#comment manquer à son ex
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vrai marabout du retour d'affection
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Rituel du cadenas d’amour pour attacher l’être aimé Comme son nom l’indique, le rituel du cadenas d’amour est très simple , vous venez nous avec le nom et prénom de la personne que vous voulez attacher pour qu’il ou elle soit a vous pour toujours, il vous suffit de confié cette rituel au fétiche Gambada , vous allez acheter un cadenas et venir vers nous afin que le rituel se faire devant vous ,…
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COMMENT RÉCUPÉRER SON EX À DISTANCE ? LES 7 ASTUCES POUR RECONQUÉRIR SON COEUR !
Votre ex a décidé de partir, au sens propre comme au sens figuré ? Que la décision émane de lui/elle ou l’inverse c’est toujours aussi douloureux de se séparer de quelqu’un que l’on a aimé très fort. Alors vous n’avez plus qu’une idée en tête : faire revenir cette personne si importante à votre équilibre car vous ne pouvez pas vivre sans lui/elle ! Mais tout n’est pas aussi simple car vous…
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Lundi 4 mars 2024 Ne vous plaignez pas (2)
“Ce peuple va me rejeter jusqu’à quand ? … Est-ce qu’il refusera toujours de me faire confiance ?” Nb 14. 11
Considérons aujourd’hui les autres occasions où le peuple hébreu se plaignit après son départ d’Egypte : 9- Il refusa d’entrer en Canaan au prétexte que le pays était peuplé de géants. Si Dieu vous demande d’accomplir l’impossible, ne soyez pas effrayé et ne refusez pas : s’Il vous le demande c’est qu’Il vous fournira ce dont vous aurez besoin pour réussir. 10- Le peuple voulait tuer Moïse et se choisir un nouveau leader. Dieu décida de détruire le peuple avec une peste. Parce que vous n’appréciez pas vos leaders, quelles qu’en soient les raisons, n’agissez pas avec précipitation, mais priez et laissez Dieu gérer la situation. Ce n’est pas votre rôle de les juger. Les critiquer sans cesse équivaut à vouloir les tuer ! (Mt 5. 22). 11- Les chefs du peuple défient Dieu et sont détruits par Lui (Nb 16). Plus grande est la responsabilité de ceux qui dirigent. Si vous êtes l’un d’eux, demeurez humbles devant votre Dieu. 12- Le peuple se plaint à nouveau et accuse Moïse de meurtre (Ex Nb 16. 41). La réponse divine ? 14700 personnes perdent la vie. Moïse intercède pour le peuple. Reconnaissons le pouvoir de l’intercession. 13- Le peuple se plaint à nouveau de manquer d’eau, provoquant la colère de Moïse (Nb 20. 1-5), avec comme résultat la punition divine qui tombe sur Moïse : il n’entrera pas dans la Terre Promise. Nos plaintes peuvent avoir un résultat néfaste sur nos proches. 14- Le peuple se plaint à nouveau contre Dieu et Moïse. Dieu envoie des serpents venimeux tuer certains d’entre eux. Mais dans sa miséricorde Il fournit un moyen d’échapper à la mort : le serpent d’airain, monté sur un poteau. De même nous échappons à la punition divine en gardant les yeux fixés sur Jésus, confessant nos péchés. Dans Sa grâce Dieu ne nous abandonne pas aux conséquences de nos péchés, mais fait preuve de compassion. Comment refuser une telle expression de grâce ?
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Sa Parole Pour Aujourd'hui du Lundi le 04 Mars 2024
Ne vous plaignez pas (2)
“Ce peuple va me rejeter jusqu'à quand ? ...
Est-ce qu'il refusera toujours de me faire confiance ?” Nb 14. 11
Considérons aujourd’hui les autres occasions où le peuple hébreu se plaignit après son départ d’Egypte :
9- Il refusa d’entrer en Canaan au prétexte que le pays était peuplé de géants. Si Dieu vous demande d’accomplir l’impossible, ne soyez pas effrayé et ne refusez pas : s’Il vous le demande c’est qu’Il vous fournira ce dont vous aurez besoin pour réussir.
10- Le peuple voulait tuer Moïse et se choisir un nouveau leader. Dieu décida de détruire le peuple avec une peste. Parce que vous n’appréciez pas vos leaders, quelles qu’en soient les raisons, n’agissez pas avec précipitation, mais priez et laissez Dieu gérer la situation. Ce n’est pas votre rôle de les juger. Les critiquer sans cesse équivaut à vouloir les tuer ! (Mt 5. 22).
11- Les chefs du peuple défient Dieu et sont détruits par Lui (Nb 16). Plus grande est la responsabilité de ceux qui dirigent. Si vous êtes l’un d’eux, demeurez humbles devant votre Dieu.
12- Le peuple se plaint à nouveau et accuse Moïse de meurtre (Ex Nb 16. 41). La réponse divine ? 14700 personnes perdent la vie. Moïse intercède pour le peuple. Reconnaissons le pouvoir de l’intercession.
13- Le peuple se plaint à nouveau de manquer d’eau, provoquant la colère de Moïse (Nb 20. 1-5), avec comme résultat la punition divine qui tombe sur Moïse : il n’entrera pas dans la Terre Promise. Nos plaintes peuvent avoir un résultat néfaste sur nos proches.
14- Le peuple se plaint à nouveau contre Dieu et Moïse. Dieu envoie des serpents venimeux tuer certains d’entre eux. Mais dans sa miséricorde Il fournit un moyen d’échapper à la mort : le serpent d’airain, monté sur un poteau. De même nous échappons à la punition divine en gardant les yeux fixés sur Jésus, confessant nos péchés.
Dans Sa grâce Dieu ne nous abandonne pas aux conséquences de nos péchés, mais fait preuve de compassion. Comment refuser une telle expression de grâce ?
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Reconquérir son ex qui n'a plus de sentiment. - Récupérer son ex quand tout semble perdu. Récupérer son ex en 4h. - ROI BABA VIGAN TROM
Reconquérir son ex qui n’a plus de sentiment. – Récupérer son ex quand tout semble perdu. Récupérer son ex en 4h. – ROI BABA VIGAN TROM
Reconquérir son ex qui n’a plus de sentiment. – Récupérer son ex quand tout semble perdu. Récupérer son ex en 4h. – ROI BABA VIGAN TROM Ce pendants. Reconquérir son ex qui n’a plus de sentiment, est une rituel qui raviver les sentiments de son ex et faire renaître les sentiments de son ex ainsi que récupérer son ex quand tout est perdu. Il as des comportement d’un ex encore amoureux parfois…
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Comment reconstruire son couple après une rupture ? Rituel retour affectif puissant
Comment reconstruire son couple après une rupture ? Rituel retour affectif puissant
Whatsapp: https://wa.me/message/ISCY5 Faire revenir l’être aimé: Le travail d’envoûtement d’amour est un rituel hautement spirituel invocation pour séparer deux personnes, L’envoûtement d’amour consiste à appeler l’esprit de la personne à envoûter et effectuer le rituel sur son esprit. Parfois ce travail de rappel peut s’avérer compliquer lorsque la personne bénéficie d’une protection mystique…
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Les candidats (potenciels) aux présidentiels as membres de ta famille a Noël :
Ricard:
- pas invité mais est là car la famille l'a laissé venir
- "alors les femmes..."
- incroyablement raciste et misogyne
- tu souhaites qu'il s'étouffe avec sa bûche
- essayes de te refiler son bouquin mal emballé
- a une femme plus jeune que lui et une brochette de gamins foutrement effrayants
- pourquoi tout le monde le laisse parler en fait ????
Nat :
- vient d'un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître
- essaye de mettre à tout prix l'Internationale durant la soirée
- plutôt hors sol sur certaines questions mais sans mauvais esprit
- "le vrai problème écologique c'est la chasse à courre >:c"
- tu as une sincèrement de l'affection pour elle
- appelle les gens qu'elle apprécie "camarade"
- "oh tata Le Capital comme l'an dernier vraiment fallait pas"
JEAN :
- boit beaucoup de gros rouge
- conseiller municipal de Florent sur René
- il aime le terroir
- tu pourrais être attendri.e si il n'harcelait pas sexuellement sa secrétaire
Patrick :
- il n'a pas de chemise mais plein de répartie
- n'est pas là pour sauver Noël mais te le rendra supportable
- comment ne pas l'apprécier c'est probablement ton seul soutient moral ?
- ne voulait pas venir cette année mais n'a pas trop eut le choix
Hélène :
- t'offres des produits non testés sur les animaux mais qui ont exploités des gens sans trop de soucis
- tu la défends quand elle parle du foi gras quand même
- ????
OMICRON :
- il a lancé sa startup y'a 5 ans et passe son temps à t'expliquer la vie
- tête de jeune premier à qui tu voudrais coller deux baffes
- "tout le monde peut réussir, encore faut il faire des efforts ;)"
- "on peut débattre avec tout le monde"
- persuadé de juste être "réaliste"
- avant plus de gens croyait en sa bonne foi mais depuis le Noël pourri qu'il a organisé où tout le monde est tombé malade, les gens l'aiment moins
- bien fait pour lui
Jaquot :
- a vu "Seul sur Mars" 93 fois exactement
- il croit aux petits hommes verts
- il le place dans vraiment toutes les discussions
- comme personne ne l'écoutes il te fait un peu de peine
- après tu sais pas si tu aurais trop envie de l'écouter
- cette année il ne vient peut être pas et tu te dis que ça va peut être te manquer un peu
Annie :
- très probablement fan de Pierre Rabhi
- elle se fait basher par tout le monde
- tu serait triste pour elle si elle avait pas des positions douteuses
- elle pense avoir sauvé Noël en étant venue en vélo
- elle aime le respect (et la police aussi)
- tout le monde se moquait de son ex mais il était moins nul quand même
Christie :
- a dit qu'elle boudait et qu'elle viendrait pas
- elle est venue quand même
- elle a plus de charisme qu'Annie mais en vrai elle dira la même soupe
Arnoldo :
- veut faire copain avec pleins de gens qui l'apprécient pas du tout
- offre son propre miel que tout le monde trouve dégueu
- il est assez pathétique
- personne réponds à ses sms
- veut tout remonter mais tu veux juste lui remonter les bretelles
- comme Christie il pars souvent bouder
Anasse :
- de base, il devait faire une contresoirée avec Patrick mais y'a eut des complications
- trop sympa mais personne ne l'écoute
Jean Luche :
- sa femme et ses enfants ont un discours plus intéressant que lui mais il parle plus fort.......
- dit qu'il est pour l'égalité des droits avec un ton patriarche
- il dit pas que des conneries mais si il pouvait arrêter de hurler
- tu arrives pas trop à savoir ce qu'il pense vraiment ou ce qu'il fait pour avoir la vedette
- tu finis par le défendre quand même des fois (à contrecœur car il t'énerve)
Valoche :
- GATEKEEP GASHLIGHT GIRLBOSS
- adore Margaret Thatcher
- a réussit face à ses comparses masculins dans son entreprise
- dit que c'est grâce à son "instinct féminin"
- son "instinct féminin" a viré une bonne partie du personnel sans problème en tous cas
- pleins de gens l'admirent et ça te fout la gerbe
Yann :
- offre des jouets en bois à ton neveu de 2 ans
- t'aime bien sa femme mais clairement lui est nul
- t’invites à des vernissage de travail sur bois un peu new age avec un concert de contrebasse
- te parle à chaque fois pendant des plombes de banalités
FRANCIS :
- "ça si vous ne le saviez pas, c'est un complot"
- il te saoule et en plus lui aussi harcèle sa secrétaire
- "EST CE QUE VOUS CONNAISSEZ FRANCIS ?????" - ses neveux, partout
- probablement en train d'écrie un livre "arrêtez d'être un mouton : les questions qui fâchent (sur les états-unis)"
Fabien :
- c'est la version infernale de Nat
- n'était pas venu pendant un paquet de Noëls et réapparait comme par magie
- il avait manqué à personne
- lui est pas seulement hors sol il est quand même raciste aussi
Marie La Peine :
- d'habitude on entends qu'elle mais depuis que Ricard est là elle se fait plus discrète
- toujours là pour être raciste cependant
- potentiellement accompagnée de sa nièce démoniaque
- son rire te glace le sang
- "oh moi je suis une femme simple, j'aime les livres, m'occuper de chats et être xénophobe c'est tout"
- Daddy issues
Dupont :
- son discours est infâme mais comme il est ridicule tu te moque surtout de lui
- il te fait peur quand même
(courage à vous par ces temps troublés et bonnes fêtes)
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Jalousie.
La musique résonnait dans les oreilles de Lila. Adossée à un mur, un verre à la main, elle scannait la trop pleine salle à la recherche d’une distraction. Toutes les fêtes se ressemblaient, elles commençaient à l’ennuyer. Ses yeux se posèrent sur un visage familier : Théo. Il fixait un coin de la pièce, la tristesse peinte sur son visage. Curieuse, elle suivit son regard : près de la fenêtre, Sarah, son ex, était en train d’embrasser avec passion son nouveau copain.
Lila fit une grimace. Théo et elle, sans être ennemis, n’étaient pas particulièrement proche. Ils vivaient cependant dans une petite ville, et les nouvelles circulaient vite. Sans forcément chercher à savoir, Lila avait eu vent de l’histoire : comment Sarah avait quitté Théo pour un autre après presque deux ans de relation, comment elle lui avait brisé le cœur, avant de piétiner les morceaux en sortant avec un de ses proches amis. Si Théo et Lila n’étaient pas ennemis, Sarah et elle l’étaient certainement. Lila n’avait jamais su supporter la blonde, son caractère et sa manière de briser les cœurs de tous ceux qui s’intéressait à elle.
Sans trop réfléchir, Lila s’approcha de l’endroit où était installé Théo, seul, quelque chose qui n’arrivait pas souvent. Elle prit place juste à côté de lui, il ne la remarqua même pas. Son regard était toujours tourné vers la paire. Il ne mérite pas autant de peine, pensa-t-elle. Personne ne le mérite. Théo avait un cœur d’or, c’était de notoriété publique. Il était toujours là pour les autres, toujours prêt à aider. Elle repensa brièvement à cette fois, où elle s’était tordue la cheville en cours de sport, et où il l’avait porté jusqu’à l’infirmerie, puis était restée avec elle, à sa grande surprise, lui racontant blagues et anecdotes pour la distraire de la douleur. La tristesse n’avait pas sa place sur son visage, et encore moins dans son cœur.
Elle observa son profil un instant. Il avait toujours été beau, avec ses cheveux couleur d’or et ses yeux d’un bleu étincelants, les filles se précipitaient dans ses bras d’elles-mêmes.
« Si tu continues à les fixer comme ça, tu vas finir par attirer leur attention » finit-elle par dire.
« Qu’est ce que ça peut te faire ? »
Elle haussa les épaules, bien qu’il ne puisse pas la voir, ses yeux toujours fixés sur Sarah.
« Tu ne veux pas avoir la réputation du pauvre type qui continue de s’accrocher à son ex, quant bien même elle est passée à autre chose » Elle marqua un temps d’arrêt avant d’ajouter, d’une voix un peu plus douce : « Tout se sait dans cette ville ».
« Tu ne sais pas ce que je veux. Et les autres, j’en ai absolument rien à foutre. T’as toujours été trop accroché aux apparences. ». Son ton était sec, cassant. Elle ne se souvenait pas l’avoir entendu parler ainsi avec qui que ce soit, il était d’ordinaire toujours de bonne humeur et ne cherchait pas à blesser les autres.
« Peut-être. Mais je sais qu’elle ne te mérite pas. ». Il tourna enfin les yeux vers elle, surpris par sa confession. Elle continua, d’un ton léger, « Faut être une parfaite idiote pour te laisser partir, surtout pour un gars comme lui. Il ne t’arriverait pas à la cheville même si il essayait. ».
Lila baissa les yeux vers son verre, tout aussi surprise que lui par sa propre franchise. Les mots étaient sortis tout seul, sans qu’elle puisse les arrêter. Elle avait toujours eu du mal à garder ses pensées pour elle-même.
Elle leva les yeux vers Sarah, toujours accroché à son beau, comme si sa vie en dépendait. Le spectacle était dégoûtant, mais Sarah avait toujours aimé être au centre des conversations et c’était la manière la plus sûre d’alimenter les ragots. Si ils ne se détachent pas rapidement, ils vont finir par mourir asphyxiés, se dit-elle amèrement.
« Merci. ». La voix de Théo la tira de ses réflexions. Elle avait de nouveau ce timbre clair et doux qui lui était propre. Elle reporta son attention sur lui et lui offrit un sourire.
Concrètement, Lila était l’une des plus belles filles que Théo n’avait jamais eu le plaisir de rencontrer, avec ses grands yeux bruns, ses pommettes hautes et sa taille de guêpe. Partout où elle allait, les regards la suivaient. Mais ses sourires étaient de loin son meilleur atout. Brillants, éclatants, qui donnent envie de faire la traversée des mers, de parcourir la Terre, d’éclater de rire, qui donnent envie de danser ou de courir jusqu’à les revoir encore.
Théo retint sa respiration. La musique continuait de jouer bien trop forte, les gens dansaient, criaient, riaient autour d’eux, trop immergés dans leur bulle pour les remarquer. Lila lui souriait et le monde sembla s’arrêter de tourner pendant quelques instants. Un verre se fracassa sur le sol quelque part derrière eux, et le charme fut rompu. Théo prit une grande inspiration et but une gorgée de son propre verre pour essayer de se redonner contenance. Reprends toi. Si Lila remarqua son trouble, elle n’en dit rien.
« J’aimerais juste… » Il s’arrêta, s’éclaircit la gorge. Incertain de s’il voulait continuer, pas sûr qu’elle soit la bonne personne à qui se confier. Mais il y avait quelque chose dans le brun de ses iris qui lui donnait envie de tout déballer, de parler jusqu’à n’avoir plus de souffle. Elle avait porté l’entièreté de son attention sur lui, attendant patiemment la suite. Elle semblait lui dire prends ton temps, il y a pas d’urgence, je ne vais nul part. C’était ça son truc, pensa-t-il, elle arriverait à nous faire avouer le pire de nos crimes, juste avec un battement de cils et un joli sourire, juste par sa présence rassurante.
« J’aimerais juste la faire sentir aussi mal que moi. »
Il finit son verre d’une traite, baissant le regard vers le tapis. Il sentit Lila se rapprocher de lui légèrement. Au loin, Sarah les avait remarqué, et les fixait intensément.
« Tu peux. ». Il releva la tête. Lila était bien plus proche que ce qu’il pensait. Il pouvait sentir la chaleur qui irradiait de son cœur, son parfum lui chatouiller les narines. Jasmin, et un je ne sais pas quoi d’autre. Elle passa une main dans son cou, ses doigts s’accrochant doucement à ses mèches. Elle appliqua une légère pression pour approcher son visage du sien. Puis elle pressa ses lèvres sur les siennes. Doucement. Elle se détacha aussi vite qu’elle s’était approchée, et il se surprit à manquer la sensation de sa bouche contre la sienne. Elle pencha légèrement la tête, arqua un sourcil, le défiant silencieusement, comme pour lui dire à toi de jouer. Théo combla de nouveau le vide entre eux, écrasa ses lèvres contre les siennes. Une main dans ses boucles brunes, l’autre sur sa taille, pressant leurs corps aussi près que possible. Il pouvait la sentir s’éloigner de lui, mais il n’était pas prêt à la laisser partir. Ses poumons avaient désespérément besoin d’air, il l’embrassa une dernière fois avec force avant de se reculer.
Ses lèvres étaient rouges, son souffle court. Il essaya de reprendre ses esprits. Lila était toujours aussi proche, il sentait son souffle chaud sur ses lèvres. Trop proche, pensa-t-il. La proximité l’empêchait de réfléchir avec cohérence.
Il l’embrassa encore, et encore, et encore, pendant des heures ou des minutes, il n’en savait rien, rien n’avait de sens. Il se poserait des questions plus tard, pour l’instant tout ce qui comptait c’était son corps contre le sien, ses lèvres contres les siennes, il ne voulait penser à rien d’autre.
Puis tout fut fini. Elle le repoussa brutalement avant de s’enfuir, le laissant seul et désemparé sur le fauteuil. Dans le coin de la pièce, Sarah avait disparu mais il ne s’en souciait plus.
Théo partit à sa recherche, la retrouva assez rapidement adossée contre un mur dans le jardin. La tête rejetée en arrière, essayant de reprendre son souffle, de remettre de l’ordre dans ses pensées. Elle ne réagit pas quand il se plaça devant elle, liant une de ses mains avec la sienne. Utilisant sa force pour la pousser vers lui, embrasser doucement ses lèvres une nouvelle fois.
« Théo » dit-elle. Il refusa d’ouvrir les yeux. « Théo. ». Elle caressa sa joue. « Sarah est partie. ».
« Je sais » comme si cette simple phrase répondrait à toutes les questions qu’elle se posait.
Il l’embrassa de nouveau. Il était comme une drogue, se dit-elle, celle dont on arrive pas à se décrocher. Une substance euphorisante qui vous rend accro et qui vous détruit de l’intérieur. Un alcool fort qui vous rend ivre de bonheur avant de vous rendre malade à en crever.
« Théo » répéta-t-elle.
Demain, pensa-t-elle laissant tomber ses doutes, demain je m’inquiéterai.
Elle rapprocha son corps encore plus près du sien, se délectant de sa chaleur, s’enivrant de son odeur et de la sensation de ses baisers.
« Lila » répondit-il, tout sourire contre ses lèvres.
Oui, demain, laissez moi ce soir. Ce soir il est mien.
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SAMEDI 2 NOVEMBRE 2019 (Billet 1/1)
Vous décrire comment les choses se sont passées, ce serait un peu compliqué et assez long à expliquer. Disons, pour résumer, que Frère Olivier, qui a une réelle affection pour Yvette (c’est lui qui est à l’origine de son pèlerinage à Lourdes), sachant que la nièce d��Yvette, Anne-Marie, était venue des Landes pour être auprès d’elle, m’a suggéré de nous réunir tous les deux, pour lui « offrir nos retrouvailles » et de profiter de l’occasion pour demander au Père Franck de lui administrer le Sacrement des Malades.
Frère Olivier, sûrement « inspiré », a su trouver les mots et pour l’un et pour l’autre, c’était hyper gentil de sa part.
Le Sacrement des Malades est une petite cérémonie d’environ un quart d’heure. Yvette a été attentive presque tout le temps. En tout cas, elle en a été ravie et touchée de la présence du Père Franck et de Frère Olivier. Lorsque je l’ai quittée, elle a réussi à articuler distinctement qu’elle a été très heureuse de nous voir, Anne-Marie et moi, réunis autour d’elle.
Etant donné qu’Yvette est maintenant rentrée dans une phase plus critique de sa maladie, qui peut durer un certain temps… sauf élément vraiment nouveau, à partir de ce soir je ne vais plus émettre de Billet.
Je sais qu’elle est présente dans vos cœurs, pensez à elle, priez pour elle…
Je vous embrasse, Anne-Marie aussi.
Jean-Marie
PS Anne-Marie m’a dit que hier après-midi, Cécile (Sablatou), son ex-animatrice, était passée lui rendre visiter et l’embrasser. C’est ADORABLE de sa part ! Comme elle est destinatrice de ce Billet, je tiens encore une fois à la remercier pour ses talents d’animatrice et pour toute l’affection qu’elle a témoignée à Yvette durant tout le temps où elle a travaillé à Doisneau. Chère Cécile, vous allez manquer...
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2019
Tu te réveilles et tu soupires. Tu te lève et tu as mal. Les vêtements d’hier et d’avant-hier gisent sur ton plancher. Ton mascara date tout autant. As-tu au moins l’énergie pour te doucher? Non. Tes chats on faim, la vaisselle s’empile, tes colocs voudraient tellement que tu te forces. Toi, tu ne penses qu’a ton café.
Les yeux mi-clos, la cigarette au bout des doigts. Un trois minutes de calme, avant de devoir courir.
Ne maque surtout pas le bus. Oh attend, ton ex pleur. Tu le consoles encore.
Au boulot, fatiguée de la veille, tu fonctionnes sur le pilote automatique. Tu perds la voix. Tu perds intérêt. Tu comptes les minutes restantes. « Montre l’exemple. C’était ta responsabilité. Force-toi. »
Oops, lève les yeux. Tes amis s’ennuient de toi, ton frère t’appel, ta date s’impatiente. Il ne faudrait pas que tu les oublies.
Comme tu t’oublie toi, hein.
Les journées se ressemblent et les semaines se mélangent. A ce point là tu es habituée. 2h de sommeil? Tu en dormiras plus demain, allez, il n’y en a pas de problème!
Les nuits sont sombres et lonely, alors tu te glisses dans ses bras. Le temps d’une nuit il te sert fort. Il te protège, tu peux presque te laisser allez. Tu t’enfouies dans des étreintes sans sens, dans des bras sans amour. Il n’est pas lui, mais il t’apaise et tu recommences. Tu le sais qu’il se fou de toi, mais tu préfères ça que rien. Au pire, tu en trouveras un autre pour faire semblant. Ivre de fatigue, blasée d’obligations, vide d’émotions. Tu le regarde mais il ne te voit pas. Ça en devient presque une drogue. Tu te dis que le petit moment d’affection vaut le drop dans l’estime. Haha j’ai des petites nouvelles pour toi ma belle, si tu continues comme ça tu vas foncer dans un mur. Tu le sais déjà. Écoute-toi dont. Comment tu veux que les autres te prennent au sérieux si tu ne le fais pas toi-même?
Mais ma belle, fait attention, ton sourire se fait rare. Il ne faudrait pas qu’ils le remarque. Il ne faudrait pas que tu t’effondres. Donne un petit coup, comme tu sais si bien le faire. A la longue ça devient presque naturel, presque facile. Comme si la fin approchait une fois pour toute.
Tu croyais que tu avais enfin le droit de prendre ton souffle? Vaut mieux regarder ton planning. Les examens finaux son demain. Pourquoi tu n’as pas regardé avant? Maintenant tu rush un peu plus, tu casses un peu plus vite. Ta tête est partout, mais ma belle, ton avenir se joue ici, regarde devant toi! Tu respireras une autre fois j’imagine.
Tu commences à manquer d’air, je sais.
« As-tu étudiée ? Est-ce que tu manges? Je t’aime encore, mais… »
Ta tête tourne, tu le sais, mais après une puff ça ira mieux. Tu crois. Tu te gèle pour ne pas pleurer, mais tes yeux restent toujours pleins d’eau. Tu avances mais chaque jour il faut recommencer. Les nuits sont de plus en plus courtes, les matins passent en flèche. Mais la journée est tellement longue. Ma belle, tu viens de t’endormir dans un couloir, penses tu vraiment qu’un deuxième café c’est la bonne idée? Demain tu te prends une Red bull, pis une cigarette de plus. Ça, ça va le faire.
Ma belle, fait attention, tu es en retard.
Aujourd’hui ta famille a besoin de toi. Ils ne te voient plus. « Qu’est-ce qui se passe? Passes-tu trop de temps avec tes amis? Négliges-tu tes études? » Oui. Ils veulent te voir, juste une soirée, le temps d’un souper. Ils ont juste envie de jaser, de prendre des nouvelles, mais… ils ne sont pas ta priorité, tu cancel des plans, tu ne réponds plus aux appels. Tu es trop occupée.
Ton alarme sonne, il est 7h. École. Tu réfléchie aux répercussions, aux alternatifs, aux avantages. Tu chouchoutes le diable sur ton épaule. Finalement ce matin-là tu ne t’es pas levée, mais entre toi pis moi, c’était sûr. Tu surprends pu personne ma belle. Ton travail devait être remis hier de toute manière. Tu manque encore les explications. Pis encore.
Tu voudrais partir mais ton compte est à sec, pourtant tu fais juste ça travailler. T’aurais peut-être pas du fumer tes paies. Tu voudrais t’envoler mais la chaîne te sert au cou, plus tu tires plus tu l’échappe. En plus, il te parle encore, pis tu réponds. Rendu là même toi tu ne sais pas pourquoi tu le laisse faire, mais tu ne l’arrête pas non plus. Tu voudrais pouvoir pleurer? Non continu d’accumuler ma belle, toute manière t’as pas le temps. Et surtout, n’oublies pas ; il t’aime, juste pas assez.
Coupe, coupe, coupe tel des adieux. Coupe, coupe, coupe sur ta peau.
Mais il n’y a pas juste du mal, y’a des jours où il fait beau. Le soleil plombe sur ton visage, tu fermes les yeux et tu inspires. Même si ça ne dure que 7 minutes, dans un parking ou un arrêt de bus, ça fait du bien. Ça donne tellement l’impression que ça achève, pis que tu vas pouvoir enfin prendre un day off.
On te regarde et tu rayonnes, tu ris. Toujours partante, toujours aidante. Tu dis oui sans te soucier, tu dépenses sans regret. Mais dans tes yeux, quand on regarde vraiment, oh… dit moi ma belle, que vois tu quand tu es seule avec toi-même?
Are you crying yet? I didn’t think so.
Amaigrie et cernée, it’s your new look honey. Ils s’inquiètent pour toi, mais toi, quand vas-tu commencer à t’inquiéter? Je sais que tu te penses forte, mais, pendant comment de temps tu penses que tu vas pouvoir endurer tout ça? Tu es constamment malade, ça ne te sonne pas une coche? Je sais que tu as mal au cœur, mais un repas par jour, ce n’est pas suffisant ma belle. Combien de fois il va falloir te le dire? Tu le sais très bien pourtant, il y 3 nouveaux trous sur ta ceinture.
Chaque semaine tu comptes les jours. Tu essaies de déterminer quand ça s’arrêtera. Quand tu vas pouvoir finalement prendre le dessus et sortir la tête de l’eau. Je sais que tu te le répète à tous les jours, que c’est bientôt fini. Encore quelques mois et tu vas pouvoir prendre un break. Mais chaque semaine, le compteur retombe à zéro. Tu boudes ton agenda, c’est ça vivre dans le déni ma belle, après tu te tape des all-nighter pis tu t’en veux
Tu te réveilles et tu soupires ma belle.
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Interlude : Jour 14
Mardi 23 avril
Dès mon retour, le remplaçant de Claudie (celui qui sait tout mieux et qui avait diagnostiqué avec une quasi-certitude une tendinite de la patte d’oie) m’avait donné une ordonnance pour une radio et une IRM. A tout hasard et à titre de confirmation.
Bon, je prends le rendez-vous pour la radio à Abbeville (le 12 pour le 16, ça va encore !). j’appelle l’hôpital pour l’IRM, en me disant que je vais prendre rendez-vous le même jour, pour limiter les déplacements.
Tu parles ! Premier rendez-vous possible : mi-juin. Bon, j’essaie d’appeler d’autres hôpitaux, à Reims, à Montreuil, à Berck, à Boulogne ... Le plus réactif me proposait un rendez-vous fin Mai !
J’attends donc la radio et j’aviserai. D’ici-là, je fais comme si c’était une tendinite. Donc repos et ondes de choc (je vous raconte pas la douleur !)
Je vais à la radio, et le docteur qui analyse les clichés me dit “on ne voit rien de spécial, c’est une tendinite de la patte d’oie. Si ça fait toujours mal dans un mois, faites une IRM”.
Et je me dis que compte-tenu des temps de réaction que j’ai eus à constater, je risque de repartir fin Mai 2034, en déambulateur éventuellement !
Et je me dis “Fanny (l’ostéopathe), le médecin de Veigné, Bertrand (le kiné), le remplaçant de Claudie, le radiologue, tous diagnostiquent une tendinite, alors feu pour le marteau piqueur, on n’est pas des lavettes, nous autres les Bullot !!!”
Et je vais à mon rendez-vous chez Bertrand (le kiné). Mais c’est pas lui qui officie (il est en vadrouille), c’est son remplaçant (Jacques, je crois). Jacques, c’est un kiné à la retraite, très très gentil, très souriant, qui visiblement connaît pas bien les ondes de choc ni tous ces trucs modernes.
Il regarde mon genou, tripote un peu, me demande où j’ai mal. Il reste 5 bonnes minutes à me malaxer dans tous les sens, et m’annonce, dubitatif : “Ca me paraît bien haut, pour une tendinite de la patte d’oie. Vous êtes sûr que c’est pas une fracture, ou un truc du genre ?”. Moi, sûr de moi, et me disant qu’il serait mieux dans son fauteuil devant la télé avec une tisane et des mots mêlés, je le prends un peu de haut (gentiment, attendez, je sais vivre, quand même !) : “Et comment, la quasi-totalité de la communauté scientifique penche pour cette hypothèse, alors c’est pas l’avis d’un ex-ancien-retraité-kinésithérapeute qui va mettre tout ce monde-là en défaut !”. Et il me répond “bon, on va faire les ondes de choc, mais ne tapez pas où ça fait mal, tapez plutôt autour, et plutôt doucement”. Et il rame avec la machine, il y a deux boutons, mais ça semble compliqué quand même. Je fais les ondes de choc, et je tape du plus fort que je peux, pour que ça fasse le plus mal possible, comme m’a appris Bertrand.
M’enfin bon, peut-être limite sénile, Jacques, mais il a quand même semé un sacré doute dans mon esprit.
Le mardi suivant (aujourd’hui donc), je me réveille avec un mal de chien dans le genou. J’avais parlé de Jacques et ses réserves à Agnès, et elle me conseille de prendre un rendez-vous d’IRM. Je lui explique vingt fois, calmement, avec des mots simples, que l’IRM c’est pas avant un mois, et que d’ici un mois, je serai reparti, et tout et tout. Donc que sa remarque ne présente, en l’espèce, aucun intérêt, et qu’elle veuille bien retourner à sa cuisine et laisser aux hommes le soin de régler les choses sérieuses.
Elle me dit “passe-moi le téléphone”, ce que je fais avec une ironie non dissimulée et un sourire narquois au coin des lèvres. Et je m’éloigne d’un pas impérial, fier d’avoir accédé gentiment à sa stupide requête ...
Lorsque je reviens, elle avait posé le téléphone, et me dit : “Tu préfères Reims à 16h ou Boulogne à 15h40 ?” Je lui demande “16h ou 15h40 de quelle année ?”. “Aujourd’hui”, elle répond !
Il m’est arrivé dans ma vie (rarement c’est vrai) de me sentir ridicule. Mais à ce point-là, jamais. Et le pire, c’est qu’elle n’a même pas eu un mot de consolation, m’expliquant qu’une forme de solidarité féminine, entre elle et la secrétaire de l’hôpital, avait joué en sa faveur, ou que l’heure à laquelle elle avait appelé était plus propice à la négociation que la mienne, rien !
Même pas une lueur de compassion. Juste un regard affligé dans lequel j’ai cru lire “Tu peux pas comprendre, tu n’es qu’un homme !”
Bref, à 15h40, je vais faire une IRM. Je passe à l’heure dite et trente minutes plus tard, le radiologue (une dame, mais j’aime pas dire “la radiologue”) pose son verdict :
“Vous n’avez jamais eu de tendinite, vous avez une fracture de fatique”.
Et toc ! je suis ravi d’apprendre que j’ai fait des ondes de choc pour le fun, et que sans Agnès, je me serais tapé sur la fracture avec allégresse deux fois par semaine pendant un mois, et tout ça pour rien !
Bon, résumons.
1. A mon corps défendant, je suis forcé d’avouer que j’ai une épouse sensationnelle.
2. Le corps scientifique, dans sa quasi-intégralité, s’est vautré lamentablement.
3. Jacques, prends pas ta retraite ! Enfin pas tout de suite ! Travaille encore un siècle ou deux, tu vas manquer à la science.
4. Paradoxalement, la fracture (enfin la mienne, les autres je sais pas ...) est moins grave qu’une tendinite. D’abord, on sait estimer le temps de guérison (encore à peu près un mois, peut-être un peu plus, peut-être un peu moins), et ce n’est pas récidivant.
5. C’est la douleur qui va me permettre de juger de l’état de mon genou. Dès que j’ai plus mal (j’entends, plus du tout !), je peux repartir. Vous imaginez bien qu’à compter d’aujourd’hui, je suis dans les starting blocks ...
A bientôt
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Heyyyyyyy !!!!! Excusez moi pour cette longue absence mais j'ai délaisser mon tumblr très longtemps pour vivre ma vie 😂 Bon, je vais vous faire binge watcher les grandes ligne de ma vie (pour ceux que sa intéresse !) Je ne suis plus poissonnière (et non !) figurez-vous que je suis passé responsable fruits et légumes ! On a atteint un niveau de plénitude jamais atteint jusqu'à présent à mon boulot ! Mr sexy à eu une promotion et est passé directeur magasin et par conséquent mon patron ne viens plus que de temps en temps ce qui veux dire : la paix !! Je n'aie plus de nouvelles de clochette après ce qu'il s'est passé entre nous (et c'est tant mieux !) J'ai coupé les ponts avec mes parents et une de mes sœur après une énorme dispute il y a 2 mois... Je vous expliquerais le pourquoi du comment si vous en avez l'envie mais pour le moment je ne regrette pas ma décision une seule seconde ! Ma cousine qui faisait ses fiv va bientôt accouché d'une petite fille et je vais la voir cette été, j'ai très hâte !!!! .. Malheureusement... ma sœur (celle que je côtoie toujours , elle, a perdu son bébé à 6 mois de grossesse et ce fut une épreuve très difficile pour elle, pour nous, elle est entrée en dépression sévère et je fais tous ce que je peux pour l'aider...(source principal de stress de ma vie en se moment) 😔 😢 Forcément... Je suis toujours avec monsieur Mr sexy ! Cela fera bientôt 2 ans déjà 😮, il m'a biensur présenté son fils et même ses parents !! Et tous se passe à merveille avec ce petit monde 😊 nous commençons à regarder les annonces pour emménager tous les 3 ! D'ailleurs nous partons en vacances tous les 3 très bientôt et j'ai hâte !! Son ex ne nous fais plus vraiment tourné en bourrique, tous s'est apaisé, le temps a fait son œuvre je suppose ! J'ai eu mon code !!!!!! Enfin enfin !!! Je suis en bonne voie pour le permis, croisez les doigt 😁 Malheureusement, ma Dinah (mon chat) fait de l'insuffisance rénal sévère, elle est tombé très malade, j'ai tous tenté pour la sauver et heureusement tous s'est bien terminé même si elle a des médicaments à vie et une nourriture spécial ! Quoi dire d'autre, mise à part que je fais de mon mieux pour essayer d'être heureuse !!! Et même si je ne poste plus : je viens souvent voir vos posts, vous me manquer tous !! La communauté tumblr me manque !!
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“Ce peuple va me rejeter jusqu'à quand ? ...
Est-ce qu'il refusera toujours de me faire confiance ?” Nb 14. 11
Considérons aujourd’hui les autres occasions où le peuple hébreu se plaignit après son départ d’Egypte : 9- Il refusa d’entrer en Canaan au prétexte que le pays était peuplé de géants. Si Dieu vous demande d’accomplir l’impossible, ne soyez pas effrayé et ne refusez pas : s’Il vous le demande c’est qu’Il vous fournira ce dont vous aurez besoin pour réussir. 10- Le peuple voulait tuer Moïse et se choisir un nouveau leader. Dieu décida de détruire le peuple avec une peste. Parce que vous n’appréciez pas vos leaders, quelles qu’en soient les raisons, n’agissez pas avec précipitation, mais priez et laissez Dieu gérer la situation. Ce n’est pas votre rôle de les juger. Les critiquer sans cesse équivaut à vouloir les tuer ! (Mt 5. 22). 11- Les chefs du peuple défient Dieu et sont détruits par Lui (Nb 16). Plus grande est la responsabilité de ceux qui dirigent. Si vous êtes l’un d’eux, demeurez humbles devant votre Dieu. 12- Le peuple se plaint à nouveau et accuse Moïse de meurtre (Ex Nb 16. 41). La réponse divine ? 14700 personnes perdent la vie. Moïse intercède pour le peuple. Reconnaissons le pouvoir de l’intercession. 13- Le peuple se plaint à nouveau de manquer d’eau, provoquant la colère de Moïse (Nb 20. 1-5), avec comme résultat la punition divine qui tombe sur Moïse : il n’entrera pas dans la Terre Promise. Nos plaintes peuvent avoir un résultat néfaste sur nos proches. 14- Le peuple se plaint à nouveau contre Dieu et Moïse. Dieu envoie des serpents venimeux tuer certains d’entre eux. Mais dans sa miséricorde Il fournit un moyen d’échapper à la mort : le serpent d’airain, monté sur un poteau. De même nous échappons à la punition divine en gardant les yeux fixés sur Jésus, confessant nos péchés. Dans Sa grâce Dieu ne nous abandonne pas aux conséquences de nos péchés, mais fait preuve de compassion. Comment refuser une telle expression de grâce ?
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Depuis son plus jeune âge, Mia avait entendu parler de ces rebelles, ces gens exclus de la société. mais jamais à cet âge si jeune, elle aurait pu imaginer qu'elle en ferait partis dès ses 18 ans. C'était une petit fille unique, drôle et passionnée par ce qui l'entourait, ses parents étaient tout les deux dans l'éducation. un métier bien modeste qui permettait tout de même à la famille de subvenir à ses besoin. Mia avait en soit toutes les choses nécessaire pour s'épanouir dans un cadre sain et agréable, sans manquer de rien. Mais rapidement, l'idylle enfance laisse place aux tumultes de l'adolescence ; les début de la liberté et de l'indépendance. Dès ses 16 ans, Mia rencontra des gens qui restèrent pendant plusieurs années ses meilleurs amis. A cette époque, tous voyait leur groupe d'ami comme une seule et même entité indestructible, et c'est avec elle qu'elle eu ses premières expériences avec ce qui deviendrait plus tard sont plus grand combat : la drogue. Elle commença par un ou deux pétard par ci par là, à cet âge noble, le joint est banaliser aux yeux de tous, c'était d'ailleurs devenu un acte des plus naturel pour chacun, un véritable partenaire de vie. Subtilement, l'amour pour cette façon incroyable de se déconnecter du monde vient se conjuguer à cette réalité qu'ils voulaient tous fuir : la vie d'adulte et les responsabilités arrivaient à grand pas. Mais personne ne voulait le croire ni le voir, le paradis artificiel les maintenait tous dans une bulle où ils se sentaient à l'aise et où il pensaient naïvement avoir le contrôle sur la situation. Ce n'est un secret pour personne, la drogue éveil l'esprit, la réflexion, et l'esprit critique, pour ne citer que les côtés avantageux. Il y avait quelque chose qui arrivait dans la vie de Mia et cela n'avait pas le luxe de lui plaire. Malheureusement, il semblait impossible d'y échapper. Bientôt, il sera l'heure de grandir, la peau de l'adolescence se fait trop petite, comme ses compères plus vieux qu'elle, il va bientôt falloir entamer sa mue, suivre des codes et des règles, choisir une voie pour construire son futur, mettre le nez dans l'administratif, faire des choix pour suivre les attentes de ses parents qui pour Mia, avaient déjà échafauder tout un plan de vie et de carrière bien ficelé pour leur progéniture. Un avenir radieux se dessinait à l'horizon dans l'esprit de ses parents. Cependant, la première intéressée ne l'entendait pas de cette oreille. Avec le temps, la réflexions et les idées se construisent et se solidifient ; pourquoi devrait elle suivre un schéma qui ne l'intéresse pas ? Pourquoi quelqu'un d'autre qu'elle devrait décider de son avenir ? La flamme de la rébellion c'était allumé au fond de son cœur. Plus le temps passait, plus le schéma traditionnel qui s'offrait à Mia l'insupportait. A l'aube de son dix septième anniversaire, tout était clair pour elle : elle ne choisira pas ce chemin. Entre temps, ses fréquentation avaient elles aussi évoluées, son groupe d'amis avait grandit, lui aussi. La soif de découverte, de liberté et se besoin de faire la fête lui aussi, avait grandit et prit une place toute particulière dans le cœur et l'esprit de Mia. Ses envies étaient clairs : elle voulait profiter, expérimenter, rire, se sentir libre. Ses amis et la drogues étaient devenus son refuge, elle avait cette impression d'être elle même avec eux, se détachant petit à petit de ses proches et de sa famille, qui voient d'un très mauvais oeil cette déchéance dans laquelle Mia prend plaisirs à participer. Malgré les tentatives des ses parents, Mia s'éloigne de la vie de famille, qu'elle juge trop fade à son goût. Ses parents deviennent à ses yeux des pantins complètement absorbés par un système et une société à laquelle elle n'a jamais aspiré. La fracture familial se fait de plus en plus ressentir et durant le cour de sa dix septième année, Mia devient le fantôme de sa famille. Ses amis, souvent plus vieux qu'elle, lui offre l'hébergement gratuit, alors elle vagabonde d'appartements en appartement, revient parfois chez maman, mais jamais bien longtemps. Sa vie se déstructure petit à petit. L'école touche à sa fin et ne lui offre plus d'emplois du temps pour rythmer ses semaines, les prises de drogues d'un autre calibre chamboule son horloge interne, la notion de nuit et de jour devient un simple détail. Sa vie prend un tournant radical, mais quitter son ancienne vie et sa famille est loin d'être une chose aisée. Ce nouveau chemin de vie ne lui occulte pas ses émotions, bien au contraire. Alors, elle attendra ses dix huit ans pour faire un nouveaux choix qui va finaliser ce changement. Un matin, elle disparait une énième fois de la maison familiale, mais cette fois ci, en laissant une lettre derrière elle. Une voiture l'attend sur le trottoir d'en face, et Mia disparait pour la dernière fois aux côté de son amoureux de l'époque, un jeune homme quelques années plus vieux qu'elle, avec comme unique carrière le deal de toutes sortes de drogue. Depuis ce jours, Mia à bien grandit. Ses choix de vie l'ont conduit à devenir une femme forte et sournoise. La peur n'a depuis longtemps plus sa place. La confiance est une notion très subtile qu'elle manie avec autant de finesse que son humour cinglant et cynique. Elle a finit par trouver refuge dans un appartement en collocation avec des vielles amies, en périphérie d'une grande ville, et pour gagner de l'argent et survivre dans le nouveau monde dans lequel elle a fait le choix de s'embarquer, elle décida de devenir tatoueuse. D'abord de manière officieuse, dans ses conditions assez bancales voir dangereuses, avant de prendre le temps de se professionnaliser et passer par un cursus de formation officiel. Mais les profits n'étaient pas assez conséquents. Mia avait beau avoir grandit, son train de vie n'était qu'un boulet qu'elle trainait au quotidien. Désormais, ses addictions ne se limitait plus qu'au pétard, et ça depuis longtemps. Son visage en avait déjà commencer à faire les frais d'ailleurs, tout comme son compte en banque. Alors elle décida de s'allier à son ex petit ami, le même avec qui elle s'était enfuis quelques années auparavant, pour devenir à son tour une des branches du réseaux de drogue dans lequel elle avait mit le nez dedans depuis des années. Ce qui est sûr, c'est que devenir la seule femme dans un tel réseaux n'a fait qu'endurcir sa personnalité déjà bien trempée. Malheureusement, tout ceci n'est pas sans conséquences. Mia à perdu le goût de l'aventure et se méfie des choses qui l'entoure. Sa vie à retrouver un cadre, mais le maintenir l'épuise jour après jour. Ses démons ne la quitte plus, elle a apprit à vivre avec jour et nuit. Mia n'a jamais eu de nouvelles de sa famille depuis son départ précipité et inattendu. La fracture et le déshonneur était trop profond, les blessures engendrée surement irréversibles. Parfois, elle regrette. Mais il a très peu de place pour le regret dans un monde enfumé et distordu. Elle songe souvent à la vie qu'elle aurait mené si ses choix de vies auraient été différents, si elle avait suivi le schéma dicté par ses parents. Silencieusement, ses pensées la ronge de l'intérieur. - RP - Encore une fois, je me réveille en pleine nuit à cause de ce cauchemar. Ce cauchemar qui revient toujours, avec le même début et la même fin, celui où je vois mes parents me dire au revoir à travers un vitre qui se fissure petit à petit, leur visage suinte la tristesse et la déception. Ils ne disent pas un mot, le silence est assourdissant. Il est quatre heure, les fenêtre sont entre ouvertes et le silence qui traîne dans la rue est presque morbide. Je me sens vide de sens et d'intérêts. Après plusieurs tentatives infructueuses, impossible de me rendormir. Je me lève donc brusquement, faisant voler la couette au pied de mon lit, et me dirige jusqu'au salon, laissant le parquet grincer sous mes pieds. Mes mains frotte vigoureusement mon visage alors que mes cheveux démontre la nuit agitée que je viens de passer. Personne n'est réveillé, ou du moins le salon est libre. J'allume au passage l'interrupteur et me laisse tomber sur le canapé, mon regard se vide et je fixe le plafond face à moi. Je suis encore bouleversée par ce rêve, mes jambes tremblent, je me sens fragile et épuisée, mon cœur bat contre ma cage thoracique et une goutte de sueur perle sur mon front. Pourtant ce n'est pas la première fois que je fais ce rêve. Je n'ai pas le temps de me laisser abattre. Je me redresse donc et me frotte à nouveau le visage avant d'attraper une petit sachet d'herbe qui traîne sur ma table, je ne pourrais pas affirmer qu'il m'appartient, mais ça m'est égale j'ai besoin de fumer un joint pour me calmer et reprendre mes esprits. Je prépare donc rapidement ma longue cigarette magique et allume la télévision, persuadée que ces deux élément réussiront à me faire oublier la raison de ma présence sur ce canapé. Foutaises. une fois mon stick écrasé dans le cendrier posé sur l'accoudoir du canapé et au bout d'une heure et demi de télévision, les images de mon rêve me hantent encore. Je dirais même que ça n'a fait qu'accroitre mes ressentis. Je me sens coupable, une culpabilité lourde et indigeste. J'ai du mal à l'admettre, mais je ressent le manque de leur présence, et mes rêves en sont une belle illustration. Mon auto persuasion n'est pas assez forte pour ça et je me sens envahir par mes craintes, mes doutes, mes remords et mes regrets. Ma respiration s'accélère et mes tremblements reprennent subitement, j'ai beau fermer les yeux, le visage de mes parents est incrusté sous mes paupières et dans ma mémoire. Il ont surement dû changer, vieillir, mais comment savoir ? Mes mains se glisse dans mes cheveux pour les empoigner tandis que mon visage fait face au sol. J'ai l'impression que je vais imploser de tristesse, me faire engloutir par le trou que j'ai dans la poitrine. Je n'entend plus qu'un bruit sourd, la solitude m'enlace. Peut être fraudait il que j'en parle à quelqu'un ? Non. Je dois porter mes choix jusqu'à la ligne d'arriver. Alors je prend un grande inspiration et me redresse. Je reste assise sur ce canapé à m'abrutir devant cette télévision jusqu'à ce que le soleil ce lève, l'appétit n'est même pas au rendez vous. Le soleil glisse entre les volets et la fenêtre, les filles vont finir par se réveiller elles aussi. Je finis par quitter ce canapé pour passer ma tête à travers la fenêtre. Le froid de dehors glisse doucement contre la peau de mon visage et de mes bras découverts, j'observe les quelques rares personnes déjà réveillée qui traînent dans la rue. Ceux qui rentrent en titubant, ceux qui sont déjà prêt pour une journée de 10h de travail. Je commence à penser à tout et rien à la fois, ça y est je me sens mieux, les tumultes sont passés. Je ferme les yeux et soupire légèrement afin de profiter de ces quelques instant de sérénité jusqu'à ce que je sois coupée par le bruit de mon interphone qui sonne. Je soupire, excédée, puis lève les yeux au ciel. À croire que le destin joue avec moi et aime se foutre de ma gueule. Je me dirige donc vers l'interphone, non sans être blasée, et décroche. Mon premier client et matinal aujourd'hui. je pars chercher sa commande et enfiler un pantalon le temps pour lui de monter les escaliers. J'entre ouvre prudemment ma porte d'entrée pour faire la transaction, encore débraillé de mes péripéties de cette nuit. Je laisse mon client au dents rongées repartir avec son gramme de bonheur artificiel, et je retourne à la fenêtre, pour reprendre là où j'en étais dans ma réflexion.
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“Sidiki est un homme violent (…) Un habitué des faits” – Rewmi.com
S’il y a quelqu’un qui est dans de sales draps actuellement, c’est bien l’artiste malien Sidiki Diabaté. En effet, il est poursuivi en justice par son ex-copine pour coups et blessures.
« Sidiki Diabaté m’a séquestrée durant 2 mois » dixit Mariam Sow qui se confie sur les violences qu’elle a subies aux côtés de l’artiste (les photos sont choquantes).
Plus les jours passent, plus les révélations tombent. Sidiki Diabaté est de plus en plus dans la tourmente suite à l’affaire de la jeune femme qui l’accuse désormais de violences conjugales.
Nous vous en informions à Gnadoè il y a quelques jours, Mariam Sow (guinéenne vivant au Mali), encore connue sous le pseudo Mamasita, a été aperçue sur des photos terrifiantes. Photos sont les internautes se servent pour accuser le prince de la Kora de violences. Ce dernier l’aurait frappée à plusieurs reprises durant leur relation.
Elle s’est exprimée durant une émission radio en direct ce 17 septembre.
Interrogée sur le plateau de l’émission Les Grandes Gueules de la chaine Espace Guinée, elle a révélé les détails de cette affaire et sa version des faits.
Tout d’abord concernant les photos qui ont circulé et qui montrent le corps tuméfié d’une jeune fille, la jeune femme confirme qu’il s’agit bel et bien d’elle. Mais que les images datent d’il y a un an environ et qu’elle ne sait pas comment elles se sont retrouvées sur le net. Elle assure ne pas les avoir diffusées.
Ensuite, elle affirme que leur relation date de 7 ans déjà et que la famille tout comme les amis de Sidiki la connaissent très bien. Les violences, elle les a subies plusieurs fois, et certaines étaient pires que sur les photos. Elle affirme qu’il la battait même avec des rallonges électriques. Mais elle est restée par amour, pensant que Sidiki allait changer.
Enfin, elle révèle devant ses auditeurs ébahis, qu’elle a été séquestrée pendant deux mois dans une maison avec un gardien par Sidiki. Et qu’elle a réussi à s’échapper finalement. Actuellement soutenue par des organismes des droits sociaux au Mali, elle compte porter plainte aujourd’hui même.
Beaucoup de questions se posent
Ces informations graves sont révélées peu après le démenti formel du manager de Sidiki Diabaté qui affirme ne pas connaître Mariam Sow et estime que ces accusations n’ont pour seul but que de nuire à son artiste.
Questionnée sur le fait qu’elle s’est tue depuis longtemps, Mariam Sow affirme que c’est uniquement par amour. Elle supposait que Sidiki la battait par jalousie et donc que cela lui passerait forcément à un moment. Mais désormais elle en a marre et trop c’est trop.
Tandis que certains la soutiennent, d’autres estiment qu’elle cache quelque chose ; estimant qu’il y a trop de zones d’ombre dans son histoire. Les photos dévoilées par hasard, l’agression datant d’il y a un an, l’accusation de séquestration sans preuves … Pour d’autres encore, elle fait peur à Sidiki pour qu’il vienne lui demander pardon.
Cependant une chose est sûre, ces accusations écornent sérieusement l’image de Sidiki Diabaté, lui l’artiste chéri des femmes, qui chante leur beauté et leur amour. Nul ne sait pour l’instant ce qu’il pense de la situation puisqu’il ne s’est pas encore exprimé. Suivez-nous pour ne rien manquer de la suite de cette histoire.
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Tout savoir sur Mariam Sow, l’ex-petite amie de Sidiki Diabaté qui l’accuse de violence conjugale
Depuis quelques jours, l’artiste malien Sidiki Diabaté est impliqué dans une affaire de violence conjugale sur sa copine du nom de Mariam Sow.
Selon les informations, la jeune connue sous le pseudo de Mamasitaviirus a subi plusieurs agressions sexuelles et physiques de la part de l’artiste. Elle aurait selon les dires avorté à plusieurs reprises juste pour faire plaisir à Sidiki Diabaté.
Mais qui est Mariam Sow cette jeune fille dont le corps mutilé circule sur la toile ?
1- L’ex-petite amie de Sidiki Diabaté
Selon nos sources, mariam Sow est la petite amie de Sidiki Diabaté depuis belle lurette. En effet, Mariam Sow et Sidiki Diabaté vivent leur histoire d’amour depuis 2013. Une idylle qui tend vers sa fin. Car Mariam Sow lors d’une interview affirme en avoir ras-le-bol des actes de son homme. Et qu’il serait préférable de mettre fin à leur relation.
2- Ses Origines
Autre chose que nous savons sur Mariam Sow est qu’elle est Guinéenne et vit au Mali depuis longtemps puisqu’elle a été abandonnée par ses parents biologiques. Livrée à elle-même, elle a décidé de s’aventurer au Mali. C’est donc au Mali qu’elle a rencontré l’artiste. Et de là naquit une histoire d’amour.
3- Une amoureuse des réseaux sociaux
Toujours dans nos recherches, nous avons découvert que Mariam Sow est une amoureuse des réseaux sociaux. Elle passe la plupart de son temps sur le réseau Tiktok où elle arrache le sourire à ses abonnés à travers ses vidéos hilarante qu’elle publie.
Notons que malgré les vagues d’accusations sur sa personne, Sidiki Diabaté a préféré être l’allié du silence et laisser le temps faire son travail.
Violences Conjugales : Les Lignes Bougent, Mamasita Porte Plainte Et Sidki Diabaté Serait Activement Recherché
Depuis plusieurs jours, l’affaire Sidiki Diabaté MamaSita fait la une de l’actualité people dans plusieurs pays de la sous-région, ainsi que sur les réseaux sociaux.
Depuis la publication des photos de Mamasita, ex compagne de Sidiki, les réseaux sociaux se sont enflammés, et les féministes se sont mobilisés pour apporter leur soutien à la jeune dame victime de violences conjugales. Leur détermination a commencé à porter ses fruits et les lignes ont commencé à bouger.
La jeune dame qui, pendant longtemps a gardé le silence, avait afin décidé de porter plainte suite aux encouragements de plusieurs féministes et autres personnalités. Selon les informations recueillies auprès des medias locaux et certaines proches de l’affaire, une plainte serait déposée contre Sidiki Diabaté auprès du parquet du tribunal de la Commune 3. L’incorruptible procureur Mahamadou Kassogué serait en charge de l’enquête.
Ces groupes de soutiens sont de toute suite devenus un lobbying qui a fait bouger les lignes au niveau de certaines structures comme AFRIMMA. Et dès après le dépôt de la plainte, la structure a aussitôt retiré Sidiki Diabaté qui était parmi les nominés des meilleurs artistes de l’Afrique de L’Ouest. « Nous annonçons le retrait des nominations de l’artiste malien Sidiki Diabate. Cette mesure est nécessaire en raison des graves allégations de coups et blessures à son encontre. Afrimma est un organisme qui défend la musique africaine et bien que les talents de Sidiki Diabate soient reconnus, nous sommes contre les coups et blessures de tout être humain et ne tolérons pas ce genre de comportement. » Peut-on lire sur la page de la strcuture
Un acte qui a mis Sidiki Diabaté dans tous ses états et a réagi à travers sa structure « Diabatéma Music »
J’ai appris avec étonnement et de déception le retrait de ma nomination dans les catégories au AFRIMMA.
« Je tiens à informer l’opinion nationale et internationale afin de rétablir cette nomination. Le prétexte évoqué par les organisateurs de récompense porte sur les calomnies et les complots dont fait l’objet de ma personne dans une histoire de violence. Je précise que pour l’heure, ce retrait de ma nomination intervient dans un moment de turbulences. Et jusqu’à preuve du contraire j’exige de tenir en compte La présomption d’innocence .
J’invite les organisateurs à être professionnels, et entrés en contact avec mon staff pour avoir des informations. Les faits reprochés sur ma personne ne sont pas avérés. Et c’est à la justice malienne de juger cette affaire. Les organisateurs ne sont en aucun moment entrés en contact avec mon staff pour s’assurer de mon innocence. Ainsi je réclame le rétablissement de ma nomination et exige des excuses des organisateurs auprès du public pour m’avoir retiré de la compétition sans aucune preuve de culpabilité.
Je précise encore dans cette affaire Je suis innocent, et elle est un complot préparé pour me nuire. Je traduis ce retrait comme une injustice et une atteinte aux droits de vote de mes fans à travers le monde et une discrimination contre le peuple malien en particulier.
Merci à tous pour vos votes et votre bonne compréhension
D.Music»
Toutefois, un collectif dénommé « jesuismamasita » a été déjà créé et qui à ce jour, compte plus 2500 membres. Ce collectif apporte son soutien à Mamasita et compte mener le combat jusqu’à ce que « justice soit faite »
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