'homme masqué et Alex que l'on peut supposer contrÎlé en vu des horreurs qu'il a commis, l'Opérateur est capable dans une certaine mesure de contrÎler l'esprit des humains.
- L'incapacitĂ© de le toucher : Encore une fois, dur de dire si c'est l'OpĂ©rateur en lui-mĂȘme qui cause ça, mais la maladie qui l'entoure rend les gens trop faibles pour s'approcher assez et le toucher.
- La distorsion de la perception du temps : On a pu voir dans certaines entrées que le temps semble passer anormalement vite à certains moments, sûrement du fait de l'Opérateur
2/3 Théorie personnelle : La propagation et les distorsions !
Les théories :
Ma théorie pour l'Opérateur c'est qu'il propage son emprise par des virus ou des bactéries qu'il dégage un peu comme des phéromones pour contaminer les enfants en priorité.
Je pense aussi que les distorsions causĂ©es par l'OpĂ©rateur sont un moyen de se protĂ©ger pour ne pas ĂȘtre Ă©tudiĂ© ou que l'on comprenne des choses dans son fonctionnement grĂące Ă des enregistrements.
Les éléments utilisés :
Les enfants ont un systĂšme immunitaire moins dĂ©veloppĂ©s, donc ça ferait sens de les cibler si c'est quelque chose de biologique !! En plus des indices Ă©vidents comme le fait de tousser Ă©normĂ©ment quand on est proche de lui ou qu'on entre Ă son contact jusqu'Ă cracher du sang (?) comme si le corps cherchait dĂ©sespĂ©rĂ©ment Ă rejeter un parasite. Peut-ĂȘtre que c'est quelque chose qui agit sur le cerveau vu les rĂ©actions du cast ??
Pour les distorsions, on a pu voir que l'OpĂ©rateur ne se laisse jamais approcher Ă distance assez proche pour pouvoir le toucher, et qu'il semble avoir d'autres activitĂ©s que de rendre les gens fous (il rĂ©cupĂšre des corps, par exemple, et stalk le cast). Ăa le desservirait d'ĂȘtre observĂ© trop en dĂ©tail.
3/3 L'Opérateur : Dangerosité et conclusion !
Sa dangerosité :
AprĂšs tout ce que l'on vient de voir, mon avis sur la question est objectivement que c'est une crĂ©ature extrĂȘmement dangereuse si il vous trouve de l'intĂ©rĂȘt ou si vous cĂŽtoyez une de ses victimes. Mais je pense que le plus dangereux c'est que l'on ne sait pas pourquoi il fait ça, si on connaissait les raisons de ses agissements on pourrait peut-ĂȘtre le stopper !! Le fait de ne pas pouvoir dĂ©duire sa psychologie est fatal.
Conclusion :
L'OpĂ©rateur est un ĂȘtre mystĂ©rieux mais avant tout dangereux. Il est difficile de savoir pourquoi il agit mais il est clair que d'un point de vue humain, il est nĂ©faste et probablement inarrĂȘtable. Sa prĂ©sence dans la sĂ©rie a vraiment permis de dĂ©velopper le cĂŽtĂ© psychologique des personnages et c'est quelque chose que j'ai vraiment aimĂ© !!! Mais je suis peut-ĂȘtre biaisĂ©e, Marble Hornets est le tout premier ARG Slenderverse que j'ai regardĂ©. C'est donc la fin de ce billet sur l'OpĂ©rateur, j'espĂšre qu'il vous a plu et que ça vous incitera Ă vous y intĂ©resser de plus prĂšs si c'est pas dĂ©jĂ le cas !!!! (Mais j'espĂšre que si, c'est plein de spoilers et l'ARG a 15ans)
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Remerciements :
Merci à Troy Wagner et Joseph DeLage ainsi qu'à toute l'équipe de Marble Hornets pour avoir créé ce fabuleux projet qui a inspiré tant de monde à développer le slenderverse, au serveur Grampo.Co pour m'avoir aidé à trouver la motivation et de bonnes sources d'informations et à ⊻beetlejuice739⊻ et ses connaissances sur l'univers sur discord pour m'avoir relu !!! Et surtout, MERCI à VOUS !!!!!
#blog fr#marble hornets#slenderman#slenderverse#tim masky#brian hoodie#alex kralie#the operator#creepypasta#tim wright#brian thomas#jay merrick#fr marble hornets
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Georges n'avait pas l'ombre d'un talent littéraire. Il était un genre d'écrivain du dimanche, un écrivaillon, un versificateur de pacotille qui n'avait commis que quelques médiocres poÚmes pour ses amours de jeunesse.
Georges ne souffrait pas de la moindre affection. Il Ă©tait sain de corps et vraisemblablement d'esprit. Et il avait beau fumer comme un pompier, pour les crises d'asthme, il faudra repasser.
Georges avait une admiration sans bornes pour Marcel Proust et n'a jamais abandonné son projet d'au moins une fois lui ressembler. Ainsi fut fait.
Source photo Marcel Proust :
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Vu dâAllemagne. Le procĂšs Pelicot, une honte pour tous les hommes (Leo Klimm, Der Spiegel via Courrier International, Oct 10 2024)
"Triste, scandaleux, une honte pour tous les hommes â voilĂ ce quâest le procĂšs pour viol qui se tient Ă Avignon.
Le jugement de 51 hommes [dont 50 sont] accusĂ©s dâavoir violĂ© GisĂšle Pelicot, droguĂ©e par son mari [le 51e accusĂ©], dĂ©voile des actes monstrueux. Tout y est choquant.
Mais ce que lâon constate Ă©galement sur place, câest que les hommes ne sâintĂ©ressent guĂšre Ă cette affaire.
Ils ne se pressent que sur le banc des accusĂ©s, et non dans la salle dâaudience.
Chaque jour, prĂšs dâune centaine de personnes viennent suivre le procĂšs en direct.
Les visiteurs masculins peuvent se compter sur les doigts dâune main. Les femmes reprĂ©sentent de trĂšs loin la majoritĂ©.
Elles sont lĂ , elles se sentent liĂ©es Ă la victime parce quâelles ont souvent vĂ©cu elles-mĂȘmes lâexpĂ©rience de violences sexuelles.
Mais à qui se sentent liés les hommes, qui brillent par leur absence ?
Pourtant, le procĂšs pourrait ĂȘtre lâoccasion pour les hommes, sept ans aprĂšs le dĂ©but du mouvement #MeToo, dâenfin y jeter un Ćil.
De prendre conscience des mĂ©canismes du pouvoir patriarcal qui favorisent les agressions sexuelles, mĂȘme dans les sociĂ©tĂ©s modernes, censĂ©es ĂȘtre Ă©galitaires.
Un abus est dâabord toujours un abus de pouvoir, exactement comme dans les scandales qui ont Ă©claboussĂ© lâĂglise catholique, comme dans les millions de cas de harcĂšlement sexuel sur le lieu de travail, ou les viols commis par des proches.
Or lâindiffĂ©rence des hommes signifie que, dans les faits, ils tolĂšrent la violence sexuelle contre les femmes.
Ătre un homme hĂ©tĂ©rosexuel nâest pas un crime. Et il est regrettable que les hommes soient parfois condamnĂ©s en bloc depuis quelques annĂ©es.
Quoi quâil en soit, un homme se rend moralement complice sâil ne sâintĂ©resse absolument pas Ă ce que subissent les femmes.
Chaque fois que ses congénÚres considÚrent le corps de la femme comme un objet sexuellement disponible.
Le fait quâil y ait si peu dâhommes prĂ©sents dans la salle dâaudience dâAvignon est une preuve dĂ©solante de ce dĂ©sintĂ©rĂȘt."
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"Lâabsence de rĂ©action de lâOccident face aux actions israĂ©liennes et aux dizaines de milliers de civils tuĂ©s se situe au-delĂ du double standard dĂ©noncĂ© depuis des mois. Il sâagit bien de complicitĂ© active de crimes de guerre et de crimes contre lâhumanitĂ© commis par un Ătat voyou.
La rapiditĂ© et la violence des bombardements sur Beyrouth crĂ©ent une forme de sidĂ©ration, au Liban comme ici. Et la litanie des morts sans nom et sans sĂ©pulture, souvent civils, qui sâamoncĂšlent sous les frappes prĂ©tendument ciblĂ©es de lâarmĂ©e israĂ©lienne, possĂšde dĂ©sormais un effet anesthĂ©siant.
Comme le notait lâhistorien Vincent Lemire le 4 septembre au micro de France Inter, quelques jours avant lâoffensive sur le Sud-Liban et Beyrouth : « On ne connaĂźt pas les histoires et les visages des morts Ă Gaza. Au moins 40 000 morts, dont au moins 30 000 femmes et enfants Ă Gaza, innocents par dĂ©finition⊠Ces chiffres ont pratiquement une capacitĂ© anesthĂ©siante sur nous. Il y a quelques mois, on programmait des Ă©missions parce quâon parlait de 30 000 morts et non plus de 20 000. Mais aujourdâhui ces chiffres ne nous disent plus rien. On est obligĂ© de les rapporter Ă une rĂ©alitĂ© française pour quâils continuent de nous frapper. »
Un mois aprĂšs les massacres du 7 octobre, nous Ă©crivions que « rapportĂ©s Ă la population israĂ©lienne, il a Ă©tĂ© dit que les massacres du 7 octobre ayant fait plus de 1 300 victimes Ă©quivalaient, en France, Ă un Bataclan qui aurait coĂ»tĂ© la vie Ă 9 500 personnes. Si lâon prolonge ces calculs sordides, et quâon rapporte les 9 000 morts de Gaza Ă une population totale dâenviron 2,3 millions dâhabitant·es, câest comme si, en quatre semaines, la France avait perdu 264 000 habitants, dont plus de 100 000 enfants ».
Si lâon poursuit encore lâextrapolation macabre et que lâon se base sur un chiffre de dĂ©sormais 41 000 morts Ă Gaza, la population palestinienne gazaouie engloutie depuis un an Ă©quivaut donc Ă 1,2 million de tuĂ©s rapportĂ©s Ă la population française, soit Ă peine moins que le nombre de Français tuĂ©s pendant la boucherie de la PremiĂšre Guerre mondiale.
Guerre de vengeance
Mais puisquâil nâest pas certain que mĂȘme cette comparaison suffise Ă frapper les esprits, sans doute faut-il oser un autre parallĂšle. Si on se base sur les chiffres donnĂ©s par les ministĂšres de la santĂ© Ă Gaza et au Liban et quâon ajoute une estimation basse des victimes sans nom ni sĂ©pulture qui se trouvent encore sous les dĂ©combres, on atteint au moins 60 000 morts directes dans les frappes de lâartillerie et de lâaviation israĂ©lienne.
Ce qui revient Ă dire quâIsraĂ«l a commis, depuis un an, lâĂ©quivalent dâun massacre du 7 octobre chaque semaine. Pourtant, aucun dirigeant occidental ne sâest prĂ©cipitĂ© Ă Ramallah ou Ă Beyrouth pour exprimer son horreur devant le carnage. Aucun chef dâĂtat ou de gouvernement nâa assurĂ© les peuples palestinien et libanais de son soutien total face aux agressions. [...]
Cette guerre menĂ©e par IsraĂ«l â guerre de reprĂ©sailles et de dissuasion mais aussi de vengeance â fait couler des riviĂšres de sang dont les mains des dirigeants occidentaux â et avant tout Ă©tatsunien, câest-Ă -dire Joe Biden mais aussi Kamala Harris en tĂȘte â sont entachĂ©es, tant ils partagent de responsabilitĂ©s avec les criminels qui gouvernent IsraĂ«l.
Lâeffacement des civils
Dans le monde post-7 octobre, bien prĂ©parĂ© par le monde post-11 septembre et les centaines de milliers de morts dâIrak ou dâAfghanistan, câest ainsi la notion mĂȘme de population civile qui sâefface, en tout cas si ces civils ont le malheur dâĂȘtre arabes ou musulmans.
Ce nâest pas seulement que les morts et les prisonniers israĂ©liens ont des noms, des visages et des histoires, contrairement aux corps pourrissant dans les fosses communes de Gaza, enfouis dans les dĂ©combres de la banlieue sud de Beyrouth ou retenus dans les geĂŽles inaccessibles du NĂ©guev.
Câest quâun corps palestinien ou chiite ne vaut plus rien aux yeux des IsraĂ©liens en particulier, et des Occidentaux en gĂ©nĂ©ral, comme le manifeste la dĂ©mesure des chiffres que lâon peut aujourdâhui mettre en regard.
Si lâon mesure non seulement les morts provoquĂ©es directement par les bombardements israĂ©liens Ă Gaza, mais aussi toutes les victimes indirectes, notamment du fait des maladies et du manque dâaccĂšs aux soins, on peut sans doute facilement doubler le chiffre de 60 000 victimes, sans aller jusquâaux 186 000 victimes comptabilisĂ©es par une publication rĂ©cente du Lancet.
Ce qui signifierait quâavec une estimation plausible de 120 000 morts Ă Gaza, on aurait dĂ©jĂ une centaine de morts palestiniens, pour un mort israĂ©lien le 7 octobre. Des chiffres effarants, Ă comparer avec un rapport de 7 Ă 1 pendant la premiĂšre Intifada et de 3 Ă 1 pendant la seconde.
Autre exemple du dĂ©calage profond entre lâimportance des corps et des vies dâun cĂŽtĂ© Ă lâautre de la barriĂšre de Gaza ou du fleuve Litani : lâoffensive israĂ©lienne au Liban a Ă©tĂ© justifiĂ©e par son gouvernement par la nĂ©cessitĂ© de permettre aux 60 000 dĂ©placĂ©s du nord dâIsraĂ«l de retourner dans leurs maisons.
Sans sous-estimer la vie devenue invivable de ses populations, que nous avions dâailleurs documentĂ©e dans un reportage rĂ©cent, comment est-il possible dâaccepter une telle justification alors quâelle se paye de lâexil forcĂ© de dĂ©jĂ plus dâun million de Libanais ?
Les complicités occidentales
De cet effacement des civils libanais et palestiniens, lâOccident est comptable Ă plus dâun titre. Dâabord en fournissant les armes et les devises nĂ©cessaires Ă ce carnage. Au moment mĂȘme oĂč il frappait Beyrouth et oĂč les Ătats-Unis affirmaient nâavoir pas Ă©tĂ© mis au courant, le gouvernement israĂ©lien se faisait un malin plaisir dâannoncer une nouvelle aide de 8,7 milliards de dollars en provenance de lâalliĂ© amĂ©ricain.
Dans quel monde peut-on trouver logique, comme ce fut le cas en avril dernier avec la levĂ©e du vĂ©to rĂ©publicain au CongrĂšs, de dĂ©bloquer une « aide » comparable pour lâUkraine attaquĂ©e par le rĂ©gime de Poutine ; pour TaĂŻwan sous la pression du rĂ©gime chinois et pour IsraĂ«l capable de dĂ©truire en quelques jours la menace du Hezbollah libanais aprĂšs avoir rĂ©duit en miettes les infrastructures du Hamas ?
Ensuite, en refusant de reconnaĂźtre un Ătat palestinien, Ă quelques rares exceptions prĂšs, telles la NorvĂšge, lâIrlande et lâEspagne. Le Moyen-Orient est de fait bouleversĂ© par la dĂ©capitation du Hezbollah â une action en passe de prouver que la menace iranienne sur IsraĂ«l demeure circonscrite, tant le rĂ©gime des mollahs est contestĂ© en interne et incapable de rivaliser militairement avec un Ătat hĂ©breu soutenu par les Ătats-Unis.
Dans ce moment majeur de redistribution des cartes, lâurgence est pourtant Ă une action diplomatique imposant la crĂ©ation dâun Ătat palestinien sans lequel les logiques meurtriĂšres et gĂ©nocidaires Ă lâĆuvre ne pourront que difficilement connaĂźtre de rĂ©pit. [...]"
#french#israel#long post#palestine#iran#lebanon#europe#usa#colonialism#zionism#genocide#bee tries to talk#upthebaguette
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Puzzle
La brocante occupait tout le quartier. Il y avait tellement de monde que MaĂ«l nâarrivait pas Ă avancer. Lui qui dĂ©testait les brocantes, il devait la traverser pour rentrer chez lui. Il marchait lentement, trop lentement, au pas des visiteurs en quĂȘte dâun achat dĂ©bile. Par moment, il regardait le ciel en se demandant quel crime avait-il commis pour mĂ©riter cela. Le temps semblait long alors que dâhabitude, la distance Ă©tait courte, trĂšs courte.
Soudain, Il sâarrĂȘta subitement. Ses yeux fixĂšrent une image sur une boite. Elle attirait MaĂ«l comme un pot de miel sur une mouche. Il approcha du stand tenu par un homme ĂągĂ© dâune soixantaine dâannĂ©es. MalgrĂ© le temps automnal, il portait un dĂ©bardeur blanc. Le jeune homme sâattarda sur la boite. Lâimage reprĂ©sentait une partie dâun tableau du peintre JĂ©rĂŽme Bosch. Plus prĂ©cisĂ©ment lâEnfer.
Il est complet. Il est Ă vous pour cinq euros.
MaĂ«l ne regarda pas le vendeur. Il demeurait obnubilĂ© par lâimage des corps subissant mille tortures au milieu dâinstruments de musique. Il sortit son portefeuille et sans chercher Ă nĂ©gocier, donna la somme convenue. Puis il partit, le puzzle sous le bras,  en marchant au rythme de la foule toujours lente. DerriĂšre lui, lâhomme en marcel marmonna quelques mots : « Content de mâen ĂȘtre dĂ©barrassé ».
Lorsquâil entra dans son appartement, il posa la boite sur la table basse, avant dâaller sur son ordinateur pour lire et rĂ©pondre Ă quelques mails professionnels. Ce nâest quâaprĂšs le diner quâil se souvint du puzzle. Le jeune homme regarda la boite en se demandant pourquoi avoir achetĂ© cette chose, surtout quâil nâaimait pas les puzzles. Câest trop chiant, trop pĂ©nible. Cela demande Ă©normĂ©ment de patience et mĂȘme sâil ne contenait que 600 piĂšces, il ne le ferait jamais. Cependant, le dessin de Bosch lâintriguait. Il le regarda une nouvelle fois, observa quelques dĂ©tails morbides, une flute dans un rectum, un dĂ©mon dĂ©vorant un homme... Il se sentit hypnotisĂ© par le puzzle quand une sonnerie retentit. DĂšs lors, il oublia la boite sur la table basse et rejoignit quelques amis lâattendant dans la rue.
A son retour, quelle ne fut pas sa surprise de dĂ©couvrir la boite ouverte. En effet, le couvercle Ă©tait posĂ© Ă cĂŽtĂ© de la boite, ainsi que deux morceaux comme si quelquâun avait commencĂ© le puzzle. MaĂ«l fouilla son logement Ă la recherche dâindividus, mais il ne trouva personne ni ne dĂ©couvrit dâinfraction. DĂšs lors, il sâassit dans son canapĂ© et observa le jeu. Il prit le couvercle, regarda le tableau avant de le reposer. Par curiositĂ©, il attrapa deux piĂšces, et chercha Ă quel endroit de lâimage elles correspondaient.
Il ne remarqua pas la nuit se finir ni le jour se lever. MaĂ«l continua de complĂ©ter le puzzle, morceau par morceau. Il se dĂ©battait, perdait une demi-heure rien que pour trouver oĂč placer telle tĂȘte. Ici, câest du noir, lĂ de lâocre. Ses yeux ne se fermaient pas, continuant, oubliant la fatigue. Enfin, la sonnerie dâun rĂ©veil sortit MaĂ«l de sa concentration. Il devait aller travailler. Il se leva, prit une douche, un cafĂ© puis il quitta lâappartement.
De retour aprĂšs 18H, Il retrouva ses habitudes jusquâĂ ce quâil rĂ©alise que le puzzle Ă©tait toujours sur la table basse. Toutefois, Il eut lâimpression quâil manquait la moitiĂ© des piĂšces dĂ©jĂ placĂ©es. Il sâassit, observa la boite et sans attendre, comme envoutĂ©, il repartit dans la construction du jeu.
Il manipulait les piĂšces, cherchait Ă les emboiter correctement. Il demeurait concentrĂ© si bien quâil ne rĂ©pondit pas Ă un SMS ; il ne chercha mĂȘme pas Ă sâintĂ©resser Ă lâexpĂ©diteur. MaĂ«l ne se rendit pas compte du temps non plus. Il retrouva ses esprits en entendant le rĂ©veil sonner. Encore une fois, il repartait travailler sans avoir dormi.
Plus les journĂ©es passaient, plus le puzzle lui prenait la tĂȘte. AprĂšs une semaine, il rĂ©alisa que ce jeu de sociĂ©tĂ© nâĂ©tait pas normal. En fait, il dĂ©couvrait des piĂšces manquantes, rangĂ©es dans la boite au lieu dâĂȘtre sur le plateau. Il ne comprenait plus jusquâau ras-le-bol. A ce moment, dâun geste de colĂšre, il remit les morceaux dans la boite. Cette nuit, MaĂ«l put enfin dormir.
Le soleil venait de se lever lorsquâun bruit fort rĂ©veilla le jeune homme. Sur le coup, il pensa Ă un meuble tombĂ©. Il se prĂ©cipita dans le salon. MaĂ«l fut stupĂ©fait de trouver la boite du puzzle, normalement rangĂ©e au-dessus dâune armoire, sur la table basse. Son couvercle Ă©tait ouvert, de mĂȘme, deux piĂšces posĂ©es invitaient MaĂ«l Ă continuer de finir le tableau.
Il resta un instant Ă observer lâenfer dessinĂ© sur le couvercle. Tout Ă coup, il recommença le puzzle. La dĂ©termination envahit son regard, il avait envie de le terminer. Il installa les piĂšces les unes aprĂšs les autres. Il ne pensait que pour ce puzzle. Le tĂ©lĂ©phone sonna, il ne rĂ©pondit pas. Le dimanche passa sans quâil ne puisse en profiter. Il demeura concentrĂ© Ă vouloir installer tel ou tel morceau correspondant. Le tableau commençait Ă prendre forme. Toutefois, lorsquâil partit rĂ©chauffer une boite de conserve, il fut déçu de trouver des piĂšces manquantes au puzzle. Quelquâun ou quelque-chose sâamusait Ă dĂ©faire son Ćuvre.
MaĂ«l ne comptait plus les journĂ©es. Le puzzle le rendait fou. Il voyait les briques bouger, les couleurs sâenvoler. Il sentit une brulure lorsquâil toucha le dessin dâune flamme. Il entendit des voix, des lamentations, des hurlements et des crĂ©pitements entrecoupĂ©s de rires. Dâordinaire sympathique et dĂ©tachĂ©, MaĂ«l ne dormait plus, il ne mangeait plus. Il essaya de ne plus cligner des paupiĂšres quand il vit une piĂšce disparaitre subitement aprĂšs deux secondes dâinattention.
Puis il entendit de la musique, flutes et harpes accompagnait de la viole et un tambour. Ce dernier frappait en cadence au rythme de son cĆur. Il se sentait Ă©puisĂ©, seulement câĂ©tait devenu plus fort que lui : il devait finir ce puzzle !
Un message de son patron ainsi que de quelques amis signalaient leur inquiĂ©tude Ă son Ă©gard. Mais rien nây fait, il ne les Ă©couta pas. Il persistait Ă vouloir finir le puzzle qui parut sans fin. « Seulement 600 piĂšces ? Non, il en fait bien plus ! » RĂ©alisa-t-il. Puis il se concentrait encore et encore sur le jeu de sociĂ©tĂ©. Il essaya dâimbriquer deux morceaux en vain, il trouva enfin le corps dâun damnĂ©. Il avait faim, il avait soif, pourtant il continuait comme un dĂ©sĆuvrĂ©.
Le tambour battait toujours au rythme de son cĆur. Il ne resta plus que dix morceaux Ă installer. MaĂ«l trouva leur emplacement facilement les uns aprĂšs les autres. La musique sâessouffla lentement, les cris ne rĂ©sonnĂšrent plus. Le tambour frappait avec une cadence plus lente. Plus que troisâŠEnfin lâavant-dernier. Puis, il ferma les yeuxâŠle tambour sâĂ©tait tu.
En entrant dans lâappartement, aprĂšs avoir fracassĂ© la porte Ă coup de hache, les pompiers se doutĂšrent de ce quâils allaient trouver. A cause de lâodeur qui empestait les escaliers de lâimmeuble. Le corps putrĂ©fiĂ© de MaĂ«l restait Ă©tendu sur le canapĂ©. Une volĂ©e de mouches sortit lorsquâun des pompiers ouvrit la fenĂȘtre. Les autres ne purent quâattendre la police pour faire constater la mort du locataire des lieux.
StĂ©phane avait vingt ans dâexpĂ©rience. Il Ă©tait habituĂ© Ă ce genre de situation. Son regard croisa le puzzle sur la table. Il remarqua la piĂšce encore installĂ©e dans la boite. DĂšs lors, il lâa pris et la plaça terminant ainsi le tableau.
Le pauvre, dit ironiquement un de ses collĂšgues. Il nâa pas pu finir son puzzle.
Le pompier se pencha pour mieux regarder le jeu. Il pointa lâindex vers un petit personnage Ă la droite dâune harpe.
Câest marrant, il a le mĂȘme visage grimaçant que notre client.
Ils sortirent pour respirer autre chose que la mort. Pendant ce temps, un souffle comme un long rùle sortit du tableau. Le puzzle réclamait une nouvelle victime.
Alex@r60 â aoĂ»t 2023
Peinture : DĂ©tail de LâEnfer (volet de droite du triptyque du Jardin des DĂ©lices) par JĂ©rĂŽme Bosch
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Affaire Philippine : un suspect arrĂȘtĂ© en Suisse. Taha O., migrant clandestin marocain sous OQTF dĂ©jĂ condamnĂ© pour un viol commis en 2019. PassĂ© en CRA, un juge lâa libĂ©rĂ© puis il a disparu dans la nature
RĂ©sumĂ© : Philippine, une brillante Ă©tudiante de 19 ans, est introuvable. Sa famille âtrĂšs soudĂ©eâ et dâautres personnes se lancent dans des recherches, une battue est organisĂ©e. Son corps, enterrĂ©, est retrouvĂ© samedi dans le bois de Boulogne, non loin de son universitĂ© Paris-Dauphine. Le suspect arrĂȘtĂ© en Suisse est Taha O., un migrant clandestin marocain sous OQTF nĂ© en 2002. Peu de tempsâŠ
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L'amour est une grande guerre, m'avait-on dit plus jeune.
Aujourd'hui, je me rends compte Ă quelle point c'est vrai.
C'est d'autant plus vrai quand la guerre est incontrÎlable, quand on est obligés de prendre les armes, quand les explosions font rages tu ne peux que te protéger, riposter ou mourir.
J'ai essayé les trois pour ma part.
Mais je ne suis pas fiÚre d'avoir survécu.
Car parfois j'ai l'impression que l'Univers me punissait de quelque chose.
C'est comme si je ne mĂ©ritais pas d'ĂȘtre heureuse.
C'est comme si les Dieux de la Vengeance s'étaient emparés de mon corps pour mener des batailles que je n'ai pas choisi.
C'est comme si les DĂ©esses de la Sournoiserie s'Ă©taient emparĂ©s de mon cĆur pour combattre la douceur que tu me donnes.
Ils se sont emparés de mon ùme.
Et je suis dĂ©solĂ©e d'ĂȘtre si dĂ©testable, aigrie et triste.
Je te punis pour des crimes que j'ai commis.
Je te punis pour ta gentillesse et ta compréhension car je n'ai connu que les reproches et le malheur.
Et je préfÚre nourrir cette haine envers toi comme un enfant gùté alors qu'en vérité c'est moi - ma fragilité, ma folie - que je déteste.
Alors je suis désolée.
Mais comprends-moi ces derniers temps, j'ai l'impression que je ne contrĂŽle plus rien...
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. La vie est un mythe. Mon Ăąme et moi, nous fĂźmes nos bagages et cherchĂąmes dans le quartier un gĂźte qui n'aurait Ă©tĂ© qu'un gĂźte. Le pain est simple, l'amour est simple, la mort est simple. Pourquoi les pauvres hommes ont-ils voulu la vie si compliquĂ©e ? Pourquoi la bourrent-ils Ă l'envi de leurs fantaisies ? Que de fatigues, et que de dĂ©chets ! ...Ils nous convient dans leurs thĂ©Ăątres pour Ă©couter des dialogues de vendeurs aux soutiens-gorge, ou dans leurs parlements pour entendre des harangues de tambours de village, ou dans leurs salons pour admirer la VĂ©nus TeinturiĂšre. Vivre ! Docteur, je voudrais vivre ! Pourquoi les hommes ne sont-ils pas comme les feuilles d'un arbre, toutes propres, silencieuses et discrĂštes ? Faut-il des Ăąmes d'Ă©lite ? Oui, bien, il en faut. Et des cerveaux de princes et des sensibilitĂ©s de grands hommes. Oui, mais il ne faut pas que celles-lĂ . Paris doit avoir avant tout des habitants et non pas des gĂ©nies Ă chaque Ă©tage, comme des dentistes ou des tailleurs Ă façon. Je ne suis qu'un homme qui veille dans son phare, une abeille qui porte sur son dos son miel noir, un passant parmi les passants. J'aime la vie, comme les courtiliĂšres aiment leur chemin, et les tuiles leur coude Ă coude aux tempes des maisons. Je voudrais faire mon devoir d'homme parmi des spectacles rĂ©els, "dans de la banalitĂ© riche". Je voudrais qu'il n'y eut qu'un phare tous les mille mĂštres sur cette route qui nous mĂšne Ă la mort. Des gĂ©nies, mais des hommes. Non, je ne suis pas thĂ©ologien, ni un fasciste, ni un rouge, ni un mauve, ni un syndiquĂ©, ni un des plus brillants romanciers de ce temps, ni l'auteur dramatique le plus en vue, ni le commis voyageur le plus actif de la PensĂ©e Française, ni quelqu'un des pontifes les plus adorables des Lettres, ni un charmant causeur, ni un ornement des salons. Je ne suis qu'une lampe de chair et d'ombre. Je sens pourtant ce qui est bien et ce qui est faux. J'ai attachĂ© mon existence au corbillard des pauvres. Et j'aime mieux mordre dans le saucisson de la mĂšre Bourdognon que de me prendre au sĂ©rieux. Tous ces gĂ©nies me font peur. Si au moins ils avaient apportĂ© des joies, s'ils avaient crĂ©Ă© quelque chose ? Car enfin, il y a eu Rabelais, Balzac, Pascal, Baudelaire, Stendhal, Musset, le pĂšre Hugo, ce grand prĂȘteur dont ils taisaient tous le nom. Il y a eu Rimbaud, MallarmĂ©, Verlaine et Debussy. MĂȘme, il y a eu Bizet et Fragonard. Et tous ceux qui les prĂ©cĂšdent. Alors, qu'on ne secoue pas les braves gens dans leur lit parce que le jeune PĂšteprouf a accouchĂ© d'un pouĂąme, d'une piĂ©cette, d'une musiquette, d'une historiette ou d'une peinture lurette. Sinon, nous allons appeler les artilleurs Ă leurs piĂšces Ă notre tour, nous autres qui avons cent ans et plus de coins de Paris, et de bouquins, et d'application. Nous aussi, nous avons une RĂ©volution qui menace derriĂšre nos fagots. Mais une rĂ©volution obscure, digne, toute en veilles fantastiques, en vellĂ©itĂ©s de bonne tĂȘte. Un coup de tĂȘte de PoĂ©sie, une dĂ©claration d'amour plus artiste Ă la matiĂšre. Une autorisation donnĂ©e aux hommes de se risquer entiĂšrement, corps et Ăąme, dans l'aventure ! Il faudrait une RĂ©volution du courage contre la facilitĂ©, de la mĂ©ditation contre le bagout, de l'art vrai contre l'art Ă portĂ©e de tous. Et de mon cañon de silence et de lassitude, je les vois venir, ceux qui la feront, au nom de l'honneur de sentir. »
LĂ©on-Paul Fargue (1876-1947) - " Azazel " - Haute solitude. Paris, Ămile-Paul frĂšres , [1941].
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Unseen Warfare
THE SWORD OF SAINT MICHAEL
(5-min read)
A true account of Saint Michaelâs use of his sword is that of a young American Marine who prayed to him every morning. Separated from his unit after a blizzard during the Korean War, he was caught face-to-face with seven enemy soldiers who had guns drawn ready to fire. Only thanks to the Archangel did he miraculously survive the ensuing shootout. The prayer the soldier said daily is known as the Michael of the Morning prayer:
Michael, Michael of the morning,
Fresh corps of Heaven adorning,
Keep me safe today,
And in time of temptation
Drive the devil away.
Amen.
That soldier, who renames nameless, recounted the miraculous tale in a letter to his mother as he recovered in a hospital. Navy Chaplain Father Walter Muldy received a copy of this letter and speaking to the soldier, his mother, and the leader of his unit, confirmed the veracity of the story.
Transcribed below is Father Walter Muldyâs audio account of the soldierâs letter from a radio show recorded on 23 December 1964:
Dear Mom,
I wouldnât dare write this letter to anyone but you because no one else would believe it. Maybe even you will find it hard, but I have got to tell somebody. First off, I am in a hospital. Now donât worry, ya hear me, donât worry. I was wounded but Iâm okay you understand. Okay. The doctor says that I will be up and around in a month.
But thatâs not what I want to tell you.
Remember when I joined the Marines last year; remember when I left, how you told me to say a prayer to St. Michael every day. You really didnât have to tell me that. Ever since I can remember you always told me to pray to St. Michael the Archangel. You even named me after him. Well I always have.
When I got to Korea, I prayed even harder. Remember the prayer that you taught me? âMichael, Michael of the morning, fresh chord of Heaven adorning,â you know the rest of it. Well, I said it every day. Sometimes when I was marching or sometimes resting. But always before I went to sleep. I even got some of the other fellas to say it.
Well, one day I was with an advance detail way up over the front lines. We were scouting for the Commies. I was plodding along in the bitter cold, my breath was like cigar smoke.
I thought I knew every guy in the patrol, when along side of me comes another Marine I never met before. He was bigger than any other Marine Iâd ever seen. He must have been 6â4âł and built in proportion. It gave me a feeling of security to have such a body nearby.
Anyway, there we were trudging along. The rest of the patrol spread out. Just to start conversation I said, âCold ainât it.â And then I laughed. Here I was with a good chance of getting killed any minute and I am talking about the weather.
My companion seemed to understand. I heard him laugh softly. I looked at him, âI have never seen you before, I thought I knew every man in the outfit.â
âI just joined at the last minuteâ, he replied. âThe name is Michael.â
âIs that so,â I said surprised. âThat is my name too.â
âI know,â he said and then went on, âMichael, Michael of the morning âŠâ
I was too amazed to say anything for a minute. How did he know my name, and a prayer that you had taught me? Then I smiled to myself, every guy in the outfit knew about me. Hadnât I taught the prayer to anybody who would listen. Why now and then, they even referred to me as St. Michael. Neither of us spoke for a time and then he broke the silence.
âWe are going to have some trouble up ahead.â
He must have been in fine physical shape or he was breathing so lightly I couldnât see his breath. Mine poured out in great clouds. There was no smile on his face now. Trouble ahead, I thought to myself, well with the Commies all around us, that is no great revelation. Snow began to fall in great thick globs. In a brief moment the whole countryside was blotted out. And I was marching in a white fog of sticky particles. My companion disappeared.
âMichael,â I shouted in sudden alarm.
I felt his hand on my arm, his voice was rich and strong, âThis will stop shortly.â
His prophecy proved to be correct. In a few minutes the snow stopped as abruptly as it had begun. The sun was a hard shining disc. I looked back for the rest of the patrol, there was no one in sight. We lost them in that heavy fall of snow. I looked ahead as we came over a little rise.
Mom, my heart stopped. There were seven of them. Seven Commies in their padded pants and jackets and their funny hats. Only there wasnât anything funny about them now. Seven rifles were aimed at us.
âDown Michael,â I screamed and hit the frozen earth.
I heard those rifles fire almost as one. I heard the bullets. There was Michael still standing. Mom, those guys couldnât have missed, not at that range. I expected to see him literally blown to bits. But there he stood, making no effort to fire himself. He was paralyzed with fear. It happens sometimes, Mom, even to the bravest. He was like a bird fascinated by a snake. At least, that was what I thought then. I jumped up to pull him down and that was when I got mine; I felt a sudden flame in my chest. I often wondered what it felt like to be hit, now I know.
I remember feeling strong arms around me, arms that laid me ever so gently on a pillow of snow. I opened my eyes, for one last look. I was dying. Maybe I was even dead, I remember thinking well, this is not so bad. Maybe I was looking into the sun. Maybe I was in shock. But it seemed I saw Michael standing erect again only this time his face was shining with a terrible splendor. As I say, maybe it was the sun in my eyes, but he seemed to change as I watched him. He grew bigger, his arms stretched out wide, maybe it was the snow falling again, but there was a brightness around him like the wings of an angel. In his hands was a sword. A sword that flashed with a million lights. Well, that is the last thing I remember until the rest of the fellas came up and found me. I do not know how much time had passed. Now and then I had but a momentâs rest from the pain and fever. I remember telling them of the enemy just ahead.
âWhere is Michael,â I asked.
I saw them look at one another. âWhereâs who?â asked one.
âMichael, Michael the big Marine I was walking with just before the snow squall hit us.â
âKid,â said the sergeant, âYou werenât walking with anyone. I had my eyes on you the whole time. You were getting too far out. I was just going to call you in when you disappeared in the snow.â
He looked at me, curiously. âHow did you do it kid?â
âHowâd I do what?â I asked half angry despite my wound. âThis marine named Michael and I were just âŠâ
âSon,â said the sergeant kindly, â I picked out this outfit myself and there just ainât another Michael in it. You are the only Mike in it.
He paused for a minute, âJust how did you do it kid? We heard shots. There hasnât been a shot fired from your rifle. And there isnât a bit of lead in them seven bodies over the hill there.â
I didnât say anything, what could I say. I could only look open-mouthed with amazement.
It was then the sergeant spoke again, âKid,â he said gently, âevery one of those seven Commies was killed by a sword stroke.â
That is all I can tell you Mom. As I say, it may have been the sun in my eyes, it may have been the cold or the pain. But that is what happened.
Love, Michael
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Mr Butterfly Mask. [Sakamaki Reiji]
Personnage : Sakamaki Reiji CD : DIABOLIK LOVERS Sadistic Song Vol.5 REIJI SAKAMAKI Seiyuu : Katsuyuki Konishi Mai : Probablement l'une de mes chansons prĂ©fĂ©rĂ©es, car l'on entend parfaitement le timbre extrĂȘmement profond et grave de Reiji. Et j'ai Ă©galement adorĂ© le jeu de mot avec "Rage" et Reiji, qui sonnent approximativement pareil en japonais. Car, au fond, Reiji est un personnage empli de rage. Lien vers la chanson : ici
Mr. Butterfly MaskÂ
é èœăăăăăźăŻéŁéĄ?
ă€ăŸăăšăăăă€ăŸăăȘăæ„ăLieă
äžăźäžăŻćźăŻæçąșă§
ç©ăăăźăš ç©ăăăăăźăăăăȘă
Quâest-ce, ce que tu tâattentes Ă me cacher ?Â
A la fin, cela ne reste quâun embarrassant mensonge sans but.Â
Le monde est simple, quand lâon vient Ă cette conclusion :Â
Il nâexiste que des chasseurs, et ceux qui sont chassĂ©s.Â
æȘăăèŒă éèČăźæąăăăçźèŠăăźć»
ăăăć€ăźćČćŠăæăăăă
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ăæăŸăăæăăăăăźTeethMarks
ä»ćź”ăèČŽć„łăçă«æŻé
ăăăŠăăăăă
Tu tâĂ©veilles omninalement du cercueil de la grande Beatrix dâOr, celle qui prĂ©dit lâEveil.Â
Vient, je tâenseignerai toute la philosophie de la nuit.Â
TeintĂ©es de carmin, ces marques de crocs tremblent,Â
Ce soir, je prendrai vĂ©ritablement et entiĂšrement contrĂŽle de toi, je te dominerai complĂštement.Â
ăăźä»źéąăć€ăăMr.ButterflyMask
ăèȘ°ăäžçȘăèšăăȘăăăă
Maintenant, je nâai plus quâĂ retirer ce dĂ©guisement, moi, lâhomme au masque papillon.Â
âAller, dis-moi tout haut qui est le meilleurâÂ
Ră»Aă»Gă»E is Perfect SadisticMan
Ră»Aă»Gă»E is Perfect SadisticMan
Ră»Aă»Gă»E is Perfect SadisticMan
Ră»Aă»Gă»E is Perfect SadisticMan
Ră»Aă»Gă»E is Perfect SadisticMan
Ră»Aă»Gă»E is Perfect SadisticMan
R A G E lâhomme sadique parfaitÂ
R A G E lâhomme sadique parfait
R A G E lâhomme sadique parfaitÂ
R A G E lâhomme sadique parfaitÂ
R A G E lâhomme sadique parfaitÂ
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ćŒăäžć·»ăźç”ăăă
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ç§ăźććăć«ă¶ăźă§ă
Mes frĂšres ne pourront rien pour lâarrĂȘterÂ
Celui qui dĂ©clenche la rĂ©volution pour ce sang, un meneur aux deux visages qui rĂšgne comme il le souhaiteÂ
Oh, Eve choisie, si tu dĂ©sires te noyer Ă mes cĂŽtĂ©s, tu peux continuer de te terrer dans cette douleur oh-si agrĂ©able.Â
Je te donnerai plus si tu continues de crier mon nom.Â
äżĄé ŒăăăăăźăŻäœă ă?
ă€ăŸăăšăăăă€ăŸăăȘăăłăăŻăȘă
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Quâest-ce, ce dont en quoi tu dĂ©sires croire ?Â
A la fin, ce nâest rien quâune fixette, une incertitudeÂ
Les jours deviennent monotones, et la rĂ©alisation est lĂ :Â
Il y a ceux que lâon connait, ceux que lâon ne connait pas, et ceux que lâon ne souhaite connaĂźtreÂ
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ă«æăŸăäžçă«çăăŠăă
Les pĂ©chĂ©s grandissent, ils dĂ©bordent, au coeur de lâargent, catastrophique mĂȘme si la chute demeure douceÂ
Vient, montre-moi ces mystĂšres que tu utilises en tant quâexcuse.Â
Hideux, sur ta peau douce oĂč ils siĂšgent comme de sombres marques
Nous vivrons, pour lâĂ©ternitĂ©, dans un monde teintĂ© de carmin, juste toi et moi.Â
ăăźćżăæŸă€ăMr.ButterflyMask
Allons, libĂšre ton cĆur, oh, lâhomme au masque de papillon.Â
ăç§ăźæŁäœăç„ăćż
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âComme un papillon, tu nâas pas besoin de connaĂźtre ma vĂ©ritable nature.âÂ
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Par consĂ©quent, tous les prĂ©judices commis, seront rĂ©parĂ©s.Â
Dans le but dâatteindre la fĂ©licitĂ© donnĂ©e par ce sang, nous lâatteindrons de nouvelles façons.
Oh, Eve destinĂ©e ! Si tu dois accomplir une chose en mon nom, peux-tu Ă©tancher cette soif sans fin qui mâagrippe ?Â
Tu satisfais mon corps comme personne.Â
èȘ°ăăćŽăăŠăăMr. ButterflyMask
ăăăâŠăăŁăšăăŁăšă€ăŁăŠăăăăȘăăăă
VĂ©nĂ©rĂ© de tous, comme il devrait lâĂȘtre : lâHomme au masque de papillon.Â
âMaintenant, approche-toi de moi, toujours davantage.âÂ
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Mes frĂšres ne pourront rien pour lâarrĂȘterÂ
Celui qui dĂ©clenche la rĂ©volution pour ce sang, un meneur aux deux visages qui rĂšgne comme il le souhaiteÂ
Oh, Eve choisie, si tu dĂ©sires te noyer Ă mes cĂŽtĂ©s, tu peux continuer de te terrer dans cette douleur oh-si agrĂ©able.Â
Je te donnerai plus si tu continues de crier mon nom.Â
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#Diabolik Lovers#DL#DiaLover Hell#Diabolik Lovers Reiji#Reiji Sakamaki#Sakamaki Reiji#Diabolik Lovers sadistic song
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Itachi n'est vraiment pas une bonne personne :
Jâai... des sentiments compliquĂ©s pour Uchiha Itachi. Je ne lâaime pas, je ne pense pas que je le ferait jamais. Mais je ne le dĂ©teste pas non plus. Je dĂ©teste ses actes et je les considĂšre comme absolument impardonnables et, surtout, injustifiables. Câest pourquoi ses fans mâagacent autant, je suppose. Car, sous couvert de parler dâactes impardonnables, ils continuent dâessayer de justifier ce qui ne peut et ne devrait jamais lâĂȘtre.
Vous avez beau ĂȘtre dans une situation de merde rendant vos actes comprĂ©hensibles, le gĂ©nocide et le lavage de cerveau ne sont pas justifiables. Jamais.
Peu importe combien j'essaie, en analysant concrĂštement ses actes et ses paroles, je ne parviens jamais Ă comprendre les raisons derriĂšres ces actes. A mes yeux, elles semblent toutes se contredire ou n'avoir, de base, aucun sens :
Il est le pire frĂšre que je connaisse et de loin : Il dit vouloir protĂ©ger Sasuke... mais n'a eu de cesse de le traumatiser. Il a tuer sa famile devant lui et l'a forcer Ă vivre et revivre l'expĂ©rience. Il lui a dit de tuer son meilleur ami. Il a faillit le tuer (lors de leur premiĂšre confrontation aprĂšs les examens chunins) et l'a littĂ©ralement plongĂ© dans le comas. Il a forcĂ© sa derniĂšre famille Ă le tuer. Il a mit en place tout un plan pour laver le cerveau de son petit-frĂšre et lui retirer tout sens du lire-arbitre si celui-ci se rebellait contre ses idĂ©es Ă lui. Il n'avait aucun plan Ă proprement parler pour contrer la tentative d'Orochimaru de voler le corps de son frĂšre. Du moins, aucun qui ne s'activerait Ă moins d'avoir les propres mangekyĂŽ d'Itachi. Il dit vouloir faire de Sasuke un hĂ©ros... avant de (toujours dans cette rencontre post-chunin) rĂ©itĂ©rer ses paroles Ă son frĂšre en lui demandant de tuer son meilleur ami, le jinchuriki et atout du village. OĂč est la putain de logique ?!
Il est prĂ©sentĂ© comme un pacifiste : Mais soutient pleinement le gĂ©nocide de sa propre famille. Alors qu'il Ă©tait formĂ© par son pĂšre comme futur chef de clan, il n'a mĂȘme pas essayer de trouver une autre solution, se contentant d'accepter passivement l'ultimatum du conseil. Il n'a pas prĂ©venu son pĂšre (sans forcĂ©ment dire que la source Ă©tait lui-mĂȘme) que le Coup d'Etat avait Ă©tĂ© Ă©ventĂ©. Il n'a pas chercher d'autres solutions avec le Conseil. Il n'a prĂ©venu aucune des deux parties qu'il existait un Uchiha dissident (qu'il a pourtant rencontrĂ© Ă plusieurs reprises !) qui Ă©tait un bien meilleur candidat pour l'assaut de Kyubi. Quand le clan Uchiha s'est insurgĂ© d'ĂȘtre associĂ© Ă un crime qu'il n'avait pas commis, la rĂ©ponse d'Itachi fĂ»t de s'associer au vĂ©ritable coupable pour gĂ©nocider sa famille, civils et enfants compris. Apparemment, pour lui, massacrer les dissidents de lâĂtat est honorable et justifiĂ© car ''ils n'ont pas voulu changer leur position''. A mes yeux, il est donc trĂšs clair que, pour lui, le mot ''paix'' rime davantage avec ''absence d'opposition'' que ''coopĂ©ration/entente mutuelle''.
Les gens l'appellent un hĂ©ro ayant grandement souffert : Donc cela devrait l'absoudre de ses pĂ©chĂ©s prit volontairement ? Le Sandaime l'a dit lui-mĂȘme, tout Ă Ă©tĂ© laisser Ă l'initiative d'Itachi. Il avait le choix (pourri, certes, mais toujours lĂ ) et a dĂ©cidĂ© de commettre un gĂ©nocide sans mĂȘme essayer de trouver une voie alternative. Il a adhĂ©rer aux politiques sĂ©grĂ©gationnistes des anciens du village sans remettre en question ce que cela pouvait causer comme souffrance Ă sa famille, dĂ©testĂ©e dans leur propre maison et pour laquelle nombre d'entre eux sont morts. Il a torturĂ© son petit-frĂšre de sept ans (sept ans, putain !!!) aprĂšs avoir sauvagement assassinĂ© leur clan sous prĂ©texte de le rendre plus fort, soi-disant pour faire face Ă ''Madara'' sans pour autant se fatiguer Ă alerter ses patrons. Et les gens qu'il a tuĂ©s au nom de Konoha comme shinobis et ANBU ? Ceux qui sont morts sous ses coups en tant que membre de l'Akatsuki ? Son clan, son petit-frĂšre, certains de ses ''camarades shinobis'', les jinchuriki qu'il a traquĂ©s, ils n'ont pas souffert, eux ?!
Ses fans disent souvent qu'il a empĂȘcher la guerre : Il est prĂ©sentĂ© comme le hĂ©ros prĂȘt Ă tout pour empĂȘcher une nouvelle guerre mais n'a jamais proposer de solutions tout en ne fournissant aucunes informations rĂ©elles sur Akatsuki qui Ă©tait un danger dĂ©clarĂ© sur son village (tu parles d'un espion !). Tout comme il a ouvertement soutenu que le massacre du clan Uchiha Ă©tait nĂ©cessaire. Il est dit qu'il voulait empĂȘcher les autres villages de se retourner contre Konoha... mais mĂȘme aprĂšs que le village fĂ»t dĂ©truit Ă trois reprises (Kyubi, Orochimaru, Pein), cela ne s'est jamais produit car... les autres avaient leur propres soucis Ă rĂ©gler. Alors elle est oĂč cette fameuse menace de guerre totale ?! C'est Kiri et ses problĂšmes de BrĂ»me Sanglante qui aurait attaquĂ© ? Iwa et les fortes contraintes Ă©conomiques sur son village qui l'ont obligĂ©s Ă recourir Ă l'Akatsuki en premier lieu ? Kumo malgrĂ© ses soucis Ă formĂ© entiĂšrement son jinchuriki pour qu'il devienne un ''jjinchuriki parfait'' ? Suna qui a toujours eu de gros soucis en matiĂšre de ressources ? Ame malgrĂ© que Nagato soit sous la coupe d'Obito ? Ben voyons ! Qu'a t-il empĂȘchĂ© par son si noble sacrifice si ce n'est une putain de guerre civile dĂ» aux clans qui n'auraient jamais acceptĂ© une telle solution ? Parce qu'il ne faut pas se leurrer, si le Conseil Ă©tait capable de programmer tranquillement le gĂ©nocide d'un clan fondateur, la question qui demeurerait pour les autres clans serait : Qui sera le prochain ?
Je ne pense pas avoir jamais vu un espion aussi mauvais : Je nâai jamais pu comprendre comment, en ayant Ă©tĂ© plantĂ© des annĂ©es Ă lâavance par le village (enfin... techniquement Obito lâa invitĂ© en connaissance de cause pour le manipuler mais bref.), il a rĂ©ussi Ă foirer son espionnage au point oĂč le village ignorait la plupart des informations de bases sur Akatsuki. Car oui, jâai vu de nombreux fans tenter de le dĂ©fendre Ă ce sujet, notamment avec les arguments ââil se serait fait tuer sâil avait Ă©tĂ© soupçonnĂ©ââ, ââil ne sâest pas sciemment attaquer Ă des camarades shinobisââ, ââil nâavait aucun moyen de contacter le villageââ, ââil leur a dit ce quâil savaitââ et autre... sauf quâau final, ce ne sont que des excuses. Soupçonner ? Le vĂ©ritable leader Ă©tait au courant depuis des annĂ©es et a estimer que câĂ©tait un risque acceptable. Attaquer ses camarades ? Discutables (Kakashi...) mais admettons. Manque de moyens de communication ? Son inaction ne les a pas aider non plus. Il aurait pu contacter Konoha anonymement ou avec ses corbeaux. Leur dire ce quâil savait ? Cet argument mâa sidĂ©rĂ© car, justement, la raison principale de la mort dâAsuma et Jiraya Ă©tait leur manque dâinformation. Itachi Ă©tait lĂ depuis des annĂ©es mais, visiblement, il ne pouvait ni transmettre lâexistence de ââMadaraââ, ni les plans de Pein (que celui-ci leur avait donner comme il le dit lui-mĂȘme Ă Hidan), ni lâimmortalitĂ© du duo sâen vantant Ă tout va, ni sur leurs cachettes et pas mĂȘme sur leur tendance Ă se dĂ©placer en binĂŽme (utile si Konoha veut mettre en place des embuscades). Alors, au final, quâa gagner Konoha de lâinfiltration dâUchiha Itachi ? Eh bien... rien. En fait, câĂ©tait mĂȘme plutĂŽt une perte, Ă la fois de ses capacitĂ©s globales et de ses yeux mais Ă©galement du fait que, pendant ce temps, il a aider Ă la rĂ©alisations des objectifs ennemis, faisant ainsi le jeu dâObito. Et encore... si ce nâest pas un silence volontaire par dĂ©fiance envers les anciens Ă lâavoir mis dans cette situation pour commencer.
Génocide, tentative de meurtre, fratricide, tentative de lavage de cerveau, torture physique et psychologique, trahison potentielle de son village... plus j'y réfléchis, et moins il ressemble à un héros et davantage à un salaud. Pour autant, ça ne veux pas dire que je le considÚre comme une sorte de diable. Je suis consciente que lorsque c'est arrivé, Itachi n'avait que treize ans, ce qui est un ùge bien trop jeune pour se voir imposer une telle situation/pression.
Je suis en fait honnĂȘtement surprise qu'il ait trouver la force d'agir plutĂŽt que juste se laisser mourir/se suicider. Le fait qu'il l'ait fait car il pensait sincĂšrement aider/protĂ©ger son frĂšre est un crĂ©dit supplĂ©mentaire qui lui est dĂ».
Mais voilĂ ... au final, mĂȘme s'il pensait faire au mieux, ce n'Ă©tait pas le cas. MĂȘme sâil se considĂ©rait comme aimant profondĂ©ment Sasuke, il nâa manifestement pas prit en compte le fait quâil aurait Ă©tĂ© plus misĂ©ricordieux de le tuer cette nuit-lĂ que de le laisser (forcer, vraiment...) vivre comme ââDernier Uchihaââ, sans famille, manipulĂ© de toute part et avec le fardeau de la vengeance de sa famille sur le dos et la culpabilitĂ© du survivant en prime. Il pensait aider mais il n'a fait qu'empirer les choses. Il pensait sauver mais il n'a fait que dĂ©truire (Sasuke/Konoha).
Ainsi, mĂȘme si ses actes provoquent mon mĂ©pris (car rien ne peut faire pardonner un gĂ©nocide, jamais.), je n'oublie pas que l'on parle d'un adolescent acculĂ© de seulement treize ans, si hors de sa profondeur que c'en est douloureux Ă voir (et ce quoiqu'en dise Sarutobi Hiruzen qui... a beaucoup de mal avec la prise d'initiative et la prise de responsabilitĂ© pour ses erreurs), comme le dĂ©montre son peu d'efficacitĂ© en tant qu'espion et son dĂ©sespoir de suivre sa ligne directrice fixĂ©e depuis prĂšs de dix ans malgrĂ© la prise en Ăąge et les nouvelles informations en sa possession. Il Ă©tait dĂ©muni, isolĂ©, et s'est vu proposer comme seules solutions : la trahison, le gĂ©nocide ou le lavage de cerveau.
Alors oui, il a choisit le pire... mais le truc, c'est que ce choix n'aurait jamais dĂ» lui revenir pour commencer. Il n'aurait jamais dĂ» se retrouver dĂ©cisionnaire de la marche Ă suivre, pas mĂȘme pour les meilleures raisons du monde, sans parler de la lamentable volontĂ© gouvernementale d'ordonner un gĂ©nocide tout en gardant les mains ''propres'' et ainsi Ă©touffer toute rĂ©bellion potentielle. Sans mentionner... non, en fait, disons-le franchement, la partie sur le fait d'envoyer un Uchiha tuer d'autres Uchiha rajoutait doublement Ă la cruautĂ©.
En premier lieu car ils ont été mis à mort par un membre de leur famille. Pire encore, celui qui était censé représenter leur espoir.
En second lieu car, se faisant, ils ont pu continuer la mascarade des Uchiha assoiffĂ©s de sang et de pouvoir au reste du village (et peut-ĂȘtre entre eux dans une sorte d'auto-glorification, qui sait...) et ainsi continuer Ă leur cracher dessus par-delĂ la tombe. Il est oĂč l'honneur du clan, lĂ -dedans ?! Putain, Kakashi... sur le coup, tu Ă©tais une telle dĂ©ception... bref.
Les actes d'Itachi ont été en grande majorité une succession d'erreurs d'une grande gravité... mais, avant d'émettre un jugement moral, il est important de se rappeler de deux points :
PremiÚrement, on parle d'un adolescent de treize ans puis d'un jeune homme de dix-huit/vingt-et-un ans, d'abord prit dans les mailles de la machine de guerre implacable de Konoha, mise en marche par DanzÎ et supporté par le Sandaime... puis lié à une organistion criminelle (révolutionnaire/terroriste mais à objectif révolutionaire ? C'est encore flou pour moi si ce n'est que se fier aux dires des villages cachés en la matiÚre est une blague dans le meilleur des cas) internationale qui l'aurait assassiné pour tout doute sur sa loyauté (minus Obito qui était déjà au courant et s'en servait allégrement) et traquer en cas de trahison/désertion et ce, alors qu'il était détester de toutes part, sans ressources ni aucune possibilité de faire marche arriÚre dû au manque de preuves.
DeuxiÚmement, je peux porter un jugement moral sur le personnage vis-à -vis de mes propres convictions, notamment celles sur le génocide ainsi que sur la trahison de sa propre famille. Néanmoins, cela ne le rend pas automatiquement bon/pertinent sachant que, d'une part nous n'avons accÚs qu'à une poignée d'informations (connaissance partielle donc.) et, d'autre part, nous placer dans une position moralement plus élevée est dangereux sachant que Naruto est un manga emprunt des idées d'un conservateur du systÚme japonais et qu'à sa place, la quasi-totalité d'entre nous n'auraient probablement jamais pu supporter de nous voir imposer ça.
Donc, pour ses choix terribles, Uchiha Itachi Ă mon mĂ©pris... mais pour son Ăąge et la situation impossible qui l'ont conduit Ă faire ces choix, il a aussi ma pitiĂ©, si inconvenant que cela puisse ĂȘtre de la part de quelqu'un qui ne comprend pas ce qu'il aurait jamais pu ressentir. Qui ne le pourra sans doute jamais. Et heureusement.
Mais, pour rĂ©affirmer cette partie de mon avis, je ne peux pas passer outre les actes d'Itachi, peu importe la pitiĂ© que je peux avoir pour lui. Car, Ă ce qu'une autre utilisatrice de Tumblr a dit (traduit avec DeepL car je ne suis pas anglophone et câest vraiment dommage que je ne me souvienne plus de son pseudo) :
''J'ai l'impression que beaucoup de gens ici pensent sincĂšrement qu'Itachi a tuĂ© son clan par plaisir, qu'il ne se souciait pas de ce qu'il faisait ou qu'ils veulent dĂ©sespĂ©rĂ©ment croire qu'il y avait une meilleure option. Et je trouve cela trĂšs hypocrite, car beaucoup de ces mĂȘmes personnes sympathisent avec Obito. Obito n'a pas vraiment Ă©tĂ© forcĂ©, oui il a Ă©tĂ© "pris/trouvĂ©" par Madara et oui Madara a causĂ© la mort de Rin, mais Obito avait le choix de rentrer chez lui ou de retourner chez Madara, il a choisi Madara. Alors qu'Itachi a Ă©tĂ© forcĂ© de prendre une dĂ©cision. Une dĂ©cision qu'il n'aurait pas dĂ» prendre et qu'il n'aurait jamais dĂ» ĂȘtre mis en position de prendre. Toutes les options prĂ©sentĂ©es auraient eu des consĂ©quences terribles. Tuer Danzo n'est pas vraiment une option. Cela ne fonctionnerait pas car Danzo a Izanagi et pourrait l'utiliser pour "revenir", aprĂšs quoi il se rendrait compte qu'Itachi est contre lui et demanderait Ă ses hommes d'attaquer les Uchiha eux-mĂȘmes, y compris Sasuke. Ce qui pourrait soit se solder par la mort de tous les Uchiha, soit les Uchiha seraient capables de se dĂ©fendre et d'autres personnes pourraient ĂȘtre prises entre deux feux. MĂȘme s'il avait Ă©tĂ© capable d'utiliser le Kotoamatsukami sur lui, il est probable que Danzo avait prĂ©vu cela et ordonnĂ© Ă ses hommes de gĂ©rer la situation s'ils soupçonnaient que ses opinions avaient soudainement changĂ©. Les vraies options. 1. Tuer tous les Uchiha en n'Ă©pargnant que Sasuke, et le faire passer pour un traĂźtre et un criminel alors que le nom des Uchiha est protĂ©gĂ© et que la nouvelle du Coup d'Ătat ne se rĂ©pand jamais. 2. Tuer seulement ceux qui sont directement impliquĂ©s et risquer que les autres deviennent comme Obito ou Sasuke ou Madara, et attaquent le village pour venger leur clan, ce qui les conduirait Ă ĂȘtre tuĂ©s de toute façon. 3. Ne tuer personne et laisser le coup se produire, les Uchiha et les Konoha se font la guerre et de nombreuses personnes des deux cĂŽtĂ©s - y compris des civils innocents - seront tuĂ©es. Les nations ennemies profiteraient de ce qui se passe et attaqueraient, causant encore plus de morts. Les Uchiha survivants seront tous arrĂȘtĂ©s, mis Ă l'Ă©cart et/ou exilĂ©s pour le coup d'Ătat, qu'ils en aient fait partie ou qu'ils aient simplement eu la malchance d'appartenir au mĂȘme clan. 4. Ne tuer personne et laisser Danzo et la Racine s'en occuper. Sasuke meurt Ă©galement. Et soit Itachi meurt aussi, soit il est piĂ©gĂ© de toute façon. Toutes les options sont nulles. Mais l'option 1 a coĂ»tĂ© le moins de vies.''
[Pour faire un appartĂ© rapide, je ne suis pas d'accord avec l'auteur au sujet d'Obito qui est sous l'influence d'un sceau maudit faisant de lui la marionnette de Zetsu et Madara. Bien que je ne sois pas non plus pour l'hypothĂšse d'Obito Ă©tant sous contrĂŽle plutĂŽt quâinfluencer (et donc ne pouvant ĂȘtre tenu responsable parce que... quoi ? Est-ce que ceux qui disent ça ont mĂȘme lu lâintĂ©gralitĂ© de la partie sur Juubito ?) comme tout un chacun dans la vie au vu de ses actes en tant que Juubi jinchuriki une fois dĂ©barrassĂ© du sceau. Maintenant, pour ce qui est d'Itachi...]
Non, bien sûr que non. Itachi n'aurait pas tuer son clan par plaisir. Et bien entendu que cela l'a traumatisé et rempli de regret, je ne dis pas le contraire. Il avait treize ans aprÚs tout. Treize !
Tuer DanzĂŽ n'Ă©tait peut ĂȘtre pas une option mais avertir les Uchiha, si. Ils se seraient battu et, oui, d'autres personnes auraient sans doute Ă©tĂ© happĂ©e dans la bataille. Oui, ça aurait Ă©tĂ© un risque Ă©norme et non, ce n'est certainement pas une bonne solution. Mais... entre ça et subir un gĂ©nocide ethnique Ă l'intĂ©rieur mĂȘme de leur propre maison, de la main de quelqu'un en qui ils avaient confiance, je pense que leur laisser l'occasion de se dĂ©fendre est un minimum.
L'option 1 est ce qu'Itachi a finalement choisit. L'option 4 Ă©tait sortit de base. L'option 3 ne vaut pas grand-chose car, mĂȘme si cela dĂ©gĂ©nĂšre en guerre civile et non pas en ''prise sans effusion de sang'' comme le voudrait Fugaku, il y aura de trĂšs nombreux morts, pour un rĂ©sultat incertain. En revanche, cette menace de guerre mondiale est du flan et empire les choses.
[Autre chose qu'il aurait pu faire, c'est dĂ©noncer Obito et son ''Akatsuki''. Cela n'aurait pas rĂ©solu le problĂšme de base qui est la scission Uchiha/Konoha mais cela aurait permis de rediriger temporairement l'animositĂ© des deux camps (oui, y compris DanzĂŽ qui n'aurait jamais nĂ©gligĂ© la rĂ©apparition de ''Madara'' associĂ© au mĂȘme nom que le porteur du Rinnegan qui a dĂ©jĂ fait Ă©chouer l'un de ses plans) sur un bouc Ă©missaire pour l'attaque (qui est en fait le vrai coupable) et donner un prĂ©texte aux deux camps pour s'unir et repousser leurs rancoeurs mutuelles, permettant ainsi de gagner du temps et rappeler Ă Hiruzen de dĂ©terrer sa tĂȘte du trou oĂč il lâa fourrer pour agir comme il a dit qu'il le ferait. Ou, au minimum, faire autre chose que de s'allier aux vrais coupables (anciens + Obito) de la situation dĂ©plorable de son clan pour massacrer l'ensemble de sa famille et dans le dos des supĂ©rieurs hiĂ©rarchiques qu'il prĂ©tend servir avant de rejoindre une organisation criminelle et ne plus donner signe de vie pendant des annĂ©es.]
Mais... et l'option 2, alors ? Faire exĂ©cuter les coupables serait mal vu et aurait son propre lot de consĂ©quence, Ă commencer par sacrifier l'honneur du clan et la vie de ses parents. Mais le truc, c'est qu'aucune option (mĂȘme la trois le laisse trĂšs incertain, au mieux) ne permet la survie du clan et encore moins son honneur. Car non, commettre un gĂ©nocide et enterrer la vĂ©ritĂ© sous le tapis pour ne pas rĂ©vĂ©ler l'implication de l'Ă©tat quitte Ă user d'un bouc Ă©missaire, ce n'est pas prĂ©server l'honneur des victimes. C'est leur cracher dessus par-delĂ la tombe et ce quoique prĂ©tende Kakashi Ă ce sujet. Donc, foutu pour foutu et compte-tenu du fait que Konoha ne leur a pas laisser beaucoup ''d'honneur'' pour commencer...
Son clan se sentirait trahit et a raison. Ils ne pardonneraient jamais Ă Itachi sa trahison. Surtout, ils prendraient sans doute cela comme la preuve qu'il a bel et bien tuer Shisui et agirait sans doute envers lui comme ils l'ont fait pour Madara... au minimum. Sans compter qu'il n'est absolument pas prĂȘt Ă assumer les responsabilitĂ© de chef de clan si tant est qu'ils le laisse faire ce qui serait au mieux risible et parodique.
Pour autant, ils vivraient. Quand aux coupables, une exĂ©cution publique (et donc une reconnaissance des crimes des Uchiha) ne serait pas nĂ©cessaire et il aurait pu ĂȘtre possible de nĂ©gocier une exĂ©cution sommaire par les ANBU qui prĂ©serverait l'honneur des autres. C'est-Ă -dire si le but du conseil Ă©tait vraiment de rĂ©primer une insurrection menant Ă une guerre civile et non pas de conforter leurs lamentables prĂ©jugĂ©s en dĂ©truisant tout un clan, enfants compris, pour leurs propres objectifs de maintien de leur pouvoir personnel (Koharu) ou dissimulation de leurs crimes (DanzĂŽ).
Ce qui signifie donc que cette optique nâaurait jamais Ă©tĂ© acceptĂ© Ă moins quâHiruzen dĂ©cide de dĂ©velopper une colonne vertĂ©brale contre ses amis ce qui... ouais, non, oubliez ça. Mais il est nĂ©anmoins rĂ©vĂ©lateur que cela (pas lâidĂ©e de dĂ©nonciation sommaire mais bien de redirection de lâanimositĂ© collective sur un bouc Ă©missaire) nâait mĂȘme pas Ă©tĂ© considĂ©rĂ©e.
Sans doute parce que les Uchiha étaient historiquement le bouc émissaire parfait depuis des générations alors pourquoi louper cette occasion ?
Oui, bien entendu, il était toujours possible de créer d'autres Sasuke, Obito ou Madara mais c'était, au mieux, peu probable car aucun autre Uchiha n'aurait le pouvoir de se dresser contre Konoha.
Obito a été entraßner par une légende et génétiquement modifié pour cela, sans compter le soutien d'un utilisateur de Rinnegan, d'une tripotée de nukenin classé S, du GedÎ Mazo, d'un réseau d'espionnage quasiment sans faille grùce à Zetsu et des décennies d'attentes à l'abri des investigations du village. Sasuke et Madara sont les réincarnations littérales d'une divinité (ou demi-dieu ou un quart extraterrestre ou peu importe comment vous l'interprétez !) fondatrice du chakra et de l'ordre des shinobis, ils sont donc eux aussi complÚtement à part. En comparaison, quel danger des Uchiha privés de leurs meilleurs combattants, acculés, sous surveillance constante et manquant de temps pourrait bien faire ?
Et c'est d'ailleurs le point le plus intéressant de la réflexion.
Le fait que, de mon point de vue, il Ă©tait prĂ©fĂ©rable pour Itachi de gĂ©nocider sa propre famille plutĂŽt que de risquer, mĂȘme de façon incertaine, que l'ordre de Konoha soit Ă nouveau troubler par les Uchiha.
Je ne sais pas pour vous mais, en ce qui me concerne, je trouve que cela fait froid dans le dos.
«Les gens soutiennent souvent que des personnages comme Itachi ou Tobirama ont fait des choix difficiles, mais ce nâest pas vrai. Ils sont mesquins dâesprit, paresseux dans leurs pensĂ©es, et ils ont choisi la solution de facilitĂ©. Massacrer les gens nâest pas difficile. Ce qui aurait Ă©tĂ© difficile, câest de naviguer dans une myriade de questions sociales et morales comme la gestion des rancunes historiques volatiles entre clans, lâintĂ©gration, le pluralisme, le partage du pouvoir, lâĂ©limination progressive de lâesclavage et dâautres pratiques inhumaines, la recherche dâun modĂšle Ă©conomique qui ne repose pas sur la fabrication de tueurs dâenfants et dâarmes, et en mĂȘme temps essayer de ne pas contrarier tous les traditionalistes et les parties intĂ©ressĂ©es. Ces choses sont vraiment difficiles, beaucoup plus difficiles que de tuer des gens. Cela nĂ©cessiterait en fait du talent politique et du leadership.» - Romance, Politique et le ProblĂšme Uchiha, Chapitre 1 par Daastan-Go. Bien quâil sâagisse de sa citation de quelquâun dâautre... si quelquâun sait Ă qui appartient lâoriginal, faites-le moi savoir, stp.
Je ne suis pas dâaccord avec tout ce que lâauteur dit mais il y a plusieurs bons points dedans, câest indĂ©niable.
Bien entendu, tout ce qui concerne le fait que lâordre du village devrait ĂȘtre troublĂ© vu la merde quâils tirent entre en considĂ©ration ici... mais jâai un peu trop dĂ©veloppĂ© ce post et si je pars sur ce terrain, jâattendrais bientĂŽt la limite de caractĂšre, zut ! Mais je ne ferme pas Ă revenir sur ce sujet particulier et, surtout, particuliĂšrement important plus tard.
Et oui, je sais que cette opinion va sans doute mâapporter les foudres de ses fanboys mais, juste pour info, comme je le disais plus haut, si vous venez Ă moi dans lâoptique de tenter une justification dâun gĂ©nocide ou dâun lavage de cerveau, abstenez-vous. Câest une attitude lamentable Ă avoir. Il nâest pas nĂ©cessaire de vouloir racheter Ă tout prix un personnage selon notre morale personnelle pour lâaimer.
#anti konoha#uchiha itachi#anti-itachi#Itachi n'est vraiment pas une bonne personne#Oui c'est le titre mais je m'en fiche#De la mĂȘme façon que tout les pro-Itachi ne sont pas des fanboys aveugles tout les anti-Itachi ne le haĂŻsse pas.#Je sais que je ne le fait pas. Je suis bien plus repoussĂ© par certaines partie de sa fanbase qu'autre chose.
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Ăvangile de JĂ©sus-Christ selon saint Matthieu 5,17-37
En ce temps-là , Jésus disait à ses disciples :
17 « Ne pensez pas que je sois venu abolir la Loi ou les  ProphÚtes : je ne suis pas venu abolir, mais accomplir.
18 Amen, je vous le dis : Avant que le ciel et la terre  disparaissent, pas un seul iota, pas un seul trait ne disparaĂźtra de la Loi  jusquâĂ ce que tout se rĂ©alise.
19 Donc, celui qui rejettera un seul de ces plus petits commandements,  et qui enseignera aux hommes à faire ainsi, sera déclaré le plus petit dans  le royaume des Cieux. Mais celui qui les observera et les enseignera,  celui-là sera déclaré grand dans le royaume des Cieux.
20 Je vous le dis en effet : Si votre justice ne surpasse pas  celle des scribes et des pharisiens, vous nâentrerez pas dans le royaume des  Cieux.
21 Vous avez appris quâil a Ă©tĂ© dit aux anciens : Tu ne commettras  pas de meurtre, et si quelquâun commet un meurtre, il devra passer en  jugement.
22 Eh bien ! moi, je vous dis : Tout homme qui se met en  colĂšre contre son frĂšre devra passer en jugement. Si quelquâun insulte  son frĂšre, il devra passer devant le tribunal. Si quelquâun le traite de  fou, il sera passible de la gĂ©henne de feu.
23 Donc, lorsque tu vas prĂ©senter ton offrande Ă lâautel, si, lĂ , tu te  souviens que ton frĂšre a quelque chose contre toi,
24 laisse ton offrande, lĂ , devant lâautel, va dâabord te rĂ©concilier  avec ton frĂšre, et ensuite viens prĂ©senter ton offrande.
25 Mets-toi vite dâaccord avec ton adversaire pendant que tu es en  chemin avec lui, pour Ă©viter que ton adversaire ne te livre au juge, le juge  au garde, et quâon ne te jette en prison.
26 Amen, je te le dis : tu nâen sortiras pas avant dâavoir payĂ©  jusquâau dernier sou.
27 Vous avez appris quâil a Ă©tĂ© dit : Tu ne commettras pas  dâadultĂšre.
28 Eh bien ! moi, je vous dis : Tout homme qui regarde une  femme avec convoitise a dĂ©jĂ commis lâadultĂšre avec elle dans son cĆur.
29 Si ton Ćil droit entraĂźne ta chute, arrache-le et jette-le loin  de toi, car mieux vaut pour toi perdre un de tes membres que dâavoir ton  corps tout entier jetĂ© dans la gĂ©henne.
30 Et si ta main droite entraĂźne ta chute, coupe-la et jette-la loin de  toi, car mieux vaut pour toi perdre un de tes membres que dâavoir ton corps  tout entier qui sâen aille dans la gĂ©henne.
31 Il a Ă©tĂ© dit Ă©galement : Si quelquâun renvoie sa femme,  quâil lui donne un acte de rĂ©pudiation.
32 Eh bien ! moi, je vous dis : Tout homme qui renvoie sa  femme, sauf en cas dâunion illĂ©gitime, la pousse Ă lâadultĂšre ; et si  quelquâun Ă©pouse une femme renvoyĂ©e, il est adultĂšre.
33 Vous avez encore appris quâil a Ă©tĂ© dit aux anciens : Tu ne  manqueras pas Ă tes serments, mais tu tâacquitteras de tes serments envers le  Seigneur.
34 Eh bien ! moi, je vous dis de ne pas jurer du tout, ni par le  ciel, car câest le trĂŽne de Dieu,
35 ni par la terre, car elle est son marchepied, ni par Jérusalem, car  elle est la Ville du grand Roi.
36 Et ne jure pas non plus sur ta tĂȘte, parce que tu ne peux pas rendre  un seul de tes cheveux blanc ou noir.
37 Que votre parole soit âouiâ, si câest âouiâ, ânonâ, si câest ânonâ.  Ce qui est en plus vient du Mauvais. »
(Texte biblique tirĂ© de « La Bible â  traduction officielle liturgiqueâ AELF »)
(Illustration du site Apprenez-nous Ă prier)
Commentaire Mt 5,17
« Ne pensez pas que je sois venu abolir la Loi ou les ProphĂštes : je ne suis pas venu abolir, mais accomplir. » (Mt 5,17) Nous avons entendu lĂ un des maĂźtres mots de saint Matthieu : le mot « accomplir ». Il vise ce grand projet que Paul appelle « le dessein bienveillant de Dieu » ; et si le mot est de saint Paul, lâidĂ©e remonte beaucoup plus loin que lui ; depuis Abraham, toute la Bible est tendue vers cet accomplissement. Le ChrĂ©tien, normalement, nâest pas tournĂ© vers le passĂ©, câest quelquâun qui est tendu vers lâavenir. Et il juge toutes les choses de ce monde en fonction de lâavancement des travaux, entendez lâavancement du Royaume. Quelquâun disait : « La Messe du dimanche, câest la rĂ©union du chantier du Royaume » : le lieu oĂč on fait le point sur lâavancement de la construction. Et rĂ©ellement, le Royaume avance, lentement mais sĂ»rement : câest le cĆur de notre foi. Bien sĂ»r, cela ne se juge pas sur quelques dizaines dâannĂ©es : il faut regarder sur la longue durĂ©e ; Dieu a choisi un peuple comme tous les autres : il sâest peu Ă peu rĂ©vĂ©lĂ© Ă lui et aprĂšs coup, on est bien obligĂ© de reconnaĂźtre quâun Ă©norme chemin a Ă©tĂ© parcouru. Dans la dĂ©couverte de Dieu, dâabord, mais aussi dans la relation aux autres hommes ; les idĂ©aux de justice, de libertĂ©, de fraternitĂ© remplacent peu Ă peu la loi du plus fort et lâinstinct de vengeance. Ce lent travail de conversion du cĆur de lâĂȘtre humain a Ă©tĂ© lâĆuvre de la Loi donnĂ©e par Dieu Ă MoĂŻse : les premiers commandements Ă©taient de simples balises qui disaient le minimum vital en quelque sorte, pour que la vie en sociĂ©tĂ© soit simplement possible : ne pas tuer, ne pas voler, ne pas tromper⊠Et puis, au long des siĂšcles on avait affinĂ© la Loi, on lâavait prĂ©cisĂ©e, au fur et Ă mesure que les exigences morales progressaient. JĂ©sus sâinscrit dans cette progression : il ne supprime pas les acquis prĂ©cĂ©dents, il les affine encore : « On vous a dit⊠moi je vous disâŠÂ » Pas question dâeffacer les Ă©tapes prĂ©cĂ©dentes, il sâagit dâen franchir une autre : « Je ne suis pas venu abolir, mais accomplir ». PremiĂšre Ă©tape, tu ne tueras pas, deuxiĂšme Ă©tape, tu tâinterdiras mĂȘme la colĂšre et tu iras jusquâau pardon. Dans un autre domaine, premiĂšre Ă©tape, tu ne commettras pas lâadultĂšre en acte, deuxiĂšme Ă©tape, tu tâinterdiras mĂȘme dây penser, et tu Ă©duqueras ton regard Ă la puretĂ©. Enfin, en matiĂšre de promesses, premiĂšre Ă©tape, pas de faux serments, deuxiĂšme Ă©tape, pas de serments du tout, que toute parole de ta bouche soit vraie. Aller plus loin, toujours plus loin dans lâamour, voilĂ la vraie sagesse ! Mais lâhumanitĂ© a bien du mal Ă prendre ce chemin-lĂ Â ! Pire encore, elle refuse bien souvent les valeurs de lâĂ©vangile et se croit sage en bĂątissant sa vie sur de tout autres valeurs. Paul fustige souvent cette prĂ©tendue sagesse qui fait le malheur des ĂȘtres humains : « La sagesse de ceux qui dirigent ce monde et qui vont Ă leur destruction », lisions-nous dans la deuxiĂšme lecture. Dans chacun de ces domaines, JĂ©sus nous invite Ă franchir une Ă©tape pour que le Royaume vienne. Curieusement, mais câest bien conforme Ă toute la tradition biblique, ces commandements renouvelĂ©s de JĂ©sus visent tous les relations avec les autres. Si on y rĂ©flĂ©chit, ce nâest pas Ă©tonnant : si le dessein bienveillant de Dieu, comme dit saint Paul, câest de nous rĂ©unir tous en JĂ©sus-Christ, tout effort que nous tentons vers lâunitĂ© fraternelle contribue Ă lâaccomplissement du projet de Dieu, câest-Ă -dire Ă la venue de son RĂšgne. Il ne suffit pas de dire « Que ton RĂšgne vienne », JĂ©sus vient de nous dire comment, petitement, mais sĂ»rement, on peut y contribuer. (Note du P. Mario Doyle, C.Ss.R. : Ce commentaire reproduit largement celui dâune bibliste bien connue des catholiques de France : Marie NoĂ«lle Thabut)
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And @cessna675 if you were 17 I bet you'd do it all over again, all things being equal (meaning no bs woke bullshitters commies running our Corps.) I would. â€ïž
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La rĂ©solution XX du 17 octobre 2024 doit ĂȘtre complĂ©tĂ©e par un dispositif comprenant les rĂ©parations.
Nous rĂ©clamons 914 000 000 000⏠ou Æ Ă©cus guadeloupĂ©en Ă la France.
Nous incluons toutes ces préjudices traite négriÚre mise en esclavage préjudice patrimonial extrapatrimoniale travail non rémunéré etc.
Le travail non rĂ©munĂ©rĂ© dĂ» aux deux pĂ©riodes d'esclavage Ă rĂ©munĂ©rer Ă posteriori et les rĂ©parations. L'attrition des rĂ©parations des 2 deux pĂ©riodes d'esclavage en Guadeloupe depuis le dĂ©but de la colonisation français en 1635 en Guadeloupe s'Ă©lĂšve Ă 914.400.000.000⏠ou Æ, Ă©cus guadeloupĂ©ens.
En fin d'annĂ©e nous rajouterons 8 800 000 000⏠ou Æ, Ă©cus guadeloupĂ©ens pour privation de souverainetĂ©, suite aux deux pĂ©riodes de mise en esclavage, de gĂ©nocide noir et de crimes contre l'humanitĂ©, depuis le dĂ©but de la colonisation.
Soit un calcul actuariel lié à la privation d'autodétermination, la privation de souveraineté de d'indépendance depuis le début de la colonisation française en 1635 ;
Il est possible d'appliquer la loi Dailly sur les créances professionnelles qui est la lettre de change. Permettant de vendre une dette pour en récupérer une partie de cette dette. Car les crimes contre l'humanité et les génocides noirs commis en Guadeloupe par la France sont des crimes imprescriptibles et des dettes financiÚres, patrimoniales et extrapatrimoniales ;
RĂ©parations liĂ©es aux 2 pĂ©riodes de mise esclavage en Guadeloupe 914.400.000.000⏠ou Æ, Ă©cus guadeloupĂ©ens que nous vendons sur les marchĂ©s internationaux cession de crĂ©ances loi Dailly, loi du 2 janvier 1981, modifiĂ©e en 1984, sur la, la cession de dettes et la lettre de change articles L511-1 Ă L511-81 du 18 sept. 2020 - Titre VIII de la lettre de change et du billet Ă ordre articles 110 Ă 189 du code du commerce.
Nous appliquons le coĂ»t de l'opportunitĂ© ou "opportunity cost", ce que nous appelons le calcul actuariel et/ou le calcul d'intĂ©rĂȘt.
C'est-à -dire, le "shortfall", le "deficiency", le "loss of income" ou notre bénéfice manquant à la suite d'une indépendance votée par notre Assemblée pour l'indépendance de la Guadeloupe le 21 octobre 1801 et promulguée le 10 mai 1802.
En fin d'annĂ©e nous rajoutons 8 800 000 000⏠ou Æ, Ă©cus guadeloupĂ©ens pour privation de souverainetĂ©, d'autodĂ©termination et d'indĂ©pendance.
Et, la mise en place d' une force non occidentale pour faciliter le départ de la France en Guadeloupe. Et la formation de notre police et de notre armée guadeloupéenne.
L'armée guadeloupéenne, c'est aussi le génie civil : pour réhabiliter et rénover les maisons de notre population.
Un service des armées guadeloupéenne de 35 000 hommes
1_/ 5 000 des Services Intelligents Guadeloupe (SIIG) Intérieures et Extérieures (SIEG) ;
2_/ 5 000 Gradés dont 2 500 Hauts Gradés Guadeloupéens (HGG) et 2 500 Gradés Guadeloupéens (GG) ;
3_/ 2 500 Marins Guadeloupéens (MG) ;
4_/ 2 500 Aviateurs Guadeloupéens (AG) ;
5_/ 5 000 des Génies Civiles Guadeloupéens (GCG) ;
6_/ 10 000 Fantassins Guadeloupéens (FG) ;
7_/ 5 000 des Services de la présidence de la Guadeloupe (SPG) :
2 500 SPG - Spéciaux ;
2 500 SPG - Gendarmes ;
7 500 Pompiers ;
15 000 Policiers guadeloupéens ;
https://press.un.org/fr/2024/cpsd810.doc.htm
Merci la Russie, Mr Tacita qui s'est exprimé devant la 4Úme commission à l'ONU, nos courriers AR internationaux pour l'ONU : nos saisines, l'association politique Avcvk Pol Indépendantiste, notre fonds de dotation P'jilow pour la souveraineté de la Guadeloupe tous deux 10 ans d'existence sans aucune incidence avec l'autorité centrale sont aujourd'hui des lois sur le territoire de la Guadeloupe...
et touts ceux qui sont pour la décolonisation :
"la Commission a adoptĂ© le projet de rĂ©solution XX, tel quâamendĂ©, intitulĂ© « Application de la DĂ©claration sur lâoctroi de lâindĂ©pendance aux pays et aux peuples coloniaux: Ă©limination du colonialisme sous toutes ses formes et dans toutes ses manifestations »,..."
Le corps diplomatique guadeloupéen :
La Guadeloupe ;
Les Ambassadeurs ;
Les Consuls :
demande faite depuis 2023 Ă l'ONU
https://x.com/corpsdiplomguad?t=5DdczAC_hlY3czPoQ3c9bQ&s=09
https://www.facebook.com/profile.php?id=61567102899592 ,
La présidence de la Guadeloupe
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